Cuy (Oise)
Cuy | |||||
Le boulanger ambulant dans le village vers 1910. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays des Sources | ||||
Maire Mandat |
Michel Leroy 2020-2026 |
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Code postal | 60310 | ||||
Code commune | 60192 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cuyens, Cuyennes | ||||
Population municipale |
219 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 51 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 35′ 11″ nord, 2° 54′ 30″ est | ||||
Altitude | Min. 49 m Max. 161 m |
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Superficie | 4,33 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Thourotte | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Cuy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Cuy est un village-rue rural picard du Noyonnais situé à 7 km à l'ouest de Noyon, 20 km au nord de Compiègne, 41 km au nord-est de Clermont et 25 km au sud-est de Montdidier.
Le village est desservi par l'ancienne Route nationale 38 et est aisément accessible par l'ancienne route nationale 334 (actuelles routes départementales RD 938 et 934).
Louis Graves décrivait en 1850 le territoire communal comme « occupé dans sa partie centrale par une colline sablonneuse sur les pentes de laquelle le chef -lien est placé. Ce village forme sur la route départementale de Beauvais à Noyon une longue rue, dent les maisons sont séparées par des jardins garnis de plantations; une seconde rue croisant la première se dirige au midi sur le côté occidental de la colline[1] ».
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Lagny | ||||
Dives | N | Suzoy | ||
O Cuy E | ||||
S | ||||
Thiescourt | Évricourt |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Divette et le ru d'Oremus[2],[3],[Carte 1].
La Divette, d'une longueur de 15 km, prend sa source dans la commune de Plessis-de-Roye et se jette dans l'Oise à Pont-l'Évêque, après avoir traversé dix communes[4].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 013 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Oise moyenne. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE est, en 2024, encore en élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du SAGE Oise-Moyenne (SMOM)[5].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 723 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 19 km à vol d'oiseau[8], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Cuy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,4 %), forêts (32,3 %), zones urbanisées (8,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 94, alors qu'il était de 92 en 2013 et de 90 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 90,4 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 6,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,3 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cuy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,2 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Cuy[I 2] | Oise[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 90,4 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 3,2 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,4 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, en 2023, par les lignes 674 et 6307 du réseau interurbain de l'Oise[16].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes apud villam de Cuy (1213) ; Cui (1213) ; Jehans de Cui (1266) ; lausnois de Cuy (1268) ; in territorio de Cui (1268) ; Cuiacum (vers 1300) ; Cuy (1266) ; cuy delez Noyon (1376) ; Cuys (1667)[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Le roi Philippe-Auguste donne vers 1213 tout ce qu'il possédait dans la paroisse aux évêques de Noyon[1]. .L'Abbaye Notre-Dame d'Ourscamp avait également des biens à Cuy, qui lui avaient été données notamment par Haude Waignard de Cuy. Ces donations ont été confirmées par une charte de 1206 de Gautier Bardins, bailli de Vermandois[18].
La tradition mentionnait au XIXe siècle l'existence d'un château-fort dont il ne restait alors plus de traces au lieu-dit le Châtelet sité au sommet du Mont de Cuy[1].
Époque moderne
[modifier | modifier le code]Cuy était une possession de la maison de La Fons, originaire de Picardie, et qui avait pour armes : d'argent a trois hures de sangliers de sable, arrachées et lampassées de gueules posées 2 et 4[18]
Sous l'Ancien Régime, Cuy faisait partie du bailliage et du l'élection de Noyon ainsi que de l'intendance de Soissons[18].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]En 1827, Évricourt est fugacement réunie ç Cuy[18].
En 1850, la commune était propriétaire du presbytère et de quelques hectares de pâtures marécageuses. Un moulin à eau, alors récent se trouvait dans la vallée, à l'ouest du village. La population vivait des travaux forestiers et de l'agliculture[1].
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Cuy est occupée par l'armée allemande du au à la suite de son retrait lors de l'Opération Alberich. Le village est alors détruit, ses habitants déportés en Allemagne ou réfugiés. Il est à nouveau occupé en juin 1918 et est définitivement libérée le [19].
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[20] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [21].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Lassigny[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Cuy est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2021, la commune comptait 219 habitants[Note 3], en évolution de +1,39 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 116 hommes pour 104 femmes, soit un taux de 52,73 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame-de-la-Nativité, reconstruite en style néo-roman dans les années 1920 en briques et pierres, après sa destruction lors de la Première Guerre mondiale. Elle est constituée d'une nef avec ses bas-côtés, de trois travées, un chœur à chevet plat flanqué de deux croisillons. Le clocher-porche communique avec une tribune occupant la première travée de la nef.
Les vitraux du triplet du chevet ont été réalisés en 1929 par le maître verrier beauvaisien Houille et représentent la naissance de la Vierge. Une belle Vierge à l'Enfant du XVIe siècle, restaurée, orne l'église[33]
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- René de Segonzac (1867-1962), né au château des Essarts à Cuy, militaire, explorateur et écrivain.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Cuy (60192) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Cuy »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Cuy » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Cuy » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Cuy ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Cuy » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cuy - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cuy - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 51-52, sur Google Books.
- Sandre, « le ru d'Oremus »
- « Fiche communale de Cuy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « la Divette »
- « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cuy et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Cuy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 178.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 194-, sur Gallica.
- « Cuy durant la Grande Guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- S. F., « Le maire menace sa femme avec une pelleteuse », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Un nouveau maire provisoire nommé après les recours », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Roland Picard avait pourtant remporté le siège après la défaite du maire précédent, Christophe Defrance. C'était compter sans les deux recours formulés aussitôt ».
- R.L., « Cuy : on revotera le 28 septembre », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Régis Lefèvre, « Nommé par le préfet, le maire provisoire expédie les affaires courantes : Cuy, mercredi. Après l'annulation de l'élection et en attendant le retour aux urnes des habitants, le 28 septembre, Michel Leroy gère les dossiers du village. », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « CUY (60) La liste de Michel Leroy remporte les municipales », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cuy (60192) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Dominique Vermand, « Cuy, église de la Nativité Notre-Dame : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).