Aller au contenu

Noirétable

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Noirétable
Noirétable
Église de l'Assomption-de-la-Vierge
Blason de Noirétable
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Montbrison
Intercommunalité Loire Forez Agglomération
Maire
Mandat
Julien Degout
2021-2026
Code postal 42440
Code commune 42159
Démographie
Gentilé Nétrablais, Nétrablaise[1]
Population
municipale
1 582 hab. (2021 en évolution de −1,8 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 49′ 05″ nord, 3° 45′ 56″ est
Altitude Min. 656 m
Max. 1 351 m
Superficie 40,34 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boën-sur-Lignon
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Noirétable
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Noirétable
Géolocalisation sur la carte : Loire
Voir sur la carte topographique de la Loire
Noirétable
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Noirétable
Liens
Site web noiretable.fr

Noirétable est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes, et faisant partie de Loire Forez Agglomération.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Localisation du village et des communes aux alentours

Noirétable fait partie du Forez, dans sa partie montagneuse. La commune est située à 24 kilomètres à l'est de Thiers[2], à 43 kilomètres au nord-ouest de Montbrison[3], à 5 kilomètres au sud de la sortie 4 de l'autoroute A72 reliant Clermont-Ferrand à Saint-Étienne.
Noirétable est traversé par la D1089, ancienne N89 Lyon-Bordeaux, sur laquelle il est situé entre Thiers (à l'ouest) et Feurs[4] (44 km à l'est-sud-est[5]).

L'Anzon, affluent du Lignon du Forez et sous-affluent de la Loire, prend source dans le sud de la commune[4].

Depuis le Noirétable fait partie du parc naturel régional Livradois-Forez[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 017 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Col de la Loge_sapc », sur la commune de La Chamba à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 7,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 273,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Noirétable est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,2 %), prairies (31,9 %), zones urbanisées (3,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), terres arables (0,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Attestée sous la forme Nigro Stapulo en 1095, Nigro Stabulo en 1130[18]. Formation sur le latin Nigro qui signifie noir et de Stabulum qui désigne une étable, une écurie et par extension une auberge, un gite[18].

Noirétable est une des communes du département de la Loire à faire partie de l'aire linguistique de l'auvergnat et est nommée Neitrable dans cette langue[19]'[20]. Non loin à l'est, les communes parlent traditionnellement l'arpitan (francoprovençal). Noirétable s'orthographie alors Nêrtrâblo en arpitan forézien[21].

XIe siècle

[modifier | modifier le code]

Les moines de Cluny s'installent à Noirétable vers la fin du XIe siècle[22] : la première mention écrite connue du prieuré bénédictin de Saint-Bonnet est de 1096 - l'année où Urbain II prêche la première croisade à Clermont-Ferrand. Son hostellerie de la Forêt Noire donne son nom à Nerestable, situé sur une importante voie d'accès vers les grands ports du sud[23].

XIIIe siècle

[modifier | modifier le code]

L'Ermitage est installé dans la prairie près d'une fontaine miraculeuse ; son pèlerinage est attesté en 1288. Il attire les pèlerins d'Auvergne - notamment de Thiers et de la vallée de la Dore. Ses chapelains viennent de Clermont. Au fil des siècles, il relève des sulspiciens, bénédictins, franciscains, pères de l'union du Saint-Sacrement, missionnaires de la Salette à partir de 1889[24].

XVIe siècle

[modifier | modifier le code]

Le prieuré est supprimé en 1507 peu après l'effondrement de son clocher ; ses bâtiments appartiennent alors aux moniales du couvent de Laveine[23].

Noirétable voit s'installer un des premiers relais des grandes routes de France, avec la première mention d'un maître de poste en 1545 : "Honorable de Fougerolles" y est portier du Roi[23]. Le relais est situé à 872 m d'altitude au col des monts du Forez, à la limite des généralités d'Auvergne et du Lyonnais. Montaigne y passe le 15 novembre 1581 à son retour de Rome vers sa mairie de Bordeaux[24]. La route Lyon-Bordeaux, qui y passe, est aménagée juste après celle de Paris-Lyon-Turin[23].

XVIIe siècle

[modifier | modifier le code]

Un monastère est créé au début du règne de Louis XIV (1643-1715), dans l'esprit du concile de Trente (1545-1563) : il est aménagé en 1656-1659 comme Maison Royale pour évangéliser les paysans montagnards ; le roi le dote de 126 arpents des Bois de l'Ermitage. Habité à l'origine par 16 prêtres et jusqu'à 30 à son apogée, c'est aussi un séminaire de formation et réputé pour ses missionnaires jusqu'en Haute Auvergne (Salers) et dans le Velay[24].

XVIIIe siècle

[modifier | modifier le code]

En 1700 - au milieu du petit âge glaciaire et peu après la grande famine de 1693-1694 -, la paroisse compte 800 habitants vivant principalement dans les hameaux qui entourent un petit village ; le très populaire Mandrin, qui cible les fermiers généraux collecteurs de taxes, officie à Noirétable en 1754. Le nombre d'habitants remonte : 1 500 habitants en 1770, 1 970 habitants en 1801, plus de 2 000 habitants en 1821[25].

Un couvent est bâti en 1745-1748, agrandi en 1898-1900, rebâti après l'incendie de 1951[24].

La D1089 qui traverse la ville[4] est ouverte en 1770 par l'abbé Terray, de Boën, ministre d'État sous Louis XV (règne 1715-1774) ; elle est nommée nationale 83 jusque après 1947[26].

La chapelle des Pénitents, ancienne église du prieuré, est vendue en 1791 à la municipalité et transformée en 'maison commune' ; à terme, elle devient la mairie[26].

Gare de Noiretable.

XIXe siècle

[modifier | modifier le code]

L'oratoire de la Fontaine date de 1870-1878[24].

En 1876 est inaugurée la gare du PLM, avec la gare de la station « Noirétable Station Climatique » ; en 1950 elle vend 12 000 billets par an et le transit de marchandises y est important[27].

XXe siècle

[modifier | modifier le code]

L'église est construite en 1931-1936[24].

Le , vers 19 h 20, le Vickers 724 Viscount F-BMCH assurant le vol 696 Air Inter, entre Lyon-Bron et Clermont-Ferrand-Aulnat, s'écrase sur le pic Picot, dans les bois de la Faye[28] à environ 1 000 m d'altitude[28] et à un peu plus de 3 km du village de Noirétable. Arrivant de l'aéroport de Lyon-Bron, l'avion préparait son approche de l'aéroport de Clermont-Ferrand, situé à une quarantaine de kilomètres, dans des conditions météorologiques difficiles. L'accident fait 60 victimes parmi les 68 personnes à bord. L'accident s'est produit sur la commune voisine de Viscomtat, dans le département du Puy-de-Dôme, juste à la limite de la commune de Noirétable[28] mais l'accès des secours, dans la nuit et sous la pluie, et l'évacuation des blessés se sont faits par Noirétable dont le réfectoire du collège fut transformé en chapelle ardente, donnant à l'accident son nom de « crash de Noirétable ». C'est l'accident aérien le plus meurtrier dans la région Auvergne[29].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1791 Etienne Boulet    
1791 12 Août 1793 Mathieu Janvier    
Août 1793 Juillet 1795 Pierre Grangeneuve    
Juillet 1795 Juin 1800 Mathieu Charbonnier    
9 juin 1800 1804 Jean-Baptiste Perdrigeon   Notaire
1804 1807 Henri Grangeneuve    
1807   Guillaume Vernet    
1904 1926 (M.) Just De Villechaize    
1926 1944 (M.) Louis Doyon    
1944 1947 (M.) Louis Duboisset    
1947 1960 (M.) Jean Riol    
1960 1965 (M.) Jean Charbonnier    
1965 juin 1995 (M.) Claude Mont UDF Sénateur
juin 1995 décembre 2021 (M.) Denis Tamain[30] DVG Éleveur de brebis et de moutons
décembre 2021 En cours (M.) Julien Degout[31]   Commerçant

[32],[33]

Noirétable faisait partie de la communauté de communes des Montagnes du Haut Forez de 1996 à 2016 puis a intégré Loire Forez Agglomération.

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 1 582 habitants[Note 1], en évolution de −1,8 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5001 8871 9372 0271 9141 9021 7711 9861 968
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9541 8961 8882 0442 3592 0242 0652 1192 052
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2142 1552 1502 0421 9781 9481 8581 9031 668
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 7931 8501 8731 8381 7191 6371 6941 6471 597
2021 - - - - - - - -
1 582--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Noirétable appartient à l'entité des Bois Noirs (secteur couvrant une partie de l'Allier, de la Loire et du Puy-de-Dôme)

  • musée sur l'histoire de Noirétable.
  • Église Notre-Dame-de-l'Hermitage : au sud de Noirétable, à 1 110 m d'altitude.
  • Église de l'Assomption-de-la-Vierge de Noirétable.
  • Les forges foréziennes : forge et finition d'articles de coutellerie.
  • Le tissage au fil d'or - Pays des Grenadières XIXe & XXe siècle
  • CFPPA, dont la spécialité est la traction animale avec cheval avec débardage[38]
Les fraises du Phaux.
  • le plan d'eau.
  • le lavoir de la Conche.
  • le casino.
  • La ferme du Phaux.
  • Château de Noiretable, XIXe siècle - 31 pièces, 22 chambres, parc de 18 ha

Au mois de mai a lieu le festival les Troncs Sonnés, regroupant des artistes, et des artisans autour du bois[39].

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Noirétable se blasonnent ainsi :

D'azur à la montagne de trois coupeaux de sable, chacun sommé d'un sapin de sinople.
Devise : « nigrum stabulum ». Ces armes sont fautives (sable et sinople sur azur).

Langue locale

[modifier | modifier le code]

Noirétable, s'inscrivant historiquement dans le système linguistique de l'occitan auvergnat influencé par le francoprovençal fait partie du sous-dialecte du parler thiernois et en forme sa limite est[40].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
Paysage de montagne avec lac, Théodore Levigne
  • Théodore Levigne (1848-1912), artiste peintre né à Noirétable, il vécut et travailla à Lyon, Paris, et est enterré à Saint-Romain-au-Mont-d'Or (Rhône) sans avoir eu de descendance.
  • Paul Veysseyre (1896-1963), architecte français en Indochine et Chine, est né à Noirétable. Il a notamment construit le cercle sportif français et le palais du gouverneur de Shanghaï.
  • Benezet Vidal, auteur de langue occitane, a résidé et écrit à Noirétable[41].
  • Henri Jourdan (1901-1993) : ancien normalien, directeur de l'Institut français de Bonn puis de Londres. Henri Jourdan a obtenu la médaille des Justes pour ses activités de résistance en aidant à fuir de jeunes étudiants juifs allemands. Il a été le traducteur en français de Ernst Curtius, auteur de Balzac[42].
  • Claude Mont (1913-2001), sénateur et député de la Loire, maire de Noirétable de 1965 à 1995.
  • François Eugène Manissol (1858-1884) : Natif de Saint-Romain-d’Urfé. Il a étudié à l’école de Les Salles puis à l’école des frères chrétiens de Noirétable puis au prieuré de Saint-Jodard, près de Roanne. Il est ordonné prêtre puis part le dans le Tonkin occidental. Il y est massacré le à Ban Pong (province de Thanh-Hoa).(Voir J.G, « M. Eugène Manissol », in Martyrs confesseurs et serviteurs de la foi, Bourg, imprimerie de J.M. Villefranche, 1892, 249-257).

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. https://www.habitants.fr/loire-42
  2. « Distance par la route entre Noirétable et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  3. « Distance par la route entre Noirétable et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  4. a b et c « Noirétable, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées.
  5. « Noirétable, carte », sur google.fr/maps (consulté en ).
  6. Décret n° 2011-874 du 25 juillet 2011 portant classement du parc naturel régional du Livradois-Forez (régions Auvergne et Rhône-Alpes)
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Noirétable et La Chamba », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Col de la Loge_sapc », sur la commune de La Chamba - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Col de la Loge_sapc », sur la commune de La Chamba - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  14. Insee, « Métadonnées de la commune de Noirétable ».
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France - Volume 2, Page 1360 Lire en ligne
  19. (oc) Josiane Guillot, Tiène Codert et Daniel Brugès, Parlem ! Vai-i qu'as paur ! : Revista trimestrala auvernhata, t. 18 : Los iganauds en Auvèrnha, Clermont-Ferrand / Thiers, Institut d'études occitanes, , « lien brisé »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] sur macarel.net.
  20. Jean Roux, L'auvergnat de poche, Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne), Assimil, coll. « Assimil évasion », , 246 pages (ISBN 978-2-7005-0319-7), p. 96
  21. « Le patois forézien », sur patois.vivant.free.fr (consulté en ).
  22. [Châtelain 2000] Paul Châtelain (éditeur), « Le quartier du Breuil à la fin du XVIIIe siècle » (texte par l'abbé J.-M. Gouttefangeas du 4 novembre 1947), Bulletin municipal de Noirétable,‎ , p. 1-11 (lire en ligne [PDF] sur noiretable.fr, consulté en ), p. 2.
  23. a b c et d Châtelain 2000, p. 4.
  24. a b c d e et f Châtelain 2000, p. 5.
  25. Châtelain 2000, p. 7.
  26. a et b Châtelain 2000, p. 1.
  27. Châtelain 2000, p. 9.
  28. a b et c Rapport de la commission d'enquête, Journal Officiel, , 1443 p. (lire en ligne [PDF]).
  29. La Montagne, 25 octobre 2012. FR3 Auvergne.
  30. « NOIRETABLE », sur le site de l'association des maires de France (consulté le ).
  31. « Une page de 26 ans de la vie de la commune s’est tournée », sur Leprogres.fr (consulté le ).
  32. Jean-Paul Mazioux, Le Pays de Noirétable, Essai d'histoire locale, , 151 p.
  33. Adam Compigne, Histoire Documentaire du Pays de Noirétable, , 322 p.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Nos enseignements / Travail du sol par traction animale », Lycée de Chervé - Noirétable(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur eplea-roanne.educagri.fr (consulté en ). « Guide des formations qualifiantes & adultes 2018 » [PDF], sur aura.chambres-agriculture.fr (consulté en ), p. 4.
  39. Festival les Troncs Sonnés, Actu Environnement, 2010
  40. Dany Hadjadj, Pays de Thiers: le regard et la mémoire, Presses Univ Blaise Pascal, (ISBN 978-2-84516-116-0, lire en ligne), p. 251
  41. Jean Roux, De la renaissance d'une langue occitane littéraire en Auvergne au début du XXe siècle, perspectives et avenir (Thèse en études occitanes sous la direction d'Hervé Lieutard), Montpellier, Université Paul-Valéry, soutenue en 2020 (lire en ligne), p. 183.
  42. Norbert Verdier, « Henri Jourdan (1901-1993) intellectuel nétrablais contre Hitler », Bulletin du cercle d’études sur la Seconde Guerre mondiale, no 34,‎ , p. 26-30 (résumé, lire en ligne, consulté le ).