Fadel Peinture
Fadel Peinture
Fadel Peinture
A-JUSTIFICATION DU SUJET
B-PROBLÉMATIQUE
Dans quelle mesure la peinture africaine a t-elle connue une évolution dans
l'histoire de l'art ?La réponse à cette question nous conduira à répondre à deux
autres non moins pertinentes à savoir : quels sont les éléments distinctifs de la
peinture en Afrique ?Par ailleurs , qu'est ce qui constitue le fondement même de
la peinture africaine ?
a- Objectif général
b- Objectif spécifique
La peinture africaine a t-elle connue une évolution majeure dans son histoire ?
d- Question secondaire
e- Hypothèse générale
La peinture africaine connaît un développement important dans l'histoire de l'art.
f- Hypothèse secondaire
C- MÉTHODE D'APPROCHE
D- MÉTHODE DOCUMENTAIRE.
Parlant de la méthode documentaire, elle a été possible à une différent menée sur
internet. En un mot, à une sitographie notamment Wikipédia, Rayon Beaux-
Livres.com, Artplastoc.blospot.com.
Des hommes, des bêtes, des êtres hybrides, des signes géométriques, des mains en négatif… C’est ce
que l’on peut découvrir dans les grottes et sur les rochers d’Afrique du Sud, au sein de milliers de sites
disséminés dans la nature.
Des peintures et gravures vieilles parfois de plusieurs milliers d’années, réalisées par le peuple San, les
premiers habitants de l’Afrique australe.Les peintures sous les rochers des sites de l’art rupestre étaient
fabriquées à partir de la chaux, des terres de la région et des plantes. On y trouve plus de couleur rouge,
blanc et noir. Le manque des moyens suffisants pour se procurer des matériaux ont permis plusieurs
innovations dans les matériaux. Ainsi, le recyclage et le mixage des techniques pour atteindre la
performance sont d’une originalité incroyable.La peinture rupestre sur des parois rocheuses, est présent
sur la presque totalité du continent africain. Nous avons choisi parmi cette grande diversité, quatre pays
d’Afrique, au Sud de l’Equateur. Ces pays sont : Afrique du Sud, Angola, Botswana et Namibie. La création
artistique africaine est ancienne et pour certains auteurs, il faudrait voir dans les bifaces et dans la taille
de la pierre les premiers vestiges des capacités artistiques des hommes. Pour d’autres, des traces d’ocre
trouvées dans des niveaux pré-acheuléens seraient une indication du goût pour les couleurs, voire de
l’utilisation des pigments picturaux à des fins artistiques. Toutefois, la chronologie de l’art rupestre
d’Afrique n’est pas encore définitive bien que des tentatives variées aient été entreprises pour placer
cette création artistique dans le temps. Elles vont de la subjectivité, “très haute ancienneté”, jusqu’à des
mesures isotopiques des pigments picturaux en laboratoire. En ce qui concerne les motivations des
artistes, les avis sont aussi variés que les auteurs qui cherchent à l’extérieur du continent les “influences”,
tandis que pour d’autres c’est du Nord, de l’Egypte, voire de Crête que l’influence se serait diffusée vers
le sud du continent. Aujourd’hui, la plupart des chercheurs est néanmoins d’accord pour considérer l’art
rupestre du continent comme une production locale. Par rapport aux interprétations, la diversité d’avis
est aussi très grande, elle va de la magie de la chasse pour interpréter certaines scènes jusqu’à la
pratique chamanique pour comprendre certains personnages hybrides. Pour cette dernière hypothèse,
les influences se sont fait sentir jusqu’en Europe ! Enfin, la conservation et la mise en valeur des sites
d’art rupestre est également très inégale sur l’ensemble du continent. Au nord par exemple, de vastes
zones ont été classées Parc national et, dans certains cas, ils sont inscrits sur la liste du patrimoine de
l’humanité de l’UNESCO. Dans d’autres cas, on constate un grand oubli des sites dont les dégradations
sont importantes voire irréversibles. L’étude et la protection de ce patrimoine unique sont donc des
priorités.
créations des peintres est-africains sont plus inspirées par l’art rupestre de la côte est de l’Afrique avec
une touche occidentale. L’originalité des tableaux de l’art contemporain est-africain sont très connus
pour son originalité liés au mixage des technique et les matériaux recyclés.
émontrant toutes les qualités artistiques des San : "Les peintures vont de simples monochromes aux
polychromes complexes avec estompe, type souvent considéré comme l’apogée de l’art rupestre de
l’Afrique du Sud. D’un autre côté, les gravures ont été réalisées par trois techniques : piquetage, incision,
raclage".L’art rupestre est un "témoignage unique qui met en exergue son mode de vie et ses croyances",
le chercheur sud-africain est allé beaucoup plus loin en concluant que ces peintures et gravures sont
liées à des rites chamaniques et qu’elles représentent les visions des chamanes pendant la transe.ient
des minéraux broyés. Grâce à un roseau ou un os creux, ils soufflaient les poudres de couleur pour
représenter les crinières, les poils, les pelages.
L’image du peintre noir « authentique » pur à la fois d’un point de vue racial et stylistique est retrouvée
aussi dans les comptes rendus de l’exposition d’Albert Lubaki dont les peintures ont été présentées à la
même période à Paris. Pour examiner plus en profondeur , le contexte de l’époque, on doit commenter
brièvement l’itinéraire de ce peintre congolais. C’est en 1926 que Lubaki est “découvert” au Congo
belge. Georges Thiry, poète et fonctionnaire colonial a trouvé ce congolais qui avait fait les peintures
murales de la maison local, et il lui a donné des papiers et des aquarelles en lui demandant de faire un
tableau à l’européenne. Il en résulte l’organisation de l’exposition de 163 aquarelles au Palais des Beaux-
Arts de Bruxelles au mois de septembre en 1929. Les peintures rectangulaires de Lubaki, qu’on peut
désigner par le mot « tableau », représentent des hommes, des oiseaux et des animaux simplifiés, plans
et peints avec quelques aquarelles sur un arrière-plan tout blanc avec une composition sans relief. Il
existe tout de même un doute sur le choix des sujets des peintures de ce congolais car les
correspondances entre ce peintre et Thiry révèlent l’intervention de ce dernier dans ces choix. Cela veut
dire que les « peintures nègres », nouveau genre des arts africains, sont nées de la collaboration,
inégale, entre l’artiste autochtone et les colonisateurs qui achètent, envoient, exposent et propagent les
œuvres du colonisé. De plus, il est certain que les courtiers en art avaient l’intention de faire de la
propagande en faveur de Lubaki comme le noir « authentique » par ce processus.
l’Afrique du Nord, arabe, c’est à dire le Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie), auxquels on peut rajouter la
Mauritanie et la Libye (Grand Maghreb) et, bien sûr, l’Egypte.On peut penser que la peinture de ces pays
a été, plus que toute autre, fortement influencée par la colonisation, et c’est d’ailleurs à travers les toiles
de peintres européens, comme Delacroix ou Matisse, que le Maghreb est d’abord révélé au monde. La
présence coloniale des Européens en Afrique du nord et au Moyen-Orient au XIXe siècle transforme
profondément les pratiques artistiques de la région, en reléguant les arts traditionnels au rang de formes
« décoratives », et en diffusant l’idée d’une absence de culture artistique dans les pays arabes. D’où une
volonté de combler cette lacune culturelle, grâce à l’implantation d’écoles des Beaux Arts, au Caire en
1908, au Liban en 1937, en Irak en 1941 et en Syrie en 1959. On y enseigne l’art occidental académique,
autour de la peinture de paysage, de l’art du portrait et de la scène de genre, mais aussi tel qu’il s’est
développé au XIXe siècle, avec une tendance à l’exotisme et à l’impressionnisme. En Égypte, la présence
de peintres occidentaux et les communautés européennes du Caire et d’Alexandrie favorisent l’essor
d’un public et d’un milieu d’amateurs et de collectionneurs. La formation artistique est complétée dans
les années 1920 en Égypte et au Liban, et dans les années 1930 en Irak, par l’envoi d’étudiants boursiers
à Paris et à Rome – ainsi en est-il des égyptiens George Sabbagh à l’école du Louvre (où il est la pupille de
Sérusier, Vallotton et Maurice Denis) et Mahmoud Said à l’Académie Julian.Cette période d’« adoption »
de l’art occidental, du tournant du XXe siècle à la Seconde Guerre mondiale, se caractérise par un «
classicisme libre », révélant un certain hermétisme à l’égard des avant-gardes européennes qui se
manifestaient à la même époque. Toutefois, à partir des années 1940-1950, la notion de modernité est
redéfinie autour d’une problématique stylistique et identitaire. Alors que le mot modernité, hadâta, voit
le jour en littérature, dans le domaine des arts plastiques, le mimétisme et l’académisme cèdent la place
à un désir d’innovation et d’originalité à travers une recherche stylistique et formelle, mais aussi par la
mobilisation du critère de « caractère local », al-tabi al-mahalli, et de la notion d’« héritage ».
5-1-1 Origine
Le Vohou-vohou est un concept créé en milieu universitaire qui signifie “n’importe quoi placé n’importe
où, pêle-mêle” en langue gouro. Il consiste à utiliser les débris et objets usés pour créer des oeuvres
d’art. Né pendant la période coloniale, le mouvement Vohou-Vohou est partie d’une vague d’étudiants
de l’école des Beaux-Arts d’Abidjan, qui ont eu la chance de continuer leurs études aux Beaux-Arts de
Paris.Pour certains, l’idée de l’utilisation des objets venait du fait que n’ayant plus de bourses d’étude
pour acheter le matériel de peinture qui coûtait cher, ils ont dû utiliser des feuilles pour fabriquer des
couleurs et ramasser des objets ça et là pour donner forme à leurs oeuvres. Tandis que pour d’autres,
l’utilisation de ces objets était volontaire. C’est un retour aux sources, une valorisation du patrimoine
culturel afin de faire découvrir au monde leur origine avec un contenu différent.
5-1-2 Matériels et matériaux
On pouvait peindre avec n’importe quoi et les tableaux pouvaient être exposés dans les mêmes lieux
que les tableaux académiques. La gamme de matériel de l’artiste ivoirien s’était enrichie. Les adeptes du
Vohou-Vohou revendiquent une esthétique négro-africaine. Les uvres gardent la structure sur châssis de
la peinture de chevalet mais, la toile de fin fait place au Tapa (écorce de bois battu), à la toile de jute, au
collage avec intégration de matériaux locaux comme les cauris, le rotin, le sable etc. Les colorants
acryliques et huiles font place à des colorants obtenus à partir de décoction des plantes. Les sujets sont
désormais centrés sur une imagerie surréelle de dévoreurs d’âmes, de Komians, quand ils ne donnent
pas complètement dans l’abstrait, sans référence à quelques images connues que ce soient.
-Mathilde Moro,
-Esso N’guessan,
- Togba,
-Issa Kouyaté ,
- Koudougnon...
-Kra N’guessan,
-Youssouf Bath
- Yacouba Touré
- Ibrahim Kéita
-Désiré Amani
Titre Donnne-moi une
raison de rester
-Kra N'Guessan
Titre: La croix en Blanc et Noire et en couleur
L’école des peintres de Poto-Poto est une école de peinture fondée dans le quartier de Poto-Poto à
Brazzaville, par Pierre Lods en 1951.Sous l'influence de Félix Ossali, le premier élève de Lods, le style
Miké, qui signifie « petit » en lingala, se développe. Composé de petits personnages aux formes
schématiques et élancées, il n'est pas sans évoquer les peintures rupestres du Tassili. La mode du style
Miké se situe, selon Jean-Baptiste Tati-Loutard, entre 1950 et 1954[2]. Ce style, facilement
reconnaissable est encore aujourd'hui la signature de l'école. Il sera recopié dans toute l'Afrique[2] La
reconnaissance de l'école dépasse rapidement cette école conserve sa tradition grâce à la dextérité des
artistes qui se sont regroupés au sein d'une coopérative présidée par Pierre Claver Gampio.Cette
coopérative compte 15 peintres professionnels et environ une trentaine d'élèves peintres. L'Ecole de
peinture de Poto-Poto doit sa notoriété depuis l'époque précoloniale de la qualité des œuvres des
artistes. Après plus d'une demie décennie d'existence, cette école n'a pas perdu sa réputation.Les
artistes ne dérogent pas aux principes édictés par le fondateur de l'école, le français Pierre Lods. Ils
expriment, au jour le jour, la tradition congolaise et leur propre inspiration sur les tableaux. Ces artistes
transmettent leur savoir-faire aux jeunes afin que la flamme allumée par les premiers pionniers de
l'école ne soit pas éteinte.les frontières du Congo. La première exposition collective a lieu en 1952 à la
Galerie Palmes à Paris. La consécration a lieu en 1955-1956 lors de l'exposition au MoMA de New-York.
Elle se confirme en 1958, quand Lods envoie plusieurs membres représenter l'école de Poto-Poto à
l'Exposition Universelle de Bruxelles.
6-1-1Quelques artistes l'école de peinture "poto poto " .
-Marcel Gotène,
-François Thango
-François Iloki,
-Philippe Ouassa,
-Joseph Dimi,
-Nicolas Ondongo,
-Jacques Zigoma,
- Eugène Malonga...
Pascal sylvestre
Jeanou
7-1-1 Origine
7-1-2Technique de réalisation
Cette technique consiste à représenter les motifs sur du verre à vitre dans l'ordre inverse par rapport au
projet de départ. On commence ainsi par la signature et les détails avant d'aborder les fonds qui sont
traités en deux étapes : les contours sont peints en premier à l'aide d'une gouache, les surfaces ainsi
délimitées sont brossées ensuite.La vitre protège la peinture et lui donne son aspect lisse et brillant
caractéristique.La réalisation d'un souwère nécessite d'abord de nettoyer et dégraisser la plaque de
verre d'une épaisseur de 2 à 3 millimètres et d'une dimension de 40 à 60 centimètres. Le dessin est
effectué soit sur papier et reporté ensuite sur le verre, soit directement sur le verre (technique pratiquée
par Bass) à l'aide d'une plume ou d'un pinceau fin à la peinture noire, délimitant les surfaces qui seront
colorées par la suite.Tous les détails: inscriptions, signature de l'artiste ou détails qui sur un autre
support sont ajoutés en fin de travail doivent être tracés au début et inversés pour apparaitre au premier
plan et à l'endroit.Enfin, une dernière couche de peinture est passée recouvrant l'ensemble de la plaque
de verre: parties restées encore à nu comme celles déjà peintes et sèches pour "ficeler" l'oeuvre.Il est
important de noter que Bass a dans un même oeuvre utilisé différents matériaux comme le sable et
l'encre de Chine (portraits d'hommes et de femmes) et a parfois laissé en évidence la transparence du
verre en ne le recouvrant pas ("les enfants talibés").
-Moussa Sakho,
- Serigne Ndiaye,
-Fallou Dolly,
- Gora Mbengue,
-Mor Gueye,
-M'Bida,
-Lo Bâ,
-Alexis N'Gom,
-Sea Diallo,
CONCLUSION
La peinture
africaine existait
depuis la
préhistoire. Ce qui
je justifie à partir de
différentes
peintures rupestres découvertes dans différents endroits du contient notamment
en Namibie, en Egypte etc. Ainsi, La peinture africaine montre que son histoire
remonte très haut dans le passé. Cette peinture symbolique et hiératique
présentent des caractères à peu près analogues. . Chez certains africains de
l'époque, la peinture rupestre fut presque exclusivement emblématique et, par
conséquent, arbitraire. Enchaîné, dominé par des prescriptions hiératiques, ne
puisant aucun de ses éléments dans l'imitation. Cependant, il important de noter
que la peinture africain a connue une évolution même si elle a été tardive
contrairement à celle de l'Occident. Elle a connu différentes formes, différentes
transformation. Aujourd'hui on parle de la peinture contemporaine africaine.
BIBLIOGRAPHIE ET SITOGRAPHIE
*Bibliographie
-Jean-Baptiste Bacquart (galeriste), L'art tribal d'Afrique noire, Thames & Hudson.
*Sitographie
Wikipedia.org
Graphiste-webdesigner.fr
Rayon Beaux-Livres.com,
Artplastoc.blospot.com.
SOMMAIRE
INTRODUCTION
A-JUSTIFICATION DU SUJET
B-PROBLÉMATIQUE
a- Objectif général
b- Objectif spécifique
d- Question secondaire
e- Hypothèse générale
f- Hypothèse secondaire
C- MÉTHODE D'APPROCHE
D- MÉTHODE DOCUMENTAIRE.
5-1-1 Origine
7-1-1 Origine
7-1-2Technique de réalisation
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE ET SITOGRAPHIE