Chéreng
Chéreng | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Pascal Zoute 2008-2026 |
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Code postal | 59152 | ||||
Code commune | 59146 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chérengeois | ||||
Population municipale |
3 001 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 718 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
1 058 474 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 36′ 41″ nord, 3° 12′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 23 m Max. 47 m |
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Superficie | 4,18 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Lille (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Templeuve-en-Pévèle | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-chereng.fr/ | ||||
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Chéreng [ʃeʁɑ̃] est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]La commune se situe dans la Pévèle, la campagne assez « aisée », située à l'est de Lille. Elle bénéficie de nombreux accès par les autoroutes, A1, A27, A25, reliant la ville à Paris, Gand, Anvers, Bruxelles. Chéreng bénéficie aussi de la proximité de la métropole lilloise, avec écoles, collèges, universités, structures commerciales et culturelles dans les communes environnantes. Appartenant à la sphère urbaine de l'agglomération lilloise, elle bénéficie de l'effet de rurbanisation.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Environnement
[modifier | modifier le code]Durant l'été 2009, la ville a innové en s'équipant d'un camion benne hippomobile[1] écologique, contribuant ainsi au sauvetage des chevaux de la race Trait du Nord en leur retrouvant une utilité[2]. La jument nommée Olive participe également aux festivités du village dont le carnaval et les festivités du 14 juillet, fête nationale française.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Marque[3],[Carte 1].
La Marque, d'une longueur de 32 km, prend sa source dans la commune de Thumeries et se jette dans le canal de Roubaix à Wasquehal, après avoir traversé 25 communes[4]. Les caractéristiques hydrologiques de la Marque sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 0,836 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 12,714 décembre 196 610,8 m3/s, atteint le [5].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Marque Deûle ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 120 km2 de superficie, délimité par les bassins versants de la Marque et de la Deûle, formant une vaste cuvette sédimentaire de 40 km de long et de 25 km de large, où la pente est très faible. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la Métropole européenne de Lille[6].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 689 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Chéreng est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française)[Note 3], une agglomération internationale regroupant 60 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[15]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,3 %), prairies (29,2 %), zones urbanisées (27,5 %), forêts (5,9 %)[18]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, en 2023, par les lignes 66, 72 et 73 ainsi que par la ligne de transport à la demande 20R du réseau Ilévia[19].
Histoire
[modifier | modifier le code]Sans prétendre faire remonter ce village à une très haute antiquité, il est certain[réf. nécessaire] qu'il partage, vu sa position, les origines de Pont-à-Tressin. Dans un titre de l'abbaye de Cysoing cité par le savant Mirœus, ce lieu se nomme Ceren en 1164. Une charte de ce même monastère de 1195 lui donne le nom de Cheren. En 1261, un cartulaire de Loos l'appelle Chérench qui devient Chierench en 1325, selon un manuscrit de saint Nicolas de Lille.
L'autel de Chéreng est donné, dès 1145, à l'abbaye par Honorins[réf. nécessaire], évêque de Tournai, et sa première forme lui vient précisément de la confirmation de cette donation faite par Gérard, successeur d'Honorins[réf. nécessaire].
Selon Legroux[Qui ?], « Comme Philippe de Valois, roi de France, était passé le pont en 1340, il s'est donné en ce lieu des escarmouches de temps en temps entre quelques détachements et celle des Anglais, Liégeois et Flamands ». Selon Buzelin[20], « Dans cette partie de la Pévèle, dit-il, où coule la Marque, se trouve Chéreng. C'est là qu'on voit le pont de Chéreng, vulgairement le Pont-à-Tressin, si fréquenté par ceux qui vont à Lille ou à Tournay. »
Lorsqu'en 1340, Philippe de Valois campe à Bouvines avec son armée, à deux fois les Anglais et les Flamands firent une attaque par ce pont. Ils veulent repousser au-delà de la Marque l'arrière-garde du camp français. À deux reprises, ce pont est le théâtre de combats intenses. Les soldats du Hainaut en tête, presque tous nobles et de bonne maison, profitant d'une nuit obscure, passent par là et surprennent à l'improviste les troupes du roi de Bohème et de l'évêque de Liège. Mais Rodernaque[Qui ?], homme d'illustre naissance, revenant de garde avec ses soldats, les aperçoit et les attaque vivement. Il en tue un tel nombre que le reste doit reculer de l'autre côté du pont. Ceux-là sont presque tous tués parce que les Liégeois qui viennent de fourrager attaquent le flanc des fuyards. Quelques nobles allemands ont peu après plus de chance : ils traversent le pont en plus grand nombre pour attaquer les Français, suivis par Jean de Hainaut et un certain nombre de chevaliers flamands. Ils laissent, pour s'assurer le passage du pont, une petite arrière-garde. Alors, ils provoquent Charles de Montmorency et le marquis de Saulieu par une ruse de guerre, feignant la crainte et la fuite, ils attirent Charles de Montgomery près du Pont et défont son armée.
En 1427, Louis XI envoie des forces pour défendre Tournai et le village est occupé militairement. La ville de Tournai est alors assiégée par Adolphe d'Egmont, duc de Gueldres, qui sera tué dans une sortie.
En 1521, le comte de Massau, commandant l'armée de l'empereur Charles Quint, arrive avec les Espagnols pour conquérir la capitale du Tournaisis. Les rives de la Marque reçoivent la visite des soldats, et le pont, l'un des quatre du Mélantois, reçoit des troupes pour le garder. Les hérétiques, pas plus que les soldats, ne se feront faute d'y laisser des traces de leur passage en 1566. Ils avaient commis de si grands désordres à Tournai, qu'ils ne peuvent pas négliger de pousser leur course jusqu'à Chéreng.
Denis Chemin, ministre et chef des Gueux en 1566, est le fils du maréchal de Chéreng. Au mois de décembre arrive un pauvre homme de la ville de Lille pour voir le camp des Gueux situé près des ruines de l'abbaye de Saint-Maur. Pris pour un espion et interrogé sur ce qu'il vient faire, il ne sait que répondre. Denis Chemin le condamne à être pendu à la fenêtre de sa chambre. Quand il monte à l'échelle, le prédicant lui demande s'il veut être Gueux, ce qu'il lui sauverait la vie. Il répond « oui ». Mais les autres Gueux craignant qu'il ne reste papiste souhaitent le tuer. Le condamné s'adresse à Dieu et à la Vierge, et meurt sans autre cause de condamnation qu'une lettre de son curé qu'il porte sur lui.
Louis XIV et la conquête de la Flandre
[modifier | modifier le code]Le roi Louis XIV médite la conquête de la Flandre et force Tournai à capituler, le . Le maréchal d'Aumont, un de ses généraux, profite de la commodité de la rivière et parvient à Pont-à-Tressin. Le roi fait élever en 1670, à Tournai, une citadelle et met en réquisition tous les habitants d'alentour qui par le fruit de leur travail collectif achèvent l'édifice en huit jours[réf. nécessaire]
Michel Ange de Vuœrden, vicomte de Langle, est natif de Chéreng. Il fait imprimer en 1684 un journal historique pour servir à l'histoire de Louis le Grand, et a composé le livre intitulé : Annales bellici et triumphalis Ludovici Magni, Francia et Navarrœ régis ». Il est enterré à Chéreng en 1699. Un de ses descendants, le baron de Vuœrden, devient seigneur de Chéreng.
Les armées du roi s'essoufflent. En 1708, Lille succombe, malgré Boufflers, sous les efforts du Prince Eugène. L'année suivante, les environs de Chéreng accueillent l'armée des alliés commandée par Eugène de Savoie et le duc de Malborough qui, n'ayant pu attaquer celle des Français, conduite par le maréchal de Villars, viennent assiéger Tournai. La ville se rend après une courte résistance.
En 1712, l'armée d'Angleterre et celle des Impériaux campent à Chéreng. Ils y attendent l'entrée en campagne pendant trois à quatre mois. C'est dans les environs de Baisieux, de Camphin et de Chéreng que le Prince Eugène de Savoie, généralissime des armées coalisées, fait passer une grande revue à ses troupes.
Arrivent le roi Louis XV et la bataille de Fontenoy. Aussi le , les Français reviennent sur Tournai, et les habitants du village ont pour voisin et pour quelque temps, le roi de France avec le Dauphin, son fils unique. Fontenoy n'a de cause que le désir des Alliés de sauver la ville de Tournai menacée. Elle se divise non loin d'Antoing[Où ?]. Le village vibre au bruit du canon : la mêlée sanglante fait quelque 20 000 morts. Les habitants du village secourent les blessés et enterrent les morts. Les soldats, vainqueurs ou vaincus, s'éparpillent sur les routes et meurent souvent à côté d'une porte hospitalière[réf. nécessaire].
Jacques-Augustin Imbert (1754-1830) est le dernier seigneur de Chéreng. Fils de Jacques-Ignace-Joseph, seigneur de Melle et de Catherine-Thérèse-Joseph Claron, il est baptisé à Lille le , devient bourgeois de Lille le , conseiller contrôleur des États de Lille, anobli par lettres données à Versailles en décembre 1775, lieutenant des maréchaux de France. Il meurt à Cambrai le . Il épouse à Lille le Catherine-Constance Lambelin, baptisée à Lille le , fille d'Albert-Constant-Joseph, seigneur de Beaulieu, bourgeois de Lille, lieutenant particulier civil et criminle de la gouvernance de Lille, et de Marie-Catherine-Florence Taviel[21].
Période contemporaine
[modifier | modifier le code]À la Révolution française, l'église est vendue comme propriété nationale et rachetée par onze particuliers, qui en font don à la commune en 1794. Le village est choisi pour être le point de mire des généraux alliés. Le duc d'York occupe le Pont-à-Tressin. Il a pour antagoniste le général Bonneau. Les Français ne luttent pas contre les ennemis à armes égales. Ils ont à surveiller les avant-postes et ont plus à craindre encore de la trahison. Un sieur Coupleur de Pont-à-Tressin est arrêté et livré aux tribunaux pour avoir, en qualité d'espion, fait égarer une troupe française de grand-garde.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Chéreng se blasonnent ainsi :"De gueules au chef d'or, chargé d'un lion de sable". |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Instances judiciaires et administratives
[modifier | modifier le code]La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2021, la commune comptait 3 001 habitants[Note 6], en évolution de +0,44 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 447 hommes pour 1 544 femmes, soit un taux de 51,62 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Cette petite ville est typique du département du Nord : une majorité de maisons basses en brique, qui rappellent son origine rurale, alternent avec de grandes demeures qui ont toutes pignon sur rue. Elle a pour caractéristique d'avoir un centre-ville étalé le long d'une route nationale reliant Lille à Tournai, communément appelée « route de Tournai ».
L'église de Chéreng possède un baptistère datant probablement du XIIe siècle. Quatre têtes byzantines lui donnent un cachet fort original (voir photos du fond et des têtes[34],[35],[36],[37],[38],[39]). On y trouve également un cœur de plomb dont toute la valeur est celle du souvenir (il renferme le cœur d'un jeune seigneur de 17 ans, fils de l'illustre baron de Vuœrden) ; un calice du XVIIe siècle et une cloche à la danse macabre fort curieuse, datant de 1734, et portant les armoiries des donateurs, seigneurs de Chéreng de Carondelet-de Rasoir. L'église est également dotée d'un chemin de croix en 12 tableaux sur bois réalisés par l'artiste breton André Mériel-Bussy.
Sur la route nationale, à l'entrée de Chéreng, on peut voir un ancien relais de poste royale aux chevaux édifié en 1650 (la Hamaide), inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 1951[40]. L'histoire raconte que Louis XIV aurait séjourné dans cet endroit.
Chéreng est aussi connue pour le château de Montreul qui est maintenant la maison des chasseurs du Nord.
Jumelages
[modifier | modifier le code]Chéreng est jumelée avec la commune de East Peckham, dans le Kent, au Royaume-Uni.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Lille Métropole - Communauté urbaine de Lille
- Chéreng sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:05 TU à partir des 682 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1966 au 01/06/2024.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Lille (partie française) comprend une ville-centre et 59 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Chéreng » sur Géoportail (consulté le 20 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- c'est-à-dire tiré par un cheval
- (l'autre usage de ces chevaux est le débardage par chevaux en forêt
- « Fiche communale de Chéreng », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « la Marque »
- « Station hydrométrique La Marque à Bouvines », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
- « SAGE Marque Deûle », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chéreng et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Chéreng ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
- Jean Buzelin ou Johannes Buzelinus, auteur de Annales Gallo-Flandriae, 1624, (cf.: [1])
- Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 749, lire en ligne.
- [PDF] 1932 : Chéreng, mon village !
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ), p. 126-127.
- « Le 19 avril 1904, a lieu à Chéreng, une fête destinée à marquer ses 50 ans de majorat » : Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 45
- « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2-3..
- « Maire de Chéreng pendant 31 ans, Henri Eeckhout est décédé », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chéreng (59146) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Baptistère ¹
- Baptistère²
- Baptistère³
- Baptistère⁴
- Baptistère⁵
- Baptistère⁶
- Notice no PA00107430, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.