Victor Dixen's Reviews > Le Tombeau des Immortels

Chères lectrices, chers lecteurs,

J'ai le plaisir de vous convier dans les pages de la trilogie VAMPYRIA AMERICA. Je vous invite à découvrir des Amériques uchroniques, baroques et vampyriques… Le temps s’y est arrêté et elles n’ont jamais connu l’indépendance. Aujourd’hui encore, les Treize Colonies anglaises s’étendent sur la côte Est, tandis que la Nouvelle-Espagne remonte sur la côte Ouest et qu’une immense Louisiane française occupe tout le cœur du continent. Partout, les Immortels étendent leur joug glacé.


Pour imaginer ces Amériques alternatives, j’ai utilisé mon expérience de ces terres que j’ai arpentées. C’est dans les souvenirs de mes années new-yorkaises que j’ai puisé pour écrire "Le Tombeau des Immortels". La ville-monde a laissé en moi une marque indélébile, à travers sa démesure, ses splendeurs et ses excès. J’ai essayé de capter son esprit dans ces pages, pour en livrer une version ténébreuse : la « ville qui ne dort jamais », aux nuits peuplées de prédateurs en chasse.


Dans le Nouveau Monde toutefois, le règne des vampyres se heurte à une autre force mystique. Depuis les marais de Salem jusqu'au coeur des forêts sauvages et dans les entrailles mêmes de New York, les sorcières suivent leurs propres desseins : face aux Seigneurs de la Nuit se dressent les Filles de la Désolation.


Maintenant que le décor est planté, le moment est venu pour moi de vous laisser en compagnie des six Desperados, eux à qui les vampyres ont tout arraché… mais c’est justement parce qu’ils n’ont plus rien à perdre qu’ils peuvent tout risquer.

ARCHER MOLTON JR.
Un ardent puritain ayant perdu la foi.


ANNABEL LEE
Une belle du Sud qui fut belle autrefois.


DEZIREE DAWSON
Une artiste prodige au génie envolé.


RAFAEL DE MONTESUEÑO
Un sombre chevalier au coeur écartelé.


WAYA DE LA VALLÉE BLEUE
Un chasseur cherokee sacrifié par les siens.


SIBYL
Une sorcière immolée, spectre nécromancien.


Ils ont rendez-vous dans un ténébreux hôtel :
l’impie fosse aux vampyres, tombeau des immortels !

Ténébreusement vôtre,

VICTOR