Les crypto-monnaies sont controversées. Les défenseurs les voient comme une meilleure forme d'argent qui confère la liberté, des fonctions économiques utiles, des richesses fabuleuses et des couvertures contre les mauvaises politiques gouvernementales. Les sceptiques s'inquiètent de la protection des investisseurs et de l'impact environnemental.
Aujourd'hui, les crypto-monnaies ne menacent pas beaucoup la stabilité financière, comme l'ont noté den Haan et al. (2017) et un récent rapport du Financial Stability Board (Financial Stability Board 2018).
Cela changera si les crypto-monnaies trouvent une utilisation économique généralisée, coexistant ou déplaçant complètement la monnaie fiduciaire. Ils auront alors un impact fort et négatif sur la stabilité financière, l'égalité et la cohésion sociale, comme je l'explique dans Danielsson (2018c).
Stabilité financière
Certaines crypto-monnaies promettent de remplacer la monnaie fiduciaire par de l'argent privé dont l'intégrité est étayée par des algorithmes, et non par des garanties gouvernementales. Cela inclut le plus important, Bitcoin, et de nombreuses crypto-monnaies visant à améliorer le Bitcoin.
Ces crypto-monnaies menacent-elles la stabilité financière?
La plupart des observateurs ne le pensent pas. Après tout, une classe d'actifs qui s'élève à moins de 200 milliards de dollars est assez petite par rapport à l'ensemble des marchés d'actifs, d'autant plus que les crypto-monnaies sont principalement détenues pour des raisons spéculatives et voient une utilisation économique triviale en dehors de cela. Les crypto-monnaies ne menacent pas la stabilité financière aujourd'hui.
Cependant, en supposant que les crypto-monnaies comme Bitcoin devaient réussir sur le marché de l'argent et voir une utilisation généralisée dans les activités économiques quotidiennes. Y aurait-il des conséquences sur la stabilité financière?
Oui. Un système monétaire basé sur la crypto-monnaie («cryptosystème») est soumis aux mêmes forces d'instabilité financière que le système fiduciaire actuel, tout en ajoutant de nouvelles formes d'instabilité.
Les mêmes forces fondamentales sont à l'origine de presque toutes les crises financières, quel que soit le système monétaire sous-jacent (or, fiat ou cryptos) - des quantités excessives de risque endogène (Danielsson et al. 2012) qui sont cachées jusqu'à ce qu'il soit trop tard, pour se manifester uniquement lui-même une fois qu'une crise est en cours quand il est trop tard pour faire autre chose que réagir.
Tout risque financier grave est endogène, provoqué par l'interaction des êtres humains qui composent le système financier. Ils sont enclins à agir comme un troupeau procyclique et sont soumis à une variété de contraintes et de biais affectant les décisions, et donc les résultats. En période de boom, le comportement est plus idiosyncrasique que pendant la crise lorsque les instincts de conservation se déclenchent. C'est pourquoi les booms s'accumulent lentement et se dégonflent rapidement - les prix montent l'escalator et descendent l'ascenseur.
La création de monnaie est fondamentale pour l'instabilité financière. Dans le système fiduciaire actuel, la banque centrale crée de la monnaie de base et le système financier crée des formes de monnaie plus élevées telles que M1 et M2. Le principal dommage causé par les crises financières est lorsque le processus s'inverse en raison d'un désendettement rapide.
Il en va de même pour les cryptosystèmes. Le processus d'extraction contrôle uniquement la création de monnaie de base (le nombre de pièces), tandis que la fourniture de monnaie est crypto M1 et M2, et tout comme pour le fiat, la création de cette monnaie n'est sous le contrôle de personne. Bien que certains cryptoadvocates soutiennent que cela ne se produirait pas car un cryptosystème serait un système de réserve complet, cela est peu probable. Certaines personnes voudront prêter des pièces et d'autres à emprunter, et si de telles créances sont échangées, la crypto M1 et M2 est créée. De même, certaines banques cryptographiques trouveront plus rentable de fonctionner comme les institutions de réserve fractionnaire d'aujourd'hui.
Dans le même temps, un cryptosystème présente des formes supplémentaires de risque systémique non présentes dans les systèmes fiduciaires. La plupart de l'argent dans un cryptosystème, crypto M1 et M2, ne concerne que les pièces. En période de crise où la confiance s'évapore, cela peut à lui seul conduire à la panique car si les agents économiques commencent à s'inquiéter que leur argent n'est pas équivalent aux pièces, ils dirigeront leurs institutions financières.
Nous ne pouvons pas résoudre de telles crises de cryptosystème parce que nous ne pouvons pas créer de nouvelle monnaie de base (pièces), du moins si l'argent est comme Bitcoin avec un calendrier de minage fixe. Bien que nous puissions certainement concevoir une crypto-monnaie avec un algorithme qui crée de nouvelles pièces pendant une crise, une telle monnaie serait un anathème pour les crypto-monnaies d'aujourd'hui qui ne veulent explicitement pas que l'offre de monnaie soit ajustée en fonction des conditions économiques.
Alors que les systèmes Fiat sont affectés par le même risque endogène, ils ont une soupape de sécurité. Parce que le système fiduciaire peut créer des quantités infinies de liquidités en cas de besoin, la banque centrale peut garantir le choc et la crainte. Elle peut dire aux marchés financiers que quelle que soit la demande de liquidités, elle peut y répondre, en minimisant le désendettement, en maintenant l'économie et en prévenant les défaillances désastreuses des institutions financières sans lesquelles l'économie ne peut pas fonctionner.
Une telle démonstration crédible se stabilise d'elle-même. Une fois que les marchés savent que la banque centrale fera ce qu'il faut, une crise peut être atténuée; nous avons vu qu'en action avec la BCE, nous ferons tout ce qu'il faut »annonce en 2012. L'échec de la Réserve fédérale à faire de même pendant la Grande Dépression est à l'origine d'une crise financière et d'une récession économique devenue dépression. La création de liquidités coordonnée au niveau mondial à l'automne 2008 est la raison pour laquelle cette crise n'est pas devenue une dépression.
En fin de compte, cela signifie qu'un système monétaire basé sur les crypto-monnaies privées d'aujourd'hui souffrirait d'un risque systémique plus élevé qu'un système fiduciaire bien géré.
Justice
Si les crypto-monnaies privées deviennent de véritables concurrents de la monnaie fiduciaire, quelqu'un va faire un profit.
La valeur marchande actuelle de toutes les crypto-monnaies est d'environ 200 milliards de dollars; la valeur totale de M1 dans les économies du G20 est de 31 billions de dollars. Si nous remplaçons entièrement la monnaie fiduciaire par des crypto-monnaies, un profit de 31 billions de dollars sera transféré à une poignée de crypto-spéculateurs, équivalent presque au PIB annuel des États-Unis et de la Chine combinés (à 34,5 billions de dollars). Telle est la limite supérieure; les crypto-monnaies privées peuvent finir par coexister avec de la monnaie fiduciaire, de sorte que la valeur marchande des crypto-monnaies peut se situer entre 200 milliards et 31 billions de dollars.
Le succès des crypto-monnaies privées implique un transfert substantiel d'un bien public à des spéculateurs privés. Elle éclipserait les plus grandes expropriations historiques de biens publics, y compris les Inclosure Acts en Angleterre et au Pays de Galles lorsque 2 800 000 hectares de terres communes ont été transférés à la propriété privée, les Highland Clearances en Écosse, la confiscation des terres amérindiennes aux États-Unis et les terres autochtones en L'Australie et les privatisations russes et chinoises les plus récentes.
Le passage de 31 milliards de dollars (ou tout montant nettement supérieur aux 200 milliards de dollars actuels) du passage de M1 aux crypto-monnaies serait-il de la même nature? Les transferts de richesse dans les exemples ci-dessus se produisent à l'instigation du souverain, qui a délibérément enrichi certains citoyens et appauvri d'autres. En revanche, les transferts actuels vers les crypto-spéculateurs sont entièrement volontaires. J'achète du Bitcoin à mon gré.
Cependant, pour que les crypto-monnaies remplacent la monnaie fiduciaire, le souverain doit acquiescer, pour prendre la décision délibérée que Bitcoin doit être utilisé à côté ou au lieu de dollars. La raison en est que la monnaie fiduciaire a cours légal, et le souverain doit autoriser le déplacement de la monnaie fiduciaire.
Par conséquent, le transfert d'un maximum de 31 billions de dollars à une poignée de spéculateurs privés éclipserait tous les antécédents historiques pour devenir la plus grande expropriation d'un bien public de l'histoire de l'humanité.
Ceci est fortement contesté par les crypto-défenseurs, qui trouvent de telles notions marxistes et qu'il ne reconnaît pas le juste retour à un entrepreneur prenant des risques. De tels contre-arguments manquent de pertinence. L'idée selon laquelle l'entrepreneur devrait bénéficier des fruits de son travail, accompli sur un marché concurrentiel, et non par expropriation, est largement répandue.
Contrairement à la richesse entrepreneuriale, les crypto-fortunes seraient créées en incluant un bien public et il serait fondamentalement injuste de transférer la masse monétaire publique aux crypto-spéculateurs.
Conclusion
Bien que je pense que les crypto-monnaies n'ont pas beaucoup de sens et sont destinées à finir sans valeur, (Danielsson 2018a, 2018b), supposons que je me trompe. Le succès de crypto-monnaies privées telles que Bitcoin aurait un coût considérable. Cela augmenterait l'instabilité financière et l'inégalité des richesses, sans apporter d'avantages perceptibles.
Si nous devons passer d'un système monétaire fiduciaire à un système basé sur la cryptographie, la seule bonne façon est que toutes les pièces créées soient détenues par le public dès le départ.
Pour tout ce que les partisans prétendent que les cryptocurrences sont modernes et futuristes, elles ne me rappellent rien autant que les banques sauvages du 19e siècle.
Bien sûr, la devise de base »n'est pas vraiment contrôlée par les algorithmes de cryptographie car le nombre de crypto-devises différentes n'est pas contrôlé. La demande de différentes crypto-monnaies est régie par le même cycle de boom-bust que les autres marchés sont sujets à.
Pourquoi l'entretien régulier de vos meubles est indispensable se révèle crucial pour préserver votre investissement et éviter des dépenses inutiles à long terme. Vos meubles, qu'ils soient modernes ou antiques, constituent des éléments essentiels de votre espace de vie, apportant confort, fonctionnalité et esthétique à votre quotidien. Adopter des pratiques d'entretien régulières et préventives peut prolonger significativement leur durée de vie tout en préservant leur valeur.
Commencer par un nettoyage régulier est fondamental pour maintenir vos meubles en bon état. En éliminant régulièrement la poussière, la saleté et les débris qui s'accumulent sur les surfaces, vous prévenez l'usure prématurée et les dommages. Pour les meubles en bois, utilisez des produits de nettoyage doux adaptés à leur finition pour éviter d'endommager le vernis ou la peinture. Un polissage occasionnel peut également raviver l'éclat naturel du bois et le protéger contre les égratignures.
Les meubles rembourrés nécessitent une attention particulière pour préserver leur apparence et leur confort. Aspirez régulièrement les coussins et les surfaces rembourrées pour éliminer la poussière et les allergènes, tout en évitant l'accumulation de saletés qui pourraient compromettre la qualité du tissu à long terme. Traitez rapidement les taches ou les salissures avec des produits de nettoyage adaptés au matériau pour éviter les dommages permanents.
Les meubles en métal, tels que les tables et les chaises, bénéficient également d'un entretien régulier pour éviter la rouille et la corrosion. Utilisez un chiffon doux et des produits non abrasifs pour nettoyer ces surfaces et préserver leur brillance et leur durabilité. Inspectez périodiquement les joints et les fixations pour détecter tout signe de faiblesse structurelle et intervenez rapidement pour éviter des dommages plus graves.
En plus du nettoyage régulier, la prévention des dommages physiques est essentielle pour prolonger la durée de vie de vos meubles. Utilisez des sous-verres, des dessous de plats et des protecteurs pour surfaces pour protéger les meubles contre les dommages causés par la chaleur, l'humidité et d'autres sources potentielles. Encouragez les membres de la famille et les invités à manipuler les meubles avec précaution pour éviter les rayures et les éraflures.
Investir dans l'entretien régulier de vos meubles représente une dépense initiale modeste qui peut vous faire économiser beaucoup d'argent à long terme. En prolongeant la durée de vie de vos meubles, vous réduisez la fréquence à laquelle vous devez les remplacer, mousse pour meubles ce qui se traduit par des économies financières significatives. De plus, en réduisant la demande de nouveaux meubles, vous contribuez également à la préservation des ressources naturelles et à la réduction des déchets.
Pour les meubles précieux ou hérités, envisagez des traitements spécifiques tels que la restauration professionnelle pour maintenir leur intégrité et leur valeur historique. Les restaurateurs peuvent utiliser des techniques spécialisées pour traiter le bois, le cuir et d'autres matériaux et restaurer l'aspect d'origine tout en prolongeant leur durée de vie.
En conclusion, l'entretien régulier de vos meubles est bien plus qu'une simple tâche ménagère : c'est une stratégie intelligente pour préserver votre investissement et assurer une satisfaction durable à travers les années. En adoptant des pratiques simples comme le nettoyage régulier, la prévention des dommages physiques et la gestion proactive des réparations, vous pouvez préserver l'apparence, la fonctionnalité et la valeur de vos meubles pour les générations à venir. Chaque action entreprise aujourd'hui pour prendre soin de vos meubles se traduira par des économies financières substantielles et une appréciation continue de leur valeur et de leur utilité dans votre espace de vie.
C'est une vie merveilleuse est depuis longtemps un classique des vacances. Fantaisie de Noël de 1946 du réalisateur Frank Capra, le film est un portrait sentimental de l'altruisme communautaire face à la crise économique et au désespoir existentiel. Chaque Noël, des millions de téléspectateurs revisitent rituellement le film pour réfléchir à l'esprit de la saison.
Du point de vue de la théorie monétaire moderne (MMT), cependant, les retours annuels du film ressemblent plus à un cauchemar éternel. Alors que le MMT insiste sur le fait que l'argent est un instrument public illimité et que la production du secteur privé dépend de la gouvernance centralisée et des dépenses fiscales, It's a Wonderful Life imagine que l'État n'a pas grand-chose à voir avec l'argent ou la production américains et romance la pratique de recueillir de grosses sommes provenant de nombreuses petites des dons privés ou, dans le langage contemporain, le financement participatif. » L'histoire de It's a Wonderful Life se déroule dans le contexte d'une période tumultueuse de l'histoire américaine, qui s'étend approximativement de la fin de la Première Guerre mondiale à juste après la Seconde Guerre mondiale. Au lieu de thématiser la politique turbulente d'approvisionnement et de privation qui façonne cette période, le film traite l'argent comme une relation privée et largement aliénante. Il présente ensuite le financement participatif comme un baume surnaturel pour les travailleurs.
En ce sens, le film reste étonnamment pertinent pour les téléspectateurs actuels. Alors que des milliers de personnes se tournent vers des plates-formes de financement participatif pour consolider les échecs structurels du néolibéralisme dans tous les domaines, des soins de santé aux arts, c'est la fable improbable d'une ascension financée par la communauté de A Wonderful Life alimente les désirs contemporains de miracles à médiation numérique.
L'économie sombre du film devient plus claire dans les deux miracles clés qui encadrent son récit. Tout d'abord, un ange nommé Clarence est envoyé du ciel pour sauver le protagoniste George Bailey, le chef désormais suicidaire d'une association insolvable de construction et de prêt à Bedford Falls, New York. Clarence convainc George d'embrasser la vie en lui montrant une version dystopique de Bedford Falls dans laquelle il n'a jamais existé. Cette intervention théologique dans le domaine séculier suggère que toute médiation ou assistance venant d'en haut doit être strictement personnelle, morale et existentielle. Cela implique également à tort que la vie collective dépend entièrement des actions des individus, comme dans la plupart des plats hollywoodiens.
Le deuxième miracle du film se produit à la fin de l'histoire. La veille de Noël, les habitants de Bedford Falls rassemblent des tas de leurs propres dollars durement gagnés, rachetant à la fois la décision de George de rester en vie et sauvant l'édifice et le prêt sur lesquels eux aussi comptent. En effet, parce que le bâtiment et le prêt fournissent aux opprimés de Bedford des logements décents, lorsque la communauté aide George, elle s'aide également. En réalité, bien sûr, le New Deal et la Seconde Guerre mondiale ont vu le gouvernement américain dépenser comme jamais auparavant ou depuis, et la banlieue du milieu du siècle était un projet de gouvernance manifeste. Mais c'est une vie merveilleuse envisage l'argent comme une substance privée glissante, qui est monopolisée par le slumlord capitaliste Henry F. Potter. Il met ensuite en scène l'investissement social et le logement de qualité comme des merveilles de la coopération ascendante.
En fin de compte, les actions extraordinaires de Clarence et de la communauté font boule de neige en un grand miracle de Noël. Le résultat glorifie le financement participatif comme le seul antidote à la panne systémique et imprègne cet antidote d'un sens schmaltzy de la justice divine. Ce faisant, It's a Wonderful Life non seulement interprète mal l'économie politique et se moque de l'histoire américaine. Il naturalise également la soi-disant stagnation séculaire »et rend la transformation durable inimaginable.
En réponse, on pourrait souhaiter organiser un boycott de masse contre It's a Wonderful Life cette saison de Noël. Pourtant, pourquoi abandonner les charmes d'un grand larmoyant hollywoodien alors que nous pouvons construire un mouvement politique qui transforme nos affres partagées en miracles qui livrent vraiment les marchandises?
Alors, bonne vision à tous. Seulement, cette année, regardons de travers les rêveries de crowdfunding de It's a Wonderful Life et luttons pour réaliser les pouvoirs publics encore inexploités de l'argent.
L'Islande, souvent surnommée la terre de feu et de glace, témoigne du pouvoir d'attraction de la nature. Ses paysages spectaculaires, combinant champs volcaniques, geysers, sources d'eau chaude, chutes d'eau, glaciers et fjords escarpés, offrent plus qu'une simple toile de fond pour des photographies époustouflantes ; ils constituent une source d'idées et un cadre spécial pour les entreprises et l'innovation. L'interaction entre la beauté naturelle de l'Islande et son esprit d'innovation crée un récit convaincant qui trouve un écho auprès des entreprises et des esprits créatifs du monde entier.
L'attrait de l'Islande réside essentiellement dans ses différences frappantes et dans la pureté de ses environnements entièrement naturels. Cette nature vierge et presque intacte stimule le cerveau humain et favorise le sens de l'exploration et de la créativité. Les entrepreneurs et les penseurs sont souvent attirés par ce type d'environnement, où les vastes paysages ouverts reflètent les possibilités illimitées de l'innovation et de l'entreprise. La tranquillité et l'isolement de l'Islande offrent une échappée paisible pour la pensée et la réflexion sérieuses, permettant aux individus de se concentrer intensément sur les projets créatifs sans les perturbations d'un environnement urbain animé.
L'engagement de l'Islande en faveur d'un mode de vie durable et de l'utilisation d'énergies renouvelables renforce encore son attrait en tant que centre d'innovation. Exploitant l'énergie géothermique et hydroélectrique, le pays fonctionne presque entièrement à l'aide d'énergies renouvelables, établissant ainsi une norme mondiale en matière de durabilité. Cet engagement en faveur d'une énergie respectueuse de l'environnement n'est pas seulement responsable sur le plan environnemental, il constitue également un modèle pour les entreprises qui cherchent à investir dans des pratiques respectueuses de l'environnement. Les entreprises opérant en Islande sont incitées à penser vert, ce qui aboutit à des solutions innovantes et au développement de technologies respectueuses de l'environnement. L'approche de la nation en matière de durabilité fonctionne comme une étude de situation vivante, motivant les entreprises du monde entier à explorer la manière dont elles peuvent également contribuer à un avenir plus respectueux de l'environnement.
La culture islandaise, qui met fortement l'accent sur le voisinage, l'égalité et la collaboration, constitue un terreau fertile pour la pensée innovante et l'esprit d'entreprise. Les valeurs sociétales se reflètent dans l'environnement professionnel, où l'accent est mis sur les réalisations collectives, les interactions transparentes et le respect mutuel. Cette toile de fond culturelle encourage un écosystème favorable aux startups comme aux entreprises établies, favorisant l'innovation par une approche collaborative. Les réussites d'organisations islandaises dans des secteurs tels que les technologies modernes, la biotechnologie et les énergies renouvelables montrent comment des traditions commerciales encourageantes et coopératives peuvent favoriser l'innovation.
En outre, la situation stratégique de l'Islande, entre l'Amérique du Nord et l'Europe, présente des aspects positifs uniques pour les entreprises internationales et les innovateurs. Cette situation géographique permet de jeter un pont entre les marchés, ce qui permet aux entreprises situées en Islande de participer efficacement au commerce mondial. La connectivité en ligne avec les principaux marchés internationaux, associée à la réputation de l'Islande en matière de développement et de durabilité, en fait un lieu élégant pour les entreprises tournées vers l'avenir qui tentent d'avoir un impact mondial.
Le système éducatif islandais joue également un rôle crucial dans le développement d'une culture de l'innovation. En mettant fortement l'accent sur la créativité, la réflexion cruciale et la résolution de problèmes, le système scolaire islandais prépare les individus à devenir de futurs innovateurs et dirigeants. Les universités et les instituts de recherche du pays sont à la pointe de la recherche scientifique et du développement technologique, souvent en collaboration avec des entreprises désireuses d'adopter des technologies et des procédures novatrices aux avantages décisifs. Cette synergie entre la formation et l'industrie assure une circulation continue d'idées novatrices et de solutions de pointe sur le marché.
Les atouts de l'Islande ne se limitent pas à ses panoramas physiques, mais s'étendent également à sa force et à sa progression face aux difficultés. Le pays a fait preuve d'une résilience économique remarquable, rebondissant après la catastrophe financière de 2008 en se concentrant sur l'innovation et les secteurs de croissance stratégiques. Cette capacité d'adaptation et ce mode de pensée avant-gardiste sont profondément ancrés dans la psyché islandaise, montrant comment les défis peuvent être transformés en possibilités de développement et d'épanouissement.
Dans le domaine de l'innovation, l'approche de l'Islande en matière d'utilisation de ses ressources naturelles pour la création d'énergie durable est particulièrement remarquable. Les avancées du pays en matière d'énergie géothermique et hydroélectrique ne sont pas seulement des réalisations dans le domaine des énergies alternatives, mais servent également de source d'inspiration pour des solutions globales en matière de vitalité. L'Islande démontre que l'exploitation des atouts naturels par l'innovation peut conduire à une réussite durable et à une bonne gestion de l'environnement, team building en Islande des principes qui sont de plus en plus importants dans le monde des affaires d'aujourd'hui.
L'Islande incarne un mélange exclusif de beauté naturelle, de résilience, de durabilité et de développement. Ses paysages étonnants encouragent la créativité ainsi qu'une profonde gratitude pour le monde naturel, tandis que son engagement en faveur de l'énergie verte et des pratiques respectueuses de l'environnement donne des idées précieuses aux entreprises désireuses de fonctionner de manière responsable. La culture islandaise, collaborative et tournée vers l'avenir, combinée à la position idéale du pays et à ses solutions énergétiques innovantes, peut faire de l'Islande un produit exemplaire pour les entreprises qui cherchent à prospérer en harmonie avec l'environnement. Pour les entreprises et les particuliers passionnés par l'innovation, la durabilité et les idées novatrices, l'Islande est une source d'inspiration et un témoignage du nombre de choix qui s'offrent à nous lorsque nous alignons nos efforts sur les facteurs de la nature.
La création des Nations Unies en 1945 représente un moment charnière dans l'histoire mondiale, caractérisé par une volonté collective de promouvoir la paix, la sécurité et la coopération internationale après les horreurs de la Seconde Guerre mondiale. L'ONU a été fondée pour remplacer la Société des Nations défaillante, dans l'espoir de prévenir de futurs conflits mondiaux et d'offrir un forum pour le dialogue international.
Le 26 juin 1945, à la Conférence de San Francisco, représentants de 50 pays ont signé la Charte des Nations Unies, établissant officiellement l'organisation. La Charte établit les objectifs, les principes et la structure de l'ONU, avec l'objectif principal de maintenir la paix et la sécurité internationales, de développer des relations amicales entre les nations et de promouvoir le progrès social, le meilleur niveau de vie et les droits de l'homme.
La structure de l'ONU comprend plusieurs organes principaux, dont l'Assemblée générale où tous les États membres ont une représentation égale, le Conseil de sécurité chargé de maintenir la paix et la sécurité internationales, le Conseil économique et social, la Cour internationale de Justice et le Secrétariat dirigé par le Secrétaire général.
Le Conseil de sécurité, en particulier, a joué un rôle crucial dans la gestion des crises internationales. Il est composé de 15 membres, dont cinq membres permanents (les États-Unis, la Russie, la Chine, la France et le Royaume-Uni) qui disposent d'un droit de veto, un pouvoir considérable dans les décisions concernant la paix et la sécurité.
Depuis sa création, l'ONU a entrepris diverses initiatives et missions pour maintenir la paix et la sécurité, promouvoir les droits de l'homme et fournir une aide humanitaire. Parmi ses réalisations, on peut citer la décolonisation, la promotion des droits de l'homme à travers la Déclaration universelle des droits de l'homme, et les efforts de maintien de la paix à travers les opérations de casques bleus.
Cependant, l'ONU a aussi été critiquée pour son incapacité à prévenir certains conflits, son inefficacité perçue face à des crises majeures et l'influence disproportionnée des membres permanents du Conseil de sécurité. Le droit de veto des membres permanents a souvent été un point de contention, empêchant parfois l'action collective face à des situations critiques.
Malgré ses défis et ses limites, l'ONU reste un symbole d'espoir et d'aspiration pour un monde plus pacifique et coopératif. Elle continue de s'adapter et de répondre aux défis mondiaux contemporains tels que le changement climatique, les crises humanitaires et les pandémies, reflétant son rôle central dans la gouvernance mondiale.
En somme, la création des Nations Unies en 1945 a inauguré une nouvelle ère dans les relations internationales, avec un engagement renouvelé envers la diplomatie, le multilatéralisme et la coopération internationale. Bien que confrontée à des défis persistants et à des critiques, l'ONU continue de jouer un rôle crucial dans la promotion de la paix, du développement durable et des droits de l'homme, en s'efforçant de réaliser les aspirations de la Charte pour un monde meilleur.
L'art de la parfumerie est une pratique ancienne, qui remonte à des milliers d'années. Alors que l'industrie est aujourd'hui dominée par les grandes marques et les parfums de célébrités, vous constaterez une fascination croissante pour la création de parfums individuels et sur mesure. Cet essai explore l'attrait et les avantages de la création de son propre parfum, qu'il s'agisse d'exprimer son individualité ou de s'engager dans un processus créatif profondément satisfaisant.
L'une des raisons les plus intéressantes de créer son propre parfum est la possibilité d'exprimer sa personnalité et son style. L'odeur est extrêmement personnelle et évocatrice. Une eau de Cologne faite sur mesure peut enregistrer des aspects de votre caractère, des souvenirs ou des objectifs d'une manière que les parfums vendus dans le commerce ne peuvent pas faire. Qu'il s'agisse d'un mélange qui incarne votre énergie ou d'une fragrance qui vous rappelle un moment ou un lieu précieux, un parfum individuel est en fait un moyen puissant d'expression personnelle.
La création d'un parfum est un mélange intrigant de science et d'art. Il s'agit de comprendre les principes de base de la parfumerie - le meilleur, le cœur et la base - et la manière dont ils interagissent les uns avec les autres. Apprendre à connaître les différentes familles de senteurs, telles que les fleurs, les bois ou les agrumes, et expérimenter la manière dont elles se mélangent, peut être une expérience passionnante et éducative. Ce processus permet non seulement de faire preuve de créativité, mais aussi d'acquérir des connaissances sur la science de l'olfaction et la chimie des parfums.
La production de votre propre eau de Cologne vous offre la possibilité de vous plonger dans le monde des arômes. Ce voyage peut vous amener à découvrir un large éventail de substances naturelles et synthétiques, chacune présentant un profil unique. Des notes profondes et confortables de l'oud et de l'ambre aux arômes légers et rafraîchissants de la lavande et des agrumes, création de parfum Grasse la recherche de ces composants est en soi une aventure gratifiante.
L'acte de créer et de porter son propre parfum peut avoir des vertus thérapeutiques. Le processus de sélection et de mélange des senteurs peut être méditatif et relaxant. En outre, certains parfums ont des qualités aromathérapeutiques ; par exemple, la lavande est réputée pour ses propriétés relaxantes, tandis que les arômes d'agrumes peuvent être remarquables. En créant une eau de Cologne, vous pouvez créer un parfum qui non seulement sent bon, mais qui favorise également un sentiment de bien-être.
Un parfum fait à la main peut être un cadeau très personnel et attentionné. La création d'un arôme spécialement pour une personne témoigne d'un degré de soin et d'attention qu'il est difficile d'associer à des articles achetés dans le commerce. Un tel cadeau peut être personnalisé en fonction des goûts et des préférences du destinataire, ce qui le rend unique et spécial.
À une époque où de plus en plus de consommateurs se préoccupent du développement durable et des substances contenues dans leurs produits, fabriquer son propre parfum permet de contrôler ce qui entre dans sa composition. Cette stratégie de bricolage vous permet de choisir des composants naturels, exempts de cruauté ou biologiques et naturels, et d'aligner votre eau de Cologne sur vos valeurs morales et environnementales.
L'eau de Cologne a le pouvoir d'évoquer des souvenirs et d'en créer de nouveaux. En créant votre propre parfum, vous ne créez pas seulement un arôme, vous développez un héritage qui peut être associé à vous et aux moments les plus chers de votre vie. Cet aspect de la création de parfums privés peut devenir une tradition significative, où les parfums sont créés pour se souvenir d'événements importants de la vie.
Si la création d'un parfum est passionnante, elle peut aussi s'avérer difficile. Équilibrer les différentes notes pour obtenir un mélange harmonieux demande de la patience et de l'expérimentation. Néanmoins, ces problèmes font partie du processus créatif et rendent le résultat final beaucoup plus gratifiant. Se lancer dans la fabrication d'un parfum peut vous mettre en contact avec une communauté d'hommes et de femmes partageant les mêmes idées. Il existe de nombreux forums, ateliers et cours sur Internet où les passionnés partagent leurs connaissances et leurs expériences. Faire partie de cette communauté peut vous aider à mieux comprendre et apprécier la parfumerie.
Enfin, la création de votre propre parfum est en fait un voyage de croissance et de développement personnel. Cela implique de la persévérance, de l'apprentissage et la volonté d'expérimenter. Chaque création est en fait le reflet d'un moment de votre vie et reflète l'évolution de vos goûts et de vos activités.
En conclusion, l'intérêt de produire sa propre eau de Cologne réside dans la possibilité de servir de forme unique d'expression personnelle, d'exutoire innovant et de voie vers la satisfaction personnelle. Elle permet d'explorer l'art des senteurs, de s'intéresser aux bienfaits thérapeutiques et de s'engager en faveur de la durabilité. Qu'il soit destiné à un usage privé ou à un cadeau sur mesure, un parfum fait à la main n'est pas seulement une senteur, mais une déclaration profondément personnelle et une preuve d'individualité. Sur la terre des parfums produits en masse, créer son propre parfum est une rébellion importante, une façon de se démarquer, ainsi qu'une célébration du goût personnel et de la créativité.
La guerre en Ukraine est l'un des conflits les plus persistants et les plus complexes du XXIe siècle. Depuis 2014, le pays est en proie à une crise politique et militaire qui a entraîné d'innombrables souffrances pour les Ukrainiens et des conséquences géopolitiques majeures à l'échelle mondiale. Ce conflit, qui oppose les forces ukrainiennes à des groupes armés soutenus par la Russie, a suscité des débats passionnés et a polarisé la communauté internationale. Dans cet essai, nous examinerons les origines, les enjeux et les conséquences de la guerre en Ukraine, en mettant l'accent sur son impact sur la scène mondiale.
Les origines de la guerre en Ukraine remontent à 2014, lorsque le président ukrainien Viktor Ianoukovitch a été renversé par des manifestations de masse à Kiev, la capitale du pays. Ces manifestations, qui ont été largement soutenues par la population, étaient une réponse à la décision de Ianoukovitch de suspendre un accord d'association avec l'Union européenne en faveur de liens plus étroits avec la Russie. Pour de nombreux Ukrainiens, cela représentait une trahison de l'idéal européen et de la démocratie. Les manifestations ont finalement conduit à la destitution de Ianoukovitch et à la tenue d'élections présidentielles anticipées.
Cependant, la réponse de la Russie à ces événements a été rapide et préoccupante. Les forces russes ont rapidement envahi la Crimée, une région ukrainienne stratégique, et ont organisé un référendum contesté pour justifier leur annexion de la péninsule. Cette action unilatérale a été largement condamnée par la communauté internationale, qui l'a qualifiée de violation flagrante du droit international. La Crimée est depuis lors sous contrôle russe, malgré les appels répétés à son retour à l'Ukraine.
Outre la Crimée, l'est de l'Ukraine est devenu le théâtre d'un conflit sanglant entre les forces ukrainiennes et des groupes armés soutenus par la Russie. Les régions de Donetsk et de Louhansk, situées dans l'est du pays, ont proclamé leur indépendance de l'Ukraine en 2014, déclenchant ainsi un conflit meurtrier qui perdure encore aujourd'hui. Les combats ont fait des milliers de morts et ont entraîné le déplacement de centaines de milliers de personnes.
Les enjeux de la guerre en Ukraine sont multiples et complexes. Sur le plan interne, il s'agit d'une lutte pour le contrôle du pays et de ses ressources. Les régions de l'est de l'Ukraine sont riches en charbon et en industrie lourde, ce qui en fait un enjeu économique crucial. De plus, la question de l'identité nationale et linguistique est un facteur de division profond en Ukraine, avec une partie de la population se sentant plus proche de la Russie et une autre partie aspirant à une plus grande intégration avec l'Europe.
Sur la scène internationale, la guerre en Ukraine a des implications géopolitiques majeures. Elle a provoqué une grave crise entre la Russie et l'Occident, en particulier les États-Unis et l'Union européenne. Les sanctions économiques imposées à la Russie en réponse à son intervention en Ukraine ont eu un impact significatif sur l'économie russe. De plus, la Russie a été exclue du G8 en raison de ses actions en Ukraine, ce qui a contribué à son isolement diplomatique. La guerre en Ukraine a également ravivé les tensions entre l'OTAN et la Russie, suscitant des inquiétudes quant à une possible escalade militaire en Europe de l'Est.
Un autre enjeu majeur de la guerre en Ukraine est la question des minorités ethniques, en particulier les Tatars de Crimée. Les Tatars de Crimée, qui représentent une minorité musulmane en Crimée, ont été persécutés depuis l'annexion de la péninsule par la Russie. De nombreux Tatars de Crimée ont été arrêtés, emprisonnés ou contraints de quitter la région. Cette situation a soulevé des préoccupations au niveau international et a attiré l'attention sur les droits de l'homme en Crimée.
La guerre en Ukraine a également eu des conséquences humanitaires dévastatrices. Les civils, en particulier ceux vivant dans les zones de conflit, ont été gravement touchés par les combats. Les infrastructures essentielles, telles que les écoles et les hôpitaux, ont été endommagées ou détruites, ce qui a eu un impact dévastateur sur la vie quotidienne des Ukrainiens. De plus, le déplacement massif de la population a créé une crise humanitaire, avec des centaines de milliers de personnes déplacées à l'intérieur du pays ou cherchant refuge à l'étranger.
La guerre en Ukraine a également eu un impact sur l'économie du pays. Les coûts liés au conflit, tels que la reconstruction des infrastructures et la prise en charge des personnes déplacées, ont mis une pression considérable sur les finances publiques ukrainiennes. De plus, l'instabilité politique et le climat d'incertitude ont découragé les investissements étrangers, ce qui a eu un impact négatif sur la croissance économique.
Enfin, la guerre en Ukraine a révélé les limites de la capacité de la communauté internationale à résoudre les conflits. Malgré les efforts diplomatiques, les accords de cessez-le-feu ont été violés à de nombreuses reprises, et la situation sur le terrain reste instable. La Russie et l'Ukraine se sont mutuellement accusées de ne pas respecter les accords de paix, ce qui a contribué à la persistance du conflit. Les pourparlers de paix, sous l'égide de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), ont été laborieux et n'ont pas abouti à une résolution durable du conflit.
En conclusion, la guerre en Ukraine est un conflit complexe aux origines multiples et aux enjeux variés. Elle a des conséquences majeures à la fois sur le plan interne et sur la scène internationale. Les souffrances humaines et les pertes économiques causées par ce conflit sont profondes, et la résolution du conflit demeure un défi majeur pour la communauté internationale. La guerre en Ukraine est un rappel brutal des dangers de l'instabilité politique et de l'escalade des tensions entre les grandes puissances, et elle souligne l'importance cruciale de la diplomatie et de la coopération internationale pour résoudre les conflits.
Le vol supersonique a toujours été la marque de fabrique des avions de chasse, offrant une vitesse et une manœuvrabilité inégalées. Cependant, on ne peut ignorer les risques et les effets négatifs liés à l'utilisation de ces avions à des vitesses supersoniques au-dessus des zones peuplées. Cet article présente une analyse détaillée des raisons pour lesquelles les avions de chasse devraient éviter de passer à des vitesses supersoniques au-dessus des villes mentionnées, avec l'impact sur la santé individuelle, l'infrastructure et le bien-être du voisinage. Des stratégies de choix pour atténuer ces inquiétudes seront également examinées.
Les vols supersoniques génèrent une tendance perturbatrice connue sous le nom de bang sonique. Les bangs soniques surviennent lorsqu'un avion dépasse la vitesse du son, ce qui provoque un jet soudain d'oxygène comprimé. Ces bangs peuvent atteindre le sol sous la forme d'un bruit fort et secouant, ce qui pose plusieurs problèmes pour les riverains.
Les effets physiologiques des bangs soniques sur l'homme constituent un problème majeur. Des études ont montré que l'exposition à des bangs soniques fréquents peut entraîner des lésions de la vue et de l'ouïe, des niveaux de stress élevés et des troubles du sommeil. Les populations vulnérables, telles que les jeunes enfants, les personnes âgées et les personnes souffrant de problèmes de santé, sont particulièrement exposées.
Les bangs soniques exercent une pression considérable sur les structures, ce qui peut entraîner des ruptures, des doges, voire des effondrements. L'exposition répétée à des ondes de choc intenses peut affaiblir les bâtiments, y compris les bâtiments historiques et les infrastructures critiques. Ces types de doges ne mettent pas seulement en danger les modes de vie, mais posent également des problèmes financiers aux communautés touchées.
Les vols supersoniques produisent des bruits de forte intensité qui perturbent les activités quotidiennes, notamment le travail, l'éducation et la détente. Les perturbations continuelles causées par les bangs soniques peuvent entraîner une augmentation du niveau de stress, annuaire des avions de chasse une diminution de la qualité du sommeil et une baisse du niveau de vie général des habitants. Ces variables peuvent avoir un impact négatif sur la productivité et le bien-être des communautés concernées.
Les vols supersoniques ont également des conséquences négatives sur l'atmosphère. L'augmentation de la consotion de carburant pendant les vols supersoniques entraîne une augmentation des émissions et de l'empreinte carbone. En outre, les bangs soniques peuvent perturber la faune et la flore, affecter les écosystèmes et avoir des conséquences durables sur l'équilibre délicat des environnements naturels.
De nombreux incidents impliquant des avions de chasse opérant à des vitesses supersoniques dans les villes mentionnées plus haut ont entraîné des problèmes pour les structures et des protestations publiques. Les mésaventures historiques servent de leçons bénéfiques, soulignant la nécessité de mesures pratiques pour éviter les problèmes potentiels et minimiser les risques associés aux déplacements supersoniques.
Pour assurer la protection et l'efficacité des communautés métropolitaines, des stratégies optionnelles doivent être envisagées. Il s'agit notamment de déplacer les trajectoires et les lieux d'entraînement loin des régions très peuplées, d'établir des espaces aériens et des couloirs de vol restreints et d'investir dans des systèmes avancés qui facilitent les vols supersoniques plus silencieux. La coopération entre les constructeurs d'avions, les autorités aéronautiques et les gouvernements locaux est essentielle pour utiliser des mesures d'atténuation efficaces.
La mise en place de cadres réglementaires et autorisés complets est essentielle pour répondre aux défis liés aux vols supersoniques au-dessus des municipalités. Des recondations plus strictes et des restrictions sonores peuvent contribuer à protéger les communautés et à garantir la sauvegarde des intérêts des résidents.
Les effets négatifs des vols supersoniques au-dessus des villes ne peuvent être négligés. Les risques potentiels pour la santé des individus, les structures et l'environnement exigent une prise de décision responsable et la mise en œuvre de mesures d'atténuation appropriées. Il est essentiel que les parties prenantes donnent la priorité à l'obtention effective et à la protection des communautés métropolitaines tout en continuant à faire progresser l'innovation technologique dans le domaine de l'aviation d'une manière durable et socialement responsable.
Depuis son entrée en fonction en mai 2008, le président taïwanais Ma Ying-jeou a ordonné à son gouvernement d'adopter une approche positive des relations à travers le détroit de Taïwan. Avec la coopération de Pékin, Taipei a fait d'énormes progrès dans l'amélioration des relations trans-détroit: avec 15 accords signés et un consensus atteint au cours des six dernières séries de pourparlers entre la Fondation taïwanaise d'échange de détroit (SEF) et l'Association chinoise pour les relations à travers le détroit de Taïwan ( ARATS), le processus de paix a été encore renforcé. Les inquiétudes concernant un conflit potentiel dans le détroit ont été considérablement réduites par les efforts conjoints des deux parties. Bien que Pékin et Taipei conservent des perspectives divergentes sur de nombreuses questions, ils sont déterminés à continuer de proposer des initiatives visant à faciliter le développement positif de leurs relations.
Mais des questions importantes et immédiates nécessitent des réponses. Quelle est la prochaine étape de la coopération inter-détroit? Quels sont les défis possibles à la tendance positive actuelle? Cette tendance pourrait-elle être bloquée, voire inversée? Depuis que les pourparlers SEF-ARATS ont repris en juin 2008 après une interruption de 10 ans, chacun des six cycles de pourparlers jusqu'à présent s'est terminé par des accords signés. Ce record a créé une forte dynamique pour que les deux parties continuent de progresser, et les attentes dans les deux sociétés ont augmenté. Maintenant, l'opinion publique à Taiwan semble beaucoup plus favorable aux pourparlers que par le passé, si les négociations aboutissent à des accords signés qui semblent bénéficier aux Taiwanais. Alors que les deux parties ont agi rapidement pour signer des accords sur des questions urgentes au cours des trois dernières années, entrent-elles maintenant dans une phase beaucoup plus difficile d'établissement de relations de coopération? De nombreux observateurs se demandent même si les efforts actuels ont atteint leur limite, du moins pour le moment. Taipei continue d'adhérer au principe des relations économiques d'abord et de la politique plus tard. » Quelles seraient les ramifications si un cycle de pourparlers SEF-ARATS devait se terminer sans accord? Serait-il interprété comme un échec?
Avec trois ans de progrès solides derrière nous, les observateurs devraient être optimistes quant à l'avenir. Cependant, les prochaines élections présidentielles et législatives combinées à Yuan à Taïwan, qui se tiendront le 14 janvier 2012, pourraient remettre en question les relations stables et chaleureuses actuelles, en tant que candidat à la présidence de l'actuel parti d'opposition, le Parti progressiste démocratique (DPP). , pourrait gagner les élections et pourrait potentiellement changer l'approche de Taiwan au rapprochement dans le détroit. Comme le président Ma Ying-jeou ne bénéficie pas actuellement d'une cote d'approbation élevée à Taïwan, l'inquiétude est de plus en plus élevée dans la région. Par conséquent, la plus grande variable dans les relations trans-détroit dans les prochains mois avant les élections sera l'orientation de la politique chinoise du DPP, qui pourrait potentiellement provoquer une lutte politique avec le KMT à la maison, ainsi qu'une confrontation politique avec Pékin. Cela modifierait l'équilibre actuel dans la région et modifierait l'euphorie actuelle.
Maintenant, en raison de ces perceptions, tout semble dépendre du résultat des élections de l'année prochaine. Deux écoles de pensée règnent désormais à Pékin. Le premier soutient que la Chine devrait être plus prudente dans tout ce qui concerne le développement à travers le détroit. Les partisans de cette école soutiennent que l'approche politique raisonnable est de ralentir le processus et de ne pas pousser à une percée majeure. Dans le cas où le pire scénario de Pékin, un retour au pouvoir par le DPP, se produirait l'année prochaine, Pékin pourrait toujours gérer la relation confortablement et ne se serait pas trop étendu. La deuxième école de pensée considère que, même si le DPP revient en 2012, Pékin doit profiter de l'opportunité stratégique actuelle de travailler avec le gouvernement du KMT et accélérer les efforts pour institutionnaliser davantage la relation trans-détroit. L'idée ici est d'établir autant de liens institutionnels que possible, de sorte qu'il serait beaucoup plus difficile pour quiconque de changer le cours de la relation actuelle.
Quelle est la véritable dynamique du développement inter-détroit?
Depuis 2008, Taipei et Pékin ont permis ces progrès en contournant le principe d'une seule Chine "et en acceptant tacitement de procéder sur la base du consensus plus ambigu de 1992", dans lequel chaque partie reconnaît qu'il y a une seule Chine, mais a ses propres perceptions de l'identité de cette seule Chine. Cet accord de désaccord a permis aux deux parties de se faire suffisamment confiance pour commencer à négocier les accords qu'elles ont déjà conclus. Mais pour poursuivre la coopération, ils doivent résoudre la différence fondamentale dès le début.
Après l'ère de la confrontation sous le gouvernement DPP (2000-2008), Taïwan et la Chine espèrent la paix et tentent de construire une base solide d'intérêts communs. Bien que les divergences politiques ne puissent pas être surmontées à court terme, les deux parties ont été suffisamment réalistes pour réaliser que leurs relations devraient être établies de manière plus systématique. Pour Pékin, il est clair que chaque pas en avant porte son aspiration politique à l'unification pacifique. L'incitation politique est donc toujours en tête de son programme politique. Pour Taiwan, le gouvernement du KMT veut d'abord stabiliser les relations trans-détroit en institutionnalisant les contacts et les pourparlers, et il reconnaît que les intérêts économiques sont le seul objectif à court terme possible - il n'est pas encore possible de discuter des questions politiques. Même si Taipei et Pékin diffèrent dans leurs objectifs, les interactions entre les deux se sont accélérées et ont provoqué l'effet de l'interdépendance mutuelle.
L'administration Ma s'est appuyée sur les politiques de ses prédécesseurs - adoptant parfois une approche radicalement différente de la Chine, accélérant parfois les politiques précédentes et réalisant parfois des accords qui étaient déjà en discussion. Des progrès concrets ont été réalisés dans trois domaines principaux: la mise en place des «Big Three Links» des vols directs de passagers, du transport maritime et des liaisons postales, suite aux mesures limitées prises par l'administration DPP de Chen Shui-bian; l'accord visant à permettre aux touristes chinois continentaux de visiter Taiwan, d'abord en groupe organisé et maintenant en tant qu'individus; et l'Accord-cadre de coopération économique (ECFA), un accord historique signé en juin 2010 qui a libéralisé le commerce à travers le détroit, principalement en faveur de Taiwan, et qui a donné naissance à un nouveau mécanisme officiel inter-détroit, le Cross-Strait Economic Comité de coopération. Ces réalisations spécifiques ont été rendues possibles par l'institutionnalisation des contacts trans-détroit entre le SEF de Taïwan et l'ARATS de Chine.
Quels sont les principaux obstacles qui subsistent?
Malgré l'institutionnalisation accrue, il semble que Taïwan et la Chine aient récolté tous les fruits bas et ne soient pas en mesure de développer davantage leurs relations pour le moment. Aujourd'hui, les principaux obstacles à une nouvelle amélioration se trouvent tout d'abord dans la politique intérieure de Taiwan. Taïwan n'a pas de consensus national sur la meilleure façon d'aborder ses relations avec la Chine. Dès le départ, l'administration Ma a été contenue par la pression politique exercée par l'opposition, comme si chaque pouce en avant dans les relations entre les deux rives devait être pleinement accepté par toutes les forces politiques à Taiwan. Psychologiquement, alors que Ma continue de s'inquiéter de l'absence de consensus sur la politique continentale, il doit également s'inquiéter du fait que le DPP se fasse une image de lui comme étant pro-Chine », ce qui pourrait avoir un impact négatif sur sa prochaine campagne de réélection. Ironiquement, comme il s'inquiète trop des attaques de l'opposition contre sa politique continentale, le gouvernement est considéré comme passif et non proactif et est accusé de tâtonner dans l'élaboration et l'exécution de sa politique continentale. Par conséquent, les progrès positifs dans les relations trans-détroit ne peuvent pas être ressentis de manière satisfaisante et ne sont pas décrits dans les médias. Dans cet environnement, il est compréhensible que le gouvernement devienne très prudent.
Le deuxième obstacle est la profonde méfiance entre le KMT et le DPP, et entre Taipei et Pékin. En définissant la nature des relations trans-détroit, le KMT et le DPP ont du mal à s'entendre. Alors que le KMT fonde son approche des relations trans-détroit sur le consensus de 1992 », le DPP rejette à la fois le terme et la substance du terme. La méfiance est si profonde que les deux parties peuvent rarement parvenir à un consensus sur l'identification et la protection des meilleurs intérêts de Taiwan. Pour aggraver les choses, le 14 janvier 2012, Taiwan tiendra ses élections présidentielles et législatives le même jour pour la première fois. Cela augmentera la pression sur les deux parties pour qu'elles présentent des visions distinctes pour les relations avec la Chine, et réduira les chances de parvenir à un consensus dans les mois à venir.
Le troisième obstacle est l'existence de rêves différents pour l'avenir des deux côtés du détroit. Pékin considère que chaque pas en avant dans les relations trans-détroit implique des possibilités accrues d'unification pacifique. Il faut toujours une perspective à long terme pour les relations trans-détroit. Taïwan, cependant, est fortement motivé par des intérêts à court terme. Taïwan veut stabiliser ses relations et bien s'entendre avec la Chine. Mais cela ne signifie pas que Taiwan s'engagera nécessairement sur la voie de l'unification pacifique; pour le moment, Taiwan est au mieux indécis sur cette question. Dans ce contexte, il ne serait pas correct d'interpréter toute dérive à court terme de l'intégration avec la Chine continentale comme une caractéristique permanente. Tant que Taipei et Pékin peuvent continuer à dialoguer, ces différences peuvent être résolues.
Quel serait le prochain effort politique?
Les élections présidentielles et législatives du 14 janvier décideront qui devrait diriger le gouvernement de Taïwan jusqu'en 2016, et seront bien sûr un facteur majeur pour déterminer dans quelle direction les relations trans-détroit peuvent tourner. Afin de ne pas encourir de nouvelles critiques de la part de l'opposition pendant la campagne électorale, le gouvernement du KMT veille depuis fin 2010 à ralentir le rythme du développement à travers le détroit, ne permettant que la négociation des affaires économiques et laissant les questions politiques intactes. Il semble que le président Ma souhaite soumettre sa politique continentale à un nouveau test de soutien public, avant que de nouveaux progrès dans la coopération entre les détroits puissent être développés. Pour de nombreux observateurs, cependant, la retenue et la flexibilité du gouvernement du KMT l'ont rendu vulnérable aux attaques de l'opposition.
Au cours des derniers mois, en particulier après la signature de l'ECFA, une volonté de maintenir l'élan et de réaliser de nouveaux progrès politiques a commencé des deux côtés. Cependant, le gouvernement maintient intentionnellement le rythme lent et ne veut pas se tromper avant les grandes élections. Néanmoins, un débat informel sur la poursuite de la coopération dans d'autres domaines, tels que la coopération culturelle, l'approfondissement des liaisons de transport, a commencé.
Beaucoup croient que si le président Ma est réélu en janvier, son nouveau gouvernement serait probablement en mesure d'aller au-delà des questions économiques et de poursuivre des progrès plus larges dans les relations trans-détroit avec plus de confiance et de flexibilité. À en juger par la politique intérieure complexe, il faut une grande volonté politique des deux côtés du détroit pour aller au-delà des affaires économiques. Comme indiqué ci-dessus, Pékin estime que tout pas en avant dans les relations inter-détroit implique une future unification pacifique. Sans espoir d'une éventuelle unification, Pékin ne serait pas incité à travailler avec un gouvernement taïwanais. L'essence des futures relations trans-détroit devrait être basée sur une feuille de route pleine d'espoir à travers laquelle la Chine et Taïwan pourraient avoir des attentes positives, ou du moins rechercher des objectifs communs.
Même si le président Ma peut être réélu et si les attentes élevées entraînent le début de pourparlers sur des questions politiques, la réalité politique trans-détroit restera difficile car la Chine passera également par une transition de leadership en 2012-2013. À Taiwan, il y a et il y aura une pression considérable pour améliorer le statut international de Taiwan et élargir l'espace international. Puisqu'il n'y a pas de formule unique qui soit acceptable pour les deux parties, il faudra beaucoup de temps à Taipei et à Pékin pour trouver une voie à suivre confortable. Ainsi, en particulier pendant une période de transition, la négociation sur les questions politiques et de sécurité peut ne pas avoir lieu dès que beaucoup l'imaginent. Pour l'instant, le pragmatisme règne des deux côtés du détroit de Taiwan.
Il est prévu qu'avant les élections, toute évolution positive des relations entre les deux rives sera facilement et immédiatement politisée à Taiwan. Cependant, un certain élan a été créé au cours des trois dernières années, et Taipei et Pékin doivent comprendre que la meilleure stratégie est d'approfondir ce qu'ils ont déjà développé, de mettre à niveau les mécanismes de dialogue au niveau officiel et de matérialiser la substance de les accords. Cela fournira une stabilité à long terme, permettant à la relation de résister aux chocs à court terme qui peuvent résulter de la politique à Taiwan ou de facteurs externes.
Conclusion
Les relations inter-détroit sont actuellement considérées comme étant à leur meilleur niveau depuis 1949, lorsque les communistes ont établi la RPC et les nationalistes se sont retirés à Taiwan. Malgré les relations animées actuelles, une profonde méfiance entre les deux parties et le refus obstiné de Pékin de fournir des concessions à Taiwan, et les affrontements qu'elle provoque dans la politique internationale, persistent. Cela indique que la coordination interinstitutions au sein du gouvernement chinois est toujours un grave problème. D'une part, la coopération trans-détroit en matière économique a évolué rapidement, mais la répression diplomatique chinoise de Taïwan reste inchangée au sein de la communauté internationale. Cette intransigeance nuit à la crédibilité de la diplomatie flexible du président Ma »et réduit les possibilités de coopération transfrontalière. En outre, la relation chaleureuse n'a pas influencé la position stratégique hostile de la Chine. Il est ironique de voir que les communications fréquentes entre la Chine et Taïwan ne changent en rien le déploiement militaire de la Chine contre Taïwan.
Malgré les faibles perspectives de réalisations majeures dans un avenir proche, il y a un développement que les deux parties, et toutes les parties à Taiwan, devraient donner la priorité. Pékin et Taipei ont fait très attention à ne pas perturber cette relation chaleureuse. Ils se sont appuyés sur les pourparlers réguliers SEF-ARATS pour réglementer et négocier de nouvelles conditions pour les développements futurs. Ce mécanisme ne peut cependant pas faire face à des incidents soudains, tels que des accidents en mer, des catastrophes naturelles ou industrielles, ou des actions de tiers, qui peuvent avoir des impacts négatifs sur les relations inter-détroit. Afin de protéger le processus SEF-ARATS existant et les progrès accomplis à ce jour, un mécanisme de gestion de crise est absolument nécessaire. Si les deux parties ne peuvent pas développer de nouveaux liens au cours des prochains mois, elles devront au moins s'assurer que rien ne niera et ne perturbera les progrès en cours.
Boeing est l'une des plus grandes organisations aérospatiales du monde et est connue pour ses avions commerciaux, ses produits de défense et ses technologies spatiales. L'entreprise a une longue histoire, qui remonte à sa fondation en 1916, et a connu des succès et des difficultés au fil des ans. Un seul facteur important qui a influencé l'expansion et la trajectoire de Boeing est son cadre de propriété.
Boeing est en fait une société cotée en bourse, ce qui signifie qu'elle est la propriété d'un large éventail d'actionnaires qui peuvent obtenir et vendre les actions de la société sur les marchés publics. Les principaux actionnaires de Boeing sont des négociants institutionnels, tels que des fonds réciproques et des fonds de pension, ainsi que des investisseurs individuels. L'autorité de la société est responsable devant ces actionnaires et doit leur rendre compte des performances de la société.
La structure d'acquisition de Boeing a évolué au fil des ans. Dans les premières années de son existence, l'entreprise était détenue par ses créateurs, William Boeing et George Conrad Westervelt. Dans les années 1930, la société est devenue publique et, dans les années 1960, elle est devenue l'une des plus grandes entreprises du monde.
Un avantage particulier de devenir une société cotée en bourse est que Boeing peut accéder aux segments du marché des capitaux. Cela signifie qu'elle peut lever des fonds en émettant de nouvelles actions ou en empruntant auprès d'investisseurs. Cet accès au capital a permis à Boeing d'investir dans la recherche et le développement, de construire de nouvelles usines et d'acquérir d'autres sociétés. Par exemple, en 1997, Boeing a obtenu McDonnell Douglas, un adversaire majeur dans l'industrie aérospatiale.
La possibilité d'accéder à des capitaux a également permis à Boeing de surmonter les ralentissements économiques. Par exemple, à la suite des attaques terroristes du 11 septembre 2001, l'industrie aéronautique a subi un ralentissement important. Cependant, Boeing a été en mesure d'obtenir 1,5 milliard de dollars de nouveaux capitaux en émettant de nouvelles actions, ce qui l'a aidé à surmonter les conditions de l'ouragan et à émerger en tant que société plus forte.
L'un des inconvénients de devenir une société cotée en bourse est qu'elle peut être amenée à se concentrer sur les résultats à court terme plutôt que sur les progrès à long terme. Les actionnaires peuvent éventuellement exiger que cette société donne la priorité aux dividendes et aux rachats d'actions, ce qui peut restreindre le montant d'argent disponible pour la recherche et l'avancement ou l'investissement en capital. Ceci est souvent particulièrement exigeant pour une entreprise comme Boeing, qui opère dans un secteur hautement compétitif et en évolution rapide.
Ces dernières années, Boeing a été confronté à un certain nombre de défis qui ont été attribués en partie à une concentration sur le court terme. Par exemple, la société a connu des retards importants et des problèmes de sécurité avec son avion 737 MAX, qui a été cloué au sol pendant plus d'un an après deux accidents mortels. Certains analystes ont suggéré que la priorité accordée par l'entreprise à la réalisation de bénéfices à court terme a pu contribuer à une tradition qui privilégie la réduction des coûts au détriment de la sécurité.
La structure de propriété de Boeing a eu des avantages et des inconvénients pour la croissance de l'entreprise. D'une part, le fait d'être une société cotée en bourse a donné à Boeing un accès aux marchés financiers, ce qui lui a permis d'investir dans la recherche et l'amélioration et de faire face aux conditions de ralentissement économique. D'autre part, la pression exercée pour se concentrer sur les résultats à court terme pourrait avoir contribué à une culture qui privilégie la réduction des dépenses par rapport à la sécurité de base, ce qui a eu des conséquences négatives pour l'entreprise. En fin de compte, la prospérité de Boeing dépendra de sa capacité à équilibrer les demandes de ses actionnaires avec les besoins à long terme de l'entreprise et la sécurité de base de ses consommateurs.
