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Pfe Final
À nos chers frères et sœurs, les mots ne peuvent pas résumer notre
reconnaissance et notre amour.
Que toute personne ayant aidé de près ou de loin, trouve ici l’expression
de ma reconnaissance.
I. Architecture électronique….......................................................................72
1. Moteur pas à pas...................................................................................................................72
1.1. Moteur à aimant permanent........................................................................................73
1.1.a. Fonctionnement...........................................................................................................73
1.1.b. Caracté ristiques............................................................................................................75
1.2. Moteur pas à pas à ré luctance variable.................................................................75
1.2.a. Fonctionnement...........................................................................................................75
1.2.b. Caracté ristiques............................................................................................................76
1.3. Moteur hybride....................................................................................................................... 76
1.3.a. Fonctionnement...........................................................................................................77
1.3.b. Caracté ristiques............................................................................................................77
2. Servomoteur................................................................................................................................. 77
3. Microcontrô leur.......................................................................................................................... 78
4 Ré gulateurs..............................................................................................................................81
4.1 ré gulateur de panneaux solaire.......................................................................................81
5 Carte La carte Arduino Mé ga 2560................................................................................81
6 Fin de course............................................................................................................................83
6.1. Constitution.........................................................................................................................83
6.2. Principe de fonctionnement.............................................................................................83
CONCLUSION
Introduction générale
La pré sence croissante de dé chets marins est l'un des grands dé fis
socié taux de notre é poque. Les organisations socié tales, les dé cideurs
politiques et l'industrie cherchent de plus en plus à dé velopper et à dé ployer
des solutions pour s'attaquer au problè me des dé chets marins. Les mesures
pré ventives, afin de ré duire la quantité de plastiques pé né trant dans
l'environnement (par exemple par le biais d'un changement de comportement
et d'actions politiques), sont les solutions les plus importantes et les plus
efficaces. Cependant, empê cher les plastiques de pé né trer dans nos océ ans en
les collectant dans les voies navigables inté rieures ainsi qu'en nettoyant les
plastiques dé jà accumulé s dans nos mers et nos océ ans contribue é galement
à ré duire le problè me mondial des dé chets marins.
Dans ce travail, nous pré sentons une conception d’un engin marin
nettoyeur, qui a pour mission de nettoyer les mers et les océ ans. Or, ce type
de robot est nouveau et inventé ré cemment (sous une phase
d’expé rimentation).
1
Le deuxiè me Chapitre pré sente la dé marche d’analyse fonctionnelle
pour obtenir le Cahier Des Charges fonctionnelles CDCF pour la conception
d’un robot ou engin de nettoyage de la mer. Cette partie expose les attentes
industrielles et justifie les choix de conception.
2
3
CHAPITRE 1
Etat de l’art sur les déchets , la robotique et
l’énergie solaire PV
La production des dé chets est iné luctable pour diffé rentes raisons
telle que les mé tabolites produits par tout cycle de vie, les ré actions
chimiques et les procé dé s industriels. On trouve é galement des raisons
é conomiques comme les produits à une duré e de vie limité e, les activité s de
1
la dépollution
2
(eau, air) gé nè rent iné vitablement d’autres dé chets qui né cessitent une gestion
spé cifique, ainsi le dysfonctionnement des systè mes de production et de
consommation sont eux aussi à l’origine de dé chets.
Les dé chets sont gé né ralement caracté risé s par quatre paramè tres
essentiels tels que la densité , le degré d’humidité , le pouvoir calorifique et le
rapport des teneurs en carbone et azote.
3
- Les dé chets des collectivité s : dé chets du nettoiement, dé chets des
espaces verts publics, dé chets de l’assainissement public (boues de station
d’é puration des eaux usé es, boues de curage d’é gouts) ;
4.2.3. Déchets inertes : ce sont les produits non biodé gradables qui
ne se dé composent pas et ne produisent aucune ré action physique ou
chimique.
4
produits peuvent provoquer l’apparition de quelques gazes toxiques tels que
le mé thane (effet de serre). On cite é galement la pollution du milieu
subaquatique, où des millions de tonnes de dé chets sont jeté s dans les
océ ans chaque anné e, et ceci propage la contamination des espè ces
aquatiques. Enfin, la pollution du sol repré sente aussi un problè me majeur
malgré elle est d’une pré occupation mineure par rapport aux deux autres. A
cet é gard, on cite les dé chets nuclé aires qui provoquent l’é rosion et la
contamination des sols.
Le danger exposé par les dé chets est presque similaire dans tous les
pays. Par exemple, au Maroc, les critè res de dangerosité des dé chets spé ciaux
sont définis par le dé cret exé cutif n0 : 06-104 du 29 moharrem 1427
correspondant au 28 fé vrier 2006 : explosible, comburante, extrê mement
5
6
inflammable, facilement inflammable, inflammable, irritante, nocive, toxique,
cancé rogè ne, corrosive, infectieuse, toxique vis-à -vis la reproduction,
mutagè ne, dangereuse pour l’environnement.
7
3. Traitement des déchets
8
9
Figure 2. Cycle de recyclage des déchets
10
Tableau 2. Impacts dus au compostage
3.5. Enfouissement
11
• CET de classe 2 : un peu moins é tanches que les pré cé dents, et sont
habilité s à recevoir les ordures mé nagè res et assimilé s.
12
- achever et mettre en fonction de deux centres d’enfouissement
technique (CET classe 1) ;
13
Figure 4. Déférents techniques de collecte des déchets
IV. La robotique
1. Introduction
14
15
des robots. Enfin, nous terminons ce chapitre avec les avantages et les
inconvé nients des robots.
2. Définitions
Le mot robot a é té utilisé pour la premiè re fois en 1921 par Karel Capek
dans sa piè ce R.U.R. (Rossums Universal Robots), où il provient du mot
tchè que "robota" qui signifie « travail obligatoire ». Or, le terme robotique a é té
employé pour la premiè re fois par Asimov en 1941.
16
- L'auto-adaptabilité : Un robot doit pouvoir s'adapter à un
environnement changeant au cours de l'exé cution de ses tâ ches.
3. Historique
Au XVIIIᵉ siè cle, les automates miniatures sont devenus des jouets
populaires chez les gens trè s riches. Ces figurines é taient à l'image d'humains
ou de petits animaux et imitaient leurs mouvements.
17
18
plus costaud que la moyenne d’entre nous et ê tre doté d’une force
surhumaine.
19
Premiè re loi : Un robot ne peut porter atteinte à un ê tre humain ni,
restant passif, laisser cet ê tre humain exposé au danger.
Deuxiè me loi : Un robot doit obé ir aux ordres donné s par les ê tres
humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la premiè re
loi.
Troisiè me loi : Un robot doit proté ger son existence dans la mesure où
cette protection n’est pas en contradiction avec la premiè re ou la
deuxiè me loi.
4.2. Capteurs
20
21
sur l’é volution du robot dans l’environnement. Par ailleurs, il y a une diverse
varié té de capteurs tels que :
Les camé ras : ce sont les yeux du robot, et grâ ce à eux on peut
détecter les formes, les objets et reconnaitre les visages. Or, le traitement
automatique d’image demande en gé né ral un traitement maté riel, car c’est une
tâ che trè s couteuse en termes de calcul.
22
Figure 7. Différents types de capteurs.
4.4. Actionneurs
L’actionneur permettra au robot d’effectuer concrè tement les actions
commandé es par son cerveau en fonction de ses objectifs, et suite au
traitement des informations recueillies par les capteurs. Le rô le des
actionneurs consiste à transformer l’é nergie fournie à l’entré e en
23
actions physiques comme les mouvements et les rotations. Or, on distingue
deux principaux types d’actionneurs tels que :
24
5. Types des robots
25
cite
26
é galement que les modè les gé omé triques (directs et inverse) ont une grande
importante dans la robotique industrielle, où ils permettent gé omé triques.
Les robots sé riels : ce sont des robots dont une structure mobile
caracté risé e par une succession de segments relié s entre eux par des liaisons
à un degré de liberté . Chaque articulation est contrô lé e par un actionneur
situé à l'endroit de l'articulation ou sur un des segments pré cé dents (Figure
II-7). Les robots sériels ont l’avantage de disposer d’un grand volume de travail
et d’ê tre relativement simples sur le plan des calculs lié s à leur commande.
Par contre, ils sont doté s de quelques inconvé nients tels que :
27
Figure 11. Robot manipulateur sériel
28
La deuxième génération incarné e par la structure Delta de Clavel, et
regroupe les robots de haute performance (vitesses jusqu’à 10 m/s et
accé lé ration jusqu’à 20 G). ce genre de robots est doté d’actionneurs fixes
sur le bâ ti et des composants mobiles lé gers (Figure 13).
29
Figure 13. Robot Flex Pickerd’ABB.
30
5.2.1. Classification
Les robots mobiles sont classifié s dans la litté rature selon le degré
d’autonomie, où on distingue principalement trois caté gories :
Robot télécommandé par un opé rateur qui lui fixe la tâ che à ré aliser
Parmi les trois caté gories, la derniè re connait des problè mes de
complexité dus à la repré sentation des connaissances, de capacité
dé cisionnelle et de gé né ration de plans. En outre, on cite les points majeurs à
prendre en considé ration lors de la conception des robots :
31
32
d’obstacles. En d’autres termes, les chenilles sont plus utiles dans les sols
accidenté s.
Les dé placements des robots sont ré alisé s par des moteurs é lectriques,
thermiques ou hydrauliques, où le premier type est le plus utilisé , car il offre
une commande aisé e. Par contre, l’é nergie thermique est essentiellement
installé e dans des vé hicules de forte puissance.
33
Figure 15. Synoptique de la sécurité.
34
à priori (statiques) ou obtenues en cours d’é volution (dynamiques). La
gé né ration de plus repose sur trois concepts :
La planification
5.2.2.2. Navigation
35
36
6. Fonctionnement d'un robot
37
robot. Cette erreur est due au modè le utilisé , à la quantification de la mesure
de position, à la flexibilité du systè me mé canique. En gé né ral, l’erreur de
positionnement absolu, é galement appelé e pré cision, est de l’ordre de 1 MM.
La masse du robot.
Le coû t du robot.
La maintenance.
38
Par contre, les inconvénients des robots :
Bien que les robots ont de bonnes certaines caracté ristiques, mais
aussi ont ces caracté ristiques limité es comme la capacité à degré de liberté ,
la dexté rité , capteurs, systè me de vision et la ré ponse en temps ré el. Les
robots sont coû teux en raison du coû t initial de l'é quipement, le coû t
d'installation, le besoin de pé riphé riques, le besoin de formation et la
né cessité de la programmation.
8. Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons dé fini les dé chets et ses diffé rentes
caracté ristiques. Ainsi, nous avons parlé sur la classification, les impacts des
dé chets sur l’environnement et la gestion des dé chets pour ré duire leur
danger. Il est important de noter que la pré servation de l’environnement est
une né cessité qui sollicite la conscience sociale et la volonté politique afin de
mobiliser tous les moyens socio-é conomiques.
Juste aprè s nous avons pré senté des gé né ralité s sur la robotique en
passant par un bref historique sur cette derniè re. Par la suite, nous avons
dé crit la constitution d’un robot tel que les capteurs, les actionneurs et les
circuits é lectroniques. Enfin, nous avons terminé ce chapitre en citant
quelques avantages et inconvé nients des robots. Dans le chapitre suivant,
nous dé taillons notre robot nettoyeur de dé chets flottants sur la mer.
39
V- Energie solaire.
I. 1Introduction
2. L’énergie solaire
L’é lectricité est une des formes d’é nergie les plus versatiles et qui
s’adapte au mieux à chaque né cessité . Son utilisation est si é tendue,
qu’aujourd’hui on pourrait difficilement concevoir une socié té
techniquement avancé e qui n’en fasse pas usage.
40
Type de l’énergie solaire :
a) Rayonnement direct RD
Le rayonnement direct est reçu directement du soleil, sans diffusé s par
l’atmosphè re ce rayons sont parallè les entre eux, il forme donc des ombres et
peut par des modules.
b) Rayonnement diffus Rd
C’est la partie de l’é clairement solaire ré flé chi par le sol, ce
rayonnement dé pend directement de la nature du sol (nuage, sable …).
c) Rayonnement solaire réfléchi
L’albé do est la partie ré flé chie par le sol. Il dé pend de l’environnement
du site. Il faudra en tenir compte pour é valuer le rayonnement sur le plan
incliné .
d) Le rayonnement global RG
41
Le rayonnement global dé signe l’intensité globale de flux solaire sur
une surface ré ceptrice.
a) Regroupement en série
V 'CO
NS I 1
.VCO
Avec :
Vco : La tension du circuit ouvert. Comme montre la figure (4)
42
43
Figure 4: CARACTÉRISTIQUE RÉSULTAT D’UN REGROUPEMENT DE NS
CELLULES EN SÉRIES.
b) Regroupement en parallèle
Lorsque les cellules sont connecté es en parallè les, ce sont les courants
qui s’ajoutent et la tension qui restera constante. L’é quation (I-2) ré sume les
caracté ristiques é lectriques d’une association de Np.
I 'CC
Np I 2
.ICC
Avec :
Icc : Courant de court-circuit. Comme montre la figure (5)
44
tension é gale à la somme des tensions individuelles et un courant é gal à
celui d’une
45
seule cellule. La caracté ristique d’un groupement de deux modules solaires
est repré senté e ci-dessous figure (I.6), ce qui peut ê tre gé né ralisé sur une
gamme de Ns modules solaires en sé rie. Ce genre de groupement augment le
courant.
46
Figure 7 : CARACTÉRISTIQUES I(V) ET P(V) D’UN MODULE SOLAIRE.
Voc: tension circuit ouvert (open circuit) indique la tension pré sente aux
bornes du module quand il n’est pas branché .
47
Figure 8: LA TEMPÉRATURE SUR LES CARACTÉRISTIQUES.
49
silicium monocristallin). Il produit environ 100 WC/m² et possè de un
rendement de 10% à 14%. Il a l’avantage d’ê tre moins cher que le silicium
monocristallin pour la mê me duré e de vie.
Cellule et
module
50
qu’avec un -Possè de une é clairage faible
fort meilleure -Utilisable en
ensoleillement ré sistance à une modules souples
-Couleur bleu haute de
uniforme tempé rature
Mais dans notre cas on va utiliser cette é nergie pour la recharge des
batteries des robots sous-marins.
51
Figure9 : SCHÉMA D’UN SYSTÈME PHOTOVOLTAÏQUE EN MODE
AUTONOME.
52
I.8.3 Mode hybride
Un systè me d’é nergie hybride comporte plus qu’une source d’é lectricité
tel que les modules photovoltaïques, les piles à combustibles, les gé né rateurs
é oliens, les batteries de stockage, les groupes é lectrogè nes…etc. Ce type
d’installation est utilisé pour l’é lectrification des ré gions loin du ré seau.
PV/é olienne/batterie
PV/thermique
PV/é olienne
Les systè mes hybrides connecté s au ré seau ont pour but de renforcer
la source principale d’é lectricité alimentant le ré seau. Ils sont gé né ralement
à base de sources d’énergie renouvelables tel que : les modules
photovoltaïques, les é oliennes, les piles à combustibles, les batteries de
stockage, les groupes é lectrogè nes.
I.9 Conclusion
Dans cette partie, nous avons rappelé quelques notions sur le principe
de la technologie photovoltaïque, et son application dans le domaine
l’exploitation et l’extraction de l’é nergie solaire. Celui-ci é tant l’é nergie solaire
est une é nergie propre et disponible mais intermittente. Ce qui né cessite son
stockage dans les batteries.
53
54
CHAPITRE 2 : Analyse fonctionnelle.
I. L’analyse du Besoin.
Le nettoyage des mers de dé chets flottante constitue un handicap
pour une proprié té parfaite des mers, ceci permettre du a
55
56
II.1 Analyse externe.
57
quelle é poque est
exprimé ce besoin ?
-Assurer la
proprié té .
Quelles sont les raisons
- garder la santé et
qui font apparaître ce
Pourquoi ? la vie des animaux
besoin ?
aquatiques.
Méthode SADT
- C : Donné es de configuration.
- R : Donné es de ré glage.
- E : Donné es d’exploitation.
58
Figure 19 : Mé thode SADT du systè me de ré cupé ration d’é nergie.
Les fonctions principale (FP), sont toute les fonctions de service qui met
en relation deux (ou plus) é lé ments du milieu exté rieur via le produit. C’est
une fonction qui justifie la cré ation du produit.
59
Les fonctions contraintes (FC), sont toutes les fonctions qui limitent la
liberté du concepteur. C’est une fonction qui met en relation le produit avec
un seul é lé ment du milieu exté rieur.
Pour satisfaire le besoin, il faut exprimer les diffé rentes fonctions offertes
par le suiveur.
Le tableau suivant caracté rise ces fonctions.
II.1.3 Descriptions de fonctions.
60
Tableau 5. Description des fonctions.
Donc nous avons essayé d’é tablir ce petit cahier de charger proprement
à notre produit et suivant les exigences estimer.
FP1 Nettoyer et 15 𝐾𝑔 F1 ±2 Kg
ramasser les
dé chets
FC1 Alimentation de 12V DC F2 ±2V
système
61
FC2 Ecologique pollution
Fonctions de service :
Les fonctions de service constituent une relation entre le systè me et le
milieu exté rieur, elles traduisent l'action attendue ou ré alisé e par le produit
pour ré pondre à un é lé ment du besoin d'un utilisateur donné . Il faut souvent
plusieurs fonctions de service pour ré pondre à un besoin. Dans une é tude
donné e, leur é numé ration et leur formulation qualitative et quantitative
ré sultent de l'analyse du besoin à satisfaire et le décrivent d'une maniè re
né cessaire et suffisante.
Fonctions techniques :
Les fonctions techniques sont internes au produit, elles sont choisies
par le constructeur dans le cadre d'une solution, pour assurer une fonction
de service.
62
63
Remarque : à partir de cette analyse interne on a dé taillé les diffé rentes
fonctions du concentrateur pour faciliter les choix dans l’é tude mé canique et
é lectronique du systè me.
64
65
CHAPITRE 3
Conception et dimensionnement mécanique
Du nettoyeur.
66
rien ne freine le corps qui poursuit son mouvement jusqu’à rencontrer une
autre force.
On peut expliquer la traîné e, qu’elle soit hydrodynamique (dans l’eau)
ou aé rodynamique (dans l’air), par l’é nergie né cessaire à pousser les molé cules
du fluide (eau ou air) pour laisser place aux corps en mouvement. Cette
é nergie va ainsi se repré senter par une force s'exerçant dans le sens inverse
du dé placement du corps. C’est la ré sistance à l’avancement d’un corps en
fonction du milieu.
T CX .p.S. / 2)
Avec : (V2
• Cx, le coefficient de traîné e qui dé pend de la forme du corps,
dé terminé expé rimentalement en soufflerie, nombre sans unité .
• p, la masse volumique du fluide dans lequel se dé place le corps en
kg/m3.
• S, la surface frontale, surface projeté e suivant la trajectoire du fluide
sur un plan perpendiculaire à cette trajectoire. Autrement dit c'est la surface
que pré sente l'objet au fluide en m2.
• V, la vitesse relative du fluide par rapport au corps en m/s.
67
On remarque que la traîné e est influencé e par le fluide (sa vitesse, sa
masse volumique) et par le corps en mouvement (sa vitesse, sa forme). Dans
le cas d’un nettoyeur pour faire varier la traîné e on peut seulement modifier
les paramè tres du nettoyeur : le milieu dans lequel il se déplace n’est pas
contrô lable.
On a donc traîné e
CX .p.S.(V2 / 2)
0,1 * 1000 * 0,1* 1 / 9N
8
2
Notre robot nettoyeur utilise une batterie qui est des accumulateurs
lithium-ion polymè re (Li-Po) et exactement la batterie (Gens ace) Li-Po
2500mAh caracté risé e par :
Type de la batterie Li PO
Voltage 11.1 V
Poids 110 g
Longueur 105 mm
Largeur 34 mm
Hauteur 5 mm
68
Prise Equilibrage JST-EH
69
Nombre d'éléments 3S
Figure 22-
MOTEUR BRUSHLESS
EN VUE 3D
70
71
SHUAICHI
Nom de la marque
alliage d'aluminium + acier inoxydable +
Matériel plastiques d'ingénierie
160W
Puissance maximale
150 mètres
Profondeur de plongée maximale
20A
ESC Recommander
11N (12V) 13N(13) 17N (16V)
Poussée
Etanchéité complète
Méthode d'étanchéité
Tableau 1-CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DU MOTEUR
72
Pour la suite de calcul et dimensionnement on va imposer que le robot
nettoyeur va effectuer une seule mission c’est le ramassage des dé chets dans
une profondeur de 300 m avec une vitesse de 15 km/h
I.2.calcul de la puissance
On a un seul type de sources d’é nergies renouvelables. Donc il y a des
mé thodes pour calculer la puissance :
73
II. Conception et dimensionnement de système
support flottant du nettoyeur adopté pour la
production de l’énergie nécessaire.
Tout d’abord dé finissons les contraintes que la forme du nettoyeur
doit ré soudre. Il est é vident qu’un nettoyeur va chercher à aller vite ou au
moins disposer d’une vitesse lui permettant de ramasser les dé chets
notamment plastiques, et bien sû r une bonne stabilité et de garder l'é quilibre
contre les vagues et les tornades une fois le nettoyeur arrê te son
déplacement. De mê me, un bon nettoyeur doit disposer d’une autonomie
suffisante, cela passe par une motorisation é conome, mais aussi par la
ré duction des frottements de l’eau. Lorsque l’on diminue ces frottements, le
déplacement du nettoyeur demande moins d’é nergie - on augmente son
autonomie. De plus lorsque que l’on diminue ces frottements inopiné s, on
diminue le bruit produit par le nettoyeur lors de son dé placement. Or ces
bruits de déplacement sont cruciaux dans la discré tion du nettoyeur, plus ils
sont forts plus le nettoyeur sera facile à détecter et plus son inté rê t tactique
sera faible.
Pour dé terminer cette forme idé ale nous é tudierons d’abord la traîné e
hydrodynamique. Puis nous dé crirons l’expé rience qui nous a permis de
déterminer cette forme. Ensuite nous comparerons notre solution à la ré alité .
Enfin nous comparerons la forme des nettoyeurs à celle de certains poissons.
74
75
Figure 1- SIMULATION DU NETTOYEUR.
II.1-Etude de l’équilibre :
Le corps flottant est en é quilibre si ces deux forces sont directement
opposé es et é gales mais cela n’implique pas sa stabilité si le corps est é loigné
de sa position d’é quilibre. En effet, pour un corps flottant donné (supposé
indé formable), la position de son centre de gravité est fixe quelle que soit la
position prise par ce corps. Par contre, la position du centre de carè ne où
s’exerce la poussé e d’Archimè de est variable en fonction de la position du
corps flottant par rapport au niveau de l’eau. Si le corps flottant est é loigné de
sa position d’é quilibre, sa flottaison change et mê me si le volume de carè ne
reste é gal, il change de forme, donc le centre de gravité de volume se dé place.
Le corps est dit stable si, une fois é loigné d’une faible inclinaison de sa position
d’é quilibre, il y revient de lui-mê me grâ ce à un systè me de force tendant à
annuler cette inclinaison. Cette notion de stabilité et de dé placement du centre
de carè ne est é vidente dans l’exemple (figure23) qui repré sente une planche
de bois qui flotte. Dans la position 1 celle-ci est en é quilibre (les deux forces
en pré sence sont directement opposé es et é gales) mais seule la position 2 est
stable. Le volume immergé est pourtant le mê me dans les deux cas, seule la
76
forme de la flottaison (Sₒ et 𝑆1) varie. La stabilité dé pend donc de la forme de la
surface de flottaison comme on le verra un peu plus loin.
Farch mg
eau * vim *G corps *V *G
eau * V * * G corps *V *G
1
6
77
78
P
1 m
corps eau
*
6 V
*1 *V 2.166kg
mcorps eau
6
II.2-Etude de stabilité :
Le centre gé omé trique se trouve à l’intersection des axes de symé tries
gé omé trique.
Soit le repè re orthonormé (oxyz) dont les axes sont les axes de symé trie
gé omé trique. Soit G le centre de masse et C le centre gé omé trique. La
ré paration du volume à enlever effectué e dans le paragraphe pré cé dent a
permis d’obtenir :
XG
XC
ZG
ZC
Calcul du couple de redressement
79
80
La figure 25 repré sente l’importanc1e de couple de redressement. La
poussé e d’Archimè de s’applique au point C, centre de gravité du volume de
fluide dé place, que l’on appelle le centre de poussé e. La masse du nettoyeur
possè de aussi un centre de gravité G, point d’application du poids, dont la
position du centre de gravité peut donc varier. A l’é quilibre, les points C et G
sont alignes sur la mê me ligne verticale (a). Suite à une petite inclinaison de
roulis, le couple formé par ces deux forces non aligné es mais parallè les tend
à ramener la plateforme à l’é quilibre (b) c’est d’ailleurs l’effet de couple de
redressement. Si G est situé au-dessus de C, le couple tend au contraire à
accentuer le dé sé quilibre.
Crmax
m* g *a * SIN 90 / 2
Crmax Crmin 3.56
81
0 N*m
82
Bien sû r pour mieux garder la stabilité dans l’eau la plateforme varie
en fonction de la forme de la carè ne (dessous de la plateforme). Par exemple :
II.2.1-systeme de stabilité :
Afin de garder à 100/100 la plateforme stable contre le vent, tornades,
et les vagues on a travaillé sur un système de stabilité on peut l’appelé comme
un régulateur de masse ou un système « contre poids », son principe est simple
consiste à mettre un poids au milieu de la semelle, quand nettoyeur se penche
vers une direction à cause de vent ou des vagues, le système va utiliser le
poids au sens contraire pour remettre le nettoyeur de son état initial de
stabilité . On peut dire que ce systè me est un systè me d’absorption des vagues.
83
Figure 29- SYSTEME DE STABILITE.
La batterie produit d’é lectricité grâ ce à la ré action chimique du plomb
immerge dans une solution d’acide sulfurique.
84
Figure 34. Schéma général du fonctionnement du système de commande.
85
III. La Conception assistée par ordinateur (CAO) :
La CAO comprend l’ensemble des programmes et des techniques de
modé lisation qui permettent la conception de modè les et de produits. La CAO
permet aussi de simuler et donc de tester virtuellement les produits avant de
les fabriquer. Il est ensuite aisé de transmettre les informations à la
Fabrication Assisté e par Ordinateur (FAO). On trouve parfois le programme
DAO (Dessin Assisté par Ordinateur), mais ces outils ne permettent
que la cré ation de plans.
- SolidWorks.
- FreeCAD
- OpenCASCADE.
- QCAD…
5.1. SOLIDWORKS :
86
Figure 38 : Fenêtre principale de SolidWorks.
1.1.1. Fonctionnement :
- Fonctions esquissées : Fonction basé e sur une esquisse 2D. Elle est
gé né ralement transformé e en volume par extrusion, ré volution, balayage,
coulissage.
5.1.2.1. Pièce :
87
- Extrusion. Dé placement d'une section droite dans une direction
perpendiculaire à la section. La section est dé finie dans une esquisse.
notions :
- Congé s et chanfreins.
- Nervures.
- Dé pouilles.
- Coque.
- Plis de tô le.
1.1.2.2. Assemblage :
Les mises en plan concernent à la fois les piè ces (dessin de dé finition)
ou les assemblages (dessin d'ensemble). Son principe est cré er une
88
projection
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de l'objet. Pour aboutir à un plan fini d'une piè ce on peut estimer mettre 2 fois
moins de temps qu'avec un outil DAO (temps de conception et exé cution du
dessin).
Cré ation des diffé rents dé tails qui caracté risent chacune de piè ces.
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* Le dessin technique de chaque piè ce avec les dimensions et plus
détails est dans l’Annexe c.
Dans cette partie, nous avons connecté chaque piè ce avec une autre
dans un ordre spé cifique et les avons divisé es en trois parties principales
sont
:
- Partie 1 : hé lices
91
92
Figure 41 : Schéma des paramètres de calcul.
5. Conclusion :
93
Le chapitre suivant est consacré au choix des composants é lectriques
et à la partie commande.
94
95
CHAPITRE 4
Partie électrique et système de commande.
I. Architecture électronique
Pour ce qui suit, nous allons exploiter les ré sultats de notre analyse
fonctionnelle et ainsi que ceux de notre é tude thé orique, en l’occurrence le
choix des piè ces convenables. Les composants indispensables pour le
fonctionnement d’un nettoyeur sont relativement accessibles. Chaque piè ce
doit ê tre choisie de maniè re soigné e et comporte un certain nombre de
caracté ristiques.
Un moteur pas à pas est caracté risé par sa ré solution ou encore son
nombre de pas par tour. Il peut avoir une valeur comprise entre 0,9°et 90°.
Les valeurs les plus couramment rencontré es sont :
96
- 0,9° : soit 400 pas par tour
I.1.1.a. Fonctionnement :
En inversant les sens des courants dans une phase, on permute les
pô les engendré s par une bobine. Le rotor se déplace alors et prend une
nouvelle position d’é quilibre stable.
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Selon la conception des enroulements, on distingue deux grands types
de moteurs pas à pas:
98
99
Figure 46: Représentation schématique d’u moteur pas à pas unipolaire.
I.1.1.b. Caractéristiques :
I.1.1.2.a. Fonctionnement :
Quand on alimente les bobines AA', puis BB' et enfin CC', le rotor se
place de telle façon que le flux qui le traverse soit maximal ; la ré luctance est
donc minimale.
10
Figure 48 : Fonctionnement de moteur a reluctance variable.
I.1.1.2.b. Caractéristiques :
10
Figure 49 : Moteur hybride.
I.1.1.3.a. Fonctionnement
I.1.1.3.b. Caractéristiques
I.2. Servomoteur :
10
- un moteur à courant continu
Figure 51 : Servomoteur.
I.3. Microcontrôleur
Un microcontrô leur est un circuit inté gré qui rassemble les é lé ments
essentiels d’un ordinateur. Il s’agit d’un composant é lectronique, qui s’intè gre
dans un circuit é lectronique.
10
- Le processeur : il interprè te les instructions et traite les donné es d'un
programme est cadencé à des fré quences de quelques mé gahertz ou dizaines
de mé gahertz. Il ne consomme gé né ralement qu’une fraction de watt. Son jeu
d’instructions est plus simple
Bien que les microcontrô leurs existent depuis les anné es 1970, ils se
sont rapidement développé s ces derniè res anné es. Les microcontrô leurs
actuels comprennent La mé moire flash facilite l'é criture des programmes à
exé cuter.
10
Figure 53 : MicrocontroleurATMEGA328.
Fonctionnement
Les ré gulateurs de charge PWM (Pulse Width Modulation) dé signent les
ré gulateurs de base, qui ont uniquement pour rô le d'adapter la tension des
panneaux. Ils sont donc idé als pour les petites installations (infé rieures à
150W) du fait de leur faible coû t. Ils ne permettent pas de charger un parc
batterie 12V avec un panneau dont la tension est supé rieure à 23V.
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Les ré gulateurs de charge MPPT grâ ce à leur micro-processeur et
algorithmes de charges plus perfectionné s sont les ré gulateurs les plus
performants à l'heure actuelle. Victron Energy est l'un des pionniers de cette
technologie qui permet d'obtenir jusqu'à 30% de rendement
supplé mentaire par rapport à un PWM (notamment lors des pé riodes
nuageuses). Ils sont doté s des algorithmes de charge les plus perfectionné s et
permettent ainsi d'atteindre les meilleures productions. Doté s d'un port
VE.Direct ou VE.Bus, ils sont compatibles avec les diffé rents outils de
contrô le tels que le Dongle Bluetooth, le câ ble VE.Direct, le MPPT Control ou
le Color Control GX...etc.
Arduino est un circuit imprimé en maté riel libre, sur lequel se trouve
un microcontrô leur qui peut ê tre programmé pour analyser et produire des
10
10
signaux é lectriques, de maniè re à effectuer des tâ ches trè s diverses comme la
domotique (le contrô le des appareils domestiques – é clairage, chauffage…),
le pilotage d’un robot, de gé rer des camé ras et de commander des moteurs …
✓ Arduino UNO
✓ Arduino Mé ga
✓ Arduino NANO
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Interrupteur de fin de course peuvent aussi ê tre appelé s « Dé tecteur de
position » et «Les interrupteurs de positions mé caniques ». Ils coupent ou
é tablissent un circuit lorsqu'ils sont actionné s par un mobile.
La dé tection s’effectue par contact d’un objet exté rieur sur le levier ou
un galet. Ce capteur peut prendre alors deux é tats:
Constitution :
Les interrupteurs de position sont constitué s de trois é lé ments de base :
Une tê te de commande avec son dispositif d'attaque (1) ;
Un corps (2) ;
Un contact é lectrique (3).
Principe de fonctionnement :
C'est un commutateur, commandé par le dé placement d'un organe de
commande (corps d'é preuve).
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actionné s par un mobile. Lorsqu'un objet entre en contact avec l'actionneur,
le dispositif active les contacts pour ouvrir ou fermer une connexion é lectrique.
Caracté ristiques:
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la carte, etc.
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Le langage Arduino est inspiré de plusieurs langages. On retrouve
notamment des similarité s avec le C, le C++, le Java et le Processing. Le
langage impose une structure particuliè re typique de l’informatique
embarqué e.
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Figure 59- BARRE DE BOUTONS ARDUINO.
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Figure 61-STRUCTURE D’UN PROGRAMME EN ARDUINO.
Pour notre cas, il est pré fé rable d’utiliser le logiciel officiel Arduino. Il
est té lé chargeable gratuitement sur internet (à cette adresse :
https://www.arduino.cc/en/Main/Software). Sachez né anmoins qu’il existe
de nombreuses alternatives viables pour programmer votre Arduino depuis un
autre logiciel.
Création du projet
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Figure 62. INTERFACE DE LA PLATEFORME ARDUINO.
Le logiciel est trè s simple d’utilisation. Dans la barre d’icô nes (visible
en haut sur l’image pré cé dente), on peut voir cinq boutons en haut à gauche.
Le premier (vé rifier) sert à compiler le code et vé rifier qu’il n’y a pas d’erreurs
dans celui-ci. Le deuxiè me (té lé verser) sert à envoyer le programme sur
l’Arduino pour que celui-ci l’exé cute. Les trois icô nes restants servent à cré er
(nouveau), ouvrir ou enregistrer un projet.
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Une autre chose trè s importante à savoir, c’est que lorsque l’on
connecte une carte en USB, il faut aller dans le menu « outils » et sé lectionner
le type de carte sur laquelle on veut transfé rer notre projet ainsi que le port
COM sur lequel l’Arduino est branché . Il est né cessaire de faire cette
manipulation à chaque fois pour que la carte soit reconnue par le logiciel
Arduino et que le té lé versement se fasse correctement. Si le type de notre
carte n’existe pas dans le logiciel, il faut simplement le rajouter à l’aide du
gestionnaire de carte (Outils > Type de carte > Gestionnaire de carte).
Fonctions
Comme dans tous langages, le systè me de fonction est pré sent dans le
langage Arduino. Toutes les fonctions de bases et les opé rateurs tels que "if",
"else", "switch case", "==", "!=", etc. sont communs à beaucoup de langages, et
ne seront donc pas pré senté s dans cet article. Si ces fonctions ne vous sont
pas familiè res, on va commencer par notre apprentissage par un tutoriel du
langage C.
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int digitalRead(broche) : sert à lire l’é tat d’une broche. Si celle-ci est
relié e à un potentiel 5V, le ré sultat de la lecture sera 1, et si elle est relié e à
un potentiel nul, le ré sultat sera 0.
Beaucoup d'Arduino possè dent des entré es analogiques, mais trè s peu
(comme le Due) possè dent des sorties analogiques.
Etant donné que les Arduino possè dent une horloge, on peut effectuer
des temporisations entre diffé rents bloc de code. Voici les fonctions qui
permettent de manier le temps :
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correspond au nombre de millisecondes pendant lesquelles on veut stopper
le programme. Cette fonction est une fonction bloquante, et donc pendant
qu’elle se dé roule, toutes les autres actions sont ignoré es.
Long random(min, max) : retourne un entier alé atoire compris entre les
deux nombres passé s en paramè tres.
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Figure 63. EXEMPLE DE FONCTION SCHEDULER.
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On peut bien é videmment cré er des fonctions personnalisé es qui
correspondent à nos besoins. Plutô t que de longs discours, voici un exemple
de code qui permet de faire clignoter une LED un nombre de fois pré cis
lorsqu’on appuie sur un bouton, le nombre de ré pé titions é tant spé cifié lors
de l’appel :
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Figure 65.PROGRAMMATION DE BRAT ROBO
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CHAPITRE 5
Fabrication et montage.
Notre nettoyeur est ré alisé par des matiè res simples comme le fer,
aluminium, et le zinc. Pour é viter le problè me de la corrosion on a remplacé le
fer par un de ses alliages.
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Figure 57. USINAGE DU NETTOYEUR.
Les moteurs pas-à -pas selon leurs caracté ristiques né cessitent une
tension d’alimentation de 3V, 5V ou plus. Une source d’é nergie autre que la
carte é lectronique doit ê tre utilisé e pour alimenter ces actionneurs si la
tension est supé rieure à 5V. Dans notre cas, le moteur peut ê tre alimenté par
12
la carte en 5V et la carte Arduino peut ê tre alimenté e par l’ordinateur via le
port USB.
Pour notre cas notre moteur est bipolaire (5 fils), donc on va utiliser
un pont en H, SN754410NE, qui peut piloter les deux bobines indé pendantes
du moteur (voir l’annexe).
Sur le moteur pas à pas unipolaire, chaque bobine est relié e au point
commun qui doit ê tre lui-mê me connecté à la masse de l'alimentation (GND).
Figure 59. Identification des 5 fils des moteurs pas à pas unipolaires.
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Notre ohmmètre est relié sur les deux premiers fils ou bornes du
moteur et la valeur mesuré e, dans mon cas est 59Ω. (mesure1)
On dé place une seule pointe de touche du multimètre et on note de
nouveau la mesure, dans mon cas 29,6Ω (les deux valeurs mesurées
sont différentes). On peut observer que la seconde valeur correspond à
la moitié de la première mesure. (mesure2)
Lors de la premiè re mesure j'é tais donc aux bornes de deux bobines
placé e en sé rie, alors que sur cette mesure je suis entre la bobine et le
commun. Il ne reste plus qu'à ré aliser une derniè re mesure pour
localiser où est le commun du moteur. Grâ ce à cette derniè re mesure,
il est possible d'affirmer que le commun de ce moteur 5 fils est au
centre. Chaque bobine de ce moteur a donc une impé dance d'environ
29,5Ω et lorsque l'on met deux bobines en sé rie. (mesure3)
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Figure 61.CABLAGE DE MOTEUR PAS A PAS.
Essais expérimentaux.
III.1. Essai d’équilibre et de stabilité :
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Grace aux diffé rents systè mes renouvelable de production d’é nergie, le
nettoyeur et à l’aide de de panneaux solaire, est gé né ré une é nergie stocké e
par la suite dans une batterie afin d’assurer la fonction principale du
nettoyeur.
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CONCLUSION GENERALE.
De plus, la fusion de ces deux parties oblige une pré cision fascinante
afin de ré aliser notre nettoyeur ; pour ce faire la confection du corps à l’aide
des procé dé s de fabrication mé canique par le tournage, Le montage du câ blage
à l’inté rieur de la plateforme endiguant le moteur…
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BIBLIOGRAPHIE
Le 15 Novembre 2022, « Etat de l’art»,
https://arc.aiaa.org/doi/10.2514/6.2002-5631
https://www.scribd.com/doc/228662709/Pfe-Final-de-l-
Energie-Photovoltaique
https://www.connaissancedesenergies.org/fiche-
pedagogique/hydroliennes
http://www.techmania.fr/arduino/Decouverte_arduino.pdf
https://www.supinfo.com/articles/single/2721-bases-
programmation- arduino#:~:text=La%20langage%20de
%20programmati
on%20Arduino,utiliser%20le%2
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