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Jacques Lestrille

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Jacques Lestrille
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Naissance
Décès
Sépulture
cimetière de Passy (10e division), Paris
Nom de naissance
Jacques Luc Henri Lestrille
Nationalité
Française
Activité
Mouvement
Influencé par
Père
Henri Louis Charles Lestrille (1864-?), architecte, maire d'Ault de 1920 à 1923
Distinction
Prix Blumenthal 1938

Jacques Lestrille est un artiste peintre et lithographe français né à Ault (Somme) le 26 août 1904 et mort à Clichy (Hauts-de-Seine) le 4 juin 1985.

Un père maire à Ault

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Ault au début du XXe siècle.
Ault, le monument aux morts

Jacques Lestrille naît à Ault (Somme) au cœur de l'été 1904, « par hasard » écrit Raymond Cogniat, parce que ses parents - un père, Henri Louis Charles Lestrille (1864-?), architecte formé aux Beaux-Arts de Paris par Honoré Daumet et Pierre Esquié, et une mère, née Lucile Justine Verangat (1869-1922), « très musicienne » - s'y trouvent alors en vacances[1].

La consultation des registres d'état civil invite à relativiser nettement le « hasard » ainsi énoncé quant à la naissance aultoise de l'artiste : Henri Louis Charles Lestrille, bien qu'exerçant sa profession d'architecte au 5, rue Eugène-Delacroix à Paris[2], y est bien dit propriétaire domicilié à Ault[3] dont il sera même le maire de 1920 à 1923[4] : c'est ainsi lui qui, en novembre 1920, confiera à Paul Landowski la commande du monument aux morts d'Ault qu'il inaugurera onze mois plus tard[5] ; dans son journal, en date du 23 janvier 1921, le sculpteur évoque sa visite en son atelier de Boulogne-Billancourt pour la remise des noms des soldats à graver sur les stèles[6]

Un peintre du 16e arrondissement de Paris

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Château de Rochefort-en-Terre.

Postimpressionniste « dans la foulée de Pierre Bonnard et Édouard Vuillard »[7], alors encore installé dans l'appartement parental du 6, boulevard Flandrin dans le 16e arrondissement de Paris[8], Jacques Lestrille reçoit les conseils de Maurice Brianchon et Jean Aujame ; René Huyghe va ainsi pleinement le situer, en même temps que les deux précités mais aussi que Balthus, Christian Caillard, Roger Chapelain-Midy, François Desnoyer, Raymond Legueult, Marguerite Louppe, Roland Oudot, Jean Pougny, Kostia Terechkovitch et Charles Walch, dans cette « génération de 1930 », constituée de peintres tous nés autour de 1900, « la plupart d'entre eux servant un idéal figuratif et puisant dans le domaine traditionnel leurs sujets, faits pour séduire et non pour surprendre »[9]. Ce sont ses premiers travaux connus, situés dans le Morbihan, que semble évoquer Daniel Le Meste lorsqu'il restitue que le jeune artiste (il n'a alors pas encore vingt ans) travaille en 1923 à Rochefort-en-Terre et au Faouët, présentant ainsi dès 1924 des vues des deux localités au Salon des indépendants[8], puis au Salon d'Automne. Jacques Lestrille reviendra du reste régulièrement à Rochefort-en-Terre pendant une grande partie de sa vie, s'y liant d'amitié avec le peintre américain Alfred Partridge Klots (1875-1939) qui y fit l'acquisition du château en 1907[10].

C'est un autre de ses thèmes, celui des Fleurs, que révèle en 1925 sa participation au Salon des indépendants[11], où il reviendra ensuite avec des sujets festifs comme Jour de fête en 1930[12], Le banquet en 1931[13] ou L'arbre de Noël en 1932[14].

Jacques Lestrille quitte le boulevard Flandrin pour s'installer au 30, rue de Passy, également dans le 16e arrondissement, en 1933[15].

L'exposition qui, en janvier 1934 à la Galerie Simonson réunit cinq jeunes artistes en un groupe que celle-ci baptise N.G.S. (Nouvelle Galerie Simonson), se compose de Jacques Lestrille, Roger Chapelain-Midy, Adrien Holy, André Planson, et Maurice Georges Poncelet dont René Huyghe définit alors la singularité par « la pratique d'un art moins précieux, mais plus volontaire. Le souci des vérités essentielles de l'art, d'un métier solide et sûr aboutit chez eux à un art plus positif, moins proche de la rêverie »[16].

Commandes officielles

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Exposition universelle de 1937, Paris
Institut national agronomique, Paris

En 1937, Jacques Lestrille, qui est gratifié d'une commande de l'État pour l'Exposition universelle[1], est également appelé à brosser les grandes peintures murales de l'amphithéâtre Tisserand de l'Institut national agronomique, rue Claude-Bernard à Paris, où l'exécution de celles de l'amphithéâtre Risler est confiée à André Planson[17],[18]. Michel Florisoone situera de la sorte Jacques Lestrille et André Planson, avec Charles Dufresne (qui terminera juste avant sa mort en 1938 les peintures murales de l'amphithéâtre de la Faculté de pharmacie de Paris), Jean Aujame, Maurice Georges Poncelet et Francis Gruber, parmi les peintres qui, par leur confrontation aux problèmes de la décoration murale contemporaine, se doivent de « retrouver les règles nécessaires de la composition », voire même les renouveler, et il écrira ainsi : « Lestrille et Planson, pour l'Institut agronomique, ont cherché, semble-t-il, moins à décorer le mur qu'à l'habiller à la façon d'une tapisserie qui meuble un fond, s'y superpose, mais ne veut pas faire corps avec lui. C'est une "parure cossue", sans éclat inutile, mais riche. Dans le cadre etroit, tout s'entasse, un peu mêlé, mais selon de grandes lignes bien lisibles qui conduisent du fond de la vie campagnarde, par les arbres et les plantes, à la vie libre de l'air »[19]. En 2022, le déplacement de l'institut (rebaptisé entretemps AgroParisTech) de Paris à Saclay entraînera le transfert des fresques dans les réserves du Fonds national d'art contemporain.

Jacques Lestrille et les arts décoratifs

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Manufacture nationale de Sèvres

Une certaine proximité entre la peinture de Jacques Lestrille et la composition de la tapisserie est déjà remarquée dès 1937 par le critique d'art Raymond Lécuyer : « Lestrille fait de la tapisserie » observe ce dernier lors de sa visite du Salon d'Automne[20]. Une courte collaboration (décors de vases) à la Manufacture nationale de Sèvres est centrée sur l'année 1950 : deux dessins gouachés portant témoignage de cette relation sont conservés par l'établissement[21]. Dans les années qui suivent, il s'investit réellement dans la conception de cartons de tapisseries pour la Mobilier national[22],[23].

Jacques Lestrille épouse Pauline Mintzker (1925-1993) le 27 février 1950 à Paris[3]. De cette union naîtra un fils, Marc-Henri Lestrille (1952-2004).

Mort et postérité

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Jacques Lestrille meurt le 4 juin 1985 et est inhumé au cimetière de Passy, dans la 10e division[24].

C'est aussi à lui que pensent René Huyghe et Jean Rudel lorsqu'ils évoquent ces artistes qui « parurent d'abord les continuateurs des peintres nabis, dont l'idéal redonnait à l'homme une valeur permanente, à côté de celle de la nature, parvenant à fixer la réalité à travers les jeux de la lumière, devenue aussi image de la spiritualité, soulignant l'action, creusant des perspectives, animant les visages et révélant l'âme. Quelques peintres reprirent à leur compte ces points de vue, au cours d'une expérience qui, entre les deux guerres, n'avait pas son orthodoxie, tels Raymond Legueult, Maurice Brianchon, Jules Cavaillès, Roger Limouse et Jacques Lestrille qui ajoutent à la vision de Pierre Bonnard une exquisité nouvelle. Ce sont des maîtres sans doctrine qui, contrairement à la majorité des peintres contemporains peignant à partir d'idées, d’a priori, œuvrent en regardant – comme les impressionnistes »[25].

Expositions

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Expositions personnelles

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Galerie Simonson, Paris, 1930, 1932, 1934

Expositions collectives

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Affiche du Salon d'Automne, 1937.

Réception critique

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  • « Une toile de Jacques Lestrille représente deux enfants perdus dans un champ de fleurs : êtres, animaux, nature, tout se place pour ce peintre au même plan, un plan confus, mêlé en apparence, le premier plan. Une fraternité unit toute la création, et son coloris, où la dominante est le brun, en lie toutes les parties dans une couleur de terre. Mais rien dans Lestrille n'est vulgaire ni grossier, son dessin révèle au contraire une élégance native, une distinction originelle ; elle se combine avec un sérieux, une gravité qui cache mal une inquiétude distante, un souci profond, tenace des problèmes vitaux. En cela, Lestrille, héritier assombri de Pierre Bonnard, se distingue de quelques uns de ses camarades avec qui il faisait équipe et qui montrent une puissante joie présente de vivre, tandis que lui semble plutôt méditer sur la présence emprisonnante de la vie. Sa façon de traiter un tableau dans l'esprit d'une fresque - et sa manière concourt à cette impression - confirme les désirs et les recherches de Lestrille. » - Michel Florisoone[28]
  • « Type idéal de l'artiste sincère et discret, Jacques Lestrille n'offre pas à ses biographes les beaux thèmes romanesques des peintres maudits si en faveur dans l'histoire de l'art moderne. Il ne se distingue ni par ses vices, ni par ses scandales, ni même par une vocation contrariée, car non seulement il n'a trouvé autour de lui aucune hostilité contre son désir d'être artiste, aucune réticence, mais au contraire un milieu favorable à ses aspirations et à sa vocation. Il appartient à une famille de bonne bourgeoise cultivée et raffinée, ayant le respect des arts… Il s'inscrit donc dans cette génération venue un peu trop tard pour participer aux grands mouvements révolutionnaires du début du siècle. Lorsque, ayant dépassé l'adolescence, il prend une plus lucide conscience des problèmes artistiques, les temps héroïques sont terminés ; les hommes de son âge sont les témoins d'un accomplissement, d'une mise en place de ce qui fut scandaleux. Le fauvisme et le cubisme relèvent déjà du passé, un passé tout proche, riche de leçons extrêmement vivantes, mais qui sont déjà des leçons… Les jeunes sont obligés de se tourner vers autre chose, vers une autre expérience qui n'ignore pas celles qui viennent de se dérouler mais qui ne cherche pas à les imiter. » - Raymond Cogniat[1]
  • « Aimable artiste de cette génération qui prétendit, vers les années 1930, à une crise de l'art révolutionnaire et revint à une conception humaniste dépourvue de toute ambition. » - Dictionnaire Bénézit[45]

Collections publiques

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Prix et distinctions

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  • Prix Blumenthal 1938[1].

Références

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  1. a b c d e f g h i et j Raymond Cogniat, Jacques Lestrille, éditions de la Galerie André Weil, Paris, 1964.
  2. Edmond Delaire, Louis David de Pénanrun et François Roux, Les architectes élèves de l'École des beaux-arts, 1793-1907, Librairie de la construction moderne, Paris, 1907, p. 327
  3. a et b Hôtel de ville d'Ault, registres d'état civil, acte de naissance n°29 du 27 août 1904.
  4. Jean Monborgne, Histoire du Bourg d'Ault, éditions Bertout, Luneray, 1989, p. 429.
  5. Les monuments aux morts 1914-1918 de la Somme, Le monument aux morts d'Ault, mars 2017
  6. Paul Landowski, Journal, cahier n°9, 23 janvier 1921
  7. Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains
  8. a b et c 35e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, février 1924, n°1879 et 1880, p. 147
  9. Sous la direction de René Huyghe de l'Académie française, L'art et l'homme, Librairie Larousse, Paris, 1961, vol.3, p. 453.
  10. a et b Daniel Le Meste, Billet du comité, Association des amis de Marius Borgeaud, mars 2014, p. 3
  11. a et b 36e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, mars 1925, n°2085 et 2086, p. 197
  12. a et b 41e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, janvier 1930, n°2582 et 2583 p. 220
  13. a et b 42e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, janvier 1931, n°2461 et 2462 p. 194
  14. a et b 43e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, janvier 1932, n°2381 et 2382 p. 193
  15. a et b 45e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, février 1934, n°2725 et 2726 p. 197
  16. René Huyghe, « Les tendances actuelles », L'Amour de l'art, janvier 1934, p. 356
  17. a et b « L'Institut national agronomique », Paris-bise-art, juin 2017
  18. a et b « Que deviennent les objets et papiers de mémoire du 16, rue Claude-Bernard ? », AgroParisTech Alumni, 15 novembre 2023
  19. Michel Florisoone, « La peinture contemporaine et les problèmes de la décoration murale », L'Amour de l'art, février 1938, pp. 167-174
  20. a et b Raymond Lécuyer, « Le Salon d'Automne », Le Figaro, 29 octobre 1937.
  21. a et b Sevres Manufacture et Musée nationaux, Jacques Lestrille dans les collections
  22. a et b Mobilier national, "La Terre" dans les collections
  23. a et b Mobilier national, "L'éveil de la nature" dans les collections
  24. « Cimetière de Passy, la 10e division », Landru cimetières
  25. Refé Huyghe de l'Académie française et Jean Rudel, L'art et le mone moderne, Larousse, 1970, vol.2, pp. 128-129.
  26. « Les expositions - Galerie Simonson », L'art et les artistes, mars 1930, p. 357
  27. « Les expositions - Quelques bonnes expositions particulières… », L'art et les artistes, mars 1932, pp. 285-286
  28. a et b Michel Florissoone, « Les expositions : Jacques Lestrille, Galeries J. Allard », L'Amour de l'art, janvier 1936, p. 80.
  29. R.-J., « Quelques petites expositions », Le Monde, 19 avril 1947.
  30. 40e Salon des indépendants, catalogue de l'exposition, Grand Palais, Paris, janvier 1929, n°2707 et 2708 p. 223
  31. « L'actualité et la curiosité - À travers le Salon des indépendants », L'art et les artistes, janvier 1933, p. 172
  32. Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Art & Images du Monde, 1992, p. 306.
  33. Salon d'automne, catalogue de l'exposition, pavillon des Salons de l'esplanade des Invalides, Paris, octobre 1936, n°825-828 p. 159
  34. André Dennery, « Sur quelques exposants du Salon d'Automne », L'Amour de l'art, 1937, p. 308
  35. Salon d'automne, catalogue de l'exposition, palais de Chaillot, Paris, novembre 1938, n°951-952 p. 176
  36. Salon d'automne, catalogue de l'exposition, Musée des Beaux-Arts de la ville de Paris, septembre 1949, n°893-894 p. 55
  37. M. F., « L'art et la curiosité - À travers le Salon des Tuileries », L'art et les artistes, mars 1932, p. 352
  38. Raymond Bouyer, « Les expositions », La Revue de l'art ancien et moderne, janvier 1934, p. 203
  39. « L'actualité : les expositions », L'art et les artistes, mars 1936, p. 214
  40. Rosendo Lozano Moya, Irrupció de les avantguardes a Sabadell (1939-1959), Université de Barcelone, 2003, pp. 305-306
  41. a et b Musée d'art Ateneum, Jacques Lestrille dans les collections
  42. René Huyghe, Pittore francese d'oggi, ville de Turin, 1947.
  43. Luca Pietro Nicoletti, Parigi a Torino - Storia delle mostre "Pittori d'oggi - Francia-Italia", thèse de doctorat, Universita degli studi di Milano, 2011-2012, pp. 21-22
  44. « À travers les galeries », Les Lettres françaises, 13 décembre 1951, p. 9.
  45. Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.8, p. 575.
  46. Centre national des arts plastiques, "Les étangs de la reine Blanche dans la forêt de Chantilly" dans les collections
  47. Centre national des arts plastiques, "Automne" dans les collections
  48. Centre national des arts plastiques, "Le temps des nids" dans les collections
  49. Le Beffroi Musée Boucher-de-Perthes - Manessier, Abbeville, Jacques Lestrille dans les collections
  50. Centre national des arts plastiques, "Bourrasque d'automne dans les collections
  51. Centre national des arts plastiques, "Histoire naturelle" dans les collections
  52. Centre national des arts plastiques, "Fleurs" dans les collections
  53. Musée Carnavalet, Jacques Lestrille dans les collections
  54. Musée d'art moderne de la ville de Paris, "Composition" dans les collections
  55. Musée d'art moderne de la ville de Paris, "vue sur le Cap Martin" dans les collections
  56. Musée national d'art moderne, Jacques Lestrille dans les collections
  57. Fonds national d'art contemporain, "Cour de ferme" dans les collections
  58. « Dans les musées : les nouvelles acquisitions du Musée du Luxembourg », L'art et les artistes, janvier 1933, p. 175
  59. Fonds national d'art contemporain, "Paysage" dans les collections
  60. Fonds national d'art contemporain, "Le verger" et "La ferme" dans les collections
  61. Fonds national d'art contemporain, "Le verger" dans les collections
  62. Fonds national d'art contemporain, "La ferme" dans les collections
  63. Fonds national d'art contemporain, "Nature morte aux fraises" dans les collections
  64. Fonds national d'art contemporain, "Nature morte aux asperges" dans les collections
  65. Fonds national d'art contemporain, "Le jardin au lys" dans les collections
  66. Fonds national d'art contemporain, "Dahlias rouges" dans les collections
  67. Fonds national des arts plastiques, "L'amour" dans les collections
  68. Fonds national d'art contemporain, "Rêve d'enfant" dans les collections
  69. Fonds national d'art contemporain, "Le bouquet blanc" dans les collections
  70. Fonds national d'art contemporain, "Oiseaux chantant dans deux arbres en fleurs" dans les collections
  71. Musée d'Art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole, Jacques Lestrille dans les collections
  72. Centre national des arts plastiques, "Fleurs" dans les collections
  73. Centre national des arts plastiques, "Bouquet de fleurs" dans les collections
  74. Centre national des arts plastiques, "Coup de vent" dans les collections
  75. Centre national des arts plastiques, "Cour de ferme" dans les collections

Bibliographie

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  • Artistas franceses contemporáneos - Pintura, escultura, ilustracion del libro, éditions de l'Institut français de Barcelone, 1945.
  • René Huyghe, Pittore francese d'oggi, éditions de la ville de Turin, 1947.
  • George Besson, « Lestrille », Les Lettres françaises, n°662, 14 mars 1957, p. 11.
  • Sous la direction de René Huyghe de l'Académie française, L'art et l'homme, Librairie Larousse, Paris, vol.3; 1961.
  • Raymond Cogniat, Jacques Lestrille, éditions Galerie André Weil, Paris, 1964.
  • René Huyghe de l'Académie française et Jean Rudel, L'art et le monde moderne, vol.2, Larousse, 1970.
  • Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'Automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde éditeur d'art, Paris, 1992.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, vol.8, Gründ, 1999.

Liens externes

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