Les Contemplations
1856
Livre premier – Aurore
- I : À ma fille
- II : Le poëte s’en va dans les champs
- III : Mes deux filles
- IV : Le firmament est plein de la vaste clarté
- V : À André Chénier
- VI : La Vie aux champs
- VII : Réponse à un acte d’accusation
- VIII : Suite
- IX : Le poème éploré se lamente
- X : À Madame D. G. de G.
- XI : Lise
- XII : Vere Novo
- XIII : À propos d’Horace
- XIV : Granville, en 1836
- XV : La Coccinelle
- XVI : Vers 1820
- XVII : À M. Froment Meurice
- XVIII : Les Oiseaux
- XIX : Vieille chanson du jeune temps
- XX : À un poëte aveugle
- XXI : Elle était déchaussée, elle était décoiffée
- XXII : La Fête chez Thérèse
- XXIII : L’Enfance
- XXIV : Heureux l’homme, occupé de l’éternel destin
- XXV : Unité
- XXVI : Quelques mots à un autre
- XXVII : Oui, je suis le rêveur ; je suis le camarade
- XXVIII : Il faut que le poëte, épris d’ombre et d’azur
- XXIX : Halte en marchant
Livre deuxième – L’âme en fleur
- I : Premier mai
- II : « Mes vers fuiraient, doux et frêles »
- III : Le Rouet d’Omphale
- IV : Chanson
- V : Hier au soir
- VI : Lettre
- VII : « Nous allions au verger cueillir des bigarreaux »
- VIII : « Tu peux, comme il te plaît, me faire jeune ou vieux »
- IX : En écoutant les oiseaux
- X : « Mon bras pressait la taille frêle »
- XI : « Les femmes sont sur la terre »
- XII : Eglogue
- XIII : « Viens ! – une flûte invisible »
- XIV : Billet du matin
- XV : Paroles dans l’ombre
- XVI : L’Hirondelle au printemps
- XVII : Sous les arbres
- XVIII : « Je sais bien qu’il est d’usage »
- XIX : N’envions rien
- XX : Il fait froid
- XXI : "Il lui disait : Vois-tu, si tous deux nous pouvions"
- XXII : « Aimons toujours ! aimons encore »
- XXIII : Après l’hiver
- XXIV : « Que le sort, quel qu’il soit, vous trouve toujours grande »
- XXV : « Je respire où tu palpites »
- XXVI : Crépuscule
- XXVII : La Nichée sous le portail
- XXVIII : Un soir que je regardais le ciel
Livre troisième – Les luttes et les rêves
- I : Écrit sur un exemplaire de la « Divina Commedia »
- II : Melancholia
- III : Saturne
- IV : Écrit au bas d’un crucifix
- V : Quia pulvis es
- VI : La Source
- VII : La Statue
- VIII : « Je lisais. Que lisais-je ? Oh ! le vieux livre austère »
- IX : « Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans »
- X : Amour
- XI : ?
- XII : Explications
- XIII : La Chouette
- XIV : À la mère de l’enfant mort
- XV : Épitaphe
- XVI : Le Maître d’études
- XVII : Chose vue un jour de printemps
- XVIII : Intérieur
- XIX : Baraques de la foire
- XX : Insomnie
- XXI : Écrit sur la plinthe d’un bas-relief antique
- XXII : « La clarté du dehors ne distrait pas mon âme »
- XXIII : Le Revenant
- XXIV : Aux arbres
- XXV : « L’enfant, voyant l’aïeule à filer occupée »
- XXVI : Joies du soir
- XXVII : « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie »
- XXVIII : Le Poëte
- XXIX : La Nature
- XXX : Magnitudo parvi
Livre quatrième – Pauca Meae
- I : « Pure innocence ! Vertu sainte »
- II : 15 février 1843 – 4 septembre 1843
- III : Trois ans après
- IV : « Oh ! je fus comme fou dans le premier moment »
- V : « Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin »
- VI : « Quand nous habitions tous ensemble »
- VII : « Elle était pâle, et pourtant rose »
- VIII : « À qui donc sommes-nous ? Qui nous a ? qui nous mène ? »
- IX : « Ô souvenirs ! printemps ! aurore ! »
- X : « Pendant que le marin, qui calcule et qui doute »
- XI : « On vit, on parle, on a le ciel et les nuages »
- XII : À quoi songeaient les deux cavaliers dans la forêt
- XIII : Veni, vidi, vixi
- XIV : « Demain, dès l’aube, à l'heure où blanchit la campagne »
- XV : À Villequier
- XVI : Mors
- XVII : Charles Vacquerie
Livre cinquième – En marche
- I : À Aug. V.
- II : Au fils d’un poëte
- III : Écrit en 1846 – Écrit en 1855
- IV : « La source tombait du rocher »
- V : A Mademoiselle Louise B.
- VI : À vous qui êtes là
- VII : « Pour l’erreur, éclairer, c’est apostasier »
- VIII : À Jules J.
- IX : Le Mendiant
- X : Aux Feuillantines
- XI : Ponto
- XII : Dolorosae
- XIII : Paroles sur la dune
- XIV : Claire P.
- XV : À Alexandre D.
- XVI : Lueur au couchant
- XVII : Mugitusque boum
- XVIII : Apparition
- XIX : « Au poète qui m’envoie une plume d’aigle »
- XX : Cérigo
- XXI : A Paul M., auteur du drame « Paris »
- XXII : « Je payai le pêcheur qui passa son chemin »
- XXIII : Pasteurs et troupeaux
- XXIV : « J’ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline »
- XXV : « Ô strophe du poëte, autrefois, dans les fleurs »
- XXVI : Les Malheureux
Livre sixième – Au bord de l’infini
- I : Le Pont
- II : Ibo
- III : « Un spectre m’attendait dans un grand angle d’ombre »
- IV : « Ecoutez. Je suis Jean. J’ai vu des choses sombres »
- V : Croire, mais pas en nous
- VI : Pleurs dans la nuit
- VII : « Un jour, le morne esprit, le prophète sublime »
- VIII : Claire
- IX : À la fenêtre, pendant la nuit
- X : Éclaircie
- XI : « Oh ! par nos vils plaisirs, nos appétits, nos fanges »
- XII : Aux anges qui nous voient
- XIII : Cadaver
- XIV : « Ô gouffre ! l’âme plonge et rapporte le doute »
- XV : À celle qui est voilée
- XVI : Horror
- XVII : Dolor
- XVIII : « Hélas ! tout est sépulcre. On en sort, on y tombe »
- XIX : Voyage de nuit
- XX : Religio
- XXI : Spes
- XXII : Ce que c’est que la mort
- XXIII : Les Mages
- XXIV : En frappant à une porte
- XXV : Nomen, numen, lumen
- XXVI : Ce que dit la bouche d’ombre
FIN