Vitaminec Microzymas

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VITAMINE C et MICROZYMAS

Par Alain Scohy


Voici un article extrait du mensuel Soleil Levant

Note : Certaines infos cependant peuvent heurter nos connaissances et je ne suis pas en mesure
de les valider ou non évidement. Donc je vous laisse vous faire votre avis !
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La Vitamine C : l’alliée de votre santé !


Docteur Alain SCOHY
( http://www.soleil-levant.org/NEW%20SITE/dossier/recettes.html )

La vitamine C est douée de propriétés considérables : elle stoppe les processus de vieillissement
en réhydratant en profondeur l'organisme, elle permet la neutralisation et l'élimination de tous les
poisons connus à ce jour…
La vitamine C : un miracle pour notre santé !

Depuis 150 ans, à la suite de Pasteur, les biologistes sont tombés malades... Ils ont attrapé une
maladie grave, quasiment incurable : l'aveuglement volontaire. Et il est vrai que cette maladie est
d'une gravité exceptionnelle puisqu'il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir !
Ils connaissaient pourtant tous, à l'époque, l’existence des [B]microzymas[/B], que l'on nommait
alors "granulations microscopiques". Ils savaient que ces granulations étaient agitées du
mouvement brownien et qu'elles étaient visibles à partir d'un grossissement de 750... Il savaient
déjà que tous les tissus vivants — végétaux, animaux ou humains — en contenaient. Pour
pouvoir nier cette réalité, Pasteur recommanda à ses collaborateurs de ne jamais dépasser un
grossissement de 450. Ses successeurs mirent au point des protocoles spéciaux — toujours
d'actualité aujourd'hui — permettant de les tuer et de les dissoudre avant d'examiner un
prélèvement.
Le Pr. Antoine BÉCHAMP les a étudiés pendant plus de 30 ans.
De nombreux autres chercheurs ont travaillé à leur sujet, mais leurs résultats ont toujours été mis
sous le boisseau. Encore récemment, les géologues contemporains les ont redécouverts et
baptisés "NANOBES". Mais lorsqu’ils ont voulu en parler aux biologistes, ils n'ont eu droit, suite à
leur exposé, qu'à un silence de mort (Cf. DES CLEFS POUR VIVRE n°40) !

Les Microzymas
Il faut pourtant se rendre à l'évidence. Les MICROZYMAS sont les ouvriers bâtisseurs de notre
corps. Ce sont eux qui construisent la trame de fibres collagènes et élastiques — plus résistante
que du béton armé — qui constitue le squelette microscopique de ce corps. Ce sont eux qui
construisent les cellules à la demande (la membrane cellulaire est constituée de microzymas
juxtaposés et le noyau constitue une réserve de microzymas indispensables pour faire face à
certaines situations d'urgence comme la construction de "bouées de sauvetage").
Ce sont eux qui gèrent la merveilleuse architecture de l’organisme. Ce sont eux les seuls
dépositaires de notre mémoire héréditaire - et non les fantomatiques chromosomes avec leurs
gènes, imaginés par la biologie officielle. Ce sont eux qui construisent les germes et bactéries —
remarquables machines-outils destinées à démonter les cellules trop âgées, les cancers ou les
échafaudages utilisés pour la réparation de certaines lésions. Ce sont eux qui fabriquent les
enzymes nécessaires au fonctionnement intime de nos cellules et de nos divers appareils.
Entrer dans cette connaissance permet de quitter à tout jamais la terreur occasionnée par les
maladies infectieuses et même les cancers.
En effet, les microzymas sont des êtres remarquables : complémentaires les uns des autres,
autonomes, pacifiques, intelligents et responsables. Ils font toujours de leur mieux. Encore faut-il
leur fournir les éléments indispensables à leur vie et à leur fonctionnement : l'air, les aliments et
la vitamine C.
Contrairement à son appellation, la vitamine C n'est pas une vitamine. Sa formule chimique est
très proche de celle du glucose alors que les vitamines sont des amines, c'est-à-dire des
précurseurs de protéines. La vitamine C est de l'ACIDE ASCORBIQUE, doué d'un pouvoir
réducteur considérable (apport d'électrons libres). Comme toutes les substances chimiques, elle
est amphotère, c'est-à-dire constituée de molécules dextrogyres et lévogyres. Seule, la fraction
lévogyre est utilisable par les organismes animaux et humains.
La vitamine C qui se trouve dans les fruits est exclusivement lévogyre.

La vitamine C, un remède contre bien des maux !


L'organisme a besoin de quantités relativement importantes de vitamine C (la dose minimale est
de 1 g par jour chez le nouveau-né, entre 5 et 10 g par jour chez l’adulte). La plupart des
animaux sont capables de la synthétiser. L'homme, par contre, ne le peut pas. C'est un fait
indéniable. Il doit se la procurer au travers de son alimentation qui était probablement — à
l'origine des races actuellement existantes sur la planète — essentiellement frugivore. À signaler
qu'aucun désagrément n'a été observé lors de la prise de 4 kg par jour de vitamine C !
Curieusement, la vitamine C semble douée de propriétés considérables : elle stoppe les
processus de vieillissement en réhydratant en profondeur l'organisme. Elle tempère les
suppurations de toutes natures. Elle permet la neutralisation et l'élimination de tous les poisons
connus à ce jour, in vivo — c'est-à-dire au cœur des êtres vivants. Elle régule l'humeur, permet
de mieux tolérer les stress et donc de mieux dormir. Elle accélère tous les processus de
guérison, limite la prolifération des cancers, diminue les oedèmes pathologiques, harmonise de
façon parfaite la coagulation du sang — évitant les thromboses comme les hémorragies —
et favorise tous les métabolismes...
Une telle omnipotence semble invraisemblable pour un simple corps chimique. Il n'est d'ailleurs
pas possible de retrouver ces facultés à l'intérieur d’un tube à essais. Il semble en fait que la
vitamine C soit un catalyseur extraordinaire des microzymas. Ce sont eux qui font tout ce travail.
La vitamine C semble indispensable pour leur permettre de travailler à bon escient, à toute heure
du jour ou de la nuit...

Ne serait-ce pas ce lien entre microzymas et vitamine C qui amène un tel aveuglement chez les
médecins, aujourd'hui ? Bien trop rares sont ceux qui veulent bien entendre parler des
microzymas et de la vitamine C ! Par ailleurs, la prise régulière de vitamine C pourrait bien être
catastrophique pour nos compagnies d'assurance retraite, ainsi que pour les grands laboratoires
pharmaceutiques...?

[I]Le docteur Alain Scohy est à l’origine de la revue « Des clefs pour vivre ». Né en 1947, il exerce
comme médecin de campagne pendant 5 ans en Aveyron puis s’installe à Orange comme
homéopathe acupuncteur. En 1996, il est radié à vie de l’Ordre des Médecins pour délit d’opinion.
À la suite de cette sanction, et avant qu’elle ne soit effective, il préfère démissionner. Il continue à
travailler comme "accompagnateur-thérapeutes", écrivain et conférencier dans le Gard jusqu'en
novembre 2002 où il est obligé de s’expatrier pour échapper à la prison : contrainte par corps
suite à un redressement fiscal sans fondement.

Il travaille actuellement avec sa compagne Brigitte à créer l'Institut Paracelse à AGULLANA


(Espagne) pour accueillir des malades et former des accompagnateurs-thérapeutes. Ce travail se
fait au moyen d'une synthèse entre médecine hippocratique, médecine psychosomatique et
médecine naturelle.[/I]

Renseignements : 0034 972 535 348 ou [email protected]


http://www.alain-scohy.com/alain_scohy_medecine_nouvelle_accueil.htm

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La VITAMINE C
par Alain Scohy Docteur en médecine
( http://www.alain-scohy.com/alain_scohy_medecine_nouvelle_accueil.htm > Documents
importants )

Curieusement, les pays francophones sont les plus réfractaires à la vitamine C.


Les américains en consomment régulièrement (mais sans doute surtout chimique et pas
suffisamment), et beaucoup de pays dans le monde sont conscients du problème. Ce sont les
marins des siècles passés qui avaient mis en évidence les besoins en vitamine C, avant et
pendant le 19ème siècle. Tout ceci a été ensuite occulté par un certain Louis PASTEUR. Ce
dernier voulait promouvoir absolument sa théorie du MICROBISME — pour contrecarrer le Pr..
Antoine BECHAMP et ses travaux sur les MICROZYMAS — et son génie du marketing
publicitaire a fait le reste.
Le MICROBISME considère que toute maladie est causée par un micro-organisme (la vilaine «
petite bébête »), de même qu’un tas de fumier est manifestement fabriqué par les mouches qui
tournent autour ! Un très grand nombre d’individus, nourrissons, enfants, adultes et vieillards sont
aujourd’hui victimes de la méconnaissance qui en résulte pour les besoins en vitamine C.
Car il faut bien prendre la mesure du problème. Tout d’abord, prendre conscience que la vitamine
C n’est pas — contrairement à son “appellation” qui n’est nullement contrôlée — une vitamine.
Elle n’en a ni la formule chimique, ni les propriétés très particulières. La vitamine C est un
ALIMENT essentiel à la vie et à la santé, à ranger à côté des protéines ou des lipides nobles.
Contrairement aux posologies couramment indiquées sur les boites ou conseillées par les
pharmaciens ou les toubibs, il faut en prendre de grosses quantités : de quatre à dix, quinze,
vingt grammes par jour ou même plus selon les problèmes que l’on rencontre.
Il n’est pas possible de déceler le moindre effet pervers à QUATRE KILOS par jour (soit
l’équivalent de 8000 cp à 500 mg). Contrairement aux bruits que l’on fait courir, la vitamine C
n’a aucun effet nocif. En particulier, elle n’énerve pas, bien au contraire. Elle a tendance à
apaiser, et il faut même se méfier en cas de prise importante : vous risquez de vous endormir au
volant. En cas d’insomnie par contre, la prise de 2 ou 3 grammes au moment du coucher ou d’un
éventuel réveil intempestif en cours de nuit peuvent suffire à vous faire dormir, sans le moindre
effet néfaste comme les somnifères ou autres tranquillisants.
Par contre, attention aux doses insuffisantes : beaucoup de gens, trompés par les bruits et les
mensonges colportés ici et là, sont très méfiant lorsqu’on leur propose des doses importantes de
vitamine C. Et ils préfèrent commencer par de petites doses en se disant qu’ils augmenteront
progressivement. Et bien ces gens là n’augmenteront jamais la dose, parce qu’ils se retrouveront
dans un état d’excitation et d’énervement très inconfortable, et ils attribueront cela à la vitamine
C. En fait, le processus est simple : l’organisme est tout heureux et exulte de joie de trouver
quelques molécules qui lui manquent habituellement et lui sont pourtant indispensable. Mais il
n’en a pas suffisamment pour que l’effet apaisant (relèvement des niveaux de tolérance aux
stress) devienne appréciable. En pareil cas, le ressenti de “manque” deviendra plus aigu encore
et pourra réveiller des troubles hépatiques ou biliaires. Le patient se retrouvera avec des maux
de ventre, des ballonnements et des éructations désagréables.
La vitamine C agit à tous les niveaux de l’organisme. Ce qui est normal puisqu’elle est un
ALIMENT. Au niveau microscopique, en BIOLOGIE, la vitamine C apporte aux MICROZYMAS le
terrain indispensable (acide et réduit) pour bâtir ou rebâtir : les organes déficients, les tissus
endommagés, les cellules, et même les cellules nerveuses tuées par l’aluminium des vaccins par
exemple — qui ne seraient pas renouvelables d’après la médecine conventionnelle. Elle est donc
un précieux outil pour la guérison, la cicatrisation, la réparation. C’est vrai pour les cellules, pour
les fibres élastiques, pour l’os, les dents et tout le tissu conjonctif. Elle évite l’excès des
processus de cicatrisation (comme par exemple les déformations articulaires par reconstruction
anarchique de l’os lorsqu’il y a eu dévalorisation, ou les cicatrices chéloïdes énormes pour les
plaies cutanées, etc.) et par là même rend les proliférations microbiennes moins importantes.
(Les microbes ne sont pas transmis par contagion, mais fabriqués par nos MICROZYMAS pour
“raboter” et “poncer” les zones réparées, ou bien opérer des opérations chirurgicales spontanées
et naturelles quand il le faut).
Au niveau du stockage, on raconte qu’elle est éliminée rapidement par les urines. C’est faux. On
en retrouve certes dans les urines : la dose normale pour “protéger” les voies urinaires. Mais on
retrouve surtout sa forme oxydée, c’est à dire les molécules qui, à l’occasion de leur passage au
cœur des cellules de l’organisme, ont rempli leur principale mission qui est l’élimination des
fameux radicaux libres (les cendres qui résultent des combustions habituelles à la base de la
vie)... La vitamine C non oxydée est stockée dans toutes les cellules, mais plus particulièrement
dans les globules blancs ou leucocytes, qui sont chargés d’éliminer les corpuscules étrangers à
l’organisme. C’est par ce biais qu’elle relève considérablement tous les mécanismes
immunitaires.
Au niveau des “pathologies” graves, cancers ou autres, il faut absolument prendre conscience
que les véritables causes en sont psychoaffectives, chaque lésion correspondant à un type de
stress particulier, aussi sûrement qu’un caractère qui apparaît à l’écran de votre ordinateur
correspond à la touche frappée sur le clavier. Mais les pathologies cancéreuses n’interviennent
que lorsque le stress (ou conflit) psychoaffectif est suffisamment énorme et qu’il est vécu dans la
solitude morale et le non-dit.
La vitamine C relève considérablement le niveau de tolérance aux stress, elle rend le “parler”
plus facile, et il est donc certain qu’elle évite — jusqu’à un certain point lié à l’intensité du stress
— cancers, leucémies, scléroses en plaques, et toutes les pathologies graves.
Ce faisant, la vitamine C stoppe radicalement le vieillissement — elle évite en particulier la
déshydratation liée à la vieillesse (à condition qu’elle soit consommée la plus naturelle possible
et en particulier ACIDE : il ne faut surtout pas « tamponner » la vitamine C comme le préconisent
certains !) — et elle diminue la tension nerveuse de base (agressivité, etc.) chez tous ceux qui en
consomment suffisamment. Il est donc possible d’en conclure que la vitamine C va pouvoir
augmenter considérablement la longévité, mais une longévité en pleine forme, sans cette
dégradation inexorable et désespérante que nos vieillards subissent à l’heure actuelle.
La dose moyenne varie selon la finalité que l’on se donne... Mais il vaudra toujours mieux
commencer par une forte dose, pour imprégner convenablement l’organisme, puis revenir ensuite
progressivement à la dose utile !
1) Minimum vital : il est de UN gramme par jour chez le nouveau-né au biberon, il va jusqu’à
DEUX à TROIS grammes par jour chez l’adulte. Une femme enceinte ou qui allaite doit en
consommer SEPT à HUIT grammes par jour au moins.
2) Dose moyenne pour la santé et pour éviter le vieillissement intempestif : QUATRE à SIX
grammes par jour. ATTENTION : à ces doses là, la diminution de la tension nerveuse est telle
qu’il y a un risque de somnolence pendant la journée, surtout au volant. Évitez donc d’en prendre
avant de conduire, prenez là plutôt dans la soirée, et lorsque vous vous sentez tendu.
3) Dose thérapeutique : selon la gravité de la pathologie, il faudra prendre entre 20 grammes et
500 grammes par jour. A ces doses là, il est souvent utile de recourir aux formes poudre et à la
voie rectale (lavements) : la vitamine C se dilue très vite dans peu d’eau, et elle passe plus vite
dans le sang à partir d’un petit lavement que par voie intraveineuse !
Précision : les extraits d’ACEROLA sont de véritables concentrés de fruits. Les fruits peuvent
parfois déclencher des troubles digestifs chez les personnes qui vivent des stress de rancœurs,
ou qui se refusent à entrer dans une certaine dynamique de pardon. Cela se traduira par des
ballonnements souvent désagréables, parfois des éructations et des aigreurs d’estomac. Par
ailleurs, ils sont déshydratés et il faut donc penser à boire suffisamment !
Lorsque vous avez une certaine quantité de vitamine C à prendre, ne confondez pas le nombre
de grammes avec le nombre de comprimés ou le poids des comprimés. La vitamine C naturelle
est un jus d’ACEROLA déshydraté, elle n’est donc pas pure. Il faut donc faire les calculs en
tenant compte des quantités précisées pour chaque comprimé ou chaque cuillère de poudre.
Et puis, n’oubliez pas le début de ce petit “chapitre” : LA VITAMINE C EST PLUS UN ALIMENT
qu’une vitamine, elle n’est pas un médicament. Vous n’avez pas besoin d’attendre que votre
médecin vous la prescrive pour en prendre ! Surtout si vous êtes stressé, encore plus si vous
êtes malade!
Dr Alain SCOHY – Février 2000
Références et bibliographie sur la vitamine C dans la revue n°24 ou dans les divers livres édités
par l’association sur la question, en particulier :
- La vitamine C, un médecin témoigne par le Dr Archie Kalokerinos
- La vitamine C, un rouage essentiel pour la vie par Emmanuelle Berthelot et Alain Scohy

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