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- After the Japanese invasion of Manchuria, and until 1933, large volunteer armies waged war against Japanese and Manchukuo forces over much of Northeast China. Due to Chiang Kai-shek's policy of non-resistance, the Japanese were soon able to establish complete control. After the League of Nations refused to do more than voice its disapproval, there were many small guerrilla organizations which resisted Japanese and Manchu rule:
* Jilin Self-Defence Army
* Chinese People's National Salvation Army
* Northeastern Volunteer Righteous and Brave Fighters
* Northeastern Loyal and Brave Army
* Northeast People's Anti-Japanese Volunteer Army
* Northeast Anti-Japanese National Salvation Army
* Northeast Anti-Japanese United Army
* Heilungkiang National Salvation Army
* Anti-Japanese Army for the Salvation of the Country Besides these armies there were other forces under leaders like Lao Pie-fang and others. Zhao Hong Wenguo was influential in supporting some armies such as the Iron and Blood Army, with many of her children participating in Anti-Japanese insurgent activities. For the whole year of 1932 the Japanese had to occupy themselves with fighting these Chinese forces in various areas of Manchuria. Gen. Ma Zhanshan, nominally in command of them all, had a total fighting force estimated by the Japanese at 300,000 men. Following their defeat, many retreated into Jehol and other places in China. The remainder were forced to disperse their remnants into small units, often called shanlin. Ongoing Japanese "Anti-Bandit" campaigns and other "pacification" measures steadily reduced the number of insurgents. Their numbers declined from 120,000 in 1933 to 50,000 in 1934; 40,000 in 1935; 30,000 in 1936; and 20,000 in 1937. As of September 1938, the number of insurgents was estimated by the Japanese at 10,000. From 1935 the Northeast Anti-Japanese United Army, under the leadership of the Chinese Communist Party, absorbed many of these volunteer forces into its own ranks. (en)
- Los Ejércitos de Voluntarios Antijaponeses fueron una serie de ejércitos que después de la invasión japonesa de Manchuria, y hasta 1933, lucharon contra las fuerzas japonesas y de Manchukuo en gran parte del noreste de China. Debido a la política de no resistencia de Chiang Kai-shek, los japoneses pronto pudieron establecer un control completo. Después de que la Liga de las Naciones se negara a hacer algo más que expresar su desaprobación, hubo muchas pequeñas organizaciones de guerrillas que se resistieron al gobierno japonés y manchú. (es)
- Après l'invasion japonaise de la Mandchourie, et jusqu'en 1933, de grandes armées de volontaires combattent les forces de l'empire du Japon et du nouveau Mandchoukouo dans le Nord-Est de la Chine. Du fait de la politique de non-résistance de Tchang Kaï-chek, les Japonais exercent vite un contrôle total sur la zone. À la suite du refus de la société des Nations d'agir contre cette attaque, l'incident mandchou est considéré comme clos, du moins pour les diplomates. Sur le terrain, de petites guérillas continuent néanmoins le combat. Les armées de volontaires seront finalement décimées, mais seulement après que leurs actes de résistance leur auront apporté un soutien populaire pour eux et pour la cause anti-japonaise en Chine au début des années 1930. Quelques-unes de ces armées de volontaires :
* Armée d'autodéfense de Jilin
* Armée du salut national populaire de Chine
* Combattants braves et vertueux volontaires du Nord-Est
* Armée brave et loyale du Nord-Est
* Armée volontaire anti-japonaise populaire du Nord-Est
* Armée du salut national anti-japonaise du Nord-Est
* Armée du salut national de Heilungkiang
* Armée anti-japonaise pour le salut du pays
* Armée révolutionnaire populaire du Nord-Est Aux côtés de ces armées combattent d'autres forces comme celles de Lao Pie-fang entre autres. Pendant toute l'année 1932, les Japonais sont essentiellement occupés à combattre ces forces chinoises en Mandchourie. Le général Ma Zhanshan, commandant nominal de toutes ces troupes, a sous ses ordres une force combattante estimée par les Japonais à 300 000 hommes. Après la défaite des armées de volontaires, de nombreux soldats fuient vers la Chine et notamment la province de Jehol. Ceux qui restent sont forcés de se regrouper en petites unités appelées shanlin. Les campagnes japonaises « anti-bandits » et autres mesures pour la pacification du Mandchoukouo réduisent drastiquement le nombre d'insurgés. Ils déclinent de 120 000 en 1933 à 50 000 en 1934, 40 000 en 1935, 30 000 en 1936, et 20 000 en 1937. En septembre 1938, le nombre d'insurgés est estimé par les Japonais à 10 000 hommes. En 1935, l'armée unie anti-japonaise du Nord-Est, sous la direction du parti communiste chinois, absorbe la plupart des armées de volontaires pour créer un front uni. (fr)
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- Los Ejércitos de Voluntarios Antijaponeses fueron una serie de ejércitos que después de la invasión japonesa de Manchuria, y hasta 1933, lucharon contra las fuerzas japonesas y de Manchukuo en gran parte del noreste de China. Debido a la política de no resistencia de Chiang Kai-shek, los japoneses pronto pudieron establecer un control completo. Después de que la Liga de las Naciones se negara a hacer algo más que expresar su desaprobación, hubo muchas pequeñas organizaciones de guerrillas que se resistieron al gobierno japonés y manchú. (es)
- After the Japanese invasion of Manchuria, and until 1933, large volunteer armies waged war against Japanese and Manchukuo forces over much of Northeast China. Due to Chiang Kai-shek's policy of non-resistance, the Japanese were soon able to establish complete control. After the League of Nations refused to do more than voice its disapproval, there were many small guerrilla organizations which resisted Japanese and Manchu rule: From 1935 the Northeast Anti-Japanese United Army, under the leadership of the Chinese Communist Party, absorbed many of these volunteer forces into its own ranks. (en)
- Après l'invasion japonaise de la Mandchourie, et jusqu'en 1933, de grandes armées de volontaires combattent les forces de l'empire du Japon et du nouveau Mandchoukouo dans le Nord-Est de la Chine. Du fait de la politique de non-résistance de Tchang Kaï-chek, les Japonais exercent vite un contrôle total sur la zone. À la suite du refus de la société des Nations d'agir contre cette attaque, l'incident mandchou est considéré comme clos, du moins pour les diplomates. Sur le terrain, de petites guérillas continuent néanmoins le combat. Quelques-unes de ces armées de volontaires : (fr)
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