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Les Compagnons du Prophète (Saaws) sont les meilleurs des gens après les prophètes (Paix sur eux).

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Maniéres de prier sur le Prophète (saaws)

Publié le 20/02/2024 à 16:57 par croireavantdevoir2 Tags : islam foi Allah
Maniéres  de prier sur le Prophète (saaws)

 

 

 

 

 

 

Il est préférable d'être en état d'ablution, comme pour toute adoration ,il est aussi souhaitable d'être installé en direction de la Qibla, recueilli, calme.

 

 

 

les assidus de cette prière ont recommandé de s'imaginer être en sa présence, ou revoir mentalement des épisodes de sa vie, se remémorer ses paroles, méditer sur son comportement afin que le coeur s'attendrisse pour le Prophète(sala Allah alayhi wa salam). Certains ont proposé de s'imaginer devant sa tombe, avec tout ce que cela implique de recueillement.

 

 

 

Le Prophète Mohammed (sala Allah alayhi wa salm) a dit :"Quand vous dites des prières sur moi, votre nom et votre apparence me sont présentés. Donc, vous devez dire ces prières d'une belle façon".(Sadaatud Daarain).

 

 

 

Il est aussi bénéfique lors de ce dhikr de procéder à un auto-jugement, de se remémorer les évenements du jour et de voir en quoi ils sont en conformité avec l'exemple du Prophète (sala Allah alayhi wa salam) . Prendre le Prophète pour exemple et aussi pour juge, ainsi que nous le recommande Dieu dans le Coran.

 

Il est souhaitable de joindre à la demande de bénédiction (salat) celle de la paix (salam).

 

 

 

La demande de bénédictions et de paix devrait s'étendre aussi à la famille du Prophète, voire aussi à ses compagnons. La meilleure formulation est la salat ibrahimiyya, telle qu'on la récite après tachahoud. Cependant, elle est difficile à répéter un grand nombre de fois.C'est pourquoi il est suffisant pour celui qui veut abonder en salawat de répéter"Allahouma Salli 'Ala Muhammadin wa 'Ala Ali Muhammadin wa sallim".

 

 

 

Il est bienvenu d'ajouter "Sayyiduna" avant de prononcer le nom de l'Elu, c'est un mot qui veut dire "notre maître" et par lequel le Prophète sala Allah alayhi wa salam s'est lui-même qualifié lorsqu'il a dit "Je suis le Maître (Seigneur) des fils d'Adam et ce sans prétention" : il a utilisé le mot Sayyid: maître, seigneur, n'en déplaise à certains.

 

 

 

Il n'est pas répréhensible, mais au contraire Sounnah, d'effectuer la prière sur le Prophète(sala Allah alayhi wa salam)en s'adressant à lui par la formuleAs salam 'Alaïka ou en disantYa Rassoulou llah.En effet, c'est la méthode utilisée par Allah Lui-même lors de l'ascension nocturne et, pour ne pas qu'on l'oublie, Il nous a ordonné de le dire ainsi lors du tachahoud, plusieurs dizaines de fois par jour:As Salam 'Alaïka Ayyouha n- Nabi ... Ceux qui nient cette possibilité s'opposent donc à Allah. Ils prétendent qu'elle est interdite parce que le Prophète(sala Allah alayhi wa salam)ne l'aurait jamais dite. Ceci appelle plusieurs remarques :

 

 

 

Il est suffisant que cela vienne d'Allah et soit rendu quasiment obligatoire lors de la prière pour en faire une pratique pieuse parfaitement conforme. Et pour faire de celui qui s'y oppose un effronté. Qu'il considère à Qui il s'oppose.

 

 

 

C'est aussi un enseignement prophétique qu'ils contestent ainsi, puisque cette formulation nous a été enseignée par le Prophète dans son enseignement du tachahoud pour la prière obligatoire. De plus la scène du Mi'raj revivifiée à travers ces paroles exprime les plus hauts degrés et significations de la servitude et de la proximité divine accomplies par le Saint Prophète à cet instant suprème. Dire au Prophète(sala Allah alayhi wa salam)"as Salamu 'Alaïka" serait donc propice à déverser sur nous les bénédictions de cet instant sublime.

 

 

 

Il ne convenait pas au Messager d’Allah (sala Allah alayhi wa salam )d'employer hors de ce contexte cette expression qui l'interpelle, étant lui-même l'enseignant. C'est pourquoi c'est Allah Lui-même qui nous l'enseigne à son sujet, d'ailleurs qui d'autre qu'Allah nous enseigne l'adab envers Son Prophète ? Il suffit de lirela sourate Al Hujurate pour s'en convaincre.

 

 

 

Par ailleurs, le Prophète(sala Allah alayhi wa salam)n'a jamais interdit cette expression, ni pour ses contemporains, ni pour ceux qui viendraient après.

 

 

 

Les compagnons ont pratiqué le salut par "as Salam Alaïka ya rasoulou llah" lorsqu'ils se rendaient sur sa tombe. C'est notamment rapporté concernant Seyidna Bilal. C'est de plus une parole logique, en effet la politesse envers ceux dont on visite les tombes consiste en premier lieu à les saluer, d'autant plus qu'ils entendent malgré leur état. Pourquoi ne peut-on plus le faire sur la tombe du Prophète(saws)aujourd'hui sous peine d'être traité de mécréant ? Quelles sont ces lois qui condamnent les compagnons et interdisent au Prophète(sala Allah alayhi wa salam)le respect qui est dû au moindre de nos morts ?

 

 

 

Enfin, le Prophète(sala Allah alayhi wa salam)est vivant dans sa tombe, et il répond au salut qui lui est adressé, ainsi que rapporté par un hadith sahih (sûr) du recueil de Bukhari. Comment donc nous, musulmans, saluons nous les vivants qui nous répondent ?

 

 

 

Si dire"ya rasoulou llah" correspondait à associer à Dieu, alors on ne pourrait pas non plus dire, en pensant par exemple à sa mère décédée, "O ma mère, tu me manques". Or l'expression"ya rassoulou llah" n'est autre que l'expression du languissement pour un être cher à notre coeur, plus cher que nos propres père et mère. Associe-t-on à Dieu quand notre père ou mère nous manque ?

 

YA NABI SALAAM ALAIKA

 

YA HABIB SALAM ALAIKA

 

YA RASOUL SALAAM ALAIKA

 

SALAWATU LLAHI ALAIKA

 

 

 

Endroits où il ne convient pas de prier sur le Prophète :

 

- Lorsqu'on trébuche ou glisse ;

 

- Lorsqu'on tousse ;

 

- Lorsqu'on se lave dans un bain ;

 

- Lorsqu'on exprime une admiration ;

 

- Lorsqu'on est tenté d'utiliser la prière sur le Prophète (saws)comme prétexte pour promouvoir les ventes ;

 

- La prière sur le Prophète (sala Allah alayhi wa salam )est interdite dans des endroits indignes.

 

 

 

Moments ou la prière sur lui est obligatoire

 

Après l'adhan:

 

 

 

"D'après Jâbir Ibn Abdallah , le Messager de Dieu(sala Allah alayhi wa salam )a dit :" Celui qui, après avoir entendu l'appel à la prière, prononce ces mots : "Ô Dieu, le Seigneur de cet appel parfait et de l'office qui va être célébré accorde à Muhammad la place éminente et l'excellence, et élève-le au rang louable que Tu lui as promis.", à celui-là mon intercession est due au Jour de la Résurrection." (Bukhari)

 

 

 

'Abdoullah ibn 'Amr ibn Al-'As rapporte qu'il a entendu le Messager de Dieu(sala Allah alayhi wa salam )dire : "Quand vous entendez l'appel dites après lui la même chose que lui, puis invoquez pour moi la bénédiction d'Allâh car, toutes les fois que quelqu'un me bénit une fois, Allâh le bénit dix fois en contre-partie. Puis demandez à Allâh de me donner le pouvoir d'intercession car cela représente une position au Paradis qui ne convient qu'à l'un des esclaves d'Allâh et j'espère que ce sera moi. Celui qui demande pour moi ce pouvoir d'intercession aura plein le droit à mon intercession en sa faveur". (Mouslim)

 

 

 

Dans la prière après le « Tachahoud »

 

 

 

La prière est invalide si l'on n'a pas demandé les bénédictions sur le Prophète(sala Allah alayhi wa salam) après le tachahud. Le fait de les demander aussi sur sa famille est obligatoire selon Shafi'i.

 

 

 

Après avoir entendu son nom mentionné :

 

 

 

Le Prophète(sala Allah alayhi wa salam)a averti à plusieurs reprises :

 

"Malheur à lui, celui auprès de qui je suis mentionné et ne prie pas sur moi".

 

«Celui auprès de qui je suis mentionné et n'a pas prié sur moi dévie de la voie du paradis»

 

«l'opprobre et l'ignominie soient sur lui».

 

 

 

Le Prophète(sala Allah alayhi wa salam)a dit aussi: «L'avare est celui qui ne prie pas sur moi quand on me mentionne auprès de lui.» Dans une autre variante il est dit: «Le pire des avares...».

 

 

 

«l'ange Gabriel vint trouver le Prophète(sala Allah alayhi wa salam )alors que celui-ci montait sur sa chaire pour diriger la prière et lui dit: - celui auprès de qui tu es mentionné et ne prie pas sur toi, Dieu le rejettera et ne lui accordera ni sa clémence ni son pardon, à quoi l'Envoyé de Dieu(sala Allah alayhi wa salam  )dit: - Amen!» Dans une autre variante Gabriel a dit : «......, il entrera en enfer et Dieu le rejettera».

 

 

 

Moment où la prière sur lui est recommandée :

 

 

 

Pendant le premier et deuxième Tachahoud

 

 

 

Dans la prière il faut dire au moment du Tachahoud:

 

 

 

AS-SALAMOU 'ALAYKA AYYOUHA'N-NABIYYOU WA RAHMATOU'LLAHI WA BARAKATOUHOU

 

 

 

Le Vendredi :

 

 

 

Ali ibn abi Talib rapporte que le Prophète(sala Allah alayhi wa salam )a dit : "Qui demande à Allah cent fois les bénédictions sur moi le vendredi, une lumière viendra pour lui le Jour de la Résurrection, une lumière qui suffirait pour toute la création" .

 

 

 

 

 

Dans une assemblée :

 

Un compagnon a rapporté ce hadith:"il n'y a aucune réunion au cours de laquelle des bénédictions sur Muhammad sont demandées, sans qu'un beau parfum en monte atteignant les nuages dans le ciel cependant que les anges disent, "c'est une réunion où des bénédictions sur Muhammad sont demandées".

 

 

 

Muhammad(sala Allah alayhi wa salam )a dit, "Ornez vos réunions en priant sur moi. Ainsi ce sera certainement votre lumière le Jour du Jugement". (Jaami'us Sagheer)

 

 

 

"Quand deux amis se rencontrent et se serrent la main et, ensuite et prient sur moi avant de se séparer, leurs péchés passés et futurs sont pardonnés". (Nuzhatun Naazireen)

 

 

 

Lors d’un discours :

 

 

 

Abû Hurayrah rapporte du Prophète(sala Allah alayhi wa salam  ) : "tout bon discours qui ne commence pas par le souvenir d'Allah et des salutations sur moi est injustifié et sans bénédictions"

 

 

 

En commençant et en finissant nos Douaâ :

 

 

 

Abdullah ibn Mas'oud rapporte,"j'ai fait ma prière dans la Mosquée alors que le Prophète(saws), Abu Bakr et 'Umar (radi Allahu anhuma) étaient présents. Quand j'ai achevé la prière, j'ai commencé à louer Allah Tout-puissant, puis j'ai prié sur le Prophète(sala Allah alayhi wa salam ) .Quand j'ai commencé la Do'a, le Prophète(sala Allah alayhi wa salam ) s'est exclamé, Demande et tu recevras, tu recevras!". (Tirmidhi)

 

 

 

En cas de souci ou d’anxiété :

 

 

 

Le Prophète(sala Allah alayhi wa salam  )a dit :"Celui qui éprouve des difficultés à accomplir ce qui lui est nécessaire, qu'il invoque abondamment la grâce divine en ma faveur. En effet cette invocation élimine les soucis, les embarras et les afflictions et elle accroît les subsistances et satisfait les besoins."

 

"Celui qui est mis en difficulté par quelque chose, qu'il prie abondamment sur moi, car cela délie les nœuds et élimine l'angoisse".

 

 

 

Lorsqu’on a perdu quelque chose :

 

 

 

"si vous oubliez quelque chose, vous devez dire la prière sur moi. Par la grâce d'Allah Tout-puissant, vous vous rappellerez (ce que vous avez oublié)". (Sadaatud Daarain) (Le bonheur des deux mondes).

 

 

 

Lors de l’écriture d’un Livre :

 

 

 

Le Prophète(  sala Allah alayhi wa salam )a dit,"Celui qui écrit au sujet d'une question de savoir en rapport avec moi et y écrit aussi les prières sur moi, ensuite tant que le livre est lu, l'auteur recevra la récompense (pour avoir écrit les salawat)". (Saâdaatud 'Daarain)(Le bonheur des deux mondes).

(Source : Site : mohammedia.fr)

 

Mohammed ce parfum qui embaume l'univers !

Publié le 13/01/2024 à 08:13 par croireavantdevoir2 Tags : islam foi Allah

 

 

J'aime le Prophète (  صلى الله عليه وسلم   ) plus que ma mère, mon père, ma femme, mes enfants et l'humanité entière. Mohammed est la lumière de mes yeux, le soleil de mon univers, ma joie et mon seul et unique bonheur, Mohammed est ma seule raison d'être.

 

 

 

Aimer Mohammed, notre bien-aimé (  صلى الله عليه وسلم    ), n'est pas un vain mot, un sentiment d'amour quelconque, Aimer Mohammed (  صلى الله عليه وسلم  )   c'est lui obéir, suivre sincèrement sa sunna et en être un parfait exemple, suivre ses commandements, et surtout être fier de lui, particulièrement  en ces moments dures  que traverse notre islam, et propager dignement son noble message, car Allah(   سبحانه وتعالى   ) est fier de lui, Allah(سبحانه وتعالى   ) le préfère à tous les prophètes (عليهم السلام  ), c'est grâce à lui que nous existons, que nous sommes des musulmans, c'est grâce à Mohammed que l'Univers a été créé !

 

 

 

"Vraiment, tu es d'un caractère magnifique» (al-Qalam: 4).

 

 

 

Le Prophète (   صلى الله عليه وسلم     ) a dit:

 

 

 

« Aucun de vous ne croira jusqu'à ce qu'il m'aime plus que ses enfants, ses parents et tous les gens ». Dans un autre hadith rapporté par Boukhari, le Prophète(   صلى الله عليه وسلم  ) dit « Aucun de vous ne croira jusqu'à ce qu'il m'aime plus sa propre personne ».

 

 

 

Un de ses compagnons a dit: «Je n'ai jamais senti un porte-musc ou tout autre parfum qui était aussi agréable que le parfum du prophète."

 

 

 

Et un autre compagnon(رضي الله عنهم ) en disant de lui que «l'Odeur du parfum du Prophète(  صلى الله عليه وسلم  ) persistait après son départ, à tel point que l'émanation de son parfum nous apprenait quel chemin il avait pris ».   Et si il arrivait au Prophète (صلى الله عليه وسلم  ) de serrer la main à quelqu'un, le parfum embaumait cette personne durant toute la journée ».« Et s'il arrivait au Prophète (  صلى الله عليه وسلم  ) de passer par tendresse sa noble main sur la tête d'un enfant, l'odeur du parfum distinguait cet enfant de par de tous les autres enfants ».

 

 

 

{On a eu foi en toi sans te voir, on t’a cru sans entendre tes paroles, nous t’avons aimé sans vivre avec toi, tu nous manques tant, Ô Messager d’Allah !}

 

 

 

أمناك ولم نرك، صدقناك ولم نسمعك ، أحببناك ولم نعش معك، اشتقنا إليك يا رسول الله 

 

 

 

 

 

 

 

Auteur : Mokhtary Abdullah

 

Qualité du prophète ('alayhi salat wa salam)

The Birth of Muhammad and the Early Years of his Life

Publié le 29/09/2023 à 16:02 par croireavantdevoir2 Tags : islam foi Allah
The Birth of Muhammad and the Early Years of his Life

 

 

 

 

 

 

 

 

Abdullah was the favorite son of Abdul Muttalib. When he was seventeen years old, he was married to Amina, a high-born lady of Yathrib, a city in the north of Makkah. He was not, however, destined to live long, and died only seven months after his marriage.

 

 

Muhammad, the future apostle of God, was a posthumous child.Shaikh Muhammad el-Khidhri Buck, professor of Islamic History, Egyptian University, Cairo, says in his book, Noor-ul­Yaqeen fi Seeret Sayyed al-Mursaleen (1953). He (Muhammad ibn Abdullah) was born in the house of his uncle, Abu Talib, in the “quarter” of Banu Hashim in Makkah, on the 12th of Rabi al-Awal of the Year of the Elephant, a date that corresponds to June 8, 570.

 

 

 

His midwife was the mother of Abdur Rahman ibn Auf. His mother, Amina, sent the tidings of the auspicious birth to his grandfather, Abdul Muttalib, who came, took him in his arms, and gave him the name Muhammad.

 

 

 

Muhammad's share in his patrimony was one maid servant, Umm Ayman; five camels and ten sheep. This is proof that prophets can inherit property, and if they can inherit property from their parents, they can also bequeath property to their own children.

 

 

 

Being a prophet does not disqualify them from receiving their own patrimony nor does it disqualify their children from receiving theirs. This statement may appear to be a non-sequitur in this context but it is not. Muhammad, the Prophet of Islam, may God bless him and his Ahlul-Bait, had bestowed upon his daughter, Fatima, as a gift, the estate of Fadak.

 

 

 

But when he died, Abu Bakr, the khalifa, and Umar, his adviser, seized the estate on the plea that prophets do not bequeath any property to their own children, and whatever wealth they possess, belongs, after their death, not to their children, but to their umma (the people).

 

 

 

It is a grim penalty that one has to pay in Islam for being the son or daughter of its Prophet. Everyone else in the umma has the right to inherit the wealth and property of one's father but not the daughter of Muhammad, the Messenger of God!

 

 

 

It was a custom among the Quraysh to send their children into the desert to spend their early years in a climate that was more salubrious than that of Mach. Children built up stronger bodies in the wide open spaces and pure air of the desert than they could in the stifling and noisome air of the City.

 

 

 

There was one more reason why the Arab aristocrats sent their children to live in the desert. They were purists in speech, and were great “aficionados” of words. They were fascinated by the Arabic language, its words, their meanings and the various nuances of their meaning; and they took great pride in their own eloquence. In fact, the upper classes in Makkah predicated their authority on their rhetorical power. Makkah was the meeting-place of many caravans and its Arabic had become corrupted into a kind of “pidgin Arabic”.

 

 

 

The Arab aristocrats did not want their children to learn and to speak the pidgin Arabic of Makkah; they wanted them to speak only the pure and uncontaminated language of the desert. They, therefore, sent their children away from Makkah to protect them from all such deleterious effects during the early years of their lives.

 

 

 

Amina gave her child, Muhammad, to Halima, a woman of the tribe of Banu Asad, living in the east of Makkah, for nursing. The infant Muhammad spent the first four years of his life in the desert with his wet-nurse. Sometime in the fifth year of his life, she is reported to have brought him back to his mother in Makkah.

 

 

 

Muhammad was six years old when Amina, his mother, died. He was then taken by Abdul Muttalib, his grandfather, to his home. But only two years had passed when Abdul Muttalib also died.

 

 

 

Just before his death, Abdul Muttalib called all his sons together and told them that he was leaving two “bequests” for them; one was the leadership of the clan of Banu Hashim, and the other was Muhammad ibn Abdullah, their nephew, an orphan of eight.

 

 

 

He then asked them who among them wanted his power and authority as the leader of the tribe, and who among them would take charge of the boy who had lost both parents. Most of his sons showed much eagerness to be named the leader of the tribe but no one volunteered to take charge of Muhammad.

 

 

 

As Abdul-Muttalib surveyed the assembly and contemplated the future of the boy, Muhammad, an uneasy silence fell over the scene. But it didn't last long. Abu Talib, one of his sons, stepped forward and said that he wanted the son of his late brother, Abdullah, and that he had no interest in authority and power.

 

 

 

Abu Talib's forthright declaration clinched the matter for Abdul Muttalib. He decided to make Abu Talib not only the guardian of Muhammad but also the guardian of the clan of Banu Hashim.

 

 

 

Abdul Muttalib announced on his death-bed that his son, Abu Talib, would succeed him as the new chief of Banu Hashim, and that he would also be the guardian of Muhammad. He then ordered the assembly to acknowledge Abu Talib as the new leader of Banu Hashim. The latter complied, and was then dismissed.

 

 

 

History ratified the judgment of Abdul Muttalib. His son and successor, Abu Talib, discharged both duties most honorably.

 

 

 

Sir John Glubb

I

 

 

n 578 Abdul Muttalib died. Before his death, he charged his son, Abu Talib, to look after Muhammad. Abdullah, Muhammad's father, had been the brother of Abu Talib by both their father and mother. Abdul Muttalib's other sons had apparently come from different wives. (The Life and Times of Mohammed, 1970)

 

 

 

Abu Talib and his wife were very happy and proud to receive Muhammad into their family. They took him not into their home but into their hearts, and they loved him more than they loved their own children.

 

 

 

Abu Talib was a man of great dignity and commanding presence. During his incumbency as the leader of Banu Hashim he bore the titles of the “Lord of Quraysh,” and “Chief of the Valley.” Like other members of his tribe, he was also a merchant, and his caravans traveled to and from Syria and Yemen

 

 

 

In every season, Abu Talib's caravans left Makkah for their various destinations. Occasionally, he himself accompanied a caravan to supervise the sale and purchase of merchandise in the foreign markets. Young Muhammad is reported to have traveled with him to Syria with one of the caravans when he was twelve years old.

 

 

 

Early in life, Muhammad, the future prophet, built up a reputation for truthfulness, integrity and sound judgment. Since there were no banks in those days, he became a “banker” for the Makkans. They brought their cash, jewelry, and other valuables to him for safe-keeping, and whenever they wanted anything back, he returned it to them. They called him Amin (trustworthy) and Sadiq (truthful).

 

 

 

Sir William Muir

 

 

 

Endowed with a refined mind and delicate taste, reserved and meditative, he (Mohammed) lived much within himself, and the pondering of his heart supplied occupation for leisure hours spent by men of a lower stamp in rude sports and profligacy.

The fair character and honorable bearings of the unobtrusive youth won the approbation of his fellow-citizens; and he received the title, by common consent, of Al-Amin, ‘the Faithful.' Thus respected and honored, Mohammed lived a quiet and retired life in the family of Abu Talib. (Life of Mohammed, 1877, p. 20)

 

 

 

When Muhammad was twenty years old, a war broke out between Quraysh, his tribe, and the tribe of Hawazin. Though he was present in the campaigns of this war, he did not take any part in fighting. He did not kill or wound anyone, thus showing at this early period, his hatred of bloodshed. He is, however, said to have picked up arrows from the ground, and to have given them to his uncles who were fighting.

 

 

 

A few years later, Muhammad was admitted as a member into the League of the Virtuous. As mentioned earlier, this League had pledged itself to protect the weak, to oppose the tyrants and the oppressors, and to put an end to exploitation in all forms.

 

 

 

It is noteworthy that it was the clan of Banu Hashim, to which Muhammad, the future prophet belonged, which inaugurated the League of the Virtuous. Was it a mere coincidence? There is no way to answer this question. But by their demarche, the Banu Hashim had declared war upon iniquity and injustice. They made it clear that they would not connive at the crimes of the strong against the weak; nor would they acquiesce in the exploitation of the poor by the Quraysh of Makkah.

 

 

 

Not many years later, Muhammad was to launch a program for the reconstruction of human society the economic component of which would comprehend precisely the destruction of exploitation. He would take the “privileges” of the Quraysh, and their “right” to exploit the poor and the weak, away from them.

 

 

 

Montgomery Watt

 

 

 

The League of the Virtuous seems to have played an important part in the life of Mecca, and in large part to have been directed against the men and the policies to which Mohammed later found himself opposed. In particular his clan of Hashim came to have a leading role in the League of the Virtuous. (Muhammad, Prophet and Statesman, 1961)

 

Le noble comportement du Prophète Mohamed (saaws !

Publié le 14/09/2023 à 15:03 par croireavantdevoir2 Tags : islam foi allah
Le noble comportement du Prophète Mohamed (saaws !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Abî Abdallah al-Jadalî a dit : " J’ai dit à Aïcha : " Comment était le comportement moral du Prophète au sein de sa famille ? " Elle m’a répondu en ces termes : " Il était le meilleur des hommes par son comportement ; il n’était ni vulgaire ni insolent ; il ne vociférait pas dans les marchés ; il ne rendait pas le tort par le tort, mais il pardonnait et faisait grâce ".

  (Rapporté par Ahmad)

 

 

En outre, Anas (qu'Allah l'agrée) a dit : " J’ai été au service du Prophète pendant dix ans, et jamais il ne m’a dit : " Fi ! " ou pourquoi as-tu fait cela ou n’as-tu pas fait cela ? "

(Rapporté par Bukhâri)

 

 

Par ailleurs, Sammâk a dit : " J’ai dit à Jâbir Ibn Samra : " As-tu été en compagnie du Prophète ? " - " Oui, m’a-t-il répondu, il avait de longs moments de silence et riait rarement ; ses compagnons déclamaient devant lui des vers de poésie ou se racontaient des choses sur leur vie, en riant, mais lui se contentait de sourire ".

(Rapporté par Bukhâri et Muslim)

 

 

Son humilité

D’après Umar (qu'Allah l'agrée), le Prophète (Salla allahu 'alayhi wa salam) a dit : " Ne me traitez pas comme les Chrétiens ont traité Jésus fils de Marie ; je ne suis que le serviteur d’Allah ; appelez-moi donc : le serviteur d’Allah et Son messager ".

(Rapporté par Bukhâri)

De son côté, Jâbir (qu'Allah l'agrée) a dit : " Le Prophète est venu me rendre visite sans être monté sur une mule ni sur un cheval de trait ".

(Rapporté par Bukhâri)

 

 

Anas (qu'Allah l'agrée) a dit pour sa part : " Il arrivait qu’une esclave parmi les esclaves de Médine prenne le Prophète par la main et l’emmène avec lui pour qu’il lui règle son problème ".   Dans une autre version, il est dit : " Elle l’emmenait là où elle voulait ".

(Rapporté par Bukhâri)

 

 

Dans ce même ordre d’idées, al-Aswad a dit : " J’ai demandé à Aïcha de me dire ce que le Prophète faisait lorsqu’il entrait chez lui, et elle m’a répondu ceci : " Il était au service de sa famille, jusqu’au moment où l’heure de la prière survenait. Dés lors, il sortait de la maison pour aller faire sa prière ".

(Rapporté par Bukhâri)

 

 

De son côté, al-Barâ (qu'Allah l'agrée) a dit : " J’ai vu le Prophète, lors de la bataille des coalisés, porter de la terre au point de couvrir le blanc de son ventre ; il disait : " Par Allah, sans Toi [Allah], nous n’aurions pas été guidés, ni n’aurions donné l’aumône, ni accompli la prière ! Fais descendre la quiétude sur nous et affermis nos pas en cas de rencontre [avec l’ennemi]. Les ennemis se sont ligués contre nous ; ils veulent nous forcer à abjurer, mais nous refusons ".

(Rapporté Bukhâri et Muslim)

 

 

D’après Anas Ibn Mâlik (qu'Allah l'agrée), le Prophète rendait visite aux malades, participait aux convois funèbres, répondait à l’invitation de l’esclave et enfourchait les ânes. Je l’ai vu un jour sur un âne dont la muselière était en fibre de palmier.

 

 

En outre, on rapporte qu’al-Hasan (qu'Allah l'agrée) avait parlé du Prophète (Salla allahu 'alayhi wa salam) en disant : " Non par Allah, on ne fermait pas les portes derrière lui, on ne mettait pas de chambellans devant sa porte et on ne lui apportait pas divers plateaux de nourriture ! Non, il vivait au milieu des gens ; celui qui voulait voir le Prophète d’Allah le rencontrait facilement ; il s’asseyait par terre et mangeait par terre ; il portait des vêtements épais, enfourchait un âne, prenait en croupe son serviteur et nourrissait sa monture de ses propres mains ".

Le Notable de la ville !!!

Publié le 04/09/2023 à 15:41 par croireavantdevoir2 Tags : islam foi Allah
Le Notable de la ville !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

On raconte que quelque part dans le monde vivait dans une ville déshéritée, pauvre et dépourvue de toutes ressources, un homme d’un certain âge, d’une piété exemplaire. Cet homme était très riche et jouissait d’une bonté et d’une générosité incomparable, il était le notable de ce misérable bourg.
 

 

Tous les habitants de la ville l’aimaient et le respectaient grâce à sa générosité envers les pauvres et les nécessiteux, au point où les gens le considéraient pareil à un soleil bienfaiteur qui brillait sur toute la ville.
 

 

Très sensible à la pauvreté et au désespoir des gens, ce vieil homme décida un jour d’entreprendre une grande œuvre de bienfaisance au profit des habitants de la ville, il décida alors la création d’un projet de grande utilité publique pour le bien de la ville, qui permettra de réhabiliter la malheureuse vie de ce bourg en général, lui donner une apparence urbaine moderne, sauver les habitants du grand désespoir dans lequel ils vivaient leur quotidien, et améliorer les dures conditions du quotidien de leur vie.
 

 

Après avoir étudié et mis le projet techniquement sur pieds, il invita les habitants de la ville et leur proposa de travailler et de participer à la réalisation du projet dont le programme a été décidé en trois tranches bien définies. Le chef du projet rassembla  donc tous les gens de la ville actifs et en âge de travailler, et les divisa en trois groupes distincts, et chargea chaque groupe d’exécuter les travaux d’une des trois tranches prévues dans le projet, à des heures différentes de la journée, contre une forte rétribution convenue entre les parties.
 

 

Cependant et compte-tenu de l’importance et de l’urgence que revêtait le projet, une grande condition a été néanmoins irrévocablement décidée par le maitre de l’ouvrage : Le projet en cause devait être réalisée en une seule et unique journée de travail.
 

 

Les horaires relatifs à chaque groupe ont été répartis de la manière suivante :
 

 

La journée a été divisée en trois parties, le premier groupe a été désigné pour la période allant de l’aube (fadjr) à la mi-journée, le second groupe devait pour sa part prendre le relais, c’est-à-dire de la mi-journée jusqu’à l’heure de la prière de l’après-midi(asr) quant au troisième et dernier groupe, il devait assurer le reste du projet, c’est-à-dire de la prière de l’après-midi, jusqu’à la prière du soir (el-Maghreb) délai prévu pour la clôture définitive du chantier et la réception du projet.
 

 

Le signal fût donc donné et le premier groupe s’engagea comme un seul homme et entama avec persévérance et grand acharnement le début des travaux.Le chantier démarre et les ouvriers s’engagent donc corps et âme dans les travaux.Malgré la dureté et la pénibilité des travaux, les ouvriers paraissaient  à la hauteur de la tache, et le chantier semblait avancer normalement.Malheureusement et quelques heures après, les ouvriers donnaient l’impression d’être essoufflés, une grande sensation de fatigue commençait à apparaître sur leurs visages et leurs corps, un grand découragement gagnait leurs esprits, le rythme des travaux diminuait au fur et à mesure.
 

 

Subitement et d’un commun accord, les ouvriers cèdent à leurs faiblesses et décident de se retirer et d’arrêter les travaux deux heures avant les délais convenus, et réclament leurs dus proportionnellement aux heures de travail effectuées.
 

 

La situation se complique pour le chef de l’ouvrage. N’ayant pas le choix, ce dernier paie les ouvriers récalcitrants et fait appel au second groupe qui devra bien entendu reprendre le relais de 10 heures jusqu’à 16 heures de l’après-midi avec la promesse qu’ils seront rétribués en conséquence. Le chantier redémarre et les ouvriers du second groupe s’engagent dans la poursuite des travaux selon les accords convenus.Les ouvriers se mettent au travail sérieusement, les travaux avancent et tout semblait marcher comme sur des roulettes.
 

 

Ironie du sort ! Malheureusement et à peine quelques heures après, le même incident que le dernier groupe et pour les mêmes raisons d’ailleurs , les ouvriers arrêtent les travaux et décident de se retirer exactement à 14 heures de l’après-midi, autrement dit deux heures avant l’heure convenue, en réclamant évidemment leurs salaires selon le travail effectué.
La fureur et la colère gagnent le chef du projet, une situation bizarre et qui sort de l’ordinaire.L’avancement des travaux étant arrivé aux trois quarts, on décide alors d’affronter le sort en faisant appel au troisième et dernier groupe pour reprendre les travaux et achever définitivement le projet.

 

Le chef du projet s’engage donc dans cette dernière tentative dans l’espoir que le projet arrivera cette fois-ci à terme en encourageant les ouvriers d’obtenir la rétribution convenue majorée par la valeur des quatre heures de travail non effectuées par les deux derniers groupes. Le chantier redémarre exactement à 14 heures et les ouvriers se mettent aussitôt au travail, sincèrement et avec acharnement, dans le but d’honorer le contrat et d’achever les travaux au terme convenu.
 

 

Quelques heures plus tard et exactement à l’heure convenue, c’est-à-dire à l’heure de la prière du soir (el maghreb) le projet est fin prêt, on le réceptionne officiellement, le chef du projet remercie chaleureusement les ouvriers et les gratifie généreusement en leur offrant l’intégralité de la rétribution.

Source : Reguieg Mokhtar

 

Moralité : Une histoire d’une grande moralité, je laisse à mes frères et sœurs le soin d’en tirer les conclusions !

 

 

 

 

Les Compagnons du Prophète Mohamed (saaws) !

Publié le 22/08/2023 à 18:10 par croireavantdevoir2 Tags : islam foi comportement
Les Compagnons du Prophète Mohamed (saaws) !

 

 

 

 

 

 

 

Chaque Envoyé d'Allah a eu son cercle de disciples qui l'a soutenu et affermi dans sa mission en ce bas-monde.  Ces croyants de la première heure sont ceux aussi qui ont eu le mérite de garder et de préserver les enseignements transmis par les prophètes d'Allah aux générations futures.  Si le judaïsme a eu ses « juges » et si le christianisme a eu ses « apôtres », l'islam a eu ses « compagnons »  As-Sahâba, les proches disciples du Prophète – que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui – qui l'ont soutenu dans son apostolat et qui ont propagé, après sa mort, son message.

 

 C'est grâce à eux que les enseignements de l'islam nous sont parvenus intacts.  Par leur dévouement et leur fidélité à la voie du Prophète – que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui –, ils ont pu nous transmettre les dires et les actes de ce qui constitue aujourd'hui, la Sunna de l'Envoyé d'Allah – que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui –, deuxième fondement de l'islam après le Coran.

 

N'est-ce pas grâce à eux que le Saint Coran fut conservé et protégé des altérations que connurent les précédentes Écritures saintes ?  N'est-ce pas grâce à eux que le Message du Prophète – que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui – se propagea aux quatre coins du monde et supplanta les autres croyances tombées en désuétude ?  Le Saint Coran les a décrit ainsi :

 

 

 

" Il est, parmi les croyants, des hommes qui ont été sincères dans leur engagement envers Allah. Certain d'entre eux ont atteint leur fin, et d'autres attendent encore ; et ils n'ont varié aucunement dans leur engagement " Sourate 33 : Les coalisès (Al-Ahzab) - verset 23

 

 

Riches ou pauvres, libres ou esclaves, le seul dénominateur commun qui les liait était la foi en Allah et la fidélité au Message du Prophète – que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui – c'était leur raison de vivre et leur idéal pour lequel ils ont tout donné, y compris leur vie.

 

 

À ce titre, le professeur Khâlid Muhammad Khâlid s'interroge « Qui a incité les nobles du peuple du Prophète – que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui – à accourir pour embrasser ses paroles et sa religion : Abû Bakr - Qu'Allah soit satisfait de lui -, Talha - Qu'Allah soit satisfait de lui -, Az-Zubayr - Qu'Allah soit satisfait de lui -, 'Uthmân ibn 'Affân - Qu'Allah soit satisfait de lui -, 'Abd Ar-Rahmân ibn 'Awf - Qu'Allah soit satisfait de lui - et Sa'd ibn Abî Waqqâs - Qu'Allah soit satisfait de lui -. Ils quittèrent tout ce qu'ils avaient comme gloire et faste pour la voie de l'épreuve ? »

 

 

En effet, qu'est-ce qui a poussé les faibles de son peuple à accourir pour être sous son étendard et le suivre, lui qui était sans armes et sans argent.  Il n'était pas à l'abri de la méchanceté et de la haine de ses proches, de son clan, de son peuple. Ces premiers temps de l'islam où l'épreuve était grande pouvaient repousser les premiers convertis, mais la force du message les a attirés. Seul Allah   - Exalté soit-Il - savait à ce moment-là, les répercussions de la Révélation.  Par conséquent, il est du devoir de chaque croyant et de chaque croyante de connaître la vie et l'oeuvre prodigieuse des compagnons pour imprégner sa vie de leur exemple.

 

 

 

 Ces femmes et ces hommes qui méritent notre respect et notre admiration expriment bien la force de ce message et la grandeur de notre Prophète – que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui – qui leur a enseigné l'islam et les a aimés. Cette fraternisation, cet amour qui les unissait ne pouvait être que le fruit d'un message divin. Leurs épreuves et leur dévouement sont à la mesure du sentiment du Prophète – que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui – :

 

 

« Ne dites pas du mal de mes compagnons, car je jure, par Allah, que même si l'un d'entre vous donne en aumône l'équivalent de la montagne de Uhud, il n'égalerait pas les mérites d'un seul de mes compagnons. » Rapporté par Boukhari et Mouslim.

 

Ces Nobles Compagnons !

Publié le 09/07/2023 à 15:43 par croireavantdevoir2 Tags : islam foi Allah
Ces Nobles Compagnons !

 

 

 

 

 

Chaque Envoyé de Dieu a eu son cercle de disciples qui l'a soutenu et affermi dans sa mission en ce bas-monde.  Ces croyants de la première heure sont ceux aussi qui ont eu le mérite de garder et de préserver les enseignements transmis par les prophètes de Dieu aux générations futures.  Si le judaïsme a eu ses « juges » et si le christianisme a eu ses « apôtres », l'islam a eu ses « compagnons »  As-Sahâba , les proches disciples du Prophète Mohammed (saws) qui l'ont soutenu dans son apostolat et qui ont propagé, après sa mort, son message.

 

 

C'est grâce à eux que les enseignements de l'islam nous sont parvenus intacts.  Par leur dévouement et leur fidélité à la voie du Prophète Mohammed (saws)  ils ont pu nous transmettre les dires et les actes de ce qui constitue aujourd'hui, la Sunna de l'Envoyé de Dieu Mohammed (saws), deuxième fondement de l'islam après le Coran.

 

N'est-ce pas grâce à eux que le Saint Coran fut conservé et protégé des altérations que connurent les précédentes Écritures saintes ?  N'est-ce pas grâce à eux que le Message du Prophète Mohammed (saws) se propagea aux quatre coins du monde et supplanta les autres croyances tombées en désuétude ?  Le Saint Coran les a décrit ainsi :

 

 

 

Il est, parmi les croyants, des hommes qui ont été sincères dans leur engagement envers Allah. Certain d'entre eux ont atteint leur fin, et d'autres attendent encore; et ils n'ont varié aucunement dans leur engagement

[ Sourate 33 - verset 23 ]

 

Riches ou pauvres, libres ou esclaves, le seul dénominateur commun qui les liait était la foi en Dieu et la fidélité au Message du Prophète Mohammed (saws) c'était leur raison de vivre et leur idéal pour lequel ils ont tout donné, y compris leur vie.

 

À ce titre, le professeur Khâlid Muhammad Khâlid s'interroge « Qui a incité les nobles du peuple du Prophète Mohammed (saws) à accourir pour embrasser ses paroles et sa religion : Abû Bakr, Talha, Az-Zubayr, 'Uthmân ibn 'Affân, 'Abd Ar-Rahmân ibn 'Awf et Sa'd ibn Abî Waqqâs . Ils quittèrent tout ce qu'ils avaient comme gloire et faste pour la voie de l'épreuve ? »

 

 

 

En effet, qu'est-ce qui a poussé les faibles de son peuple à accourir pour être sous son étendard et le suivre, lui qui était sans armes et sans argent.  Il n'était pas à l'abri de la méchanceté et de la haine de ses proches, de son clan, de son peuple.  Ces premiers temps de l'islam où l'épreuve était grande pouvaient repousser les premiers convertis, mais la force du message les a attirés.  Seul Dieu  savait à ce moment-là, les répercussions de la Révélation.  Par conséquent, il est du devoir de chaque croyant et de chaque croyante de connaître la vie et l'oeuvre prodigieuse des compagnons pour imprégner sa vie de leur exemple.

 

Ces femmes et hommes qui méritent notre respect et notre admiration expriment bien la force de ce message et la grandeur de notre Prophète Mohammed (saws) qui leur a enseigné l'islam et les a aimés.  Cette fraternisation, cet amour qui les unissait ne pouvait être que le fruit d'un message divin.  Leurs épreuves et leur dévouement sont à la mesure du sentiment du Prophète Mohammed (saws) :

 

« Ne dites pas du mal de mes compagnons, car je jure, par Dieu, que même si l'un d'entre vous donne en aumône l'équivalent de la montagne de Uhud, il n'égalerait pas les mérites d'un seul de mes compagnons. »

[ Rapporté par Boukhari et Mouslim ]

 

Lien vers les Compagnons (qu'Allah soit satisfait d'eux) :

 

http://www.sajidine.com/vies/compagnons/

 

The Dark Period of Ignorance !

Publié le 14/06/2023 à 19:04 par croireavantdevoir2 Tags : islam foi Allah
The Dark Period of Ignorance !

 

 

 

 

 

 

 

 

Every period of human history characterized by associating partners with God, whether by worshipping idols, deifying individuals, or attributing creativity to nature and material causes, is wholly dark. When belief in God's Unity is removed from people's hearts, their minds and souls darken, standards change, and things and the world are judged from false points of view. The Qur'an defines this moral, spiritual, social, and even economic and scientific state as jahiliyya (ignorance): Or like darkness on a deep sea obscure, covered by a wave, above which is a wave, above which is a cloud. Layers of darkness one upon the other. When he holds out his hand, wellnigh he cannot see it. And he for whom God has assigned no light, for him there is no light (24:40).

 

 

I do not like describing falsehood. Besides, it is wrong to do so where truth may be described. In the words of God: What is there, after truth, but misguidance? (10:32). However, to clarify the subject, I will say a few words about the pre-Islamic era, known as the Age of Jahiliyya.

 

 

Prophet Muhammad appeared at a time when people had lost their knowledge of the true religion and had reverted to worshipping idols of stones, earth, bread, and even cheese. As stated in the Qur'an: They were serving, apart from God, what hurts them not, neither profits them, and they say: "These are our intercessors with God" (10:18).

 

 

They were so degraded in thought and morals that, as reported by Abu Dharr al-Ghifari, they would cut their idols into pieces and eat them. The only excuse offered was that they were following in the steps of their forefathers: When it is said to them: "Follow what God has sent down" they say: "No. We follow that wherein we found our fathers" (2:170).

 

 

They also buried their daughters alive: When any of them is given the good tidings of a girl, his face is darkened and he chokes inwardly, as he hides himself from the people because of the evil of the good tidings that have been given to him, whether he shall preserve her in humiliation, or trample her into the dust (16:58–59).

 

 

Women were despised, not only in pre-Islamic Arabia but also in the Roman and Sassanid lands. The Qur'an openly declares that men will be questioned concerning this: When the female (infant) buried alive is questioned—for what crime was she killed? (81:8-9).

 

 

After Muhammad had declared his Prophethood, a Companion told him what he had done with his daughter:

 

 

O Messenger of God, I had a daughter. One day I told her mother to dress her, for I was taking her to her uncle. My poor wife knew what this meant, but could do nothing but obey and weep. She dressed the girl, who was very happy that she was going to see her uncle. I took her near a well, and told her to look down into it. While she was looking into the well, I kicked her into it. While she was rolling down, she was shouting: "Daddy, Daddy!"

 

 

As he was recounting this, the Prophet sobbed as if he had lost one of his nearest kinsfolk. [1]

 

 

Hearts had become hard. Every day a pit was dug in the desert for an innocent girl to be buried. Human beings were more brutal and cruel than hyenas. The powerful crushed the weak. Brutality was taken for humanity, cruelty received approval, the bloodthirsty were exalted, bloodshed was considered a virtue, and adultery and fornication were more common than legal marriage. The family structure had been destroyed.

 

 

This dark period was followed by Islam. In addition to eradicating all other evils, God declared in the Qur'an: Do not slay your children because of the fear of poverty: We provide for you and for them (6:151).

 

 

Darimi, Sunan,"Muqaddima" 7-8.

 

by Fethullah Gülen

The Prophet's Life Before His Prophethood /

Publié le 14/06/2023 à 13:39 par croireavantdevoir2 Tags : islam foi Allah
The Prophet's Life Before His Prophethood /

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Prophet Muhammad was brought up in God's sight and care. His father 'Abd Allah died before he was born, which meant that he had to put all his trust in God and submit completely to Him. He visited his father's tomb in Madina years later, cried his heart out, and on his return said: "I wept for my father and entreated God to forgive him."

With the death of his father, God deprived him of all human support and directed him to the realization that there is no deity but God, Who has no partners.

 

His grandfather and uncle protected him to some extent, but he came to perceive that his real guardian was God. Behind every phenomenon and every cause and effect, he could discern the hand of the Single Creator of the universe and of causes. The Oneness of God would be manifested to him in the light of Divine Unity. That is, he would be tested in this world of wisdom, where material causes and means have a part in every attainment, and so would have to use necessary material causes and means and take all necessary measures to attain anything. He would have to depend wholly on his Lord and ask Him for any help, thereby demonstrating that only God creates the result and gives success.

 

As a result of his father's death, he came to be called the "Matchless Orphan Pearl." In reference to this, God addressed him years later: Your Lord shall give you, and you shall be satisfied. Did He not find you an orphan and shelter you?... Did He not find you needy and suffice you? As for the orphan, do not oppress him, and as for the beggar, scold him not (93:5-6, 8-10).

 

The Matchless Orphan Pearl also lost his mother, Amina, at an early age. When she died in Abwa at age 25 or 26 on her way back from visiting her husband's tomb in Madina, Muhammad was only 6 years old. Thus, he learned the pain of having no father or mother. Indeed, he would learn and suffer everything, for he was sent to teach everything to humanity and to be an example in every respect.

 

His grandfather 'Abd al-Muttalib, a respected Makkan elder, undertook his protection. For this reason, God saved 'Abd al-Muttalib from misfortune. He embraced his beloved grandson, and always offered him the seat of honor in his house. He felt that Muhammad would grow up to save humanity. Muhammad was so noble and well-mannered that his grandfather anticipated his Prophethood. He was not the first of his noble forefathers to do so, however; Ka'b ibn Luayy, who some consider a Prophet, predicted that the Last Messenger would be raised from his own progeny. He mentioned him by name:

 

Suddenly Prophet Muhammad will appear;

He will give tidings, and is truthful in his tidings.

 

'Abd al-Muttalib, whom even the great army of Abraha could not bring to tears, wept bitterly when he took to his deathbed. When his son, Abu Talib, asked what was wrong, he replied: "I'm weeping because I'll no longer be able to embrace Muhammad," and then added: "I'm afraid something might happen to my Matchless Pearl. I entrust him to you for safekeeping."

 

Abu Talib assumed Muhammad's protection and, in return, his son 'Ali would be blessed with being the father of Muhammad's progeny. After Prophethood, the Messenger of God said to 'Ali: "Every other Prophet's progeny descended from himself, but my progeny will descend from you." 'Ali would be the father and the greatest saint until the Last Day, as the representative of the Prophet's sainthood. This is Abu Talib's reward for helping Muhammad.

 

Abu Talib protected Muhammad with great care. Historians and biographers, such as Ibn Ishaq, relate that Abu Talib took his nephew to Syria in a trade caravan when he was 10 or 12 years old. They stopped somewhere near Damascus and left him, as he was the youngest, to watch over the caravan. From his nearby monastery, the Christian monk Bahira was observing the caravan. This monk was expecting the arrival of the Last Prophet, and so always studied people. He noticed that a cloud followed the caravan, stopping and starting when the caravan did so, in order that one of its members would be shaded. [1] He thought: "This is a special characteristic of the Prophets. The expected Prophet must be in that caravan."

 

When the caravan stopped near his monastery, Bahira invited its members over for a meal. Noticing the cloud still hovering over the caravan, he asked Abu Talib if someone had been left behind. Abu Talib answered that they had left a young boy to watch over their things. The monk asked them to fetch him. When Muhammad came, Bahira took Abu Talib to one side and asked him about his relationship with the boy. "He is my son," Abu Talib answered, but Bahira disputed this, saying: "He can't be your son. According to our books, his father must have died before his birth." Then he added: "Let me give you this advice. Take this boy back immediately. The Jews are envious. If they recognize him, they'll harm him." Abu Talib made an excuse to the other caravan members and returned to Makka with his nephew. [2]

 

Prophet Muhammad made a second journey when he was 25 years old, with the trade caravan of Khadija, a respected widow he would later marry. On the journey, he encountered Bahira once more. The monk was very pleased with this second meeting, and told him: "You will be a Prophet, the Last Prophet. I wish that God would allow me to live to see you raised as a Prophet. I would follow you, carry your shoes and protect you against your enemies!"

 

Another major event of Muhammads' early life was the fijar (sacrilegious) war that occurred during his later teens. This was the fourth war that violated the sanctity of the sacred months (Dhu al-Qa'dah, Dhu al-Hijjah, Muharram, and Rajab) and the sacred territory of Makka. Its immediate cause was two men's jealousy and animosity. One belonged to the Banu Kinanah (a confederate of the Quraysh tribe) and the other to the Qays-'Aylan (an important clan of the Hawazin tribe). The future Prophet, who would end all injustice and lawlessness, helped his uncle Zubayr ibn 'Abd al-Muttalib, who represented Banu Hashim in the war, gather the arrows shot by the enemy.

 

Another important event was his presence at the meeting that resulted in the hilf al-hudul (the alliance of the virtuous). This league against injustice was sponsored mainly by the Banu Hashim and the Banu al-Muttalib tribes. It was formed to ensure that foreign merchants would no longer be deprived of their rights, as happened when the Qurayshi 'As ibn Wa'il usurped a Yemeni merchant's goods. The Yemeni appealed to the Qurayshi leaders for help, but they ignored him. When the Banu Hashim, Muhammad's clan, heard of this, they decided to form the hilf al-fudul and force the return of the merchant's money. They also took an oath that whenever they someone in Makka, whether citizen or stranger, suffered an injustice, they would offer their support until justice was done. Muhammad was so impressed with its noble objectives that he would say long after: "I attended the conclusion of an agreement at 'Abd Allah ibn Jud'an's house. I would not exchange it for the best material gain. If someone appeals to it in Islam, I would respond."

 

Muhammad's childhood and youth were a prelude to his Prophethood. Besides his other exalted and laudable characteristics, everyone agreed upon his truthfulness and trustworthiness. He never lied, cheated, broke his word, or participated in pagan rituals (jahiliyya). He was called "the Truthful, Trustworthy Man" even by his bitterest enemies.

 

People would say of him: "If you have to travel and need someone to look after your wife, entrust her to Muhammad without hesitation, for he will not even glance at her face. If you want to entrust your wealth for safeguarding, entrust it to this trustworthy, honest man, for he will never touch it. If you look for someone who never tells a lie and never breaks his word, go directly to Muhammad, because whatever he says is true."

 

Those who knew him from his childhood immediately believed in him when he declared his Prophethood. Among them were Abu Bakr, 'Uthman, Talha, Zubayr, Abu Dharr, and Yasir. When 'Ammar told Yasir (his father) that he believed in Muhammad the latter responded: "If Muhammad says that God is One, it is true. He never lies."

 

In the early days of his Prophethood, Prophet Muhammad once summoned the Qurayshis to the foot of Abu Qubays hill. He asked them: "Would you believe me if I told you an enemy host was waiting behind this hill to attack you?" Everyone answered that they would, even his uncle Abu Lahab, who would become his bitterest enemy. [3]

 

When humanity was in dire need of someone to destroy unbelief and breathe new life into the world, God raised Muhammad to stop all forms of wickedness. In the words of Ahmad Shawky:

 

The sun of guidance was born, and the entire universe was illumined.

A smile appeared on the lips of time, and his praises were sung.

 

When he appeared on the horizon of Madina years later, the pure, innocent children of that illumined city would sing his praises as follows:

 

The "full moon" rose upon us from the hills of Wada',

So it is incumbent upon us to thank God so long as

Those who pray and entreat Him continue to do so. [4]

 

Busiri, in his famous Qasida al-Bur'a (Eulogy of Bur'a) mentions this incident, saying: "A cloud hovers over his head and protects him from the sun."

[2] Ibn Hisham, Sira, 1:191.

[3] Sahih al-Bukhari, Tafsir, 1:111; Sahih al-Muslim, Iman, 355.

[4] Ibn Kathir, al-Bidaya, 3:241

Muhammad, l’homme le plus influent de l’histoire !

Publié le 01/05/2023 à 16:23 par croireavantdevoir2 Tags : lislam foi Allah
Muhammad, l’homme le plus influent de l’histoire !

 

 

 

 

 

 

 

C’est le témoignage des non musulmans ; une réflexion basée sur une bonne méthode scientifique nous conduira certes à un tel résultat…….

 

 

Chers lecteurs, peut-être avez-vous entendu parler de ce livre intitulé « The 100 : A Ranking of the Most Influential Persons in History » (Les 100 : classement des personnes les plus influentes de l’histoire).

 

 

Michael H. Hart, l’auteur de ce livre, déclare que « Certains lecteurs seront peut-être étonnés de me voir placer Muhammad en tête des personnalités ayant exercé le plus d’influence en ce monde, et d’autres contesteront probablement mon choix. Cependant, Muhammad est le seul homme au monde qui ait réussi par excellence sur les plans religieux et séculier.

 

Quatorze siècles se sont écoulés, l’influence de Muhammad garde toujours son ampleur car il est le seul chef politique qui ait pu fonder un état prépondérant aussi bien religieusement que scientifiquement, et c’est pour cette raison qu’il a mérité le titre de « l’homme le plus influent de l’histoire de l’humanité » (It is this unparalleled combination of secular and religious influence which I feel entitles Muhammad to be considered the most influential single figure in human history).

 

 

Désintéressé, l’auteur de ce livre avait des règles scientifiques justifiant son choix de la personnalité la plus influente de l’histoire aux niveaux politique, militaire et social ; ce qui veut dire que quiconque considère le prophète de l’islam d’un point de vue scientifique le trouve le meilleur exemple à suivre par excellence. Au surplus, quiconque traite l’islam et son prophète de terrorisme et d’ignorance, est lui-même inculte et abusif !

 

 

Le noble prophète, paix et salut sur Lui, est un être humain comme nous, et se félicite d’être serviteur et messager de Dieu, et tout cela prouve sa véridicité, car aucun homme ne vient pas avec un livre sacré, un noble message, des idées innovantes et d’excellentes bases d’état… il s’investit à fond, puis il annonce que rien de tout cela ne provient de sa propre personne !

 

 

Ainsi, ne connaît-on pas de littérateurs, de poètes, d’inventeurs ou de découvreurs qui ont attribué leurs travaux à quelqu’un d’autre ! Alors, il en aurait fallu être de même pour un homme appartenant à une société qui aime les flatteries… pourquoi donc ? Parce qu’il est le vrai prophète et messager d’Allah, exalté soit-Il.

 

 

Le chercheur japonais Michael H. Hart n’est pas musulman, alors pourquoi déclare-t-il que le prophète, salut et paix sur Lui, est le chef par excellence qui a réussi aussi bien religieusement que scientifiquement ? La réponse est simple : parce que Muhammad, salut et paix sur Lui, l’est vraiment !

 

 

Maintenant j’aimerais bien savoir s’il y a un grand homme qui a attribué ses bonnes œuvres à quelqu’un d’autre ?! Que les sceptiques en méditent bien !

 

 

Ce sont les prophètes d’Allah, Muhammad est le dernier de ces messagers dont le Bon Dieu parlent : « Dis : « ô hommes ! Je suis pour vous tous le Messager d’Allah, à Qui appartient la royauté des cieux et de la terre. Pas de divinité à part Lui. Il donne la vie et Il donne la mort. Croyez donc en Allah, en Son Messager, le Prophète illettré qui croit en Allah et en Ses paroles. Et suivez-le afin que vous soyez bien guidés », al-A’raf, v.158.

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Par: Abduldaem Al-Kaheel

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