Bioresonance Entretien
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Dsormais, toute personne souhaitant proposer une thrapie par la biorsonance na plus besoin de se fier la formation du producteur de lappareil utilis, mais devra accomplir une solide formation. Hans Ruedi Aeberli, prsident de la Socit suisse pour lnergie, la biorsonance et la mdecine informative (SEBIM), et le Dr Coni Schollenberger, coprsident de la SEBIM jusqu rcemment, nous donnent des prcisions quant ce nouveau concept et son volution. Tous deux ont grandement encourag et acccompagn son dveloppement, depuis le dbut. Monsieur Aeberli, Monsieur Schollenberger, pourquoi tait-il ncessaire de dvelopper un nouveau concept de formation pour la biorsonance ? Hans Ruedi Aeberli: Jusqu prsent, la formation en biorsonance tait, en Suisse, surtout organise par les distributeurs dappareils de biorsonance. Aucun standard homogne et obligatoire pour la formation ntait applicable quant son contenu. notre avis, les appareils de biorsonance ntant finalement que de simples auxiliaires, la formation ne doit donc pas se limiter leur fonctionnement. Coni Schollenberger: Mme sil existe des diffrences entre les appareils, le fait de travailler avec tel ou tel modle ne joue aucun rle. Si, en tant que mdecin, je veux connatre un certain rsultat dexamens de laboratoire, il mimporte peu de savoir avec quel appareil il a t mesur en laboratoire. Une thrapie demande plus que la simple capacit utiliser un appareil particulier. Le thrapeute doit comprendre les principes fondamentaux et les mcanismes de la mthode, savoir comment surviennent les maladies, et bien dautres choses encore. Au cours des annes, les formations dispenses pour lutilisation de diffrents appareils ont par ailleurs gnr diffrentes orientations thrapeutiques qui se sont loignes les unes des autres. Il
sen suivit des problmes dintercomprhension, de plus en plus frquents, entre les thrapeutes en biorsonance, alors que toutes ces formes dapplication reposent sur les mmes principes thoriques. Ce fut l, lune de nos principales raisons pour le dveloppement du nouveau concept de formation, car nous voulions atteindre nouveau une plus grande homognit pour la biorsonance. Comment sest droul le dveloppement du nouveau concept de formation ? Coni Schollenberger: Le premier grand pas fut la fusion crant la SEBIM. Nous avons pu ainsi rassembler la majorit des thrapeutes en biorsonance suisses au sein dune mme association. Il y a environ trois ans, nous avons commenc laborer le concept de formation, en
concertation avec la direction de la SEBIM. Hans Ruedi Aeberli: Lors de nombreuses runions, nous avons tudi ce que doit savoir et pouvoir un thrapeute bien form en biorsonance, quels sont les principes thrapeutiques importants pour appliquer la mthode avec succs. Nous avons dfini des contenus et des objectifs dapprentissage qui sarticulent autour de cinq modules de formation interconnects. Quel rle le RME a-t-il jou dans ce dveloppement? Coni Schollenberger: Jusqu prsent, en raison de labsence dune formation unique et homogne, les thrapeutes en biorsonance ne pouvaient senregistrer au RME que provisoirement. Nous voulions changer cela, cest pourquoi nous avons contact le RME. Je me souviens trs bien du premier entretien, au cours duquel les deux parties se sont montres tout dabord assez sceptiques. Mais les discussions se sont poursuivies de manire trs constructive. Le RME nous a constamment soutenus et conseills dans le dveloppement de la nouvelle formation. Sans jamais influencer les contenus, on nous a indiqu des points claircir, des exigences rglementaires supplmentaires ou de possibles difficults. Ce fut une collaboration positive, la critique fut toujours constructive et objective, et nous avons toujours eu limpression que le RME portait un intrt certain une solution commune. Comment la nouvelle formation est-elle structure et quelle qualification permet-elle dobtenir ? Hans Ruedi Aeberli: La formation spcifique la mthode se compose de cinq modules : les principes biophysiques de la Biorsonance, le diagnostic, les
principes dune thrapie individuelle, le traitement spcifique des systmes de rgulation significatifs et la Biorsonance comme concept global (intgration et interaction). En tout, ce sont au moins 224 heures de formation qui doivent tre accomplies, sachant que des connaissances de base en anatomie, en physiologie et en pathologie sont des conditions prrequises. Les personnes achvant la formation reoivent un diplme de thrapeute en biorsonance, galement accept par le RME. La nouvelle formation sera propose ds lanne prochaine et les dtails de sa ralisation sont lheure actuelle en voie dtre clarifis. Pour les thrapeutes exerant dj la biorsonance, une rglementation transitoire existe: ils peuvent participer une remise niveau spciale. Comment cette offre a-t-elle t accueillie ? Coni Schollenberger : Le premier cours de remise niveau que nous avons annonc, Hans Ruedi Aeberli et moimme, lors de lassemble gnrale de la SEBIM et que nous organisons ensemble, a immdiatement affich complet. Ce cours pilote regroupant 16 participants se droule en ce moment. Les retours que nous avons eus des participants ont t jusquici trs positifs. Ils sont tous ravis dtudier de manire intensive les contenus de ces diffrents modules et de rafrachir leurs connaissances. Cette remise niveau dure trois fois deux jours et les premiers examens auront lieu en janvier. Globalement, les membres de lassociation ont plutt bien accueilli la rglementation transitoire convenue. Bien sr, certaines critiques ont t formules, mais cela est tout fait normal. La demande dune telle remise niveau est forte et les prochains cours sont dj rservs.
Quels sont les avantages de la remise niveau pour les thrapeutes ? Hans Ruedi Aeberli: Depuis plusieurs annes, de nombreux thrapeutes sont enregistrs au RME provisoirement. Celui qui remplit les nouvelles directives reoit une reconnaissance dfinitive. Recommandez-vous dutiliser certains appareils plutt que dautres ? Coni Schollenberger: Non, nous ne le faisons pas. Lors des cours, nous parlons des possibilits dapplication et de manipulation de diffrents appareils, ainsi que les avantages et les inconvnients des techniques. Chaque thrapeute dcide lui-mme quel appareil il souhaite utiliser pour la thrapie. La Biorsonance reste une mthode controverse. Pensez-vous que limage de cette discipline va samliorer grce au nouveau concept de formation ? Hans Ruedi Aeberli: Il est intressant de constater que les clients qui ont fait lexprience de la biorsonance tiennent cette mthode en haute estime. Les critiques son encontre sont souvent formules par des personnes qui ne sy sont pas intresss srieusement. Il subsiste encore beaucoup de fausses ides sur la biorsonance et ce, malheureusement, aussi dans les cercles de la mdecine complmentaire. Une formation solide exercera certainement une influence positive sur limage de la mthode. Coni Schollenberger: Grce cette nouvelle formation, nous disposons des conditions et des arguments pour amliorer limage de la biorsonance.
Nous devons maintenant effectuer un important travail dinformation, non seulement auprs des nophytes et des mdecins, mais aussi auprs des autresthrapeutes de la mdecine complmentaire. Beaucoup dentre eux se montrent trs critiques notre gard, car ils ne connaissent rien de notre mthode. Lorsque nous leur expliquons en dtail cette mthode thrapeutique, ils sont souvent surpris dapprendre tout ce qui se cache derrire les apparences. Quels sont les objectifs de la SEBIM pour lavenir ? Coni Schollenberger: Un plus grand travail dinformation, en vue damliorer lacceptation de la biorsonance. Hans Ruedi Aeberli: Paralllement au soutien politique pour la professionnalisation, de la part de nos membres, il sagit tout dabord de raliser le nouveau concept de formation et de continuer amliorer ainsi la qualit du travail thrapeutique. Le deuxime objectif plus long terme est dobtenir une reconnaissance de la biorsonance, dans le cadre de lOrTra Mdecine Alternative, en tant que spcialisation part entire de la profession de naturopathe. Quattendez-vous du RME lavenir ? Hans Ruedi Aeberli: Nous souhaitons poursuivre une collaboration constructive, des dialogues en cas de difficults et des solutions flexibles et cratives.