Module n27 Gestion de La Maintenance TFCC Ofppt PDF
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OFPPT
Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail
DIRECTION RECHERCHE ET INGENIERIE DE FORMATION
RESUME THEORIQUE
&
GUIDE DE TRAVAUX PRATIQUES
NIVEAU : TECHNICIEN
1
REMERCIEMENTS
La DRIF remercie les personnes qui ont participé ou permis l’élaboration de ce module
de formation.
Pour la supervision :
Pour l’élaboration :
M. SAID SLAOUI
DRIF
2
SOMMAIRE
Page
Présentation du module 7
Résumé de théorie
I/ Fonction du service maintenance 9
II/ structure du service maintenance 9
III/ politique d’entretien 10
1) préambule
2) le dépannage
3) l’entretien de conduite
4) l’entretien d’amélioration
5) la réparation
6) l’entretien préventif
7) l’entretien systématique
IV/ la méthode ABC 17
1) présentation de la méthode
2) la courbe ABC
V/ les coûts d’entretien 24
1) composition des coûts
2) structures des coûts d’entretien
3) structure des coûts de défaillance
4) structure des coûts de maintenance
VI Pratique 26
VII Bibliographie 29
Liste bibliographique
Annexes
3
MODULE : 27 Gestion de la maintenance
Durée :75 H
OBJECTIF OPERATIONNEL DE PREMIER NIVEAU
DE COMPORTEMENT
COMPORTEMENT ATTENDU
Pour démontrer sa compétence, le stagiaire doit appliquer des techniques de gestion
de la maintenance selon les conditions, les critères et les précisions qui suivent :
CONDITIONS D’EVALUATION
A partir :
• De directives ;
• De devis simplifiés ;
• D’analyse de cas simplifié.
A l’aide :
• De catalogue de manufacturiers ;
• De logiciels d’inventaire ;
• De normes sur l’électricité, le gaz , l’air et l’eau
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OBJECTIF OPERATIONNEL DE PREMIER NIVEAU
DE COMPORTEMENT
5
OBJECTIFS OPERATIONNELS DE SECOND NIVEAU
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Presentatation du module
Il a pour but de l’aider dans son enseignement et de faciliter l’atteinte des objectifs
visés.
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RESUME DE THEORIE
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I/ La fonction entretien :
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III/ POLITIQUES D’ENTRETIEN :
1) Préambule :
a) DEFINITION
C’est une intervention qui consiste à effectuer une remise en état provisoire sur un
matériel en panne ou présentant des signes de défaillance.
b) CARACTERES :
Autre caractère, le dépannage sera souvent immédiat. son but sera donc une remise en
service du matériel aussi rapide que possible mais pour un temps limité. Le dépannage porte
quelquefois le nom d’entretien palliatif.
c) CAS D’APPLICATION :
a) tous les matériels quelques soient les autres méthodes d’entretien utilisées,
c’est l’entretien palliatif subi.
b) Les matériels secondaires, de fonctionnement sporadique lorsque les autres
méthodes ne sont pas rentables.
c) Les matériels où les autres méthodes sont difficiles à appliquer :
- Matériels monoblocs, de démontage difficile
- Matériels mobiles, difficiles à repérer et à visiter
- Matériels dont les visites sont pratiquement impossibles
On n’oubliera jamais que l’efficacité d’un service entretien sera souvent jugée sur le
pourcentage des travaux de dépannage comparé au volume total des temps d’entretien.
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3) L’ENTRETIEN DE CONDUITE :
a) DEFINITION :
b) CARACTERES :
L’entretien de conduite est caractérisé par une surveillance permanente des matériels
(journalière pour certains, moins fréquente pour d’autres)
Son but est de prévoir et éliminer les petits incidents et pannes par une attention
constante.
Un matériel surveillé subit une usure normale est assure une production optimale .a
l’opposé, un matériel en fonctionnement sans contrôle régulier se dégrade très vite, présente
des aléas de fonctionnement et les interventions d’entretien sont généralement plus
coûteuses.
c) CAS D’APPLICATION :
En règle générale, tous les matériels sont concernés par l’entretien de conduite, mais
spécialement :
- les matériels qui fonctionnent sans personnel permanent (cas de plus
en plus fréquents avec les automatismes).
- Les matériels importants pour lesquels une petite défaillance est
souvent grave économiquement (coût de défaillance élevé)
- Les matériels en marche continue, conduit successivement par
plusieurs personnes (responsabilité partagée).
d) CONCLUSION :
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4) L’ENTRETIEN D’AMELIORATION.
a) DEFINITION :
C’est un état d’esprit, une attitude de réaction contre la routine. Il exige un esprit créatif,
une recherche constante des causes par une consultation des effets et des faits (et non des
opinions).
b) CAS D’APPLICATION :
Il intervient :
• Avant les commandes d’équipements ou de pièces.
• Pendant les périodes de mise au point, rodage.
• Pendant toute la vie du matériel.
Il s’abstient d’intervenir :
• Sur les matériels secondaires.
• Sur les matériels à renouveler dont l’état est proche de la réforme, pour usure
généralisée ou par obsolescence technique.
5) LA REPARATION :
a) DEFINITION :
La réparation est la remise en état définitive d’un matériel usagé ne donnant plus
satisfaction ou immobilisé à la suite d’un incident.
La réparation importante prend le nom de révision partielle ou générale. Elle est parfois
dénommée entretien palliatif.
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• Immédiatement à la suite d’un incident (si dépannage impossible).
• Après un dépannage (réparation provisoire).
• Ou sur un matériel en panne ou donnant des signes de défaillance.
• Ou après une décision d’intervention (pendant un arrêt de la production).
• Où après une visite d’entretien préventif.
• Ou après un arrêt décidé en entretien systématique.
b) CARACTERISTIQUES :
La réparation revêt un caractère définitif, c'est-à-dire, que le matériel réparé doit assurer
qualitativement et quantitativement la production pour laquelle il est conçu.
Toute réparation qui n’a pas ce caractère sera jugée incomplète et insuffisante car la
fiabilité du matériel réparé est insuffisante.
c) CAS D’APPLICATION :
La réparation concerne tous les matériels. C’est l’aboutissement final de toute méthode
d’entretien. Ce sera donc l’activité de tout service d’entretien. Toutes les autres méthodes
d’entretien n’ont pour but que de prévenir, prévoir ou décider à quel moment il faut réparer,
ou remédier à une situation anormale du matériel.
Dans le premier cas, la fréquence ou la date de la réparation est connue (cas d’usure
généralisé ou d’entretien systématique).
Dans le second cas, la fréquence est aléatoire (cas d’accident ou après dépannage ou
après visite d’entretien systématique).
d) Avantage de la réparation :
Alors que le dépannage est souvent exécuté sur le tas, la réparation est normalement
faite dans un atelier spécialisé chaque fois que cela est possible (cas en particulier des
réparations d’échanges standards).
L’intervention sur le tas est à éviter chaque fois que le transport à l’atelier est possible,
car :
• le travail est mieux exécuté, dans de meilleures conditions, avec des moyens
adaptés.
• La qualité du travail est généralement supérieure.
• Le temps passé est souvent plus court.
Tous ces motifs sont en fait les facteurs de la productivité appliqués cas particulier de
l’entretien.
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• Les moyens à utiliser
• Les approvisionnements
• L’implantation des travaux
6) L’ENTRETIEN PREVENTIF :
a) Définition :
L’entretien préventif consiste à décider d’intervenir sur un équipement avant que l’usure
ne provoque son arrêt.
La connaissance de cette usure est donnée par une auscultation périodique des
différentes parties de l’équipement sous forme de visites préventives faites à intervalles
réguliers sur l’équipement en marche ou à l’arrêt, avec ou sans démontage.
b) CARACTERES :
c) CAS D’APPLICATION :
L’entretien préventif est appliqué chaque fois qu’il n’est pas possible de connaître à
l’avance l’usure et le comportement des équipements, ceci n’implique pas l’obligation,
d’utiliser cette méthode sur tous indistinctement. Le choix sera toujours dicté par le souci de
rentabilité.
Si les lois d’usure sont connues (sans entretien préventif ou après une certaine période
d’application) les visites deviennent inutiles et on peut préparer à intervalle de service
réguliers (c’est le cas de l’entretien systématique).
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Il est non rentable d’appliquer cette méthode sur des matériels secondaires. Il est aussi
déraisonnable de l’appliquer sur des matériels en mauvais état général.
d) AVANTAGES ET INCONVENIENTS :
d-1) Avantages :
d-2) Inconvénients :
d-3) Difficultés :
d-4) Conclusion :
7) L’ENTRETIEN SYSTEMATIQUE :
a) DEFINITION :
L’entretien systématique est une méthode d’entretien dans laquelle on intervient sur un
matériel pour réparer, réviser ou changer des organes à une date déterminée. Cette date
correspond à une durée de fonctionnement déterminée à partir de la mise en service ou
après une révision générale (ou partielle s’il s’agit d’un seul organe).
b) CARACTERES :
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appelé moyenne de temps de bon fonctionnement (MTBF). Il peut être déterminé de
différentes façons et comporte une marge de sécurité pour que l’intervention ait lieu avant la
limite d’usure ou de la panne. Souvent les interventions en entretien systématique se font par
échanges standard.
c) CAS D’APPLICATION :
d) Avantages et inconvénients :
d-1) Avantages :
d-2) Inconvénients :
• Coût d’entretien généralement assez élevé du fait qu’on remplace avec une
marge de sécurité.
• Remplacement des pièces partiellement usées pour éviter les arrêts trop
nombreux.
• Risque d’avoir du matériel non homogène si on ne remplace que certaines
pièces.
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Iv/ Méthode ABC :
1) présentation de la méthode :
Toute action dans l’entreprise doit généralement être rentable. Pour satisfaire à cette
exigence, il faut déceler les problèmes qui valent la peine d’être abordés. Faire des choix
valables sans se laisser accaparer par les détails.
La difficulté réside dans le fait que ce qui est important et ce qui l’est moins ne se
distinguent pas toujours de façon claire.
La méthode ABC apporte une réponse. Elle permet l’investigation qui met en évidence
les éléments les plus importants d’un problème afin de faciliter le choix.
Elle est issue des travaux de Wilferdo PARETO (1848 – 1923) sociologue et
économiste italien. Etudiant la répartition des impôts fonciers aux Etats unis, il constata que
15% des contribuables payaient de ces mêmes impôts.
On l’habitude d’appeler Loi de Pareto, Loi des 15-85 ou Loi des 20-80 ; la concordance
qui s’établit entre le faible pourcentage des éléments observés et le fort pourcentage qu’ils
représentent pour un critère déterminé dans l’étude d’un caractère particulier.
1-c) définition :
La méthode ABC est un moyen objectif d’analyse. Elle permet de classer les éléments
qui représentent la fraction la plus importante du caractère étudié, en indiquant les
pourcentages pour un caractère déterminé.
Exemple :
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représentent pour l’exercice
considéré.
2) la courbe ABC :
Pour tracer la courbe ABC qui permet de visualiser les résultats il faut appliquer les
règles suivent :
Cela signifie de poser le problème, bien définir le choix que l’on veut faire. Cela conduit
à:
Par exemple, si le caractère étudié est l’un des aspects des stocks (mouvements, capitaux
immobilisés, etc…) les éléments à classer pourront être :
- soit les différents types d’articles.
- Soit les familles d’articles
De même, si le caractère étudié est un des aspects de l’activité de l’atelier, les éléments
à classer pourront être :
- les bons de travail par activité :- montage
- câblage
- soudage
- etc
- les bons de travail par catégorie professionnelle.
Les critères les plus fréquents sont le temps ou le coût auxquels se ramènent les
critères secondaires.
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a-3) rechercher la période représentative :
Les valeurs du critère choisi, pour chacun des éléments que l’on veut classer par ordre
d’importance, doivent correspondre à une période représentative pour le caractère étudié.
L’information recueillie ne doit pas être altérée par les variations saisonnières ou par
des événements exceptionnels (sinistre, autres perturbations de longue durée, etc…)
généralement l’année ou le semestre conviennent.
C’est la documentation de l’entreprise qui fournit ces informations. S’il n’existe pas
d’historique exploitable on ne peut utiliser directement la méthode ABC. On peut y remédier
dans certains cas, pour une période courte, en recourant aux méthodes statistiques
(méthodes des observations instantanées).
Exemple :
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Il faut classer les éléments par ordre décroissant et faire le cumul de ces valeurs dans
le même ordre.
Ce classement et ce cumul peuvent être faits sur le même tableau que le précédent.
Ainsi pour le cas précédent (magasin) on aura les deux possibilités suivantes :
Tableau supplémentaire :
c) Tracer de la courbe :
Pour comparer plusieurs courbes il est intéressant de les inscrire dans des figures
géométriques semblables rectangles de proportions identiques ou de préférences carrés.
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En abscisses on porte les éléments dans l’ordre décroissant figurant sur le tableau. En
ordonnées figurent les valeurs cumulées.
Les deux échelles sont doublées par des échelles de pourcentages. OE est divisé en
autant de tranches que d’éléments. V représente la dernière valeur des cumuls.
Exemple : 210850. Cela permet d’établir rapidement l’échelle en portant la valeur 200000
puis 100000 et enfin 50000 et de 10000 en 10000.
c-2) Reports :
Exemple précédent :
• M 20000
• X 38500
• Q 54500
• Etc
Le dernier élément correspond à la valeur V de l’échelle des valeurs cumulées.
Il est inutile de rechercher une correspondance 15-85 ou 20-80. S’il en était toujours
ainsi, il serait inutile de construire cette courbe.
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On observe :
A. Pour laquelle 15% des éléments correspondent à 80% des valeurs cumulées du
critère.
B. Pour laquelle 40% - 15% soit 25% des éléments correspondent à 95% - 80% soit 15%
des valeurs cumulées du critère.
C. Pour laquelle 60% des éléments correspondent à 5% des valeurs cumulées.
En réalité on rencontrera des courbes parfois moins nettement délimitées. Elle peut
également présenter une seule cassure ou plusieurs
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L’exemple de haut nous donne quatre zones A, B, C et D, celui du bas ne nous donne
que deux zones A et B.
Remarque :
d) interprétation de la courbe :
Cela veut dire que l’attention se portera d’abord sur A. en intervenant sur peu
d’éléments on saisit la partie essentielle du problème.
Cela ne signifie nullement que la partie C par exemple soit sans intérêt, les éléments
auxquels elle se rapporte peuvent avoir des points communs permettant de familles
d’éléments.
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V/ Les coûts en entretien :
Un service d’entretien qui ne maîtrise pas la connaissance de ces coûts est un service
aveugle.
Il est donc nécessaire de connaître la valeur, l’origine, la périodicité etc… des coûts en
les classant par :
! Equipements ou famille d’équipements
! Natures (matières d’œuvre, matières, pièces, sous-traitance etc…)
! Politique d’entretien
! Eventuellement par catégorie professionnelle (ajusteurs, mécanicien,
électriciens, frigoristes, etc…)
Il n’est pas nécessaire que ces coûts aient une précision comptable mais ils devront
s’approcher le plus prés possible de la réalité et se recouper en introduisant des coefficients
de correction avec la comptabilité par section homogène de l’entreprise.
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Si l’on appelle :
- CR : coût des matières, pièces et énergie nécessaire à la remise en état.
- CO : le coût de la main d’œuvre y compris celle indirecte et les coûts aux bâtiments,
outillages etc…
- CP : le coût total du temps perdu par le personnel de production et celui des pertes de
produit.
- CA : la valeur de l’amortissement pendant la durée de défaillance.
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RESUME PRATIQUE
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Travail pratique N° 1 : méthode ABC
Sujet :
Les données des quatre années sont regroupées dans le tableau ci joint :
Démarche à suivre :
1) déterminer le cadre de l’étude.
2) Préparer la construction de la courbe ABC.
3) Tracer de la courbe ABC. (sur papier millimètré)
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4) Interprétation de la courbe.
Sujet :
Une fonderie d’alliage léger dispose d’un four de maintien de fusion Haute Fréquence
alimenté en énergie par un groupe convertisseur de fréquence.
Le de prise en masse de l’alliage est de 4h. le temps de fusion est de 18h pour 5
tonnes prises en masse, et de 4h four vide.
En cas de panne du groupe convertisseur que se passera-t-il ? Quel sera le bilan des
coûts pour l’entreprise ? Sachant que :
- le Kilo d’alliage est vendu à 28DH.
- l’heure d’électricien revient à 15DH à la société.
Démarche :
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Bibliographie
N° ouvrage auteur
1 L’entretien Cahier du BTE
2 Le service entretien, méthode actuelle de Pevier
gestion
3 Etudes et articles REFA Institut
4 Les dossiers machines Oriot
5 Prévisions des défaillances par le contrôle de
l’état de fonctionnement
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