Francais terminaleTCHAD Propriété YA
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A / L’EXPRESSION DRAMATIQUE
-L’ETUDIENT DE SOWETO
B/ L’EXPRESSION POETIQUE
THEME II : L’ENGAGEMENT
- CULTURE ET COLONISATION
- LA CONTRACTION DU TEXTE
-LA DISSERTATION
- LE COMMENTAIRE COMPOSE
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LA PRESENTATION DU THEME
DEFINITION : la conscience c’est la connaissance plus ou moins clair que l’on peut
avoir de son existence et celle de l’extérieur.
La conscience nationale pour un individu c’est le fait de percevoir son appartenance par
rapport à un territoire. En ce qui concerne l’homme noir, le réveil nègre est venu de
l’Amérique.
Dans un pays ou les noirs sortaient de l’esclavage, on les considérait des sous hommes et
ou la majorité les noirs formaient le prolétariat ignorant et résignait de l’Amérique
blanche, un étudient en 1890 a osé tenir ce propos : « je suis nègre et je me glorifie de ce
nom, je suis fier du sang noir qui coule dans mes vaines … ».
Par cette référence de ses origines Africains William Edward Burg hard du bois
(WEB) mérite le nom du père de négritude, mais l’auteur n’est pas de cet africanisme
sentimental. Il a fondé l’association pour la différence des personnes des couleurs. Il a été
défenseur officiel de sa race. Cet Amérique noir sera également secrétaire de tout premier
congrès panafricaine organisé à Londres par la justice Henry sylvestre William. À la mort
de celui-ci (WEB) prendra la direction de ce mouvement qui protestait contre
l’impérialisme en Afrique de 1919 à 1945. En 1903, aux USA, c’est le point de départ de
la prise de conscience noire, c’est l’année de la publication d’un ralentissant (WEB) ;
« Âmes noirs » à la fois témoignage à la réflexion sur les problèmes des noirs en
Amériques. En 1909, du Bois crée l’ANCPT (association Nationales pour la promotion
des gens des couleurs à laquelle appartiennent également Martin Luther King qui
entreprend de réhabiliter les valeurs culturelles des noirs et de revendiquer une autre
place dans la société Américaine qui est seule ou ils étaient contrariés. Dans la période
qui a suivi la première guerre mondiale souffle aux USA. Le vent vivifiant et
révolutionnaire du mouvement de la renaissance nègre en 1890 initié à la suite des écrits
de (WEB) par une nouvelle génération de poète et de romanciers noir Américain
notamment Jean Tomer, Claude Mackay, Contée Cullen…nombreux d’entre eux
séjournent à un moment ou un autre à Paris ou ils côtoient les étudiants Africain et
antillais pour qu’ils trouvent des auditeurs attentifs Africain.
Pour conclure nous disons donc qu’avec WEB et âmes noirs la conscience noire était née.
Dix-ans après cette parole du Bois avait germais dans quelques consciences nègres
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d’Amérique et quelque décennie plus tard, cette même parole germera et produira le
mouvement de la négritude, fruit de la prise de conscience des intellectuelles noir
francophones
I -2- NÉGRITUDE
Nombreux ont été de définition de ce terme qui est la négritude. C’est l’expression d’une
race opprimée de la manifestation d’une manière d’être originale pour les uns et pour les
autres. C’est un moyen de lutte et de libération des valeurs jusqu'à lors ignorées. Pour
d’autres en fin c’est l’affirmation de notre être.
Aimé Césaire a utilisé ce mot pour la première fois dans son long poème intitulé « cahier
d’un retour au pays natal » (1939).il définit la négritude comme « l’ensemble de valeurs
du monde. Elle est la conscience d’être noir, la simple reconnaissance d’un fait qui
implique une acceptation de son destin noir, de son histoire et de sa culture »
Il est suivi par son ami Senghor « la négritude est le patrimoine culturel, les valeurs et
surtout l’esprit de la civilisation de nègre Africain »
Ce moment de la négritude regroupant autour de lui les écrivains qui désirent d’affirmer
et de faire reconnaitre cette tout ce qui se réfère à ce mot « négritude » qui fait un point
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de ralliement et leur permettent de se définir par opposition à l’occident colonisateur et
assimilateur.
1 / LA VIE DE L’AUTEUR
Aimé Césaire est née en Martinique en juin 1913 dans une famille modeste.
Brillant élève, il obtient une bourse pour poursuivre des études des lettres à paris. Il y
rencontre Damas et Senghor « Senghor m’appris l’Afrique, la grandeur de l’Afrique, la
noblesse culturelle de l’Afrique » déclare-t-il en 19915.
Avec eux, il crée à 21ans, la revue Étudiant noir dans laquelle apparait sous sa plume, le
« néologisme négritude ». L’année suivante il se marie et réussit le concours d’entrée à
l’école normale supérieure (ENS) ; en 1939 il publie le cahier d’un retour aux pays
natales avant de rentrée à la Martinique ou il est nommé professeur et crée une revue
littéraire, tropique qui connaitra une renommée internationale. Césaire se consacre
également à la politique : il est élu maire de fort de France en 1945 puis député. Sa
carrière parlementaire s’achève en 1930 et mort en 2007.
*les théâtres
- les chiens se taisaient en (1956)
* poésie
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- Cahier d’un retour au pays natal (1939)
- Ferrements (1960)
L’œuvre de Césaire tue son inspiration de l’histoire de peuple noir, des Antilles, de
l’Afrique, de l’Europe, et des États unis. Dans une langue au vocabulaire et à la syntaxe,
aux images nombreuses et précise que le lecteur doit percer, il exprime le passée, le
présent toutes « les misères étalées » des nègres et le besoin de s’affirmer et de se hisser à
la hauteur d’un peuple digne et responsable qui assume son avenir.
B/ LA STRUCTURE DE LA PIÈCE :
1 –un prologue : dans cette partie préliminaire on assiste à un combat de coq. Autrement
dit c’est un conflit qui se pose entre Pétion et Christophe.
2- le commentateur et présentateur
Celui qui fait le récit et la vie de Christophe.
3- la composition de la pièce
Elle comprend trois actes (3) actes plusieurs scènes et intermèdes.
-le 1er acte I comprend sept (7) scènes, il correspond à la nomination du roi Christophe
aux royaumes par le sénat il estime un pouvoir vide de sa substance des composants.
N’ayant pas facilité l’exécution de son programme politique qui est celui d’assurer la
liberté et la sécurité.
- acte III : constitué de (9) scène, la construction du royaume continue mais elle sera
secouée par des nombreux problèmes liés à l’évolution du comportement du roi
Christophe.
C/ RÉSUMÉ DE LA PIÈCE
La tragédie retrace l’histoire d’un roi dictateur au nom de Christophe au lendemain de
l’indépendance d’Haïti, l’homme qui prend le règne du pouvoir est un homme très
ambitieux. Il rêve de voir son peuple accède le plutôt possible au développement. Il rend
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obligatoire car ses frères haïtiens confondent liberté et libertinage, les haïtiens passe alors
le plus gros de leur temps à danser au lieu de travailler. Le roi de son côté il en fait trop
d’autant plus que déterminer non seulement il rend le travail obligatoire mais en plus de
cela, il rend le mariage obligatoire et tous ceux qui sont fatigué pendant le travail sont
exécutés. Cette brutalité du roi provoque le mécontentement général et la guerre civil est
déclenché et soutenu par son adversaire Pétion un mulâtre qui s’est usé de douleur à
l’égard des colons français.
Le roi Christophe, ancien esclave, ancien cuisinier devenu général refuse la retraite au
prêtre français et envoi ses soldat exécuté les pauvres prêtres français pendant la nuit. Le
roi refuse aussi de suivre les conseils de sa femme et de ses amis étrangers. Il se met lui-
même dans un travail sans repos, il est surmené et paralysé, ses soldats, informés de cette
état de santé de Christophe se révoltent et refuse de combattre la rébellion soutenue par
Pétion et les siens.
Le roi constata qu’il est donc abandonné par son armée prend courageusement son
revolver et se donne la mort. La mort de cristallise ainsi l’échec d’un dirigeant politique
incompris par son peuple. Le roi aussi n’aura pas pu comprendre que non seulement il ne
faut pas confondre la précipitation et la rapidité, mais aussi il n’aura pas compris que le
peuple est comme un œuf : male ténu, l’œuf tombe et se casse, trop serré, il se casse dans
la main.
Christophe comme des nombreux chefs d’État Africain l’apprend à ses dépends
-Vastey -Metellus
-M.d Christophe
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E/ l’explication du schéma actanciel à travers les personnages
1-Christophe : ancien esclave, on lui confiait la partie nord d’Haïti à la mort de
Dessalines pris de peur le sénat sous la direction de Pétion lui donne un rôle
vraisemblablement honorifique qu’il n’hésite pas de refuser : « tonner ! Un pouvoir sans
croute, ni mie, une rognure, une raclure de pouvoir, voilà ce qui vous m’offrez… »
Il se jette totalement dans la tyrannie et devient sourde aux conseils de son époux à qui
rétorque : « je demande trop aux hommes mais pas assez aux nègre » madame !
La citadelle qu’il veut construire devient l’idéal de la liberté. C’est ainsi que
volant de maladresse en maladresse il se met, tout ce qui en travaillant, sont fatigués à la
mort même les prêtres qu’il avait consacrés. L’excès de passion, la fatigue, lui donne
tension nerveuse. Le roi est alors frappé de paralysie mais il tient encore au pouvoir : « je
suis paralysé monsieur, mais je ne suis pas fatigué » ce mégalomane peut-il connaitre ses
erreurs ?
« Je ne regrette rien ! J’ai voulu leur donner la faim de faire et le besoin de perfection.
J’ai voulu forcer l’énigme de ce peuple à la train ». Le roi Christophe meurt pour revivre
davantage dans l’esprit des haïtiens.
2- l’objet : la citadelle
C’est l’idéal du roi Christophe, la preuve de la liberté de tous les haïtiens. Elle doit être
construite sur le sommeille de la montagne à la participation des enfants, des femmes, des
hommes et des vieillards. C’est ainsi que Christophe la conçoit, la définie : « imaginer,
sur cette terre peut commune plate-forme, tourner vers le nord magnétique (sensible) 130
pieds de haut, 20 d’épaisseur de mur, chaux et cendre de bagasse, chaux et sang de
taureau. Une citadelle ! Pas un palais. Pas un château fort pour protéger mon bien-tenant.
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Je dis la citadelle, la liberté de tout un peuple, bâtit par le peuple tout entier, hommes et
femmes, enfants et vieillards, bâtie pour le peuple tout entier ! Voyez, sa tête est dans les
nuages, ses pieds creusant l’abime, ses bouches crachent la mitraille jusqu’au large des
mers, jusqu’au fond des vallées, c’est une ville, une forteresse, un lourd cuirassé de
pierre… »
3/ les opposants :
-Pétion : c’est le président de la république. C’est un mulâtre néocolonialiste. Bien que la
notion de la liberté soit bien conçue il est tout à fait clair qu’il fait tout par ses moyens
qu’haïtien ne sera jamais libre. Il est semblable à un roseau qui plie sans se rompre
puisque dans la première phase de la guerre qui l’oppose au roi Christophe, Pétion était
vaincu. Il est clair voyant et prudent.
-Le peuple haïtien : le peuple est un opposant à l’action de Christophe. Son opposition
relève de la confusion du sens du mot liberté ou l’indépendance. Le peuple n’a pas
compris qu’être indépendant signifie être le maitre de son destin et travailler sans répit
(repos). On voit le peuple au marché ou sur la place publique désœuvrée. Ce
comportement des peuples qui entrain l’énervement du Christophe : « assez ! L’ennemie
de ce peuple, ce sont indolence (paresse), son effronterie (insulte), sa haine de la
discipline, l’esprit de jouissance et de torpeur (inerte, qui ne bouge pas) ».
Si ce n’était qu’une simple paresse, il n’y aurait peut-être pas beaucoup des problèmes, le
redressement serait un peu facile. Mais il faut remarquer que, les danses nocturnes
entravent toutes possibilité de travail sérieux dans la journée, s’est avec beaucoup des
déceptions que Christophe écoute les sons du tamtam qui fait trémousser les haïtiens :
« tenez, écoutez ! Quelque part dans la nuit les tamtams bats ! Quelque part dans la nuit
mon peuple danse et ce tous les jours comme-çà…tous les soirs ».
4/ Destinateur :
-le roi Christophe : celui même qui initie le projet de la construction de la citadelle.
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6- Adjuvants :
-Magny : c’est un général d’armé, si Christophe l’avait écouté, il aurait réglé les comptes
de
Pétion au moment où l’armée du roi avait l’avantage.
-Hugonin : très comique (qui fait rire), il est en même temps bouffon humaniste et
insolant. C’est un courtisant du roi, bien que n’approuvant pas, il ne le quitte cependant
pas.
-Madame Christophe : très humble (doux), elle refuse les honneurs et prodigues des
conseils à son époux animé par la mégalomanie (folie de grandeur) « Christophe, à
vouloir poser la toiture d’une case sur une autre case, elle tombe dedans ou se trouve
grande ».
Sa peur désormais n’est plus fondée sur l’échec de Christophe, car elle voit cet échec
pointe à l’horizon, mais sur la descendance du roi : « pourvu qu’un jour on ne mesure pas
au malheur des enfants à la démesure du père ».
À la mort de Christophe, elle revient sur la scène pour rappeler l’impossible auquel le roi
était tenu dans son orgueil de pierre.
Dans ces nombreuses maladresses et son attitude bouffonne (amusant), le roi Christophe
ne manque pas de faire réfléchir plus d’un lecteur ou spectateur. Visiblement le roi
Christophe incarne l’aventure dans sa manie (habitude bizarre) de tous embrasser à la fois
et surtout de défier ce temps qu’il reconnaît comme un handicap : « mais nous n’avons
pas le temps d’attendre quand ce précisément le temps qui nous prend à la gorge ».
Dès lors, le lecteur comprend que, même les conflits Wilber force : « on n’invente pas un
arbre, on le plante ! On ne lui extrait pas les fruits, on les laisse porter. Une nation n’est
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pas une création mais un murissement, une lenteur, année par année, anneau (cercle
auquel on attache quelque chose) par anneau ».
À Christophe son inutile, car le roi ignore de tout cela. C’est à ses sujets que nous
pouvons dire que le roi Christophe est :
-un voyant : Dans le futur que Christophe veut bâtir, il y a tout un mélange d’utopie
(irréalisable) et de lucidité (juste). C’est l’avenir qui compte désormais pour les haïtiens
puisque le passé est marqué par au fer rouge d’esclavage : « nous, nos noms, puisque
nous ne pouvons les arracher au passé, que ce soit à l’avenir ! »
Christophe voit très grand, l’État moderne qu’il veut fonder après avoir abandonné la
guerre contre Pétion et les moyens de pouvoir annihiler (réduire à néant) le passé et
arracher un nom d’homme à l’avenir.
-un prophète :
ESPACE
Dans un premier temps, le poète va rappeler toutes les souffrances et les humiliations de
son peuple mais aussi sa lâcheté son inertie et de sa résignation à subir son sort, en suite,
le poète va élargir son combat au passé humiliant de la race noire et de tous les opprimés
de la terre. Nous voyons dans cette peinture. Un monde de misère rongé et rendu inapte à
la lutte mais qui vit pourtant. Cette deuxième partie ressemble à un flot d’image satyrique
et amer. Ce passage exprime bien l’attitude du poète devant l’histoire : refus de présent
antillais, refus du passé, refus du passé antillais et refus d’un avenir identique à ce passé.
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4- Ce refus aboutira à une prise de conscience raciale et culturelle.
Le cahier, c’est donc, aussi et surtout le poème de réveil pour une action libératrice.
L’attitude de Césaire est celle du passé dans l’action révolutionnaire. Cette troisième
portée débouche sur l’espoir. C’est un cri, un véritable hymne dans laquelle la dance est
annoncé. La dance expression de la liberté. Les noirs s’élèvent, se brise leurs lâchetés et
leurs torpeurs. C’est alors le poète est à leur tête.
ESPACE
L’objet de l’art pour l’art, doit-il seulement s’intéresser aux valeurs esthétiques du
monde ?
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De ce thème, Albert Camus dans ce qui est devenu le célèbre « discours de suède » (10-
décembre 1957) pose le problème de l’artiste et son temps. L’œuvre d’art doit s’intéresser
au problème de l’œuvre car l’art pour l’art n’a pas sa raison d’être. L’artiste doit parler au
nom et pour ceux qui ne peuvent pas le faire. La création littéraire doit être au service des
opprimés, de ceux qui n’ont pas le droit à la parole : « et voilà pourquoi il faut créer…oui
en définitive, c’est aux poètes, aux artistes, aux écrivains, aux hommes des cultures,
qu’ils appartiennent, brassant dans le quotidien de souffrance et de déni de justice, les
souvenir comme les expériences, de constitué ses grandes réserve de fois, ses grands silos
des forces ou le peuple dans le moment critique puisant le courage de s’amuser eux
même et de forcer l’avenir ». disait Aimé Césaire. Et celui-ci de poursuivre dans cette
optique : « nous, dans la conjoncture ou nous sommes des propagateurs d’âme, des
multiplicateur d’âme et à la limite inventeurs d’âmes ».
I- L’auteur
Albert Camus est né 1913 en Algérie, ayant perdu très-tôt son père, il est élevé par sa
mère dans un appartement pauvre d’un quartier populaire d’Algérie.
ESPACE
B- il y a donc double solidarité entre les noirs : solidarité horizontale ou tous ont été
touché par la situation coloniale qui leur est imposée de l’intérieure entre les noires et
solidarité dans le temps et l’espace dit aux origines Africains de tous les noirs qui ont une
origine commune.
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nombre de domaine à savoir : la religion, la littérature, l’histoire, la philosophie,
l’anthropologie, la biologie et la sociologie…
I- L’auteur
C’est au nord-ouest de la cote d’ivoire, plus proche de la guinée, dans une famille
commerçante de Malinké de Boudali, que vient au monde en 1927 Ahmadou Kourouma.
Nous apprenons par ses biographies que son père était à la fois marchand de colas
cultivateur et chasseur.
À sept ans, dans le respect de la tradition, Kourouma est confié à son oncle, un infirmier
pour son éducation, l’enfant en plus de l’éducation traditionnelle dot se rendre à l’école
étrangère.
I-3-Engagement politique.
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Les années quarante (40) ont été marquées par des événements importants sur les plans
continentaux et mondiaux. La seconde guerre mondiale à provoquer un changement de
mentalité et une remise en cause des valeurs établis par les puissances coloniales dans le
milieu estudiantin et intellectuel en Afrique.
Ayant prêté main forte aux « maitre pour le libérer de l’occupation allemande. Les
africains supportaient très males les répressions opérées par des colons Français en 1945.
Ainsi sonné l’heure de l’émancipation, les intellectuelles Africains réfléchissent de plus
en plus sr l’avenir de leur continent et n’hésitaient pas à s’engager dans la lutte
émancipatrice au côté du rassemblement démocratique Africain (RDA)
I-4-ses idées
Ahmadou Kourouma est un homme animé des idées de justice et de paix. Il refuse tout ce
qui porte à faire souffrir l’homme. Mais aussi, l’homme qui ne croise les bras devant
l’oppression. Il a osé faire courageusement faire face aux colons en refusant de se
soumettre aux ordres bidon (vide qui n’ont aucun sens). Il a pris part aux manifestations
des étudiants de l’ETS ou il a été considéré comme le meneur. Il croit aussi que l’homme
Africain doit se mettre en cause devant les imitations qui ne cessent de s’opérer à tous les
niveaux. Il doit avoir la tête froide et s’informer pour ne pas être en retard, surtout ne pas
hésiter à prendre des décisions solitaire allant dans le sens de son bien-être. Ne jamais
s’accrocher à la tradition sans raison profond.
Quant à la politique il l’a considéré comme un moyen qui permet de faire du bien à la
masse populaire, c’est pourquoi il incombe au pouvoir en place tout échec humain. Le ton
est très acerbe quand il parle de nouveau autorités politiques dans les soleils des
indépendances qu’ils attaquent le système politique en vigueur dans ce roman.
Conclusion
Kourouma, qui se prépare à jouer un rôle politique important dans son pays subitement
frappe la mort en décembre 2003 en France. Ce sont les universités et l’intelligentsia
Africaines qui ont pleurés ce grand homme. Celui qui a voulu pour le continent noir plus
de justice et un pouvoir politique qui se soucis véritablement de l’épanouissement de la
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masse populaire. Il est parti mais son chef-d’œuvre les soleils des indépendances reste le
programme à tirer dans nos universités et lycée.
I-5-le titre
Ahmadou Kourouma est un auteur peut politique. Son chef d’œuvre « les soleils des
indépendances » à travers lequel il fait preuve d’une lucidité exemplaire qui choque
certain esprit. Ce roman semble être une réaction par rapport à un fait, donc il a été
témoigne. Il a commencé à écrire au lendemain de l’indépendance de son pays et a publié
en 1968 au canada puis en 1970 aux éditions de seille à paris. En 1972, il revient devant
sur la scène de théâtre avec une pièce théâtrale à Abidjan, disait des vérités, cette pièce ou
s’exprimaient des vérités pas toujours bonnes à dire. Tombe sous les férules de la censure
après l’unique roman, il a fallu attendre 1990 pour lire des Kourouma, monnaie outrage et
défit est publié en 1998 ; Allah n’est pas obligé en 2000 et en fin En attendant les votes
des bêtes sauvages en 1998. Un autre roman publié à titre posthume serait quand on
refuse on dit non.
Les noirs prennent la place des blancs à la tête des jeunes État. Il n’est peut-être pas trop
tôt de jeter un regard critique sur ces règnes. Ce changement historique ne peut rester
inaperçu pour les écrivains Africain dont on n’ignore pas les efforts consentis dans la
lutte contre l’occupation occidentale. Hier, avant les années 60 ses écrivains faisaient le
procès du colonialisme, ou ils fustigeaient (dénonçaient) les injustices et les travaux
forcés imposés aux Africain sur leur propre terre ; situation qui rappelle la traite négrière.
Un regard sur entres autres sur : Batouala de René Maran véritable roman nègre et une
vie de boys de Ferdinand Oyono permettraient de rendre compte des réalités de la vie
coloniale. Aujourd’hui au lendemain des indépendances, avec la montée aux affaires des
fils du continent, il dépasse les grands thèmes qui ont fait les beaux temps de la
littérature : la négritude est son cortège d’idéalisation d’un passage qui comporterait une
pureté mythique.
En claire, les indépendances quoi que minimales obtenues devraient jetées les
bases de la construction d’une nouvelle société ou « le dynamisme Africain » écrasé par
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les colonisations soit recouvrer. Il s’agit donc de prendre un nouveau départ. Les
fantômes blancs se seraient d’être la cause des malheurs Africaines.
La première partie comporte quatre (4) chapitres, le deuxième cinq (5) chapitres et les
derniers deux chapitres.
A-Chapitre I : page 7 à 17
Ibrahima Koné, un malinké de la capitale de la république des Ébènes est décédé sous les
soleils des indépendances, ses funérailles, comme celle des autres dans cette période de
vache maigre, sont une cérémonie où se bouscule les griots. Les vieux malinkés ruinés
par la lutte pour les indépendances. Ils ne vivent qu’aux mariages, aux naissances et aux
décès etc…
Chapitre 2 : page 18 à 29 :
Obliger d’écarter sa présence aux funérailles d’Ibrahima Koné, Fama seul seule dans la
rue donne libre cours à sa colère. Il constate avec amertume que les soleils des
indépendances, les gens manques manquent le respect pour le prince foulant au pied. De
l’honneur de la dignité aussi ne comprend-il pas pourquoi le nègre est condamné à se
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dépenser à ployé sous les durs travaux pour le bien être de blanc. « Les noirs tiennent les
pattes ; les blancs découpent et bouffent la viande et le gras » pages 18.
Un flash-back fait défiler une foule d’image sur le passé de Fama : enfance heureuse,
grand-homme d’affaire parcourant le grand marché d’Afrique. Ne pouvant admettre
qu’un garnement de commerçant Européen le dépossède de sa chefferie au profit d’un
parvenu de cousin dont le père aurait contribué à l’envahissement du pays par le Blanc,
Fama se jette dans la lutte pour l’indépendance en dilapidant tous ses biens. Mais
l’indépendance une fois acquise, Lui qui aspire être secrétaire général d’une sous-section
du parti unique ou directeur d’une coopérative, ne bénéficie que d’une carte d’identité
nationale et d’une carte du parti unique. Se sentant de moins à moins capable de travailler
la terre à Horodougou natal, il décide de rester dans la capitale et, comme beaucoup de
laisser pour compte des indépendances, ne comptait que sur la volonté d’Allah.
En outre, Fama fini sa journée dans une mosquée ou il est muezzin. Il y tenté de retrouver
sérénité et paix du cœur mais difficilement « remplir ce cœur et esprit de penser de
Salimata ».
Dans la demeure de Dieu, qu’elle blasphème ? mais il se repend. En tout état de cause la
pauvreté, la stérilité, le parti unique, l’indépendance ne sont de nature à lui faciliter
l’existence.
Chapitre 3 : page 30 à 57
Fama rentré fourbu de ses nombreux déplacements, un bu des soucis que lui engendre
l’indépendance et le parti unique, ne remplit ses engagements conjugaux. Il tombe dans
un Sommeil des pierres pendant qu’a côté, son époux Salimata ferme difficilement les
yeux de la nuit. Au centre de tribulation de celle-ci, la stérilité qui la prive de la
maternité. Chose qui fait la fierté et le bonheur de la femme Malinké. Un retour en arrière
lève le voile sur le passé plus ou moins dramatique de Salimata. Très jeune, elle a été
excisée. Mais cela n’est pas réussi. Par la suite, elle sera violée dans le sang de l’excision
chez le féticheur Tiécoura sous prétexte de la liberté d’un mauvais esprit qui la hante. À
l’âge mature, elle sera donnée en mariage à un hernieux (Qui a une hernie), Baffi qui
mourra hivernage plus tard. Obéissant au lévirat (Coutume selon laquelle les veuves d'un
mari défunt deviennent les épouses de ses frères), elle passera en seconde os dans les
mains du frère du défunt.
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déclencheur du désir ». Page 48. Mais aujourd’hui la situation de la femme de Fama
d’aujourd’hui est décevante. Elle doit travailler dure pour s’occuper d’un mari réduit à
travailler dans les funérailles, menant une vie presque stérile. Elle se remet à Allah grâce
à qui tout est possible d’ici-bas.
Chapitre 4 : page 58 à 80
La teneur de ce chapitre repose sur les activités de Salimata. Elle a plein temps à son
commerce de vente du riz sur le petit marché. Grace à sa générosité, elle attire beaucoup
plus de clients que les autres vendeuses. Ce qui n’est pour plaire à celles-là.
Malheureusement, elle sera attaquée et dépouillée par les chômeurs, des Badauds, les
guerriers dont elle a très souvent pitié et auxquels elle sert le repas gratuitement ou en
crédit.
Chapitre I : page 83 à 93
Fama écoute et réfléchit aux réalités qui l’attendent à la destination doit-il oui ou non se
décider de rester à Togo bala ?
À Togobala, Fama a déjà passé les cinq (5) jours de 23 qui le séparent de funérailles des
40 jours du feu cousin. Les jours se succèdent mais ce ressembles. La prière, les visites,
les causeries, les discussions riment et permettre de supporter sans trop de peine les
journées. Mais quand ils viennent la nuit, Fama dispute sa quiétude avec les rats, poux,
les cafards. Cette insomnie mène ses soucis et réflexion vers Mariam le plus jeune veuf
du défunt. Il condamne presque cette coutume qui l’empêche de prendre immédiatement
dans le bras celle-ci. Néanmoins, les funérailles tôt ou tard arriveront. Fama patiente.
Diamourou ne trouve pas en cette dernière l’époux qu’il faut à Fama à cause de son
dévergonde (qui mène une existence dérèglée), sa volubilité et son mensonge. Cet avis
n’est guère celui de Bala qui encourage Fama. Alors qu’il passe tranquillement son
séjour, le représentant du parti unique accuse Fama d’être un réactionnaire, un opposant à
battre. Heureusement la sagesse Malinké a prévalu sur les rancœurs et le mensonge du
nouveau venu. « Les soleils des indépendances et du parti unique passeront comme les
soleils de Samoury et de toubab, alors que les boubous, les Doumbouya reste toujours à
Togo-bala…la bâtardise n’avait gagné Togo-bala » (page 141).
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célébrer Fama décide d’abandonner Togobala et sa chefferie en faveur de la capitale,
accompagné de Mariam. Bala, le féticheur, déconseille ce déplacement au bout duquel il
entrevoit un danger.
Des slogans anti gouvernementaux figurent sur le mur, le mot d’ordre de grève affiché
partout, des incendies éclats ! Mais la réaction du parti unique ne se fait pas attendre
longtemps. Une sévère répression s’opère, suivi d’arrestation au sein de pouvoir comme à
l’extérieure. Certaine seront tué en prison par suite de torture. Fama, l’analphabète qui
n’a pas compris que, «la politique n’a ni yeux, ni oreilles, ni cœurs ; en politique le vrai et
le mensonge portent le même pagne, le juste et l’injuste marchent de pair. » (Page 64) ;
compte parmi les détenues politiques : un Simulacre de procès (un procès non équitable)
le donnera à 20 ans de réclusion criminelle (isolé et condamné aux travaux forcés) : « il
est inculpé d’avoir participé à un complot visant à liquider le président de la république et
ainsi de n’avoir pas raconté un rêve à un responsable du parti ». Il purge alors sa peine
tout en le convainquant que seul la mort le libérera de cet univers carcéral (prison). Son
état de santé se dégrade continuellement. Les indépendances, le parti unique, le fil de
bâtard ont quelques sortent gagnés.
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Une nuit il fait un rêve et se voit libre et heureux, le lendemain le rêve devient une réalité,
une sorte de rêve prémonitoire (pressentiment qui avertit). Hors de la prison de Moyoko,
habillé de neuf il assistera avec les autres détenus à la cérémonie de réconciliation pointé
par un discours du président unique. Ce dernier parle de pardon, de réconciliation.
Chaque détenu reçoit après l’embrassade du chef de l’État. Une épaisse de liasse de billet
de banque dans la voiture qui le ramène dans la capitale, Fama reste pensif. Il est
totalement indifférent aux propos de son ami Bakary qui le félicite en voyant sortir
devant de jours de gloire : d’abord la possibilité d’une évacuation sanitaire pour réfère
(premier soin) sa santé, d’accès à un important poste de responsabilité au sein du parti,
des remariages avec des jeunes femmes plus belles que Salimata et Mariam du fouillé
respectivement avec le marabout Abdoulaye et le chauffeur de taxi maitre tourbillon.
Le récit des soleils des indépendances retrace l’itinéraire de Fama et de son époux
Salimata ; il se compose de trois parties des longueurs inégales ; Chaque partie
correspond à un espace bien déterminé où se localise les intrigues (histoire).
La première partie comporte quatre (4) chapitres dont chacun porte un titre. Elle va de la
page 7 à la page 80 et offre comme espace des faits la capitale de la république des
ébènes. Le déplacement de Fama et ses activités ainsi que ceux de Salimata se passe dans
la capitale.
La deuxième (2ème) partie compte cinq (5) chapitres titrés chacun. Elle s’étend de la page
83 à 152. Elle comme cadre des faits en grande partie la république des ébènes surtout à
Togobala. Elle correspond aux voyages de Fama de la cote des ébènes vers sa terre natale
dans la république socialiste de Nikinai, ses esclaves, sa destination, ce qui est l’occasion
d’un tableau réussi des coutumes funéraires en pays Malinké.
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Lan troisième (3ème) et la dernière partie tient en deux chapitres qui commence à la page
157 et finie à la page 205.
On suit à nouveau le héros Fama dans la capitale de la république des Ébènes ou il arrive
avec sa jeune épouse héritée de son feu cousin Locina il se trouve mêlé à l’agitation
politique qui perturbe le pays. Arrêté et condamné à 20 ans de réclusion criminelle, il
répartira dès sa libération mourir dans le Nikinais.
À l’aube des indépendances, la société Malinké à laquelle s’intéresse l’auteur connait une
profonde crise des valeurs. Aussi bien en milieu traditionnel qu’en milieu urbain. La
grande fraternité et la solidarité sont bafouées ;
Chacun essaye ; à n’importe quel prix de prendre la meilleure place même s’il ne doit pas
la garder que très peu de temps.
Il convient ici de noter que les prises de position de Fama par apport à cette confiture ne
sont pas toutes questionnées par l’auteur. Cependant, au-delà des colères de son héros,
s’exprime, des propos, des illusions d’Amadou Kourouma ce dernier est déchu, lui aussi
et, plus encore inquiet. Mais en critiquant ce qui le choque le plus, ce le fait des
institutions, il montre implicitement sa fois en dévaler humain auquel il faudrait s’en
presser de revenir sous peine d’anéantissement.
Ahmadou Kourouma se déchaine contre le parti unique et contre ses adultes. Il leur
reproche d’avoir confisqué les libertés fondamentales au profit de la seule opinion du
parti « le parti unique de la république interdisait aux villageois d’attendre ce que pourrait
compter les arrivants de la capitale sur la politique ». (Page 97). Il ; les condamne pour
avoir gouverné par la terreur et la force. Pratiquer une politique inhumaine, tuer la justice
et pour avoir abusé de leur pouvoir. Il stigmatise enfin, leur attitude et leur discours
démagogiques.
-Raymond Lambert :
C’est un jeune journaliste venu de Paris pour enquêter sur la condition de vie des arabes
dans la ville d’Oran. Rambert arrive dans la ville lorsque l’épidémie s’est déjà déclarée. Il
a abandonné son époux à paris et voudrait vite faire ses enquêtes et retourner près d’elle
après l’accouchement. Mais les sorties de la ville ne sont plus possibles. Pour la cause de
l’humanité, il reste pour combattre auprès du docteur rieux et des autres. C’est à la fin de
l’épidémie qu’il rentre auprès de sa femme.
-Jean Tarrou
C’est un assistant auprès du docteur Rieux. Celui qui tient les chiffres sûrs concernant les
habitants et l’état de l’épidémie.
-Joseph Cottard
Un homme immoral qui profite de la peste. Il a un passé criminel et il est libéré à cause
de la maladie et on le cherche et il sera arrêté après l’épidémie.
-Joseph le Grand :
Un employé de mairie qui cherche tous les temps le mot juste pour écrire.
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Le roman est divisé comme une tragédie en (cinq) actes. Il y a un narrateur interne qui se
relève à la fin de la pièce. On se trouve en Algérie à Oran, en Avril 1947. « Une ville
laide et ordinaire ». Après un an tout est fini. Dans l’introduction, Camus nous décrit le
lieu d’action. Oran est une ville commune dans laquelle, des personnes ne vivent qu’au
quotidienne, ils ne donnent aucun sens à leurs vies. Tout à coup, le médecin Rieux
découvre les rats morts. Le nombre de cadavres augmente rapidement. D’un jour à l’autre
les rats qui meurent disparaissent. Rapidement on a beaucoup de morts et les gens se
rendent compte que la peste s’est déclenchée. Par ailleurs, le médecin Rieux, Torrou, le
père Panéloux, et le journaliste Lambert aident les personnes malades. Certes ces derniers
assistent au près des malades mais chacun le fasse à sa manière. Après une longue
période pleine de chagrin et souffrance, l’on constate que les rats sortent de nouveau mais
ils ne meurent pas et la peste disparait mystérieusement comme elle est venue.
1/ dans la première partie, l’auteur présente la ville d’Oran en Algérie en pleine saison
sèche ; Un événement étrange vient de frapper la ville. Les animaux (Rats, souris, chats)
sont entrains de mourir de la manière la plus spectaculaire, en sortant de leurs cachettes
pour s’étaler dans la rue. Le mesure prévue pour la préfecture sont insuffisantes et déjà on
commence par apercevoir que quelques individus souffrent de la maladie dont on ne
détermine pas avec exactitude les diagnostiques. Les portes de la ville sont fermées et il
n’est pas possible ni de sortir ni d’entrer dans la ville d’Oran.
2/dans la deuxième partie, la peste bat son pleine dans la ville d’Oran, les victimes
humaines sont de plus en plus nombreux. Les interventions médicales n’apportent aucun
changement à la situation douloureuse et tragique. Le narrateur dit : « à partir de ce
moment, il est possible de dire que la peste fit notre affaire à tous ! Jusque-là, malgré la
surprise et l’inquiétude que l’ère avait apportée, ses événements singuliers, chacun de nos
citoyens avait poursuivi ses occupations, comme il avait pu, à sa place ordinaire ». C’est
alors que les équipes médicales misent sur pied par le docteur Rieux avec l’aide de
Tarrou vont se déployer dans les interventions avec peu de chance. Le journaliste quoi
avait laissé son épouse à terme et voulait retourner le plus vite possible avant
l’accouchement est alors bloqué dans la ville d’Oran. En attendant de sortir de la ville, il
décide de prêter main forte au docteur.
3/ dans la troisième partie, le vecteur se rend compte au fur et à mesure que le moi passe,
la peste fait beaucoup de ravage dans le quartier pauvre de la ville d’Oran, comme on s’y
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attendait le moins, les quartiers administratifs sont atteints. On accuse alors le vent de
transporter le germe vers le milieu le plus insubordonné.
Le vecteur d’aujourd’hui peut à bon titre penser à la pneumonie atypique qui a fait son
apparition en chine.
4- dans la quatrième partie, la décision fut d’isoler quelques quartiers sans doute le plus
touchés. Le père Panéloux dans ses prêche rappel à ceux qui veulent l’attendre que la
peste est une punition infligée par Dieu aux hommes à cause de leurs incrédulités. La
mort du fils de Othon vient confondre les pauvres prêtres quoi crie lui-même : « Mon
Dieu, sauver cet enfant » avant de voir le gosse du non du Philipe autant trépasser. Et
comme cela ne suffisait pas, la peste s’attaque au père Panéloux qui dans sa compassion
avec le malade n’avait respecté les consignes de la quarantaine.
La mort frappe indistinctement et aveuglement les prêtres qui meurent. Quelle ironie de
sort ! Pourtant dans cette même partie plusieurs malades se rétablissent après plusieurs
crises d’agitations.
Albert camus nous montre que l’absurdité avec les différents comportements en face du
mal. Le mal est une chose qu’on ne peut ni comprendre ni expliquer. Le mal tout comme
la vie est une chose qu’on ne peut pas changer. L’homme doit croire à l’existence
seulement et vivre dans un monde obscur. Il doit accepter l’absurdité de la vie (le mal
vient si on veut ou pas). L’action de l’homme est limitée tout comme l’homme est limité
par la peste. L’absurdité est les différentes manières de la confrontée sont les thèmes
principaux de la peste. Pour, nous rendre l’état de l’absurdité plus forte, Camus utilise un
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style monotone et impersonnel. Il fait usage d’une langue sèche et objective. Pour
fortifier l’attention de l’utilisée et l’objectivité, Camus attend jusqu’à la fin pour révéler
l’identité du narrateur.
Rieux essaie de faire l’impossible pour sauver les autres habitants. Il croit seulement à
l’homme et à ce qu’il fait. Le dernier ne change jamais la manière de vivre. Il ne juge pas
ce qui se passe et ne demande pas pourquoi les malheurs est arrivé mais il pense
seulement à ses devoirs. Il se révolte jusqu’à la fin. Quand sa femme meurt il ne change
pas de comportement. Au contraire il y a Tarrou qui essaie de s’exprimer tout et qui
pense en manière rationnelle. À la fin il était une victime de la peste.
La religion est représentée par le père Panéloux. Il n’accepte pas l’assistance du docteur
Rieux parce qu’il se dit un prêtre ne peut pas consulter un médecin car la peste est une
chose qui doit être acceptée, alors c’est un fléau de Dieu. Pour une raison inconnue,
seulement Dieu peut comprendre le mal. Mais quand le fils du juge Othman meut, le
Panéloux met en doute sa foi. Mais il se justifie avec la foi que peut-être on doit accepter
les choses qu’on ne comprend pas si c’est à cause de la peste.
Ici on voit camus ne croit pas en Dieu car il fait mourir la religion avant que la peste soit
fini. Dans la pièce, les personnages qui meurent sont surtout ceux qui cherche une
réponse à la peste ou ne voulant pas accepter la condition dans laquelle ils se trouvent.
VII-CONCLUSION
Cette œuvre est écrite peu du temps après la 2ème guerre mondiale. La peste est le récit
d’une épidémie qui ravage la ville d’Oran en Algérie. La quarantaine est déclarée et les
habitants se retrouvent prisonniers de la ville décimée par le fléau. Dans ces circonstances
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extrêmes, la pure lâcheté et le plus sublime courage deviennent quotidien aux yeux de
l’un des personnages, le docteur Rieux, l’héroïsme fini par l’emporter. Et ce pour
témoigner de cet espoir en l’homme qu’il décide lorsque tout danger est désormais écarté
de rédiger le récit de ce roman qui s’achève sur une note d’espoir et d’humanisme.
FIN DU COURS
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