Comoedia Sobre o Ser e o Nada

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Comoedia / rédacteur en

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Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


. Comoedia / rédacteur en chef : Gaston de Pawlowski. 1943-10-
30.

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IDU171EIDI 5 ILIETTIRIE ,5
¡' 'j
"Lêtre

c
,
et le néant(
-

livre
1i
dL'après Sartre
x écrivain
'un.
XJette
] Noël sur l'Himalay^a
par
quivient
essayiste,critique,
variété
-•—*
Sartre peutêtrediscuté,
d
Jean
)
—••••••«
eparaître

GRENIER'
m
connusuccessivement
ontre
auteur dramatique,
dedansa dequoidéconcerter
est-,
s ous
comme
nouvel
un romancier,

contraintdele
aspect
-
•SUITE DELAPREMIERE
0
1

psychologue. N autre,penchéen avantet cla- hurlaient,


et éblouir.
consi- quantdesmâchoires,
--
PAGE leurprocession
nier roulement
à la foisdansle
secouédes quaient,se roulaient
autourdufeuqu'under- Nous
du
: tambour,
séparer,
l'ordrebrefdese 1vertige plongea
gesticulaient,
les
s
suivide
'entrecho-
:

journées
-
noussommes
v
despinsdémesurés
longues
ers Gangôli,
tous jour sur des valléesvertigineuses
ils déliraient,
aiguilles,
dansle feuen em-nes géantsbarbusdelichen. de par
à la têtechevelue
desforêts
f,
avancésà petites
balancéstoutle ILLUSTRES
sous
de
chê-
1 LIBRAIRIE

<
16,avenue
ACHAT
BEAUX
BELLES
Catalogue
sur
E
DE

den
I
DEL'ALMA
Georgt-V
Tél.BAL.
9
23-70

MODERNES
RELIURES
Parls-8e---I

PRIS NNif
TVENTE
| CRANCUA
DVRES

distribution
I
I
I

H
emande. I ILLUSTRATIONS
0
LAVIE
COMTEDE
GOBINEAULt
EXALTÉ

on épaules et des coudes, p longea bûcheset finissaient


quiaujourd'hui bientôtdansle mêmeabîme.Ils brassant les par Pins,chênes,les uns rayonnants ENCOULEURS DEj&A'ï
; ;
dérercomme un despremiers dela génération tomberçàet là comme lespapillons de
atteintla maturité.Uneprodigieuse
faitpastortausensqu'ila delaviequotidienne
information livresque
11a renouvelé
ne se prirent à bras-le-cou et sautè-
tandis uelefonddeleur JoyeuxNoël.Ainsi tourdeslampes. finitla fête. ,.-
au- droitureet de bénédiction,
écartelésen gestesfurieuxet peut-être
les autres HT3' LECONTEOM
les idéescourantes sur l'imagination quilui appartient
ceacuité en rentensemble,
culotte,pendantet qcrevé, ballottaità souffrants, s'évertuent à remplirdeleur LouisDucreux dédicacera « LA ~~;." ;t~:~:
propre, je crois, c'est surtout u ne grande i ntellectuelle qui contretemps. Les montagnards accourent de loin croissance multipliée ces espaces inhabi- PART DUFEU», accompagné
Madeleine Cheminât, Sabine EDITIONS FRt'f,
lui faitdébrouiller lesproblèmes lespluscomplexes, mystérieu-D'autres, cependant, agenouillés devant prendre part à cessortes de ré- tés et sans limites, ces temps queper- par
Angeli, André Roussin, lesinter- DELANOUVELLE
sementjointeà unenuancedeperversité quia faitpasserdans le-feu,empoignaient les braiseset s'en pour sonnene compte. 6no- 44,RUE COPERNIC - PARIS.,.
notrelittérature un frisson nouveau. frottaientle visageet la poitrine.Ceuxjouissances. fêtessobres. Nousarrivions lesoirauxsommets pla- prètes
vembre,
delapièce,
à partir lesamedi
de 16heures,
L'Etreet leNéantest unc
gique» c'estdirequ'ilsuppose
essaid'ontologie
uneconnaissance
phènoménolo-
approfondie de quiavaient gardéleursensse pressaient
secoursdesinsensés qui se ruaientpointà
Cesontdes
boire.L'ivresse
hautet va plusloin.
On n'y sert
vientde plusventsoù
Oyncassequelques
qués deneige,aux
nouscouchions
refuges ouverts tous
sur deslitsde
à ÉDITIONS
BALZACà la Librairie Odette
31,rueBonaparte. Lieutier,
dont au
la phénoménologie
il estImprégné.
allemande
Unmodedepensera prisnaissance,
dontil est
en
plusqu'influencé,
effet,il ya unetren- quicroyait
Husserl. Comme
;
danslesflammes
l'in- sauvéretournaient p rendre
ou del'autre
le précipicemaisparfoistel étaitpris miches
et le sauveur
côté
e
vers
t ie
de sucre
les morceaux,
Ceux qui sont
brutet
c'esttout.on enw'
entrés dans
distribue
la
feuilles
dansejournée
sèches.
m
« Voustiendrezlesilencetoutela L. et 1 FOURNIER Cie BERNARDFAY ?
tained'années Allemagne
enlaphénoménologie
;;
avecEdmond dansle feubrasdes- l'apprennent le lendemain par leurs amis. », me dit mon vénérable ami
due

comme
sonnom«
décrireleschoses
rationalisme
donnée
qu'ensuite,
-etauquiapparaissent
citéde l'esprità comprendre
criticisme
et l'accepte sans
» n'a pourledosà
elletourne
quimettaient
discussion.
lorsqu'ils'agitde classerlesdifférentes
d'êtresetd'expliquer leshiatusquilesséparent.
ambition
enquestion
le monde elleprendce dernier
Ladifficulté ne
quede sus brasdessous.
l'ancien
la capa-toujours
catégories
ronde
vient laL'homme
cohue.
et dansla
Le tambouren levaitIls n'en gardenteux-mêmes
d'autres,les poussait
fournaise.
auturbancirculait
Parmi c esgens agités
dans la venir.Ceuxquise sontjetésaucun
libredansbrûlure.
par les A un, moment
affres,lui seuldansait.Maîtrede soi,s'étaittournédenotrecôté.Eneffet,non quine soit brahmane,
Entoutcasc'est maîtredujeu,beaucomme Shiv,
;
au feune
l'hommeau turbandédiées
sou-comme
mandernous
gardentsur le corpsaucunetrace de bonnesraisonsdefairepénitence.
arrivions.
raison,puisqu'on
J'obéissansde- «COLLECTION
A Gangôlise trouventdes cavernes Dumême
à Shivoù nul ne
a VERTIGES. NOTRE
toujoursde
peut
auteurs
où nul étranger
CHEMIN )
entrer
parOSWALD
TERRE
RENE
: DEL'ANCRE
DURAND
NOIRE
MARCHAND
j?

*
i l dan- loindemoi un jeune brahmane donnait n'a jamais misle pieddepuis
64.
q ue l'Hi- LA NUIT V ERTE

LE
un retourà « l'être » alorsque depuistroissiècles la philosophie saituneespècedeTandava sur la fouledessignesd'agitationmaislessiensle malayase tientdebout.J'y fusconduit Chaque roman : 33fir.
^nJV j,< 85fr.
uvaitaccordé leprimatau«
PourSartrel'êtrenese distingue
connaître ».
pas duphénomène en
(delà monde.
ruine et sur cet incendie d e findu retinrent
malheureux
les épaules
parfrémissait et,
comme
tandis que avecun grouped'unedizainede brah- ~S~ St-Germain-î«
le boulevard SS
pois-
ucrièrent
n manes. Lesgardiens du lieu me dis-
le sous-titre de sonlivreparadoxal
et parlà il estd'accord avec une
par son
grande
alliancede mots), Faisantgaloperles baguettes
partiedenoscontem-plaque depeau,ils'avançait sur lasur
la
pointeson des
horsdel'eau,maître lesbrahmanes
du jeu.Celui-ci
tinguèrent pasbarbedesautres,vune le masque i
HEINRICH STROBEL k
porainspourlesquels iln'existe rienqui n'apparaisse -oune doivedespieds,fléchissait menaces
le genoudroit,pi- crut bon,non sansdésinvolture au duhâle, d ela et dusilence. S
apparaître. Cecine signifie l'apparence de votaitsur letalon gauche,traînantle gnité,de se tournerailleurslaissantsa tard et di- « Je ne voulaispas, m'expliqua plus CLAUDE
pasque neposepas
pointd'interrogation,
réalitéquien seraitlefondement, car, même s i elle ne renvoie
mêmesiellese surfitàqu'on
à une tambour
pas elle- remontait l'herbe en rond,
sàurla chargela têtehauteet victime et
fondaitavecunnou-nances.
puis se débattreauxgriffes monami, vous
desconte-depénétrerdansun lieusi saint.D'au'
trepartje ne voulais
priver d u
pasmentirni vous
bénéfice DEBUSSY
même,encorefaut-ilremarquer que la reconnaissance la boucheouverte, J'appris étonnement
avec quele roi séduc- quele fairementirformellement. Je nepenseIABYRINTHE
prenddechaque
: le problème
renceduxx*
a pparence n'épuise pas
del'êtreseposedonc,et ainsi
la réalitédecetteappa-
la phénoméno- veau
résister.
grondement sur quiconque osaitlui teurenturbanné,
revêtu de la gloire de Shiv de la
était
fête
un pasquela
tée à péché
fraudeme puisseêtreimpu-
1 traduitdel'allemand Il
je suisassuré
logie
réhabilitant
il
qui,
soidemeurerait
1, d
sièclese sépareduphénoménisme
la preuveontologique.
itSartre, : ;
estincréé car
unmoded'êtresubjectif
s'ilétait
duxix8siècleen
Il existedoncun c être
conçu p
etleseulfaitque
arun
en
sujet
C'était
dait une
desfrissons
n grandséducteur.
uscience
qu'ilfaisait
l'être rêtaiten piaffantdevantun homme
n aître.
Il possé-Tchan-dai,
précisede la directionchablemêmeauxintrouehables.
S 'ils'ar-
dernierdes
qui, Un peu plus haut que Kôtwalgaon
mortels, i ntou-
nous.
d'en convaincre
c
il
ar
Brahmavousêtesun brahmane
M ais n'est pas toujours
lesgensquinevouscon-
q ue
p
devant
commeICollection
ossible de | mil
Romans Policiers.
parANDRÉ
~-,__
CŒUROY.
1ÉDITIONSBALZAC
50ir. !
-
existe,-en facedeDieusuffirait pour montrer qu'ilne peuts'affir-la tête entrelesgenoux et lesjambess'élève un des temples lesPlussacrésde d'éviter naissentpas.J'ai donccru préférable
mercomme tel quecontresoncréateursansquoiil se oonfon-embrassées, semblait dormir,c'étaitqu'il l'Indedédiéà Gananath(2).Monami On tglisse outediscussion.
dansla caverne > les uns t Anciennement Ca/mann-Lé
- draitavec lui. Une analyse exhaustive nousmontrerapourtantsavaitseul. ce qu'untelsommeil couvrait craignait étranger,js ne fussepas aprèsse
'etqu'ilexistemonde
joindre Le
deuxrégions
celledu fait (ouphénomène).
? que la
d'être:•celledela pensée(oucogito)Eneffet,l'homme
conscience
Comment
puisse
lesfairese re- déjàravagéepar l'horreursacrée.
s'interroger, nier et le fouaillant et le
levaitbientôtunefaceadmis
tisonnant tt coups d e
que.
"dansl'enceinte
Alorsau contrairefêté avecles honneurs
intérieure.
LeGrand-Prêtre
les
J'y fus ventresur la roche,
les
autres
dansl'obscurité.
parun étroitgoulot,le
les piedstâtant
On s'enfonce ainsijus-
~p—~
plusinattendus.
le jetaitdansla tem-son frontsur niespiedset se relèvantqu'au appuya cœurdu mont.Puis,unetorcheà LA
mêmementirpose
ainsiau «poursoi» et c'est
sa mise
au «néant en
> question
qui
leproblème
quese
apparaît
Par.une
constitue
dégradation
à traverslaréalitéhumaine.
mêmedecequiestsurgitcequin'estpas,et c'estcelalaliberté
;
dunéant.Del' «ensoi»onpassesons,le séducteur
del'être,par pêtedivine.
la consciencecelagrâce L'un aprèsl'autre lv -forcenés
Aucœurbaientroideset commemorts.Avec
: gnonsgrandeindifférence leurs
tom- la
répandit d es fleurssur
qu'onne reçoitpasCtousles
sited'un mahatma
:
ma
Europe.
tête
Il
c'est
m'invita
à « prendrela vue» du suiedestorches
la
joursla vi- rêtrocheuse
re,
main. o
lesbanyans,
n descend d
parmilesbananiers
ans une
les lianesde pierre,
a toutfaitluire
couvertavec
noirefo-
depier-
La ijS.È
les .P.E 49,RueLaugier, Paris
COLLECTION
VIE
ILlUSTRËE
EXALTANTE
DE

« l'aréalité humaine est libredansl'exacte *mesureoùellea à plus lestiraienthorsd" champcompa- par


donclui-même
les SaintdesSaints,et m'introduisit jus- siècles, l'eauquicuinte lesblocs
être son propre
autantque la conscience
sedéfinissent
Elle
néant »peutl'être ;
estdonc
tousparleurfin,erévélant
universelle et illimitée
tousmesactessontlibresd'eau.
tl'avenir
piedsetleurversaient surlatêteunseauqu'auLingam
la première
seulpeutdonner QuandIlsfurenttoustombésleséduc-re au sommetarrondinoirciepar la sur sortirdeces
deC
fois.
Shivqueje voyais
'est u ne borne d e pier-
sombres
Au
comme
pourtre leplussecrethabiteleLingam. d u bronze.
ténèbres
Dansl'an-
onse retrouve L'OR BLAISE
<
CENDRARS
car ils signification
unefait à monpassé, enme j'ai ceque jesuispar teurchangeadejeu.Il avisaun groupegraisse.Lesguirlandes de fleursblan-courte un vaste plateautapissé 'd'herbe Vendez vos livres
le que' j'ai choisi, c'est-à-dire que nié. Liberté, choix, de pariahsqui,plus éloignés du foyer,chess'entassent sur dubordduquel
destablesdepierreunevalléededeuxmillemètres l a plane
vue de sur SCOLAIRES ETAUTRES
néant,temps,sontdes termesévaleur
quivalents. Cettelibertéfonda-avaient
quila.dépasse affectéjusqu'icile détachement et des mèches brûlent.Le temple est et pardelàcetabîmeverdoyant fond GIBERT JEUNE ILLUSTRÉ
mentaleest-elle soumise à une ou biense et quiparlaient
?L'auteur et riaient e ntre eux. mi-grotte m i-muraille mi-blanchie à la tre unemuraille rencon- PARSAUVAYRÉ
prend-elle elle-même comme sourcede toutevaleur Il lesrangeal'underrièrel'autre.Cha-chauxmi-rougie au guérou. Unpan de ferme desixmillemètresqui

,
renvoiela réponse à un prochain ouvrage, mais il semblebl'al- ien cunentoura le d
de sesbras corps son jungleformele e toitdela grotte.Desré- l 'horizon et barrela moitié d u ciel
quel'Oreste
ternative,
- nouveau
ausensgidien
en
des«Mouches
s'affirmant
sansque
>
comme
pourcela.
dumot,bienque
penche
son
pourlesecond
auteur r esponsable
actesoitvraiment
Sartreaitsubiassez
terme
d'un
demondeprédécesseur,
gratuit
«fortement
l a encorebien se
D
longue
bantes
chaîne
qui, d
fit serpenteque
Il en formadelasorteuneservoirs
ès
molle aux
letambour
t ondoya.
loques tom- te luisent,
de maçonnerie
eutrepris,le unesourceentremêlée
Ils chantèrentcôté
en
lespèlerins
contrebas pleinsd'eauver-portant
etd'en
fontleurdelianes.
cuisine
haut cou-
D'un mortels
et cellenôtrevivent
l'écrasante
despierreries
d
desneiges
'uneespèce
tout nustrouvant
é
plus [nans'
massedesperleset 27,quaiSt-Michel.
ternelles
pureque
oùdes
la
dansla MMITHYDE
ODE.
MONNLERËTIH
57-32 JOSEPH
L'ESCADRON PEYRÊ

! zi,
l'influence deLafcadio etdel'Immorallste Maisil'emporte paroleet dans lesouffle l esétemels
-. plusfortement subil'influence deHeidegger, qui une. complainte
mêmenantedontle mouvement
d'abord basseet traî- dudieudansdes
allaits'accé-l'autredes musiciens
bassines de cuivre,
embouchant
de
des fitsdu sacrifice pro- BLANC
debeaucoup
Influence à la findel'Ouvrage
donneAr-3. conception sur -celle
de la liberté
deHusserl, et cette
un toutautre Seigneur lérantet quidisait : trompes qui descendent jusqu'à terre, s e Nous
et seigneur
rejoignîmes en Almorale frère
de monamiet sa familleet
J~a}ra<e~
Entre - c'est un
parenthèses, -—curieux
-. destin— celuides -- < et
- idées. Puisquectouslese monde
fruitst'appartiennent
*est ton jaïàl%— relèvent poussant en coulde
urr
et finissenten bec nous
sonpérlitfe, trouMe e t stu- plaine. nousacheminâmes ensemble versla ILLUSTRÉ PAR PIERRE NOÉl
que au boutde chaque ils sautaient
(Je de côtéd'un piedsurvl'autre. ers péfiant.et frappentdescimbales. - LE
Sartreprocède
m sautelesintermédiaires).
i déchiré,
deHeidegger,
intelligence
11estavecl'Allemand
et Heidegger
Orilestdifficile
»
de Kierkegaard
d'imaginer
moins« raisonnablequelegrandDanois
BaaderetleFrançais Lequier
cœurplus n'eurentpas longtemps
des : bercerainsi,rs n'avaient p as
M aisils
le.loisirde sa deaude verdure
achever
Unsingegristraverseen éclairle ri-
pentedu mont.
quicachele cielet la (1)Denoël.
(2)Gœnésh. >
éditeur.
LANZA
BERGER
delVA$TO.
NOUVELLE
'W
LESÉDITIONS DELA'
FRANCE
ab esprits
»tielie,
quiaieàt
redécouvrir
laplusmystique
laïqueetraisonneuse
su,à traversdu
le côtépoignant
penséela plushérérodoxe,
a donné
auprès d e
visionromantique
unechristianisme.
la plusdésordonnée,
naissance
laquelle
undumonde,
Et voUt,
à unescolastique
celle d u XIV" paraît p
rares
quela
la pluspersôn- LESLIVRES
sage, Jean Bersier : La Litho.
leine
Taches d'Encre
nC - LES
de l'Opéio de Paris
BALLETS 1
rom.n
44, RUE COPERNIC PARIS xvil

deverve,d'originalité et defantaisie. Leshommes crui o nt puis- graphie originale en Édition :


orljiirta'ô
pâmmént » etontquiont eu des.ma inimitables France. filail'es jésus.
Pimbaude«texisté Nietzsche* eu pourdisciples comme
des« existentia-IHIVITpagesdé texteet cin- IJrLeGrand Nousrecevons dela CompagnieViflhettes
1.2ÛÛ èxètà
etlettrinesde
, listes),etlepathétique
lès-seconds.
doutéest-ce
(Jean
une règle
des.premiers
Wahlenavaitdéjà
éternelle.
a étémisen formules
fait laremarque).
;
J-P. Sartrea-t-ilsuy faireexceptions'ils'est IhLStoire
par
Sans quante - deux reproductions
admirablement
donnent unevue
choisies
cavalière
qui de10.000
depuis 1
francs,
938).
deetc.),quiestinspirée
Prixlittéraire
s
Touteera décerné
œuvre
del'Aéro-Club
au début
c oncourtr
peut publiée
deFranced'unevaleurFrançaise
de1944
(
(ilnel'avaitpasété lettresuivante
roman, essai, noème,Vous avez
desArts
:
publié une
Graphiques
40
JULLIARD
lettre d eMM.
I& V.L5CAMPION
ex.
Édition pur
180fr.
filMUMérOté$'
courante.
410
••fr. fr. f
Aumoins
cruobligé,
"Vocabulaire,
pardéférence pourdeslecteurs
à la modedansleslaboratoires érudits.d'employer
dephénoménologie le France.
réflexions
dela
deJean
lithographie
Pourêtreconcentrées,
Bersier.
en entripleexemplaire,
les
à lafols6,ruede
écrivains Galilée,
par l'aviation,
avantle25décembre
ParisCedélai epst reporté
art. p
depuis
prochain, 1939,
au25janvier
euvent
et envoyée
à l'Aéro-Club,
pour l e5
Brianchon
denotrelivre
deParis » ,
et Cassandre
de «lU,Ballets
L * sequana
éandre
au sujat
del'Opéra
Vaillat,
I

I
il a su éviter l'écueil quiconsiste théoricien et praticien, n'enontœuvres prisonniers, qui,d'aube concourir avecdesdontnousavonsprisconnaissance

II
à traiterlesdélicats problèmesDas moins deprix pourlelecteur inédites.
eo.ulevé parMarivaux
Trissotin,comme
etMusset danslalangue
on le fait parfoisdansceslaboratoires d eVa-dius etde qu'il v eut i nitier. :
Lalithographie ®Le roman policier. « abondante
Lamort numéro, partiecritique complète
avec
tous ldes'autant
artistes plusdesurprise
dontlesdécors que«
(exé- REVUE MAGAZINE ILLUSTRE
analyses de lahonte, dela mauvaise foiparexempleou Ses
encore souffre dedeux p réjugés elle p
quis'impro.asse se lève à 22 heures' —
», leroman où
dpce et Renél'onverraGeorges cutés p our d esballets del'Opéra) I I PARAITRA LE

t,
'de l'existence pour unmétier facile, MmeRenée figurent danslevolume, ontétéin- HENRY
duregardcommeréVélateur d'autruisentdes vise. luireproche en somme Gaudin quiobtintle Lorris Tavernier s'opposer
la
modèles MofSf,VU^étudequimériterait
l.aavec elle mettraiten lumière cenomen ferait des e eton
ffets qui
dpceux n ediffèrent
ducrayon. pas beau-
C'est
Prix
là Editions
Ariane 1943, vient deparaitre
Jean-Renard. dans u ne
Chezle la perfection. sur
oolémique lestvle e t
vitésàolaprésentation
del.', uvrage, enmême
qui
de latemps
f utfaite
qu'à del'AcadémieBORDEAUX
française VENDREDI
ressortir
deDOSr
deSartre
profo-,Ideur,
reavec sesprédé
Prédécesseurs, entamerait" lesdivergences
discussion v coup contre q ue Bersier s'inscrit. Mé-aux même éditeur paraîtra LeCrime S Le dernier numéro des « tous lesartistes
l'Opét'a; <r M. B rianchon, Danse
qui a de
ssis- 5 Novembre
lesdifférents sensdel'être,surl'extension une
dela liberté,sur'a luiquilepratique
sur tierfacile, si l'onveut. mais c e- duCastel-riant », de «Morgin de Sud»
du est,luiaussi,
Cahiers
remarquable- taita cette r éunion, nous a longue- LES YEUX
la toutes avec u nepas- Kéan Les Editions Colbert ment félicités.
1
0.
prédominance
autres(«1homme tragique de réalitéhumaine sur les sionraisonnable saitQuelagrande litho-« L'Ivoire, oublient
». dudocteurpoèmes composé.
ment deLouis Onytrouve debeauxILn'estpasdansnosintentions
vouluquesignaler
estunepassioninutile») etc N"ousn'avonsgraphie
la richesse ases subtilités, une Il Mario Bérsud
polychrome Emié deLucien
etmouvants continuer une discussion au sujetdes
de
VOILES M SEVUK la JU8OOMUS*
du livre (1)Gal1imara,

-
Gallimard,, variété
éditeur.laitalterner de moyens spécifiQues. Becker (l'un des plus é et illustrations dulivre, signée d eM. SM Aaptcta
; LibraIrie ptdugrattoir,
dela pierre
letravail
ilpourjoueavec
o
dulegra:n
btenir
cravorsSiUnenouvelle
patiem- de La Reine morte
édition
». illustrée
deMonther-
desplussincères
poètes) : unenouvelle parmilesjeunes
déRené
L Caplain.
*trjd.
Mas-spectateuruirçce qu'il Noystyvons essayéde
estdonnéà V* ROMAN ÏM' •-
-
PRIX ESPÉRANCE Editions de
L.CU\ARD la Madeleine ment touteslesnuances, «
desgrislant.va paraitre Editions sat, d es
dû Secrétain, essais de Jacques Bevet, Ro- de voir,
A notretour,nousvousserions Littéraires ftj&tiq?*
lesplus l égers aux noirs l esplus Carrefour, à aux
Bruxelles, Les ger André C hastel, B. fr. Economique - -Artistique*
i llustra- donc t rès obligés in-
-
t Xlik<enMaM!e
1 de candidats
ïtAKOCp.
1 d" tué
nuewita
r-Ug-t
qui o
pour
etqui
ét»it t
nt
d'uncertain
f a.u
ait
di*oit
rop.
prix
T&lœr
remisa
expirer
nom-
ESPE-
que
desà
le
Ula-
fin
5 Place
J.LAMMUTSr
de laMadeleine. Opé.
i
profonds,
lecrayon
passe
28-86delalitho.
Mais
cesnoirs
n'atteint
enrevue
leblanc
develours
jamais.
lesmaîtres
etnoir, avec
quetionsencouleurs
Bersier
anciens
-Luc-
çus
moyen
dans
(Rappelons
âge,
l estyle
seront
et ornements,
des?Wniatures
deP.Stuyvaert.
quel'édition
?
con-
du
originale
Fondane
Lambert,
la
et
sur pardelàles»,
seille
dent d
Joë
Vieux-Port
eBrosses,
Bousquet. former
dans« TroisVEtjean
réunit
années,
Çtendhal etle
à
oyageurs
Mar-
bienprendre
deM.
leprési-aaoord
héros pourront
L
voslecteurs
éandre
la a Note
ainsi
debien
co»nqis$qhce
Vaillat
juger si
vouloir
qu'ilsveuillent
enlisant
desEditeurs
notre
4ulivre
é
tout i
J; ils MADELEINE
dition,
-
CILBERT H. IMpagM
despluie

le
grands
maillé—
kxMode,
maCinéma,
écrivain0
Théâtre
lesleSetenee6

-
i tion d<e E ditions court, m DirM- BEAUX LIVRES Albert Moreau etBoussingault. res- de « LaPeine m orte avait p arud'unroman dErnst Jiinger. enperpétuant lesouvenir d'une oeu-
tMM~xa e4édd4
extrême
Lîttérajrês
ddécembre et fr-
ereporter la suscite à sontouretuneexposition
toutérécente vientde nousdé-àvures
Paris, chîx
deMichel
Lefebre,
Ciry.) avecdesgra- IIIDeloinenloin,Pierre
Betten- vreqUisanscela,quelquesoitsa BAUDUIN li Sanouvelle inédite
.date an15 1943. montrer les jeunes n'enten- qufvitenNormandie, valeur, pourrait sepasperdre dans les de MARIE DERENNE


prixESPE- que court.
Beflpeitona
-RANCE quele
Semdécerné cetteannée dentpaslaisser en f. ah? leter- lflLevingt-cinquième
inés.. numéro deavec u ne luxueuse originalité,
édite,
un ai-
souvenirs,
Danse, ne fait
auxBallets honneur
de l'Opéra,
à la
et, I •
ponar'l*
l oampoeé
MM.
première
FlNCK
lois-par
de: -BREVrANO,
derinatifcut ;
unjury Ancienset Modernes rainlabouré
(Librairie
par
dos A
leurs
rtsd
P.duC. Claudel,
écoratifs.)
« Confluences
Prévost y
Hsnri »Rest
parlent
fortbrillant.
ambaud
deLouis
manach,
JeanCocteau
etCillet.
faux),
ou
des
!on
(mais iltrouve
contes
parait unpoème
que
deMarcel Béalu,
deenfin,
c'estundonné
à touslesartistes
decréer
cors,grâce
tesde aux -
desmaquettes
recherches
à quiilest
dedé-
constan.. UB
ROMAN
36 fr.
PLONbmS 1 52paffM i feix 1SJ
(1 deLA VARENDE
del'Académie Concourt ; François Mauriac .consacrera
étude.
Charles un album
Unecu-teslittéraires.
de portraits et dedevinet- : M. J acques Rouché.
ii, .c <_
— mel1 atHERON.
i»uir
destiné
destiné
roman
à„.i*
DE à VILLEFOSSE,
récompenser
historique
Jeunesse.
le
inédit
DANS LA VITRINt.
* i
duBosunefervente
rieuse
sine
vre
nouvelle
avec
deGaston u n
de Noël
extrait du
Bacnelard.
Devaux
prochain
Quant
voi-d'huiunede
li- « Abatages
à la sentation
etc.Ilpublie
sespropres
clandestins
-
fortplaisante
: aujour-I
œuvres
d'une
», plai-
si
pré- ULIBRAIRE D nouveautés
L ES ouvrages dediffusion scien- une haute érudition scientifique. t poésie, est elle représentée par sante à vrai d ire quel'on est tenté des pins récentes, aussicelletainespièces,
tifique rencontrent auprès du Lesauteurs, quiontleursraisons Eluard, Aragon et Emmanuel. Unedes'entenirlà. quiexige leplusdmais econnaissances ple,onrelève
lerouet, par
brusques exem-
césures- ROMANES
lecteur
affirmée. une faveur
Chaque maison
toujours
pos- —

et ces
ne cèdentraisons
en
sont
rien au
e xcellentes
désir d e diverses
gie et depatience. L'ethnolo- comme si,
del'effet
sous d'une in- Collection"LES ROMANS v
sèdeune collection scientifique èt « vulgariser ». Cequi ne signifie Les collections scientifiques par nepeut s 'édifier
l'accumulation effet
en masse que fluence inconnue, un mode de per- POMPIGNAN
Vient
deparaître ? même quelquefois deux trois.
oparaissant
u A pointqu'ilsécrivent le langage considérable dune fectionnement irréalisable jus-
telpoint qu'un ouvrage spécial destechniciens. Ilspensent ticulièrement dedocuments. Etpar- qu'alors étaitdevenu toutà coup LAMAMAMOUCHI
hors c ollection semblerait une ano- seulement queles sujets d ont I ls parée, la technologie com- possible.
L'esprit
HENRI malie. Ilfautreconnaître
lesavantages
d'ailleurs
decetétatdefait. traitentméritent
leur a ccorde le lecteur
quespécial
effort
qui
meet iq,Matière,f aitlesujet deL'Hom-
ToUvrage deM. decette estporté
évolution
à
cellerapprocher
desêtres a 34 fr.
1ROUSSEAU L'éditeur un de Maurice DAUMAS Leroi-Gourhan. vivants. La biologie moderne a ex-
demande àun savant de compréhension. De même que par Desmilliers usuels pliqué variations
leslathéorie brusques de Collection LES FLAMBEAUXD'OR
prendre la direction
tion.Et,suivant la
delacollec-
personnalité l'amateur
devant un
depeinture
tableau, celuisede recueille
musi- L'un des plus r écents aspects de nent s oin oeprésenter,
répandus
que les à lad'objets
hommes surface duglobesont types parLe
degènes. parallèledesmutations
entre l avie JEAN BAROIS
decesavant, lacollection possède detempsservice ontcréés pour leur desobjets
par Roch Grey dépendque met enœuvre toute sasensi-
Préfaced'AndréSalmon davantage
uncaractère
genre
fraction
s'adresser,
particulier
dela conception
spécial
dupublic
duchoix à qui
qui
delittérature,
l 'on
dessujets,
dece
désire
plu-
bilité.
facultés
gie. l
lelecteur
Desdeux
dela decette s
'autre d
fera
intellectuelles.
plusrécents
érie,
a
l'untraite
esciences
ppel
d
à ces
ouvrages
ebiolo-
la question,
frit
Georges
carences
: nousle trouvons
danslelivredu
Mouriquand
alimentaires
G.
professeur
Vitamines
(1). et l'intérêt
Mouriquand
autre,cesétapes
dé- àspéciale.
D'ailleurs,
ment, il
d'uns'iltel
suffirait
au public
livre-en
dedire ce
que
non peuvent
fallaitjustifiercompliquées,
mo- le
métiers
ques é à
qêtresimples,
uotidien.
associant,
tisser,
lémentaires
Leurs
comme
plusieurs
dedisposer
formes
maisaussisieurs
techni-
de
escuissé.
les plusloin
ches d
et celledrevient
l'auteur
reprises,
que
usommet
v
esêtresétant
Il montre
lestechniques
dela
à plu-
unpeu LENAPOLÉON
pro-
hiérarchie
MAHOMET,
DU CIEL
humaine.Le naturellement professeurpréoccupé professeur Mouriquand a replacé, de ne sontinventées 50 fr-
132 reproductions de tôtqued'uneunité
forme
auteurs. que l'on
depensée
demanderait aux
Lagénération
ou chercheurs contemporaine
quis'intéressent des iweet
aux laquestion en médecin. Enméde-
de avecjusteraison,
vitamines dans leproblème
celuiplus
lamatière.
des cesobjets
générairoi-Gourhan;
C'estauclassement
que seconsacre M, L e- par
sont lespeuples
e
queouempruntées
lorsque
nétatdel'utiliser. ceux-ci
des vantl'interrogation Et.de- Collection
e L'ÉNIGME
dont4 en couleurs sciences biologiques seulement IlLEMOT DE
Ainsi, nonseulement le lecteur c vivre » estentrain
entreautres de cinqu'intéresse
questions vation clinique
davantage
quecelle
l'obser- l'alimentation.
dulabora-de La recherche objets. maisd*non e$techniques debUe quepose une

j
format24/31cm. setrouve m isen contact l es celle
avec faisaient d esvitamines. Lesvitamines toire. L'expérimentation prend del'équilibre
va- grands alimentaire estun des adoptées far leshommes pour u ti- telle constatation il suggère ?
Qinerentes disciplines scientifiques, partie, dansla première seulement
leurl'observation comme complément soucis decetemps.
desfacteurs dé- *User
L3con- lesmatériaux qu'ilstrouvent te l'exercice
technique, d'un déterminisme ARMAND LANOUX
1 mais
touslescelles-ci luisontoffertes sous décade de ce siècle, decetindé- de médicale. Ç'est naissance
pend c et équilibra satisfait
dont
CU. Monleurdéposition. Cetteclassifica-
plan nisme comparable
biologique, avec audétermi-
autant d 'em-
Tiragelimité
à 1.000exemplaires misea jour
présenter. aspects Qu'elles
Descriptions peuvent
techniques,
terminé
mination
alimentaire
disait dont l adéno- donc
bienquel'onigno-tionenvisagée i jne mise 4 jour d
au point
ela ques-
de vueriQSîté P'une bien
façonlégitime.
générale,
une
:
la lecturemaWère
e stétablie
quisuitlesmoyens suivant
d'action unsurla piétement.
tantd3netteté
tf.\r.Bt
d'exception, maisau-
l'ensemble
LA CANADIENNE

i«4\-
desconnaissances ac- rait'sa composition, sinon s on im- Wechifliiqu* qu'il n ous présenta ici de percussion, feu.e*U. sur ». ASSASSINÉE
Prix: 1.250frs - àquises, travaux
peineentrevus.
philosophique,
de toute actualité
développement
relations
portance
premières
entredes deEijkman.
dynamique.
découvertes
lesujetcde
Depuis
deFunfc
'acasse
les 940de cASrévisions
et périodiquement
48 maître en place
d'ensemble
nécessaire^
lesacqui^ttoi^ pour
deslivres
ip grandLebesoin
préalable.
ré- oblige
médecine
public nous
écrits
derester
p our rorce e
paraitpetl 4etkruphysiques
clair i^esmatériaux.
tsuivant les différents
et
ca-
structuraux :
mentsapensée
choseslorsqu'il fe développe
écrit «
d'unplanphilosophique
pleine-
Prenant
RAPPEL les
très 28fr.
- problèmes différents, progression se développer. Il est ceux q ui cei?t$s, auprès de4 anciennes don- auteur4 s'en tenir 4 des Paradoxale est l'histoire decette1 vaste, onestconduit 4 poser que
Galerie^ d'ensemble, répercussions socialesen troisanschangent
deuxoulittérature nées. dontquelques-unes, périmées. fdinéraUtép quelelecteur interprète Hache trèsusuelle appelée hermi-ledéterminisme explique lestech-
RENÉ DROUIN certaine
Lelecteur pourra
probabilité faireétatd'une
tle
rouver
d'aspect. La - ainsi doivent prendre figure nouvelle. tropétroitement.
n'est prétexte qu'à
Souvent lelivrenette.
soutenir une
Ala findu eix,sutilisaient
populations del'Alaska
iècle, niques
les 'l'invention
et leurs
ne peutinstrumente,
faire
sequelquehors que
4e Collection "MER ETOUTREME

ji E-d"
17,PlaceVendôme
Éditions .,TEL"
- 18,rueSéguier
réponse
occupent.
dirige M.
aux
Lesouvrages
d'Aujourd'huiA ndré
BBÀIIXLIVRES gistes
pour
Questions
George
»,se
aui
delacollection
«
la que
nré.
que ce
Sciences
distinguent par
noter
l'onditmaintenant
blication
danslesrevues
que
plusieurs
chimistes,
de$travaux
spécialisées
sujetestconsidérable,
lesvitamines
disciplines
delapu- Ainsi
o riginaux
intéressent
scientifiques
biochimistes, physiolo- :
Un peu
sur tenirl'attention
Il—faut Nous
sonintérêt
Puisque
cese crée,
traité,lesujetestparfoisthéorie
ardu,
nefongeons
sous
mais

n
p
i lmérite
dulecteur
pas
urement
os yeux
comment c
de re-
technique.
ette s cien-
sauriens.
peuvent
dont

documentée,
re à donner
s euls,
apprécier
cultivé.cetteétude,présentée
seulement à coupd'objectivité
Je.ipécialistes
l'originalité.
fivec
etabondamment
contribue
lecteur au
au alimentaire.une
Or
contrai-
notion
une
tive
herminette
en
beau-sinsimmédiats
premier
me hache
pierre,
siècle
d
de se perfectionner
tout
alors
denotre
ebronzs.
à
que
faitprimtr
leurs
connaissaient
èrelamê-
qui
v
necessa
qu'ils
sans mal-
oit
au
certaines
Préméditées.
VENTV
Editions
y Liste
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JEAN D'AGRAIVES
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3fr vue.
Marseille
médecins considèrent
selonsonpointde ---A -ces nous p as gré aux
nequi
auteurs p ren- exacte
l'exposé
duproblème
devons
Nous éléments
des
à M. L eroi-Gourhan
d'une scienceces
prêtent la
gréIrséchanges
différents
moindre intention,
continuels
peuples.
voyée
entreTROIS
mensuelle
surdemande
MAGOTS.
d'ouvrages
àlaLierares
60av.LaBourdon. Eoeblbert
en-
DES
-,(1)Albin Michel,éditeur. originale, quiestsansdoute l'une Dins laligne d'évolution decer. nais. TP! 41-96. 6''ved~ PAI!IS
(ov'C~,
ILlE S SPECTACLES.

4
I
A
4
GRANVAL LASEMAINE
décorateur
,,

ftI%tleur
rn
telent,
Q*nvai
tre
14t8r

""tés
par
quittés,

dessinateur
tibilnelle.

d,rançaise
C;qrt'ière
mérite
Granval,
trtFrançais, fit

v?rra desensibilité
utlqb
,souffrit
la
assez
tt|védesoccasions
sans
carrière.

Onl'essaya
hovéde1914 de
teté, un mordant
uîh*le réflexe
lecomédien
ette8vingts'est
etIIrla noirceur

Ciéo
auxpleutres
*joignent
Il,, bouffons
a

d'acteur.

se
d
quiétait
ses
leConservatoire.
ailieunsecond
Jean NEPVEU-DEGAS
LAfindu moisdejuilletdernier,
âgédesoixante
et importante
aveclui.Acteur
en scène i

vite,
doute,

ns.
Ainsi
d
figureduthéâtre

s
decomposition
nventif etsubtil,

quesignale
ufaitde
delesmanifester.
etelle
t.'e*iverala miseenscènedesœuvres
profonde.
t'es
Ptl
lUi
t Sonpremier
tsTartuffe
sedessine
juiavaitdistribué
btl'$
essai

danslescomiques,
survint.
dégager.

ou
Lorsque
ansà peine.

aigu,artistedel'écranenfin
e laisser
n
études
éà
Il
prixdecomédie
se déroulera,
Sonrôle
l
au
en
e
Rouen
souvenir
lycée
sort

exercera
'orientera-t-il.
chezMolière
quifutlegrandrôledesa maturité.
lacourbe de
lesjeunespremiers
son

Sontalent
quimarquent,
dedéfense
également
Débordant
latruculence
deMolière,
de Shakespeare.
d'uneautorite
lie à manierlacouleur,
j'ouvrelesdessous
a
son

ccrues.
:

en
aucours
deconcours
d
son
Charles

d'une
eCaen,
1904,
d
père
Granval
C'estuneattachante
contemporain
au jeuvigoureux
peintre
: e tdécorateur
à touscesUires.que,
personnalité
administrait
puis vint
âgédevingt-deux
étentreaussitôt
etrente
avait é
à

le choixd'untelrôle,Granvalrenonce
l'évolution

destin

au
d'unesensibilité
une
plutôt
de

quil'amenèrent
Granval

des
dessilhouettes
s
définitivement
ancien
'est
son
influence
q ue
quirépondent

revient,
lendemain
e
trop
éloigné
mploi,
canailles
Sescompositions
Granval
: se
à burinerletrait sonTartuffe
troubles,
lesplus endosser mais, d
a
enapprofondi,
aspect
Cettecontradiction,

avaiteu lieudansDamis.
d e
tendres,
comédien.
sur
le
Paris
aprèsà la Come-
années,
téFortunie.
physique,
l'évolution
d'ychercher

sapersonnalité

deLesage
caricaturales
souvient
'autres
gagné
del'épreuve,
vive.Physiquement,
ilopte
dela silhouetta
de

j
aux
LE VOYAGE DE THÉSÉE Ellelehausse

quidisparailqui
et nuancé,tefois
degrand
excen-
pré-
ans,
toute
Mais l
sa

des
es

à sa natureriage

u
(Mathurins)

nousa Thésée

et cst

ne
com.
franchement
ger

mette
(SUITE
Thésée
placé
Minotaure
l

Quelle
l'artisterapprenons
ville
ACTE
c
Entrecesdeuxsée reçud'Ariane
D'abord,
légarsou brillants.
on
auxvalets.La matin
a
Mais
sés
q

par
devenir

fats onleramènç
Musset
ont unesaveur, Levoici
qu'ilest
ours,
la noces
c'est
nousleMinotaureu
d

se
avec
remporté

rencontre
éserte,
découvre
aretrouve
laisser

d'épouser

n
ui

son desonadversaire,
aucombat.
p
semble

Lajeunefillsestd'abord
devra
enfin.
Théâ-qu'elle
h
éclate
notaure
pourcombattre
cesser
Cette
âte les
entre,
:
d'être

presque
aréourt
peu

joietombe
s'inquiète
choses
(quenousnevoyons
lestedéjàsaprésence)
une
DELAPREMIÈRE

quecettejeune
etlui
voir
une

Thésée
seralaréponse

compagnons
Z'1¡.n

second
d'eux,
courageux),
chef.Et,leplusviolent
plusgénéreux,
taure à laplace
les

mourant.
etdécide
Thésée
revêt
d

un
eux.Etlajeune
p
deceuxdontonattenddeplusvrai,quecettesoiréefutpourtou
aurangnouvelle
impatience

à peu
arle
'elle.
c
Thésée,
invisible
maintenant.
amour
:
et,en
aussitôt
rues e
aveccettejeunefille,quis'appelle
etdontlepèreestroidecetteville.
III.—Lemême
ommencée
vantl'usqge
etlecombat
dupays,
ngagedebonheur.
eles
deThésée
Arbias

ahaciue
œuvre.
j sontexte,Mathurins,
d'écrivain
sa victoire

n
la
haque
joyeuse
etQu'elle

pas
même
PAGE.) Bien
jeunefillequi,surunecomme
:
attendre s on
vérité
filleattend,
soir,

brusque

duMinotaure:'

(Vitlâche

Alors
qui s
amoureux.

temps,
parletambour
annonçant
soir.Lafêtedumariage
n'aura
lefildelaine
porter
qpas
aupoignet
s'agitent.
ilsfontdesreproches
Bouromi,
deThésée.
décide
Un
Thésée
à sontourd'aller
seul.Il appelle
'avance
q
d'appeler
instant
ui r
c'est
sans
à lapensée
celuiqu'elle
vite.C'estpourThéséi
L'approche
filleadresse
et

le

êve
unenchantement
Il a lesspectateurs
unevictoire.

Qu'il
,

Ariane,
lieu. Thé-
jusqu'au

interrompt
aucombat.
le Minptaure,
vers
foisl'apparence
l ui.C
d

::
exacte
e

ar
termine
c'estlui nes'enfroisse
t ou-
aimedernier
leconnaîtra
dudan-
violent
maisqui.nwni.non.
et pourles
pourflaacilité
plate
au
pure,imagée

à l'échec
acteurs
dramaturge

daires,
une'prièrequ'illuiper-réjouirla révélation
e
N
:
s
:
sansexcès.
remarquables
rianeetdeThésée
l'ouvrage.
i
l'expérience
mentd'unequin'a
d'uneinterprétation
texte tacteurs,
auMi-lonquele metteur
ous a
nousavonsaujourd'hui
Georges
en puis
cors,
choisi
être

défaits.
Pous*-Félicitons
mandé

sont
juste
Maisdistraire
n
paraissent
non
tacles,
à
Neveux.
Sous Ici,qu'onmepermette
de' Il y a d'abordMarcel
Ma- scènp,
bref

à leurne.Cejeunemusicien
detous,quiestaussile rôlen'étaitpasde« bruire
leMino-
plus t ard,
p

miseen

etcréateur
l'animateur.

aussi
Claude
il se contente
écessaires
elles
point,
s
naturelles
comme
artificielles
Qu'il
Il nousa donnéla sensation
u'ildoit,sui-parfaite,
briété,
à cause
desasûreté
M
d e

Pascal


'ajoutent
THEATRALE

scène,ne tombejamaisdanscette
quiséduit
contraire la
etla
souvent
phrase
pages
prière
MaisqueGeorges
oint
ellen'avait
desMathurins.
sa é
Nous

descostumes
acteur.Sonrôled'acteur,
à dessein pour

demain
s

arcel

faction

au
au
ê
l
pièce

Herrand
une
a
lespeclaleur.
r
a
esie
L'onciteraunjour
esadieux
u
servie
a vons
simple,
M :
soleil
serait
p
e
d'unepièced'unjeuneàcelle

costumes
terriblement.
vons, eu
pasrésistéà l'accable-

Ou
scèneexubérante
insuffisante.
det décors
ënscènetouche
récemment
d'<>iage
C'est
sont
élicieusement,
pournous
deStrjndberg,
la consécration
dedétailler
Herrand,

oitheureux
bon

musique
compris

texte
voilàleurplusbeléloge; elles
;
:
ar
u
d

q
s

metteur
etdesdé-
trepertout,
et
dela réussite
goût.
son dans saso- de
lechoix
d'avoir
» à toutvenant
deplacersesnotesosonnent
elles
s ans
làoù elleschantent
ilarrive
point
e n
d
A
d'autres
e nous
de
que

nïus
fier
'A-
qui

oli-
se-
justeou C'est
de lés

de-
scè-
sen
ùelles
en
et
spec-
laisser
Guize,

la
(Théâtre
CHARLES
Neveux n'estpointcommun
a llée
les
l'an timental.
Charles
et blic
ue trale
logue
que
aime
s

Luguet,
au succès.
centième
qu'ils s
L'AFFRANCHI

pièce
frères
Avec
deSacha
Méré
c
'adapte
L'interprétation
l'auteur
Gabriello

undesmeilleurs
il l'a blic
pour
«
parisien
Lesjeunes
priseet
L'Affranchi
veulent
déSnouvelles
faveur)
duthéâtre
Monsieur
VEC

Monsieur
le
d

«
m
ette
deconduire
o

en
MERE
Edouard-VII)
construite
u
ledouble
sur habileté,
ne
Guitry
ène

avec
s
ndulation
unes
lecasdeceluideCharles
:pèreet fille,
méritée.
ont d e
aura
»:
emporter
formules
animent
a écrit

Enroutepourla centième
Lesdécors
bonton.
spectacles

souvenir
uBoulevard.

Monsieur
quel'Odéon
est80rdeDalser
Brotonneau,
L
étéinvité
spectateurs
invention
ils
peuvent
ne seront
d'une
BROTONNEAU
(Odéon)
u
etvivante.

etd'Edouard
espersonnages
santausérieux,durireauxlarmes.
dans
pièce.
ouplesse
répond c
attendaitRenée
l
l
aux
ne
: rivalité
plan

Vitray,
l'œuvre,

quelegrand
quirecherchent
aller
pas
pourplustard(quand
théâtrales auront

Brotonneau
lèbrepiècededeFiersetdeCaiUavat,
vientde reprendre,
unebonne
prototype
À

la
séduisent
'ensemble

-
parfaite

f
ANTOINE
excellente
Son
social

»,
et
quis'apparente
sujet

Bourdet,
afaçon
orsque
duplai-
-.
Andréeieu-r

constitue

-Mary Marquet-
à voir. pu-
sur-
entendre
déçus s
conquis
'ils
de
pièce

lacé-
soirée.
dubrave
nées,
blaitpasprochaine,.
dedeuxqu'était

Lepu- ficeCette
t héâ-
ledia-
situations.
Mère.
ertainement à ce
Devillers,
Au

tre,une
portentqu'ilvaleur

s[}ill

F
L..
JARDIN
m
! Une plustardau'eile
CSSIbien,
tiede

son
venirs
Revue
àdeSlmsbounu,
l'Odéon,
généralement
sen- et ne luiapi-orta
Antoine
del'homme

enrichi.
l'abri
J'étais
n'avait, du
d'assister
façons,
aturs
pas

'en
Jedevuis
parceléressement
de
Antoine

etd'égùïsnie
PLEYEL'CHOPIN

grande

=::.. 1A,JUNOTMET
']:EDEN
on Y&é-spœtac&
15'et17H
se
accepta
Théâtre-Français,

l oin
(SUITE

maconnaissance
cette
vie.
Hebdomadaire
au Gymnase
j'enparlerai

enprêtant
représentation
dansl'après-midi,
besoin,
a unematinée
niais
lettrepour
un

quifut
lesmotifs
'-enieriMn.
biencei
qu'avait
d

DELAPREMIERE
histoire
Antoine
saduThéâtre

déficitaires.
directions
sestrouva
r ienpour
donc le
incarnait
qui réellement

deParis,
».
ei,enezlui,
dont
s
son
produisit
et éminein

demudiscrétion
immédiatement;
Antoine

la,'
a

ql

était titiavertissement..
hommage
donné
lucratif.

-
Sociétaire
romigntiques

10
DE
PARISIEN

-
l ine

Mercredi
*
:
de sesdébuts
l'a-lui-même
Libre» parus

uneautrefois,
ucune
fortdépourvue,
ubsister
cadeau p
iiité

IO
--
PAGE.)

d'une

maisjemy rendis,
detralatroptriste
époser eu
reluise personne
s^r-le-chainp.
etd'unegrande
écrite
e n 1921
qu'unesuite,sixansaprès,dans

nel'avait
lorsque
jusqu'à
résentable
l a

poijrmoi
cliez
cesontses Sou-
s'yrappelait
aullieâtre a
etquin'ont
Antoine,
insi q

que
cadreàunereprésentation
ue

carrière

?Jeiecrois.toujours
niais
fraternel
vietout e
il

delaComédie-Française
ft*
:

~&~~
citai i VIGNY.
CHENIER -
MONTMARTRE
: BLANCHI

touslesjouAsdt17Àl9!sMh:20.
neputcomprendre
au belexemple
ntière e
LUCIEN
Novémbpe,
xempte
«

DESCAVES.
17h.4É

-
LAMARTINE

OUIAMARCI
par-
e

luifaisait,
dadieuxeutlieu le31niai"HÎ41;
dequoi mettre
directeur
nonpas
leconcierge
Antoine
au
uLa
directes
sesbonle^ara
desestour-
laguerreflacrgfcie
enrichi,
paix,quiutnevenue
sem-

magnifique!
provisoirement
dethéâtreql¡esonmétier
detoutes
duthéâ-
a-ppréria-t-H-
'que
decjésin-
d'àpveié

"J
â|
r
&u
à

11
béné-
à
:-.
à dessein
:es
à
eît-il

-
etcettesurprise
te8tlnct delachargelepousse
testod'Escarbagnas ou celles d
à
ela duegne
lesfrusques
de « RuyBlas
delacsm-de
» que saforce.
Devant Thésée,
Devant
il
Bouroun,
estThésée, et
estlesecretpenser
il étaitBouTa/m.
a ssistons, fâcheuse.
qu'elles sontl'expression d'unemodehomme de souffre-douleur,
tainstraitsmari destypesdeCourteline t
rappelle cer-
dans« La -m

,|;
108t.Jt pasdésavouée Goya. Dans l e répertoire moderne, Granval se entre l efaux e tle vrai T hésée, nous
combat dont Puis, J ean Marchat. Enpleine m aîtrise, Il paixchez soi » ou dans « Boubouroche ».

i
à

j
touen8 vers Ibsen il futdelacréa.ionlevraiThésée un portela Piècesursesépaules, j'ailaisdire Avec unartetdesmoyens différents, l'unet IAVECLESPLUSGRANDES VEDETTES DEPARIS

AxL
Becque,
le
^erckens
vers
IlFoyer » Mirbeau,
; iljoue «
des« Corbeaux
vers
UnEnnemi duPeuple
le Duniesnil
»
; et
« Hedda
de« LaParisienne
Gabier ». tour s
». etin renonçanton
sortvictorieux
adversaire, en
ensurprenant
déchirant
bonheur. L'épreuve
àsonsur
lefild'Ariane
termi-
sonfront,à l'inclinaison
lapierre a ngulaire. Il
altière.Il est lesautres
f aîtière.
estla poutresauraitsentavec avec
distraient,
indulgence
amusent,
quiaveç
fustigent,
âpreté,
qui jarTriz,.tfetmektMes thmimahthe
et morali- à 0 2'19 HiHi
», est
't OOtte
CIe
En 1922, Granval
année-là
étaitnommé
justement,
sociétaire
tandisqu'on
delaComédie-Française,
s'apprêtait à célébrer ité,?,
letri- vaincre :
leMinotaure
soi-même.
au esttué levaincre. Il
c'étaits', construite.
adieux être
est
faitement.
celui s ans
Autour
quilabâtisse
deluitousjne ouent par- Latroupede l'Odéon
un talent s ans pédanterie.
nousa donneun A.- D.
centonaire deMolière, l'occasion allait l uiêtre donnée d'apporter à la ACTE Leurs r ôlessont sansétendue, « Monsieur Brotonneau » dignede sesau- BAL. 41-10 i

q
çTiédie collaboration d'unnouveau genre. Acôté de ses bottas IV. — Thésée, qui a fait ses à mais d ivers e t intéressants. Qu'il n ous s oit teurs. C haque personnage eWcampé a vec
m1. efonfl une Ariane,
avaittoujourscôtesdeest maintenant surlebateau, des
envue permis deciterplusparticulièrement Michel Sûreté. M.Chamarat, dansle
tk deteintetdesesbâtons
sous lamain lesaccessoires
de fard,
du
lecomédien
peintre etles crayons du carl- foule, sonpays.Mais leslamentations dela Auclair,
:
trèsen progrès. Il figureun Bou-rôleduhéros, y a donné notamment,
la mesure d'unta-
C'estlenumero &tu
.1
"$te.
il ORPtait
etOptait Dès1906, avait
lessilhouettes
Jusqualessilhouettes
et parules un album
attitudes
et quifutun
desescroquis,
desescamarades
camarade$
danslesquelsroivient
d6plitte3-u
deplateau
qu'on
; Il estd'usage.
e ntend
demourir.
d eloin, a nnoncent que le roun bourru
lerait-on de
trèssolideà peinelui
du cri nepastrop
conseil-
systématiquement
lentdigned'éloges, i l eS,I, 0' l.lMiFK11*
et fi i duHavril,et." desiorne*
t0mn® sa
lih"°rtante
III"
HijJl commande
et
*•queremontait
mort,Granval,
desIndépendants,
qu'ilfaudraquel'onnousmontre
donc un premier
soncamarade
devait
.décor pour
Croué.
é
fidèleexposant
laborer
lesun«
uneœuvre
Fourberies
du SalOnhisser
jour.En1922,
peinteche, aupetite
de Soa-
Cetessaifutuncoupde qu'ilsedéfaite. :noire
grand
une voile
on tat ducombat.
à chaque
mât,au-dessus
Blanche,
Etleroi a
retour
quiannonce
dubateau,
delavoile
ellesignifie
Egée juré
victoire
de
blan faire
deloinlerésul- Enfin,
:
nent.
Casarès,
cettefoistitesdimensions.
unmoyen
je parlerai
quiestAriane.
Mais,
d'expression
pourterminer
Sonrôle
comme
est
perma. UNE PETITE ROSSE
deMaria
de pe-
celaestsym-IE H!qui
(Théâtre Lancry)
pourquoi non ? C'estunIln'eût vaudeville
V -
tre, la mers'ilapercevait
H»Arrêtons-nous
eu Seulavaitentrepris-son
Juste
*|J'.te-Scène,
I-gvent
commencer
iciun instantpoursongerqu'àcette
Georges
oeuvre.
la leur:Xavier
Pitoeff descendait
Jouvet, Dullin,
deCourvilie
:
dutraindeGenève.
époque,
Baty a
échafaudaIt
Co-
llaient
Rendons
voile
bias
sa Thésée,
n
Orc'est
jetterait
oire.
a hissée.
une
vainqueur
dans
voile noire q u'à
duMinotaure,
l'insu d etous
devient
unepathique,
A r-tenu
ne qui
à
rend
qu'une
prêter savie
Thésée
scèneoùsonamouréclate,
rot-cellemment ; mais
comédienne
prodigieuse
sensible,
desaclasse
un
à cette
instant
A
ait
ria-
!La
mal
Royal.
ellel'a diteex-pas,maisoul'onatteint
oùelleatteintausublime,
envaut
résonné
Voilà
biend'autres.
un
sur
plierauxrèglessûres.M.P. Palau
la
genre
scène
o
du
ùl'onn'innove
leriresil'onsaitse
pas
Palais-
semble
/cyv
l oU
~/c

f
granval cet hommage, témoignons-lui cettejusticebienquetrop cequ'Ourson Etc'est ceque v oulait Arbias, qui a ccomplit ainsi c'est l orsqu'elle veut r epartir avec Thésée et avoir n oté avec soinlesbonnes recettes.
méconnu du grandpublic,pouravoirpoursuivi sa tâche Danscetenjeu avaitrêvéaudébut delapièce. quesoudain elley renonce. Revêtue d'une Lesacteurs servent sonouvrage avec in-
Val*
Uri
thj8®*
U,-Ort
Ilt
ki"lance
ledemi-anonymat
dequinze
desconditions
d
delaMaison
etilauradesonpostedetravail,
enscène o riginales, pris
annéesquiaboutit,
uthéâtre
une
de la représentation
l ittéraire
deMolière.
part d
de1920
France.
Granval
àtraversplusdecinquante
igne d emémoire
à 1935,
dramatique au
fut
à ce
unno-
grand
renQuveUe-
et à unere- deThésie
spectaele,
public.
de
Georges
théâtre.
Neveux
».C'est,
Elle
qu'estla présentation
il y a fauteur,lesacteurset le attitudes
jeestl'auteur
lui assure la
du« Voyage
crois,saseconde
d'un robenoire,le teintpâle,ellea lesgrandestelligence,

consécration.
quihaussent
mortelles,
piècemédien
Aussi,
!
dela tragédie
un
tantesfctmtsique-
que dired'autre,pour
ellea lesaccents
texteau;tondesœuvres
iepouvwh-
c
quimet
duco-sonnement)
onclure, et yeux,
yeux.
d
im-ellen'avaitpréféré
etparmieuxMlleAnnette
upiquant (j'aurais ditdu
l'autregodetdel'assai-
danssavotx,ses-|an»ber«fr-ser
-.'¡'.c,
«
Poivre,
sel

INTERIM,
» si
,:l
!MÇINO ii

I
ann®6 suivante en l'amour H,res- d
i
H® danssa version ce fut« Onnebadine
primitive, grâce au
pasavec
plateau t ournant Imaginé
Coulisses. Reprise de 44FM<pifâiÎJ et Couloirs j
^hipé parGranval,
*"," autresimages
I*»nger
qui permit
viveset hardies,
lasuccession
rappelons
rapidedestableaux,
celléde la salle
chezquiil y avaitdurapin,s'était •. 0 ot ~4n~ ~n lv.11'
~[j'-GILLETTE
r
LZ3
a
r Mide,
8*> pour
Ott
duchâteau.
fairela
un majordome
Granval,
niqueauxabonnés,
Unfonddetablegarniedebouteilles
solennel
à peindre
vénérables
maistitubant, montent
en silhouette,
etde metsen (tomédle-Fr
lagarde.
deute en
v Le3
tangue la Gaîté-Lyrique
novembre
entigoe*.
allemande
auraIi-IIà la
unereprésentation
de ! '« Alcade le à enfant
M.H. v
metveilleu,
Le -,pièce
v aOtPar.9
Morel,
ient musique
d'enirer en
voyago
àde
coupletsd'un
de
Maurice
répétitions, "rtjêdeUuX
BLEUJ
IWWettipnnels eq
f)j'.ès
ur
tt, Marie
q
4ns ledomaine n 1924 que Granval
delamise
», Lapièce-n'avait
sesfondset lescostumes
légers Laurencin, Granval
va
en
donner
scène
son
avec«
desespersonnages
imagina
chef-d'œuvre
Aquoi
encorejamaisétéreprésentée.
desdispositifs
r êvent
de
sans
les jeunes
S'inspirant
composions
trèasimpiss,George
Zalamen
W.
celleS choir.
permettra
:(Théâtre
»,
de* Cabale
deCalderoA,
Cette représentation,
etAmour
d'applaudir
Schiler
legrand
desscè-defêterlecinquantenaire
la
etdont
a»cteur
c
adapté
comme
»en1941.
trouve
M.Heinrlch
par
d u
onvient aqijita
'&.EEE
peut
à.-'Opéra-Oomiqije, l'œuvra de
»,.vient d'êtrerepriseà la Gaitê..Lyriq\¡.e
ê tre, t rouvé d avantage son
Franz
climat car
iehar Pras-
: coù Aventures
elleprésente
Yvaïn
t.'sct'rn
v
elleettous
sepasse
Ffute de
duPetit
ayants
disetdimanches,
en
droit,
1190
généra'*
pouce.
seront
enmatinée,
pour
J, « t-es 'FOUTES
critiques
reous,
au
lell. CLUB
Thia
1-~
LES
Sont.
laoh«nson
dee
CHANS
en
PRIVI!-ȣ
h.
ven~e
Si bis,rUe POOthieu
3o
.ONR
à22.
au.
*Ii.
DUCLUB
olqjktison
30
»
~II
«lu ®Sans
'ques
maistrèssuggestifs
rienquienalourdisse
fragments mélodiques
quipermirent
empruntés
ledéroulement
la grâceni qui«enrom:'el'unité; w par suited'engagements
a Dèbussy enveloppaient leideux dd'CI
ernières ante.écriture
représenta-
CFtte c.,alitéde s'apparenter
musicale,
à l'opéra -
alorsquele livretobéità touteslescaractéris-
comique comnin tredisMarionnettes
ir Lesamis
du
Théâtre
dueurs
LuxemboUrg,
dePoohe.
rieurs,
te;"POeme
°n» deux et s'incorporaient
débutantes
à
faisaient
lui ;
une
dansles
deleurs
rôles
p
d
remières
eNinefis et
apparitIons:
de tion.
Ici g
auront
à
randl'Ambigu
lieu s uccès
le1er
Un
dePierre
n
ange
ovembre B p asse
.,,,
rasseur,
enmati-
tiques d el'opérette.
Rappelons-en l'action Frasqulta,
: à tourArmand gitane capricieuse et
ftemandent.
ture
depièce"
pourlsoir,
dumercredi
nouvelles-
ar- tre.75.boulevard
séances
des
Ecrire m delec-
anuscrite
auThéA-
ÉMISSION
lçu^eieine Renaud, devenue alors depuis p eula femme deChartes née e ten soirée avec l 'auteur, Solange deaite, aime etdÉteste tour Gallois jusqu'au j our du Montparnasse.
nVal.et MarieBell.
Ainsic'estdansla miseen valeurd'unedesœuvres
Moret,PiètreFeuillere
dethçâ-Fabert.
et Maxime- oùl'amour
postulat
l'emporte
aussi l inéaire. danssoncoeur.
c 'estla nefautpas
Il partition
seule
s'étonner
q
d'un v L'annonce
uicompte. quela pièce
intitulée: deM. D'OBLIGATIONS DU TRÉSOR
L'enceinte
En fait, Pham Van K y « D'IMPÔTS
b. 108
CIoà ses pluspures,lesplusimmatérielles,
compositions d'acteur
queoecomédien,
unesortedecynisme assez âpre, a dechaquev «Notre
quiprê-présentera Club
lestrois à
»nous Informe
premier, qu'ilElleestla IV-éritable
samedis toyanteet colérée, sourced'inspiration.
hispanisante à souhait,élégiaque lorsqu'il .e
interdite
Coila retrouvecha-Charles-de-Roohefort »,seraitjouée
actuel estinexacte.3
au Théâtre
decetétablissement Le 112ule NET
"né 8amesure
ljîusêtreexpliqué d'animateur. Apparent paradoxe, nous
quescène, croyons mois, partir
la sallePleyel-Debussy,
bre,à duchant,
; deladanse,
d e novem-
desfaut,amorçant la valseoù Leharest roi,s'élevantaux accents spectacle
a L'Emprise »,deM.
d'avoir
loinqui
Jeand'Aublnlere
épuisé sonsuccès et Jt4ATO TiSSAtoLE S
vlj'i par goûtdudéjà.

:
Granval mettrasouvent parla espoirs dela réalisant d'elle-est
8,ilh*'*nt Lesœuvres
risqueet générosité
qu'ilchoisira
foncière, en
despiècesnou-tes
de
alorsseronttoujours cellesquinirs.Pourrenseignements
çhanson, dela
viendront y
comédie
conter desvedet-
leurg souve-
s'adresser
fervents
même.
Lamise
dela cantilène,
enscène d eMme M
à chaquefoiscomme
arguerite Esso est d'un excellent
la
la
plèoe
blement en
mer»,
l uisuccédera
février, sera
deRansan. ; <
vraisembla-
L'ange
notresympathique de EN TRENTE ANS

..,'qUe
A«?
or
à
oudefeerfe
a®°Mhélier, : q uelque
laréalité exemple,
par
« LaCouronne
poésie
deCarton
de
«
sentiment,
LesFlambeaux
»,deJeanSarment,
touche debur-
« Poudre
André
une delà Noce arll,Suf,39-4t rue
» »
Chanu.
v Al'occasion
24, del'Avre.
dela Toussaint,
Pa-
le Ala Comédie-Française
mouvement
trèssoignée.
quimérited'être
etd'uneprésentation
Il y a là nn- e ffort
particulière-
confrère
ris-Avant
Anflré
decréer
Qrlngalet
«aul c et h
»fa seconde iver.4Pa.
ouvre
PRIX D'ÉMISSION 4.925fr*
Trintzius l'Amour Paul desMoctambutet

:
Théâtre 1,
It ®rand, »de
Martine deBernard
M.
etValentini
Zimmer: « LeVoyageur
« Pauvre Napoléon
et
»,ded,-d,
»de
:
Bernardtions lundi (1er
à 15
dela
novembre,
heures
route
deux
ilt20
Ilfera
donnera
représenta-
heures) du LA PREMIÈRE ment s ouligné.
L'interprétation mérite d evifs
M.
sept
P
tuellement
a n,»
V andenberghç
enzone
quiatteindra
promène ac-
J'aidix-
aud.«ainsi,
c e
par
tout
obligationde
déduction del'intérêt
5.000 frs
afférent
«Bout reiftche a exception.
5^'Entre
"lefurent
-l'tison
temps,Granval
beaucoup
deLabiche, restituant
poussait
exploités
au«
: despointes
depuisremettant
Monsieur
dansdesdomaines
en
Vernet
lumièrq uneco-
»physiquement
nellement
v
deJutesRe-son»,a Inauguré, Le « Olub
lemardi
P
cabaret,
rivé d
2novembre,
ela
ruedePonthieu. Chan-
MATINÉEPOÉTIQUEéloges.
M.
quiseraouvert administrateur
JEAN-LOUIS VAUDOYER,
généraldequalités
interprète
est une
MlleGeneviève
nouvelle
s'imposent. venue
Régny
le rôlede Frasquita
Grande,
qui mois-ci
dontles paie
jolle,
C'estlà
deeomédie
Pagnel
saun 1.900"
despreprésentation
»et « Marigs
lusgdepuis
enregistré randssuccès
» deM.Marcel « Tu.
à lcfpériode
SOIT NET
2éOct.-15

4.915
Nov.1943
frs
atmosphère de1910. Etpuis, lasàetlafinde1934,
peut-être unpeudésabusé. son nouveau
àdimanche
ses adhérents levendredi
après-midi, etàtous soir
l esepro-
tle la Comédie-Française, a lavisageexpressif, c'esturneex- INCONVERTIBILITÉ ASSURÉE ,.
Granval pritsa retraite. Ilse re-fessionnel delachanson fait c onnaître aucours 0 e l'article cellente chanteuse à la voix sou- ;
¡ Léo tiraprèsd'Honfleur,
etc'est là qu'ila demandé
mirsonderniersommeil.
faceà lamer,soir.
à dor-fêter Valses
v Ifla408'
Onle jusqu'à
deFrance
représentation,
la findumois d
lemercredi
)l,dsera
ontonjpuée
edécembre
qu'ila publié
vativité
Molière,
générale
quels
récemment
de la Maison
seraient
surl'ac- decharmante.
dienne
C'estaussiunecomé-nera
le rythme adroite. Luciengêné..lulJdi M. H uber-
LeThéâtre
ple,aisée,claireetd'unetonalité,IendesfêtesdelaToussaint,
deux
ÇtETTF:, en
l«" n
del'Avenue,
rmatinée
eprésentations
ovembre, et
et en
fera
à l'occa-
don-
dePIER-
moirée, te
relâche
JUSQU'AU
L'Emission sera
1 -
P
JANVIER
çlose sans
1 948
préavis
':"
-'.,
et l'objet desmatinées poétiques- ty est baryton à lavoix
créateurs, un MM exceptionnellement le mardi
Daniderff revitpeuà Paris,jamaisplussur ivee
unthéâtre.
tousses
Srandval
tête. et
M.André MlleLilliePrécisons
Dassarv enmatinées quelapremière
poétiques, quiaura
decesreuse. MlleSimone Sylmia,
lieuleParédèset LéoBardollets'ac- -esplaees.
vembre. Ilestrecommandé no
deretenir ON SOUSCRIT PARTOUT
Des deux côtés. samedi6 novembre,
ment consacrée
stec'es(iresérie)
sera
à «LaLégende
deVictor
entière-
Hugo,
quittent
desniique.
cœurs
fortbiendelapartieco-
Lecorpsdeballetet les
ont donnéavecentrain. de la rampe la plait! DANIELLE
LE compositeur LéoDaniderff,
dontle nomest attachéau
Ony entendra
ments

d e
Crapaud
de«faute»et« LeSatyre
poèmes
d'importants
»,«LaRosé
célèbres,
» .
d e
frag-L'orchestre,
tels
l'in-
tion deM.Félix
l'empli
plue.
latâche
sous l'habiledirec-
Nuvolone,
quiluiétaitdé- a bieu
Y.N. Ondes
qui
atti-
femme jt(~-
pinsons souvenirde nombreusesLe triomphed'Antoine l'enthousiasme et desespoirs »,piècemoderne
spectacle,
à grand placeà part,excessivement
quiconnurent le suc- p AUunétrange destin, c'està u lajeunesse. 4 actes,avecballet. ranteetbrillante, maisqu'ilest
~s de 1900à 1943,vient de Lorsqu'il
oùunesériedega- ans,il futassailliquatre-vingts atteignit Alceste et ridi- laD'autre partl'amélioration de seulà pouvoir atteindre.
urir,
110 Us-BOis, le 24octobre, à Rosny- moment las magnifiant son œuvre se d'interviews. comique
est-ilun personnaga
comme l'a probablement ne sur le toncoléreux
Cule q u'ilsuppose à « l'atrabi- technique des marionnettesOnn'apprendra qu'avec plus
où ses obsèques ont Dans s a petite c hambre, toutlà. préoccupe les spécialistes, Ro- d'intérêt q ue l'Opéra-Comique
O

,
eulieujeudidernier. déroulaient dansle
Onreti(m.,portesonnom,queiegrandAn- Rivoli incaire q UI hautdecethôtelde la ruede tendent voulu M olière et comme le pré- laire amoureux ». Mlle IsisLa la
"ra lespluspopulaires de ces toinemourait qu'ilhabitait, il accueillitsiques lescommentateurs clas- Barthe serasonautreCélimènebert Desarthis, déjà nommé,vientdemettre enrépétition
d'Amphytrion 38
^arisons, caractère dans cette maison plusieurs d'entre nousCequi ? vientd'équipe, un« pont»dans version lyrique M. A lexan
eQUe, dontle va ouil s'étaitretire Oubien,dépassant le cadre Aupays sonnouveau logispourl'exercicti duelpourlelivret, à
la franchegaitéau pathéti-,'duPouliguen, Et l'onne peuts'empêcher retenaitle regard,
de pilede manuscrits
c'étaitunp.étroit d'unecomédie demœurs des marionnettes desesmarionnettes à filsetdéjà dreGuinle, oour la musique au
et dontquelques-unes mé- penser à la dernière grande s oi- encombrant du XVIII', Alceste est-Il devenu le ses études ont produit desinno compositeur Marcel Bertrand
ritentdesurvivre. Onpeutciter réeà laquelle il assista. tout
C'était CaruAnntoine angle dela pièce redresseur detorts,ameret dé O Ntravaille beaucoup, ence vations dontnousne tarderonsdontla partition obtint, en 1937,
£res;
Quelques titres,entretantd'au-
Berceuse tendre. le 10mai1941,
Sur les Française. à la Comédievres dedébutants
recevait plusd'œu senchanté
quen'importe comme o n l'affirme débutdesaison,
?tient nettes. au royau pasà voirleseffets. Ungroupeleprixde'laVilledeParis
»
que.
élan queldirecteur l'époque mentnouveau, «LeCapricorne seraitdirigée
bordsde la Riviera, LeGrand cœur,lDans
n'avoirplus de
unvibrant
e théâtreentier,co- dethéâtre nactl. depuis
eintéres- Pierre Feuillère,
romantique
lui,encomi
mechimérique desmari
DesprojetsnaissentRt cet.tre
on se propose à 'la foisd'êtreur Eugène L'ouvre
Bigot. Lesinterprètes
parM.
en
Frisé,Sije pouvais
$'yeux,Lesgossesà personne,consacrer médiens etspectateurs, venait de vité. I l les l isait
sait.Unephrasele mettait
et s'y pour l'Alceste ridicule et prennent t andis
corps, vivants, d'études dela
queles «vuesousl'anglede sespossi.seraient marionnette Mlles E llen Dosia, Irè. IRRÉSISTIBLE UNjoliteint
U y a desfrites.Je cher- Ettandisque les acclamations
cheoù aprèsTitineet,
ticulièrement,
pluspar- montaient,
La Chaîne.l'un crispées
letriomphe
Antoine,
d'Antoine
les mains :»de lui;c'étaitlorsqu'on
sait « On ne trouve
Il rétorquaitalors de;
plus d
hors
luidi- pourillustrer
epiè- ra la
sa thèse ilJoue
scènedu4eacte(lascène RobertDesarthis
théâtres,
nouvellent
déjàbien
leur affiche. re- bilités mjune
donneau et de présenter
dramatiques
attraotion deet noncom Marthe
virtuoses \, ;
din,
Joachim,
ne SerresMM.
Hérent,
Hélène
Gaudin,
Roger
Bouvier,
Louis
Bou"
Moroi
D'UN
CHARME
VISAGE
desplusgrands succèsdeDa- prêtà défaillir, au rebordde la loge,ces « Qu'onmedonneunthéâtre e t la lettre)dedeuxfaçons
et deux Céllmènes
dit Luxembourg « LePetitPoucet », spectacles les
sousformede et
résultats d e ces Gianotti. Quedefemmes doiveae
l'eliaquia toujoursgardécette moment dutavoir à ce on verra.» Et Il avaitquatre différentes. férentes avec où il tient personne le rôle
en l'Ogre,faisantrechercha. leurtuceèt à la seule
chansondéjà ancienneA son vaitpasperdusa vieetqueion vingts la sensation qu'il n'a- ans. Tout d 'abord j aloux formidable de Miseau point beauté deleur carnation,
répertoire. humain, torturé, telqued'autrestoutà coup irruptioncomme Si ce mouvement intéressait
marionM. Charles àeuUplutôt,TOUS
frijeheur,àleU
dovinef,
séduc-
prodigieux effort,par!anobles- L'impossible comédiens modernes nous l'ont Cultiver à Lilliput, au milieuquelques vraisamisdes s'adresser deRochefort nous tion Clic leurt naâuilltge
C'étaitun artistesincèreet se même del'hommage qu'on lui Monsieur Alceste montré i Mlle F lorence Lynn d u despetits a cteur:, de bois. A j nettes, ilspourraient fait savoir que le suc- GEMijY, Si êtes
souventinspiré.Il suffitde rendait, avaitatteintsonvérita. Théâtre del'Odéon lui'donnerasquareSaint-Lambert, le Théâ pourtous renseignements àM vous
ï'avoir vu une
ter au pianosesproprescom-
seulefoischan- blebut.
Antoineet les jeunes
c 'EST
9 novembre
sous ce titre que le la
à 16h. 30,à !a Iljoueraensuite
réplique.
lamême , scè- mée. tre Fraysse,
représente
de vieille renom
« La Féedes Matrat,
Georges Lafaye, 4, rue
à Issy-les-Moulineaux.
Claude-cours, cèsdeson spectacle
«
dAubtnière,
L'Emprise H, d eM. J
en
ean
estloind'êtreépuise quiliage
châtain
essayes
clairO ùfoncé,
l'étonnant
"Rouge ma*
Francç".
positions pourne pouvoir o u- résidence Galilée. 41. rue Ga- et quelapièoe quisuccédera à iocoloris différents
Qtf-
blierce visageénergique,
Voixmordantë,
cette J
cettevigoureu- JSQU'AU lesjeunes,
bout,Antoine
lesprotégea.
aima lilée,PierreFeuillère
C'é- causerie sur« LeMisanthrope
feraune
1). if.lfelnz
yrIICtlU; fjilpert TJ#«TirneTInt MIS*
d'ibten - Au Théâtre deDuygil onva
Amphytrion
don- à l'Opira-Comique «ment
38 L'Emprise
en février,», vraisemblable-
sera « L'Ange de
répondent
typés
à tousles
decarnation.
se convictionqui s'imposait taitlàlesecret decetteéton PierreFeutllère, lenouveau en
di- au Théâtre nouvelle delaNora
allemand dtparBerlin. ner p
La.allemande ourlapremière fo»è«
:LesTra^hiniennes. traduction
de So A PREMIERE il semblelaQuant mer»,d'André Ransan.
auxauditeurs, Unbeautalent nantevitalité qu'ilgardajusque reotèur du Théâtredu MaraisSchiitt.. décoration était réglée V,Ernestphocle l'adaptation Itqlltdu* 4M, vue, à «L'enceinte interdite », C&TATLON RICHARD HUDNUT
et un hommebon.modeste et sestoutes dérnières-années. Rier deprésenter
qu;vient Théâtre« Un Ange Woerner, paradoxal devouloir trans deM.PhamvanKy,ellea sim-
sympathique dontla mémoirede ce quiintéressait le théâtre passe » au del'Ambigu .,;.L a
comédie deGérard AlcMnger .{ la«d'être
Comédie duFai-Giraudoux. poseruneœuvre deMJeax plement étédonnée enlecture ~Ma M !~ ~A~ PAMt
serafidèlement
amiset
gardéepar ses ne le laissajamaisindifférent.
touslesamis d e reprend aprèstantd'autresl'e- traduite Trèsrespectueux public,
tchèque vient
etsfora (ncestam.
: san»vient
d'être d'une comédie ddelaHue
onnée
mttficale latrois
première
actes L'accent si particu M. d eRoohefort quin'apris
à
en-
la chanson. par Mais sa prédilection allaità ceux ternelle querelle du« Misanthro- en
mentrepréitntie au Théâtre national deMqx Wallner etdevenir
Kurt enFelti(ntltulierdooetauteur,sa techniqueooreaucune décision quanta M
LOUIS MARCEL. quil'abordaient, toutgonflés de peJ. dePrague, lté: Voulez-vous mafemme ? personnelle, lui donnentune présentation.
ammIETILÂ IMllUS IlQlUlE
VARIETES CHRONIQUE DES FILMS L'activité de la
COMPAGNIE
et CHANSONS par Arthur DU REGAIN ARTS, SCIENCES,VOYAGES
(Cinéma des Champs-Elysées)
HOERÉE heurtdela partiescientifique
devie,et decelle-ci,par le truchement
dela mainde Lucien
à la leçon
Nat,personnage
quasiprototype, à unecourteanecdote ha-
par Gustave 18 FREJAVILLE EAUCOUP
définir
d'esthéticiens
lecinéma. Lagrande
onttentéde
difficulté romancés, Ensorteque« LeBaron», de oùla
bilement dialoguée par
mainjouele rôleessentiel.
JacquesBerland,
Lesujet
decirconscrire en une formule l'art de Méliès nousapparaît presque comme estaride—ou tropvaste—et Tedesco
unenousa a1
ailleurs plusIL E13octobre
N Charpini
EDRANO,
sur la piste
ducirque,
pourcontinuer
;
et Brancato
lasériedesattractions
a faitappelcette foisà unnuméro
représentations..
enmarge
l'écran
teàlacinétique
r
tière,à lalittérature
déjàclow-à lamusique.
éside
desvolumesà photographie
dans
à
Oncomprend
l efaitqu'il
etla plastique
cause d
par
e mprun- préfiguration
le jeu EmileCohl,
parsama-un dessinanimé
esdialogues, l'inventeur
qu'onaitparlémiersvirtuoses.
du
dugenre
dessin
donto1910,
de
a
mais
nima
projette
n n'est
un
précisément
de
certespassa
poétiques.
nonseulement
souple
proposé
Toutefois,
construction,
sespre-nousfait partirdescentresmoteurs
il
d
faut
sa
esimages
reconnaître
l'intérêtdufilm,maisaussi gnieduRegain
variété, q ui
mière
son
du estenmmême
tournée
1943-1944.
temps
estpartie
dela
»,pour
Cette
«
leseptième
la pre-totalisera
Compa-
tlournée
asai-Misanthrope
spse
Lapremière
M.Jean-Paul
unnombre
a étémis
impÓrtam
de cestournees,
e
Moulinot, n scène
priso1
V
pM
.,'fr

Charpini
nesque
pût, se
plus
etBrancato
qu'amoitié.Je ne voudrais
méprendre sur mapenséeleduo
toucheà l'artdu clown,
grandepartiejouéau canevasparsèsrépliques
:
Charpini,
parce
pasquel'on
parodique de
l'arthybride.
encore
quil esten hybrides.
improvisateur unité,
l e
Danscesensl'opéra,
Et cependant
personnalité.
mieuxnonsansraison,
dramelyrique,sonttout aussid'outre-Atlantique.
le cinémaa sonqu'ellesrestentle plussouvent
Malgré éviden-
Onnous
lesMais i
propose
réalisations
l faut
toujours,
parfaites
remarquer
dams l e
cerveau
scène
métiers
manuelles
d epour
tribunal,
aboutiràro meurtre
duforgeron,
de
en passant
dupotier,.les
l'illusionniste,
par
et une tacle
lesbeaux
habiletés
dumarionnet-
puis
ce
sa
onté
Rappelons
groupement
parcettecompagnie
fondation.
que, d
s'est
epuis
donné
trois
rapatrié.
de-deSuzanne
ans,aura
à charge jouera
à sa
Les
:
tête
décors
Reymond,
Célimène
Alceste.
costumes
etLa
Blanche
distrz
Alontel,
et J.-H.Chan!
>
bJJ
sa ses dela caricature, deprésenter à province
la répertoire les qui j
gran- Lesecond ouera :1,r
d'unevivacité remarquable, prenant
pubjic,plaçantavecadressedeslazzià l'italienne
et seseffetstesattaches
au aveclethéâtre,
d'uneessence
il y a unciné-limite
originale,
domaine
du cocasse avantde cettedernière
quitterla res-tiste toucher
Jacques Chesnais,
dupianiste
enfLn,leprestigieux
Braïlowsky. desoeuvres
matique, denotre
dansdesdécors ddra-
ignes pas avec l
spectacle,
'amour, sera
Onneb3
mis en scedl
danslecirconstances mapur,parce
ainsiconçunoninféodée q ue semblance. On voitimmédiatement d'où. elles d'elles. GuyRivière, décors
dansdes PrlLjt
grédes grandmal. et desa fantaisie.Unnuméro àd'autres disciplines. Pourqui tirentleurstyle,quiestceluidel'imagerie. par

,
exagérant un peusa mimique et ses endouterait je neconseillerais pointd'allerLedessin Jusau'à présent, circonstances
lescomédiens Raymond Faure. Lesdeux
n'a paseu
effetsburlesques,
de Charpini
connue d ela en
e
travesti
voyante e
n
à s'acclimater
d surfantaisiste
'écuyère
xtra-lucide, jeudeclowns
;
la piste.L'entréeà chevals'enconvaincre
la scène
souvent
bien
pré-
il mesemble,en
(la démonstration
faisant l e
auprèsd'unfilmromancé
point
estplusdélicate),
aprèsle nouveau pro-
nouvelle
maistraditionà renouer.
Nous
à
a nimé
trouvons
f
tracer,
rançais
plus
précisément
a donc
exactement u ne
danslesper-
voie
unf1
avaient
zoné
nées v
cantonné
nord.
ont
Ilsontmonté,s
D ces
ésormais,
'étendre à
leurs
l'autre
cettefois, z
en
tour-
one.
sixspec-
paux
Laage,
richon
interprètes
dans
dans
Le troisième
C
P
serontBaT
amilleetJacques
erdican.
spectacle,
décembre.
p.
n;.
Am~~,;.'
L
sentédansles revues et déjàexécuté,
eux-mêmes:
surlascène, gramme « Arts,Sciences, Voyages ». On si personnels de Cohl,dansses tacles
dine : LeMisanthrope, On ne ba- tryon partira l e9 Moulinot '.)
Ji"
par Charpiniet Brancato sontdesagréments
cedesdeux saitla réussitedela formule et combien sonnages stylisés, marque d'une q ui L'HOMMEDE LONbRES pasavec
Cinna. l'amour, Amphitryon, également Jean-Paul [a
accessoires précédant lenuméro h abituel partenaires ellerépondait à unenécessité. Le choix décors la poésie LeMariage
faiteàMarie. deFigaro, L'An- enassure lamise en scène. d"
étépa).

LISZT
rendusà leur véritable personnalité, jouanten vestonla parodiequenouspropose le cinémadèsChamps- n'estni la caricature ni le réalisme pri- nonce trïbution n'en a pasencore

o
de la scènefinaledeCarmen, adroitement fortéedanssa miseElysées estparticulièrement heureuxtant maire d'unecopiedàuprospecter,vivant. Il y a tout (Le Balzac,le Helder, - Cessixtournées parcourront la finitivement arrêtée. mais n ous
en placepourl'optique de la piste.Je le répète,Charpinia par la valeurintrinsèque desfilmsqueun monde nouveau unmonde le Vivienne) France et visiteront chacune
villes plusvousdéjàpréciser que le il';Í
role
l'habitudede jouer« clown», Brancatotenantauprèsde leurimportance historique. Toutefois, oùla gravité
ce miquenoncaricatural, p eut êtreélégante et le co- decentcinQuante
jouant danslaplupart c Vs d eux Sosie sera tenu par Guy Rivière
.Y
sur par partant m oins g é- zones, d'en- que Jean-Pierre Granval jouera
lui l'emploi
paspourdanscette
cueillent
leur finesse
de « fairevaloir»,et c'estpourquoi
la pisteétaitdansla
diminuer
logique
aventure
:
deschoses.
leméritedecescharmants
desapplaudissements
et à leurtalentMn'yauraitqu'unecritique
matérielà leuradresserl'emploi
leursuccès
Cetteremarque n'est
quifrappe
tif,
artistes,quire- spectacle
d'ordrepective
du microproduitdansle Lumière
c'est,
qui
l éspe-etateur,,
pair delàla
varié,la profonde
quelque
biendusà dégage.Il s'agit,en effet,d'unerétros-tives,
va despremières
jusqu'à un documentaire
récréation
atten-
peude néralisé,
ce
unitéquis'en dessinateurs
bandesde détache
deTe-fois.
p
etdont
our
une
l e
français-
climatsemble
créer ce style
charmante
fantaisie
Detouteslestenta-
:
celui
autonome
débridée.
vivre», d'une réalisation Toute-tousd'uneatmosphère
d es
se
N peutaimerounepasaimerle
genre policier,
deGeorges
dant
réussite« Joiede denotreplusgrandspécialiste
Simenon.
reconnaître
particulier,
en Ilfaut
Queles
cepen-
romans
bénéficient
quiconstitue leu:1
14h.il-
treelles
PLEYEL,
celui
IL"
en

DIMANCHE
NOVEMBRE
MOZART
matinée etsoirée, qui
ce cure.

cirquede
devientsouvent
tellesrépercussions
inintelligible
dessonsqueleurdialogue
et quelespartieschantées
e n desco,
perdentlesdessins ce j oètedel'image,enpassant
animés d'hieret d'aujourd'hui. par
«Les
l a première
Passagers delasinonGrande en
Ourse
couleurs, premier
»,qu'onmutation,
attrait. O r,p arune curieuse trans- 11,«
beaucoup deleuragrément et deleurnetteté. On peutimagine-, techniques plusdis-nous projette, marque unedatedumoins quent sesœuvres portées àl'écranman-
ne plusconsidér. bledansun premier Lestypes c réés Paul p récisément decetteatmosphère, de
Lesurplus de bcnprogramme
Desce
decirqueméritedenepas semblables, évolution
Néanmoins, quandGrimaud
jalon.
personnels (lechien pear
stpeut-cette résonance sans quoilegenreseratta- ICI,RADIO-PARIS.
êtrenégligé. virtuoses
.attractions acrobatiques et athlétiques, les l'aspect photographique.
campe d evant loco- êtrele sont
plus réussi mais aussi l emoins d é- cheau plusbanal fait divers Lemécanis-
Rilende,rs,
- bleséquilibristes dupatinàtroulettes, lesChéops, remarqua- Lumière s a camera la gagéd'unmodèle fameux), l'animation me de cetteabsorption du mystèrenous
deforce,le jongleur Alexandro avec son réper-motive entrantengare,oulesbarques par- l'anecdote est échappe, mais le fait estlà,qu'ils'agisse Reprisedes
toirede vieille traditionet sesterrinestournantes, lesMarinestantpourla pêche,il captepar la seuJesouple et spirituelle, pleine d'hu-d'uneréussite «LesInconnus dans
» comme CONCERTS PUBLICS
équilibristes
au trapèzefixe,
aérienssurbicyclette,
lesRockleys,
Vcicefinalà la perchecoudée
équestres
lesAlyxons,
excellents
estmaintenant
bons
perchistes
dela « RosédArgent»; leasurprenant
gymnastes
dont.l'exer-la
devenussezrare; obtiendra
vertu dela synthèse
photocequecinquante
le'cinéaste
perspective
ans :
que donne
modernele docu-chantemgnt
mentpur.Sansdoute,l'art d'éclairer,
mour,
de catesses
m
plustard tive.Quantauxcouleurs,
algré
depour
u ne conclusion
l'œil> t ant
pastelqueparleurparfaite
un
ellessont peu la
u
hâ-
nem- me
Maison
« L'Homme oud'une
parleursdéli-pourcadreun port,unecabined'aigui
banale
deLondres moyenne
». Cefilm
com-
-a
GRANDS
ààpartirdu31 Octobre
lesnuméros
d'adresse
mnémotechnie
travailde « d'autoritévoilà :
et ajouterlesentrées
deSanas,
» spectacle
un
présenté
« mieux avec
que
beaucoup
suffisant,
lascène,
composer de fairealteru-er
lesdécrire,
decontourner lesobjets
lessé-
harmonie.
Desormière,
La musique
ajoute à
intelligente,
cette réussite
signée
qu'on
lage,unemaison
point r éjouissant.
modeste.
curitéy jouentun rôleessentiel.
Nul
Lanuit.l'obs-
Cen'est
jeudi, de20h.15 à 22 heures
:
auquelilfaut Beby
clownsMaïsset
jouée,surles« méfaits davec
comiques
une-scène
eta télévision
desdeuxéquipes
nouvelle
»*, Pipoet
plaisamment
Rhumdansmaintenue
pour ---.v-c'est-à-dire
de quences
difié,enrichile
au
cinéma.
travers
lemontage
de sa Son* —
essence
constante
a mo-
s'est le
salue,avec
goût
leplus
français
évo-à l'amourdutravailbienfait.
- vifplaisir,carelleallieplaindre
icifait de sobriété - t s i cette
allure, style.Onaccepte
allure,<s'ils'endégage-
^jp
ne songerait
pesanteur avait
à s'en
quelque
le trouble,
force,une
Chaque
.e THEATRE
dimanche et chaque
DES CHAMPS-ELYSEES-
au
Métre
del'accusé une
: -~
la scènebienconnue
renouvellent
» Au
:
parle détail mélomane,
et gardentcecanevas
Palace La concierge est dans la cour conteste
dontleseffets s
d.evieillir sions e lution, l e même
diverses. •
L'undesclous
«
v isage, avec
du programme
Les Aventurés
des
du Baron
expres- Le
revue
est sansquencerequiert
de reportage
programme
desactualités
sur
est complété
passées
France-Actualités.

alorsl'écranI letun par
par
quelle
-
une émotion quileshaussent
élo-d'art.Latentative
une chanson
Ceuxqui lefilmavorteparla démesure
d e
rengaine
jusqu'à l'œuvre
créerl'atmosphère
quicommence
decouplets
Retransmission
Marguerite
sur 219 m .6 ,M7 m 3,914
.
1GALERIE
)lundi
m 2
., SS m. 6et312
CHARPENTIER"
8novembre à 18h.
m.8

M.P
Münchausen »,cette fantaisie-truculente où l'ignoraient prendront un vifintérêt à dé- qui n'enfinissent pas et qui sontcomme Roesgen-Champion
L Egenre 4espectacle
plusque-desliens
auquel semble
assezfragiles
s'êtrevouéle Palacen'a
aveclemusic-hall
Méliès innove
1896,lespectacle
et avecmiroir
hardiment (il
cinématographique).
créait, d ès couvrir cette
Le à écrirel'Histoire»'
compliquée etvaste
Citons encore
« Machine
« Sour-Le
surajoutés
seulintérêt
desraisons c ommerciales.
pourdu film, dehorsd'un Trois Valses
eexcellent
n ri truste.
romantique.
1930. MONIQUE
BRUCHOLURIE DELA
oujouentlessortilèges lesplusdro-cellerie et Radiesthésie » quimoque Brochard e t DEUX PIANOS
lescabarets
nierRaymond
de chansonniers.
Souplex
Cependant le bon chanson-
est à la foisauteuret acteurde latiques —lesrêvesdest
-enotredormeur
certesl'unedes qui timent l'empirisme
Paperasses »,
dessciences
mélancolique et pessimiste
g
; en-
occultesnous
tout
propose,
position de Ledoux.
nouveau
résidedansl'admirable
Il nousmontre,
qu'il
en
1
com- Editions
POUR« Ala
48. FlÛte
ruedeRome dePan» Œuvr.
Cont. clas.
don. au romant.
prof, moderne*
etlaRés.
de
cettefantaisiemi-comédie,
la cour,dontla principale
donsoriginaux
de devenir,
dansles
grâceà.la revues
mi-operette,
interprète
descabarets
Laconcierge
fit d'abordapprécier
radio,la vedettepopulaire
montmartrois
ses
a tropbiendîné
est dans inventions
avantpermetl'évasion
les plusprophétiques
néedestableaux
qu'elleest monstre, les
l'apparition
par plusinattendus.
puisqu'elle
sponta-
«
synthèse
paperassière
Le bandequi nous
;
dela vie,réduite
« Les S ommes
initieauxsouples
à unecorvéegrand
delaNege
secrets ».
analyste,
chologique
m:,envoleur,
une
quitransforme
enassassin,
subtile
un
en
évolution
honnête
couard,
psy-
hom-grande
ayant
salleàpleyel
Aujourd'hui LA19h.*5AUST «O.A.C.
Pl. à 300 f r.Loc.:.SaUe etCo"h^

aujourd'hui. Cespectacle n'a «d'autre ambition


public que d'amuser, l'éléphant, la
en lunequitire la langue,autantd'images femme-araignée, 'la de l'Ecole
Eijiin, «
Nationale
LesProdiges
duSki
de
à
à
laMain
Val
»,
d'Isère.
mérite
finalement
payer s a
le
dette courage
envers l
d
a
e se livrer
société. Il pour
faut DAMNATION M f IlMme Bouchonnet ann«nf8

ï
présentant une fois deplus à scn f idèle, dansun rôlefait quirestentgravées dansla mémoire. Au deretenirnotreattention plusd'untitre. enfin, signaler le finide la miseenscènf' Ec.Normale 1 Récitaideviolon
sur mesure, la personnalité scén:que de JaneSourza.-Cette à -a deHenriDecoin, Mercredi HENRY DE
bonna comédienne
personnage aura biendu maldésormais
épanouie à s'évader de surplus, la photographie
brutale e t plate, l e
sans
geste
modelé,
quelque un
peu
Conçu
Faculté
pdarele DrLatarjet,
médecine deLyon,
professeur
réalisé p ar du métier et
sa
cette
connaissance
sortede
parfaite
souplesse d'Hector BERLIOZ 3 M A L V E SIP
VER
ce
fumeuret son
pittoresque
bavardage
^«xiblet-trepouré-leuneseconde
deCommère
hérisséde
nature.A
joyeuxprès
danssa bonnepeu
p ataquès,
l'avoir pêuqui cassant
à *b3ïifle
despersonnages,
unestyif*
confèrent
trèsparticulier,
à cette Jean
prochede nouspropose Tedesco et
une
le DrArdoin,
fusion ce ,film
: qui se dégage
,.dedeuxgenres tionset portelespectateur
dela plupart de ses réalisa-
à l'euphorie
avec
Olympe
la Artistes
MICHELETT1
Charles PANZERA
GARCIA FRAPPA :x:nov., 20h. Christiane
PLEYELSecond
1 iiMion®
récitti d"

7 ose,
peu modela talent,
avec populaire, e lle estmaintenait la proie et l'esclave laféerie t quiexclut leréalisme desfilms ledocumentaire etle sketch. On passe s ans plus agréable. dela
dirigés Société
Georgeosdes Concerts
RABANI
de ce« masque » au demeurant assezsympathique parEmile
Chorale Passani nov"14hi
parsa parfaiteinnocence et sa cordiale autorité..
Concerts et Récitals mesures
:
_<-
Jane Çourza mène l'actiondans un mouvement fortTablettes du Cinéma Notes sans SALLt UAVUail ~--'- GAVEAU 1Bach, Mozart, Schuma"'1
MARCEL
-allègreRaymond Souplex la vareuseet la casquette de Mercredi 3novembre, à 20h, Dimanche Chopin,
Casimir, atnuse
reux,R.Hirigoyen, p arsa rondeur
fait
sous
apprécieret sa bonne f oi
une voixlégère,
;
lejeune
au amou-
timbrevier Ce n'est vraisemblablement
ITénaff qu'en
reprendra jan-
làréa- B ® Le département
bliothèque delamusique à la
RECITAL
MARIA nECHANT
BRANEZE 1
C par
A M PI,
charmant, lesautres personnages, marqués d'unréalisme fami- fille René
lisation-de CoupLe detête,interrompu. par [esexploits despianistes, pourtant d'unordre t rèsélevé, ontétégue central nationala
delamusique. prépare un
l'oilàune culala
ini.
lierquinemanque pasdeM relief,sentcomposés avec beaucoup l'accident futvictime dominés
dusfacilité, dsJeanDoyen quiprésenta avecuneéblouissante tiative heureuse avec leconcours duquatuor
ChassaingLoc. : Salles respectives, Durand.
de soin. L'ombre d'HenrY
:
onnIer sera favorable à ce spec- prises
nier de dont
vues,
six Pierre
semaines de
aucours
Mingand. Ce
clinique der-
avant
parcelui
les Douze études transcendantes sedeLiszt.
déroula dans ressés
recours de
à satisfaire
r
qui permettra
lei'rs
echerches d ésirs aux
sans intéa Léon
avoir Pascal etdeNinette

i
tacle,quisemble assuré "d'unepaisible et avantageuse carrière. apour
depouvoir marcher. Le récital Chopin d'Adolphe Borchard leportrait u m
dumaître,atmosphère lesnombreux descatalogues multiples
desdiversesparmi
mai- ;~LEu*,s PÊlllfi;Sc" I,
Âu Concert Mayol Plaisirs de Paris dont L'auteur
prisasdelaFoire
de aux Femmes —d'un
être lage romantisme
d'une d e ses
brûlant.
mains. N'y
et
avait-il
aussi pas
une gerbe d0fleurs offerte lemou-sons
par une d'édition. LESBUREAUX DECONCERTS »t
ci pointd'équivoque.
Paris».
mais
Parisn'apI'aralt letitredu
Le titrede l'affiche
programme
plusqu'ensous-titre. est «
est « Plaisirs
Plaisirs
C'estleprogramme
d uNu
de il
main
tion
»: Ravanel
qui
les
reprises qu'auprès
degloire
seppropose
our
Laurent
la
lecinéma.
Baud
et àAlfred
vues
et lui-même
defaire
R
ne
guerre
L'Étang
ené
Payot.

pourront
termine
f olles.
des l'adapta-
IUondat.A
guides
La
dont
le*"
ehamo,
iauditrice
pour
D
Tout
sait
également
bouleversée
comme
interpréter
garder
desConcerts,
une
deTucette
dirigée
d'émotion
naguère,
lesmaîtres
pudeur et
Descaves,
? Iturbi,Roger
..José
espagnols
une
par'A.Cluytens.
à des
réserve
qui,avec
qUI
JWachado
démonstrations
l 'honorent.
lacollaboration
a interprété divzr$
nese
Tel e
livrepasPerugia
extériorisées.
stlecas
dela Société
concertos
13
H
mort

dontpremière
A
d'Ariana
l'occasion
deMonteverdi,
donnera
ducélèbre
novembre,
gvrrey.
chez
audition,
dulacantatrice
G
tricentenaire
intégralement
aveau,
desmélodies
ainsi
deta
Noémie
leLamento
compositeur. lelundi
qu'en
Grandes

j i
GrandsVWtuoses
deLe- _-<:::.,..,30,écouté
Vedet/es

I
|
Dandelot.
PLEYEL
PLEYEL
Ssltiiirti
Kicsjren.
Musique
14h.30 parlecélèbre
deYalmalM
ANNONCENT VI
Musique
--
espagnole
espagnole
piaalste
in fflïj -ïtL-,

lie

SACHA tète rie


ditvrai.Chacunsaitqu'ilestd'usage, ence lieu,d'accorder niards sont
première Paris oùilsviennent
Cesont quatre pour
guides celui de Martinu. MEn première audition également. Dimaitelie Octobre Y\
la première placeaéléments
aesdéniés denuditésféminines misesen Louisla
authentiques fois
ramené-! deCharnonjx parBrahms. Signalons Encore premier
led'un concert duQuatuor Pascal (Mozart, violoniste Jaduign <rrahows!:a, donnera In Niardi DAgli 'o
arquelques
valeurpmalice de costumes disposés parfois a vec Pre
ni Daquin ;
deCordéeiis tournent austudio dechant
Ravel),
de Mme marqué Succès artistiW-
la
considérable
française— lerécital sua
(la concert
cle"
u. dumardi
Poème 2 novembre. à Il j,.
salle ) Jeit h.45a a h. (
que debongoût.Il ya toutdemême à violoniste e etpiano,
plusde
dont-l'-auteur,Lucien
avecmusique
Rimels,
dePaulDurand afait lui-même
d ePaul
la mise unerevue, er
; enscène musical,
et le « mais
joint r
G.Delbrel,
uécital
npeu'» timide
deMlles
consacré
talent
H. dela
-
Laurie et*-Berty, Colette
vune
—letrès
Génissieu
chanteuse.—qui uieun
C/iU'Mpî'oit. déifié.
t•L'auteur pour
sera
violçn
deMarguerit
n upiuno,
GUITRY j
Rœsgen 30heur. Orch.
(Dandelot) Socdes
Conserv. Charles Cone. '\!, "-
:Mülll'!

et
e t ballets Lambert. Cette l'autre p ianiste, parfaIt dans DS gnalons
partieduspectacle est assezadroitement agencéelesscènes œuvres deG. Dandelot.
qui a pportèrent un zèle l es exécutions desaudition delaDanseune nouvelle ettrès
desmàorts
belle
d'Arthur Y GAVEAU RECITAL
JadwiflaGrabowsfif,
DE VIOLON
sketches,
répondent
laParisienne
thèmesdedanses,
»,livresesamusants
toursdechant,prétextes
deleurmieuxauxtraditionsdu genre.« Lesacde
;
secretslecvalses,
.à défilés PIERRE LEROI. flonegger
laSociété
I"1¡I',;(
tenu, ret
dlasalle
de*
sous
c.4ce même
( Rameau,
'hat,teurs
ladirection
concert. A/.
Lyon,
de[,yon
d'André
Charles
etpar
l'or-
Sluy
J'an-
)(1 novembre,
(Dandeloti
surVomie de386m. 60 (Dandeiot) I avec TASSO JAXOl'OL1
<
mères,les jeuxde société,
d'un« souper p »,
arisien, les chefs-d'œuvre
l'heureuse époque,
lesbelles-
gastronomiques
lesplaisirsde la
Dimanche 3 1 octobre Symphonie
Concerto, pathétique <Ti-haïko\vskv>
ensol, PianonVnriot eue ; zera
mélodieshantait
llies
en
d'Henri première
Dutillevj-
chiileùreuseTne.nt
auditionquatre
quifurent ac U RADIODIFFUSION
C'est
11LA une émission jj
Ile PLEYIII,
campagne
d'obligatoires
-agréments-
.que
;;
et réminiscences,
que
pl$ceà l'imprévu.
«l'Etrange
martrois
quelques autres
Lesfantaisies
rêvedeM.Boulette
LePrunier
sujetsoù l'actualité
amènent

enchante»»,
à
innocemment
pointnommé
l'onpouvaiten attendreen laissantpeu de
parodie
setmêle
libertines,
d'unsuccèsmont-
ousles
à
telles
SOCIETE
SERVA^OIRE.
Conservatoire,
soliste
L'art :
dela
(J.-8,Bach).
DES

CA
fugue,
ONCERTS
17
direction:
Marguerite
h.
clavecin
DUens
45,
Charles salle du
Miinch,
Rœsgen-Charnpioll
etorchestra
,
CONCERTS
Théâtre
: Poulet
Concerto,
(Beethovn)
(reoII-v:
PIERxk
duChâ.telet,
: P:ométhte,
violon Mme
AuhJn)
-
Direction
ouv.
chasse
17li,45
: Gaston
(Beethoven)
Bustabo
infernale,
-
TillEulen>p"prein
ieg"el
;
te
raie,
cises,
etorch.tifS.
cours
Salis
des
levendredi K
Salle
Ifs
des
Festival
a
A
Jean
deeveiny,
Charles
vxpiee»
eaux-Art*
de
5nove,m'<ire,
de1'Iaspect-ion
laVille
'îl"0
griculteurs,
,
Hnheau,
Lailla
8 rue
•y^nationale
i/énê
deParis,
heures vré-
d'Athè-
avecMercUel.
Henri lecon-
j
Deux concerts
2uheures
(Dandelot
^ÂVE|Quatuors
et19
à2()
MideMozart
nO\
h.) Gabriel
|
etQuintette*
par
ne Mic"
l eqnat":!!.O
OUI,,~aOaJ 'h.
¡\lïr

cace
obtenu,
«
bénéficier dequelque
.conteà la manière
LeCloudela soirée». éclatde riretropfacilement
«peuvent
:
indulgenceje voudrais
oubliertelautresketchdevant
d e.B oc- CONCERTS
17h.45,
D-E.
Tristan
GABRIEL
Théâtre
Ingelbrecbt
et Yseult,
PIERJÏR.
duChâtelet.
Symphonie
:Prélude
- A
Dirertiou
(Franck);
.etMort (R
and.

pinoZ.
(R. S trauss).
CONCERTS
Salle P-e>e
IAMoCKecx
• direction
;
A17
Kugèzie
:(Tony h 45
Jean
tation
D
rellier,
;: Française,
liitiot
Paul
par P
Fernand
'Tortclier
ierre
Caratge,
etl'auteur.
Berlin de la
André Ia-
Présen-
Comédie KEMPFF ;ë|Ciar»
Samedi
WILÏIELM
6
il~ti
e.sge'il
GAVEAU récita
LI
Premier!LtjL! AMAN
AAHMAA M
)~

"7"!
Wagner). Sywphonte rOmanti,jne Arhin)
Société une portemal close,dontla
plate grossièreté n'a' aucune
CONCERTS
heures 45,salle
de
LA M OIUEU
PLeonore
leyel.X. - A
:(Beethoven)
D'ir, Ii
EngBigot: ; etor ch.(LihZ.y
(BerlitJZ) ; l.ubumnution de
- FaustL'INITIATION ALA MUSIQUE Récitai
Salle
6
P leyel, 6 nov., 17
SCHUMANN-CIIOPIN
h. 15 CHOPIN RECITAL DECHANr
Brigitte <Hérard \I,t

7tOnovembre|
excuse..Il fautrendrejustice Ouverture
des
aux effortsdesinterprètes,
fonttousde leurmieuxpour
ils
NO ¡ salle
1X"Symphonie
CONCERTS
Caveau.
(Beethoven). CONCERTS
PASDELOl1!'.
Dir.: :
Je«iij A17
(f'.ardiiio. Pétais
h.45baud: festl\
- Soliste: de PAShKLOUJ*.
(haillot,
al Rwthoven ;
direction-A 17
Henri
-Egniout.
h 45
Ra-
pu, Emile
l,aRadiodiffusion
informe
Vitilleraloz
é
nationale
mission
quecette transmise
nous Palais
deM.
Chaillot,
CcMieectos
cha- l'orch. de
deBach,
13nov.,
Mozart.
laSociété des C
20h.
Brahmsaov.
oncerts Mh. Orch. Dir.ROGER-PES -\1 Hl \I~
instruments
animerun spectacle
un public npeuparticulier
qui a, je upense,
destinéà quidirigera
et
tout ce qu'il ciation
M.JEAN CIARDI
l'orchestre
desConcerts
del'Asso-
Pasdeloup
Kliette Rehenneherg
(HeethoYeD);
de- lerisptegel (R.Poïme*
Strauss);
Vil'
(Wagner);
m)O
Symphonie
hamon Vrr
verture.
TillEuguérite
roïaue.
SOCIETE
Concerto
Long ;
utmiu.,
etorch. Symphonie pianojjHr.hé que semaine
IXh.30, à partir
-sera
|e jeudi, de17h,:sr>
du4novembre
a ,
pro- Dir.
duConservatoire
CHARLESMUNCH':
GAVE.U BERGMANN
pétvelîe (Chausson) ; h) Imitation au DES INSTRUMENTS V FNT chain inclus. (V'alma'lètë )!JazzsvmDii. S U^ !:)
àN vent
fautpourm le pointdécevoir.
Projections.
main dimanche. t'o;l/age (Duparc) ; La-Valse (Ravel).- A15tçrnaijd
Direction heures
Merckel
Salle
Oubradous.
etMarcel
A
duConservatoire;
:;concours
Mulea)Petitfi de
et projets (VGalAmVaElèAtDeH
PLEYEL )
CHOPINWtltcr
dePan»
SCHLTUAN
KUWKi
1 - RUMM[I ~\
H R I^

iàno;.15duau
Dimanche7 novembre Henry musique
(Schubert)fxinebre
; j h)brillant,
Rondeau Menuet Final
c)violon lUardi W
et piano (première audition)pour
(Schuhert- t\
Fidèle à con h abitude SOCIETE DES CONCERTS DU CON. Merckel); Concerto pours(Jean
axophone-alto IV'almalète) ----~ t
d'apporter l, SERVATOIRE. A17 h.45, s alledu et orch ( première audition) ;
Rivier) GAVEAU 1 RECITAL DE VIOLON
même gèlepourlesœuvres classi- Conservatoire. —
-première
Direction Charles Miinch Symphonie
;: rinette,
concertante pour hautbois cla- •Milan
Mercredi J fOURNlfR \)t
FOURNIIR
queset modernes,
truments
sôiirécent
à ventalaSociété
concert, fait
outre
desins-
entendre
despages c « LeCavalier.
de RiouClareIl)
étantretenu jusqu'à
à laComédie-Française
finnovembre
parlesré-
1Ouverture. audit. (Martelli cor,basson etorchestre (Mozart). Uneprécisionnouvelle qu'ilsaillent
ailleurs.
donc s e fairependre Dandeot

-
de Hayàn, le.charmant Concertino pétitions du« Soulier deSatin » script-girl, assistante, notamment décembre prochains leiextérieurs d'YvesGandon 1« Voi!à d'uneétrange morale à lesmère. de 1>
ht>
pour,violoncelle ! à tes17quatuors
façon
eodie
que
Pour
etorchestre
G.Marchesini
ser, persuasive, la poétique
clarinette
deBus-
détailla de prochain film
Rap- de Christian-Jaque compléteront
etorchestre de L E prochain film que tournera
dePaul C laudel,
travailet tournera
semaines
Marcel
changé
lesscènes
Carné
sonplan
pendant
a dePabst,
troisoùelleafaitses
oùn'apparaît
et depuis
de léeà la viedesstudios
dix ans
:
e stmê-
français
classescen'est vre
dzs « Malheurs
littéraire
relativement
demandé
deSophie
n'offrant qu'un
court,le metteur
àM.
». L'oeu-
récit
en
M OTRE dernier
deM. Y
était
numéro sous « Mais
presselorsquenGandon
ves
ousavonsune
sens u nique
commence.
ledébat
»
n'est nov.
pasclos.Il dé,c.au
20
17h.30
h.du 10
jessam
BEETHOVEN par le quat.
;;
Debùssy, dontP.Lefebvre futl'in- Christian- laque aprèsavoir pasunamateur. scène a
d'écrire I adaptation P ierre Laro- reçu
lettreaccompagnée past-scrip- 13
terprète, uneplus ingénieuse qu'évo- pas J.-L. Barrault. Enchoisissant detourner « Les che et les dia- d'un 18déc, --
a Enjanvier, à l'ar- Unevoixdans la foule JEUDISalle
catrice
musicien
enfin,
Pastorale
plussubtil
dsM.Daniel
la Suitedpour
que
anoise
Lesur, achevé
sensible,et. sera
deM.TonybertSauvajon
orchestre de Boncompain.
t « Voyage
adaptahon par
sansespoir
M.
d'unroman
Le filmprendrait
M arc-uii- sateurs
deM. se rendront des «
le lefilmdanslàedécor
interprètes
Enfants et réali-Malheurs
duParadis
Nicepourachever » queline
deréaliser
*deSophie
Audry n'a
unfilm
pas
mièvre
MlleJac- logues
», l'intention
Ellenousmetd'un
une
possible
etdeterminer
Sophie devenue
quenous
:
lefilmavectum
grande
voyions
ilest ticle
dansd'Yves
qu'ilsouhaitait
que l'on
:
dansnoscolonnes. a lu
ajouter
samedi
Voici
dernierD IMANCHE
l'additif Palais, dernier,
le Comité au Grand
duSpecta-
Il t
(nDoavnemdeblore
Chopin
RECITAL
Nadine )DE- 20
[MM«L
heureSk
PIANO*i\
'-
r
Aubin,écrite-
chambre.
musique
Ilsaqit
de scène
ddefragments
estinée d'unp titre
à accom-re».C'est «: LeCavalier
un drame
deRiou
paysan
C la-
rude, duCrime
plusieurs
oùfurent
scènes etqui
duboulevard
déjà
r estera de-
rose
tournéesuneSophie
troppâle.
lacomtesse deSégur,
ontrera
tellequ'aufond reste, de1l'a
c'est-
ce rôleOdette
dans
m ère
l a
Joyeux
première*
qui
enfant.
s era,
partie,
du
la
petite « Comme
Candon
cet a rticle est c omposé de I
cle et leCommissaire
Exposition recevaient
général
les uSL
Jeudi
au- waddaT
GAVEAU Récital Marie-Aimée
WARHOt
petitefillerévoltéejeune
pagner iesreprésentations d'Hamlet violent, quiévoque lasorcellerie boutpendant plusdetrois conçue l'on remarqua La danset mis leC.O.1.connaî-C.me teur et interprètes principaux de 20l10vemb
UneFanfare, sonore et solennelle etlesmaléfices. encore à-direuneforme Bijou, quedes », enpages, L'Eternel Retour
1"rgemejit brossée, précède une Sara- située, c'est
L'action n'est p as mois. Comme pour « LesVisiteurs contre une néfaste de cer- if« Le Loup Malveneur joue- fait savoir qu'il n 'a pas à
la curieuse
«
Madeleine Sologne, ».Jean Cocteau,
JeanMarais
avec
ciselée un et art raffiné. mais Auvergne que duSoir Marcel Carné a demandé taineéducation bourgeoise. rôledeSophie trede iwon a ffaire, pour
bande lesenextérieurs. », Thiriet Nous le Dorziat à neufans. raison je suis
Pourfrinir,
danse
laquelle
point
ichedun
brefA.310 une
erythmes,
le musicien
lesapports dujazz.
aucours
dédaigne
neTout
seront
de principaux
cela seront
tournés.
:
interprètes
quiseracoi>«iiencé
Fernand Ledoux,
de ce
Les à Maurice
film
décembre
en Jean M a-
sique
tons
de son
toutefois
film ;
d'écrire
Plusieurs
la mu- verrons
serontcomposées
chan- rant l
danslefilmSophie
;
ejardin d ubien et
explo-ra
lejardin
dumaletiln'estpassûrqu'elle Paul,amid'enfance
Gabrielle serala gouver-juridiction.
nante e t, pour
Jacqueline
l e rôle ducousin
de Sophie, fusserendu
prunts
queSic'était
coupable.
préjudiciables
étranger
m
à
oi
à sa et André
quime filmétaient
d' « em- Jaque,
mem- jean et
Simone
Paulvé,
là,ainsi
Lysiane
producteur
Renant,
Rey
queAlbert
du GAVEAU
Christian-Ij'"llSf
Pré- à17
amis.
Samedi
h.15
(Kiesgenl
1 RECITAL
P E R
DECHANT
NOEMIE
PEBPCIfl;
Il G 1A~ ?
dénoteune merveilleuse sûretéde tais,Lucien Faurepar C .Mouquet. nes'attardera pas davantage dansMlle Audry engagé
a acteurbrequelconque » un Jean Delannoy, v enus en s'é-GAVEAU 1 Charles RECITAL
main, en même temps que des qua- peut-être,
Coëdel, Renée Unejeune filledébute celui-ci quedanscelui-là !.. M.Gérard Philipe, cejeune dela corporation
n'hési- tait
absent deParis, Dimanche etMagdeleine -l,
0 et, lany Holt. inconnu desParisiens quivient de cinématographique, alors on excusé. Les v edettes dédicacè- 14 novemb

-
lités,devenues rares, notre é poque, Le deuxième dansla mise scène. entournant trèsbelle terait à m'attaquer. Le cas est rent d esphotos vendues béné- à14 h.30 PANZERA
declartéd'élégance. « demanivelle» premiertour en «LesMalheursde Sophie» faire une l'Angecréation dans toutdpas ifférent, puisque jesuisseu- ficed'œuvres sociales au
et il fallut(Ki,-8h9e. 0 PANZERA i
n3)
D EPUIS le rôlede de« Sodome et lement
c
'ESTlelundi8 novembre
cinquante
némaexiste,la France ans que leci- C'EST
n'a au jardin exotique deMo-" Comorrhe M. Ce sera premier
son douteducteurs, la victime.
metteurs
MM. les
scène,
pro- appeler d'imposantes
scé- licepourimintenir forces
lesbarrages
de po-
qui
LUNDI
15 PIANO,
1 Gaveau - 20
JAZZ heures 1
etRYTHME »|1
Salle PIÆYEL-ÇHOPIN
Samedi6 npv.,17h. 15
TOUTE L'AME
Marcel Carné donnera
diode la rueFrancceur
« deuxième premier
au
que
stu-
le scène
tourdemani-Dulac
compté qu'un
dusexefémininGermaine
dontonconnaît
:
seulmetteur
l'œuvre
en
si
1
naco
dry
Un
q ue Mlle
tournera, en
J acqueline
novembre
Au-
et
film.
écrite
L
p
a
ar
musique
G eorges
l'occasion
sera
Auric.
dela
sans
présentation
naristes,
nistes,
pendent
dialoguistes,
par
envoire machi-furentnéanmoins
leseulfaitqu'ilsdé- jeune
duC.0. 1.C.,sont,aux etunephotographie
fillequibrandissaitrompus.
deJean unM
Une
stylo
arais
ni
ACHAT r
Dovaen t
mdebaroe Miche!
deP1WI0S"|
RAMOS

OUTELACAITE Niceet interrompu velle » de son film entrepris


lesévéne-
à importante.
vont s'ouvrir
Bientôt
à nos studios
réalisa- M.v Carl nouveau
Ritter film de
assure
laU.F .A,.
régie;
laîledePrussedont maine
Bucarest
a été mariée.
& desonnouveau film &
Lajeuneyeux d ecelui-ci, automatiquement eut
pressée mot
cedans admirable. Refoulée,
à
Il OUTL'ESPRIT
chanson.?
RORVOLMAR Cinéma
en par
ments méditerranéens
«LesEnfants
reprend
par
duParadis
d'autrespce
film
decetété: teurfemlP3
».
roducteurs.
dry,quitournera
Pathé-deSophie
commencé
jean- MlleJ.Audry
».
unnouveau
: MlleJLes acqueline
« Malheurs
n'estpasunedé- mat.
tourné
Au- orientale
nouveaux
dans
cultivateurs
4'été. Le de
titre
u
d
ne
etdonnera
sur lavie
petite
cette ddes
espdêcheurs
région
ecette b
ocuments
au
ande rude
tout magne
etdes
cli-
v Pour
lesquels
estNuitsChristina
Cefilm,
un
lasaison
prépare film
$ôderbaun
appelé
1943
films
96deVeit à1944,
nouveaux,
Harlan
etHeinrich
Kolberg,
l'Alle-
parmi
avec
George.
représentera
purs e
manciers,
etautres
tune,
t sans
cesdoux
t ache.
dramaturges,
écrivains,
n
Quant
ces
aïfs,les
aux
gobeurs
ro-
nouvelliers
insoupçon-
travers
de côtés,
jusqu'à
:
laquelle,
elle
M
f oule
unebousculée
s'efforçait
arais-Tristan,
duC.0. I.C. cria «C'estépouvantable,
c ompacte
deparvenir
elles'é-
marques
detoustI33. etde tous
rue Rivoli.
deinstruments demusique I
par
Louis Barrault qui e n interprète le butante ni inconnue des « afi- ABucarellt, lapiquante vedette les fameux sièges delapetite ville po- i nables
peuvent
ressortissants
bienlespillertoutà leur êtreétouffée,
jevais
et c'estmerveil-
au piano:
Places Irène Aïtoff
:20,30et50fr. principal rôle(lemime Deburau), cionados »
une
ducinéma 1 Elle fut Jenny Jugo
Propagande v ientd'être
etl'Office invitée
deCinéma par l a méranienne
rou-deSept
de
ans.
Kolberg pendant la guerre aise. S 'ils ne sontpascontents, leux !..». A CHATTOUS
ÀCHAT Ttel TAPIS
réparations. TelntofJ
Vente. CHATEL, 6.r.Thérèse. BlC. 68."
CONNAITREL'EUROPE C 0 DIA 1943-
30 OCTOBRE
-SAMEDI

°
M Œ
-5-

Automne GUSTAVE FRENSSEN Le paysage roumain

à Salzbourg' L'Allemand du Nord dans la littérature


par Al. PHILIPPIDE
poésie
E1ITRE l'aspect extérieur d'unpays1 A la suite d'Eminescu. lla
'intériori-
par Roger RICHARD
par Walter.Eberhard DOELL et l'esprit
biteilexiste
dupeuple
une co. qui
r l'ha-roumaine
élation: sation o s'achemina
utrancière. Ilvers
y eut une pé-
A
aencec
subtileetRoumanieprofonde. A cet!riode depresque vingt ans oùlapoé-
a-t-il fermé brillante égard, la intéressâmes présente sieroumaine revêtit, à de rares e x-
série PEINE le Festspielhaus ses portes sur une nitéd'un monde oùl'onpénètre leschoses,desparticularités ceptions près,laforme delalamen-
M rabella dereprésentations dela«
Strauss
Flûte e nchantee
del' « Iphigénie
», del'
deGœthe« A- IMI. Pttcjtavf
néen octobre
FRENSSEN,1863 dont on fête
dans un petitvillage
le quatre-vingtième
sur la longue
anniversaire,
côteduSlesvig.
est
Pas- sans
reflets
oublier
de
les
notra d
menues
estinée
misères
à tous.
dela vie, fournit
Celui
desrévélations
quijette regardinattendues.
surune
et, tation
gagna
i ntérieure.
assurément
Lepittoresque
rien.C'esttout
n'y-
» deRichard et » teur protestant. ilapar vécu sa province une
dansromanspleinsde spiritualité v iepaisible et lelourdtoit cqrtede Roumanie un estfrappé juste a
parnaturereprendvec C osbuc (1866-1918) que l a
C~ que le Landestheater de Salzbourg inaugure sa saison sous fructueuse, jalonnée des et de pit- dechaume Riendefaux,nid'impur,
decette maison,
sous
maiscomment l'extrême variété desonsol. Lacon- uneplace impor-
te
tjjoyvclle direction
réalisation de«
de l'intendant
Hamlet ».
PeterStanchina avecunereten- toresque:Otto Mé'dltatlOns, Semai1:es et Rècoltes, sont pouvait-il en être ?
autrement
eux-mêmes,
Lechef
lestapis,
d efa-
sont
figuration
mqnie, même
géographique
exprimée
dela
par le Rou-
lan-
tante
les
dansla poésie.
descriptions dela
Chez
nature
C osbuc,
dbw-
Qui dirapourquoi ences années de guerre la figure duprince parmi les^Zuvil rî^les plus caractéristiques de cetécrivainqui sanscesseen aussiauthentiques
trouvé encelui-ci «l'artère surlacolline
mille, les meubles
queehez levoisin, là-bas,cartegageconventionnel
géographique,
et froid
nousapparaît
d'unedeiit
imlyhsur.et n'ont r ienperdu d eleur
Teneur exerce un particulier attraitsurlesacteurs et lesmetteurs contact
vitale a vec
lavie le peUPle campagnard, déclare
formuleavoir peutservir d eprogramme et ; lefoyer de pierre, largement pleine depittoresque etdesurprise. Mais c'està peine après 14guerre
y.^ène} Hn'apasétédonné ausignataire deceslignes, quisetrou- de communautaire
é mouvante. ».Cette ouvert, avec sonchaudron noircouvert
d
de Surle territoire
es dela Roumanie, que, tantlesouci poésie
ddnsladudétail que dçns
aitenleurtemps
ttjflSl'andernier
?Itttet.
Jean-Louis
encore
del'œuvre
Barrault.
derrière lesbarbelés,
shakespearienne
d'assister
parChristian
Cellequ'il vientde voiren augmente
aux reprises
Casaqesus
son
A
de résumé
MESURE
à sonœuvre
que l'on
1-eN
s'éloigne
ord delà
deHam-
Itzehoe
Ses
paysans,
:
ancêtres
manœuvres
cordonniers,
appartiennent
tailleurs,
aux plus
suie,
paysans
n ous p
Nousvoicidevant
chemin
vrierde
rouvé
accompli
Barlt, j
que
defortesouche.
depuis
nous

usqu'au
s
:
ommes
la bibliothèque
lepauvre
g rand
chez
filsd'ou-
poète a lle-
la curiosité
tisfaire
quellaflore
tempérés,
sapins
en
des
dutouriste
contemplant
esclimats
ddepuis les
Carpathes
pourra
tour
continentaux
genévriers
jusqu'aux
sesit-
à tour
etles
fi-
laprose,
et que
pleur.
le
apparaît
Cette
réalisme
littérature
danstoutesonam-
tendance
précis
roumaine
quiconcorde
pittores-
qvec
cd'aujourd'hui.
aractérise la
Comme à lafoismetteur scène et inter- bourg v ers p ar oiciunsièclemanddela « Comtesse desable»,d' « Ottoguiers amandiers
et la Côte du méditerranéen réalisme se traduit dansla
lIrèt sesconfrères français en et Neumünster, diraitqu'une
onflotte vieux
sor-environ, habitants, à ceuxqui,vl'emprise d'Argent dela Ledit
poésie observation directe et

s.
nedu rôle-titre, PeterStanchina propose au public salzbourgeois une d'inquiétude dans t'eiret arrachèrent laterreà des Babendieck », des « Prédictions duvillage », Balcic, sur parune
dela e t l'emploi
vre deparfaite conscience et dehauteintellectualité. es) Stanchina te l'on voir q uelque part à l'ho- flots. des « Rêveries » etdu « Chemin denotre p eu- nernoire. tous lespays d u monde exacte nature par
ceux quidemandent l'intelligence quinesignifie nulle. que va cette je suismaintenant pater-ple»,sondernier quivenait desor-peuvent Presque une del'image
défini- Onestloin, doute, toujours nette e tneuve.
to11 toutàPas —pceosé rizonla mersurgirderrière àcôtédel'église, dansla maison
facedupoè-tirlejourmême
ouvrage
demavisite. simple
résumer
seetciaire, par
d'après leur po-timent sanstelqu'il du sen-
quelecœur
Seste
soitbanni.
n'estébauché,
4Vèsundébutunpeulent,
quinesoient
unpas n'est
lefruit
18del'auteur
d'une p
italien
s ur leplateau,
atiente
Ghirardo
pa;
méditation,
Chirar-tous
avant-terre
a forméles
ouce bOIS
lespaysages,
tous ontemprunté
habitants
la mer
lamec
à
quelque
à
M
laquelle u.
cho-te:
nelle,
sesyeux
sonttournés
clairs,
verslafenêtre,
assis
profonds,e n prophétiques,
verscettecam tésdanstoutes
Jevois q ue leslivres
: d u poète
leslanguesen japonais,
groenlandais,
o
letton,
ntété édi-
enan-
tion
sition g
deplaines,
gnes.
éographique.
Il serqit
Il
collines,
dedifficile ya des
de monta-
deprocéder
pays delanature
chezlesromantiques.
etd'imprécis
Rien
l'attitude
dansd'aujourd'hui
d
existait
evague
les
queont
e
tne trouve
tkies
son
lorsque
treurtriers de
rythme
Hamlet,
son père,
et ca"
son didanslaversion
connaissant
a résolu Schneider
plaisante
Schelde.
permet à
allemande deR.
Cettepiècepense
trois j eunes ac-
se
coin
de
lamer
profond
depuis
deterre,
etde tranquille,
enfinqui,avecson habitants
dessiècles
l e bonheur
tout
frère
aux souffrance
ou
enfants
la
inquiets
lafois-
levent, dis- pagne
quise
dece Nousvenons
et
dela
contrée,
plate s
déroule emée depâturages
jusqu'aux hauteurs
à parlerdespaysans
desDithmarschois.
etdechamps
-.u Geest. engrec,
glais
de la dansl'édition
lions
dans
(Jorn
l
d
e nUhl
elivres
esseuls f
d
e n est
anglaise).
el'auteur
oyers
à
en
son centmil'ième
Plusdedeuxmil-nature.
sesontrépandus
allemands.
delasorte
ginative.
menses
q uant
richesses
à la
ici,a étégénéreuse
etdece
Ellea pourVU
elle a
Roumanie
pays
beautés
accurnulé
„Lran
etIma-
Jd'im-
eu-
écrivains
devant
al- toresque
pagnement
metits
ICI
de
roumains
nature.
delanature
On
nécessaire
l'âme, mais
emploie
comme
s
lepit-
accom-
desmoutfc-
ans lefaire
,
i punir.C'esteneffetsurle teurs,UeslMMberg,
J«tragédie
Stanchina
delavengeance
délibérément » mann e t Bruno Sarowy
HansHein*prend
dedonnercôtemarées
ces
désire,
occidentale
retireles
a l'image
éternelles.
desesvagues etde connais«Plongé
âme. l eurs
dans
tous,mlaterre
c outumes,
jusqu'au
econfie-t-il,
leurs
je
c ombats
cou,jeles
connais
avec
leurleMais
la domaine nousvoicimaintenant
:
del'art « Il ya
lancésdansches
d'abord le peu- treles
un
etvariées
harmonieux
l decette
frontièresbouquet
contréeparticiper
4«Myettlyes- ture
On n'est
etcesmouvements.
goQtepas plusamie
eUt-méme
la dessignifications
en
Lana-
qu'ennemie.
sans lui
l'\tnt" à côtéd'aînés : sa santéphysique morale, ses Elle a accommodé lescontrqstes, elleattribuer

vus.
i*®* ^°uscet met
éclairage, leper-leur mesure comme côteOithmarschen, mer, leurluttedanslebien etlemal,lafol pleavec etpoète, et, adouci les aspérités, en ménageant mdrçlet
Margarçthe Coelestin, Erwin Cross AunorddecettemHeligcland, ême l'incrédulité.
et meparaissait Lorsque j'étais à l'étranger réserves deforce, nous d itle seu- a douces et a chaque tropétendues.
~~e deInerteprendunreliefetJohànnes vanHamme. Legoûtetà la hauteur du a mi-chemin toutl'impression irréelet horsnature, ja- lement après,lebeaujeudel'art.Leslesdé- jeunesdesdtransitions
eschangements tedécor imprérC'esttoutcelaqu'on remarque
------.
d'kV.Ccusé que celui qu'on l uivoit estaux pièces « jeunes ». Cette entre Unterelbe et Meldorf, se trouve B arlt, vais d'être p erdu e nun monde mères e t leurs enfants, quisauront pas dans lapoésie d'Ion Pillât, herbori-
L^oitude).
4i4t d 'Hamlet
Lafolie attitude. se histoire demariage la
rire» village patrie d eQustave Frenssen. Barlt, petit vacillant, fendre, passent avant l esbelles i mages et Lalnature, telle queue apparent acteuringénieux scrupuleux
etEt l'admire du
deviner d'abord, puis « pour
devrai » d u Holstein, quine semble point, Là OÙ il n'y point de chemin, point de toutes l eshistoires plusoumoins m entes. dans a poésie populaire, revêt pres- paysage roumain. on
comme une « pour entre ses habitants
parmiabriter de simple r acepay- « a parlesancêtres, sesdespoètes. a quimène cabinet toujours unaspect pastoral. Dans aussi danslaIonel prodigieuse quantité
t%.tn,unefroiderusequi veutdeuxcousins quinetotalisent guèresanne, unhomme ayantsuélever lande
la point quin'aitétéfoulée de que
leschansons lyriques nommées «401- Teodoreanu accu-
user
8tlrtestceux
lu'q route
j^.Us
ici
qu'ilvise.Ophélie
qu'un
du
simple
vengeur.
ma" plusdequarante
accident grondant
de «gens
ans à
duhautdeleurautorité,
m »
ariés
eux deux,vie,
la tanteencoreces son
l es peines,
desesdesapropre
âme
lamort,
co-villageois
et lespoèmes
par a suqu'il
laforce
jusqu'au
e
conception
tles
écrivit
croyan-
niveau d e compli
dumon-et solide,
surses Gustave
dechamps
sontravail,
a
Frenssen
oùl'und'entre
lesolme
eux n'aitac- travail
paraissait fixe
Danslevestibule,
tableau
qu'au
eseshis-ves,ouvriers
puiselesujetidmmédiate,
deFrenssen,
: nous
généalogique hommes
moyen âge, j
n ous
celui-ci
usqu'à c es
arrêtons
a u àson

quiengagèrent
jus-
remonte dedouceur,
gra-
neD,
les
o
évocationsn trouve
montagnes que
aveosansâpretéet grandioses
habituellement
champêtres, d'une
justifient
roumaines
g
des
ran-
d'ailleurs
sauvages
d'images
mule d
Maisc'est
descriptions
unelarge
êtreroumaine.
que
ans s es
dela
place
romans.
la prose
parnature
l
queles
ontconquis
a littérature
dansoùlapoésie
décors trèssimples a demoiselle
de Kurtfinissant, » quiles a élevés et de etqui, et paysans sans époque
Ichter, lamise
rsoritiages se
en
détachent
scène
et
o
se
ùles
dé- d'un vieux
à
r
travers
êve,
l'hymen, par
l'écroulement
l'amener
char-
voisins
elle-éternel
La
immédiats,
cadeau
grande route
à tout
s
l e
olitaire
faireun
peuple
entouree
vrai,un toires
allemand.
a anoi«î»o
deson
Chronique
danslecercle
pays
deBarlete
desa patrie
c
»
onnaissons
quenous estcomme :
tous
le
« la
clair
leursmains.lecombat
comme
guer un fierhéritage à
delavie,et surent,
de
leshabitants descendants. Dithmarschen,
leurs
lé- effrayantes.
plation
qui s 'encalme
On
dégage
y
etest
goûte
lucide.
une
exempte
contem-
Ladouceur
demol-
sombrait,
marasme
prose
AuneE
après
de
roumaine
minescu,
banales
s'enrichit
dansun
langueurs,
d'un
la
clas-
jj*cent l anetteté de figures su,même à en est une maintenant fertile e t reflet dela vieet duvillage natal d e Barlt, Gustave Frenssen, Allemand du Nord. aveo lesse, comme un parfum d efougères c hef-d'œuvre Pseudokinéghè-
damiers
avec
échiquier, surun plateau
noirset blancs,
carrele mante-
révèle
"LieslMillberg
u n souriant
surtout
talentpleinde y marécages
nousmène
asséchés
uvillage
aassé
est routeconstituait
seul; cette
l ien decolline a cet.
c'est
ce
enquelque
petit c oin dela
sortel'histoire
basse S axe.
culturelle
Comme
de airsérieux,
l'au-son bon, estdelalignée
il
tranquille,
deces :
maisinfiniment
gens-làpourle C'C$t
danslesgran4s
16pQTfUTt bois..
fCLۂuy6 GtcStikos
sique Fauxtraité
ou Odobescu
Alexandre
: devénerie,
(1834-1894). par
On
, Contribue
, !tI\deu;
à
dépouilléeune
trèsprofondément
èti'discipline de rigueur
émouvants.
de
impression profite
quia desins..ry
finesse,
firmer
metteur
qu'il Ilserait
cependant
également
en scène.
injuste
que
de l'occasion
ses
Bruno Sawo-
pourade
qualités
dequitter
au
dent
siècle
line. Des
f- leurstroncs,
v
quioouffle
lethéâ-marécages,
ers
o
p
rmes
l e
séculaires
telsdesbras
l'arrière-pays.
delamer
lesa profondément
p
bordent
menaçants,
lechemin
Leventdlesanciens
ar-dessus Ployés
etempête
:
seten- sères
etdé. NOUS
teur sait
d'un
re deTrente
amour
é mouvoir
village
visitons
Ans.ces
rédempteur
en

ensemble
nous
deslandes
d
misères
viendra
écrivant
pendant
soulager.
lamaison
les mi-
laguer-
queseulun duvrai,
peuple

du vieux Degrandes
a llemand,
dubeaupaysan.
Nousterminons
jardin.
est avant t out,
notrevisiteparle vieuxpeun
fleursjaunesmille
b rillent
l

à
petitssoleils,
e type

hau-
chansons
traits s
clairière
et desapins,
populaires,
obres
décor
tastique.
M
C'est
dans
sur
u
Poète Pardegrands
anonyme
à lafoisprécis
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cam-
etfan-dela
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mon-
de
y
leété
et nos
trouve
garagan,
d'admirables
plaine
égalées
v alaque
descriptions
depuis
actuelle
A l'heure doute,
lors.
le
descriptions
qu'on n omme
quin'onl
plus grand
dvpaysage
l'agrandisse- oil un. P aisible troupeau connaisseur. sans
t imposéeà lui-même,
,.. Brahma
l'appliquer
de nommer
,:. riroyal), Frederike
à satroupe.
Stanchina

et ErwinFurkvaen*
11con-tre
ici spécialement ter»
sansdire
réalisations
,
Faber(lequelHermafin sur
du aumoins
«
leplateau
Marionettenthea-
Aicher
miniature
présente,
d
du-
es
unmot touslesans, nudés
nent à
depresque
nouveau
lui leurfrontauroute,
toutes
et
ventde
leurs
inlassablement,
viennent
lamer.
b ranches.
ilsbourgeon.
fièrement
Mais,
offrir
de la côte,n'est.trois
poète, quin'est
mentdufoyerancestral.
serie de son
l'appartement
lasalle
père
à manger
e
et,plus
n sorte
fait
loin,
a remplacé
que
L'atelier
l abelle
demenui-
partiemaintenant
l'établi
t able d e
teurd'homme
de lesabeilles
Le
murmure
soleil
oùles Nousnousséparons déjà
comme
bourdonnentla
estloin
son
derrière mer,leventmoutons
doux c hant n octurne.
dansla rueduvillagesa
tagne
te.
dans
Levent
voixl es
broute
arbres
Oitau
grave
l'herbe
chantçnne
dense
delaforêt,
clair
aperçoit,
m
ethau-roumain
doucement
urmure
métant
d'un
haut,desmans
enloin,
incontesté
temporaine.
champêtre,
estMlaihai
dePoète
sescontes,
etprofond
Sa<\ovea.nu.
prose
en
Sadoveanu,
roumaine
prose
dans
faitpreuve
maftr,
s
con-
delavte
esro-
d'ux
Ijhfe. ïïile
(Ophélie), PeterMosbacher, aussi, de
:
nouvelles mises en scène Unetelle
ellepascomme le
proche
symbole detout c e qui e st frères F renssen
et
venaient
mettaient
regarder
eux-mêmes
leur maintenant
la Comme un
déserte.
pèlerin solitaire etlas, l evieux
ruisseau.
sommets
vallée,
rocheux et,
regardsai
leverdoyante aue perd danssonamour
danstrou: ---Won
nu
de la
dann
nature. On

,
Laerteremarquable de
de XVIeses classiques le « Faust » du visible et invisible à l'homme dans c epays d u pèretravailler celui-ci devait aller s 'éloigne. solitaire peut-être, mais p as la
l'immenirité la plaine.
d'lnt
note,?"f¿ A dans Ha
'MMj^e,
M OttoEssan,
!a sonpropre
Polonius
jeupar
retors
Hamlet. pirer
siècle
G oethe
quieutl'honneur
y alterne avec
», «Apollon
d'ins-Nord
Mozart ? Le
vieest
LeDi- marschen
vraisentiment
resté dans toute
germanique
sa
paysans
pureté
dela main
à Dith.aux
lesplusfiers Gustave commande
à l'ouvrage,
champs
de
lorsque
et quele voisinréclamait
planches.
poète
sa seulcependant,
avec ses paysans,
car nous
pour
sommes
fêterson75*
touslà, Ony sentpartout
a nni- sible e t
liesouriante
paradisiaque,
etdouce.
unesolitude
un6
ç>"<t
~Sadotcan
pai-(L'A~Anoutzay),
mélance
phrase
unPe- la fécis:-,* Hast^uc à 'l'Pmr/ui-
le^râce
X?.rePrise à Stanchina,
deJa «Marie
drame
) reprendre revanche
Voir
; L|j,rçtteet'lacomédie
c
quiprépare
Stuart»
lassique
sa musicale
semble
1o.
(«Bastien
derecteur
et Hyacinthe
Cadi t rompé
etBastienne
deThéâtre
») et»Gluck
sur boissontentoutpointdignes
qu leur6 confrères
»).Ses
, « (« Le ailleurs
comédiens
chair e t
de
de
er
et lesplus
(paysdes
particulièrement
libres),
enAllemagne, à
plus encore que
etcecis'applique
Gustave frenssen.
partout
tout l'âme.

D'UN PAYS
Toute
Frenssen
samalso'nr:
est restépaysandansversaire.
respire lapaixefiasere- Adaptation
le
française

suffisait
d'Horace

pasà la ravitailler
sage
Novel. desimpressions b
quiétude
ien
séespourtant
expression
en rablement
mains
fait
sans
dons
pour
motif
nostalgique,
nomment c
d

dor
onner
reposantes,

1.
t
paruneétrange, ,
quitrouK"
ces,*nti
aj.o?~.

Q';WROM-
l
ïO.i
-7oin
traver-,
1-71:1<-
¡
harmonie
m-jmusique
Onpque
même
aux
dr<!
eut
dt
desmr.'s
soutient,
yre.ïQVe
la
fmages.
lccnrh/rj
y
en a-npnfiant,
qu-e,
alittérature
consacrés
par
roumaine
le
4la ,,,

,t~ <M^ra'ent trot « en dt ittérature, laSuisse romande de- trois x /uàrts


peut-être
1.«lVement lesfaveurs unpeu
du publii os »: dont i ls ne sent s éparés dtlemayne ;lara. son autonomie. Des m aisons dégagé souvent detouf
mnttl déterminé, rurale o u bien à Iz u*àc3p.~- place
- *»f ^L ®°urgeois.Mais« LePaysdi reste queparquelques arpresqu l'édition sefendirent un peupar-matérielle,
puissant
sans l'obsession,
jusqu'à matavinees. lanature
considérable. ytrouve
La viedes unegrandes
*rÇ»,a Monika
,!nOI »,
<LU],Q,4rs
et bientôt
»connaissent
depeaux
* S»fe»ch. soirs
«
M4 Sccu
etconnaîtror
sur Ica
Mir^bellgàrtén.
»,«Le 84roi L- troupelocale
l~|eirnatbûhne
bor<jsarentréeOtt4vec
tonpaysan
sous
»a,
« S^lzburger
çltaaussi,
14«érection
Erde (Terre),
opère
~eAnrMandes
un dia-
-
nées j
Unenouvelle
Mallarmé
adis
que
d
;
e
Les
Çtefan
maHai'méens,plusieurs
traction 4e
traductions
Çeçrge
a.
a don-
chefs-O'mu.
i le» A L'AUTRE :ÓQt :
Uufanne,
une
Fonds.Rn1942,
Suisse 53
4 FribOurg,
nève,unea Neycliâtel,
Qut
de
a L4
troisa Ge-PtJf'ffJi,
on vendait
romans
deuxa C'est
Cbaux-de.
aùtoeoto-
neacu
en gernent
son
cien
la vente sans EmiwtW
(
purement
dctris lapoésie
1't9--t88.)
et raysaps
expression
é gal
ta14
4e
esthétique.
deMih.i
qu'on t
roumain,
plus
rouve
pure.Magi-
lanpue
Vmi-
W*
dansoffre
poitujut
villes
tinue
C'est
n'y
d'une
profondément
aPPamt
aileq44^cfs
dire ue l
façon
contredisent
d'une
dernières
alittérature
générale,
poétique.
f

Telune
Pasle La
açon con-
années.
roumaine
teinte
stlefait
eréalisme
de l'auteur autrichien rétyre encparticulier nes deplusqu'en19S8, 4même oantentré quene le fondsocial-
opéra, de son côté,entemr-nq cjtécécjé Kwl S phônherr. er« Hérçqigtje », sont onnues de de* récitsdevoyage et deslivresroumaine,
14#1 s ès poésies l'àme 40la psychologique et,sentiment
le deIqna-
"iWO\HS tenirla têtehaytedans1 Et laroysiqijecemment ? 1.,es $41les tout
de semesurer' lepublic l ettré.
aveccemaître,
9ans vouloir
etplu-! recueils de nou- documentaires30c!ft,
avait a ugmenté
de
de
mAmeOTiginelet; o u n.q.t"f'e
2e plan
10OUtttqine.
mardi les
transposé SUI" à
couleur,
Il abmUsdu solturetonne touteoeuvre que
même littéraire
unequa-
, J1*deMozart,
- ^ois-ci « Madame
oy nous a
Butterflyvons
»<
e COAcertqq'
sait août
&tpinFischer
sont fermées.
en octobre accueillir
remplis-
Elles rou-
tôtpour
entreprise,
donner
M.Fritz une suiteà son —Onannonce
psln^er
choixdepoèmes
vientfrontrussedel'écrivain la mort s
Kurt
degers,quiavaitpubliéun grandetdaneplusieurs
ur
E
1"Dansplusieurs
g velles, dans« Lalivres vie en fleurs
divers (
vrages historique
» Enfacedecetteprospérité
en
de
l'indépendance,
35 natal. En lui.
ré-dansla littérature
laSuis-pirele paysage
p ovr l a première
roumaine,
roumain aux
fois
anti-
et qui en
lité valeur
res-plusde
constitue
essentielle, nee
faitqueprêter
sthétique et plus
t L'Enlèvement de publier unexactement à littérature en pleine
ttu
auSérail». vriront en pour Mallarmé, vingt-six nombre deromans satiriques ou général dialecte bas-allemand),
en cessadeluttercontre sultant, de tendance à consitlé- ques forêts d esapins et de hêtres, d'agrément
ascension. une
telest justement lecas
comédie dite W. Van Hoogstaten, E. Mainardi Gedichte »,aux Editions Karl i politiques etquiavait e xprimé de Eckmann ne se romande a actuelle aux vallons profonds à travers les. Or
littérature roumaine dece
pioprement e: le Quartetto di Roma, et Waltet (II à Dessau). Il villes etcontre l edéra- rerque la situation ne! quels passe mélancoliquement l'echo de la
! ^sentée, et
h. cesenfants bien représentée pî
», troisact( Gieseking.
Rauch,
sa préface leprojet
annonce
delaisser
dans
aux
façon
quinaire
originale
desnouvelles
l'esprit
:
révolution-
générations
l'appel
cinement
desdescultivateurs.
manquerait
A ceAussilui est
pas Paris
nullement
espère-t-elle
défavorable
qu'après laguer.troublant et prolongé d'uncor. temps.
,.
GALEMIS DART textes
leurest génie.
trahirleversion
gue,
peude
unpropre,
la lesrythmes
l'obscurité
L'édition
allemande
estbilin.
calque
laLesF
afinden'enpasviairehérétique
forts
portent »
rères

dudestin
Laliberté
témoignage
du
»
»,«LaPatrie
pour
,« Le
guerrier
c et
bré-titresonœuvre
desderemporter
»
écri-
France
que
et
menace
un
la
necertain
danslaplupart
civilisation
s uccès
des pays
indus-
re
en nopole
conde,
lui
due
ne
permettra,
gardera
la
pas
(?)':àunecollaboration
son
décentralisation,
croit-elle, de
mo-,
fé- 3 Une
rece-
thur
importante
Oroueli
Drouant-DavM, aura ..posltlon
Itou
Vernissage à la
le 9
d'Ar-
Salaria
no-
a
SS Une
fait
portraits
publiés.
erreur
signer
de
typographique
Séverine
Fénéon,
t'qutour de
Rappa
que
eee nous lesanoue
derniers
deux
venu
est

-r• OALIRIt
exactement et même vain original, à lafoishumoriste trieHe. voir d irectement et d'envoyer des ivembre. M. S éverin Rappa. A.
Beaux- QLe vernissage des expositions
^«U)-5IALESHERBES
wt'-Petn (20.
tuires-sculpture? r. Capucl-
nOv.
Males:herbe¡;):
gtaud.
GALERIE Odé
La-Boétie) 2ET

^tlsEI.' - Tabl.
2-401.
Tableaux ane.
'(H-(26' r'
etinod.
modernes.
lescoupes
français.
datedans
graphie
dephrases
Cette
l'histoire
mallarméenne.
despoèmes
publication fera etpoète.
dela biblio-—Acetteépoque,
Ellemon.sanscesse l
oùl'onvanteSuiAôe
alittérature re-
- : phes
Vienne,
uienrirônt
anslesprovinces
livresdBelfort,
Grenoble,
Besançon,
descentres
Chambéry
d e
limitro-
Lyon,
de-et
culture
QL'«
Arts» f Ecole
ondée
qu'encouragiamte,
jeuooMre le
Munlelpal.
d'an
déjà dernier 6"
deirésultats
ouidonne vientdereprendre
lundil' octobre. le
à Treyee,
..lu.
KAsskeff
roux, 13,
28octobre
ouverte
et Jean
avenue deLuit,
l'opéra,
; l'exposition
jusqu'au 9 novembre.
calorie
à laaeu114U
demeurera
d ans le
:
: t. - a
D'ANJOU t a.bd ipov. KLEIM 4 (Ï46 bd pluslesqualités H

::
BdrcquevWle. Vernlss. 56»). N"N—Contcmp.
Haussmann). unefoisde tourà lailfaut terreet les écrivains M.JeanMarteau 01,1l'onpubliera desouvrages que
'ÉN-CI-EL 117r.
peioturcs Sevres,
Jusq. 11 Nico.las
nov LEFRANC-ENGRAND
AU MUSEE
Paris DE (13.tibte~
L'HOlVCWE
quc>lduel
etcubistes
r.Abbaye).
(Trocader«).
ccnt,émp.- tre
plastiques dela langue
et
allemande paysans, rappeler lesouve- —dans«LaNouvèlle
blier
vientdepu-
Revue de nous lironset où on tiranosli- PEINTURES 62,MAZO,
r ue J.
Bonaperte MOREAV
(Odgon R02-05)
BJZETTE-LINDET
SESLTTYD, TAUZIN -,
er*
feîRlïi>E
tie.ty. L :
'ART MODERNE (56 r.—— ExooStioi par consacrée auxpionniers qui, p arsa richesse
doute lamieux sasouples- nird'un écrivain allemand, Hen' Hongrie »,quiparaît enfrançais vres.Et dene cela nuiraà la foi
= SCULPTURES : Jutqoau
1PAUL IOUYE
78-53) Ta-bieaus demai- et exolM-~teurt. 4~ ûotreempire co-se estsde ans travail aocom- richEckmann, disparu il ya trois à Budapest, une curieuse étudepatriotique personne. « Notre VeraltllOa,e aujourd'hui. Mnovembre ------- s J!
tri,\tu:e
.Ii. BEJtiBI (12, Vr, BCTtn:N. Eek- OiLEBIt PRINTEMPS modée toutes au dela ans et qui serait a ujourd'hui à l'édition seul e spoir réside dans l edévelop, ART FRANÇAIS
4R^paU)
^29,
Vernis.
"tJ¡eaux
rue
desr.
4 nov.'
La-B^tle)
etXX*
XBonaparte)
IX.
r- breJ~~&u
- Maittes con-
bièe,es' G^.RIE
par l
D'ART
ffiiw.,
espeintres »
DU
etSenda.ngas
v. U r.).
contemporains.
vig;
13novem"
i,.vues
- Exp.
traduction. peine
:
dinier
quinquagénaire.
deprofession
Il étaitdJ'un
et
ar.surla
filefa-t-ilsuisse
situation
delangue
l'armistice
jardinier« Mesancêtres, mandeavecseshuitcentmillecertaine de1940.
faiteà
française
LaSuisse
depuis
r o-
pement
c'est-à-dire
du régionalisme
dans
autonomie
l'affirmation
français,
moins
aufrançaises.
d'uneIl 24,ruedelaPaix
spi-
Opéra 78"88I
j^-ftOEîX (62. lOde. C«2_- GALERIESkROYALE (11, r. Royale), CALERIE pomone écrit,furenttousdeslaboureurs »
-EkU
— 3e habitants, peut suffire à for- rituelle des provinces
(70, r
Tab.eauxmodernes.. Bcmaparte).-
- 5n SATn^'-GERMAIN-DES-PRES' Vern. 7nov. AU BON MARCHE etnon pasdes paysans mode
àpremière
la ne d eculture a uto- Il fallaitécouter pouvoir impartialement
C^fés
-- aEte).
aresco.
ti,
~RtE L
Fontainas.
BUCHER
9& PeIntres
J&an
OU~CA&RE
Oter.
Mi~ro.
<10.
Jusq.
P<'bdMo~litp&r-
M.,M..-.
del'aQalerie, qu'au
Germain)
GALERIE
bd
PES
Mi4eleine,
œuvres de
TP-OIS-QUART
F.-A.RavicrJu^
4*étage).
peintres
novembre.

£gS bd6t.
«Intimité
contemporains.
(17,
Jus- PEINTURE
50ansde
F RANÇAISE
Virgile.
de mondiale,
guerre
prisonnier
Pendant
deguerre e
la
» ilrestacinqansnome.
n Angleter-
mer
qu'une
un groupe
Avant
province
laguerre, ellen'étaitceson
linguistique
FranceAl'Est,une frontière barrière
dela surer
lin- gémonie
decloche,
lemoins
deParis
sans
dumonde
n ese
même'

quel'hé-1
restaurera
dansles 1
S
as-

, - -1 JUSQU'AU

-
1 5
VANDAMME (Les Mirages, 70, oh.- re d'oùil rapporta un roman, l'Ouest, une pasen France e t NOVEMBRE
S^ERIE CHARDIN (36. r aeine). LesCI
—oct. Tr'ivsées)
GALEltIE —Groupe peintres contemp.
VUliers). 1893 -1943 sà Eira etlecaptif»,quisevendit politique
à
guistique, perméable, derrière payslimitrophes delanguefran
^ERlt
^Orèi
S-La
'~Us
CHARPENTIER
^Otentrionaux
Rétrospective
JeuneSculpCtre
®ÊVRëkll
îî.°n Royale.
sauf
(76.
deParis.
i p,l
1
,UCHklSTOFLE
«?r «oravure-Orfèvrerie
Opé.
lR8t-Ko-
Juw.
Emue

Bernard.
trancaise.
undi.
»:—
70-43). Exposi
Daragnes,
ir-âr
—PAIERIE
VILLIERS
9VISCONTI)
4-74'.—

'Bibliothèque.
52-611 —Tableaux
p (10. av.
eintres
Les(35r. Seine.oui
modernes.
p laisent groupant
Dan. 120artistes les œuvres de p
contemporainslus de
mmmmm plus
Il publia
romans
moderne
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ensuite
paysans
m
enAllemagne,
lechamp
ille
un
e xemplaires,
desmeilleurs
dela littérature
» ,
man's
Paris,
« Lapierlacondamnaient
entièremenl
à chanterle labeure119-40,
peu eanMarteau,
elle,ditM.Jintellectuel
landétaient
telles
aumarasme.
Paris
de puis,
unno
vidépar
leslimites .Européenne
qui
En
signifié
a s'aper-
çaise. -DROUANT-DAVID
Maurice SIM

Prot '-~
consacré «dl'éclipsé
V
«'Knlaiont,
Li ^ûchagues
Cimaise
tt~~t:
bt}: te~ux
4,P-RIE
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Galanis.
Il6
anciens
LAüSEN
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114,
T.t.
i&MÎDROUOT-PROVENCE
(52.
DROUI-,'
Savreux. Ju~6
Marie
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anciens
Laurencin,
bdPoissonnière».
modernes.
Beaux-Art~).
J. fbg
etdim.
-

St-Honoré).
novembre.
r. Lucilla
modernes.
et116.
Antonelli: Belzé-
Traduit un
me
ratéparen elle que ses
ailleurs,
formes, artiste
quifinitdans
la fidélité
patriotes du
terrienne desescomcelle
Schleswig-Holstein

personnage
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puis
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que

:
lavoilà
la
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province

ellefetce,
leurit.
française

Il s'agit gne
V.-A. :
Marcotte L'Espa. trayant
nationale - syndica-
mode
mant
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l yrique
d'unvoyage
u'il
et qui
f ità
estun
préludetravers A.
résumé at-
enthousias-
lapénin-
d'aimable mais 13,avenue
52.
GALERIE
F
Jusqu'en
bg S
KASSKOFF
6novembre
t-Honoré.
del'Opéra
Anj.79-4S
ROUX
(Opéra sgm
mm
34-79)
15-17). — Tabi. inodern buthet la Belle.Philippe cabanon, tandis
veuve
que, fortdésen-
épouse par la Quantd au diabolique
émolit leplaisir, l'amour debien démontrer, p our q ue liste. curieuse façon a ux pages defait5
j chantée, sa d'af-qui pour quejledésir nest
I et dedoctrine qui lesuivent. Ce- JEAN LUX
de l'italienpar

Pf
n. suite richissime homme jeune fillejadisetson amour nuln'en ignore, particulièrement dupays, surtout
^-ERie DUFRESNE
Tahicaux des (19.etXX"
XIX' bdSaint-Ho-
RaepaUl.
sièclm. de un d'une qu'un eune ménage Belgique, ettoujours pendant l'histoire
i Jusqu'au9nov*mbr*2=2s533e
^î-Erie
1<ANne
"T"
liS
DE
Loutreuil. F RANCE
FROISSARD
SdeC.Oliveda
culptures
--GENTILHOMMIERE
(3.fbg
r
Peintures
il2
Dapeynère
de Vernissage Boétte).
Peintu-ILESromans
3nov.
bdRaspaill. mes
Zara.
se
écrits p
reconnaissent,ar desfem-
à mon
faires
heur
peintre
nature
e
qui
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l ui donne
fabriquant
naturellement,
stérile, assez
enfin
un
sest
l
èche
ebon-
bébé.
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par-
à
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luitoujours,
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qu'ilpeut
nièce, devenue
r
il
rédemption finit
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mère,
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pointl'amour,
lar- sans
désespoir,
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universelle
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ABruxelles,
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foyer
tense. dont
L.Thomas,
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l'animateur abondance
com-
pendant
in- à nosjours,
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y
qui
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clarté
de connaître q ui
y ade1930
avecetun*m—mmmmmmma
u ne PEINTURES
(67, facilement. marché, quandl'indus-abandonna,
douxgarçon. et devant son petit rances Je nedela LArvsiiwfl

'--
î" Jouclard. KvapU, Seevatten-Wol- avis, toujoursq assez
ui s'y manifeste. dessus lecontraire, s'avère un discute point 1argument. mentateur deGongora. lamieux etdelajuger deSociété des
t alent decause u^-,
r rjfonskv
RIE Jusqu'au
GUENEGAUD
Galeriede France
3,faub. St-Honoré
9novembre
(35.

- AnJ.
r. Guéné-
-
69-37
fadeur
mêmes
Lp.
telleémotion
naturel
plus
mâle
ouque
en
féminin
qui
somme.
d'un
d'une
s
virtuosité 'en
lesnôtres.ne
dégage,
sont
C'est
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homme,
leur

leplus
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trielau
sentimental.
les arriver.
paasssez
Je C'est Et Belzébuth,
f,f' Disons-le
un bien
Cela,
s
: c'fept
c'est
donc,
ingulier
s ûr,peut
là-dedans
bonhomme.
uncompliqué !
Certes
vant
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but
impressions
est-il a isé
telleaffabulation.
estdebonnes fort
de railler
choses.
b
d'enfance, ien. Dans
par
de-
Ajoutons
dé-
exem-
charmants.
Tous les
Celui-là
degrâce,
Le les moins
;
deflèches
depudeur
goûts
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sont
fort
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bref.
(ne
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honorable.
parneui,
en
fût-ce
l

unmot,
que
anature.
point Mais,
t ant,
moinsgros
pour
plus
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Latradition
sins n ous
volume
d'horizon
chez
continue
adressent
surIl renferme
nale-syndicaliste. bien
ellè,
etnos
aujourdhuiun
l'Espagne
documenté
danssetil
voi-
natio-
en
trine
posée
un cependant
sur
espos-
en
connaissance
nationale-syndicaliste
avec
détails
p récision.
la voir
au
tional-socialisme, fascisme
dont
comparée
i
estex-
Onaimerait
et auna.
ln'est
plus
f ait
DECORATEURS
IIIUSÉE
107,
DtSARTS
FRANÇAIS
DECORATIFS
ruedeRivoli.P»lil's-Koy»l
M0
LOUTREUIL accent peint du femme Certain que toutamour s'achève, ple il y a desdétails des jeunes pères 1). Combien m'eùt pa- l'Espagne monde, sy état qu'on p ~&Pt. 1114
BA&M)UX NIIVAeeEUR
rejoignent
dela féminité chez
tout. Lesens
l'homme qm il dans
rompit
le
(l'aimant,
temps de
qu'ildisait Regardant
ses fiançailles, magnifiques leslongues
robes
trainesla ruepluspoignante
maternelles, mieux vécue, libre d uneaventure
etendance ap-
sessions
joint u n
etdans
tableau
leintéressant dela ce livremetl'accent,
pas p'en que CARLHJAN
VtLLEQUEï
MAIN*
18»5-19?5.
(PEINTURES) à voiravecl'expression < sent l emieux femme » plarien
del'une avecunefitreligieusecharmante enfant qui, du petite B ella a vait é té plus d'une puyée. D'autant que, tout c eci posé, vie économique espagnole,
moment, non Maip brièvement, sur lesreve»4loations CQAjlD SPADÏ
secettetantequietn'est tentée
u- fois«furtivement,
adp de promener des-
seprofitâtd'unelelivren'estpointennuyeux, belle qu'elle
e'il tellequ'elle est e nce être fois flfltuellesde l'Espagne.
f uient Cellerci de- DEëOtfl
GRfLLOVJ RELCÎE
LÏVESQUE
-:::::::.' d'elles, etje neme souviensppint. coup p 'occupa sus, visées, ilestac pourrait une mande fllJt abpUts la tic- JANfcEN SSEBQE ROCHE
j=£flAlERIE
St,*vfouedouasno eFrledl^Bi
quant
posé
KUEl^i «Mûrement
))
s
àmoi,m'être
an$
me»,queIfc
$ voir
c'est
regardé
l'ouvre
dit,Jelivret-eque
de
d'unenom
fem-
ne laievéritéen chemise,
Jesignatuy.
: Bella.
secret
graphies
par
dernière
Cettel'intermédiaire
d'unelettre
dan? u n
surprend
etde
tiroir d ela
d'une
photo-
distraction
ce qu'elle
cel- tions
cheur-
adore, Vis-à-vis
».l'enfant
uisontdnotations
qCertaines a
d'un
des
'uneexquise
pèren'a
inten-
defem-
ceux
pasdehantes
q ue
davantage,
frgl- c'est
l'on termine.
uneautreaMais
l'agacement.
i
vrai.
Maiç
quant
en point
il estffaireilprocuretrêves4,
: a ,(')ntesontIêç
que leshostilités
permettraient
conçus-
4e
mop45»Je?
réaliser
> quepesspéciglis-
plart
stw
W ti®?*
en- rifien
faveur
4el'int^rit^
nomique
a insi que
delalibre
au Maroc-
4eJ'empi?®
les^restrictions
concurrence
cher SAUVAqE
éco-
demande
Ellefrontières
en MAUJItE"-
Ju«t~20œov«paï>re
aper- de - OUEPie PES
lIKHM EL11R]| constatant
N>Ujra)S-ja 4onciWL
prénom
Anto^eUi
ucUH. je
lule.
treublée,
montre,
s'enpuis, quittant
conçût.
on lelpientèt le me,
çue
lorsque
que sa
laSupérieure
nièceconnaît
s'Mt
sonse- succès,
brusque- « publicj'ycrois.
», poncifIlestterriblement
4 souhait- j'en Travail
et,partant,
universitaire sansdouteaussi
vuigar^teur,style qu'elle
qu'Ion
uelesKapylies,
qoccupa, luicotent
joijit h rendues,
pos-
TROISQUARTIERS

t
avaitcomme P«nsécouvent, tombé (ilestdecurieux cret.Pourquoi faut-il que ! réponds. aisébien qu'ony pente parfois 4e- sessions pduSahara
uisse être ses
sapo- 17, beulev. M»del«ln« (41étatt)
n'eusse
Qu'il pau fl'-l'1Q
ouvait s'appelerjamais l^ci&no. hasards
personnage
Odansjuste lenplein
a première x§ur le ment
per- La
l'histoire
vie, p arfois,devienne
l'est d sivoulue
avantage en- La traduction
bien connu q u'est
qeM.
l'italianisant
Philippe de tranges hardiesses
termine-t-il
4etraduction.
pas, p
t'lI" sition
arexemple, sur l apéninsule etque
deLaAguera "INTIMITÉ"
BeZzébTfth et lainhérentes
Slllle, s'iloffre rencontrée aucinquième éta- core '?Soit,soit. Est-ce une suffi-Zaraestagréable. Ellesuit parfai-se sur1unité espa-soit moins défavorable. Elle estime Œuvrer de
-!~~: jusqu'au 6novembre .~X~ quelques qualités ausexesonne
également ge du building quivaluiservir santeraison ? Apartirdules chapi- tement letexte. Peut-être certaines : par
gnoleceparagraphe
« C'est cetteunité bénie deplus. « Que leMaroc estsor Asselin, Mac Avoy, Beliset,
Carzou. Dora
Clavé,
P* ART
30av
MAGASINS des
REUMS
L'ETOILE
DTEernes i3«
-
étape)
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Planson,
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La uInière,
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Elvire
Lautrec,
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Poliakoff,
C ne- d'une f ille fort parallèles de- Tous l 'ensemble est gava,
Anahit
ya|iér CAstardjluii,
osson,
Friesz.
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liissière,
.agar, J.-F.
M.Ger- biennommé,
Fruitier,
Laglenne, tant t ués d ans u n
esparents
qui.saccident devoi- je
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se- meureront existences
jusqu'au bout. Cleomme
Bella nent. Etencore,
discutent,
cesgensserait-ce ces g !
ens
l'aime
raison-aisé, tant».
lestyle
Mais
coulant. MELLERIO.
choquer
L'auteur
unpeu.
pique p as d'im- (Eait.Privez,
J.-O.C. Rello
liassrltRital. Singler,
Vilprd, Vinev, gtrerker, Vau
Volovick,
aetGoerg. viens d ele raconter, e n MERAN nese Bruxelles.) \<'kH. De Waroquier.
Lombatd. F. Smith.
H.de
SCULPTURES
CERAMIQUES,
Terechkovitch,
Waroquier.
d'IIortense
des 4 Béguê.parsa
Potiers
ture.estélevée
prend d tante
'un
religieuse,
jeune p eintre
couvent
dansunpuiss'é- épouse
qui n 'ai- toutefois, plusami
unetautre, deBelzébuth
Belzébuth
Maisc'estel'auteur,
quelui. Lathèse stamenée :
celanavre.
etdeloin et (Sorlot. édit.) partialité. Sonprologue sur le Jusqu'a.. J.5novembre
fnTFRïES. d'André Foy d

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