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Le Mesnil-Durdent

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Le Mesnil-Durdent
Le Mesnil-Durdent
Église Saint-Aubin.
Blason de Le Mesnil-Durdent
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC de la Côte d'Albâtre
Maire
Mandat
Bertrand Carpentier
2020-2026
Code postal 76460
Code commune 76428
Démographie
Gentilé Mesnillots, Mesnillotes
Population
municipale
16 hab. (2021 en évolution de −11,11 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 01″ nord, 0° 46′ 24″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 92 m
Superficie 1,32 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Valery-en-Caux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Valery-en-Caux
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Le Mesnil-Durdent
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Le Mesnil-Durdent

Le Mesnil-Durdent est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

C'est, en 2019, la plus petite commune de Normandie avec ses 18 habitants[1] à égalité avec la commune de Taillepied ( pour plus d'informations voir site insee)

Ses habitants sont les Mesnillots[1].

Géographie

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Description

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Le Mesnil-Durdent est un village rural du pays de Caux situé à 8 kilomètres au sud de Saint-Valery-en-Caux, et à 11 kilomètres à l’est de Cany-Barville[1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Angiens, Ermenouville, Gueutteville-les-Grès, Pleine-Sève et Sainte-Colombe.

Communes limitrophes de Le Mesnil-Durdent
Gueutteville-les-Grès Angiens
Pleine-Sève Le Mesnil-Durdent
Sainte-Colombe Ermenouville

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 936 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Ectot-lès-Baons à 19 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 905,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Le Mesnil-Durdent est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Valery-en-Caux, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,5 %), prairies (15,5 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 25, alors qu'il était de 26 en 2013 et de 24 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 36 % étaient des résidences principales, 56 % des résidences secondaires et 8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Mesnil-Durdent en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (56 %) très nettement supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,5 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement au Le Mesnil-Durdent en 2018.
Typologie Le Mesnil-Durdent[I 2] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 36 88 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 56 3,9 9,7
Logements vacants (en %) 8 8,1 8,2

Le nom de la localité est attesté sous la formede Maisnillo Duredent en 1198[13].

Mesnil est un ancien nom commun tombé en désuétude et qui se retrouve aujourd'hui dans de nombreux toponymes. Mesnil désignait jusqu'à l'Ancien Régime un domaine rural.

Très ancienne paroisse, dont le seigneur-patron était, en 1240, Richard Duredent, qui avait aussi un fief à Ermenouville, village voisin. Au XVIe siècle, les Raulin de Réalcamp possèdent la seigneurie, qui passe par mariage, aux Le Picard, seigneurs-patrons de saint Martin de Veules, jusqu'à la Révolution.

Époque contemporaine

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En 1822, se pose la question du rattachement de la commune, jugée trop petite, à une autre commune. Les habitants préfèrent le Mesnil-Geffroy, plutôt que Pleine-Sève, mais finalement, le Mesnil-Geffroy est lui-même rattaché à Ermenouville, par Louis XVIII, le et le Mesnil-Durdent reste une commune indépendante.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Saint-Valery-en-Caux[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Saint-Valery-en-Caux porté de 14 à 77 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

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Le Mesnil-Durdent est membre fondateur de la communauté de communes de la Côte d'Albâtre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé initialement en 2001 par transformation de l'ancien district de la région de Paluel et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[15]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1848   Pascal Angot    
avant 1995[16]   Jean-Claude Sellier    
         
2001 2008 Michel Diologent    
mars 2008 En cours
(au 6 juin 2023)
Bertrand Carpentier   Agriculteur
Réélu pour le mandat 2020-2026[17]

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

En 2021, la commune comptait 16 habitants[Note 2], en évolution de −11,11 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
110120124139147149107160154
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
159145158150157170166175107
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
129114112827665634354
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
453427202027232219
2018 2021 - - - - - - -
1816-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2018, le village est, avec ses 18 habitants, la plus petite commune de Normandie, suivie par Taillepied dans la Manche (23 habitants) et Bresolettes dans l’Orne (24)[1].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Le Jardin des Amouhoques[21] : il s'agit d'un jardin conservatoire de la flore sauvage du pays de Caux conçu dans l'esprit d'un jardin botanique où chaque plante est étiquetée : on y trouve alors le nom scientifique et le nom populaire, la période de floraison, etc. Une aquarelle illustre chaque étiquette afin de faciliter l'identification des plantes.
    Le long d’un parcours de 1,5 km qui sillonne le village, le jardin botanique présente les plantes sauvages du pays de Caux (plus de 300 espèces répertoriées)[1].
  • L'église en grès est dédiée à saint Aubin.
    Cependant, depuis très longtemps, un pèlerinage avait lieu chaque année en juin en l'honneur de saint Onuphre.
    Reconstruite au XVIe siècle et agrandie au XVIIIe siècle, cette petite église est "dans un paysage champêtre de haies et d'arbres de haute futaie", selon les mots d'un écrivain[Qui ?]. La chapelle Nord est la partie la plus ancienne (1528). Petite cloche, dite "tinterelle", qu'on sonne toujours à la main. Fonts baptismaux du XVIe siècle. Blason de la famille Langlois de Breteuil, sur un mur de la nef (famille alliée aux Le Picard, derniers seigneurs). Poutre de gloire du XVIIe siècle (inscrite "Monument Historique"). Maître-autel et retable du XVIIIe siècle. Statue de saint Onuphre (classée "monument historique"), qu'un archevêque de Rouen trouvait trop dénudée, en 1714[1].

Personnalités liées à la commune

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Étienne de Raulin, Comte Étienne de Raulin de Gueutteville de Realcamp, dit "Raulin-Laboureur", ingénieur-agricole, colonel dans la Résistance (chevalier de la Légion d'honneur et Rosette de la Résistance), député à l'Assemblée constituante de 1945, était un descendant de la famille seigneuriale du Mesnil-Durdent[réf. nécessaire].

Héraldique

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Blason de Le Mesnil-Durdent Blason
D’argent à trois têtes de loup de sable dentées de gueules, celle de la pointe plus grande, au chef d’azur chargé d’une fleur de camomille sauvage au naturel accompagnée de deux besants, d’argent à dextre et d’or à senestre.
Détails
Création Denis Joulain, validée par délibération municipale le 24 octobre 2015.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b c d e et f François Manoury, « Avec 18 habitants, Le Mesnil-Durdent est la plus petite commune de Normandie ! : Démographie. Avec dix-huit habitants, selon le dernier recensement de l’Insee, Le Mesnil-Durdentest la plus petite commune de Normandie. Rencontre avec son maire, Bertrand Carpentier », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Le Mesnil-Durdent et Ectot-lès-Baons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Valery-en-Caux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, tome 3, Genève, Droz, 1998, p. 1666.
  14. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. « Les maires de Mesnil-Durdent (le) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  16. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 5751.
  17. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. Jardin des Amouhoques