La Coupe du monde de roller derby 2011 est le premier tournoi international de roller derby sur piste plate. Elle est organisée par le magazineBlood & Thunder et accueillie par la « ligue » (club sportif) de roller derby de Toronto[1] du 1er au 4 décembre 2011 au « Bunker » du Downsview Park de Toronto[2]. Elle permet à treize équipes de vingt patineuses de représenter les couleurs de leur pays au plus haut niveau.
Adelaide Roller Derby, Brisbane City Rollers, Canberra Roller Derby League, Coastal Assassins Roller Derby, Newcastle Roller Derby League, Sun State Roller Derby League, Sydney Roller Derby League, Victorian Roller Derby League
Capital City Derby Dolls, Gotham Girls Roller Derby, Gray City Rebels, Ladies of Hell Town, South Bay Derby Mizfits, Stuttgart Valley Roller Girlz, Sugar Loathe Derby Girls
Auld Reekie Roller Girls, Birmingham Blitz Dames, Central City Rollergirls, Dolly Rockit Rollers, Hellfire Harlots, London Rockin' Rollers, London Rollergirls, Rainy City Rollergirls
Boston Derby Dames, Charm City Rollergirls, Dutchland Rollers, Gotham Girls Roller Derby, Minnesota RollerGirls, Oly Rollers, Philly Rollergirls, Rocky Mountain Rollergirls, Rose City Rollers, Steel City Derby Demons, Windy City Rollers
La compétition est organisée en deux phases de poules. Dans la première phase, trois groupes de 3 équipes et un de 4 sont mis en place et chaque équipe joue contre les autres équipes de son groupe. Un classement est alors établi en fonction des victoires :
Groupe A : Brésil, France, Suède et Canada,
Groupe B : Australie, Finlande et Allemagne,
Groupe C : Écosse, Nouvelle-Zélande et États-Unis,
Groupe D : Angleterre, Argentine et Irlande.
Le premier match de la compétition a lieu le 1er décembre entre la France et le Canada ; les joueuses locales s'imposent facilement sur le score de 244 à 17[5].
Les trois meilleures équipes de la première phase sont directement qualifiées pour les quarts-de-finale alors que les dix autres jouent une phase de qualification. Les cinq vainqueurs rejoignent les quarts-de-finale, les perdants jouant la « phase de consolation ».