Guide To Nursing Management and Leadership 8th Edition Tomey Test Bank
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MULTIPLE CHOICE
1. A staff nurse was asked by the nurse manager to be the charge nurse because of the staff
nurse’s long history of effective decision making. The staff nurse attributed her effective
decision making to:
a. Minimal knowledge
b. The nurse manager’s modeling of effective decision making
c. Good decision making by the physician
d. Supportive hospital personnel
ANS: B
Problem solving is a skill that can be learned, and because staff nurses can learn by
observing their leaders, good decision making by the leader may do more than solve
immediate problems. More important for the long term, it can foster good decision making
by staff nurses.
REF: 63
REF: 64
REF: 65
REF: 66
5. The nurse manager expected her staff to be able to log into evidence-based practice websites
to update policies and procedures. This is an example of what element of reasoning?
a. Purpose or goal
b. Question at issue
c. Frame of reference
d. Empirical dimension
ANS: D
Reasoning is only as sound as the evidence on which it is based. The evidence should be
clear, relevant, accurate, adequate, fairly gathered and reported, and consistently applied.
REF: 67
6. The staff nurse is assessing the need for further teaching for a preoperative surgical client.
Based on the steps of critical thinking, what is the nurse’s first priority?
a. Identifying the problem
b. Developing a frame of reference
c. Identifying implications and consequences
d. Implementing inferences and conclusions
ANS: A
All reasoning is an attempt to prevent or solve a problem, figure something out, or answer a
question.
REF: 67
7. The nurse manager of the labor and delivery room sees the need to develop a new policy
that allows members of the extended family into the delivery room. This policy change
would have to be presented to the medical staff. What type of structure would the nurses use
to develop the new policy?
a. Task force
b. Ad hoc committee
c. Formal committee
d. Line committee
ANS: C
Formal committees are part of the organizational structure and have specific duties and
authority. Formal committees tend to be permanent.
REF: 69
8. Three charge nurses were assigned by the nurse manager to develop a method for keeping
the crash cart stocked after each shift. What type of structure would best accomplish this
assignment?
a. Task force
b. Ad hoc committee
c. Informal committee
d. Line committee
ANS: B
Ad hoc committees are generally most useful when appointed for a specific purpose. A
committee appointed to collect data, analyze it, and make recommendations is an ad hoc
committee.
REF: 69
9. The hospital holds weekly meetings of a nurse manager council that discuss identified
problem areas and makes recommendations to a central council or administration. This is a
form of:
a. Ad hoc committee
b. Informal committee
c. Shared governance council
d. Task force
ANS: C
Although the ultimate responsibility for a decision is the top administrator’s, that burden can
be shared through the use of committees and shared governance councils.
REF: 69
10. The nurse manager wants to ensure that consensus has been reached at the monthly staff
meeting. Consensus occurs when the committee members agree that they can live with the
decision even if it is not the decision they would prefer. One way for the nurse manager to
help build consensus among the committee members is to:
a. Help them understand their responsibilities
b. Evaluate their work
c. Implement their decisions
d. Involve them in critical and creative thinking
ANS: D
To build consensus, the nurse manager (or chairperson) listens to all committee members,
uses the ideas, and gets people onto the team by involving them in critical thinking, creative
thinking, and realistic critiquing of ideas.
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garçon boucher sont-ils seuls à porter au côté l’instrument de leur
profession, l’un le sabre et l’autre la pierre à affûter ? On reste
stupéfait de la vénération qui s’attache aux emblèmes honorifiques.
Pourquoi des hommes inspirent-ils plus de respect en s’enveloppant
les jambes dans l’unique fourreau d’une robe que dans les deux
fourreaux d’un pantalon ? Passe-t-il un enterrement ? Stupeur
nouvelle. Bien qu’ils aient l’horreur et l’effroi de la mort, les hommes
la saluent comme une amie et les femmes l’honorent du même signe
que leur dieu. Tous tolèrent, bien qu’ils cherchent à l’écarter de leur
pensée, qu’elle s’impose en spectacle, conduite par un cocher à
silhouette de polichinelle, entourée de déguisés macabres, suivie
d’une foule où tout choque, la douleur vraie qui s’exhibe, et
l’indifférence qui se masque mal.
Ainsi, qu’on lise un journal, un livre, ou qu’on observe la vie de ce
regard dépouillé, nos mœurs ne cessent pas de surprendre. Leurs
lois apparaissent incohérentes, mettant ici de la honte sur une
maladie, là de la gloire sur le massacre, parfois aussi injuste dans
leurs pudeurs que dans leurs enthousiasmes, dans leurs sévérités
que dans leurs indulgences, dans le choix de leurs victimes
innocentes que dans celui de leurs héros malfaisants.
C’est pourquoi un rigoureux examen s’impose, devant l’amas des
coutumes, énorme bric-à-brac hérité d’un passé proche ou lointain,
où se côtoient l’excellent et le pire, le robuste et le vermoulu, le
grotesque et le charmant. Autant il importe de conserver, de
consolider les bons usages, autant il est juste de travailler à détruire
les mauvais.
La vie en souplesse.
L’inutile tristesse.
Le « plan du réel ».
« Mais, en montrant aux enfants la vie telle qu’elle est, vous allez
en faire d’affreux petits sceptiques, des pessimistes féroces et
recroquevillés ! » Telle est l’objection qui se dresse contre cette vue.
Elle ne me paraît pas fondée. L’éducation au foyer permet le tact, la
mesure, la prudence, l’art patient des préparations. Par elle,
l’adolescent ne sera-t-il pas mieux initié aux réalités que par le choc
brutal de ces réalités mêmes ? Et puis, à tout prendre, si l’existence
doit lui réserver des étonnements, ne doit-on pas préférer, à la triste
surprise des désillusions, la surprise heureuse de découvrir ce qu’il y
a — malgré tout — de joli, d’élégant dans la vie ?
S’il était bien entendu, bien admis, que la discrétion humaine est
toujours relative, qu’elle n’est jamais absolument étanche,
imperméable, on n’aurait pas de déception chaque fois qu’on
apprend une indiscrétion.
Et, de plus, on ne confierait à personne ce qu’on ne veut
absolument pas divulguer.
Le déterminisme.
Être déterministe c’est, surtout, croire que nos actes, que nos
paroles, sont déterminés par des influences qui s’exercent sur nous,
des réactions qui se développent en nous, mais dont nous ne
sommes pas maîtres, pas plus que nous ne sommes maîtres des
phénomènes de notre vie physique. Toutes ces forces se combinent,
se composent, aboutissent à une résultante, qui est notre acte ou
notre parole. Notre conscience enregistre cette délibération, mais ne
la dirige pas. Si j’analyse le plus simple de mes gestes, saisir un
objet, marcher vers un but, je vois que j’obéis à un ensemble de
sollicitations que je n’ai pas provoquées spontanément.
Au moment où nous croyons prendre librement une résolution,
toutes ces voix intérieures ont déjà délibéré, conclu à cette décision.
Nous n’avons que l’illusion de la volonté. La sphère mentale est un
véritable parlement, où les instincts se groupent, délibèrent,
expriment enfin, par un vote décisif, la volonté de l’organisme tout
entier, comme le vote parlementaire exprime la volonté nationale.
Même dans notre langue usuelle, les mots trahissent ce travail
intérieur : on pèse le pour et le contre, on balance, on se résout, on
se détermine.
Les deux grands mots profonds des enfants sont : « Ce n’est pas
ma faute » et : « Je ne l’ai pas fait exprès ». Ils ont bien raison. C’est
tout le fond du déterminisme. Mais s’ensuit-il qu’il n’y ait pas de suite
à donner à leurs petits délits ? Et que cela les absolve et leur
permette de recommencer ? Cent mille fois non ! Voilà l’erreur des
gens qui prétendent que nous sommes libres de faire le bien et le
mal et qui accusent les doctrines déterministes d’être dissolvantes.
Pas du tout. Quand un enfant attrape la rougeole, ce n’est pas sa
faute. Il ne l’a pas fait exprès. On le soigne, pourtant. Eh bien, de
même quand il a commis une faute. On s’efforce d’en découvrir les
causes, d’en montrer les inconvénients, d’en éviter le retour.
On peut agir sur ses sentiments dans la mesure où l’on peut agir
sur son organisme. Il semble qu’on puisse soigner une crise morale
comme on soigne une maladie, en puisant dans le désir de guérir
l’énergie nécessaire à la cure. Les remèdes sont analogues dans les
deux cas. Les révulsifs, les dérivatifs, deviennent, dans la maladie
morale, les distractions qui détournent l’esprit de sa hantise et le
portent vers d’autres objets. Il y a des anesthésiants qui endorment
la sensibilité douloureuse, par exemple une saine fatigue, un labeur
acharné. Il y a l’opération, qui coupe court, comme l’absence, le long
voyage, le silence. Il y a l’homéopathie, qui combat le mal par le mal,
l’amour par l’amour… Il y a enfin la recherche des causes, qui
démontre parfois l’origine toute fortuite, la nature fragile de la crise et
qui permet de l’atteindre à sa source.
La loi d’équilibre.
La loi d’équilibre nous ouvre des vues consolantes. Car elle veut
que le bien et le mal se compensent. Ainsi, dans le monde
innombrable des plantes, il doit y en avoir autant de bienfaisantes
que de malfaisantes. Je crois qu’on n’a pas arraché aux simples
tous leurs secrets. Les hommes ont découvert des poisons végétaux
qui, en quelques secondes, amènent l’organisme de la santé à la
mort. La loi d’équilibre permet de prévoir qu’on découvrira, en
opposition avec ces toxiques, des toniques qui amèneront
instantanément à la santé un organisme au seuil de la mort. Non pas
des contre-poisons, mais de puissants révulsifs qui ressusciteront
l’individu près de succomber à un choc, un traumatisme, une
asphyxie.
De même, dans une autre direction, on peut prévoir que
l’équilibre se rétablira entre les villes et les campagnes. Avant qu’un
pendule ne prenne la verticale, il oscille à droite, puis à gauche. Ce
qui manque à une vie humaine, c’est le temps de voir le pendule
prendre l’équilibre. On n’assiste qu’à une oscillation.
Le Contrôle.