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Théâtre romain de Trieste

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Théâtre romain de Trieste
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Site archéologique, théâtre romain, musée, objet du musée d'archéologie, musée du ministère italien de la Culture (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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34100 Trieste
 Italie
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Le théâtre romain de Trieste est un édifice de spectacle situé dans la cité antique de Tergeste, devenue la ville de Trieste, dans la région italienne à statut spécial de Frioul-Vénétie Julienne. Au XXIe siècle, aucun autre monument antique de type théâtre, amphithéâtre, odéon ou cirque n'est identifié à Trieste.

Sa construction aux marges de la ville et les améliorations apportées à son décor s'étalent sur plus d'un siècle à partir de la fin du Ier siècle av. J.-C. ; de la fin de cette longue période est connu, grâce à plusieurs inscriptions retrouvées sur place, le nom d'un évergète qui a financé certains travaux de rénovation et d'embellissement.

Les vestiges bien conservés de ce théâtre de taille moyenne, redécouverts au début du XIXe siècle alors qu'ils étaient enfouis sous d'autres bâtiments depuis le Moyen Âge, sont fouillés dans les années 1930 et, à cette occasion, plusieurs statues ou fragments de statues qui le décoraient sont mises au jour. Inscrit sur la liste des biens culturels italiens et restauré, le monument accueille depuis 1964 le public de spectacles estivaux.

Localisation

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Vestiges antique d'une ville reportés sur son plan moderne.
Plan de Tergeste antique.

Au moment de sa construction, le théâtre se trouve adossé aux premières pentes de la colline de San Giusto, aux limites septentrionales de la ville antique de Tergeste et presque au bord de la mer ; seule une voie littorale venant d'Aquilée l'en sépare ; il s'agit d'un tronçon de la Via Gemina[1]. Une autre voie parallèle à la précédente, suivant les courbes de niveau plus en hauteur, tangente le sommet du théâtre[2].

Cette disposition procure plusieurs avantages ; l'emplacement du théâtre permet de tirer parti du relief naturel pour limiter les travaux de maçonnerie ; son implantation, hors de la zone la plus densément bâtie mais largement desservie par la voirie antique, est favorable à la circulation facile et rapide des spectateurs venant de Tergeste comme de ses environs ; enfin, la vue de l'imposant mur de scène, se dressant presque sur le rivage, doit frapper les voyageurs approchant Trieste par la mer[3].

À l'époque contemporaine, le monument est situé au cœur de la vieille ville de Trieste : des remblais ont gagné sur la mer au fil des siècles et le théâtre en est éloigné de plusieurs centaines de mètres[4] mais la « Via del teatro romano », qui passe devant le mur de scène, reprend sensiblement l'itinéraire de la voie antique d'Aquileia[5].

Historique, fouilles et études

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La date de construction du théâtre ne peut être attestée par aucun indice archéologique concret ; elle est estimée d'après les caractéristiques architecturales du monument et l'épigraphie[V 1].

La phase initiale de construction remonte à l'époque augustéenne, dans le dernier tiers du Ier siècle av. J.-C.[VB 1], quelques décennies après la fondation de la ville dans le plan de laquelle il s'inscrit dès l'origine — les similitudes architecturales avec les théâtres de Mérida ou de Vérone, bien datés, permettent d'établir cette chronologie[VB 2]. Le décor du théâtre est pleinement achevé sous la dynastie des Julio-Claudiens puis le monument est restauré à la fin du Ier ou au début du IIe siècle avec peut-être la reconstruction d'une cavea en mauvais état et un complément du programme statuaire[6],[7] à la demande de Quintus Petronius Modestus, cité dans au moins trois inscriptions[8],[9]. Il est d'ailleurs possible que l'un de ses ancêtres soit à l'origine de la construction du monument[VB 3].

Photographie en noir et blanc d'un bas-relief représentant des personnages et des monuments.
Représentation du théâtre de Trieste (?) sur la colonne Trajane.

Plusieurs archéologues, dont l'Allemand Werner Gauer, pensent que le théâtre de Trieste fait partie des nombreux monuments représentés sur la colonne Trajane — la scène LXXXVI montre un théâtre au bord de la mer ou d'un cours d'eau —, mais leur opinion ne fait pas l'unanimité[7],[VB 4].

Sous le Bas-Empire romain, le théâtre remplit peut-être aussi la fonction d'un amphithéâtre par la diversification des spectacles qui y sont proposés mais, à la fin de cette période, il est abandonné, sert de carrière de pierre et ses éléments les plus précieux sont soigneusement et systématiquement récupérés. Il est progressivement dissimulé par les maisons qui prennent appui sur ses structures et le dissimulent[10].

Plan partiel des rues d'une ville en noir sur brun.
Plan d'Antonio Tribel (1884).

En 1698, Ireneo della Croce, un historien et prédicateur né à Trieste, mentionne des murailles ruinées dans un lieu appelé « Rena », possiblement dérivé du latin arena[10]. Considéré comme perdu et totalement enfoui sous les constructions plus récentes, le monument est cependant identifié en 1814 par l'architecte Pietro Nobile et un plan de 1884 montre un parcellaire et une voirie aux tracés évocateurs[11],[12].

Ce n'est qu'entre et que le théâtre est mis au jour lors de la démolition d'une partie de la vieille ville, dans le cadre des politiques urbaines de Mussolini mises en œuvres à Trieste par l'archéologue Vittorio Macchioro et visant à mettre en valeur le patrimoine national, notamment pour la période romaine[10]. Les statues et inscriptions trouvées dans les fouilles sont conservées au Lapidarum du château San Giusto devenu un musée civique mais des copies de deux inscriptions restent exposées sur le site du théâtre lui-même[13].

Au début des années 1960 émerge la volonté de rendre au théâtre sa vocation première, ce qui se concrétise en 1964 avec une représentation d'Électre de Sophocle. Depuis lors, le monument est utilisé pour des spectacles estivaux[9],[14].

Description

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Caractéristiques générales

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Dessin en brun sur blanc du plan d'un théâtre antique.
Plan simplifié du théâtre.

Diamètre de la cavea de quelques théâtres romains.


Le théâtre est orienté vers le nord-nord-ouest car il est adossé à la colline pour profiter au mieux de sa pente et y asseoir la cavea. Cette orientation évite en outre l'accumulation de chaleur à l'intérieur du monument[20]. La cavea mesure 64,40 m de diamètre et l'orchestra dessine un demi-cercle de 20,34 m de diamètre[7].

Les gradins sont construits sur une série de murs annulaires qui délimitent des caissons remblayés complétant, aux abords de la scène, la pente naturelle de la colline rectifiée. La capacité du théâtre, variable selon les auteurs, est estimée entre 2 250 et 3 500 spectateurs[7],[21]. Des guides touristiques évoquent même 6 000 spectateurs[22], ce qui peut paraître beaucoup puisque c'est la capacité du théâtre romain de Caesaraugusta (Saragosse)[17] dont le diamètre atteint 106 m[23].

Les murs sont composés de deux parements en briques ou en moellons de grès qui enferment un noyau en opus caementicium ; les parements en briques proviennent le plus souvent de réparations postérieures à la phase de construction, exception faite des vomitoires où lits de grès et de briques d'origine alternent[21].

Architecture

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Cavea et orchestra

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Quatre accès permettent au public de gagner les gradins de la cavea, deux latéraux parallèles à la scène (parodoï) et deux radiaux, à mi-hauteur dans la cavea (vomitoires) ; ces derniers débouchent côté extérieur dans une galerie périphérique voûtée accessible depuis trois ouvertures dans le mur périphérique et depuis les parodoï ; les accès longeant la scène sont voûtés, au moins dans la partie opposée à la scène, ce qui permet d'installer des tribunes au-dessus de leurs voûtes ; ils sont empruntés à la fois par les spectateurs se rendant dans les gradins et par les artistes arrivant dans l'orchestra. En outre, trois escaliers, courant du haut en bas de la cavea, la divisent en quatre secteurs ou cunei d'une ouverture de 45 degrés. La base de l'escalier médian comporte un aménagement qui est peut-être un autel. Deux autres escaliers courent le long des couloirs d'accès à la scène. Une précinction (palier) sépare la cavea en deux maeniana (série de gradins) dont seule la partie inférieure, composée de 12 rangées de gradins en pierre, est conservée. Les gradins de la partie supérieure (huit ou neuf rangées) étaient peut-être en bois, au moins dans un premier temps[V 2]. Les deux vomitoires venant de la galerie périphérique aboutissent à cette précinction[7].

Le mur périphérique de la cavea, conservé sur une hauteur de 15 m, est doté sur sa face extérieure de supports en encorbellement permettant d'y insérer les mâts en bois d'un velum. Il est pourvu, en position médiane, d'une grande niche qui pourrait indiquer la présence d'un sacellum[7]. Cet édicule est manifestement un ajout postérieur à la construction du théâtre ; il renvoie pourtant aux traditions architecturales de l'époque augustéenne, pour une raison symbolique qui échappe encore aux archéologues[V 3].

Scène et ses aménagements

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Le mur du pulpitum ou rebord de la scène, haut de 0,68 m, comporte huit niches, deux à fond arrondi et six à fond plat. Cette disposition, en cassant les ondes sonores, évite la création d'échos parasites[24]. Ce mur est certainement recouvert d'un placage en dalles roses[VB 5]. Les vestiges retrouvés ont permis d'en proposer une reconstruction fidèle à l'original[25]. Aux deux extrémités du pulpitum, des escaliers assurent la liaison entre l'orchestra et la scène recouverte d'un plancher de bois[7],[21].

Le mur de scène, probablement aussi haut à l'origine que le mur périphérique de la cavea (15 m au moins), a largement disparu. Il se développe sur deux niveaux, ornementés de portes et de niches abritant des statues et scandés de colonnes ; il est revêtu d'enduits et de peintures polychromes ou plaqué de dalles de stuc[VB 6]. Il est limité à ses deux extrémités par deux édifices sur plan carré d'un peu plus de 8 m de côté, des pièces de service ou des coulisses qui assurent la jonction architecturale avec la cavea et que les textes latins relatifs à l'architecture des théâtres désignent sous le nom de basilicae[26].

La présence d'un rideau de scène est avérée : il est soutenu par deux rangées de mâts encastrés dans des trous dont douze sont encore visibles[7].

La porta regia, au fond d'une exèdre, est la porte principale ouvrant sur la scène en son milieu ; elle est flanquée de deux petites pièces cruciformes donnant sur l'arrière et dont les murs gardent la trace d'un enduit rouge ; ce sont sans doute des pièces de service ou des loges pour les artistes[27]. Deux autres portes, symétriquement placées de part et d'autre de la précédente mais moins monumentales qu'elle, assurent également la communication entre la scène et l'arrière-scène. Ces trois portes sont accompagnées d'une colonne de part et d'autre de leur ouverture[25].

Tout à l'arrière, un porticus post scaenam mesurant 63,85 × 4 m ferme la scène, avec vue sur la plage et la mer ; il porte dix-huit colonnes sur toute sa largeur et sa partie supérieure est probablement équipée, comme le mur périphérique de la cavea, de dispositifs de fixation des mâts d'un velum[7].

Décor et épigraphie

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Image externe
Statue d'Athena, Lapidarium de Trieste.

Le mur de scène est décoré des statues en marbre blanc ou jaune d'Athéna, Aphrodite, Apollon, Hygie, Asclépios et Dionysos[28]. Dans les niches du pulpitum sont identifiées, grâce à des fragments retrouvés, les statues d'un satyre et d'un enfant[26]. Les sculpteurs semblent être originaires des secteurs de Trieste ou d'Aquilée[VB 1].

Une tête de l'empereur Titus devait représenter à l'origine Néron sur une statue un peu plus grande que nature ; cette statue décorait peut-être le mur de scène[VB 7]. Le visage de l'empereur a été modifié après la damnatio memoriae qui l'a frappé[VB 8]. La représentation de Néron peut s'expliquer si c'est sous le règne de cet empereur que l'édification du théâtre est achevée ; celle de Titus est probablement un moyen de rappeler aux spectateurs le triomphe de ce dernier après le siège victorieux de Jérusalem[VB 9]. La substitution s'est probablement opérée, longtemps après, à la demande de Quintus Petronius Modestus[VB 10]. La présence symbolique de l'empereur, par le biais d'une statue, aux spectacles donnés dans les théâtres est courante[26].

Un buste présente une tête attribuée à Quintus Petronius Modestus. Il s'agit là encore d'un repentir car la tête a été rapportée sur un buste qui devait initialement être celui de Méduse ; la présence sur place de statues des évergètes est fréquente[26].

Inscriptions lapidaires

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Image externe
Inscriptions de Q. P. Modestus sur lupa.at

Trois ou quatre inscriptions lapidaires (selon les sources[V 4]), mentionnent Quintus Petronius Modestus; elles sont , retrouvées à différents endroits de la cavea, peut-être là où elles étaient les plus visibles et identifiables en tant que telles[V 5] ou bien là où les réparations ont été les plus importantes[VB 11]. La plus grande d'entre elles provient probablement du mur périphérique de la cavea[V 6].

La confrontation de ces inscriptions permet d'en reconstituer le texte commun[V 7] et d'en proposer une traduction[29] :

« Q(uintus) Petronius C(ai) f(ilius) Pu[p(inia)] Modestus p(rimus) p(ilus) bis / leg(ionis) XII Fulm(inatae) et leg(ionis) I Adiu[t]ric(is) trib(unus) mil(itum) coh(ortis) V vig(ilum) / tr(ibunus) coh(ortis) XII urb(anae) tr(ibunus) coh(ortis) V pr(aetoriae) pr[oc]urator divi Nervae et Imp(eratoris) Caesaris / Nervae Traiani Aug(usti) Germ(anici) provin[c(iarum) Hi]spaniae citer(ioris) Asturiae et / Callaeciarum flamen divi Claud[i de]dit idemque dedicavit »

« Quintus Petronius Modestus, fils de Caius, inscrit dans la tribu Pupinia, primipile deux fois, de la douzième légion Fulminata et de la première légion Adiutrix, tribun de la cinquième cohorte des vigiles, tribun de le douzième cohorte urbaine, tribun de la cinquième cohorte prétorienne, procurator du divin Nerva et de l'Imperator Cesar Nerva Trajan Augustus Germanicus de la province d'Hispanie Citérieure, en Asturie et Galice, flamine du divin Claude, a fait et dédié (cette inscription). »

Ces inscriptions indiquent sans équivoque que Quintus Petronius Modestus occupe plusieurs postes dans l'armée romaine, qu'il est tribun de la plèbe à Rome avant d'être nommé procurateur en Hispanie sous les empereurs Nerva (96-98) et Trajan (98-117), qu'il est flamine de l'empereur Claude et qu'il finance des travaux, dont la nature et l'importance ne sont pas précisées, sur le théâtre[VB 12]. À la fin du XVIIe siècle, les historiens vont même jusqu'à suggérer que Quintus Petronius Modestus est le commanditaire de la fondation du monument mais cette hypothèse est abandonnée[V 1] ; la confusion provient de l'existence d'une inscription sur une stèle funéraire de l'époque augustéenne mentionnant un architecte nommé « Petronius », même si l'origine de cette stèle ne peut être précisée[VB 13]. Il est en revanche probable que Q. P. Modestus est né à Tergeste et certain qu'il est intervenu lors de la dernière phase de réparation, à la charnière du Ier et du IIe siècle[VB 3] après son retour d'Hispanie, comme une forme de triomphe en apothéose de sa carrière militaire et administrative[VB 14].

Notes et références

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  • Il Teatro romano di Trieste. Monumento, storia, funzione. Contributi per lo studio del teatro antico, Istituto svizzero di Roma, 1991 :
  • « Costruzione e restauri del teatro romano di Trieste e il tema del trionfo », Antichità Altoadriatiche, 1994 :
  1. a et b Verzàr-Bass 1994, p. 147.
  2. Verzàr-Bass 1994, p. 148-149.
  3. a et b Verzàr-Bass 1994, p. 151.
  4. Verzàr-Bass 1994, p. 157.
  5. Verzàr-Bass 1994, p. 148.
  6. Verzàr-Bass 1994, p. 149.
  7. Verzàr-Bass 1994, p. 152.
  8. Verzàr-Bass 1994, p. 154-155.
  9. Verzàr-Bass 1994, p. 152-153.
  10. Verzàr-Bass 1994, p. 155.
  11. Verzàr-Bass 1994, p. 154.
  12. Verzàr-Bass 1994, p. 153.
  13. Verzàr-Bass 1994, p. 150.
  14. Verzàr-Bass 1994, p. 158.
  • Autres références :
  1. (it) Aristide Calderini, Aquileia romana. Ricerche di storia e di epigrafia, Milan, Vita e Pensiero, , 594 p. (lire en ligne), p. 137-139.
  2. Tribel 1884, p. 214.
  3. Ventura 1996, p. 55.
  4. (en) Sara Gonizzi Barsanti et Massimo Braini, « From Tergeste to Trieste. Lines of Urban Develoment », Conference on Cultural Heritage and New Technologies, no 16,‎ , p. 510-523 (lire en ligne).
  5. Ventura 1996, p. 34-36.
  6. Ventura 1996, p. 54.
  7. a b c d e f g h et i Sear 2006, p. 180.
  8. CIL V, 00534, CIL V, 00535 et InscrIt-10-04, 00034
  9. a et b (it) Andrea Lessona, « Teatro romano di Trieste, meraviglia emersa - Articoli - Il Reporter Italia », sur Il Reporter Italia, (consulté le ).
  10. a b et c (it) « Il teatro romano: scavi anni '30 » [PDF], sur Sopraintendenza, aree archeologiche (consulté le ).
  11. (it) « Il Teatro Romano di Trieste, l'Antiquarium e l'Arco Riccardo • Vimado », sur Vimado, vimado, (consulté le ).
  12. Tribel 1884, p. 62-63.
  13. (it) « Teatro Romano di Trieste », sur cultura.gov.it (consulté le ).
  14. (it) « Il teatro romano: spettacoli contemporaneia » [PDF], sur Sopraintendenza, aree archeologiche (consulté le ).
  15. Sophie Madeleine, Le théâtre de Pompée à Rome : Restitution de l'architecture et des systèmes mécaniques, Caen, Presses universitaires de Caen, , 350 p. (ISBN 978-2-8413-3508-4), p. 136-137.
  16. Sear 2006, p. 252.
  17. a et b (es) « Teatro Romano de Zaragoza », sur Patrimonio cultural de Aragón (consulté le ).
  18. Jean-Charles Balty, « Giacomo Caputo, Il teatro di Sabratha e l'architettura teatrale africana », L'Antiquité classique, t. XXX, no 1,‎ , p. 324 (lire en ligne).
  19. Sear 2006, p. 277.
  20. Golvin 2013, p. 43.
  21. a b et c (it) « Il teatro romano: teatro in epoca antica » [PDF], sur Sopraintendenza, aree archeologiche (consulté le ).
  22. [Collectif], Fabuleuse Italie du Nord - Rome, Florence, Venise, Ulysse, , 184 p. (ISBN 978-2-7658-5307-7, lire en ligne).
  23. (de) « Caesaraugusta, Zaragoza, Saragossa (Hispania Tarraconensis) », sur Theatrum.de (consulté le ).
  24. Golvin 2013, p. 53.
  25. a et b « Il teatro romano di Trieste », sur Catalogo dei beni culturali: musei civici del comune di Trieste (consulté le ).
  26. a b c et d (it) « Apparato decorativo » [PDF], sur Sopraintendenza, aree archeologiche (consulté le ).
  27. Golvin 2013, p. 73.
  28. (de) Michaela Fuchs, Untersuchungen zur Ausstattung römischer Theater in Italien und den Westprovinzen des Imperium Romanum, Von Zabern, , XIV et 230 p., p. 109-113.
  29. Paul Corbier, L'épigraphie latine, Armand Collin, , 208 p. (ISBN 978-2-2002-5432-2, lire en ligne).

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Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Jean-Claude Golvin (avec la collaboration de Catherine Salles), Le théâtre romain et ses spectacles, Lacapelle-Marival, Archéologie nouvelle, coll. « Archéologie vivante », , 154 p. (ISBN 979-1-0914-5806-1). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (it) Vittorio Macchioro, « Le statue del teatro romano di Trieste », Rivista della città di Trieste,‎ , p. 3-11.
  • (it) Paola Maggi, Renata Merlatti et Gabriella Petrucci, SottoTrieste, Luglio Editore, , 256 p. (ISBN 978-8-8680-3057-5).
  • (it) Elisabetta Mangani, Fernando Rebecchi et Maria Josè Strazzulla, Emilia, Venezie, Rome, Laterza, coll. « Guide archeologiche Laterza », , 2e éd., 324 p. (ISBN 978-8-8420-1791-2), p. 273-275.
  • (en) Frank Sear, Roman Theatres : An Architectural Study, Oxford, Oxford University Press, , 465 p. (ISBN 978-0-1981-4469-4, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (it) Antonio Tribel, Una passeggiata per Trieste, Caprin, , 400 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (it) Paola Ventura, « Tergeste romana: elementi per la forma urbis », Archoegrafia triestina, no 56,‎ , p. 11-123. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (it) Monika Verzàr-Bass (dir.), Il Teatro romano di Trieste. Monumento, storia, funzione. Contributi per lo studio del teatro antico, vol. 25, Istituto svizzero di Roma, coll. « Bibliotheca Helvetica Romana », , 391 p. (ISBN 978-3-8053-1341-4). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (it) Monika Verzàr-Bass, « Costruzione e restauri del teatro romano di Trieste e il tema del trionfo », Antichità Altoadriatiche, vol. XLI « Spettacolo in Aquileia e nella Cisalpina Romana »,‎ , p. 147-162. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Article connexe

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Liens externes

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