SGBDL2GEO21
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Ce cours permettra dans un premier temps aux étudiants en 2ème année Licence Géologie d’avoir des
notions de base sur la création et la gestion des bases de données, ensuite l’affichage et le
traitement de ces bases de données dans un système d’information géographique (ArcGis).
RÉFÉRENCES
Arctur, David, and Michael Zeiler. Designing Geodatabases: case studies in GIS data modeling. ESRI, Inc., 2004.
Dongbao, Zhao. "To Understand Further Geodabase Spatial Data Model [J]." Computer & Digital Engineering 4 (2007): 022.
ENGREF, CEMAGREF ENGREF CEMAGREF. "Systèmes d’Information Géographique." (1996).
Jones, Chris B. Geographical information systems and computer cartography. Routledge, 2014.
http://desktop.arcgis.com/fr/arcmap/10.3/guide-books/map-projections/projection-types.htm
https://www.forumactif.com/search/sig-pour-tous.forumactif.com
http://www.emse.fr/tice/uved/SIG/Glossaire/co/SGBD_1.html
Chapitres 01 | Les bases de données
Une base de données est constituée d’une entité (objet ou cible à étudier) dans cet exemple l’entité c’est les
gisements, à qui on a attribué des attributs (type de minerai, type d’encaissant…etc.).
Entité : Une entité est un sujet, une notion en rapport avec le domaine d'activité pour lequel la base de
données est utilisée, et concernant lequel des données sont enregistrées.
Attribut : Un attribut est une caractéristique d'une entité susceptible d'être enregistrée dans la base de
données.
Enregistrement : Un enregistrement est une donnée composite qui comporte plusieurs champs dans chacun
desquels est enregistrée une donnée.
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Chapitres 01 | Les bases de données
Pour exécuter ce modèle et le rendre logique on utilise les requêtes. Le résultat sera une table de données
avec commune entre les trois bases selon notre choix.
TD N°01 | Création d’une base de données relationnelle sous Access.
10 étudiants appartenant à 3 spécialités différentes, étudient chez 3 enseignants différents.
Réalisez le schéma conceptuel puis exécutez le modèle logique en utilisant les requêtes.
Solution
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Chapitres 02 | Notion de base de données géographique et SIG
2.1 Bases de données géographiques
Une base de données géographique est une base de données décrivant des entités (classes)
géographiquement localisées. Si on rajoute à une base de données normale des attributs comportant une
information sur l’emplacement de ces entités elle deviendra donc une base de données géographique.
L’information géographique dans une base de données sera dépendante du type de l’entité (objet cible). Ainsi,
un objet ponctuel (puits pétrolier, gisement, source, forage d’eau, pont …etc.) on lui attribue une information
sous forme de coordonnées (x, y), (longitude, latitude). Un objet linéaire on lui attribue une information qui
contient le point de départ et d’arrivée (Sétif-Bouira, Est-Ouest, x1y1-x2y2). Enfin les objets surfaciques ils auront
une information géographique par région ou bien les quatre ponts de son rectangle équivalent.
Type d’informations géographiques qu’on peut attribuer aux objets ponctuels, linéaires et surfaciques.
Les points : Ils définissent des localisations d'éléments séparés pour des phénomènes géographiques trop
petits pour être représentés par des lignes ou des surfaces (Mine, station météorologique, pont…etc.).
Les lignes : Les lignes représentent les formes des objets géographiques trop étroits pour être décrits par des
surfaces (Failles, rivières, routes…etc.). Ces lignes sont souvent appelées dans les systèmes informatiques
(ArcGis) polylines.
Les polygones : Ils représentent la forme et la localisation d'objets homogènes comme des pays, des couches
géologiques, des types de sols, des plans d’eau, des forêts…etc.
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Chapitres 02 | Notion de base de données géographique et SIG
Les trois types de données vectorielles qu’on utilise dans un SIG pour représenter les différentes entités.
Les données raster permettent de représenter les objets réels selon une grille régulière et rectangulaire,
organisée en lignes et en colonnes, chaque maille de cette grille (Pixel) ayant une intensité de gris ou une
couleur (une couleur pour les cartes géologiques et topographique, un niveau de gris pour les images
satellitaires et MNT).
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Chapitres 03 | Les systèmes de coordonnées
Les systèmes de coordonnées permettent de localiser les cibles suivant des références, chaque système à
ces propres origines. Parmi les systèmes de coordonnées les plus utilisés au monde « universels » on peut
citer le système de coordonnées géographiques « WGS 84 » et le système Univers Transverse Mercator « UTM
». On Algérie en plus de ces deux systèmes WGS 84 et UTM on utilise souvent le système Lambert Conique
Conforme « Lambert Conformal Conic ».
Tous les lieux situés à la même longitude forment un demi-plan limité par l'axe des pôles géographiques,
coupant la surface de la terre sur un demi-cercle approximatif dont le centre est le centre de la Terre, l'arc
allant d'un pôle à l’autre. Un tel demi-cercle est appelé méridien.
À la différence de la latitude (position nord ou sud) qui bénéficie de l'équateur et des pôles comme références,
aucune référence naturelle n'existe pour la longitude.
La longitude est donc une mesure angulaire sur 360° par rapport à un méridien de référence, avec une
étendue de -180° à +180°, ou respectivement de 180° ouest à 180° est.
Le méridien usuel de référence est le méridien de Greenwich (qui sert aussi de référence pour les fuseaux
horaires).
La référence d’un point seront données comme suite :
Université Setif1, El Bez, Longitude : 5° 22’ 3’’ E, Latitude : 36° 11’ 52’’ N
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Chapitres 03 | Les systèmes de coordonnées
Dans un système de coordonnées projetées, des emplacements sont identifiés par des coordonnées x, y sur
une grille, dont l'origine est située au centre de cette grille. Chaque position possède deux valeurs qui la
situent par rapport à cet emplacement central. L'une précise sa position horizontale et l'autre, sa position
verticale. Ces deux valeurs sont appelées la coordonnée x et la coordonnée y. Avec cette notation, les
coordonnées à l'origine sont x = 0 et y = 0.
Sur une grille composée de lignes horizontales et verticales également espacées, la ligne horizontale au
centre est appelée l'axe des x et la ligne verticale au centre est appelée l'axe des y. Les unités sont constantes
et également espacées sur toute la plage des x et des y. Les lignes horizontales au-dessus de l'origine et les
lignes verticales à droite de l'origine ont des valeurs positives; les lignes situées au-dessous ou à la gauche de
l'origine ont des valeurs négatives. Les quatre quadrants représentent les quatre combinaisons possibles de
coordonnées des X et des Y positives et négatives.
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Chapitres 04 | Manipulation des données dans un SIG
Dans un SIG on peut réaliser plusieurs manipulations sur les données, selon le type de données et l’objectif de
l’utilisateur on peut citer ces manipulations les plus utilisées.
Pour géoréférencer une entité vectorielle il suffit de désigner le type de coordonnées pour les fichiers
vecteurs (points, polylines et polygones).le type de fichiers vectorielles sous ArcGis est le type Shapefile
(fichier de forme). Pour géoréférencer une carte raster il faut placer au moins quatre points (points de
contrôle). Ces points on les place sur les quatre corners de l’image (carte). Pour chaque point on introduit les
coordonnées suivant le système de projection avec lequel la carte a été réalisée.
4.2 La digitalisation
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