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Pierre-Marie-Jean Cousin de Courchamps

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Pierre-Marie-Jean Cousin de Courchamps
Description de cette image, également commentée ci-après
«il passait presque tout son temps au lit, affublé d'un costume tenant de la concierge et de la douairière, et finissant peut-être par se croire réincarné dans le corps de la marquise de Créquy».

Cousen de Courchamps

Alias
Maurice Cousin
Naissance
Saint Servan-sur-Mer
Décès (à 66 ans)
Paris - Sainte-Périne
Nationalité français
Auteur
Langue d’écriture français

Œuvres principales

Néo-physiologie du gout, Mémoires de la Marquise de Créquy

Pierre-Marie-Jean Cousin de Courchamps (1783-1849) dit Maurice Cousin comte de Courchamps est un écrivain français. Il était un nostalgique de l'ancien régime, généalogiste, amateur d'histoire et de gastronomie[1]. Il est l'auteur d'une Néo-physiologie du gout par ordre alphabétique, ou Dictionnaire général de la cuisine française ancienne et moderne et des Mémoires de la Marquise de Créquy (1839) apocryphes qui connurent le succès.

Pseudonymes, Identité

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Dans le Journal officiel Liste générale des pensionnaires de l'ancienne liste civile (1833) son nom est orthographié Jean-Marie Cousen de Courchamps, homme de lettre[2].

La notice de la BnF donne les noms de plume Pierre-Marie-Jean Cousin de Courchamps (1783-1849), Maurice de Courchamps (1783-1849), Comte de Courchamps (1783-1849), Maurice Cousin Courchamps (comte de, 1783-1849), Pierre-Marie-Jean Cousin (1783-1849), Maurice Cousin (1783-1849)[3].

Paul Robert écrit (1896) «Ces Mémoires sont attribués par l'auteur des Supercheries littéraires, à un prétendu comte Cousin de Courchamps, dont le véritable nom était Causen (de Saint-Malo)» [4]. Le Larousse Universel (1866) parle d'un comte de Chorchams ou de Courchamps, qui, de son vrai nom, s'appelait Cousen[5]. Le Bulletin de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine (1928) parle de «Causin, qui se faisait appeler le comte de Courval, connu aussi sous le nom de Cousen de Courchamps»[6]. En 1828, il se présentait comme Marius Cousin O'Rourke de Courchamps[7]. Alexandre Mouttet (1876) dans sa bibliographie prétend qu'«Il n'était ni comte, ni de Courchamps. Né à Saint-Servan, près de Saint-Malo. Son véritable nom était Cousen. Très-jeune, il avait été domestique [ ] il voyagea, contracta l'habitude de se travestir en femme, prit ou vola de vieux papiers de famille, et, un beau jour, sous la Restauration, on eut un comte de plus»[8].

Pourtant ces identités ne sont pas imaginaires, en atteste une généalogie malouine. Jacques Malachie O'Rourke (1620-1645) avait épousé en 1644 Bonne de Cousen de Courchamps[9] fille unique de Pierre Etienne de Cousen, chevalier, seigneur et baron de Courchamps et de Marguerite Louise de Créquy qui avait obtenu des lettres patentes royales (1644) lui permettant de porter les armes et le nom de Cousen[7]. Alfred Marquiset donne son acte de naissance «Pierre-Marie-Jean Cousin, fils légitime du sieur Pierre-Charles Cousin de Courchamps [dit Marius de Courchamps], et de Dame Françoise-Yvonne Boulay, né le 25 avril 1783, a été baptisé le même jour par moi soussigné. Parrain : le sieur Jean Chatenet; marraine : Dame Marie-Guillemette Cousin, tante de l'enfant; le père présent qui signe»[10].

Naissance à Saint Servan-sur-Mer le 25 avril 1783, décès à Paris Institution Sainte-Périne[11] le 30 décembre[12] 1849[13].

On doit sa biographie à Alfred Marquiset dans Romieu et Courchamps (1913). Courchamps aurait eu une mémoire étonnante et recherchait les titres nobiliaires (il a obtenu le 28 octobre 1829 le grade de chevalier de la Légion d'honneur, pour services exceptionnels), il était bourboniste, rédacteur au Conservateur (1818-1820) qui soutenait la religion, le roi, la liberté, la Charte et les honnêtes gens...[14]. Son côté réactionnaire avec une nostalgie de l'ancien régime («quand il parlait. on croyait entendre tout le XVIIIe siècle orné de ses palsambleu !»[15]) se doublait d'affabulations et aussi d'une fine fourchette passionné de gastronomie et de cuisine. Il était enfin journaliste, c'est dans l'Europe littéraire que les Mémoire de la Marquise de Créquy paraissent en feuilleton (1833)[16]. La parution en plusieurs volumes successifs est un succès mais rapidement ils sont identifiés comme un faux construit sur une foule d'anecdotes et de détails qu'il avait appris dans la fréquentation de l'ancienne aristocratie[17].

Il aurait lu à la bibliothéque des Néothermes où il trouvait refuge L'histoire de la Princesse de Monte Salerno, de L'histoire de Lopez Suarez du Comte Potocki[18] plusieurs fois plagié[19]. Il les publie à son tour sous les titres de Le Val funeste et L'histoire de Don Benito d'Almunevar dans Le National (1841). Son plagiat démasqué entraine des poursuite judiciaires[20] et la condamnation de Courchamps.

Publications

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Souvenirs de la Marquise de Créquy, 1710 à 1800.

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Paris. Fournier jeune, 7 vol. 1834-1835[21], nombreuses réed. 1840, 1842, 1855, 1865, 1867, 1873, 1892. Recollections of the eighteenth century from 1710 to 1800. Translated from the French of the marchioness de Créquy. London : Longman, 1834. Traduction des souvenirs de la Marquise de Créquy par le Conte de Courchamps[22], Denkwürdigkeiten einer Aristokratin, Kollmann, 1836[23]. Souvenirs de la Marquise de Créquy de 1710 à 1803 (Wikisource)

Renée-Caroline de Froulay, marquise de Créquy (1714-1803), mariée en 1737 à Louis Marie de Créqui, était une femme de haute noblesse (on trouve aussi Créqui) qui avait la réputation d'avoir beaucoup d'esprit et dont on sait qu'elle a dicté pendant de nombreuses années ses souvenirs pour son petit fils, malheureusement mort en 1801 deux ans avant elle. Ce texte aurait pu être plus ou moins modifié ou augmenté avant publication. Quérard y trouve que de nombreux textes ajoutés en note pour appuyer les propos n'existent pas[24].

Selon Bénédicte Abraham, il s'agirait en réalité des Souvenirs de la marquise de Coigny (née Louise-Marthe de Conflans 1759-1825) que Courchamp avait connue, dont le fils lui avait interdit la publication, et qu'il aurait largement adapté en remplaçant le nom de Coigny par celui de Créquy, famille alors éteinte[25]. Publié en 1834, le livre fit scandale par ses témoignages sur le règne de Louis XV qui démentaient les légendes de bon nombre de familles arrivées de l'époque de la Monarchie de Juillet; son succès rapporta à Courchamps beaucoup d'argent qu'il dépensait en repas somptueux.

Néo-Physiologie du Gout

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  • Néo-Physiologie du Gout par Ordre Alphabétique ou Dictionnaire Général de la Cuisine Française Ancienne et Moderne, ainsi que de l'Office et de la Pharmacie domestique, Paris, 16, Bld Montmartre, Au Bureau du Dictionnaire Général de Cuisine, 635 p. 1839[26]. Réed. Plon Frères, 1853[27]
Néo-physiologie du goût - Publication qui doit suppléer à tous les livres de cuisine dont le public n'a que trop expérimenté le charlatanisme, l'insuffisance et l'obscurité. ed. originale[28]

14 ans après la Physiologie du goût de Brillat-Savarin (1825) ce livre a vocation encyclopédique veut remplacer tous les livres de cuisines, y compris les livres de recettes. Il est présenté sous forme de dictionnaire - nom qu'il prend en 1853 - alphabétique avec des articles qui ont parfois le longs développements. Service donne une nomenclature des plats du service à la française (26 pages sur 2 colonnes)[29], l'article Truffe fait 10 pages avec une partie sur les truffières. Il donne la recette des madeleines de Stanislas Leszczynski : «Gâteau à la Madeleine suivant la recette de Madeleine Paumier, pensionnaire et ancienne cuisinière de Mme Perrotin de Barmond»[30], des Croquembouche à la soubise[31]. Le livre parait sans nom d'auteur (dédié à l'auteur des Mémoires de la Marquise de Créquy) cause possible de son succès mitigé[32].

Le texte est suivi d'un

  • Recueil des menus ou tableaux de l'ordonnance des repas français anciens et modernes. Précédé d'une histoire des grands repas depuis le moyen âge avec d'abondantes sources souvent curieuses où très impressionnantes dont des menus servis sous le Directoire par Barras et annotés par lui[33], par Bonaparte[34] et enfin par ses contemporains,

et d'une

  • Pharmacie domestique ou Recueil des recettes médicales les plus usuelles et les plus faciles à bien composer.

Autres publications

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  • Les Nuits de Berlin, suivies d'un Tableau de l'état général du protestantisme en Europe et dans les missions protestantes, par l'éditeur des Souvenirs de la Marquise de Créquy. Paris, Werdet, 2 vol.1838[35]. Cet ouvrage est imité (une traduction selon M. Quérard[36]) de l'allemand Schneider intitulé : Berliner Næchte[37],
  • M. de Courchamps. Les Duchesses dans Les Français peints par eux-mêmes : Encyclopédie morale du dix-neuvième siècle. Paris 49, rue de Richelieu, Louis Curmer. vol.1 [38],
  • Le Catalogue Général de la Librairie française au XIXe siècle: indique qu'il a travaillé au Mémorial de la noblesse, (le t. X des Souvenirs de la Marquise de Créquy contient l'état général de la noblesse de France avant la révolution de 1789).
  • Selon Henri Bosquet le comte de Vezins ne serait autre que le sr Cousin, Comte de Courchamps, auteur d'une Généalogie de la maison de Levezoux de Luzanson de Roquefort de Vesins, Paris, Bethune et Plon, 1837. («On sait que ce pittoresque personnage, polygraphe fécond, fantaisiste souvent amusant, pratiquait l'art de la généalogie avec une désinvolture qui enlève tout crédit à ses productions»)[39].

Bibliographie

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  • Roger de Beauvoir. Les soupeurs de mon temps - Courchamps. Paris, Achille Faure 1868. p. 47 et sq.
«homme d’un autre temps et d’un autre régime, il a réussi bien vite auprès de la jeunesse d’alors et s’est acquis une incontestable influence de goût et d’esprit. Gastronome consommé, soupeur émérite, ami de Brillat-Savarin, il avait dîné de bonne heure aux meilleures tables, il se louait fort d’avoir connu Cambacérès. Sa conversation était fine, mordante : Rivarol et Champfort doublés d’un esprit de chanoinesse. Il avait à sa boutonnière une mercerie véritable de décorations. Au physique, le front haut, le nez proéminent, les yeux et les oreilles d’un vrai satyre, les mains belles et très-soignées, mais grêlé à faire peur. Au moral, aigre ; grondeur et quinteux»

.

  • Alfred Marquiset. Romieu et Courchamps. Paris : Émile-Paul frères. 1913.
  • Léon Deffoux (1881-1945), Le pastiche littéraire : des origines à nos jours. Paris Delagrave 1932. p. 63 chapitre V Quelques mots sur le pastiche historique. Un maître du genre : Cousin de Courchamps et les Souvenirs de la marquise de Créquy[40].
Il y est discuté des notions de faussaire, pasticheur, plagiaire. Courchamps et son éditeur avaient tentés d'accréditer l'authenticité des pseudo mémoires, « mais dès juin 1834 la Quaterley Review n’avait pas attendu l’apparition du tome III pour publier une réfutation des prétendus Souvenirs qui ne laissait place à aucune illusion, et ce fut bien pis quand, l’ouvrage terminé avec la publication du vol. VI, l’imposture de Cousin de Courchamps, qui n’avait point même pris la peine de démarquer les pages entières qu’il avait copiées dans Joseph Potocki pas plus qu’une page empruntée aux Dix Journées de la vie d’Alphonse Van Worden, du même auteur». L'auteur indique un autre vrai mystificateur à succès le baron de Lamothe-Langon avec les Mémoires et souvenirs d’un pair de France (1829-1830), les Mémoires sur Louis XVIII (1832-33), qui a créé de nombreux faux documents d'archives, notamment pour étayer sa fausse histoire de l'Inquisition

.

  • Will L. McLendon. A Problem in Plagiarism: Washington Irving and Cousen de Courchamps. Comparative Literature, Vol. 20, No. 2 (Spring, 1968), pp. 157-169[41].

Notes et références

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  1. Internet Archive, Mémoires d'une femme de qualité sur le Consulat et l'Empire, Paris : Mercure de France, (ISBN 978-2-7152-2486-5, lire en ligne), p 528
  2. Liste générale des pensionnaires de l'ancienne liste civile, avec l'indication sommaire des motifs de la concession de la pension..., (lire en ligne), p 120 n°2962
  3. « Pierre-Marie-Jean Cousin de Courchamps (1783-1849) », sur data.bnf.fr (consulté le )
  4. La Normandie monumentale et pittoresque... Eure, 1re [-2e] partie.... Partie 1, (lire en ligne)
  5. Pierre (1817-1875) Auteur du texte Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique.... T. 12 P-POURP / par M. Pierre Larousse, 1866-1890 (lire en ligne), p 1521
  6. Société archéologique et historique d'Ille-et-Vilaine Auteur du texte, « Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine », sur Gallica, (consulté le ), p. XI
  7. a et b (en-US) The House of Tyrconnell, « O'Donnell of Tyrconnell », sur O'Donnell of Tyrconnell (consulté le )
  8. Alexandre (1814-1901) Auteur du texte Mouttet, Souvenirs et notes littéraires / A. Mouttet, (lire en ligne), pp. 79 et 80
  9. Alexandre (1761-1839) Auteur du texte Lenoir, Musée des monumens français. Tome 5 / , ou Description historique et chronologique des statues en marbre et en bronze, bas-reliefs et tombeaux des hommes et des femmes célèbres, pour servir à l'histoire de France et à celle de l'art ; ornée de gravures et augmentée d'une dissertation sur les costumes de chaque siècle, par Alexandre Lenoir, 1800-1821 (lire en ligne), p 71
  10. Alfred The Centre for 19th Century French Studies - University of Toronto, Romieu et Courchamps, Paris : Émile-Paul frères, (lire en ligne), p 152
  11. Académie du Var Auteur du texte, « Bulletin de la Société académique du Var », sur Gallica, (consulté le ), p. 213
  12. Alfred The Centre for 19th Century French Studies - University of Toronto, Romieu et Courchamps, Paris : Émile-Paul frères, (lire en ligne), p 242
  13. https://classiques-garnier.com/export/pdf/gilbert-nicolas-oeuvres-completes-sans-titre-aux-portes-de-la-gloire-indications-biographiques.html?displaymode=full
  14. Alfred The Centre for 19th Century French Studies - University of Toronto, Romieu et Courchamps, Paris : Émile-Paul frères, (lire en ligne), p 159
  15. Alfred The Centre for 19th Century French Studies - University of Toronto, Romieu et Courchamps, Paris : Émile-Paul frères, (lire en ligne), p 171
  16. Alfred The Centre for 19th Century French Studies - University of Toronto, Romieu et Courchamps, Paris : Émile-Paul frères, (lire en ligne), p 178
  17. Alfred The Centre for 19th Century French Studies - University of Toronto, Romieu et Courchamps, Paris : Émile-Paul frères, (lire en ligne), p 192
  18. Pierre (1817-1875) Auteur du texte Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique.... T. 12 P-POURP / par M. Pierre Larousse, 1866-1890 (lire en ligne), p 1521
  19. Wanda Auteur du texte Rapacka, Thèmes et structures dans le "Manuscrit trouvé à Saragosse" de Jean Potocki avec la traduction et la reconstitution du texte / Wanda Rapacka, (lire en ligne), fol. 1r et 2r
  20. Alfred The Centre for 19th Century French Studies - University of Toronto, Romieu et Courchamps, Paris : Émile-Paul frères, (lire en ligne), p 187
  21. Renée Caroline de Froulay Créquy et Pierre-Marie-Jean Cousin de Courchamps, Souvenirs de la marquise de Créquy : 1710 à 1800, Fournier jeune, (lire en ligne)
  22. Pierre-Marie-Jean Cousin de Courchamps et Renée Caroline de Froulay Créquy, Recollections of the eighteenth century from 1710 to 1800. Translated from the French of the marchioness de Créquy, Longman, (lire en ligne)
  23. (de) Cousin de Courchamps, Denkwürdigkeiten einer Aristokratin, Kollmann, (lire en ligne)
  24. Cf. Joseph-Marie Quérard, Les supercheries littéraires dévoilées, Paris, Paul Daffis, 1845-56 (réimpr. 1869, 1964), 5 volumes, « Courchamps »
  25. Bénédicte Abraham, « Introduction de la troisième partie », dans Au commencement était l'action, Presses universitaires du Septentrion, , 181–184 p. (ISBN 978-2-7574-1274-9, lire en ligne), p 194
  26. Néo-physiologie du goût, par ordre alphabétique, ou Dictionnaire de la cuisine français ancienne et moderne, ainsi que de l'office et de la pharmacie domestique ... Suivi d'une collection générale des menus français depuis le douzième siècle et terminé par une pharmacopée, etc. [By Pierre Marie Jean Cousin de Courchamps?], (lire en ligne)
  27. Dictionnaire général de la cuisine française ancienne et moderne ainsi que de l'office et de la pharmacie domestique : ouvrage où l'on trouvera toutes les prescriptions nécessaires à la confection des aliments nutritifs ou d'agrément, à l'usage des plus grandes et des plus petites fortunes... (2e éd.), (lire en ligne)
  28. Alexandre-Balthazar-Laurent Getty Research Institute, Néo-physiologie du goût par ordre alhabétique, ou, Dictionnaire général de la cuisine française, ancienne et moderne, ainsi que de l'office et de la pharmacie domestique, Paris, Paris : Au Bureau du Dictionnaire général de cuisine, (lire en ligne)
  29. Dictionnaire général de la cuisine française ancienne et moderne ainsi que de l'office et de la pharmacie domestique : ouvrage où l'on trouvera toutes les prescriptions nécessaires à la confection des aliments nutritifs ou d'agrément, à l'usage des plus grandes et des plus petites fortunes... (2e éd.), (lire en ligne), p 449 et sq.
  30. https://journals.openedition.org/insitu/25298?lang=fr
  31. « Alexandre Dumas > », sur www.dumaspere.com (consulté le )
  32. « [https://dictionnaires.u-cergy.fr/auteurs/cousin.html#1 Mus�e virtuel des dictionnaires - Cousin] », sur dictionnaires.u-cergy.fr (consulté le )
  33. Dictionnaire général de la cuisine française ancienne et moderne ainsi que de l'office et de la pharmacie domestique : ouvrage où l'on trouvera toutes les prescriptions nécessaires à la confection des aliments nutritifs ou d'agrément, à l'usage des plus grandes et des plus petites fortunes... (2e éd.), (lire en ligne), p 563
  34. Dictionnaire général de la cuisine française ancienne et moderne ainsi que de l'office et de la pharmacie domestique : ouvrage où l'on trouvera toutes les prescriptions nécessaires à la confection des aliments nutritifs ou d'agrément, à l'usage des plus grandes et des plus petites fortunes... (2e éd.), (lire en ligne), p 571
  35. Pierre-Marie-Jean Cousin de Courchamps, Les Nuits de Berlin, suivies d'un Tableau de l'état général du protestantisme en Europe et dans les missions protestantes, par l'éditeur des "Souvenirs de la Marquise de Créquy" (le Cte M. de Courchamps), Werdet, (lire en ligne)
  36. Paul Chéron, Catalogue Général de la Librairie française au XIXe siècle: indiquant, par ordre alphabétique de noms d'auteurs les ouvrages publiés en France du 1er janvier 1800 au 31 décembre 1855, P. Jannet, éditeur, (lire en ligne), p 241
  37. Catalogue des livres de linguistique, de géographie, de voyages, d'histoire, de biographie et de bibliographie composant la bibliothèque de M***..., (lire en ligne), p 63
  38. Les Français peints par eux-mêmes: encyclopédie morale du dix-neuvième siècle, L. Curmer, (lire en ligne), p 97
  39. Henri (1865-1953) Auteur du texte Bousquet, Inventaire des archives du château de Vezins. Tome 3 / par H. Bousquet, 1934-1942 (lire en ligne), p 302
  40. Léon (1881-1945) Auteur du texte Deffoux, Le pastiche littéraire : des origines à nos jours / Léon Deffoux, (lire en ligne)
  41. Will L. McLendon, « A Problem in Plagiarism: Washington Irving and Cousen de Courchamps », Comparative Literature, vol. 20, no 2,‎ , p. 157–169 (ISSN 0010-4124, DOI 10.2307/1770036, lire en ligne, consulté le )

Liens externes

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