Ce jour-là, la vie de deux jeunes filles et d'un garçon déçus de ce monde aurait dû s'achever, mais par malchance, leur tentative de mettre fin à leur vie a échoué : ils ont survécu. Lorsqu'ils reprennent connaissance à l'hôpital, ils se découvrent dotés d'étranges "pouvoirs" ; des pouvoirs qui, en principe, ne se transmettent que par le sang chez les alliés de la justice que l'on appelle "héros"...
3,5/5 Très sombre et trash, du genre qui plairait beaucoup aux fan de the boys je pense !
Des ado gagnent des pouvoirs après leur tentative de suicide raté, et s’en rendent compte lors de leur internement dans un centre psychiatrique. En même temps on suit le duo de super-héros qui protègent la ville mais dont on se rend vite compte qu’ils sont à la solde du maire corrompu…
Avertissement de contenu : tentative de suicide, suicide, tentative de viol, sang, meurtre, souvenirs traumatiques, pour la plupart on ne sait pas vraiment ce qui les a poussé à l’acte mais des choses assez dure et sombres sont laissées entendre
La intensidad que puede rozar la vergüenza ajena del teenage angst más la trama de The Boys (gente corriente con superpoderes que no necesariamente van a usar para hacer el bien), todo ello con un arte impresionante.
Une découverte incroyable, un récit dynamique et prenant !!
Trois adolescents se rencontrent dans un même hôpital suite à leur tentatives de suicides ratées. Ayant des passés très differents, tout les oppose, sauf leur acte.
Il semblerait que cela leur ai permis de développer d'étranges pouvoirs. Ayant perdu tout espoir en l'humanité, ils décident de s'allier et d'acter pour le mal. Ils se nomment alors EVOL ("Evil").
En parallèle, nous suivons deux super héros qui, à contrario, tentent de garder un monde en paix. Mais à quel prix ?
Un bon début pour ce premier tome de la série Evol dont j'avais entendu dire des merveilles. Maladie mentale, tentative de suicide, des jeunes ados en malaise existentiel vivant dans un monde sordide où les super héros existent et ont très peu de 'super' Kaneko plante ici le décor pour un début de série prometteur et qui me tarde de continuer.
“In questo mondo pieno di supereroi noi saremo i cattivi. Di quelli veramente cattivi, odiati e tenuti da tutti. E stavolta non saremo noi a restarci secchi, ma il resto del mondo”.
Avevo il terrore di imbattermi nell’ennesimo opera supereoistica che mi avrebbe fatto sbadigliare, e invece Evol ribalta la prospettiva mostrandoti i cattivi all’opera. Certo, in questo primo volume i supereroi non è che siano senza macchia, anzi, sono marci come i padroni che servono. Lo stile di Kaneko si conferma super riconoscibile dopo Soil: minimalista, un bianco onnipresente e un nero deciso ed espressivo.
Premier tome plutôt sympa autour du concept de héros et vilains. J'ai bien aimé les nuances apportées sur la thématique via les Lightning. La bande d'ados a du potentiel et j'ai trouvé leurs pouvoirs sympas. Les personnages manquaient tout de même de nuances et de développement, espérons que ça s'améliore par la suite. J'ai apprécié les dessins et le découpage, le tout était dynamique. Par contre l'histoire est un peu trop violente et trash pour moi.
C’e’ una visione quasi aristocratica dei supereroi: i superpoteri si ricevono dalla nascita (e sono ereditari) e non si può cambiare in alcun modo. Sembrano essere un’eccezione i tre protagonisti, che però hanno, a eccezione di Akari (spara palle di fuoco), dei poteri un po’ sfigati: Sakura (la cheerleader stronza) può levitare fino a un massimo di 5 cm, mentre il ragazzo, Nozomi, può fare un piccolo buco su ogni superficie. Akari e’ la figlia del capo della polizia Lo stile è’ interessante: bianchi e neri nettissimi, ma disegni abbastanza morbidi, e largo uso di retini. I villain sembrano essere abbastanza sfaccettati: il sindaco e’ si corrotto e usa i supereroi (specialmente lighting volt) per coprire i suoi loschi affari, ma e’ (o almeno così sembra) anche attento al benesssere dei suoi cittadini, e Lighting Volt e’ al soldo del sindaco perché vuole salvare il padre, intrappolato in un profondo coma. Ci sono dei momenti (come negli ultimi due capitoli) in cui la narrazione e’ non lineare.
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3 adolescentes en un psiquiátrico adquieren poderes después de intentar suicidarse. Estoy dentro. Me recuerda en algunas cosas a "Misfits"(serie TV). Lo que ocurre que si este manga cumple con la propuesta del trío protagonista tiene mucho para exprimir: la evolución de tres adolescentes que están bien jodidos van a empezar a construirse como villanos. Me interesa mucho el "cómo" se va a desarrollar eso.
L'histoire tourne autour de jeunes gens qui se retrouvent avec des pouvoirs assez nuls après des tentatives de suicide râtées. Se sentant rejetés par la société, ils décident de faire le mal et de semer le chaos.
🔥 La société dépeinte est sombre et austère, l'élite corrompue garde le pouvoir de manière discutable au détriment des plus humbles. À part l'existence de super héros, on ne se sent donc pas dépaysés.
Les super héros ont une face toute aussi sombre, à l'image de la société dans laquelle ils évoluent. L'individualisme et le matérialisme gangrenent le système.
🧷 Un gros côté punk, anarchiste, chaotique... sympathique ressort de ce manga très sombre et pessimiste, c'est sanglant, c'est trash et ça défoule !
J'apprécie la série pour le moment, même si le rythme se relâche sur les derniers volumes, j'attends toujours la suite avec plaisir, en espérant avoir une fin explosive !
Le gros, énorme, titanesque point noir, c'est le prix. Parce que ouais c'est un bon manga, mais 20 balles le quart d'heure de lecture c'est n'importe quoi.