Full Download Test Bank For Health The Basics Fifth Canadian Edition Donatelle PDF Full Chapter
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9) Jill has many friends, is respected by her co -workers, and maintains a great relationship with 9)
her boyfriend. Her ability to interact with others describes which dimension of health?
A) physical B) emotional C) mental D) social
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10) Which of the following best describes emotional health? 10)
A) growing and learning from experience B) being able to express or control
feelings
C) being able to make appropriate decisions D) adapting to various social
situations
11) Jerome encouraged his professor to allow assignments to be typed on both sides of a page 11)
instead
of just one, to save paper. Jeromeʹs idea relates to which dimension of health?
A) environmental B) emotional C) physical D) social
12) When Mika gazes at the stars she realizes she is just a small part of a much larger existence. 12)
Her
thoughts relate to which dimension of health?
A) physical B) social C) mental D)
spiritual
13) Your local dietitian takes groups of people on grocery store tours to teach them how to shop 13)
and to
eat in a healthy manner. This activity is part of the dietitianʹs role in which of the following
concepts?
A) diet analysis B) health promotion
C) health progression D) behaviour modification
14) Which of the following approaches describes the Pan-Canadian Healthy Living 14)
Strategy?
A) an improved life expectancy approach B) a health sector approach
C) a population health approach D) a strategic health approach
16) Diane is a runner who has no tolerance for people who do not exercise. If she sees someone 16)
who is
just sitting around and who doesnʹt like to exercise, she will go out of her way to be rude and
spiteful, even calling them ʺlazyʺ. Diane is demonstrating
A) health bashing B) biased negativity
C) health negativity D) judgmentalism
17) The concept which describes intolerance or negative feelings, words, or actions aimed at 17)
people
who fail to meet our own expectations of health is called
A) health negativity B) biased negativity
C) judgmentalism D) health bashing
18) Gerry and Suzanne have had their children immunized for measles and for chickenpox. 18)
The
term which describes Gerryʹs and Suzanneʹs steps to protect their children is known as
A) epidemiology B) prevention
C) wellness D) health promotion
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19) Attending an Alcoholicsʹ Anonymous meeting is an example of which of the following 19)
types of
prevention?
A) secondary B) productive C) tertiary D) primary
20) Wearing a condom during every sexual encounter would be an example 20)
of
A) tertiary prevention B) primary
prevention
C) secondary prevention D) auxiliary
prevention
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21) Garyʹs father had a heart attack at 50 years of age. Gary has decided to exercise regularly 21)
and to decrease his consumption of fatty foods. Gary is practicing which of the following
types of prevention?
A) auxiliary prevention B) primary prevention
C) tertiary prevention D) secondary prevention
23) Which of the following is an example of a benefit of improving oneʹs cardiovascular 23)
health?
A) decreased levels of self-esteem
B) an improved ability to control and manage stress
C) a less effective immune system
D) increased usage of the health care system
24) Jessie visits her doctor annually and she practices breast self-examination. Her 24)
behaviour is known as a factor, which influences her behaviour-change
decision.
A) ultimate factor B) predisposing factor
C) enabling factor D) reinforcing factor
25) Which of the following is an example of a positive enabling factor to lose weight? 25)
A) You eat more processed foods than fruits and vegetables.
B) Your schoolʹs fitness centre is 3 miles from your home, and it is the winter with lots of
snow.
C) You enrol in a bi-weekly pilates class.
D) You eat one large meal a day, and this meal has many calories.
26) Because both of Blyʹs parents are obese, Bly has a greater than average chance of 26)
becoming an
obese adult. This is an example of
A) a confirming factor B) a predisposing factor
C) an enabling factor D) a reinforcing factor
27) Marta, a physically active young adult, grew up in a family that was very active. They 27)
regularly
went on hikes and bike rides together when she was a child. This is an
example of
A) a reinforcing factor B) an enabling factor
C) a confirming factor D) a predisposing factor
Afin que les adolescents ne soient pas poussés tous vers les
mêmes professions, afin d’élargir leur choix, il serait bon de montrer
ce qu’il y a d’inconséquent et souvent de stupide dans la hiérarchie
des métiers, telle qu’elle s’est installée dans l’estime publique.
Car cette hiérarchie existe. On en a une preuve curieuse dans la
rédaction des lettres mortuaires. Dans l’énumération de la famille, on
fait figurer les titres des officiers, des magistrats, et on se garde bien
de mentionner les industriels, les commerçants, les agriculteurs, les
ingénieurs même.
Par quelle lente stratification de préjugés cette hiérarchie s’est-
elle établie ?
Les professions les plus honorées sont-elles les plus
périlleuses ? Non. Car les tables de mortalité nous apprennent que
le pourcentage le plus élevé dans la paix est atteint par les
couvreurs et les vidangeurs.
Celles qui ont exigé le plus de travail préalable ? Non. Car le
professeur de lycée, qui a passé par Normale supérieure et fourni un
labeur écrasant, ne vient pas en tête de liste.
Celles qui exigent le plus de désintéressement ? Non. Car les
fonctionnaires, également peu payés, ne jouissent pas d’un prestige
culminant.
Les plus fructueuses ? Non. Car on n’estime pas spécialement
les financiers.
Les plus puissantes ? Non. Car les hommes armés du plus vaste
pouvoir sont les journalistes et les policiers.
Tant de raisons complexes ont joué dans ce classement ! Il y a
des carrières qui furent brillantes dans le passé et qui gardent un
éclat persistant : la carrière diplomatique, bien que ses mœurs
soient surannées, son rôle, hélas ! souvent vain et parfois
dangereux.
Puis il y a des titres qui inspirent d’autant plus de respect qu’on
les comprend moins : Conseiller référendaire à la Cour des
Comptes.
D’autres préjugés viennent d’un passé plus lointain. Si le
commerce ne jouit pas de plus d’estime, c’est peut-être qu’il était
exercé dans les anciennes civilisations par des esclaves.
Enfin, la vieille supériorité de l’âme sur le corps a exalté
démesurément le travail de l’esprit et rejeté dans l’ombre le métier
manuel.
Qu’en conclure ? Que cette hiérarchie s’est assise sous cent
influences complexes, illogiques, et qu’il faut puiser, dans le
sentiment de cette incohérence, la force de s’affranchir de ses
décrets.
La Constitution.
Soi-même.
Self-defence.
Un jour, un bon bourgeois passait aux environs de la gare Saint-
Lazare, quand il sentit une main s’abattre durement sur son épaule.
Tournant la tête, il vit un homme sombre et furieux qui lui ordonna de
le suivre.
— Où donc ?
— Au poste.
On n’est jamais tout à fait innocent. Arrêté sans cause connue,
on a vite fait soi-même d’en découvrir une dans son passé. Bref,
sans plus regimber, notre promeneur se laissa conduire au
commissariat voisin. Et là, il s’aperçut qu’il avait été arrêté par un
fou…
Oui, c’était un vrai fou, qui, sans doute atteint de la manie des
grandeurs, se croyait policier. L’anecdote est authentique. A notre
époque, un fou peut arrêter un passant et le conduire au
commissariat. Comment pareille aventure est-elle possible ?
L’explication est fort simple : le passant ignore ses droits. Il ne sait
pas les garanties qu’il doit exiger de l’homme qui veut l’arrêter.
Démuni d’armes légales, il ne peut pas se défendre.
Que chacun s’interroge sincèrement et se place dans un cas
semblable. Certes, selon sa nature, il se cabrera plus ou moins haut.
Mais, en vérité, il ne saura pas au juste les catégories d’individus qui
ont le droit d’arrêter les autres. Il ignorera les moyens de vérifier leur
identité. Il ne saura pas dans quelles conditions d’heure et de lieu, ni
sur la présentation de quels mandats cette arrestation est légale.
Pour les perquisitions, même histoire. Nous ne sommes pas
mieux armés pour la défense de notre foyer que pour celle de notre
personne. Là, encore, les faits-divers nous apportent leurs
témoignages. Que de fois la femme, restée seule au logis, laisse
fouiller les meubles et crocheter les tiroirs — quand elle n’en livre
pas elle-même les clefs — par de faux policiers, qu’elle a crus sur
leur arrogance et leur mauvaise mine ! Elle ne savait pas. Elle
ignorait sur quel « Sésame » nous devons ouvrir notre porte à la loi.
Et nous ne savons pas plus dans quelles conditions nous devons
l’ouvrir à la réquisition militaire en temps de manœuvre, à
l’inquisition fiscale en matière de fraudes. Quand un « rat de cave »,
flairant un petit délit, se présente chez un viticulteur soupçonné ou
dénoncé, il se nomme à peine. Il entre, il est chez lui. Seul, son
sans-gêne est garant de son autorité. Le propriétaire se tait et se
tient coi. Et pour cause. Sait-il seulement les références qu’il peut
exiger de l’inquisiteur ?
Ce sont là, dira-t-on, des cas exceptionnels. Soit. Mais tout le
monde paie l’impôt, et tout le monde passe à l’octroi. Or, sommes-
nous mieux armés pour exiger le respect de nos biens que pour
défendre celui de notre personne et de notre logis ?
Chacun paie aveuglément ses contributions. Qui donc en pourrait
vérifier l’exactitude ? Nul ne sait, nul ne se soucie de savoir sur
quelles bases elles sont calculées.
Quand la main du gabelou s’abat sur nos bagages, sur notre
auto, connaissons-nous exactement nos droits ? Pouvons-nous
simplement donner au sbire la clef de notre malle et le laisser à sa
basse besogne, ou peut-il nous contraindre à déboucler et à
reboucler ? Quand nous lui affirmons que nous n’avons rien à
déclarer, peut-il nonobstant exiger la fouille ?
Ainsi, qu’il s’agisse de nous ou de notre propriété, nous ne
savons pas nous défendre. Nous avons négligé les armes que nous
tendait la loi. Mais elles existent, ces armes, elles reposent à l’ombre
de l’épaisse forêt du Code. Il nous serait relativement aisé de les
ramasser.
A-t-on déjà tenté en ce sens quelque effort officiel ? J’ai consulté
le programme actuel des lycées de France. J’ai vu que, dans une
classe de troisième, on consacrait une heure par semaine à l’étude
du droit usuel. Et encore on ne fait du droit usuel que dans la
division B où l’on n’apprend pas le latin. Si bien que le latiniste est
condamné à ignorer toute notion de droit. Mais tranquillisez-vous :
ces notions de droit usuel ne descendent pas jusqu’à ces
applications pratiques dont on aurait besoin dans la vie. En fait,
latinistes et modernes restent également ignorants, également
désarmés dans l’art de se défendre contre les abus de l’autorité.
Planter un clou.
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