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Les Contemplations

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Version datée du 16 janvier 2007 à 22:00 par BigonL (discussion | contributions) (→‎Livre quatrième – Pauca Meae : quelques titres ont changé)


Les Contemplations
1856


Livre premier – Aurore

I : À ma fille
II : Le poëte s’en va dans les champs
III : Mes deux filles
IV : Le firmament est plein de la vaste clarté
V : À André Chénier
VI : La Vie aux champs
VII : Réponse à un acte d’accusation
VIII : Suite
IX : Le poème éploré se lamente
X : À Madame D. G. de G.
XI : Lise
XII : Vere Novo
XIII : À propos d’Horace
XIV : Granville, en 1836
XV : La Coccinelle
XVI : Vers 1820
XVII : À M. Froment Meurice
XVIII : Les Oiseaux
XIX : Vieille chanson du jeune temps
XX : À un poëte aveugle
XXI : Elle était déchaussée, elle était décoiffée
XXII : La Fête chez Thérèse
XXIII : L’Enfance
XXIV : Heureux l’homme, occupé de l’éternel destin
XXV : Unité
XXVI : Quelques mots à un autre
XXVII : Oui, je suis le rêveur ; je suis le camarade
XXVIII : Il faut que le poëte, épris d’ombre et d’azur
XXIX : Halte en marchant

Livre deuxième – L’âme en fleur

I : Premier mai
II : « Mes vers fuiraient, doux et frêles »
III : Le Rouet d’Omphale
IV : Chanson
V : Hier au soir
VI : Lettre
VII : « Nous allions au verger cueillir des bigarreaux »
VIII : « Tu peux, comme il te plaît, me faire jeune ou vieux »
IX : En écoutant les oiseaux
X : « Mon bras pressait la taille frêle »
XI : « Les femmes sont sur la terre »
XII : Eglogue
XIII : « Viens ! – une flûte invisible »
XIV : Billet du matin
XV : Paroles dans l’ombre
XVI : L’Hirondelle au printemps
XVII : Sous les arbres
XVIII : « Je sais bien qu’il est d’usage »
XIX : N’envions rien
XX : Il fait froid
XXI : "Il lui disait : Vois-tu, si tous deux nous pouvions"
XXII : « Aimons toujours ! aimons encore »
XXIII : Après l’hiver
XXIV : « Que le sort, quel qu’il soit, vous trouve toujours grande »
XXV : « Je respire où tu palpites »
XXVI : Crépuscule
XXVII : La Nichée sous le portail
XXVIII : Un soir que je regardais le ciel

Livre troisième – Les luttes et les rêves

I : Écrit sur un exemplaire de la « Divina Commedia »
II : Melancholia
III : Saturne
IV : Écrit au bas d’un crucifix
V : Quia pulvis es
VI : La Source
VII : La Statue
VIII : « Je lisais. Que lisais-je ? Oh ! le vieux livre austère »
IX : « Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans »
X : Amour
XI : ?
XII : Explications
XIII : La Chouette
XIV : À la mère de l’enfant mort
XV : Épitaphe
XVI : Le Maître d’études
XVII : Chose vue un jour de printemps
XVIII : Intérieur
XIX : Baraques de la foire
XX : Insomnie
XXI : Écrit sur la plinthe d’un bas-relief antique
XXII : « La clarté du dehors ne distrait pas mon âme »
XXIII : Le Revenant
XXIV : Aux arbres
XXV : « L’enfant, voyant l’aïeule à filer occupée »
XXVI : Joies du soir
XXVII : « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie »
XXVIII : Le Poëte
XXIX : La Nature
XXX : Magnitudo parvi

Livre quatrième – Pauca Meae

I : « Pure innocence ! Vertu sainte »
II : 15 février 1843 – 4 septembre 1843
III : Trois ans après
IV : « Oh ! je fus comme fou dans le premier moment »
V : « Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin »
VI : « Quand nous habitions tous ensemble »
VII : « Elle était pâle, et pourtant rose »
VIII : « À qui donc sommes-nous ? Qui nous a ? qui nous mène ? »
IX : « Ô souvenirs ! printemps ! aurore ! »
X : « Pendant que le marin, qui calcule et qui doute »
XI : « On vit, on parle, on a le ciel et les nuages »
XII : À quoi songeaient les deux cavaliers dans la forêt
XIII : Veni, vidi, vixi
XIV : « Demain, dès l’aube, à l'heure où blanchit la campagne »
XV : À Villequier
XVI : Mors
XVII : Charles Vacquerie

Livre cinquième – En marche

I : À Aug. V.
II : Au fils d’un poëte
III : Écrit en 1846 – Écrit en 1855
IV : « La source tombait du rocher »
V : A Mademoiselle Louise B.
VI : À vous qui êtes là
VII : « Pour l’erreur, éclairer, c’est apostasier »
VIII : À Jules J.
IX : Le Mendiant
X : Aux Feuillantines
XI : Ponto
XII : Dolorosae
XIII : Paroles sur la dune
XIV : Claire P.
XV : À Alexandre D.
XVI : Lueur au couchant
XVII : Mugitusque boum
XVIII : Apparition
XIX : « Au poète qui m’envoie une plume d’aigle »
XX : Cérigo
XXI : A Paul M., auteur du drame « Paris »
XXII : « Je payai le pêcheur qui passa son chemin »
XXIII : Pasteurs et troupeaux
XXIV : « J’ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline »
XXV : « Ô strophe du poëte, autrefois, dans les fleurs »
XXVI : Les Malheureux

Livre sixième – Au bord de l’infini

I : Le Pont
II : Ibo
III : « Un spectre m’attendait dans un grand angle d’ombre »
IV : « Ecoutez. Je suis Jean. J’ai vu des choses sombres »
V : Croire, mais pas en nous
VI : Pleurs dans la nuit
VII : « Un jour, le morne esprit, le prophète sublime »
VIII : Claire
IX : À la fenêtre, pendant la nuit
X : Éclaircie
XI : « Oh ! par nos vils plaisirs, nos appétits, nos fanges »
XII : Aux anges qui nous voient
XIII : Cadaver
XIV : « Ô gouffre ! l’âme plonge et rapporte le doute »
XV : À celle qui est voilée
XVI : Horror
XVII : Dolor
XVIII : « Hélas ! tout est sépulcre. On en sort, on y tombe »
XIX : Voyage de nuit
XX : Religio
XXI : Spes
XXII : Ce que c’est que la mort
XXIII : Les Mages
XXIV : En frappant à une porte
XXV : Nomen, numen, lumen
XXVI : Ce que dit la bouche d’ombre
À celle qui est restée en France

FIN