Lotta continua : art et « prostitution ». L'art n’existe que s’il retourne la vue, interroge le regard qui est sensé le voir. De l'œil au regard s'instruit un glissement : l'art fissure énigmatiquement les certitudes acquises de la contemplation fétichiste ou de la possession carnassière des images. Plus qu'une autre Deborah De Robertis l'a compris est en a fait le centre de son actionnisme. Face à la peinture de nu (ou plutôt devant elle) et au moment où le musée d'Orsay présentait…
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