Utilisateur:Witcher of Izalith/Wikipédiannerie
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Crash Bandicoot : La Vengeance de Cortex (Crash Bandicoot: The Wrath of Cortex dans la version originale ; Crash Bandicoot 4: Sakuretsu! Majin Power au Japon) est un jeu vidéo de plates-formes développé par Traveller's Tales et édité par Universal Interactive Studios sur PlayStation 2 en 2001, Xbox et GameCube en 2002. Il s'agit du quatrième opus de la série Crash Bandicoot, qui fait suite à Crash Bandicoot 3: Warped, sorti en . Le scénario met en scène Crash Bandicoot et sa sœur Coco, qui doivent lutter contre Crunch Bandicoot, un bandicoot génétiquement modifié et doté d'un bras bionique, spécialement conçu par le Docteur Neo Cortex pour détruire Crash. Afin de rendre Crunch plus puissant, celui-ci est associé aux Masques des Éléments, des masques antiques libérés par Uka Uka, l'allié de Cortex. Il s'agit de Rok-Ko, le masque de la Terre ; Wa-Wa, le masque de l'Eau ; Py-Ro, le masque du Feu et Lo-Lo, le masque de l'Air. Dans cet opus, Crash et Coco parcourent le monde pour récupérer des cristaux capables d'enfermer les Masques des Éléments et bénéficient de nouveaux véhicules, comme une Jeep, un planeur, un sous-marin et une « atlasphère » — une sorte de boule de hamster que Crash pousse pour avancer. Le développement du jeu commence au cours de l'an 2000 sous le nom de Crash Bandicoot Worlds. Développé par Mark Cerny, cet opus est pensé comme un jeu en monde ouvert avec des éléments de puzzle et doit permettre à Crash de voyager entre différentes planètes. Lorsque Universal Interactive Studios conclut un accord avec Konami pour la distribution des jeux de la franchise Crash Bandicoot, Cerny quitte le développement du titre et Traveller's Tales dispose alors de douze mois pour concevoir un nouveau jeu à partir d'une feuille blanche. Crash Bandicoot : La Vengeance de Cortex reçoit un accueil mitigé de la part de la presse vidéoludique, qui regrette un système de jeu presque identique à celui des précédents opus de la série, en particulier Crash Bandicoot 3: Warped, que ce soit dans les mouvements de Crash, la collecte des cristaux, gemmes et reliques ou dans le parcours de niveaux à défilement latéral, alors que Jak and Daxter offre un environnement en monde ouvert. L'angle de caméra fixe, l'imprécision des séquences de plates-formes et les longs temps de chargements des niveaux sont également critiqués, alors que les graphismes soignés, permis par la PlayStation 2 et plus encore par la Xbox, sont salués par la critique. Crash Bandicoot : La Vengeance de Cortex est situé à la quatrième place dans la trame de la série lors de sa sortie, juste après Crash Bandicoot 3: Warped. Il devient le cinquième opus chronologique après la parution de Crash Bandicoot 4: It's About Time en 2020. Ce dernier met en lumière la libération de Cortex et de ses acolytes à l'issue de Warped, auparavant inexpliquée. |
Letizia Battaglia est une photographe et photojournaliste italienne née le à Palerme et morte le dans la même ville. Elle est connue pour son travail sur la Cosa nostra qui a été récompensé par plusieurs prix. Première photographe pour la presse quotidienne italienne, elle dirige le service photo du quotidien de Palerme L'Ora de 1974 à 1990, période durant laquelle elle capture de nombreuses scènes de crimes mafieux et des arrestations qui font entrer ses clichés dans l’histoire sicilienne. Ses photographies, en noir et blanc, s’ancrent aussi dans la vie quotidienne des habitants de l’île, des plus pauvres à ceux issus de l'aristocratie, marquée par la violence, avec une place spéciale accordée aux jeunes filles et aux femmes. À la fin des années 1980, son combat contre la mafia se traduit par un engagement politique notamment aux côtés de Leoluca Orlando à la mairie de Palerme et à La Rete. Après l'assassinat des deux juges anti-mafia Falcone et Borsellino en 1992, elle met fin à son travail photographique sur la Cosa nostra au profit d'activités dans d’autres domaines artistiques (littérature, théâtre). Elle réexplore le passé à travers un projet mêlant archives personnelles et adjonction de nouveaux éléments avec pour thème le corps féminin, pour « exorciser » un passé fait « de violence, de meurtre, de complicité, d'omertà, d'injustice, de peur ». C'est l’espoir et la liberté qu’elle voit à travers les femmes. | |
Les épreuves de natation lors des Jeux olympiques d'été de 1924 organisés à Paris se déroulent du au . Le programme de la natation aux Jeux, qui a varié lors des éditions précédentes, est fixé en 1924 et reste inchangé jusqu'aux Jeux de Melbourne en 1956. Pour les hommes : en nage libre : 100, 400 et 1 500 mètres en individuel et un relais 4 × 200 mètres ; en dos : 100 mètres ; en brasse : 200 mètres. Pour les femmes : en nage libre : un 100 et un 400 mètres en individuel et un relais 4 × 100 mètres ; en dos : 100 mètres ; en brasse : 200 mètres. Pour la première fois, les épreuves de natation ont lieu dans un bassin long de 50 mètres, permanent et destiné à être conservé ensuite : le stade aquatique des Tourelles, construit par la Ville de Paris, Porte des Lilas. Pour la première fois aussi, les couloirs de nage sont matérialisés par des lignes de bouchons. Comme lors des Jeux d'Anvers en 1920, la domination des nageurs et nageuses des États-Unis est totale, laissant peu de place aux autres nations. Seuls la Britannique Lucy Morton, aux 200 mètres brasse et l'Australien Andrew Charlton aux 1 500 mètres nage libre empêchent les nageuses et nageurs américains de remporter toutes les médailles d'or. Ce 1 500 mètres nage libre est aussi la seule course où aucun Américain n'est présent sur le podium. En nage libre, pour la première fois de l'histoire olympique, tous les concurrents et toutes les concurrentes utilisent le crawl, même sur les longues distances. De même, tous les nageurs utilisent la technique du « dos crawlé ». Contrairement aux hommes, certaines nageuses ont conservé l'ancien style de « dos brassé ». L'élimination de ces dernières dès les séries du 100 mètres dos féminin est considérée comme la preuve définitive de la supériorité du « nouveau style ». Si le nageur américain Johnny Weissmuller marque les Jeux sur 100 mètres et 400 mètres nage libre avec sa technique de nage et ses virages d'un nouveau type, les spectateurs admirent aussi les nageuses américaines. Ils rendent par ailleurs hommage aux « vétérans » : l'Hawaïen Duke Kahanamoku, vainqueur du 100 mètres nage libre en 1912 et 1920 qui à 34 ans repart encore avec l’argent sur cette distance ou l'Australien Frank Beaurepaire (33 ans), médaillé de bronze sur 1 500 mètres nage libre comme à Londres en 1908 et Anvers en 1920. Les jumeaux suédois Arne et Åke Borg ainsi que l'Australien Andrew Charlton ont les faveurs du public pour leurs performances éclipsées par celle de Weissmuller. |
Charles Soubre, né le à Liège où il est mort le , est un peintre belge. Le jeune Charles Soubre commence sa formation artistique dès 1834 dans l'atelier de Jules Van Marcke, puis la complète à l'Académie des beaux-arts de Liège et à l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles. Pour couvrir les frais de ses études, il donne des leçons qui occupent la plus grande partie de son temps. En 1853, l'artiste est nommé professeur de dessin à l'Académie des beaux-arts de Liège. Il commence dès lors une longue carrière d'enseignant qui se termine 35 ans plus tard, lorsqu'il démissionne de ses fonctions et reçoit le titre de professeur honoraire en reconnaissance des services rendus à l'Académie. L'artiste est surtout un peintre de sujets historiques, mais aussi de scènes de genre, de portraits, de paysages et de figures féminines. Comme peintre d'histoire, il « cherche, plus qu'aucun autre de ses confrères, ses sources d'inspiration dans l'histoire locale, voire dans les légendes du terroir », comme c'est le cas dans plusieurs de ses œuvres principales telles que la Mort d'Henri IV, empereur d'Allemagne (1850), Une famille noble devant le Conseil des troubles (1873), La Måle Saint-Martin (1876) ou Le Départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de Charles Rogier (1878). Ses compositions historiques reflétant la grandeur picturale prisée à l'apogée de sa carrière connaissent, à la fin de sa vie, un déclin lié aux goûts devenus en vogue. Toutefois, Charles Soubre réalise également des paysages pleinairistes, où la recherche d'équilibre, d'organisation et de synthèse est considérée positivement bien après sa mort. Tout au long de sa carrière artistique, le peintre expose régulièrement aux Salons triennaux belges et lors de différents grands événements internationaux. En plus de multiples participations aux Salon de Bruxelles (16 fois entre 1839 et 1884), Salon d'Anvers (9 fois entre 1840 et 1879) et Salon de Gand (10 fois entre 1844 et 1895), il expose au Salon de peinture et de sculpture à Paris en 1861 et 1863, aux Expositions internationales de Londres en 1872, 1873 et 1874, à l'Exposition universelle de Vienne en 1873, à l'Exposition universelle de Philadelphie en 1876 et à l'Exposition universelle de Sydney de 1879-1880. Cette intense activité est récompensée par une médaille d'or au Salon de Bruxelles de 1866 et une médaille de bronze à l'Exposition universelle de Sydney de 1879-1880. |
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Pasqua Rosée (actif vers 1651-1658) est un domestique du XVIIe siècle célèbre pour avoir ouvert le premier café de Londres, et peut-être même de toute la Grande-Bretagne. Pasqua Rosée vit à Smyrne et entre au service du marchand anglais Daniel Edwards en 1651. Parmi ses attributions, il est chargé de préparer et servir le café à son maître. Il accompagne ce dernier lorsqu'il rentre à Londres où il ouvre un café et place Pasqua Rosée à sa tête. Edwards demande au freeman Christopher « Kitt » Bowman, de devenir l'associé de Pasqua Rosée parce qu'un domestique ne bénéficie pas de la « liberté » de la Cité de Londres donnant droit à l'exercice d'une activité commerciale. Le nombre d'établissements qui vendent du café augmente rapidement après l'ouverture de celui de Pasqua Rosée. Il est mentionné pour la dernière fois dans les sources d'époque en 1658. Son café est tenu par Bowman avec sa femme jusqu'à sa mort, en 1662. Le café de Pasqua Rosée est détruit lors du grand incendie de Londres, en 1666. À son emplacement se dresse un pub, le Jamaica Wine House, édifié dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Une plaque commémorative y est dévoilée en 1952. |
Mosasaurus est un genre fossile de grands squamates marins de la famille des mosasauridés, dont il est le genre type, ayant vécu durant le Crétacé supérieur, il y a entre 82 et 66 millions d'années avant notre ère. Les premiers fossiles de Mosasaurus sont des crânes découverts dans une carrière située près de Maastricht, aux Pays-Bas, à la fin du XVIIIe siècle. L'interprétation de ces fossiles, largement débattue parmi les chercheurs de l'époque, assure la célébrité scientifique du « grand animal de Maastricht ». En 1808, le naturaliste Georges Cuvier décrit l'animal comme un grand reptile marin partageant des similitudes avec les varans, mais différent de tout représentant vivant connu. Bien que Cuvier n'attribue aucun nom scientifique à cet animal, son analyse conforte le concept d'extinction qui apparaît à cette époque. En 1822, William Conybeare nomme l'animal Mosasaurus, qui signifie littéralement « lézard de la Meuse », en référence à sa découverte faite à proximité du fleuve du même nom. Les affinités exactes de Mosasaurus en tant que squamate restent controversées et les scientifiques continuent de débattre pour savoir si les plus proches parents vivants de ce taxon éteint sont les varans ou les serpents. La plus grande espèce connue, M. hoffmannii, a une taille maximale estimée à environ 12 m de long. Le crâne de Mosasaurus présente des mâchoires robustes et dispose de puissants muscles capables de fortes morsures à l'aide de dizaines de grandes dents aptes à couper les proies. Ses quatre membres sont façonnés en forme de pagaies pour diriger l'animal sous l'eau et sa queue est allongée et se projette vers le bas. Mosasaurus possède une excellente vision pour compenser son faible sens de l'odorat et présente un taux d'utilisation métabolique élevé, suggérant qu'il est endotherme, une adaptation que l'on ne trouve que chez les mosasaures parmi les squamates. Une grande diversité morphologique est présente entre les espèces actuellement reconnues de Mosasaurus (allant de M. hoffmannii, de construction robuste, à M. lemonnieri, élancé et de forme serpentine), mais une description des caractéristiques distinctives peu claire de l'espèce type M. hoffmannii a conduit à une classification historiquement problématique. En conséquence, plus de cinquante espèces différentes ont anciennement été attribuées au genre. Une nouvelle description du spécimen holotype publiée en 2017 aide à résoudre le problème taxonomique et confirme qu'au moins cinq espèces appartiennent au genre. Cinq autres espèces encore nominativement classées au sein de Mosasaurus devraient être réévaluées ultérieurement. Des preuves fossiles suggèrent que Mosasaurus se rencontrait dans une grande partie de l'océan Atlantique et des mers adjacentes. Cette présence englobe un large éventail de climats océaniques, notamment tropicaux, subtropicaux, tempérés et subpolaires. Mosasaurus est ainsi un grand prédateur commun dans ces océans, positionné au sommet de la chaîne alimentaire. Les paléontologues pensent que l'animal chasse en eau libre, près de la surface, et que son régime alimentaire inclut pratiquement n'importe quel animal : poissons osseux, requins, céphalopodes, oiseaux et autres reptiles marins, dont les tortues de mer, voire d'autres mosasaures. D'un point de vue écologique, Mosasaurus exerce probablement un impact profond sur la structuration des écosystèmes marins ; son arrivée dans certains endroits, tels que la voie maritime intérieure de l'Ouest en Amérique du Nord, coïncide avec un renouvellement complet des assemblages et de la diversité fauniques. Mosasaurus fait aussi face à la concurrence d'autres grands mosasaures tels que Prognathodon et Tylosaurus (qui sont connus pour avoir chassé des proies similaires) bien qu'ils aient pu coexister dans les mêmes écosystèmes grâce à la partition de niche. Il y a également eu des conflits entre eux, car un exemple de Tylosaurus attaquant un Mosasaurus est documenté. Plusieurs fossiles documentent des attaques délibérées contre des individus de Mosasaurus par des représentants du même taxon. Les combats ont probablement lieu sous la forme de prises au museau, comme chez les crocodiles actuels. | |
San Lazzaro degli Armeni (en français littéralement « Saint-Lazare des Arméniens » ; en vénitien San Làzaro dei Armeni ; en arménien Սուրբ Ղազար կղզի, « île Saint-Lazare ») désigne à la fois un monastère arménien catholique et la petite île dans la lagune de Venise, en Italie, que celui-ci occupe intégralement. Le monastère est le siège de la congrégation des pères mékhitaristes depuis 1717. L'île San Lazzaro degli Armeni est semi-artificielle, ayant été agrandie à plusieurs reprises entre 1717 et 1949 pour atteindre 3 ha. Elle est située à environ 1 km au sud de la ville de Venise et à une centaine de mètres à l'ouest de l'île du Lido. Une vingtaine de personnes, moines et séminaristes, y réside. Tour à tour léproserie, hôpital puis usine d'armement de la république de Venise, l'île de San Lazzaro, alors abandonnée, est attribuée, en 1717, à Mékhitar de Sébaste et ses moines exilés fuyant les persécutions ottomanes à Constantinople et en Grèce. Pour établir leur monastère, les Mékhitaristes restaurent et construisent de nouveaux bâtiments, dont un cloître, un campanile et une imprimerie. Ne cessant de s'étendre au cours des siècles, ils agrandissent l'île, quadruplant sa superficie. Le monastère abrite un musée et de nombreuses collections, en premier lieu une bibliothèque contenant 200 000 ouvrages imprimés ainsi que 3 000 manuscrits datant du VIIIe au XVe siècle. Les collections comprennent également des objets d'art anciens d'Arménie, d'Égypte antique, d'Asie, ainsi que de nombreuses peintures à l'huile. Certains bâtiments du monastère, notamment la bibliothèque et l'église, sont décorés par des fresques murales et des plafonds peints par des artistes italiens des XVIIe siècle et XVIIIe siècle, principalement Francesco Zugno. À partir du début du XVIIIe siècle, les Mékhitaristes de San Lazzaro développent une intense activité culturelle, avant tout par l'édition d'ouvrages en arménien, traitant de grammaire, de poésie et de littérature, mais aussi de l'histoire et de la géographie de l'Arménie. Le monastère de San Lazzaro joue un rôle majeur dans la renaissance culturelle arménienne amorcée au XVIIIe siècle, redécouvrant des ouvrages en arménien classique et publiant notamment le premier dictionnaire arménien (1749) ainsi que la première histoire complète de l'Arménie (1781). La renommée du monastère atteint son apogée au XIXe siècle siècle où nombre d'artistes, d'écrivains, compositeurs ou peintres venus de toute l'Europe séjournent sur l'île. Lord Byron en est certainement celui qui a laissé l'empreinte la plus marquante, une salle de la bibliothèque portant son nom. De nos jours, le monastère continue de jouir d'un grand prestige dans le monde arménien, constituant un passage obligé pour les présidents arméniens ou les catholicos de l'Église apostolique arménienne, malgré l'appartenance des Mékhitaristes au catholicisme. |
Constance Parkin Stokes, née en dans le hameau de Miram, près de Nhill dans l'ouest de l'État de Victoria, et morte le à Melbourne, est une peintre australienne moderniste. Elle suit une formation à l'école d'art de la National Gallery of Victoria jusqu'en 1929 et obtient une bourse pour poursuivre ses études à la Royal Academy of Arts de Londres. Bien que Constance Stokes ait peint peu d'œuvres dans les années 1930, ses peintures et ses dessins sont exposés à partir des années 1940. En 1953, à la demande du Premier ministre Robert Menzies et du Conseil des arts de Grande-Bretagne, est organisée une exposition des œuvres de douze artistes australiens, dont fait partie Constance Stokes. Influencée par George Bell, Constance Stokes fait partie du Melbourne Contemporary Artists, un groupe créé par Bell en 1940. Ses œuvres continuent à être bien considérées pendant de nombreuses années après la formation du groupe, contrairement à celles de nombre de ses collègues modernistes de l'État de Victoria, avec des appréciations favorables de la part de critiques tels que Sir Philip Hendy au Royaume-Uni et Bernard William Smith en Australie. Le décès prématuré de son mari en 1962 contraint Constance Stokes à reprendre sa carrière de peintre, ce qui donne lieu à une exposition individuelle en 1964, sa première en trente ans. Elle continue à peindre et à exposer tout au long des années 1970 et 1980, et fait l'objet d'une rétrospective qui fait le tour des galeries régionales de l'État de Victoria, notamment la Swan Hill Regional Art Gallery et la Geelong Art Gallery en 1985. Elle meurt en 1991 et reste moins célèbre que d'autres femmes artistes, telles que les peintres Grace Cossington Smith et Clarice Beckett, mais sa notoriété reprend un peu de vigueur en tant que personnalité centrale dans le livre d'Anne Summers, The Lost Mother, publié en 2009. Ses œuvres sont présentes dans la plupart des grands musées australiens, notamment la Galerie nationale d'Australie et la National Gallery of Victoria, mais pas la Galerie d'art de Nouvelle-Galles du Sud. |
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