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Computer Organization and Architecture 9th Edition William Stallings Solutions Manual

Computer Organization and


Architecture 9th Edition William
Stallings Solutions Manual
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Computer Organization and Architecture 9th Edition William Stallings Solutions Manual

CHAPTER 1 OVERVIEW

ANSWERS TO QUESTIONS
1.1 Computer architecture refers to those attributes of a system visible
to a programmer or, put another way, those attributes that have a
direct impact on the logical execution of a program. Computer
organization refers to the operational units and their interconnections
that realize the architectural specifications. Examples of architectural
attributes include the instruction set, the number of bits used to
represent various data types (e.g., numbers, characters), I/O
mechanisms, and techniques for addressing memory. Organizational
attributes include those hardware details transparent to the
programmer, such as control signals; interfaces between the computer
and peripherals; and the memory technology used.

1.2 Computer structure refers to the way in which the components of a


computer are interrelated. Computer function refers to the operation of
each individual component as part of the structure.

1.3 Data processing; data storage; data movement; and control.

1.4 Central processing unit (CPU): Controls the operation of the


computer and performs its data processing functions; often simply
referred to as processor.
Main memory: Stores data.
I/O: Moves data between the computer and its external environment.
System interconnection: Some mechanism that provides for
communication among CPU, main memory, and I/O. A common
example of system interconnection is by means of a system bus,
consisting of a number of conducting wires to which all the other
components attach.

1.5 Control unit: Controls the operation of the CPU and hence the
computer
Arithmetic and logic unit (ALU): Performs the computer’s data
processing functions
Registers: Provides storage internal to the CPU

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CPU interconnection: Some mechanism that provides for
communication among the control unit, ALU, and registers
CHAPTER 2 COMPUTER EVOLUTION AND
PERFORMANCE

ANSWERS TO QUESTIONS
2.1 In a stored program computer, programs are represented in a form
suitable for storing in memory alongside the data. The computer gets its
instructions by reading them from memory, and a program can be set or
altered by setting the values of a portion of memory.

2.2 A main memory, which stores both data and instructions: an


arithmetic and logic unit (ALU) capable of operating on binary data;
a control unit, which interprets the instructions in memory and causes
them to be executed; and input and output (I/O) equipment
operated by the control unit.

2.3 Gates, memory cells, and interconnections among gates and memory
cells.

2.4 Moore observed that the number of transistors that could be put on a
single chip was doubling every year and correctly predicted that this
pace would continue into the near future.

2.5 Similar or identical instruction set: In many cases, the same set of
machine instructions is supported on all members of the family. Thus, a
program that executes on one machine will also execute on any other.
Similar or identical operating system: The same basic operating
system is available for all family members. Increasing speed: The rate
of instruction execution increases in going from lower to higher family
members. Increasing Number of I/O ports: In going from lower to
higher family members. Increasing memory size: In going from lower
to higher family members. Increasing cost: In going from lower to
higher family members.

2.6 In a microprocessor, all of the components of the CPU are on a single


chip.
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sang. Pour quelles raisons accepterait-on plusieurs maîtres ? Caillou
se refuse à ce servage. Voilà pourquoi, cédant aussi à ses instincts
de gourmandise et de rapine, il dévore chaque jour, dans leur plus
verte jeunesse, les pommes et les poires de l’oncle, espoir d’une
récolte future. Comme il en jette dédaigneusement les débris à
travers les allées, il n’est pas difficile de constater le crime :
— Ne mens pas, Caillou ! Tu montes sur les arbres et tu cueilles
les fruits ?
— Oui, dit Caillou. Tout en haut des arbres, je monte !
Il avoue fièrement, considérant que c’est là un exploit digne de sa
propre estime et d’une inscription dans les ouvrages dont il se repaît.
On le gronde, on le punit, on lui fait jurer :
— Tu ne cueilleras plus de pommes, Caillou ? Promets !
— Je n’en cueillerai plus, dit Caillou, maussade.
— Ni de poires, ni de pêches ?
Caillou promet encore, et il a gardé ça de son ancienne
honnêteté : il sait tenir parole. Seulement, le lendemain, pêchers,
poiriers, pommiers présentent un spectacle hideux et sans
précédent dans l’histoire des désastres de l’arboriculture. Caillou n’a
plus « cueilli », cela ne fait aucun doute. Mais on ne lui avait pas
défendu de grimper aux arbres. Il a donc grimpé, comme d’habitude,
et mangé le plus de fruits qu’il a pu, en laissant les trognons
attachés à leur tige. Les arbres sont déshonorés, et Caillou
s’applaudit d’avoir à la fois respecté sa parole et acquis la certitude
qu’on parlera de lui à travers les siècles : car il est maintenant avide
de gloire, même de la plus détestable.
A l’aube suivante, l’oncle part pour la chasse. Il aime cette
distraction, il éprouve aussi le besoin de s’éloigner le plus souvent
possible de cette maison qui est sienne, devenue pleine d’une
agitation choquante et de drames intimes. Il siffle son chien, et
Caillou demande d’un air innocent :
— Tu t’en vas, mon oncle ?
Mais le chien, dès qu’il a vu Caillou, fait un bond d’épouvante, et
s’enfuit, s’enfuit à l’autre bout du pays, pour échapper à son
persécuteur. Car Caillou est son bourreau ; Caillou, pour satisfaire
ses instincts de primitif, développés par ses lectures, en a fait parfois
un lion, parfois un ours, parfois un loup. Il l’a pris au piège, il l’a tué
dans des combats tumultueux, il l’a ramené dans son antre de
Robinson victorieux, lié aux quatre pattes, il l’a traîné sur le gravier
rude comme un cadavre pantelant ; et le bon chien s’est changé en
une pauvre bête apeurée qui n’a plus confiance dans la bonté des
hommes, qui sait qu’ils peuvent faire du mal quand on ne leur fait
rien. Caillou ne traiterait pas de la même façon Jupiter, le chat, parce
que Jupiter a des griffes. Mais il l’utilise cependant à sa manière, il le
transforme en un tigre redoutable en l’élevant trente fois par jour à la
hauteur de la cage du serin. Et le serin, le cœur battant, les plumes
ébouriffées à la vue de l’ennemi héréditaire, se jette contre les
barreaux de la cage, s’y brise le bec, s’y écorche les pattes, en perd
le boire et le manger.
C’est ainsi que Caillou fait « des expériences » et désorganise
l’intérieur pacifique, ordonné, solennel, de l’oncle Jules. Et plus il est
admonesté, morigéné, châtié, plus il se considère comme une
victime des puissances, plus il se pénètre de l’idée, puisée dans une
littérature qui l’abuse, qu’il n’est pas comme les autres, qu’il a le droit
de se venger, qu’il ne se venge pas assez, et que ses malheurs sont
dignes d’une éternelle mémoire. Il est devenu un romantique, et
comme tous les romantiques, on ne peut même plus le prendre par
les sentiments : les duretés qu’il subit légitiment à ses yeux tous les
actes de révolte.
— Songe à la passion de Jésus-Christ ! lui dit un jour
imprudemment sa mère.
— Ça n’a duré que trois jours, répond Caillou. Et moi, voilà trois
ans qu’on m’embête !
Voilà trois ans qu’il est le plus heureux petit garçon du monde,
mais il se croirait déshonoré de l’admettre. Il n’y a plus qu’à
l’emmener, le maître de la maison n’en peut plus. Enfin voilà ses
hôtes partis, l’oncle respire. Mais la précieuse cuisinière vient lui
rendre son tablier.
— Je ne veux plus rester dans cette maison, dit-elle, on n’y a pas
d’égards pour moi : monsieur Caillou, avant de partir, a fourré des
colimaçons plein mon lit !
Et elle ajoute :
— Je dois dire aussi à monsieur que son serin est mort.
— Mort ! fait l’oncle. Et de quoi ?
— Je n’en sais rien. De peur peut-être !
C’est ainsi que le pauvre oncle reste seul dans sa maison
dévastée, sans cuisinière, sans chien, sans canari. La jeunesse a
passé là comme une passion ; elle n’a rien laissé derrière elle que
des ruines. Et l’oncle se sent décidément très vieux, très fini, tout à
fait incapable de s’accoutumer à ceux qui n’ont pas son âge ; il
songe amèrement qu’il ne pardonnera jamais à Caillou. Il est bien
vieux en effet, puisqu’il a oublié ce que c’est que l’âge ingrat des
petits garçons : celui auquel ils commencent à s’opposer, par la
révolte, et pour prendre conscience de leur personnalité, à un
monde dont ils se font une idée aussi intolérable qu’elle est fausse.

La mère de Caillou est désespérée. Malgré toute la sagesse et


toute l’expérience qu’elles ont pu acquérir, toutes les mères
nourrissent la même illusion : elles se figurent que leurs petits
resteront toujours petits. Et Caillou maintenant lui apparaît comme
une espèce de monstre ! Elle envisage toutes sortes de projets,
même celui de le mettre au collège, pour qu’il y apprenne la
discipline, le respect, et qu’il parvienne à se persuader qu’il faut
« faire comme tout le monde ». Car enfin, il faut que Caillou
commence « son éducation ». J’assiste à ses angoisses, mais je ne
puis les partager. Caillou traverse une crise, mais je sais bien qu’au
fond il est toujours le même Caillou. Et je ne voudrais point qu’on me
le changeât, sous prétexte de le corriger.
— Croyez bien, lui dis-je, que je ne nourris nulle haine contre les
maîtres de mon enfance. Je sais toutefois que je suis sorti de leurs
mains façonné de si étrange manière que j’ai mis des années avant
de me retrouver moi-même : et ce furent des années perdues. Il y
avait un jeune canard, une fois…
— C’est un apologue.
— Peut-être. Mais je vous assure qu’il s’agit d’un canard
véritable, auquel il arriva malheur pendant la grande inondation.
» D’abord ce canard ne fut qu’un œuf, ce qui n’a rien que de très
naturel. Monsieur Giscard, tonnelier rue des Ursins, derrière Notre-
Dame, l’avait choisi un jour dans une terrine, à la campagne, chez
un de ses amis, nourrisseur.
» — Qu’est-ce que c’est donc que celui-là ? avait-il demandé.
» Et en effet, il était plus gros que les autres, un peu plus long, et
quand on le mettait entre son œil et la lumière, il prenait une teinte
vert pâle, tandis que les autres paraissaient roses.
» — Celui-là ? répondit le nourrisseur : c’est un œuf de cane.
» Alors monsieur Giscard avait demandé la permission de
l’emporter, disant que puisqu’il avait des poules, il pourrait le faire
couver.
» Voilà par quelles suites de circonstances ce canard naquit rue
des Ursins. Sa coquille crevée, il fut d’abord une masse oblongue,
qui sous les ailes d’une vieille poule se dorlotait dans du poil jaune,
précurseur des plumes. Il était en somme assez semblable aux
petits poulets, ses frères de hasard, sauf pour les pattes et le bec,
qu’il avait plus larges ; et son corps avait encore la forme de l’œuf
dont il était sorti. Puis son pennage poussa, il grandit et devint un
canard véritable, fort heureux de sa condition et de ses entours.
» Car la nourriture s’offrait devant lui, savoureuse, abondante et
variée. C’était du pain en miettes, des écuellées de rogatons gras,
aussi les entrailles d’autres oiseaux, telles que madame Giscard les
jetait sur le sol ; et le canard, dans son ignorance ingénue, les
dévorait. Au delà de la cour qui servait d’atelier, une fois passée la
vieille porte cochère garnie d’énormes clous à têtes de diamant,
s’étendait une région très vaste, qui fournissait encore des choses
bonnes à manger. C’était la vue des Ursins même, irrégulière,
tortueuse, resserrée à l’un des bouts, semblable en vérité à un
boyau, avec une vieille chapelle toute ruineuse dont les pierres
disjointes offraient en été aux appétits des vers, des mouches, des
insectes vivants. A l’une de ses extrémités s’ouvrait la rue de la
Colombe, qui mène à un édifice énorme, très haut sur le ciel, avec
deux tours et un clocher riche en corneilles ; à l’autre, c’était un
espace plat et large, bordé par un mur de pierre. Les hommes
appellent l’édifice « Notre-Dame », et l’espace plat, fermé d’une
muraille, ils le nomment « le quai ». A certaines heures, ces rues
sont presque vides ; on peut s’y aventurer, on y trouve des oranges
mâchées, des rognures de viande, mille débris d’un goût délicieux.
Mais la petite troupe des poulets et du canard n’allait jamais vers le
quai.
» — Qu’est-ce qu’il y a, de ce côté ? demanda un jour le canard,
pour s’instruire.
» — L’eau ! répondit la vieille poule,
» Sa voix était si pénétrée d’horreur que le canard n’insista pas. Il
connut donc que l’eau, c’était le mal. Cependant il eut la curiosité de
savoir ce que faisaient les ouvriers de monsieur Giscard. Tout le jour
leurs marteaux de bois dur et leurs doloires luisantes retentissaient
et grinçaient sur les muids, les bordelaises, les feuillettes. Le canard
apprit que ces vaisseaux ronds et creux devaient plus tard recevoir
des liquides ; il les considéra donc comme des remparts destinés à
contenir une matière analogue à l’eau, perfide et dangereuse. Il
buvait pourtant au ruisseau de la rue. Mais, imitant ses compagnons,
il évitait de se mouiller les pattes.
» Un jour, les hommes dirent entre eux : « Elle monte ! » Le
canard n’entendit pas leurs paroles, mais il remarqua leur agitation.
Ils aveuglèrent les soupiraux avec du ciment et construisirent un mur
devant la porte. Le canard crut d’abord que c’était pour l’empêcher
de sortir, car les animaux, comme les humains, penchent
communément à croire que les choses qu’on fait, on les fait pour
eux, ou contre eux. Et le canard s’égaya de cette sottise. Il n’avait
jamais volé. Il ne savait même pas que ses ailes, perpétuellement
rognées, pouvaient servir à voler, mais il se sentait sûr de franchir,
quand il le voudrait, cette ridicule barrière.
» Il y avait dans la cour une vieille mangeoire destinée à des
chevaux depuis longtemps disparus. C’était là que perchaient les
jeunes poules, tandis que celles qui couvaient demeuraient
d’habitude, la nuit comme le jour, dans une cuve pleine de paille ; et
c’est à celles-là que se joignait le canard, qui n’aimait pas à grimper.
Vers le milieu de la nuit, il entendit des bruits singuliers. On criait,
plus loin que la maison, dans la rue :
» — L’eau monte, elle monte toujours ! Déménagez, vous ne
pouvez rester ici !
» Le canard ne savait pas que ces cris venaient de barques
montées par des soldats. Ce qui le surprit davantage, c’est que la
cuve dans laquelle il sommeillait semblait se mouvoir assez
doucement, au lieu de demeurer à sa place ordinaire ; et à la lueur
du croissant de la lune, il s’aperçut que la mangeoire, sur laquelle
étaient perchées les jeunes poules, paraissait maintenant moins
élevée au-dessus de sa tête. Les animaux ont des rêves aussi bien
que les hommes : cela sans doute était un rêve ! Cependant la vieille
Houdan qui l’avait couvé, au moment où la cuve se rapprocha de la
mangeoire, battit désespérément de ses pauvres ailes, et sauta. Le
canard fit comme elle, par esprit d’imitation. Puis il se rendormit
tranquillement, car les oiseaux, dès que le soleil est couché, ne
peuvent tenir leurs yeux ouverts.
» Mais ils s’éveillèrent dès l’aube, et le jour naissant lui montra un
spectacle étrange. A la place du sol qu’il avait piétiné la veille, plat et
très dur, d’une belle couleur grise, et fertile en nourriture, il n’y avait
plus sous ses pieds qu’une étendue jaunâtre d’un élément inconnu.
Au premier abord on eût pensé que c’était solide, mais vers les coins
et les parois de la cour, ça se gonflait, ça clapotait ; c’était sournois,
inquiétant, insidieux. La vieille poule dit, avec un frisson d’effroi :
» — C’est l’eau !
» Et le canard éprouva un sentiment d’angoisse bien plus
déchirant que celui qui pénétrait ses voisins parce que c’était une loi
inculquée dès son enfance, et non pas son instinct, qui le retenait à
sa place. L’eau lui faisait envie, il la désirait d’une manière à la fois
vague et puissante ; pourtant elle lui faisait peur par principe. Il
demanda timidement :
» — Est-ce que c’est vrai, absolument vrai, qu’on ne peut pas
descendre là-dessus et se tenir debout, tout en vie ?
» Il était naturel qu’il posât la question sous cette forme puisqu’il
ne savait pas qu’il y a un acte qui s’appelle nager. Mais on ne lui
répondit que par un regard atroce. Non, ça ne se pouvait pas !
Quelques poules essayèrent, prenant leur élan, de sauter par-
dessus la clôture de la cour. L’une d’elles y réussit, mais on l’entendit
retomber, de l’autre côté, dans l’élément mortel qui remplissait la
rue. Les autres se noyèrent dans la cour même, après s’être brisé le
bec contre les pierres qu’elles avaient tenté de franchir.
» — Qu’est-ce qu’il faut faire ? interrogea le canard.
» — Attendre, répondit la vieille poule.
» Ayant toujours vécu parmi les hommes, elle ne connaissait rien
que ce qui venait d’eux ; le salut ou la mort : ils dispensaient tout.
Mais les hommes ne vinrent pas. Les oiseaux, qui digèrent très vite,
souffrent et meurent très rapidement de la faim. Le canard et la
poule, trop faibles pour rester perchés, se blottirent au fond de la
mangeoire.
…» Après l’inondation, monsieur Giscard revint.
» — Les poules ont dû mourir, dit-il, mais c’est le canard qui doit
s’en donner !
» Mais le canard avait subi le sort des camarades. Couché près
de la poule, sur le dos, avec cette taie sur les yeux ouverts qu’ont les
oiseaux morts, il dressait vers le ciel ses pattes palmées faites pour
ramer l’eau.
» Monsieur Giscard fut si émerveillé par ce spectacle qu’il oublia
de regretter la perte.
» — Tout de même, dit-il, tout de même… celui-là, il avait de
l’éducation ! »

La maman de Caillou se mit à rire.


— Vous croyez que je plaisante, lui dis-je, mais c’est une histoire
qui est arrivée, et je plains beaucoup ce canard : si vous voulez bien
y réfléchir une petite minute, il fut assassiné par persuasion.
Toutefois vous pouvez aussi accepter ce récit comme une fable, et
supposer que ce canard, c’est vous, moi, ou notre voisin et Caillou
lui-même, si on lui donne trop tôt, et comme on la donne, hélas, ce
qu’on est convenu d’appeler « de l’éducation ». Car ça consiste
généralement, chez nous, à faire perdre aux petits Français leur
personnalité et leurs instincts. Je vous engage à vous méfier :
Caillou n’y gagnerait absolument rien.

Juillet 1909 — Février 1911.

FIN
TABLE

PREMIÈRE RENCONTRE 1
CAILLOU ET LES FEMMES 19
LES CHIENS ET LA GLOIRE 51
A LA CAMPAGNE 63
SA PUDEUR 81
LES AMIS DE CAILLOU 95
LE CIRQUE 133
LA GOURMANDISE 143
L’ŒUF DE CHEVAL 153
CAILLOU ET SON PÈRE 165
DU SENTIMENT DE LA PROPRIÉTÉ 175
LE MYSTÈRE 187
L’OPÉRATION 217
L’AUBE DE L’AGE INGRAT 229

E. GREVIN — IMPRIMERIE DE LAGNY — 4830-7-14.


*** END OF THE PROJECT GUTENBERG EBOOK CAILLOU ET
TILI ***

Updated editions will replace the previous one—the old editions will
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Section 2. Information about the Mission of


Project Gutenberg™
Project Gutenberg™ is synonymous with the free distribution of
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It exists because of the efforts of hundreds of volunteers and
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Volunteers and financial support to provide volunteers with the


assistance they need are critical to reaching Project Gutenberg™’s
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remain freely available for generations to come. In 2001, the Project
Gutenberg Literary Archive Foundation was created to provide a
secure and permanent future for Project Gutenberg™ and future
generations. To learn more about the Project Gutenberg Literary
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see Sections 3 and 4 and the Foundation information page at
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Section 3. Information about the Project


Gutenberg Literary Archive Foundation
The Project Gutenberg Literary Archive Foundation is a non-profit
501(c)(3) educational corporation organized under the laws of the
state of Mississippi and granted tax exempt status by the Internal
Revenue Service. The Foundation’s EIN or federal tax identification
number is 64-6221541. Contributions to the Project Gutenberg
Literary Archive Foundation are tax deductible to the full extent
permitted by U.S. federal laws and your state’s laws.

The Foundation’s business office is located at 809 North 1500 West,


Salt Lake City, UT 84116, (801) 596-1887. Email contact links and up
to date contact information can be found at the Foundation’s website
and official page at www.gutenberg.org/contact

Section 4. Information about Donations to


the Project Gutenberg Literary Archive
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widespread public support and donations to carry out its mission of
increasing the number of public domain and licensed works that can
be freely distributed in machine-readable form accessible by the
widest array of equipment including outdated equipment. Many small
donations ($1 to $5,000) are particularly important to maintaining tax
exempt status with the IRS.

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States. Compliance requirements are not uniform and it takes a
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International donations are gratefully accepted, but we cannot make


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Please check the Project Gutenberg web pages for current donation
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Section 5. General Information About Project


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