L'ARMURE DU CHRETIEN : LA PRIERE
Le seul fil qui nous relie au Ciel, c'est l'Amour ... et la prière.

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Date de création : 28.01.2011
Dernière mise à jour : 31.10.2016
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UNE LOUVE GOURMANDE

Publié le 31/10/2016 à 11:41 par sandamiano
UNE LOUVE GOURMANDE

L’historien gaulois Sulpice-Sévère, qui vécut dans la seconde moitié du quatrième siècle et dans les premières années du cinquième, est à coup sûr le plus ancien, et peut-être bien le plus intéressant des annalistes religieux. Il nous a rapporté dans Ses Dialogues, une foule de traits merveilleux relatifs aux pieux solitaires de l’Orient, où il était allé étudier à leur source les institutions monastiques. L’autorité de ce savant et saint religieux, qui fut disciple de Saint Martin de Tours, est d’autant moins suspecte qu’il nous dit avoir été témoin lui-même de la plupart de ces merveilles au cours de son voyage. Il nous affirme d’ailleurs, et nous n’avons aucun motif de ne pas le croire, que tout ce qu’il n’a point vu de ses propres yeux lui a été raconté par les témoins les plus dignes de foi, dont il nous garantit la sincérité. C’est à lui que j’emprunte la gracieuse légende qui va suivre.

Un saint ermite de la Thébaïde, dont malheureusement Sulpice-Sévère ne nous dit point le nom, vivait complètement retiré au fond du désert. Une toute petite cellule, creusée dans une grotte et fermée d’une mauvaise planche, lui servait de retraite, et ce n’était que de loin en loin qu’il se permettait d’aller visiter ou de recevoir un ou deux autres solitaires dont il avait fait la connaissance.

Mais si le pieux reclus n’avait aucune communication avec le monde, il n’en était pas de même avec les bêtes du désert, qui avaient tout de suite trouvé en lui un ami, et pour lesquelles il s’était pris d’une vive affection lui-même. Parmi ces bêtes, le non anachorète avait sa préférée : c’était une louve, qui ne manquait jamais de venir le trouver à l’heure de son repas, et avec laquelle il partageait chaque jour un pain. Le repas terminé, la louve léchait la main de son hôte en signe de reconnaissance, et celui-ci la congédiait après l’avoir caressée.

Un jour, lorsque la louve arriva à l’heure accoutumée, elle trouva la porte de la cellule fermée : le solitaire, parti pour rendre visite à l’un de ses frères, n’était point encore de retour. S’en retourner à jeun parut sans doute bien dur à la bête ; aussi, après avoir vainement attendu, se décida-t-elle à pousser la porte et à croquer tout entier l’un des pains qui se trouvait dans la corbeille servant de garde-manger à l’anachorète.

Lorsque celui-ci fut de retour, qu’il vit sa porte ouverte et reconnut qu’il manquait un pain à sa provision, il n’eut pas de peine à deviner quel était le voleur, ou plutôt la voleuse. Mais, au lieu de lui en vouloir, il se reprocha presque de l’avoir forcée lui-même à commettre ce larcin. « Pauvre bête ! se dit-il, puisque j’ai failli l’exposer à se passer de dîner, il est bien juste qu’elle se soit servie elle-même ! »

Cependant la louve, qui ne savait point comment le solitaire prendrait la chose, était loin d’être tranquille. Comprenant bien qu’elle avait commis une faute, et craignant une réprimande, elle n’osait plus se montrer aux yeux de son ami. De là, grand chagrin de notre anachorète, qui s’imaginait avoir à jamais perdu sa compagne et la cherchait de tous les côtés.

Au bout de quelques jours, la voleuse s’étant hasardée à revenir rôder autour de la cellule, le solitaire l’aperçut, la mine triste, la tête basse, encore toute honteuse de sa faute. Sans songer un instant à lui reprocher son larcin, et tout entier à la joie de la retrouver alors qu’il l’avait crue perdue, il l’appelle bien vite, la caresse, l’emmène à sa cellule et lui donne un pain tout entier, comme pour la dédommager de son long jeûne !

Comme elle est charmante cette légende, et comme elle nous offre, une fois de plus, la preuve de la façon dont Dieu sait être merveilleux dans ses serviteurs ! Mais aussi que de bonté chez les Saints, dont la douceur savait dompter les bêtes féroces, et qui ne dédaignaient pas de prodiguer à ces dernières des marques d’affection que nous refusons souvent à nos animaux domestiques les plus dévoués !

 

Extrait du livre « Les Saints et les animaux » d’Henri BOURGEOIS.

SAINT GERASIME

Publié le 31/10/2016 à 10:27 par sandamiano Tags : Saint Gérasime lions
SAINT GERASIME

Saint Gérasime, mort en l’année 475, était originaire de la Lycie, où il avait embrassé de bonne heure l’état monastique. Venu plus tard en Palestine, où l’hérétique Eutychès avait fait un certain nombre de prosélytes, il eut le malheur de suivre un instant celui-ci dans ses erreurs ; mais, ramené bientôt dans la bonne voie par le saint abbé Euthyme, et pénétré de douleur pour une faute dans laquelle il était tombé de bonne foi, il résolut de consacrer le reste de sa vie à la pénitence et à l’expiation la plus rigoureuse.

Dans ce but, il se retira sur les bords du Jourdain, et là, à un quart de lieue du fleuve à peu près, du côté de Jéricho, il s’arrangea une modeste cellule et commença une vie de jeunes et de mortifications de toute sorte. Son austérité était telle, qu’on raconte qu’il passait tout le temps du carême sans manger.

Attirés par la renommée de ses vertus, un grand nombre de disciples affluèrent bientôt de toutes parts et se rangèrent sous la direction du saint pénitent. Chacun d’eux avait sa cellule séparée, et ils ne communiquaient entre eux que deux jours par semaine, le samedi et le dimanche. Ces jours-là, le repas, car ils ne s’en permettaient qu’un seul, était pris en commun, et Gérasime édifiait ensuite les religieux par ses pieuses exhortations.

Parmi les épisodes miraculeux de cette longue vie de sanctifications, le plus touchant est l’histoire du fidèle lion Jourdain, dont Jean Mosh, qui visita Gérasime dans sa retraite et écrivit sa vie, nous garantit lui-même l’authenticité.

Un jour que le Saint méditait pieusement sur les bords du Jourdain, il vit venir à lui un énorme lion qui poussait des rugissements de douleur et paraissait marcher difficilement. A mesure que l’animal approchait, Gérasime s’aperçut qu’il ne s’appuyait que sur trois pattes et que la quatrième, qu’il tenait en l’air, semblait le faire souffrir à chaque mouvement qu’il faisait. Le lion, étant arrivé tout près du Saint, jeta sur lui un regard suppliant en lui montrant sa patte blessée. Le bon Gérasime prit la patte que la pauvre bête lui tendait, et aperçut une grosse épine, qui avait formé une plaie déjà ancienne : il la retira avec précaution, lava la plaie, et le blessé se trouva aussitôt soulagé.

Après avoir caressé l’animal, Gérasime voulut le renvoyer vers le désert d’où il était venu, mais le lion se mit à lui lécher les mains, se coucha à ses pieds et refusa de s’éloigner. A partir de ce jour, il s’attacha à son bienfaiteur, le suivant partout comme un chien, et s’efforçant de se rendre utile aux religieux de Gérasime. Jourdain, tel était le nom que le Saint avait donné à son compagnon, vivait de la vie des religieux, se contentant comme eux de pain, de lait et de légumes cuits ; et il ne faisait de mal à aucune créature, comme s’il eût compris que cela eût affligé son maître !

Une des principales fonctions du bon Jourdain était de faire l’office de berger : c’était à lui qu’on confiait la garde de l’âne du monastère lorsqu’on envoyait celui-ci paître sur les bords du fleuve, et l’on peut croire que jamais âne ne fut mieux gardé !

Il arriva pourtant qu’un jour, le lion ayant oublié un instant sa consigne pour aller faire un petit tour au désert voisin, un voleur profita de son absence pour s’emparer de l’âne. Le soir, lorsque notre gardien, qui n’avait plus trouvé l’âne à son retour, dut rentrer seul au monastère, il avait l’oreille bien basse et paraissait tout honteux. En le voyant revenir sans son compagnon, Gérasime crut la faute encore plus grave, et il lui était bien permis de faire ce jugement téméraire ! Il soupçonna le pauvre Jourdain d’avoir mangé l’animal dont il avait la garde. Le lion, qui ne pouvait malheureusement s’expliquer, reçut une verte semonce, et, en punition du crime dont on le croyait coupable, il fut condamné à remplir à l’avenir les fonctions de l’âne, et à servir lui-même de bête de somme.

La punition fut acceptée sans murmure, mais heureusement elle ne dura pas bien longtemps, et l’innocence de Jourdain ne tarda pas à être reconnue. A quelques jours de là, en effet, le voleur, qui ne savait point au préjudice de qui il avait commis le vol, eut l’occasion de passer sur le bord du fleuve avec l’âne. Le lion, qui se trouvait non loin de là, reconnut son compagnon et s’empressa d’accourir à sa rencontre. Le voleur effrayé s’enfuit, et Jourdain ramena l’âne au monastère, où, tout fier d’avoir fait éclater ainsi son innocence, il fut fêté par tout le monde et rentra en grâce auprès du Saint.

Il y avait cinq ans que le fidèle Jourdain vivait ainsi dans la compagnie de Gérasime, lorsque celui-ci mourut. La douleur du lion fut cruelle : le pauvre animal ne faisait que pousser des rugissements plaintifs, et restait insensible aux caresses que les religieux, pris de compassion, s’empressaient de lui prodiguer. Couché sur la tombe de son bienfaiteur, il refusa toute nourriture, et, au bout de quelques jours, il mourut de douleur et de faim, sans avoir voulu abandonner un seul instant son poste : « Et, écrit l’historien Jean Mosch, sans cesser ses rugissements, il mourut sur la tombe du vieillard. Et rugiens ita continuo defunctus est super sepulcrum scnis. »

 

Extrait du livre « les Saints et les animaux » d’Henri BOURGEOIS.

BIENHEUREUX MARTIN DE PORRES

Publié le 31/10/2016 à 08:38 par sandamiano Tags : Bienheureux Martin de Porrès rats souris
BIENHEUREUX MARTIN DE PORRES

Comme sainte Rose, dont il était le contemporain, le Bienheureux Martin de Porrès était né à Lima, et lui aussi fut un ami des animaux, qu’on a chaque instant mêlés aux épisodes de sa merveilleuse histoire.

Destiné tout d’abord a exercer la profession de chirurgien, il avait bientôt abandonné la lancette pour entrer dans l’Ordre de Sain Dominique, où il ne voulut jamais être que simple frère servant. Rempli d’affection pour les animaux, il semblait avoir surtout une sorte de prédilection pour les plus faibles, pour ceux qui étaient malheureux, souffrants ou abandonnés : c’est à eux principalement, qu’à l’exemple du bon Saint François, il aimait à donner le nom de frères. Comme autrefois Saint Blaise, il utilisait à leur service les connaissances médicales qu’il avait acquises, et ce bon religieux ne rougissait point de s’entendre appeler le médecin des bêtes. L’auteur de sa vie, le Père Vincent de Modène, nous a conservé une foule de traits charitables de sa part en faveur d’animaux blessés.

Le premier animal qu’il secourut ainsi fut un pauvre chien qu’il avait rencontré dans une de ses courses, à moitié assommé par des vauriens et tout sanglant. Il le recueillit, le ramena avec lui au couvent où, après lui avoir prodigué les soins les plus affectueux, il finit par le guérir. Le chien, reconnaissant, s’attacha à son sauveur et ne voulut plus le quitter. Ne nous moquons donc point des refuges entretenus par la Société protectrice des animaux, puisque les Saints eux-mêmes ont donné l’exemple aux disciples de M. de Grammont !

Une autre fois, ce fut un oiseau de proie, également blessé, que notre Bienheureux recueillit, entoura des mêmes soins et parvint aussi à guérir. De ce jour, Frère Martin eut deux amis et deux compagnons fidèles, car l’oiseau ne fut pas moins reconnaissant que le chien.

La bonté de Martin était telle, qu’il alla, dans une autre circonstance, jusqu’à prendre fait et cause pour des souris contre deux des religieux de son couvent. J’emprunte textuellement ce touchant épisode à l’un des biographes du Bienheureux :

« Les souris en question, dit notre auteur, « avaient fait d’incroyables dégâts dans la sacristie de l’église du couvent : beaucoup de linges, de riches ornements, avaient été mis en lambeaux. Le frère sacristain s’apprêtait à mettre en jeu tous les engins de guerre imaginables pour exterminer cette race maudite : « Ne le faites pas, mon frère, » lui dit le Bienheureux Martin en l’abordant avec douceur, « ne le faites pas ! Les souris ne sont-elles pas aussi des créatures de Dieu ? Les pauvres bêtes n’ont-elles pas à souffrir, toutes les fois qu’elles ne trouvent pas de quoi vivre ? » Puis il prit un panier, le plaça au milieu de la sacristie et se mit en prière.

Sa prière finie, il prit un air de commandement et ordonna à toutes les souris, autant qu’il y avait en ce lieu, de sortir de leurs refuges, de leurs trous, de leurs réduits, et de venir se rassembler toutes dans le panier. Aussitôt dit, aussitôt fait : c’était à qui accourrait le plus vite ; de tous les coins et recoins, par toutes les issues, on vit les souris, grandes et petites, venir où elles étaient appelées.

Alors le Bienheureux Martin prit le panier et les emporta dans un coin du jardin ; il leur recommanda d’y rester et se chargea lui-même de pourvoir fidèlement à leur nourriture. C’était profit pour tous, et pour les souris et pour le frère sacristain.

Mais la sacristie ainsi délivrée, l’infirmerie ne l’était pas, et les souris y faisaient de tels ravages que le frère sous-infirmier jura, à son tour, de leur faire une guerre à mort. « Eh quoi ! » lui dit le bon frère Martin, « si vous leur donniez à manger comme on vous le donne, elles ne vous feraient aucun mal. » Dans ce moment, il aperçut une de ces timides et malheureuses petites bêtes : « Ma sœur la souris, lui dit-il, vous n’êtes pas bien ici, vous n’y êtes pas en sûreté ; va donc avertir toutes tes compagnes qu’elles s’en aillent toutes dans le jardin où sont les autres ; je leur donnerai chaque jour ce qui leur sera nécessaire, et désormais, elles ne courront plus le risque d’être prises et tuées à chaque instant. »

A ces mots, la messagère obéissante partit, parcourant les toits, les caves, les greniers, le derrière de tous les meubles ; et bientôt, sur son avis, de toutes les parties de la maison sortirent des souris ; elles franchirent les corridors, traversèrent le cloître, et toutes se réunirent dans la partie du jardin qui leur était assignée. Là, le Bienheureux en prit soin, et pas un jour il ne manqua de porter à manger à cette colonie de petits animaux ordinairement si nuisibles et devenus entièrement inoffensifs.

Le touchant miracle qui précède a donné lieu à une pieuse coutume : on ne représente jamais le Bienheureux qu’entouré de souris sur les images qui lui sont consacrées, et il est de tradition, qu’il suffit de placer l’une de ces images dans une maison pour que souris et rats disparaissent aussitôt. Et voilà comment le Bienheureux Martin de Porrès est invoqué, depuis sa mort, contre les petites souris, dont il avait été le zélé protecteur de son vivant !

 

Extrait du livre « les Saints et les animaux » d’Henri BOURGEOIS.

SAINT MEINRAD

Publié le 31/10/2016 à 08:30 par sandamiano Tags : saint Meinrad
SAINT MEINRAD

Issu d’une puissante et illustre famille de la Souabe, Meinrad naquit en 797. Son père, un seigneur du nom de Berthold, était allié aux Hohenzollern. Confié tout enfant par ses pieux parents aux Bénédictins de l’abbaye de Reicheneau, le jeune saint se fit religieux dans le monastère où il avait reçu son éducation et y fut d’abord employé lui-même à instruire la jeunesse. Mais, au bout de quelque temps, il obtint de ses supérieurs la permission de mener la vie de solitaire et se retira dans une forêt de la Souabe.

En traversant la forêt, il rencontra un nid de corbeau dans lequel se trouvaient deux petits. Résolu d’en faire ses compagnons, il les prit doucement dans un coin de son manteau et les emporta avec lui dans la cellule qu’il se construisit non loin de là, près de la rivière de Shil. Il les éleva avec beaucoup de soin et les eut bientôt apprivoisés.

 Sa cellule était à ses yeux la demeure la plus belle, la plus agréable du monde. Soit qu’il se prosternait la face contre terre pour adorer son souverain Maître, soit qu’il se promenât dans son étroit vallon, livré à de saintes méditations, soit qu’il s’assît au seuil de sa cabane, un livre pieux sur les genoux, tandis que ses deux corbeaux jouaient autour de lui et venaient se reposer familièrement sur ses épaules, Meinrad était heureux. »

D’ailleurs il exerçait sur la nature l’empire souverain que le premier homme avait avant sa déchéance. Au moins signe de sa main, les aigles et les ours accouraient plein de douceur auprès de lui, ou se retiraient pour ne point troubler ses prières. Quand les roches grises du Mythen et les glaciers de Glarnisch commençaient à s’illuminer des premiers rayons du soleil, quand les feuilles humides frissonnaient sous l’haleine du matin, la voix du solitaire s’élevait grave et sainte dans le silence ; aussitôt lui répondaient le merle caché dans les sapins, le pinson perché sur la cime des hêtres, le rouge-gorge se balançant sur la branche du mélèze, et, pendant que ce pur concert s’élevait vers le ciel, chaque plante offrait ses parfums, la forêt encensait Dieu de ses vapeurs embaumées.

La sainteté du solitaire, affirmée par de nombreux miracles, n’avait pas tardé à lui attirer des admirateurs, et bientôt ce fut un concours extraordinaire de pèlerins autour de sa cellule. Les malheureux venaient chercher près de lui des consolations et des conseils, les riches lui apportaient de nombreuses offrandes qu’il s’empressait de distribuer aux pauvres, et il était la providence de toute la contrée.

Ecoutons maintenant le savant historien Dom Brandes, qui va nous raconter comment notre saint fût lâchement assassiné par deux malfaiteurs et vengé par ses fidèles corbeaux :

« Il y avait vingt cinq ans que Meinrad se préparait à la mort dans la solitude. Deux hommes, l’un né dans le pays des Grisons et qui s’appelait Pierre, l’autre né en Souabe, qui s’appelait Richard, résolurent de l’assassiner pour avoir ses trésors, croyant qu’il conservait, au lieu de les distribuer aux pauvres, les riches présents qu’il recevait tous les jours. Ils se donnèrent rendez-vous non loin du lac de Zurich, dans une auberge d’Endigen, où plus tard fût bâti Rapperwil, et ils y passèrent la nuit.

Au point du jour, ils prirent le chemin de l’Etzel, et se dirigèrent vers la forêt. C’était le 21 janvier 861. Pendant longtemps ils errèrent à travers les bois, car la neige couvrait tous les sentiers. Cependant le démon, qui leur avait inspiré leur fatal projet, les conduisit enfin en face de l’ermitage. A leur approche, les deux corbeaux de Meinrad poussèrent des cris perçants, et, comme s’ils avaient eu le sentiment du crime que méditaient les deux brigands, ils se mirent à voleter autour de la cabane avec tous les signes de la frayeur, tellement que les meurtriers, ainsi qu’ils l’avouèrent plus tard, furent très surpris de les voir et eurent un pressentiment qu’il y avait quelque chose de merveilleux et de providentiel dans cette conduite extraordinaire des deux oiseaux.

Cependant les deux assassins persistèrent dans leur projet et arrivèrent à la porte de la chapelle. Le jour était déjà un peu avancé, le Saint, selon sa pieuse coutume, avait passé une grande partie de la matinée en prières et en méditations ; il avait célébré la messe devant l’image de la Vierge, et Dieu lui avait révélé que le moment de sa mort était venu ; alors il prit le corps de Jésus-Christ comme le viatique du mourant, et, dans une sainte extase, il remercia Dieu de la grâce qu’il lui accordait ; il se recommanda à Marie et aux Saints, puis il pria pour ses deux meurtriers.

Ceux-ci, pendant ce temps, le regardaient par une fente de la cloison. Ils frappèrent à la porte ; Meinrad se leva, alla leur ouvrir, les reçut avec une bonté cordiale et leur dit : « Mes amis, si vous étiez venus plus tôt, vous auriez pu assister à la sainte messe. Entrez et priez Dieu et les Saints de vous bénir. Venez dans ma cellule, je partagerai avec vous les petites provisions que j’ai encore ; vous accomplirez ensuite le projet qui vous a amenés près de moi. »

Les meurtriers entrèrent quelques minutes dans la chapelle ; puis, comme s’ils craignaient de voir échapper leur victime, ils s’élancèrent dans la cellule. Meinrad vint au devant d’eux, le sourire sur les lèvres, et leur offrant les mets frugaux dont ils pouvaient disposer. Alors donnant à l’un son manteau et à l’autre sa tunique : « Recevez ceci, leur dit-il, comme souvenir de moi, et quand vos desseins seront accomplis, vous prendrez tout ce que vous voudrez. Je sais que vous êtes venus pour me mettre à mort. Quand vous m’aurez tué, placez ces deux cierges que j’ai préparés exprès, l’un à ma tête, l’autre à mes pieds, et fuyez au plus vite pour ne pas être arrêtés par ceux qui viennent me voir et qui vous feraient expier votre crime. »

Insensibles à tant de bonté et de charité, les monstres saisissent le Saint et le frappent à coups de masse redoublés sur la tête. Meinrad tombe, respirant encore ; les meurtriers l’achèvent sans pitié ; Au moment où le dernier souffle s’exhale de son corps meurtri, un parfum plus suave que l’odeur de l’encens se répand dans toute la cellule, et cette âme si belle, si pure, portée sur les ailes des anges, s’élance dans le sein du Très-Haut.

Leur forfait achevé, les deux brigands dépouillent leur victime de ses vêtements ; ils étendent son cadavre sur un lit d’herbes sèches au coin de la cellule, le recouvrent d’une toile grossière et d’une natte de joncs ; puis, plaçant l’un des cierges à la tête, ils vont allumer l’autre à la lampe de la chapelle, qui brûlait toujours à côté de l’autel. Quand ils revinrent à la cellule, le cierge qu’ils avaient laissé sans flamme auprès du cadavre était allumé et brûlait. Une crainte subite les saisit, et ils prennent précipitamment la fuite.

Les deux fidèles corbeaux se mettent alors à leur poursuite et remplissent la forêt de leurs cris menaçants. Comme s’ils avaient mission de venger la mort de leur bienfaiteur, ils s’élancent sur la tête des meurtriers et tâchent de leur crever leurs yeux. Toujours poursuivis et de plus en plus effrayés, ceux-ci passent à Wollereau, où ils rencontrèrent un charpentier qui le premier avait visité Meinrad et qui avait avec lui des relations amicales très suivies.

Le charpentier, reconnaissant les corbeaux de son père spirituel, pressent un malheur, et tandis qu’il recommande à son frère de ne pas perdre la trace de ces deux hommes qui fuient devant les corbeaux, il court lui-même à l’ermitage de la forêt, où il trouve le cadavre sanglant du Saint. Le cierge qui brûlait à ses pieds avait fini par mettre le feu à la natte, mais la flamme s’arrêta subitement dès qu’elle atteignit le corps.

Remis de son premier mouvement d’horreur, le charpentier revient en toute hâte à Wollereau, où il répand la nouvelle du meurtre de Saint Meinrad.  Il charge son épouse et plusieurs de ses amis d’aller veiller auprès du cadavre, et lui-même se dirige vers Zurich à la poursuite des assassins. Il ne tarda pas à les trouver ; les cris furieux des deux corbeaux qui voletaient devant les fenêtres d’une maison et frappaient les vitres à coups de bec pour qu’on leur ouvrît, lui indiquèrent le lieu où se cachaient les fuyards. Il entre et aussitôt reconnaît les deux assassins. En un instant, ils sont saisis et livrés à la justice.

Leurs aveux firent connaître les circonstances qui avaient précédé et accompagné la mort du Saint. Le comte Adalbert les fit condamner à mort par les tribunaux du district. Ils furent roués et brûlés, et on jeta leurs cendres dans la Limmat.

Les deux corbeaux, après le supplice des meurtriers, reprirent leur vol vers la forêt. L’auberge où furent pris les malfaiteurs porta dès cette époque pour enseigne : Aux deux corbeaux.Depuis peu de temps seulement, elle a changé son nom historique en celui d’Hôtel Bilharz.

 

Extrait du livre « Les Saints et les animaux » d’Henri BOURGEOIS.

LITANIES DE SAINTE RITA

Publié le 25/05/2016 à 13:37 par sandamiano Tags : litanies de sainte rita jésus sainte des impossibles causes désespérées cascia
LITANIES DE SAINTE RITA

 

Seigneur, ayez pitié de nous,
Christ, ayez pitié de nous,
Seigneur, ayez pitié de nous,
Christ, écoutez-nous,
Christ, exaucez-nous,
Père céleste, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous,
Fils Rédempteur du monde, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous,
Esprit-Saint, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous,
Trinité Sainte, qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous,

Marie Immaculée, Mère de Dieu, priez pour nous,
Marie, Reine et réconfort des affligés, priez pour nous,
Marie, Reine de tous les Saints, priez pour nous,
Marie, Protectrice aimante de Sainte Rita, priez pour nous,

Sainte Rita, notre avocate toute puissante, priez pour nous,
Sainte Rita, don choisi du ciel, priez pour nous,
Sainte Rita, prédestinée à la gloire, priez pour nous,
Sainte Rita, admirable dès l'enfance, priez pour nous,
Sainte Rita, désireuse de la solitude, priez pour nous,
Sainte Rita, modèle de pureté, priez pour nous,
Sainte Rita, exemple d'amabilité, priez pour nous,
Sainte Rita, miroir d'obéissance, priez pour nous,
Sainte Rita, modèle des épouses et des mères, priez pour nous,
Sainte Rita, invincible dans la patience, priez pour nous,
Sainte Rita, admirable d'énergie, priez pour nous,
Sainte Rita, héroïne dans le sacrifice, priez pour nous,
Sainte Rita, généreuse dans le pardon, priez pour nous,
Sainte Rita, martyre de pénitence, priez pour nous,
Sainte Rita, veuve très sainte, priez pour nous,
Sainte Rita, magnifique pour les pauvres, priez pour nous,
Sainte Rita, prompte à suivre la sainte vocation, priez pour nous,
Sainte Rita, miraculeusement appelée au cloître, priez pour nous,
Sainte Rita, modèle de vie religieuse, priez pour nous,
Sainte Rita, miracle de mortification, priez pour nous,
Sainte Rita, vase de myrrhe odorante, priez pour nous,
Sainte Rita, jardin choisi de toutes les vertus, priez pour nous,
Sainte Rita, pleine d'amour pour le Crucifié, priez pour nous,
Sainte Rita, transpercée par une épine de Jésus, priez pour nous,
Sainte Rita, fille aimante de Marie, priez pour nous,
Sainte Rita, languissante d'amour divin, priez pour nous,
Sainte Rita, reçue avec joie au Ciel, priez pour nous,
Sainte Rita, parée de gloire sublime, priez pour nous,
Sainte Rita, marguerite du Paradis, priez pour nous,
Sainte Rita, gloire de l'Ordre Augustinien, priez pour nous,
Sainte Rita, pierre précieuse de l'Ombrie, priez pour nous,
Sainte Rita, riche d'une extraordinaire puissance, priez pour nous,
Sainte Rita, astre bienfaisant des égarés, priez pour nous,
Sainte Rita, sûr réconfort des éprouvés, priez pour nous,
Sainte Rita, ancre de salut, priez pour nous,
Sainte Rita, protectrice des malades, priez pour nous,
Sainte Rita, secours dans les dangers, priez pour nous,
Sainte Rita, Sainte des impossibles, priez pour nous,
Sainte Rita, avocate des cas désespérés, priez pour nous,
Sainte Rita, secours pour tous, priez pour nous,
Sainte Rita, merveille du monde, priez pour nous,

Agneau de Dieu qui effacez les péchés du monde, pardonnez-nous, Seigneur,
Agneau de Dieu qui effacez les péchés du monde, exaucez-nous, Seigneur,
Agneau de Dieu qui effacez les péchés du monde, ayez pitié de nous, Seigneur,
Seigneur, écoutez-nous,
Seigneur, exaucez-nous.


Priez pour nous, ô Sainte Rita de Cascia, afin que nous devenions dignes des promesses du Seigneur.

PRIONS :

O Dieu, qui avez daigné conférer à Sainte Rita une si grande grâce qu'elle aima ses ennemis, et porté dans son cœur et à son front les signes de votre charité et de votre passion ; accordez-nous, nous vous en prions, par son intercession et ses mérites, d'épargner comme elle nos ennemis et de contempler les douleurs de votre Passion ; en sorte que nous obtenions les récompenses promises aux doux et aux affligés, vous qui vivez et régnez, avec Dieu le Père, dans l'unité du Saint-Esprit, dans les siècles des siècles.

AMEN.

NEUVAINE PUISSANTE A SAINTE RITA

Publié le 25/05/2016 à 12:55 par sandamiano Tags : sainte jésus thaumaturge désespérées causes difficiles cas sainte rita cascia neuvaine
NEUVAINE PUISSANTE A SAINTE RITA

 

 

PREMIER JOUR

O sublime thaumaturge, Sainte Rita, tournez vos yeux vers moi qui suis plongé dans un abîme de douleur. Vous voyez mon pauvre cœur entouré d'épines, souffrant et saignant. Vous voyez, ô Sainte Rita, que mes yeux n'ont plus de larmes car j'en ai trop versé. Fatigué et découragé, je sens que la prière même meurt sur mes lèvres. Dans ce malheur, devrais-je désespérer de la vie ? Venez, ô Sainte Rita, venez à mon secours et aidez-moi ! Le peuple chrétien ne vous appelle-t-il pas la Sainte des impossibles ? Justifiez ce titre en implorant pour moi la grâce que je demande à Dieu (exprimer la grâce désirée). Tous chantent la gloire, tous racontent les prodiges extraordinaires que Dieu fit par votre intervention, resterais-je seul déçu parce que vous ne m'aurez pas écouté ? Oh non! Priez donc, priez pour moi le Doux Jésus, afin qu'il ait pitié de mes tourments et que par vous, Sainte Rita, je puisse obtenir ce que mon cœur désire avec tant d'ardeur.

3 X Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloire au Père

DEUXIEME JOUR

O grande thaumaturge de Cascia, je vois le sentier de votre vie semé de tribulations et d'épines acérées qui ont déchiré votre Cœur; ô Sainte Rita, vous êtes vraiment la martyre des plus atroces douleurs que vous avez bues goutte à goutte, vidant le calice jusqu'à la lie. Pensant à votre cœur si douloureusement éprouvé, je me présente à nouveau devant vous pour implorer la grâce que je demande à Dieu (exprimer la grâce désirée). Vous savez ce que signifie la souffrance du cœur, vous connaissez le martyre de l'âme ! J'ai tant peiné ! J'ai tant souffert ! Je sais que vous viendrez à mon aide. N'est-il pas vrai qu'en ces temps si douloureux, le Seigneur a voulu, d'une manière merveilleuse, faire ressortir votre pure image, par les plus merveilleux miracles afin que l'humanité souffrante se tourne vers vous pour être secourue. Ah! Sainte Rita, voici devant vous une âme désolée qui pleure et qui gémit, mais elle espère et se confie en vous. Sainte Rita, priez Jésus, votre Céleste Epoux, afin que ma demande à Dieu soit exaucée grâce à votre puissante intercession.

3 X Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloire au Père

TROISIEME JOUR

C'est en vain que je tourne mon regard égaré par la douleur, il ne trouve où se reposer. Aucune espérance terrestre ne sourit plus à mon Cœur brisé et je me vois perdu sans rémission mais vous, Sainte Rita, qui brillez comme un astre resplendissant de lumière dans le Ciel de L'Église Catholique, je vois que vous éclairez mon chemin et que vous redonnez quelque espérance à mon pauvre Cœur. Oui, je me confie à vous, de vous j'attends la grâce désirée (...). Demandez-la pour moi à Jésus en Croix, à cause des moments affreux où fut éprouvé votre cœur si pur, quand par obéissance, vous avez dû vous soumettre au mariage avec celui qui devait martyriser votre existence. Vous l’avez aimé saintement et vous avez pleuré, désolée, sa mort tragique; demandez-la par l'héroïque sacrifice que vous fîtes en offrant à Dieu vos enfants plutôt que de les voir se souiller de fautes. Oh! Quel martyre pour votre cœur de mère!  Par tout ce que vous avez voulu souffrir dans le cloître, par tout ce que Jésus vous a concédé de souffrir pour vous purifier par la douleur, par tant d'angoisses et de douleurs, priez  pour la grâce que je désire ardemment.

3 X Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloire au Père

QUATRIEME JOUR

Sainte des impossibles, Avocate des cas désespérés ! Que ces titres sont beaux et pleins de sainte espérance pour les âmes éprouvées par la douleur. Qu'ils vous conviennent bien à vous, Sainte Rita de Cascia, qui, lorsque dans l'existence, tout est désolation et mort, venez, céleste jardinière, faire revivre l'espérance dans les cœurs desséchés. L'espoir s'est évanoui dans mon cœur accablé de souffrance ! Le poids du malheur m'opprime, l'incertitude m'épouvante et je ne sais où me tourner pour obtenir le secours désiré. C'est à vous que je recours, Sainte Rita, plein de confiance dans votre appui. Par la vertu de votre intercession devant le Trône de Dieu, j'attends la grâce que je vous demande (...). Montrez-vous, une fois de plus, puissante et miséricordieuse, soyez pour moi, comme le proclame le peuple, la Sainte des impossibles, l’Avocate des causes désespérées.

3 X Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloire au Père

CINQUIEME JOUR

O épouse chérie de Jésus, Sainte Rita de Cascia, me voici de nouveau à vos pieds, attiré par votre bonté envers les âmes accablées de douleur. Vous voyez mon pauvre Cœur anéanti par l'amertume de la vie. Je n'ai plus d'espoir, un doute atroce envahit mon âme, la confiance m'abandonne et l'abîme effrayant du désespoir s'ouvre sous mes pas. Enseignez-moi, ô Sainte Rita, ce que je dois faire dans de si tragiques circonstances ! Dites-moi vers qui me tourner en un moment si terrible de ma vie ! Oh ! S'il est vrai que vous êtes la Sainte des cas désespérés, aidez-moi, venez à mon secours, sans cela je suis perdu ! Je m'adresse à vous qui vous êtes toujours montrée miséricordieuse envers ceux qui souffrent. C'est pourquoi je m'adresse à vous plein de ferveur afin que vous obteniez de Jésus la grâce que j'implore avec une foi profonde (...)

3 X Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloire au Père

SIXIEME JOUR

O Sainte Rita, le Ciel est devenu sourd et ma prière ne peut s'élever jusqu'au trône de Dieu. Je sais que mes péchés sont la seule cause d'un si dur châtiment. Je n'ose plus m'adresser à Jésus dont j'ai si souvent méprisé la Miséricorde et dont je sens maintenant la terrible Justice. Sa main s'est appesantie sur moi. Je comprends que je ne mérite pas le pardon et plongé dans la plus profonde douleur, je pleure sur mon misérable sort. Dites-moi, Sainte Rita, si je dois désespérer… Non, car Jésus m'a donné en vous une puissante avocate afin que vous obteniez de votre Céleste Epoux le pardon de mes graves fautes et une ferme résolution de ne plus L'offenser. Avec cette sincère résolution sur mes lèvres et dans mon Cœur, je m'adresse à vous, sainte thaumaturge, afin que vous m’obteniez de Jésus la grâce dont j'ai tant besoin (...), à cette heure où je me trouve fatigué, désolé, abandonné de tous. Un mot de votre part à Jésus, ô Sainte Rita, et pour moi s'ouvrira un Ciel de Miséricorde et de pardon.

3 X Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloire au Père

SEPTIEMEJOUR

O Très Sainte Rita, dont toute l'existence a connu la douleur, tournez vers moi votre regard si tendre et soulagez ma souffrance. Que ma prière, même faible et languissante, arrive jusqu'à votre Cœur compatissant qui se penchera sur moi. La Charité si profonde que vous avez toujours témoignée à votre prochain pendant votre vie, les paroles de paix, de réconfort, les saints conseils que vous avez eus pour tous, m'engagent à m'approcher de vous, maintenant spécialement que vous êtes grande dans le Ciel, où vous vous êtes révélée être l'Avocate des causes désespérées. La mort recule devant votre puissance miraculeuse, l'aveugle voit la lumière, le boiteux se redresse, le paralytique guérit et toutes les infirmités de l'âme et du corps disparaissent. Serais-je le seul à ne pas jouir de votre intercession ? Je ne veux, je ne peux pas le croire. Plein de Foi, j'espère votre appui, votre intercession devant le Trône de Dieu et je suis sûr que la paix reviendra, que mon cœur s'apaisera et que la grâce que j'implore (...) me sera concédée.

3 X Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloire au Père

HUITIEME JOUR

A vous qui aimâtes le Crucifié d'un amour céleste, à vous voir prosternée à ses pieds divins, à contempler votre front blessé par une épine de Jésus, votre Epoux, ma confiance en vous devient infinie. Vous êtes vraiment l'élue du Seigneur. Il vous a marquée d'un don royal, Il vous a faite sienne. Vous voyez, Sainte Rita, que je ne me suis pas trompé en mettant toute ma confiance en vous, en m'abandonnant entre vos mains pieuses. Si vous le voulez, c'est le moment de venir à mon secours, ma vie en a besoin. Mon recours à vous ne sera pas vain, ô puissante thaumaturge, que le monde entier proclame céleste bienfaitrice et que je veux aimer. Je vous prie et vous conjure, par l'amour que vous portez à Jésus, d'intercéder pour la grâce que je demande (...). Jésus ne vous refuse rien, par vous, on obtient les prodiges, les grâces, les faveurs les plus spéciales. Maintenant j'attends encore la grâce que de toute mon âme j'ai demandée au Seigneur (...).

3 X Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloire au Père

NEUVIEME JOUR

Me voici, Sainte Rita, au terme de cette neuvaine sacrée. Mon cœur a repris courage après avoir recouru à vous dans les instants angoissants qu'il vit en ce moment. Je suis sûr que vous aurez obtenu de Jésus la grâce que je vous ai demandée. Si cela n'était pas, j'élève encore ma voix, vous demandant pitié et miséricorde. Faites que je ne m'éloigne pas de vous sans avoir été consolé. O Sainte Rita, faites-le par les douleurs que vous avez souffertes dans le siècle et dans le couvent, par la Charité que vous avez montrée envers les pauvres affligés, par la Charité que vous avez porté à Jésus et à Marie, la Vierge Immaculée, par le don que vous avez reçu de l'épine du Seigneur. Aidez-moi, venez à mon secours. C'est le dernier cri que je pousse vers vous, Sainte des impossibles, Avocate des causes désespérées. Montrez-vous telle que vous êtes, obtenez la grâce que je demande. Avec votre aide, je me propose de changer ma vie mauvaise, d'être apôtre de la Divine et toute puissante Bonté, si cela m'est possible, de me rendre à votre sanctuaire de Cascia, de concourir à votre culte, en remerciement pour la faveur céleste obtenue grâce à vous, de Jésus, notre Saint Rédempteur.

3 X Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloire au Père

 

LES LITANIES DE SAINT YVES

Publié le 06/02/2016 à 19:55 par sandamiano Tags : juge justice litanies droit avocat pauvres procès
LES LITANIES DE SAINT YVES

 

Seigneur, ayez pitié de nous, Seigneur, ayez pitié de nous

 

O Christ, ayez pitié de nous, O Christ, ayez pitié de nous

 

Seigneur, ayez pitié de nous, Seigneur, ayez pitié de nous

 

Jésus-Christ, écoutez-nous, Jésus-Christ, écoutez-nous

 

Jésus-Christ, exaucez-nous, Jésus-Christ, exaucez-nous

 

Père céleste qui êtes Dieu, ayez pitié de nous

 

Fils, Rédempteur du monde qui êtes Dieu, ayez pitié de nous

 

Esprit Saint qui êtes Dieu, ayez pitié de nous

 

Sainte Trinité qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous

 

Sainte Marie, Reine de tous les Saints, priez pour nous

 

Saint Yves, priez pour nous

 

Saint Yves, père des pauvres, priez pour nous

 

Saint Yves, homme admirable, priez pour nous

 

Saint Yves, prêtre et ministre du Christ, priez pour nous

 

Saint Yves, modèle des prêtres, priez pour nous

 

Saint Yves, très vigilant pasteur, priez pour nous

 

Saint Yves, juge très équitable, priez pour nous

 

Saint Yves, extincteur des procès, priez pour nous

 

Saint Yves, arbitre des plaideurs, priez pour nous

 

Saint Yves, adonné à l’étude du droit, priez pour nous

 

Saint Yves, lumière de la Bretagne, priez pour nous

 

Saint Yves, homme séraphique, priez pour nous

 

Saint Yves, fournaise de charité, priez pour nous

 

Saint Yves, exemple d’humilité, priez pour nous

 

Saint Yves, la gloire des confesseurs, priez pour nous

 

Saint Yves, homme d’une foi très sûre, priez pour nous

 

Saint Yves, infatigable dans la prière, priez pour nous

 

Saint Yves, client très vénérable de la Vierge Mère de Dieu, priez pour nous

 

Saint Yves, contemplateur des mystères de la Passion de Notre Seigneur, priez pour nous

 

Saint Yves, amateur de la Croix, priez pour nous

 

Saint Yves, amateur de la pénitence, priez pour nous

 

Saint Yves, miroir de chasteté, priez pour nous

 

Saint Yves, ennemi de l’impureté, priez pour nous

 

Saint Yves, miroir de perfection, priez pour nous

 

Saint Yves, l’exemple de toutes les vertus, priez pour nous

 

Saint Yves, victorieux de toutes les tentations, priez pour nous

 

Saint Yves, victorieux du monde, priez pour nous

 

Saint Yves, homme digne d’honneur, priez pour nous

 

Saint Yves, homme d’une réputation sans tâche, priez pour nous

 

Saint Yves, homme plein de douceur, priez pour nous

 

Saint Yves, très cher aux gens de votre maison, priez pour nous

 

Saint Yves, très obéissant à vos supérieurs, priez pour nous

 

Saint Yves, défenseurs des innocents, priez pour nous

 

Saint Yves, protecteur des vierges, priez pour nous

 

Saint Yves, avocat et tuteur des veuves et des orphelins, priez pour nous

 

Saint Yves, homme de miracles, priez pour nous

 

Saint Yves, terreur des démons, priez pour nous

 

Saint Yves, qui éclairez les aveugles, priez pour nous

 

Saint Yves, qui faites parler les muets, priez pour nous

 

Saint Yves, qui guérissez les infirmes, priez pour nous

 

Saint Yves, qui ressuscitez les morts, priez pour nous

 

Saint Yves, le salut des marins en danger, priez pour nous

 

Saint Yves, consolateur des affligés, priez pour nous

 

Saint Yves, qui rassasiez ceux qui ont faim, priez pour nous

 

Saint Yves, le refuge de tous les malheureux, priez pour nous

 

Saint Yves, secours de tous ceux qui vous invoquent, priez pour nous

 

Saint Yves, notre très doux défenseur, priez pour nous

 

Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, pardonnez-nous, Seigneur

 

Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, exaucez-nous, Seigneur

 

Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, Jésus-Christ, écoutez-nous

 

Jésus-Christ, écoutez-nous

 

Jésus-Christ, exaucez-nous

 

V. Heureux celui qui secourt l’indulgent et le pauvre

 

R. Le Seigneur le délivrera au jour de l’affliction

 

ANTIENNE :

 

Saint Yves a enseigné à tous les chrétiens la règle de la charité, en distribuant, au nom du Christ, à tous les malheureux indigents, tout ce qu’il avait de bien à donner, et gardant seulement pour lui la voie de la pauvreté.

 

Saint Yves, priez pour nous afin que nous soyons rendus dignes des promesses du Christ.

 

O Dieu, qui avez donné saint Yves, votre confesseur, pour père aux pauvres, pour avocat aux veuves, pour tuteur aux orphelins, accordez-nous, par son intercession, la grâce d’être enflammés d’une charité semblable, et de préférer aux biens temporels qui passent promptement, la perle précieuse de l’éternité. Nous vous le demandons par Jésus-Christ Notre Seigneur. Ainsi soit-il.

 

PUISSANTE NEUVAINE A SAINT YVES AVOCAT DES PAUVRES

Publié le 02/02/2016 à 19:53 par sandamiano Tags : yves saint patron justice droit juge avocat pretre proces pauvres bretagne
PUISSANTE NEUVAINE A SAINT YVES AVOCAT DES PAUVRES

Bon et si pieux Saint Yves, voici devant vous
une âme désemparée, qui, ayant besoin d’aide, a
recours à vous avec la douce espérance d’être exaucé
(préciser son intention de prière). À cause de mon
indignité et de mes manquements passés, je n’ose point
espérer que mes prières arrivent à forcer le cœur de
Dieu, et c’est pour cela que je sens le besoin d’un
médiateur qui a Son écoute; aussi, c’est vous que j’ai
choisi, Saint Yves, car votre vie exemplaire, votre
abnégation, votre altruisme et votre foi immense
forcent le respect et font de vous le parfait intercesseur
à ma cause.
Cher Saint Yves, vous qui avez tant aimé vos
contemporains au point d’offrir tous vos biens aux
pauvres et de défendre au tribunal les cas réputés
indéfendables, prenez à cœur ma cause, je vous en prie,
acceptez d’intervenir auprès de Dieu pour obtenir la
grâce qu’ardemment je désire. Si en moi quelque chose
empêche que j’obtienne cette grâce, aidez-moi à me
débarrasser de cet obstacle. Couvrez ma prière de vos
précieux mérites et présentez-la au Christ en union à
la vôtre. Ainsi purifiée par vous, serviteur dévoué
parmi les plus dévoués, vous qui, tant de fois, par vos
magnifiques plaidoiries et votre admirable charité
envers les pauvres, avez ainsi répondu aux souhaits de
sainteté du Seigneur, comment pourrait-Il la rejeter ?
Ou ne pas l’exaucer ?

Mon espoir est donc en vous, et par votre
intermédiaire, j’attends le cœur battant
l’accomplissement de mon souhait.
O cher Saint Yves, que la confiance et l’espoir
mis en vous ne soient pas déçus, faites que ma requête
ne demeure pas vaine, obtenez pour moi de Dieu ce que
je demande, alors je ferai connaître à tous la bonté du
Seigneur et l’efficacité de votre intercession.
O Bon Seigneur Jésus-Christ au Cœur si
compatissant, 
vous qui vous êtes montré toujours si
sensible aux plus petites misères de l’humanité, laissez-
vous émouvoir, et, sans regarder ma faiblesse ni mon
indignité, daignez m’accorder cette grâce qui me tient
tant à cœur, et que vous demande pour moi votre fidèle
serviteur, Saint Yves. Pour la fidélité avec laquelle
Saint Yves a toujours répondu à la Divine Grâce, pour
tous ces dons dont vous avez voulu combler son âme,
pour tout ce qu’il a enduré en sa vie de serviteur
dévoué aux plus démunis, et, enfin, pour
l’extraordinaire pouvoir d’intercession et de guérison
et les nombreux miracles par lesquels vous avez voulu
récompenser sa fidélité, concédez-moi, je vous en
supplie, cette grâce à laquelle je tiens tant. Amen.
O Vierge Marie, notre bonne Mère du Ciel, Co Rédemptrice du monde, Dépositaire des Divins
Trésors et Dispensatrice de toutes les Grâces, appuyez,
je Vous en prie humblement, de Votre puissante
intercession, celle de Votre grand dévot Saint Yves,
pour m’obtenir de Dieu et de Votre Fils la grâce
désirée. 
Amen.

SAINT YVES SAINT PATRON DES AVOCATS

Publié le 02/02/2016 à 19:51 par sandamiano Tags : saint yves avocat pauvres proces juge pretre bretagne patron justice droit
SAINT YVES SAINT PATRON DES AVOCATS

Yves Hélory de Kermartin (1253 - 1303) est l'avocat des humbles et des opprimés. Dès le début de sa vie universitaire à Paris et Orléans, tout le pécule dont le gratifient ses parents sera mis au service des étudiants moins fortunés que lui. Nommé juge ecclésiastique à Rennes en 1280, il bouleverse le Diocèse par son souci de la justice et de la vérité ; les revenus de sa charge passent entre les mains des pauvres. Réclamé par l'évêque de Tréguier (son diocèse d'origine),Yves est ordonné prêtre et nommé curé de paroisse, tout en conservant ses fonctions de juge diocésain. Il est le plus mal loti des pauvres, à qui il donne tout, même son lit. Il se fait l'avocat des petits et de ceux qui ne peuvent payer un procès et s'en va plaider jusqu'à Tours.

À sa mort, le 19 mai 1303, il connaît le même dénuement et la même soif que Saint François d'Assise. « Mon fils, vivez toujours de manière à être un saint », lui avait souvent répété sa mère au temps de sa jeunesse.

En 1347, le Pape Clément VI proclame sa canonisation.

Saint Yves est le Saint Patron de toutes les professions de justice et de droit et également le Saint Patron de la Bretagne.

CHAPELET DE LA DIVINE MISERICORDE

Publié le 11/01/2016 à 07:32 par sandamiano Tags : vie monde mort dieu fille
CHAPELET DE LA DIVINE MISERICORDE

 

Notre Seigneur Jésus Christ dicta à Sainte Faustine Kowalska le chapelet de la Miséricorde Divine, le 13 septembre 1935.

Jésus lui dit :« J’accorderai de très grandes grâces aux âmes qui diront le chapelet. Inscris ces mots, ma fille, proclame au monde entier ma Miséricorde. Que toute l’humanité sache que ma Miséricorde n’a pas de limites. C’est le signe des derniers temps. Il sera suivi du jour de Justice… »

Une autre fois, Notre Seigneur Jésus Christ lui dit :« Répète sans cesse ce chapelet que je t’ai appris. Celui qui le dira souvent sera protégé par la Miséricorde divine pendant sa vie et surtout au moment de la mort. Les prêtres le tendront comme une perche de salut aux pécheurs agonisants… Je veux accorder des grâces inconcevables aux âmes qui auront confiance en ma Miséricorde ».

Ce chapelet se récite sur un chapelet ordinaire.

 

Réciter 1 CREDO + 1 PATER + 1 AVE + 3 GLORIA

Sur les gros grains (1 fois) :

« Père Eternel, je vous offre le Corps, le Sang, l’Ame et la Divinité de votre Fils Bien Aimé, Notre Seigneur Jésus Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier. »

Sur les petits grains (10 fois) :

« Par sa douloureuse Passion et les douleurs de la Très Sainte Vierge Marie, ayez pitié de nous et du monde entier. »

A la fin, (3 fois) :

« Dieu Saint, Dieu, Fort, Dieu Eternel, ayez pitié de nous et du monde entier » et « Jésus, j’ai confiance en Vous ! »