TER Labview
TER Labview
TER Labview
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SOMMAIRE
I) PRESENTATION DE LABVIEW
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V) DIFFICULITES RENCONTREES
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VI) CONCLUSION
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VII) BIBLIOGRAPHIE
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VIII) ANNEXES
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I) PRESENTATION DE LABVIEW
Le nom du logiciel labview signifie “ Laboratory Virtual Instrument Enginerring
Workbench”. Ce langage de programmation graphique est un environnement de
programmation à caractère universel particulièrement bien adapté à la mesure,
au test, à l’instrumentation et à l’automatisation. Il a été développé par la société
National Instrument à partir de 1983. Labview est un des premiers langages de
programmation graphique destiné au développement d’applications
d’instrumentation. Couplé à des cartes d’entrées/sorties, il permet de gérer des
flux d’informations numériques ou analogiques et de créer ou de simuler des
instruments de mesures (Oscilloscope, gbf, Multimètre,etc…). Ici nous utilisons
la version 8.2 de Labview.
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Les programmes Labview comportent des Instruments Virtuels ou Virtual
Instruments (VI). On parle d’instruments virtuels car leur apparence et leur
fonctionnement sont semblables à ceux d’instruments réels, tels que les
oscilloscopes et les multimètres.
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- D’une icône et d’un connecteur : une icône est la symbolisation de
l’instrument virtuel qui permettra de faire appel à un instrument virtuel déjà crée
à l’intérieur d’un autre instrument virtuel. Un connecteur est un ensemble de
terminaux correspondant aux commandes et aux indicateurs du VI qui sont
accessibles.
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II) LE LANGAGE VISA
Virtual Instrument Software Architecture (VISA) est une couche
logicielle de bas niveau qui permet de communiquer avec les pilotes
d’entrées/sorties installés sur le système. Ce niveau d’abstraction supplémentaire
permet de s’affranchir, dans une certaine mesure, de la nature de l’interface. Le
code est plus facilement réutilisable pour d’autres types d’interfaces, et d’autres
langages. VISA n’est pas un élément de LabVIEW, mais une interface
d’application (API) standardisant les appels aux drivers. LabVIEW possède un
jeu de fonctions permettant ces appels.
Ici nous utiliserons le langage visa par le biais de Labview pour commander les
divers appareils de mesures dans notre cas. Visa s’avère donc être une norme qui
s’efforce d’être la plus polyvalente possible, permettant de contrôler divers
appareils même si ils ne sont pas de la même de marque ou sous des systèmes
d’exploitation différents.
Utilisation Visa dans Labview : Les fonctions VISA les plus couramment
utilisées pour communiquer avec les instruments de mesures sont les fonctions
VISA : VISA OPEN, VISA CLOSE, VISA READ, VISA WRITE.
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VISA WRITE : Ecrire le contenu d’un tampon vers le périphérique
désigné par le nom de la ressource VISA.
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III) DESCRIPTION DU MATERIEL UTILISE
Tout d’abord le contrôle d’instrument s’effectue par une communication par une
liaison GPIB.
Dans le cas de communications par liaisons GPIB ou Série, l’acquisition de
données se fait par l’intermédiaire d’un instrument autonome (multimètre,
oscilloscope,…) au sein duquel sont effectuées les opérations d’entrées/sorties
des signaux mesurés.
Le programme développé sert uniquement à la configuration de l’instrument, à
la récupération, l’analyse et la présentation des données.
GPIB :
La liaison GPIB (General Purpose Interface Bus) appelée aussi IEEE 488 (IEEE :
Institute of Electrical and Electronics Engineers) est devenue depuis son
apparition en 1965 (crée par Hewlett-Packard) un standard de communication
qui permet aujourd’hui de contrôler la plupart des instruments de mesures
(oscilloscopes, multimètres, générateurs de fonctions, …).
La première normalisation de ce bus date de 1987 sous la référence IEEE 488.1.
Une deuxième normalisation de ce bus est intervenue en 1992 avec la référence
IEEE 488.2 pour préciser la précédente qui était incomplète, et ceci en précisant
le protocole de communication, en définissant les formats de données,... En
1990, le document “Standard Command for Programmable Instrumentation
(SCPI)” a été incorporé à la norme. Celui-ci définit un certain nombre de
commandes auxquelles chaque instrument doit pouvoir obéir. Cela permet ainsi
une interopérabilité de matériels de différents fabricants.
Voici un exemple de connecteur GPIB :
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GPIB : Caractéristiques techniques
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- Nous utilisons aussi un générateur 33120A basse fréquence de 15Mhz de chez
Agilent (la documentation technique est en annexe):
- Nous utilisons une alimentation E3631A triple sorties 6V, 5A et +/- 25V, 1A
de chez Agilent (la documentation technique est en annexe) :
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IV) TRAVAUX REALISES
Nous avons élaboré un plan de travail pour réaliser notre banc d’automatisation
qui est le suivant :
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1) Découvrir le logiciel Labview
Tout d’abord, nous avons voulu voir de façon concrète comment on pouvait
contrôler un appareil de mesure de façon simple au départ. Nous avons utilisé le
logiciel Measurement & Automatisation Explorer.
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3) Réaliser des programmes permettant d’automatiser les tracés des
diagrammes de Bodes d’un filtre passe bas, passe haut et rejeteur de bande
A) Rappelons dans un premier temps, les structures et les rôles des filtres :
- Elimine les fréquences comprises entre Fc1 et Fc2, les deux fréquences de coupures. La
bande coupée est (Fc2-Fc1).
- Les fréquences de coupures et la fréquence centrale sont égales :
Fc1= 1/ ((2+√3)*R*C)), Fc2= 1/ ((2+√3)*R*C)), Fo= 1/ (2*п*R*C)
Pour le passe bas et passe haut on prend comme valeur : R= 10k et C=10nF
Nous avons une valeur de Fc = 1.59Khz
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B) Partie programmation sous Labview
Nous avons tout d’abord élaboré un algorithme pour réaliser notre programme
de relevés des diagrammes de Bodes : Gain et Phase.
Notre algorithme est le suivant :
Filtre
LIRE
FMAX
FMIN AFFICHAGE
NBPOINT
AFFICHAGE DES
COURBES DE
X= 10^(log(FMIN)+i*PAS) GAIN ET PHASE
TANT
X < FMAX QUE
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Voici le programme de Labview que nous avons réalisé, qui se fait par un
langage objet. Voici la face arrière qui constitue le programme :
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Voici les faces avant de notre programme, qui permettent à l’utilisateur de
choisir les fréquences de début et de fin pour simuler les filtres. Il choisit aussi le
nombre de point qu’il veut pour tracer les diagrammes de Bodes (GAIN et
PHASE). Il visualise sur la face avant les diagrammes de Bodes.
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- Face avant pour le filtre passe haut avec simulation:
Observation : On trouve bien par simulation les allures des filtres passe bas
et passe haut. La fréquence de coupure trouvée par simulation du
programme est bien Fc = 1.59Khz.
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C) Schéma de notre banc d’automatisation :
Voici la partie que nous avons ajouté pour calculer le gain et la phase :
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E) Simulation d’un filtre réjecteur de bande :
Remarque : On retrouve le même programme que les filtre passe bas et haut,
mais ici on a ajouté un inverseur car en visualisant nos simulations nous avions
une bonne phase mais inversée. D’ou l’ajout d’un inverseur.
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- Face avant pour le filtre réjecteur avec simulation:
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4) Réaliser des programmes permettant d’automatiser les relevés de
caractéristiques d’un VCO et d’une PLL :
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Les éléments de base d’une PLL sont :
- Un comparateur de phase
- Un filtre passe bas
- Un VCO
• Le filtre passe-bas : le filtre utilisé est souvent un passe bas du premier ordre
qui peut être un filtre RC.
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C) Partie programmation sous Labview du VCO
Nous avons tout d’abord élaboré un algorithme pour réaliser notre programme
pour relever la caractéristique du VCO.
Notre algorithme est le suivant :
VCO
LIRE
VMAX
VMIN AFFICHAGE
NBPOINT
TANT
AFFICHAGE DE
X= VMIN+i*PAS FS(U)
QUE
X < VMAX
POUR
i=0 à NBPOINT-1
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Voici le programme de Labview que nous avons réalisé, qui se fait par un
langage objet. Voici la face arrière qui constitue le programme :
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Voici la face avant de notre programme, qui permet à l’utilisateur de choisir les
tensions de début et de fin pour simuler le VCO. Il choisit aussi le nombre de
point qu’il veut pour tracer la caractéristique FS(U). Il visualise sur la face avant
le résultat de la simulation :
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D) Explication des paramètres a respecté pour le VCO :
- Choisir des valeurs pour R1 et C1, dans notre cas nous avons pris :
R1 ≈ 5K et C1 = 1nF.
! IMPORTANT :
Connaitre les paramètres du circuit du VCO avant de lancer une simulation pour
éviter tout risque de destruction du circuit.
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C) Partie programmation sous Labview de la PLL :
Nous avons tout d’abord élaboré un algorithme pour réaliser notre programme
pour relever les caractéristiques de la PLL.
Notre algorithme est le suivant :
PLL
LIRE
FMAX
FMIN AFFICHAGE
NBPOINT
X= FMIN+i*PAS TANT
QUE
AFFICHAGE DES
COURBES :
X < FMAX FS(FE)
U(Ф)
FS(U)
POUR
i=0 à NBPOINT-1
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Voici la face arrière qui constitue le programme :
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Voici la face avant de notre programme, qui permet à l’utilisateur de choisir les
fréquences de début et de fin pour simuler la PLL. Il choisit aussi le nombre de
point qu’il veut pour tracer les caractéristiques. Il visualise sur la face avant le
résultat de la simulation (exemple de simulation) :
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Etude expérimentale de la PLL :
- On applique un signal Ve(t) rectangulaire, d’amplitude compatible avec le
circuit intégré.
- En faisant varier la fréquence d’entrée de 1Khz à 90Khz par valeurs
croissantes et décroissantes, on détermine la plage de capture et de verrouillage
de la PLL.
Application :
Nous avons appliqué manuellement un signal rectangulaire d’amplitude 1V, et
nous avons fait varier les fréquences par ordre croissant et décroissant. Dans la
documentation constructeur sont données les formules permettant d’étudier la
PLL :
- Fo(fréquence libre de l’oscillateur asservi en tension) = 1/ 3,7*R1*C1 = 54Khz
- Gamme de verrouillage Fl = ± 8Fo/VCC
- Gamme de capture Fc ≈ ± 1/2п √(2пFl/RC2), dépend du filtre passe bas qu’on
utilise dans la PLL
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Tout d’abord nous avons réalisé un balayage des fréquences en mode croissant
pour déterminer la fréquence de capture fcmin et la fréquence de verrouillage
frmax. Voici le résultat de la simulation de la face avant :
Ensuite nous avons réalisé un balayage des fréquences en mode décroissant pour
déterminer la fréquence de capture fcmax et la fréquence de verrouillage frmin.
Pour faire cette simulation, nous modifions le programme de notre face arrière
de façon très simple en jouant sur les instructions:
X = (Fmax – i * pas) maintenant, nous commencons la simulation par une
fréquence Fmax. Nous inversons aussi notre condition c'est-à-dire tant que
Fmax > Fmin le programme tourne.
Voici le résultat de la simulation de la face avant :
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Ensuite nous avons visualisé la caractéristique du comparateur de phase de la
PLL.
La sortie du comparateur de phase est égale :
u(t)moyen = (u(t)/п)*(Фs – Фe)
Observation :
L’intérêt d’un tel comparateur est évident c’est une relation linéaire entre
déphasage et tension.
Pour visualiser cette caractéristique il faut au préalable savoir le principe
de fonctionnement d’une PLL. Pour tracer cette caractéristique, il est plus
aisé de bien définir ces fréquences de début et de fin pour bien visualiser la
caractéristique du comparateur. Il est inutile par exemple qu’un utilisateur
utilisant notre programme se mette hors des plages de travail de la PLL.
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Enfin nous avons visualisé la caractéristique FS(U) du VCO de la PLL.
Voici le résultat de la simulation de la face avant :
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V) DIFFICULITES RENCONTREES
Durant notre TER nous avons rencontré de multiples problèmes, essentiellement
des problèmes liés aux appareils de mesures :
• Nous avions un problème introduit par l’oscilloscope qui nous donné des fois
des fréquences de mesures erronées (mauvaise synchronisation).
• Pour résoudre tout les problèmes liés à l’oscilloscope HP603B, nous avons
rajouté dans nos programmes Labview des sous programmes correcteurs
d’erreurs des données acquises par l’oscilloscope.
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VI) CONCLUSION
Nous avons réalisé complètement toutes les tâches imparties durant notre TER :
Notre TER peut être utilisé par des utilisateurs de façon très simple en entrant
leurs valeurs de simulation sur une interface de la face avant pour ensuite lancer
leurs simulations et visualiser les résultats sur cette même face avant.
Ce TER, nous a familiarisé au logiciel Labview qui est très utilisé dans le monde
de l’industrie maintenant. Nous avons apprécié ce sujet car cela combine
connaissance électronique et programmation matériel.
Pour ce TER, nous nous sommes investi totalement en faisant 8 heures de TER
par semaine durant tout le semestre.
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VII) BIBLIOGRAPHIE
4)
http://poucet.club.fr/Monitorat/TP%20Labview/Cours%20Initiation%20la
bview.pdf
5) http://www.tecatlant.fr/labview/index.html
6) http://pagesperso-orange.fr/xcotton/electron/coursetdocs.htm
7) http://www.univ-lemans.fr/enseignements/physique/02/electro/filtrerc.pdf
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ANNEXES
COMMANDES
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SOMMAIRE
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I) Oscilloscope de HP 54603B, 2 channel 60 Mhz
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II) Générateur 33120A basse fréquence de 15Mhz de chez Agilent
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III) Alimentation E3631A triple sorties 6V, 5A et +/- 25V, 1A de
chez Agilent
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IV) Multimètre 6½ Digit 34401A de chez Agilent
57
58
V) Le circuit intégré NE 566
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60
61
VI) le circuit NE 565
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