Papers by Jean-Marie Merle
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2003
CO-ENONCIATION ET CO-LOCUTION. ARTICULATIONS Jacqueline GUILLEMIN-FLESCHER Sujet énonciateur et s... more CO-ENONCIATION ET CO-LOCUTION. ARTICULATIONS Jacqueline GUILLEMIN-FLESCHER Sujet énonciateur et sujet de l'énoncé dans la relation d'interlocution fictive .
Hypothetical protases and tuncality
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), Apr 1, 1999
Prépositions et aspectualité
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2014
Contrastes, hommage à Jacqueline Guillemin-Flescher
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2004
330 pagesno abstrac
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2003
CO-ENONCIATION ET CO-LOCUTION. ARTICULATIONS Jacqueline GUILLEMIN-FLESCHER Sujet énonciateur et s... more CO-ENONCIATION ET CO-LOCUTION. ARTICULATIONS Jacqueline GUILLEMIN-FLESCHER Sujet énonciateur et sujet de l'énoncé dans la relation d'interlocution fictive .
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2003
Présentation générale par Marie-Claude Paris et Alain Peyraube
Peter Lang eBooks, Jul 11, 2016
Présentation générale
Faits De Langues, 2014
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2003
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2004
Prépositions et aspect
L'Information Grammaticale, Mar 31, 2008

HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2001
Les deux emplois du conditionnel donnés pour les plus représentatifs (cf. ch. 1 2) correspondent ... more Les deux emplois du conditionnel donnés pour les plus représentatifs (cf. ch. 1 2) correspondent l'un à un repérage de type hypothétique, l'autre à un repérage temporel. S'ils sont présentés ici en premier, c'est sans doute parce qu'ils sont au centre du débat évoqué au premier chapitre. Mais, comme il a été dit, les autres emplois du conditionnel ne sont nullement périphériques (ce serait même plutôt le contraire selon les contextes) et on ne peut décrire le conditionnel sans tenter de rendre compte de tout l'éventail qu'il est capable de couvrir. On verra au demeurant, dans la troisième partie de ce chapitre, que les deux emplois qui nourrissent le débat depuis près de deux siècles, loin de s'opposer, sont parfaitement à même de se superposer. 4.1. Repérage hypothétique (repérage par rapport à une hypothèse, donc en rupture par rapport aux coordonnées de l'énonciation principale : valeur « modale ») : (7a) [...] si j'étais à ta place, je ferais réparer cette marche au plus vite. (Les Bijoux de la Castafiore, p. 17) 1 Chapitre 4 de Jean-Marie Merle, 2001, Étude du conditionnel français et de ses traductions en anglais, Collection « Linguistique contrastive et traduction » dirigée par Jacqueline Guillemin-Flescher, Paris / Gap, Ophrys.

HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), Apr 1, 2019
Définition de l'aspect L'aspect est un phénomène linguistique difficile à définir et dont on n'a ... more Définition de l'aspect L'aspect est un phénomène linguistique difficile à définir et dont on n'a pas fini de cerner les manifestations en anglais contemporain. Le terme d'aspect est apparu 1 en français (1450) dans l'expression estre en l'aspect de « être sous le regard, l'examen de (qqun) », « être en face de », autrement dit dans une expression représentant une situation d'observation. Le Larousse définit l'aspect comme a/ « la manière dont une chose se présente à la vue » [ce qui définit l'aspect proprement dit ; « chose » renvoyant aux paradigmes des référents, des procès, des états de fait et des événements] ; b/ « la manière d'envisager quelque chose » [ce qui définit le point de vue]. L'aspect est donc relatif, aspect et point de vue étant complémentaires. Le point de vue se caractérise-sans nécessairement qu'elle soit matérialisée en discours-par une situation d'observation, spécifique ou non, imaginaire ou non, stéréotypée ou non. L'aspect peut se définir comme la manifestation-portée par un lexème, un syntagme, une relation, un énoncé-d'un point de vue sur un référent (her future husband, the expresident, the late Mrs Jones, an adolescent), sur un état de fait (you're being silly, they've bought a new house, she's been waiting outside), sur un événement (she found a ten-dollar bill, the poor man froze to death). Autrement dit l'aspect, dans une réalisation linguistique, est le reflet d'un point de vue. En intégrant ces deux composantes, on peut redéfinir la fonction de l'aspect comme une saisie référentielle, qui contribue à la mise en place ou à la détermination d'un référent (représenté par un syntagme nominal), d'un procès (représenté par un prédicat), d'un événement ou d'un état de fait (représentés par une relation prédicative munie de sa détermination) :-her future husband / she is to do the job-saisie prospective ;-You're being silly-saisie sécante ;

Cette réflexion 2 porte sur les participes (participe présent-Ving-comme writing et participe pas... more Cette réflexion 2 porte sur les participes (participe présent-Ving-comme writing et participe passé-Ven-comme written) et la façon dont ils sont concernés par l'aspect. L'observation montre que les deux participes, participe présent et participe passé, ont des points communs : leur dépendance, notamment, puisqu'ils ne sont pas porteurs de temps, et le fait d'avoir l'un et l'autre des caractéristiques aspectuelles-aspect et dépendance allant de pair. Mais il existe une divergence fondamentale entre ces deux participes : l'hypothèse défendue ici est que le participe présent (writing) est atélique et le participe passé (written) télique. Rappels. Télique vient du grec telos = borne, limite, terme, qui a donné deux concepts : celui de téléonomie (= intentionnalité) et celui de télicité (propriété d'être porteur d'une borne de droite). Télique, muni d'une borne de droite, s'oppose à atélique, dépourvu de borne de droite. D'une façon plus générale, atélique signifie « dont les bornes ne sont pas pertinentes ». L'aspect est dans l'énoncé la manifestation d'un point de vue. Autrement dit, l'aspect est par essence dépendant, et les marques d'aspect sont des marques de dépendance : elles sont dépendantes de coordonnées, des coordonnées du repère point de vue, notamment, ou de la situation d'énoncé sur laquelle elles sont indexées. C'est aussi le cas des participes : En tant que formes non finies (non porteuses de temps), les participes sont fondamentalement dépendants. Plan-1. Définition du participe / 2. Propriétés du participe : ni relatives réduites, ni circonstants / 3. Deux fonctions syntaxiques possibles : intégrés (épithétiques : caractérisation-propriété saillante) et apposés (co-prédicats) / 4. La dépendance des participes / 5. Participe « présent » ? Participe « passé » ? Atélicité du participe présent ; télicité du participe passé / 6. Participe atélique Ving / 7. Télicité : résultativité VS Acquis d'expérience ; Gestion de la télicité ; Construction de la télicité en discours / 8. Conclusions
Verba sonandi : représentation linguistique des cris d'animaux / sous la direction de Ekaterina Rakhilina, Irina Kor Chahine et Jean-Marie Merle

Organisation informative et structuration de l'énoncé ; Les prépositions
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2011
Ce volume contient des articles portant sur deux themes de reflexion abordes dans le cadre des re... more Ce volume contient des articles portant sur deux themes de reflexion abordes dans le cadre des reunions du CLAIX : d'une part, la structure informative des enonces ; d'autre part, les prepositions. La reflexion sur la structure informative des enonces exige une vue globale, sur laquelle s'interrogent Claude Hagege, Renaud Mery et Christian Touratier. Cl. Hagege montre que l'analyse selon trois points de vue - " morphosyntaxique, semantico-referentiel, enonciatif-hierarchique " - est mieux a meme de rendre compte des faits linguistiques qu'une analyse selon le signe biface de l'orthodoxie saussurienne. R. Mery montre comment le concept de reperage permet de mettre en evidence la structuration et de la fonction informative de l'enonce. Ch. Touratier s'interroge sur certains faits syntaxiques et leur relation avec la structure informative. Viennent ensuite deux articles, de Jean Guilbert et de Pierre-Yves Dufeu, qui respectivement portent sur la valeur informative des differents segments d'un enonce donne, et sur la sequence injonctive en ancien francais. Les prepositions des langues indo-europeennes sont envisagees par Paul Garde dans l'une de leurs particularites : celle de s'employer egalement comme preverbes. Francoise Douay s'interesse, en diachronie, a la place donnee a la preposition par les grammairiens, de l'Antiquite a l'aube du XVIIIe s. Christian Touratier et Dominique Batoux analysent respectivement en latin et en allemand le role des cas dans l'interpretation de la syntaxe et dans la construction du sens. Sophie Saffi & Luciana Soliman etudient en dans une perspective guillaumienne, ainsi que ses homologues en italien. Alberto Bramati et Francoise Nin observent les syntagmes prepositionnels et le probleme que pose leur traduction dans une approche comparative entre le francais et, respectivement, l'italien et l'espagnol. Charles Zaremba met en evidence l'asymetrie des prepositions du polonais exprimant l'anteriorite et la posteriorite, et il compare deux paradigmes de composition prepositive. Jean-Marie Merle, enfin, envisage differentes caracteristiques de la fonction prepositionnelle, puis il examine le role de deux prepositions dans les structures resultatives en anglais.

Linx, Dec 1, 1999
Noncal (dérivé du latin nunc) et toncal (dérivé du latin tunc) sont des termes empruntés à J. Dam... more Noncal (dérivé du latin nunc) et toncal (dérivé du latin tunc) sont des termes empruntés à J. Damourette et E. Pichon (1936 / 1970, tome 5 : 174 et suivantes). Le terme de noncal désigne le plan englobant les coordonnées-origine. Celui de toncal s'applique à tous les temps grammaticaux (imparfait, plus-que-parfait, conditionnel) situant un procès-et la relation nouée par ce procès-dans un plan (toncal) en rupture par rapport au plan des coordonnées-origine. Une note indiquera plus bas (note 9) la distinction que l'on fait entre rupture aoristique (directe) et rupture toncale, celle-ci correspondant à la structuration d'un plan toncal. 2 En milieu toncal-lorsque l'on rencontre les marqueurs des temps grammaticaux énumérés, ou marqueurs de toncalité, de repérage dans un plan toncal-un repère hypothétique n'est souvent identifiable en tant que tel, et son statut-« irréel 1 », potentiel, rhétorique-n'est intelligible 2-qu'en fonction de la conscience que l'on peut avoir du travail préalable dont il résulte et du préconstruit à partir duquel l'énonciateur lui confère le statut de repère hypothétique. Genèse et interprétation des repères hypothétiques en milieu toncal-entre a...

HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2011
Cet article commencera par quelques remarques générales sur le fonctionnement des prépositions en... more Cet article commencera par quelques remarques générales sur le fonctionnement des prépositions en anglais 1. J'envisagerai successivement leur statut syntaxique, en commençant par l'approche de Jespersen (1924), qui les classe parmi les particules (§ 1), et celle de Huddleston & Pullum (2002), qui annexent les particules adverbiales à la catégorie de la préposition (§ 2) ; leur intégration au « syntagme prépositionnel » (§ 3) ; leur fonction de mise en relation de deux éléments, ou fonction diastématique (§ 4) ; les relations de repérage qu'elles mettent en oeuvre (§ 5) : repérage énonciatif par indexation sur une situation d'énoncé (ou d'énonciation) ; repérage structurel par incidence sur un support ; repérage sémantico-référentiel (§ 6), mis en place par les deux premiers. J'aborderai enfin le rôle d'un couple de prépositions, into / out of 2 (locution prépositive), à l'intérieur de structures résultatives (§ 7), pour exprimer l'accès à la validation ou à la non validation du nexus 3 résultatif.
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2001
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