S’abonner pour voir la note

Réservé aux abonnés
Publié le 17 septembre 2019 à 08h00
Mis à jour le 08 novembre 2021 à 00h43
Du gros roman de Donna Tartt, paru en 2013, on retrouve les belles inventions littéraires. Par exemple, qu’un enfant pris dans le chaos d’un attentat contre un musée de New York dérobe instinctivement le tableau précieux qu’il regardait avec sa mère, tuée, elle, sur le coup. Ou que, des années après, ce garçon retrouve une fille, présente aussi lors de l’explosion, et que ces deux-là ne puissent vivre pleinement leur attirance mutuelle, lestée à jamais par la tragédie... Mais, hormis quelques scènes intenses, sur deux heures et demie de mélodrame, le réalisateur John Crowley (Boy A) n’apporte qu’une sage mise en images à ce scénario qui semblait tendre les bras à Hollywood.
aux abonnés
sans engagement, résiliable à tout moment
L’avis des abonnés
Retrouver toutes vos avis dans notes et critiques
Veuillez réessayer dans quelques instants
Les commentaires sont soumis à des règles de modération. Lire notre charte
Vous avez déjà contribué. Retrouvez vos critiques dans la rubrique mes notes et critiques
Voir mes notes et critiques