AFFINAGE-Croutage Blanc Ivoire Souhaite
AFFINAGE-Croutage Blanc Ivoire Souhaite
AFFINAGE-Croutage Blanc Ivoire Souhaite
Cette fiche a pour objectif de faire le point sur la maîtrise du croûtage « blanc-
ivoire » des fromages à pâte molle lactique. Elle complète une fiche rédigée
lors d’un précédent programme : « Couleur croûte des fromages lactiques –
Fromages ivoires » présente dans l’outil ORQUAL* (Collectif, 2012).
* L’outil ORQUAL s’adresse aux techniciens accompagnant les producteurs laitiers fermiers. Il a pour
but de donner les éléments nécessaires pour améliorer, sur une exploitation, la qualité et la régularité
technologique, sensorielle des principaux produits laitiers fermiers. Une partie de cet outil est consacrée
aux fromages lactiques avec des fiches spécifiques sur le croûtage.
Les données présentées dans cette fiche sont issues du programme de recherche LACTAFF, où des
enquêtes et suivi d’affinage ont été conduits dans 49 fermes dans les 6 grandes régions françaises
produisant des fromages fermiers lactiques au lait de chèvre. Ces enquêtes étaient ciblées sur des
fromages de type palet de taille intermédiaire (de 0,5 à 1,2 litres de lait par fromage). Des
expérimentations au laboratoire et en ferme expérimentale ont permis de compléter les données issues
des enquêtes.
La présente fiche contient des conseils généraux qui sont à adapter en fonction des objectifs de chaque
producteur et en fonction de chaque situation. En complément de cette fiche, il est nécessaire de se
référer aux fiches « Les micro-organismes intervenant dans l’affinage des fromages à pâte lactique »,
« L’affinage : généralités » et « Les équipements de climatisation des locaux d’affinage ».
Le terme « blanc-ivoire » est employé dans cette fiche pour désigner des fromages dont la flore de
surface recherchée est du Geotrichum. La caractéristique « blanc-ivoire » ne fait pas référence au
Penicillium camemberti !
Photos 1 et 2 : Blancs moelleux (avec protéolyse sous croûte) à gauche et blanc sec (ferme) à droite
Sources: J. Barral, CA 34 et A. Chabanon, FRESYCA
Collection : L’Essentiel
Les étapes qui précèdent l’affinage sont également importantes pour la maîtrise de l’ensemencement
Document rédigé par : Jean-Yves Blanchin
et de la multiplication du Geotrichum, mais aussi pour la maîtrise générale du produit souhaité. Pour
Avec les avis de : Philippe Brunschwig, Jean Capdeville, Audrey Chanvallon, Vincent Corbet, Jean Legarto, Jean-Baptiste Dollé,
plus de détails sur ces étapes dans l’objectif d’un croûtage « blanc-ivoire », se référer aux étapes amont
Marie-Catherine
décrites dansLeclerc,
la ficheJean-Luc
ORQUAL Menard, Stéphane
« Couleur Mille de
croûte l’Institut
des de l’Elevage.
fromages lactiques – Fromages ivoires » (Collectif,
2012).
Mise en page :
Crédits photos :
Edité par :
Préalable
Dépôt légal : 2e trimestre 2012 c Tous droits réservés à l’Institut de l’Élevage
Le Geotrichum
Juin 2012 : Réf : xxest naturellement
xx xx présent dans
le lait cru. Le lactosérum ou des souches commerciales
xxx/ISBN xxx-x-xxxxx-xxx-x
complètent également l’ensemencement du lait en Geotrichum. La première étape, avant de mettre en
place des leviers d’action au niveau des étapes d’affinage, est d’assurer sa présence en fabrication. Il
est possible d’agir au niveau de l’ensemencement du lait et/ou au niveau de l’ensemencement des
surfaces des fromages au début de l’affinage, se référer à la fiche « Microbiologie ».
Pour la maîtrise de la qualité de ses produits, il est indispensable, de façon générale, de faire des
observations quotidiennes des fabrications. Il est important de garder une trace écrite des observations
et mesures réalisées d’une fabrication de « référence » pour laquelle le producteur estime que la
fabrication s’est bien déroulée et que le produit obtenu correspond à ses attentes. Si des modifications
sont apportées à la fabrication, cela permettra d’avoir des éléments de comparaison et de mieux
comprendre l’incidence de nouveaux paramètres. Garder une trace écrite permettra également de
corriger plus facilement une dérive, de pouvoir anticiper une période critique et de mieux pouvoir dialoguer
avec le technicien fromager ou un autre interlocuteur technique.
Photos 4 à 7 : Fromage de type de Mothais sur feuille à différents stades d’implantation de la flore de surface
Source : A. Chabanon et M. Teinturier, FRESYCA
Salage
Sera abordé ici uniquement la technique de salage à sec en
surface, technique la plus couramment utilisée en
transformation lactique fermière.
Rôle du salage
Le salage permet :
de compléter et de relancer l’égouttage et de former
la croûte,
de gérer et d’orienter les flores de surface, Photo 8 : Salière en train de sécher
de jouer sur le goût des fromages. après nettoyage
Source S. Morge, PEP caprins
Rhône-Alpes
Dose de sel
Le premier levier pour jouer sur l’implantation des flores de surface est la quantité de sel. La dose de
sel est, en effet, un levier décisif pour sélectionner la flore de surface recherchée et sera le levier le plus
« efficace ». Le sel va modifier l’activité de l’eau (aw), paramètre influençant la croissance microbienne.
Lors du salage, l’aw de surface des fromages va diminuer, ce qui va limiter le développement des flores
de surface de façon sélective. Le Penicillium tolérant des doses de sel supérieures au Geotrichum, des
doses de sel « élevées » seront donc défavorables au Geotrichum, très sensible au sel. Dans le cas qui
nous intéresse, où il s’agit de favoriser le Geotrichum plutôt que le Penicillium, il faudra donc bien veiller
à modérer la dose de sel.
Pour gérer la dose de sel, il faut tenir compte de l’extrait sec des fromages. Dans les enquêtes LACTAFF
menées en fermes, les extraits secs totaux des fromages au démoulage étaient en moyenne de 31,3%.
Pour cet extrait sec, les experts recommandent une dose de sel comprise entre 1 et 1,5 g de sel pour
100 g de fromage pour des fromages à couverture Geotrichum.
Ces valeurs repères sont à ajuster pour chaque cas particulier et selon le format du fromage.
Lors des suivis en ferme du programme LACTAFF, force est de constater que peu de producteurs
connaissent et gèrent leur dose de sel : peu d’entre eux pouvaient donner leur dose de sel et tous
géraient de manière empirique le salage. Pour une bonne gestion de la dose de sel, il est recommandé
de faire des pesées régulières du sel et des fromages pour connaître sa dose de sel (cf. encadré plus
bas) et pouvoir l’adapter si besoin.
Des échantillons ont été prélevés pour faire des analyses du taux de sel au démoulage (après salage)
lors des suivis LACTAFF. La dose de sel était en moyenne de 1,2 g de sel pour 100 g de fromage au
démoulage, pour un extrait sec moyen de 31,3%, tous types de fromages confondus (analyses réalisées
sur un broyage de 5 fromages entiers). Ces analyses ont montré des doses de sel peu différentes d’un
type de fromage à l’autre, il semble donc que la dose de sel n’est pas le levier fréquemment employée
pour l’orientation de la flore de surface, pour des raisons organoleptiques, dans un contexte de limitation
des quantités de sel à la demande des consommateurs. La dose de sel moyenne constatée dans le
programme LACTAFF est, en effet, à la limite basse des doses recommandées pour favoriser le
développement du Geotrichum tout en conservant son rôle d’inhibition des flores d’altération.
Moment du salage
De façon générale, un salage plus tardif permet de favoriser le
Geotrichum. Le Geotrichum est, en effet, freiné par des
salages précoces et/ou trop importants. Le salage peut donc à
l’extrême être effectué au démoulage pour les deux faces, ou
même au ressuyage : un léger développement de Geotrichum
doit être alors visible.
éviter de saler au moulage, du sel peut être perdu dans le lactosérum et s’accumuler sous le
fromage dans le moule,
il faut attendre après salage avant de réaliser un retournement pour que le sel ait le temps
de pénétrer,
pour la maîtrise de la régularité du salage, l’idéal est que ce soit toujours la même personne qui
réalise cette tâche.
Il faut faire attention à ne pas créer d’amas de sel qui donneront des zones où le Geotrichum ne
poussera pas (concentration en sel trop importante sur ces zones).
Sel utilisé
Le sel à utiliser doit être du sel fin de fromagerie (avec une granulométrie régulière entre 400 et 630 µm),
sec et sain. Les recommandations sont les suivantes :
Ne pas utiliser de sel de cuisine, car celui-ci peut être iodé ou fluoré, ce qui peut perturber le
développement des flores de surface ou donner des mauvais goûts (goût de médicament).
Ne pas utiliser de sel contenant comme additif de l’oxyde de magnésium (E 530), car il
peut reminéraliser la croûte et conduire à un aspect cartonneux.
Une attention particulière doit être portée pour certains sels : la fleur de sel ou le sel de
Guérande vont donner une répartition irrégulière du sel à la surface des fromages
(granulométrie des grains de sel hétérogène) et peuvent contenir des flores d’altération.
Attention aux changements de type de sel : la granulométrie peut être différente et entraîner des
différences de salage sur les fromages.
Si nécessaire, le sel peut-être décontaminé par passage au four (120°C, 30 min) ou au micro-ondes (1 à
2 min) (à éviter pour le sel cendré).
Si vos fromages pèsent en moyenne 100 g au démoulage, la dose de sel est de 2 g de sel/100 g
de fromage : cette dose est trop élevée.
Si vos fromages pèsent en moyenne 150 g au démoulage, la dose de sel est de 1,3 g de
sel/100 g de fromage : cette dose est correcte.
Il est également possible de réaliser des analyses en laboratoire pour vérifier la dose de sel sur fromage
au démoulage (pas plus tard).
Ressuyage
Rôle du ressuyage
Le ressuyage doit surtout permettre de favoriser
le développement des levures qui vont remonter
le pH de surface et ainsi favoriser la bonne
implantation des flores de surface. Il complète
aussi l’égouttage des fromages. Cette étape est
le plus couramment réalisée en salle de
fabrication (dans certains cas dans une pièce
dédiée). À noter, le Geotrichum ne se développe
pas à des pH < 4,6 et a du mal à se développer
en dessous d’un pH de 5,3. Ce sont donc les
levures qui vont se multiplier en premier lieu au
démoulage sur des fromages acides, et ainsi
permettre la désacidification et le
développement du Geotrichum. Dans le cas de
fromages très acides (soit restés longtemps Photo 10 : Fromages en fin de ressuyage
Source : A. Chabanon, FRESYCA
sous acide, soit avec des pH bas), il faudra
particulièrement faire attention à favoriser la
phase levurienne.
La température doit être adaptée. Trop haute, il y aura un risque de jaunissement précoce des
surfaces (séchage précoce des surfaces) ou de développement excessif de Geotrichum. Trop faible (ou
des coups de froid sur les fromages), cela va bloquer la désacidification (développement des levures et
du Geotrichum ralenti et remontée de pH insuffisante).
Il est recommandé de réaliser le ressuyage sur grille pour permettre la bonne oxygénation des surfaces
de fromage, et de retourner les fromages toutes les 12 h ou à 24 h selon les cas.
Pour favoriser l’implantation du Geotrichum à la surface des fromages, il est possible de pulvériser une
solution contenant du Geotrichum au début de cette étape d’affinage et même avant, au moulage et/ou
au retournement (cf. fiche « Microbiologie »).
Un excès de levure est à éviter : une sur-levuration peut inhiber le développement du Geotrichum.
Les levures qui se développent en premier à la surface des fromages peuvent, si elles sont en grande
quantité, empêcher l’implantation du Geotrichum. De même, un excès de Debaryomyces Hansenii (DH,
levure) peut limiter le développement du Geotrichum. Attention dans le cas d’utilisation de ferments
d’affinage du commerce, certains ferments sont constitués à la fois de Geotrichum et de levures. L’ajout
de ce type de ferment peut entraîner un déséquilibre entre ces flores pouvant favoriser une sur-
levuration.
Rôle du séchage
Le séchage va continuer « l’égouttage » en évacuant une partie de l’eau des fromages par évaporation.
Il va donc avoir une incidence sur l’humidité des fromages et ainsi orienter le développement des flores
et les mécanismes d’affinage à l’étape d’affinage proprement dite. La perte en eau va également avoir
un rôle sur la texture des fromages : en fonction de la quantité d’eau évacuée, la texture sera ferme à
moelleuse.
D’autre part, le séchage doit être favorable à la désacidification des fromages, particulièrement si l’étape
de ressuyage est courte ou absente. Il faudra alors favoriser la phase levurienne durant laquelle le
développement des levures permettra de remonter le pH de surface, favorisant ainsi le développement
1
Ces chiffres correspondent à la perte de poids observée dans 80% des fermes (c’est‐à‐dire exclu les extrêmes)
du Geotrichum (des explications plus détaillées sont données dans la partie ressuyage). La phase
levurienne peut être favorisée par exemple en appliquant une température de séchage plus haute.
La conduite du séchage peut jouer sur la flore de surface : un séchage brutal sera défavorable au
développement du Geotrichum du fait du « croûtage » du fromage. En effet, un séchage brutal conduira
à un croûtage trop rapide, laissant peu d’humidité en surface pour la croissance du Geotrichum et un
excès d’eau à l’intérieur des fromages qui entrainera une protéolyse importante et non maîtrisable.
Il est conseillé, avant de faire varier ces paramètres, d’avoir une bonne connaissance de la gestion
de ces paramètres et de leurs incidences sur la conduite du séchage (cf. fiche « Les équipements de
climatisation des locaux d’affinage »). Pour bien maîtriser le séchage, attention aux taux de chargement
élevés ou trop faibles du séchoir. Une surcharge du séchoir rend le séchage difficile voire impossible. Il
est important de bien dimensionner le séchoir pour qu’il permette d’évacuer l’eau souhaitée à tout
moment.
La composition physico-chimique des fromages est différente selon les types de fromages dès la fin du
séchage : l’extrait sec total atteint 35,9% en moyenne pour les blancs secs et 38,2% pour les blancs
moelleux, ce qui est significativement plus bas que la moyenne des 49 fermes avec 42,4%. Le rapport
sel sur eau des fromages blancs secs et moelleux est déjà plus faible que celui de la moyenne en fin
de séchage (ou à démoulage +4 j en l’absence de séchage). Les fromages blancs secs sont moins
2
Ces chiffres correspondent à la perte de poids observée dans 80% des fermes (c’est‐à‐dire exclu les extrêmes)
lipolysés que la moyenne à la fin du séchage. Les fromages blancs moelleux sont plus protéolysés
(rapport azote soluble sur azote total) et plus lipolysés que la moyenne à la fin du séchage.
Le séchage peut être réalisé entre 12 et 18°C avec une hygrométrie comprise entre 65 et 75% (source :
outil ORQUAL).
Affinage
L’affinage stricto sensu dans le hâloir sera ici considéré.
Rôle de l’affinage
L’affinage développe les caractéristiques organoleptiques des fromages. Des phénomènes complexes
(glycolyse, lipolyse, protéolyse) conduisent à modifier l’aspect, la texture et le goût des fromages (cf.
fiche « L’affinage : généralités »). Ces phénomènes vont dépendre de la composition physico-chimique
(aw, pH, etc.) et microbiologique des fromages, de l’ambiance (température, hygrométrie, composition
chimique de l’air, taux de chargement…), ainsi que des soins apportés lors de cette étape.
Pour ce qui concerne le croûtage, cette étape doit permettre aux flores de surface de se développer de
manière homogène à la surface des fromages en évitant la contamination par des flores de surface non
recherchées.
La perte de poids des fromages lors de l’affinage est inévitable pour les fromages lactiques, et ce
d’autant plus si des phases de séchage et/ou ressuyage n’ont pas eu lieu préalablement dans d’autres
pièces. Les pertes de poids importantes sont cependant à éviter, particulièrement dans le cas où une
texture moelleuse est recherchée.
Les fromages blancs secs ont une composition proche des valeurs moyennes, alors que les fromages
blancs moelleux sont plus humides, moins salés, plus lipolysés et protéolysés.
Les fromages moelleux sont fragiles, difficiles à manipuler lors des retournements, avec une couche
protéolysée plus ou moins importante : ces types de fromages ne pourront pas se conserver longtemps.
3
Ces chiffres correspondent à la perte de poids observée dans 80% des fermes (c’est‐à‐dire exclu les extrêmes)
Un brassage d’air trop important assèche les fromages et limite le développement du Geotrichum.
De même, une fréquence de déclenchement trop importante de la climatisation (c’est le cas si la batterie
froide est sur-dimensionnée) entraînera également un assèchement des fromages. Les retournements
sont à réaliser régulièrement, particulièrement au début de l’affinage.
La température du hâloir est généralement comprise entre 8 et 16°C (source : outil ORQUAL).
Par exemple, une expérimentation conduite au laboratoire à l’INRA de Grignon sur des fromages à
couverture (blanc-ivoire) a montré qu’en 12 jours d’affinage :
passer d’une hygrométrie de 98% à 88% augmente les pertes de poids de 11 à 15 points selon
la température,
passer d’une température de 10°C à 14°C augmente les pertes de poids de 1 à 5 points selon
l’hygrométrie.
Les fromages affinés à 98% d’hygrométrie avaient plus souvent une croûte plissée à 14°C qu’à 10°C.
A 14°C, les fromages affinés à 98% d’hygrométrie étaient plus humides, plus crémeux, avec un arôme
lacté plus fort et une croûte et sous-croûte plus épaisse. Cette tendance était moins marquée à 10°C.
Dans des expérimentations en fromageries expérimentales (ferme du Pradel et ENILBIO Poligny),
augmenter l’hygrométrie de 88% à 96 ou 98% a permis de faire passer la perte de poids de fromages
de type Picodon de 1 g/j à 0,5 g/j. Néanmoins un affinage très humide, surtout dans un hâloir statique,
doit avoir été précédé d’un bon séchage sous peine de voir les fromages « fondre » au bout de quelques
jours.
Photos 13 et 14 : Fromage blanc sec 14 jours après le démoulage – Source : A. Chabanon, FRESYCA
ANNEXES
Poster « Croûtage des fromages lactiques »
Collection : L’Essentiel
Equipe de rédaction : Coralys ROBERT (Institut de l’Elevage), Yves GAÜZERE (ENILBIO Poligny), Patrick ANGLADE (CFF Patrick
Anglade), Guillemette ALLUT (CRAB-Centre Fromager de Bourgogne), Julie BARRAL (Languedoc Roussillon Elevage puis CA 34),
Claire BÄRTSCHI
Relecteurs : Marie-Noëlle LECLERQ-PERLAT et Daniel PICQUE (INRA), Patrick JEAN (ENILIA ENSMIC), Antoine MICHEL,
Catherine REYNAUD (ACTALIA Centre de Carmejane), Agnès CHABANON, Mélissa TEINTURIER (FRESYCA), Nicolas
ENJALBERT (Air Quality Process), Jean-Yves BLANCHIN, Jacques CAPDEVILLE, Cécile LAITHIER, Yves LEFRILEUX (Institut de
l’Elevage), Alexane DORLÉAC (Station caprine expérimentale du Pradel EPLEFPA)
Responsables professionnels du programme : Frédéric BLANCHARD et Marc LESTY (FNEC), Eric CORNILLON (PEP Caprins
Rhône-Alpes), Marc DONNEAUD (MRE PACA)
Coordination et rédaction : Marion PETRIER (CA 18 – CTFC), Sylvie MORGE (PEP Caprins Rhône-Alpes), Sabrina RAYNAUD
(Institut de l’Elevage)
Mise en page : Isabelle GUIGUE (Institut de l’Elevage)
Avril 2016 - Réf. Idele : 00 16 403 009
Dépôt légal : 2ème trimestre 2016 © Tous droits réservés à l’Institut de l’Élevage