Présentation xxx6 1
Présentation xxx6 1
Présentation xxx6 1
additive
et fonctionnelle par les industriels. La fabrication additive
est définie comme étant le procédé de mise en forme
d’une pièce par ajout de matière, à l’opposé de la mise en
forme traditionnelle par enlèvement de matière
(usinage). Elle permet de dépasser les limites de la
fabrication traditionnelle (moulage par injection ,
usinage, formage, ) et offre la possibilité de fabriquer
des pièces de grande complexité, irréalisables par
d’autres techniques, élargissant ainsi le potentiel pour
l’innovation. La fabrication additive n’a cessé de se
développer et grâce au développement des
équipements les activités de prototypage ont migré
dans certains domaines vers celles de fabrication directe
de pièces fonctionnelles. La maturité des procédés et les
équipements actuels permettent la production en série
de pièces manufacturées métalliques. Les industries
automobile, aéronautique et médicale sont fortement
intéressées par le potentiel que peut leur offrir la FA.
(Wikipédia)
• La fabrication additive est apparue dans les années 1980, mais elle est restée assez
discrète jusqu’en 2005, date à laquelle les premières imprimantes 3D financièrement
abordables – comme la RepRap (replicable rapid prototyper, imprimante 3D capable
entre autres de répliquer les pièces la constituant) – ont été mises sur le marché,
suscitant l’engouement du grand public et des médias. C’est en 1986 que l’Américain
Charles W. Hull invente le procédé d’impression par stéréolithographie, procédé de
prototypage rapide permettant de fabriquer des objets solides à partir d’un modèle
géométrique numérique. Il définit aussi le format de fichier informatique STL
(standard tessellation language) pour décrire les objets dans les trois dimensions de
l’espace. Ce format est encore utilisé aujourd’hui.
Historique
• La technique d’impression par dépôt de matière fondue est proposée en 1988 par la
société américaine Stratasys. Le Massachusetts Institute of Technology développe en
1993 la technologie multi-jet modeling (MJM ; modelage à jets multiples), proche de
celle des imprimantes à jet d’encre classiques mais manipulant des photopolymères
(polymères subissant une transformation sous l’effet de la lumière) comme matériau
d’impression.
• Le terme « imprimante 3D » apparaît en 1996 pour désigner cet ensemble de
technologies. Il faudra près de dix ans pour que l’impression 3D cesse d’être
strictement réservée au domaine industriel. C’est avec la création des fablabs (mot
issu de la contraction de l’anglais fabrication laboratory, « laboratoire de
fabrication ») vers 2005, lieux ouverts au public et permettant l’accès à toutes sortes
d’outils numériques pour la conception d’objets, que l’impression 3D entre
définitivement dans notre vie quotidienne.
Les avantages
• La fabrication additive est une techniquerà fort potentiel.rChaque procédé de fabrication additive a ses avantages et inconvénients . Nous
yrrreviendrons.
Elle offre des possibilités encore jamais imaginées et remet en question l’ensemble des procédés industriels.
Voici un rapide tour d’horizon de ce dont elle est capable :
• pièces métalliquesrou plastiques
• pièces fonctionnelles ourprototypes
• grandes ou petites séries à coûtrmaitrisé
• optimisationrtopologique (pièce existante ou modèler3D grossier)
• applicationsrmultiples dansrchaque secteur de l’industrie
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