D63514FR11 Ag
D63514FR11 Ag
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D63514FR11
Edition 1.1
Septembre 2011
D73655
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Marques
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correspondre à des marques appartenant à d'autres propriétaires qu'Oracle.
Auteur
Jim Sarokin
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel ..........................4-1
Présentation des exercices - Chapitre 4 ........................................................................................................4-2
Exercice 4-1 : Créer le modèle de gestion .....................................................................................................4-3
Exercice 4-2 : Créer des mesures simples .....................................................................................................4-11
Exercices - Chapitre 25 : Configurer des colonnes logiques pour la prise en charge de traitements
multidevises .....................................................................................................................................................25-1
Présentation des exercices - Chapitre 25 ......................................................................................................25-2
Exercice 25-1 : Définir des options de préférence de devise .........................................................................25-3
Scénario
Avant de commencer à développer un référentiel, vous allez utiliser Administration Tool pour
explorer un référentiel existant afin de mieux comprendre sa structure en trois couches et les
rapports entre ces couches. Vous étudierez aussi le lien entre les sources de données
physiques et les informations présentées dans l'interface utilisateur Oracle BI.
Durée
25 minutes
Tâches
1. Copiez le référentiel à utiliser dans cet exercice dans le répertoire approprié.
a. Accédez au dossier D:\PracticeFiles.
b. Copiez le fichier ClassStart.rpd dans le Presse-Papiers.
c. Collez la copie dans
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\
coreapplication_obis1\repository.
2. Démarrez Oracle BI Administration Tool et ouvrez le référentiel ClassStart en mode
hors connexion (OFFLINE).
a. Sélectionnez Démarrer (Start) > Programmes (Programs) > Oracle Business
Intelligence > BI Administration.
b. Sélectionnez File > Open > Offline.
c. Dans la boîte de dialogue Open, cliquez deux fois sur ClassStart.rpd.
d. Entrez le mot de passe welcome1 et cliquez sur OK. Le référentiel s'ouvre en
mode hors connexion (OFFLINE).
3. Examinez les propriétés de l'objet de base de données ORCL.
a. Dans la couche Physical, cliquez deux fois sur l'objet de base de données ORCL
pour afficher ses propriétés.
b. Cliquez sur l'onglet General.
c. Notez que le type de plate-forme de la base de données est Oracle 11g/Exadata.
d. Cliquez sur l'onglet Features. A chaque base de données est associé un ensemble
de fonctions qui détermine les commandes SQL qu'Oracle BI Server peut utiliser
pour interroger la base. Les valeurs de ces fonctions peuvent être de type booléen
(activé/désactivé), entier ou chaîne. Faites défiler l'affichage vers la droite pour voir
les colonnes Value et Default. Une coche dans la colonne Default indique que la
fonctionnalité est prise en charge par ce type de base de données. Une coche dans
la colonne Value indique que la fonctionnalité est activée.
e. Cliquez sur l'onglet Connection Pools. Cet onglet identifie tous les pools de
connexions associés à la base de données. Dans cet exemple, il n'y en a qu'un :
SUPPLIER CP.
f. Cliquez sur l'onglet Display Folders. Les objets de la couche Physical peuvent être
organisés en dossiers d'affichage. Ces dossiers sont répertoriés ici s'ils existent.
g. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue Properties.
4. Explorez les propriétés d'un pool de connexions.
a. Dans la couche Physical, développez l'objet de base de données ORCL.
b. Cliquez deux fois sur l'objet SUPPLIER CP.
j. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue Physical Foreign Key.
k. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue Physical Table.
g.Certaines colonnes logiques n'ont pas le même nom que les colonnes physiques
avec lesquelles elles sont mappées. En effet, ces noms de colonne ont été modifiés
dans la couche Business Model and Mapping. Le changement de nom des
colonnes logiques est traité dans le chapitre "Créer la couche Business Model and
Mapping d'un référentiel" de ce cours.
h. Cliquez sur l'onglet Content. Cet onglet ne contient aucune information pour
le moment. Vous apprendrez à l'utiliser dans le chapitre "Utiliser des agrégats".
i. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue Logical Table Source.
9. Examinez les propriétés d'une colonne de la table logique Fact-Sales.
a. Cliquez deux fois sur la colonne logique Dollars pour afficher ses propriétés.
Il s'agit d'une mesure du modèle de gestion.
b. Cliquez sur l'onglet General. Cet onglet fournit des informations générales sur la
colonne, notamment son nom, la table à laquelle elle appartient et une description.
c. Cliquez sur l'onglet Column Source. Cet onglet fournit des informations sur la table
et la colonne physiques auxquelles la colonne logique correspond ou indique si la
colonne logique est dérivée d'autres colonnes logiques existantes.
d. Cliquez deux fois sur la source de table logique D1_ORDERS2 dans la boîte de
dialogue. Il s'agit d'une autre manière d'accéder à la boîte de dialogue de propriétés
Logical Table Source.
e. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue de propriétés Logical Table
Source.
f. Cliquez sur l'onglet Aggregation. Notez que la règle d'agrégation par défaut est
Sum. Il est courant d'appliquer des règles d'agrégation aux mesures dans les
modèles de gestion. Ouvrez la liste déroulante des règles d'agrégation par défaut
pour voir les autres options disponibles.
g. Assurez-vous que la règle Sum est sélectionnée et cliquez sur Cancel pour fermer
la boîte de dialogue Logical Column.
10. Examinez les propriétés de l'objet SupplierSales.
a. Dans la couche Presentation, cliquez deux fois sur le domaine SupplierSales pour
ouvrir la boîte de dialogue de propriétés Subject Area.
q. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?"
r. Laissez opérer l'option Restart All – In Progress. Il se peut que vous deviez
patienter un instant.
s. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message de confirmation "Restart All -
Completed Successfully".
Il est important de comprendre que les données affichées par Analysis Editor
dépendent de ce qui est défini dans la couche Presentation du référentiel dans
Administration Tool.
15. Créez une demande simple.
a. Dans Analysis Editor, développez la table Customer et cliquez deux fois sur la
colonne Region pour l'ajouter aux critères d'analyse dans le volet de droite.
b. Développez Fact-Sales et cliquez deux fois sur la colonne Dollars pour l'ajouter
à la demande.
c. Cliquez sur l'onglet Results. La table affiche le montant total en dollars pour
chaque région.
Durée
10 minutes
Généralités
La société ABC vend des denrées alimentaires et d'autres produits à des chaînes de
restauration réparties sur tout le territoire des Etats-Unis. Les produits qu'elle propose
comprennent des denrées alimentaires, des condiments, des ustensiles de cuisine,
des vêtements et diverses fournitures à l'usage des restaurants.
Les employés d'ABC utilisent actuellement des rapports générés par leur service
informatique pour analyser les ventes et les expéditions. Ces rapports sont édités une fois
par mois et présentent donc des informations statiques. ABC cherche un moyen de générer
des rapports interactifs dynamiques pour analyser ces données en vue de gérer plus
efficacement les commandes, de surveiller les performances des ventes et plus
généralement d'accroître la satisfaction client. ABC reconnaît l'importance d'une solution
décisionnelle qui fournirait à ses employés les données et les outils nécessaires pour
interroger et analyser un large éventail de données, générer des rapports, identifier
les tendances et surveiller les performances de l'entreprise.
Pour atteindre ces objectifs, ABC a décidé de mettre en oeuvre une solution Oracle
Business Intelligence (BI). Les responsables des ventes et des opérations pourront ainsi
répondre à des questions essentielles sur la bonne gestion de leurs secteurs respectifs.
Le système visé devra fournir à la demande des données à jour sur les commandes. Il devra
aussi permettre de surveiller les performances des ventes et des expéditions, dans le but
d'améliorer les prestations et donc le niveau de satisfaction des clients. Par ailleurs, ABC
envisage de mettre ces données à la disposition directe de ses clients pour que ces derniers
puissent analyser l'historique de leurs commandes d'achat et le comparer aux chiffres
nationaux ou régionaux. Cette initiative s'inscrit dans l'engagement d'ABC à déployer une
solution décisionnelle de qualité qui la démarquera de ses concurrents et lui permettra de
ce fait d'augmenter son chiffre d'affaires.
Besoins métier
ABC vous a engagé comme consultant pour mettre en oeuvre sa solution décisionnelle.
A la suite des premières entrevues avec les cadres dirigeants de la société, vous avez
recueilli les informations suivantes :
• Les dirigeants veulent utiliser leurs propres informations pour analyser l'historique
des ventes de leurs produits, l'historique des achats de leurs clients, les
performances de leurs équipes opérationnelles en matière de traitement des
commandes et les performances des équipes commerciales en matière de ventes.
• La société n'a pas beaucoup d'expérience en matière d'analyse de données et
n'envisage pas d'engager d'experts en la matière. C'est pourquoi les cadres veulent
être en mesure de poser les bonnes questions et d'analyser les résultats
eux-mêmes, via une interface utilisateur intuitive.
• La base de données comprend environ 350 000 enregistrements de facturation
couvrant la période du 2 janvier 2008 au 21 avril 2009.
Outre ces hiérarchies, ABC veut regrouper et analyser ses clients à l'aide d'attributs
géographiques tels que la région, la ville et l'état. La société souhaite également analyser
les produits selon des caractéristiques telles que l'apport calorique et les fournisseurs.
Les mesures les plus courantes dans les rapports sont le chiffre d'affaires des ventes, la
quantité commandée, la quantité expédiée et le poids net expédié. ABC aimerait analyser
ces mesures à tous les niveaux des différentes hiérarchies, par attribut de produit et de
client et par période, mais aussi avoir la possibilité de comparer les performances à celles
des années antérieures.
D1_PRODUCTS
D1_CUSTOMER2
D1_ORDERS2
Objectif du cours
Le principal objectif de ce cours est de créer les métadonnées et d'administrer Oracle BI
Server pour répondre aux besoins métier d'ABC. Les métadonnées permettront aux
employés d'ABC de générer des rapports et des tableaux de bord qu'ils utiliseront pour
analyser, surveiller et gérer plus efficacement les activités de l'entreprise en vue d'améliorer
le niveau de satisfaction des clients.
Dans les chapitres qui suivent, vous adopterez cette stratégie pour constituer le modèle de
gestion répondant aux besoins métier d'ABC. Au début, les métadonnées du référentiel
comprennent uniquement les tables physiques de base strictement nécessaires au modèle
de gestion initial. Vous ajouterez ensuite progressivement des tables et des fonctionnalités
plus complexes.
Scénario
Avant de commencer à créer le modèle de gestion, vous devez rassembler des informations
sur les besoins métier de la société ABC et les analyser. Dans cet exercice, vous utilisez le
document ABC de l'exercice précédent pour déterminer la structure du modèle de gestion
initial.
Durée
10 minutes
Tâches :
Utilisez les informations fournies dans le document ABC pour répondre aux questions suivantes.
Vous aurez besoin de ces réponses pour mettre en oeuvre le modèle de gestion initial.
1. Quelles mesures (faits) la société ABC veut-elle analyser ?
3. Selon quels attributs (dimensions) la société ABC veut-elle analyser les faits ?
4. Selon quels attributs géographiques la société ABC veut-elle analyser les données ?
5. Complétez le diagramme suivant avec les faits et les dimensions que vous avez identifiés :
(Dimension)
(Faits)
(Dimension) (Dimension)
Période
Ventes
Produit Client
Scénario
Vous allez utiliser l'assistant Import d'Administration Tool pour créer un référentiel et importer dans
sa couche Physical des tables du schéma SUPPLIER2.
Résultat
Vous obtiendrez un nouveau fichier de référentiel nommé ABC.rpd dont la couche Physical
contiendra les tables D1_CALENDAR2, D1_CUSTOMER2, D1_ORDERS2 et D1_PRODUCTS.
Durée
15 minutes
Tâches
1. Utilisez l'assistant Import pour créer un nouveau fichier de référentiel ABC.
a. Retournez dans Administration Tool qui devrait être encore ouvert. Sinon, sélectionnez
Démarrer > Programmes > Oracle Business Intelligence > Administration.
b. Sélectionnez File > New Repository pour ouvrir l'assistant d'import. Ce dernier va
vous guider tout au long des étapes à suivre pour créer le référentiel et y importer
les métadonnées nécessaires.
c. Dans le champ Name, entrez ABC.
d. Dans le champ Location, acceptez l'emplacement proposé par défaut pour stocker
le référentiel.
e. Dans la zone Import Metadata, acceptez l'option sélectionnée par défaut, à savoir
Yes. Lorsque cette option est sélectionnée, l'assistant d'import présente les
fenêtres permettant de configurer l'import des métadonnées. Si vous sélectionnez
No, un référentiel vide sera créé à l'emplacement indiqué.
f. Indiquez welcome1 comme mot de passe d'accès au référentiel.
g. Saisissez à nouveau le mot de passe pour le confirmer.
h. Cliquez sur Next pour ouvrir le nouveau référentiel ABC et la fenêtre Select Data Source.
2. Utilisez l'assistant d'import pour importer les métadonnées.
a. Sélectionnez OCI 10g/11g dans la liste déroulante Connection Type. Les champs
de connexion qui s'affichent dépendent du type de connexion que vous avez choisi.
b. Entrez les informations de connexion suivantes :
Data Source Name : orcl
User Name : supplier2
Password : supplier2
c. Cliquez sur Next pour passer à la fenêtre Select Metadata Types.
d. Dans la fenêtre Select Metadata Types, acceptez les sélections par défaut :
Tables, Keys et Foreign Keys. Ces cases à cocher permettent de sélectionner
les informations à importer. Vous pouvez importer des tables, des clés, des clés
étrangères, des tables système, des alias, des synonymes et des vues de la base
de données. En règle générale, importez uniquement les objets nécessaires à la
prise en charge du modèle de gestion. Si vous importez trop d'objets, vous pourrez
les supprimer ultérieurement, une fois que vous serez certain de leur inutilité pour
votre modèle de gestion.
e. Cliquez sur Next pour passer à l'écran Select Metadata Objects.
f. Dans le volet "Data source view", développez le dossier du schéma SUPPLIER2.
p. Cliquez sur Finish pour conclure le processus d'import. Le référentiel ABC s'affiche.
q. Notez que les métadonnées sont importées dans la couche Physical du référentiel
ABC et que l'objet de base de données ORCL apparaît dans le volet Physical.
Souvenez-vous que tout référentiel contient trois couches. La couche Physical est
destinée à contenir les informations relatives aux sources de données physiques.
La couche Business Model and Mapping désigne l'emplacement où les mesures et
les notions métier utilisées sont mappées avec les sources de données physiques.
La couche Presentation correspond à la couche où le modèle de gestion est
personnalisé pour être présenté à l'utilisateur. Vous pouvez intervenir dans chaque
couche à tout moment tout au long du processus de création du référentiel.
Toutefois, la méthode généralement privilégiée consiste à créer d'abord la couche
Physical, puis la couche Business Model and Mapping et enfin la couche
Presentation.
r. Pour afficher les tables, développez l'objet de base de données orcl, puis le dossier
de schéma SUPPLIER2.
s. Assurez-vous que les quatre tables ont bien été importées et que le pool de
connexions se nomme SUPPLIER CP.
Scénario
Vous allez créer des alias pour les objets de métadonnées que vous avez importés dans la
couche Physical du référentiel. Il est recommandé d'utiliser des tables alias dans la couche
Physical pour éliminer des jointures externes et pour intégrer des conventions conseillées
concernant les noms des tables physiques.
Résultat
Des tables alias seront associées aux tables D1_CALENDAR2, D1_CUSTOMER2,
D1_ORDERS2 et D1_PRODUCTS.
Durée
20 minutes
Tâches
1. Créez un alias pour la table D1_CALENDAR2.
a. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur D1_CALENDAR2 et sélectionnez
New Object > Alias. La boîte de dialogue Alias Physical Table apparaît.
b. Nommez l'alias Dim_D1_CALENDAR2. Il s'agit d'une convention d'appellation
simple qui identifie la table en tant que table de dimension et inclut le nom de la
table d'origine.
c. Cliquez sur l'onglet Columns. Notez que les tables alias héritent de toutes les
définitions de colonne de la table source.
d. Cliquez deux fois sur l'une des colonnes répertoriées pour ouvrir la boîte de
dialogue de propriétés Physical Column. Cette colonne est accessible en lecture
seule et ne peut pas être modifiée.
e. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue Physical Column.
f. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Physical Table. La table alias est
ajoutée à la couche Physical.
2. Créez une nouvelle colonne dans la table source et examinez les résultats.
a. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur la table source D1_CALENDAR2 et
sélectionnez New Object > Physical Column. La boîte de dialogue Physical
Column apparaît.
b. Nommez la nouvelle colonne ALIAS_COLUMN.
Scénario
Vous venez de créer un référentiel, d'importer dans sa couche Physical les tables du
schéma SUPPLIER2 et de créer les tables alias correspondantes. Vous devez à présent
définir des clés et des jointures dans la couche Physical du référentiel. Dans l'hypothèse où
des relations clé primaire - clé étrangère auraient déjà été définies dans la base de données
importée et que les clés primaires et étrangères auraient été importées dans le référentiel,
les conditions de jointure seraient automatiquement configurées. Toutefois, ce scénario n'est
pas toujours souhaitable. En effet, les relations de clé étrangère ne sont définies dans une
base de données qu'à des fins d'intégrité référentielle, ce qui ne répond pas forcément à
l'objectif de l'outil Administration Tool et d'Oracle BI Server qui est de savoir quelles jointures
inclure dans les requêtes SQL. Les clés primaires, les clés étrangères et les jointures n'étant
pas définies dans le schéma SUPPLIER2, elles n'ont pas été importées dans le référentiel.
Vous devez donc définir ces clés et jointures manuellement. Pour cela, vous pouvez utiliser
la fonctionnalité Physical Diagram ou Joins Manager.
Résultat
Les clés et les jointures seront définies dans les tables physiques.
Durée
20 minutes
Tâches
1. Dans cette étape, vous allez définir des jointures et des clés à l'aide de la fonctionnalité
Physical Diagram d'Administration Tool.
a. Développez l'objet de base de données orcl de manière à voir tous les objets
physiques qu'il contient.
b. Sélectionnez les quatre tables alias.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur l'une des quatre tables sélectionnées
et choisissez Physical Diagram > Object(s) and All Joins pour ouvrir la boîte de
dialogue Physical Diagram. Une autre méthode consiste à cliquer sur le bouton
Physical Diagram dans la barre d'outils.
d. Réorganisez les tables alias pour qu'elles soient toutes visibles.
e. Cliquez sur le bouton New Join dans la barre d'outils.
f. Cliquez sur la table Fact_D1_ORDERS2, puis sur la table Dim_D1_CALENDAR2.
La boîte de dialogue Physical Foreign Key apparaît. Vous devez tenir compte de la
mise à niveau suivante pour Oracle BI EE 11g Release 1 (11.1.1.5) : dans les
fenêtres Physical Diagram et Business Model Diagram, les lignes représentant les
jointures portent une pointe de flèche du côté "un" de la relation, alors que dans les
versions précédentes, elles formaient une patte d'oie du côté "plusieurs" de la
relation. Lorsque vous créez des jointures dans ces fenêtres, vous sélectionnez
désormais l'extrémité "plusieurs" avant l'extrémité "un" de la relation un à plusieurs,
c'est-à-dire que l'ordre de sélection a été inversé.
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_CALENDAR2"."YYYYMMDD" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."Fact_D1_ORDERS2"."PERIODKEY"
j. Réitérez la procédure pour les autres tables. Aidez-vous des expressions suivantes
pour créer les jointures :
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_CUSTOMER2"."NEWKEY" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."Fact_D1_ORDERS2"."CUSTKEY"
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_PRODUCTS"."PRODUCTKEY" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."Fact_D1_ORDERS2"."PRODKEY"
l. Examinez la vue Physical Diagram et vérifiez votre travail. Vous devriez obtenir le
diagramme illustré ci-après :
Félicitations ! Vous avez réussi à créer un référentiel, à importer dans sa couche Physical un
schéma de tables provenant d'une source de données externe et à définir des clés et des
jointures.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 1
Copyright © 2011, Oracle et/ou ses affiliés. Tous droits réservés.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 2
Présentation des exercices - Chapitre 4
Présentation
Dans ces exercices, vous allez créer la couche Business Model and Mapping d'un
référentiel.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 3
Exercice 4-1 : Créer le modèle de gestion
But général
Créer un modèle de gestion dans la couche Business Model and Mapping (BMM) du référentiel
Scénario
Dans la série d'exercices précédente, vous avez créé la couche Physical du référentiel.
Vous êtes donc prêt à créer le modèle de gestion dans la couche Business Model and
Mapping (BMM) du référentiel. Le volet Business Model and Mapping de l'interface
Administration Tool définit le modèle de gestion des données et indique les mappings entre
ce modèle et les schémas de la couche Physical. Les modèles de gestion sont également
appelés modèles logiques ou modèles multidimensionnels.
Contrairement aux objets de la couche Physical, les modèles de gestion sont toujours des
objets dimensionnels qui reflètent l'organisation des sources de données. La couche
Business Model and Mapping peut comprendre un ou plusieurs modèles de gestion
contenant chacun des objets logiques tels que des tables, des colonnes et des jointures.
Il existe deux catégories de tables logiques : tables de faits et tables de dimension.
Les tables de faits logiques contiennent les mesures à l'aide desquelles ABC évalue ses
opérations et ses performances. Les tables de dimension logiques contiennent les données
utilisées pour qualifier les faits. Cet exercice suppose qu'un modèle de gestion a déjà été
conçu sur papier. Vous savez quelles mesures sont importantes pour ABC, à quoi les
employés d'ABC comparent ces mesures et comment la société souhaite analyser ses
données. Le but de cet exercice est de capturer ces informations sous la forme d'un modèle
de gestion dans la couche BMM du référentiel.
Résultat
Le modèle de gestion SupplierSales est créé dans la couche BMM et contient les tables
logiques Dim-Time, Dim-Customer, Dim-Product et Fact-Sales.
Durée
20 minutes
Tâches
Le modèle de gestion défini par ABC utilise des données sur le chiffre d'affaires, les
produits, les clients et les périodes. Ces données vont servir à modéliser l'application initiale.
Le modèle physique sur lequel vous travaillez se présente actuellement comme suit :
1. Retournez dans le référentiel ABC qui doit être resté ouvert en mode hors connexion
(OFFLINE). Si le référentiel n'est pas ouvert, procédez de la manière suivante :
a. Sélectionnez Démarrer (Start) > Programmes (Programs) > Oracle Business
Intelligence > BI Administration.
b. Sélectionnez File > Open > Offline.
c. Cliquez deux fois sur le fichier de référentiel ABC.rpd pour l'ouvrir.
d. Indiquez welcome1 comme mot de passe d'accès au référentiel.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 4
2. Créez un modèle de gestion dans la couche Business Model and Mapping (BMM).
a. Cliquez avec le bouton droit de la souris dans l'espace vide de la couche BMM
et sélectionnez New Business Model.
b. Dans le champ Name, entrez SupplierSales.
c. Cliquez sur OK. Le dossier SupplierSales s'affiche dans la couche Business Model
and Mapping. Le symbole rouge que vous voyez sur le dossier du modèle de
gestion indique que ce dernier n'est pas encore prêt pour traiter des requêtes.
Vous l'activerez après avoir défini la couche Presentation et effectué la vérification
de cohérence globale du référentiel.
3. Créez les tables logiques.
a. Dans la couche Physical, développez l'objet de base de données orcl, puis le
schéma SUPPLIER2.
b. Faites glisser simultanément les quatre tables alias de la couche Physical vers le
modèle de gestion :
Dim_D1_CALENDAR2
Dim_D1_CUSTOMER2
Dim_D1_PRODUCTS
Fact_D1_ORDERS2
Vous avez ainsi créé les tables logiques du modèle de gestion avec leurs colonnes
logiques.
c. Développez les tables logiques et notez qu'un dossier Sources a été créé pour
chacune. Chaque dossier Sources contient une source de table logique. Par
exemple, la source de la table logique Dim_D1_CALENDAR2 est la table physique
Dim_D1_CALENDAR2.
d. Remarquez également que les icônes des tables logiques sont différentes. Dans la
couche BMM, une table de faits est signalée par le symbole dièse (#). Les jointures
logiques sont héritées automatiquement des jointures définies dans la couche
Physical.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 5
e. Répétez l'opération pour renommer les autres tables. Pour renommer un objet,
vous pouvez également cliquer dessus avec le bouton droit de la souris et
sélectionner Rename, ou encore cliquer deux fois sur le nom d'objet pour qu'il
devienne modifiable. Notez que les noms des tables logiques sont simplement un
artefact du modèle de gestion. Ils ne sont pas nécessairement présentés aux
utilisateurs.
Table Nouveau nom
Dim_D1_CUSTOMER2 Dim-Customer
Dim_D1_PRODUCTS Dim-Product
Fact_D1_ORDERS2 Fact-Sales
5. Supprimez les colonnes dont l'analyse n'a pas besoin.
a. Développez la table Fact-Sales et supprimez les colonnes suivantes :
Colonnes
CUSTKEY
INVNBR
PERIODKEY
PRODKEY
b. Développez la table Dim-Time et supprimez les colonnes suivantes :
Colonnes
DAGO
MAGO
ORDERDAY_IN_YEAR
WEEK_NUM_IN_YEAR
YAGO
c. Développez la table Dim-Product et supprimez la colonne PGCODE.
d. Développez la table Dim-Customer et supprimez les colonnes REPNO et
FACTOR.
6. A l'aide de l'assistant Rename Wizard, renommez les colonnes logiques de la table
logique Dim-Time. Vous utilisez Rename Wizard pour renommer les objets de la couche
BMM ou Presentation. Il permet de remplacer des chaînes de texte, de modifier toutes
les lettres pour qu'elles s'affichent en minuscules, d'utiliser une majuscule pour la
première lettre d'un mot, etc. Vous pouvez afficher un aperçu des nouveaux noms avant
de valider les modifications. L'assistant s'applique essentiellement aux colonnes
logiques du modèle de gestion, après l'importation d'objets physiques dans la couche
intermédiaire. Les noms que vous affectez aux colonnes logiques du modèle de gestion
peuvent être présentés via la couche Presentation aux outils de l'utilisateur final
(comme Analysis Editor). Il est toutefois possible de remplacer les noms de colonne
logique dans la couche Presentation, comme nous le verrons plus loin dans ce cours.
a. Sélectionnez Tools > Utilities > Rename Wizard et cliquez sur Execute.
b. En bas du volet central, cliquez sur Business Model and Mapping.
c. Dans le volet central, développez SupplierSales > Dim-Time.
d. Sélectionnez toutes les colonnes en utilisant le bouton gauche de la souris et la
touche Maj, puis cliquez sur Add pour ajouter la sélection au volet de droite.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 6
e. Cliquez sur Next. Vous remarquez que l'option Logical Column est sélectionnée.
f. Cliquez à nouveau sur Next.
g. Sélectionnez Change specified text.
h. Dans le champ Find, entrez YYYYMMDD.
i. Dans le champ "Replace with", entrez Day.
j. Sélectionnez Case Sensitive.
k. Cliquez sur Add.
l. Sélectionnez Change specified text.
m. Dans le champ Find, entrez MONTHCODE.
n. Dans le champ "Replace with", entrez Month Code.
o. Sélectionnez Case Sensitive.
p. Cliquez sur Add.
q. Sélectionnez Change specified text.
r. Dans le champ Find, entrez FULL_GREGORIAN_DTE.
s. Dans le champ "Replace with", entrez Date.
t. Sélectionnez Case Sensitive.
u. Cliquez sur Add.
v. Sélectionnez Change specified text.
w. Dans le champ Find, entrez un trait de soulignement (_).
x. Dans le champ "Replace with", entrez un espace.
y. Cliquez sur Add.
z. Sélectionnez All text lowercase et cliquez sur Add.
aa. Sélectionnez First letter of each word capital et cliquez sur Add.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 7
bb. Cliquez sur Next.
cc. Dans la fenêtre Rename Wizard - Finish, examinez les modifications avant de les
valider.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 8
Colonnes de Dim-Customer Nouveau nom
ADDRESS Address
CITY City
DISTRICT District
NAME Customer
NEWKEY Customer Key
PHONE Phone
REGION Region
ROUTECODE Route Code
SALESREP Sales Rep
STATE State
ZIP_CODE Zip Code
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 9
9. Vous allez à présent vérifier les jointures des tables logiques. Pour qu'un modèle de
gestion soit valide, il faut également que les tables logiques soient jointes via des
jointures logiques. Les jointures logiques expriment les relations de cardinalité entre les
tables logiques. Les tables de faits logiques sont toujours à l'extrémité "plusieurs" de
ces relations un à plusieurs. Les jointures logiques permettent à Oracle BI Server de
comprendre les relations entre les divers objets du modèle de gestion. Quand il reçoit
une demande, le serveur détermine comment construire les requêtes physiques en
examinant la structure du modèle logique. L'examen des jointures logiques fait partie de
ce processus.
a. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le modèle de gestion SupplierSales et
sélectionnez Business Model Diagram > Whole Diagram. La fenêtre Logical
Table Diagram apparaît.
b. Réorganisez les icônes des tables pour qu'elles soient toutes visibles. Cliquez avec
le bouton droit dans l'espace vide et réglez le facteur de zoom si nécessaire.
Rappelons que les jointures logiques sont héritées automatiquement des jointures
définies dans la couche Physical. Plus loin dans ce cours, vous apprendrez à créer
des jointures logiques à l'aide de la fonctionnalité Business Model Diagram. Votre
fenêtre Business Model Diagram doit se présenter comme illustré ci-après :
c. Cliquez deux fois sur l'un des connecteurs de jointure pour ouvrir la boîte de
dialogue Logical Join.
d. Conservez les valeurs par défaut telles quelles, mais notez les propriétés que vous
pouvez définir dans la boîte de dialogue Logical Join : nom, modèle de gestion,
tables, table directrice, type de jointure et cardinalité. Remarquez également que
vous ne pouvez pas configurer l'expression de jointure ni les colonnes jointes.
e. Ne modifiez pas les valeurs par défaut. Cliquez sur OK. Lorsque vous définissez
des jointures logiques, vous conservez en général les valeurs par défaut.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 10
f. Fermez la fenêtre Business Model Diagram. Les relations de jointure déterminent
les tables de dimension logiques et la table de faits logique. Souvenez-vous qu'une
table de faits est toujours à l'extrémité "plusieurs" d'une jointure logique. Vous
disposez désormais d'un schéma logique en étoile constitué d'une table de faits
logique (Fact-Sales) et de trois tables de dimension logiques (Dim-Time,
Dim-Product et Dim-Customer).
10. Enregistrez le référentiel.
11. Cliquez sur No lorsqu'un message vous propose de vérifier la cohérence globale.
12. Laissez le référentiel ouvert pour l'exercice suivant.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 11
Exercice 4-2 : Créer des mesures simples
But général
Examiner les mappings entre colonnes logiques et physiques et créer des mesures simples
Scénario
Le modèle de gestion SupplierSales est désormais défini dans la couche BMM. Dans cet
exercice, vous examinez les mappings entre les tables et les colonnes logiques et physiques
pour mieux comprendre les relations entre les tables logiques et les sources associées.
Vous créez ensuite des mesures en associant des règles d'agrégation à des colonnes logiques.
Vous vérifiez enfin les tables physiques auxquelles le modèle de gestion fait référence.
Résultat
Des mesures seront définies dans la table logique Fact-Sales.
Durée
5 minutes
Tâches
1. Dans cette étape, vous examinez une source de table logique. Chaque table logique
d'un modèle de gestion comprend un sous-dossier Sources qui contient les sources de
cette table. Les sources d'une table logique contiennent les mappings entre les
colonnes logiques de la couche BMM et les colonnes physiques de la couche Physical.
Toute colonne logique est mappée directement (ou indirectement, via une autre colonne
logique) avec une ou plusieurs colonnes de la couche Physical.
a. Développez le dossier Sources de la table logique Fact-Sales. Notez le nom de la
source de la table logique Fact-Sales, à savoir Fact_D1_ORDERS2. Cette source a
été créée automatiquement lorsque vous avez fait glisser la table physique
Fact_D1_ORDERS2 jusqu'au modèle de gestion.
b. Cliquez deux fois sur la source de table logique Fact_D1_ORDERS2 pour ouvrir
la boîte de dialogue Logical Table Source.
c. Cliquez sur l'onglet General. Par défaut, le nom de la source de table logique est le
nom de la table physique qui a été copiée à partir de la couche Physical, mais vous
pouvez le remplacer par un nom plus explicite. Dans le cadre de cet exercice,
conservez le nom par défaut. Notez également que le chemin de la table physique
est identifié dans la zone "Map to these tables:".
d. Cliquez sur l'onglet Column Mapping pour vérifier les mappings des colonnes
logiques avec la couche Physical. Si nécessaire, réglez la largeur des colonnes, ou
redimensionnez l'ensemble de la boîte de dialogue à l'aide de la souris. Vous
devriez voir trois en-têtes de colonne : Logical Column, Expression et Physical
Table. Par exemple, la colonne logique Dollars est mappée avec la colonne
DOLLARS de la table physique Fact-D1_ORDERS2.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 12
e. L'onglet Content sera décrit ultérieurement dans ce cours. Cliquez sur Cancel pour
fermer la boîte de dialogue.
2. Dans cette étape, vous créez quelques mesures en associant des règles d'agrégation
par défaut à des colonnes logiques définies dans la table Fact-Sales. Les mesures sont
en général des sommes de données, par exemple un chiffre d'affaires global ou une
quantité totale. Les mesures de votre modèle de gestion sont définies dans la table de
faits logique Fact-Sales. Vous devez agréger certaines colonnes logiques de cette table
en additionnant les valeurs qu'elles contiennent.
a. Cliquez deux fois sur la colonne logique Dollars de la table Fact-Sales. La boîte de
dialogue Logical Column apparaît.
b. Cliquez sur l'onglet Aggregation.
c. Associez à la colonne Dollars la règle d'agrégation par défaut Sum.
d. Cliquez sur OK. Notez que l'icône de la colonne Dollars change pour indiquer
l'application d'une règle d'agrégation.
e. Cliquez sur les colonnes Net Weight Shipped, Units Ordered et Units Shipped
en maintenant la touche Ctrl enfoncée pour les sélectionner.
f. Cliquez avec le bouton droit de la souris et sélectionnez Set Aggregation.
g. Indiquez la règle d'agrégation par défaut Sum.
h. Cliquez sur OK. Cette méthode permet d'associer une même règle d'agrégation à
plusieurs colonnes à la fois.
i. Observez que les icônes des quatre colonnes logiques ont changé.
3. Dans cette étape, vous déterminez les tables physiques auxquelles un modèle de
gestion fait référence. Dans la plupart des cas, la couche Physical comprend des tables
qui sont absentes de la couche BMM. Seules les tables répertoriées dans la couche
BMM (c'est-à-dire incluses dans des sources de table logique) sont utilisées dans les
requêtes. Toutes les autres tables physiques sont ignorées quand Oracle BI Server
interroge la base de données physique.
a. Sélectionnez le modèle de gestion SupplierSales.
b. Cliquez sur l'icône Physical Diagram dans la barre d'outils.
c. La fenêtre Physical Diagram présente toutes les tables physiques auxquelles le
modèle de gestion fait actuellement référence.
d. Cliquez deux fois sur le connecteur entre les tables Dim_D1_CUSTOMER2 et
Fact_D1_ORDERS2. La jointure physique s'affiche. Vous savez qu'il s'agit d'une
jointure physique parce que l'expression définit une jointure à clé étrangère.
e. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue de la jointure.
f. Fermez la boîte de dialogue Physical Diagram.
g. Sélectionnez Tools > Options.
4. Enregistrez le référentiel.
5. N'effectuez pas le test de cohérence globale.
6. Laissez le référentiel ouvert pour l'exercice suivant.
Félicitations ! Vous avez réussi à créer un modèle de gestion dans la couche Business
Model and Mapping d'un référentiel et à définir des mesures simples.
Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 13
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Exercices - Chapitre 4 : Créer la couche Business Model and Mapping d'un référentiel
Chapitre 4 - Page 14
Exercices - Chapitre 5 :
Créer la couche
Presentation d'un
référentiel
Chapitre 5
Scénario
Vous avez déjà créé le modèle de gestion SupplierSales initial dans le référentiel. Vous allez
à présent créer la couche Presentation du référentiel qui présente les objets du modèle de
gestion dans Oracle BI Analysis Editor afin que les utilisateurs puissent soumettre des
demandes pour analyser leurs données.
Résultat
La couche Presentation du référentiel contiendra un domaine SupplierSales.
Durée
10 minutes
Tâches
1. Cette étape consiste à créer la couche Presentation associée au modèle de gestion
SupplierSales. Cette couche contient des objets de trois types : domaine, table de
présentation et colonne de présentation. Dans Oracle BI Analysis Editor, un domaine
apparaît en tant que domaine, une table de présentation en tant que dossier et une
colonne de présentation en tant que colonne d'un dossier. Le référentiel ABC est
normalement resté ouvert dans Administration Tool depuis l'exercice précédent.
a. Assurez-vous que la couche Presentation est visible. Si nécessaire, sélectionnez
View > Presentation.
b. Faites glisser le modèle de gestion SupplierSales jusqu'à la couche Presentation.
Vous créez ainsi un domaine nommé SupplierSales.
c. Développez le domaine SupplierSales dans la couche Presentation. Lorsque vous
créez la couche Presentation en y faisant glisser un modèle de gestion, ce dernier
devient un domaine, les tables logiques deviennent des tables de présentation et
les colonnes des tables logiques deviennent des colonnes de présentation.
Souvenez-vous que tous les objets d'un domaine doivent provenir du même
modèle de gestion.
m. Cliquez sur l'onglet Aliases. Si vous modifiez le nom d'un domaine, l'outil crée
automatiquement un alias utilisant le nom précédent. Cet onglet vous permet
d'indiquer ou de supprimer l'alias associé à un domaine.
n. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Subject Area.
o. Développez le domaine SupplierSales et observez le nouvel ordre des tables de
présentation dans la couche Presentation.
3. Cette étape consiste à examiner les propriétés d'une table de présentation. Vous
pouvez utiliser des tables de présentation pour présenter des colonnes provenant de
plusieurs tables logiques, ce qui réduit le nombre de tables logiques apparentes. Vous
pouvez également vous en servir pour organiser les colonnes logiques en groupes plus
petits, ce qui augmente le nombre de tables logiques apparentes. Par exemple, si vous
avez une table de faits logique contenant une centaine de mesures, vous pouvez créer
plusieurs tables de présentation pour regrouper ces mesures de façon rationnelle (par
exemple, un dossier pour les montants et un autre pour les quantités). Dans l'interface
Analysis Editor, ces dossiers de mesures pourraient ensuite être imbriqués dans un
même dossier.
a. Cliquez deux fois sur la table Dim-Customer dans la couche Presentation. La boîte
de dialogue Presentation Table apparaît.
b. Cliquez sur l'onglet General.
c. Cliquez deux fois sur la colonne District. La boîte de dialogue Presentation Column
apparaît.
d. Cliquez sur l'onglet General.
e. Désélectionnez Use Logical Column Name. Vous pouvez maintenant modifier le
champ Name.
f. Renommez la colonne Sales District.
g. Cliquez sur l'onglet Aliases et remarquez que le nom de la colonne logique
associée à cette colonne de présentation a été enregistré en tant qu'alias.
h. Retournez dans l'onglet General.
i. Avec quelle colonne logique cette colonne de présentation est-elle mappée ?
p. S'agit-il de la table physique d'origine que vous avez importée ou de la table alias
que vous avez créée ?
Scénario
Vous avez terminé la création du modèle de gestion initial et devez à présent tester le
référentiel avant de poursuivre. Vous commencez par vérifier que le référentiel ne contient
pas d'erreurs en effectuant une vérification de cohérence globale. Vous testez ensuite le
référentiel en exécutant des requêtes à l'aide d'Analysis Editor. Finalement, vous examinez
le journal des requêtes pour vérifier le code SQL généré par Oracle BI Server.
Résultat
Le fichier de référentiel est testé et vérifié.
Durée
45 minutes
Tâches
1. Modifiez le modèle de gestion pour que la vérification de cohérence détecte une jointure
logique manquante.
a. Dans la couche Business Model and Mapping, cliquez avec le bouton droit de la souris
sur SupplierSales et sélectionnez Business Model Diagram > Whole Diagram.
b. Sélectionnez la connexion de jointure entre les tables logiques Dim-Time et Fact-Sales.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris et sélectionnez Delete pour introduire
dans le modèle de gestion une condition de jointure non définie.
d. Cliquez sur Yes pour confirmer la suppression.
e. Fermez la fenêtre Business Model Diagram.
f. Dans la couche Business Model and Mapping, cliquez avec le bouton droit de la
souris sur SupplierSales et sélectionnez Check Consistency. La fenêtre
Consistency Check Manager apparaît et affiche un message d'erreur concernant le
modèle de gestion SupplierSales. La description de l'erreur explique que la table
logique Dim-Time n'est jointe à aucune autre table logique.
Error : Les messages d'erreur signalent des erreurs qu'il est nécessaire de corriger
pour que le référentiel soit cohérent.
Warning : Les avertissements indiquent des conditions qui peuvent être des
erreurs, mais peuvent aussi avoir été provoquées intentionnellement par
l'administrateur d'Oracle BI Server. Par exemple, un administrateur peut avoir
désactivé volontairement une jointure pour éliminer une condition de jointure
circulaire.
Best Practice : Les messages de ce type signalent des conditions qui ne sont pas
conformes aux meilleures pratiques mais ne constituent pas pour autant des
incohérences (par exemple, l'absence de clé logique dans une table de faits).
b. Cliquez sur Yes. Vous devez obtenir le message suivant : "Consistency check
didn’t find any errors, warnings or best practice violations".
e. Dans la section Upload BI Server Repository, cliquez sur Browse pour ouvrir la
boîte de dialogue permettant de choisir un fichier.
f. Cette boîte de dialogue doit ouvrir le répertoire du référentiel par défaut. Sinon,
accédez au répertoire
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\
coreapplication_obis1\repository.
g. Sélectionnez le fichier ABC.rpd et cliquez sur Open. Vous pouvez également
cliquer deux fois sur le fichier pour l'ouvrir.
h. Entrez welcome1 dans les champs Repository Password et Confirm Password.
i. Cliquez sur Apply. Le champ Default RPD contient désormais la valeur ABC
assortie d'une extension (par exemple, ABC_BI0002).
j. Cliquez sur Activate Changes.
k. Attendez la fin du traitement. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message
de confirmation "Activate Changes - Completed Successfully".
l. Cliquez sur Restart to apply recent changes pour accéder à la page Overview.
(Cette opération peut prendre un certain temps.)
n. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?".
o. Attendez la fin du processus Restart All - In Progress. Il se peut que vous deviez
patienter un instant.
p. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message de confirmation "Restart All -
Completed Successfully".
n. Cliquez sur Check Out. Lorsque vous travaillez dans un référentiel ouvert en mode
connexion (online), vous êtes invité à extraire des objets quand vous essayez
d'effectuer diverses opérations.
o. Sélectionnez Action > Close pour fermer la fenêtre Security Manager. Les aspects
liés à la sécurité sont traités plus en détail dans le chapitre "Sécurité".
k. Cliquez sur l'onglet Results pour afficher les résultats. Vérifiez que la colonne Dollars
est formatée et triée comme vous l'avez demandé. Les résultats indiquent le chiffre
d'affaires réalisé par chaque vendeur dans le district MidAtlantic au cours de l'année
2009.
10. Dans cette étape, vous allez créer une analyse pour obtenir le chiffre d'affaires réalisé
dans chaque district de la région East au cours de l'année 2009.
a. Sélectionnez New > Analysis > SupplierSales.
b. Cliquez sur OK lorsque le message suivant s'affiche : "Are you sure you want to
navigate away from this page?".
c. Créez la requête suivante :
f. Sélectionnez More Columns. Il s'agit d'une autre méthode permettant de définir des
filtres.
g. Créez les filtres suivants pour Year et Region :
g. La section SQL Request contient le code SQL logique exécuté par la requête.
h. Juste après la section SQL Request, la section General Query Info identifie le
référentiel, le domaine et le catalogue de présentation d'où la requête a été
exécutée.
i. Après la section General Query Info, la section Sending query to database
named orcl indique le code SQL physique exécuté par la requête, le pool de
connexions et la source de données à laquelle Oracle BI Server se connecte.
j. Cliquez sur le bouton Back du navigateur pour retourner à la page Manage
Session.
k. Cliquez sur Back pour retourner à la page Administration.
l. Cliquez sur Home pour retourner à la page d'accueil.
m. Déconnectez-vous d'Oracle BI.
Scénario
Il existe des tables contenant des informations détaillées sur les produits vendus par ABC.
Vous voulez ajouter ces tables à la dimension Product dans la couche Business Model and
Mapping. Vous allez les importer dans le référentiel, puis créer les clés et les jointures à clé
étrangère associées.
Résultat
Les tables D1_PRICELIST, D1_PROD_DIET_TYPES, D1_PRODUCT_SUBTYPE,
D1_PRODUCT_TYPE et D1_SUPPLIERS seront importées dans la couche Physical avec
les clés et les jointures associées.
Durée
10 minutes
Tâches
1. Remplacez le référentiel ABC existant par la version contenant les informations de sécurité.
a. Retournez dans Oracle BI Administration Tool qui devrait être encore ouvert. Sinon,
sélectionnez Démarrer > Programmes > Oracle Business Intelligence > BI
Administration.
b. Sélectionnez File > Open > Offline.
c. Sélectionnez le référentiel ABC dont l'extension présente le numéro le plus
élevé. Dans la capture d'écran ci-après, il s'agit du fichier ABC_BI0006.rpd.
k. Mettez à jour les compteurs de lignes des nouvelles tables pour vérifier le
fonctionnement de la connexion.
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_PRODUCT_SUBTYPE"."SUBTYPECODE"
= "orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_PRODUCTS"."SUBTYPECODE"
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_PROD_DIET_TYPES"."DIETCODE" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_PRODUCTS"."DIETCODE"
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_SUPPLIERS"."SUPPLIERCODE" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_PRODUCTS"."SUPPLIERCODE"
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_PRICELIST"."PRODUCTKEY" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_PRODUCTS"."PRODUCTKEY"
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_PRODUCT_TYPE"."TYPECODE" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_PRODUCT_SUBTYPE"."TYPECODE"
f. Vérifiez les résultats.
Scénario
Vous avez importé dans la couche Physical du référentiel les tables qui contiennent les
informations détaillées relatives aux produits ABC, puis vous avez configuré les clés et les
jointures associées à ces tables. Jusqu'ici, la table logique Dim-Product de la couche
Business Model and Mapping contient uniquement des information de la table des produits
racine Dim_D1_PRODUCTS. Vous allez y ajouter les informations de la table des tarifs.
Cela simplifiera la structure des données en créant une table logique dénormalisée.
Résultat
Dans la couche Business Model and Mapping, la table physique Dim_D1_PRICELIST est
ajoutée à la source de table logique existante associée à la table logique Dim-Product. La
colonne logique Price est ajoutée à la table logique Dim-Product et mappée avec la colonne
physique appropriée.
Durée
10 minutes
Tâches
1. Dans cette étape, vous ajoutez les informations de tarification à la source de table
logique associée à la table logique Dim-Product. Vous avez le choix entre deux
méthodes pour ajouter plusieurs éléments à une source de table logique existante.
Dans cet exercice, vous utiliserez la fenêtre de propriétés de la source de table logique
existante. Cette méthode manuelle comprend plusieurs étapes. Dans l'exercice suivant,
vous ferez appel à une procédure plus automatisée.
a. Dans la couche Business Model and Mapping, développez la table logique
Dim-Product, puis le dossier Sources. Cliquez deux fois sur la source de table
logique Dim_D1_PRODUCTS pour afficher ses propriétés.
d. Sélectionnez la jointure dans la section Joins. Le bouton View Details est activé.
e. Cliquez sur View Details pour ouvrir la boîte de dialogue Complex Join et afficher
(en lecture seule) les détails relatifs à la jointure.
f. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue.
Scénario
Vous avez ajouté manuellement à la table logique Dim-Product les informations de la liste
de prix. Vous allez à présent y ajouter les informations des autres tables relatives aux
produits, mais en utilisant une méthode plus automatisée. Cette méthode ajoute les tables
physiques à la source de table logique associée à Dim-Product et ajoute simultanément des
colonnes logiques à la table logique Dim-Product.
Résultat
Dans la couche Business Model and Mapping, les tables physiques
D1_PROD_DIET_TYPES, Dim_D1_PRODUCT_SUBTYPE, Dim_D1_PRODUCT_TYPE et
D1_SUPPLIERS sont ajoutées à la source de table logique associée à Dim-Product. En
outre, les colonnes logiques DIET_TYPE, ITEMSUBTYPE, ITEMTYPE et ITEMSUPPLIER
sont ajoutées à la table logique Dim-Product et mappées avec les colonnes physiques
appropriées.
Durée
10 minutes
Tâches
1. Dans cette étape, vous utilisez une méthode automatisée pour ajouter de nouvelles
sources de table logique et des colonnes logiques à la table logique Dim-Product.
a. Dans la couche Business Model and Mapping, développez Dim-Product >
Sources de façon à voir la source de table logique Dim_D1_PRODUCTS.
b. Dans la couche Physical, développez la table Dim_D1_PROD_DIET_TYPES et
sélectionnez la colonne DIET_TYPE.
c. Faites glisser la colonne DIET_TYPE de la couche Physical vers la couche
Business Model and Mapping et placez-la sur la source de table logique
Dim_D1_PRODUCTS dans la table logique Dim-Product.
d. Vérifiez que la colonne DIET_TYPE est ajoutée à la table logique Dim-Product.
h. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue de propriétés Logical Table Source.
2. Répétez la procédure précédente pour mapper trois autres tables et colonnes avec la
table logique Dim-Product.
a. Faites glisser les colonnes indiquées ci-après de la couche Physical vers la source
de table logique Dim_D1_PRODUCTS. Veillez à choisir comme cible la source de
table logique Dim_D1_PRODUCTS et non la table logique Dim-Product.
Table physique Colonne physique
Dim_D1_PRODUCT_SUBTYPE ITEMSUBTYPE
Dim_D1_PRODUCT_TYPE ITEMTYPE
Dim_D1_SUPPLIERS ITEMSUPPLIER
c. Enregistrez le référentiel.
d. Procédez à une vérification de cohérence. Vous devez obtenir le message suivant :
"Consistency check didn’t find any errors, warnings or best practice violations".
e. Cliquez sur OK pour fermer le message de Consistency Check Manager. Si vous
recevez des messages d'erreur ou des avertissements, effectuez les corrections
nécessaires avant de continuer.
f. Fermez le référentiel.
g. Laissez Administration Tool ouvert.
5. Téléchargez le référentiel à l'aide de Fusion Middleware Control.
a. Retournez à Fusion Middleware Control qui doit être resté ouvert dans votre
navigateur. Si vous devez l'ouvrir, entrez l'URL suivante :
http://localhost:7001/em.
b. Si votre session a été fermée pour cause de dépassement du délai d'inactivité,
reconnectez-vous avec les informations weblogic/welcome1.
c. Dans le volet de gauche, développez Business Intelligence et sélectionnez
coreapplication.
d. Dans le volet de droite, cliquez sur l'onglet Deployment.
e. Cliquez sur le sous-onglet Repository.
h. Dans la section Upload BI Server Repository, cliquez sur Browse pour ouvrir la
boîte de dialogue permettant de choisir un fichier.
i. Cette boîte de dialogue doit ouvrir le répertoire du référentiel par défaut. Sinon,
accédez au répertoire
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\coreapplic
ation_obis1\repository.
j. Sélectionnez le fichier ABC.rpd et cliquez sur Open. Vous pouvez également
cliquer deux fois sur le fichier pour l'ouvrir.
k. Entrez welcome1 dans les champs Repository Password et Confirm Password.
l. Cliquez sur Apply. Le champ Default RPD contient désormais la valeur ABC
assortie d'une extension (par exemple, ABC_BI0007).
m. Cliquez sur Activate Changes.
n. Attendez la fin du traitement. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message
de confirmation "Activate Changes - Completed Successfully".
o. Cliquez sur Restart to apply recent changes pour accéder à la page Overview.
(Cette opération peut prendre un certain temps.)
q. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?".
r. Attendez la fin du processus Restart All - In Progress. Il se peut que vous deviez
patienter un instant.
s. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message de confirmation "Restart All -
Completed Successfully".
Scénario
En examinant les sources physiques associées à la table logique Dim-Product, vous
remarquez que les colonnes Type Code et Type sont mappées avec des tables physiques
différentes. Vous découvrez aussi que les informations des deux colonnes sont stockées
dans une table physique commune, Dim_D1_PRODUCT_TYPE.
En vue de modéliser la méthode d'interrogation la plus économique pour ces deux colonnes,
vous ajoutez à la table logique Dim-Product une seconde source de table logique qui va
permettre à Oracle BI Server d'accéder à une seule table pour interroger les colonnes Type
Code et Type.
Résultat
Dans la couche Business Model and Mapping, une seconde source de table logique
nommée Type est associée à la table logique Dim-Product.
Durée
10 minutes
Tâches
1. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier du
référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe welcome1.
2. Examinez les mappings existants pour les colonnes Type et Type Code.
a. Dans la couche Business Model and Mapping, développez le dossier Sources de
la table logique Dim-Product.
b. Cliquez deux fois sur la source de table logique Dim_D1_PRODUCTS pour ouvrir
la boîte de dialogue Logical Table Source.
c. Cliquez sur l'onglet Column Mapping.
d. Notez que la colonne logique Type Code est mappée avec la colonne physique
TYPECODE de Dim_D1_PRODUCTS.
e. Notez que la colonne logique Type est mappée avec la colonne physique
ITEMTYPE de Dim_D1_PRODUCT_TYPE.
f. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue Logical Table Source.
3. Déterminez la table physique qui contient les informations des deux colonnes Type
Code et Type.
a. Dans la couche Physical, développez la table physique
Dim_D1_PRODUCT_TYPE.
b. Vérifiez que cette table contient les informations de ITEMTYPE et de TYPECODE.
4. Définissez un nouveau mapping pour la colonne logique Type Code en créant une
seconde source de table logique pour la table Dim-Product.
a. Dans la couche Business Model and Mapping, cliquez avec le bouton droit de la
souris sur la table logique Dim-Product et sélectionnez New Object > Logical
Table Source.
b. Dans l'onglet General, entrez Type dans le champ Name.
c. Cliquez sur le bouton Add (signe plus vert).
f. Cliquez deux fois sur la source de table logique Type pour afficher ses propriétés.
g. Cliquez sur l'onglet Column Mapping. Assurez-vous que la case Show unmapped
columns est cochée.
h. Utilisez le champ Expression pour mapper la colonne logique Type Code avec la
colonne physique Dim_D1_PRODUCT_TYPE.TYPECODE.
i. Réitérez l'opération pour mapper la colonne logique Type avec la colonne physique
Dim_D1_PRODUCT_TYPE.ITEMTYPE.
j. Vérifiez votre travail :
h. Dans la section Upload BI Server Repository, cliquez sur Browse pour ouvrir la
boîte de dialogue permettant de choisir un fichier.
i. Cette boîte de dialogue doit ouvrir le répertoire du référentiel par défaut. Sinon,
accédez au répertoire
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\coreapplic
ation_obis1\repository.
j. Sélectionnez le fichier ABC.rpd et cliquez sur Open. Vous pouvez également
cliquer deux fois sur le fichier pour l'ouvrir.
k. Entrez welcome1 dans les champs Repository Password et Confirm Password.
l. Cliquez sur Apply. Le champ Default RPD contient désormais la valeur ABC
assortie d'une extension (par exemple, ABC_BI0008).
m. Cliquez sur Activate Changes.
n. Attendez la fin du traitement. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message
de confirmation "Activate Changes - Completed Successfully".
o. Cliquez sur Restart to apply recent changes pour accéder à la page Overview.
(Cette opération peut prendre un certain temps.)
q. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?".
r. Attendez la fin du processus Restart All - In Progress. Il se peut que vous deviez
patienter un instant.
s. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message de confirmation "Restart All -
Completed Successfully".
9. Examinez le journal des requêtes pour savoir à quelle(s) table(s) cette requête a
accédé. Vous pouvez cliquer sur le lien Administration ou utiliser Fusion Middleware
Control. Les instructions suivantes s'appliquent à Fusion Middleware Control.
a. Retournez à l'onglet Diagnostics de Fusion Middleware Control qui devrait être
encore ouvert.
b. Cliquez sur le sous-onglet Log Messages.
c. Faites défiler la fenêtre vers le bas pour atteindre la section View / Search Log Files.
d. Cliquez sur Server Log.
e. Dans l'écran Log Messages, conservez la plage Most Recent, 1 Days.
f. Désélectionnez tous les types de message à l'exception de Trace.
g. Dans le champ Message, entrez sending query to database.
l. Cliquez sur le bouton Restore Pane dans le coin supérieur droit pour afficher le
volet Log Messages.
m. Laissez Fusion Middleware Control ouvert.
n. Déconnectez-vous d'Analysis Editor.
Scénario
Dans cet exercice, vous allez créer des mesures contenant des calculs selon deux
méthodes différentes. Vous créez tout d'abord une mesure dérivée d'autres colonnes
logiques existantes de manière à effectuer les calculs après l'agrégation de ces colonnes.
Ensuite, vous créez une mesure basée sur des colonnes physiques pour effectuer les
calculs avant l'agrégation. Dans les deux cas, vous utiliserez des analyses et le journal des
requêtes pour vérifier vos résultats.
Résultat
Création d'une colonne logique Dollars per Units Ordered contenant des calculs post-
agrégation fondés sur des colonnes logiques existantes. Création d'une colonne logique
Price x Units Ordered contenant des calculs pré-agrégation fondés sur des colonnes
physiques.
Durée
35 minutes
Tâches
1. Dans cette étape, vous définissez une mesure logique dérivée de colonnes logiques
existantes en vue de la calculer après l'agrégation de ces colonnes.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans la couche Business Model and Mapping, cliquez avec le bouton droit de la
souris sur la table logique Fact-Sales et sélectionnez New Object > Logical
Column.
c. Dans l'onglet General, nommez la colonne Dollars per Units Ordered.
d. Cliquez sur l'onglet Column Source.
e. Sélectionnez Derived from existing columns using an expression.
f. Cliquez sur le bouton Edit Expression pour ouvrir Expression Builder.
g. Sous Category, sélectionnez Logical Tables.
h. Sous Logical Tables, sélectionnez Fact-Sales.
i. Sous Columns, sélectionnez Dollars.
j. Cliquez sur la flèche Insert selected item pour ajouter la colonne Dollars à
l'expression.
k. Cliquez sur le symbole de la division dans la barre d'outils.
l. Sous Columns, cliquez deux fois sur la colonne logique Units Ordered pour
l'insérer dans la formule.
n. Cliquez sur OK pour fermer Expression Builder. Notez que l'expression apparaît
dans la zone d'édition de la boîte de dialogue Logical Column.
o. Dans le champ "Derives from", examinez le calcul qui va être envoyé à la source de
données dans la requête SQL physique.
p. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Logical Column. La colonne
Dollars per Units Ordered est ajoutée au modèle de gestion.
q. Ajoutez la nouvelle colonne Dollars per Units Ordered à la table Fact-Sales dans
le domaine SupplierSales de la couche Presentation.
2. Au niveau de la source de table logique Fact-Sales, ajoutez les mappings nécessaires
en vue de créer une mesure qui utilise des colonnes physiques pour définir la formule
de calcul.
a. Dans la couche Business Model and Mapping, développez Fact-Sales > Sources.
b. Dans la couche Physical, développez Dim_D1_PRODUCTS.
c. Faites glisser PRODUCTKEY depuis Dim_D1_PRODUCTS jusqu'à Fact-Sales >
Sources > Fact_D1_ORDERS2. Vous ajoutez ainsi une colonne logique
PRODUCTKEY à la table logique Fact-Sales.
d. Dans la couche Physical, développez Dim_D1_PRICELIST.
e. Faites glisser PRICE depuis Dim_D1_PRICELIST jusqu'à Fact-Sales > Sources >
Fact_D1_ORDERS2. Vous ajoutez ainsi une colonne logique PRICE à la table
logique Fact-Sales.
f. Cliquez deux fois sur la source de table logique Fact_D1_ORDERS2 pour ouvrir
la boîte de dialogue de propriétés Logical Table Source.
h. Pourquoi est-il nécessaire de définir des mappings avec les deux tables de
produits ? A cause des relations de jointure. Vous allez utiliser la colonne PRICE
dans une mesure calculée, et Fact_D1_ORDERS2 ne peut accéder à
Dim_D1_PRICELIST.PRICE que via Dim_D1_PRODUCTS.
3. Créez une mesure fondée sur des colonnes physiques pour effectuer les calculs avant
l'agrégation.
a. Cliquez sur l'onglet Column Mapping.
b. Cliquez sur le bouton Add New Column pour ouvrir la boîte de dialogue Logical
Column.
c. Nommez la colonne Price x Units Ordered.
d. Cliquez sur l'onglet Aggregation et sélectionnez la règle d'agrégation Sum.
e. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Logical Column.
f. Cliquez sur le bouton Edit Expression pour ouvrir Expression Builder.
g. Sous Category, sélectionnez Physical Tables.
h. Sous Physical Tables, sélectionnez Dim_D1_PRICELIST.
i. Sous Columns, cliquez deux fois sur PRICE pour ajouter cette colonne à la formule.
j. Cliquez sur le symbole de multiplication dans la barre d'outils pour l'ajouter à la
formule.
h. Dans la section Upload BI Server Repository, cliquez sur Browse pour ouvrir la
boîte de dialogue permettant de choisir un fichier.
i. Cette boîte de dialogue doit ouvrir le répertoire du référentiel par défaut. Sinon,
accédez au répertoire
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\coreapplic
ation_obis1\repository.
j. Sélectionnez le fichier ABC.rpd et cliquez sur Open. Vous pouvez également
cliquer deux fois sur le fichier pour l'ouvrir.
k. Entrez welcome1 dans les champs Repository Password et Confirm Password.
l. Cliquez sur Apply. Le champ Default RPD contient désormais la valeur ABC
assortie d'une extension (par exemple, ABC_BI0009).
m. Cliquez sur Activate Changes.
n. Attendez la fin du traitement. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message
de confirmation "Activate Changes - Completed Successfully".
q. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?".
r. Attendez la fin du processus Restart All - In Progress. Il se peut que vous deviez
patienter un instant.
s. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message de confirmation "Restart All -
Completed Successfully".
d. Enregistrez les valeurs en tant que format par défaut pour la colonne Dollars per
Units Ordered.
e. Cliquez sur Results.
b. Modifiez le format des données pour les deux colonnes Price et Price x Units
Ordered en vous aidant de la capture d'écran suivante :
b. Vous constatez que le produit (quantité commandée x prix) est calculé d'abord, puis
agrégé (sum(T90.UNITORDD * T490.PRICE) as c2 dans cet exemple).
Comparez les résultats à ceux obtenus précédemment avec une formule utilisant
des colonnes logiques existantes (agrégation des colonnes effectuée avant le
calcul). Quels sont les avantages et inconvénients à fonder la définition d'une
colonne logique sur d'autres colonnes logiques plutôt que sur les sources
physiques directement ? L'avantage d'une formule de colonne logique fondée sur
des colonnes logiques existantes est que vous n'avez à la définir qu'une seule fois.
Lorsque vous créez des formules fondées sur des colonnes physiques, vous devez
définir un mapping pour chaque source physique possible. Il arrive toutefois que
vous n'ayez pas d'autre choix que d'utiliser des colonnes physiques pour appliquer
une règle d'agrégation après un calcul. Que se passerait-il si vous supprimiez une
colonne logique utilisée dans la formule d'une autre colonne logique ? La colonne
dérivée ne serait pas supprimée automatiquement. En revanche, l'outil afficherait
une icône pour vous signaler le problème. N'essayez pas de créer cette
situation ! Ces explications n'étaient fournies que pour votre information.
c. Pourquoi la suppression des colonnes logiques PRICE et PRODUCTKEY de la
table logique Fact-Sales n'a-t-elle eu aucune incidence sur les résultats de la
requête concernant la mesure Price x Units Ordered ? Parce que la mesure Price x
Units Ordered s'appuie sur des colonnes physiques. Les colonnes PRICE et
PRODUCTKEY n'ont été ajoutées à la table logique Fact-Sales que pour créer les
mappings nécessaires à la création de la mesure.
d. Déconnectez-vous d'Analysis Editor.
Scénario
A l'aide de l'assistant Calculation Wizard, vous allez créer deux mesures calculées
nommées Cuts et Percent Not Shipped. La mesure Cuts calcule la différence entre les
quantités commandées et les quantités expédiées. La mesure Percent Not Shipped calcule
le pourcentage des quantités commandées qui n'a pas été expédié. Les mesures calculées
créées par l'assistant Calculation Wizard sont fondées sur des colonnes logiques existantes.
Résultat
Les colonnes Cuts et Percent Not Shipped sont ajoutées à la table logique Fact-Sales dans
la couche Business Model and Mapping.
Dans la couche Presentation, les colonnes Cuts et Percent Not Shipped sont ajoutées à la
table de présentation Fact-Sales.
Durée
20 minutes
Tâches
1. Dans cette étape, vous créez deux mesures calculées à l'aide de l'assistant Calculation
Wizard.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans la couche Business Model and Mapping, développez la table Fact-Sales.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur la colonne Units Ordered et
sélectionnez Calculation Wizard.
d. Dans la boîte de dialogue Calculation Wizard – Introduction, cliquez sur Next.
e. Dans le volet Choose columns, la table Fact-Sales est sélectionnée. Les
colonnes que vous pouvez inclure dans le calcul s'affichent dans le volet de droite.
f. Cochez la case Units Shipped.
g. Cliquez sur Next.
h. Dans la section Generate Calculations, assurez-vous que les cases Change et
Percent Change sont toutes deux cochées.
i. Dans la section Generate Calculations, assurez-vous que le calcul Change est en
évidence.
s. Faites glisser les colonnes logiques Cuts et Percent Not Shipped vers la table de
présentation Fact-Sales du domaine SupplierSales dans la couche Presentation.
h. Dans la section Upload BI Server Repository, cliquez sur Browse pour ouvrir
la boîte de dialogue permettant de choisir un fichier.
i. Cette boîte de dialogue doit ouvrir le répertoire du référentiel par défaut. Sinon,
accédez au répertoire
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\coreapplic
ation_obis1\repository.
j. Sélectionnez le fichier ABC.rpd et cliquez sur Open. Vous pouvez également
cliquer deux fois sur le fichier pour l'ouvrir.
k. Entrez welcome1 dans les champs Repository Password et Confirm Password.
l. Cliquez sur Apply. Le champ Default RPD contient désormais la valeur ABC
assortie d'une extension (par exemple, ABC_BI0007).
m. Cliquez sur Activate Changes.
o. Cliquez sur Restart to apply recent changes pour accéder à la page Overview.
(Cette opération peut prendre un certain temps.)
q. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?".
r. Attendez la fin du processus Restart All – In Progress. Il se peut que vous deviez
patienter un instant.
t. Vérifiez que System Components = 100%. Le référentiel ABC est chargé dans
Oracle BI Server.
c. Cliquez sur Save as Default et enregistrez ces paramètres comme format par
défaut au niveau du système pour la colonne Percent Not Shipped.
d. Cliquez sur Results.
En effet, Calculation Wizard a utilisé des colonnes logiques dans les formules de
calcul.
c. Déconnectez-vous d'Analysis Editor.
Scénario
Vous allez utiliser la fonction RANK pour calculer le rang des produits en fonction du chiffre
d'affaires qu'ils génèrent.
Durée
20 minutes
Tâches
1. Créez une mesure de rang qui s'appuie sur des colonnes logiques existantes.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans la couche Business Model and Mapping, cliquez avec le bouton droit de la
souris sur la table Fact-Sales et sélectionnez New Object > Logical Column.
c. Dans l'onglet General, nommez la colonne Rank Dollars.
d. Dans l'onglet Column Source, sélectionnez l'option Derived from existing
columns using an expression.
e. Ouvrez Expression Builder.
f. Sélectionnez Functions > Display Functions > Rank.
g. Cliquez deux fois sur Rank ou cliquez sur Insert.
h. Cliquez sur <<numExpr>> dans le volet de droite.
i. Sélectionnez Logical Tables > Fact-Sales > Dollars et ajoutez cette colonne
à la formule.
l. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Logical Column. La colonne Rank
Dollars est ajoutée au modèle de gestion.
m. Ajoutez la mesure Rank Dollars à la table de présentation Fact-Sales dans
la couche Presentation.
n. Enregistrez le référentiel et effectuez la vérification de cohérence globale. Effectuez
les corrections nécessaires pour éliminer les messages d'erreur et les
avertissements avant de continuer.
o. Fermez le référentiel.
p. Laissez Administration Tool ouvert.
2. Téléchargez le référentiel à l'aide de Fusion Middleware Control Enterprise Manager.
a. Retournez à la page Fusion Middleware Control Enterprise Manager qui doit être
restée ouverte dans votre navigateur. Si vous devez l'ouvrir, entrez l'URL suivante :
http://localhost:7001/em.
b. Si votre session a été fermée pour cause de dépassement du délai d'inactivité,
reconnectez-vous avec les informations weblogic/welcome1.
c. Dans le volet de gauche, développez Business Intelligence et sélectionnez
coreapplication.
d. Dans le volet de droite, cliquez sur l'onglet Deployment.
h. Dans la section Upload BI Server Repository, cliquez sur Browse pour ouvrir
la boîte de dialogue permettant de choisir un fichier.
i. Cette boîte de dialogue doit ouvrir le répertoire du référentiel par défaut. Sinon,
accédez au répertoire
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\coreapplic
ation_obis1\repository.
j. Sélectionnez le fichier ABC.rpd et cliquez sur Open. Vous pouvez également
cliquer deux fois sur le fichier pour l'ouvrir.
k. Entrez welcome1 dans les champs Repository Password et Confirm Password.
l. Cliquez sur Apply. Le champ Default RPD contient désormais la valeur ABC
assortie d'une extension (par exemple, ABC_BI0007).
m. Cliquez sur Activate Changes.
n. Attendez la fin du traitement. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message
de confirmation "Activate Changes - Completed Successfully".
o. Cliquez sur Restart to apply recent changes pour accéder à la page Overview.
(Cette opération peut prendre un certain temps.)
q. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?".
r. Attendez la fin du processus Restart All – In Progress. Il se peut que vous deviez
patienter un instant.
s. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message de confirmation "Restart All -
Completed Successfully".
Les résultats indiquent le chiffre d'affaires généré par chaque produit et le rang
correspondant par rapport au chiffre d'affaires total.
c. Déconnectez-vous d'Analysis Editor.
Scénario
Une dimension logique représente une organisation hiérarchique de colonnes logiques
appartenant à une même table de dimension logique. Il peut exister des dimensions
logiques dans la couche Business Model and Mapping (BMM) et dans la couche
Presentation. L'ajout de dimensions logiques à la couche Presentation permet aux
utilisateurs de les voir et de s'en servir pour créer des requêtes fondées sur des hiérarchies.
Vous allez implémenter trois dimensions logiques pour la société ABC : Product, Customer
et Time. La création de dimensions logiques avec des hiérarchies vous permet de créer des
mesures fondées sur des niveaux, de définir des règles d'agrégation qui varient d'une
dimension à l'autre, de fournir des fonctionnalités d'exploration vers le bas de graphiques et
de tables dans les analyses et les tableaux de bord, et de définir le contenu de sources
d'agrégation.
Résultat
La couche Business Model and Mapping contient les dimensions logiques Product,
Customer et Time.
Durée
35 minutes
Tâches
1. Créez une dimension logique pour les produits.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier du
référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe welcome1.
b. Dans la couche Business Model and Mapping, cliquez avec le bouton droit de la
souris sur SupplierSales et sélectionnez New Object > Logical Dimension >
Dimension with Level-Based Hierarchy. La boîte de dialogue Logical Dimension
apparaît.
c. Nommez la dimension logique Product.
d. Cliquez sur OK. La nouvelle dimension logique apparaît dans la couche Business
Model and Mapping. Remarquez l'icône représentant trois flèches de directions
différentes.
Toute colonne que vous n'avez pas explicitement associée à un niveau est
associée implicitement au niveau le plus détaillé. Dans cet exemple, les colonnes
Package Weight et Supplier (entre autres) sont associées par défaut au niveau
Product Detail. La colonne de clé de la table de dimension logique (Product Key en
l'occurrence) doit être associée explicitement au niveau le plus bas, Product Detail.
e. Cliquez deux fois sur la colonne Type de la table logique Dim-Product. La boîte de
dialogue Logical Column apparaît.
f. Cliquez sur l'onglet Levels. Cet onglet affiche les dimensions logiques et les
niveaux logiques associés à la colonne logique sélectionnée. Ces valeurs ont été
définies lors du déplacement de cette colonne vers la hiérarchie de dimension
logique Product.
g. Ouvrez la liste déroulante du niveau logique Type. Il s'agit d'une autre manière
d'associer des colonnes logiques à des dimensions et des niveaux logiques. Vous
utiliserez cette méthode dans l'exercice suivant. Conservez le niveau logique Type.
h. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue Logical Column.
5. Indiquez les clés du niveau Type de la hiérarchie de dimension. Chaque niveau logique
(à l'exception du plus élevé, Grand Total) doit comprendre un ou plusieurs attributs
composant sa clé de niveau. La clé de niveau définit les éléments qui sont uniques
dans chaque niveau logique. La clé logique d'une table logique doit être associée au
niveau le plus bas d'une hiérarchie de dimension logique et doit être la clé de ce niveau.
a. Dans la dimension logique Product, cliquez deux fois sur le niveau Type. La boîte
de dialogue de propriétés Logical Level apparaît.
b. Cliquez sur l'onglet Keys.
c. Entrez Type dans le champ Key Name.
d. Dans le champ Columns, sélectionnez Dim-Product.Type.
e. Laissez le champ Description vide.
l. Cliquez sur OK. Notez l'icône de clé désormais associée aux deux colonnes de
niveau.
6. Définissez les clés du niveau Subtype en utilisant une méthode différente.
a. Dans la dimension logique Product, cliquez avec le bouton droit de la souris sur la
colonne (et non le niveau) Subtype et sélectionnez New Logical Level Key.
b. Assurez-vous que la case Subtype est cochée.
c. Assurez-vous que la case Use for Display est cochée.
d. Cliquez sur OK.
e. Cliquez avec le bouton droit sur la colonne Subtype Code et sélectionnez New
Logical Level Key.
f. Assurez-vous que la case Subtype Code est cochée.
g. Désactivez la case à cocher Use for Display.
h. Cliquez sur OK. Explication : La colonne Subtype sera affichée, mais pas Subtype
Code. Quand un utilisateur voudra explorer des données détaillées dans une
analyse ou un tableau de bord, il accédera par défaut à la clé du niveau enfant pour
laquelle l'option "Use for Display" a été sélectionnée. Par exemple, si un utilisateur
procède à une exploration vers le bas à partir du niveau Type (niveau
immédiatement supérieur à Subtype), il accédera par défaut à la colonne Subtype,
pas à la colonne Subtype Code).
7. Configurez les clés suivantes pour les autres niveaux :
Niveau de la Clé Option "Use for
dimension Display"
Generic Generic Oui
Product Detail Specific Oui
Product Detail Product Key Non
9. Vous allez maintenant utiliser une autre méthode pour créer la dimension logique
Customer et ses niveaux.
a. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur la table logique Dim-Customer et
sélectionnez Create Logical Dimension > Dimension with Level-Based Hierarchy.
Une nouvelle dimension logique nommée Dim-CustomerDim est créée avec les deux
niveaux Dim-Customer Total et Dim-Customer Detail. Le niveau Dim-Customer Detail
reçoit toutes les colonnes de la table de dimension logique Dim-Customer.
10. Créez un chemin de navigation préféré pour le niveau Customer Detail. Vous pouvez
utiliser un chemin de navigation préféré pour définir le chemin à suivre lorsque les
utilisateurs effectuent des explorations vers le bas dans les analyses. Cette étape sert
uniquement à préciser un chemin différent du chemin de navigation normal défini par la
hiérarchie de la dimension. Elle est surtout utile pour les explorations entre deux
dimensions distinctes.
a. Cliquez deux fois sur le niveau Customer Detail pour ouvrir la boîte de dialogue
Logical Level.
b. Cliquez sur l'onglet Preferred Drill Path.
c. Cliquez sur Add.
d. Dans la boîte de dialogue Browse, cliquez deux fois sur Type dans le volet de
droite pour ajouter cette colonne au chemin de navigation préféré dans la boîte de
dialogue Logical Level.
e. Cliquez sur OK.
f. Enregistrez le référentiel sans vérifier la cohérence globale.
11. Dans cette étape, vous pouvez faire appel à l'une ou l'autre des méthodes décrites
précédemment pour créer la hiérarchie basée sur des niveaux de la dimension logique Time.
a. Créez une dimension logique nommée Time qui s'appuie sur la table de dimension
logique Time.
b. Créez les niveaux suivants :
Niveau Option "Grand Option "Supports
Total Level" rollup to higher level
of aggregation"
Time Total Oui Non disponible
Year Non Oui
Quarter Non Oui
Month Non Oui
Time Detail Non Oui
CASE
WHEN "ORCL".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_CALENDAR2"."MONTH_IN_YEAR" < 4
THEN 1
WHEN "ORCL".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_CALENDAR2"."MONTH_IN_YEAR" < 7
THEN 2
WHEN "ORCL".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_CALENDAR2"."MONTH_IN_YEAR" < 10
THEN 3
ELSE 4
END
j. Cliquez sur OK pour fermer Expression Builder. La formule s'affiche dans le champ
Expression de la boîte de dialogue Logical Table Source.
k. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Logical Table Source. La colonne
Quarter apparaît dans le modèle de gestion.
f. Développez Dim-Time > Sources et cliquez deux fois sur la source de table
logique Dim_D1_CALENDAR2 pour ouvrir la boîte de dialogue Logical Table
Source.
g. Cliquez sur l'onglet Content.
h. Selon la méthode vous avez utilisée pour créer la hiérarchie de la dimension
logique Time, le niveau logique peut ne pas être défini. Indiquez Time Detail et
cliquez sur OK.
i. Développez Fact-Sales > Sources et cliquez deux fois sur la source de table
logique Fact_D1_ORDERS2.
j. Cliquez sur l'onglet Content.
k. Indiquez le niveau logique Product Detail pour la dimension logique Product.
l. Indiquez le niveau logique Time Detail pour la dimension logique Time.
e. Enregistrez le référentiel.
f. Procédez à une vérification de cohérence. Effectuez les corrections nécessaires
pour éliminer les messages d'erreur et les avertissements avant de continuer.
g. Fermez le référentiel.
h. Laissez Administration Tool ouvert pour l'exercice suivant.
18. Téléchargez le référentiel à l'aide de Fusion Middleware Control.
a. Retournez à la page Fusion Middleware Control Enterprise Manager qui doit être
restée ouverte dans votre navigateur. Si vous devez l'ouvrir, entrez l'URL suivante :
http://localhost:7001/em.
b. Si votre session a été fermée pour cause de dépassement du délai d'inactivité,
reconnectez-vous avec les informations weblogic/welcome1.
c. Dans le volet de gauche, développez Business Intelligence et sélectionnez
coreapplication.
d. Dans le volet de droite, cliquez sur l'onglet Deployment.
e. Cliquez sur le sous-onglet Repository.
h. Dans la section Upload BI Server Repository, cliquez sur Browse pour ouvrir la
boîte de dialogue File Upload.
o. Cliquez sur Restart to apply recent changes pour accéder à la page Overview.
(Cette opération peut prendre un certain temps.)
q. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?".
s. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message de confirmation "Restart All -
Completed Successfully".
t. Vérifiez que System Components = 100%. Le référentiel ABC est chargé dans
Oracle BI Server.
d. Procédez à une exploration vers le bas sur un trimestre quelconque et vérifiez que
vous obtenez le chiffre d'affaires par mois.
e. Procédez à une exploration vers le bas sur un mois quelconque et vérifiez que vous
obtenez le chiffre d'affaires par jour. Vos résultats doivent présenter l'aspect suivant :
Scénario
Maintenant que vous disposez de dimensions logiques dotées de hiérarchies fondées sur
des niveaux, vous créez des mesures qui calculent le chiffre d'affaires total à différents
niveaux de ces hiérarchies.
Durée
30 minutes
Tâches
1. Créez des mesures basées sur des niveaux pour la dimension logique Product.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans la couche Business Model and Mapping, cliquez avec le bouton droit de la
souris sur la table Fact-Sales et sélectionnez New Object > Logical Column.
c. Dans le champ Name de l'onglet General, entrez Product Total Dollars.
d. Cliquez sur l'onglet Column Source.
e. Sélectionnez Derived from existing columns using an expression.
f. Ouvrez Expression Builder.
g. Dans Expression Builder, ajoutez Logical Tables > Fact-Sales > Dollars à
l'expression. Souvenez-vous que la règle d'agrégation Sum est appliquée par
défaut à la colonne Dollars.
h. Cliquez sur OK.
i. Cliquez sur l'onglet Levels.
j. Pour la dimension logique Product, sélectionnez Product Total dans la liste
déroulante Level afin d'indiquer que cette mesure doit être calculée au niveau le
plus haut de la hiérarchie des produits.
k. Cliquez sur OK. L'affectation du niveau à la colonne logique entraîne
automatiquement l'apparition de la mesure dans la dimension logique Product.
l. Répétez cette procédure pour créer une autre mesure fondée sur un niveau :
Nom Dimension Niveau
Product Type Dollars Product Type
Scénario
Vous utilisez les mesures fondées sur des niveaux que vous avez créées pour implémenter
une mesure de part concernant les produits.
Durée
10 minutes
Tâches
1. Créez une mesure de part qui s'appuie sur des colonnes logiques existantes.
a. Dans la couche Business Model and Mapping, cliquez avec le bouton droit de la
souris sur Fact-Sales et sélectionnez New Object > Logical Column.
b. Dans l'onglet General, nommez la colonne logique Product Share.
c. Dans l'onglet Column Source, sélectionnez l'option Derived from existing
columns using an expression.
d. Ouvrez Expression Builder.
e. Sélectionnez Functions > Mathematic Functions > Round.
f. Cliquez sur Insert selected item. La fonction s'affiche dans la zone d'édition.
g. Cliquez sur SourceNumber dans la formule.
h. Entrez 100* suivi d'un espace.
i. Insérez la colonne Logical Tables > Fact-Sales > Dollars.
j. Cliquez sur le bouton Division dans la barre d'outils. Un autre segment entre
crochets apparaît : <<expr>>.
k. Cliquez sur <<expr>>.
l. Insérez la colonne Logical Tables > Fact-Sales > Product Total Dollars.
Souvenez-vous que cette mesure est fondée sur le niveau le plus haut de la
hiérarchie de la dimension logique Product.
m. Cliquez sur la dernière expression entre crochets, <<Digits>>, et entrez 1. Cette
valeur représente le nombre de positions décimales du pourcentage arrondi.
n. Vérifiez votre travail :
Round(100* "SupplierSales"."Fact-Sales"."Dollars" /
"SupplierSales"."Fact-Sales"."Product Total Dollars" , 1)
Cette mesure de part va vous permettre d'exécuter une analyse pour déterminer le
pourcentage représenté par les ventes d'un produit spécifique dans le chiffre
d'affaires total.
o. Cliquez sur OK pour fermer Expression Builder.
p. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Logical Column.
q. La colonne logique Product Share est ajoutée au modèle de gestion.
r. Ajoutez la mesure Product Share à la table de présentation Fact-Sales.
s. Enregistrez le référentiel.
t. Procédez à une vérification de cohérence. Si vous obtenez des messages d'erreur
ou des avertissements, effectuez les corrections nécessaires avant de continuer.
u. Laissez le référentiel ouvert. Vous testerez votre travail via Analysis Editor dans
l'exercice 9-5.
Scénario
ABC vous demande de créer une mesure nommée Average Daily Dollars qui totalise les
chiffres d'affaires selon les dimensions Customer et Product et divise les résultats par le
nombre de jours de la dimension Time. Cette mesure peut être utilisée pour comparer le
chiffre d'affaires journalier moyen d'un mois à l'autre lorsque les mois ne comprennent pas
tous le même nombre de jours d'enregistrement de commandes.
Résultat
Création d'une mesure Average Daily Dollars comportant des règles d'agrégation propres
aux dimensions
Durée
15 minutes
Tâches
1. Créez une mesure comportant des règles d'agrégation propres aux dimensions.
a. Dans la couche Business Model and Mapping, cliquez avec le bouton droit de la
souris sur Fact-Sales et sélectionnez New Object > Logical Column.
b. Dans l'onglet General, nommez la colonne logique Average Daily Dollars.
c. Cliquez sur l'onglet Column Source.
d. Assurez-vous que la case Show all logical sources est cochée.
e. Cliquez deux fois sur la source de table logique Fact_D1_ORDERS2.
f. Cliquez sur l'onglet Column Mapping.
g. Assurez-vous que la case Show unmapped columns est cochée.
h. Utilisez la colonne Expression pour mapper Average Daily Dollars avec la colonne
physique Fact_D1_ORDERS2.DOLLARS.
i. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Logical Table Source.
j. Cliquez sur l'onglet Aggregation.
k. Sélectionnez Based on dimensions.
l. Dans la boîte de dialogue Browse, sélectionnez la dimension Time et cliquez sur OK.
m. Dans le champ Formula, sélectionnez la règle d'agrégation AVG dans la liste
déroulante.
Scénario
Les hiérarchies de présentation et les niveaux de présentation permettent d'exposer de
manière explicite le modèle multidimensionnel dans les analyses et les tableaux de bord
Oracle BI. Lorsque ces hiérarchies et niveaux sont définis dans la couche Presentation, le
volet de navigation d'Analysis Editor affiche des informations consolidées qui fournissent un
contexte intéressant. Le principal avantage de ces objets dans la couche Presentation est
toutefois qu'ils permettent aux utilisateurs de créer des requêtes basées sur des hiérarchies.
Résultat
Des hiérarchies de présentation sont ajoutées aux tables de présentation Customer, Time et
Product.
Durée
15 minutes
Tâches
1. Modifiez la dimension logique Customer pour y inclure plusieurs hiérarchies.
a. Développez la dimension logique Customer.
b. Supprimez toutes les colonnes du niveau Customer Detail à l'exception de
Customer et Customer Key. Notez que la suppression de colonnes d'une
hiérarchie n'a pas d'incidence sur les colonnes logiques correspondantes.
c. Cliquez avec le bouton droit sur le niveau Customer Total et sélectionnez New
Object > Shared Level as Child.
h. Dans la section Upload BI Server Repository, cliquez sur Browse pour ouvrir la
boîte de dialogue permettant de choisir un fichier.
i. Cette boîte de dialogue doit ouvrir le répertoire du référentiel par défaut. Sinon,
accédez au répertoire
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\coreapplic
ation_obis1\repository.
j. Sélectionnez le fichier ABC.rpd et cliquez sur Open. Vous pouvez également
cliquer deux fois sur le fichier pour l'ouvrir.
k. Entrez welcome1 dans les champs Repository Password et Confirm Password.
l. Cliquez sur Apply. Le champ Default RPD contient désormais la valeur ABC
assortie d'une extension (par exemple, ABC_BI0007).
m. Cliquez sur Activate Changes.
n. Attendez la fin du traitement. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message
de confirmation "Activate Changes - Completed Successfully".
o. Cliquez sur Restart to apply recent changes pour accéder à la page Overview.
(Cette opération peut prendre un certain temps.)
q. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?".
r. Attendez la fin du processus Restart All - In Progress. Il se peut que vous deviez
patienter un instant.
s. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message de confirmation "Restart All -
Completed Successfully".
c. Cliquez sur Save as Default > Save as the system-wide default for
'"Fact-Sales"."Product Type Dollars"'.
e. Effectuez une exploration vers le bas sur une valeur de la colonne Generic. Notez
que par défaut, l'exploration mène à la colonne Specific. Rappelez-vous que deux
colonnes sont associées au niveau Specific de la hiérarchie Product : Product Key
et Specific. Comme vous avez activé l'option "Use for Display" pour la colonne
Specific uniquement, les explorations à partir de la colonne Generic affichent par
défaut la colonne Specific. Lorsqu'un utilisateur effectue une exploration vers le
niveau immédiatement inférieur, il est par défaut conduit à la colonne de ce niveau
pour laquelle l'option "Use for Display" a été sélectionnée.
Les résultats indiquent, en ordre décroissant, le chiffre d'affaires généré par chaque
produit et le pourcentage des ventes totales que cela représente.
Les résultats indiquent, en ordre décroissant, le chiffre d'affaires généré par chaque
type de produit et le pourcentage des ventes totales que cela représente.
7. Créez une analyse pour tester la mesure Average Daily Dollars avec une règle
d'agrégation propre à la dimension.
a. Créez l'analyse et le filtre suivants :
Scénario
Dans une hiérarchie parent-enfant, tous les membres sont du même type, alors que dans
une hiérarchie fondée sur des niveaux, les membres du même type sont regroupés à un
seul niveau. L'exemple concret le plus répandu d'une hiérarchie parent-enfant est
l'organigramme des ressources humaines d'une société qui présente toutes les
caractéristiques suivantes :
• Chaque individu de l'entreprise est un employé.
• Chaque employé, à l'exception des managers de niveau supérieur, rend des
comptes à un seul supérieur hiérarchique.
• La hiérarchie des responsabilités comprend plusieurs niveaux.
Dans les tables relationnelles, les relations entre les membres d'une hiérarchie
parent-enfant sont définies implicitement par les valeurs des clés d'identification dans la
table de base associée. En revanche, pour chaque hiérarchie parent-enfant Oracle BI
Server fondée sur une table relationnelle, vous devez également définir explicitement les
relations entre membres dans une table de relations parent-enfant distincte.
Résultat
Une hiérarchie parent-enfant est ajoutée au modèle de gestion.
Durée
40 minutes
Tâches
1. Importez les tables d'employés et une table de faits agrégée.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier du
référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe welcome1.
b. Dans la couche Physical, développez orcl.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le pool de connexions SUPPLIER CP
et sélectionnez Import Metadata.
d. Acceptez les valeurs par défaut dans la fenêtre Select Metadata Types et cliquez
sur Next.
e. Dans le volet Available de la fenêtre Select Metadata Objects, développez le
schéma SUPPLIER2.
f. Sélectionnez les tables suivantes :
D1_ORDER_AGG1
EMP_POSTN
EMP_TYPE
EMPLOYEE
g. Cliquez sur la flèche Import selected pour ajouter les tables sélectionnées au volet
Selected.
i. Acceptez les valeurs par défaut dans les sections Physical Location et Logical
Associations, puis cliquez sur Next.
j. Dans l'écran Preview Script, cliquez sur View Script pour afficher l'un des scripts
ou les deux.
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_EMPLOYEE"."EMPLOYEE_KEY" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_EMP_PARENT_CHILD"."ANCESTOR_KEY"
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_EMP_PARENT_CHILD"."MEMBER_KEY" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."Fact_D1_ORDER_AGG1"."SREP_KEY"
e. Cliquez deux fois sur la hiérarchie de présentation Employee pour ouvrir la boîte
de dialogue Presentation Hierarchy.
f. Dans l'onglet Display Columns, sélectionnez Employee ID.
g. Cliquez sur l'icône X rouge pour supprimer cette colonne d'affichage.
h. Cliquez sur le bouton Add (signe plus vert).
i. Sélectionnez Employee Name en tant que colonne d'affichage.
j. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Presentation Hierarchy.
k. Enregistrez le référentiel.
l. Procédez à une vérification de cohérence. Effectuez les corrections nécessaires
pour éliminer les messages d'erreur et les avertissements avant de continuer.
m. Fermez le référentiel.
n. Laissez Administration Tool ouvert.
16. Téléchargez le référentiel à l'aide de Fusion Middleware Control.
a. Retournez à Fusion Middleware Control qui doit être resté ouvert dans votre
navigateur. Si vous devez l'ouvrir, entrez l'URL suivante :
http://localhost:7001/em.
b. Si votre session a été fermée pour cause de dépassement du délai d'inactivité,
reconnectez-vous avec les informations weblogic/welcome1.
c. Dans le volet de gauche, développez Business Intelligence et sélectionnez
coreapplication.
d. Dans le volet de droite, cliquez sur l'onglet Deployment.
e. Cliquez sur le sous-onglet Repository.
h. Dans la section Upload BI Server Repository, cliquez sur Browse pour ouvrir la
boîte de dialogue permettant de choisir un fichier.
i. Cette boîte de dialogue doit ouvrir le répertoire du référentiel par défaut. Sinon,
accédez au répertoire
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\coreapplic
ation_obis1\repository.
j. Sélectionnez le fichier ABC.rpd et cliquez sur Open. Vous pouvez également
cliquer deux fois sur le fichier pour l'ouvrir.
k. Entrez welcome1 dans les champs Repository Password et Confirm Password.
l. Cliquez sur Apply. Le champ Default RPD contient désormais la valeur ABC
assortie d'une extension (par exemple, ABC_BI0007).
m. Cliquez sur Activate Changes.
n. Attendez la fin du traitement. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message
de confirmation "Activate Changes - Completed Successfully".
o. Cliquez sur Restart to apply recent changes pour accéder à la page Overview.
(Cette opération peut prendre un certain temps.)
q. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?".
r. Attendez la fin du processus Restart All - In Progress. Il se peut que vous deviez
patienter un instant.
s. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message de confirmation "Restart All -
Completed Successfully".
b. Cliquez sur Results. Développez le tableau pivot pour examiner les données à
différents niveaux de la hiérarchie. Remarquez que la mesure Dollars est
consolidée à chaque niveau supérieur.
Scénario
Un membre calculé est un membre de dimension défini par l'utilisateur dont les valeurs
mesurées sont calculées au moment de l'exécution. Vous définissez un membre calculé au
sein d'une dimension à l'aide d'une formule qui référence d'autres membres de la même
dimension. Les membres calculées peuvent être définis pour une dimension unique ou
plusieurs dimensions.
Analysis Editor fournit plusieurs pages où vous pouvez exécuter du code SQL logique. Dans
cet exercice, vous créez des instructions SQL CALCULATEDMEMBER et les exécutez dans
la page Issue SQL de l'onglet Administration.
Durée
30 Minutes
Tâches
1. Créez et exécutez une requête CALCULATEDMEMBER utilisant un seul membre
calculé et une seule dimension.
a. Cliquez sur le lien Administration.
b. Cliquez sur OK pour accéder à une autre page.
c. Sous Maintenance and Troubleshooting, cliquez sur Issue SQL.
d. Entrez l'instruction SQL suivante (ou copiez-la à partir du fichier
CALCULATEDMEMBER_SINGLE.txt situé dans le répertoire D:\PracticeFiles) :
SELECT
CALCULATEDMEMBER(SupplierSales.Customer."Customer -
Region",'West - Desert - Northwest',
MEMBER(SupplierSales.Customer."Customer - Region"."Region",
'West')
- MEMBER(SupplierSales.Customer."Customer -
Region"."District", 'Desert')
- MEMBER(SupplierSales.Customer."Customer -
Region"."District", 'Northwest'))
"California District",
"Fact-Sales".Dollars Dollars
FROM Customer, "Fact-Sales";
SELECT
CALCULATEDMEMBER(SupplierSales.Customer."Customer -
Region",'East + West',
MEMBER(SupplierSales.Customer."Customer - Region"."Region",
'East')
+ MEMBER(SupplierSales.Customer."Customer - Region"."Region",
'West'), 1
) MyRegion,
CALCULATEDMEMBER(SupplierSales.Time."Time", 'Percentage
Increase',
( MEMBER(SupplierSales.Time."Time"."Time Detail", 20090401)
- MEMBER(SupplierSales.Time."Time"."Time Detail", 20080401) )
* 100
/ MEMBER(SupplierSales.Time."Time"."Time Detail", 20080401),
2
) MyTime,
"Fact-Sales".Dollars DollarsPerCent
FROM Customer, Time, "Fact-Sales";
g. Modifiez les propriétés des colonnes Dollars 20080401 et Dollars 20090401 pour
qu'elles affichent les données en devises.
h. Modifiez les propriétés de la colonne Dollars % Change pour qu'elle affiche les
données en pourcentages.
i. Cliquez sur Results. Vérifiez que le résultat correspond à celui renvoyé par le
membre calculé :
Scénario
La société ABC souhaite ajouter des tables d'agrégation contenant des résultats précalculés
qui correspondent à des mesures agrégées sur un ensemble d'attributs dimensionnels.
Vous devez préciser le niveau d'agrégation pour chaque source en utilisant des niveaux
logiques. Les tables d'agrégation nécessaires existent déjà dans la base de données :
• MONTHS contient une ligne par combinaison année/mois et peut être considérée
comme une agrégation de la dimension Time au niveau Month.
• D1_PRODUCT_TYPE (qui fait déjà partie du modèle de gestion) contient une ligne
pour chaque type de produit et peut être considérée comme une agrégation de la
dimension Product au niveau Type.
• D1_ORDER_AGG1 (qui fait déjà partie du modèle de gestion) contient les faits de
vente agrégés aux niveaux Product Type et Month.
Résultat
La couche Physical contiendra de nouvelles sources physiques pour les tables d'agrégation.
Dans la couche Business Model and Mapping, le contenu d'agrégation sera défini pour les
sources de table logique.
Durée
45 minutes
Tâches
1. Importez la table d'agrégation physique MONTHS de la base de données dans la
couche Physical du référentiel. Vous avez besoin à la fois de tables de faits et de
dimension agrégées parce que vous devez créer des sources de dimension logique
au même niveau de détail que les sources de faits.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans la couche Physical, développez orcl.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le pool de connexions SUPPLIER CP
et sélectionnez Import Metadata.
d. Acceptez les valeurs par défaut dans l'écran Select Metadata Types et cliquez sur
Next pour ouvrir l'écran Select Metadata Objects.
e. Développez le schéma SUPPLIER2.
f. Dans le volet Data source view, sélectionnez la table MONTHS pour l'import.
g. Cliquez sur le bouton Import selected pour ajouter la table au volet Repository
View.
h. Développez SUPPLIER2 dans le volet Repository View et vérifiez que la table
MONTHS a été ajoutée.
i. Cliquez sur Finish pour ajouter les tables au référentiel.
j. Développez SUPPLIER2 dans la couche Physical pour vérifier que MONTHS figure
dans le référentiel.
k. Développez MONTHS.
4. Créez les jointures physiques entre la table d'agrégation de faits et les tables
d'agrégation de dimension.
a. Dans la couche Physical, sélectionnez les trois tables suivantes :
Dim_D1_PRODUCT_TYPE_AGG
Dim_MONTHS_AGG
Fact_D1_ORDER_AGG1
b. Cliquez sur l'icône Physical Diagram dans la barre d'outils.
c. Utilisez le bouton New Join pour créer les jointures suivantes :
Dim_MONTHS_AGG.MONTHCODE = Fact_D1_ORDER_AGG1.PERKEY
Dim_D1_PRODUCT_TYPE_AGG.TYPECODE = Fact_D1_ORDER_AGG1.TYPEKEY
d. Vérifiez votre travail :
N'oubliez pas que le nom du niveau de détail pour la dimension logique Customer
peut être différent de celui qui apparaît dans cette capture d'écran, en fonction de la
méthode que vous avez utilisée pour créer la dimension logique Customer dans la
série d'exercices précédente. Notez également que Employee est une dimension
logique parent-enfant, ce qui explique que le niveau logique sélectionné soit Total.
i. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Logical Table Source.
h. Dans la section Upload BI Server Repository, cliquez sur Browse pour ouvrir la
boîte de dialogue permettant de choisir un fichier.
i. Cette boîte de dialogue doit ouvrir le répertoire du référentiel par défaut. Sinon,
accédez au répertoire
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\coreapplic
ation_obis1\repository.
j. Sélectionnez le fichier ABC.rpd et cliquez sur Open. Vous pouvez également
cliquer deux fois sur le fichier pour l'ouvrir.
k. Entrez welcome1 dans les champs Repository Password et Confirm Password.
l. Cliquez sur Apply. Le champ Default RPD contient désormais la valeur ABC
assortie d'une extension (par exemple, ABC_BI0007).
m. Cliquez sur Activate Changes.
n. Attendez la fin du traitement. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message
de confirmation "Activate Changes - Completed Successfully".
q. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?".
r. Attendez la fin du processus Restart All - In Progress. Il se peut que vous deviez
patienter un instant.
s. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message de confirmation "Restart All -
Completed Successfully".
Vous remarquez que les mêmes tables d'agrégation ont été utilisées. Cela est dû
au fait que le niveau Year est supérieur à Month dans la hiérarchie de la dimension
logique Time et que les tables d'agrégation sont donc toujours utiles.
h. Créez une nouvelle analyse.
m. Examinez le journal des requêtes pour vérifier que la requête a utilisé la table
d'agrégation de faits Fact_D1_ORDER_AGG1 et la table d'agrégation de
dimension associée Dim_D1_PRODUCT_TYPE_AGG.
Scénario
Dans cet exercice, vous définissez le nombre d'éléments de niveaux de dimensions logiques
et observez les résultats. Oracle BI Server utilise le nombre d'éléments pour faire un choix
entre plusieurs sources de table d'agrégation. Il n'est donc nécessaire de définir le nombre
d'éléments que s'il existe au moins deux sources de table d'agrégation auxquelles une
requête Oracle BI a la possibilité d'accéder. L'accès aux sources de table d'agrégation de
faits est déterminé par une combinaison entre les champs sélectionnés et le nombre
d'éléments des niveaux de dimension logique avec lesquels ces champs sont mappés.
Ce nombre ne doit pas nécessairement être exact. Seul compte le rapport entre les nombres
d'éléments des différents niveaux. En ajustant le nombre d'éléments, vous pouvez influencer
Oracle BI Server dans le choix d'une source de table d'agrégation de faits.
Durée
30 minutes
Tâches
1. Importez une table d'agrégation supplémentaire dans la couche Physical du référentiel.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans la couche Physical, développez orcl.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le pool de connexions SUPPLIER CP
et sélectionnez Import Metadata.
d. Acceptez les valeurs par défaut dans l'écran Select Metadata Types et cliquez sur
Next pour ouvrir l'écran Select Metadata Objects.
e. Faites défiler l'affichage jusqu'au schéma SUPPLIER2 et développez ce dernier.
f. Dans le volet Data source view, sélectionnez la table D1_ORDER_AGG2 pour
l'import.
g. Cliquez sur le bouton Import selected pour ajouter la table au volet Repository
View.
h. Développez SUPPLIER2 dans le volet Repository View et vérifiez que la table
D1_ORDER_AGG2 a été ajoutée.
i. Cliquez sur Finish pour ajouter la table au référentiel.
j. Développez SUPPLIER2 dans la couche Physical pour vérifier que
D1_ORDER_AGG2 figure dans le référentiel.
k. Créez une table alias Fact_D1_ORDER_AGG2 pour D1_ORDER_AGG2.
3. Créez les jointures physiques entre les tables d'agrégation de faits et de dimension.
a. Dans la couche Physical, sélectionnez les trois tables suivantes :
Dim_D1_PRODUCTS
Dim_MONTHS_AGG
Fact_D1_ORDER_AGG2
b. Cliquez sur l'icône Physical Diagram dans la barre d'outils.
c. Réorganisez les tables pour qu'elles soient visibles dans la fenêtre Physical
Diagram.
d. Utilisez le bouton New foreign key pour créer les jointures suivantes :
Dim_MONTHS_AGG.MONTHCODE = Fact_D1_ORDER_AGG2.PERKEY
Dim_D1_PRODUCTS.PRODUCTKEY = Fact_D1_ORDER_AGG2.PRODKEY
e. Vérifiez votre travail. La table Fact_D1_ORDER_AGG2 est jointe à la table de
détails Dim_D1_PRODUCTS, tandis que Fact_D1_ORDER_AGG1 est jointe à la
table d'agrégation Dim_D1_PRODUCT_TYPE_AGG :
Vous remarquez que les quatre colonnes logiques Dollars, Units Shipped, Units
Ordered et Net Weight Shipped sont désormais mappées avec les colonnes
correspondantes de trois tables :
Fact_D1_ORDERS2
Fact_D1_ORDER_AGG1
Fact_D1_ORDER_AGG2
5. Indiquez le contenu d'agrégation de la nouvelle source de table logique pour qu'Oracle
BI Server identifie le niveau des données stockées dans les tables d'agrégation.
a. Cliquez sur l'onglet Content.
b. Indiquez le contenu d'agrégation de Fact_D1_ORDER_AGG2.
Vous remarquez que le contenu des deux sources de table logique d'agrégation est
défini dans les mêmes dimensions logiques, Product et Time, mais avec des
niveaux différents pour la dimension logique Product.
d. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Logical Table Source.
6. Dans cette étape, vous définissez le nombre d'éléments des dimensions logiques. Le
choix d'une source de table d'agrégation de faits est déterminé par une combinaison
entre les champs sélectionnés et le nombre d'éléments des niveaux de dimension
logique avec lesquels ces champs sont mappés. Oracle BI Server tient compte de ce
nombre d'éléments pour choisir une source de table d'agrégation. Il n'est donc
nécessaire de définir le nombre d'éléments que s'il existe au moins deux sources de
table d'agrégation auxquelles une requête Oracle BI a la possibilité d'accéder. Ce
nombre ne doit pas nécessairement être exact. Seul compte le rapport entre les
nombres d'éléments des différents niveaux.
a. Développez la dimension logique Product.
b. Cliquez deux fois sur le niveau Product Total et sélectionnez l'onglet General.
Comme il s'agit du niveau le plus haut, son nombre d'éléments est défini
automatiquement avec la valeur 1.
c. Cliquez sur Cancel.
d. Cliquez deux fois sur le niveau Type et sélectionnez l'onglet General.
e. Définissez pour ce niveau un nombre d'éléments égal à 22. Pour déterminer le
nombre d'éléments à chaque niveau, une méthode consiste à mettre à jour les
compteurs de lignes, puis à examiner le nombre de lignes de la colonne
correspondante dans la couche Physical.
f. Définissez le nombre d'éléments comme suit pour les autres niveaux de la
dimension logique Product :
SubType : 159
Generic : 186
Product Detail : 192
g. Définissez le nombre d'éléments des niveaux de la dimension logique Time :
Year : 2
Quarter : 6
Month : 16
Time Detail : 474
h. Enregistrez le référentiel.
i. Procédez à une vérification de cohérence. Effectuez les corrections nécessaires
pour éliminer les messages d'erreur et les avertissements avant de continuer.
j. Fermez le référentiel. Laissez Administration Tool ouvert.
h. Dans la section Upload BI Server Repository, cliquez sur Browse pour ouvrir la
boîte de dialogue permettant de choisir un fichier.
i. Cette boîte de dialogue doit ouvrir le répertoire du référentiel par défaut. Sinon,
accédez au répertoire
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\coreapplic
ation_obis1\repository.
j. Sélectionnez le fichier ABC.rpd et cliquez sur Open. Vous pouvez également
cliquer deux fois sur le fichier pour l'ouvrir.
k. Entrez welcome1 dans les champs Repository Password et Confirm Password.
l. Cliquez sur Apply. Le champ Default RPD contient désormais la valeur ABC
assortie d'une extension (par exemple, ABC_BI0007).
m. Cliquez sur Activate Changes.
n. Attendez la fin du traitement. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message
de confirmation "Activate Changes - Completed Successfully".
q. Cliquez sur Yes lorsque vous recevez le message "Are you sure you want to restart
all BI components?".
r. Attendez la fin du processus Restart All - In Progress. Il se peut que vous deviez
patienter un instant.
s. Cliquez sur Close lorsque vous recevez le message de confirmation "Restart All -
Completed Successfully".
Vous remarquez que malgré le fait que les deux sources de table logique
d'agrégation ont un contenu défini pour les mêmes dimensions logiques (Product et
Time), la requête a utilisé Fact_D1_ORDER_AGG1. Oracle BI Server a déterminé
qu'il était plus économique d'accéder à Fact_D1_ORDER_AGG1 qu'à
Fact_D1_ORDER_AGG2 en se basant sur le nombre d'éléments des niveaux. En
effet, il évalue à 3072 lignes potentielles le coût d'accès à
Fact_D1_ORDER_AGG2 : 16 mois * 192 produits. Pour Fact_D1_ORDER_AGG1,
il évalue le coût d'accès à 352 lignes potentielles : 16 mois * 22 types de produit. La
source Fact_D1_ORDER_AGG1 apparaît comme la solution la plus économique
car son contenu d'agrégation est défini au niveau Type pour la dimension logique
Product.
d. Déconnectez-vous d'Analysis Editor.
10. Ajustez le nombre d'éléments pour qu'Oracle BI Server choisisse une source de table
d'agrégation de faits différente.
a. Retournez dans Administration Tool et ouvrez le référentiel en mode connexion
(online).
b. Utilisez welcome1 pour les deux mots de passe et cliquez sur Open.
c. Dans la couche Business Model and Mapping, développez la dimension logique
Product.
d. Cliquez deux fois sur le niveau Type.
e. Cliquez sur Check Out.
f. Cliquez sur l'onglet General et portez le nombre d'éléments de 22 à 220 pour ce
niveau.
g. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Logical Level. Si vous exécutez
l'analyse précédente (Month, Dollars) après cette modification, le coût d'accès à
Fact_D1_ORDER_AGG1 passe de 352 à 3520 lignes (16 mois * 220 types de produit).
Il devient donc supérieur au coût d'accès à Fact_D1_ORDER_AGG2, à savoir 3072
lignes. La même requête va donc cette fois utiliser Fact_D1_ORDER_AGG2 au lieu de
Fact_D1_ORDER_AGG1. Notez que cette démonstration vise uniquement à illustrer un
point théorique et ne constitue en aucun cas une technique de modélisation correcte.
h. Validez les modifications.
j. Enregistrez le référentiel.
k. Fermez le référentiel.
l. Cliquez sur OK lorsqu'un message vous invite à redémarrer Oracle BI Server.
Scénario
Le processus traditionnel de création d'agrégats pour les requêtes traitées par Oracle BI
Server est manuel, ce qui vous oblige à écrire des scripts LDD et LMD pour créer les tables
dans les bases de données concernées. De plus, les tables d'agrégation ainsi créées
doivent ensuite être mappées dans les métadonnées du référentiel pour que les requêtes
puissent les utiliser. Ce travail prend du temps et peut être source d'erreurs. L'assistant
Aggregate Persistence permet à l'administrateur d'automatiser la création des tables
d'agrégation et des objets correspondants dans le référentiel. Rappelons que votre
référentiel contient déjà une table d'agrégation, D1_ORDER_AGG1, qui contient les faits de
vente agrégés par mois et par type de produit, ainsi que les tables d'agrégation de
dimension correspondantes Months et Product Type. Dans cet exercice, vous utilisez
l'assistant Aggregate Persistence pour créer des tables d'agrégation similaires et les
métadonnées correspondantes.
Durée
30 minutes
Tâches
1. Dans cette étape, vous utilisez l'assistant Aggregate Persistence pour générer un script
qui sera utilisé pour créer des tables d'agrégation et les métadonnées correspondantes.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Sélectionnez Tools > Utilities > Aggregate Persistence et cliquez sur Execute.
c. Dans le champ File Name de l'écran Select File Location, entrez CREATE_AGG.
Ces informations désignent le fichier dans lequel le script sera enregistré. Le fichier
que vous indiquez contient les spécifications des agrégats et il est mis à jour à
mesure que de nouveaux agrégats sont créés.
d. Cliquez sur Browse, accédez à D:\PracticeFiles et cliquez sur OK.
e. Cliquez sur Next.
f. Dans le volet supérieur, sélectionnez le modèle de gestion SupplierSales. S'il
existe plusieurs modèles de gestion, vous ne pouvez en sélectionner qu'un. Dans
cet exemple, il en existe un seul.
g. Dans le volet inférieur, développez la table de faits Fact-Sales. S'il existe plusieurs
tables de faits, vous ne pouvez en sélectionner qu'une.
q. Sélectionnez I am done.
c. Mettez à jour les compteurs de lignes des nouveaux agrégats et vérifiez que vous
obtenez les valeurs indiquées ci-après. Acceptez d'extraire les objets lorsqu'un
message vous y invite.
ag_Fact_Sales : 324 lignes
SA_Month* : 16 lignes
SA_Type* : 21 lignes
d. Cliquez deux fois sur ag_Fact_Sales pour ouvrir la boîte de dialogue Physical
Table. Cliquez sur l'onglet Foreign Keys et vérifiez que des jointures ont été
créées entre ag_Fact_Sales et les deux nouveaux agrégats de dimension.
e. Cliquez deux fois sur les clés étrangères pour afficher les relations de jointure
dans la boîte de dialogue Physical Foreign Key.
f. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue Physical Foreign Key.
g. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue Physical Table.
f. Cliquez sur l'onglet Content et vérifiez que les niveaux logiques sont définis
correctement.
g. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue Logical Table Source.
h. Réitérez l'opération pour Dim-Product et Dim-Time afin de vérifier que les niveaux
logiques sont correctement définis pour les nouvelles sources de table logique
générées par l'assistant Aggregate Persistence. Vos résultats doivent être
similaires aux captures d'écran ci-après :
f. Quittez SQL*Plus.
7. Utilisez Analysis Editor pour tester votre travail.
a. Connectez-vous à Oracle BI avec le nom utilisateur weblogic et le mot de passe
welcome1.
b. Retournez dans Analysis Editor et créez une nouvelle analyse dans le domaine
SupplierSales.
c. Rechargez les métadonnées du serveur.
f. Examinez le journal des requêtes pour vérifier que cette requête a utilisé la table
d'agrégation ag_Fact_Sales et l'agrégat de dimension SA_Type* associé. Oracle
BI Server utilise les sources les plus économiques pour traiter une requête. Votre
journal des requêtes devrait ressembler à ceci :
Scénario
La société ABC souhaite stocker les données relatives aux faits dans deux partitions
distinctes : une pour les données récentes, l'autre pour les données d'historique. Chaque
partition comprend les mêmes colonnes. Seules les valeurs des données sont différentes.
La partition d'historique contient les faits de facturation enregistrés jusqu'au 31 décembre
2008 inclus, tandis que la partition des données récentes contient les faits de facturation
postérieurs à cette date.
Résultat
La couche Physical contiendra deux nouvelles sources physiques : D1_ORDERS_RECENT
et D1_ORDERS_HISTORICAL. Dans la couche Business Model and Mapping, les sources
de table logique associées à la table Fact-Sales seront modifiées.
Durée
30 minutes
Tâches
1. Importez dans la couche Physical deux sources de données de faits partitionnées par
valeur.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier du
référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe welcome1.
b. Dans la couche Physical, développez orcl.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le pool de connexions SUPPLIER CP
et sélectionnez Import Metadata.
d. Acceptez les valeurs par défaut dans la fenêtre Select Metadata Types et cliquez
sur Next pour ouvrir la fenêtre Select Metadata Objects.
e. Développez le schéma SUPPLIER2.
f. Dans le volet Data source view, sélectionnez les tables à importer :
D1_ORDERS_RECENT et D1_ORDERS_HISTORICAL.
g. Cliquez sur le bouton Import selected pour ajouter les tables sélectionnées au
volet Repository View.
h. Développez SUPPLIER2 dans le volet Repository View et vérifiez que les tables
D1_ORDERS_RECENT et D1_ORDERS_HISTORICAL ont été ajoutées.
i. Cliquez sur Finish pour ajouter les tables au référentiel.
j. Développez SUPPLIER2 dans la couche Physical et vérifiez que les tables
D1_ORDERS_RECENT et D1_ORDERS_HISTORICAL ont été ajoutées au
référentiel. D1_ORDERS_HISTORICAL contient les données relatives à toute
l'année 2008. D1_ORDERS_RECENT contient les données relatives aux quatre
premiers mois de 2009.
k. Actualisez les compteurs de lignes des deux nouvelles tables pour vérifier la
connexion.
D1_ORDERS_RECENT : 80223 lignes
D1_ORDERS_HISTORICAL : 271413 lignes
l. Cliquez deux fois sur PERIODKEY dans D1_ORDERS_RECENT pour ouvrir la
boîte de dialogue Physical Column.
m. Remplacez la valeur du champ Type par INT.
Copyright © 2011, Oracle et/ou ses affiliés. Tous droits réservés.
Dim_D1_CALENDAR2.YYYYMMDD = Fact_D1_ORDERS_RECENT.PERIODKEY
Dim_D1_PRODUCTS.PRODUCTKEY = Fact_D1_ORDERS_RECENT.PRODKEY
Dim_D1_CUSTOMER2.NEWKEY = Fact_D1_ORDERS_RECENT.CUSTKEY
Dim_D1_CALENDAR2.YYYYMMDD =
Fact_D1_ORDERS_HISTORICAL.PERIODKEY
Dim_D1_PRODUCTS.PRODUCTKEY =
Fact_D1_ORDERS_HISTORICAL.PRODKEY
Dim_D1_CUSTOMER2.NEWKEY = Fact_D1_ORDERS_HISTORICAL.CUSTKEY
2. Créez deux nouvelles sources de table logique pour la table logique Fact-Sales.
a. Développez SupplierSales > Fact-Sales > Sources dans la couche Business
Model and Mapping.
b. Développez Fact_D1_ORDERS_RECENT dans la couche Physical.
c. Faites glisser la colonne DOLLARS de la table Fact_D1_ORDERS_RECENT
jusqu'à la colonne Dollars de la table Fact-Sales. Vous créez ainsi une source de
table logique nommée Fact_D1_ORDERS_RECENT et mappez la colonne.
d. Réitérez l'opération pour la colonne DOLLARS de la table
Fact_D1_ORDERS_HISTORICAL. Vous créez ainsi une source de table logique
nommée Fact_D1_ORDERS_HISTORICAL et mappez la colonne.
g. Cliquez sur OK pour fermer Expression Builder. Notez que l'expression est affichée
dans le champ Fragmentation content.
h. Sélectionnez l'option This source should be combined with others at this level.
i. Cliquez sur l'onglet Column Mapping et vérifiez les mappings.
b. Exécutez l'analyse.
c. Vérifiez que les résultats comprennent uniquement des enregistrements où Order
Date a une valeur supérieure à 20081231.
Scénario
Les variables de référentiel dynamiques sont utiles pour définir le contenu des sources de
table logique. ABC utilise deux sources d'informations sur les commandes : une pour les
commandes récentes et une autre pour l'historique. Vous devez décrire le contenu de ces
sources dans l'onglet Content de la boîte de dialogue Logical Table Source. Si vous
n'utilisez pas de variables de référentiel dynamiques, vous devez décrire le contenu de la
source des données récentes à l'aide d'une expression statique telle que
SupplierSales."Fact-Sales"."Order Date" > '20081231', comme vous l'avez
fait dans l'exercice précédent. Cette instruction n'est toutefois plus valide dès lors que de
nouvelles données sont ajoutées à la source des données récentes et que certaines
données de cette source sont transférées vers la source des données historiques. Pour tenir
compte des nouvelles données, vous devez alors modifier manuellement la description du
contenu de fragmentation. Les variables de référentiel dynamiques permettent d'automatiser
cette opération. Dans ce cas, il convient de configurer également des blocs d'initialisation
qui actualisent en permanence ces variables.
Résultat
Un bloc d'initialisation nommé OrderSplit est créé, ainsi que la variable associée
EndHistoricalData. Dans la couche Business Model and Mapping, les sources de table
logique sont modifiées pour la table logique Fact-Sales.
Durée
25 minutes
Tâches
1. Dans cette étape, vous créez un pool de connexions dédié pour le bloc d'initialisation
d'une variable. Il est recommandé de créer un pool de connexions dédié pour les blocs
d'initialisation. Celui-ci ne doit pas être utilisé pour les requêtes.
a. Dans la couche Physical, cliquez avec le bouton droit de la souris sur l'objet de
base de données orcl et sélectionnez New Object > Connection Pool pour ouvrir
la boîte de dialogue Connection Pool.
b. Dans l'onglet General, nommez le pool de connexions Variables.
c. Entrez le nom de source de données orcl.
d. Entrez supplier2 comme nom utilisateur et mot de passe.
e. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Connection Pool.
f. Entrez supplier2 pour confirmer le mot de passe, puis cliquez sur OK.
2. Dans cette étape, vous créez un bloc d'initialisation. Les blocs d'initialisation
contiennent des instructions SQL qui initialisent des variables de référentiel. Celles-ci
conservent leur valeur jusqu'à l'exécution suivante du bloc d'initialisation. Les blocs
d'initialisation des variables de référentiel s'exécutent à chaque démarrage d'Oracle BI
Server, puis éventuellement selon un planning défini.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier du
référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe welcome1.
b. Sélectionnez Manage > Variables.
c. Sélectionnez Action > New > Repository > Initialization Block.
d. Nommez le nouveau bloc d'initialisation OrderSplit.
g. Retournez dans Analysis Editor et ajoutez un filtre où Order Date a une valeur
inférieure ou égale à 20081231.
Scénario
Au lieu de créer des filtres de colonne codés en dur (par exemple Year = 1999) dans les
analyses, ABC veut utiliser des variables qui renvoient toujours les données de l'année, du
mois et du jour courants. Vous créez ces variables de référentiel dynamiques, puis vous les
utilisez en tant que filtres de colonne dans des analyses Oracle BI.
Résultat
Création du bloc d'initialisation Current Periods et de trois nouvelles variables de référentiel
dynamiques : CurrentYear, CurrentMonth et CurrentDay
Durée
15 minutes
Tâches
1. Créez un bloc d'initialisation pour initialiser trois variables nommées CurrentYear,
CurrentMonth et CurrentDay. Les valeurs de ces variables seront fournies par le code
SQL du bloc d'initialisation conformément au planning que vous aurez défini. Dans cet
exemple, le système détermine la valeur du jour courant en recherchant la valeur
maximum de la clé de période (YYYMMDD) dans la table D1_ORDERS2, puis en
déterminant le code de mois et l'année qui correspondent à cette valeur dans la table
D1_CALENDAR2.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Sélectionnez Manage > Variables.
c. Sélectionnez Action > New > Repository > Initialization Block.
d. Nommez le nouveau bloc d'initialisation CurrentPeriods.
e. Cliquez sur Edit Data Source.
f. Cliquez sur le bouton Browse.
g. Cliquez deux fois sur le pool de connexions Variables pour sélectionner cet objet.
Dans cet exemple, les résultats sont déterminés par les données de la base
SUPPLIER2 utilisée pour ce cours, laquelle est limitée au mois d'avril 2009.
f. Cliquez sur Close pour fermer la fenêtre Results.
g. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Repository Variable Initialization
Block.
h. Vérifiez votre travail dans Variable Manager :
c. Sélectionnez Filter pour la colonne Year. La boîte de dialogue New Filter s'affiche.
d. Sélectionnez Add More Options > Repository Variable.
h. Cliquez sur Results et vérifiez que les données renvoyées concernent uniquement
la date en cours (le 20 avril 2009 dans l'exemple illustré).
Scénario
Vous devez créer de nouvelles mesures à l'aide des fonctions de comparaison de séries
chronologiques d'Oracle BI pour permettre aux utilisateurs de comparer le chiffre d'affaires
actuel à celui de périodes antérieures. Vous ajouterez ensuite ces mesures au domaine de
présentation et vous les testerez en exécutant des analyses.
Les fonctions disponibles pour comparer des séries chronologiques sont AGO, TODATE et
PERIODROLLING. Elles permettent d'appeler une fonction logique dans Expression Builder
pour effectuer des calculs de séries chronologiques au lieu de créer des alias de tables
physiques et de procéder par modélisation logique. Les fonctions AGO, TODATE et
PERIODROLLING s'appuient sur les tables de calendrier du data warehouse et non pas
sur des fonctions SQL standard de manipulation de dates.
Durée
25 minutes
Généralités
La possibilité de comparer les performances actuelles avec celles de périodes antérieures
est fondamentale pour l'analyse d'une activité. Pourtant, comme l'explique Ralph Kimball,
le langage SQL n'a pas été conçu pour effectuer directement des comparaisons dans le
temps :
"Dans le cadre de l'utilisation d'un data warehouse, le plus difficile est de traduire des
analyses de gestion simples en langage SQL. SQL n'a pas été conçu pour l'édition de
rapports de gestion. Il s'agissait en fait d'un langage intermédiaire destiné à exprimer la
sémantique des tables relationnelles sous une forme pratique et accessible, qui devait
permettre aux chercheurs et aux développeurs de créer les premiers systèmes relationnels
vers le milieu des années 1970. Comment sinon expliquer qu'il n'existe pas de méthode
directe dans SQL pour comparer cette année à l'année dernière ?" - Ralph Kimball
Tâches
1. Dans le modèle de gestion SupplierSales, définissez la dimension logique Time en tant
que dimension temporelle.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans le modèle de gestion SupplierSales, cliquez deux fois sur la dimension
logique Time.
d. Cliquez sur Delete (X rouge) pour supprimer cette clé. Vous éviterez ainsi les
erreurs de cohérence lorsque vous allez mapper une colonne de clé avec un
niveau de la hiérarchie qui est supérieur à celui contenant la clé de détail.
e. Cliquez sur Yes pour confirmer la suppression.
f. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Logical Table.
3. Ajoutez MonthCode au niveau Month de la dimension logique Time.
a. Développez la table logique Dim-Time.
b. Développez la dimension logique Time.
c. Faites glisser Month Code depuis la table logique Dim-Time jusqu'au niveau
Month de la dimension logique Time.
d. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur la colonne de niveau Month Code et
sélectionnez New Logical Level Key pour ouvrir la boîte de dialogue Logical Level
Key.
4. Identifiez les clés de niveau en tant que clés chronologiques. Il est recommandé de
désigner une clé chronologique pour chaque niveau d'une hiérarchie de dimension
temporelle.
a. Cliquez deux fois sur le niveau Month pour ouvrir la boîte de dialogue Logical
Level.
b. Cliquez sur l'onglet Keys.
c. Cochez la case Chronological Key pour Month Code.
d. Définissez Month Code en tant que clé primaire.
c. Créez une analyse et un filtre similaires au niveau Quarter et vérifiez les résultats.
Scénario
Chaque vendeur de la société ABC peut prendre part à plusieurs opérations donnant lieu au
paiement d'une commission. Par ailleurs, chaque opération peut faire intervenir plusieurs
vendeurs qui reçoivent chacun un pourcentage de la commission. Vous devez modéliser
cette relation plusieurs à plusieurs dans le référentiel.
Il existe une table de faits D1_COMMISSION qui indique les commissions payées par
facture. D1_COMMISION_BRIDGE est la table de correspondance utilisée pour créer une
relation plusieurs à plusieurs entre la table de faits D1_COMMISSION et la table de
dimension D1_SALESREP. D1_COMMISION_BRIDGE comprend un facteur de pondération
qui permet de calculer la répartition pondérée des commissions entre les équipes de vente.
Vous allez importer ces tables et les modéliser dans le référentiel.
Durée
25 minutes
Tâches
1. Importez les tables dans le référentiel.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans la couche Physical, développez orcl.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le pool de connexions SUPPLIER CP
et sélectionnez Import Metadata.
d. Acceptez les valeurs par défaut dans l'écran Select Metadata Types et cliquez sur
Next pour ouvrir l'écran Select Metadata Objects.
e. Faites défiler l'affichage jusqu'au schéma SUPPLIER2 et développez ce dernier.
f. Dans le volet Data source view, sélectionnez les tables à importer :
D1_COMMISSION, D1_COMMISSION_BRIDGE et D1_SALESREPS.
g. Cliquez sur le bouton Import selected pour ajouter les tables sélectionnées au
volet Repository View.
h. Développez SUPPLIER2 dans le volet Repository View et vérifiez que les tables
ont été ajoutées.
i. Cliquez sur Finish pour ajouter les tables au référentiel.
j. Dans la couche Physical, développez orcl > SUPPLIER2 et vérifiez la présence
des tables importées.
k. Pour chaque table, effectuez une mise à jour du nombre de lignes pour tester la
connectivité. Les deux tables de commission doivent renvoyer 38 lignes.
D1_SALESREPS doit contenir 34 lignes.
l. Affichez les données de D1_COMMISSION. Notez que COMM_KEY 1111
comprend deux lignes contenant chacune une commission de 22 000 dollars, soit
une commission totale de 44 000 dollars. Cet exemple illustre un cas où le
paiement des commissions peut être échelonné : 50 % lorsque la commande est
enregistrée et 50 % lorsqu'elle est réglée par le client. Ces deux lignes
apparaissent pour CUST_KEY 1118. Vous utiliserez ces informations pour vérifier
votre travail en exécutant des analyses, dans une étape ultérieure de cet exercice.
Dim_D1_CUSTOMER2.NEWKEY = Fact_D1_COMMISSION.CUST_KEY
Dim_D1_SALESREPS.SALESREP = Dim_D1_COMMISSION_BRIDGE.SALESREP
Fact_D1_COMMISSION.COMM_KEY =
Dim_D1_COMMISSION_BRIDGE.COMM_KEY
5. Créez une mesure calculée utilisant les colonnes physiques de montant de commission
et de facteur de pondération.
a. Cliquez sur l'onglet Column Mapping.
b. Sélectionnez la colonne logique Commission Amount et cliquez sur le bouton Edit
Expression pour ouvrir Expression Builder.
b. Cliquez sur Results. Les résultats indiquent le montant total des commissions
par client.
c. Cliquez deux fois sur Customer.Customer Key pour ajouter cette colonne aux
résultats. Notez que le client Mayflower Cuisinier est associé à la clé de client
1118. Souvenez-vous que lors d'une étape antérieure de cet exercice, vous
avez examiné les données source pour déterminer le montant de commission
total associé à la clé de client 1118, à savoir 44 000 dollars.
Copyright © 2011, Oracle et/ou ses affiliés. Tous droits réservés.
f. Consultez le fichier journal pour vérifier que la requête a utilisé à la fois la table
de faits Fact_D1_COMMISSION et la table de correspondance
Dim_D1_COMMISSION_BRIDGE.
Scénario
Vous voulez que les utilisateurs puissent afficher les métadonnées d'analyse dans d'autres
langues que l'anglais. Pour cela, vous devez exécuter une série d'étapes que cet exercice
décrit en détail. Vous commencez par exécuter l'utilitaire Externalize Strings du référentiel
pour exporter les chaînes associées aux objets de la couche Presentation dans un fichier au
format CSV. Vous modifiez ensuite le fichier obtenu pour y inclure les chaînes traduites.
Après quoi, vous chargez les données de ce fichier dans une table de base de données,
vous créez des blocs d'initialisation pour alimenter les variables de session et vous modifiez
les préférences de localisation. Enfin, vous créez et exécutez des analyses pour vérifier
votre travail.
Durée
40 minutes
Tâches
1. Exécutez l'utilitaire Externalize String pour exporter des objets de la couche
Presentation vers une feuille de calcul. Vous pouvez utiliser cet outil pour localiser les
noms et les descriptions des domaines, tables, hiérarchies et colonnes de la couche
Presentation. Il est possible d'enregistrer ces chaînes de texte dans un fichier externe
à l'aide des options d'encodage ANSI, Unicode et UTF-8.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans la couche Presentation, cliquez deux fois sur la table de présentation
Customer et vérifiez que la case "Custom display name" n'est pas cochée dans
l'onglet General.
c. Cliquez sur Cancel pour fermer la boîte de dialogue Presentation Table.
d. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur la table de présentation Customer
et sélectionnez Externalize Display Names > Generate Custom Name. Notez
la présence d'une option Externalize Descriptions. Laissez celle-ci désactivée.
e. Cliquez deux fois à nouveau sur la table de présentation Customer. Dans l'onglet
General, observez que la case "Custom display name" est désormais cochée.
Le nom qui apparaît dans les analyses est désormais fourni par la variable de
session CN_SupplierSales_Customer. Une étape ultérieure de cet exercice
consistera à créer une table et un bloc d'initialisation pour alimenter les variables de
session de la couche Presentation.
b. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur la ligne 1 et sélectionnez Insert pour
insérer une ligne d'en-têtes en haut de la feuille de calcul.
c. Entrez les en-têtes suivants pour les trois premières colonnes :
METADATA_OBJECT, MSG_NUM et MSG_TEXT.
e. Supprimez toutes les lignes de données sauf celles concernant les objets
Presentation Column. Il n'est pas nécessaire d'inclure Customer Key.
l. Réitérez l'opération pour ajouter les traductions françaises des autres objets de
métadonnées. Aidez-vous de la capture d'écran ci-après. Vous pouvez choisir des
traductions différentes de celles indiquées, mais toutes les cellules doivent être
renseignées. Dans le cadre de cet exercice, vous ne fournissez des traductions que
pour les colonnes de la table de présentation Customer.
f. Fermez SQL*Plus.
4. Importez la table TRANSLATIONS dans la couche Physical.
a. Retournez dans le référentiel ABC qui doit être encore ouvert en mode hors
connexion (offline) dans Administration Tool.
b. Dans la couche Physical, développez orcl.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le pool de connexions SUPPLIER CP
et sélectionnez Import Metadata.
d. Acceptez les valeurs par défaut dans la fenêtre Select Metadata Types et cliquez
sur Next pour ouvrir la fenêtre Select Metadata Objects.
e. Faites défiler l'affichage jusqu'au schéma SUPPLIER2 et développez ce dernier.
f. Dans le volet Data source view, sélectionnez la table TRANSLATIONS pour
l'import.
g. Cliquez sur le bouton Import selected pour ajouter la table au volet Repository
View.
h. Développez SUPPLIER2 dans le volet Repository View et vérifiez que la table a été
ajoutée.
i. Cliquez sur Finish pour ajouter la table au référentiel.
m. Enregistrez le référentiel.
n. Procédez à une vérification de cohérence. Effectuez les corrections nécessaires
pour éliminer les messages d'erreur et les avertissements avant de continuer.
5. Créez un pool de connexions dédié pour le bloc d'initialisation de la traduction. Il est
recommandé de créer un pool de connexions dédié pour les blocs d'initialisation.
Celui-ci ne doit pas être utilisé pour les requêtes.
a. Dans la couche Physical, cliquez avec le bouton droit de la souris sur l'objet de
base de données orcl et sélectionnez New Object > Connection Pool pour ouvrir
la boîte de dialogue Connection Pool.
b. Dans l'onglet General, nommez le pool de connexions Translation.
c. Entrez le nom de source de données orcl.
d. Entrez supplier2 comme nom utilisateur et mot de passe.
e. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Connection Pool.
f. Entrez supplier2 pour confirmer le mot de passe, puis cliquez sur OK.
6. Créez un bloc d'initialisation pour sélectionner les traductions correctes dans la table
TRANSLATIONS en fonction de la variable LANGUAGE.
a. Sélectionnez Manage > Variables pour ouvrir Variable Manager.
b. Sélectionnez Action > New > Session > Initialization Block.
c. Nommez le bloc d'initialisation TRANSLATION Init Block.
d. Cliquez sur Edit Data Source.
e. Dans le champ Default Initialization String, entrez l'instruction SELECT suivante :
SELECT MSG_NUM, MSG_TEXT
from TRANSLATIONS
where LANG_ID = 'VALUEOF(NQ_SESSION.WEBLANGUAGE)'
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o. Vérifiez que seules les lignes contenant les chaînes en anglais s'affichent.
p. Réitérez l'opération avec la valeur fr et vérifiez que seules les lignes contenant les
chaînes en français sont renvoyées.
n. Fermez NQQuery.log.
Scénario
Pour localiser des types de produit de l'anglais vers le français, vous importez les tables de
localisation nécessaires, puis vous créez un bloc d'initialisation et une variable de session
pour définir la langue par défaut de l'utilisateur. Vous créez ensuite une table de consultation
dans le modèle de gestion et vous définissez une expression pour la colonne à traduire.
Enfin, vous testez les résultats de votre travail.
Durée
35 minutes
Tâches
1. Importez les tables de localisation dans le référentiel.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier du
référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe welcome1.
b. Dans la couche Physical, développez orcl.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le pool de connexions SUPPLIER CP
et sélectionnez Import Metadata.
d. Acceptez les valeurs par défaut dans la fenêtre Select Metadata Types et cliquez
sur Next pour ouvrir la fenêtre Select Metadata Objects.
e. Faites défiler l'affichage jusqu'au schéma SUPPLIER2 et développez ce dernier.
f. Dans le volet Data source view, sélectionnez les tables
D1_PRODUCT_TYPE_TRANS et D1_LANG pour l'import.
g. Cliquez sur le bouton Import selected pour ajouter les tables sélectionnées au
volet Repository View.
h. Développez SUPPLIER2 dans le volet Repository View et vérifiez que les tables
ont été ajoutées.
i. Cliquez sur Finish pour ajouter les tables au référentiel.
j. Dans la couche Physical, développez orcl > SUPPLIER2 et vérifiez la présence
des tables importées.
k. Mettez à jour le nombre de lignes de la table D1_PRODUCT_TYPE_TRANS en
utilisant le pool de connexions SUPPLIER CP. Vous devriez obtenir 42 lignes.
l. Examinez les données de la table D1_PRODUCT_TYPE_TRANS en utilisant le
pool de connexions SUPPLIER CP. Cette table de traduction contient une
référence de clé étrangère (TYPECODE) qui mène aux enregistrements de la table
de base D1_PRODUCT_TYPE. Elle contient en outre les valeurs de chaque champ
traduit dans une colonne distincte (ITEMTYPE). LANG_ID est un code de deux
caractères qui identifie la langue pour chaque ligne. Une table de consultation
complètement dense contient pour chaque langue autant de lignes que la table de
base. L'exemple utilisé dans cet exercice contient des lignes pour les traductions en
allemand (de) et en français (fr) de chaque type de produit.
Contrairement aux clés de table logique standard, les clés de recherche dans les
tables de consultation sont sensibles à l'ordre des colonnes de clé. L'ordre des
colonnes dans la clé primaire de la table de consultation détermine l'ordre des
arguments correspondants dans la fonction LOOKUP. Vous définirez la fonction
LOOKUP dans l'étape suivante.
p. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Logical Table.
4. Créez une colonne logique qui applique les fonctions INDEXCOL et LOOKUP.
a. Créez une nouvelle colonne logique nommée Type (Translated) pour la table
logique Dim-Product (et non pour la table de consultation Dim-Product_Trans).
b. Dans l'onglet Column Source, sélectionnez l'option Derived from existing
columns using an expression.
c. Cliquez sur le bouton Edit Expression pour ouvrir Expression Builder.
d. Cliquez sur Resultats. Vérifiez que les types de produit s'affichent en français.
f. Exécutez la même analyse que précédemment et vérifiez que les types de produit
s'affichent en allemand.
Scénario
La société ABC effectue le suivi des faits concernant les ventes et les retours de produits
dans des tables de faits distinctes. Elle veut s'assurer que les utilisateurs obtiennent les
résultats escomptés s'ils exécutent des requêtes portant uniquement sur des dimensions
mais concernant des colonnes appartenant à plusieurs dimensions. Pour cela, vous allez
définir une colonne de fait implicite pour le domaine SupplierSales.
Durée
20 minutes
Tâches
1. Importez une nouvelle table de faits dans la couche Physical.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans la couche Physical, développez orcl.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le pool de connexions SUPPLIER CP
et sélectionnez Import Metadata.
d. Acceptez les valeurs par défaut dans la fenêtre Select Metadata Types et cliquez
sur Next pour ouvrir la fenêtre Select Metadata Objects.
e. Faites défiler l'affichage jusqu'au schéma SUPPLIER2 et développez ce dernier.
f. Dans le volet Data source view, sélectionnez la table D1_RETURNS pour l'import.
g. Cliquez sur le bouton Import selected pour ajouter la table au volet Repository
View.
h. Développez SUPPLIER2 dans le volet Repository View et vérifiez que la table a été
ajoutée.
i. Cliquez sur Finish pour ajouter les tables au référentiel.
j. Dans la couche Physical, développez orcl > SUPPLIER2 et vérifiez la présence
de la table D1_RETURNS.
k. Mettez à jour le nombre de lignes de D1_RETURNS pour vérifier la connectivité.
Vous devriez obtenir 263 lignes.
l. Affichez les données de D1_RETURNS. Cette table contient les faits concernant
les retours de produits.
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_PRODUCTS"."PRODUCTKEY" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."Fact_D1_RETURNS"."PRODKEY"
"orcl".""."SUPPLIER2"."Dim_D1_CUSTOMER2"."NEWKEY" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."Fact_D1_RETURNS"."CUSTKEY"
e. Cliquez sur le bouton Display maximum pour voir tous les enregistrements.
Vous devriez en obtenir 258.
f. Consultez le journal des requêtes.
Vous remarquez que la requête a renvoyé les données des dimensions voulues,
à savoir Customer (Dim_D1_CUSTOMER2) et Product (Dim_D1_PRODUCTS),
et qu'elle a accédé à la table Fact_D1_RETURNS plutôt qu'à Fact_D1_ORDERS2.
Dans une requête portant uniquement sur des dimensions qui comprend des colonnes
appartenant à plusieurs dimensions et où les dimensions communes sont jointes à
plusieurs tables de faits, Oracle BI Server doit choisir la table de faits à laquelle
accéder. Si aucune colonne de fait implicite n'est définie, le serveur sélectionne la
table offrant un moindre coût d'accès. En l'occurrence, il s'agit de la table qui présente
le moins de jointures. Les résultats renvoyés ne sont toutefois pas ceux escomptés si
l'utilisateur voulait afficher tous les produits achetés par tous les clients. Ils ne
concernent en effet que les produits qui ont été retournés par les clients.
g. Déconnectez-vous d'Oracle BI.
e. Cliquez sur le bouton Display maximum pour voir tous les enregistrements.
Vous devriez en obtenir plus de 500.
f. Examinez le journal des requêtes.
Vous remarquez que la requête renvoie toujours les données des dimensions
voulues (Customer et Product), mais en accédant cette fois-ci à la table
Fact_D1_ORDERS2 au lieu de Fact_D1_RETURNS. Le fait de définir une colonne
de fait implicite a forcé Oracle BI Server à joindre les dimensions via cette table
de faits. La colonne de fait implicite (DOLLARS) est visible dans le journal des
requêtes, mais pas dans les résultats de l'analyse. Elle sert à préciser un chemin
de jointure par défaut entre les tables de dimension lorsqu'il existe plusieurs
possibilités ou contextes.
g. Déconnectez-vous d'Oracle BI.
Scénario
La société ABC dispose de données prévisionnelles stockées dans un cube Essbase.
Vous devez importer ce cube dans le référentiel, créer un modèle de gestion et un domaine,
puis vérifier les résultats dans Analysis Editor.
Durée
15 minutes
Tâches
1. Démarrez Essbase Server.
a. Sélectionnez Démarrer (Start) > Programmes (Programs) > Oracle EPM System
> Essbase > Essbase Server > Start Essbase. Une fenêtre de commandes
Essbase s'affiche.
b. Attendez la fin du traitement et la fermeture de cette fenêtre.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur la barre d'outils et sélectionnez Task
Manager pour ouvrir le Gestionnaire des tâches de Windows.
d. Cliquez sur l'onglet Processus (Processes).
e. Vérifiez qu'un processus ESSBASE.exe est mentionné.
f. Sélectionnez Fichier (File) > Quitter le Gestionnaire des tâches (Exit Task
Manager) pour fermer le Gestionnaire des tâches de Windows.
2. Importez un cube Essbase dans le référentiel.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Sélectionnez File > Import Metadata.
c. Sélectionnez le type de connexion Essbase.
d. Entrez localhost pour Essbase Server.
e. Entrez le nom utilisateur admin et le mot de passe essbase.
f. Cliquez sur Next.
g. Développez localhost et sélectionnez Forecast. Assurez-vous que localhost n'est
pas sélectionné.
h. Cliquez sur le bouton Import selected pour ajouter les tables sélectionnées au
volet Repository View.
i. Développez localhost dans le volet Repository View et vérifiez que l'objet Forecast
a été ajouté.
e. Supprimez toutes les colonnes de la table logique Time sauf Time Total et Month
Code.
c. Enregistrez le référentiel.
d. Procédez à une vérification de cohérence. Vous devriez recevoir un message
confirmant que le modèle de gestion Forecast est cohérent. Cliquez sur Yes pour
mettre ce domaine à la disposition des requêtes.
e. Assurez-vous que la vérification de cohérence n'a généré ni erreurs, ni avertissements.
f. Fermez le référentiel.
g. Laissez Administration Tool ouvert.
e. Cliquez sur Results. Les chiffres d'affaires prévisionnels (Forecast Dollars) sont
affichés par type de produit (Product Type) et code de mois (Month Code).
f. Vérifiez le journal des requêtes. Observez que la requête a été envoyée à la source
de données Essbase.
Scénario
La fédération horizontale fournit la possibilité de créer des rapports qui affichent des
données provenant à la fois de sources multidimensionnelles et de sources relationnelles.
Dans l'exercice précédent, vous avez importé un cube Essbase et examiné les résultats
d'une analyse. Dans cet exercice, vous allez ajouter des objets de la source de données
relationnelle Supplier Sales au modèle de gestion Essbase de manière à pouvoir créer un
rapport qui compare le chiffre d'affaires prévisionnel au chiffre d'affaires réel.
Durée
15 minutes
Tâches
1. Ajoutez une source de table logique et une colonne logique à la table logique
Fact-Forecast pour établir une relation entre la source Essbase et la source
relationnelle dans le modèle de gestion.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans le modèle de gestion Forecast, développez Fact-Forecast > Sources et
observez qu'il n'existe qu'une source de table logique (Forecast) pour cette table.
c. Faites glisser la colonne SUPPLIER2 > Fact_D1_ORDER_AGG1 > DOLLARS
de la couche Physical vers la table logique (et non la source de table logique)
Fact-Forecast dans la couche BMM. Vous ajoutez ainsi une source de table
logique nommée Fact_D1_ORDER_AGG1 et une colonne logique nommée
DOLLARS à la table logique Fact-Forecast.
2. Ajoutez une source de table logique et une colonne logique à la table logique Product
pour établir une relation entre la source Essbase et la source relationnelle dans le
modèle de gestion.
a. Dans le modèle de gestion Forecast, remplacez le nom de la table logique (et non
de la dimension logique) Product par Dim-Product.
b. Dans la couche BMM, développez Forecast > Dim-Product > Sources. Notez qu'il
existe actuellement une seule source de table logique pour Dim-Time : Forecast.
c. Faites glisser la colonne physique Dim_D1_PRODUCT_TYPE_AGG > ITEMTYPE
de la couche Physical jusqu'à la colonne logique Forecast > Dim-Product >
Product Type.
d. La table logique Dim-Product est désormais rattachée à deux sources logiques :
Forecast et Dim_D1_PRODUCT_TYPE_AGG.
e. Cliquez deux fois sur la source de table logique Dim_D1_PRODUCT_TYPE_AGG
pour ouvrir la boîte de dialogue Logical Table Source.
f. Cliquez sur l'onglet Column Mapping et vérifiez que la colonne logique Product
Type est mappée avec la colonne physique ITEMTYPE de la table physique
Dim_D1_PRODUCT_TYPE_AGG dans le schéma SUPPLIER2.
g. Fermez la boîte de dialogue Logical Table Source.
h. Ouvrez la source de table logique Forecast et observez que les colonnes logiques
restantes sont mappées avec les colonnes du cube Essbase. Product Type est
désormais mappée avec deux colonnes physiques appartenant à deux sources de
données physiques différentes : une source multidimensionnelle Essbase et une
source relationnelle Oracle.
i. Fermez la boîte de dialogue Logical Table Source.
3. Ajoutez une source de table logique et une colonne logique à la table logique Time pour
établir une relation entre la source Essbase et la source relationnelle dans le modèle de
gestion.
a. Remplacez le nom de la table logique Time par Dim-Time.
b. Dans la couche BMM, développez Forecast > Dim-Time > Sources. Notez qu'il
existe actuellement une seule source de table logique pour Dim-Time : Forecast.
c. Faites glisser la colonne physique Dim_MONTHS_AGG > MONTHCODE de la
couche Physical jusqu'à la colonne logique Forecast > Dim-Time > Month Code.
Scénario
La fédération verticale permet de créer des rapports dans lesquels il est possible d'effectuer
des explorations vers des données de détail relationnelles à partir de données agrégées
Essbase. Dans cet exercice, vous allez développer le modèle de gestion pour y inclure une
fédération verticale de sources Essbase et relationnelles.
Durée
30 minutes
Tâches
1. Importez un autre cube Essbase dans le référentiel.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Développez Essbase dans la couche Physical.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur Connection Pool et sélectionnez
Import Metadata.
d. Développez localhost et sélectionnez Market. Assurez-vous que localhost n'est
pas sélectionné.
e. Cliquez sur le bouton Import selected pour ajouter les tables sélectionnées au
volet Repository View.
f. Développez Essbase dans le volet Repository View et vérifiez que l'objet Market a
été ajouté.
g. Cliquez sur Finish pour ajouter la source de données au référentiel.
h. Dans la couche Physical, développez Essbase pour vérifier la présence de l'objet
Market.
i. Développez l'objet Market dans la couche Physical et examinez sa structure.
Ce cube agrège les données sur les ventes (chiffre d'affaires) selon deux
dimensions : Area et Time. La hiérarchie Area comprend trois niveaux : Area Total,
Region et District. La dimension Time comprend les niveaux Time Total et Year.
La seule mesure est Market Dollars.
j. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur MarketDB et sélectionnez Convert
measure dimension to flat measures. La mesure Market Dollars devient ainsi
visible.
k. Cliquez deux fois sur la colonne YR pour ouvrir la boîte de dialogue Physical Cube
Column.
l. Entrez la valeur DOUBLE dans le champ Type et cliquez sur OK.
f. Enregistrez le référentiel.
g. Cliquez sur No lorsqu'un message vous propose de vérifier la cohérence globale.
L'aspect important à noter ici est que la source relationnelle ne peut pas hériter de
la hiérarchie Area de la source Essbase parce qu'il n'est pas possible de créer des
jointures physiques entre une source Essbase et une source relationnelle. Vous
devez donc définir physiquement cette hiérarchie pour permettre les explorations
vers le bas. En l'occurrence, il faut que la source relationnelle comprenne les
colonnes Region, District et Sales Rep pour que l'utilisateur puisse passer des
données Region et District du cube Essbase aux données Sales Rep de la source
relationnelle. Dans les étapes précédentes, vous avez modifié la hiérarchie Area
afin de permettre cette exploration descendante à travers tous les niveaux de la
hiérarchie. Grâce à cette technique, l'utilisateur peut passer des données agrégées
d'un cube Essbase aux données de détail d'une source relationnelle.
10. Affectez les niveaux logiques à la table logique Dim-Area.
a. Développez Dim-Area > Sources.
b. Cliquez deux fois sur la source de table logique Fact_D1_SALESREPS_AGG pour
ouvrir la boîte de dialogue Logical Table Source.
c. Cliquez sur l'onglet Column Mapping. Vous devez voir à la fois les colonnes
mappées et non mappées. Notez également que toutes les colonnes logiques,
sauf Area Total, sont mappées avec des colonnes physiques de la table
relationnelle Fact_D1_SALESREPS_AGG.
i. Vérifiez le journal des requêtes. Constatez que comme prévu, les données ont été
extraites de la source relationnelle.
Scénario
Vous ajoutez une mesure de prévisions provenant d'un cube Essbase à la table Fact-Sales
du modèle de gestion SupplierSales.
Durée
15 minutes
Tâches
1. Ajoutez une source de table logique à la table logique Dim-Product.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier
du référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Dans la couche Physical, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Essbase et
sélectionnez Expand All.
c. Dans la couche Business Model and Mapping, développez SupplierSales >
Dim-Product.
d. Faites glisser la colonne Product Type depuis Forecast dans la couche Physical
jusqu'à la colonne Type de la table Dim-Product. Vous créez ainsi une source de
table logique nommée Forecast pour la table logique Dim-Product.
2. Ajoutez une source de table logique à la table logique Dim-Time.
a. Dans la couche Business Model and Mapping, développez SupplierSales >
Dim-Time.
b. Faites glisser la colonne Month Code depuis Forecast dans la couche Physical
jusqu'à la colonne Month Code de Dim-Time. Vous créez ainsi une source de table
logique nommée Forecast pour la table logique Dim-Time.
3. Ajoutez une colonne logique et une source de table logique à la table logique Fact-
Sales.
a. Dans la couche Business Model and Mapping, développez SupplierSales >
Fact-Sales.
b. Faites glisser la colonne Forecast Dollars depuis Forecast dans la couche
Physical jusqu'à la table logique Fact-Sales. Vous créez ainsi une colonne logique
nommée Forecast Dollars et une source de table logique nommée Forecast pour
la table logique Fact-Sales.
c. Cliquez deux fois sur la colonne logique Forecast Dollars.
d. Cliquez sur l'onglet Aggregation et sélectionnez la règle d'agrégation SUM.
e. Cliquez sur OK.
f. Faites glisser Forecast Dollars jusqu'à SupplierSales > Fact-Sales dans la
couche Presentation.
f. Vérifiez le journal des requêtes. Comme prévu, la requête a extrait des données de
la source Essbase et de la source relationnelle.
Scénario
Lors de l'installation, trois contrôles de sécurité Oracle BI sont préconfigurés avec des
valeurs initiales pour constituer le modèle de sécurité par défaut. Les contrôles de sécurité
comprennent notamment les éléments décrits ci-après :
• Un serveur d'annuaire intégré fonctionnant comme une banque d'identités stocke
toutes les définitions d'utilisateur et de groupe nécessaires pour gérer
l'authentification.
• Une banque de stratégies stocke dans des fichiers les associations entre
rôles/autorisations et utilisateurs ou groupes d'utilisateurs qui permettent de gérer
la procédure d'autorisation.
• Une banque d'identifiants de connexion constituée de fichiers stocke toutes les
informations d'identification et de connexion (credentials) associées aux utilisateurs
et au système qui sont nécessaires aux processus d'authentification et
d'autorisation.
Avant d'implémenter la sécurité d'accès aux données dans le référentiel Oracle BI,
vous allez examiner ces paramètres de sécurité par défaut.
Durée
10 minutes
Tâches
1. Connectez-vous à WebLogic Server Administration Console. Cette console sert à
administrer les utilisateurs et les groupes pour le serveur LDAP intégré qui sert de
banque d'identités prédéfinie.
a. Ouvrez un nouvel onglet dans le navigateur et entrez l'URL suivante :
http://localhost:7001/console.
b. Connectez-vous en tant que weblogic avec le mot de passe welcome1. Pendant
l'installation, vous devez fournir le nom utilisateur et le mot de passe à utiliser en
tant qu'administrateur Oracle BI. Dans l'environnement de ce cours, le nom
utilisateur de l'administrateur est weblogic. Il s'agit d'un choix arbitraire. Le nom
utilisateur de l'administrateur n'est soumis à aucune contrainte particulière. Cet
utilisateur bénéficie de privilèges d'administration sur l'ensemble des composants
Oracle Business Intelligence (OBI), à savoir le référentiel OBI, le catalogue de
présentation OBI, BI Publisher, RTD, Essbase, la banque d'identités dans
WebLogic et la banque de stratégies dans Fusion Middleware.
2. Explorez les paramètres par défaut des fournisseurs dans le profil de sécurité
WebLogic.
a. Dans le volet de gauche, la section Domain Structure mentionne un seul domaine
WebLogic, bifoundation_domain, dans lequel toutes les applications OBI sont
déployées.
b. Cliquez sur Security Realms.
Les rôles d'application par défaut décrits précédemment sont mappés avec les
groupes prédéfinis dans le serveur LDAP WebLogic par défaut. Ces groupes sont
répertoriés dans la colonne Members. Si vous adoptez un serveur LDAP différent du
serveur LDAP WebLogic par défaut, vous pouvez mapper les rôles d'application par
défaut avec les groupes du nouveau serveur. Les rôles d'application se trouvent dans
la banque de stratégies tandis que les groupes se trouvent dans la banque d'identités.
6. Examinez les stratégies d'application par défaut.
a. Dans le volet de gauche, cliquez avec le bouton droit de la souris sur
coreapplication et sélectionnez Security > Application Policies.
b. Par défaut, obi est sélectionné dans le champ Application Stripe et les stratégies par
défaut sont affichées. La banque de stratégies par défaut est alimentée par les
autorisations propres à Oracle BI. Elle les contient toutes et vous ne pouvez pas en
ajouter de nouvelles. Ces droits sont accordés par les rôles d'application par défaut
définis dans la configuration de sécurité par défaut. La hiérarchie de rôles
d'application par défaut et les autorisations prédéfinies peuvent être modifiées si
nécessaire. Notez également que ces autorisations sont différentes de celles utilisées
pour définir l'accès aux objets Oracle BI (métadonnées, tableaux de bord, rapports,
etc.). La banque de stratégies sert uniquement à définir les fonctionnalités Oracle BI
auxquelles les rôles attribués permettent d'accéder. Par exemple, le rôle
BIAdministrator confère le droit de gérer les référentiels.
i. Cliquez sur l'onglet Application Roles pour afficher tous les rôles d'application
de la banque de stratégies. Comme vous le verrez plus loin dans cette série
d'exercices, vous pouvez désormais utiliser les rôles d'application pour définir des
contrôles d'accès aux objets du référentiel. Il est recommandé d'appliquer les
contôles d'accès à des rôles d'application plutôt qu'à des utilisateurs individuels.
j. Sélectionnez Action > Close pour fermer Identity Manager sans apporter
de modification.
k. Fermez le référentiel.
l. Laissez Administration Tool ouvert.
Scénario
Les groupes sont des ensembles ordonnés logiques d'utilisateurs. Il est plus efficace de
gérer un groupe qu'un grand nombre d'utilisateurs individuels. Oracle conseille de
commencer par organiser tous les utilisateurs Oracle BI en groupes reflétant l'organisation,
puis de mapper ces groupes avec des rôles d'application pour leur conférer les privilèges
système appropriés. La banque d'identités par défaut qui est fournie pour gérer les
utilisateurs et les groupes est le serveur d'annuaire intégré d'Oracle WebLogic Server.
Pour créer des utilisateurs et des groupes, vous utilisez l'interface WebLogic Server
Administration Console.
Durée
10 minutes
Tâches
1. Créez des groupes.
a. Retournez dans WebLogic Server Administration Console (la console doit être
encore ouverte dans un onglet du navigateur). Si nécessaire, indiquez l'URL
http://localhost:7001/console et connectez-vous avec les identifiants
weblogic/welcome1.
b. Cliquez sur Security Realms.
c. Cliquez sur myrealm.
d. Cliquez sur Users and Groups.
e. Cliquez sur le sous-onglet Groups.
f. Cliquez sur le bouton New et créez les trois groupes suivants :
Nom (Name) Description Fournisseur (Provider)
SalesManagersGroup Sales Managers Group DefaultAuthenticator
SalesSupervisorsGroup Sales Supervisors Group DefaultAuthenticator
SalesAssociatesGroup Sales Associates Group DefaultAuthenticator
g. Cliquez sur Next en bas du tableau Groups et vérifiez que les nouveaux groupes
apparaissent.
Scénario
Un rôle d'application confère les droits qui le définissent aux utilisateurs, aux groupes et aux
autres rôles d'application avec lesquels il est mappé. Le mapping avec un rôle d'application
établit l'appartenance à ce rôle. Le fait de lier à un rôle d'application les droits accordés
rationalise le processus d'octroi des privilèges système. Une fois que vous avez défini les
rôles d'application et les droits qu'ils confèrent, vous contrôlez les privilèges système en
gérant l'appartenance aux différents rôles. Oracle recommande de mapper les groupes avec
des rôles d'application plutôt qu'avec des utilisateurs individuels. Quand un groupe est
mappé avec un rôle, tous ses membres disposent des mêmes droits. Il est plus simple de
contrôler l'appartenance aux groupes que de contrôler les droits d'accès d'un grand nombre
d'utilisateurs individuels. Vous utilisez Fusion Middleware Control pour créer des rôles
d'application.
Durée
20 minutes
Tâches
1. Créez de nouveaux rôles d'application.
a. Retournez à Fusion Middleware Control qui doit être resté ouvert dans un onglet
de votre navigateur. Si nécessaire, entrez l'URL http://localhost:7001/em et
connectez-vous en tant qu'utilisateur weblogic avec le mot de passe welcome1.
b. Dans le volet de gauche, développez Business Intelligence > coreapplication.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur coreapplication et sélectionnez
Security > Application Roles.
d. Par défaut, obi est sélectionné dans le champ Application Stripe et les rôles
d'application par défaut sont affichés.
e. Cliquez sur Create.
f. Dans le champ Role Name, entrez SalesManagersRole.
g. Dans le champ Display Name, entrez Sales Managers Role.
h. Cliquez sur Add Group pour ouvrir la boîte de dialogue Add Group.
i. Cliquez sur la flèche bleue en regard du champ Group Name pour afficher la liste
des groupes disponibles dans la banque d'identités.
Cela signifie que tout membre du groupe sélectionné est affecté au rôle
d'application SalesManagersRole et reçoit tous les droits et privilèges associés.
Il est possible d'affecter des utilisateurs individuels à un rôle, mais Oracle
recommande d'affecter des groupes. Dans notre exemple, Jose Cruz devient
membre du rôle d'application SalesManagersRole parce qu'il appartient au groupe
SalesManagersGroup.
k. Cliquez sur OK.
l. Cliquez sur OK à nouveau pour retourner à la liste des rôles d'application.
m. Vérifiez que SalesManagersRole y figure avec SalesManagersGroup comme
membre.
n. Réitérez la procédure pour créer les rôles suivants, avec les membres indiqués.
(Notez que vous ajoutez un groupe et deux rôles d'application au rôle d'application
SalesAssociatesRole.)
Rôle d'application Membres
SalesSupervisorsRole SalesSupervisorsGroup
SalesAssociatesRole SalesAssociatesGroup
SalesSupervisorsRole
SalesManagersRole
Comme pour les groupes que vous avez créés dans la banque d'identités WebLogic,
vous disposez désormais d'une hiérarchie de rôles d'application dans la banque de
stratégies. Autrement dit, les rôles SalesSupervisorsRole et SalesManagersRole
héritent de tous les privilèges ou droits affectés au rôle d'application
SalesAssociatesRole. Quelle est la différence entre les utilisateurs et les groupes
créés dans la banque d'identités du serveur LDAP WebLogic et les rôles d'application
créés dans la banque de stratégies ? Le serveur LDAP WebLogic gère des
utilisateurs et des groupes. Un rôle d'application est un rôle logique qui peut être
utilisé au sein de l'application pour sécuriser un contenu indépendamment de tout
serveur LDAP et des utilisateurs et groupes gérés par ce dernier. Les règles de
sécurité sont établies à l'aide de rôles d'application. Même si l'environnement LDAP
sous-jacent change, ces règles persistent. Dans un environnement LDAP différent,
où les noms utilisateur et les noms de groupe peuvent être différents, vous pouvez
mapper les rôles d'application avec d'autres groupes ou utilisateurs sans affecter la
structure de sécurité qui repose sur ces rôles.
2. Vérifiez que les nouveaux utilisateurs et rôles d'application sont visibles dans Oracle BI.
a. Connectez-vous à Oracle BI avec le nom utilisateur JCRUZ et le mot de passe
JoseCruz1.
b. Dans le coin supérieur droit de l'écran, sélectionnez JCRUZ > My Account.
c. Cliquez sur l'onglet Roles and Catalog Groups.
d. Vérifiez que les nouveaux rôles d'application sont répertoriés.
Jose Cruz appartient au groupe Sales Managers qui est membre du rôle
d'application Sales Managers Role. Il appartient aussi au groupe Sales Supervisors
qui est membre du rôle d'application Sales Supervisors Role. Comme ces deux
rôles sont membres du rôle Sales Associates Role, Jose Cruz l'est également. Par
défaut, tous les utilisateurs d'Oracle BI sont aussi membres du groupe par défaut
Authenticated Users et du rôle d'application par défaut BIConsumer. Notez enfin
que vous avez aussi ajouté Jose Cruz au rôle d'application BI Author Role.
Alan Ziff appartient au groupe Sales Associates, lequel est membre du rôle
d'application Sales Associates Role. Il n'est pas membre des deux autres rôles de
la hiérarchie parce que Sales Associates Role est le rôle d'application le plus élevé.
j. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue My Account.
k. Déconnectez-vous d'Oracle BI. Les rôles d'application remplissent toutes sortes de
fonctions, que ce soit dans les environnements de développement ou dans les
environnements de production. Dans un environnement de développement, les
développeurs peuvent recevoir un ou plusieurs rôles. Une approche consiste à
créer des rôles qui seront utilisés dans l'environnement de production final, puis de
mapper les développeurs avec ces rôles pour leur permettre de créer, d'administrer
et de tester l'environnement de développement. Vous pouvez également utiliser les
rôles d'application logiques pour sécuriser l'accès aux objets et aux données du
référentiel, comme vous le verrez dans l'exercice suivant. Les rôles d'application
permettent donc de contrôler l'accès aux objets comme aux fonctionnalités du
produit. L'intérêt des rôles d'application tient au fait que vous pouvez transférer le
système que vous avez créé dans un autre environnement sans avoir à redéfinir
toute la sécurité. Par exemple, il n'est pas nécessaire de modifier les paramètres de
sécurité dans le domaine de présentation ou dans le référentiel. Il suffit de mapper
les rôles d'application avec le nouvel environnement.
Scénario
Vous pouvez configurer des droits (autorisations) sur les objets du référentiel afin de
contrôler l'accès aux objets des couches Presentation et Business Model and Mapping.
A cet effet, vous utilisez Administration Tool. Vous avez le choix entre deux approches :
définir des autorisations pour des utilisateurs ou des rôles d'application particuliers dans
Identity Manager ou pour des objets individuels de la couche Presentation. Vous utiliserez
les deux approches dans cet exercice. Il est utile de configurer des droits sur les objets
pour des utilisateurs individuels ou des rôles d'application lorsque vous voulez définir des
autorisations sur un grand nombre d'objets à la fois. Bien qu'il soit possible de configurer des
droits sur les objets pour des utilisateurs individuels, il est recommandé de les affecter à des
rôles d'applications particulier.
Durée
30 minutes
Tâches
1. Vérifiez que les utilisateurs et les rôles d'application sont visibles dans le référentiel.
a. Retournez dans Fusion Middleware Control et redémarrez les composants
Oracle BI.
b. Ouvrez le référentiel en mode connexion (online) avec welcome1 comme mot de
passe pour le référentiel et l'utilisateur.
c. Sélectionnez Manage > Identity.
d. Sélectionnez Identity Management > BI Repository dans le volet de gauche.
e. Sélectionnez Action > Set Online User Filter.
f. Entrez un astérisque dans le champ et cliquez sur OK.
g. Dans l'onglet Users, vérifiez que les utilisateurs que vous avez créés dans la
banque d'identités sont désormais répertoriés.
2. Définissez des droits pour un objet du référentiel. Il est recommandé d'effectuer les
tâches concernant la sécurité d'accès aux données dans Administration Tool en mode
connexion (online). Si vous êtes obligé d'effectuer ces tâches en mode hors connexion
(offline), notez bien que vous n'en verrez les résultats qu'après avoir effectué les
modifications en mode connexion.
a. Cliquez deux fois sur le rôle d'application SalesAssociatesRole.
b. Cliquez sur Yes pour l'examiner.
c. Vous devez voir les rôles d'application et les utilisateurs affectés à ce rôle.
Les membres de ces rôles sont indirectement membres du rôle parent
SalesAssociatesRole.
Jose Cruz bénéficie de droits contradictoires via deux rôles d'application. Le rôle
Sales Supervisors Role l'autorise à accéder en lecture à la table Customer.
Le rôle Sales Managers Role lui interdit tout accès à la table Customer. Dans
ces conditions, Jose Cruz peut-il accéder à la table de présentation Customer ?
Vous pourrez vérifier votre réponse dans les étapes suivantes.
l. Cliquez sur Cancel.
m. Validez les modifications.
n. Procédez à une vérification de cohérence. Effectuez les corrections nécessaires
pour éliminer les messages d'erreur et les avertissements avant de continuer.
o. Enregistrez le référentiel.
p. Fermez le référentiel.
q. Cliquez sur OK.
r. Laissez Administration Tool ouvert.
7. Testez votre travail dans Analysis Editor.
a. Connectez-vous à Oracle BI en tant que weblogic avec le mot de passe
welcome1 et rechargez les métadonnées du serveur pour le domaine
SupplierSales.
b. Déconnectez-vous, puis reconnectez-vous en tant qu'utilisateur JCRUZ avec le mot
de passe JoseCruz1.
c. Cliquez sur Analysis.
d. Sélectionnez le domaine SupplierSales.
Scénario
Les filtres de données permettent d'appliquer des règles de sécurité au niveau ligne dans le
référentiel. Vous les configurez dans le référentiel à l'aide d'Administration Tool, puis vous
les associez à un utilisateur ou un rôle d'application particulier.
Il est possible de définir des filtres de données pour les objets des couches Business Model
and Mapping (BMM) et Presentation. L'application d'un filtre à un objet de la couche BMM
affecte tous les objets de la couche Presentation qui utilisent cet objet. Si vous définissez
un filtre sur un objet de la couche Presentation, il est appliqué en plus de tous les filtres
éventuellement définis sur les objets logiques sous-jacents. Il est recommandé de configurer
des filtres de données pour des rôles d'application plutôt que pour des utilisateurs
individuels.
Dans cet exercice, vous définissez un filtre sur la table de présentation Customer pour
qu'elle fournisse uniquement les enregistrements où le vendeur est Jose Cruz ou l'un de
ses subordonnés directs.
Durée
15 minutes
Tâches
1. Définissez un filtre de données pour la table de présentation Customer.
a. Retournez dans Administration Tool et ouvrez le référentiel ABC en mode
connexion (online).
b. Ouvrez Identity Manager.
c. Sélectionnez l'onglet Application Roles.
d. Cliquez deux fois sur SalesSupervisorsRole pour ouvrir la boîte de dialogue
Application Role associée.
e. Cliquez sur Check Out.
f. Cliquez sur Permissions pour ouvrir la boîte de dialogue User/Application Role
Permissions.
g. Cliquez sur l'onglet Data Filters.
h. Cliquez sur le champ Name pour ouvrir la boîte de dialogue Browse.
i. Sélectionnez la table de présentation SupplierSales > Customer pour revenir
à la boîte de dialogue User/Application Role Permissions.
j. Cliquez sur le champ Data Filter.
k. Cliquez sur le bouton Edit Expression pour ouvrir Expression Builder.
l. Créez l'expression suivante, qui filtre les données de la table de présentation
Customer pour qu'elle fournisse uniquement les enregistrements où le vendeur est
Jose Cruz ou l'un de ses subordonnés directs :
"SupplierSales"."Dim-Customer"."Sales Rep" = 'JOSE CRUZ' OR
"SupplierSales"."Dim-Customer"."Sales Rep" = 'ALAN ZIFF' OR
"SupplierSales"."Dim-Customer"."Sales Rep" = 'BETTY NEWER'
Scénario
Vous pouvez gérer l'environnement de traitement des requêtes en définissant des limites sur
ces dernières dans le référentiel, pour des utilisateurs ou des rôles d'application. Pour éviter
que les requêtes ne consomment trop de ressources, vous souhaitez limiter leur durée
d'exécution et le nombre de lignes renvoyées. Par ailleurs, vous souhaitez limiter la période
pendant laquelle les utilisateurs pourront effectuer des recherches dans les bases de
données, afin d'éviter l'exécution de requêtes lorsque les ressources système sont très
sollicitées pour la création de rapports en mode batch, la mise à jour de tables ou d'autres
tâches de production. Dans cet exercice, vous allez limiter le nombre maximum de lignes
renvoyées à 5 et la durée maximum d'exécution des requêtes à 1 minute, puis vous
interdirez l'accès à la base de données le dimanche entre minuit et 7 heures.
Il est recommandé de configurer les limites sur les requêtes pour des rôles d'application
plutôt que pour des utilisateurs individuels.
Durée
20 minutes
Tâches
1. Interdisez les requêtes qui risquent de consommer trop de ressources système pour le
rôle d'application SalesSupervisorsRole.
a. Retournez dans Fusion Middleware Control et redémarrez les composants
Oracle BI.
b. Retournez dans Administration Tool et ouvrez le référentiel ABC en mode
connexion (online).
c. Ouvrez Identity Manager.
d. Sélectionnez l'onglet Application Roles.
e. Cliquez deux fois sur SalesSupervisorsRole pour ouvrir la boîte de dialogue
Application Role associée.
f. Cliquez sur Check Out.
g. Cliquez sur Permissions.
h. Cliquez sur l'onglet Query Limits.
i. Portez la valeur de Max Rows à 5 pour la base de données orcl. Ce paramètre
indique le nombre maximum de lignes qu'une requête peut extraire de la base orcl
pour les membres du rôle sélectionné, SalesSupervisorsRole en l'occurrence.
A cause du filtre, la requête n'a renvoyé que cinq lignes, ce qui reste dans la limite
autorisée.
h. Déconnectez-vous d'Oracle BI.
Scénario
Après avoir activé la mise en cache des requêtes à l'aide de Fusion Middleware Control,
vous utilisez la fonctionnalité Cache Manager de l'interface Oracle BI Administration Tool
pour examiner les entrées du cache ainsi que les succès et échecs en mémoire cache.
Durée
25 minutes
Tâches
1. Définissez des niveaux de journalisation pour les utilisateurs afin d'être en mesure
d'effectuer un suivi des requêtes dans les fichiers journaux.
a. Ouvrez le référentiel ABC en mode connexion (online) avec le nom utilisateur
weblogic et le mot de passe welcome1.
b. Sélectionnez Manage > Identity pour ouvrir Identity Manager.
c. Dans le volet de gauche, sélectionnez Identity Management > BI Repository.
d. Sélectionnez Action > Set Online User Filter.
e. Entrez un astérisque dans le champ et cliquez sur OK pour extraire les utilisateurs.
f. Dans le volet de droite, cliquez deux fois sur JCRUZ pour ouvrir la boîte de
dialogue User affichant les propriétés de cet utilisateur.
g. Indiquez le niveau de journalisation 2 et cliquez sur OK.
h. Cliquez sur Check Out.
i. Procédez de la même manière pour affecter le niveau de journalisation 2 à
l'utilisateur AZIFF.
j. Fermez Identity Manager.
k. Validez les modifications.
l. Enregistrez le référentiel.
m. Fermez le référentiel.
n. Cliquez sur OK.
2. Activez la mise en mémoire cache des requêtes.
a. Retournez dans Fusion Middleware Control et connectez-vous en tant qu'utilisateur
weblogic avec le mot de passe welcome1.
b. Dans le volet de gauche, développez Business Intelligence.
c. Cliquez sur coreapplication.
d. Cliquez sur Capacity Management.
e. Cliquez sur l'onglet Performance.
f. Cliquez sur Lock and Edit Configuration.
Explication : Si une requête porte uniquement sur des dimensions (c'est-à-dire qu'elle
n'inclut ni fait, ni mesure), elle ne peut obtenir un succès en mémoire cache qu'en cas
de correspondance exacte des colonnes de projection. Ce mécanisme permet d'éviter
les fausses correspondances lorsqu'une table de dimension a plusieurs sources
logiques. Dans cet exemple, seules les colonnes Type et Generic trouvent une
correspondance dans la requête en mémoire cache qui en comprenait trois :
Type, Generic et Price.
e. Ne fermez pas Cache Manager.
f. Laissez le référentiel ABC ouvert en mode connexion.
10. Créez et exécutez une nouvelle analyse.
a. Retournez dans Analysis Editor et exécutez l'analyse suivante en tant qu'utilisateur
AZIFF dans le domaine SupplierSales :
b. Actualisez l'affichage dans Cache Manager et vérifiez que votre analyse a créé une
nouvelle entrée en mémoire cache (il n'y a donc pas eu succès en mémoire cache).
d. Retournez dans Cache Manager et sélectionnez Action > Refresh. Une nouvelle
entrée a été enregistrée en mémoire cache pour l'utilisateur AZIFF (il n'y a pas eu
succès en mémoire cache par rapport à la requête précédente).
f. Actualisez l'affichage dans Cache Manager. Remarquez que la colonne "Last used"
a été mise à jour pour la deuxième requête de l'utilisateur AZIFF, ce qui indique un
succès en mémoire cache.
l. Actualisez l'affichage dans Cache Manager. Notez qu'une nouvelle entrée a été
créée dans le cache.
Explication : Pour qu'il y ait succès en mémoire cache, il faut que la requête du
cache contienne toutes les colonnes incluses dans la liste SELECT de la nouvelle
requête ou qu'elle permette de les calculer. En l'occurrence, la colonne Customer
ne figurait pas dans la requête en mémoire cache.
Scénario
Vous utilisez Cache Manager pour examiner les paramètres du cache. Vous modifiez
ensuite le nombre maximum de lignes par entrée et le nombre maximum d'entrées. Par
ailleurs, vous désactivez la mise en mémoire cache pour certaines tables.
Résultat
Diminution du nombre de lignes par entrée et du nombre maximum d'entrées dans le cache
Durée
20 minutes
Tâches
1. Affichez les informations générales sur la mémoire cache dans Cache Manager.
a. Dans Cache Manager, sélectionnez Action > Show Info pour afficher des
informations générales sur la mémoire cache. Vos résultats doivent être similaires
à la capture d'écran ci-après :
Scénario
Vous avez identifié des requêtes qui sont fréquemment utilisées par les commerciaux.
Pour améliorer les performances, vous souhaitez amorcer le cache avec les données
correspondantes. Dans cet exercice, vous devez créer et enregistrer une requête pour
alimenter le cache, puis créer un agent pour amorcer le cache. Lors de ce processus,
vous utilisez un appel ODBC par programmation pour purger le cache.
Durée
15 minutes
Tâches
1. Créez une requête pour amorcer le cache.
a. Retournez dans la session Analysis Editor où vous devriez être encore connecté
en tant qu'utilisateur weblogic avec le mot de passe welcome1.
b. Créez l'analyse suivante dans le domaine SupplierSales :
f. Cliquez sur Home pour afficher la page d'accueil d'Oracle BI Enterprise Edition.
g. Retournez au référentiel ABC qui doit être encore ouvert en mode connexion.
h. Ouvrez Cache Manager et vérifiez que la mémoire cache ne contient aucune
entrée.
i. Ne fermez pas Cache Manager.
3. Créez et planifiez un agent pour amorcer le cache avec la requête enregistrée. Il est
courant de planifier un agent qui s'exécute immédiatement après un chargement
quotidien pour réamorcer le cache. Par exemple, le data warehouse est chargé à minuit
et le cache est purgé pendant ou après le chargement, puis réamorcé par un agent. En
l'occurrence, vous lancerez l'agent immédiatement.
a. Retournez à la page d'accueil Oracle BIEE Home.
b. Sous Actionable Intelligence, cliquez sur Agent.
c. Cliquez sur l'onglet Schedule.
d. Dans le champ Frequency, sélectionnez Once.
m. Enregistrez l'agent sous le nom Cache Seed Agent dans My Folders. L'agent est
ainsi exécuté immédiatement par Oracle BI Scheduler.
4. Vérifiez votre travail.
a. Retournez dans Oracle BI Administration Tool. Le référentiel ABC doit encore y être
ouvert en mode connexion.
b. Dans Cache Manager, sélectionnez Action > Refresh.
c. Vérifiez qu'il existe une entrée en mémoire cache pour l'utilisateur weblogic.
Cliquez avec le bouton droit de la souris sur cette entrée et sélectionnez Show
SQL pour vérifier qu'il s'agit de la requête escomptée. Vous avez réussi à amorcer
la mémoire cache des requêtes à l'aide d'un agent. Les agents d'amorçage de
cache se différencient des autres agents par le fait qu'ils nettoient automatiquement
la mémoire cache précédente et n'apparaissent pas en tant qu'alertes dans le
tableau de bord. Notez que les agents d'amorçage du cache ne purgent que les
requêtes parfaitement identiques. Il est donc possible que des données obsolètes
subsistent en mémoire cache. Une stratégie de mise en mémoire cache doit
toujours inclure des procédures de purge, pour la bonne raison que les agents ne
prennent pas en compte les requêtes ad hoc ni les explorations de niveaux plus
détaillés.
d. Cliquez sur Close pour fermer la fenêtre SQL.
e. Fermez Cache Manager.
f. Fermez le référentiel.
g. Cliquez sur OK.
h. Laissez Administration Tool ouvert.
Copyright © 2011, Oracle et/ou ses affiliés. Tous droits réservés.
Scénario
Oracle BI Server prend en charge la collecte de statistiques de suivi d'utilisation qui peuvent
être utilisées à différentes fins telles que l'optimisation de la base de données, le choix des
stratégies d'agrégation, ou la facturation des utilisateurs ou des services en fonction des
ressources consommées. Oracle BI Server assure le suivi de l'utilisation au niveau détaillé
des requêtes. ABC veut surveiller les requêtes générées par les utilisateurs pour identifier
les points à améliorer. Vous utilisez la méthode recommandée qui consiste à insérer les
statistiques directement dans une table de base de données plutôt que dans un fichier
journal. Vous créez la table de base de données nécessaire à l'aide d'un des scripts fournis,
vous modifiez le fichier NQSConfig.ini pour prendre en charge le suivi d'utilisation,
puis vous testez les résultats.
Durée
30 minutes
Tâches
1. Utilisez l'un des scripts fournis pour créer la table de suivi d'utilisation S_NQ_ACCT.
Cette table stocke les données de suivi d'utilisation générées lors de la soumission
de requêtes à Oracle BI Server.
a. Cliquez deux fois sur l'icône SQL*Plus sur le bureau pour démarrer Oracle
SQL*Plus.
b. Connectez-vous à l'hôte orcl en tant que supplier2 avec le mot de passe
supplier2.
c. A l'invite SQL, entrez :
start
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponen
t\coreapplication_obis1\schema\SAACCT.Oracle.sql;
Conseil : Ouvrez l'emplacement dans l'Explorateur Windows et copiez
l'emplacement et le nom de fichier, puis collez ces informations dans SQL*Plus.
d. Appuyez sur Entrée. Assurez-vous que la table et trois index sont créés.
f. Quittez SQL*Plus.
2. Créez un objet de base de données pour le suivi d'utilisation.
a. Ouvrez le référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe
welcome1.
b. Cliquez avec le bouton droit de la souris dans l'espace vide de la couche Physical
et sélectionnez New Database pour ouvrir la boîte de dialogue de propriétés
Database.
c. Cliquez sur l'onglet General et attribuez à la base de données le nom ABC Usage
Tracking.
d. Dans la liste déroulante Database, sélectionnez Oracle 11g/Exadata.
e. Cliquez sur l'onglet Connection Pools.
f. Cliquez sur Add pour ouvrir la boîte de dialogue Connection Pool.
g. Attribuez au pool de connexions le nom ABC Usage Tracking Connection Pool.
h. Entrez orcl dans le champ Data source name.
i. Entrez supplier2 pour le nom utilisateur et le mot de passe.
j. Cliquez sur OK.
k. Entrez supplier2 pour confirmer le mot de passe, puis cliquez sur OK.
l. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue de propriétés Database.
m. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur l'objet de base de données ABC
Usage Tracking et sélectionnez New Object > Physical Schema.
n. Attribuez au schéma physique le nom ABC Usage Tracking Schema.
o. Cliquez sur OK.
d. Cliquez sur le bouton Display maximum et vérifiez que 181 enregistrements sont
renvoyés.
e. Déconnectez-vous, puis reconnectez-vous en tant qu'utilisateur JCRUZ avec le mot
de passe JoseCruz1.
g. Cliquez sur le bouton Display maximum et vérifiez que 400 enregistrements sont
renvoyés.
6. Créez et exécutez des analyses pour vérifier le suivi d'utilisation.
a. Déconnectez-vous d'Oracle BI, puis reconnectez-vous en tant que weblogic avec
le mot de passe welcome1.
b. Créez une nouvelle analyse dans le domaine ABC Usage Tracking :
d. Consultez le journal des requêtes pour vérifier que la requête a accédé à la base
de données ABC Usage Tracking et à la table S_NQ_ACCT.
Scénario
Dans Oracle Business Intelligence, un environnement MUDE facilite le développement
des métadonnées d'application dans les déploiements à l'échelle de l'entreprise. Les
métadonnées d'application sont stockées dans un fichier de référentiel (RPD) centralisé.
Administration Tool permet de gérer ces référentiels. Dans cet exercice, vous configurez
l'environnement de développement multiutilisateur Oracle BI. Vous définissez notamment
des projets et un répertoire de développement multiutilisateur.
Durée
15 minutes
Tâches
1. Vérifiez qu'un seul utilisateur à la fois peut modifier un référentiel avant de configurer
l'environnement de développement multiutilisateur.
a. Retournez dans Administration Tool et ouvrez le référentiel ABC en mode hors
connexion (offline).
b. Sélectionnez Démarrer (Start) > Programmes (Programs) > Oracle Business
Intelligence > BI Administration pour ouvrir une seconde instance d'Oracle BI
Administration Tool.
c. Sélectionnez File > Open > Offline.
d. Sélectionnez le référentiel ABC.
e. Cliquez sur Open. Notez que vous ne pouvez ouvrir le fichier qu'en lecture seule.
Cela est dû au fait que le développement multiutilisateur n'a pas encore été
configuré. Par conséquent, un seul utilisateur à la fois peut modifier le référentiel.
f. Cliquez sur No.
g. Sélectionnez File > Exit pour fermer cette seconde instance d'Oracle BI
Administration Tool.
2. Vous allez à présent créer des projets dans le référentiel maître. Vous devez créer
des projets pour prendre en charge le développement multiutilisateur. Pendant le
processus de développement, vous pouvez fractionner le travail entre différentes
équipes au sein de votre entreprise en extrayant les métadonnées dans plusieurs
projets. Le groupe responsable de chaque projet peut ainsi avoir accès à un sous-
ensemble de métadonnées distinct. En principe, vous créez des projets pour répartir
les domaines du référentiel de manière rationnelle. Dans cet exercice, vous allez créer
deux projets seulement.
a. Retournez à la première instance d'Administration Tool où le référentiel ABC est
ouvert en mode hors connexion (offline).
b. Sélectionnez Manage > Projects. La fenêtre Project Manager apparaît.
c. Sélectionnez Action > New Project.
d. Entrez le nom SupplierSales Fact Table Project.
e. Développez Business Models dans le volet de gauche.
f. Développez SupplierSales.
g. Sélectionnez Fact-Sales.
k. Cliquez sur OK pour enregistrer le projet et fermer la fenêtre Project. Votre fenêtre
Project Manager doit présenter l'aspect suivant :
Scénario
Deux développeurs, JCRUZ et AZIFF, travaillent dans l'environnement de développement
multiutilisateur Oracle BI et modifient simultanément le même projet, depuis son extraction
jusqu'à son archivage et à la fusion des métadonnées.
Durée
25 minutes
Tâches
1. Connectez-vous au référentiel partagé pour extraire le projet SupplierSales
Presentation Project en tant que développeur JCRUZ.
a. Dans Oracle BI Administration Tool, sélectionnez File > Multi-User > Checkout.
La boîte de dialogue Extract from ABCMaster.rpd apparaît.
b. Entrez le mot de passe welcome1 et cliquez sur OK.
c. Notez que les deux projets que vous avez créés sont répertoriés dans la boîte de
dialogue Browse.
d. Sélectionnez SupplierSales Presentation Project.
e. Cliquez sur OK. La boîte de dialogue "Create new subset repository" apparaît.
f. Dans le champ "File name", indiquez JCRUZ.rpd. Le nom du fichier est arbitraire.
Notez que ce fichier de référentiel est enregistré dans le répertoire de référentiel
par défaut et non pas dans le répertoire partagé créé précédemment. Notez
également qu'une copie du référentiel maître partagé, ABCMaster.rpd, a été
placée dans le répertoire de référentiel par défaut.
g. Cliquez sur Save. Le référentiel JCRUZ s'affiche avec le sous ensemble-de
données associé au projet SupplierSales Presentation Project. Il contient
uniquement le domaine et le modèle de gestion SupplierSales. Les autres
domaines et modèles de gestion ABC n'apparaissent pas.
h. Laissez le référentiel JCRUZ ouvert.
e. Cliquez sur OK. La copie locale du référentiel maître est fusionnée avec le
référentiel maître dans le dossier partagé, puis elle est fermée et supprimée.
f. Sélectionnez File > Multiuser > History. La boîte de dialogue Open Offline
Version 1 of ABCMaster.rpd apparaît.
g. Entrez le mot de passe welcome1 et cliquez sur OK.
h. Le référentiel Version 1 of ABCMaster s'ouvre et l'historique des modifications
multiutilisateurs s'affiche.
l. Sélectionnez File > Multiuser > Publish to Network pour publier le référentiel.
m. Cliquez sur No lorsqu'un message vous propose de vérifier la cohérence globale.
o. Cliquez sur OK. Le référentiel maître local se ferme et il est fusionné avec
le référentiel maître partagé.
p. Ouvrez ABCMaster.rpd à partir du répertoire D:\RPD en mode hors connexion
(offline).
q. Cliquez sur Yes pour ouvrir le fichier en lecture seule.
r. Indiquez welcome1 comme mot de passe.
s. Développez le domaine SupplierSales pour vérifier que les modifications ont été
appliquées au référentiel maître et que ce domaine de la couche Presentation
contient désormais la table de présentation Customer.
t. Fermez le référentiel.
u. Laissez Administration Tool ouvert.
Scénario
Les utilisateurs d'une page de tableau de bord ou d'une analyse ont la possibilité de modifier
les données qui s'affichent sous forme de tableau ou de tableau croisé dynamique pouvant
être consulté sous différents axes (tableau pivot). On parle souvent de fonction de
"réécriture" ("write back"). Les étapes de configuration de la fonction de réécriture font
intervenir plusieurs composants Oracle BI. Il s'agit de configurer la réécriture dans le
référentiel, d'accorder les autorisations de réécriture et d'activer la réécriture pour les
colonnes des analyses.
Durée
20 minutes
Tâches
1. Importez une nouvelle table dans le référentiel ABC.
a. Retournez dans Administration Tool (qui doit être resté ouvert) et ouvrez le fichier du
référentiel ABC en mode hors connexion (offline) avec le mot de passe welcome1.
b. Importez la table D1_FORECAST du schéma SUPPLIER2 dans l'objet de base de
données orcl. Si vous avez besoin d'aide, reportez-vous aux étapes similaires
d'exercices antérieurs.
c. Dans la couche Physical, cliquez deux fois sur D1_FORECAST pour ouvrir la boîte
de dialogue Physical Table.
d. Dans l'onglet General, désélectionnez Cacheable. Cela permet de garantir que les
données réécrites dans la base de données ne proviennent pas de la mémoire cache.
e. Créez la jointure physique suivante :
"orcl".""."SUPPLIER2"."D1_PRODUCT_TYPE"."TYPECODE" =
"orcl".""."SUPPLIER2"."D1_FORECAST"."TYPECODE"
2. Activez la réécriture dans le pool de connexions.
a. Dans la couche Physical, cliquez deux fois sur le pool de connexions SUPPLIER
CP pour ouvrir la boîte de dialogue Connection Pool.
b. Cliquez sur l'onglet Write Back.
c. Comme il s'agit d'une source de données Oracle, vous pouvez accepter les valeurs
par défaut.
Scénario
Dans une fusion de patches, vous créez un patch qui contient les différences entre le fichier
de référentiel en cours et le fichier de référentiel d'origine, puis vous appliquez le fichier de
patch au fichier de référentiel modifié. Dans le cas du passage d'un environnement de
développement à un environnement de production, vous disposez d'un fichier parent
d'origine, d'un fichier en cours qui contient les plus récentes modifications des développeurs
et d'un fichier modifié correspondant à la copie déployée du fichier d'origine. Pour générer
un patch, vous ouvrez le fichier en cours et sélectionnez le fichier d'origine, puis vous créez
le patch. Pour appliquer le patch, vous ouvrez le fichier modifié et sélectionnez le fichier
d'origine, puis vous appliquez le patch.
Durée
15 minutes
Tâches
1. Avant de créer et d'appliquer une fusion de patches, examinez les référentiels que vous
allez utiliser dans cet exercice.
a. Accédez au dossier D:\PracticeFiles.
b. Copiez les fichiers de référentiel original, modified et current, puis collez-les dans
D:\bi\instances\instance1\bifoundation\OracleBIServerComponent\coreapplic
ation_obis1\repository.
c. Dans Administration Tool, ouvrez original.rpd en mode hors connexion (offline)
avec le mot de passe welcome1. Pour les besoins de cet exercice, considérez qu'il
s'agit du référentiel initial que vous avez développé.
i. Notez l'ID de l'objet (4010:551 dans cet exemple). Administration Tool utilise l'ID de
mise à niveau des objets du référentiel pour suivre leur historique. L'ID de mise à
niveau est un identificateur unique pour chaque objet.
j. Fermez l'utilitaire Query Repository.
k. Fermez original.rpd sans l'enregistrer.
l. Ouvrez modified.rpd en mode hors connexion avec le mot de passe welcome1.
Pour cet exercice, considérez qu'il s'agit du référentiel de production. Avant
d'appliquer le patch dans les étapes qui suivent, vous constatez que les référentiels
original et modified ont des contenus identiques.
r. Notez l'ID de l'objet (4010:668 dans cet exemple). La colonne de présentation Units
Ordered existe dans les deux référentiels, mais avec des ID différents. Cela est dû
au fait que l'objet Units Ordered a été supprimé puis recréé dans le référentiel
modifié. Cette explication va apparaître plus clairement dans les étapes qui suivent.
s. Fermez l'utilitaire Query Repository.
t. Laissez le référentiel modified ouvert.
2. Utilisez l'option Equalize Objects de la boîte de dialogue Compare Repositories pour
comparer et égaliser les référentiels original et modifié. Il peut être nécessaire d'égaliser
les objets, car Administration Tool retrace l'historique de chaque objet du référentiel en
utilisant l'ID de mise à niveau de cet objet. Il arrive que cet ID change en raison
d'actions de l'utilisateur ou pendant une fusion. Dans ce cas, lors de la comparaison
suivante, Administration Tool traite le nouvel ID de mise à niveau comme un objet créé
et l'ID de mise à niveau d'origine (manquant) comme un objet supprimé.
a. Sélectionnez File > Compare.
b. Sélectionnez le référentiel original et cliquez sur Open.
c. Entrez le mot de passe welcome1 et cliquez sur OK pour ouvrir la boîte de
dialogue Compare Repositories.
d. L'outil compare les deux référentiels et identifie les objets modifiés, supprimés ou
créés.
− Created signifie que l'objet a été créé dans le référentiel en cours et n'existe pas
dans le référentiel d'origine.
− Deleted signifie que l'objet existe dans le référentiel d'origine mais a été
supprimé du référentiel en cours.
− Modified signifie que l'objet existe dans le référentiel d'origine mais a été
modifié dans le référentiel en cours.
g. Notez que la liste déroulante ne propose que l'option Presentation Column. Dans
cet exemple, en effet, les seuls objets supprimés sont des colonnes de
présentation. Si des objets d'autres types avaient été supprimés, les options
correspondantes apparaîtraient dans cette liste (Logical Table, Logical Column,
etc.).
h. Dans le volet Deleted, sélectionnez "SupplierSales".."Fact-Sales"."Units
Ordered".
i. Dans le volet Created, sélectionnez "SupplierSales".."Fact-Sales"."Units
Ordered".
j. Cliquez sur Add pour ajouter ces colonnes au volet Equated.
Exercices - Chapitre 25 : Configurer des colonnes logiques pour la prise en charge de traitements multidevises
Chapitre 25 - Page 1
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Exercices - Chapitre 25 : Configurer des colonnes logiques pour la prise en charge de traitements multidevises
Chapitre 25 - Page 2
Présentation des exercices - Chapitre 25
Présentation
Dans cet exercice, vous allez définir des options de préférence de devise en utilisant un
mapping statique.
Exercices - Chapitre 25 : Configurer des colonnes logiques pour la prise en charge de traitements multidevises
Chapitre 25 - Page 3
Exercice 25-1 : Définir des options de préférence de devise
But général
Définir des options de préférence utilisateur en matière de devises à l'aide d'un mapping
statique
Scénario
Les utilisateurs d'Oracle Business Intelligence peuvent choisir la devise dans laquelle ils
préfèrent afficher les valeurs monétaires dans les analyses et les tableaux de bord. Ils
sélectionnent leur devise préférée à partir de la boîte de dialogue My Account, dans le
champ Currency de l'onglet Preferences. Vous devez définir les options de la liste
déroulante Currency dans le fichier userpref_currencies.xml.
Durée
20 minutes
Tâches
1. Modifiez le fichier userpref_currencies.xml.
a. Accédez à
D:\bi\instances\instance1\config\OracleBIPresentationServicesComponent\co
reapplication_obips1.
b. Avant de modifier userpref currencies.xml, créez une copie du fichier dans le
même répertoire.
c. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur userpref_currencies.xml et
sélectionnez Open With > WordPad.
d. Supprimez la première balise <UserCurrencyPreferences> et la marque de
commentaire <!--.
e. Supprimez la marque de commentaire --> et la dernière balise
</UserCurrencyPreferences>. Votre fichier doit présenter l'aspect suivant :
Exercices - Chapitre 25 : Configurer des colonnes logiques pour la prise en charge de traitements multidevises
Chapitre 25 - Page 4
l. Cliquez sur New.
m. Entrez PREFERRED_CURRENCY dans le champ Name.
n. Sélectionnez Enable any user to set the value.
o. Entrez 'gc1' dans le champ Default Initializer.
p. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Session Variable.
q. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Session Variable Initialization
Block Variable Target. Vérifiez votre travail.
Exercices - Chapitre 25 : Configurer des colonnes logiques pour la prise en charge de traitements multidevises
Chapitre 25 - Page 5
j. Réitérez ces étapes pour créer trois autres colonnes logiques contenant des
conversions de devise calculées :
Colonne logique Formule
JapCurrency "SupplierSales"."Fact-Sales"."Dollars" * .92
DEMCurrency "SupplierSales"."Fact-Sales"."Dollars" * 1.46
USDCurrency "SupplierSales"."Fact-Sales"."Dollars"
4. Créez une colonne logique pour utiliser le facteur de conversion approprié à l'aide de la
variable de session PREFERRED_CURRENCY.
a. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur la table Fact-Sales et sélectionnez
New Object > Logical Column.
b. Dans l'onglet General, nommez la colonne Preferred Currency.
c. Cliquez sur l'onglet Column Source.
d. Sélectionnez Derived from existing columns using an expression.
e. Cliquez sur le bouton Edit Expression pour ouvrir Expression Builder.
f. Créez la formule suivante. Vous pouvez la copier à partir du fichier
PREFERRED_CURRENCY.txt fourni dans le répertoire D:\PracticeFiles.
Exercices - Chapitre 25 : Configurer des colonnes logiques pour la prise en charge de traitements multidevises
Chapitre 25 - Page 6
e. Sélectionnez Euro.
Exercices - Chapitre 25 : Configurer des colonnes logiques pour la prise en charge de traitements multidevises
Chapitre 25 - Page 7
h. Vérifiez que la colonne Preferred Currency affiche la devise préférée sélectionnée
dans la page My Account (l'euro en l'occurrence).
Exercices - Chapitre 25 : Configurer des colonnes logiques pour la prise en charge de traitements multidevises
Chapitre 25 - Page 8
Exercices - Chapitre 26 :
Utilitaires d'Administration
Tool
Chapitre 26
Scénario
Les données relatives au stock de la société ABC sont fragmentées, c'est-à-dire réparties
entre plusieurs tables. Les valeurs de ces données déterminent la table utilisée pour le
stockage. Dans cet exemple, huit tables distinctes contiennent huit trimestres de données
sur le stock. Vous devez créer un modèle de gestion pour ces données fragmentées. Cet
exercice vous donne l'occasion d'appliquer quelques-unes des techniques de modélisation
étudiées pendant le cours.
Durée
50 minutes
Tâches
1. Créez un nouveau référentiel et importez des tables.
a. Dans Administration Tool, sélectionnez File > New Repository.
b. Nommez le référentiel Inventory.
c. Sélectionnez Yes pour Import Metadata.
d. Entrez et confirmez le mot de passe welcome1.
e. Cliquez sur Next.
f. Sélectionnez le type de connexion OCI 10g/11.
g. Indiquez orcl comme nom de source de données.
h. Entrez supplier2 comme nom utilisateur et mot de passe, puis cliquez sur Next.
i. Dans la fenêtre Select Metadata Types, assurez-vous que les options Tables,
Keys et Foreign Keys sont sélectionnées, puis cliquez sur Next.
j. Sélectionnez les tables à importer suivantes dans le schéma SUPPLIER2 :
Si vous n'avez pas importé les clés étrangères, vous devez soit configurer
manuellement les jointures dans le diagramme, soit supprimer les tables et
recommencer l'import en cochant la case Foreign Keys.
n. Fermez la boîte de dialogue Physical Diagram.
o. Effectuez une mise à jour du nombre de lignes pour vérifier la connectivité.
p. Si vous souhaitez voir un aperçu des données contenues dans les tables, cliquez
sur ces dernières avec le bouton droit de la souris et sélectionnez View Data.
2. Créez un nouveau modèle de gestion nommé Inventory.
3. Créez la table de faits.
a. Créez une table logique nommée Fact-Inventory. Cette table comprendra quatre
faits : Beginning Inventory Dollars, Ending Inventory Dollars, Beginning Inventory
Quantity et Ending Inventory Quantity. Ces faits seront mappés avec des colonnes
physiques dans les huit tables physiques du modèle Inventory.
b. Dans la couche Physical, développez INVENTORY_Q1_2004.
c. Faites glisser simultanément les quatre colonnes suivantes jusqu'à la table logique
Fact-Inventory :
BOH_DLL
BOH_QTY
EOH_DLL
EOH_QTY
Notez que INVENTORY_Q1_2004 est ajoutée à la table Fact-Inventory en tant que
source de table logique.
d. Développez la table INVENTORY_Q1_2005 et faites glisser simultanément les
quatre mêmes colonnes jusqu'à la table logique Fact-Inventory. Comme les noms
de colonne sont identiques, vous pouvez déplacer les quatre colonnes à la fois.
Notez que INVENTORY_Q1_2005 est ajoutée à la table Fact-Inventory en tant que
source de table logique.
d. Définissez le contenu d'agrégation pour toutes les sources de table logique de faits,
en vous aidant de la capture d'écran suivante :
i. Enregistrez le référentiel.
e. Consultez le journal des requêtes. Il doit indiquer que l'instruction SQL a accédé à une
seule source de table logique (fragment) : INVENTORY_Q1_2005. En effet, c'est la
seule source dont le contenu de fragmentation inclut QUARTER_ID = 200501.