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Middleware Oracle® Fusion

Guide du concepteur de rapports pour Oracle Business


Intelligence Publisher version 11g (11.1.1)
N° de pièce E13881-01

Juillet 2010
Guide du concepteur de rapports Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher, version 11g
(11.1.1)

N° de pièce E13881-01

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Contenu

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Préface

Partie 1Introduction

1 Introduction
Vue d’ensemble du Guide du concepteur de rapports Oracle Business Intelligence
Publisher............... 1-1
Nouvelles fonctionnalités................................................................................ 1-5

Partie 2Affichage et planification des rapports

2 Mise en route
Accès à Oracle Business Intelligence Publisher................................................................ 2-1
Définition des préférences de mon compte et affichage de mes groupes................................... 2-3
À propos de la page d’accueil................................ 2-5

À propos du catalogue................................................ 7
À propos de l’en-tête global................................... 2-8
Recherche dans le catalogue................................................ 2-9

3Affichage d’un rapport


À propos de l’affichage des rapports dans BI
Publisher................................................................................ ... 3-1
Consultation d’un rapport................................................ 3-1
Utilisation des options de visionneuse de rapports................................................ 3-2
Creating un tableau croisé dynamique ad hoc avec
l’analyseur................................................................ 3-5
Iii
Création d’un tableau croisé
dynamique interactif .......................................................................................... 3-6
Utilisation de l’analyseur pour Excel................................................................ 3-11
Utilisation de l’éditeur BI Menu................................ 3-12
À propos de la boîte de dialogue Ouvrir le modèle................................... 3-14
Connexion via Excel................ 3-14

4Création d’emplois de rapport


Navigation vers la page de travail du rapport de planification............................ 4-1
Définition des options générales................................ 4-1
Définition des options de sortie................................................................................ 4-2
Définir l’horaire de votre travail................................................ 4-6
Configuration des notifications ................................ 4-8
Soumettre le travail et examiner les détails de la
confirmation................................................................ 4-9
Création d’un Job éclatant...................... 4-9
Sujets avancés................................ 4-9

5Affichage et gestion des tâches de rapport


À propos de la page Gérer les emplois du rapport................................ 5-1
Affichage des travaux pour un rapport spécifique................................................ 5-2
Recherche d’emplois de rapport................................................................................ 5-3
Définition du fuseau horaire pour l’affichage des travaux................................ 5-3
Consultation des détails de la soumission d’emploi................................ 5-3
Suspension d’emplois................................................ 5-3
Reprise de l’emploi................................................ ...... 5-4
Suppression d’emplois................ 5-4

6Affichage et gestion de l’historique des rapports


Affichage de l’historique des tâches du rapport et de la sortie enregistrée................ 6-1
Affichage de l’historique des emplois pour un rapport spécifique................................................ 6-2
Recherche d’un rapport sur l’historique de l’emploi................................ 6-3
Affichage des détails d’un historique de travail.......
....................................................................................... 6-3
Téléchargement de données à partir d’un travail de rapport................................................ 6-4
Republier un rapport d’histoire... ..................................................................................... 6-5
Envoi d’une sortie vers une nouvelle destination................................ 6-5
Obtention d’informations d’erreur et d’avertissement pour les
rapports................................................................................ 6-6
Suppression d’un historique d’emploi................................ 6-7

7 Gestion des objets dans le catalogue BI Publisher


Qu’est-ce que le catalogue................................ 7-1
Iv
Quels objets sont stockés dans le catalogue................................................................ 7-2
Création d’un dossier ou d’un sous-dossier................................................ 7-2
Exécution de tâches sur des objets de catalogue................................................................ 7-3
Téléchargement et téléchargement d’objets de catalogue ................................................................ 7-4
Comprendre l’impact de la prise de mesures sur les objets référencés par les rapports................. 7-5
Exportation et importation de fichiers de traduction de catalogue................................ 7-5

Partie 3Création de modèles de données

8Utilisation de l’éditeur de modèle de données


Qu’est-ce qu’un modèle de données ?
.............................................................................................................. 8-1
Composants d’un modèle de données................................................................................ 8-1
Features de l’éditeur de modèle de données................................ 8-2
À propos des options de source de données................................................................ 8-3
Vue d’ensemble du processus de création d’un modèle de données................................................ 8-4
Lancement de l’Editor du modèle de
données................................................................................................................ 8-5
À propos de l’interface de l’éditeur de modèle de données................................................................... 8-5
Définition des propriétés du modèle de données................................................ 8-7

9 Création d’ensembles de données


Vue d’ensemble de la création d’ensembles de données................................ 9-1
Définition d’un ensemble de données de requête SQL................................................ 9-3
Utilisation du générateur de requêtes................................ 9-4
Définition d’une requête MDX ................................ 9-14
Définition d’une requête LDAP en tant que type d’ensemble de
données................................................................................................ 9-15
Définition d’un fichier Microsoft Excel en tant que type d’ensemble de
données...................................................................... 9-17
Définition d’une analyse Oracle BI en tant que type d’ensemble de données......
......................................................... 9-20
Définition d’un objet View en tant que type d’ensemble de
données.....................................................................................................................................................
.... 9-21
Définition d’un type d’ensemble de données de service Web...............................
................................................... 9-22
Définition d’un fichier XML en tant que type d’ensemble de
données............................................................................ 9-29
Définition d’un type d’ensemble de données HTTP................................................ 9-30
Tester des modèles de données et générer des échantillons de
données............................................................................ 9-32
Inclure les informations de l’utilisateur dans vos données de représentation................................ 9-32

10 Structuration des données


Travailler avec des modèles de données................................ 10-1
Caractéristiques de l’éditeur de modèle de données
................................................................................ 10-6
À propos de l’interface................................ 10-7
Création de liens entre des ensembles de données................................................ 10-10

v
Création de liens au niveau des éléments................................... 10-11
Création de liens au niveau du
groupe................................................................................................ 10-14
Création de sous-groupes............ ................................................................................................... 10-16
Création d’éléments agrégés au niveau du groupe................................... 10-19
Création de filtres de groupe................................ 10-23
Exécution de fonctions au niveau de l’élément................................................................ 10-25
Définition des propriétés de l’élément................................................................ 10-25
Tri Data................................ 10-27
Exécution de fonctions au niveau du
groupe................................................................................................ 10-28
Exécution de fonctions au niveau mondial................................................ 10-30
Utilisation de la vue Structure pour modifier votre structure de données...................... 10-35
Référence de fonction................................ 10-36

11 Ajout de paramètres et de listes de valeurs


À propos des paramètres................................ 11-1
Ajout de paramètres................................ 11-2
Ajout de listes de valeurs................................................................................................ 11-3

12 Ajout de déclencheurs d’événements


À propos des déclencheurs................................ 12-1
Ajout de déclencheurs
d’événement................................................................................................................................ 12-1

13 Ajout de Flexfields
À propos de Flexfields................................ 13-1
Ajout de Flexfields................................ ... 13-2

14 Ajout de définitions d’éclatement


À propos de Bursting................................................ 14-1
Qu’est-ce que la définition de l’éclatement?
............................................................................................ 14-2
Ajout d’une définition éclatante à votre modèle de données................................ 14-2
Définition de la requête pour l’ensemble de données de
livraison................................................................ 14-4
Configuration d’un rapport pour utiliser une définition en rafale ................................ 14-9
Exemple de requête bursting ................................... ..................................................................... 14-10
Création d’une table à utiliser comme source de données de livraison
............................................................................................ 14-10
Vi
Partie 4 Création de rapports et de mises
en page 15 Création ou modification d’un
rapport
À propos des composantes du rapport................................ 15-1
Aperçu du processus................................................ 15-2
Lancement de l’éditeur de rapport................................................................................ 15-3
Sélection du modèle de données................................ 15-3
À propos de l’interface de l’éditeur de rapports................................ ... 15-4
Ajout de mises en page à la définition du rapport............................................................................ 15-5
Configuration des mises en page................................................................ ......... 15-7
Configuration des paramètres du
rapport................................................................................................................ 15-10
Configuration des propriétés du rapport................................................ 15-11

16Création d’un modèle de mise en page BI Publisher


Introduction................................ ........................... 16-1
Lancement de l’éditeur de mise en page................................................................ 16-3
À propos de l’interface de l’éditeur de mise en page................... 16-6
Onglet Mise en page. ............................................................................................................ 16-12
Insertion de composants de mise en page................................ 16-21
À propos des grilles de mise en page................................................................ 16-21
A propos de la répétition des Sections................................................ 16-25
À propos des tableaux de données ................................ 16-29
About Charts................................................... 16-49
À propos des graphiques de jauge................................ 16-55
À propos des tableaux croisés dynamiques................................ 16-58
À propos des éléments de texte................................ 16-65
À propos des images................................ ................ 16-70
Définition de formules prédéfinies ou
personnalisées............................................................................ 16-71
Enregistrement d’une mise en page................................................ 16-78

17Création d’un modèle RTF


Qu’est-ce qu’un modèle RTF ? ...................................................................................................... 17-2
À propos de la compatibilité XSLT................................................ 17-2
Mise en route................................................ 17-2
Prérequis................................................ .. 17-3
A propos de l’ajout de code d’éditeur BI................................................ 17-3
Concepts clés................................................................................ 17-4
Association des données XML à la mise en page du
modèle........................................................................................... 17-4
Vi
i
Conception de la mise en page du modèle................................ 17-7
Ajout de balisage à la mise en page du modèle................................................ 17-7
Création d’espaces réservés................................................ 17-8
Définition des groupes................................................................................ 17-12
Définition des en-têtes et des pieds de page................................................................................ 17-16
Support natif................................................ 17-16
Insertion d’images et de graphiques................................................ 17-18
Images................................................ 17-18
Graphique Support................................................................................................ 17-19
Prise en charge du dessin, de la forme et des images clipart................................ 17-30
Prise en charge des fonctionnalités de mise en forme natives................................................ 17-41
Caractéristiques générales................................................ 17-41
Alignement................................................ 17-42
Tableaux................................ 17-42
Champs de date................................ ...................... 17-45
Prise en charge des pages multicolonnes................................................ 17-46
Prise en charge de l’arrière-plan et du filigrane................................... .......... 17-47
Caractéristiques du modèle................................ 17-49
Sauts de page................................................ 17-49
Numéro de page initial................................ 17-50
Contenu de la dernière page seulement ................................ 17-51
Fin sur pair ou Fin sur page impaire................................ 17-54
Hyperliens................................................ 17-55
Tableau des contents................................ 17-58
Génération de signets dans la sortie PDF............................................................................ 17-58
Cases à cocher..... ................................................................................................................ 17-60
Listes déroulantes................................ 17-61
Mise en forme conditionnelle................................................................ 17-64
Si des déclarations................................... 17-65
Si des déclarations dans le texte standard ................................................ 17-65
If-then-Else Déclarations................................................... 17-66
Choisissez Des énoncés................................................... . 17-67
Mise en forme des colonnes................................................................ 17-69
Mise en forme des lignes................................................................ 17-71
Mise en évidence des cellules...................................... 17-73
Calculs au niveau page................................................................ 17-75
Affichage des totaux des pages................................................... 17-76
Totaux avancés/reportés................................ 17-78
Totaux courants................. ................................................................................................ 17-82
Traitement des données................................................ 17-84
Tri................................................... .... 17-84

Viii
Vérification des valeurs NULL................................................ 17-85
Regroupement des données XML................................................ 17-85
Utilisation de variables................................ 17-92
Définition des paramètres................................ 17-93
Définition des propriétés................................................ 17-95
Mises en page avancées des rapports................................................ 17-97
Rapports de lots................................ 17-97
Traitement des conditions d’absence de données trouvées................ 17-99
Prise en charge des tableaux croisés dynamiques..
..................................................................................................... 17-100
Colonnes de données dynamiques................................................ 17-103
Formatage du nombre, de la date et de la devise......................................................................... 17-106
Prise en charge du calendrier et du fuseau horaire................................ 17-123
Utilisation de polices externes................................ 17-124
Mise en forme personnalisée des codes-barres................................... 17-128
Contrôle du placement des instructions à l’aide des commandes contextuelles ...................... 17-129
Utilisation des commandes XPath................................ 17-132
Prise en charge de l’espace de noms...................................... 17-135
Utilisation d’éléments XSL................................................................ 17-135
Using FO Éléments................................ 17-138
Recommandations pour la conception de modèles RTF pour la sortie Microsoft
PowerPoint.................. 17-138

18Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour Word


Introduction................................ 18-1
Mise en route................................................ 18-3
Accès aux données pour la création de votre modèle................................... 18-7
Insertion de composants dans le modèle................................................................ 18-9
Prévisualisation d’un modèle............................. ............................................................................. 18-31
Outils d’édition de modèles................................................................ 18-32
Téléchargement d’un modèle sur le serveur BI Publisher................................................................ 18-36
Utilisation des outils de traduction Template Builder................................................................... 18-36
Définition des options pour le générateur de modèles.............
............................................................... 18-39
Configuration d’un fichier de configuration................................................................ 18-43
Référence du menu de l’éditeur BI................................................................ 18-43

19Création d’un modèle PDF


Vue d’ensemble................................ 19-1
Exigences................................ .................... 19-1
Conception du modèle................................................ 19-2
Ajout d’un balisage au modèle................................................ 19-4
Création d’un espace réservé................................................ 19-5
I
x
Définition de groupes de champs répétitifs................................................................ 19-8
Ajout de numéros de page................................ 19-9
Effectuer des calculs........... ............................................................................................ 19-13
Exemple de mise en page PDF complété................................... 19-14
Comportement d’exécution................................................ 19-15
Création d’une mise en page à partir d’un formulaire PDF
prédéfini................................................................................ 19-17
Ajout ou désignation d’un champ pour une signature numérique................................ 19-19

20Création d’un modèle Flash


Introduction...................... 20-1
Création d’un modèle Flash................................................................ 20-3
Téléchargement du modèle Flash dans la définition du rapport................................... 20-13
Définition des propriétés pour la sortie PDF................................................ 20-13
Pour plus d’informations............................................... ............................................................. 20-15

21Création d’un modèle de texte électronique


Introduction................................ 21-1
Structure des modèles de texte électronique................................ 21-2
Construction des tableaux de données................................ ... 21-6
Lignes de commande................................................ 21-6
Structure des lignes de données................................ ..... 21-12
Configurer les tables de commandes................................ 21-16
Expressions, structures de contrôle et fonctions................................ .. 21-28
Identificateurs, opérateurs et littéraux................................................................................ 21-32

22Définition des propriétés de mise en forme


Introduction................................ 22-1
Propriétés de sortie PDF................................................ ..... 22-2
PROPRIÉTÉS DE SÉCURITÉ PDF................................................................ 22-3
PROPRIÉTÉS DE SIGNATURE NUMÉRIQUE
PDF............................................................................................................ ............... 22-7
Propriétés de sortie RTF................................ 22-9
Propriétés de sortie HTML................................................................................................ 22-10
Propriétés de traitement FO................................................................................................ 22-11
Propriétés du modèle RTF................................ 22-14
Propriétés du modèle PDF................................ 22-15
Propriétés du modèle Flash................................................................... ........... 22-16
Définition des mappages de polices................................................................ 22-17

x
Partie 5 Création et implémentation de modèles de style
23 Création et implémentation de modèles de style
Comprendre les modèles de style...................................................................... 23-1
Création d’un fichier RTF de modèle de style................................................ 23-3
Téléchargement d’un fichier de modèle de style dans le
catalogue................................................................................... 23-5
Affectation d’un modèle de style à une mise en page de rapport................................... 23-6
Mise à jour d’un modèle de
style................................................................................................................................ 23-7
Ajout de traductions à votre définition de style Template...................... 23-7

Partie 6Création et implémentation de sous-modèles

24 Présentation des sous-modèles


Qu’est-ce qu’un sous-modèle................ 24-1
Emplacements pris en charge pour les sous-modèles................................................ 24-2
Conception d’un sous-modèle................................ 24-2
Test de sous-modèles à partir du bureau................................................................................ 24-2
Création de l’objet de sous-modèle dans le
catalogue................................................................................ 24-3
Appel d’un sous-modèle à partir d’une source externe................................................... 24-4

25 Conception de sous-modèles RTF


Comprendre les sous-modèles
RTF................................................................................................................ 25-1
Vue d’ensemble du processus de création et d’implémentation de sous-modèles
RTF................................. 25-2
Création d’un fichier de sous-modèle RTF................................................................... 25-2
Appel d’un sous-modèle à partir de votre modèle principal..........................................
....................... 25-3
Quand utiliser les sous-modèles RTF................................ 25-5
Ajout de traductions à un sous-modèle RTF................................ 25-9

26Conception de sous-modèles XSL


Comprendre les sous-modèles XSL................................................... 26-1
Vue d’ensemble du processus de création et d’implémentation de sous-modèles
XSL................................. 26-2
Création d’un fichier de sous-modèle XSL................................................................................... 26-2
Appel d’un sous-modèle XSL à partir de votre modèle
principal................................................................ 26-3
Création de l’objet de sous-modèle dans le
catalogue................................................................................ 26-5
Exemples d’utilisations de sous-modèles XSL.......
................................................................................ 26-6
X
i
Partie 7 Traduction de rapports et d’objets de
catalogue 27 Vue d’ensemble et concepts de la prise en charge
de la traduction
Vue d’ensemble du support de traduction................................ 27-1
Travailler avec des fichiers de traduction................................ 27-2
Qu’est-ce qu’un XLIFF ? .................................................................................................................... 27-2
Structure du fichier XLIFF................................................ 27-2
Logique de sélection des paramètres régionaux................................................................ 27-5

28Traduction de modèles individuels


Vue d’ensemble................................ 28-1
Types de traductions................................ 28-1
Utilisation de l’option XLIFF................................................... 28-3
Using l’option de modèle localisé ................................................................ 28-6

29Traduction d’objets de catalogue, de modèles de données et de modèles


Vue d’ensemble ................................ 29-1
Ce qui peut être traduit................................................... 29-2
Exportation du fichier XLIFF................................................................................ 29-3
Identification et mise à jour des balises
d’objet........................................................................................................................ ........................ 29-3
Importation du fichier XLIFF................................................................................ 29-3

A Techniques de gestion des fichiers de sortie volumineux


Techniques de gestion des fichiers de sortie PDF
volumineux................................................................................................................................ A-1
Réutilisation du contenu statique................ A-1
Génération d’une sortie PDF compressée................................................................ A-4
Mise en œuvre du fractionnement PDF pour un modèle RTF................................ A-6
Mise en œuvre du fractionnement PDF pour un modèle PDF................................................ A-7

B Prise en charge étendue des fonctions dans les modèles RTF


Fonctions SQL et XSL étendues ............................................................................................ B-1
Équivalents XSL................................................ B-18
Utilisation d’éléments FO................................................ B-19

Conception de rapports accessibles


Introduction................................ ................................... C-1
Éviter les tables imbriquées ou séparées................................................................ C-1
Xii
Définition d’un titre de document................ C-3
Définition d’un texte alternatif pour une image................................................................................ C-3
Définition d’un tableau Résumé................................................................ C-4
Définition d’un en-tête de colonne de tableau................................................................ C-4
Définir un en-tête de ligne de tableau................................ C-4
Exemples de tableaux pris en charge................................ C-5

D Éléments XSL-FO pris en charge


Éléments XSL-FO pris en charge................................................ J-1

Index

Xii
i
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Guide du concepteur de rapports Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence
Publisher, version 11g (11.1.1)
N° de pièce E13881-01

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xv
Préface

Public visé
Bienvenue dans la version 11g (11.1.1) du Guide du concepteur de rapports Oracle Fusion
Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher.
Ce livre est destiné aux groupes d’utilisateurs suivants :
• signaler les consommateurs qui afficheront et planifieront des rapports dans BI Publisher

• concepteurs de rapports qui créeront des modèles de données, concevront des mises en
page de rapports et créeront des rapports pour BI Publisher

Voir Sources d’informations connexes à la page xix pour plus d’informations sur le produit.

Accès des sourds/malentendants aux services de support Oracle


Pour accéder aux services de support Oracle, utilisez un service de relais de
télécommunications (TRS) pour appeler le support Oracle au 1.800.223.1711. Un ingénieur
oracle support services traitera les problèmes techniques et fournira un support client
conformément au processus de demande de service Oracle. Des informations sur TRS sont
disponibles sur http://www.fcc.gov/cgb/consumerfacts/trs.html, et une liste de numéros de
téléphone est disponible sur http://www.fcc.gov/cgb/dro/trsphonebk.html.

Accessibilité de la documentation
Notre objectif est de rendre les produits, services et documents de support Oracle accessibles à tous
les utilisateurs, y compris les utilisateurs désactivés. À cette fin, notre documentation comprend des
fonctionnalités qui mettent l’information à la disposition des utilisateurs de technologies d’assistance.
Cette documentation est disponible au format HTML et contient du balisage pour faciliter l’accès de
la communauté handicapée. Les normes d’accessibilité continueront d’évoluer au fil du temps, et
Oracle collabore activement avec d’autres fournisseurs de technologies leaders du marché pour y
remédier.

Xvii
des obstacles techniques pour que notre documentation soit accessible à tous nos clients. Pour
plus d’informations, visitez le site Web du programme d’accessibilité Oracle à l’adresse
http://www.oracle.com/accessibility/.

Accessibilité des exemples de code dans la documentation


Les lecteurs d’écran peuvent ne pas toujours lire correctement les exemples de code de ce
document. Les conventions d’écriture de code exigent que les accolades de fermeture
apparaissent sur une ligne autrement vide; cependant, certains lecteurs d’écran peuvent ne pas
toujours lire une ligne de texte qui se compose uniquement d’un crochet ou d’un accolade.

Accessibilité des liens vers des sites Web externes dans la documentation
Cette documentation peut contenir des liens vers des sites Web d’autres sociétés ou
organisations qu’Oracle ne possède pas ou ne contrôle pas. Oracle n’évalue ni ne fait aucune
déclaration concernant l’accessibilité de ces sites Web.

Structure
1 Introduction
2 Commencer
3 Affichage d’un rapport
4 Création d’emplois dans les rapports
5 Affichage et gestion des tâches de rapport
6 Affichage et gestion de l’historique des rapports
7 Gestion des objets dans le catalogue BI Publisher
8 Utilisation de l’éditeur de modèle de données
9 Création d’ensembles de données
10 Structuration des données
11 Ajout de paramètres et de listes de valeurs
12 Ajout de déclencheurs d’événements
13 Ajout de Flexfields
14 Ajout de définitions d’éclatement
15 Création ou modification d’un rapport
16 Création d’un modèle de mise en page BI Publisher
17 Création d’un modèle RTF
18 Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour
Word 19 Création d’un modèle PDF
20 Création d’un modèle Flash
21 Création d’un modèle eText
22 Définition des propriétés de mise en forme
23 Création et implémentation de modèles de style
24 Présentation des sous-modèles
25 Conception de sous-modèles RTF
26 Conception de sous-modèles XSL
27 Vue d’ensemble et concepts du support à la traduction
28 Traduction de modèles individuels
29 Traduction d’objets de catalogue, de modèles de données et de
modèles A Techniques de gestion de fichiers de sortie volumineux

Xviii
B Prise en charge étendue des fonctions dans les
modèles RTF C Conception de rapports accessibles
D Elements XSL-FO pris en charge

Sources d’information connexes


Pour plus d’informations, consultez les documents suivants dans l’ensemble de documentation
Oracle Business Intelligence Enterprise Edition 11g Release 1 (11.1.1) :
• Notes de mise à jour d’Oracle Fusion Middleware

• Guide d’installation d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence

• Guide de mise à niveau d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business


Intelligence Enterprise Edition

• Guide de l’administrateur système Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business


Intelligence Enterprise Edition

• Guide du générateur du référentiel de métadonnées Oracle Fusion Middleware pour


Oracle Business Intelligence Enterprise Edition

• Guide de l’utilisateur d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Enterprise
Edition

• Guide de l’administrateur et du développeur Oracle Fusion Middleware pour Oracle


Business Intelligence Publisher

Configuration système requise et certification


Reportez-vous à la configuration système requise et à la documentation de certification pour
obtenir des informations sur la configuration matérielle et logicielle requise, les plates-formes ,
les bases de données et d’autres informations. Ces deux documents sont disponibles sur Oracle
Technology Network (OTN).
Le document de configuration système requise couvre des informations telles que la
configuration matérielle et logicielle requise, l’espace disque et la mémoire requis, ainsi que les
bibliothèques système, les packages ou les correctifs requis :
http://www.oracle.com/technology/software/products/ias/files/fusion_requirements.ht m

Le document de certification couvre les types d’installation, les plates-formes, les systèmes
d’exploitation, les bases de données, les JDK et les produits tiers pris en charge :
http://www.oracle.com/technology/software/products/ias/files/fusion_certification.html

N’utilisez pas d’outils de base de données pour modifier les données Oracle
E-Business Suite
Oracle RECOMMANDE VIVEMENT de ne jamais utiliser SQL*Plus, Oracle Data Browser, les
déclencheurs de base de données ou tout autre outil pour modifier les données Oracle E-Business
Suite

Xi
x
sauf instruction contraire.
Oracle fournit des outils puissants que vous pouvez utiliser pour créer, stocker, modifier,
récupérer et gérer des informations dans une base de données Oracle. Mais si vous utilisez
des outils Oracle tels que SQL*Plus pour modifier les données d’Oracle E-Business Suite,
vous risquez de détruire l’intégrité de vos données et de perdre la possibilité d’auditer les
modifications apportées à vos données.
Étant donné que les tables Oracle E-Business Suite sont interdépendantes, toute modification que
vous apportez à l’aide d’un formulaire Oracle E-Business Suite peut mettre à jour plusieurs tables à la
fois. Toutefois, lorsque vous modifiez les données d’Oracle E-Business Suite à l’aide d’autre chose
qu’Oracle E-Business Suite, vous pouvez modifier une ligne d’une table sans apporter les
modifications correspondantes dans les tables associées. Si vos tables ne sont plus synchronisées les
unes avec les autres, vous risquez de récupérer des informations erronées et de risquer des résultats
imprévisibles dans Oracle E-Business Suite.
Lorsque vous utilisez Oracle E-Business Suite pour modifier vos données, Oracle E-Business
Suite vérifie automatiquement que vos modifications sont valides. Oracle E-Business Suite
assure également le suivi des personnes qui modifient les informations. Si vous entrez des
informations dans des tables de base de données à l’aide d’outils de base de données, vous
pouvez stocker des informations non valides . Vous perdez également la possibilité de suivre qui
a modifié vos informations car SQL*Plus et d’autres outils de base de données ne conservent pas
de registre des modifications.

Xx
Partie
1
Introduction
1
Introduction

Vue d’ensemble du Guide du concepteur de rapports Oracle


Business Intelligence Publisher
Oracle Business Intelligence Publisher est une application de création de rapports et de
publication qui vous permet d’extraire des données de plusieurs sources de données, de créer
des mises en page pour les données de rapport et de publier le rapport dans de nombreux
formats de sortie. BI Publisher vous permet également de planifier des rapports et de les
remettre à plusieurs destinations de livraison requises par votre activité.
Ce guide s’adresse aux consommateurs de rapports et aux concepteurs de rapports.

Vue d’ensemble pour les consommateurs de rapports


Un consommateur de rapports peut effectuer les tâches suivantes :
• Exécuter et afficher des rapports à partir du référentiel de rapports BI Publisher

• Planifier l’exécution des rapports à des intervalles sélectionnés et leur diffusion via
n’importe quel canal configuré par votre administrateur

• Créer une analyse ad hoc des données de rapport à l’aide de la fonctionnalité Analyzer de BI
Publisher

• Ouvrir et manipuler des rapports dans Microsoft Excel à l’aide de BI Publisher’s Analyzer
pour Microsoft Excel

Les rubriques de ce livre qui décrivent l’exécution de tâches de consommateur de rapports sont
les suivantes :
• Parcourir le catalogue, page 2-7

• Affichage d’un rapport, page 3-2

• Utilisation de l’analyseur en ligne, pages 3-5

Int
roduction1-1
• Utilisation de BI Publisher Analyzer pour Excel, pages 3-11

• Planification d’un rapport, page 4-1

• Planification d’un rapport à éclater, pages 4-9

• Gestion de vos rapports planifiés, page 5-1

• Affichage de l’historique des rapports et republication des rapports, page 6-1

Vue d’ensemble des concepteurs de rapports


Un rapport se compose d’un modèle de données, d’une mise en page et d’un ensemble de
propriétés. En option, un rapport peut également inclure un modèle de style et un ensemble de
traductions. Un concepteur de rapports peut effectuer les tâches suivantes :
• Créez le modèle de données de rapport, y compris les paramètres et les listes de
valeurs, à l’aide de l’éditeur de modèle de données de BI Publisher.

• Concevez la mise en page du rapport. La mise en page peut être créée à l’aide d’une variété
d’outils. Les exigences de sortie et de conception d’un rapport particulier détermineront la
meilleure conception de mise en page. La version 11g introduit l’éditeur de mise en page,
qui est un outil de conception de mise en page basé sur le Web et permet une sortie
interactive. Les autres options incluent Microsoft Word, Adobe Acrobat, Microsoft Excel
et Adobe Flexbuilder.

• Définissez les propriétés de configuration d’exécution pour ce rapport.

• Concevez des modèles de style pour améliorer l’apparence cohérente des rapports
dans votre entreprise.

• Créer des sous-modèles pour réutiliser des fonctionnalités communes à plusieurs modèles

• Définissez un fichier de contrôle d’éclatement pour les rapports qui doivent être éclatés.

• Activer les traductions d’un rapport.

À propos des types de sources de données


BI Publisher s’appuie sur des données XML pour formater et publier vos rapports. BI
Publisher prend en charge plusieurs méthodes pour récupérer ces données pour votre
rapport.
• Requête SQL
Envoyez une requête SQL sur l’une des bases de données transactionnelles configurées par
votre administrateur. BI Publisher fournit également un générateur de requêtes qui vous
permet de générer graphiquement votre requête SQL.

• Requête LDAP

1-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Exécutez des requêtes sur votre serveur LDAP pour récupérer les informations utilisateur.

• HTTP (flux XML)


Utilisez un flux RSS du Web qui renvoie du code XML.

• Service web
Fournissez le WSDL du service Web à BI Publisher , puis définissez les paramètres dans
BI Publisher pour utiliser un service Web afin de renvoyer des données pour votre rapport.

• Analyse Oracle BI
Si vous avez installé BI Publisher dans le cadre d’Oracle Business Intelligence Enterprise
Edition, vous pouvez utiliser les données récupérées par Oracle BI Analysis pour créer votre
rapport.

• Lime
Utilisez un fichier de données XML stocké dans un répertoire qui a été
configuré par votre administrateur en tant que source de données.

• Fichier Microsoft Excel


Utilisez un fichier Microsoft Excel stocké dans un répertoire qui a été configuré comme
source de données par votre administrateur.

• Requête multidimensionnelle
Construisez une requête multidimensionnelle (MDX) sur une base de données OLAP
qui a été configurée par votre administrateur.

A propos des types de disposition


BI Publisher offre plusieurs options pour concevoir des mises en page pour vos rapports. Les
mises en page peuvent être dans l’un des formats suivants. Notez que certains formats limitent
les types de sortie.
• Mise en page BI Publisher (XPT)
La version 11g introduit l’éditeur de mise en page, qui est un outil de conception Web
pour la création de mises en page. Les mises en page créées avec l’éditeur de mise en
page prennent en charge l’affichage interactif ainsi que la gamme complète des types
de sortie pris en charge par les mises en page RTF.

• Format RTF (Rich Text Format)


BI Publisher fournit un utilitaire de plug-in pour Microsoft Word qui automatise la
conception de la mise en page et vous permet de vous connecter à BI Publisher pour
accéder aux données et télécharger des modèles directement à partir d’une session
Microsoft Word. Le format RTF prend également en charge les commandes de
formatage avancées favorisant les options de mise en page les plus flexibles et les plus
puissantes. Les modèles RTF prennent en charge divers types de sortie, notamment :
PDF, HTML, RTF, Excel, PowerPoint, PDF compressé et MHTML.

Int
roduction1-3
• Format de document portable (PDF)
Les modèles PDF sont principalement utilisés lorsque vous devez utiliser un formulaire
prédéfini comme mise en page d’un rapport (par exemple, un formulaire fourni par un
organisme gouvernemental). Étant donné que de nombreux formulaires PDF contiennent
déjà des champs de formulaire, l’utilisation du formulaire PDF comme modèle nécessite
simplement de mapper des éléments de données aux champs qui existent sur le formulaire.
Vous pouvez également concevoir vos propres modèles PDF à l’aide d’Adobe Acrobat
Professional. Les modèles PDF ne prennent en charge que la sortie PDF.

• Microsoft Excel (XLS)


Utilisez BI Publisher’s Analyzer for Microsoft Excel pour télécharger les données de votre
rapport dans une feuille de calcul Excel. Créez une mise en page pour les données dans
Excel, puis téléchargez la feuille de calcul dans BI Publisher pour l’enregistrer en tant que
mise en page de rapport.

• Feuille de style XSL


Les mises en page peuvent également être définies directement dans le langage de
composition XSL. Spécifiez si votre mise en page est destinée à la transformation FO,
HTML, XML ou Text.

• Texte électronique
Il s’agit de modèles RTF spécialisés utilisés pour créer une sortie de texte pour les
transactions d’échange de données informatisé (EDI) ou de transfert électronique de fonds
(TEF).

• Flash
La prise en charge des mises en page Flash par BI Publisher vous permet de développer
des modèles Adobe Flex qui peuvent être appliqués aux rapports BI Publisher pour
générer des documents de sortie Flash interactifs.

A propos de la définition des propriétés d’exécution


BI Publisher fournit une variété de paramètres contrôlés par l’utilisateur qui sont spécifiés
via une page de configuration d’exécution facilement accessible. Il s’agit notamment des
paramètres de sécurité pour les rapports PDF individuels, des paramètres d’affichage de
sortie HTML, du mappage des polices, de la mise en forme des devises et d’autres
paramètres spécifiques à la sortie. Pour plus d’informations, consultez Définition des
propriétés d’exécution, page 22-1.

À propos de Bursting
Grâce à la fonctionnalité d’éclatement de BI Publisher, vous pouvez diviser un seul rapport par
lots en rapports individuels à livrer à plusieurs destinations. Vous pouvez appliquer une mise
en page, un format de sortie, une méthode de remise et des paramètres régionaux différents à
chaque segment fractionné de votre rapport. Voici des exemples d’implémentations :
• Génération et livraison de factures en fonction des mises en page spécifiques au client et
des préférences de livraison

• Rapports financiers pour générer un rapport master de tous les centres de coûts, éclatant

1-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
rapports individuels du centre de coûts au gestionnaire approprié

• Génération de fiches de paie à tous les employés sur la base d’un seul extrait et livrées
par e-mail

Pour plus d’informations, consultez Ajout d’une définition d’éclatement à votre modèle de
données, page 14-2.

À propos des traductions


BI Publisher offre la possibilité de créer un fichier XLIFF à partir de vos modèles RTF. XLIFF
est le format de fichier d’échange de localisation XML. C’est le format standard utilisé par les
fournisseurs de localisation. À l’aide de l’outil de génération XLIFF de BI Publisher, vous
pouvez générer le fichier de traduction standard de votre modèle RTF. Vous pouvez traduire ce
fichier (ou l’envoyer à un fournisseur de traduction). Une fois traduit, le fichier peut être
téléchargé vers la définition de rapport sous le paramètre régional approprié afin qu’au moment
de l’exécution, le rapport traduit soit automatiquement exécuté pour les utilisateurs sélectionnant
les paramètres régionaux correspondants. Pour plus d’informations, consultez Traduction de
rapports et d’objets de catalogue, page 27-1.

À propos des modèles de style


Un modèle de style est un modèle RTF qui contient des informations de style qui peuvent être
appliquées aux modèles de mise en page. Les informations de style contenues dans le modèle
de style sont appliquées aux modèles de mise en page de rapport au moment de l’exécution afin
d’obtenir une apparence cohérente dans l’ensemble de vos rapports d’entreprise.
Pour plus d’informations, consultez Création et implémentation de modèles de style, page 23-1.

À propos des sous-modèles


Un sous-modèle est une fonctionnalité de mise en forme qui peut être définie une fois et utilisée
plusieurs fois dans un seul modèle de mise en page ou dans plusieurs fichiers de modèle de mise
en page. Ce formatage peut être dans un format de fichier RTF ou un format de fichier XSL. Les
sous-modèles RTF sont faciles à concevoir car vous pouvez utiliser les fonctionnalités natives
de Microsoft Word. Les sous-modèles XSL peuvent être utilisés pour des exigences complexes
en matière de mise en page et de données.
Pour plus d’informations, consultez Création et implémentation de sous-modèles, page 24-1.

Nouvelles fonctionnalités
Les nouvelles fonctionnalités d’Oracle Business Intelligence Publisher 11g Release 1 (11.1.1)
incluent :
• Améliorations majeures de l’interface utilisateur

• Catalogue de présentation Oracle BI partagé

• Outil de conception de l’éditeur de mise en page

Int
roduction1-5
• Visionneuse interactive

• Éditeur de modèle de données

• Sous-modèles

• Modèles de style

• Sortie PDF compressée

• Options de planification améliorées

Améliorations majeures de l’interface utilisateur


L’interface utilisateur a subi des améliorations majeures dans plusieurs domaines, y compris une
nouvelle page d’accueil et des éditeurs et des volets repensés. Ces améliorations visent à rendre
l’utilisation d’Oracle BI Publisher plus facile et plus cohérente. Ce guide fournit des
informations détaillées sur l’utilisation des différents éléments de l’interface utilisateur.

Catalogue de présentation Oracle BI partagé


Pour les installations de BI Publisher avec Oracle BI Enterprise Edition, BI Publisher partage
désormais le même catalogue avec les services Oracle BI Presentation.

Outil de conception de l’éditeur de mise en page


Cette version introduit un nouveau type de modèle de mise en page et d’outil de
conception. L’éditeur de mise en page est lancé à partir de BI Publisher et fournit une
interface intuitive de glisser-déposer WYSIWIG pour la conception de mises en page de
rapports.

Visionneuse interactive
Pour les rapports créés avec le nouvel éditeur de mise en page BI Publisher, un nouveau type de
sortie interactive est disponible. La visionneuse interactive active les détails des graphiques
contextuels, les tableaux défilants, le filtrage des tableaux, le tri des tableaux et le filtrage
propagé entre les différents composants du rapport. Cette interactivité est obtenue simplement
en concevant le rapport dans l’éditeur de mise en page, aucun codage supplémentaire n’est
nécessaire.

Éditeur de modèle de données


Cette version présente l’éditeur de modèle de données pour créer vos modèles de données de
rapport. L’éditeur de modèle de données vous permet de combiner des données provenant de
plusieurs ensembles de données provenant de différentes sources de données, telles que SQL,
des fichiers Excel, des services Web, des flux HTTP et d’autres applications dans une structure
de données XML unique. Les ensembles de données peuvent être sans rapport ou une relation
peut être établie entre eux à l’aide d’une liaison de données.

1-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Le modèle de données est enregistré en tant qu’objet catalogue distinct. Cela signifie qu’un seul
modèle de données peut être utilisé pour plusieurs rapports.

Sous-modèles
Auparavant, les sous-modèles devaient être stockés en dehors du catalogue BI Publisher et
appelés au moment de l’exécution à partir du répertoire externe. Dans cette version, vos sous-
modèles RTF et XSL peuvent être enregistrés et gérés en tant qu’objets dans le catalogue BI
Publisher.

Modèles de style
Un modèle de style est un modèle RTF qui contient des informations de style qui peuvent être
appliquées aux mises en page RTF. Les informations de style contenues dans le modèle de
style sont appliquées aux mises en page RTF au moment de l’exécution afin d’obtenir une
apparence et un feel cohérents dans vos rapports d’entreprise. Les modèles de style sont
enregistrés et gérés dans le catalogue BI Publisher.

Sortie PDF compressée


Cette version introduit une fonctionnalité permettant de diviser un fichier de sortie PDF
volumineux en fichiers plus petits et plus faciles à gérer, tout en conservant l’intégrité du
rapport en tant qu’unité logique. Lorsque le fractionnement de sortie PDF est activé pour un
rapport, le rapport est divisé en plusieurs fichiers générés dans un seul fichier zip. Le type de
sortie est PDFZ. Pour faciliter l’accès aux fichiers de composants, BI Publisher génère
également un fichier d’index an qui spécifie depuis et vers les éléments contenus dans chaque
fichier PDF de composant.

Options de planification améliorées


Une seule tâche de rapport peut désormais produire plusieurs sorties, chacune avec une
mise en page différente appliquée et chacune envoyée à une destination différente. Les
options de planification ont été améliorées pour permettre davantage d’options de modèle
de récurrence.

Int
roduction1-7
Partie 2
Affichage et planification des
rapports
2
Commencer

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Accès à Oracle Business Intelligence Publisher
• Définition des préférences de mon compte et affichage de mes groupes
• À propos de la page d’accueil
• À propos du catalogue
• À propos de l’en-tête global
• Recherche dans le catalogue

Accès à Oracle Business Intelligence Publisher

Connexion avec des informations d’identification :


1. Accédez à l’URL fournie par votre administrateur (par exemple :
http://example.com:9704/xmlpserver).

Mise en
rou
te2-1
2. Sélectionnez la langue que vous préférez pour l’interface utilisateur.

3. Entrez vos informations d’identification pour vous connecter à BI Publisher.

4. Cliquez sur Se connecter.


Remarque : Le mode Accessibilité affiche le catalogue dans une
arborescence pour les utilisateurs nécessitant une navigation au clavier.

Connexion en tant qu’invité :


Si votre administrateur a activé l’accès invité, un bouton Invité s’affiche sur la page de
connexion.
Un utilisateur invité n’a pas besoin d’informations d’identification et dispose de
privilèges uniquement pour afficher les rapports disponibles dans le dossier configuré
pour l’accès invité.
1. Sélectionnez la langue que vous préférez pour l’interface utilisateur.

2. Cliquez sur Invité.


Pour afficher les rapports, voir Affichage d’un rapport, page 3-1.

2-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Quelle est la prochaine étape ?
Pour définir les préférences de l’utilisateur, voir Définition des préférences de mon compte, page
2-3.
Pour afficher les rapports, voir Affichage d’un rapport, page 3-1.
Pour parcourir le catalogue, voir Parcourir le catalogue, pages 2 à 7.
Pour planifier des rapports, consultez Création de tâches de rapport, page 4-1.

Définition des préférences de mon compte et affichage de mes


groupes
Remarque : Vos préférences peuvent être héritées d’un autre produit Oracle.
Si cela est vrai pour votre environnement de travail, vous ne pouvez pas
mettre à jour vos preferences à partir de BI Publisher. Si vous ne savez pas où
mettre à jour vos préférences, demandez à votre administrateur.

Utilisez la boîte de dialogue Mon compte pour :


• Définir les préférences générales

• Modifier votre mot de passe

• Afficher les rôles attribués

Pour accéder à la boîte de dialogue Mon compte :


• Dans l’en-tête global, cliquez sur votre nom d’utilisateur affiché après Connecté en tant
que , puis sélectionnez Mon compte.
Mise en
rou
te2-3
Pour définir les préférences générales
Utilisez l’onglet Général pour définir les éléments suivants :

Paramètres régionaux du rapport


Un paramètre régional est une combinaison de langue et de territoire (par exemple, l’anglais
(États-Unis) ou le Français (Canada)). BI Publisher utilise la sélection des paramètres
régionaux du rapport pour déterminer les éléments suivants :
• la traduction de mise en page à appliquer à un rapport

• la mise en forme du nombre, de la date et de la devise à appliquer aux données du rapport

Notez que si un rapport particulier n’a pas de traduction de mise en page pour les paramètres
régionaux sélectionnés, BI Publisher appliquera une logique de secours de paramètres régionaux
pour sélectionner la mise en page la plus appropriée disponible. Pour plus d’informations,
consultez Logique de sélection des paramètres régionaux, pages 27 et 5.
BI Publisher applique une mise en forme localisée du numéro, de la date et de la devise
indépendamment de la traduction de la mise en page.

Langue de l’interface utilisateur


La langue de l’interface utilisateur est la langue dans laquelle votre interface utilisateur
s’affiche. La langue que vous avez sélectionnée lors de la connexion sera sélectionnée par
défaut. Choisissez parmi les langues disponibles pour votre installation.

Fuseau horaire
Les rapports afficheront l’heure en fonction de la préférence de fuseau horaire sélectionnée ici.
Vous pouvez remplacer ce paramètre lors de la création d’un travail de rapport planifié (voir
Création de travaux de rapport, page 4-1). Notez que l’heure affichée sur l’interface utilisateur et
reflétée dans les délais de traitement des rapports est régie par la zone time du serveur BI
Publisher.

Mode d’accessibilité
Si vous définissez cette valeur sur « Activé », le catalogue de rapports s’affiche dans une
arborescence accessible à l’aide de touches de clavier.

Pour modifier votre mot de passe


Pour modifier votre mot de passe, cliquez sur l’onglet Mot de passe de la boîte de dialogue Mon compte.
Remarque: Si les paramètres de mot de passe de votre compte sont hérités
d’une autre application, vous ne pourrez pas mettre à jour votre mot de passe
ici.

2-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pour afficher vos groupes d’utilisateurs
Cliquez sur l’onglet Mes groupes pour afficher la liste des rôles d’application
auxquels vous êtes affecté. Vous ne pouvez pas modifier cette liste.

À propos de la page d’accueil


La page d’accueil d’Oracle BI Publisher fournit une entrée intuitive basée sur les tâches dans les
fonctionnalités d’Oracle BI Publisher. La page d’accueil est divisée en sections qui vous
permettent de commencer rapidement une tâche spécifique, de localiser un objet ou d’accéder à
la documentation. La figure suivante illustre la page d’accueil.

La page d’accueil se compose des sections suivantes :

Créer
Fournit des liens pour lancer des tâches de création. Cliquez sur Plus pour accéder aux
options non affichées. BI Publisher remplit cette liste en fonction des autorisations ou des
rôles dont vous disposez.

Parcourir/Gérer
Fournit un accès rapide au catalogue, où vous pouvez parcourir et gérer des rapports et
d’autres objets de catalogue, ainsi qu’aux pages Travaux de rapport et Historique des travaux
de rapport où vous pouvez afficher et gérer les travaux de rapport planifiés et terminés.

Mise en
rou
te2-5
Démarrer
Cette section contient les liens suivants :
• Télécharger BI Publisher Tools
Cette liste contient des produits supplémentaires que vous pouvez télécharger et installer.
• Générateur de modèles pour Word
Ce complément pour Microsoft Word facilite la conception de modèles RTF. Pour
plus d’informations, consultez Création d’un modèle RTF à l’aide du Générateur de
modèles pour Word, page 18-1.

• Analyseur pour Excel


Ce complément pour Microsoft Excel vous permet de manipuler les résultats d’une
requête de rapport dans Excel et de télécharger une feuille de calcul dans BI Publisher
pour l’utiliser comme mise en page. Pour plus d’informations, consultez Utilisation de
BI Publisher Analyzer pour Excel, pages 3 à 11.

• Développeur Oracle SQL


Oracle SQL Developer est un outil graphique gratuit et entièrement pris en charge
pour le développement de bases de données. Avec SQL Developer, vous pouvez
parcourir des objets de base de données, exécuter des instructions SQL et des scripts
SQL, ainsi que modifier et déboguer des instructions PL/SQL. Vous pouvez
également exécuter n’importe quel nombre de rapports fournis, ainsi que créer et
enregistrer les vôtres. SQL Developer améliore la productivité et simplifie vos tests de
développement de base de données.

• Réseau technologique Oracle


Accédez à Oracle Technology Network (OTN) pour rechercher des articles techniques sur les
produits Oracle, participer à des discussions sur les produits Oracle, poser des questions
techniques à la communauté des utilisateurs et rechercher et télécharger des produits Oracle.

• Documentation d’aide
Ouvre la table des matières de l’aide.

Récent
Contient une liste des rapports que vous avez récemment consultés, créés ou mis à jour. Si votre
rôle inclut l’accès aux modèles de données, aux sous-modèles ou aux modèles de style, ils seront
également inclus.

Les plus populaires


Contient les objets auxquels vous et les utilisateurs affectés accédez le plus souvent

2-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
les groupes auxquels vous appartenez.

À propos du catalogue
Le catalogue Oracle BI Publisher stocke les objets, tels que les rapports, les modèles de données
et les modèles de style, que vous créez à l’aide de l’application Oracle BI Publisher. La figure
suivante illustre la page Catalogue.

Utilisez la page Catalogue pour localiser des objets dans le catalogue et effectuer des tâches
spécifiques à ces objets. Les objets et options disponibles sont déterminés par vos privilèges
système et les autorisations attribuées à des dossiers et objets individuels.
La page Catalogue peut également être utilisée pour effectuer des tâches plus spécialisées telles
que :
• Définition des autorisations au niveau de l’objet

• Téléchargement et chargement d’objets archivés

• Exportation et importation de traductions de catalogue

Pour plus d’informations sur les fonctions que vous pouvez exécuter dans le catalogue, voir :
Gestion des objets dans le catalogue, page 7-1.

Parcourir le catalogue
Utilisez la fenêtre Dossiers de la page Catalogue pour afficher et afficher le contenu des
dossiers personnels (Mes dossiers) et partagés auxquels tous les utilisateurs peuvent
accéder. Sélectionnez un dossier pour afficher son contenu dans la zone d’affichage.

Mise en
rou
te2-7
Utilisation de la barre de localisation pour trouver votre place et revenir en arrière
La barre Emplacement affiche votre emplacement actuel dans la structure de répertoires du
catalogue. La barre Emplacement conserve également les emplacements de catalogue que
vous avez visités au cours de votre session de catalogue en cours.
Pour revenir à un dossier que vous avez précédemment visité au cours de cette session, cliquez sur la
flèche du bouton
Barre d’emplacement pour ouvrir la liste des chemins d’accès comme illustré dans la figure suivante
:

À propos de l’en-tête global


L’en-tête global, illustré dans la figure suivante, contient des liens et des options qui vous
permettent de démarrer rapidement une tâche ou de localiser un objet spécifique dans BI
Publisher. De nombreuses options disponibles à partir de l’en-tête global sont également
disponibles dans la page d’accueil.

L’en-tête global s’affiche toujours dans l’interface utilisateur. Lorsque vous affichez un rapport
ou que vous travaillez dans l’un des éditeurs de tâches, vous pouvez utiliser l’en-tête global
pour lancer rapidement une nouvelle tâche, effectuer une recherche dans le catalogue, accéder à
la documentation du produit ou afficher un autre objet.
La zone Connecté en tant que vous permet d’accéder à la boîte de dialogue Mon compte,
où vous pouvez spécifier vos préférences. Pour plus d’informations, voir Définition des
préférences, pages 2-3.
Si vous êtes connecté en tant qu’administrateur, le lien Administration s’affiche dans l’en-tête
global pour permettre l’accès à la page Administration. Pour plus d’informations sur les tâches de la
page Administration, voir À propos de la page Administration, Oracle Fusion

2-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Guide de l’administrateur et du développeur middleware pour Oracle Business Intelligence
Publisher.

Recherche dans le catalogue


Utilisez la fonction de recherche globale d’en-tête pour localiser rapidement un objet par type
et par nom, où que vous soyez dans le catalogue.
Dans le menu Rechercher , sélectionnez le type d’objet et entrez tout ou partie du nom de l’objet
dans le champ de recherche. Cliquez sur le bouton Rechercher pour afficher les résultats qui
correspondent à vos critères.
À partir de la page de résultats, vous pouvez sélectionner et effectuer une action sur un
objet à partir des résultats, filtrer les résultats de la recherche ou lancer une nouvelle
recherche.
Mise en
rou
te2-9
3
Affichage d’un rapport

A propos de l’affichage des rapports dans BI Publisher


Vous pouvez exécuter et afficher un rapport en ligne à l’aide de la visionneuse de rapports.
En fonction des mises en page du rapport et de vos autorisations utilisateur, vous pouvez
sélectionner différentes mises en page, modifier le type de sortie, exporter, planifier ou
envoyer le rapport à quelqu’un d’autre, ou interagir directement avec les données affichées.
Ce chapitre comprend les rubriques suivantes :
• Affichage d’un rapport, page 3-1

• Utilisation des options de la visionneuse de rapports, pages 3-2

• Création d’un tableau croisé dynamique ad hoc avec l’analyseur, pages 3-5

• Affichage des données dans Microsoft Excel, pages 3-11

Affichage d’un rapport


Tous les rapports résident dans le catalogue. Votre page d’accueil affichera les rapports
récemment consultés et les plus populaires pour un accès rapide.

Pour afficher un rapport


1. Accédez au rapport.
Le catalogue affiche deux dossiers de rapports principaux.
• Dossiers partagés contient les rapports et les dossiers auxquels vous avez eu accès en
fonction de votre rôle.

• Mes dossiers contient les rapports et les dossiers que vous avez créés.

Affichage d’un
rap
port3-1
2. Ouvrez le dossier approprié, puis cliquez sur le nom du rapport ou sur le lien Ouvrir du
rapport. Cela exécutera le rapport à l’aide des options définies par l’auteur du rapport.
Remarque : Certains rapports ne sont pas configurés pour l’affichage en
ligne. Pour ces rapports, le lien Ouvrir ne s’affiche pas. Sélectionnez
Planifier pour planifier une tâche de rapport. Voir Création d’emplois
dans le rapport, page 4-1.
Certains rapports peuvent nécessiter que vous sélectionniez des valeurs de
paramètre avant d’exécuter le rapport. Si le rapport n’affiche pas
immédiatement les données, sélectionnez les valeurs des paramètres
affichés et cliquez sur Appliquer.

Utilisation des options de la visionneuse de rapports


La figure suivante illustre la visionneuse de rapports :

La liste suivante décrit les composants de la visionneuse de rapports. Toutes les options
ne sont pas disponibles pour tous les rapports :
• Paramètres : si le rapport inclut des paramètres, ceux-ci sont présentés sous forme
d’invites dans la visionneuse de rapports. Pour afficher le rapport avec de nouvelles valeurs
de paramètre, entrez ou sélectionnez les valeurs et sélectionnez Appliquer.

• Mise en page - si plusieurs mises en page sont disponibles, elles seront affichées sous forme
d’onglets distincts dans

3-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
la page de la visionneuse de rapports. Pour sélectionner une nouvelle mise en page, cliquez sur l’onglet.

• Afficher le rapport - si plusieurs types de sortie sont disponibles, sélectionnez le type de


sortie souhaité dans la liste. La sortie sera rendue dans votre navigateur ou vous pouvez être
invité à ouvrir une application appropriée pour l’affichage. Les valeurs possibles sont les
suivantes :
• Interactif - cette sortie n’est disponible que pour les mises en page conçues à l’aide
de l’éditeur de mise en page de BI Publisher . La sortie interactive permet d’afficher
les valeurs du graphique avec la souris, de faire défiler et de filtrer les tableaux et
d’autres fonctionnalités interactives pour un rapport.

• HTML - (Hypertext Markup Language) met en forme le rapport pour l’affichage dans le
navigateur.

• PDF - (Portable Document Format) ouvre le rapport dans Adobe Acrobat Reader.

• RTF - (Rich Text Format) est un format utilisé par les applications de traitement de
texte. Si une application de traitement de texte est installée, telle que Microsoft
Word ou OpenOffice.org, vous serez invité à ouvrir l’application pour l’afficher.

• Excel - choisissez ce type de sortie si Microsoft Excel 2003 ou version ultérieure est
installé. Cette option génère un fichier au format MHTML qui peut être ouvert dans
Excel 2003 ou version ultérieure. Cette option prend en charge les images
incorporées, telles que les graphiques et les logos.

• Excel2000 - choisissez ce type de sortie si vous avez Microsoft Excel 2000 ou 2002.
Cette option génère du code HTML qui peut être ouvert dans Excel. Il ne prend pas
en charge les images incorporées.

• PowerPoint - choisissez ce type de sortie pour générer un fichier PowerPoint


compatible avec Microsoft PowerPoint 2003.

• PowerPoint 2007 - choisissez ce type de sortie pour générer un fichier PowerPoint


2007.

• Flash - affiche la sortie pour les modèles Flash. Le plug-in Adobe Flash Player doit
être installé pour votre navigateur Web.

• CSV - répartit les données au format de valeurs séparées par des virgules. Les données
doivent être dans une structure <rowset>/<row> simple.

• Données : affiche les données du rapport au format XML.

• MHTML - (Mime HyperText Markup Language) ce format vous permet


d’enregistrer une page Web et ses ressources en tant que fichier MHTML unique
(.mht), dans lequel toutes les images et les fichiers liés seront enregistrés en tant
qu’entité unique. Utilisez cette option si vous souhaitez envoyer ou enregistrer une
sortie HTML et conserver les images incorporées et la mise en forme de la feuille de
style.

Affichage d’un
rap
port3-3
• PDFZ - (PDF compressé) - cette option n’est disponible que pour les rapports qui ont
été conçus pour activer la sortie PDF compressée. BI Publisher génère un fichier zip
contenant les fichiers de sortie et d’index PDF du rapport.

• FO - génère un fichier XML avec les informations XSL-FO.

Actions
Le menu Actions fournit d’autres actions que vous pouvez effectuer sur le rapport. La liste
complète des options possibles suit. Les options qui s’offrent à vous dépendront de vos
privilèges d’utilisateur.
• Modifier le rapport vous permet de mettre à jour la définition du rapport. Par exemple,
vous pouvez ajouter ou créer de nouvelles mises en page, mettre à jour les propriétés du
rapport ou modifier les valeurs des paramètres par défaut. Consultez Création d’un nouveau
rapport, pages 15-2 pour plus d’informations sur l’utilisation de l’éditeur de rapports.

• Modifier la mise en page vous permet de mettre à jour ou de créer des mises en page dans
l’éditeur de mise en page. Voir Création d’un modèle de mise en page BI Publisher, pages
16-1. Si la mise en page a été créée à l’aide de l’éditeur de mise en page, elle sera ouverte
pour modification. Si la mise en page n’a pas été créée dans l’éditeur de mise en page, vous
serez amené à enregistrer le fichier de modèle.

• Export exporte le rapport vers l’application par défaut pour le type de sortie que vous
sélectionnez (par exemple : sortie Adobe Acrobat pour PDF ou Sortie Microsoft Excel pour
Excel).

• Envoyer vous permet de planifier la remise immédiate du rapport à une adresse e-


mail, une imprimante ou une autre destination.
L’action Envoyer lance la page Planifier le travail de rapport dans laquelle vous
pouvez sélectionner les options de sortie, de destination et de notification.
Remarque : Vous ne pouvez pas envoyer de rapport en mode interactif.
Tout d’abord, sélectionnez un autre type de sortie (tel que PDF ou
HTML) dans la liste Afficher le rapport, puis cliquez sur Envoyer.

• Schedule crée une tâche pour exécuter et distribuer le rapport. Voir Création d’emplois
dans le rapport, page 4-1.

• Jobs vous permet d’afficher et de gérer les tâches actuellement planifiées pour ce rapport.
Reportez-vous à la section Affichage et gestion des tâches de rapport, page 5-1.

• L’historique des tâches vous permet d’afficher les tâches de rapport terminées. Voir
Affichage et gestion de l’historique des rapports, page 6-1.

• La republication à partir de l’historique vous permet de sélectionner une tâche


précédemment planifiée et terminée et une sortie spécifique à afficher dans la
visionneuse de rapports.

3-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Analyzer vous permet de créer des vues pivot ad hoc des données à l’aide de l’analyseur
en ligne. Voir Utilisation de l’analyseur en ligne, pages 3-5.

• Analyzer pour Excel exporte les données du rapport vers Microsoft Excel. Voir Utilisation
d’Oracle BI Publisher Analyzer pour Excel, pages 3 à 11.

• Partager le lien de rapport vous permet de créer un lien que vous pouvez copier et
réutiliser, en fonction du rapport que vous consultez actuellement. Lorsque vous
sélectionnez l’une des options, une boîte de dialogue affiche l’URL du rapport. Vous
pouvez contrôler ce qui sera affiché par l’URL comme suit :
• Page active affiche la page active comme indiqué.

• Aucun en-tête n’affiche le rapport actuel sans le logo, les onglets ou le chemin de
navigation de BI Publisher.

• Aucun paramètre n’affiche le rapport en cours sans l’en-tête ni aucune sélection de


paramètre. Les menus Actions, Exporter et Afficher le rapport seront toujours
disponibles.

• Document uniquement affiche uniquement l’URL du document de rapport actif.


Aucune autre information ou option de page ne sera affichée.

Remarque : Partager le lien de rapport est une propriété de rapport


qui peut être désactivée. Reportez-vous à la section Définition des
propriétés de rapport, pages 15 et 11 pour plus d’informations sur la
définition de cette propriété et d’autres propriétés de rapport.

Création d’un tableau croisé dynamique ad hoc avec l’analyseur


Remarque : Votre administrateur doit vous attribuer les autorisations
appropriées pour utiliser cette fonctionnalité.

L’analyseur en ligne vous permet de créer des analyses ad hoc de vos données en faisant glisser
et en déposant rapidement vos éléments de données de rapport dans une structure de tableau
croisé dynamique. Vous pouvez ensuite enregistrer votre tableau croisé dynamique en tant que
mise en page pour le rapport. L’interface vous permet de réorganiser et de gérer facilement vos
données en faisant glisser des éléments vers différentes positions de ligne, de colonne ou de
résumé.
Vous pouvez limiter les données affichées dans votre tableau croisé dynamique en définissant
des filtres au niveau de la page. Le filtre au niveau de la page est un élément de votre
ensemble de données permettant de spécifier les résultats distribués dans le tableau. Faites
glisser et déposez l’élément souhaité du volet de données vers la zone Élément de page pour
créer automatiquement un menu des valeurs de cet élément. Vous pouvez ensuite sélectionner
une valeur dans la liste pour filtrer les résultats dans le tableau afin d’afficher uniquement le
data qui correspond à votre sélection.

Affichage d’un
rap
port3-5
Après avoir sélectionné tous les éléments de données de la table, choisissez d’afficher la
somme, la moyenne ou le nombre de données.
Cette rubrique contient deux procédures :
• Création d’un tableau croisé dynamique interactif, pages 3-6

• Enregistrement de votre tableau croisé dynamique interactif en tant que mise en page, pages 3-10

Limites de l’analyseur en ligne


Étant donné que les données présentées dans Online Analyzer proviennent du fichier XML
source, aucune information de type de données n’est disponible ; par conséquent, les formats
numériques ne peuvent pas être localisés en fonction des préférences de paramètres régionaux
du rapport.

À propos de la barre d’outils Online Analyzer


La barre d’outils Analyzer vous permet d’exécuter les fonctions suivantes :
• New crée une nouvelle structure de tableau croisé dynamique vide . Si vous avez déjà
créé une analyse que vous souhaitez enregistrer, vous devez cliquer sur Enregistrer
avant de cliquer sur Nouveau.

• Exporter : vous permet d’exporter et d’enregistrer votre tableau croisé dynamique en tant que
mise en page BI Publisher.

• Déplacer la décimale vers la gauche - cliquez une fois pour afficher une position
décimale supplémentaire. Vous pouvez continuer à cliquer pour déplacer la décimale
plusieurs fois.

• Déplacer la décimale vers la droite - cliquez une fois pour supprimer l’affichage d’une
position décimale. Vous pouvez continuer à cliquer pour déplacer la décimale plusieurs
fois.

Création d’un tableau croisé dynamique interactif


Cette procédure décrit comment créer un tableau croisé dynamique interactif à l’aide de
l’Analyseur en ligne :

Pour créer un tableau croisé dynamique interactif :


L’exemple suivant affiche l’utilisation de l’analyseur avec un rapport d’analyse des ventes
simple :
1. Dans la visionneuse de rapports, cliquez sur Actions , puis sur Analyseur.
L’interface Analyzer affiche la liste des champs de données d’un volet et une structure de
tableau croisé dynamique vide dans le volet adjacent, comme illustré dans la figure
suivante.
3-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
2. Pour filtrer par CATEGORY_NAME, faites glisser l’élément vers la région Éléments de page,
comme illustré
dans la figure suivante :

Affichage d’un
rap
port3 à 7
Vous pouvez maintenant choisir une valeur dans la liste CATEGORY_NAME pour
filtrer les données de page, comme illustré dans la figure suivante :

3-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
3. Pour afficher les ventes de produits par année, faites glisser PRODUCT_NAME dans la
zone Champ de ligne et déposez ORDER_YEAR dans la zone Champ de colonne. Déposez
les données SALES dans la zone du corps de la table, comme illustré dans la figure
suivante :

Vous pouvez maintenant voir les totaux de ventes calculés sous la forme d’une somme des
éléments de données.

4. Ajoutez la dimension de ORDER_PERIOD à la table en faisant glisser l’élément de


données sur le ORDER_YEAR, comme illustré dans la figure suivante :
Affichage d’un
rap
port3 à 9
5. Vous pouvez maintenant cliquer sur le ORDER_YEAR pour l’ouvrir afin
d’afficher le total de chaque ORDER_PERIOD. Cliquez à nouveau pour
fermer l’élément et afficher uniquement le total ORDER_YEAR.

Enregistrement de votre tableau croisé dynamique interactif en tant que mise en page :
Vous pouvez enregistrer votre tableau croisé dynamique en tant que mise en page pour votre
rapport en l’exportant et en l’enregistrant en tant que mise en page BI Publisher. La commande
export enregistre le tableau croisé dynamique en tant que serveur de publication BI

3-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
type de mise en page (.xpt). Il aura alors toutes les fonctionnalités et propriétés d’une mise
en page BI Publisher.
1. Cliquez sur Exporter.

2. Dans la boîte de dialogue, entrez un nom. La mise en page de l’analyseur sera enregistrée
en tant que sélection de mise en page pour ce rapport.

3. Fermez l’analyseur en ligne.

4. Dans le menu Actions , cliquez sur Modifier le rapport.

5. Dans l’Éditeur de rapports, cliquez sur Afficher une liste pour afficher les mises en page
dans l’affichage de liste.

6. Localisez votre nouvelle mise en page dans le tableau de mise en page et sélectionnez-la
dans les paramètres régionaux.

7. Cliquez sur Enregistrer.

Utilisation de l’analyseur pour Excel


Remarque : Votre administrateur doit vous attribuer les autorisations
appropriées pour utiliser cette fonctionnalité.

Conditions préalables
• Téléchargez et installez Analyzer for Excel à partir de la page d’accueil, région Prise
en main : cliquez sur Télécharger les outils BI Publisher, puis sur Analyzer pour
Excel.

• Microsoft .NET Framework 3.0 ou version ultérieure


S’il n’est pas installé sur votre ordinateur, vous serez invité à le télécharger la première
fois que vous utiliserez Analyzer pour Excel.

• Version prise en charge de Microsoft Excel. Voir Configuration système requise et


certification, page xix pour obtenir les informations les plus récentes sur le matériel et les
logiciels pris en charge.

Fonctionnalités
L’analyseur pour Excel offre deux modes : le mode en ligne et le mode hors ligne. Le
concepteur de rapports définit le mode comme propriété du rapport. Le mode en ligne est le
mode par défaut et est décrit dans cette section. Pour plus d’informations sur le mode hors
connexion, voir Options d’Excel Analyzer, pages 15-14.
L’analyseur pour Excel vous permet de :
• Exporter les résultats de la requête de rapport vers une feuille de calcul Excel

• Connectez-vous à BI Publisher Enterprise à partir d’Excel pour actualiser vos données,


appliquer de nouvelles
Affichage d’un
rapp
ort3-11
et appliquer une mise en page aux données du rapport

• Créer des mises en page Excel Analyzer et les télécharger sur le serveur BI Publisher

• Accéder à vos rapports et les exécuter à partir d’une session Excel

Lancement de l’analyseur pour Excel


1. Dans la visionneuse de rapports, cliquez sur le bouton de la barre d’outils Actions, puis
sélectionnez Analyseur pour Excel dans la liste. Vous serez invité à enregistrer ou à
ouvrir le fichier de rapport.

2. Lorsque vous ouvrez le fichier dans Excel, sélectionnez Activer les macros dans la boîte de
dialogue Excel.
Remarque : Vous devez activer les macros pour utiliser Analyzer
for Excel en mode en ligne.

Les données de votre rapport s’affichent dans une feuille de calcul Excel et le menu
Oracle BI Publisher s’affiche dans votre barre de menus Excel. Notez que les données sont
les résultats de la requête de rapport sans mise en page ni filtrage appliqué.
Vous pouvez maintenant manipuler les données du rapport dans Excel.
Si le rapport comporte des paramètres, les champs de paramètres apparaissent en haut
de la feuille de calcul, mais vous devez vous connecter pour appliquer de nouvelles
valeurs de paramètre. Reportez-vous à la section Utilisation du menu Oracle BI
Publisher, pages 3 à 12.

Utilisation du menu BI Publisher


Vous devez vous connecter pour activer toutes les commandes de menu.
La connexion vous permet de vous connecter à BI Publisher. Voir Connexion via Excel, pages 3-14.
Afficher les paramètres du rapport : affiche les paramètres pouvant être mis à jour et les
mises en page disponibles pour le rapport dans une barre d’outils.

3-12Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Barre d’outils Analyzer pour Excel

Pour mettre à jour les données, sélectionnez une nouvelle valeur de paramètre, puis cliquez sur
Actualiser les données pour actualiser les données de la feuille active.
Pour appliquer une mise en page, sélectionnez-la, puis cliquez sur Actualiser les données
mises en forme. Cela téléchargera le rapport au format HTML dans une nouvelle feuille de
calcul. Sélectionnez la nouvelle feuille de calcul pour afficher les données avec la nouvelle
mise en page appliquée.
Remarque : La mise en page que vous sélectionnez doit avoir HTML comme sortie
disponible.

Pour modifier les valeurs des paramètres de cette feuille de calcul, sélectionnez les nouvelles
valeurs, puis cliquez sur Actualiser les données, puis sur Actualiser les données mises en
forme.
Mettre à jour le modèle Excel
Si vous avez modifié la mise en page et wish pour enregistrer vos modifications, utilisez cette
option pour télécharger la mise en page mise à jour dans la définition de rapport dans le
catalogue BI Publisher.
Notez que pour inclure des graphiques dans votre mise en page enregistrée, vous devez les
créer sur la même feuille de calcul téléchargée par l’analyseur Excel.
Ajouter en tant que nouveau modèle Excel
Utilisez cette option pour télécharger votre mise en page et l’enregistrer dans la définition du
rapport.
Afficher le rapport en ligne
Lance la page de la visionneuse de rapports.
Rechercher des rapports en ligne
Cette fonctionnalité vous permet de sélectionner des rapports dans le catalogue BI Publisher et
de les ouvrir directement dans Excel. Vous pouvez soit télécharger les données du rapport dans
Excel, soit télécharger une mise en page existante pour la mettre à jour ou pour l’utiliser
comme point de départ pour une nouvelle mise en page. Voir À propos de la boîte de dialogue
Ouvrir un modèle, pages 3 à 14.
Préférences - sélectez vos paramètres régionaux et proxy si nécessaire.
Affichage d’un
rapp
ort3 à 13
À propos de la boîte de dialogue Ouvrir un modèle
Lorsque vous utilisez la boîte de dialogue Ouvrir le modèle pour lancer le processus de création
de mise en page, vous pouvez ensuite utiliser les options Mettre à jour le modèle Excel du menu
Oracle BI Publisher pour télécharger la mise en page directement dans le rapport approprié dans
le catalogue BI Publisher.
Espace
Sélectionnez Oracle BI Publisher pour parcourir le catalogue.
Volet Rapports
Le volet Rapports répertorie les rapports dans le dossier sélectionné. Sélectionnez un rapport
pour afficher les mises en page disponibles dans le volet Modèles de mise en page.
Ouvrez le modèle de mise en page Téléchargements et ouvre le modèle sélectionné dans
l’Analyseur pour Excel.
Pour démarrer un nouveau modèle, sélectionnez <Nouveau> dans la liste des modèles
of, puis sélectionnez Ouvrir le modèle de mise en page ; ou double-cliquez sur
<Nouveau >.
Utilisez l’icône Haut de l’Explorateur de rapports pour remonter dans la structure de répertoires.
Utilisez le menu Afficher en tant que pour afficher le contenu du dossier sous forme de
grandes icônes, de petites icônes, de liste ou de détails.

Connexion via Excel


Une fois que vous avez installé Analyzer for Excel, vous pouvez vous connecter à BI Publisher
à partir d’Excel, vous n’avez pas besoin de vous connecter à BI Publisher au préalable.
Une fois Excel ouvert, sélectionnez Se connecter dans le menu Oracle BI Publisher. L’écran de
connexion bi-publisher vous invite à entrer vos informations d’identification et à sélectionner
(ou entrer) l’URL du serveur de rapports. Par exemple : http://example.com:7001/xmlpserver.
Important : Pour les installations Oracle BI Enterprise Edition, l’URL doit
pointer vers le /xmlpserver comme indiqué ci-dessus.

3-14Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
4
Création de tâches de rapport

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Navigation vers la page de travail du rapport de planification
• Définition des options générales
• Définition des options de sortie
• Définition de l’horaire de votre travail
• Configuration des notifications
• Soumission de la tâche et examen des détails de la confirmation
• Création d’une tâche bursting
• Sujets avancés

Navigation vers la page de travail du rapport de planification


Utilisez la page Planifier un travail de rapport pour planifier un travail de rapport.
Pour accéder au planificateur :
• Dans la page d’accueil : sélectionnez Travail de rapport dans la région Créer.

• Dans le catalogue : accédez au rapport que vous souhaitez planifier, puis


sélectionnez le lien Planifier .

• Dans la Visionneuse de rapports : cliquez sur Actions , puis choisissez Planifier.

La page Planifier le travail de rapport contient quatre onglets pour définir les options de
votre travail de rapport : Général, Sortie, Planification et Notification.

Définition des options générales


L’onglet Général est illustré dans la figure suivante :

Création de tâches de
rap
port4-1
Entrez les informations générales suivantes pour votre emploi du temps :

Champ Description

Si vous avez accédé à la page de planification à partir du rapport, ce champ


Rapport s’affiche
le chemin d’accès et le nom du rapport.
Si vous avez accédé à la page de planification à partir de la région Créer , cliquez
sur Choisir
recherchez et sélectionnez le rapport que vous souhaitez planifier.

Paramètres Si la définition du rapport inclut des paramètres, ceux-ci seront affichés. Entrer
les valeurs que vous souhaitez utiliser pour cette planification.
Remarque : Les paramètres de date peuvent être incrémentés. Voir Date
d’incrémentation
Paramètres, pages 4-9.

Définition des options de sortie


L’onglet Sortie comporte deux régions : Sortie et Destination. Chaque tâche planifiée peut
avoir plusieurs fichiers de sortie avec des caractéristiques distinctes et chaque fichier de sortie
peut avoir une destination distincte. L’onglet Sortie est illustré dans la figure suivante :

4-2Oracle Fusion Middleware Report Designer’s Guide for Oracle Business Intelligence Publisher
Effectuez des sélections pour les options suivantes :

OptionDescription

Utiliser la définition d’éclatement pour Cochez cette case pour utiliser la définition d’éclatement du rapport pour la
déterminer la destination de sortie et de sortie et la remise. Une fois sélectionnés, tous les autres champs de cette
livraison page sont désactivés pour la sélection. Notez que cette zone n’est disponible
pour la sélection que si le rapport a une définition éclatante. Pour plus
d’informations sur l’éclatement des rapports, consultez Planification d’un
rapport en rafale, pages 4-9.

Cochez cette case pour rendre cette sortie de tâche disponible pour tous
Rendre la sortie publique les utilisateurs avec
l’accès au rapport. Les utilisateurs disposant d’un accès peuvent afficher
le rapport à partir de
la page Historique des tâches de rapport .
Enregistrer les données pour les Cochez cette case pour enregistrer les données XML générées pour cette
republier tâche.
Vous pouvez accéder aux données enregistrées et les télécharger à partir
de la tâche de rapport
Historique, page 6-1 page ou choisir de repeupler ces données,
sélection d’une nouvelle mise en page et de nouvelles options de sortie.

Ajout de sorties
La table de sortie vous permet de créer plusieurs sorties pour une ou plusieurs mises en page à
l’aide d’une combinaison de format de sortie, de paramètres régionaux, de fuseau horaire et de
calendrier. Pour ajouter des sorties pour cette planification, cliquez sur le bouton Ajouter de la
barre d’outils pour ajouter une entrée au tableau.
Création de rapports
d’e
mplois4-3
Champ Description

Nom Entrez un nom pour cette sortie ou acceptez la valeur par défaut.

Disposition Choisissez la mise en page à appliquer à cette sortie.

Format Choisissez le format de sortie.


Paramètres
régionaux Sélectionnez la combinaison langue-territoire pour cette sortie de rapport. Ceci
par défaut, les paramètres régionaux du champ rapport sont définis dans les
préférences de l’utilisateur (voir
Définition des préférences, page 2-3).

Remarque : Si la mise en page n’a pas de traduction disponible pour le


paramètres régionaux sélectionnés, BI Publisher appliquera une logique de
secours de paramètres régionaux pour sélectionner
la mise en page. Pour plus d’informations, voir Logique de sélection des
paramètres régionaux, page 27-
5.

La mise en forme appropriée du nombre et de la date sera appliquée


indépendamment de la traduction du modèle .

Sélectionnez le fuseau horaire que vous souhaitez utiliser pour la sortie de ce


Fuseau horaire rapport. L’heure
Par défaut, la zone correspond au fuseau horaire défini dans les Préférences de
l’utilisateur (voir
Définition des préférences, page 2-3).

Calendrier Choisissez le calendrier à appliquer à cette sortie.


Enregistrer la Cochez cette case si vous souhaitez que la sortie du rapport soit enregistrée. Vous
sortie devez sélectionner ceci
si vous souhaitez afficher votre rapport à partir de l’historique des tâches du
rapport
page.

Ajout de destinations
Entrez les options de livraison dans la région Destination. Pour remettre un rapport à
plusieurs destinations, sélectionnez le bouton Ajouter une destination et continuez à ajouter
des destinations si nécessaire.
Remarque : Les serveurs de livraison sont configurés dans l’interface
d’administration. Pour plus d’informations, consultez Configuration des
options de mise à disposition, Guide de l’administrateur et du développeur
Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher.

Si vous n’avez pas besoin d’une destination, laissez cette région vide. Activez la case à cocher
Enregistrer la sortie pour afficher la sortie à partir de la page Historique des tâches du
rapport. Voir Affichage du rapport
4-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Histoire, page 6-1.
Pour chaque destination que vous ajoutez, sélectionnez dans la liste Sortie les sorties à envoyer
à cette destination.

Entrez ensuite les champs appropriés pour chaque type de destination :

Messagerie électronique
Entrez plusieurs adresses e-mail séparées par une virgule. Entrez le texte du message que
vous souhaitez inclure dans le rapport.

Imprimante
Sélectionnez le groupe d’imprimantes et l’imprimante, entrez le nombre de copies, puis
sélectionnez Recto ou Recto verso (l’imprimante doit prendre en charge l’impression recto
verso pour que cette option prenne effet), puis sélectionnez éventuellement le bac par défaut
de l’imprimante à partir duquel imprimer le rapport et les pages plage d’impression à
imprimer si vous ne souhaitez pas imprimer le rapport entier.

Fax
Sélectionnez le serveur de télécopie pour remettre le rapport et entrez le numéro de
télécopie auquel envoyer le rapport.

FTP
Sélectionnez le serveur FTP sur lequel le serveur doit remettre le rapport et entrez des
informations d’identification de nom d’utilisateur et de mot de passe valides.
Répertoire distant - entrez le répertoire dans lequel remettre le document (exemple :
/pub/). Si aucune valeur n’est saisie, le document sera remis au répertoire de connexion.
Nom de fichier distant : entrez le nom de fichier que BI Publisher doit attribuer au
document de remise sur le serveur distant. (Exemple : myreport.pdf)
Pour attribuer dynamiquement un nom de file à l’aide d’une expression de date, voir
Définition dynamique d’un nom de fichier de destination à l’aide d’une expression de date,
pages 4-10.
Utiliser secure FTP - cochez la case pour utiliser secure FTP.

Création d’emplois de
rapport4-5
Dossier Web
Sélectionnez le serveur de dossiers Web sur lequel vous souhaitez remettre le rapport et
entrez des informations d’identification de nom d’utilisateur et de mot de passe
valides.
Répertoire distant : entrez le répertoire dans lequel remettre le document (exemple :
/pub/). Si aucune valeur n’est saisie, le document sera remis au répertoire de connexion.
Nom de fichier distant : entrez le nom de fichier que BI Publisher doit attribuer au
document de remise sur le serveur distant. (Exemple : myreport.pdf)
Pour attribuer dynamiquement un nom de fichier à l’aide d’une expression de date, voir
Définition dynamique d’un nom de fichier de destination à l’aide d’une expression de date,
pages 4 à 10.

Définition de l’horaire de votre travail


Utilisez l’onglet Planification pour entrer le modèle de récurrence de votre travail de rapport.
L’onglet Planification est illustré dans la figure suivante :

Définition des horaires


Choisissez parmi les options de modèle de récurrence suivantes :

Une fois
Sélectionnez Exécuter maintenant ou utilisez le sélecteur de date pour entrer la date et l’heure de
début spécifiques.

Horaire/Minute
Chaque - sélectionnez Heure(s) ou Minute(s) et entrez la valeur entière appropriée pour
l’incrément .
Démarrer - utilisez le sélecteur de date pour entrer la date et l’heure de début de l’exécution de son
calendrier.

4-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Fin - (facultatif) utilisez le sélecteur de date pour entrer une date et une heure de fin pour cette
planification.

Quotidien
Chaque - entrez l’incrément en jours. Par exemple, pour exécuter le rapport tous les jours,
entrez 1 ; pour exécuter le rapport tous les deux jours, entrez 2.
Démarrer - utilisez le sélecteur de date pour entrer la date et l’heure de début de l’exécution de
cette planification. L’heure sélectionnée déterminera l’heure à laquelle la tâche est exécutée
chaque jour d’exécution.
Fin - (facultatif) utilisez le sélecteur de date pour entrer une date et une heure de fin pour cette
planification.

Hebdomadaire
Chaque - entrez l’incrément en semaines et sélectionnez le ou les jours souhaités de la semaine.
Par exemple, pour exécuter le rapport tous les mardis et jeudis, entrez 1, puis sélectionnez Mardi
et jeudi. Pour exécuter le rapport un mercredi sur deux, entrez 2, puis sélectionnez Mercredi.
Démarrer - utilisez le sélecteur de date pour entrer la date et l’heure de début de l’exécution de
cette planification. L’heure sélectionnée déterminera l’heure à laquelle le travail est exécuté pour
chaque exécution.
Fin - (facultatif) utilisez le sélecteur de date pour entrer une date de fin pour cette planification.

Mensuel
Tous - sélectionnez chaque mois que la planification s’exécutera.
Activé - sélectionnez soit un jour de la semaine, par exemple: 1er lundi de chaque mois; ou
sélectionnez un
jour spécifique du mois, par exemple: 15.
Démarrer - utilisez le sélecteur de date pour entrer la date et l’heure de début de l’exécution de
cette planification. L’heure sélectionnée déterminera l’heure à laquelle la planification est
exécutée pour chaque exécution.
Fin - (facultatif) utilisez le sélecteur de date pour entrer une date de fin pour cette planification.

Annuellement
Chaque - entrez l’incrément en années que la planification exécutera.
Activé - sélectionnez un jour et un mois, par exemple: Jour 1 de janvier; ou select un jour de
la semaine du mois, par exemple : Premier lundi de janvier.
Démarrer - utilisez le sélecteur de date pour entrer la date et l’heure de début de l’exécution de
cette planification. L’heure sélectionnée déterminera l’heure à laquelle la planification est
exécutée pour chaque exécution.
Fin - (facultatif) utilisez le sélecteur de date pour entrer une date de fin pour cette planification.

Dates spécifiques
Ajouter une date - utilisez le sélecteur de date pour entrer la date et l’heure spécifiques à
l’exécution de la planification.
Ajoutez plusieurs dates spécifiques si nécessaire.
Création d’emplois de
rapport4-7
Configuration des notifications
Une notification est un message indiquant qu’une tâche a terminé son traitement. BI
Publisher prend en charge trois états de notification auxquels vous pouvez vous abonner :
• Terminé

• Complété par des avertissements

• Raté

BI Publisher prend en charge deux méthodes de notification : e-mail et HTTP.

Ajout de notifications
Utilisez l’onglet Notification pour configurer les notifications d’une tâche.

Messagerie électronique
Pour activer une notification par courrier électronique.
Sélectionnez l’état d’achèvement du rapport ou les statuts pour lesquels vous souhaitez être
averti, puis entrez une liste d’adresses séparées par des virgules auxquelles envoyer la
notification.

HTTP (en anglais)


Pour activer une notification HTTP :
Sélectionnez l’état d’achèvement du rapport ou les états pour lesquels vous souhaitez envoyer la
notification. Sélectionnez le serveur auquel envoyer la notification HTTP. Entrez le nom
d’utilisateur et

4-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
mot de passe pour le serveur, si nécessaire.
Notez que le serveur HTTP doit être configuré comme option de remise par l’administrateur
pour que la notification HTTP soit disponible. Pour plus d’informations, consultez Ajout d’un
serveur HTTP, Guide du développeur et guide du développeur de l’administrateur Oracle
Fusion Middleware pour Business Intelligence Publisher.

Soumission de la tâche et examen des détails de la confirmation

Soumettre la tâche de planification


Sélectionnez Envoyer. Cela appellera la boîte de dialogue Soumettre la tâche avec les détails de
confirmation que vous pourrez consulter. Entrez un nom pour cette tâche et cliquez sur
Envoyer.
Pour surveiller votre travail, accédez à la page Gérer les travaux de rapport comme suit
: dans l’en-tête global, cliquez sur Ouvrir, puis sur Travaux de rapport. Reportez-vous
à la section Affichage et gestion des tâches de rapport, page 5-1.
Pour afficher les résultats de votre travail, accédez à la page Gérer l’historique des
travaux du rapport comme suit : dans l’en-tête global, cliquez sur Ouvrir, puis sur
Historique des travaux du rapport. Voir Affichage de l’historique des tâches du
rapport et de la sortie enregistrée, page 6-1.

Création d’une tâche bursting


Si votre dépôt a été activé pour l’éclatement, la zone Utiliser la définition d’éclatement pour
déterminer la destination de sortie et de livraison de l’onglet Sortie sera activée. Si vous
sélectionnez cette option, les options Sortie et Destination de la tâche seront désactivées car les
détails de sortie et de déstination sont fournis par la définition d’éclatement.
Activez un rapport pour utiliser une définition de rafale dans la boîte de dialogue
Propriétés du rapport de l’éditeur de rapport. Pour plus d’informations, consultez
Configuration des propriétés du rapport, pages 15 et 11.

Sujets avancés
Cette section comprend les rubriques suivantes :
• Paramètres de date d’incrémentation, page 4-9

• Définition dynamique d’un nom de fichier de destination à l’aide d’une expression de date,
pages 4-10

Incrémentation des paramètres de date


Si votre rapport planifié inclut des paramètres de date, lorsque vous entrez les valeurs des dates de
la planification, ces valeurs ne peuvent pas être mises à jour. Par conséquent, chaque fois qu’une
instance planifiée du rapport est exécutée, les mêmes paramètres de date sont utilisés. Si vous
exigez que les paramètres de date soient incrémentés pour chaque exécution, vous pouvez entrer
un
Création de rapports
d’e
mplois4-9
dans le champ de paramètre de date du planificateur pour calculer la date à chaque exécution
du rapport.
Par exemple, supposons que vous créez une planification pour un rapport qui s’exécute tous les
lundis pour capturer les données de la semaine précédente. Chaque semaine, vous avez besoin
que les paramètres de date transmis au rapport s’incrémentent aux premier et dernier jours de
la semaine précédente.
Entrez l’une des fonctions suivantes à l’aide de la syntaxe indiquée pour calculer la
date appropriée à l’exécution planifiée du rapport :
• {$SYSDATE()$} - date actuelle (la date système du serveur sur lequel BI
Publisher s’exécute)

• {$FIRST_JOUR_DU_MOIS()$} - premier jour du mois en cours

• {$LAST_JOUR_DU_MOIS()$} - dernier jour du mois en cours

• {$FIRST_JOUR_DE_L’ANNÉE)$} - premier jour de l’année en cours

• {$LAST_JOUR_DE_L’ANNÉE)$} - dernier jour de l’année en cours

Les appels de fonction de date dans les valeurs de paramètre ne sont pas évalués tant que
le rapport n’est pas exécuté par le planificateur.
Vous pouvez également entrer des expressions à l’aide du signe plus « + » et du signe
moins « - » pour ajouter ou soustraire des jours comme suit :
• {$SYSDATE()+1$}

• {$SYSDATE()-7$}

Pour notre exemple, pour capturer les données de la semaine précédente, chaque fois que la
planification s’exécute, entrez ce qui suit dans les champs de paramètre date du rapport :
• Date de: {$SYSDATE()-7$}

• Date de : {$SYSDATE()-1$}

Remarque : Les fonctions de date peuvent également être configurées comme


valeurs de paramètre par défaut dans le modèle de données. Dans ce cas,
chaque fois qu’un utilisateur consulte le rapport à partir de la visionneuse de
rapports, les paramètres de date sont calculés en fonction de l’expression
fournie pour la valeur par défaut. Voir Ajout de paramètres à votre modèle de
données, page 11-1.

Définition dynamique d’un nom de fichier de destination à l’aide d’une expression


de date
Lorsque vous entrez le nom de fichier distant d’un dossier Web ou d’une destination FTP, vous
pouvez entrer une expression de date pour que BI Publisher inclue dynamiquement une
expression de date dans le nom de fichier. La date est définie au moment de l’exécution, à l’aide
du fuseau horaire du serveur.

4-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Les expressions de date prises en charge sont les suivantes :

Expression Description

%y Affiche l’année en quatre chiffres :

Exemple : 2009

%m Affiche le mois en deux chiffres : 01-12

%d Affiche la date en deux chiffres : 01-31

%H Affiche l’heure en deux chiffres en fonction de la journée de 24 heures : 00-24

%M Affiche la minute en deux chiffres : 00 - 59

%S Affiche le nombre de secondes en deux chiffres : 00 - 59

%l Affiche les millisecondes en trois chiffres : 000 - 999

Exemples
Création d’un nom de fichier qui ajoute une date
Pour créer un nom de fichier qui ajoute le jour, le mois et l’année, par exemple :
myfile_01_11_2010.pdf
Entrez ce qui suit :
myfile_%d_%m_%y.pdf
Création d’un nom de fichier qui préfixe une date et ajoute une heure
Pour créer un nom de fichier qui préfixe le jour, le mois et l’année et ajoute l’heure et la
minute, par exemple :
01_01_2010_myfile_22_57.pdf
Entrez ce qui suit :
%d_%m_%y_myfile_%H_%M.pdf
Remarque : Si votre nom de fichier inclut une expression non définie,
telle que my_file_%a%b%c.pdf, le fichier sera créé sous la forme
nommée : « my_file_%a%b%c.pdf ».

Création d’emplois de
rapp
ort4-11
5
Affichage et gestion des tâches de
rapport

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• À propos de la page Gérer les travaux de rapport
• Affichage des travaux pour un rapport spécifique
• Recherche d’emplois de rapport
• Définition du fuseau horaire pour l’affichage des travaux
• Affichage des détails de la soumission de travail
• Suspension d’emplois
• Reprise des emplois
• Suppression de tâches

À propos de la page Gérer les travaux de rapport


La page Gérer les tâches de rapport affiche des informations sur les tâches de rapport
planifiées et récurrentes futures et vous permet d’effectuer des actions sur ces tâches. Vous
pouvez accéder à cette page, puis rechercher les tâches de rapport à gérer ; ou, vous pouvez
accéder à cette page à partir du contexte d’un rapport spécifique.
Pour rechercher des emplois à gérer, accédez à cette page comme suit :
• Dans la page d’accueil : sous Parcourir/Gérer, cliquez sur Tâches de rapport

• Dans l’en-tête global : cliquez sur Ouvrir, puis sur Rapports de travaux

Pour accéder à cette page à partir du contexte d’un rapport spécifique :


• Dans le catalogue : accédez au rapport dans le catalogue, puis cliquez sur Travaux

• Dans la page de la visionneuse de rapports, cliquez sur Actions , puis sur Travaux

La figure suivante illustre la page Gérer les travaux de rapport :

Affichage et gestion des tâches de


rap
port5-1
La page Gérer les travaux de rapport vous permet de :
• Afficher les futures tâches planifiées et récurrentes pour vos rapports privés, partagés
et publics

• Sélectionnez le fuseau horaire dans lequel vous souhaitez voir les heures de travail affichées

• Actualiser la page d’affichage pour afficher les travaux récemment soumis

• Surveiller l’état d’une tâche soumise

• Supprimer une tâche de rapport

• Suspendre/reprendre un travail de rapport

• Afficher les détails de la soumission de travail

Affichage des travaux pour un rapport spécifique


Si vous accédez à la page Gérer les travaux de rapport à partir du contexte d’un rapport
spécifique, les travaux de ce rapport seront automatiquement affichés dans le tableau avec les
filtres par défaut suivants appliqués :
• Nom du rapport : correspond au nom du rapport à partir duquel vous avez lancé la page
Gérer les travaux de rapport

• Owner - est égal à votre ID utilisateur

• Portée - égale à tous (emplois publics et privés)

• Statut - est égal à Tous (emplois actifs et suspendus)

5-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Utilisez la procédure suivante pour filtrer davantage les résultats.

Recherche d’emplois de rapport


1. Entrez des valeurs pour les critères de filtre afin de rechercher un emploi ou un groupe
d’emplois spécifique.

2. Cliquez sur Rechercher. Les tâches qui répondent aux critères de filtre seront affichées
dans le tableau Tâches de rapport.
Le tableau affiche des informations générales sur la tâche ainsi que son état.
Vous pouvez trier le tableau en fonction d’une colonne particulière en cliquant sur l’en-
tête de colonne et en sélectionnant la flèche vers le haut ou vers le bas pour monter ou
descendre.
Les valeurs d’état possibles sont les suivantes :
• En attente : la tâche attend l’exécution de l’événement de planification. Les tâches
en attente s’affichent lors de la recherche d’emplois actifs à l’aide des critères de
filtre.

• Suspendu - le travail a été suspendu. Le travail de rapport ne s’exécutera pas à nouveau


tant qu’il n’aura pas été repris. Les tâches suspendues s’affichent lors de la recherche de
tâches suspendues à l’aide des critères de filtre.

Définition du fuseau horaire pour l’affichage des travaux


Vous pouvez sélectionner le fuseau horaire pour afficher les heures de début et de fin de la tâche.
1. Sélectionnez le fuseau horaire dans la liste.

2. Cliquez sur le bouton Actualiser . Le tableau Tâches de rapport s’actualise en affichant les
heures de début et de fin des tâches dans le fuseau horaire sélectionné.

Affichage des détails de la soumission de travail


1. Cliquez sur le nom de la tâche de rapport pour afficher une page de détails pour la tâche.

2. Pour afficher les informations de remise de chaque sortie, cliquez sur l’icône de
développement en regard du nom de la sortie.

3. Cliquez sur Retour pour revenir à la page Gérer les travaux de rapport.

Suspension d’emplois
1. Sélectionnez la tâche en cliquant n’importe où dans le tableau qui répertorie les
informations de la tâche. Vous pouvez sélectionner plusieurs tâches en cliquant sur des
lignes supplémentaires.

Affichage et gestion des tâches de


rap
port5-3
2. Cliquez sur le bouton Pause . L’état de la tâche passe à Suspendu.

Reprise des emplois


1. Sélectionnez la tâche en cliquant n’importe où dans la ligne de tableau de la tâche suspendue.

2. Cliquez sur le bouton Reprendre . L’état de la tâche passe à Actif.

Suppression de tâches
1. Sélectionnez la tâche en cliquant n’importe où dans la ligne du tableau qui répertorie les
informations de la tâche. Vous pouvez sélectionner plusieurs tâches en cliquant sur des
lignes supplémentaires.

2. Cliquez sur le bouton Supprimer .

5-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
6
Affichage et gestion de l’historique des
rapports

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Affichage de l’historique des tâches du rapport et de la sortie enregistrée
• Affichage de l’historique des tâches pour un rapport spécifique
• Recherche de l’historique des emplois de rapport
• Affichage des détails d’un historique de travail
• Téléchargement de données à partir d’une tâche de rapport
• Republication d’un rapport de l’historique
• Envoi d’une sortie vers une nouvelle destination
• Obtention d’informations d’erreur et d’avertissement pour les rapports
• Suppression d’un historique de tâches

Affichage de l’historique des tâches du rapport et de la sortie


enregistrée
La page Historique des tâches de rapport affiche des informations sur les tâches de rapport en
cours d’exécution et terminées. Vous pouvez accéder à cette page, puis rechercher l’historique
des tâches du rapport ; ou, vous pouvez accéder à cette page à partir du contexte d’un rapport
spécifique.
Pour rechercher l’historique des emplois, accédez à cette page comme suit :
• Dans la page d’accueil : sous Parcourir/Gérer, cliquez sur Historique des tâches du
rapport.

• Dans l’en-tête global : cliquez sur Ouvrir, puis sur Historique des tâches de rapport

Pour accéder à cette page à partir du contexte d’un rapport spécifique :


• Dans le catalogue : accédez au rapport dans le catalogue, puis cliquez sur Historique des
tâches

• Dans la page de la visionneuse de rapports, cliquez sur Actions , puis sur Historique des
tâches

La figure suivante illustre le page De l’historique des tâches du rapport :


Affichage et gestion de l’historique des
rap
ports6-1
Utilisez la page Historique des tâches de rapport pour :
• Afficher l’état et les détails des tâches de rapport en cours d’exécution et terminées

• Afficher les détails de la soumission de travail

• Téléchargez ou affichez les données XML produites à partir du rapport (si vous avez
sélectionné Enregistrer les données pour le rapport)

• Téléchargez ou affichez le document de rapport (si vous avez sélectionné Enregistrer la sortie)

• Republier les données du rapport à l’aide d’autres formats ou modèles (si vous avez
sélectionné Enregistrer les données pour le rapport)

• Supprimer les tâches de rapport de l’historique

Affichage de l’historique des tâches pour un rapport spécifique


Si vous accédez à la page Historique des tâches du rapport à partir du contexte d’un rapport
spécifique, les tâches de ce rapport s’affichent automatiquement dans le tableau avec les filtres
par défaut suivants appliqués :
• Chemin d’accès au rapport : correspond au chemin d’accès au rapport à partir duquel
vous avez lancé la page Historique des travaux du rapport

6-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Démarrer le traitement - égal ou supérieur à il y a une semaine.

• Propriétaire - est égal à votre ID utilisateur

• Portée - égale à tous les historiques (historiques d’emploi publics et privés)

• État - est égal à tous (succès, échec, exécution, erreurs de sortie et erreurs de remise

Utilisez la procédure suivante pour filtrer davantage les résultats.

Recherche de l’historique des emplois de rapport


1. Entrez des valeurs pour les critères de filtre afin de rechercher un historique de tâches
spécifique ou un groupe de tâches de rapport terminées. Notez que la sélection État
vous permet de filtrer par : Succès, Échec, Exécution, A des erreurs de sortie ou A des
erreurs de remise.

2. Cliquez sur Rechercher. Les tâches qui répondent aux critères de filtre seront affichées
dans le tableau Historique des tâches du rapport.
Le tableau affiche initialement 33 enregistrements correspondants. Ce numéro est affiché
dans le coin supérieur droit du tableau. Déplacez la barre de défilement verticale vers le
bas pour récupérer 33 enregistrements supplémentaires. Le numéro affiché dans le coin
supérieur droit est mis à jour pour vous informer du nombre d’enregistrements qui ont été
récupérés jusqu’à présent. Vous pouvez continuer à récupérer plus d’enregistrements dans
la table par incréments de 33 en déplaçant la barre de défilement vers le bas.
Vous pouvez trier le tableau en fonction d’une colonne particulière en cliquant sur l’en-
tête de colonne et en sélectionnant la flèche vers le haut ou vers le bas pour monter ou
descendre.

Affichage des détails d’un historique de travail


1. Cliquez sur le nom de la tâche de rapport pour afficher une page de détails pour la tâche.

Affichage et gestion de l’historique des


rap
ports6-3
2. Pour afficher les informations de remise pour chaque sortie, cliquez sur l’icône de
développement en regard du nom de la sortie, comme illustré dans la figure suivante :

3. Cliquez sur Retour pour revenir à la page Historique des tâches du rapport.

Téléchargement de données à partir d’une tâche de rapport


Notez que pour que les données soient disponibles, l’option Enregistrer les données pour la
republication doit être activée lors de la création de la tâche. (Pour plus d’informations sur la
définition de cette option, voir À propos des paramètres de sortie, page 4-2.)

6-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
1. Cliquez sur le nom de la tâche de rapport pour afficher la page de détails de la tâche.

2. Dans la région Sortie et livraison , cliquez sur le bouton de téléchargement des données
XML.

3. Lorsque vous y êtes invité, sélectionnez l’emplacement d’enregistrement du fichier.

Republication d’un rapport de l’historique


Notez que pour que les données soient disponibles, l’option Enregistrer les données pour la
republication doit être activée lors de la création de la tâche. (Pour plus d’informations sur la
définition de cette option, voir À propos des paramètres de sortie, page 4-2.)
1. Cliquez sur le nom de la tâche de rapport pour afficher la page de détails de la tâche.

2. Dans la région Sortie et livraison, cliquez sur Republier. Cela lance la visionneuse de
rapports.

3. À partir de la visionneuse de rapports , vous pouvez maintenant appliquer une


nouvelle mise en page, choisir un autre type de sortie ou exporter le rapport. Notez
que, comme vous utilisez des données qui ont déjà été récupérées, aucun paramètre ne
peut être mis à jour.

4. Pour revenir à la page Historique des tâches de rapport, cliquez sur le menu Actions et
sélectionnez Retour.

Envoi d’une sortie vers une nouvelle destination


Notez que pour que la sortie soit disponible à partir de la table d’historique, l’option
Enregistrer la sortie doit être activée lors de la création de la tâche. Pour plus d’informations
sur la définition de cette option, voir À propos des paramètres de sortie , page 4-2.
Remarque: La fonctionnalité d’envoi ne crée pas d’historique ni
n’enregistre l’état de livraison, elle envoie simplement la sortie à la
destination sélectionnée.

1. Cliquez sur le nom de la tâche de rapport pour afficher la page de détails de la tâche.

2. Dans la région Sortie et livraison, recherchez la sortie que vous souhaitez envoyer vers
une nouvelle destination et cliquez sur Envoyer. La boîte de dialogue Envoyer
s’ouvre.

Affichage et gestion de l’historique des


rap
ports6-5
3. Sélectionnez le type de livraison et cliquez sur Ajouter une destination. Entrez les
champs appropriés pour votre type de livraison.

4. Lorsque vous avez terminé d’ajouter des destinations, cliquez sur Envoyer.

Obtention d’informations d’erreur et d’avertissement pour les


rapports
Si un travail de rapport échoue ou se termine par des avertissements, vous pouvez afficher le
message en plaçant votre curseur sur l’indicateur d’état d’erreur ou d’avertissement dans le
tableau des résultats. Le message s’affiche comme illustré dans la figure suivante :

Pour obtenir des informations de diagnostic plus complètes sur les erreurs ou les warnings,
vous pouvez afficher les fichiers journaux de diagnostic de la tâche dans Oracle Fusion
Middleware Control.
Pour plus d’informations, consultez Affichage des diagnostics pour les tâches de rapport,
Guide de l’administrateur et du développeur Oracle Fusion Middleware pour Oracle
Business Intelligence Publisher.

6-6Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Suppression d’un historique de tâches
1. Cliquez n’importe où dans la ligne du tableau pour que le travail de rapport le
sélectionne. Vous pouvez sélectionner plusieurs lignes.

2. Cliquez sur l’icône de suppression en haut du tableau.

3. Cliquez sur OK dans la boîte de dialogue de confirmation.

Affichage et gestion de l’historique des


rap
ports6-7
7
Gestion des objets dans le catalogue BI
Publishe
r

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Qu’est-ce que le catalogue
• Quels objets sont stockés dans le catalogue
• Création d’un dossier ou d’un sous-dossier
• Exécution de tâches sur des objets de catalogue
• Téléchargement et chargement d’objets de catalogue
• Comprendre l’impact des actions sur les objets référencés par les rapports
• Exportation et importation de fichiers de traduction de catalogue

Qu’est-ce que le catalogue


Remarque : Les informations de ce chapitre s’appliquent aux installations de
BI Publisher qui ne sont pas intégrées à Oracle Business Intelligence
Enterprise Edition. Pour plus d’informations sur le catalogue oracle BI
Presentation intégré, consultez le Guide de l’utilisateur d’Oracle Fusion
Middleware pour Oracle Business Intelligence Enterprise Edition.

Le catalogue Oracle BI Publisher stocke les objets, tels que les rapports, les modèles de
données et les modèles de style, que vous créez à l’aide de l’application Oracle BI Publisher.
Les utilisateurs ont leurs propres dossiers personnels (Mes dossiers) où ils peuvent stocker
leurs objets. Les objets stockés dans des dossiers personnels ne sont accessibles qu’à
l’utilisateur qui a créé et enregistré le contenu dans le dossier. Les utilisateurs peuvent ajouter
des sous-dossiers à mes dossiers pour organiser leur contenu de la manière la plus logique
pour eux.
Les utilisateurs peuvent également stocker des objets dans des dossiers partagés où d’autres
utilisateurs ou groupes peuvent accéder aux objets. Les autorisations utilisateur déterminent
quels dossiers sont disponibles pour quels utilisateurs. Les autorisations sont attribuées au
niveau de l’objet et déterminent qui a la capacité d’afficher,
Gestion des objets dans le catalogue BI
Pu
blisher7-1
modifier et planifier des objets dans ce dossier. Votre administrateur crée et gère la structure de
dossiers partagés du catalogue.

Quels objets sont stockés dans le catalogue


Les objets suivants sont affichés dans le catalogue :
Dossiers
Rapports
Modèles de données
Modèles de style
Sous-modèles
Comme le montre la figure suivante, chacun a une icône d’identification et répertorie les
informations de création et de modification. Si une description a été fournie pour l’objet, elle est
également affichée dans le catalogue. À côté de chaque objet du catalogue se trouve une liste
d’actions que vous pouvez effectuer sur l’objet.

Pour plus d’informations, consultez Exécution de tâches sur des objets de catalogue, pages 7 et 3.

Création d’un dossier ou d’un sous-dossier


Utilisez la procédure suivante pour créer un sous-dossier dans mon dossier ou, si vous disposez
des autorisations requises, créez un dossier système.
1. Accédez à l’emplacement souhaité dans le volet Dossiers.

2. Dans la barre d’outils du catalogue, cliquez sur Nouveau et sélectionnez Dossier. La boîte de
dialogue Nouveau dossier est

7-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Affiché.

3. Entrez le nom du dossier et entrez éventuellement une description. Cliquez sur Créer.

Exécution de tâches sur des objets de catalogue


Certaines tâches peuvent être effectuées sur des objets de plusieurs manières : en utilisant les
liens en regard de l’objet, en utilisant la barre d’outils du catalogue ou en sélectionnant l’objet
et en choisissant la tâche dans la région Tâches, comme illustré dans la figure suivante :

Notez que votre accès à ces actions dépendra des autorisations qui vous sont accordées par votre
administrateur.
Les options de tâche sont les suivantes :
• Modifier : ouvre l’objet dans l’éditeur ou le générateur approprié.

• Copier : duplique un dossier ou un objet. Sélectionnez un dossier et utilisez Coller pour


placer l’élément copié dans le dossier souhaité.

• Couper - coupe l’élément à partir de l’emplacement actuel. Sélectionnez un dossier et


utilisez Coller pour placer l’élément coupé dans le dossier souhaité.

• Supprimer : supprime du catalogue un dossier ou un objet que vous avez créé.

• Télécharger - crée un fichier d’archive de l’objet que vous pouvez enregistrer dans un
emplacement sélectionné . Voir Téléchargement et chargement d’objets de catalogue,
pages 7-4. Cette option

Gestion des objets dans le catalogue BI


Pu
blisher7-3
n’est pas disponible pour les dossiers.

• Renommer : renomme un dossier ou un objet.

• Autorisations : définit les autorisations au niveau de l’objet. Pour plus d’informations,


consultez À propos des autorisations de catalogue, Guide de l’administrateur et du
développeur Oracle Fusion Middleware pour Business Intelligence Publisher .

Les dossiers incluent également les tâches suivantes :


• Développer - ouvre le dossier.

• Coller : colle un objet cut ou copié dans le dossier sélectionné.

• Télécharger : télécharge un objet archivé dans le dossier. Voir Téléchargement et


chargement d’objets de catalogue, pages 7-4

• Propriétés : modifie la description du dossier.

Téléchargement et chargement d’objets de catalogue


La fonctionnalité de téléchargement du catalogue BI Publisher vous permet de regrouper et de
télécharger des objets multicomposants (tels que des rapports) dans un fichier d’archive. Vous
pouvez ensuite utiliser la fonction de téléchargement pour désarchiver les données vers un autre
emplacement du catalogue. Ce processus vous permet de transférer des objets entre des
environnements. Par exemple, vous pouvez utiliser cette fonctionnalité pour transférer des objets
BI Publisher d’un environnement de développement vers un environnement de production.
Le tableau suivant indique les extensions de fichier que BI Publisher attribue à chaque type
d’objet archivé lors du téléchargement :

Catalog, objet Extension affectée aux fichiers téléchargés

Rapport .xdoz

Modèle de données .xdmz

Modèle de style .xssz

Sous-modèle .xsbz

Remarque : Si BI Publisher est intégré à Business Intelligence Enterprise


Edition, utilisez les fonctionnalités d’archivage et de désarchivage du
catalogue BI Presentation pour exécuter cette fonction. Voir « Gestion des
objets dans le catalogue de présentations Oracle BI » dans Oracle Fusion
Middleware

7-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Guide de l’utilisateur pour Business Intelligence Enterprise Edition
pour plus d’informations.

Comprendre l’impact de la prise de mesures sur les objets


référencés par des rapports
Notez que lorsque vous déplacez, coupez, renommez ou supprimez un modèle de données,
un sous-modèle ou un modèle de style utilisé comme ressource pour un rapport, les
références à la ressource sont rompues et le rapport ne s’exécute plus comme prévu.
Par exemple, si vous avez un rapport qui a été créé avec un modèle de données qui réside dans
un dossier appelé Mes modèles de données, si vous déplacez le modèle de données vers un
autre dossier, le rapport ne s’exécutera pas car la définition de rapport s’attend à ce que le
modèle de données soit dans Mes modèles de données.
Pour corriger cela, ouvrez le rapport dans l’éditeur de rapport et mettez à jour la référence au
modèle de données.

Exportation et importation de fichiers de traduction de catalogue


Pour les utilisateurs disposant de privilèges d’administrateur, la barre d’outils du catalogue
inclut les fonctions Exporter XLIFF et Importer XLIFF illustrées dans la figure suivante :

Cette fonction permet aux administrateurs d’exporter un fichier XLIFF qui contient les chaînes
de traduction de l’objet catalogue ou du groupe d’objets sélectionné. Les chaînes XLIFF peuvent
ensuite être traduites dans la langue cible souhaitée. Une fois le fichier XLIFF traduit,
l’administrateur peut réimporter le fichier XLIFF dans le catalogue et lui attribuer les paramètres
régionaux appropriés.
Pour plus d’informations, consultez Traduction d’objets de catalogue, page 29-1.

Gestion des objets dans le catalogue BI


Pu
blisher7-5
Partie 3
Création de modèles de
données
8
Utilisation de l’éditeur de
modèle de données

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Qu’est-ce qu’un modèle de données ?
• Composants d’un modèle de données
• Fonctionnalités de l’éditeur de modèle de données
• À propos des options de source de données
• Vue d’ensemble du processus de création d’un modèle de données
• Lancement de l’éditeur de modèle de données
• À propos de l’interface de l’éditeur de modèle de données
• Définition des propriétés du modèle de données

Qu’est-ce qu’un modèle de données ?


Un modèle de données est un objet qui contient un ensemble d’instructions permettant à BI
Publisher de récupérer et de structurer les données d’un rapport. Les modèles de données résident
en tant qu’objets distincts dans le catalogue.
Dans la mesure la plus simple, un modèle de données peut être un ensemble de données extrait
d’une source de données unique (par exemple, les données renvoyées par les colonnes de la table
employees). Un modèle de données peut également être complexe, y compris des paramètres,
des déclencheurs et des définitions d’éclatement, ainsi que des ensembles de données aléatoires.
L’éditeur de modèles de données est l’outil permettant de créer vos modèles de données.

Composants d’un modèle de données


Un modèle de données prend en charge les composants suivants :
• Jeu de données
Un ensemble de données contient la logique permettant de récupérer des données à partir
d’une source de données unique. Un set de données peut récupérer des données à partir de
diverses sources de données (par exemple, une base de données, une base de données
existante
Utilisation de l’éditeur de modèle de
don
nées8-1
fichier de données, un appel de service Web à une autre application ou une URL/URI à un
fournisseur de données externe ). Un modèle de données peut avoir plusieurs ensembles de
données provenant de plusieurs sources.

• Déclencheurs d’événements
Un déclencheur vérifie la présence d’un événement. Lorsque l’événement se produit, le
déclencheur exécute le code PL/SQL qui lui est associé. L’éditeur de modèle de données
prend en charge les déclencheurs avant et après les données. Les déclencheurs
d’événements consistent en un appel pour exécuter un ensemble de fonctions définies
dans un package PL/SQL stocké dans une base de données Oracle.

• Champs flexibles
Un flexfield est une structure spécifique aux applications Oracle. L’éditeur de modèle
de données prend en charge la récupération de données à partir de structures flexfield
définies dans vos données d’application Oracle.

• Listes de valeurs
Une liste de valeurs est un menu de valeurs à partir duquel les consommateurs de
rapport peuvent sélectionner des valeurs de paramètre à transmettre au rapport.

• Paramètres
Un paramètre est une variable dont la valeur peut être définie au moment de l’exécution.
L’éditeur de modèle de données prend en charge divers types de paramètres.

• Définitions de l’éclatement
L’éclatement est un processus de division des données en blocs, de génération de
documents pour chaque bloc et de livraison des documents à une ou plusieurs destinations.
Une définition d’éclatement unique fournit les instructions pour fractionner les données du
rapport, générer le document et livrer la sortie à ses destinations spécifiées.

Fonctionnalités de l’éditeur de modèle de données


L’éditeur de modèle de données vous permet de combiner des données provenant
d’ensembles de données multiples provenant de différentes sources de données, telles que
SQL, des fichiers Excel, des services Web, des flux HTTP et d’autres applications dans une
structure de données XML unique. Les ensembles de données peuvent être sans rapport ou
une relation peut être établie entre eux à l’aide d’une liaison de données.
L’éditeur de modèle de données vous permet d’effectuer les tâches suivantes :
• Lier les données : définissez des liens maître-détail entre les ensembles de données pour
créer un modèle de données hiérarchique.

• Données agrégées - créez des totaux et des sous-totaux au niveau du groupe.

• Transformez les données : modifiez les données sources pour les rendre conformes aux
conditions commerciales et aux exigences en matière de rapports.

8-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Créer des calculs : calculez les valeurs de données requises pour votre rapport qui ne sont
pas disponibles dans les sources de données sous-jacentes.

À propos des options de source de données


BI Publisher prend en charge divers types de sources de données pour la création d’ensembles
de données. Ceux-ci peuvent être classés en trois types généraux:
Le premier type sont des ensembles de données pour lesquels BI Publisher peut récupérer des
informations de métadonnées à partir de la source. Pour ces types d’ensembles de données, la
gamme complète des fonctions de l’éditeur de modèle de données est prise en charge.
• Requête SQL, pages 9-3
Envoyez une requête SQL sur Oracle BI Server ou toute base de données Oracle ou non
Oracle. BI Publisher fournit un générateur de requêtes qui vous permet de générer votre
requête SQL graphiquement.

• Microsoft Excel, pages 9-17


Utilisez des tables de données résidant dans une feuille de calcul Microsoft Excel
stockée dans un répertoire de fichiers configuré comme source de données par votre
administrateur.

• Requête LDAP, pages 9-15


Émettez une requête sur votre référentiel LDAP pour récupérer les données utilisateur.
Vous pouvez générer des rapports sur ces données directement ou les joindre à des données
extraites d’autres sources.

• OLAP, pages 9-14


Construct une requête multidimensionnelle (MDX) sur une source de données OLAP.

Pour le deuxième type, BI Publisher peut récupérer les noms de colonne et les informations de
type de données à partir de la source de données, mais il ne peut pas traiter ou structurer les
données. Pour ces types d’ensembles de données, seul un sous-ensemble de la gamme complète
des fonctions de l’éditeur de modèle de données est pris en charge. Ces types d’ensembles de
données sont les suivants :
• Oracle BI Analysis, pages 9-20
Si vous avez intégré votre installation BI Publisher à Oracle Business Intelligence
Presentation Services, vous pouvez utiliser les données d’une analyse Oracle BI pour
créer votre rapport. Pour plus d’informations sur la configuration de cette intégration,
consultez Intégration à Oracle Business Intelligence Presentation Services, Guide de
l’administrateur et du développeur Oracle Fusion Middleware pour Business
Intelligence Publisher.

• Voir l’objet , page 9-21


Si BI Publisher est intégré à une application à l’aide d’Oracle Application Development
Framework, vous pouvez utiliser des objets d’affichage associés à votre source de données
Enterprise Java Bean pour récupérer des données.

Utilisation de l’éditeur de modèle de


don
nées8-3
Pour le troisième type, BI Publisher récupère les données qui ont été générées et structurées
à la source et aucune modification supplémentaire ne peut être appliquée par l’éditeur du
modèle de données :
• HTTP (flux XML), pages 9-30
Utilisez un flux RSS du Web qui renvoie du code XML.

• Service Web, pages 9 à 22


Fournissez le WSDL du service Web à BI Publisher, puis définissez les paramètres dans BI
Publisher pour utiliser un service Web afin de renvoyer des données pour votre rapport.

• Fichier XML, pages 9-29


Utilisez un fichier de données XML existant stocké dans un répertoire qui a été
configuré par votre administrateur.

Vue d’ensemble du processus de création d’un modèle de données


Voici la vue d’ensemble du processus de création d’un modèle de données :

StepReference

Lancez l’éditeur de modèle de données. Lancement de l’éditeur de modèle de données, pages 8-5

Définissez les propriétés du modèle de données Définition des propriétés du modèle de données, pages 8-
(facultatif). 7

Créez les ensembles de données pour le modèle Création d’ensembles de données, page 9-1
de données.
Données structurantes, pages 10-6
Définissez la structure de sortie des données
(facultatif).
Ajout de paramètres et de listes de valeurs, page
11-1
Définissez les paramètres à transmettre à la
requête et définissez des listes de valeurs
permettant aux utilisateurs de sélectionner des
valeurs de paramètre. (Facultatif) Définition des déclencheurs d’événements, page 12-1

Définissez les déclencheurs d’événements. Définition des Champs flexibles, page 13-1
(Facultatif)

(Applications Oracle uniquement) Définissez Test de modèles de données et génération


Flexfields. d’exemples de données, pages 9-32
(Facultatif)

Testez votre modèle de données et ajoutez des


exemples de données.

8-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pas Référence

Ajoutez une ou plusieurs définitions éclatantes. Ajout de définitions éclatantes , page 14-2
(Facultatif)

Lancement de l’éditeur de modèle de données


Lancez l’éditeur de modèle de données à partir de la page d’accueil ou de l’en-tête
global comme suit :
Sur l’en-tête global :
• Cliquez sur Nouveau , puis sur Modèle de données pour ouvrir l’Éditeur de modèle de
données.

À partir de la page d’accueil :


• Sous Créer une région, cliquez sur Modèle de données.

À propos de l’interface de l’éditeur de modèle de données


La figure suivante illustre le volet Propriétés de l’interface de l’éditeur de modèle de données :

Utilisation de l’éditeur de modèle de


don
nées8-5
L’Éditeur de modèle de données est conçu avec un volet de composants à gauche et un volet
de travail à droite. La sélection d’un composant dans le volet gauche lancera les champs
appropriés pour le composant dans la zone de travail.
La barre d’outils fournit les fonctions suivantes :

• Obtenir une sortie XML


Lance la page de sortie XML pour exécuter la définition de votre modèle de données et
afficher ou enregistrer la sortie XML.

• Enregistrer / Enregistrer sous


Choisissez Enregistrer pour enregistrer votre travail en cours dans l’objet de modèle
de données existant ou Choisissez Enregistrer sous pour enregistrer le modèle de
données en tant que nouvel objet dans le catalogue.

• Aide
Consultez l’aide en ligne de l’éditeur de modèle de données.

8-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Définition des propriétés du modèle de données
Entrez les propriétés suivantes pour votre modèle de données :
Description (facultatif) - la description que vous entrez ici s’affiche dans le catalogue.
Cette description est traduisible.
Source de données par défaut : sélectionnez la source de données dans la liste. Les modèles de
données peuvent inclure plusieurs ensembles de données provenant d’une ou de plusieurs sources
de données. Le source de données par défaut que vous sélectionnez ici sera présenté comme le
source par défaut pour chaque nouvel ensemble de données que vous définissez. Sélectionnez
Actualiser la liste des sources de données pour afficher toutes les nouvelles sources de données
ajoutées depuis le lancement de votre session.
Oracle DB Default Package - avec une base de données Oracle, vous pouvez inclure avant ou
après des déclencheurs de données (déclencheurs d’événements) dans votre modèle de données.
Les déclencheurs d’événements utilisent des packages PL/SQL pour exécuter des fonctions de
niveau SGBDR. Pour les modèles de données qui incluent des déclencheurs d’événements ou un
filtre de groupe PL/SQL, vous devez entrer un package PL/SQL par défaut ici. Le package doit
exister sur la source de données par défaut.
Taille de récupération de la base de données : définit le nombre de lignes extraites à la fois
via la connexion JDBC. Cette valeur remplacera la valeur définie dans les propriétés système.
Consultez Définition des propriétés de configuration du serveur, Guide de l’administrateur
et du développeur Oracle Fusion Middleware pour Business Intelligence Publisher. Si ni cette
valeur ni le paramètre server ne sont définis, une valeur par défaut de 300 sera utilisée.
Activer le mode évolutif - le traitement de grands ensembles de données nécessite l’utilisation
de grandes quantités de RAM. Pour éviter de manquer de mémoire, activez le mode évolutif
pour le moteur de données. En mode évolutif, le moteur data tire parti de l’espace disque
lorsqu’il traite les données.
Source de données de sauvegarde : si vous avez configuré une base de données de
sauvegarde pour cette source de données, sélectionnez Activer la connexion de sauvegarde
pour activer l’option, puis sélectionnez quand vous souhaitez que BI Publisher utilise la
sauvegarde.
Si vous souhaitez utiliser la source de données de sauvegarde uniquement lorsque la source
principale est en panne, sélectionnez Basculer vers la source de données de sauvegarde
lorsque la source de données principale n’est pas disponible.
Si vous souhaitez que BI Publisher utilise toujours la source de données de sauvegarde lors de
l’exécution de ce modèle de données, sélectionnez Utiliser uniquement la source de données
de sauvegarde. L’utilisation de la base de données de sauvegarde peut améliorer les
performances.
Notez que cette fonctionnalité nécessite qu’une source de données de sauvegarde ait été
activée pour la source de données sélectionnée. Pour plus d’informations, consultez À
propos des sources de données de sauvegarde, Guide de l’administrateur et du
développeur Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher.

Options de sortie XML


Ces options définissent les caractéristiques de la structure de données XML. Notez que toute
modification apportée à ces options peut avoir un impact sur les mises en page déjà créées sur le
modèle de données.
• Inclure des balises de paramètre - si vous définissez des paramètres pour votre modèle de
données, sélectionnez cette option
Utilisation de l’éditeur de modèle de
don
nées8-7
pour inclure les valeurs des paramètres dans le fichier de sortie XML. Consultez Ajout de
paramètres et de listes de valeurs, page 11-1 pour plus d’informations sur l’ajout de
paramètres à votre modèle de données. Activez cette option lorsque vous souhaitez utiliser
la valeur du paramètre dans le rapport.

• Inclure des balises vides pour les éléments nuls - cochez cette case pour inclure des
éléments avec des valeurs null dans vos données XML de sortie. Lorsque vous incluez un
élément null, un élément demandé qui ne contient aucune donnée dans votre source de
données est inclus dans votre sortie XML sous la forme d’une balise XML vide comme suit
: <ELEMENT_ID\>. Par exemple, si l’élément MANAGER_I D ne contenait aucune
donnée et que vous choisissiez d’inclure des éléments null, il apparaîtrait dans vos données
comme suit : <MANAGER_ID /> . Si vous ne sélectionnez pas cette option, aucune entrée
n’apparaîtra pour MANAGER_ID.

• Inclure la balise de liste de groupe - (Cette propriété est destinée à la compatibilité


descendante de 10 g et à la migration d’Oracle Report.) Cochez cette case pour inclure
les balises d’ensemble de lignes dans vos données XML de sortie. Si vous incluez les
balises de liste de groupe, la liste de groupe apparaîtra comme une autre hiérarchie dans
vos données.

• Affichage des balises XML : choisissez de générer les balises de données XML en
majuscules, en minuscules ou de suivre la définition que vous avez fournie dans la structure
de données.

Attachement d’exemples de données ou de schémas


Après avoir généré votre modèle de données, vous devez attacher un ensemble restreint mais
représentatif de données d’échantillon générées à partir de votre modèle de données. Les
exemples de données seront utilisés par les outils d’édition de mise en page de BI Publisher.
L’utilisation d’un petit fichier d’exemple permet d’améliorer les performances pendant la phase
de conception de la mise en page.
L’Éditeur de modèle de données fournit une option pour générer et attacher les exemples de
données. Voir Test de modèles de données et génération d’exemples de données XML, pages
9-32.

A propos de l’attachement d’un schéma


Le Générateur de modèles pour Microsoft Word peut utiliser des exemples de données ou de
schéma pour créer un modèle. L’éditeur de mise en page ne prend pas en charge le schéma. Si
vous avez l’intention d’utiliser l’éditeur de mise en page, joignez plutôt des exemples de
données.
8-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
9
Création d’ensembles de données

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Vue d’ensemble de la création d’ensembles de données
• Définition d’un ensemble de données de requête SQL
• Utilisation du Générateur de requêtes
• Définition d’une requête MDX
• Définition d’une requête LDAP en tant que type d’ensemble de données
• Définition d’un fichier Microsoft Excel en tant que type d’ensemble de données
• Définition d’une analyse Oracle BI en tant que type d’ensemble de données
• Définition d’un objet View en tant que type d’ensemble de données
• Définition d’un type d’ensemble de données de service Web
• Définition d’un fichier XML en tant que type d’ensemble de données
• Définition d’un type d’ensemble de données HTTP
• Test de modèles de données et génération d’exemples de données
• Inclusion d’informations utilisateur dans vos données de rapport

Vue d’ensemble de la création d’ensembles de données


Oracle BI Publisher peut récupérer des données à partir de plusieurs types de sources de données.
Pour créer un nouvel ensemble de données :
1. Dans le volet des composants de l’éditeur de modèle de données, cliquez sur Ensembles de
données.

2. Cliquez sur Nouvel ensemble de données.

Création d’ensembles de
don
nées9-1
3. Sélectionnez le type d’ensemble de données dans la liste pour lancer la boîte de dialogue
appropriée.

4. Remplissez les champs obligatoires pour créer l’ensemble de données. Reportez-vous à la


section correspondante de ce chapitre pour plus d’informations sur la création de chaque
type d’ensemble de données.
• Requête SQL, pages 9-3

• Requête MDX, pages 9-14

• Oracle BI Analysis, pages 9-20

• Voir l’objet, page 9-21

9-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Service Web, pages 9 à 22

• Requête LDAP, pages 9-15

• Fichier XML, pages 9-29

• Fichier Microsoft Excel, pages 9-17

• HTTP (flux XML), pages 9-30

Définition d’un ensemble de données de requête SQL


1. Cliquez sur l’icône Nouvel ensemble de données , puis sur Requête SQL. La boîte de
dialogue Créer un ensemble de données - SQL se lance.

2. Entrez un nom pour cet ensemble de données.

3. Si vous n’utilisez pas la source de données par défaut pour cet ensemble de données,
sélectionnez la source de données dans la liste.

4. Entrez la requête SQL ou sélectionnez Générateur de requêtes. Voir Utilisation du


Générateur de requêtes, pages 9-4 pour plus d’informations sur l’utilitaire Générateur de
requêtes.

Création d’ensembles de
don
nées9-3
5. Si vous utilisez des Champs Flexibles, des variables de liaison ou tout autre traitement spécial
dans votre requête, modifiez le code SQL renvoyé par le Générateur de requêtes pour inclure les
instructions requises.

Remarque : Si vous incluez des références lexicales pour le texte que vous incorporez
dans un
SELECT, puis vous devez substituer des valeurs pour obtenir une instruction valide
Instruction SQL.

6. Après avoir entré la requête, cliquez sur OK pour enregistrer. BI Publisher validera la requête.

Utilisation du Générateur de requêtes

À propos du Générateur de requêtes


Utilisez le Générateur de requêtes pour générer des requêtes SQL sans codage. Le Générateur de
requêtes vous permet de rechercher et de filtrer des objets de base de données, de sélectionner
des objets et des colonnes, de créer des relations entre des objets et d’afficher des résultats de
requête mis en forme avec un minimum de langage SQL.
La page Générateur de requêtes est divisée en deux sections :
• Le volet Sélection d’objets contient une liste d’objets à partir desquels vous pouvez
générer des requêtes. Seuls les objets du schéma actuel s’affichent.

• Le volet Création et sortie se compose de quatre onglets :


• Modèle : affiche les objets sélectionnés dans le volet Sélection d’objets.

• Conditions - vous permet d’appliquer des conditions aux colonnes sélectionnées.

• SQL - affiche la requête

• Résultats - affiche les résultats de la requête

9-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Présentation du processus du Générateur de requêtes
Pour générer une requête, effectuez les opérations suivantes :
1. Sélectionnez des objets dans le volet Sélection d’objets.

2. Ajoutez des objets au volet Création et sélectionnez des colonnes.

3. Facultatif : établissez des relations entre les objets.

4. Ajoutez un nom d’alias unique pour toute colonne dupliquée.

5. Facultatif : Créer des conditions de requête.

6. Exécutez la requête et affichez les résultats.

Utilisation du volet de sélection d’objets


Dans le volet Sélection d’objets, vous pouvez sélectionner un schéma et rechercher et filtrer des
objets.
Pour masquer le volet Sélection d’objets, sélectionnez la barre de contrôle située entre
celui-ci et le volet Création. Sélectionnez-le à nouveau pour l’afficher.

Création d’ensembles de
don
nées9-5
Sélection d’un schéma
La liste Schéma contient tous les schémas disponibles dans la source de données. Notez que
vous n’avez peut-être pas accès à tous ceux qui sont répertoriés.

Recherche et filtrage d’objets


Utilisez le champ Rechercher pour entrer une chaîne de recherche. Notez que si plus de
100 tables sont présentes dans la source de données, vous devez utiliser la fonction de
recherche pour localiser et sélectionner les objets souhaités.

Sélection d’objets
Le volet Sélection d’objets répertorie les tabls, les vues et les vues matérialisées du schéma
sélectionné (pour les bases de données Oracle, les synonymes sont également répertoriés).
Sélectionnez l’objet dans la liste et il s’affiche dans le volet Création. Utilisez le volet Création
pour identifier la façon dont les objets sélectionnés seront utilisés dans la catégorie.

Types de colonnes pris en charge


Les colonnes de tous types s’affichent en tant qu’objets dans le volet Création. Notez les
restrictions de colonne suivantes :
• Vous ne pouvez pas sélectionner plus de 60 colonnes pour chaque requête.

• Seuls les types de colonnes suivants sont sélectionnables :


• VARCHAR2, CHAR

• NOMBRE

• DATE, HORODATAGE
Remarque : Le type de données TIMESTAMP WITH LOCAL
TIMEZONE n’est pas pris en charge.

• BLOB
Remarque : Le BLOB doit être une image. Lorsque vous exécutez
la requête dans le Générateur de requêtes, l’objet BLOB ne s’affiche
pas dans le volet Résultats, mais la requête est construite
correctement lorsqu’elle est enregistrée dans l’éditeur de modèle de
données.

9-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Ajout d’objets au volet Création
1. Sélectionnez un objet.
L’objet sélectionné s’affiche dans le volet Création. Une icône représentant le type de
données s’affiche en regard du nom de chaque colonne.

2. Activez la case à cocher pour chaque colonne à inclure dans votre requête.
Lorsque vous sélectionnez une colonne, elle apparaît sous l’onglet Conditions. Notez
que la case à cocher Afficher de l’onglet Conditions contrôle si une colonne est incluse
dans les résultats de la requête. Par défaut, cette case à cocher est activée.
Pour sélectionner les vingt premières colonnes, cliquez sur l’icône small dans le coin
supérieur gauche de l’objet, puis sélectionnez Tout vérifier.

3. Pour exécuter la requête et afficher les résultats, sélectionnez Résultats.


Conseil : Vous pouvez également exécuter une requête à l’aide des
touches CTRL + ENTRÉE.

Redimensionnement du volet Conception et résultats


Lorsque vous choisissez des objets, vous pouvez redimensionner les volets Création et
Résultats en sélectionnant et en faisant glisser la règle horizontale grise divisant la page.

Suppression ou masquage d’objets dans le volet Création


Pour supprimer un objet, sélectionnez l’icône Supprimer dans le coin supérieur droit de l’objet.
Pour masquer temporairement les colonnes d’un objet, cliquez sur l’icône Afficher/Masquer les
colonnes .

Spécification des conditions de requête


Les conditions vous permettent de filtrer et d’identifier les données avec lesquelles vous
souhaitez travailler. Lorsque vous sélectionnez des colombes dans un objet, vous pouvez
spécifier des conditions dans l’onglet Conditions. Vous pouvez utiliser ces attributs pour
modifier l’alias de colonne, appliquer des conditions de colonne, trier des colonnes ou
appliquer des fonctions. La figure suivante montre l’onglet Conditions :

Création d’ensembles de
don
nées9-7
Le tableau suivant décrit les attributs disponibles sous l’onglet Conditions :

Attribut Condition Description

Flèches haut et bas Contrôle l’ordre d’affichage des colonnes dans la requête résultante.

Colonne Affiche le nom de la colonne.

Alias Spécifiez un alias de colonne facultatif. Un alias est un autre nom de colonne. Les alias sont
utilisé pour rendre un nom de colonne plus descriptif, pour raccourcir le nom de la colonne, ou
prévenir d’éventuelles références ambiguës.
Notez que les caractères codés sur plusieurs octets ne sont pas pris en charge dans le nom de
l’alias.

Condition La condition modifie la clause WHERE de la requête. Lors de la spécification d’une colonne
condition, vous devez inclure l’opérateur et l’opérande appropriés. Tous les SQL standard
les conditions sont prises en charge. Par exemple:

>=10

='VA'

IN (SÉLECTIONNEZ dept_no FROM dept)

ENTRE SYSDATE ET SYSDATE + 15

9-8Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Attribut Condition Description

Type de tri Sélectionnez ASC (croissant)

ou DESC (Descending).

Ordre de tri Entrez un nombre (1, 2, 3, etc.) pour spécifier l’ordre dans lequel les colonnes sélectionnées
devrait s’afficher.
Activez cette case à cocher pour inclure la colonne dans les résultats de votre requête. Vous
Montrer n’avez pas besoin de
sélectionnez Afficher si vous devez ajouter une colonne à la requête pour le filtrage uniquement.

Par exemple, supposons que vous souhaitiez créer la requête suivante :

SELECT ename FROM emp WHERE deptno = 10


Pour créer cette requête dans le Générateur de requêtes :

1. Dans la liste Objet, sélectionnez EMP.

2.
Dans le volet Création, sélectionnez ename et deptno.
Pour la colonne deptno, dans Condition, entrez =10 et décochez la case Afficher la
3. coche
boîte.

Fonction Les fonctions d’argument disponibles sont les suivantes :


1. Nombre de colonnes - COUNT, COUNT DISTINCT, AVG, MAXIMUM,.
MINIMUM, SOMME

2. VARCHAR2, COLONNES CHAR - COUNT, COUNT DISTINCT, INITCAP,


LONGUEUR, INFÉRIEUR, LTRIM, RTRIM, GARNITURE, SUPÉRIEUR

3.
COLONNES DATE, HORODATAGE - NOMBRE, NOMBRE DISTINCT

Spécifiez les colonnes à utiliser pour le regroupement lorsqu’une fonction d’agrégat est utilisée.
Grouper par Seulement
applicable aux colonnes incluses dans la sortie.

Supprimer Désélectionnez la colonne en l’excluant de la requête.

Lorsque vous sélectionnez des colonnes et définissez des conditions, le Générateur de requêtes
écrit le code SQL pour vous.
Pour afficher le code SQL sous-jacent, cliquez sur l’onglet SQL

Création de relations entre les objets


Vous pouvez créer des relations entre les objets en créant une jointure. Une jointure
identifie une relation entre deux ou plusieurs tables, vues ou vues matérialisées.

Création d’ensembles de
don
nées9-9
À propos des conditions d’adhésion
Lorsque vous écrivez une requête de jointure, vous spécifiez une condition qui transmet
une relation entre deux objets. Cette condition est appelée condition de jointure. Une
condition de jointure détermine comment les lignes d’un objet se combinent avec les lignes
d’un autre objet.
Le Générateur de requêtes prend en charge les jointures internes, externes, gauche et droite.
Une jointure interne (également appelée jointure simple) renvoie les lignes qui satisfont à la
condition de jointure. Une jointure d’outer étend le résultat d’une jointure simple. Une jointure
externe renvoie toutes les lignes qui satisfont à la condition de jointure et renvoie une partie ou
la totalité des lignes d’une table pour lesquelles aucune ligne de l’autre ne satisfait à la
condition de jointure.
Remarque : Consultez Oracle Database SQL Reference pour plus
d’informations sur les conditions de jointure.

Joindre des objets manuellement


Créez une jointure manuellement en sélectionnant la colonne Jointure dans le volet Création.
1. Dans le volet Sélection d’objets, sélectionnez les objets que vous souhaitez joindre.

2. Identifiez les colonnes que vous souhaitez joindre.


Vous créez une jointure en sélectionnant la colonne Joindre adjacente au nom de la
colonne. La colonne Jointure s’affiche à droite du type de données. Lorsque votre
curseur est dans la position appropriée, l’astuce d’aide suivante s’affiche :
Cliquez ici pour sélectionner la colonne pour join

3. Sélectionnez la colonne Joindre appropriée pour le premier objet.


Lorsque cette option est sélectionnée, la colonne Jointure est assombrie. Pour
désélectionner une colonne Joindre, sélectionnez-la à nouveau ou appuyez sur
ÉCHAP.

4. Sélectionnez la colonne Join appropriée pour le deuxième objet.


Lorsqu’elle est jointe, la ligne relie les deux colonnes. Un exemple est illustré dans la figure
suivante :

9-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
5. Sélectionnez les colonnes à inclure dans votre requête. Vous pouvez afficher l’instruction
SQL résultant de la jointure en positionnant le curseur sur la ligne de jointure.

6. Cliquez sur Résultats pour exécuter la requête.

Enregistrement d’une requête


Une fois la requête générée, cliquez sur Enregistrer pour revenir à l’éditeur de modèle de
données. La requête apparaîtra dans la zone Requête SQL. Cliquez sur OK pour enregistrer
l’ensemble de données.
Pour lier les données de cette requête aux données d’autres requêtes ou modifier la structure
de sortie, consultez Données de structuring, page 10-1.

Création d’ensembles de
donn
ées9-11
Ajout d’une variable de liaison à votre requête
Vous avez maintenant votre requête de base, mais dans votre rapport, vous souhaitez que vos
utilisateurs puissent transmettre un paramètre à la requête pour limiter les résultats. Par
exemple, dans la liste des employés, vous souhaitez que les utilisateurs puissent choisir un
service spécifique.
Pour ce faire, ajoutez ce qui suit après la clause where dans votre requête :
et « DEPARTMENT_N AME » dans (:P_DEPTNAME)

où P_DEPTNAME est le nom que vous choisissez pour le paramètre. Ceci est illustré dans la
figure suivante :

9-12Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Lorsque vous sélectionnez Enregistrer , l’éditeur de modèle de données vous demande si vous
souhaitez créer le paramètre que vous avez entré avec la syntaxe de la variable de liaison :

Cliquez sur OK pour que l’éditeur de modèle de données crée l’entrée de paramètre pour vous.
Pour ajouter le paramètre, voir Ajout de paramètres et de listes de valeurs of, page 11-1.
Important : Après avoir modifié manuellement la requête, le Générateur de
requêtes ne pourra plus l’analyser. Toute autre modification doit également
être effectuée manuellement.

Création d’ensembles de
donn
ées9-13
Modification d’une requête enregistrée
Une fois que vous avez enregistré la requête du Générateur de requêtes dans l’éditeur de
modèle de données, vous pouvez également utiliser le Générateur de requêtes pour modifier
la requête :
1. Sélectionnez l’ensemble de données SQL.

2. Cliquez sur le bouton modifier l’ensemble de données sélectionné .

3. La boîte de dialogue Modifier l’ensemble de données s’ouvre. Cliquez sur Générateur de


requêtes pour charger la requête dans le Générateur de requêtes.
Remarque : Si vous avez apporté des modifications à la requête ou si vous
n’avez pas utilisé le Générateur de requêtes pour la construire, vous
pouvez recevoir une erreur lors du lancement du Générateur de requêtes
pour la modifier. Si le Générateur de requêtes ne peut pas analyser la
requête, vous pouvez modifier les instructions directement dans la zone de
texte.

4. Modifiez la requête et cliquez sur Enregistrer.

Définition d’une requête MDX


BI Publisher prend en charge les requêtes MDX (Multidimensional Expressions) sur vos sources
de données OLAP . MDX vous permet d’interroger des objets multidimensionnels, tels que des
cubes, et de renvoyer des ensembles de cellules multidimensionnels contenant les données du
cube. Consultez la documentation de votre base de données OLAP pour plus d’informations sur
la syntaxe MDX et les fonctions qu’elle prend en charge.
Remarque : Assurez-vous dans votre source de données OLAP que vous
n’utilisez pas de caractères Unicode de la plage U+F900 à U+FFFE pour
définir des attributs de métadonnées tels que des noms de colonne ou de
table. Cette gamme Unicode comprend des variantes Katakana japonaises
demi-largeur et ASCII pleine largeur. L’utilisation de ces caractères entraîne
des erreurs lors de la génération des données XML pour un rapport BI
Publisher.

9-14Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
1. Cliquez sur le bouton de la barre d’outils Nouvel ensemble de données et
sélectionnez OLAP. La boîte de dialogue Créer un ensemble de données - OLAP se
lance.

2. Entrez un nom pour cet ensemble de données.

3. Sélectionnez la source de données pour cet ensemble de données. Seules les


sources de données définies comme des connexions OLAP s’affichent dans la
liste.

4. Entrez la requête MDX par entrée directe ou par copier-coller à partir d’un éditeur MDX
tiers.

5. Cliquez sur OK.

6. Pour lier les données de cette requête aux données d’autres quries ou modifier la structure
de sortie, consultez Création d’ensembles de données XML structurées, page 10-1.

Définition d’une requête LDAP en tant que type d’ensemble de


données
BI Publisher prend en charge les requêtes sur les sources de données LDAP (Lightweight Directory
Access Protocol). Vous pouvez interroger les informations utilisateur stockées dans les annuaires
LDAP, puis utiliser l’éditeur de modèle de données pour lier les informations utilisateur aux
données extraites d’autres données.
Création d’ensembles de
données9-15
Sources.
Par exemple, supposons que vous souhaitiez générer un rapport qui répertorie les
informations salariales des employés stockées dans votre application de base de données et
inclure dans le rapport les adresses de messagerie des employés stockées dans votre
annuaire LDAP. Vous pouvez créer une requête sur chacun d’eux, puis lier les deux dans
l’éditeur de modèle de données pour afficher les informations dans un seul rapport.

1. Cliquez sur le bouton de la barre d’outils Nouvel ensemble de données et


sélectionnez LDAP. La boîte de dialogue Créer un ensemble de données - LDAP
s’ouvre.

2. Entrez un nom pour cet ensemble de données.

3. Sélectionnez la source de données pour cet ensemble de données. Seules les


sources de données définies comme des connexions LDAP s’affichent dans la
liste.

4. Dans la zone de saisie Attributs, indiquez les attributs dont vous souhaitez extraire les
valeurs de la source de données LDAP.
Par exemple :
mail,cn,givenName

5. Pour filtrer la requête, entrez la syntaxe appropriée dans la zone de saisie Filtrer. La syntaxe
est la suivante : .

9-16Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
(Opérateur (Filtre) (Filtre))

Par exemple:
(objectclass=personne)

Les filtres de recherche LDAP sont définis dans le document de demande de commentaires
2254 de l’IETF (Internet Engineering Task Force), « The String Representation of LDAP
Search Filters » (RFC 2254). Ce document est disponible sur le site Web de l’IETF à
l’adresse http://www.ietf.org/rfc/rfc2254.txt

6. Pour lier les données de cette requête aux données d’autres requêtes ou modifier la structure
de sortie, consultez Structuration des données, page 10-1.

Définition d’un fichier Microsoft Excel en tant que type d’ensemble


de données
Pour utiliser un fichier Microsoft Excel comme source de données, placez le fichier dans un
répertoire que votre administrateur a configuré comme source de données (voir Configuration
d’une connexion à une source de données de fichier, Guide de l’administrateur et du
développeur Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher).
Les fichiers Microsoft Excel doivent être enregistrés au format Classeur Excel 97-2003 (*.xls).

À propos des fichiers Excel pris en charge


Voici des instructions pour la prise en charge des fichiers Microsoft Excel en tant que type
d’ensemble de données dans BI Publisher :
• Le fichier Excel source peut contenir une ou plusieurs feuilles.

• Chaque feuille de calcul peut contenir une ou plusieurs tables. Une table est un bloc de
données situé dans les lignes et colonnes continues d’une feuille.
Dans chaque table, BI Publisher considère toujours la première ligne comme une ligne d’en-
tête pour la table.

• Le type de données des données de la table peut être le nombre, le texte ou la date/heure.

• Si plusieurs tables existent dans une seule feuille de calcul, les tables doivent être
identifiées par un nom pour que BI Publisher reconnaisse chacune d’elles. Voir
Recommandations pour l’accès à plusieurs tables par feuille, pages 9-17.

• Si toutes les tables du fichier Excel ne sont pas nommées, seules les données de la
première table (la table située dans le coin supérieur gauche) seront reconnues et extraites.

Recommandations pour l’accès à plusieurs tables par feuille


Si votre feuille de calcul Excel contient plusieurs tables que vous souhaitez inclure
comme sources de données, vous devez définir un nom pour la table dans Excel.

Création d’ensembles de
données9-17
Important : Le nom que vous définissez doit commencer par le préfixe :
« BIP_ », par exemple, « BIP_SALARIES ».

Pour définir un nom pour la table dans Excel :


1. Insérez le tableau dans Excel.

2. Définissez un nom pour la table comme suit :


Utilisation d’Excel 2003 : sélectionnez le tableau. Dans le menu Insertion , cliquez sur Nom ,
puis sur Définir.
Utilisation d’Excel 2007 : sélectionnez le tableau. Sous l’onglet Formules, dans le
groupe Noms définis, cliquez sur Définir le nom, puis entrez le nom dans le champ
Nom. Le nom que vous entrez apparaîtra alors dans la barre Formule.

Conseil : Vous pouvez en savoir plus sur les noms définis et leur utilisation dans
le document Microsoft Excel 2007 : « Définir et utiliser des noms dans
Formules
[http://office.microsoft.com/en-us/excel/HA101471201033.as px]. »

La figure suivante montre comment utiliser la commande Définir le nom dans Microsoft
Excel 2007 pour nommer une table « BIP_Salaries ».

Définition d’un fichier Microsoft Excel en tant que type d’ensemble de données
Notez que si vous souhaitez inclure des paramètres pour votre ensemble de données, vous devez
définir le

9-18Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
paramètres d’abord, afin qu’ils soient disponibles pour la sélection lors de la définition de
l’ensemble de données. Voir Ajout de paramètres et de listes de valeurs, page 11-1.
Important : Le type de jeu de données Excel prend en charge une valeur par
paramètre. Il ne prend pas en charge la sélection multiple pour les paramètres.

1. Cliquez sur le bouton de la barre d’outils Nouvel ensemble de données et sélectionnez


Fichier Microsoft Excel. La boîte de dialogue Créer un ensemble de données - Excel se
lance.

2. Entrez un nom pour cet ensemble de données.

3. Sélectionnez la source de données où réside le fichier Excel.

4. Cliquez sur l’icône parcourir pour vous connecter et sélectionnez le fichier Microsoft Excel.

5. Si le fichier Excel contient plusieurs feuilles ou tableaux, sélectionnez le nom de


feuille et le nom de table appropriés pour cet ensemble de données.

6. Si vous avez ajouté des paramètres pour cet ensemble de données, cliquez sur Ajouter un
paramètre. Entrez le Nom et sélectionnez la Valeur. La liste Valeur est renseignée par le
paramètre Nom défini dans la section Paramètres. Voir Ajout de paramètres et de listes de
valeurs, page 11-1.

7. Cliquez sur OK.

Pour lier les données de cette requête aux données d’autres requêtes ou modifier la structure
output, voir Structuration des données, page 10-1.

Création d’ensembles de
données9-19
Définition d’une analyse Oracle BI en tant que type d’ensemble de
données
Si vous avez activé l’intégration avec Oracle Business Intelligence, vous pouvez accéder au
catalogue Oracle Business Intelligence Presentation pour sélectionner une analyse Oracle BI
comme source de données. Une analyse est une requête sur les données d’une organisation qui
fournit des réponses aux questions de l’entreprise. Une requête contient les instructions SQL
sous-jacentes qui sont émises à Oracle BI Server.
Pour plus d’informations sur la création d’analyses, consultez le Guide de l’utilisateur d’Oracle
Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Enterprise Edition.
1. Cliquez sur le bouton de la barre d’outils Nouvel ensemble de données et sélectionnez
Oracle BI Analysis. La boîte de dialogue Créer un ensemble de données - Oracle BI
Analysis se lance.

2. Entrez un nom pour cet ensemble de données.

3. Cliquez sur l’icône Parcourir pour vous connecter au catalogue Oracle BI Presentation.

4. Lorsque la boîte de dialogue de connexion au catalogue se lance, parcourez les dossiers


pour sélectionner l’analyse Oracle BI que vous souhaitez utiliser comme ensemble de
données pour votre rapport.

5. Entrez une valeur de délai d’expiration en secondes. Si BI Publisher n’a pas reçu les
données d’analyse après l’expiration du délai spécifié dans la valeur de délai d’expiration,
BI Publisher cesse de tenter de récupérer les données d’analyse.

9-20Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
6. Cliquez sur OK.

Remarques importantes sur les ensembles de données Oracle BI Analysis


Les paramètres et la liste des valeurs seront hérités de l’analyse BI et s’afficheront au moment
de l’exécution.
L’analyse BI doit avoir des valeurs par défaut définies pour les variables de filtre . Si
l’analyse contient des variables de présentation sans valeurs par défaut, elle n’est pas prise
en charge en tant que source de données par BI Publisher.
Si vous souhaitez structurer les données en fonction des ensembles de données Oracle BI
Analysis, les interruptions de groupe, les liaisons de données et les fonctions au niveau du
groupe ne sont pas prises en charge
Les éléments suivants sont pris en charge :
• Fonctions au niveau global

• Définition de la valeur des éléments si null

• Filtres de groupe

Définition d’un objet View en tant que type d’ensemble de données


BI Publisher vous permet de vous connecter à vos applications personnalisées créées avec
Oracle Application Development Framework et d’utiliser des objets d’affichage dans vos
applications comme sources de données pour les rapports.
Cette procédure suppose que vous avez créé un objet d’affichage dans votre application.
1. Cliquez sur le bouton de la barre d’outils Nouvel ensemble de données et sélectionnez
Afficher l’objet. La boîte de dialogue Créer un ensemble de données - Afficher l’objet se
lance.

2. Entrez un nom pour cet ensemble de données.

3. Sélectionnez la source de données dans la liste. Les sources de données que vous
avez définies dans le fichier .xml fournisseurs s’affichent.

Création d’ensembles de
données9-21
4. Entrez le nom complet du module d’application (par exemple :
example.apps.pa.entity.applicationModule.AppModuleAM).

5. Cliquez sur Charger les objets d’affichage.


BI Publisher appelle le module d’application pour charger la liste d’objets d’affichage.

6. Sélectionnez l’objet View.

7. Toutes les variables de liaison définies seront récupérées. Créer un paramètre à mapper à
cette variable de liaison Voir Ajout de paramètres et de listes de valeurs, page 11-1.

8. Cliquez sur OK pour enregistrer votre ensemble de données.

Remarques importantes sur l’affichage des ensembles de données d’objets


Si vous souhaitez structurer des données en fonction d’ensembles de données d’objet
d’affichage, les interruptions de groupe, les liaisons de données et les fonctions au niveau du
groupe ne sont pas prises en charge.
Les éléments suivants sont pris en charge :
• Fonctions au niveau global

• Définition de la valeur des éléments si null

• Filtres de groupe

Définition d’un type d’ensemble de données de service Web


BI Publisher prend en charge les sources de données de service Web qui renvoient des données XML valides .
Important : Une configuration supplémentaire peut être nécessaire pour
accéder aux services Web externes en fonction de la sécurité de votre système.
Si l’URL WSDL se trouve en dehors du pare-feu de votre entreprise,
consultez Configuration des paramètres de proxy, Guide de l’administrateur
Oracle Fusion Middleware et Guide de Developer pour Oracle Business
Intelligence Publisher.
Si le service Web est protégé par SSL (Secure Sockets Layer), consultez
Configuration de BI Publisher pour Secure Socket Layer Communication,
Oracle Fusion Middleware Administrator’s and Developer’s Guide for
Oracle Business Intelligence Publisher.

BI Publisher prend en charge les services Web qui renvoient à la fois des types de données
simples et des types de données complexes. Vous devez faire la distinction entre simple et
complexe lorsque vous définissez le modèle de données de service Web. Voir Ajout d’un
service Web Simple, pages 9-23 et Ajout d’un service Web complexe, pages 9-27 pour
obtenir une description de la configuration de chaque type.
Notez que si vous souhaitez inclure des paramètres pour la méthode de service Web, vous devez

9-22Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
définissez d’abord les paramètres, afin qu’ils soient disponibles pour la sélection lors de la
configuration de la source de données. Voir Ajout de paramètres et de listes de valeurs, page
11-1.
Plusieurs paramètres sont pris en charge. Assurez-vous que le nom de la méthode est correct et
que l’ordre des paramètres correspond à l’ordre de la méthode. Si vous souhaitez appeler une
méthode dans votre service Web qui accepte deux paramètres, vous devez mapper deux
paramètres définis dans le rapport pour en stocker deux. Notez que seuls les paramètres de type
simple sont pris en charge, par exemple, chaîne et entier.
• Entrez l’URL WSDL et la méthode de service Web.
Important : Seuls les services Web de documents/littéraux sont pris en charge.

• Pour spécifier un paramètre, sélectionnez le lien Ajouter. Sélectionnez le paramètre dans la


liste.
Remarque : Les paramètres doivent déjà être configurés dans la section
Paramètres de la définition du rapport Voir Ajout de paramètres et de
listes de valeurs, page 11-1.

Ajout d’un service Web simple : exemple


Cet exemple montre comment ajouter un service Web à BI Publisher en tant que source de
données. Le service Web renvoie des informations de cotation boursière. Le service Web
transmet un paramètre : le symbole de cotation d’une action.
L’URL WSDL est :
http://www.webservicex.net/stockquote.asmx?WSDL

Si vous n’êtes pas déjà familiarisé avec les méthodes et paramètres disponibles dans le
service Web que vous souhaitez appeler, vous pouvez ouvrir l’URL dans un navigateur pour
les afficher. Ce service Web inclut une méthode appelée GetQuote. Il prend un paramètre, qui
est le symbole de cotation de l’action .
Pour ajouter le service Web en tant que source de données :
1. Cliquez sur le bouton de la barre d’outils Nouvel ensemble de données et sélectionnez
Services Web. La boîte de dialogue Créer un ensemble de données - Service Web se lance.

Création d’ensembles de
données9-23
2. Entrez un nom pour cet ensemble de données.

3. Entrez les informations de l’ensemble de données :


• Sélectionnez False pour Type complexe.

• Entrez l’URL WSDL :


http://www.webservicex.net/stockquote.asmx?WSDL

• Entrez la méthode : GetQuote

• Si vous le souhaitez, entrez une période de délai d’expiration en secondes. Si le


serveur BI Publisher ne peut pas établir de connexion au service Web, la tentative de
connexion expire une fois le délai d’expiration spécifié écoulé.

4. Définissez le paramètre pour le rendre disponible pour l’ensemble de données du service


Web.
Sélectionnez Paramètres dans le volet Modèle de données et cliquez sur le bouton
Créer un nouveau paramètre. Entrez ce qui suit :
• Identificateur - entrez un identificateur interne pour le paramètre (par exemple, Quote).

• Type de données - sélectionnez Chaîne.

• Valeur par défaut - si vous le souhaitez, entrez une valeur par défaut pour le
paramètre (par exemple, ORCL).

9-24Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Type de paramètre - sélectionnez Texte

5. Dans la zone Paramètre de texte , entrez ce qui suit :


• Afficher l’étiquette - entrez l’étiquette que vous souhaitez afficher pour votre
paramètre ( par exemple : Symbole boursier).

• Taille du champ de texte : entrez la taille du champ de saisie de texte en caractères.

6. Sélectionnez les options que vous souhaitez appliquer :


• Le champ de texte contient des valeurs séparées par des virgules - sélectionnez
cette option pour permettre à l’utilisateur d’entrer plusieurs valeurs séparées par des
virgules pour ce paramètre.

• Actualiser d’autres paramètres lors de la modification - effectue une actualisation partielle


de la page pour actualiser tous les autres paramètres dont les valeurs dépendent de la valeur
de celui-ci.

7. Revenez à votre ensemble de données de service Web et ajoutez le paramètre.


• Cliquez sur le nom de l’ensemble de données Stock Quote. Cliquez sur
Ajouter un paramètre. Le paramètre Quote que vous avez spécifié est
désormais disponible dans la liste.

• Cliquez sur le bouton Modifier l’ensemble de données sélectionné .

• Dans la boîte de dialogue Modifier l’ensemble de données, cliquez sur Ajouter


un paramètre. Le paramètre Quote s’affiche.

Création d’ensembles de
données9-25
• Cliquez sur OK pour fermer l’ensemble de données.

8. Cliquez sur Enregistrer.

9. Pour afficher les résultats XML, sélectionnez Obtenir la sortie XML.

10. Entrez une valeur valide pour votre paramètre Symbole boursier, sélectionnez le nombre
de lignes à renvoyer, puis cliquez sur le bouton Exécuter .

9-26Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Ajout d’un service Web complexe
Un type de service Web complexe utilise en interne soapRequest / soapEnvelope pour
transmettre les valeurs de paramètre à l’hôte de destination.
Pour utiliser un service Web complexe comme source de données, sélectionnez Type
complexe égal à True, puis entrez l’URL WSDL. Après avoir chargé et analysé l’URL
WSDL, l’éditeur de modèle de données affiche les services Web et les opérations disponibles.
Pour chaque opération sélectionnée, l’éditeur de modèle de données affiche la structure des
paramètres d’entrée requis. En choisissant Afficher les paramètres facultatifs, vous pouvez
également voir tous les paramètres facultatifs.
Si vous n’êtes pas déjà familiarisé avec les méthodes et paramètres disponibles dans le
service Web que vous souhaitez appeler, ouvrez l’URL WSDL dans un navigateur pour les
afficher.
Pour ajouter un service Web complexe en tant que source de données :
1. Entrez les informations de l’ensemble de données :
• Entrez un nom pour l’ensemble de données et sélectionnez Service Web comme Type.

• Sélectionnez True pour le type complexe.

• Sélectionnez un en-tête de sécurité :


• Désactivé - n’insère pas d’en-tête de sécurité.

• 2002 - active le jeton de nom d’utilisateur « WS-Security » avec le 2002

Création d’ensembles de
données9-27
espace de noms:
http://docs.oasis-open.org/wss/2004/01/oasis-200401-wss-wssecurity-secext-
1.0.xsd

• 2004 - active le jeton de nom d’utilisateur « WS-Security » avec


l’espace de noms 2004 :
http://docs.oasis-open.org/wss/2004/01/oasis-200401-wss-username-token-p
rofile-1.0#PasswordText

• Nom d’utilisateur et mot de passe : entrez le nom d’utilisateur et le mot de


passe du service Web , si nécessaire.

• Si vous le souhaitez, entrez une période de délai d’expiration en secondes. Si le


serveur BI Publisher ne peut pas établir de connexion au service Web, la tentative de
connexion expire une fois le délai d’expiration spécifié écoulé.

• Entrez une URL WSDL. Lorsque vous entrez le WSDL, la liste des services
Web est remplie avec les services Web disponibles et le WSDL.

• Choisissez un service Web dans la liste. Lorsque vous choisissez un service Web
dans la liste, la liste Méthode est remplie avec les méthodes disponibles.

• Sélectionnez la méthode. Lorsque vous sélectionnez la méthode, les paramètres


s’affichent. Si vous souhaitez également afficher les paramètres facultatifs, sélectionnez
Afficher les paramètres facultatifs.

• Response Data XPath : si le début des données XML de votre rapport est
profondément incorporé dans le code XML de réponse généré par la demande de
service Web, utilisez ce champ pour spécifier le chemin d’accès aux données que vous
souhaitez utiliser dans votre rapport BI Publisher.

2. Définissez le paramètre pour le rendre disponible pour l’ensemble de données du service Web.
Sélectionnez Paramètres dans le volet Définition du rapport et cliquez sur
Nouveau pour créer un paramètre. Entrez ce qui suit :
• Nom : entrez un identificateur interne pour le paramètre.

• Type de données : sélectionnez le type de données approprié pour le paramètre.

• Valeur par défaut - si vous le souhaitez, entrez une valeur par défaut pour le paramètre.

• Type de paramètre - sélectionnez le type de paramètre approprié.

• Afficher l’étiquette - entrez l’étiquette que vous souhaitez afficher pour votre paramètre.

• Taille du champ de texte : entrez la taille du champ de saisie de texte en caractères.

9-28Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
3. Revenez à votre ensemble de données de service Web et ajoutez le paramètre.
• Sélectionnez l’ensemble de données du service Web, puis cliquez sur
Modifiez l’ensemble de données sélectionné pour lancer la boîte de dialogue Modifier
l’ensemble de données.

• Dans le champ de saisie du paramètre, entrez la syntaxe suivante :


${Parameter_Name} où Parameter_Name est la valeur que vous avez entrée pour
Name lorsque vous avez défini le paramètre sur BI Publisher.

4. Pour tester le service Web, consultez Test des modèles de données et génération d’exemples
de données, pages 9-32.

Remarques importantes sur les ensembles de données de service Web


Aucune métadonnée n’est disponible à partir des ensembles de données de service Web.

Définition d’un fichier XML en tant que type d’ensemble de


données
Lorsque vous configurez des sources de données, vous pouvez définir un répertoire de fichiers en
tant que source de données (voir Configuration d’une connexion à une source de données de fichier,
Guide de l’administrateur et du développeur Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business
Intelligence Publisher). Vous pouvez ensuite placer des documents XML dans le répertoire de
fichiers pour y accéder directement en tant que sources de données pour vos rapports.
Création d’ensembles de
données9-29
1. Cliquez sur le bouton Créer une nouvelle barre d’outils et sélectionnez XML. La
boîte de dialogue Créer un ensemble de données - Fichier s’ouvre.

2. Entrez un nom pour cet ensemble de données.

3. Sélectionnez la source de données où réside le fichier XML. La liste est renseignée à


partir des connexions de source de données de fichier configurées.

4. Cliquez sur Parcourir pour vous connecter à la source de données et parcourir les
répertoires disponibles. Sélectionnez le fichier à utiliser pour ce rapport.

5. Cliquez sur OK.

Remarques importantes sur les ensembles de données de fichiers


Aucune métadonnée n’est disponible à partir des ensembles de données de fichiers.

Définition d’un type d’ensemble de données HTTP


À l’aide du type de source de données HTTP, vous pouvez créer des rapports à partir de flux RSS sur
le Web.
Important : Une configuration supplémentaire peut être nécessaire pour
accéder aux flux de sources de données externes en fonction de la sécurité de
votre système. Si le flux RSS est protégé par SSL (Secure Sockets Layer),
consultez Configuration de BI Publisher pour Secure Sockets Layer
Communication, Oracle Fusion Middleware Administrator’s and
Developer’s Guide for Oracle Business Intelligence Publisher.

Notez que si vous souhaitez inclure des paramètres pour un HTTP (flux XML), vous devez
d’abord définir les paramètres, afin qu’ils soient disponibles pour la sélection lors de la
définition de l’ensemble de données. Voir Ajout de paramètres et de listes de valeurs, page 11-
1.
1. Cliquez sur le bouton de la barre d’outils Nouvel ensemble de données et
sélectionnez HTTP. La boîte de dialogue Créer un ensemble de données - HTTP se
lance.

9-30Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
2. Entrez un nom pour cet ensemble de données.

3. Entrez l’URL du flux XML.

4. Sélectionnez la méthode : Obtenir ou Publier.

5. Entrez le nom d’utilisateur, le mot de passe et le domaine de l’URL, si nécessaire.

6. Pour ajouter un paramètre, cliquez sur Ajouter un paramètre. Entrez le Nom et


sélectionnez la Valeur. La liste Valeur est renseignée par le paramètre Nom défini dans
la section Paramètres. Voir Ajout de paramètres et de listes de valeurs, page 11-1.

7. Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue de l’ensemble de données.

Remarques importantes sur les ensembles de données HTTP


Aucune métadonnée n’est disponible à partir des ensembles de données HTTP.

Création d’ensembles de
données9-31
Test de modèles de données et génération d’exemples de données
L’éditeur de modèle de données vous permet de tester votre modèle de données et d’afficher la
sortie pour vous assurer que vos résultats sont conformes aux attentes. Après avoir exécuté un
test réussi, vous pouvez choisir d’enregistrer la sortie du test en tant qu’exemples de données
pour votre modèle de données ou d’exporter le fichier vers un emplacement externe. Si votre
modèle de données ne s’exécute pas, vous pouvez afficher le journal du moteur de données.
Pour tester votre modèle de données :
1. Cliquez sur le bouton obtenir la sortie XML de la barre d’outils. Cela lancera la page Sortie
XML.

2. Sélectionnez le nombre de lignes à renvoyer. Si vous avez inclus des paramètres, entrez
les valeurs souhaitées pour le test.

3. Cliquez sur Exécuter pour afficher le code XML renvoyé par votre modèle de données.

Pour enregistrer votre ensemble de données de test en tant qu’exemples de données pour votre
modèle de données :
Une fois que votre modèle de données a réussi à run, cliquez sur le bouton de la barre d’outils
Options, puis sur Enregistrer en tant qu’exemple de données. Ces exemples de données
seront enregistrés dans votre modèle de données.
Pour exporter les données de test :
Une fois votre modèle de données exécuté avec succès, sélectionnez le bouton options de la
barre d’outils, puis sélectionnez Exporter XML. Vous serez invité à enregistrer le fichier.
Pour afficher le journal du moteur de données :
Sélectionnez le bouton de la barre d’outils Options, puis sélectionnez Obtenir le journal
du moteur de données. Vous serez invité à ouvrir ou à enregistrer le fichier. Le fichier
journal du moteur de données est un fichier XML.

Inclusion d’informations utilisateur dans vos données de rapport


BI Publisher stocke des informations sur l’utilisateur actuel accessibles par votre modèle de
données de rapport. Les informations utilisateur sont stockées dans les variables système
comme suit :

Variable système Description

ID utilisateur de l’utilisateur qui soumet le rapport.


xdo_user_name Pour
Exemple : Administrateur

xdo_user_roles Rôles attribués à l’utilisateur qui soumet le


rapport. Par exemple : XMLP_ADMIN,
XMLP_SCHEDULER

xdo_user_report_oracle_lang Langue du rapport à partir du compte de l’utilisateur


préférences. Par exemple : ZHS
9-32Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Variable système Description

Paramètres régionaux du rapport à partir du compte


xdo_user_report_locale de l’utilisateur
préférences. Par exemple : en-US

xdo_user_ui_oracle_lang Langue de l’interface utilisateur de l’utilisateur


préférences de compte. Par exemple : États-Unis
Paramètres régionaux de l’interface utilisateur à
xdo_user_ui_locale partir du compte de l’utilisateur
préférences. Par exemple : en-US

Ajout des variables système utilisateur en tant qu’éléments


Pour ajouter les informations utilisateur à votre modèle de données, vous pouvez définir les
variables en tant que paramètres, puis définir la valeur du paramètre en tant qu’élément dans
votre modèle de données. Vous pouvez également simplement ajouter les variables en tant que
paramètres, puis référencer les valeurs des paramètres dans votre rapport.

Exemple de cas d’utilisation : limiter l’ensemble de données renvoyées par ID


utilisateur
L’exemple suivant limite les données renvoyées par l’ID utilisateur :
sélectionnezEMPLOYÉS. LAST_NAME comme LAST_NAME,
SALARIÉS. PHONE_NUMBER comme PHONE_NUMBER,
SALARIÉS. HIRE_DATE comme HIRE_DATE,
:xdo_user_name en tant qu’USERID
fromHR. EMPLOYÉS EMPLOYÉS
où inférieur(EMPLOYÉS. LAST_NAME) = :xdo_user_name
Notez l’utilisation de la fonction lower(), la xdo_user_name sera toujours au format minuscule. BI
Publisher n’ayant pas de user_id vous devez donc utiliser le nom d’utilisateur et l’utiliser
directement dans la requête ou peut-être aller à l’encontre d’une table de choix pour trouver un ID
utilisateur.
Création d’ensembles de
donn
ées9-33
10
Structuration des données

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Utilisation de modèles de données
• Fonctionnalités de l’éditeur de modèle de données
• À propos de l’interface
• Création de liens entre des ensembles de données
• Création de sous-groupes
• Création d’éléments d’agrégation au niveau du groupe
• Création de filtres de groupe
• Exécution de fonctions au niveau de l’élément
• Tri des données
• Exécution de fonctions Group-Level
• Exécution de fonctions de niveau global
• Utilisation de la vue Structure pour modifier votre structure de données
• Référence de fonction

Utilisation de modèles de données


Le diagramme de modèle de données vous aide à définir rapidement et facilement des ensembles
de données, des groupes de rupture et des totaux pour un rapport basé sur plusieurs ensembles de
données.

À propos des ensembles de données non liés en plusieurs parties


Si vous ne liez pas les ensembles de données (ou les requêtes), vous produirez un
ensemble de données de requête non liée en plusieurs parties.
Par exemple, dans le modèle de données ci-dessous, une requête sélectionne des produits et
une autre sélectionne des clients. Notez qu’il n’y a pas de relation entre les produits et les
clients.

Structuration des
donn
ées10-1
Cela produira la structure de données suivante :

10-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
A propos des ensembles de données associés en plusieurs parties
Dans de nombreux cas, les données extraites pour une partie de l’ensemble de données (ou de la
requête) sont déterminées par les données extraites pour une autre partie. C’est ce qu’on appelle
souvent une relation « maître/détail » ou « parent/enfant » et elle est définie par une liaison de
données entre deux ensembles de données (ou requêtes). Lorsque vous exécutez un modèle de
données maître/détail, chaque ligne de la requête principale (ou parente) entraîne l’exécution de la
requête de détail (ou enfant), en récupérant uniquement les lignes correspondantes.
Dans l’exemple suivant, deux ensembles de données sont liés par l’élément Customer ID.
Les données Commandes définissent un enfant de l’ensemble de données Clients.

Structuration des
donn
ées10-3
Cela produit la structure de données suivante :

10-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Recommandations pour l’utilisation d’ensembles de données
Voici les recommandations pour la création de modèles de données :
• Réduisez autant que possible le nombre d’ensembles de données ou de requêtes dans votre
modèle de données. En général, moins vous avez d’ensembles de données/requêtes, plus
votre modèle de données s’exécutera rapidement. Alors que les modèles de données
multirequis sont souvent plus faciles à comprendre, les modèles de données à requête
unique doivent s’exécuter plus rapidement. Il est important de comprendre que dans les
requêtes parent-enfant, pour chaque parent, la requête enfant est exécutée.

• Vous ne devez utiliser des modèles de données multirequis que dans les scénarios suivants :
• Pour exécuter des fonctions que le type de requête, comme une requête SQL,
ne prend pas en charge directement.

• Pour prendre en charge les vues complexes (par exemple, les requêtes distribuées
ou les requêtes GROUP BY).

• Pour simuler une vue lorsque vous n’en avez pas ou que vous souhaitez utiliser une vue.

Structuration des
donn
ées10-5
Fonctionnalités de l’éditeur de modèle de données
L’éditeur de modèle de données vous permet de combiner des données provenant de plusieurs
ensembles de données en une seule structure de données XML. Les ensembles de données
provenant de plusieurs sources de données peuvent être fusionnés au format XML séquentiel ou
au niveau de la ligne pour créer un seul XML hiérarchique combiné. À l’aide de l’éditeur de
modèle de données, vous pouvez facilement combiner des données provenant des types
d’ensembles de données suivants : requête SQL, OLAP (requête MDX), LDAP et Microsoft
Excel.
L’éditeur de modèle de données prend en charge les éléments suivants
• Données de groupe
Des groups sont créés pour organiser les colonnes de votre rapport. Les groupes peuvent
faire deux choses : séparer les données d’une requête en ensembles et filtrer les données
d’une requête. Lorsque vous créez une requête , le moteur de données crée un groupe qui
contient les colonnes sélectionnées par la requête ; vous créez des groupes pour modifier la
hiérarchie des données apparaissant dans un modèle de données. Les groupes sont
principalement utilisés lorsque vous souhaitez traiter certaines colonnes différemment des
autres. Par exemple, vous créez des groupes pour produire des sous-totaux ou créer des
pauses.

• Lier des données : définissez des liens maîtres-détails entre des ensembles de données
pour regrouper des données à plusieurs niveaux.

• Données agrégées - créez des totaux et des sous-totaux au niveau du groupe.

• Transformez les données : modifiez les données sources pour les rendre conformes aux
conditions commerciales et aux exigences en matière de rapports.

• Créer des calculs : compute les valeurs de données requises pour votre rapport qui ne sont
pas disponibles dans les sources de données sous-jacentes.

L’éditeur de modèle de données fournit des fonctions au niveau de l’élément, du groupe et du


niveau global. Notez que tous les types d’ensembles de données ne prennent pas en charge
toutes les fonctions. Consultez la section Notes importantes qui accompagne votre type
d’ensemble de données pour connaître les limitations.

10-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
À propos de l’interface
Par défaut, les ensembles de données que vous avez créés sont affichés dans la vue
Diagramme en tant qu’objets distincts.

Le générateur de structure d’ensemble de données comporte trois vues :


• Vue de diagramme - (illustré ci-dessus) cette vue affiche vos ensembles de données et vous
permet

Structuration des
donn
ées10-7
pour créer graphiquement des liens et des filtres, ajouter des éléments basés sur des
expressions, ajouter des fonctions d’agrégation et des fonctions globales, modifier des
propriétés d’élément et supprimer des éléments. La vue diagramme est généralement la
vue que vous utiliserez pour créer votre structure de données.

• Vue Structure - cette vue a deux modes: Vue


tableau et Sortie
La vue de tableau affiche les propriétés d’élément dans une table et vous permet de mettre
à jour les noms d’alias d’élément XML, les noms de présentation des éléments, le tri, les
valeurs NULL et les options de réinitialisation. La figure suivante illustre la structure de la
vue Table :

La vue Sortie fournit une vue claire de la structure XML qui sera générée.
La vue Sortie ne peut pas être mise à jour. La figure suivante montre la vue Sortie :

10-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Mode Code : cette vue affiche le code de structure de données créé par le
générateur de structure de données qui sera lu par le moteur de données. Le mode
code ne peut pas être mis à jour. La figure suivante illustre le mode Code :

Structuration des
donn
ées10-9
Création de liens entre des ensembles de données
Il est parfois impossible de joindre et de structurer les données à la source en un seul ensemble
de données combiné. Par exemple, vous ne pouvez pas joindre des données à la source lorsque
les données résident dans des sources disparates telles que Microsoft SQL Server et une base de
données Oracle. Vous pouvez utiliser le moteur de données BI Publisher pour combiner et
structurer des données après les avoir extraites de la source de données. Même si vos données
proviennent de la même source, si vous créez des rapports ou des documents volumineux avec
potentiellement des centaines de milliers de lignes ou de pages, structurer vos données de
manière à ce qu’elles correspondent à la mise en page intégrée optimisera la génération de
documents.
Créez un lien pour définir une relation maître-détail (ou parent-enfant) entre deux ensembles de
données. Vous pouvez créer des liens sous forme de liens au niveau de l’élément ou de liens au
niveau du groupe. Les données XML hiérarchiques qui en résulteront seront les mêmes. La
création de liens en tant que liens au niveau des éléments est la méthode préférée. Des liens au
niveau du groupe sont fournis pour assurer la compatibilité descendante avec les modèles de
données des versions antérieures de BI Publisher.
Une liaison de données (ou relation parent-enfant) relie les résultats de plusieurs requêtes. Une
liaison de données peut établir les relations suivantes :
• Entre la colonne d’une requête et la colonne d’une autre requête

• Entre le groupe d’une requête et le groupe d’une autre requête (ceci est utile lorsque
vous souhaitez que la requête enfant connaisse les données de son parent)

10-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
À propos des liens au niveau des éléments
Les liens au niveau des éléments créent une liaison (jointure) entre deux ensembles de données
et définissent une relation maître-détail (parent-enfant) entre eux. Il s’agit de la méthode
préférée pour définir les relations de détail de base entre les ensembles de données. Le moyen le
plus simple de lier des ensembles de données consiste à créer des liens au niveau des éléments,
car ils ne nécessitent pas que vous codiez une jointure entre les deux ensembles de données via
une variable de liaison.

À propos des liens au niveau du groupe


Les liens au niveau du groupe déterminent également la façon dont les ensembles de données
sont structurés en tant que XML hiérarchique, mais ne disposent pas des informations de
jointure dont le moteur de données a besoin pour exécuter les requêtes maître et de déphalage.
Lorsque vous définissez un lien au niveau du groupe, vous devez également mettre à jour votre
requête avec un lien entre les deux ensembles de données via une variable de liaison unique.

Création de liens au niveau de l’élément


Liez des ensembles de données pour définir une relation maître-détail (ou parent-enfant) entre
deux ensembles de données. La définition d’un lien au niveau de l’élément vous permet
d’établir la liaison entre les éléments des ensembles de données de base et de détail.
Pour définir un lien au niveau de l’élément :
• Ouvrez le menu d’action de l’élément et cliquez sur Créer un lien.

La boîte de dialogue Créer un lien se lance et affiche les éléments des autres ensembles
de données. Choisissez l’élément et cliquez sur OK pour créer le lien.

Structuration des
donné
es10-11
• Sinon, à partir du groupe parent, cliquez et faites glisser l’élément que vous souhaitez lier
à l’élément correspondant dans le groupe enfant.

10-12Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Après avoir déposé l’élément du jeu de données parent vers l’élément correspondant sur
l’ensemble de données enfant, un connecteur s’affiche entre les ensembles de données.
Placez votre curseur sur le connecteur pour afficher le lien (comme illustré dans la figure
suivante).

Structuration des
donné
es10-13
Suppression de liens au niveau de l’élément
Pour supprimer un lien d’élément :
1. Placez votre curseur sur le connecteur d’élément pour afficher les noms des éléments liés
et le bouton de suppression.

2. Cliquez sur le bouton Supprimer.

Ou, alternativement:
1. Ouvrez le menu d’action de l’élément pour l’un ou l’autre élément et cliquez sur Supprimer le
lien.

Création de liens au niveau du groupe


Un lien au niveau du groupe définit une relation maître-détail entre deux ensembles de
données. La figure suivante montre deux ensembles de données avec un lien au niveau du
groupe défini. À côté des ensembles de données, la structure de données XML résultante est
affichée.

10-14Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pour définir un lien au niveau du groupe :
1. Dans le groupe parent, cliquez sur le menu Afficher les actions (dans le coin supérieur
droit de l’objet).

2. Cliquez sur Créer un lien de groupe.

Actions Menu

3. Dans la boîte de dialogue Créer un lien de groupe , sélectionnez le groupe enfant dans la
liste et cliquez sur OK.

Structuration des
donné
es10-15
4. Cliquez sur le menu Afficher les actions , puis sur Modifier l’ensemble de données pour
ajouter les variables de liaison à votre requête.
Exemple:

Ensemble de données : DEPT Ensemble de données : EMP

DÉPARTEMENT. DEPTNO en tant


Choisir que DEPTID, Selec t EMP. EMPNO en tant qu’EMPNO,
DÉPARTEMENT. DNAME en tant que
DNAME, EMP. ENAME comme ENAME,
DÉPARTEMENT. LOC en tant que LOC EMP. JOB en tant que JOB,
De Œ. DEPT DEPT EMP. MGR en tant que MGR,
EMP. HIREDATE comme HIREDATE,
EMP. SAL en tant que SAL,
EMP. COMM en tant que COMM,
EMP. DEPTNO comme DEPTNO
De Œ. EMP EMP
où DEPTNO=:D EPTID

Important : Une variable de liaison unique doit être définie dans la requête enfant.

Suppression de liens au niveau du groupe


Pour supprimer un lien de groupe :
1. Dans le groupe parent, cliquez sur le menu Afficher les actions (dans le coin supérieur
droit de l’objet).

2. Cliquez sur Supprimer le lien de groupe.

3. Dans la boîte de dialogue Supprimer le lien de groupe , sélectionnez le groupe enfant dans la
liste et cliquez sur OK.

Création de sous-groupes
Outre la création de structures parent-enfant en liant deux ensembles de données, vous pouvez
également regrouper des éléments dans le même ensemble de données par d’autres éléments.
Cela peut être utile si votre requête renvoie des données dont les données d’en-tête sont répétées
pour chaque ligne de détail. En créant un

10-16Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
vous pouvez façonner les données XML pour une génération de documents plus efficace.

Pour créer un sous-groupe :


1. Sélectionnez l’élément par lequel vous souhaitez regrouper les autres éléments de
l’ensemble de données.

2. Cliquez sur l’icône du menu d’action de l’élément pour ouvrir le menu et sélectionnez
Regrouper par.

Cela crée un nouveau groupe dans l’ensemble de données affiché. La figure suivante
montre l’ensemble de données G_3 regroupé par l’élément COMPANY. Cela crée un
nouveau groupe appelé G_4, qui contient les quatre autres éléments de l’ensemble de
données. La figure montre comment l’ensemble de données groupé est affiché dans la vue
Diagramme avec la structure.

Structuration des
donné
es10-17
Notez que vous pouvez effectuer n’importe laquelle des actions de groupe sur le nouveau
groupe que vous avez créé.

Pour supprimer un sous-groupe :


Dans la barre de titre du groupe, cliquez sur Afficher les actions , puis sur Dissocier.

Déplacement d’un élément entre un groupe parent et un groupe enfant


Une fois que vous avez créé un groupe dans votre ensemble de données, deux nouvelles
options s’affichent dans le menu d’action d’élément qui vous permettent de déplacer des
éléments entre les groupes parent et enfant.
Pour l’élément que vous souhaitez déplacer, cliquez sur l’icône d’action de l’élément pour ouvrir
le menu. Si l’élément se trouve dans le groupe parent et que vous souhaitez le déplacer vers le
groupe enfant, sélectionnez Déplacer cet élément vers le groupe enfant.
Si l’élément se trouve dans le groupe enfant et que vous souhaitez le déplacer vers le groupe
parent, sélectionnez Déplacer cet élément vers le groupe parent. Dans la figure suivante, le
menu d’action de l’élément pour OFFICE_DSC affiche l’option permettant de déplacer
l’élément vers le groupe parent.

10-18Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Important : Soyez prudent lorsque vous déplacez un élément, car
il peut dépendre d’autres éléments.

Création d’éléments d’agrégation au niveau du groupe


Vous pouvez utiliser l’éditeur de modèle de données pour agréger des données au niveau du
groupe ou du rapport. Par exemple, si vous regroupez les données de vente par nom de client,
vous pouvez agréger les ventes pour obtenir un sous-total pour les ventes de chaque client.
Notez que vous ne pouvez agréger que des données au niveau parent pour un élément enfant.
Les fonctions d’agrégation sont les suivantes :
• Moyenne - calcule la moyenne de toutes les occurrences d’un élément.

• Compter - compte le nombre d’occurrences d’un élément.

• Premier - affiche la valeur de la première occurrence d’un élément dans le groupe.

• Last - affiche la valeur de la dernière occurrence d’un élément dans le groupe.

• Maximum : affiche la valeur la plus élevée de toutes les occurrences d’un élément du groupe.

• Minimum - affiche la valeur la plus basse de toutes les occurrences d’un élément dans un
groupe.

• Résumé : additionne la valeur de toutes les occurrences d’un élément du groupe.

Structuration des
donné
es10-19
Pour créer des éléments d’agrégation au niveau du groupe
1. Faites glisser l’élément vers le champ Déposer ici pour la fonction d’agrégation dans le groupe
parent.
La figure suivante montre l’élément SALARY en cours de glissement vers la barre de
fonction d’agrégat du groupe G_DEPT.

Une fois que vous avez supprimé l’élément, un nouvel élément est créé dans le groupe
parent. Par défaut, la fonction Count est appliquée. L’icône en regard du nom du nouvel
élément d’agrégat indique la fonction. Placez votre curseur sur l’icône pour afficher le
fonction.
La figure suivante montre le nouvel élément d’agrégat, CS_1. avec la fonction Count
par défaut définie.

10-20Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
2. Pour modifier la fonction : Cliquez sur l’icône de fonction pour afficher la liste des
fonctions disponibles et choisir dans la liste.

3. Si vous souhaitez renommer l’élément ou mettre à jour d’autres propriétés, cliquez sur
l’icône de menu Action de l’élément. Dans le menu, cliquez sur Propriétés. La boîte de
dialogue Propriétés est illustrée dans la figure suivante :

Structuration des
donné
es10-21
Important : Soyez prudent lorsque vous renommez un élément, car il
peut dépendre d’autres éléments.

Définissez les propriétés suivantes selon vos besoins :

Propriété Description

Nom de la colonne Nom interne attribué à l’élément par le BI


Éditeur de modèle de données. Ce nom ne peut pas être
Actualisé.

Alias (nom de balise XML) BI Publisher attribue un nom de balise par défaut que le
aura dans le fichier de données XML. Vous pouvez
mettre à jour ce nom de balise si vous voulez un nom plus
significatif
dans le fichier de données.

10-22Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Propriété Description

Le nom complet apparaît dans les outils de conception de


Nom d’affichage rapport.
Mettez à jour ce nom pour qu’il soit significatif pour votre
entreprise
Utilisateurs.

Fonction Si vous n’avez pas encore choisi la fonction souhaitée,


vous pouvez le sélectionner dans la liste ici.

Type de données BI Publisher affecte un type de données par défaut Integer ou


Double en fonction de la fonction. Quelques fonctions
fournissez également l’option de Float.

Valeur si Null Si la valeur renvoyée par la fonction est null, vous pouvez
fournir une valeur par défaut ici pour éviter d’avoir une
valeur null dans
vos données.
Par défaut, la fonction se réinitialise au niveau du groupe.
Ne pas réinitialiser Pour
par exemple, si votre ensemble de données est regroupé par
DEPARTMENT_ID, et vous avez défini une somme
pour SALARY, puis la somme sera réinitialisée pour
chaque groupe de données DEPARTMENT_ID, vous
donnant le
somme du SALAIRE pour ce département seulement. Si à la
place
vous souhaitez que la fonction ne se réinitialise qu’au niveau
global,
et pas au niveau du groupe, sélectionnez Ne pas réinitialiser.
Ceci
créera un total courant de SALAIRE pour tous
Ministères. Notez que cette propriété est destinée au niveau
du groupe
fonctions uniquement.

Création de filtres de groupe


Les filtres vous permettent de supprimer conditionnellement les enregistrements sélectionnés par
vos requêtes. Les groupes peuvent avoir deux types de filtres :
• Expression - créer une expression à l’aide de fonctions et d’opérateurs prédéfinis

• Fonction PL/SQL - créer un filtre personnalisé

Pour créer un filtre de groupe


1. Cliquez sur le menu Afficher les actions et sélectionnez Créer un filtre de groupe.

2. La boîte de dialogue Modifier le filtre de groupe s’affiche :


Structuration des
donné
es10-23
3. Choisissez le type de filtre de groupe : Expression ou PL/SQL.
Remarque : Pour les filtres PL/SQL, vous devez d’abord spécifier
le package PL/SQL en tant que package par défaut oracle DB
dans les propriétés du modèle de données. Reportez-vous à la
section Définition des propriétés du modèle de données, pages 8 et
7.

4. Entrez dans le filtre :


• Pour entrer une expression, sélectionnez les éléments et cliquez sur le bouton navette
pour déplacer l’élément vers la zone définition du filtre de groupe. Cliquez sur les
fonctions et opérateurs prédéfinis pour les insérer dans la zone Filtre de groupe.
Reportez-vous à la section Référence des fonctions, pages 10 à 36 pour obtenir
une description des fonctions disponibles.
Cliquez sur Valider l’expression pour vous assurer que votre entrée est valide.

• Pour entrer dans une fonction PL/SQL, sélectionnez le package PL/SQL dans la zone
Disponible et cliquez sur le bouton navette pour déplacer la fonction vers la zone
Filtre de groupe. Votre fonction PL/SQL dans le package par défaut doit renvoyer un
type booléen.

Après avoir ajouté le filtre de groupe, l’objet d’ensemble de données affiche l’indicateur de
filtre, comme illustré dans la figure suivante :

10-24Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pour modifier ou supprimer un filtre de groupe
1. Cliquez sur le menu Afficher les actions de l’ensemble de données .

2. Choisissez l’action appropriée :


• Pour modifier le filtre de groupe, choisissez Modifier le filtre de groupe pour
lancer la boîte de dialogue Filtre de groupe pour la modification.

• Pour supprimer le filtre de groupe, choisissez Supprimer le filtre de groupe.

Exécution de fonctions au niveau de l’élément


Vous pouvez exécuter les fonctions suivantes au niveau de l’élément :
• Regrouper par un élément pour créer un sous-groupe, page 10-16

• Créer des liens au niveau des éléments entre des ensembles de données, pages 10-11

• Définir les propriétés de l’élément, pages 10 à 25

Définition des propriétés de l’élément


Vous pouvez définir des propriétés pour des éléments individuels. Notez que ces propriétés
peuvent également être mises à jour à partir de la vue Structure. Si vous devez mettre à jour
plusieurs propriétés d’élément, il peut être plus efficace d’utiliser la vue Structure. Reportez-
vous à la section Utilisation de la vue Structure pour modifier des structures de données, pages
10 à 35.
Pour définir des propriétés au niveau de l’élément à l’aide de la boîte de dialogue de l’élément :
1. Cliquez sur l’icône du menu d’action de l’élément. Dans le menu, sélectionnez
Propriétés. La boîte de dialogue Propriétés est illustrée dans la figure suivante :

Structuration des
donné
es10-25
2. Définissez les propriétés suivantes selon vos besoins :

Propriété Description

Alias BI Publisher attribue un nom de balise par défaut que le


aura dans le fichier de données XML. Vous pouvez
mettre à jour ce nom de balise si vous voulez un nom plus
significatif
dans le fichier de données.
Le nom complet apparaît dans les outils de conception de
Nom d’affichage rapport.
Mettez à jour ce nom pour qu’il soit significatif pour votre
entreprise
Utilisateurs.

Type de données BI Publisher affecte un type de données par défaut Integer ou


Double en fonction de la fonction. Quelques fonctions
fournissez également l’option de Float.
Vous pouvez trier les données XML d’un groupe par un ou
Ordre de tri plusieurs
Éléments. Par exemple, si, dans un ensemble de données, les
employés sont
regroupés par département et par responsable, vous pouvez
trier
les données XML par département. Au sein de chaque
département
vous pouvez regrouper et trier les données par gestionnaire et
dans
chaque sous-groupe de gestionnaires, les employés peuvent
être triés par
salaire. Si l’élément ne se trouve pas dans un groupe parent,
le fichier Trier
La propriété de commande ne sera pas disponible.
10-26Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Propriété Description

Valeur si Null Si la valeur renvoyée par la fonction est null, vous pouvez
fournir une valeur par défaut ici pour éviter d’avoir une
valeur null dans
vos données.

Tri des données


Le tri est pris en charge uniquement pour les colonnes de rupture de groupe parent. Par
exemple, si un ensemble de données d’employés est regroupé par service et par responsable,
vous pouvez trier les données XML par service. Au sein de chaque service, vous pouvez
regrouper et trier les données par gestionnaire. Si vous savez comment les données doivent être
triées dans le rapport final, vous spécifiez le sorting au moment de la génération des données
pour optimiser la génération de documents.
Pour appliquer un ordre de tri à un groupe :
1. Cliquez sur l’icône du menu d’action de l’élément que vous souhaitez trier. Dans le
menu, sélectionnez Propriétés.

2. Sélectionnez l’ordre de tri.


La figure suivante montre la boîte de dialogue Propriétés de l’élément
DEPARTMENT_ID avec la liste Ordre de tri affichée.

Structuration des
donné
es10-27
Exécution de fonctions au niveau du groupe

Menu Action de groupe


Le menu Afficher les actions disponible au niveau du groupe vous permet d’effectuer
les opérations suivantes :

• Créer et supprimer des liens de groupe, pages 10-14

• Créer, modifier et supprimer des filtres de groupe, pages 10-23

10-28Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Ajouter un élément au groupe en fonction d’une expression, pages 10-32

• Modifier l’ensemble de données, pages 10-29

• Supprimer des éléments du groupe, pages 10-29

• Modifier les propriétés du groupe, pages 10-29

Modification de l’ensemble de données


Pour modifier l’ensemble de données sous-jacent, cliquez sur Modifier l’ensemble de données
pour lancer l’éditeur d’ensemble de données. Pour plus d’informations, reportez-vous à la
section appropriée pour le type d’ensemble de données dans le chapitre Création d’ensembles
de données, page 9-1.

Suppression d’éléments de ce groupe


Dans l’élément, cliquez sur le menu, puis sur Supprimer l’élément.
Notez que vous ne pouvez supprimer que les éléments ajoutés en tant que fonction de groupe
(somme, nombre, etc.) ou ajoutés en tant qu’expression.

Modification des propriétés du groupe


Cliquez sur le menu Afficher les actions et sélectionnez Propriétés.

Structuration des
donné
es10-29
Modifiez le nom du groupe et cliquez sur OK.

Exécution de fonctions de niveau global


L’objet Global Level Functions vous permet d’ajouter des éléments à votre ensemble de données
de rapport au niveau supérieur du rapport. Vous pouvez ajouter les types d’éléments suivants en
tant que données de niveau supérieur :
• Éléments basés sur des fonctions d’agrégation

• Éléments basés sur des expressions

• Éléments basés sur des instructions PL/SQL (pour les sources de données de la base de données
Oracle)

Important : Si vous sélectionnez un type de données Integer pour un


élément calculé et que l’expression renvoie une fraction, les données ne
seront pas tronquées.

L’objet Global Level Functions est illustré dans la figure suivante. Pour ajouter des
éléments basés sur des fonctions d’agrégation, faites glisser l’élément vers l’espace
« Déposer ici pour la fonction d’agrégation » de l’objet. Pour ajouter un élément basé sur une
expression ou PL/SQL, choisissez l’action appropriée dans le menu Afficher les actions.

10-30Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Ajout d’une fonction d’agrégation au niveau global
Pour ajouter une fonction d’agrégation globale :
1. Faites glisser et déposez l’élément de données de l’ensemble de données vers la zone «
Déposer ici pour la fonction d’agrégation » de l’objet Fonctions de niveau global.
Par exemple, la figure suivante montre l’élément Salary déplacé vers l’objectif Global
Level Functions.

2. Lorsque vous relâchez la souris, l’éditeur de modèle de données attribue un nom par
défaut à l’élément d’agrégat et affecte Count comme fonction par défaut. Les fonctions
disponibles sont les suivantes :
• Compter

• Moyenne

Structuration des
donné
es10-31
• Premier

• Dernier

• Maximum

• Minimum

• Résumé

Pour modifier la fonction, cliquez sur l’icône de fonction à gauche du nouveau nom
d’élément et choisissez la fonction dans la liste.
La figure suivante montre la fonction du nouvel élément de niveau global CS_1 en
cours de modification de Count à Average.

3. Pour modifier le nom par défaut, cliquez sur l’icône d’actions à droite du nom de l’élément et
cliquez sur Propriétés pour lancer la boîte de dialogue Modifier les propriétés, voir
Définition des propriétés de l’élément, page 10-25 pour plus d’informations sur les propriétés
disponibles dans cette boîte de dialogue.

Ajout d’un élément de niveau Group ou global par expression


Effectuez les opérations suivantes :
1. Pour ajouter un élément au niveau du groupe : dans l’objet Groupe, cliquez sur le menu
Afficher les actions et sélectionnez Ajouter un élément par expression.
Pour ajouter un élément de niveau global : dans l’objet Fonctions de niveau global, cliquez
sur le menu Actions d’affichage et sélectionnez Ajouter un élément par expression.

10-32Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
2. Dans la boîte de dialogue Ajouter un élément par expression , entrez les champs.

Champ Description

Nom Entrez un nom pour cet élément.

Alias Entrez le nom de balise que l’élément aura dans le fichier de données XML.

Nom d’affichage Le nom complet apparaît dans les outils de conception de rapport. Entrez un nom qui sera
significatif pour vos utilisateurs professionnels.

Type de données Sélectionnez dans la liste des types de données : String, Integer, Double, Float ou Date.

Structuration des
donné
es10-33
3. Entrez l’expression.
Utilisez la flèche de navette pour déplacer les éléments de données requis pour
l’expression de la zone Disponible vers la zone Expression.
Cliquez sur un opérateur pour l’insérer dans la zone Expression ou choisissez dans la liste des
fonctions. Reportez-vous à la section Référence des fonctions, pages 10 à 36 pour obtenir une
description des fonctions disponibles.

4. Cliquez sur Valider l’expression pour la valider.

Ajout d’un élément de niveau global par PL/SQL


La fonction PL/SQL doit renvoyer un type de données VARCHAR.
1. Dans l’objet Fonctions de niveau global, cliquez sur le menu Actions d’affichage, puis
sur Ajouter un élément par PL/SQL.

2. Dans la boîte de dialogue Ajouter un élément par PL/SQL , entrez les champs.

FieldDescription (En anglais)

NomEntrez un nom pour cet élément.

10-34Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Champ Description

Alias Entrez le nom de balise que l’élément aura dans le fichier de données XML.

Nom d’affichage Le nom complet apparaît dans les outils de conception de rapport. Entrez un nom qui sera
significatif pour vos utilisateurs professionnels.

Type de données Doit sélectionner Chaîne.

Ordre de tri Sélectionnez un ordre de tri.

Valeur si Null Entrez une valeur à renvoyer si la valeur renvoyée par la fonction PL/SQL est null.

3. Sélectionnez le package PL/SQL dans la zone Disponible et cliquez sur le bouton


navette pour déplacer la fonction vers la zone Filtre de groupe.

Utilisation de la vue Structure pour modifier votre structure de


données
La vue Structure vous permet de prévisualiser la structure de votre modèle de données. La
colonne Source de données affiche les éléments de date dans une arborescence hiérarchique
que vous pouvez réduire et développer. Utilisez cette vue pour vérifier l’exactitude de la
structure model de données.

Renommer des éléments


Utilisez la page Structure pour définir des noms conviviaux pour les éléments du modèle de
données.
Structuration des
donné
es10-35
Vous pouvez renommer à la fois le nom de la balise d’élément XML (vue XML) et le nom
qui s’affichera dans les outils de mise en page du rapport (nom de l’entreprise).

Ajout de valeur pour les éléments Null


La structure vous permet également d’entrer une valeur à utiliser pour un élément si le modèle
de données renvoie une valeur NULL pour l’élément.
Entrez la valeur à utiliser dans le champ Valeur si Null de l’élément.

Référence de fonction
Le tableau suivant décrit l’utilisation des fonctions prises en charge disponibles dans la boîte
de dialogue Ajouter un élément par expression et dans la boîte de dialogue Modifier le filtre
de groupe :

Fonction Description

SI opérateur

NON opérateur

ET opérateur

OU opérateur

MAX Renvoie la valeur maximale de l’élément dans l’ensemble.

MIN Renvoie la valeur minimale de l’élément dans l’ensemble.

10-36Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Fonction Description

ROND ROUND ( nombre [, entier ] )

renvoie le nombre arrondi à des entiers situés à droite de la virgule. Si l’entier est omis,
puis le nombre est arrondi à 0 place. entier peut être négatif pour arrondir les chiffres à gauche de
l'
virgule. integer doit être un entier.

Exemple:

ronde (2,777)
Retourne

Exemple:

ronde (2.777, 2)
Retourne

2.78

SOL FLOOR(n) renvoie le plus grand entier égal ou inférieur à n.

PLAFOND CEILING(n) renvoie le plus petit entier supérieur ou égal à n.

ABS ABS(n) renvoie la valeur absolue de n.

AVG AVG(expr) renvoie la valeur moyenne de expr.

LONGUEUR Les fonctions LENGTH(char) renvoient la longueur de char. LENGTH calcule la longueur
en utilisant des caractères tels que définis par le jeu de caractères d’entrée. Si char a la valeur null,
alors cette fonction
renvoie la valeur null.

SOMME SUM(expr) renvoie la somme de la valeur de expr.


NVL(expr1, expr2) vous permet de remplacer null (renvoyé sous forme vide) par une chaîne dans
NVL les résultats
d’une requête. Si expr1 a la valeur null, NVL renvoie expr2. Si expr1 n’est pas null, alors NVL
renvoie expr1.

CONCAT CONCAT(char1, char2) renvoie char1 concaténé avec char2.

CORDE STRING(char1) renvoie char en tant que type de données de chaîne.


Structuration des
donné
es10-37
Fonction Description

SOUS-CHAÎNE La fonction de sous-chaîne vous permet d’extraire une sous-chaîne d’une chaîne. La syntaxe de
la fonction de sous-chaîne est :

substring(chaîne, start_position, longueur)


string est la chaîne source.

start_position est la position pour l’extraction. La première position dans la chaîne est toujours 1.

longueur est le nombre de caractères à extraire.

INSTR La fonction instr renvoie l’emplacement d’une sous-chaîne dans une chaîne. La syntaxe de l’instr
la fonction est :

instr(string1,string2,[start_position],[nth_appearance])
string1 est la chaîne à rechercher.

string2 est la sous-chaîne à rechercher dans string1.

start_position est la position dans string1 où la recherche commencera. La première position dans
la chaîne est 1. Si la start_position est négative, la fonction compte à rebours start_position
nombre de caractères à partir de la fin de string1, puis searches vers le début
de la chaîne1.

nème apparence est la nième apparition de string2.

DATE DATE(char) Convertit char en type de données de date.

FORMAT_DATE La fonction FORMAT_DATE prend un argument de date au format de date Java et le convertit
à une chaîne mise en forme. Par exemple

FORMAT_DATE(HIRE_DATE, « MM-JJ-AAAA ») où la valeur de HIRE_DATE est


1987-09-17T00:00:00.000+00:00 reviendrait le 17-Sep-1987.

FORMAT_NUMBER La fonction FORMAT_NUMBER prend un argument numérique et le convertit en chaîne


dans le format spécifié. Par exemple, FORMAT_NUMBER (SALES_UNITS,'9G990D000')

NOMBRE NUMBER(char) convertit char en un type de données numérique.

10-38Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
11
Ajout de paramètres et de listes de valeurs

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• A propos des paramètres
• Ajout de paramètres
• Ajout de listes de valeurs

A propos des paramètres


L’ajout de paramètres à votre modèle de données permet aux utilisateurs d’interagir avec les
données lorsqu’ils affichent des rapports.
Une fois que vous avez défini les paramètres dans le modèle de données, vous pouvez
configurer davantage la façon dont les paramètres sont affichés dans le rapport en tant que
paramètre au niveau du rapport. Pour plus d’informations sur les paramètres au niveau du
rapport, consultez Configuration des paramètres du rapport, page 15-10.
BI Publisher prend en charge les types de paramètres suivants :
• Texte - entrez une entrée de texte à passer comme paramètre.

• Menu - passez les paramètres en effectuant des sélections à partir d’une liste de valeurs.
Cette option prend en charge plusieurs sélections, une option « Sélectionner tout » et une
actualisation partielle de la page pour les paramètres en cascade. Définissez les propriétés
de la liste des valeurs dans la définition du rapport. Une liste de valeurs peut contenir des
données fixes que vous spécifiez ou la liste peut être créée via une requête SQL exécutée
sur l’une des sources de données définies.
Pour ajouter un paramètre en tant que menu, définissez d’abord la liste des valeurs ; puis
définissez le paramètre et associez-le à la liste des valeurs. Voir Ajout de listes de valeurs
of, pages 11-3.

• Date - entrez une date comme paramètre. Notez que le type de données doit également
être « Date » et le format doit être le format de date Java.

Ajout de paramètres et de listes de


vale
urs11-1
Ajout de paramètres
Cliquez sur Paramètres , puis sur Nouveau.
• Entrez un identificateur de nom et le type de données (String, Integer, Boolean, Date ou
Float).
Remarque : Le type de données Integer pour les paramètres est un
entier de signe 64 bits. Il a une plage de valeurs de -9 223 372 036 854
775 808 à une valeur maximale de 9 223 372 036 854 775 807 (inclus).

• Entrez une valeur par défaut pour le paramètre. Ceci est recommandé pour éviter les
requêtes de longue durée. Les valeurs de paramètre par défaut sont également utilisées
pour prévisualiser la sortie du rapport lorsque vous concevez des mises en page de
rapport à l’aide de BI Publisher Layout Editor.

• Sélectionnez le type de paramètre :


Remarque : BI Publisher prend en charge les paramètres de type entrée
de texte ou menu (liste de valeurs), mais pas les deux. Autrement dit,
vous ne pouvez pas définir un paramètre « combinaison » qui permet à
un utilisateur d’entrer une valeur de texte ou de choisir dans une liste de
valeurs de menu.

• Texte - ce type permet à l’user d’entrer une entrée de texte à passer comme paramètre.
Entrez l’étiquette d’affichage du paramètre et la taille du champ de texte en caractères.
Vous pouvez également activer les options suivantes :
• Le champ de texte contient des valeurs séparées par des virgules -
sélectionnez cette option pour permettre à l’user d’entrer plusieurs valeurs
séparées par des virgules pour ce paramètre.

• Actualiser d’autres paramètres lors de la modification - effectue une


actualisation partielle de la page pour actualiser tous les autres paramètres dont
les valeurs dépendent de la valeur de celui-ci.

• Menu - ce type présente une liste de valeurs à l’utilisateur. Vous devez d’abord définir
la liste des valeurs. Voir Ajout de listes de valeurs, pages 11-3. Entrez l’étiquette
d’affichage et sélectionnez l’une des listes que vous avez définies à l’étape précédente.
Vous pouvez également activer les options suivantes :
• Sélection multiple - permet à l’utilisateur de sélectionner plusieurs entrées dans la liste.

• Peut tout sélectionner - insère une option « Tous » dans la liste. Lorsque
l’utilisateur sélectionne « Tous » dans la liste des valeurs, vous avez la possibilité
de passer une valeur NULL pour le paramètre ou toutes les valeurs de liste.
Choisissez VALEUR NULL transmise ou Toutes les valeurs transmises.

11-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Remarque : L’utilisation de * passe une valeur null, vous devez
donc gérer la valeur null dans votre source de données. Une
méthode pour gérer la valeur null serait la commande Oracle
NVL standard, par exemple :
où customer_id = nvl(:cstid,
customer_id)
où cstid est une valeur transmise à partir du LOV et lorsque
l’utilisateur sélectionne All, il transmet une valeur null.

• Actualiser les paramètres d’other lors de la modification - effectue une


actualisation partielle de la page pour actualiser tous les autres paramètres dont
les valeurs dépendent de la valeur de celui-ci.

• Date - passe un paramètre de date. Si vous sélectionnez un type de paramètre de date,


le type de données définit automatiquement par défaut to Date. Entrez ce qui suit :
• Affichez l’étiquette et la taille du champ de texte sous forme de nombre de
caractères.

• Date Format String - entrez une chaîne de format pour la date. Il doit s’agir
d’un format de date Java (par exemple, MM-jj-aaaa).

• Date de et Date de : entrez les dates de et de départ auxquelles vous souhaitez


restreindre le sélecteur de dates du calendrier.

Ajout de listes de valeurs


• Cliquez sur Liste des valeurs , puis sur l’icône Créer une nouvelle liste de valeurs .
Cela créera une nouvelle entrée dans le tableau.

• Entrez un nom pour la liste et sélectionnez un type : Requête SQL ou Données fixes.
Si vous sélectionnez Requête SQL :
• Sélectionnez une source de données dans la liste.

• Dans le volet inférieur, sélectionnez Résultat du cache (recommandé) si vous


souhaitez que les résultats de la requête soient mis en cache pour la session de
rapport.

• Entrez la requête SQL ou utilisez le Générateur de requêtes. Voir Utilisation du


Générateur de requêtes, pages 9-4 pour plus d’informations sur l’utilitaire
Générateur de requêtes.

Si vous sélectionnez Données fixes :


• Cliquez sur l’icône Créer nouveau dans le volet inférieur pour ajouter une paire
Étiquette et Valeur pour le LOV.
Ajout de paramètres et de listes de
vale
urs11-3
• Répétez l’opération pour chaque paire étiquette-valeur requise.

11-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
12
Ajout de déclencheurs
d’événements

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• À propos des déclencheurs
• Ajout de déclencheurs d’événements

À propos des déclencheurs


Un déclencheur d’événement recherche un événement et lorsque l’événement se produit, il
exécute le code associé au déclencheur. Le modèle de données BI Publisher prend en charge les
déclencheurs qui exécutent une fonction PL/SQL stockée dans un package PL/SQL dans votre
base de données Oracle. Un déclencheur doit renvoyer explicitement TRUE ou FALSE.
Le modèle de données BI Publisher prend en charge les types de déclencheurs suivants :
• Avant les données - se déclenche avant l’exécution de l’ensemble de données.

• After Data - se déclenche après que le moteur de données exécute tous les ensembles de
données et génère le code XML.

Important : Le type de données de retour pour une fonction PL/SQL à


l’intérieur du package doit être un type booléen.

Ajout de déclencheurs d’événements


1. Dans le volet Propriétés du modèle de données , entrez le package par défaut
Oracle DB qui contient la signature de fonction PL/SQL à exécuter lorsque le
déclencheur se déclenche. Reportez-vous à la section Définition des propriétés du
modèle de données, pages 8 et 7.

2. Dans le volet Office, cliquez sur Déclencheurs d’événements.

3. Dans le volet Déclencheurs d’événements , cliquez sur l’icône Créer.


Ajout de déclencheurs
d’événements12-1
4. Entrez ce qui suit pour le déclencheur :
• Nom

• Type - sélectionnez Avant les données ou Après les données.

• Langue - sélectionnez PL/SQL.


Le volet inférieur affiche les fonctions disponibles dans le package par défaut
oracle DB que vous avez entré dans les propriétés du modèle de données à l’étape
1.
La figure suivante illustre un déclencheur d’événement :

5. Sélectionnez le package dans la zone Fonctions disponibles et cliquez sur la flèche pour
déplacer une fonction vers la zone Déclencheur d’événement. Le nom apparaîtra sous la
forme PL/SQL <nom du package>.<nom de la fonction>.
Important : Si vous définissez un package par défaut, vous devez définir
tous les paramètres en tant que variable PL/SQL globale dans le package
PL/SQL. Vous pouvez ensuite transmettre explicitement des paramètres à
votre déclencheur de fonction PL/SQL ou tous les paramètres seront
disponibles en tant que variable PL/SQL globale.

Ordre d’exécution
Si vous définissez plusieurs déclencheurs du même type, ils se déclenchent dans l’ordre dans lequel
ils

12-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
apparaissent dans le tableau (de haut en bas). Pour modifier l’ordre d’exécution, utilisez
les flèches Réorganiser pour placer les déclencheurs dans l’ordre correct.

Ajout de déclencheurs
d’év
énements12-3
13
Ajout de Flexfields

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• À propos de Flexfields
• Ajout de Flexfields

À propos de Flexfields
Les Flexfields sont uniques aux applications Oracle. Si vous générez des rapports sur des
données provenant des applications Oracle, utilisez ce composant du modèle de données pour
récupérer des données flexfield.
Pour utiliser un champ flexible dans votre modèle de données :
• Définissez l’instruction SELECT à utiliser pour les données du rapport.

• Dans l’instruction SELECT, définissez chaque champ flexible comme un lexical. Utilisez le
&LEXICAL_TAG pour incorporer des lexicaux liés à flexfield dans l’instruction SELECT.

• Ajoutez le champ flexible au modèle de données.

Vous pouvez utiliser des références flexfield pour remplacer les clauses apparaissant après
SELECT, FROM, WHERE, ORDER BY ou HAVING. Utilisez une référence flexfield lorsque
vous souhaitez que le paramètre remplace plusieurs valeurs au moment de l’exécution.
L’éditeur de modèle de données prend en charge les types de champs flexibles suivants :
• Où - Ce type de lexical est utilisé dans la section WHERE de l’instruction. Il est utilisé
pour modifier la clause WHERE de sorte que l’instruction SELECT puisse filtrer en
fonction des données de segment flexfield clés.

• Ordre par - Ce type de lexical est utilisé dans la section ORDER BY de l’instruction. Il
renvoie une liste d’expressions de colonne afin que la sortie résultante puisse être triée par
les valeurs segment flex.

• Select - Ce type de lexical est utilisé dans la section SELECT de l’instruction. Il est utilisé
pour récupérer et traiter les données liées à la combinaison de codes flexfield (kff) de clé en
fonction de

Ajout de
Flexf
ields13-1
la définition lexicale.

• Filtre - Ce type de lexical est utilisé dans la section WHERE de l’instruction. Il est utilisé
pour modifier la clause WHERE de sorte que l’instruction SELECT puisse filtrer en
fonction de l’ID de filtre transmis par Oracle Enterprise Scheduling Service.

• Métadonnées de segment - Utilisez ce type de lexical pour récupérer les métadonnées


liées à flexfield. En utilisant ce lexical, vous n’êtes pas obligé d’écrire du code PL/SQL
pour récupérer ces métadonnées. Au lieu de cela, définissez une instruction SELECT
factice, puis utilisez ce lexical pour obtenir les métadonnées. Ce lexical doit renvoyer une
chaîne constante.

Après avoir configuré les composants flexfield de votre modèle de données, créez une
référence flexfield dans votre requête SQL à l’aide de la syntaxe suivante :
&LEXICAL_TAG ALIAS_NAME

par exemple:
&FLEX_GL_BALANCING alias_gl_balancing

Ajout de Flexfields
Entrez ce qui suit :
• Nom : entrez un nom pour le composant flexfield.

• Type : sélectionnez le type de champ flexible dans la liste. Le type que vous sélectionnez
ici déterminera les champs supplémentaires requis. Voir Saisie des détails de Flexfield,
page 13-2.

• Nom court de l’application : entrez le nom abrégé de l’application Oracle propriétaire de ce


champ flexible (par exemple, GL).

• ID Flex Code - entrez le code flexfield défini pour ce flexfield dans le formulaire Register
Key Flexfield (par exemple, GL#).

• ID Flex Number : entrez le nom de la colonne ou du paramètre source qui contient les
informations de structure flexfield.

Saisie des détails de Flexfield


Sélectionnez Métadonnées de segment, Sélectionner, Où, Ordonner par, Filtrer. Selon le type
que vous sélectionnez, le volet de détails affiche les champs appropriés.

13-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Champs de détail pour les métadonnées de segment

Champ Description

Segments (Facultatif) Identifie les segments pour lesquels cela


des données sont demandées. La valeur par défaut
est « ALL ». Voir
le Guide du développeur Oracle E-Business Suite
pour la syntaxe.

Afficher les segments parents Cochez cette case pour afficher automatiquement le
segments parents des segments dépendants même
s’il est spécifié comme n’étant pas affiché dans le
attribut segments.

Type de métadonnées Sélectionnez le type de métadonnées à renvoyer :


Au-dessus de l’invite - au-dessus de l’invite du ou
des segments.

Invite gauche - invite gauche du ou des segments

Le tableau suivant indique les champs de détail du type Select flexfield :

Champs de détail pour sélectionner

Champ Description

Multiple ID Flex Num Indique si ce lexical prend en charge


plusieurs structures ou non. Cochez cette case
indique que toutes les structures sont potentiellement
utilisées pour
rapport de données et il utilisera
<code_combination_table_alias>.<se
t_def ining_column_name> récupérer
le numéro de structure.

Alias de table de combinaison de code Spécifier l’alias de table à préfixer à la colonne


prénoms. Utilisez TABLEALIAS si votre SELECT
jointure à d’autres tables flexfield ou utilise une
jointure automatique.

Segments (Facultatif) Identifie les segments pour lesquels cela


des données sont demandées. La valeur par défaut
est « ALL ». Voir
le Guide du développeur Oracle E-Business Suite
pour la syntaxe.
Ajout de
Flexf
ields13-3
Champ Description

Afficher les segments parents Cochez cette case pour afficher automatiquement le
segments parents des segments dépendants même
s’il est spécifié comme n’étant pas affiché dans le
attribut segments.

Type de sortie Sélectionnez l’une des options suivantes :


Valeur - valeur du segment telle qu’elle est
• affichée dans
utilisateur.
Valeur rembourrée - valeur de segment
• rembourrée en tant que
il est affiché à l’utilisateur. Type de numéro
les valeurs sont rembourrées à partir de la
gauche. Corde
les valeurs de type sont rembourrées sur la
droite.
Description - description de la valeur du
• segment
jusqu’à la taille de description définie dans le
définition du segment.

• Description complète - Valeur du segment


description (taille réelle).

• Sécurité - Renvoie Y si le
la combinaison est sécurisée contre le
utilisateur actuel, N sinon.

Le tableau suivant indique les champs de détail du type Where flexfield :

Champs de détail pour Où

Champ Description

Alias de table de combinaison de code Spécifier l’alias de table à préfixer à la colonne


prénoms. Vous utilisez TABLEALIAS si votre
SELECT
jointure à d’autres tables flexfield ou utilise une
jointure automatique.
.

Segments (Facultatif) Identifie les segments pour lesquels cela


des données sont demandées. La valeur par défaut
est « ALL ». Voir
le Guide du développeur Oracle E-Business Suite
pour la syntaxe.
13-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Champ Description

Opérateur Choisissez l’opérateur approprié.

Opérande1 Entrez la valeur à utiliser sur le côté droit de l'


opérateur conditionnel.

Opérande2 (Facultatif) Valeur élevée pour l’ENTRE


opérateur.

Le tableau suivant indique les champs de détail du type Order by flexfield :

Champs de détail pour commander par

Champ Description

Multiple ID Flex Num Indique si ce lexical prend en charge


structures multiples ou non. Cochez cette case
indique que toutes les structures sont potentiellement
utilisées pour
rapport de données et il utilisera
<code_combination_table_alias>.<se
t_def ining_column_name> récupérer
le numéro de structure.

Alias de table de combinaison de code Spécifier l’alias de table à préfixer à la colonne


prénoms. Vous utilisez TABLEALIAS si votre
SELECT
jointure à d’autres tables flexfield ou utilise une
jointure automatique.

Segments (Facultatif) Identifie les segments pour lesquels cela


des données sont demandées. La valeur par défaut
est « ALL ». Voir
le Guide du développeur Oracle E-Business Suite
pour la syntaxe.

Afficher les segments parents Cochez cette case pour afficher automatiquement le
segments parents des segments dépendants même
s’il est spécifié comme n’étant pas affiché dans le
attribut segments.

Le tableau suivant indique les champs de détail du type de champ flexible Filter :
Ajout de
Flexf
ields13-5
Champs de détail pour le filtre

Champ Description

Alias de table de combinaison de code Spécifier l’alias de table à préfixer à la colonne


prénoms. Vous utilisez TABLEALIAS si votre
SELECT
jointure à d’autres tables flexfield ou utilise une
jointure automatique.

ID du filtre Flex (Obligatoire) Entrez le code interne unique de la clé


du champ de flexion clé.
(Facultatif) Entrez un commentaire ou une
Commentaire sur le filtre Flex description.

13-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
14
Ajout de définitions
d’éclatement

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• À propos de Bursting
• Qu’est-ce que la définition de l’éclatement?
• Ajout d’une définition bursting à votre modèle de données
• Définition de la requête pour l’ensemble de données de remise
• Configuration d’un rapport pour utiliser une définition de rafale
• Exemple de requête en rafale
• Création d’une table à utiliser comme source de données de remise

À propos de Bursting
L’éclatement est un processus de division des données en blocs, de génération de documents
pour chaque bloc et de livraison des documents à une ou plusieurs destinations. Les données du
rapport sont générées en exécutant une requête une seule fois, puis en divisant les données en
fonction d’une valeur « Clé ». Pour chaque bloc de données, un document distinct est généré et
livré.
À l’aide de la fonctionnalité d’éclatement de BI Publisher, vous pouvez fractionner un seul
rapport en fonction d’un élément du modèle de données et fournir le rapport en fonction d’un
deuxième élément du modèle de données. Piloté par l’élément delivery, vous pouvez appliquer
un modèle, un format de sortie, une méthode de remise et des paramètres régionaux différents
à chaque segment fractionné de votre rapport. Voici des exemples d’implémentations :
• Génération et livraison de factures en fonction des mises en page spécifiques au client et
des préférences de livraison

• Rapports financiers pour générer un rapport principal de tous les centres de coûts, en
divisant les rapports individuels des centres de coûts au gestionnaire approprié

• Génération de bulletins de paie à tous les employés sur la base d’un extrait et livré par
e-mail

Ajout de définitions
d’écl
atement14-1
Qu’est-ce que la définition de l’éclatement?
Une définition d’éclatement est un composant du modèle de données. Après avoir défini les
ensembles de données pour le modèle de données, vous pouvez configurer une ou plusieurs
définitions d’éclatement. Lorsque vous configurez une définition de rafale, vous définissez les
éléments suivants :
• L’élément Split By est un élément des données qui régira la façon dont les données sont
divisées. Par exemple, pour fractionner un lot de factures par chaque demande, vous
pouvez utiliser un élément appelé CUSTOMER_ID. L’ensemble de données doit être trié
ou regroupé par cet élément.

• L’élément Deliver By est l’élément des données qui régira la façon dont les options de
mise en forme et de remise sont appliquées. Dans l’exemple de facture, il est probable que
chaque facture aura des critères de livraison déterminés par le client, donc l’élément Livrer
par peut également être CUSTOMER_ID.

• La requête de remise est une requête SQL que vous définissez pour BI Publisher afin de
construire le fichier de données XML de remise. La requête doit renvoyer les détails de mise en
forme et de livraison.

Ajout d’une définition bursting à votre modèle de données


Prérequis :
• Vous avez défini votre ensemble de données pour votre modèle de données

• L’ensemble de données est trié ou regroupé par l’élément par lequel vous souhaitez
diviser les données dans votre définition de rafale

• Les informations de livraison et de mise en forme sont les suivantes :


• stocké dans une table de base de données disponible pour BI Publisher (pour une
définition de delivery dynamique)

• ou peut être codé en dur dans le code SQL de remise (pour une définition de remise statique)

Pour ajouter une définition d’éclatement


1. Dans le volet des composants de l’éditeur de modèle de données, cliquez sur Bursting.

2. Dans le tableau définition De rafale, cliquez sur le bouton Créer une nouvelle rafale .

3. Entrez ce qui suit pour cette définition d’éclatement


: Nom - par exemple, « Burst to File »
Type- SQL Query est actuellement le seul type pris en charge

14-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Source de données : sélectionnez la source de données qui contient vos informations de
remise.
La figure suivante illustre une définition de Bursting :

4. Dans la région inférieure, entrez ce qui suit pour cette définition d’éclatement :
Fractionner par - sélectionnez l’élément de l’ensemble de données par lequel
diviser les données
Deliver By - sélectionnez l’élément de l’ensemble de données par lequel mettre en forme et
livrer les données
Requête SQL : entrez la requête pour construire l’ensemble de données de remise.
Pour plus d’informations, consultez Définition de la requête pour l’ensemble de
données de remise, pages 14 et 4.
Ajout de définitions
d’écl
atement14-3
Définition de la requête pour l’ensemble de données de remise
La requête en rafale est une requête SQL que vous définissez pour fournir à BI Publisher les
informations requises pour mettre en forme et remettre le rapport. BI Publisher utilise les
résultats de la requête en rafale pour créer l’ensemble de données XML de remise.
Le moteur d’éclatement BI Publisher utilise l’ensemble de données de remise comme table de
mappage pour chaque
Livrer par élément. La structure de l’ensemble de données XML de remise est la suivante :

14-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<ROWSET>
<ROW>
<KEY></KEY>
<MODÈLE></MODÈLE>
<LOCALE></LOCALE>
<OUTPUT_FORMAT></OUTPUT_FORMAT>
<DEL_CHANNEL></DEL_CHANNEL>
<TIMEZONE></FUSEAU HORAIRE>
<CALENDRIER></CALENDRIER>
<OUTPUT_NAME></OUTPUT_NAME>
<SAVE_OUTPUT></SAVE_OUTPUT>
<PARAMETER1></PARAMETER1>
<PARAMÈTRE2></PARAMÈTRE2>
<PARAMETER3></PARAMETER3>
<PARAMÈTRE4></PARAMÈTRE4>
<PARAMÈTRE5></PARAMÈTRE5>
<PARAMETER6></PARAMETER6>
<PARAMETER7></PARAMETER7>
<PARAMETER8></PARAMETER8>
<PARAMETER9></PARAMETER9>
<PARAMETER10></PARAMETER10>
</RANGÉE>
</ROWSET>

• KEY est la clé Delivery et doit correspondre à l’élément Deliver By . Le moteur
d’éclatement utilise la clé pour lier les critères de livraison à une section spécifique des
données de rafale.

• TEMPLATE - est le nom de la mise en page à appliquer. Notez que la valeur est le nom
de la mise en page (par exemple, 'Customer Invoice'), et non le fichier de modèle name
(par exemple, facture.rtf).

• LOCALE - est le paramètre régional du modèle, par exemple, « en-US ».

• OUTPUT_FORMAT - est le format de sortie. Les valeurs valides sont les suivantes :
• HTML

• PDFZ (en anglais)

• PDF

• RTF

• EXCELLER

• EXCEL2000

• MHTML (en anglais)

• PPT

• PPTX

Ajout de définitions
d’écl
atement14-5
• XSLFO

• XML (en anglais)

• CSV

• ETEXT

• SAVE_OUTPUT - indique s’il faut enregistrer les documents de sortie dans les tables
d’historique bi Publisher afin que la sortie puisse être affichée et téléchargée à partir de la
page Historique des tâches du rapport.
Les valeurs valides sont 'true' (par défaut) et 'false'. Si cette propriété n’est pas définie,
l’output sera enregistré.

• DEL_CHANNEL - est le mode de livraison. Les valeurs valides sont les suivantes :
• MESSAGERIE ÉLECTRONIQUE

• FAX

• LIME

• FTP

• IMPRIMER

• WEBDAV

• FUSEAU HORAIRE : fuseau horaire à utiliser pour le rapport. Les valeurs doivent
être au format Java, par exemple : « America/Los_Angeles ». Si le fuseau horaire
n’est pas fourni, le fuseau horaire par défaut du système sera utilisé pour générer le
rapport.

• CALENDRIER - est le calendrier à utiliser pour le rapport. Les valeurs valides sont les suivantes
:
• GRÉGORIEN

• ARABIC_HIJRAH

• ENGLISH_HIJRAH

• JAPANESE_IMPERIAL

• THAI_BUDDHA

• ROC_OFFICIAL (Taïwan)

Si elle n’est pas fournie, la valeur « GREGORIAN » sera utilisée.

14-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• OUTPUT_NAME - est le nom qui sera attribué au fichier de sortie dans l’historique des
tâches du rapport.

• Paramètres de livraison par canal. Les valeurs requises pour les paramètres dépendent du
mode de livraison choisi. Les mappages des valeurs des paramètres pour chaque méthode
sont présentés dans le tableau suivant. Tous les canaux de livraison n’utilisent pas tous les
paramètres.

Canal de livraison Valeurs des paramètres

Messagerie électronique Paramètre1 : Adresse e-mail

Paramètre2: cc

Paramètre3 : À partir de

Paramètre4 : Objet

Paramètre5 : Corps du message


Paramètre6 : Valeur de pièce jointe (« true » ou « false »). Si votre format de sortie est
PDF,
vous devez définir ce paramètre sur « true » pour joindre le PDF à l’e-mail.

Paramètre7 : Répondre à

Paramètre8 : Cci

(Les paramètres 9 à 10 ne sont pas utilisés)

Ajout de définitions
d’écl
atement14-7
Canal de livraison Valeurs des paramètres

Imprimante Paramètre1 : Groupe d’imprimantes


Paramètre2 : Nom de l’imprimante ou pour une imprimante sur CUPS, l’URI de
l’imprimante, pour
exemple : ipp://myserver.com:631/printers/printer1
Paramètre3 : Nombre de copies

Paramètre4 : Côtés. Les valeurs valides sont les suivantes :

• « d_single_sided » pour simple face

• « d_double_sided_l » pour duplex/bord long

• « d_double_sided_s » pour tumble/bord court

Si le paramètre n’est pas spécifié, un seul côté sera utilisé.

Paramètre5 : Bac. Les valeurs valides sont les suivantes :


• « t1 » pour « Bac 1 »

• « t2 » pour « Tray 2 »

• « t3 » pour « Bac 3 »

Si elle n’est pas spécifiée, la valeur par défaut de l’imprimante sera utilisée.

Paramètre6 : Plage d’impression. Par exemple, « 3 » imprimera uniquement la page 3,


« 2-5 » imprimera les pages 2-5, « 1,3-5 » imprimera les pages 1 et 3-5

(Les paramètres 7 à 10 ne sont pas utilisés)

FaxParameter1 : nom du serveur de télécopie

Paramètre2 : Numéro de télécopieur

(Les paramètres 3 à 10 ne sont pas utilisés)

14-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Canal de livraison Valeurs des paramètres

WebDAV Paramètre1 : Nom du serveur

Paramètre2 : Nom d’utilisateur

Paramètre3 : Mot de passe

Paramètre4 : Répertoire distant


Paramètre5 : Nom du fichier distant

Paramètre6 : Type d’autorisation, les valeurs sont « basic » ou « digest »

(Les paramètres 7 à 10 ne sont pas utilisés)

Lime Paramètre1 : Répertoire

Paramètre2 : Nom du fichier

(Les paramètres 3 à 10 ne sont pas utilisés)

FTP et SFTP Paramètre1 : Nom du serveur

Paramètre2 : Nom d’utilisateur

Paramètre3 : Mot de passe

Paramètre4 : Répertoire distant

Paramètre5 : Nom du fichier distant

Paramètre6 : Sécurisé (définissez cette valeur sur « true » pour activer Secure FTP)

(Les paramètres 7 à 10 ne sont pas utilisés)

Configuration d’un rapport pour utiliser une définition de rafale


Bien que vous puissiez définir plusieurs définitions d’éclatement pour un seul modèle de
données, vous ne pouvez en activer qu’une seule pour un rapport.
Activez un rapport pour utiliser une définition d’éclatement dans la boîte de dialogue
Propriétés du rapport de l’éditeur de retorsion. Pour plus d’informations, consultez
Configuration des propriétés du rapport, pages 15 et 11.
Après avoir configuré le rapport pour utiliser la définition d’éclatement, lorsque vous planifiez
une tâche pour ce rapport, vous pouvez choisir d’utiliser la définition d’éclatement pour
mettre en forme et remettre le rapport. Pour plus d’informations, voir Création d’une tâche en
rafale, pages 4-9.
Notez que vous pouvez également choisir de ne pas utiliser la définition d’éclatement et
de choisir votre propre sortie et destination comme rapport planifié régulier.

Ajout de définitions
d’éclatement14-9
Exemple de requête en rafale
Exemple
L’exemple suivant est basé sur un rapport de facture. Ce rapport doit être remis par
CUSTOMER_ID à l’adresse e-mail individuelle de chaque client.
Cet exemple suppose que vous avez créé une table dans votre base de données nommée «
customers » pour contenir les préférences de remise et de mise en forme pour chaque client.
La table customers comprend les colonnes suivantes qui seront récupérées pour créer
dynamiquement le fichier d’ensemble de données de remise au moment de l’exécution :
• CS T_TEMPLATE, CST_LOCALE, CST_FORMAT, CST_EMAIL_ADDRESS

Le code SQL permettant de générer l’ensemble de données de remise pour cet exemple est le suivant
:
sélectionner distinct
CUSTOMER_ID comme « CLÉ »,
CST_TEMPLATE MODÈLE,
CST_LOCALE LOCALE,
CST_FORMAT OUTPUT_FORMAT,
'EMAIL' DEL_CHANNEL,
CST_EMAIL_ADDRESS PARAMÈTRE1,
PARAMÈTRE '[email protected]'2,
'[email protected]’PARAMETER3,
'Vos factures' PARAMETER4,
'Salut'|| CUST_FIRST_NAME|| chr(13)|| « Veuillez trouver ci-joint votre
les factures. » PARAMÈTRE5,
'vrai' PARAMETER6,
PARAMÈTRE '[email protected]'7
des clients

Création d’une table à utiliser comme source de données de remise


Si les informations de remise ne sont pas facilement disponibles dans vos sources de données
existantes, vous pouvez envisager de créer une table à utiliser pour votre requête afin de créer
l’ensemble de données XML de remise. Voici un exemple :
Important : Si le pilote JDBC que vous utilisez ne prend pas en charge l’alias de
colonne, lorsque vous définissez la table de contrôle en rafale, les colonnes
doivent correspondre exactement au nom de la balise XML du contrôle. Par
exemple, la colonne KEY doit être nommée « KEY », une majuscule est requise.
PARAMETER1 doit être nommé « PARAMETER1 », pas « parameter1 » ni
« param1 », et ainsi de suite.

14-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
CRÉER LA TABLE « XXX ». » DELIVERY_CONTROL »
( NUMÉRO « CLÉ »,
« TEMPLATE » VARCHAR2(20 BYTE),
« LOCALE » VARCHAR2(20 BYTE),
« OUTPUT_FORMAT » VARCHAR2(20
BYTE), « DEL_CHANNEL » VARCHAR2(20
BYTE), « PARAMETER1 » VARCHAR2(100
BYTE), « PARAMETER2 » VARCHAR2(100
BYTE), « PARAMETER3 » VARCHAR2(100
BYTE), « PARAMETER4 » VARCHAR2(100
BYTE), « PARAMETER5 » VARCHAR2(100
BYTE), « PARAMETER6 » VARCHAR2(100
BYTE), « PARAMETER7 » VARCHAR2(100
BYTE), « PARAMETER8 » VARCHAR2(100
BYTE), « PARA METER9 » VARCHAR2(100
BYTE), « PARAMETER10 » VARCHAR2(100
BYTE), « OUTPUT_NAME » VARCHAR2(100
BYTE), « SAVE_OUTPUT » VARCHAR2(4
BYTE), « TIMEZONE » VARCHAR2(300
BYTE), « CALENDAR » VARCHAR2(300
BYTE)
) PCTFREE 10 PCTUSED 40 INITRANS 1 MAXTRANS 255 NOCOMPRESS LOGGING
STORAGE(INITIAL 65536 NEXT 1048576 MINEXTENTS 1 MAXEXTENTS 2147483645
PCTINCREASE 0 FREELISTS 1 FREELIST GROUPS 1 BUFFER_POOL DEFAULT)
TABLESPACE « EXEMPLES »;

Conseils pour créer une table de livraison éclatante :


• Si votre ensemble de données fractionné ne contient pas de valeur D ELIVERY_KEY, le
document ne sera pas généré ni livré car le système ne saura pas comment. Par exemple, à
l’aide de l’exemple précédent, si le client avec l’ID 123 n’est pas défini dans la table de
livraison en rafale, ce client n’aura pas de document généré ou livré.

• Pour permettre à un ensemble de données fractionné de générer plusieurs documents ou de


les remettre à plusieurs destinations, dupliquez la valeur DELIVERY_KEY et fournissez
différents ensembles de OUTPUT_FORMAT, de DEL_CHANNEL ou d’autres
paramètres. Par exemple, le client avec l’ID 456 veut que son document soit livré à deux
adresses e-mail. Pour ce faire, insérez deux lignes dans le tableau, toutes deux avec 456
comme DELIVERY_KEY et chacune avec sa propre adresse e-mail.

Ajout de définitions
d’écla
tement14-11
Partie 4
Création de rapports et de mises
en page
15
Création ou modification d’un
rapport

À propos des composants de rapport


Un rapport se compose des éléments suivants :
• Modèle de données

• Disposition

• Propriétés

• Traductions

La première étape de la création d’un nouveau rapport consiste à sélectionner la source des
données du rapport. Un modèle de données définit les données utilisées par un rapport. Un
modèle de données peut contenir plusieurs ensembles de données et définit la façon dont les
champs de données sont structurés les uns par rapport aux autres. Il peut également contenir des
paramètres avec des listes de valeurs, des définitions éclatantes et d’autres structures ou
propriétés qui déterminent la façon dont les données sont fournies à un rapport.
L’étape suivante consiste à concevoir une mise en page pour les données du rapport. La mise
en page définit la façon dont les données sont présentées dans le rapport. Une mise en page se
compose d’un fichier de modèle et d’un ensemble de propriétés pour le rendu du fichier de
modèle. BI Publisher prend en charge les modèles créés à partir de diverses sources,
notamment Microsoft Word, Adobe Acrobat, Microsoft Excel, Adobe Flash et l’éditeur de mise
en page de BI Publisher. Un rapport peut inclure plusieurs mises en page.
Ensuite, configurez les propriétés du rapport. Les propriétés du rapport vous permettent de
contrôler de nombreux aspects de la génération, de la mise en forme et de l’affichage du
rapport.
Si vous le souhaitez, ajoutez des traductions pour le rapport. La prise en charge de la
traduction de BI Publisher vous permet d’inclure des traductions pour des mises en page
individuelles ou pour toutes les chaînes traduisibles dans la mise en page, le modèle de
données et les métadonnées du rapport.
Ce chapitre décrit le processus de création d’un rapport en sélectionnant un modèle de
données, en ajoutant une mise en page et en configurant des propriétés à l’aide de l’éditeur
de rapport. Pour plus d’informations sur les composants de rapport, consultez les rubriques
suivantes :
Création ou modification d’un
rapp
ort15-1
Sujet Où obtenir plus d’informations

Création d’un modèle de données Création de modèles de données, page 8-1

Comment choisir un type de mise en page À propos des types de mise en page, page 1-3
Création de types de modèles de mise en page
spécifiques Création d’un modèle de mise en page BI Publisher, page 16-1

Création d’un modèle RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word, page 18-1

Création d’un modèle RTF , page 17-2

Création d’un modèle PDF, page 19-1

Création d’un modèle Excel à l’aide de l’Analyseur Excel, pages 3-11

Création d’un modèle Flash, page 20-1

Création d’un modèle de texte électronique, page 21-1

Traduction de rapports Traduction de rapports et d’objets de catalogue, page 27-1

Vue d’ensemble du processus


La création d’un nouveau rapport comprend les étapes suivantes. Chacune de ces étapes est
décrite en détail dans cette section.

TaskSection

Lancez l’Éditeur de rapports. Lancement de l’Éditeur de rapports, pages 15-3

Sélectionnez le modèle de données. Sélection du mode données, page 15-3l

Utilisez l’éditeur de mise en page pour créer la mise en Ajout de mises en page à la définition du rapport, pages 15 et 5
page ou télécharger un fichier de modèle.

Configurez les propriétés de la mise en page. Configuration des mises en page, pages 15-7

Configurez les paramètres du rapport. Configuration des paramètres du rapport, pages 15-10

Configuration des propriétés du rapport, pages 15-11


Configurez les propriétés du rapport.

15-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Tâche Section

Vue d’ensemble et concepts du support à la traduction, page


Ajoutez des traductions pour vos mises en page. 27-
Effectuez cette étape si votre rapport nécessite une assistance 1
pour
plusieurs langues.

Lancement de l’éditeur de rapports


Lancez l’Éditeur de rapports de l’une des manières suivantes :
• Dans l’en-tête global, cliquez sur Nouveau , puis sur Rapport.

• Dans la page d’accueil , sous Créer une région, cliquez sur Rapport.

Sélection du modèle de données


Après avoir cliqué sur l’une des sélections Créer un nouveau rapport, vous êtes invité à
sélectionner un modèle de données existant.

Création ou modification d’un


rapp
ort15-3
Parcourez le catalogue et sélectionnez le modèle de données de votre rapport.
Cliquez sur Ouvrir pour ajouter le modèle de données à votre rapport.
Si vous n’avez pas encore créé le modèle de données, cliquez sur Annuler pour fermer la boîte
de dialogue Choisir. Dans l’éditeur de rapports, cliquez sur le bouton Créer un nouveau
modèle de données (voir la figure de la section suivante) pour lancer l’éditeur de modèle de
données. Consultez Création d’un modèle de données, page 8-1 pour plus d’informations sur la
création de modèles de données.

À propos de l’interface de l’Éditeur de rapports


Si vous sélectionnez un modèle de données, la page Créer un rapport s’affiche :

15-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
À partir de ce point, vous pouvez :
• ajouter, télécharger ou générer une mise en page

• configurer les paramètres par défaut du modèle de données pour ce rapport

• configurer les propriétés du rapport

Cette procédure traite ces options dans l’ordre indiqué.

Ajout de mises en page à la définition de rapport


Il existe trois options pour ajouter une mise en page à votre rapport :
• Créer une mise en page : sélectionnez l’un des modèles de base ou partagés pour
lancer l’éditeur de mise en page .

• Télécharger la mise en page : téléchargez une mise en page de fichier de modèle que vous
avez conçue dans l’un des types de fichiers pris en charge.

• Générer une mise en page - générez automatiquement une mise en page RTF simple.

Création ou modification d’un


rapp
ort15-5
Pour ajouter une mise en page à l’aide de l’éditeur de mise en page
1. Sous la région Créer une mise en page , cliquez sur l’un des modèles de base ou partagés
pour lancer l’éditeur de mise en page.

2. Concevez le modèle. Consultez Création d’un modèle de mise en page BI Publisher,


page 16-1 pour plus d’informations sur l’utilisation de l’éditeur de mise en page.

3. Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Enregistrer. Dans le dialog Enregistrer le
modèle, entrez un nom pour cette mise en page et sélectionnez un paramètre régional.
Cliquez sur Enregistrer.

4. Cliquez sur Retour pour revenir à l’Éditeur de rapports.

5. Configurez les paramètres de la mise en page. Voir Configuration des mises en page, pages 15 et
7.

Pour ajouter une mise en page en téléchargeant un fichier de modèle


Notez que le téléchargement d’un fichier de modèle suppose que vous avez suivi les
instructions de ce guide pour créer un fichier de modèle (RTF, PDF, Excel, Flash ou eText).
1. Sous la région Télécharger ou Générer la mise en page , cliquez sur l’icône Télécharger .

2. Dans la boîte de dialogue Télécharger, effectuez les opérations suivantes :


• Entrez un nom de mise en page.

• Cliquez sur Parcourir pour localiser le fichier de modèle dans votre système de fichiers
local.

• Sélectionnez le type de modèle dans la liste.

• Sélectionnez les paramètres régionaux du modèle dans la liste.

• Cliquez sur Télécharger.

Si vous êtes connecté à BI Publisher via le Générateur de modèles ou Excel Analyzer, vous
pouvez télécharger le fichier de mise en page directement à partir de l’un ou l’autre outil. Pour
plus d’informations, consultez Création d’un modèle RTF à l’aide d’Oracle BI Publisher
Template Builder pour Word, page 18-1 ou Utilisation de Analyzer pour Excel, pages 3 à 11.

Pour ajouter une mise en page en générant un fichier de modèle


1. Sous la région Télécharger ou Générer la mise en page, cliquez sur l’icône Générer.

2. Dans la boîte de dialogue Disposition générée automatiquement , effectuez les opérations


suivantes :
• Entrez un nom de modèle pour la mise en page.

15-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Cliquez sur Générer.

La fonctionnalité de génération automatique crée une disposition RTF simple basée sur une
table qui inclut tous les champs de votre modèle de données.

Configurations
Après avoir créé ou téléchargé les mises en page de votre rapport, vous pouvez configurer les
paramètres de la mise en page à partir de l’affichage Liste. L’affichage liste est illustré dans
la figure suivante :

Application d’un modèle de style à la mise en page


Un modèle de style contient des définitions de style qui sont appliquées aux paragraphes, en-
têtes, tableaux, en-têtes et pieds de page d’un rapport. Un modèle de style est facultatif et ne
peut être appliqué qu’à un fichier de modèle RTF. Pour plus d’informations sur la création d’un
modèle de style, voir Création et implémentation de modèles de style, page 23-1.
Si vous souhaitez appliquer un modèle de style à cette mise en page, cliquez sur Choisir pour
rechercher et sélectionner le modèle de style. Pour appliquer ensuite le modèle de style à une
mise en page individuelle dans la liste, sélectionnez la zone Modèle de style Apply pour cette
disposition dans la liste des propriétés.

À propos de la barre d’outils Mises en page


Utilisez les boutons de la barre d’outils pour effectuer les opérations suivantes :

Bouton Barre d’outils Description

Créer Lance la page d’ajout de mise en page pour télécharger ou créer une nouvelle mise en page.

Éditer Lance l’éditeur de mise en page pour la mise en page sélectionnée.

Ce bouton est activé pour les mises en page BI Publisher (.xpt) uniquement.

Création ou modification d’un


rapp
ort15-7
Bouton Barre d’outils Description

Propriétés Lance la page Propriétés pour activer le téléchargement de modèles localisés et


XLIFF à associer à cette mise en page.

Ce bouton est activé pour les mises en page RTF (.rtf) et BI Publisher (.xpt) uniquement.
Pour plus d’informations sur la localisation des modèles, voir Vue d’ensemble de la prise en
charge de la traduction
et Concepts, page 27-1.

Supprimer Supprime la mise en page sélectionnée.

Configuration des paramètres de mise en page


L’affichage liste vous permet de configurer les paramètres suivants pour votre mise en page :

Réglage Description

Placez votre curseur dans la zone de texte pour entrer un nouveau nom pour la mise en
Nom page.
Affiche le nom du fichier qui a été enregistré dans la définition de rapport . Cliquez sur le
Fichier de modèle bouton
nom du fichier de modèle pour le télécharger.

Type Affiche le type de fichier de modèle.


Sélectionnez les types de sortie à activer pour cette mise en page. Par défaut, toutes les
Formats de sortie sorties valides
les types d’une mise en page sont activés. Le type de disposition détermine les types de
sortie
disponible.
Voir Types de sortie valides pour les types de mise en page, pages 15-9 pour la liste
complète.
Sélectionnez le format de sortie par défaut pour cette mise en page lorsqu’elle est affichée
Format par défaut ou planifiée.
Sélectionnez la mise en page que ce rapport utilisera par défaut lorsqu’il sera affiché en
Mise en page par défaut ligne ou
Prévue. Une seule case de cette colonne peut être cochée.
Cochez cette case pour appliquer le modèle de style à cette mise en page. Notez qu’un
Appliquer un modèle de style style
modèle ne peut être appliqué qu’aux fichiers de modèle RTF. Pour plus d’informations,
reportez-vous à la section
Application d’un modèle de style à une mise en page, pages 15 et 7.

15-8Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Réglage Description

Actif Par défaut, une mise en page est active.


Désactivez cette case lorsque vous souhaitez conserver la mise en page dans le cadre de la
définition du rapport,
mais ne plus le rendre disponible. Lorsqu’une mise en page est inactive, elle ne s’affiche
pas dans
la visionneuse de rapports ou le planificateur.
Par défaut, une mise en page est disponible pour les consommateurs de rapports qui
Voir en ligne ouvrent le rapport dans le
Visionneuse de rapports. Si cette mise en page concerne uniquement les rapports planifiés,
désactivez cette case.
Affiche les paramètres régionaux sélectionnés lors du téléchargement de la mise en page.
Paramètres régionaux Ce champ n’est pas
pouvant être mis à jour.

Types de sortie valides pour les types de mise en page

Type de mise en page Types de sortie valides

PDF PDF, PDFZ, CSV, Données

RTF HTML, PDF, PDFZ, RTF, Excel, Excel2000, PowerPoint,


PowerPoint2007, MHTML, CSV, FO, Données

XPT Interactif, HTML, PDF, PDFZ, RTF, Excel, Excel2000,


PowerPoint, PowerPoint2007, MHTML, CSV, FO, Données

XLS Excel, Excel2000, CSV, Données

Flash Flash, PDF, MHTML, CSV, Données

Feuille de style XSL (FO) Mêmes sorties que RTF

Feuille de style XSL (HTML HTML, XML, Texte, Données

XML/Texte)

Texte électronique Texte, CSV, Données

Modification d’une mise en page


Pour modifier une mise en page BI Publisher (type de fichier .xpt), sélectionnez le rapport dans
la liste et cliquez sur Modifier.
Création ou modification d’un
rapp
ort15-9
Pour modifier un autre type de modèle, cliquez sur le lien Nom de fichier pour télécharger la
mise en page sur un ordinateur local pour la modifier.

Configuration des paramètres du rapport


Les paramètres sont définis dans le modèle de données, mais l’éditeur de rapport vous permet de
configurer les paramètres du paramétreur spécifiquement pour chaque rapport qui utilise le
modèle de données.
Pour configurer les paramètres de ce rapport :
1. Dans la page Éditeur de rapports, cliquez sur Paramètres. La boîte de dialogue
Paramètres est illustrée dans la figure suivante :

2. Personnalisez les paramètres de ce rapport comme suit :

Propriété Description

Montrer Cette propriété contrôle si le paramètre est affiché dans le


utilisateur.
Désactivez la propriété Show Si vous ne souhaitez pas que l’utilisateur voie
ou
modifier les valeurs de paramètre qui sont transmises au modèle de données.
Étiquette Cette propriété vous permet de réinitialiser les étiquettes d’affichage affichées
d’affichage pour chaque
paramètre. Les valeurs par défaut sont définies dans le modèle de données .

15-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Propriété Description

Valeur par défaut Cette propriété vous permet de configurer la valeur par défaut pour le
spécifiquement pour ce rapport. Les valeurs initiales par défaut sont les
suivantes :
défini dans le modèle de données.

Paramètres Affichage par ligne Cette propriété contrôle le nombre de paramètres affichés sur un
dans la visionneuse de rapports.

Configuration des propriétés du rapport


Lancez la boîte de dialogue Propriétés du rapport en cliquant sur Propriétés dans l’en-tête de
la page.
Création ou modification d’un
rappo
rt15-11
La boîte de dialogue Propriétés du rapport comporte les jeux d’options suivants :
• Général : définissez les propriétés générales de votre rapport.

• Mise en cache : spécifiez les options de mise en cache pour ce rapport.

• Mise en forme : définissez les propriétés de configuration d’exécution du rapport. Voir


Définition des propriétés de configuration d’exécution, page 22-1 pour plus
d’informations sur la définition de ces propriétés.

• Mappage des polices : créez des mappages de polices pour ce rapport.

• Format de devise : définissez les formats de devise pour ce rapport.

Définition des propriétés générales


Définissez les propriétés de l’onglet Général comme suit :

Description
(Facultatif) Entrez une description à afficher avec le rapport dans le catalogue. Ce texte est

15-12Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
traduisible.

Exécuter le rapport en ligne


Désactivez cette propriété si vous ne souhaitez pas que les utilisateurs affichent ce rapport dans
la Visionneuse de rapports en ligne. Lorsqu’il est désactivé, les utilisateurs ne pourront planifier
que le rapport. Pour la plupart des rapports, vous garderez cette option activée. Désactivez-le
pour les rapports de longue durée, par lots ou autres pour lesquels l’affichage en ligne n’est pas
approprié. Lorsque cette propriété est activée, vous pouvez également définir les propriétés
suivantes :

PropriétéDescription

Afficher les contrôlesPar défaut : Activé

Cette propriété contrôle l’affichage de la région de contrôle de


le rapport. La région Contrôle se compose de la liste Modèle,
Liste de sortie et Listes de paramètres. Désactivez cette propriété si
vous
ne veulent pas que les utilisateurs affichent et mettent à jour ces
options.

Autoriser le partage de liens de rapportPar défaut : activé

Le menu Actions de la Visionneuse de rapports inclut l’option


Partager le lien de rapport, qui permet aux utilisateurs d’afficher
l’URL
pour le présent rapport. Désactivez cette propriété si vous ne le
faites pas
veulent que les utilisateurs voient et copient le link du rapport.

Ouvrir les liens dans une nouvelle fenêtrePar défaut : Activé

Cette propriété contrôle la façon dont les liens contenus dans un


rapport
sont ouverts. Par défaut, les liens s’ouvriront dans un nouveau
navigateur
fenêtre. Désactivez cette propriété pour ouvrir des liens dans le
même
fenêtre du navigateur.

Mode asynchronePar défaut : non activé.

Les rapports exécutés en mode asynchrone utilisent un thread


unique pour
exécuter le rapport lorsqu’il est exécuté dans la visionneuse de
rapports. Ceci
permet à BI Publisher de mettre fin proprement au thread si un
utilisateur
annule l’exécution du rapport. Notez qu’il y a
implications de performance lors de l’activation de cette propriété.
Création ou modification d’un
rappo
rt15-13
PropriétéDescription

Auto RunDefault : Activé

Lorsque cette propriété est activée, le rapport est automatiquement activé


s’exécute lorsque l’utilisateur sélectionne le lien Ouvrir pour le rapport.
Lorsque l’exécution automatique est désactivée, sélectionnez le lien
Ouvrir pour le
Le rapport affiche la visionneuse en ligne mais n’exécute pas le
rapport. L’utilisateur doit sélectionner un type de sortie dans la vue
Menu Rapport pour exécuter le rapport.

Options de l’Analyseur Excel


Par défaut : Mode en ligne
Cette propriété contrôle la méthode de téléchargement des données de rapport dans Excel et
a également un impact sur la possibilité d’interagir avec le serveur BI Publisher à partir de
Microsoft Excel. L’utilisation du mode hors connexion a les effets suivants :
• Vos téléchargements de données de rapport sont plus rapides et les grands ensembles de données sont
gérés plus efficacement

• Vous n’avez pas besoin d’activer les macros

• Vous pouvez activer vos propres macros personnalisées

• Vous ne pouvez pas vous connecter ou vous connecter au serveur BI Publisher à partir de
votre session Microsoft Excel. Par conséquent, vous ne pouvez pas télécharger un
modèle directement à partir d’Excel, ni mettre à jour les paramètres du rapport ou
appliquer un nouveau modèle.

Le mode en ligne ne peut pas traiter les ensembles de données de plus de 5 mégaoctets. Vous
devez donc activer la propriété this pour les rapports qui génèrent de très grands ensembles de
données que vous souhaitez manipuler dans Excel. Notez que le mode hors connexion
nécessite également que les données soient dans <ROWSET><ROW>... </RANGÉES>...
</ROWSET> format.
Le tableau suivant détaille les différences entre les modes en ligne et hors connexion :

ConsidérationMode hors ligneMode en ligne

PerformanceData est téléchargé plus Le téléchargement est plus lent et de très


rapidement dans Excel grands ensembles de données peuvent
et les grands ensembles de données sont avoir un impact sur le fonctionnement du
traités davantage complément. Le mode en ligne ne peut
efficacement pas traiter les fichiers de plus de 5
mégaoctets.

15-14Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
ConsidérationMode hors ligneMode en ligne

MacrosVous n’avez pas besoin d’activer Vous devez activer les macros pour
les macros pour utiliser Excel Analyzer dans ce mode.
utilisez Excel Analyzer dans ce mode. Les macros personnalisées ne sont pas
Vous pouvez également créer votre propre prises en charge dans ce mode.
personnalisé
macros à utiliser avec Excel Analyzer.
Connexion avec BI PublisherAucune connexion après que les Vous pouvez vous connecter au serveur
données sont BI Publisher à partir de votre session
Téléchargé. Vous ne pouvez pas Excel. Vous pouvez télécharger
télécharger directement des modèles dans le rapport,
modèles directement à partir d’Excel, mettre à jour les paramètres du rapport et
modifier appliquer de nouveaux modèles à partir
ou appliquer de nouveaux templates à de votre session Excel.
les données.
Structure de l’ensemble de Les données doivent se trouver dans Il est recommandé que les données soient
données <ROWSET> dans
<ROWSET>
<ROW>
<ROW>...
... </LIGNES>..
</LIGNES>..
</ROWSET> format
</ROWSET> format.

Pour plus d’informations sur Analyzer for Excel, voir Utilisation de BI Publisher Analyzer for
Excel, pages 3-11.

Options avancées
Activer l’éclatement
Si ce rapport nécessite une rafale, cochez cette case, puis sélectionnez la définition
d’éclatement appropriée dans la liste. Lorsqu’un utilisateur planifie le rapport, il peut choisir
d’utiliser la définition d’éclatement pour formater et remettre le rapport.
La définition d’éclatement est un composant du modèle de données. Pour plus
d’informations, voir Ajout de définitions d’éclatement, page 14-2.
Le rapport est contrôlé par une application externe. Les utilisateurs ne peuvent pas
exécuter ou planifier un rapport à partir du catalogue, peuvent afficher l’historique
Si BI Publisher est intégré à une autre application qui contrôle l’exécution de ce rapport et que
vous ne souhaitez pas que les utilisateurs exécutent et affichent ce rapport directement à partir
du catalogue, activez cette option. Les rapports exécutés par BI Publisher seront stockés dans les
tables d’historique de BI Publisher et les utilisateurs peuvent afficher les rapports terminés à
partir de la page Historique des tâches du rapport.

Création ou modification d’un


rappo
rt15-15
Définition des propriétés de mise en cache

Définissez les propriétés de l’onglet Mise en cache comme suit :


Activer la mise en cache des donnéesPar défaut : non activé
Lorsque cette propriété est activée, les données générées par la
soumission en ligne de ce rapport sont stockées dans le cache.
Les demandes suivantes d’exécution de ce rapport avec les
mêmes sélections de paramètres afficheront le rapport à l’aide
des données stockées dans le cache.
Ce paramètre améliore les performances en utilisant des données
stockées pour générer un rapport plutôt que de régénérer les
données à partir de la source. Le data restera dans le cache selon la
limite de temps spécifiée dans la propriété Durée du cache.
Vous pouvez contrôler si le cache du rapport est partagé par les
utilisateurs en définissant la propriété Niveau utilisateur.
Lorsque la mise en cache des données est activée, vous avez la
possibilité de
définition des propriétés suivantes :

Durée de mise en cache (minutes) Valeur par défaut : 30 minutes


Entrez la limite de temps pendant laquelle un ensemble de
données de rapport ou un document doit rester en cache. Une
fois le délai expiré, la prochaine demande pour le même
rapport générera un nouvel ensemble de données.

Niveau utilisateurPar défaut : Activé


Cette propriété stocke un cache distinct pour chaque utilisateur.
Les données de rapport montrées à chaque utilisateur proviennent
uniquement du

15-16Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
cache. Lorsqu’elle est activée, cette propriété garantit que
chaque utilisateur ne peut voir que les données qu’il est autorisé
à afficher. Toutefois, le cache au niveau de l’utilisateur a des
performances moins efficaces. Si les données du rapport ne sont
pas sensibles à l’utilisateur, vous pouvez désactiver cette
propriété pour améliorer les performances.

Mise en cache de documentsPar défaut : activé


Activez cette propriété pour mettre en cache le document de
rapport. Lorsque le cache de documents est activé, lorsqu’un
utilisateur affiche le rapport en ligne, le document (données et
mise en page) est stocké dans le cache. Lorsqu’un autre
utilisateur (sauf si le niveau utilisateur est activé) utilise la
visionneuse en ligne pour afficher exactement le même rapport
(même mise en page, même type de sortie, mêmes sélections de
paramètres), le document est récupéré à partir du cache. Le
document restera dans le cache en respectant la durée de mise en
cache spécifiée. Notez que les rapports planifiés n’utilisent pas le
cache de documents.

L’utilisateur peut actualiser les données de rapport Par défaut : non activé
Lorsque cette propriété est activée, l’utilisateur peut choisir
d’actualiser les données à la demande. Lorsque l’utilisateur
clique sur Refresh dans la visionneuse de rapports, BI Publisher
génère un nouvel ensemble de données pour le rapport.

Définition des propriétés de mise en forme


L’onglet Propriétés de mise en forme vous permet de définir des propriétés d’exécution au
niveau du rapport. Ces mêmes propriétés peuvent également être définies au niveau du système,
à partir de la page Administration. L’onglet Propriétés de mise en forme affiche à la fois le
paramètre de niveau système et le paramètre de niveau rapport pour chaque propriété. Si des
valeurs différentes sont définies à chaque niveau, le niveau du rapport est prioritaire.
Pour obtenir une description détaillée de chaque propriété, consultez Définition des propriétés
d’exécution, page 22-1.

Configuration du mappage des polices


La fonctionnalité de mappage de polices de BI Publisher vous permet de mapper des polices de
base dans des modèles RTF ou PDF à des polices cibles à utiliser dans le document publié. Les
mappages de polices peuvent être définis au niveau du rapport ou du système. Lorsque vous
affichez l’onglet Mappage des polices des propriétés du rapport, tous les paramètres au niveau
du système s’affichent. Pour modifier les paramètres de ce rapport, modifiez les mappages de
polices ici.
Pour plus d’informations sur le mappage font, voir Définition des mappages de polices, pages
22-17.
Pour créer un mappage de polices :
• Sous Modèles RTF ou Modèles PDF, sélectionnez Ajouter un mappage de polices.

Création ou modification d’un


rappo
rt15-17
• Entrez ce qui suit sur la page Ajouter un mappage de polices :
• Police de base - entrez la famille de polices qui sera mappée à une nouvelle police.
Exemple : Arial

• Sélectionnez le style : Normal ou Italique (ne s’applique pas aux mappages


de polices de modèle PDF)

• Sélectionnez le poids : Normal ou Gras (non applicable aux mappages de


polices de modèle PDF)

• Sélectionnez le type de police cible : Type 1 ou TrueType

• Entrez la police cible


Si vous avez sélectionné TrueType, vous pouvez entrer une police numérotée spécifique
dans la collection. Entrez le numéro de la collection TrueType (TTC) de la police
souhaitée.
Pour obtenir la liste des polices prédéfinies, consultez Les polices prédéfinies de BI
Publisher, page 22-19.

Configuration des formats de devise


L’onglet Formats de devise vous permet de mapper un masque de format numérique à une
devise spécifique afin que vos rapports puissent afficher plusieurs devises avec leur propre
mise en forme correspondante. La mise en forme de devise n’est prise en charge que pour les
modèles RTF et XSL-FO .
Les formats de devise peuvent être définis au niveau du rapport ou du système. Lorsque vous
affichez l’onglet Formats de devise des propriétés du rapport, tous les paramètres au niveau du
système s’affichent. Pour modifier les paramètres de ce rapport, modifiez les formats de devise
ici.
Pour appliquer ces formats de devise dans votre modèle RTF, vous devez utiliser la
fonction format-devise . Voir Mise en forme des devises, pages 17-120 pour les
procédures détaillées .
Pour ajouter un format de devise :
1. Cliquez sur l’icône Ajouter.

2. Entrez le code de devise ISO, par exemple : USD, JPY, EUR, GBP, INR.

3. Entrez le masque de format pour appliquer cette devise.


Le masque de format doit être au format de nombre Oracle. Le format de nombre Oracle
utilise les composants « 9 », « 0 », « D » et « G » pour composer le format, par exemple:
9G999D00
where
9 représente un nombre affiché uniquement s’il est présent dans les données

15-18Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
G représente le séparateur de groupe
D représente le séparateur décimal
0 représente un nombre explicitement affiché indépendamment des données entrantes
Consultez Utilisation du masque de format Oracle, pages 17 à 110 pour plus
d’informations sur ces composants de masque de format.

La figure suivante montre des exemples de devises formats :

Création ou modification d’un


rappo
rt15-19
16
Création d’un modèle de mise en page BI
Publisher

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Introduction
• Lancement de l’éditeur de mise en page
• A propos de l’interface de l’éditeur de mise en page
• L’onglet Mise en page
• Insertion de composants de mise en page
• A propos des grilles de disposition
• A propos de la répétition de sections
• A propos des tables de données
• À propos des graphiques
• À propos des graphiques de jauge
• À propos des tableaux croisés dynamiques
• À propos des éléments de texte
• À propos des images
• Définition de formules prédéfinies ou personnalisées
• Enregistrement d’une mise en page

Introduction
La version 11g d’Oracle BI Publisher introduit un nouveau type de modèle de mise en
page. Le modèle BI Publisher Layout permet aux utilisateurs finaux de :
• afficher la sortie HTML dynamique et effectuer une interaction légère avec leurs données
de rapport à partir d’un navigateur

Création d’un modèle de mise en page BI


Publ
isher16-1
• générer des rapports haute fidélité et au pixel près au format PDF, RTF, Excel,
PowerPoint et HTML statique

Les modèles de mise en page BI Publisher sont créés à l’aide de BI Publisher Layout Editor , un
outil de conception qui fournit une interface WYSIWIG, glisser-déposer pour créer des rapports
au pixel près au format PDF, RTF, Excel, PowerPoint et HTML. Il fournit également une sortie
HTML dynamique qui prend en charge une interaction légère via un navigateur. Cette sortie
interactive est présentée dans la figure ci-dessous :

Notez les fonctionnalités suivantes :


• Détails du graphique contextuel - mettez votre curseur sur les éléments du graphique pour
afficher les détails des données.

• Filtrage de groupe – les régions groupées peuvent être filtrées par l’élément de regroupement.

16-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Tables défilantes – les données des tables peuvent être défilées tout en conservant
l’affichage des en-têtes et des totaux.

• Tri des colonnes de table – les données de table peuvent être triées par différentes
colonnes à partir de la visionneuse.

• Filtrage des colonnes de table – les données de table peuvent être filtrées par valeurs
dans différentes colonnes à partir de la visionneuse.

• Total automatique des tables – les totaux des données des tables sont automatiquement
ajoutés à la mise en page.

• Filtrage propagé - filtrez d’autres composants en cliquant sur des zones de graphique
ou en cliquant sur l’en-tête, la colonne ou les éléments du tableau croisé dynamique

• Réduire et développer des zones du document

Quand utiliser un Layout BI Publisher


Les mises en page BI Publisher sont les mieux adaptées aux rapports de complexité simple à
moyenne qui ne nécessitent pas de codage personnalisé. Étant donné que la vue HTML
dynamique n’est disponible que pour les mises en page BI Publisher, les mises en page BI
Publisher doivent être utilisées lorsqu’il est nécessaire de permettre à un consommateur de
rapports d’interagir avec le rapport (modifier le tri, appliquer des filtres, etc.).

Prérequis et recommandations
• Pour utiliser l’éditeur de mise en page, votre compte doit disposer d’un rôle qui inclut
les autorisations appropriées pour accéder aux outils de mise en page de rapport.

• Vous devez attacher des exemples de données à votre modèle de données avant de créer
une nouvelle mise en page. Pour plus d’informations sur l’ajout d’exemples de données au
modèle de données, consultez Test de modèles de données et génération d’exemples de
données, pages 9-32.

• Pour une visualisation optimale, réglez votre résolution d’affichage sur 1024 x 768 ou plus.

• Pour activer le tri et le filtrage interactifs, l’ensemble complet de données transmis à la


mise en page doit être limité à plusieurs milliers de lignes pour obtenir un rapport réactif.
Les mises en page BI Publisher ont des performances comparables aux mises en page RTF
pour générer une sortie statique telle que des documents PDF ou RTF.

Lancement de l’éditeur de mise en page


Lancez l’éditeur de mise en page de l’une des manières suivantes :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publ
isher16-3
Lors de la création d’un nouveau rapport :
• Après avoir sélectionné le modèle de données pour un nouveau rapport, l’éditeur de
rapport affiche la page Ajouter une mise en page .
Dans la région Créer une mise en page , cliquez sur un modèle prédéfini pour lancer
l’éditeur de mise en page.

Lors de la modification d’un réort :


1. Dans l’éditeur de rapports :
Dans la vue Miniature , cliquez sur Ajouter une
nouvelle mise en page. ou
Dans la vue Liste, cliquez sur le bouton Créer dans la barre d’outils du tableau des mises en
page.

2. Dans la région Créer une mise en page , cliquez sur un modèle prédéfini à utiliser
pour lancer l’éditeur de mise en page.

Lors de l’affichage d’un rapport :


Vous pouvez également accéder à l’Éditeur de mise en page lors de l’affichage d’un rapport.
Cliquez sur Actions , puis sur Modifier la mise en page. Notez que la mise en page doit avoir été
créée dans l’éditeur de mise en page.

Sélection d’une mise en page prédéfinie


Lorsque vous créez une nouvelle mise en page, vous avez la possibilité de sélectionner une
mise en page prédéfinie pour vous aider à démarrer.

16-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Les modèles de base et partagés offrent des structures de mise en page communes avec des
composants spécifiques déjà ajoutés. Le choix de l’une des mises en page prédéfinies est
facultatif, mais peut faciliter la conception de la mise en page. Si votre entreprise utilise une
conception commune qui n’est pas disponible ici, vous pouvez ajouter des mises en page
prédéfinies pour votre propre usage, ou votre administrateur peut en ajouter d’autres pour tous
les utilisateurs.

Ajout de modèles partagés pour les utilisateurs All


Pour ajouter des fichiers de mise en page prédéfinis au répertoire partagé auxquels tous les
utilisateurs peuvent accéder :
1. Connectez-vous avec des privilèges d’administrateur et accédez au catalogue.

2. Dans le répertoire Dossiers partagés, ouvrez le dossier Composants.

3. Recherchez le rapport Boilerplates et cliquez sur Modifier.

4. Cliquez sur Ajouter une nouvelle mise en page.

5. Concevez ou téléchargez la mise en page.


Pour concevoir la mise en page : Cliquez sur un modèle standard existant (ou vide) pour
lancer l’éditeur de mise en page. Insérez les composants dans la mise en page. Lorsque vous
avez terminé, cliquez sur Enregistrer et donnez un nom à votre passe-partout. Cette mise
en page s’affichera désormais à tous les utilisateurs dans le region Modèles partagés.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publ
isher16-5
Pour télécharger une mise en page : cliquez sur Télécharger pour télécharger un
modèle BI Publisher prédéfini (fichier .xpt).

6. Enregistrez le rapport.

Tous les modèles BI Publisher (.xpt) ajoutés à ce rapport seront affichés à tous les utilisateurs en
tant que modèle partagé.

Ajout de mises en page personnalisées prédéfinies


Pour ajouter des mises en page prédéfinies qui ne sont disponibles que pour l’utilisateur de votre
compte :
1. Accédez à Mes dossiers.

2. Créez un nouveau rapport appelé « Boilerplates ». Ce rapport n’aura pas de modèle de


données.

3. Cliquez sur Ajouter une nouvelle mise en page.

4. Concevez ou téléchargez la mise en page.


Pour concevoir la mise en page : Cliquez sur un modèle standard existant (ou vide) pour
lancer l’éditeur de mise en page. Insérez les composants dans la mise en page. Lorsque vous
avez terminé, cliquez sur Enregistrer et donnez un nom à votre passe-partout.
Pour télécharger une mise en page : cliquez sur Télécharger pour télécharger un
modèle BI Publisher prédéfini (fichier .xpt).

Ces mises en page seront présentées dans la région Mes modèles lorsque vous créerez une
nouvelle mise en page.

A propos de l’interface de l’éditeur de mise en page


La figure suivante illustre l’éditeur de mise en page :

16-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
L’interface de l’éditeur de mise en page comprend les éléments suivants :
• Le haut de l’éditeur de mise en page contient deux barres d’outils :
• La barre d’outils Statique est toujours disponible et contient des commandes
courantes telles que enregistrer et prévisualiser. Voir À propos de la barre d’outils
statique, pages 16-10.

• La barre d’outils à onglets comprend l’onglet Insertion, l’onglet Mise en page et un


onglet dynamique qui affiche les actions et commandes les plus couramment utilisées
pour le composant de mise en page sélectionné. Vous pouvez réduire cette barre
d’outils pour faire plus d’espace pour afficher votre zone de conception. Voir À propos
du toolbar à onglets, pages 16-11.

• Le volet accordéon à gauche contient les éléments suivants :


• Utilisez le volet Source de données pour sélectionner les champs de données
à faire glisser vers les composants de disposition.

• Utilisez le volet Composants pour sélectionner des composants de disposition et les


faire glisser vers la zone de conception. Vous pouvez également utiliser l’onglet
Insertion pour insérer des composants lorsque ce volet est réduit.

• Utilisez le volet Propriétés pour modifier les propriétés du composant de


disposition sélectionné.

Vous pouvez développer et afficher chaque contrôle en cliquant sur le titre du contrôle ou sur
le signe plus en regard du titre du contrôle. Vous pouvez réduire tout le volet accordéon

Création d’un modèle de mise en page BI


Publ
isher16-7
pour laisser plus d’espace pour afficher la disposition.

• La région inférieure droite est la zone de conception pour la construction de votre mise en page.

À propos du volet Source de données


Le volet Source de données affiche la structure de votre modèle de données et les éléments de
données qui peuvent être insérés dans votre disposition.
Pour insérer un élément de données, sélectionnez-le et faites-le glisser du volet Source de
données vers le composant de la mise en page.
Le type de données de chaque champ est représenté par une icône appropriée : nombre, date ou texte.
La figure suivante illustre le volet de la source de données. Notez que l’icône à côté de
chaque élément indique le type de données :

L’élément JOB_TITLE est affiché sous forme de texte, l’élément SALARY est affiché sous
forme de nombre et l’élément HIRE_DATE est affiché sous forme de type de données de date.
Remarque : Lorsque vous entrez des dates dans l’éditeur de mise en page
(par exemple, une comparaison de données pour un filtre ou une mise
en forme conditionnelle), utilisez l’un des formats de date ou d’heure
XSL suivants : AAAA-MM-JJ ou AAAA-MM-DDTHH:MM:SS.

À propos du volet Composants


Le volet Composants contient les composants de disposition que vous pouvez insérer dans un
rapport. Ces composants incluent des caractères, des tableaux croisés dynamiques et des images.
Pour insérer un composant, il suffit de le faire glisser et de le déposer dans la mise en page.
Vous pouvez également utiliser le menu Insertion pour ajouter des composants à votre mise en page.

16-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
La figure suivante illustre le volet Composants :

À propos du volet Propriétés


Le volet Propriétés affiche les propriétés du composant sélectionné. Les propriétés affichées
sont déterminées par le composant sélectionné. Certaines des propriétés disponibles dans le
volet Propriétés sont également modifiables dans l’onglet dynamique du composant.
Cliquez sur une valeur de propriété pour la modifier. La modification est appliquée au
composant lorsque vous déplacez votre curseur hors du champ. Réduisez ou développez un
groupe de propriétés en cliquant sur les signes plus ou moins en regard du nom du groupe.
Les propriétés disponibles pour chaque composant sont discutées en détail dans la section
correspondante pour ce composant dans ce chapitre. Notez que si un champ de propriété est
vide, la valeur par défaut est utilisée.
La figure suivante montre un exemple de volet Propriétés pour un en-tête de colonne de tableau :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publ
isher16-9
À propos de la barre d’outils statique
La barre d’outils Statique s’étend de chaque côté de la barre d’outils à onglets et est
illustrée dans la figure suivante :

Utilisez-le pour exécuter les fonctions suivantes :


• Annuler et rétablir les opérations.

• Couper, copier et coller des éléments.

• Aperçu au format interactif, HTML, PDF, Microsoft Word (RTF), Microsoft Excel,
Microsoft PowerPoint ou Microsoft PowerPoint 2007.

• Revenez à la page précédente.

• Créez une nouvelle mise en page.

• Ouvrez une mise en page.

• Enregistrez la mise en page.

• Enregistrez la mise en page en tant que nouvelle copie sous un autre nom.

16-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
À propos de la barre d’outils à onglets
La barre d’outils à onglets contient les onglets suivants :
• L’onglet Insertion fournit les composants et les éléments de page qui peuvent être placés
sur une mise en page. Voir Insertion de composants de mise en page, pages 16-21.

• L’onglet Mise en page fournit des outils et des commandes courants au niveau de la page.
Voir À propos du menu Mise en page, pages 16-12.

• L’onglet spécifique au composant fournit les commandes et propriétés les plus


couramment utilisées pour le composant sélectionné dans la mise en page. Par exemple,
lorsque vous sélectionnez un graphique, l’onglet Graphique s’affiche. Voir la section sur
un composant spécifique pour plus de détails sur les commands.
Pour définir ou contrôler d’autres propriétés pour le composant sélectionné, ouvrez le
volet Propriétés dans le volet accordéon, comme décrit dans À propos du volet
Propriétés, page 16-9.

Sélection et suppression d’objets de mise en page


Chacun des onglets spécifiques au composant inclut la région Sélectionner.
• L’outil Sélectionner vous permet de contrôler précisément quel composant de la mise en
page a le focus. Cette fonctionnalité est particulièrement utile lorsque vous travaillez avec
une mise en page complexe où les composants se chevauchent. Par exemple, pour
sélectionner un tableau, il est parfois difficile de cliquer sur le bon endroit pour sélectionner
le tableau et non sur une colonne ou une cellule d’en-tête. Pour éviter les clics inutiles,
utilisez l’outil Sélectionner pour sélectionner précisément le composant Table dans la liste.

• L’outil Supprimer fournit une fonction similaire à l’outil Sélectionner pour vous
permettre de sélectionner précisément le composant à supprimer.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-11
A propos de l’onglet Insertion
Utilisez l’onglet Insertion pour insérer des composants de rapport et des éléments de page. La
figure suivante montre l’onglet Insertion :

Le groupe Composants affiche les composants de rapport que vous pouvez insérer dans votre
mise en page. Pour insérer un composant, sélectionnez et faites-le glisser vers l’emplacement
indiqué dans la zone de conception. Pour plus d’informations sur chaque composant, consultez
la section correspondante de ce chapitre.
Le groupe Éléments de page contient des éléments au niveau de la page pour votre rapport.
Pour insérer un saut de page, le numéro de page ou le calcul du nombre total de pages,
sélectionnez et faites glisser le composant à la position souhaitée dans la mise en page.
Remarque : Les éléments de page sont destinés aux types de sortie paginés,
tels que PDF et RTF. Leur utilisation dans une sortie interactive ou HTML
peut avoir des résultats inattendus.

L’onglet Mise en page


L’onglet Mise en page est illustré dans la figure suivante :

L’onglet Mise en page contient des commandes permettant de configurer votre mise en page.

Options de papier

OptionDescription

OrientationChoisissez Portrait ou Paysage.

16-12Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Option Description

Choisissez parmi les options de format de papier suivantes : Lettre,


Taille du papier Juridique,
A4, A3, Executive, B5, Com-10, Monarch DL ou C5. Notez que
le format du papier déterminera les dimensions de la mise en page
aire.

Options d’en-tête/pied de page

Option Description

Cliquez pour insérer un en-tête de page dans votre mise en page. Par
En-tête de page défaut, le
l’en-tête de page apparaît sur chaque page d’un rapport imprimé,
mais
peut être configuré pour ignorer la première page.
Pour supprimer l’en-tête de page, cliquez à nouveau sur En-tête de
page.

Cliquez pour insérer un pied de page dans votre mise en page. Par
Pied de page défaut, le
le pied de page apparaît sur chaque page d’un rapport imprimé, mais
peut être configuré pour ignorer la dernière page.
Pour supprimer le pied de page, cliquez à nouveau sur Pied de
page.

Cliquez pour insérer un en-tête de rapport dans votre mise en page.


En-tête de rapport Le rapport
n’apparaît qu’une seule fois au début du rapport.
Pour supprimer l’en-tête du rapport, cliquez à nouveau sur En-tête
du rapport.

Cliquez pour insérer un pied de page de rapport dans votre mise en


Pied de page du rapport page. Le pied de page du rapport
n’apparaît qu’une seule fois à la fin du rapport.
Pour supprimer le pied de page du rapport, cliquez à nouveau sur
Pied de page du rapport.

Définition des propriétés des en-têtes et des pieds de page


Le volet Propriétés vous permet de définir les propriétés suivantes pour les en-têtes et les pieds
de page.
Pour accéder au volet Propriétés , sélectionnez l’en-tête ou le pied de page dans la zone de
conception, puis cliquez sur
Propriétés du volet accordéon à gauche de la page.
Pour tous les en-têtes et pieds de page de rapport et de page :
• Hauteur - définissez la hauteur de la région d’en-tête en pixels, points, centimètres ou

inches Pour les en-têtes :


Création d’un modèle de mise en page BI
Publis
her16-13
• Afficher dans la première page - sélectionnez True pour afficher l’en-tête de la première
page. Sélectionnez Faux pour supprimer l’en-tête de la première page.
La figure suivante illustre les propriétés d’un en-tête de rapport :

Pour les pieds de page :


• Afficher dans la dernière page - sélectionnez True pour afficher le pied de page dans la
dernière page. Sélectionnez Faux pour supprimer le pied de page de la dernière page.

Options d’affichage

Option Description

Cliquez pour insérer un quadrillage dans la zone de conception de mise en page.


Grille La taille de l’unité de grille
dépendent de l’unité d’affichage sélectionnée. Pour supprimer le quadrillage,
cliquez sur Grille
encore.
Cliquez pour insérer une règle d’affichage en haut de la zone de conception de
Règle mise en page. Le
les unités de règle dépendent de l’unité d’affichage. Pour supprimer la règle,
cliquez sur
Souverain à nouveau.

Unité d’affichage
Sélectionnez l’unité de mesure à afficher. Cette unité est utilisée pour les options d’affichage de la
règle et de la grille, ainsi que pour toute autre fonction qui affiche une mesure, telle que le réglage

16-14Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
largeurs de bordure et cellules de grille de dimensionnement. Les options sont: pouce, px
(pixel), cm (centimètre) et point (pt).

Interactivité : configuration de l’événement


La fonctionnalité Configurer les événements vous permet de configurer la façon dont les
composants de votre mise en page répondent aux événements déclenchés par un utilisateur lors
de l’affichage du rapport en mode interactif.
Les deux types d’événements sont
• Filtre : si vous cliquez sur un élément dans un graphique ou un tableau croisé dynamique,
cet élément sera utilisé pour filtrer dynamiquement d’autres composants du rapport.

• Afficher la sélection uniquement : si vous cliquez sur un élément d’un graphique ou d’un
tableau croisé dynamique, le graphique ou le tableau croisé dynamique affiche uniquement
les résultats de l’élément sélectionné.

Exemple de configuration d’événement de filtre


Dans cet exemple, la mise en page contient deux graphiques et un tableau. Le premier
graphique montre les totaux des salaires par département dans un graphique à secteurs. Le
deuxième caractère affiche les totaux de salaire par gestionnaire dans un graphique à barres. Le
tableau affiche une liste des employés et de leurs salaires. Cet exemple est illustré dans la
figure suivante :
Création d’un modèle de mise en page BI
Publis
her16-15
Dans ce rapport, si un utilisateur clique sur une valeur dans le graphique Salaire par
département, vous souhaitez que le graphique Salaire par responsable et le tableau Employés
filtrent automatiquement pour afficher uniquement les responsables et les employés du service
sélectionné.
La figure suivante illustre le filtrage automatique qui se produit lorsqu’un utilisateur clique sur
la section Service commercial du graphique à secteurs Salaire par service. Le graphique Salaire
par responsable filtre automatiquement pour afficher uniquement les responsables appartenant
au service commercial. La table Employee filtre automatiquement pour afficher uniquement les
employés du service commercial.

16-16Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pour configurer le filtrage automatique :
1. Sous l’onglet Mise en page, cliquez sur Configuration des événements pour afficher la
boîte de dialogue Configurer les événements.

2. Dans la colonne Composants , cliquez sur le composant de disposition (des graphiques et


des tableaux croisés dynamiques peuvent être configurés).

3. Sélectionnez Filtrer pour activer le filtrage automatique dans d’autres composants de


rapport.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-17
4. Sélectionnez les composants du rapport dans la colonne Cibles pour activer le filtrage
automatique en fonction des événements interactifs dans le composant sélectionné. Pour
désactiver le filtrage automatique d’un composant cible, décochez la case.
La figure précédente montre que l’événement Filter est activé pour le graphique 1 dans la
mise en page. Le graphique 2 et le tableau 3 sont sélectionnés comme cibles pour activer le
filtrage automatique lorsqu’un événement de sélection se produit dans le graphique 1.
Notez que l’option Afficher la sélection uniquement n’est pas activée pour le graphique
1. Cela signifie que le graphique 1 continuera d’afficher toutes les valeurs, même si les
autres composants sont filtrés par la sélection.

Exemple : Afficher la sélection uniquement


L’événement Afficher uniquement la sélection affiche uniquement la valeur de l’élément
sélectionné dans le graphique ou le tableau croisé dynamique.
Dans cet exemple, le graphique 2 est configuré avec l’option Afficher la sélection
uniquement activée et le filtre activé avec le tableau 3 comme cible, comme illustré :

Cette configuration entraînera la sortie indiquée ci-dessous. Lorsque l’utilisateur clique sur le
graphique 2, seule la valeur sélectionnée sera affichée dans le graphique 2. Étant donné que
l’événement Filter est activé pour le tableau 3, la sélection est appliquée en tant que filtre au
tableau 3.

16-18Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Définition des marges de page
Pour définir les marges de page de votre rapport :
1. Cliquez n’importe où dans la zone de conception en dehors d’un composant inséré.

2. Cliquez sur le volet Propriétés en bas à gauche de l’éditeur de mise en page. La


figure suivante montre les propriétés de la page :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-19
3. Cliquez sur la valeur affichée pour Marge pour lancer la boîte de dialogue Marge. La
boîte de dialogue Marge est illustrée dans la figure suivante :

4. Sélectionnez la taille souhaitée pour la marge. Entrez la valeur des marges Haut, Gauche,
Droite et Bas.
Pour définir automatiquement la même valeur pour tous les côtés, cochez la case : Utiliser
la même valeur pour tous les côtés. Cette action désactivera toutes les entrées sauf l’entrée
Marge supérieure. Entrez la valeur dans le haut à appliquer à tous les côtés.

16-20Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Insertion de composants de mise en page
L’éditeur de mise en page prend en charge les composants qui sont généralement utilisés dans
les rapports et autres documents professionnels. Les composants suivants sont décrits dans ces
sections :
• Grille de mise en page, pages 16-21

• Tableau de données, pages 16-29

• Graphique, pages 16-49

• Jauge, pages 16-55

• Tableau croisé dynamique, pages 16 à 58

• Section répétée, pages 16-25

• Élément de texte, pages 16 à 65

• Image, pages 16-70

A propos des grilles de disposition


La grille de mise en page permet de diviser une mise en page en sections. Il fonctionne de la
même manière qu’un tableau dans des documents HTML ou Word pour créer des formulaires
ou pour fournir des mises en page sophistiquées. Utilisez une grille de mise en page pour
contrôler l’emplacement exact de tous les autres composants dans cette mise en page.
Pour créer une grille de mise en page, sélectionnez et faites glisser le composant Grille de
disposition vers la zone de conception.

Dans la boîte de dialogue, entrez le nombre de lignes et de colonnes de la grille et cliquez sur
OK pour insérer la grille dans la zone de conception, comme illustré dans la figure suivante :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-21
Notez ce qui suit à propos d’une grille de disposition :
• La grille est créée avec des colonnes équidistantes et la taille de ligne par défaut
est d’au moins une ligne de texte.

• Bien que les propriétés Police ne soient pas activées pour une cellule de grille de
disposition (définir les propriétés de police à l’aide des propriétés de composant
individuelles), les propriétés de couleur d’arrière-plan et de bordure sont activées.

• Lorsque vous insérez un composant dans une cellule de grille, il se


redimensionne automatiquement pour s’adapter au composant.

• Ajustez la largeur et la hauteur de la colonne en positionnant le pointeur de la souris sur la


bordure et en faisant glisser la barre bleue, ou en modifiant les propriétés de la colonne de
grille dans le volet Propriétés.

• La grille prend en charge la fusion des cellules.

• Vous pouvez insérer une grille à l’intérieur d’une grille.

• Semblable à Microsoft Word, la grille utilise une disposition de flux très pratique pour la
conception de documents professionnels. Les composants qui n’occupent pas un
paragraphe ou un bloc complet sont positionnés de haut en bas et de gauche à droite.

Ajout d’une bordure ou d’une couleur d’arrière-plan


Par défaut, le quadrillage est affiché uniquement dans la zone de conception et n’est pas affiché
pendant l’exécution. Si vous souhaitez afficher le quadrillage dans votre rapport terminé,
sélectionnez la cellule de grille et cliquez sur le bouton de commande Définir la bordure
pour lancer la boîte de dialogue Bordure.
Pour ajouter une couleur d’arrière-plan à une cellule, cliquez sur le bouton de commande
Couleur d’arrière-plan pour lancer le sélecteur de couleurs.

16-22Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
À propos des options d’insertion
Une fois que vous avez inséré une grille de disposition, vous pouvez ajouter des lignes ou des
colonnes supplémentaires. Sélectionnez la cellule de la grille de disposition qui est le point focal,
puis cliquez sur le bouton de commande approprié :
• Ajouter une ligne au-dessus

• Ajouter une colonne à droite

• Ajouter une ligne ci-dessous

• Ajouter une colonne à gauche

À propos des options de jointure/ annulation de l’adhésion


Pour joindre des cellules horizontalement ou verticalement, sélectionnez plusieurs cellules
adjacentes en maintenant la touche Ctrl enfoncée et en cliquant sur chaque cellule de la
grille. Cliquez ensuite sur le bouton de commande Joindre.
Pour dissocier les cellules jointes, sélectionnez la cellule jointe et cliquez sur le bouton Unjoin.

Ajout d’une option de développement et de réduction


Lors de l’affichage d’un rapport en mode interactif, le développement et la réduction d’une grille
de mise en page sont pris en charge. Expand et Collapse sont pris en charge au niveau de la
grille (et non au niveau de la cellule), donc assurez-vous d’insérer les grilles de manière
appropriée. Par exemple, si votre rapport contient un graphique dans la partie supérieure de la
mise en page et un tableau dans la partie inférieure et que vous souhaitez pouvoir réduire
l’affichage du graphique, vous devez insérer une grille de mise en page pour contenir le
graphique et une deuxième grille de disposition sous la première pour contenir le tableau.
N’insérez pas une grille avec deux lignes.
Pour activer l’option de développement et de réduction :
1. Sélectionnez la grille de mise en page.

2. Ouvrez le volet Propriétés .

3. Affectez à la propriété Interactive : Expand/Collapse la valeur True. La figure suivante


illustre cette option dans le volet Propriétés.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-23
Les figures suivantes illustrent le comportement de développement et de réduction lorsque le
rapport est affiché en mode interactif. Notez l’icône de réduction dans la zone supérieure droite
du rapport. Cliquez sur l’icône pour réduire la grille. La deuxième figure montre le rapport avec
la région effondrée.

16-24Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
A propos de la répétition de sections
Les sections répétées répètent les composants dans la section de la mise en page en fonction de
l’occurrence d’un élément dans les données. Les sections répétées sont utilisées pour créer des
rapports à bandes classiques, ainsi que des pages ou des sections répétées pour différents
éléments de données (tels que Group Above/Outline).
Pour créer une section répétée :
1. Faites glisser et déposez le composant de section répétée dans la mise en page.

2. Dans la boîte de dialogue Section répétée , sélectionnez l’une des options suivantes :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-25
• Élément : spécifiez l’élément pour lequel la section se répète. Par exemple, si votre jeu
de données contient des informations de vente pour plusieurs pays. Si vous sélectionnez
COUNTRY comme élément de répétition, la section de la mise en page se répète pour
chaque pays unique utilisé dans le jeu de données.

• Détail du groupe : si vous avez des sections imbriquées, sélectionnez cette option. Pour
continuer l’exemple précédent, en supposant qu’il existe des lignes de données uniques pour
chaque ville et un regroupement par pays, cette option crée une section qui se répète pour
chaque ville.

L’exemple suivant montre une disposition dont une section répétée est définie pour
l’élément Department. Dans la section suivante se trouvent un graphique qui montre les
salaires par gestionnaire et un tableau qui montre tous les salaires des employés. Ainsi, pour
chaque occurrence de département dans l’ensemble de données, le graphique et le tableau
seront répétés :

Définition des options de saut de page pour une section répétée


Par défaut, pour les types de sortie paginés, la page se casse automatiquement en fonction de la
quantité de contenu qui tiendra sur une page. Il est souvent souhaitable que le rapport soit
interrompu après chaque occurrence du contenu répété.
À l’aide de l’exemple précédent, il serait souhaitable que la sortie PDF de ce rapport soit
interrompue après chaque ministère. Pour créer une pause dans le rapport après chaque
occurrence de la section répétitive :

16-26Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
1. Sélectionnez le composant de section répétée.

2. Ouvrez le volet Propriétés .

3. Définissez la propriété Saut de page sur Page.


La figure suivante affiche les propriétés d’une section répétée :

Affichage des sections répétées en mode interactif


En mode interactif, les valeurs de la répétition par élément sont affichées sous la forme d’une
liste de valeurs. Cela permet au consommateur de rapports de sélectionner et d’afficher
dynamiquement les résultats.
Illustré dans l’exemple ci-dessous, la répétition par élément Department est affichée dans une
liste de valeurs :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-27
En revanche, notez la même mise en page affichée en PDF. Dans cet exemple, l’option de saut de
page est définie de sorte que chaque nouveau service commence la section répétée sur une nouvelle
page :

16-28Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
A propos des tables de données
La table de données est une table standard qui est affichée dans de nombreuses mises en
page. Il contient un en-tête, des colonnes de données et une ligne totale. La table prend en
charge la fonctionnalité « groupe gauche » (contours) qui fusionne les champs avec les
mêmes valeurs ainsi que les sous-totaux, les totaux généraux, les calculs personnalisés et les
totaux en cours d’exécution.
Une fois inséré, vous pouvez modifier les propriétés du tableau à l’aide des onglets dynamiques
ou de l’icône
Volet Propriétés . Les onglets dynamiques suivants sont disponibles pour les composants de
table :
• Table

• En-tête de colonne de tableau

• Colonne

• Cellule totale

Insertion d’une table de données


1. Dans l’onglet Insertion, sélectionnez et faites glisser le composant Table de données vers
la zone de conception.
La figure suivante montre une table de données vide insérée. Notez que l’onglet Tableau
est maintenant affiché.

2. Pour ajouter des colonnes de données à votre table, sélectionnez un élément dans le
volet Source de données et faites-le glisser vers la table dans la disposition.
La figure suivante montre les colonnes ajoutées au tableau. Notez que lorsque
Création d’un modèle de mise en page BI
Publis
her16-29
vous déposez une colonne sur la table, vos exemples de données sont immédiatement affichés.

3. Continuez à faire glisser les éléments du volet Source de données pour former les colonnes
de votre table. Si vous devez repositionner une colonne que vous avez déjà ajoutée,
sélectionnez-la et faites-la glisser vers la bonne position.
La figure suivante montre une table de données terminée.

16-30Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Notez le comportement par défaut suivant :
• Une ligne totale est automatiquement insérée. Par défaut, il calcule la somme des
éléments de la colonne. Vous pouvez supprimer cette ligne ou modifier l’affichage
et le calcul appliqués. Voir À propos de l’onglet Nombre total de cellules, pages
16 à 48.

• La mise en forme de date par défaut est appliquée. Pour modifier la mise en forme par
défaut, voir À propos de l’onglet Colonne, pages 16 à 44.

• La mise en forme et l’alignement des nombres par défaut sont appliqués. Pour
modifier la mise en forme par défaut, voir À propos de l’onglet Colonne, pages 16
à 44.

Définition des couleurs de ligne alternées


Certaines tables de données sont plus faciles à lire lorsque les lignes affichent des couleurs
alternées, comme illustré dans la figure suivante :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-31
Pour définir une couleur de ligne alternée :
1. Sélectionnez la table.

2. Ouvrez le volet Propriétés .

3. Cliquez sur la valeur affichée pour Alternate Row Color pour lancer le sélecteur de couleurs.

4. Choisissez une couleur et cliquez sur OK.

À propos de l’onglet Tableau


L’onglet Tableau vous permet d’effectuer les opérations suivantes :
• Définir le nombre de lignes affichées

16-32Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Définir des filtres pour les données affichées dans le tableau

• Définir les conditions et les formats à appliquer aux lignes qui répondent aux conditions

• Afficher ou masquer la ligne totale du tableau

Définition de l’option Lignes sur Affichage


La propriété Lignes à afficher contrôle le nombre de lignes de données affichées
comme suit :
• Lors de la conception de la mise en page, cette propriété définit le nombre de lignes
qui seront affichées pour le tableau dans l’éditeur de mise en page.

• Lors de l’affichage de cette disposition dans la visionneuse de rapports en mode


interactif, cette propriété définit la taille de la zone de défilement du tableau.

La valeur par défaut est de 10 lignes de données. Vous pouvez sélectionner 10, 20, 30, 40 ou
Toutes les lignes de données à afficher. Pour définir une valeur personnalisée, ouvrez le volet
Propriétés et entrez la valeur personnalisée de la propriété Lignes à afficher.

Remarque : L’affichage de plus de lignes de données peut avoir un impact


sur les performances de l’éditeur de mise en page.

A propos des filtres


Un filtre affine les éléments affichés en fonction d’une condition. Il s’agit d’une
fonctionnalité puissante qui vous permet d’afficher uniquement les éléments souhaités dans
votre tableau sans avoir à effectuer de codage supplémentaire. Par exemple, vous pouvez
ajouter un filtre pour répondre à certaines des conditions du rapport de following :
• Afficher uniquement les 10 meilleurs salaires

• Afficher uniquement les 25 dernières ventes en magasin

• Afficher uniquement les employés du service informatique

• Afficher uniquement les ventes comprises entre 10 000 $ et 20 000 $ et dans la région Sud

Vous pouvez ajouter plusieurs filtres et gérer l’ordre dans lequel ils sont appliqués à votre

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-33
données de table.

Définition de filtres pour une table


Pour définir un filtre :
1. Cliquez sur le bouton Filtrer de la barre d’outils. La boîte de dialogue Filtre
s’affiche dans la figure suivante :

2. Entrez les champs pour définir un filtre :

Champ Description

Choisissez le champ de données par lequel filtrer les données de la


Champ de données table. Tout
les éléments sont disponibles, qu’ils soient ou non
inclus sous forme de colonnes de tableau.

Opérateur Choisissez parmi les opérateurs suivants :

est égal à

n’est pas égal à

est inférieur à

est supérieur à

est inférieur ou égal à

est supérieure ou égale à

est entre

est en haut

est en bas

16-34Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
FieldDescription (En anglais)

ValeurEntrez la ou les valeurs appropriées pour l’opérateur


sélectionné. La valeur peut être une entrée de texte ou un
élément des données.

Gestion des filtres


Après avoir ajouté des filtres, utilisez la fonctionnalité Gérer les filtres pour modifier,
supprimer ou modifier l’ordre d’application des filtres.
Pour gérer les filtres :
1. Cliquez sur le bouton de la barre d’outils Gérer les filtres pour lancer la boîte de dialogue
Gérer les filtres illustrée dans la figure suivante :

2. Placez votre curseur sur le filtre pour afficher la barre d’outils des actions. Utilisez les
boutons de la barre d’outils pour modifier le filtre, déplacer le filtre vers le haut ou
vers le bas dans l’ordre d’application, supprimer ou ajouter un autre filtre.

A propos des formats conditionnels


Un format conditionnel modifie la mise en forme d’un élément de votre tableau en fonction
d’une condition. Cette fonctionnalité est extrêmement utile pour mettre en évidence les plages
cibles de valeurs dans votre tableau. Par exemple, vous pouvez créer un ensemble de formats
conditionnels pour votre tableau qui affichent des lignes de différentes couleurs en fonction des
valeurs de seuil.

Application de formats conditionnels à un tableau


Pour appliquer un format conditionnel :
1. Cliquez sur le bouton Mettre en surbrillance. La boîte de dialogue Mise en surbrillance
s’affiche dans le champ

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-35
figure suivante :

2. Entrez les champs pour définir une condition et un format à appliquer :

Champ Description

Champ de Choisissez le champ de données auquel appliquer la condition. Tous les éléments sont
données disponibles indépendamment
de savoir s’ils sont inclus en tant que colonnes de table. Par exemple, vous voudrez peut-être
mettre en surbrillance en rouge tous les employés dont le salaire est supérieur à 10 000 $, mais
pas réellement
inclure l’élément salaire dans le tableau.

16-36Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Champ Description

Opérateur Choisissez parmi les opérateurs suivants :

est égal à

n’est pas égal à

est inférieur à

est supérieur à

est inférieur ou égal à

est supérieure ou égale à

est entre

Valeur Entrez la ou les valeurs appropriées pour l’opérateur sélectionné. La valeur peut être
soit une entrée de texte, soit un élément des données.
Important : Si vous entrez une valeur de date, utilisez l’une des dates ou heures XSL
suivantes
formats : AAAA-MM-JJ ou AAAA-MM-DDTHH:MM:SS.

Sélectionnez la police à appliquer à la ligne de données qui répond à la condition. Vous


Famille de polices pouvez également
appliquer l’accent gras, italique ou souligné.

Taille Sélectionnez la taille de la police à appliquer à la ligne de données qui répond à la condition.
Cliquez sur la zone de couleur pour ouvrir le sélecteur de couleurs. Choisissez l’une des
Couleur couleurs prédéfinies ou
cliquez sur Couleur personnalisée pour définir votre propre couleur à appliquer à la police.
Cliquez sur la zone de couleur pour ouvrir le sélecteur de couleurs. Choisissez l’une des
Couleur d’arrière-plan couleurs prédéfinies ou
cliquez sur Couleur personnalisée pour définir la couleur d’arrière-plan à appliquer à la ligne.

La figure suivante montre le tableau dans la mise en page avec la condition appliquée :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-37
Gestion des formats
Après avoir ajouté des formats conditionnels, utilisez la commande Gérer les formats pour
modifier ou supprimer un format.
Pour gérer les formats :
1. Cliquez sur le bouton Gérer les formats pour lancer la boîte de dialogue Gérer les
formats conditionnels illustrée dans la figure suivante :

2. Placez votre curseur sur un élément pour afficher la barre d’outils actions. Utilisez les boutons
de la barre d’outils pour modifier le format, déplacer le format vers le haut ou vers le bas dans
l’ordre d’application,

16-38Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
supprimer ou ajouter un autre format. Notez que l’ordre des conditions est important car
seule la première condition remplie sera appliquée.

Contrôle de l’affichage de la ligne totale


Par défaut, l’éditeur de mise en page insère une ligne totale dans votre tableau qui additionne
les colonnes numériques. Pour supprimer la ligne totale, cliquez sur le menu Afficher et
sélectionnez la table view sans la ligne totale mise en surbrillance. Les options du menu
Afficher sont illustrées dans la figure suivante :

La ligne totale peut être personnalisée à l’aide de l’onglet Cellule totale et du volet
Propriétés. Pour plus d’informations, voir À propos de l’onglet Nombre total de cellules,
pages 16 à 48.

A propos de l’onglet En-tête de colonne de tableau


L’onglet En-tête de colonne de tableau est illustré dans la figure suivante :

L’onglet En-tête de colonne de tableau vous permet d’effectuer les opérations suivantes :
• Modifier les propriétés de police de la colonne d’en-tête de tableau

• Modifier les propriétés de cellule de l’en-tête du tableau, y compris l’épaisseur de bordure,


le style, la couleur et la couleur de remplissage de l’arrière-plan

• Définir l’alignement vertical et horizontal de l’en-tête du tableau

• Appliquer le regroupement

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-39
A propos du regroupement
Le « regroupement » regroupe des éléments dans les données d’une même valeur. Dans un
tableau, l’application d’un regroupement peut faciliter la lecture de votre tableau.
L’option Regroupement vous permet de choisir entre « Groupe gauche » ou « Groupe ci-
dessus ». Group left conserve l’élément « group by » dans la table. La figure suivante montre
une table qui a été regroupée par le gestionnaire à l’aide du groupe gauche :

Group above insère un composant Section répétée et extrait l’élément de regroupement du


tableau. L’élément de regroupement est plutôt affiché au-dessus du tableau et un tableau distinct
est affiché pour chaque occurrence de l’élément de regroupement. Le figure suivant montre une
table qui a été regroupée par le gestionnaire à l’aide du groupe ci-dessus :

16-40Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Exemple : Groupe de gauche
Dans l’exemple suivant, les données de la table ont été regroupées par les éléments des deux
premières colonnes, Manager et Title. Notez qu’il n’y a qu’une seule entrée par nom de
gestionnaire et une entrée pour chaque titre de poste sous ce nom de manager. Cela organise les
lignes de données plus proprement dans la table.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-41
Application de sous-totaux
Pour améliorer encore votre tableau, vous pouvez ajouter une ligne de sous-total à afficher
pour chaque occurrence groupée de l’élément. La figure ci-dessous montre le même tableau
avec la case Sous-totaux cochée. Notez que pour chaque gestionnaire, une ligne de sous-total
a été insérée.

Exemple : Groupe ci-dessus


Dans l’exemple suivant, les données de la table ont été regroupées par le gestionnaire. Notez que
dans le volet De conception, le composant Table de données a été remplacé par un composant
Élément répétitif qui contient la table de données. L’élément Manager est inséré au-dessus du

16-42Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
table avec une étiquette.

L’étiquette est un élément de texte. Modifiez le texte en double-cliquant sur l’élément


pour le sélectionner, puis en cliquant un seul clic pour le modifier.
Lorsque vous exécutez le rapport, une table distincte est créée pour chaque occurrence de
l’élément de regroupement. En mode de sortie interactive, l’élément de regroupement affiché en
haut du tableau est affiché sous forme de filtre. Choisissez la valeur que vous souhaitez afficher
dans la liste comme illustré dans la figure suivante :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-43
À propos de l’onglet Colonne
L’onglet Colonne est activé lorsque vous sélectionnez une colonne spécifique dans une table.

Il vous permet d’effectuer les opérations suivantes :


• Modifier les propriétés de police de la colonne, y compris le style, la taille et la couleur

• Modifier les propriétés de cellule de la colonne, y compris l’épaisseur de bordure, le style,


la couleur et la couleur de remplissage de l’arrière-plan.

• Définir l’alignement vertical et horizontal du contenu de la colonne

• Appliquer la mise en forme aux données de colonne (les options dépendent du type de données)

• Appliquer le regroupement

• Appliquer un total courant (ou une autre formule) aux données

• Appliquer la priorité de tri et de tri

16-44Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Appliquer la mise en forme conditionnelle à la colonne

A propos des options de mise en forme des données pour les colonnes
Les options disponibles dans la région Mise en forme des données de l’onglet dépendent du
type de données de la colonne sélectionnée. L’onglet fournit des options courantes parmi
lesquelles choisir.

Application de la mise en forme aux colonnes de données numériques


Si la colonne contient des données numériques, les options de mise en forme suivantes sont
disponibles :
• Format - sélectionnez l’un des formats de nombres courants dans la liste. Le format est
appliqué immédiatement à la colonne du tableau. Les formats sont classés par nombre,
pourcentage et devise, comme illustré dans la figure suivante.

Pour appliquer un format qui n’est pas disponible dans cette liste, voir À propos des formats
personnalisés.

• Position décimale - cliquez sur Déplacer vers la gauche ou Déplacer vers la droite
pour augmenter ou diminuer les positions décimales affichées.

• Afficher/Masquer le séparateur de regroupement - cliquez sur ce bouton pour masquer


le séparateur de regroupement (par exemple, 1 234.00 s’affichera sous la forme 1234.00).
Pour afficher le séparateur de regroupement, cliquez à nouveau sur le bouton.

Application de la mise en forme aux colonnes de données de type Date


Si la colonne contient des dates, les options de mise en forme suivantes sont disponibles :
• Format - sélectionnez l’un des formats de date courants dans la liste. Le format est
appliqué immédiatement à la colonne du tableau. Les formats sont classés par date et
heure, comme illustré dans la figure suivante.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-45
À propos de l’option Formule
Les options disponibles dans la région Formule de l’onglet Colonne dépendent du type de
données de la colonne.
Pour plus d’informations sur l’application de formules, voir Définition de formules
prédéfinies ou personnalisées, page 16-71.

À propos de l’option de tri


Pour trier les données d’une colonne, sélectionnez-la, puis sous le groupe Trier,
cliquez sur Ordre croissant ou Ordre décroissant.
Pour trier par plusieurs colonnes, sélectionnez la colonne, l’ordre de tri, puis attribuez une
priorité à chaque colonne. La liste des priorités est un list de valeurs sous les commandes
d’ordre de tri.
Par exemple, dans le tableau des salaires des employés suivant, supposons que vous souhaitiez
d’abord trier par titre, puis trier par ordre décroissant par salaire annuel :

16-46Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pour appliquer l’ordre de tri à cette table :
1. Sélectionnez la colonne Titre.

2. Sous l’onglet Colonne, sous Trier, cliquez sur le bouton Ordre croissant.

3. Dans la liste Priorité , sélectionnez 1.

4. Sélectionnez ensuite la colonne Salaire annuel.

5. Sous l’onglet Colonne, sous Trier, cliquez sur le bouton Ordre décroissant.

6. Dans la liste Priorité , sélectionnez 2.

Le tableau trié est illustré dans la figure suivante :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-47
Suppression d’un ordre de tri
Pour supprimer un ordre de tri appliqué à une colonne :
1. Sélectionnez la colonne.

2. Dans la région Trier de l’onglet Colonne, cliquez sur le bouton approprié de l’ordre de tri
appliqué. Par exemple, pour désélectionner l’ordre croissant, cliquez sur le bouton Ordre
croissant pour annuler le tri.

À propos de l’onglet Nombre total de cellules


L’éditeur de mise en page insère automatiquement un row total général lorsque vous insérez
une table de données dans votre mise en page. Comme indiqué dans la section sur le
regroupement, vous pouvez également insérer des lignes de sous-total dans votre tableau en
fonction d’un élément de regroupement. Pour modifier les attributs des cellules d’une ligne de
total général ou de sous-total, sélectionnez la cellule et utilisez les options de l’onglet Cellule
totale illustrée dans la figure suivante :

L’onglet Cellule totale vous permet d’effectuer les opérations suivantes :


• Modifier les propriétés de police de la cellule totale

16-48Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Modifier les propriétés de cellule de la cellule totale, y compris l’épaisseur de bordure, le
style, la couleur et la couleur de remplissage de l’arrière-plan

• Définir l’alignement vertical et horizontal de l’en-tête du tableau

• Appliquer la mise en forme aux données de cellule

• Appliquer une formule à la cellule

• Appliquer une mise en forme conditionnelle à la cellule

Application de la mise en forme des données à une cellule totale


Voir À propos des options de mise en forme des données pour les colonnes, pages 16 à 45 sous
la section Onglet Colonne.

Appliquer une formule


Par défaut, la formule appliquée à une cellule totale dans une colonne numérique est une
somme des éléments de colonne. L’option Formule vous permet d’appliquer une formule
différente.
Toutes les options disponibles dans la région Formule de l’onglet colonne ne sont pas
applicables à une cellule totale.
Pour plus d’informations sur l’application de formules, voir Définition de formules
prédéfinies ou personnalisées, page 16-71.

À propos des graphiques


L’éditeur de mise en page prend en charge une variété de types et de styles de graphiques pour
présenter graphiquement les données dans votre mise en page. La figure suivante montre des
graphiques à barres et à secteurs verticaux côte à côte dans l’éditeur de mise en page.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-49
Une fois inséré, vous pouvez modifier les propriétés du graphique à l’aide des barres
d’outils dynamiques ou du volet Propriétés. Le volet Propriétés étend les options de
l’onglet Graphique et vous permet d’entrer des paramètres personnalisés très spécifiques
pour les éléments suivants :
• Effet Graphique

• Légende du graphique

• Zone de tracé du graphique

• Titre du graphique

• Étiquette Chart
Remarque : Les propriétés Étiquette de graphique Police de titre,
Alignement horizontal du titre, Texte du titre et Titre visible s’appliquent
uniquement aux types de graphiques à nuages de points et à bulles.

• Valeurs du graphique

Remarque : Certains effets de police tels que le soulignement, l’italique


et le gras peuvent ne pas s’afficher dans la sortie PDF.

Insertion d’un graphique


1. Dans le menu Insertion , sélectionnez et faites glisser le composant Graphique vers la mise en
page.
Par défaut, un graphique à barres verticales vide est inséré et l’onglet Dynamique
graphique s’affiche, comme illustré dans la figure suivante :

16-50Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
2. Pour modifier le type de graphique, cliquez sur la liste Type de graphique pour sélectionner un
autre type. Dans l'
la figure suivante, le type de graphique est remplacé par Pie.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-51
3. Sélectionnez et faites glisser les champs de données du volet Source de données vers les
zones appropriées du graphique. Le graphique sera immédiatement mis à jour avec les
données d’aperçu.

16-52Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
4. Pour redimensionner le graphique, faites glisser et déposez le gestionnaire de
redimensionnement dans le coin inférieur droit du graphique, comme illustré dans la
figure suivante :

À propos de l’onglet Graphique


L’onglet Graphique vous permet d’effectuer les opérations suivantes :
• sélectionner un autre type de graphique

• appliquer un style de graphique différent

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-53
• activer les effets 3D

• filtrer les données affichées dans le graphique

• gérer plusieurs filtres

• convertir le graphique en tableau croisé dynamique ou changer les valeurs de série et de cotes

Application et gestion des filtres


Voir À propos des filtres, pages 16-33 pour plus d’informations sur l’application et la gestion des
filtres.

Conversion d’un graphique en tableau croisé dynamique


Pour convertir un graphique en tableau croisé dynamique :
1. Sélectionnez le graphique.

2. Dans le groupe Convertir , cliquez sur Tableau croisé dynamique.

L’éditeur de mise en page convertit les éléments d’étiquette, de série et de valeur du graphique
en lignes, colonnes et éléments de données appropriés d’un tableau croisé dynamique.

Modification de la formule appliquée à un champ de mesure de graphique


Par défaut, le graphique affiche une somme des valeurs de la mesure du graphique. Vous
pouvez modifier la formule appliquée à un champ de mesure de graphique en sélectionnant une
option dans l’onglet Champ de mesure de graphique.
Modifier la formule à l’aide de l’onglet
1. Sélectionnez le champ de mesure dans le graphique. L’onglet Champ de mesure de
graphique s’affiche comme illustré dans la figure suivante :

16-54Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
2. Sélectionnez l’une des options suivantes disponibles dans la liste Formule :
• Compter

• Somme

• Total en cours d’exécution

Tri d’un champ de graphique


Pour trier un champ de votre graphique :
1. Sélectionnez le champ pour afficher l’onglet Champ de graphique .

2. Sous l’onglet Champ de graphique , sélectionnez Trier par ordre croissant ou Trier par
ordre décroissant.

3. Pour trier par plusieurs champs, appliquez une priorité à chaque champ de tri pour
appliquer le tri dans l’ordre souhaité.

À propos des graphiques de jauge


Un tableau de jauge est un moyen utile d’illustrer les progrès ou les objectifs. Par exemple, la
figure suivante montre un rapport avec trois jauges pour indiquer l’état des objectifs de vente
régionaux :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-55
Pour insérer un graphique de jauge dans votre mise en page :

Insertion d’un graphique de jauge


1. Dans le menu Insertion, sélectionnez et faites glisser le composant Jauge vers la
mise en page. Cela insère un graphique de jauge vide.

16-56Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
2. Sélectionnez et faites glisser les champs de données du volet Source de données vers les
zones Étiquette, Valeur et Série du graphique. Le graphique sera immédiatement mis à
jour avec les données d’aperçu.
Dans l’exemple de figure, faites glisser REGION vers la zone Étiquette et DOLLARS vers
la zone Valeur :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-57
Notez ce qui suit :
• Une jauge distincte est créée pour chaque occurrence de l’étiquette (c’est-à-dire
chaque RÉGION). Un ensemble de propriétés s’appliquera à chaque
occurrence. Pour appliquer des propriétés différentes à chaque jauge, voir
Création de jauges filtrées.

• Par défaut, le champ Valeur est une somme. Vous pouvez modifier l’expression
appliquée au champ de valeur. Voir Modification de la formule appliquée à un
champ de mesure de graphique, pages 16-54.

• Vous pouvez appliquer un tri aux autres champs du graphique de jauge.

Définition des propriétés d’un graphique de jauge


Utilisez le volet Propriétés pour définir des options détaillées pour votre graphique de jauge.

Application et gestion des filtres


Voir À propos des filtres, pages 16-33 pour plus d’informations sur l’application et la gestion des
filtres.

À propos des tableaux croisés dynamiques


Le tableau croisé dynamique fournit des vues de données multidimensionnelles sous forme
de tableau. Il prend en charge de multiples mesures, dimensions et sous-totaux à tous les
niveaux. La figure suivante montre un tableau croisé dynamique :

16-58Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Insertion d’un tableau croisé dynamique
Pour insérer un tableau croisé dynamique :
1. Dans l’onglet Insertion, sélectionnez et faites glisser le composant Tableau croisé
dynamique vers la mise en page. La figure suivante illustre la structure vide du tableau
croisé dynamique :

2. Faites glisser et déposez des champs de données du volet Source de données vers les
positions de ligne, de colonne et de données.
Faites glisser plusieurs champs vers le tableau croisé dynamique et placez-les
précisément pour structurer votre tableau croisé dynamique.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-59
3. Par défaut, le tableau croisé dynamique est inséré sans mise en forme des données
appliquée. Pour appliquer un format à vos données, cliquez sur la première colonne de
données pour activer la barre d’outils Données du tableau croisé dynamique. Dans le
groupe Mise en forme des données, sélectionnez le format approprié, comme illustré dans
la figure suivante :

4. Vous pouvez éventuellement redimensionner le tableau croisé dynamique en cliquant sur


le gestionnaire et en le faisant glisser dans le coin inférieur droit du tableau croisé
dynamique.

16-60Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Personnalisation d’un menu de tableau croisé dynamique
Après avoir inséré un tableau croisé dynamique, personnalisez l’apparence et la disposition à
l’aide des onglets dynamiques suivants :
• Onglet Tableau croisé dynamique

• Onglet En-tête de tableau croisé dynamique

• Onglet Données du tableau croisé dynamique

À propos de l’onglet Tableau croisé dynamique


La figure suivante montre l’onglet Tableau croisé dynamique :

Application de filtres
Voir À propos des filtres, pages 16-33 pour une description des fonctionnalités Filtrer et Gérer les filtres.

Personnalisation de l’affichage des totaux


L’onglet Tableau croisé dynamique vous permet de personnaliser rapidement l’affichage du total
général et

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-61
lignes de sous-total.
Par défaut, l’éditeur de mise en page insère le tableau croisé dynamique avec les affichages
total et sous-total comme indiqué dans l’onglet :
• Total général de la ligne - inséré au bas du tableau

• Sous-total de ligne - inséré en haut de chaque sous-groupe, sans en-tête de ligne

• Colonne Grand Total - insérée à l’extrême droite

• Sous-total de colonne - inséré à gauche de chaque sous-groupe de colonnes, sans en-tête

Modifiez le positionnement et l’affichage des totaux et des sous-totaux en cliquant sur le


groupe approprié dans l’onglet et en sélectionnant le modèle de mise en page souhaité dans le
menu.

Conversion d’un tableau croisé dynamique en graphique


La commande Convertir un tableau croisé dynamique en graphique convertit le tableau
croisé dynamique en graphique à barres verticales par défaut. Après la conversion,
personnalisez la table comme décrit dans À propos des graphiques, page 16-49.
La figure suivante montre le tableau croisé dynamique créé à l’étape précédente converti en
graphique à barres verticales :

16-62Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Commutation de lignes et de colonnes
Utilisez la commande Changer de ligne et de colonne pour afficher une vue différente des
mêmes données. La figure suivante montre le tableau croisé dynamique créé à l’étape
précédente avec les lignes et les colonnes commutées :

Personnalisation des en-têtes de tableau croisé dynamique


L’onglet En-tête de tableau croisé dynamique est illustré dans la figure suivante :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-63
Sélectionnez l’en-tête de colonne ou de ligne du tableau croisé dynamique et utilisez l’onglet En-
tête du tableau croisé dynamique pour effectuer les opérations suivantes :
• personnaliser les polices, les couleurs, l’alignement et d’autres fonctionnalités d’affichage de
l’en-tête

• appliquer un ordre de tri (pour plus d’informations, voir À propos de l’option de tri, pages 16-46)

• appliquer la mise en forme des données (si le type de données est nombre ou date)

Personnalisation des données du tableau croisé dynamique


L’onglet Données du tableau croisé dynamique est illustré dans la figure suivante :

Sélectionnez la zone de données du tableau croisé dynamique et utilisez l’onglet Données du


tableau croisé dynamique pour effectuer les opérations suivantes :
Remarque : Les commandes de l’onglet Données du tableau croisé
dynamique sont les mêmes que les commandes correspondantes de l’onglet
Colonne du tableau. Voir les références pour plus d’informations sur leur
utilisation.

• personnaliser les polices, les couleurs, l’alignement et d’autres fonctionnalités d’affichage des
données

• appliquer une mise en forme conditionnelle aux données pour plus d’information
(voir À propos de la mise en forme conditionnelle, pages 16-35)

• appliquer la mise en forme des données (voir À propos des options de mise en forme des
données pour les colonnes, pages 16 à 45)

• appliquer une formule (voir Application d’une formule, pages 16-49)

16-64Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
À propos des éléments de texte
Le composant d’élément de texte vous permet d’entrer du texte de forme libre dans la mise en
page.
Pour créer un composant d’élément de texte :
1. Faites glisser et déposez le composant d’élément de texte dans la mise en page.

2. Double-cliquez sur le texte pour passer en mode éditeur de texte. Sélectionnez des
parties du texte pour appliquer une mise en forme différente à différentes parties.

Affichage d’un champ de données côte à côte avec un élément de texte


Par défaut, l’élément de texte génère toujours un paragraphe complete. L’insertion d’un
champ de données à côté du champ de texte placera le champ de données sous le champ de
texte, comme illustré dans la figure suivante :

Pour afficher le champ de données en ligne avec l’élément de texte, définissez la propriété
Display sur Inline dans le volet Propriétés :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-65
Ce paramètre permet de positionner les éléments de texte et les champs de données sur une
seule ligne, comme illustré dans la figure suivante :

16-66Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
À propos de la barre d’outils texte
L’onglet Texte est illustré dans la figure suivante :

L’onglet Texte vous permet d’effectuer les opérations suivantes :


• Définir les propriétés de la police

• Définir l’alignement du texte dans la cellule de la grille

• Insérer des éléments de texte prédéfinis : numéro de page, date et heure

• Insérer un lien hypertexte

Modification des propriétés de police


Utilisez le groupe de commandes Police pour définir les éléments suivants :
• sélectionner un style de police

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-67
• sélectionner une taille de police

• mettre l’accent sur (gras, italique ou souligné)

• insérer une bordure autour de l’élément de texte

• appliquer une couleur d’arrière-plan

• appliquer une couleur de police

Insertion de numéros de page


Faites glisser et déposez le composant de numéro de page dans la zone de conception.
Pour créer le numéro de page suivant de la construction N

effectuez les opérations suivantes :


1. À partir de l’onglet Insertion , faites glisser et déposez un élément de texte dans la zone
de conception où vous souhaitez afficher les numéros de page.

2. Double-cliquez sur le texte inséré pour sélectionner l’élément de texte à modifier. Tapez
« Page ».

3. Dans l’onglet Dynamique de texte, faites glisser et déposez le composant Numéro de page.

4. Entrez un espace et tapez « de ».

5. À partir de l’onglet Dynamique de texte, faites glisser et déposez le composant Total de la


page.

Insertion de la date et de l’heure


Pour insérer la date et l’heure dans votre rapport :
1. À partir de l’onglet Insertion , faites glisser et déposez un élément de texte dans la zone
de conception où vous souhaitez afficher la date et l’heure.

2. Double-cliquez sur le texte inséré pour sélectionner l’élément de texte à modifier.

3. Cliquez sur l’icône Date pour insérer l’icône de date dans l’élément de texte. Cliquez
sur l’icône Heure pour insérer l’icône Heure dans l’item de texte.
Remarque : Pour afficher les éléments côte à côte, assurez-vous de définir l’élément de
texte

16-68Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
propriété à « Inline ».

Ceci est illustré dans la figure suivante :

Lorsque ce rapport est affiché, la date et l’heure sont affichées en fonction du fuseau horaire du
serveur s’il est affiché en ligne, ou pour les rapports planifiés, du fuseau horaire sélectionné
pour le travail de planification.

Insertion d’un lien hypertexte


Pour insérer un lien hypertexte dans votre rapport :
1. À partir de l’onglet Insertion , faites glisser et déposez un élément de texte dans la zone
de conception où vous souhaitez afficher la date et l’heure.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-69
2. Double-cliquez sur le texte inséré pour sélectionner l’élément de texte à modifier. Entrez le
texte que vous souhaitez convertir en lien.

3. Sélectionnez le texte, puis cliquez sur le bouton Lien .

4. Dans la boîte de dialogue, entrez l’URL.

À propos des images


Le composant image vous permet d’inclure un graphique dans la mise en page. BI
Publisher prend en charge les méthodes suivantes pour inclure une image :
• Image statique : téléchargez une image statique enregistrée dans le fichier de rapport. Un
téléchargé
Le fichier image doit être dans l’un des formats de fichier graphic suivants : GIF, JPEG,
PNG ou BMP. La taille du fichier image ne peut pas dépasser 500 Ko.

• URL statique : spécifiez un lien statique vers une URL où une image est stockée.

• URL dynamique : incluez l’URL de l’image dans un élément de vos données. La valeur de
l’élément sera évaluée au moment de l’exécution permettant l’insertion dynamique
d’images.

Pour insérer une image :


1. Faites glisser et déposez le composant image dans la mise en page.

2. Dans la boîte de dialogue Insérer une image , spécifiez l’une des sources suivantes pour l’image
:
• Emplacement : cliquez sur Parcourir pour spécifier le nom du file et le répertoire de
l’image sur un lecteur local ou mappé pour télécharger l’image.

• URL : entrez l’URL où l’image est stockée.

• Champ :
URL de l’image : sélectionnez le champ de vos données qui contient une URL vers une
image.
Texte de remplacement : si vos données incluent un champ qui contient un texte de
remplacement pour l’image, sélectionnez ce champ pour afficher un texte de
remplacement lorsque le rapport est affiché au format HTML.

La figure suivante illustre la boîte de dialogue Insérer une image configurée pour
récupérer dynamiquement une URL d’image à partir de l’élément de données « Image ».
La valeur de l’élément « Name » sera utilisée comme texte alternatif.

16-70Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
3. Vous pouvez éventuellement redimensionner l’image de l’une des manières suivantes :
• Faites glisser le coin inférieur droit de l’image. Pour conserver le rapport L/H lors
du redimensionnement d’une image, maintenez la touche Maj enfoncée avant de
commencer à faire glisser le coin.

• Modifiez la largeur et la hauteur dans le volet Propriétés.

Définition de formules prédéfinies ou personnalisées

Le groupe de commandes Formule est disponible à partir des onglets suivants :


• Onglet Colonne

• Onglet Cellule totale

• Onglet Champ de mesure de graphique

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-71
• Onglet Données du tableau croisé dynamique

Notez que toutes les options ne sont pas applicables à chaque type de composant.

A propos des formules prédéfinies


Le menu fournit les formules prédéfinies suivantes :

Formule Description

Pas de formule Supprime toute formule mathématique d’une colonne numérique.

Texte vide Supprime toutes les données et insère du texte vide.

Compter Affiche le nombre d’éléments du groupe actif.

Nombre distinct Renvoie le nombre de valeurs distinctes d’un élément.

Sommation Additionne les valeurs des éléments du groupe actif.

Moyenne Affiche la moyenne des valeurs du groupe actif.

Maximum Affiche la valeur la plus élevée de toutes les occurrences du groupe actif.

Minimum Affiche la valeur la plus basse de toutes les occurrences du groupe actif.

Pour les données non numériques, seules les options de formule suivantes sont prises en charge :
• Texte vide

• Compter

• Nombre distinct

Application d’une formule personnalisée


Cliquez sur Définir une formule personnalisée pour définir votre propre formule pour un
composant.

Application d’une formule personnalisée : exemples


Exemple 1 : Valeur constante
Pour renvoyer une valeur constante pour le composant sélectionné, sélectionnez l’option Valeur
constante entrez la valeur :

16-72Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Exemple 2 : Sommation
Dans cet exemple, créez une somme de fonction de revenu :
1. Sélectionnez Fonction , puis Sommation dans la liste des fonctions.

2. Pour additionner le champ Revenus, cliquez sur l’icône Modifier le paramètre. Une autre
boîte de dialogue Formule personnalisée s’ouvre.

3. Sélectionnez Revenus dans la liste Champ et cliquez sur OK.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-73
La boîte de dialogue Formule personnalisée affiche la formule.

Exemple 3 : Soustraction
Le tableau suivant présente les données relatives aux recettes et aux coûts pour chaque bureau :

16-74Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
À l’aide d’une formule personnalisée, vous pouvez ajouter une colonne à ce tableau pour
calculer le bénéfice (revenus - coût).
1. Ajoutez une autre colonne de données numériques à la table. Par exemple, faites glisser
une autre instance de Revenue vers la table :

2. Une fois les données de colonne sélectionnées, cliquez sur Définir une formule
personnalisée.

3. Dans la boîte de dialogue Formule personnalisée , sélectionnez Fonction, puis


Soustraction dans la liste.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-75
4. Étant donné que les données source de la colonne sont Revenue, par défaut, minuend et
Subtrahend affichent tous deux l’élément Revenue.

5. Cliquez sur Modifier le paramètre pour le sous-trait.

6. Dans la boîte de dialogue Formule personnalisée secondaire qui se lance, sélectionnez


Champ, puis Coût dans la liste des champs. Cliquez sur OK.

16-76Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
7. La boîte de dialogue principale Formule personnalisée affiche les minuend et
subtrahend corrects. Cliquez sur OK.

8. La colonne du tableau affiche la formule personnalisée. Modifiez le titre de l’en-tête de


colonne du tableau, et maintenant votre tableau a une colonne Profit :

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-77
Enregistrement d’une mise en page
Pour enregistrer votre mise en page dans la définition de rapport :
1. Cliquez sur le bouton enregistrer ou Enregistrer sous de la barre d’outils

2. La boîte de dialogue Enregistrer la mise en page affiche la liste des mises en page définies
pour la définition de rapport, comme illustré dans la figure suivante :

16-78Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
3. Entrez un nom unique pour cette mise en page.

4. Sélectionnez un paramètre régional.


Important : Une fois que vous avez enregistré la mise en page, les
paramètres régionaux ne peuvent pas être mis à jour.

Création d’un modèle de mise en page BI


Publis
her16-79
17
Création d’un modèle RTF

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Qu’est-ce qu’un modèle RTF ?
• À propos de la compatibilité XSLT
• Commencer
• Concepts clés
• Conception de la mise en page du modèle
• Ajout de balisage à la disposition du modèle
• Définition des en-têtes et des pieds de page
• Insertion d’images et de graphiques
• Prise en charge des dessins, des formes et des images clipart
• Fonctionnalités de mise en forme native prises en charge
• Fonctionnalités du modèle
• Mise en forme conditionnelle
• Calculs au niveau de la page
• Traitement des données
• Utilisation de variables
• Définition des paramètres
• Définition des propriétés
• Mises en page de rapport avancées
• Mise en forme du nombre, de la date et de la devise
• Prise en charge du calendrier et du fuseau horaire
• Utilisation de polices externes
• Contrôle du placement des instructions à l’aide des commandes contextuelles

Création d’un modèle RTF17-1


• Utilisation des commandes XPath
• Prise en charge des espaces de noms
• Utilisation d’éléments XSL
• Utilisation des éléments FO
• Recommandations pour la conception de modèles RTF pour la sortie Microsoft PowerPoint

Qu’est-ce qu’un modèle RTF ?


RtF (Rich Text Format) est une option spécifique utilisée par les applications de traitement
de texte courantes, telles que Microsoft Word. Lorsque vous enregistrez un document, RTF
est une option de type de fichier.
BI Publisher convertit les documents enregistrés en tant que type de fichier RTF en XSL-FO,
ce qui vous permet de créer des mises en page de rapport à l’aide de nombreuses
fonctionnalités d’application de traitement de texte standard.
Au moment de la conception, vous ajoutez des champs de données et d’autres balises à votre
modèle à l’aide des balises simplifiées de BI Publisher pour les expressions XSL. Ces balises
associent les données de rapport XML à la mise en page de votre rapport et incluent des
instructions de traitement supplémentaires.
Outre les fonctionnalités de mise en forme de votre application de traitement de texte, BI
Publisher prend en charge d’autres fonctionnalités de création de rapports avancées telles
que la mise en forme conditionnelle, les colonnes de données dynamiques, les totaux en
cours d’exécution et les graphiques.
Si vous êtes familiar avec XSL et préférez ne pas utiliser les balises simplifiées, BI Publisher
prend également en charge l’utilisation d’éléments XSL purs dans le modèle. Si vous
souhaitez inclure du code directement dans votre modèle, vous pouvez inclure n’importe quel
élément XSL, de nombreux éléments FO et un ensemble d’extensions SQL étendues par BI
Publisher.

À propos de la compatibilité XSLT


BI Publisher utilise le processeur XSLT fourni par Oracle XDK 11.1.0.7.0, qui prend en charge
la recommandation W3C XSL Transformations 1.0. Le processeur implémente également les
brouillons de travail actuels des normes XSLT et XPath 2.0. Pour plus d’informations sur
Oracle XDK, consultez Oracle XML Developer’s Kit Programmer’s Guide 11g.
Par défaut, BI Publisher est compatible avec XSLT 1.0. Si vous souhaitez utiliser les
fonctionnalités XSLT et XPath 2.0 dans votre modèle, vous devez désactiver la compatibilité
XSLT 1.0. Cette configuration est effectuée au niveau du modèle. Le paramètre au niveau du
modèle remplacera le paramètre du serveur.
La compatibilité XSLT est définie en tant qu’option de génération dans le Générateur de
modèles pour Word. Voir Définition des options de génération, pages 18-39.

Commencer
Ce chapitre décrit les concepts d’association de données XML à des éléments de mise en page dans
votre

17-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
modèle de rapport. Il décrit les techniques de base ainsi que les techniques avancées
pour créer des formats de rapport complexes et hautement conditionnalisés.
Si vous utilisez Microsoft Word pour créer des modèles RTF, voir Création de modèles RTF à
l’aide de Ce Générateur de modèles pour Word, page 18-1 avant de lire ce chapitre. Les
démonstrations et les exemples fournis dans l’installation de Template Builder vous aideront à
vous orienter vers le processus de création de modèles dans Microsoft Word.
Il n’est pas nécessaire d’avoir Microsoft Word ou le Générateur de modèles pour créer des
modèles RTF et ce chapitre décrit comment ajouter des composants sans utiliser le Générateur
de modèles. De nombreux composants de mise en page décrits dans ce chapitre peuvent
également être insérés dans votre modèle à l’aide du Générateur de modèles.

Conditions préalables
Avant de concevoir votre modèle, vous devez :
• Connaître les règles métier qui s’appliquent aux données de votre rapport source.

• Générez des exemples de données à partir du modèle de données de rapport.


Pour plus d’informations sur la génération d’exemples de données à partir d’un modèle
de données, consultez Test de modèles de données et Génération d’exemples de
données, pages 9-32.

• Familiarisez-vous avec les fonctionnalités de formatage de votre application de traitement de


texte.

A propos de l’ajout de code BI Publisher


Lorsque vous créez un modèle RTF, vous ajoutez du code BI Publisher à votre document RTF .
BI Publisher prend en charge les méthodes suivantes pour ajouter du code :
• Méthode RTF de base
Utilisez n’importe quelle application de traitement de texte qui prend en charge RTF
version 1.6 writer (ou ultérieure) pour concevoir un modèle à l’aide de la syntaxe
simplifiée de BI Publisher.

• Form Field, méthode


La fonctionnalité de champ de formulaire de Using Microsoft Word vous permet de placer
la syntaxe dans des champs de formulaire masqués, plutôt que directement dans la
conception de votre modèle.
Remarque : Si vous utilisez du code XSL ou XSL:FO plutôt que la
syntaxe simplifiée , vous devez utiliser la méthode form field.

Ce chapitre explique comment créer des modèles RTF à l’aide des méthodes précédentes.
Si vous utilisez Microsoft Word, vous pouvez utiliser le Générateur de modèles BI
Publisher pour Word pour faciliter l’insertion de champs de code BI Publisher. Pour plus
d’informations, voir Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour
Word, page 18-1.

Création d’un modèle


RTF
17-3
Concepts clés
Lorsque vous concevez votre mise en page de modèle, vous devez comprendre comment
associer le fichier d’entrée XML à la mise en page. Ce chapitre présente un exemple de mise en
page de modèle avec son fichier XML d’entrée pour illustrer comment faire les associations
appropriées pour ajouter les balises de balisage au modèle.

Association des données XML à la disposition du modèle


Voici un exemple de mise en page pour un registre de factures payables:

Exemple de disposition de modèle

Notez ce qui suit :


• Les champs de données définis sur le modèle
Par exemple : fournisseur, numéro de facture et date de facture

• Éléments du modèle qui se répéteront lors de l’exécution du rapport.


Par exemple, tous les champs du modèle se répètent pour chaque fournisseur signalé. Chaque
ligne de la table de facturation se répète pour chaque facture signalée.

Fichier d’entrée XML


Voici le fichier XML qui sera utilisé comme entrée dans le modèle de rapport Registre des
factures des fournisseurs :

17-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Remarque : Pour simplifier l’exemple, la sortie XML illustrée ci-dessous a
été modifiée par rapport à la sortie réelle du rapport Payables.

<?xml version="1.0 » encoding="WINDOWS-1252 » ?>


- <VENDOR_REPORT>
- <LIST_G_VENDOR_NAME>
- <G_VENDOR_NAME>
<VENDOR_NAME>ENTREPRISE A</VENDOR_NAME>
- <LIST_G_INVOICE_NUM>
- <G_INVOICE_NUM>
<SET_OF_BOOKS_ID>124</SET_OF_BOOKS_ID>
<GL_DATE>10-NOV-03</GL_DATE>
<INV_TYPE>Standard</INV_TYPE>
<INVOICE_NUM>031110</INVOICE_NUM>
<INVOICE_DATE>10-NOV-03</INVOICE_DATE>
<INVOICE_CURRENCY_CODE>EUR</INVOICE_CURRENCY_CODE>
<ENT_AMT>122</ENT_AMT>
<ACCTD_AMT>122</ACCTD_AMT>
<VAT_CODE>VAT22%</VAT_CODE>
</G_INVOICE_NUM>
</LIST_G_INVOICE_NUM>
<ENT_SUM_VENDOR>1000.00</ENT_SUM_VENDOR>
<ACCTD_SUM_VENDOR>1000.00</ACCTD_SUM_VENDOR>
</G_VENDOR_NAME>
</LIST_G_VENDOR_NAME>
<ACCTD_SUM_REP>108763.68</ACCTD_SUM_REP>
<ENT_SUM_REP>122039</ENT_SUM_REP>
</VENDOR_REPORT>
Les fichiers XML sont composés d’éléments. Chaque jeu de balises est un élément. Par
exemple , <INVOICE_DATE></INVOICE_DATE> est l’élément de date de facturation.
« INVOICE_DATE » est le nom de la balise. Les données entre les balises sont la valeur de
l’élément. Par exemple, la valeur de INVOICE_DATE est « 10-NOV-03 ».
Les éléments du fichier XML ont une structure hiérarchique. Une autre façon de dire cela est
que les éléments ont des relations parent-enfant. Dans l’exemple XML, certains éléments sont
contenus dans les balises d’un autre élément. L’élément contenant est le parent et les éléments
inclus sont ses enfants.
Chaque fichier XML n’a qu’un seul élément racine qui contient tous les autres éléments. Dans ce
par exemple, VENDOR_REPORT est l’élément racine. Les éléments
LIST_G_VENDOR_NAME, ACCTD_SUM_REP et ENT_SUM_REP sont contenus
entre les étiquettes VENDOR_REPORT et sont des enfants de VENDOR_REPORT. Chaque
l’élément enfant can a ses propres éléments enfants.

Identification des espaces réservés et des groupes


Le contenu et la mise en page de votre modèle doivent correspondre au contenu et à la
hiérarchie du fichier XML d’entrée. Chaque champ de données de votre modèle doit être
mappé à un élément du fichier XML. Chaque groupe d’éléments répétitifs de votre modèle
doit correspondre à une relation parent-enfant dans le fichier XML.
Pour mapper les champs de données, vous définissez des espaces réservés. Pour désigner les
éléments répétitifs, vous définissez des groupes.

Création d’un modèle


RTF
17-5
Remarque : BI Publisher prend en charge le regroupement des données si
votre rapport nécessite un regroupement qui ne suit pas la hiérarchie de vos
données XML entrantes. Pour plus d’informations sur l’utilisation de cette
fonctionnalité, consultez Regroupement des données XML, pages 17 à 85.

Espaces réservés
Chaque champ de données de votre modèle de rapport doit correspondre à un élément du fichier
XML. Lorsque vous annotez votre conception de modèle, vous définissez des espaces réservés
pour les éléments XML. L’espace réservé mappe le champ de rapport de modèle à l’élément
XML. Au moment de l’exécution, l’espace réservé est remplacé par la valeur de l’élément du
même nom dans le fichier de données XML.
Par exemple, le champ « Fournisseur » de l’exemple de mise en page du rapport correspond à
l’élément XML VENDOR_NAME. Lorsque vous annotez votre modèle, vous créez un espace
réservé pour VENDOR_NAME dans la position du champ Fournisseur. Au moment de
l’exécution, cet espace réservé sera remplacé par la valeur de l’élément du fichier XML (la
valeur dans l’exemple de fichier est COMPANY A).

Identifier les groupes d’elements répétitifs


L’exemple de rapport répertorie les fournisseurs et leurs factures. Il y a des champs qui se
répètent pour chaque fournisseur. L’un de ces champs est les factures du fournisseur. Il y a des
champs qui se répètent pour chaque facture. Le rapport se compose donc de deux groupes de
champs répétitifs :
• Champs qui se répètent pour chaque fournisseur

• Champs qui se répètent pour chaque facture

Le groupe de factures est imbriqué dans le groupe de fournisseurs. Cela peut être
représenté comme suit:
Fournisseurs
• Nom du fournisseur

• Factures
• Numéro de facture

• Date de facturation

• Date GL

• Monnaie

• Montant saisi

17-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Montant comptabilisé

• Montant total saisi

• Montant total comptabilisé

Comparez cette structure à la hiérarchie du fichier d’entrée XML. Les champs qui appartiennent au
groupe Fournisseurs illustré ci-dessus sont des enfants de l’élément G_VENDOR_NAME. Les
champs qui appartiennent au groupe Factures sont des enfants de l’élément G_INVOICE_NUM.
En définissant un groupe, vous informez BI Publisher que pour chaque occurrence d’un
élément (parent), vous souhaitez que les champs inclus (enfants) s’affichent. Au moment de
l’exécution, BI Publisher parcourt en boucle les occurrences de l’élément et affiche les
champs de chaque time.

Conception de la mise en page du modèle


Utilisez les fonctionnalités de mise en forme de votre application de traitement de texte pour
créer la conception.
Par exemple:
• Sélectionnez la taille, la police et l’alignement du texte

• Insérer des puces et une numérotation

• Dessiner des bordures autour des paragraphes

• Inclure un filigrane

• Inclure des images (jpg, gif ou png)

• Utiliser les fonctions de mise en forme automatique des tableaux

• Insérer un en-tête et un pied de page


Pour plus d’informations sur l’insertion d’en-têtes et de pieds de page, voir Définition des
en-têtes et des pieds de page, pages 17-16.

Pour obtenir une liste détaillée des fonctionnalités de mise en forme prises en charge dans
Microsoft Word, voir Fonctionnalités de mise en forme native prises en charge, page 17-41.
D’autres fonctionnalités de mise en forme et de création de rapports sont décrites à la fin de
cette section.

Ajout de balisage à la disposition du modèle


BI Publisher convertit la mise en forme que vous appliquez dans votre application de
traitement de texte en XSL-FO. Vous ajoutez du balisage pour créer le mappage entre votre
mise en page et le fichier XML et pour inclure des entités qui ne peuvent pas être
représentées directement dans votre format.

Création d’un modèle


RTF
17-7
Les éléments de balisage les plus élémentaires sont les espaces réservés, pour définir les
éléments de données XML ; et les groupes, pour définir les éléments répétitifs.
BI Publisher fournit des balises pour ajouter du balisage à votre modèle.
Remarque : Pour les équivalents XSL des balises BI Publisher,
consultez Syntaxe équivalente XSL , page B-18.

Création d’espaces réservés


L’espace réservé mappe le champ de modèle au champ de données de l’élément XML. Au
moment de l’exécution, l’espace réservé est remplacé par la valeur de l’élément du même nom
dans le fichier de données XML.
Entrez des espaces réservés dans votre document à l’aide de la syntaxe suivante :
<? Nom de la balise d’élément XML ?>

Remarque : L’espace réservé doit correspondre exactement au nom de la balise d’élément


XML.
Il est sensible à la casse.

Il existe deux façons d’insérer des espaces réservés dans votre document :
1. Méthode RTF de base : insérez la syntaxe de l’espace réservé directement dans
votre modèle de document.

2. Méthode Form Field : (nécessite Microsoft Word) Insérez la syntaxe de l’espace


réservé dans la fenêtre Options de champ de formulaire texte de Microsoft Word. Cette
méthode vous permet de maintenir l’apparence de votre modèle.
Voir également Insertion d’un champ, pages 18-9 du chapitre « Création d’un modèle
RTF à l’aide du Générateur de modèles pour Word ».

Méthode RTF de base


Entrez la syntaxe d’espace réservé dans votre document où vous souhaitez que la valeur de
données XML apparaisse.
Entrez le nom de la balise XML de l’élément à l’aide de la syntaxe suivante :
<? Nom de la balise d’élément XML ?>
Dans l’exemple, le champ de modèle « Fournisseur » correspond à l’élément XML
VENDOR_NAME. Dans votre document, entrez :
<? VENDOR_NAME?>
L’entrée du modèle est illustrée dans la figure suivante :

17-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Form Field, méthode
Utilisez la fenêtre Options de champ de formulaire de texte de Microsoft Word pour insérer
les balises d’espace réservé :
1. Activez la barre d’outils Formulaires dans votre application Microsoft Word.

2. Placez votre curseur à l’endroit où vous souhaitez créer un espace réservé.

3. Sélectionnez l’icône de la barre d’outils Champ de formulaire de texte . Cette action


insère une zone de champ de formulaire dans votre document.

4. Double-cliquez sur la zone de champ de formulaire pour appeler la boîte de dialogue


Options de champ de formulaire de texte.

5. (Facultatif) Entrez une description du champ dans le champ de texte Par défaut . L’entrée
dans ce champ remplira la position de l’espace réservé sur le modèle.
Pour l’exemple, entrez « Fournisseur 1 ».

6. Sélectionnez le bouton Ajouter un texte d’aide .

7. Dans le champ de saisie de texte d’aide, entrez le nom de la balise de l’élément XML à
l’aide de la syntaxe suivante :
<? Nom de la balise element XML ?>
Vous pouvez entrer plusieurs noms de balises d’élément dans le champ de saisie de texte.
Dans l’exemple, le champ de rapport « Fournisseur » est mappé à
l’élément XML VENDOR_NAME. Dans le champ Texte d’aide du
champ de formulaire, entrez :
<? VENDOR_NAME?>
La figure suivante montre la boîte de dialogue Options de champ de formulaire de texte et
la boîte de dialogue Texte d’aide de champ de formulaire avec les entrées appropriées
pour le champ Fournisseur.
Conseil : Pour les chaînes plus longues de syntaxe BI Publisher, utilisez
l’onglet Clé d’aide (F1) au lieu de l’onglet Barre d’état. Le champ de
saisie de texte de l’onglet Touche d’aide (F1) autorise plus de caractères.
Création d’un modèle
RTF
17-9
8. Sélectionnez OK pour postuler.
Le texte par défaut s’affiche dans le champ de formulaire de votre modèle.
La figure ci-dessous montre le champ Fournisseur du modèle avec le balisage de champ
de formulaire ajouté .

Complétez l’exemple
Le tableau suivant présente les entrées effectuées pour compléter l’exemple. Le modèle

17-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Nom du champ est le nom complet du modèle. L’entrée de texte par défaut est la valeur entrée
dans le champ Texte par défaut de la boîte de dialogue Options de champ de formulaire de texte
(méthode de champ de formulaire uniquement). L’entrée d’espace réservé est le nom de la
balise d’élément XML entré dans le champ Texte d’aide du champ de formulaire (méthode du
champ de formulaire) ou directement sur le modèle.

Saisie de texte par défaut Entrée d’espace réservé (balise


Nom du champ du modèle (formulaire XML
Méthode Field) Nom)

Numéro de facture 1234566 <? INVOICE_NUM?>

Date de facturation 1-janv.-2004 <? INVOICE_DATE?>

GL Date 1-janv.-2004 <?GL_DATE?>

Curr USD <? INVOICE_CURRENCY_CO


DE?>

Entré Amt 1000.00 <? ENT_AMT?>

Compte Amt 1000.00 <? ACCTD_AMT?>

(Total de l’Amt inscrit 1000.00 <? ENT_SUM_VENDOR?>


colonne)

(Total de l’Amt comptabilisé 1000.00 <? ACCTD_SUM_VENDOR?>


colonne)

La figure suivante montre le registre des factures payables avec le balisage d’espace réservé du
champ de formulaire rempli.
Voir le Registre des factures payables avec la majoration RTF de base terminée, pages 17-13
pour la majoration RTF de base terminée.

Création d’un modèle


RTF1
7-11
Définition des groupes
Remarque : Voir également Insertion d’un groupe répétitif , pages 18 à 25
du chapitre « Création d’un modèle RTF à l’aide du Générateur de modèles
pour Word ».

En définissant un groupe, vous informez BI Publisher que pour chaque occurrence d’un
élément, vous souhaitez que les champs inclus soient affichés. Au moment de l’exécution,
BI Publisher parcourt en boucle les occurrences de l’élément et affiche les champs à chaque
fois.
Dans l’exemple, pour chaque occurrence de G_VENDOR_NAME dans le fichier XML, nous
voulons
le modèle pour afficher ses éléments enfants VENDOR_NAME (Nom du fournisseur),
G_INVOICE_NUM (le groupe Factures), Total du montant saisi et Total comptabilisé
Quantité. Et, pour chaque occurrence de G_INVOICE_NUM (groupe Factures), nous voulons le
modèle pour afficher le numéro d’appel, la date de facturation, la date GL, la devise, saisi
Montant et Montant comptabilisé.
Pour désigner un groupe de champs répétitifs, insérez les balises de regroupement autour des
éléments à répéter.
Insérez la balise suivante avant le premier élément :
<?for-each:XML group element tag name?>
Insérez la balise suivante après l’élément final :
<?end for each?>

Scénarios de regroupement
Notez que l’élément group doit être parent des éléments répétitifs du fichier d’entrée XML.

17-12Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Si vous insérez les balises de regroupement autour d’éléments de texte ou de mise en
forme, le texte et les éléments de mise en forme entre les balises de groupe seront
répétés.

• Si vous insérez les balises autour d’une table, la table sera répétée.

• Si vous insérez les balises autour du texte dans une cellule de tableau, le texte dans la
cellule de tableau entre les balises sera répété.

• Si vous insérez les balises autour de deux cellules de tableau différentes, mais dans le
même tableau row, la ligne unique sera répétée.

• Si vous insérez les balises autour de deux lignes de tableau différentes, les lignes entre les
balises seront répétées (cela n’inclut pas la ligne qui contient la balise « end group »).

Méthode RTF de base


Entrez les balises dans votre document pour définir le début et la fin du groupe
d’éléments répétitifs.
Pour créer le groupe Fournisseurs dans l’exemple, insérez la
balise <?for-each:G_VENDOR_NAME?>
avant le champ Fournisseur que vous avez créé précédemment.
Insérez <?end for-each? > dans le document après la ligne de résumé.
La figure suivante montre le registre des factures payables avec le regroupement RTF de base
et le balisage d’espace réservé :

Création d’un modèle


RTF1
7-13
Form Field, méthode
1. Insérez un champ de formulaire pour désigner le début du
groupe. Dans le champ de texte d’aide, entrez :
<?for-each:group element tag name? >
Pour créer le groupe Fournisseurs dans l’exemple, insérez un champ de
formulaire avant le champ Fournisseurs que vous avez créé précédemment. Dans
le champ de texte d’aide, entrez :
<?pour-chaque:G_VENDOR_NAME?>
Pour l’exemple, entrez le texte par défaut « Groupe : Fournisseurs » pour désigner le
début du groupe sur le modèle. Le texte par défaut n’est pas obligatoire, mais peut
rendre la template plus facile à lire.

2. Insérez un champ de formulaire après l’élément d’espace réservé final dans le groupe.
Dans le champ de texte d’aide, entrez <?end for-each?>.
Pour l’exemple, entrez le texte par défaut « Fin : Fournisseurs » après la ligne de résumé
pour désigner la fin du groupe sur le modèle.
La figure suivante montre le modèle après l’ajout du balisage pour désigner le
groupe Fournisseurs.

17-14Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Complétez l’exemple
Le deuxième groupe de l’exemple est le groupe de factures. Les éléments répétitifs de ce groupe
sont affichés dans le tableau. Pour chaque facture, la ligne du tableau doit se répéter. Créez un
groupe dans la table pour contenir ces éléments.
Remarque : Pour chaque facture, seule la ligne du tableau doit se répéter,
pas la table entière . Placer les balises de regroupement au début et à la fin
de la ligne du tableau ne répétera que la ligne. Si vous placez les balises
autour de la table, pour chaque nouvelle facture, le tableau entier avec des
en-têtes sera répété.

Pour baliser l’exemple, insérez la balise de regroupement <?for-each:G_INVOICE_NUM?>


dans la cellule du tableau avant l’espace réservé Numéro de facture. Entrez le texte par défaut
« Groupe:Factures » pour désigner le début du groupe.
Insérez la balise end dans la cellule de tableau final de la ligne après l’espace réservé Accounted
Amt. Entrez le texte par défaut « Fin:Factures » pour désigner la fin du groupe.
La figure suivante illustre l’exemple terminé à l’aide de la méthode form field :

Création d’un modèle


RTF1
7-15
Définition des en-têtes et des pieds de page

Support natif
BI Publisher prend en charge l’utilisation de la fonctionnalité d’en-tête et de pied de page RTF
native. Pour créer un en-tête ou un pied de page, utilisez les outils d’insertion d’en-tête et de
pied de page de votre application de traitement de texte. Vous pouvez également utiliser les
balises start:body et end body pour distinguer les régions d’en-tête et de pied de page du corps
de l’en-tête et du pied de page.

Insertion d’espaces réservés dans l’en-tête et le pied de page


Au moment de la rédaction de cet article, Microsoft Word ne prend pas en charge les champs de
formulaire dans l’en-tête et le pied de page. Vous devez donc insérer la syntaxe de l’espace réservé
directement dans le modèle (méthode RTF de base) ou utiliser la syntaxe corps de début/fin décrite
dans la section suivante.

En-têtes et pieds de page multiples ou complexes


Si votre modèle nécessite plusieurs en-têtes et footers, créez-les à l’aide de balises BI
Publisher pour définir la zone de corps de votre rapport. Vous pouvez également utiliser cette
méthode si votre en-tête et votre pied de page contiennent des objets complexes que vous
souhaitez placer dans des champs de formulaire. Lorsque vous définissez la zone du corps, les
éléments qui se produisent avant le début de la zone du corps composent l’en-tête. Les
éléments se produisant après la zone du corps composeront le pied de page.
Utilisez les balises suivantes pour entourer la zone du corps de votre rapport :
<?début:corps?>
<?fin du corps?>

17-16Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Utilisez les balises directement dans le modèle ou dans les champs de formulaire.
Le registre des factures payables contient un en-tête et un pied de page simples et ne nécessite
donc pas les balises corps de début/corps de fin. Toutefois, si vous souhaitez ajouter un autre
en-tête au modèle, définissez la zone du corps comme suit :
1. Insérez <?start:body?> avant la balise de groupe Suppliers :
<?pour-chaque:G_VENDOR_NAME?>

2. Insérer <?end body?> après la balise de fermeture du groupe Fournisseurs : <?end for-
each?>

La figure suivante montre le registre des factures payables avec les balises de corps de début/fin
insérées :

Prise en charge différente de la première page et de la page impaire et paire différente


Si votre rapport nécessite un en-tête et un pied de page différents sur la première page de votre
rapport ; ou, si votre rapport nécessite des en-têtes et des pieds de page différents pour les pages
impaires et paires, vous pouvez définir ce comportement à l’aide de la boîte de dialogue Mise
en page de Microsoft Word.
Remarque : Cette fonctionnalité est prise en charge uniquement pour les sorties PDF et
RTF.

1. Sélectionnez Mise en page dans le menu Fichier.

2. Dans la boîte de dialogue Mise en page , sélectionnez l’onglet Mise en page .

3. Dans la zone En-têtes et pieds de page de la boîte de dialogue, activez la case à cocher
appropriée : Différent impair et even
Première page différente

4. Insérez vos en-têtes et pieds de page dans votre modèle comme vous le souhaitez.

Création d’un modèle


RTF1
7-17
Au moment de l’exécution, votre rapport généré affichera le comportement d’en-tête et de pied de
page défini.

Insertion d’images et de graphiques

Images
BI Publisher prend en charge plusieurs méthodes pour inclure des images dans votre
document publié :

Insertion directe
Insérez l’image jpg, gif ou png directement dans votre modèle.

Référence URL
Référence URL
1. Insérez une image fictive dans votre modèle.

2. Dans la boîte de dialogue Format de l’image de Microsoft Word , sélectionnez


l’onglet Web. Entrez la syntaxe suivante dans la région Texte alternatif pour
référencer l’URL de l’image :
url:{'http:// emplacement de l’image'}
Par exemple, entrez : url:{'http://www.oracle.com/images/ora_log.gif'}

Référence d’élément à partir d’un fichier XML


1. Insérez une image fictive dans votre modèle.

2. Dans la boîte de dialogue Format de l’image de Microsoft Word , sélectionnez


l’onglet Web. Entrez la syntaxe suivante dans la région text alternative pour
référencer l’URL de l’image :
url:{IMAGE_LOCATION}
où IMAGE_LOCATION est un élément de votre fichier XML qui contient l’URL
complète de l’image.
Vous pouvez également créer une URL basée sur plusieurs éléments au moment de
l’exécution. Utilisez simplement la fonction concat pour créer la chaîne d’URL. Par
exemple : url:{concat(SERVER,'/',IMAGE_DIR,'/',IMAGE_FILE)}
où SERVER, I MAGE_DIR et IMAGE_FILE sont des noms d’éléments de votre fichier
XML qui contiennent les valeurs nécessaires à la construction de l’URL.
Cette méthode peut également être utilisée avec la référence OA_MEDIA
comme suit : url:{concat('${OA_MEDIA}','/',IMAGE_FILE)}

17-18Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Rendu d’une image extraite de données BLOB
Si le xml de résultats contient des données d’image qui ont été stockées en tant qu’objet BLOB
dans la base de données, utilisez la syntaxe suivante dans un champ de formulaire inséré dans
votre modèle où vous souhaitez que l’image s’affiche au moment de l’exécution :
<fo:instream-foreign-object content-type="image/jpg"> <xsl:value-of
select="IMAGE_ELEMENT"/> </fo:instream-foreign-object>

image/jpg est le type MIME de l’image (d’autres options peuvent être : image/gif et
image/png)
et
IMAGE_ELEMENT est le nom d’élément de l’objet BLOB dans vos données XML.
Notez que vous pouvez spécifier des attributs de hauteur et de largeur pour l’image afin de
définir sa taille dans le rapport publié. BI Publisher met l’image à l’échelle pour l’adapter à la
taille de la boîte que vous définissez. Par exemple, pour définir la taille de l’exemple ci-dessus
sur trois pouces par quatre pouces, entrez ce qui suit :
<fo:instream-foreign-object content-type="image/jpg » height="3 in »
width="4 in">
<xsl:valeur-de-la sélection="IMAGE_ELEMENT"/>
</fo:instream-foreign-object>
Spécifiez en pixels comme suit :
<fo:instream-foreign-object content-type="image/jpg » height="300 px »
width="4 px">
...
ou en centimètres :
<fo:instream-foreign-object content-type="image/jpg » height="3 cm »
width="4 cm">
...
ou en pourcentage des dimensions d’origine :
<fo:instream-foreign-object content-type="image/jpg » height="300% »
width="300%">
...

Support graphique
Remarque : Voir également Insertion d’un graphique, pages 18-20 du
chapitre « Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles
pour Word ».

Ce qui suit résume les étapes à suivre pour ajouter un graphique à votre modèle. Ces étapes
seront décrites en détail dans l’exemple qui suit :
1. Insérez une image fictive dans votre modèle pour définir la taille et la position de
votre graphique.

Création d’un modèle


RTF1
7-19
2. Ajoutez la définition du graphique à la zone de texte Alternative de l’image fictive. La
définition de graphique nécessite des commandes XSL.

3. Au moment de l’exécution, BI Publisher appelle le moteur de création de graphiques


pour restituer l’image qui est ensuite insérée dans le document de sortie final.

Notez que la sortie RTF est limitée aux images raster. Les sorties PDF et HTML prennent en
charge les images raster et vectorielles.

Ajout d’un exemple de graphique


Voici une donnée XML montrant les ventes totales par division de l’entreprise.
<année des ventes=2004>
<division>
<nom>Groceries</nom>
<totalsales>3810</totalsales>
<></coût des ventes>
</division>
<division>
<nom>Toys</nom>
<totalsales>2432</totalsventes>
<costofsales>1200</costofsales>
</division>
<division>
<nom>Cars</nom>
<totalsales>6753</totaux des ventes>
<>4100</coût des ventes>
</division>
<division>
<nom>Démérurgie</nom>
<totalsales>2543</total des ventes>
<>1400</coût des ventes>
</division>
<division>
<nom>Électronique</nom>
<totalsales>5965</totaux des ventes>
<costofsales>3560</costofsales>
</division>
</ventes>
Cet exemple montre comment insérer un chart dans votre modèle pour l’afficher sous
forme de graphique à barres verticales, comme illustré dans la figure suivante :

17-20Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Notez les attributs suivants de ce graphique :
• Le style est un graphique à barres verticales.

• Le graphique affiche une grille d’arrière-plan.

• Les composants sont colorés.

• Les totaux des ventes sont affichés sous forme d’étiquettes de l’axe Y.

• Les divisions sont affichées sous forme d’étiquettes d’axe X.

• Le graphique s’intitule.

• Le graphique affiche une légende.

Chacune de ces propriétés peut être personnalisée pour répondre aux exigences de rapport
individuelles.
Insertion de l’image factice
La première étape consiste à ajouter une image fictive au modèle dans la position souhaitée
pour que le graphique apparaisse. La taille de l’image définira la taille de l’image du
graphique dans le document final.

Création d’un modèle


RTF1
7-21
Important : Vous devez insérer l’image factice en tant qu'« image » et non
tout autre type d’objet.

La figure suivante montre un exemple d’image fictive :

L’image peut être incorporée dans une boucle for-each comme n’importe quel autre champ de
formulaire si vous souhaitez que le graphique soit répété dans la sortie en fonction des données
répétitives. Dans cet exemple, le graphique est défini dans le groupe d’années de vente afin
qu’un graphique soit généré pour chaque année de données présentes dans le fichier XML.
Cliquez avec le bouton droit sur l’image pour ouvrir la palette Format de l’image et
sélectionnez l’onglet Web. Utilisez la zone De saisie de texte Alternatif pour entrer le code
afin de définir les caractéristiques du graphique et la définition des données du graphique.
Ajout de code à la zone de texte alternative
Le graphique suivant montre un exemple de code BI Publisher dans la zone de texte Format de
l’image alternative :

17-22Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Le contenu du texte alternatif représente le graphique qui sera rendu dans le document final.
Pour ce graphique, le texte est le suivant :
graphique:
<Graph graphType = « BAR_VERT_CLUST">
<Title text="Company Sales 2004 » visible="true »
horizontalAlignment="CENTRE"/>
<Y1Title text=" Ventes en milliers » visible="true"/>
<O1Title text="Division » visible="true"/>
<LocalGridData colCount="{count(//division)} » rowCount="1">
<RowLabels>
<Label>Ventions totales 1000 $</Étiquette>
</RowLabels>
<ColLabels>
<xsl:for-each select="//division">
<Label>
<xsl:valeur-de-select="nom"/>
</Étiquette>
</xsl:pour-chaque>
</ColLabels>
<DataValues>
<RowData>
<xsl:for-each select="//division">
<Cell>
<xsl:value-of select="totalsales"/>
</Cellule>
</xsl:pour-chaque>
</RowData>
</DataValues>
</LocalGridData>
</Graphique>

Création d’un modèle


RTF1
7-23
Le premier élément de votre texte de graphique doit être l’élément chart: pour informer
l’analyseur RTF que le code suivant décrit un objet graphique.
Vient ensuite la balise <Graph> d’ouverture . Notez que l’ensemble du code réside dans les
balises de l’élément <Graph>. Cet élément possède un attribut permettant de définir le type de
graphique : graphType. Si cet attribut n’est pas déclaré, le graphique par défaut est un
graphique à barres verticales. BI Beans prend en charge de nombreux types de graphiques
différents. Plusieurs autres types sont présentés dans cette section. Pour une liste complète,
consultez la documentation DTD du graphique BI Beans.
La section de code suivante définit le type de graphique et les attributs :
<Title text="Company Sales 2004 » visible="true »
horizontalAlignment="CENTRE"/>
<Y1Title text="Ventes en milliers » visible="true"/> <O1Title
text="Division » visible="true"/>
Toutes ces valeurs peuvent être déclarées ou vous pouvez remplacer des valeurs à partir des
données XML au moment de l’exécution. Par exemple, vous pouvez récupérer le titre du
graphique à partir d’une balise XML à l’aide de la syntaxe suivante :
<Title text="{CHARTTITLE} » visible="true » horizontalAlighment="CENTER"/>

où « CHARTTITLE » est le nom de la balise XML qui contient le titre du graphique. Notez
que le nom de la balise est entouré d’accolades.
La section suivante définit les étiquettes de colonne et de ligne :
<LocalGridData colCount="{count(//division)} » rowCount="1"> <RowLabels>
<Label>Ventions totales 1000 $</Étiquette>
</RowLabels>
<ColLabels>
<xsl:for-each select="//division">
<Label>
<xsl:valeur-de-select="nom"/>
</Étiquette>
</xsl:pour-chaque>
</ColLabels>
L’élément LocalGridData possède deux attributs : colCount et rowCount. Ceux-ci définissent le
nombre de colonnes et de lignes qui seront affichées au moment de l’exécution. Dans cet
exemple, une fonction count calcule le nombre de colonnes à afficher :
colCount="{count(//division)} »

Le rowCount a été codé en dur sur 1. Cette valeur définit le nombre d’ensembles de données à
représenter graphiquement. Dans ce cas, c’est 1.
Ensuite, le code définit les étiquettes de ligne et de colonne. Ceux-ci peuvent être déclarés
ou une valeur des données XML peut être substituée au moment de l’exécution. L’étiquette
de ligne sera utilisée dans la légende du graphique (c’est-à-dire « Total Sales $1000s »).
Les étiquettes de colonne de cet exemple sont dérivées des données : Épicerie, Jouets,
Voitures, etc. Cela se fait à l’aide d’une boucle pour chaque :

17-24Guide du concepteur de rapports Middleware d’Oracle Pour Oracle Business Intelligence Publisher
<ColLabels>
<xsl:for-each select="//division">
<Label>
<xsl:valeur-de-select="nom"/>
</Étiquette>
</xsl:pour-chaque>
</ColLabels>
Ce code effectue une boucle dans le groupe <division> et insère la valeur de l’élément <name>
dans la balise <Label>. Au moment de l’exécution, cela génère le code XML suivant :
<ColLabels>
<Label>Groceries</Label>
<Label>Toys</Label>
<Label>Cars</Label>
<Label>Hardware</Label>
<Label>Électronique</Label>
</ColLabels>
La section suivante définit les valeurs de données réelles à représenter graphiquement :
<DataValues>
<RowData>
<xsl:for-each select="//division">
<Cell>
<xsl:value-of select="totalsales"/>
</Cellule>
</xsl:pour-chaque>
</RowData>
</DataValues>
Semblable à la section étiquettes, le code parcourt les données en boucle pour générer le
code XML transmis au moteur de rendu BI Beans. Cela générera le code XML suivant :
<DataValues>
<RowData>
<Cell>3810</Cell>
<Cell>2432</Cell>
<cell>6753</Cell>
<Cell>2543</Cell>
<Cell>5965</Cell>
</RowData>
</DataValues>

Exemples de graphiques supplémentaires


Vous pouvez également afficher ces données dans un graphique à secteurs, comme illustré dans
la figure suivante :

Création d’un modèle


RTF1
7-25
Voici le code ajouté au modèle pour afficher ce graphique au moment de l’exécution :
graphique:
<Graph graphType="PIE">
<Title text="Company Sales 2004 » visible="true »
horizontalAlignment="CENTRE"/>
<LocalGridData rowCount="{count(//division)} » colCount="1"> <RowLabels>
<xsl:for-each select="//division">
<Label>
<xsl:valeur-de-select="nom"/>
</Étiquette>
</xsl:pour-chaque>
</RowLabels>
<DataValues>
<xsl:for-each select="//division">
<RowData>
<Cell>
<xsl:value-of select="totalsales"/>
</Cellule>
</RowData>
</xsl:pour-chaque>
</DataValues>
</LocalGridData>
</Graphique>

Exemple de graphique à barres horizontales


L’exemple suivant montre les ventes totales et le coût des ventes cartographiées dans un
format de barre horizontal. Cet exemple ajoute également les données de l’élément coût des
ventes ( <costofsales>) au graphique :

17-26Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Le code suivant définit ce graphique dans le modèle :
graphique:
<Graph graphType = « BAR_HORIZ_CLUST">
<Title text="Company Sales 2004 » visible="true »
horizontalAlignment="CENTRE"/>
<LocalGridData colCount="{count(//division)} » rowCount="2"> <RowLabels>
<Label>Total Sales ('000s)</Label>
<Label>Cost des ventes ('000s)</Label>
</RowLabels>
<ColLabels>
<xsl:for-each select="//division">
<Label><xsl:valeur-de-select="nom"/></Étiquette>
</xsl:pour-chaque>
</ColLabels>
<DataValues>
<RowData>
<xsl:for-each select="//division"> <Cell><xsl:value-of
select="totalsales"/></Cell>
</xsl:pour-chaque>
</RowData>
<RowData>
<xsl:for-each select="//division"> <Cell><xsl:value-of
select="costofsales"/></Cell> </xsl:for-each>
</RowData>
</DataValues>
</LocalGridData>
</Graphique>
Pour prendre en charge le deuxième ensemble de données, l’attribut rowCount du

Création d’un modèle


RTF1
7-27
L’élément LocalGridData est défini sur 2. Notez également que la section DataValues
définit deux ensembles de données : un pour les ventes totales et un pour le coût des ventes.

Modification de l’apparence de votre graphique


Il existe de nombreux attributs disponibles à partir de la DTD du graphique BI Beans que vous
pouvez manipuler pour modifier l’apparence de votre graphique. Par exemple, le graphique
précédent peut être modifié pour supprimer la grille, placer un arrière-plan gradué et modifier
les couleurs et les polices des barres, comme illustré dans la figure suivante :

Le code pour prendre en charge cela est le suivant :

17-28Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
graphique:
<Graph graphType = « BAR_HORIZ_CLUST">
<Série des articles>
<Series id="0 » color="#ffcc00"/>
<Série id="1 » color="#ff6600"/>
</SeriesItems>
<O1MajorTick visible="false"/>
<X1MajorTick visible="false"/>
<Y1MajorTick visible="false"/>
<Y2MajorTick visible="false"/>
<MarkerText visible="true » markerTextPlace="MTP_CENTER"/> <PlotArea
borderTransparent="true">
<SFX fillType="FT_GRADIENT » gradientDirection="GD_LEFT »
gradientNumPins="300">
<GradientPinStyle pinIndex="1 » position="1 »
gradientPinLeftColor="#999999 »
gradientPinRightColor="#cc6600"/>
</SFX>
</PlotArea>
<Title text="Company Sales 2004 » visible="true"> <GraphFont
name="Tahoma » bold="false"/> </Title>
...
</Graphique>
Les couleurs des barres sont définies dans la section SeriesItems. Les couleurs sont définies au
format hexadécimal comme suit :
<Série des articles>
<Series id="0 » color="#ffcc00"/>
<Série id="1 » color="#ff6600"/>
</SeriesItems>
Le code suivant masque la grille du graphique :
<O1MajorTick visible="false"/>
<X1MajorTick visible="false"/>
<Y1MajorTick visible="false"/>
<Y2MajorTick visible="false"/>
La balise MarkerText place les valeurs de données sur les barres de graphique :
<MarkerText visible="true » markerTextPlace="MTP_CENTER"/>

La section PlotArea définit l’arrière-plan. L’élément SFX établit le dégradé et l’attribut


borderTransparent masque la bordure du tracé :
<PlotArea borderTransparent="true">
<SFX fillType="FT_GRADIENT » gradientDirection="GD_LEFT »
gradientNumPins="300">
<GradientPinStyle pinIndex="1 » position="1 »
gradientPinLeftColor="#999999 »
gradientPinRightColor="#cc6600"/>
</SFX>
</PlotArea>
La balise de texte Title a également été mise à jour pour spécifier un nouveau type et une
nouvelle taille de police :
<Title text="Company Sales 2004 » visible="true"> <GraphFont
name="Tahoma » bold="false"/>
</Titre>

Sélection d’un modèle


RTF1
7-29
Prise en charge des dessins, des formes et des images clipart
BI Publisher prend en charge les fonctionnalités de dessin, de forme et d’images clipart de
Microsoft Word. Vous pouvez ajouter ces objets à votre modèle et ils seront rendus dans votre
sortie PDF finale ou VOTRE SORTIE HTML (non prise en charge pour les autres types de
sortie).
Les catégories de forme automatique suivantes sont prises en charge :
• Lignes - droites, fléchées, connecteurs, courbe, forme libre et gribouillage

• Connecteurs - seuls les connecteurs droits sont pris en charge. Les connecteurs
incurvés peuvent être obtenus en utilisant une ligne incurvée et en spécifiant les styles
d’extrémité de la ligne.

• Formes de base - toutes les formes sont prises en charge.

• Flèches de bloc - toutes les flèches sont prises en charge.

• Organigramme : tous les objets d’organigramme sont pris en charge.

• Étoiles et bannières - tous les objets sont soutenus.

• Légendes - les légendes « ligne » ne sont pas prises en charge.

• Images clipart : ajoutez des images à vos modèles à l’aide des bibliothèques d’images clipart
Microsoft

Dessin à main levée


Utilisez l’outil de dessin à main levée dans Microsoft Word pour créer des dessins dans votre
modèle à restituer dans la sortie PDF finale.

Hyperliens
Vous pouvez ajouter des liens hypertexte à vos formes. Voir Hyperliens, pages 17-55.

Marcottage
Vous pouvez superposer des formes les unes sur les autres et utiliser le paramètre de
transparence dans Microsoft Word pour permettre aux formes des calques inférieurs de se
déplacer. Le graphique suivant montre un exemple de formes superposées :

17-30Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Effets 3D
BI Publisher ne prend actuellement pas en charge l’option 3D pour les formes.

Équation Microsoft
Utilisez l’éditeur d’équations pour générer des équations dans votre sortie. La figure
suivante montre un exemple d’équation :

Organigramme
Utilisez la fonctionnalité d’organigramme dans vos modèles et le graphique sera rendu
dans la sortie. L’image suivante montre un exemple d’organigramme :

WordArt (en anglais)


Vous pouvez utiliser la fonctionnalité WordArt de Microsoft Word dans vos modèles. Le
graphique suivant montre un exemple d’objet WordArt :

Création d’un modèle


RTF1
7-31
Remarque : Certains articles Microsoft WordArt utilisent une opération
bitmap qui ne peut actuellement pas être convertie en SVG. Pour utiliser
l’objet WordArt non pris en charge dans votre modèle, vous pouvez prendre
une capture d’écran de l’objet WordArt, puis l’enregistrer en tant qu’image
(gif, jpeg ou png) et remplacer l’objet WordArt par l’image.

Prise en charge des formes pilotées par les données


En plus de prendre en charge les formes et fonctionnalités statiques de vos modèles, BI
Publisher prend également en charge la manipulation des formes en fonction des données ou
des paramètres entrants. Les manipulations suivantes sont prises en charge :
• Répliquer

• Bouger

• Modifier la taille

• Ajouter du texte

• Fausser

• Tourner

Ces manipulations s’appliquent non seulement aux formes uniques, mais vous pouvez également
utiliser la fonctionnalité de groupe de Microsoft Word pour combiner des formes et les manipuler en
tant que groupe.

Placement des commandes


Entrez les commandes de manipulation d’une forme dans l’onglet Web de la boîte de
dialogue des propriétés de la forme, comme illustré dans l’exemple de figure suivant :

17-32Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Répliquer une forme
Vous pouvez répliquer une forme en fonction des données XML entrantes de la même manière
que vous répliquez des éléments de données dans une boucle for-each. Pour ce faire, utilisez
une commande for-each@shape en conjonction avec une déclaration de décalage de forme. Par
exemple, pour répliquer une forme vers le bas de la page, utilisez la syntaxe following :
<?pour each@shape:SHAPE_GROUP?>
<?shape-offset-y:(position()-1)*100?>
<?end for each?>

for-each@shape ouvre la boucle for-each pour le contexte de forme
SHAPE_GROUP est le nom de l’élément répétitif du fichier XML. Pour chaque
occurrence de l’élément SHAPE_GROUP une nouvelle forme sera créée.
shape-offset-y: - est la commande permettant de décaler la forme le long de l’axe des y.
(position()-1)*100) - définit le décalage en pixels par occurrence. La commande XSL position
renvoie le compteur d’enregistrements dans le groupe (c’est-à-dire 1,2,3,4) ; on est soustrait de
ce nombre et le résultat est multiplié par 100. Par conséquent, pour la première occurrence, le
décalage serait de 0: (1-1) * 100. Le décalage pour la deuxième occurrence serait de 100 pixels
: (2-1) *100. Et pour toute occurrence ultérieure, le décalage serait de 100 pixels
supplémentaires vers le bas de la page.

Création d’un modèle


RTF1
7-33
Ajouter du texte à une forme
Vous pouvez ajouter du texte à une forme de manière dynamique à partir des données XML
entrantes ou d’une valeur de paramètre. Dans la boîte de dialogue des propriétés, entrez la
syntaxe suivante :
<?texte-forme:texte_forme?>

où SHAPETEXT est le nom de l’élément dans les données XML. Au moment de l’exécution,
le texte sera inséré dans la forme.

Ajouter du texte le long d’un tracé


Vous pouvez ajouter du texte le long d’une ligne ou d’une courbe à partir de données XML
entrantes ou d’un paramètre. Après avoir tracé la ligne, dans la boîte de dialogue des
propriétés, entrez :
<?shape-text-along-path:SHAPETEXT?>

où SHAPETEXT est l’élément des données XML. Au moment de l’exécution, la valeur de


l’élément SHAPETEXT sera insérée au-dessus et le long de la ligne.

Déplacement d’une forme


Vous pouvez déplacer une forme ou la transposer le long des axes x et y en fonction des
données XML. Par exemple, pour déplacer une forme de 200 pixels le long de l’axe des y et de
300 le long de l’axe des x, entrez les commandes suivantes dans la boîte de dialogue des
propriétés de la forme :
<?shape-offset-x:300?>
<?shape-offset-y:200?>

Rotation d’une forme


Pour faire pivoter une forme autour d’un axe spécifié en fonction des données entrantes,
utilisez la commande suivante :
<?shape-rotate:ANGLE;' POSITION'?>


ANGLE est le nombre de degrés pour faire pivoter la forme. Si l’angle est positif, la
rotation est dans le sens des aiguilles d’une montre; si elle est négative, la rotation est
dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.
POSITION est le point sur lequel effectuer la rotation, par exemple, 'gauche/haut'
. Les valeurs valides sont des combinaisons de gauche, droite ou centre avec centre, haut ou
bas. La valeur par défaut est left/top. La figure suivante montre ces valeurs valides :

17-34Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pour faire pivoter cette forme rectangulaire dans le coin inférieur droit, entrez la syntaxe suivante
:
<?forme-rotation:60,'droite/bas'?>

Vous pouvez également spécifier une coordonnée x,y dans la forme elle-même sur laquelle
pivoter.

Inclinaison d’une forme


Vous pouvez incliner une forme le long de son axe x ou y à l’aide des commandes suivantes :
<?shape-skew-x:ANGLE;' POSITION'?>
<?shape-skew-y:ANGLE;' POSITION'?>

ANGLE est le nombre de degrés pour incliner la forme. Si l’angle est positif, l’inclinaison est
vers la droite.
POSITION est le point sur lequel effectuer la rotation, par exemple, 'gauche/haut'
. Les valeurs valides sont des combinaisons de gauche, droite ou centre avec centre, haut ou
bas. Voir la figure sous Rotation d’une forme, pages 17-34. La valeur par défaut est 'left/top'.
Pour example, pour incliner une forme de 30 degrés autour du coin inférieur droit, entrez ce
qui suit :
<?shape-skew-x:number(.) *30;' droite/bas'?>

Modification de la taille d’une forme


Vous pouvez modifier la taille d’une forme à l’aide des commandes appropriées le long
d’un axe unique ou des deux axes. Pour modifier la taille d’une forme le long des deux
axes, utilisez :
<?taille-forme:RATIO?>

où RATIO est le rapport numérique permettant d’augmenter ou de diminuer la taille de la


forme. Par conséquent, une valeur de 2 générerait une forme deux fois plus haute et plus
large que la valeur de l'
Création d’un modèle
RTF1
7-35
Langue source. Une valeur de 0,5 générerait une forme deux fois moins grande que l’original.
Pour modifier la taille d’une forme le long de l’axe x ou y, utilisez :
<?taille-forme-x:RATIO?>
<?taille-forme-y:RATIO?>
La modification de la valeur x ou y a pour effet d’étirer ou de réduire la forme le long d’un axe.
Cela peut être piloté par les données.

Combinaison de commandes
Vous pouvez également combiner ces commandes pour effectuer plusieurs transformations sur
une forme à la fois. Par exemple, vous pouvez répliquer une forme et, pour chaque réplication, la
faire pivoter d’un certain angle et modifier la taille en même temps.
L’exemple suivant montre comment répliquer une forme, la déplacer de 50 pixels vers le bas
de la page, la faire pivoter de cinq degrés autour du centre, l’étirer le long de l’axe des x et
ajouter le numéro de la forme sous forme de texte :
<pour-each@shape:SHAPE_GROUP?>
<?texte-forme:position()?>
<?shape-offset-y:position()*50?>
<?forme-rotation:5;' centre/centre'?>
<?shape-size-x:position()+1?>
<end pour chaque >
Cela générerait la sortie illustrée dans la figure suivante :

Exemple d’évaluation de CD
Cet exemple montre comment configurer un modèle qui génère un classement par étoiles
basé sur les données d’un fichier XML entrant.
Supposons les données XML entrantes suivantes :

17-36Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<CATALOG>
<CD>
<TITLE>Empire Burlesque</TITRE>
<ARTISTE>Bob Dylan</ARTISTE>
<PAYS>USA</PAYS>
<ENTREPRISE>Columbia</ENTREPRISE>
<PRIX>10.90</PRIX>
<ANNÉE>1985</ANNÉE>
<USER_RATING>4</USER_RATING>
</CD>
<CD>
<TITLE>Masquez votre cœur</TITRE>
<ARTISTE>Bonnie Tylor</ARTISTE>
<PAYS>ROYAUME-UNI</PAYS>
<Société> SexpériencesCBS</SOCIÉTÉ>
<PRIX>9.90</PRIX>
<ANNÉE>1988</ANNÉE>
<USER_RATING>3</USER_RATING>
</CD>
<CD>
<TITLE>Still got the blues</TITLE>
<ARTISTE>Gary More</ARTISTE>
<PAYS>ROYAUME-UNI</PAYS>
<ENTREPRISE>Virgin Records</ENTREPRISE>
<PRIX>10.20</PRIX>
<ANNÉE>1990</ANNÉE>
<USER_RATING>5</USER_RATING>
</CD>
<CD>
<TITLE>Il s’agit de US</TITLE>
<ARTISTE>Gary Lee</ARTISTE>
<PAYS>ROYAUME-UNI</PAYS>
<ENTREPRISE>Virgin Records</ENTREPRISE>
<PRIX>12.20</PRIX>
<ANNÉE>1990</ANNÉE>
<USER_RATING>2</USER_RATING>
</CD>
<CATALOG>
Notice il y a un élément USER_RATING pour chaque CD. En utilisant cet élément de données
et les commandes de manipulation de forme, nous pouvons créer une représentation visuelle
des évaluations afin que le lecteur puisse les comparer en un coup d’œil.
Un modèle pour y parvenir est illustré dans la figure suivante :

Les valeurs des champs sont indiquées dans le tableau suivant :

Création d’un modèle


RTF1
7-37
Champ Saisie de champ de formulaire

F <?pour chaque:CD?>

TITRE <? TITRE?>

ARTISTE <? ARTISTE?>

E <?end for each?>

(forme d’étoile) Entrée de l’onglet Web :


<?for-each@shape:xdoxslt:foreach_number($_XDOCTX,1
,USER_RATING,1)?>

<?shape-offset-x:(position()-1)*25?>

<?end for each?>

Les champs de formulaire contiennent les valeurs d’élément simples. La seule différence avec
ce modèle est la valeur de la forme de l’étoile. La commande de réplication est placée dans
l’onglet Web de la boîte de dialogue Format de la forme automatique.
Dans la commande for-each@shape, nous utilisons une commande pour créer un « pour...
boucle suivante » construire. Nous spécifions 1 comme numéro de départ; la valeur de
USER_RATING comme nombre final; et 1 comme valeur d’étape. Au fur et à mesure que le
modèle parcourt les CD, nous créons une boucle interne pour répéter une forme d’étoile pour
chaque valeur USER_RATING (c’est-à-dire qu’une valeur de 4 générera 4 étoiles). La sortie de
ce modèle et de l’exemple XML est illustrée dans le graphique suivant :

Exemple de forme groupée


Cet exemple montre comment combiner des formes dans un groupe et les faire réagir aux
données entrantes à la fois individuellement et en tant que groupe. Supposons les données
XML suivantes :

17-38Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<VENTES>
<VENTE>
<REGION>Americas</REGION>
<LOGICIEL>1200</LOGICIEL>
<HARDWARE>850</HARDWARE>
<SERVICES>2000</SERVICES>
</VENTE>
<VENTE>
<REGION>EMEA</REGION>
<LOGICIEL>1000</LOGICIEL>
<HARDWARE>800</HARDWARE>
<SERVICES>1100</SERVICES>
</VENTE>
<VENTE>
<REGION>APAC</REGION>
<LOGICIEL>900</LOGICIEL>
<HARDISSEMENT>1200</MATÉRIEL>
<SERVICES>1500</SERVICES>
</VENTE>
</VENTES>
Vous pouvez créer une représentation visuelle de ces données afin que les utilisateurs
puissent comprendre très rapidement les données de vente dans toutes les régions. Pour ce
faire , créez d’abord la forme composite dans Microsoft Word que vous souhaitez
manipuler. La figure suivante montre une forme composite composée de quatre composants
:

La forme se compose de trois cylindres: rouge, jaune et bleu. Ceux-ci représenteront les
éléments de données logiciels, matériels et services. L’objet combiné contient également un
rectangle qui est activé pour recevoir du texte à partir des données entrantes.
Les commandes suivantes sont entrées dans l’onglet Web :
Cylindre rouge: <?shape-size-y:SOFTWARE div 1000;' gauche/bas'?>
Cylindre jaune: <?shape-size-y:HARDWARE div 1000;' gauche/bas'?>
Cylindre bleu: <?shape-size-y:SERVICES div 1000;' gauche/bas'?>
La commande shape-size permet d’étirer ou de réduire le cylindre en fonction des valeurs des
éléments SOFTWARE, HARDWARE et SERVICES. La valeur est divisée par 1000 pour
définir le facteur d’étirement ou de rétrécissement. Par exemple, si la valeur est 2000, divisez-la
par 1000 pour obtenir un facteur de 2. La forme générera deux fois sa hauteur actuelle.
Le rectangle textuel contient la commande suivante dans son onglet Web :
<?texte-forme:RÉGION?>

Création d’un modèle


RTF1
7-39
Au moment de l’exécution, la valeur de l’élément REGION apparaît dans le rectangle.
Toutes ces formes ont ensuite été regroupées et dans l’onglet Web de l’objet groupé, la
syntaxe suivante est ajoutée :
<?pour-each@shape:VENTE?>
<?shape-offset-x:(position()-1)*110?>
<?end for each?>
Dans cet ensemble de commandes, la each@shape boucles sur le groupe SALE. La
commande shape-offset déplace la forme suivante de la boucle vers la droite d’un nombre
spécifique de pixels. L’expression (position()-1) définit la position de l’objet. La fonction
position() renvoie un compteur d’enregistrements dans la boucle, donc pour la première forme,
le décalage serait de 1-1*110, ou 0, ce qui placerait le premier rendu de l’objet dans la position
définie dans le modèle. Les occurrences suivantes seraient rendues à un décalage de 110 pixels
le long de l’axe des x (vers la droite).
Au moment de l’exécution, trois séries de formes seront rendues sur la page, comme
illustré dans la figure suivante :

Pour faire un rapport encore plus représentatif visuellement, ces formes peuvent être
superposées à une carte du monde. Utilisez simplement la boîte de dialogue « Ordre » dans
Microsoft Word pour superposer la carte derrière les formes groupées.
Utilisateurs de Microsoft Word 2000 : après avoir ajouté la carte d’arrière-plan et superposé
le groupe de formes , utilisez la boîte de dialogue Regroupement pour créer l’ensemble de la
composition en un seul groupe.
Utilisateurs de Microsoft Word 2002/3 : ces versions de Word ont une option sous Outils >
Options, onglet Général pour « Générer automatiquement un canevas de dessin lors de
l’insertion de formes automatiques ». L’utilisation de cette option élimine la nécessité
d’effectuer le regroupement final de la carte et des formes. Nous pouvons maintenant générer
une sortie visuellement attrayante pour notre rapport, comme le montre la figure suivante :

17-40Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Fonctionnalités de mise en forme native prises en charge
Outre les fonctionnalités déjà répertoriées, BI Publisher prend en charge les fonctionnalités
suivantes de Microsoft Word.

Caractéristiques générales
• Gros blocs de texte

• Sauts de page
(Non pris en charge pour la sortie HTML) Pour insérer un saut de page, insérez une touche
Ctrl-Entrée juste avant la balise de fermeture d’un groupe. Par exemple, si vous souhaitez
que le modèle démarre une nouvelle page pour chaque fournisseur dans le registre des
factures payables :
1. Placez le curseur juste avant la fermeture de la balise <?end for each?> du groupe
Fournisseurs.

2. Prélève Ctrl-Entrée pour insérer un saut de page.

Au moment de l’exécution, chaque fournisseur commencera sur une nouvelle page.


L’utilisation de cette fonctionnalité native de Microsoft Word entraînera l’impression
d’une seule page vierge à la fin de la sortie de votre rapport. Pour éviter cette page vierge
unique, utilisez l’alias de saut de page de BI Publisher. Voir Caractéristiques spéciales :
Sauts de page, pages 17 à 49.
Création d’un modèle
RTF1
7-41
• Numérotation des pages
Insérez des numéros de page dans votre rapport final à l’aide des méthodes de numérotation
des pages de votre application de traitement de texte. Par exemple, si vous utilisez Microsoft
Word :
1. Dans le menu Insertion , sélectionnez Numéros de page...

2. Sélectionnez la position, l’alignement et le format comme vous le souhaitez.

Au moment de l’exécution, les numéros de page seront affichés tels qu’ils ont été sélectionnés.
Notez que le numéro de page n’est pas pris en charge pour la sortie HTML et a une prise en
charge limitée dans la sortie RTF. Une fois le rapport RTF généré, appuyez sur F9 pour
réinitialiser les numéros de page.

• Texte masqué
Vous pouvez mettre en forme le texte comme « caché » dans Microsoft Word et le
texte masqué sera conservé dans les rapports de sortie RTF.

Alignement
Utilisez les fonctions d’alignement de votre traitement de texte pour aligner du texte, des graphiques,
des objets et des tableaux.
Remarque : Les langues bidirectionnelles sont gérées automatiquement à
l’aide des contrôles d’alignement gauche/droite de votre application de
traitement de texte.

Tables
Les fonctionnalités de table prises en charge sont les suivantes :
• Tables imbriquées

• Alignement des cellules


Vous pouvez aligner n’importe quel objet de votre modèle à l’aide des outils d’alignement de
votre application de traitement de texte. Cet alignement sera reflété dans les résultats du rapport
final.

• Étendue des lignes et des colonnes


Vous pouvez couvrir les colonnes et les lignes de votre modèle comme suit :
1. Sélectionnez les cellules que vous souhaitez fusionner.

2. Dans le menu Tableau , sélectionnez Fusionner les cellules.

3. Alignez les données dans la cellule fusionnée comme vous le feriez normalement.

Au moment de l’exécution, les cellules apparaîtront fusionnées.

17-42Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Mise en forme automatique des tableaux
BI Publisher reconnaît les mises en forme automatiques de table disponibles dans Microsoft
Word.
1. Sélectionnez le tableau que vous souhaitez mettre en forme.

2. Dans le menu Tableau , sélectionnez Mise en forme automatique.

3. Sélectionnez le format de tableau souhaité.

Au moment de l’exécution, le tableau sera mis en forme à l’aide de votre sélection.

• Motifs et couleurs des cellules


Vous pouvez mettre en surbrillance des cellules ou des lignes d’un tableau avec un motif ou
une couleur.
1. Sélectionnez la ou les cellules ou le tableau.

2. Dans le menu Tableau , sélectionnez Propriétés du tableau.

3. Dans l’onglet Tableau, sélectionnez Bordures et ombrage... bouton.

4. Ajoutez des bordures et des ombres comme vous le souhaitez.

• En-têtes de tableau répétitifs


Remarque : Cette fonctionnalité n’est pas prise en charge pour la sortie RTF.

Si vos données sont affichées dans un tableau et que vous vous attendez à ce que le tableau
s’étende sur plusieurs pages, vous pouvez définir les lignes d’en-tête que vous souhaitez
répéter au début de chaque page.
1. Sélectionnez la ou les lignes que vous souhaitez répéter sur chaque page.

2. Dans le menu Tableau , sélectionnez Répétition des lignes d’en-tête.

• Empêchez les lignes de se briser entre les pages.


Si vous souhaitez vous assurer que les données d’une ligne d’une table sont conservées
ensemble sur une page, vous pouvez définir cette option à l’aide des propriétés de table
de Microsoft Word.
1. Sélectionnez la ou les lignes que vous souhaitez vous assurer de ne pas casser sur une
page.

2. Dans le menu Tableau , sélectionnez Propriétés du tableau.

3. Dans l’onglet Ligne , décochez la case « Autoriser la ligne à passer d’une page à l’autre
».

• Colonnes à largeur fixe


Pour définir les largeurs de vos colonnes de table :
Création d’un modèle
RTF1
7-43
1. Sélectionnez une colonne, puis sélectionnez Table > Propriétés du tableau.

2. Dans la boîte de dialogue Propriétés de la table, sélectionnez l’onglet Colonne .

3. Activez la case à cocher Largeur préférée , puis entrez la largeur en pourcentage


ou en pouces.

4. Sélectionnez le bouton Colonne suivante pour définir la largeur de la colonne suivante.

Notez que la largeur totale des colonnes doit correspondre à la largeur totale du tableau.
La figure suivante illustre la boîte de dialogue Propriétés de la table :

• Troncature de texte
Par défaut, si le texte d’une cellule de tableau ne rentre pas dans la cellule, le texte est
renvoyé à la ligne. Pour tronquer le texte à la place, utilisez la boîte de dialogue des
propriétés du tableau.
Notez que la troncature de texte de tableau n’est prise en charge que pour les sorties PDF et PPT.
1. Placez votre curseur dans la cellule dans laquelle vous souhaitez tronquer le texte.

2. Cliquez avec le bouton droit de la souris et sélectionnez Propriétés du


tableau... dans le menu, ou accédez à Table >Table Properties...

17-44Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
3. Dans la boîte de dialogue Propriétés du tableau, sélectionnez l’onglet Cellule , puis
Options ...

4. Décochez la case Habiller le texte .


La figure suivante illustre la boîte de dialogue Options de cellule.

Un exemple de troncature est illustré dans le graphique suivant :

Champs de date
Insérez des dates à l’aide de la fonction de date de votre application de traitement de texte.
Notez que cette date correspondra à la date de publication et non à la date d’exécution de la
demande.
Création d’un modèle
RTF1
7-45
Prise en charge des pages multicolonnes
BI Publisher prend en charge la fonction Colonnes de Microsoft Word pour vous permettre de
publier votre sortie dans plusieurs colonnes d’une page. (Notez que cela n’est pas pris en
charge pour la sortie HTML.)
Sélectionnez Format >Colunes pour afficher la boîte de dialogue Colonnes afin de définir
le nombre de colonnes de votre modèle. Le graphique suivant montre la boîte de dialogue
Colonnes :

Exemple de page multicolonne : Étiquettes


Pour générer des étiquettes d’adresse dans un format à deux colonnes :
1. Divisez votre page en deux colonnes à l’aide de la commande Colonnes.

2. Définissez le groupe reproductible dans la première colonne. Notez que vous définissez le
groupe reproductible uniquement dans la première colonne, comme illustré dans la figure
suivante :

17-46Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Conseil : Pour éviter que le bloc d’adresses ne se brise sur des pages ou des
colonnes, incorporez le bloc d’étiquettes dans un tableau unicellulaire.
Spécifiez ensuite dans le tableau Properties que la ligne ne doit pas se briser
entre les pages. Voir Empêcher les lignes de se briser entre les pages, pages
17 à 43.

Ce modèle produira la sortie multicolonne suivante :

Prise en charge de l’arrière-plan et du filigrane


BI Publisher prend en charge la fonctionnalité « Arrière-plan » dans Microsoft Word. Vous
pouvez spécifier une couleur unique graduée ou un arrière-plan d’image pour que votre
modèle soit affiché dans la sortie PDF. Notez que cette fonctionnalité est prise en charge pour
la sortie PDF et la sortie PPT uniquement.
Pour ajouter un arrière-plan à votre modèle, utilisez l’option de menu Format > Arrière-plan.

Ajouter un arrière-plan à l’aide de Microsoft Word 2000


Dans le menu contextuel Arrière-plan, vous pouvez :

Création d’un modèle


RTF1
7-47
• Sélectionnez un arrière-plan de couleur unique dans la palette de couleurs

• Sélectionnez Effets de remplissage pour ouvrir la boîte de dialogue Effets de


remplissage. La boîte de dialogue Effets de remplissage est illustrée dans la figure
suivante :

Dans cette boîte de dialogue, sélectionnez l’une des options prises en charge suivantes :
• Dégradé - il peut s’agir d’une ou deux couleurs

• Texture - choisissez l’une des textures fournies ou chargez la vôtre

• Motif - sélectionnez un motif et des couleurs d’arrière-plan/de premier plan

• Image - charger une image à utiliser comme image d’arrière-plan

Ajouter un filigrane de texte ou d’image à l’aide de Microsoft Word 2002 ou version ultérieure
Ces versions de Microsoft Word vous permettent d’ajouter un filigrane de texte ou d’image.
Utilisez la boîte de dialogue Format >'arrière-plan > Filigrane imprimé pour sélectionner :
• Filigrane d’image - chargez une image et définissez comment elle doit être mise à
l’échelle sur le document

• Filigrane de texte - utilisez les options de texte prédéfinies ou entrez les vôtres, puis
spécifiez la police, la taille et la façon dont le texte doit être rendu.

17-48Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
La figure suivante montre la boîte de dialogue Filigrane imprimé terminée pour afficher
un filigrane de texte :

Fonctionnalités du modèle

Sauts de page
Remarque : Les sauts de page sont pris en charge pour les sorties PDF ,
RTF et PPT. Les sauts de page ne sont pas pris en charge pour la sortie
HTML.

Pour créer un saut de page après l’apparition d’un élément spécifique, utilisez l’alias «
fractionner par saut de page ». Cela entraînera l’insertion d’un saut de page dur entre chaque
instance d’un élément spécifique.
Pour insérer un saut de page entre chaque occurrence d’un groupe, insérez le champ de
formulaire « fractionner par saut de page » dans le groupe immédiatement avant la balise
<?end for each?> qui ferme le groupe. Dans le texte d’aide de ce champ de formulaire,
entrez la syntaxe :
<?fractionnement par saut de page:?>
Exemple
Pour le code XML suivant, supposons que vous souhaitiez créer un saut de page pour chaque
nouveau fournisseur :

Création d’un modèle


RTF1
7-49
<FOURNISSEUR>
<NOM>Mon fournisseur</NOM>
<INVOICES>
<VOIE>
<INVNUM>10001-1</INVNUM>
<INVDATE>1-janv.-2005</INVDATE>
<INVAMT>100</INVOICEAMT>
</FACTURE>
<VOIE>
<INVNUM>10001-2</INVNUM>
<INVDATE>10-janv.-2005</INVDATE>
<INVAMT>200</INVOICEAMT>
</FACTURE>
</FACTURES>
</FOURNISSEUR>
<FOURNISSEUR>
<NAME>Mon deuxième fournisseur</NAME>
<INVOICES>
<VOIE>
<INVNUM>10001-1</INVNUM>
<INVDATE>11-janv.-2005</INVDATE>
<INVAMT>150</INVOICEAMT>
</FACTURE>
...
Dans l’exemple de modèle illustré dans la figure suivante, le champ appelé PageBreak
contient la syntaxe split-by-page-break :

Placez le champ PageBreak avec la syntaxe <?split-by-page-break:?> immédiatement avant le


champ <?end for each?>. Le champ PageBreak se trouve à l’intérieur de la fin de la boucle
FOURNISSEUR. Cela garantira qu’un saut de page est inséré avant l’apparition de chaque
nouveau fournisseur. Cette méthode évite l’éjection d’une page supplémentaire à la fin du
groupe lors de l’utilisation du saut de page Microsoft Word natif après le groupe.

Numéro de page initial


Remarque : Le numéro de page initial est pris en charge pour les sorties
PDF et PPT. Il n’est pas pris en charge pour les sorties HTML et RTF.

Certains rapports exigent que le numéro de page initial soit défini à un numéro spécifié. Par
exemple, des rapports mensuels peuvent être requis pour continuer à numéroter d’un mois à
l’autre. BI Publisher vous permet de définir le numéro de page dans le modèle pour prendre en
charge cette exigence.
Utilisez la syntaxe suivante dans votre modèle pour définir le numéro de page initial :
<?numéro-page-initial:numéro_page?>

17-50Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
où pagenumber est l’élément ou le paramètre XML qui contient la valeur numérique.
BI Publisher prend également en charge le maintien du numéro de page d’une section
précédente. Le comportement par défaut d’une nouvelle section dans un document consiste à
réinitialiser la numérotation des pages. Toutefois, si votre rapport exige que la numérotation
des pages se poursuive dans la section suivante, utilisez la commande suivante :
<?numéro-de-page-initiale:'auto'?>

Cette commande permettra la poursuite de la numérotation des pages de la section


précédente.
Exemple 1 - Définir le numéro de page à partir de l’élément de données XML
Si vos données XML contiennent un élément pour porter le numéro de page initial, par exemple :
<RAPPORT>
<PAGESTART>200<\PAGESTART>
....
</RAPPORT>
Entrez ce qui suit dans votre modèle :
<?numéro-de-page-initiale:PAGESTART?>

Votre numéro de page initial sera la valeur de l’élément PAGESTART, qui dans ce cas est
200.
Exemple 2 - Définir le numéro de page en passant une valeur de paramètre
Si vous définissez un paramètre appelé PAGESTART, vous pouvez transmettre la valeur
initiale en appelant le paramètre.
Entrez ce qui suit dans votre template :
<?numéro-de-page-initiale:$PAGESTART?>

Remarque : Vous devez d’abord déclarer le paramètre dans votre


modèle. Voir Définition des paramètres dans votre modèle, pages 17-
93.

Contenu de la dernière page uniquement


Remarque : Cette fonctionnalité est prise en charge pour les sorties PDF et PPT
uniquement.

BI Publisher prend en charge la fonctionnalité Microsoft Word pour spécifier une mise en
page différente pour la première page, les pages impaires et les pages paires. Pour
implémenter ces options, sélectionnez simplement Mise en page dans le menu Fichier, puis
sélectionnez l’onglet Mise en page. BI Publisher reconnaîtra les paramètres que vous
définissez dans cette boîte de dialogue.
Toutefois, Microsoft Word ne fournit pas de paramètres pour une dernière page différente
uniquement. Ceci est utile pour les documents tels que les chèques, les factures ou les bons de
commande sur lesquels vous pouvez vouloir le content tel que le chèque ou le résumé à un
endroit spécifique uniquement sur la dernière page.
BI Publisher offre cette fonctionnalité. Pour utiliser cette fonctionnalité, vous devez :

Création d’un modèle


RTF1
7-51
1. Créez un saut de section dans votre modèle pour vous assurer que le contenu de la
dernière page est séparé du reste du rapport.

2. Insérez la syntaxe suivante sur la dernière page :


<?start@last-page:corps?> <?fin du

corps?>

Tout contenu de la page qui se trouve au-dessus ou au-dessous de ces deux tags n’apparaîtra que
sur la dernière page du rapport. Notez également que, étant donné que cette commande spécifie
explicitement le contenu de la dernière page, tous les en-têtes ou pieds de page souhaités
précédemment définis pour le rapport doivent être réinsérés sur la dernière page.
Exemple
Cet exemple utilise la fonctionnalité de dernière page uniquement pour un rapport qui
génère une liste de factures avec un résumé à afficher au bas de la dernière page.
Supposons le code XML suivant :
<?xml version="1.0 » encoding="WINDOWS-1252 »?>
<VOICÉLISTE>
<FOURNEUR>
<VENDOR_NAME>Nuts and Bolts Limited</VENDOR_NAME> <ADDRESS>1 El
Camino Real, Redwood City, CA 94065</ADRESSE> <VOIE>
<INV_TYPE>Norme</INV_TYPE>
<INVOICE_NUM>981110</INVOICE_NUM>
<INVOICE_DATE>10-NOV-04</INVOICE_DATE>
<INVOICE_CURRENCY_CODE>EUR</INVO ICE_CURRENCY_CODE>
<ENT_AMT>122</ENT_AMT>
<ACCTD_AMT>122</ACCTD_AMT>
<VAT_CODE>VAT22%</VAT_CODE>
</FACTURE>
<VOIE>
<INV_TYPE>Norme</INV_TYPE>
<INVOICE_NUM>100000</INVOICE_NUM>
<INVOICE_DATE>28-MAI-04</INVOICE_DATE>
<INVOICE_CURRENCY_CODE>FIM</FACTURE_CURRENCY_CODE>
<ENT_AMT>122</ENT_AMT>
<ACCTD_AMT>20.33</ACCTD_AMT>
<VAT_CODE>VAT22%</VAT_CODE>
</FACTURE>
</FOURNISSEUR>
<FOURNEUR>
...
<VOIE>
...
</FACTURE>
</FOURNISSEUR>
<SUMMARY>
<SUM_ENT_AMT>61435</SUM_ENT_AMT>
<SUM_ACCTD_AMT>58264.68</SUM_ACCTD_AMT>
<TAX_CODE>UE22%</TAX_CODE>
</RÉSUMÉ>
</LISTE DE FACTURES>
Le rapport doit afficher chaque FOURNISSEUR et ses données DE FACTURATION avec une
section RÉSUMÉ qui n’apparaît que sur la dernière page, placée au bas de la page. Le

17-52Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
modèle pour cela est illustré dans la figure suivante :

Modèle Page Un

Insérez un saut de section Microsoft Word (tapez : page suivante) sur la première page du
modèle. Pour la dernière page, insérez de nouveaux caractères de ligne pour positionner le
tableau récapitulatif au bas de la page. Le tableau récapitulatif est illustré dans la figure suivante
:

Mise en page de la dernière page uniquement

Dans cet exemple :


• Les composants F et E contiennent les instructions de regroupement pour chaque.

• Les champs de rapport grisés sont des espaces réservés pour les éléments XML.

• Le champ « Espace réservé de dernière page » contient la syntaxe :


<?start@last-page:corps?><?fin du corps?>
pour déclarer la dernière mise en page. Tout contenu au-dessus ou au-dessous de cette
déclaration apparaîtra uniquement sur la dernière page. Le contenu au-dessus de la
déclaration est considéré comme le
Création d’un modèle
RTF1
7-53
l’en-tête et le contenu sous la déclaration sont considérés comme le pied de page.

Si vos rapports contiennent des en-têtes et des pieds de page que vous souhaitez reporter sur la
dernière page, vous devez les réinsérer sur la dernière page. Pour plus d’informations sur les en-
têtes et les pieds de page, voir Définition des en-têtes et des pieds de page, page 17-16.
Vous devez insérer un saut de section (tapez : page suivante) dans le document pour spécifier
la dernière mise en page. Cet exemple est disponible dans le dossier samples de l’installation
d’Oracle BI Publisher Template Builder for Word.
Étant donné que le comportement par défaut d’une nouvelle section dans un document
consiste à réinitialiser la numérotation de la page, le numéro de page de la dernière page
sera réinitialisé. Pour continuer la numérotation des pages de la section précédente,
utilisez la commande suivante :
<?numéro-de-page-initiale:'auto'?>

Cette commande permettra la poursuite de la numérotation des pages de la section


précédente.
Il est important de noter que si le rapport ne fait qu’une page, la première mise en page sera
utilisée. Si votre dépôt nécessite qu’un rapport d’une seule page corresponde par défaut à la
dernière mise en page (par exemple, dans une implémentation d’impression de chèques), vous
pouvez utiliser la syntaxe alternative suivante pour l’espace réservé de dernière page sur la
dernière page :
<?start@last-page-first:body?><?end body?>
La substitution de cette syntaxe entraînera la dernière mise en page pour les rapports d’une
seule page.

Terminer sur la page paire ou Terminer sur la page impaire


Remarque : Cette fonctionnalité est prise en charge uniquement pour les
sorties PDF et PDF. Il n’est pas pris en charge pour les sorties RTF et
HTML.

Si votre rapport présente différentes mises en page impaires et paires, vous pouvez forcer votre
rapport à se terminer spécifiquement sur une page impaire ou paire. Par exemple, vous pouvez
inclure les termes et conditions d’un bon de commande dans le pied de page de votre rapport en
utilisant les différentes fonctionnalités odd/even footer (voir Different First Page and Different
Odd and Even Page Support, page 17-17) et vous voulez vous assurer que les termes et
conditions sont imprimés sur la dernière page.
Ou, vous pouvez avoir des exigences contraignantes pour que votre rapport se termine sur
une page paire, sans mise en page spécifique.
Pour terminer sur une page paire avec mise en page :
Insérez la syntaxe suivante dans un champ de formulaire de votre modèle :
<?section:force-page-count;' end-on-even-layout'?>

Pour terminer sur une mise en page étrange :


<?section:force-page-count;' end-on-odd-layout'?>

17-54Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Si vous n’avez pas d’exigences de mise en page pour la dernière page, mais que vous
souhaitez qu’une page vierge soit éjectée pour forcer le nombre de pages à la valeur impaire
ou paire préférée, utilisez la syntaxe suivante :
<?section:force-page-count;' end-on-even'?>

ou
<?section:force-page-count;' end-on-odd'?>

Hyperliens
Remarque : Les liens hypertexte sont pris en charge pour les sorties PDF,
RTF, HTML, PPT et Excel .

BI Publisher prend en charge plusieurs types de liens hypertexte. Les hyperliens peuvent être
fixes ou dynamiques et peuvent être liés à des destinations internes ou externes. Des liens
hypertexte peuvent également être ajoutés aux formes.
• Pour insérer des liens hypertexte statiques dans du texte ou une forme, utilisez la
fonction d’insertion de lien hypertexte de votre application de traitement de texte :
1. Sélectionnez le texte ou la forme.

2. Utilisez le menu droit de la souris pour sélectionner Lien hypertexte ou


sélectionnez Lien hypertexte dans le menu Insertion.

3. Entrez l’URL à l’aide de l’une des méthodes fournies dans la boîte de dialogue
Insérer un lien hypertexte.

La capture d’écran suivante montre l’insertion d’un lien hypertexte statique à l’aide de la
boîte de dialogue Insérer un lien hypertexte de Microsoft Word.

Création d’un modèle


RTF1
7-55
• Si vos données XML d’entrée incluent un élément qui contient un lien hypertexte ou une
partie d’un lien hypertexte, vous pouvez créer des liens hypertexte dynamiques au moment
de l’exécution. Dans le champ Tapez le nom du fichier ou de la page Web de la boîte de
dialogue Insérer un lien hypertexte, entrez la syntaxe suivante :
{URL_LINK}
where URL_LINK est le nom de l’élément de données entrant.
Si vous avez une URL fixe que vous souhaitez ajouter des éléments à partir de votre
fichier de données XML pour construire l’URL, entrez la syntaxe suivante :
http://www.oracle.com?product={PRODUCT_NAME} où
PRODUCT_NAME est le nom de l’élément de données entrant.
Dans ces deux cas, au moment de l’exécution, l’URL dynamique sera construite.
La figure suivante illustre l’insertion d’un lien hypertexte dynamique à l’aide de la boîte de
dialogue Insérer un lien hypertexte de Microsoft Word . L’élément de données
SUPPLIER_URL à partir du fichier XML entrant contiendra le lien hypertexte qui sera
inséré dans le rapport au moment de l’exécution.

17-56Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Vous pouvez également transmettre des paramètres au moment de l’exécution pour créer
une URL dynamique.
Entrez les noms des paramètres et des éléments entourés d’accolades pour créer l’URL
comme suit :
{URL_$SERVER} {$REPORT}/cstid={CUSTOMER_ID}

où SERVER_URL et REPORT sont des paramètres transmis au modèle au moment de


l’exécution (notez le signe $) et CUSTOMER_ID est un élément de données XML. Ce lien
peut s’afficher sous la forme : http://myserver.domain:8888/CustomerReport/cstid=1234

Insertion de liens internes


Insérez des liens internes dans votre modèle à l’aide de la fonctionnalité Signet de Microsoft
Word.
1. Placez votre curseur dans la destination souhaitée dans votre document.

2. Sélectionnez Insérer >Bookmark.. .

3. Dans la boîte de dialogue Signet , entrez un nom pour ce signet, puis sélectionnez Ajouter.

4. Sélectionnez le texte ou la forme de votre document que vous souhaitez lier à la


cible signet.

5. Utilisez le menu droit de la souris pour sélectionner Lien hypertexte ou sélectionnez Lien
hypertexte dans le menu Insertion.

Création d’un modèle


RTF1
7-57
6. Dans la boîte de dialogue Insérer un lien hypertexte , sélectionnez Signet.

7. Choisissez le signet que vous avez créé dans la liste.

Au moment de l’exécution, le lien sera conservé dans votre rapport généré.

Table des matières


Remarque : La fonction de table des matières est prise en charge pour les
sorties PDF et PPT. La prise en charge RTF est limitée : après la génération
du rapport, l’utilisateur doit appuyer sur F9 pour réinitialiser les numéros de
page.

BI Publisher prend en charge la fonctionnalité de génération de table des matières de la spécification


RTF.
Suivez les procédures de votre application de traitement de texte pour insérer une table des matières.
BI Publisher offre également la possibilité de créer des en-têtes de section dynamiques dans votre
document à partir des données XML. Vous pouvez ensuite incorporer these dans une table des
matières.
Pour créer des en-têtes dynamiques :
1. Entrez un espace réservé pour l’en-tête dans le corps du document et mettez-le en forme en
tant que « En-tête », à l’aide de la fonction de style de votre application de traitement de
texte. Vous ne pouvez pas utiliser de champs de formulaire pour cette fonctionnalité.
Par exemple, vous souhaitez que votre rapport affiche un en-tête pour chaque société
signalée. Le nom de la balise d’élément de données XML est <COMPANY_NAME>.
Dans votre modèle, entrez < ? COMPANY_NAME ?> l’endroit où vous souhaitez que
l’en-tête apparaisse. Maintenant, formatez le texte en tant que Heading.

2. Créez une table des matières à l’aide de la fonctionnalité de table des matières de votre
application de traitement de texte.

Au moment de l’exécution, les espaces réservés de la table des matières et le texte d’en-tête seront
remplacés.

Génération de signets dans la sortie PDF


Si vous avez défini une table des matières dans votre modèle RTF, vous pouvez utiliser votre
définition de table des matières pour générer des liens dans l’onglet Signets du volet de
navigation de votre fichier PDF de sortie. Les signets peuvent être statiques ou générés
dynamiquement.
Important : Notez que la prise en charge des signets dans les modèles RTF est
limitée à un signet à point unique. Il s’agit d’autoriser la fonctionnalité de lien
(Goto) dans le document. Les tableaux dans les signets ne sont pas pris en
charge.

Pour plus d’informations sur la création de la table des matières, voir Table des matières, pages 17-
58.
• Pour créer des liens vers une table des matières statique :

17-58Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Entrez la syntaxe :
<?copier-vers-signet:?>
directement au-dessus de votre table des matières et
<?fin de la copie au signet:?>
directement sous la table des matières.

• Pour créer des liens pour une table des matières


dynamique : Entrez la syntaxe :
<?convert-to-bookmark:?> directement au-
dessus de la table des matières et
<?end convert-to-bookmark:?> directement
sous la table des matières.

Pour contrôler l’état initial du signet à l’ouverture du fichier PDF, utilisez la commande
suivante :
<?collapse-bookmark:state;level?>


state peut avoir les valeurs suivantes :
• masquer - réduit les entrées de la table des matières

• show - développe les entrées de la table des matières

et
level définit le niveau de réduction de la table des matières. Par exemple : « 1 » réduit le premier
niveau d’entrées de la table des matières ; « 2 » réduit les entrées de premier et deuxième niveaux.
Utilisez cette commande avec <?copy-to-bookmark:?> et <?convert-to-
bookmark:?> comme illustré dans les exemples suivants :
• Pour créer une table des matières statique qui masque les entrées de niveau 1 et de
niveau 2 de la table des matières, entrez ce qui suit :
<?copy-to-bookmark:?> <?collapse-
bookmarkt:hide;2?> directement au-dessus de
votre table des matières et
<?end copy-to-bookmark:?> directement

sous la table des matières.

• Pour créer des liens pour une table des matières dynamique qui affiche les niveaux 1 et 2
de la table des matières développée, entrez ce qui suit :
<?convert-to-bookmark:> <?collapse-
bookmark:show;2?>

Création d’un modèle


RTF1
7-59
directement au-dessus de la table des matières et
<?end convert-to-bookmark:?>

directement sous la table des matières.

Cases à cocher
Remarque : Les cases à cocher ne sont prises en charge que dans la sortie PDF.

Vous pouvez inclure une case à cocher dans votre modèle que vous pouvez définir pour
l’afficher comme cochée ou décochée en fonction d’une valeur des données entrantes.
Pour définir une case à cocher dans votre modèle :
1. Placez le curseur dans votre modèle à l’endroit où vous souhaitez que la case à cocher
s’affiche, puis activez le champ Formulaire de case à cocher dans la barre d’outils
Formulaires (illustré dans la figure suivante).

2. Cliquez avec le bouton droit sur le champ pour ouvrir la boîte de dialogue Options de champ
de formulaire de case à cocher.

3. Spécifiez la valeur par défaut comme étant Cochée ou Non vérifiée.

4. Dans la boîte de dialogue Texte d’aide du champ de formulaire, entrez les critères de
comportement de la zone. Il doit s’agir d’une expression booléenne (c’est-à-dire une
expression qui renvoie un résultat vrai ou faux).
Par exemple, supposons que vos données XML contiennent un élément appelé <population>.
Vous souhaitez que la case à cocher apparaisse cochée si la valeur de <population> est
supérieure à
10 000. Entrez ce qui suit dans le champ de texte d’aide :
<?population>10000?>

Ceci est illustré dans la figure suivante :

17-60Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Notez que vous n’avez pas besoin de construire une instruction « if ». L’expression est
traitée comme une instruction « if ».
Reportez-vous à la section suivante pour obtenir un exemple de modèle utilisant une case à cocher.

Listes déroulantes
BI Publisher vous permet d’utiliser le champ de formulaire déroulant pour créer une référence
croisée dans votre modèle à partir de vos données XML vers une autre valeur que vous
définissez dans le champ de formulaire déroulant.
Par exemple, supposons que vous disposiez du code XML suivant :

Création d’un modèle


RTF1
7-61
<pays>
<pays>
<nom>Chad</nom>
<population>7360000</population>
<continentIndex>5</continentIndex>
</pays>
<pays>
<nom>Chine</nom>
<population>1265530000</population>
<continentIndex>1</continentIndex>
</pays>
<country>
<nom>Chile</nom>
<population>14677000</population>
<continentIndex>3</continentIndex>
</pays>
...
</pays>
Notez que chaque entrée <pays> a une entrée <continentindex>, qui est une valeur
numérique pour représenter le continent. À l’aide du champ de formulaire déroulant, vous
pouvez créer un index dans votre modèle qui croisera la valeur <continentindex> au nom
réel du continent. Vous pouvez ensuite afficher le nom dans votre rapport publié.
Pour créer l’exemple d’index pour le continent :
1. Placez le curseur dans votre modèle à l’endroit où vous souhaitez que la valeur de la liste
déroulante s’affiche, puis sélectionnez le champ de formulaire déroulant dans la barre
d’outils Formulaires (illustrée dans la figure suivante).

2. Cliquez avec le bouton droit sur le champ pour afficher la boîte de dialogue Options de champ
de formulaire déroulant.

3. Ajoutez chaque valeur au champ Élément déroulant et cliquez sur Ajouter pour l’ajouter
au groupe de liste déroulante Éléments. Les valeurs seront indexées à partir de une pour
la première, et ainsi de suite. Par exemple, la liste des continents sera stockée comme suit :

Valeur de l’indice

1Asie

2Amérique du Nord

17-62Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Valeur de l’indice

3Amérique du Sud

4Europérence

5Afrique

6Australie

4. Utilisez maintenant la zone Texte d’aide pour entrer le nom de l’élément XML qui
contiendra l’index des valeurs de champ déroulant.
Pour cet exemple, entrez
<?continentIndex?>

La figure suivante montre les boîtes de dialogue Options de champ de formulaire


déroulantes pour cet exemple :

À l’aide des fonctionnalités de case à cocher et de liste déroulante, vous pouvez créer un
rapport pour afficher les données de population avec des cases à cocher pour illustrer les
chiffres qui atteignent une certaine limite. Un exemple est illustré dans la figure suivante :

Création d’un modèle


RTF1
7-63
Le modèle pour créer ce rapport est illustré dans la figure suivante :

où les champs ont les valeurs suivantes :

Champ Saisie de champ de formulaire Description

FE <?pour chaque:pays?> Commence le groupe de répétition du pays.

Chine <?nom?> Espace réservé pour l’élément name .

1,000,000 <?population?> Espace réservé pour l’élément population .

(case à cocher) <?population>1000000?> Établit la condition de la case à cocher. Si l'


la valeur de l’élément population est supérieure à
1 000 000, la case à cocher s’affichera comme cochée.

Asie <?contintentIndex?> Le champ de formulaire déroulant pour le


élément continentIndex . Voir ce qui précède
description de son contenu. Au moment de l’exécution, la
valeur de
l’élément XML est remplacé par la valeur qu’il est
référence croisée dans le champ de formulaire déroulant .

L’EFE <?end for each?> Termine le groupe de pays .

Mise en forme conditionnelle


Remarque : Voir également Insertion d’une région conditionnelle, pages 18-
28 et Insertion d’un format conditionnel, pages 18-29 dans le chapitre «
Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour Word ».

La mise en forme conditionnelle se produit lorsqu’un élément de mise en forme apparaît uniquement
lorsqu’un certain

17-64Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
la condition est remplie. BI Publisher prend en charge l’utilisation d’instructions « if »
simples, ainsi que d’expressions « choose » plus complexes.
La mise en forme conditionnelle que vous spécifiez peut être du code XSL ou XSL:FO, ou
vous pouvez spécifier des objets RTF réels tels qu’une table ou des données. Par exemple,
vous pouvez spécifier que si les nombres signalés atteignent un certain seuil, ils s’afficheront
ombrés en rouge. Vous pouvez également utiliser cette fonctionnalité pour masquer des
colonnes ou des lignes de table en fonction des données XML entrantes.

Si les relevés
Utilisez une instruction if pour définir une condition simple , par exemple, si un champ de
données est une valeur spécifique.
1. Insérez la syntaxe suivante pour désigner le début de la zone conditionnelle.
<?si:condition?>

2. Insérez la syntaxe suivante à la fin de la zone conditionnelle : <?end if?>.

Par exemple, pour configurer le registre des factures des comptes fournisseurs afin qu’il
affiche les factures uniquement lorsque le nom du fournisseur est « Société A », insérez la
syntaxe <?if:VENDOR_NAME='ENTREPRISE A'?> avant le champ Fournisseur du modèle.
Entrez la balise <?end if?> après le tableau des factures.
Cet exemple est illustré dans la figure ci-dessous. Notez que vous pouvez insérer la syntaxe
dans les champs de formulaire ou directement dans le modèle.

Instructions If dans un texte standard


Supposons que vous souhaitiez incorporer une instruction « if » dans le texte de forme libre
suivant :

Création d’un modèle


RTF1
7-65
Le programme a été (pas) couronné de succès.
Vous ne souhaitez que le « not » s’affiche si la valeur d’une balise XML appelée <SUCCESS>
est égale à « N ».
Pour répondre à cette exigence, vous devez utiliser la commande de contexte BI Publisher
pour placer l’instruction if dans la séquence en ligne plutôt que dans le bloc (le placement par
défaut).
Remarque : Pour plus d’informations sur les commandes contextuelles, voir
Utilisation des commandes contextuelles, pages 17 à 129.

Par exemple, si vous construisez le code comme suit :


Le programme a été <?if:SUCCESS='N'?>not<?end if?> réussi.

Le résultat indésirable suivant se produira :


Le programme était
non
réussi.
car BI Publisher applique les instructions au bloc par défaut. Pour spécifier que l’instruction if
doit être insérée dans la séquence en ligne, entrez ce qui suit :
Le programme était <?if@inlines:SUCCESS='N'?>pas<?fin si?> réussi.
Cette construction se traduira par l’affichage suivant:
Le programme a été couronné de succès.

Si SUCCESS n’est pas égal à 'N';


ou
Le programme n’a pas été couronné de succès.

Si SUCCESS est égal à 'N'.

Instructions If-then-Else
BI Publisher prend en charge la construction de programmation commune « if-then-else ». Ceci
est extrêmement utile lorsque vous devez tester une condition et afficher conditionnellement un
résultat. Par exemple:
SI X=0 ALORS
Y=2
AUTRE
Y=3
FIN SI
Vous pouvez également imbriquer ces instructions comme suit :

17-66Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
SI X=0 ALORS
Y=2
AUTRE
SI X=1 ALORS
Y=10
SINON Y=100
FIN SI
Utilisez la syntaxe suivante pour construire une instruction if-then-else dans votre modèle RTF :
<?xdofx:if element_condition then result1 else result2 end if?>

Par exemple, l’instruction suivante teste la valeur de l’élément AMOUNT. Si la valeur est
supérieure à 1000, affichez le mot « Supérieur »; s’il est inférieur à 1000, indiquez le mot
« Inférieur »; si it est égal à 1000, indiquez « Égal » :
<?xdofx:si LE MONTANT > 1000, alors 'Supérieur'
autre
si AMOUNT < 1000 alors 'Inférieur'
autre
« Égal »
fin si?>

Choisir des relevés


Utilisez les éléments choose, when et else pour exprimer plusieurs tests conditionnels. Si
certaines conditions sont remplies dans les données XML entrantes, des sections spécifiques du
modèle seront rendues. Il s’agit d’une fonctionnalité très puissante du modèle RTF. Dans la
programmation XSL normale, si une condition est remplie dans la commande choose, du code
XSL supplémentaire est exécuté. Dans le modèle, cependant, vous pouvez réellement utiliser
des widgets visuels dans le flux conditionnel (dans l’exemple suivant, un tableau).
Utilisez la syntaxe suivante pour ces éléments :
<?choisir:?>
<?quand:expression?>
<?sinon?>

Exemple de mise en forme conditionnelle « Choisir »


Cet exemple montre une expression de choix dans laquelle l’affichage d’une ligne de données
dépend de la valeur des champs EXEMPT_FLAG et POSTED_FLAG. Lorsque l'
EXEMPT_FLAG est égal à « ^ », la ligne de données sera rendue gris clair. Quand
POSTED_FLAG est égal à « * », la ligne de données sera gris foncé ombrée. Sinon, le
La ligne de données s’affiche sans ombrage.
Dans la figure suivante, le texte par défaut du champ de formulaire s’affiche. Les instructions
de texte d’aide du champ de formulaire sont affichées dans le tableau suivant l’exemple.

Création d’un modèle


RTF1
7-67
Entrée de texte par défaut dans un exemple de champ de formulaire Saisie de texte d’aide dans un champ de formulaire

<Grp:TVA <?pour chacun:G_VAT?>

démarre le groupe G_VAT

<Choisissez <?choisir:?>

ouvre l’instruction choose

<Quand EXEMPT_FLAG='^' <?quand: EXEMPT_FLAG='^'?>

teste l’élément EXEMPT_FLAG, si la valeur est


true, utilisez le premier tableau affiché

Fin quand> <?fin quand?>

termine le test de
EXEMPT_FLAG

<Quand POSTED_FLAG='*'
<?quand:POSTED_FLAG='*'?>

teste l’élément POSTED_FLAG, si la valeur est


true, utilisez le tableau suivant

Fin quand>
<?fin quand?>

termine le test de
POSTED_FLAG

17-68Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Saisie de texte par défaut dans un exemple de Saisie de texte d’aide dans le champ de
champ de formulaire formulaire

Autrement <?sinon:?>
Si aucun des éléments ci-dessus n’est vrai, utilisez le
tableau suivant

Fin autrement> <?fin autrement?>


met fin à l’instruction otherwise

Choix de fin> <?fin choisir?>


termine l’instruction choose

Fin de la TVA> <?end for each?>


termine le groupe G_VAT

Mise en forme des colonnes


Vous pouvez afficher et masquer conditionnellement des colonnes de données dans la sortie
de votre document. L’exemple suivant montre comment configurer une table de sorte qu’une
colonne ne s’affiche qu’en fonction de la valeur d’un attribut d’élément.
Cet exemple montre un rapport d’une liste de prix, représenté par le code XML suivant :
<items type="PUBLIC"> <! - peut être marqué 'PRIVÉ' - > <ititem>
<nom>Plasma TV</nom>
<quantité>10</quantité>
<prix>4000</prix>
</article>
<>
<nom>Lecteur DVD</nom>
<quantité>3</quantité>
<prix>300</prix>
</article>
<>
<nom>CRV</nom>
<quantité>20</quantité>
<prix>200</prix>
</article>
<>
<nom>Réceiver</nom>
<quantité>22</quantité>
<prix>350</prix>
</article>
</articles>
Notez l’attribut type associé à l’élément items . Dans ce XML, il est marqué comme
« PUBLIC », ce qui signifie que la liste est une liste publique plutôt qu’une liste « PRIVÉE ».
Pour la version « publique » de la liste, nous ne voulons pas afficher la colonne de quantité
dans la sortie,

Création d’un modèle


RTF1
7-69
mais nous voulons développer un seul modèle pour les deux versions en fonction du type de liste.
La figure suivante est un modèle simple qui affichera ou masquera conditionnellement la
colonne de quantité :

Le tableau suivant montre les entrées effectuées dans le modèle pour l’exemple :

Texte Par défautForme entrée de champDescription

grp:Élément <?pour-chaque:élément?> Maintient l’ouverture pour chaque


boucle de l’élément item .

Télévision à écran plasma <?nom?> Espace réservé pour l’élément


name du fichier XML.

Ouverture de l’instruction if pour


SI <?if@column:/items/@type="P tester la valeur d’attribut « PRIVATE
RIVATE »?> » dans l’en-tête de colonne. Notez que
cette syntaxe utilise une expression
XPath pour revenir au niveau
« items » du code XML pour tester
l’attribut. Pour plus d’informations sur
l’utilisation de XPath dans vos
modèles, consultez Vue d’ensemble de
XPath, page 17-132.

Quantité N/A Titre standard

end-if <?fin si?> Termine l’instruction if.

SI <?if@column:/items/@type="P Ouverture de l’instruction if pour


tester la valeur d’attribut «
RIVATE »?>
PRIVATE » dans les données de
colonne.

20 <?quantité?> Espace réservé pour l’élément


quantity.

end-if
<?fin si?> Termine l’instruction if.

1,000.00
<?prix?> Espace réservé pour l’élément
price .

17-70Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Texte par défaut Saisie de champ de formulaire Description

extrémité grp <?end for each?> Balise de fermeture de la boucle for-each.

La syntaxe de colonne conditionnelle est la syntaxe de l’instruction « if » avec l’ajout de la


clause @column. Il s’agit de la clause @column qui indique à BI Publisher de masquer ou
d’afficher la colonne en fonction du résultat de l’instruction if.
Si vous n’avez pas inclus le @colum n les données ne s’afficheraient pas dans votre rapport à
la suite de l’instruction if, mais la colonne le ferait toujours parce que vous l’aviez dessinée
dans votre modèle.
Remarque : La clause @column est un exemple de commande
contextuelle. Pour plus d’informations, voir Utilisation des commandes
contextuelles, pages 17 à 129.

L’exemple affichera la sortie illustrée dans la figure suivante :

Si les mêmes données XML contenaient l’attribut type défini sur « PRIVATE », la sortie
suivante serait rendue à partir du même modèle :

Mise en forme des lignes


BI Publisher vous permet de spécifier des conditions de mise en forme comme niveau de ligne
d’un tableau.
Voici des exemples de mise en forme au niveau des lignes :
• Mise en surbrillance d’une ligne lorsque les données atteignent un certain seuil.

• Alternance des couleurs d’arrière-plan des lignes pour faciliter la lisibilité des rapports.

• Affichage uniquement des lignes qui répondent à une condition spécifique.

Création d’un modèle


RTF1
7-71
Affichage conditionnel d’une ligne
Pour afficher uniquement les lignes qui répondent à une certaine condition, insérez les balises
<?if:condition?> <?end if?> au début et à la fin de la ligne, dans les balises for-each du groupe.
Ceci est illustré dans l’exemple de modèle suivant.

Notez les champs suivants de l’exemple de figure :

Texte d’aide du champ de


Entrée de texte par défaut formulaire Description

pour chaque VENTE <?pour chacun:VENTE?> Ouvre la boucle for-each pour répéter
les données appartenant à la VENTE
groupe.

si grand <?if:VENTES>5000?> If pour afficher uniquement la ligne


si l’élément SALES a une valeur
supérieur à 5000.

INDUSTRIE <? INDUSTRIE?> Champ de données

ANNÉE <? ANNÉE?> Champ de données

MOIS <? MOIS?> Champ de données

Fin des ventes si <?fin si?> Ferme l’instruction if.

fin VENTE <?end for each?> Ferme la boucle SALE.

Mise en surbrillance conditionnelle d’une ligne


Cet exemple montre comment définir une couleur d’arrière-plan sur une ligne sur deux. Le
modèle permettant de créer cet effet est illustré dans la figure suivante :

Le tableau suivant indique les valeurs des champs de formulaire dans le modèle :

17-72Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Entrée de texte par
défaut Texte d’aide du champ de formulaire Description

pour chaque VENTE <?pour chacun:VENTE?> Définit l’ouverture de la boucle for-each


pour le groupe SALE.

le format; <?if@row:position() mod 2=0?> Pour chaque ligne alternative, l’arrière-plan


<xsl:attribut L’attribut color est défini sur gris pour la ligne.
name="couleur_arrière-plan »
xdofo:ctx="incontext">lumière</xsl:att
ribute><?end if?>

INDUSTRIE <? INDUSTRIE?> Champ de données

ANNÉE <? ANNÉE?> Champ de données

MOIS <? MOIS?> Champ de données

VENTES <? VENTES?> Champ de données

fin VENTE <?end for each?> Ferme la vente pour chaque boucle.

Dans l’exemple précédent, notez le champ « format; ». Il contient une instruction if avec un
contexte « row » (@row). Cela définit le contexte de l’instruction if à appliquer à la ligne active.
Si la condition est vraie, la <xsl:attribute> de la couleur d’arrière-plan de la ligne sera définie
sur gris clair. Cela se traduira par le résultat suivant :

Remarque : Pour plus d’informations sur les commandes


contextuelles, voir Utilisation des commandes contextuelles, pages 17
à 129.

Mise en surbrillance des cellules


L’exemple suivant montre comment mettre en surbrillance conditionnellement une cellule en
fonction d’une valeur dans le fichier XML.
Pour cet exemple, nous utiliserons le code XML suivant :

Création d’un modèle


RTF1
7-73
<comptes>
<compte>
<numéro>1-100-3333</numéro>
<débit>100</débit>
<crédit>300</crédit>
</compte>
<compte>
<numéro>1-101-3533</numéro>
<débit>220</débit>
<crédit>30</crédit>
</compte>
<compte>
<numéro >1-130-3343</numéro>
<débit>240</débit>
<crédit>1100</crédit>
</compte>
<compte>
<numéro>1-153-3033</numéro>
<débit>3000</débit>
<crédit>300</crédit>
</compte>
</comptes>
Le modèle répertorie les comptes et leurs valeurs de crédit et de débit. Dans le rapport final,
nous voulons mettre en évidence en rouge tout cell dont la valeur est supérieure à 1000. Le
modèle correspondant est illustré dans la figure suivante :

Les définitions de champ du modèle sont indiquées dans le tableau suivant :

Entrée de texte par défautEntrée de champ de formulaireDescription

FE:Compte <?pour chaque:compte?> Ouvre le comptepour chaque


boucle de l’élément.
1-232-4444 <?nombre?> Espace réservé pour l’élément
number du fichier XML.

CH1 <?if:debit>1000?><xsl:attri bute Ce champ contient le code pour mettre


xdofo:ctx="block » name="background- en surbrillance la cellule rouge si le
montant du débit est supérieur à 1000.
color">red </xsl:attribute><?end if?>

<?débit?>
100.00 Espace réservé pour l’élément de
débit .

IMPORTANT : L’élément <?debit?>


doit résider dans son propre champ.

17-74Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Entrée de texte par défautEntrée de champ de formulaireDescription

CH2 <?if:credit>1000?><xsl:attr ibute Ce champ contient le code pour mettre


xdofo:ctx="block » name="background- en surbrillance la cellule rouge si le
color">red </xsl:attribute><?end if?> montant du crédit est supérieur à 1000.

<?crédit?>
100.00 Espace réservé pour l’élément de
crédit .

<?end for each?> Ferme la boucle for-each.


L’EFE

Le code pour mettre en surbrillance la colonne de débit comme indiqué dans le tableau est le
suivant :
<?if:débit>1000?>
<xsl:attribut
xdofo:ctx="block » name="background-color">red </xsl:attribute>
<?fin si?>
L’instruction « if » teste si la valeur débit débitée est supérieure à 1000. Si c’est le cas, les
lignes suivantes sont appelées. Notez que l’exemple incorpore du code XSL natif dans
l’instruction « if ».
L’élément « attribute » vous permet de modifier les propriétés dans le XSL.
Le composant xdofo:ctx est une fonctionnalité BI Publisher qui vous permet d’ajuster les
attributs XSL à n’importe quel niveau du modèle. Dans ce cas, la couleur d’arrière-plan
attribute est changée en rouge.
Pour modifier l’attribut color, vous pouvez utiliser les noms HTML standard (par
exemple, rouge, blanc, vert) ou la définition de couleur hexadécimale (par exemple,
#FFFFF).
La sortie de ce modèle est affichée dans la figure suivante :

Calculs au niveau de la page


Notez que tous les calculs au niveau de la page décrits dans cette section sont pris en charge
uniquement pour les sorties PDF et PPT.

Création d’un modèle


RTF1
7-75
Affichage des totaux des pages
BI Publisher vous permet d’afficher les totaux de page calculés dans votre rapport. Étant donné
que la page n’est pas créée avant l’heure de la publication, la fonction de totalisation doit être
exécutée par le moteur de mise en forme.
Remarque : Le total des pages est effectué dans le calque de mise en forme PDF. Donc
cette fonctionnalité n’est pas disponible pour les autres types de sorties : HTML, RTF,
Excel.

Remarque : Notez que cette fonction de totalisation de page ne


fonctionnera que si votre code XML source a des valeurs numériques
brutes. Les chiffres ne doivent pas être préformés.

Étant donné que le champ total de la page n’existe pas dans les données d’entrée XML, vous
devez définir une variable pour contenir la valeur. Lorsque vous définissez la variable, vous
l’associez à l’élément du fichier XML à totaliser pour la page. Une fois que vous avez défini le
total des champs, vous pouvez également effectuer des fonctions supplémentaires sur les
données de ces champs.
Pour déclarer la variable qui doit contenir le total de votre page, insérez la syntaxe suivante
immédiatement après l’espace réservé de l’élément à totaliser :
<?add-page-total:TotalFieldName;' élément'?>


TotalFieldName est le nom que vous attribuez à votre total (à référencer plus tard) et
'element' est le champ d’élément XML à totaliser.
Vous pouvez ajouter cette syntaxe au nombre total de champs que vous souhaitez totaliser.
Ensuite, lorsque vous souhaitez afficher le champ total, entrez la syntaxe suivante :
<?show-page-total:TotalFieldName;' Oracle-number-format'?>


TotalFieldName est le nom que vous avez attribué pour donner le champ total de la page ci-dessus et
Oracle-number-format est le format que vous souhaitez utiliser pour l’affichage, à l’aide du
masque de format Oracle (par exemple : C9G999D00). Pour obtenir la liste des symboles de
masque de format Oracle, voir Utilisation du masque de format Oracle, pages 17 à 116.
L’exemple suivant montre comment configurer des champs de total de page dans un modèle
pour afficher les crédits et débits totaux affichés sur la page, puis calculer le net des deux
champs.
Cet exemple utilise le code XML suivant :

17-76Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<balance_sheet>
<transaction>
<débit>100</débit>
<crédit>90</crédit>
</transaction>
<transaction>
<débit>110</débit>
<crédit>80</crédit>
</transaction>
...
<\balance_sheet>
La figure suivante montre le tableau à insérer dans le modèle pour contenir les valeurs :

Le tableau suivant indique les entrées de champ de formulaire effectuées dans le modèle pour
l’exemple de tableau :

Entrée de texte par Entrée de texte d’aide du champ de


défaut formulaire Description

FE <?pour chaque:transaction?> Ce champ définit l’ouverture


Boucle « pour chaque » pour la transaction
groupe.

100.00 <?débit?><?add-page-total:dt;' débit Ce champ est l’espace réservé pour


'?> l’élément debit du fichier XML. Étant
donné que nous voulons totaliser ce champ
par page, la syntaxe de déclaration totale de
page est ajoutée. La variable définie pour
contenir le total de l’élément de débit est dt.

90.00 <?credit?> <?add-page-total:ct;' crédit'?> Ce champ est l’espace réservé pour


l’élément credit du fichier XML. Étant
donné que nous voulons totaliser ce
champ par page, la syntaxe de déclaration
totale de page est ajoutée. La variable
définie pour contenir le total de l’élément
de crédit est ct.
Net <add-page-total:net;' débit -
Crée un total net de pages en soustrayant
crédit'?> les valeurs de crédit des valeurs de débit.

EFE <?end for-each?>


Ferme la boucle for-each.

Notez que sur la variable définie comme « net », nous effectuons en fait un calcul sur les
valeurs des éléments de crédit et de débit .

Création d’un modèle


RTF1
7-77
Maintenant que vous avez déclaré les champs de total de page, vous pouvez insérer un champ
dans votre modèle où vous souhaitez que les totaux de page apparaissent. Référencez les
variables calculées à l’aide des noms que vous avez fournis (dans l’exemple, ct et dt). La syntaxe
pour afficher les totaux de page est la suivante :
Par exemple, pour afficher le total de la page de débit, entrez ce qui suit :
<?show-page-total:dt;' C9G990D00';' (C9G990D00)'?>
Par conséquent, pour compléter l’exemple, placez ce qui suit au bas de la page du modèle ou
dans le pied de page :
Débit total de la page: <?show-page-total:dt;' C9G990D00';' (C9G990D00)'?>
Crédit total de la page: <?show-page-total:ct;' C9G990D00';' (C9G990D00)'?>
Solde total de la page: <?show-page-total:net;' C9G990D00';' (C9G990D00)'?>
Le résultat de ce rapport est illustré dans le graphique suivant :

Totaux reportés/reportés
De nombreux rapports exigent qu’un total de pages soit conservé tout au long de la sortie du
rapport et soit affiché au début et à la fin de chaque page. Ces totaux sont connus sous le nom de
totaux « avancés/reportés ».
Remarque : Le total des champs avancés et reportés est effectué dans le calque
de mise en forme PDF. Par conséquent, cette fonctionnalité n’est pas
disponible pour d’autres types de sorties: HTML, RTF, Excel.

Un exemple est illustré dans la figure suivante :

17-78Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
À la fin de la première page, le total de la page pour l’élément Montant est affiché en tant que
total reporté. En haut de la deuxième page, cette valeur est affichée en tant que total avancé
de la page précédente. Au bas de la deuxième page, la valeur reportée plus le total de ce page
est calculée et affichée comme la nouvelle valeur reportée, et cela se poursuit tout au long du
rapport.
Cette fonctionnalité est une extension de la fonctionnalité Totals de pages, pages 17 à 76.
L’exemple suivant décrit la syntaxe et la configuration requises pour répartir les totaux
avancés et reportés dans votre rapport publié.
Supposons que vous disposez du code XML suivant :
<?xml version="1.0 » encoding="WINDOWS-1252 »?>
<INVOICES>
<VOIE>
<INVNUM>10001-1</INVNUM>
<INVDATE>1-janv.-2005</INVDATE>
<INVAMT>100</INVOICEAMT>
</FACTURE>
<VOIE>
<INVNUM>10001-2</INVNUM>
<INVDATE>10-janv.-2005</INVDATE>
<INVAMT>200</INVOICEAMT>
</FACTURE>
<VOIE>
<INVNUM>10001-1</INVNUM>
<INVDATE>11-janv.-2005</INVDATE>
<INVAMT>150</INVOICEAMT>
</FACTURE>
...
</FACTURES>
L’exemple de modèle suivant crée la table de facturation et déclare un espace réservé qui
contiendra le total de votre page :

Les champs du modèle ont les valeurs suivantes :

Création d’un modèle


RTF1
7-79
Entrée de texte d’aide du champ de
Champ formulaire Description

Init PT <?init-page-total: InvAmt?> Déclare « InvAmt » comme espace réservé qui


contiendra le total de la page.

FE <?pour chaque:FACTURE?> Commence le groupe INVOICE.


Espace réservé pour la balise Numéro de
10001-1 <? INVNUM?> facture.

1-janv.-2005 <? INVDATE?> Espace réservé pour la balise Invoice Date.


Espace réservé pour la balise Montant de la
100.00 <? INVAMT?> facture.

InvAmt <?add-page-total:InvAmt;INVAMT?> Affecte l’objectif total de la page « InvAmt » à


l’élément INVAMT dans les données.

L’EFE <?end for each?> Ferme le groupe INVOICE.

Fin des PT <?end-page-total:InvAmt?> Ferme le total de la page « InvAmt ».

Pour afficher le total avancé en haut de chaque page (à l’exception de la première), utilisez la
syntaxe suivante :
<xdofo:total-en-ligne
display-condition="saufpremier »
name="InvAmt">
Mis en avant :
<xdofo:show-brought-forward
name="InvAmt »
format="99G999G999D00"/>
</xdofo:inline-total>
Le tableau suivant décrit les éléments composant la syntaxe avancée :

17-80Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Code, élémentDescription et utilisation

total en ligne Cet élément possède deux propriétés :


• name : nom de la variable que vous avez déclarée pour le champ.

• display-condition - définit la condition d’affichage. Il s’agit d’une propriété facultative qui prend l’une
des valeurs suivantes :

• premier - le contenu n’apparaît que sur la première page

• last - le contenu n’apparaît que sur la dernière page

• exceptfirst - le contenu apparaît sur toutes les pages sauf en premier

• exceptlast - le contenu apparaît sur toutes les pages sauf la dernière

• chaque fois - le contenu (par défaut) apparaît sur chaque page

Dans cet exemple, display-condition est défini sur « exceptfirst » pour empêcher
la valeur d’apparaître sur la première page où la valeur serait nulle.

Cette chaîne est facultative et s’affiche sous la forme du champ name sur le rapport.
Mis en avant :
Affiche la valeur sur la page. Il possède les deux propriétés suivantes :
spectacle-présenté-en-avant
• name : nom du champ à afficher. Dans ce cas, « InvAmt ». Cette propriété est obligatoire.

• format : format de nombre Oracle à appliquer à la valeur au moment de


l’exécution. Cette propriété est facultative, mais si vous souhaitez fournir un
masque de format, vous devez utiliser le masque de format Oracle. Pour plus
d’informations, consultez Utilisation du masque de format Oracle, page 17-116 .

Insérez l’objet avancé en haut du modèle à l’endroit où vous souhaitez que le total avancé
s’affiche. Si vous le placez dans le corps du modèle, vous pouvez insérer la syntaxe dans un
champ de formulaire.
Si vous souhaitez que le total avancé s’affiche dans l’en-tête, vous devez insérer la chaîne de
code complète dans l’en-tête, car Microsoft Word ne prend pas en charge les champs de
formulaire dans les régions d’en-tête ou de pied de page. Cependant, vous pouvez également
utiliser la syntaxe corps de début/corps de fin qui vous permet de définir quelle sera la zone de
corps du rapport. BI Publisher reconnaîtra tout contenu au-dessus de la zone de corps définie en
tant que contenu d’en-tête, et tout contenu en dessous en tant que pied de page. Cela vous permet
d’utiliser des champs de formulaire. Voir En-têtes et pieds de page multiples ou complexes,
pages 17-16 pour plus de détails.
Placez l’objet reporté au bas de votre modèle à l’endroit où vous souhaitez que le

Création d’un modèle


RTF1
7-81
total à afficher. L’objet reporté pour notre exemple est le suivant :
<xdofo:total-en-ligne
display-condition="exceptlast »
name="InvAmt">
Reporté :
<xdofo:show-carry-forward
name="InvAmt »
format="99G999G999D00"/>
</xdofo:inline-total>
Notez les différences suivantes avec l’objet avancé :
• La condition d’affichage est définie sur exceptlast afin que le total reporté s’affiche sur
chaque page à l’exception de la dernière page.

• La chaîne d’affichage est " Reporté vers l’avant ».

• L’élément show-carry-forward est utilisé pour afficher la valeur reportée. Il a les mêmes
propriétés que celles apportées-reportées, décrites ci-dessus.
Vous n’êtes pas limité à une seule valeur dans votre modèle, vous pouvez créer plusieurs objets
avancés/reportés dans votre template pointant vers divers éléments numériques dans vos
données.
Important : Assurez-vous de ne pas inclure les commandes <?init-page-
total:invAmnt?> et <?end-page-total:InvAmt?> comme indiqué dans
l’exemple précédent. Le calcul de la logique de condition d’affichage dépend
de ces commandes pour fonctionner correctement.

Totaux courants
Exemple
La fonctionnalité de variable (voir Utilisation de variables, pages 17-92) peut être utilisée
pour ajouter un total courant à votre rapport d’annonce de factures. Cet exemple suppose la
structure XML suivante :

17-82Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<?xml version="1.0 » encoding="WINDOWS-1252 »?>
<INVOICES>
<VOIE>
<INVNUM>10001-1</INVNUM>
<INVDATE>1-janv.-2005</INVDATE>
<INVAMT>100</INVOICEAMT>
</FACTURE>
<VOIE>
<INVNUM>10001-2</INVNUM>
<INVDATE>10-janv.-2005</INVDATE>
<INVAMT>200</INVOICEAMT>
</FACTURE>
<VOIE>
<INVNUM>10001-1</INVNUM>
<INVDATE>11-janv.-2005</INVDATE>
<INVAMT>150</INVOICEAMT>
</FACTURE>
</FACTURES>
À l’aide de ce code XML, nous voulons créer le rapport qui contient les totaux en cours
d’exécution, comme illustré dans la figure suivante :

Pour créer le champ Total en cours d’exécution, définissez une variable pour suivre le total et
initialisez-le à 0.
Le modèle est illustré dans la figure suivante :

Les valeurs des champs de formulaire dans le modèle sont indiquées dans le tableau suivant :

Champ de
formulaire Syntaxe Description

RtotalVar <?xdoxslt:set_variable($_XDOCTX, Déclare la variable « RTotalVar »


'RTotalVar', 0)?> et l’initialise à 0.

FE <?pour chaque:FACTURE?> Démarre le groupe Facture.

10001-1 <? INVNUM?> Étiquette de numéro de facture

1-janv.-2005 <? INVDATE?> Balise De date de facture


Création d’un modèle
RTF1
7-83
Champ de formulaireSyntaxDescription

100.00 <?xdoxslt:set_variable($_XDOCTX, Définit la valeur de RTotalVar sur la


'RTotalVar', valeur actuelle plus le nouveau
xdoxslt:get_variable($_XDOCTX, montant de la facture.
'RTotalVar') + INVAMT)?>
Récupère la valeur RTotalVar pour
<?xdoxslt:get_variable($_XDOCTX l’affichage.
, 'RTotalVar')?>

EFE <?end for-each?> Ends le groupe INVOICE.

Traitement des données

Classement
Vous pouvez trier un groupe en fonction de n’importe quel élément du groupe. Insérez la
syntaxe suivante dans les balises de groupe :
<?sort:nom de l’élément; ordre; type de données?>

nom de l’élément est le nom de l’élément par lequel vous souhaitez que le groupe soit trié
ordre is 'ascendant' ou 'descendant'
data-type est le type de données de l’élément. Les valeurs valides sont : 'text' et 'number'.
Si l’ordre n’est pas spécifié, par défaut, l’ordre de tri est croissant. Si le type de données n’est
pas spécifié, le type est supposé être du texte.
Par exemple, pour trier un ensemble de données par un élément nommé SALARY afin
que les salaires les plus élevés apparaissent en premier, entrez ce qui suit :
<?sort:SALAIRE;' descendant';' nombre'?>

Lorsque vous effectuez un tri dans un groupe pour chaque groupe, entrez l’instruction de tri
après l’instruction pour chaque groupe. Par exemple, pour trier le registre des factures
payables (indiqué au début de ce chapitre) par fournisseur (VENDOR_NAME), entrez ce
qui suit :
<?pour chacun:G_VENDOR_NAME?><?sort:VENDOR_NAME?>
Pour trier un groupe par plusieurs champs, entrez simplement des instructions de tri
supplémentaires dans l’ordre approprié. Par exemple, pour trier par fournisseur, puis par
numéro de facture, entrez ce qui suit
<?sort:VENDOR_NAME?> <?sort:INVOICE_NUM;' ascendant';' nombre'?>

17-84Oracle Fusion Middleware Report Guide de Designer pour Oracle Business Intelligence Publisher
Vérification des valeurs NULL
Dans vos données XML, il existe trois scénarios possibles pour la valeur d’un élément :
• L’élément est présent dans les données XML et a une valeur

• L’élément est présent dans les données XML, mais il n’a pas de valeur

• L’élément n’est pas présent dans les données XML et, par conséquent, il n’y a pas de valeur

Dans la mise en page de votre rapport, vous pouvez spécifier un comportement différent en
fonction de la présence de l’élément et de sa valeur. Les exemples suivants montrent comment
vérifier chacune de ces conditions à l’aide d’une instruction « if ». La syntaxe peut également
être utilisée dans d’autres constructions de mise en forme conditionnelle.
• Pour définir le comportement lorsque l’élément est présent et que la valeur n’est pas
null, procédez comme suit :
<?if:element_name!=' '?>comportement souhaité <?end if?>

• Pour définir le comportement lorsque l’élément est présent, mais qu’il est null, utilisez les
éléments suivants :
<?if:element_name et element_name= »?>comportement souhaité <?end if?>

• Pour définir le comportement lorsque l’élément n’est pas présent, procédez comme suit :
<?if:not(element_name)?>desired behavior <?end if?>

Regroupement des données XML


Le modèle RTF prend en charge la norme XSL 2.0 pour chaque groupe qui vous permet de
regrouper des données XML dans des hiérarchies qui ne sont pas présentes dans les données
d’origine. Avec cette fonctionnalité, votre modèle n’a pas besoin de suivre la hiérarchie du
fichier XML source. Vous n’êtes donc plus limité par la structure de votre source de données.

Exemple XML
Pour illustrer la norme pour chaque groupe, l’exemple de données XML following d’une liste
de catalogues de CD sera regroupé dans un modèle :

Création d’un modèle


RTF1
7-85
<CATALOG>
<CD>
<TITLE>Empire Burlesque</TITRE>
<ARTISTE>Bob Dylan</ARTISTE>
<PAYS>USA</PAYS>
<ENTREPRISE>Columbia</ENTREPRISE>
<PRIX>10.90</PRIX>
<ANNÉE>1985</ANNÉE>
</CD>
<CD>
<TITLE>Masquez votre cœur</TITRE>
<ARTISTE>Bonnie Tylor</ARTISTE>
<PAYS>ROYAUME-UNI</PAYS>
<Société>Sexpériences CBS</ENTREPRISE>
<PRIX>9.90</PRIX>
<ANNÉE>1988</ANNÉE>
</CD>
<CD>
<TITLE>Still got the blues</TITLE>
<ARTISTE>Gary More</ARTISTE>
<PAYS>ROYAUME-UNI</PAYS>
<ENTREPRISE>Virgin Records</ENTREPRISE>
<PRIX>10.20</PRIX>
<ANNÉE>1990</ANNÉE>
</CD>
<CD>
<TITLE>Il s’agit de US</TITLE>
<ARTISTE>Gary Lee</ARTISTE>
<PAYS>ROYAUME-UNI</PAYS>
<COMPANY>Virgin Records</ENTREPRISE>
<PRIX>12.20</PRIX>
<ANNÉE>1990</ANNÉE>
</CD>
À l’aide de la syntaxe de regroupement, vous pouvez créer un rapport de ces données qui
regroupe les CD par pays, puis par année. Vous n’êtes pas limité par la structure de données
présentée.

Regroupement de la syntaxe
Pour regrouper les données, utilisez la syntaxe suivante :
< pour chaque groupe : BASE-GROUP; ÉLÉMENT-GROUPEMENT?>

Par exemple, pour regrouper la liste des CD par PAYS, entrez ce qui suit dans votre
modèle :
<?pour chaque-groupe:CD;PAYS?>

Les éléments qui étaient au même niveau hiérarchique que COUNTRY sont maintenant des
enfants de COUNTRY. Vous pouvez ensuite vous référer aux éléments du groupe pour
afficher les valeurs souhaitées.
Pour établir des regroupements imbriqués au sein du groupe déjà défini, utilisez la syntaxe
suivante :
<?for-each:current-group(); ÉLÉMENT DE REGROUPEMENT?>

Par exemple, après avoir déclaré le regroupement de CD par PAYS, vous pouvez ensuite
regrouper par ANNÉE dans PAYS comme suit :
<?for-each:current-group(); ANNÉE?>

17-86Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Au moment de l’exécution, BI Publisher parcourt en boucle les occurrences des
nouveaux regroupements, affichant les champs que vous avez définis dans votre modèle.
Remarque : Cette syntaxe est une simplification de la syntaxe XSL pour
chaque groupe. Si vous choisissez de ne pas utiliser la syntaxe simplifiée ci-
dessus, vous pouvez utiliser la syntaxe XSL comme indiqué ci-dessous. La
syntaxe XSL ne peut être utilisée que dans un champ de formulaire du
template.
<xsl:pour-chaque-groupe
select=expression
group-by="expression de chaîne »
group-adjacent="expression de chaîne »
group-starting-with=pattern>
<!--Content: (xsl:sort*, content-constructor) --> </xsl:for-each-group>

Exemple de modèle
La figure suivante montre un modèle qui affiche les CD par pays, puis par année, et
répertorie les détails de chaque CD :

Le tableau suivant présente les entrées de syntaxe BI Publisher effectuées dans les champs de
formulaire du modèle précédent :

Entrée de texte par Entrée de texte d’aide du champ de


défaut formulaire Description

Groupe par pays <?pour chaque-groupe:CD;PAYS?> Le


<?pour chaque-groupe:CD;PAYS?>
déclare le nouveau groupe. Il se regroupe
le groupe de CD existant par le
ÉLÉMENT PAYS.

Espace réservé pour afficher la valeur des


ÉTATS-UNIS <? PAYS?> données
de la balise COUNTRY.

Création d’un modèle


RTF1
7-87
Entrée de texte par défautChamp de formulaire Aide Entrée de texteDescription

Groupe par année <?pour chaque-groupe:current-grou p(); Le


ANNÉE?> <?pour chaque-groupe:grou-actuel
p(); La balise YEAR?> regroupe le
groupe actuel (c’est-à-dire COUNTRY)
par l’élément YEAR.

Espace réservé pour afficher la valeur de


2000 <? ANNÉE?>
données de la balise YEAR.

Une fois les données regroupées par


Groupe : Détails <?pour chacun:groupe_courant()?> PAYS puis par ANNÉE, la <?for-
each:current-group()?>
permet de parcourir en boucle les
éléments du groupe actuel (c’est-à-dire
YEAR) et d’afficher les valeurs de
données (TITLE, ARTIST et PRICE)
dans la table.

Espace réservé pour afficher la valeur de


données de la balise TITLE.
Mon CD
<? TITRE?>
Espace réservé pour afficher la valeur de
données de la balise ARTIST.
John Doe
<? ARTISTE?>
Espace réservé pour afficher la valeur de
données de la balise PRICE.
1.00
<? PRIX?>
Ferme le
<?pour chacun:groupe_courant()?>
Groupe final étiquette.
<?fin pour chaque?>
Ferme le
<?pour chaque-groupe:grou-actuel
Fin de groupe par année p(); ANNÉE?balise > .
<?fin pour chaque groupe?>
Ferme le
< balise >?for-each-
Groupe final par pays group:CD;COUNTRY? .
<?fin pour chaque groupe?>

Ce modèle produit la sortie suivante lorsqu’il est fusionné avec le fichier XML :

17-88Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Regroupement par une expression
Le regroupement par une expression vous permet d’appliquer une fonction ou une
commande à un élément de données, puis de regrouper les données en fonction du résultat
renvoyé.
Pour utiliser cette fonctionnalité, indiquez l’expression dans la syntaxe de regroupement comme
suit :
<?pour chacun:BASE-GROUP; EXPRESSION-GROUPE?>
Exemple
Pour illustrer cette fonctionnalité, un exemple de données XML qui contient simplement des
températures moyennes par mois sera utilisé comme entrée dans un modèle qui calcule le
nombre de mois ayant une température moyenne dans une certaine plage.
L’exemple XML suivant est composé de groupes <temp>. Chaque groupe <temp>
contient un élément <mois> et un élément <degré>, qui contient la température moyenne
pour ce mois:

Création d’un modèle


RTF1
7-89
<temps>
<temp>
<mois>jan</mois>
<degré >11</degré>
</temp>
<temp>
<mois>février</mois>
<degré >14</degré>
</temp>
<temp>
<mois>mars</mois>
<degré >16</degré>
</temp>
<temp>
<mois>avr</mois>
<degré >20</degré>
</temp>
<temp>
<mois>mai</mois>
<degré >31</degré>
</temp>
<temp>
<mois>juin</mois>
<degré >34</degré>
</temp>
<temp>
<mois>juil</mois>
<degré >39</degré>
</temp>
<temp>
<mois>août</mois>
<degré >38</degré>
</temp>
<temp>
<mois>Sep</mois>
<degré >24</degré>
</temp>
<temp>
<mois>oct</mois>
<degré >28</degré>
</temp>
<temp>
<mois>nov</mois>
<degré >18</degré>
</temp>
<temp>
<mois>déc</mois>
<degré >8</degré>
</temp>
</temps>
Vous souhaitez afficher ces données dans un format indiquant les plages de température et le
nombre de mois qui ont une température moyenne pour satisfaire ces plages, comme suit :

17-90Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
À l’aide de la commande for-each-group, vous pouvez appliquer une expression à l’élément
<degree> qui vous permettra de regrouper les températures par incréments de 10 degrés.
Vous pouvez ensuite afficher un décompte des membres de chaque groupe, qui sera le
nombre de mois ayant une température moyenne qui se situe dans chaque plage.
Le modèle pour créer le rapport ci-dessus est illustré dans la figure suivante :

Le tableau suivant indique les entrées de champ de formulaire effectuées dans le modèle :

Entrée de texte par défautForm Field Aide Saisie de texte

Groupe par TmpRng <?pour chaque groupe:temp;floor(degré div 10)?>

<?sort:floor(degré div 10)?>

Gamme <?concat(floor(degré div 10)*10,' F à ',floor(degré div 10)*10+10, 'F')?>

Mois <?count(current-group())?>

Fin TmpRng <?fin pour chaque groupe?>

Notez ce qui suit à propos des balises de champ de formulaire :


• La <?for-each-group:temp;floor(degree div 10)?> est la balise de regroupement. Il spécifie que
pour le groupe <temp> existant , les éléments doivent être regroupés par l’expression
floor(degré div 10). La fonction floor est une fonction XSL qui renvoie l’entier le plus élevé
qui n’est pas supérieur à l’argument

Création d’un modèle


RTF1
7-91
(par exemple, 1.2 renvoie 1, 0.8 renvoie 0).
Dans ce cas, il renvoie la valeur de l’élément <degree> , qui est ensuite divisée par
10. Cela générera les valeurs suivantes à partir des données XML : 1, 1, 1, 2, 3, 3, 3, 3, 2,
2, 1 et 0.
Ceux-ci sont triés, de sorte que, une fois traités, les quatre groupes suivants seront créés :
0, 1, 2 et 3.

• La <?concat(floor(degree div 10)*10,'F to ', floor(degree div 10)*10+10,'F'?> affiche les


plages de temperature dans l’en-tête de ligne par incréments de 10. L’expression concatène
la valeur du groupe actuel multipliée par 10 avec la valeur du groupe actuel multipliée par
10 plus 10.
Par conséquent, pour le premier groupe, 0, l’en-tête de ligne affiche 0 à (0 +10), ou « 0 F
à 10 F ».

• Le <?count(current-group())?> utilise la fonction count pour compter les membres du groupe


actuel (le nombre de températures qui satisfont à la plage).

• La balise <?end for-each-group?> ferme le regroupement.

Utilisation de variables
Les variables pouvant être mises à jour diffèrent des variables XSL standard <xsl:variable> en
ce sens qu’elles peuvent être mises à jour pendant l’application du modèle vers les données
XML. Cela vous permet de créer de nombreuses nouvelles fonctionnalités dans vos modèles
qui nécessitent des variables pouvant être mises à jour.
Les variables utilisent une approche « set and get » pour attribuer, mettre à jour et
récupérer des valeurs.
Utilisez la syntaxe suivante pour déclarer/définir une valeur de variable :
<?xdoxslt:set_variable($_XDOCTX, 'nom de la variable', valeur)?>

Utilisez la syntaxe suivante pour récupérer une valeur de variable :


<?xdoxslt:get_variable($_XDOCTX, 'variable name')?>

Vous pouvez utiliser cette méthode pour effectuer des calculs. Par exemple:
<?xdoxslt:set_variable($_XDOCTX, 'x', xdoxslt:get_variable($_XDOCTX, 'x' + 1)?>
Cela définit la valeur de la variable 'x' à sa valeur d’origine plus 1, un peu comme en utilisant
« x = x + 1 ».
Le _XDOCTX $spécifie le contexte global du document pour les variables. Dans un
environnement multithread, de nombreuses transformations peuvent se produire en même
temps, la variable doit donc être affectée à une seule transformation.
Voir la section sur les totaux en cours d’exécution, pages 17-82 pour un exemple d’utilisation de
variables pouvant être mises à jour.

17-92Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Définition des paramètres
Vous pouvez transmettre des valeurs de paramètre d’exécution dans votre modèle. Ceux-ci
peuvent ensuite être référencés dans tout le modèle pour prendre en charge de nombreuses
fonctions. Par exemple, vous pouvez filtrer les données du modèle, utiliser une valeur dans un
bloc de mise en forme conditionnelle ou passer des valeurs de propriété (telles que les
paramètres de sécurité ) dans le document final.
Remarque : Pour les utilisateurs de BI Publisher Enterprise, toutes les paires
de paramètres nom-valeur sont transmises au modèle. Vous devez enregistrer
les paramètres que vous souhaitez utiliser dans votre modèle à l’aide de la
syntaxe décrite ci-dessous.

Utilisation d’un paramètre dans un modèle


1. Déclarez le paramètre dans le modèle.
Utilisez la syntaxe suivante pour déclarer le paramètre :
<?param@begin:parameter_name; parameter_value?> où

parameter_name est le nom du paramètre


parameter_value est la valeur par défaut du paramètre (la parameter_value est facultative)
param@begin : est une chaîne requise pour pousser la déclaration de paramètre en haut du
modèle au moment de l’exécution afin qu’elle puisse être référencée globalement dans le
modèle.
La syntaxe doit être déclarée dans le champ Texte d’aide d’un champ de formulaire. Le
champ de formulaire peut être placé n’importe où dans le modèle.

2. Reportez-vous au paramètre du modèle en préfixant le nom par un caractère « $ ». Par


exemple, si vous déclarez que le nom du paramètre est « InvThresh », référencez la
valeur à l’aide de « $InvThresh ».

3. Si vous n’utilisez pas BI Publisher Enterprise, mais uniquement les bibliothèques principales
:
Au moment de l’exécution, transmettez le paramètre au moteur BI Publisher par
programme.
Avant d’appeler l’API FOProcessor, créez un class Properties et affectez-lui une propriété
pour la valeur du paramètre comme suit :
Propriétés prop = nouvelles propriétés();
prop.put(« xslt. InvThresh », « 1000 »);

Exemple : Passage d’un paramètre de seuil de facture


Cet exemple montre comment déclarer un paramètre dans votre modèle qui filtrera vos
données en fonction de la valeur du paramètre.
L’exemple XML suivant répertorie les données de facture :

Création d’un modèle


RTF1
7-93
<INVOICES>
<VOIE>
<INVOICE_NUM>981110</INVOICE_NUM>
<AMOUNT>1100</MONTANT>
</FACTURE>
<VOIE>
<INVOICE_NUM>981111</INVOICE_NUM>
<MONTATION>250</MONTANT>
</FACTURE>
<VOIE>
<INVOICE_NUM>981112</INVOICE_NUM>
<MONTAGE>8343</MONTANT>
</FACTURE>
...
</FACTURES>
La figure suivante affiche un modèle qui accepte une valeur de paramètre pour limiter les
factures affichées dans le document final en fonction de la valeur du paramètre.

Entrée de texte d’aide du champ


Champ de formulaire Description

InvThreshDeclaration <?param@begin:InvThresh?> Déclare le paramètre InvThresh.

FE <?pour chaque:FACTURE?> Commence le groupe répétitif pour la FACTURE


élément.

SI <?si:MONTANT>$InvThresh?> Teste la valeur de l’élément AMOUNT sur


déterminer s’il est supérieur à la valeur de
InvThresh.

13222-2 <? INVOICE_NUM?> Espace réservé pour le INVOICE_NUM


élément.

100,00 $US <? MONTANT?> Espace réservé pour l’élément AMOUNT.

EI <?fin si?> Balise de fermeture de l’instruction if.

L’EFE <?end for each?> Balise de fermeture pour la boucle for-each.

Dans ce modèle, seuls les éléments INVOICE dont le MONTANT est supérieur à InvThresh

17-94Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
la valeur du paramètre sera affichée. Si nous passons une valeur de paramètre de 1
000, la sortie suivante illustrée dans la figure suivante en résultera :

Notez que la deuxième facture ne s’affiche pas car son montant était inférieur à la
valeur du paramètre.

Définition des propriétés


Les propriétés BI Publisher disponibles dans le fichier de configuration de BI Publisher peuvent
également être incorporées dans le modèle RTF. Les propriétés définies dans le modèle sont
résolues au moment de l’exécution par le moteur BI Publisher. Vous pouvez coder en dur les
valeurs dans le modèle ou incorporer les valeurs dans les données XML entrantes.
L’incorporation des propriétés dans le modèle évite l’utilisation du fichier de configuration.

Remarque : Consultez Fichier de configuration de BI Publisher, Guide de


l’administrateur et du développeur Oracle Fusion Middleware pour Oracle
Business Intelligence Publisher pour plus d’informations sur le fichier de
configuration de BI Publisher et les propriétés disponibles.

Par exemple, si vous utilisez une police non standard dans votre modèle, plutôt que de spécifier
l’emplacement de la police dans le fichier de configuration, vous pouvez incorporer la propriété
font dans le modèle. Si vous devez sécuriser la sortie PDF générée, vous pouvez utiliser les
propriétés de sécurité PDF de BI Publisher et obtenir la valeur du mot de passe à partir des
données XML entrantes.
Pour ajouter une propriété BI Publisher à un modèle, utilisez la boîte de dialogue
Propriétés de Microsoft Word (disponible dans le menu Fichier) et entrez les
informations suivantes :
Nom - entrez le nom de la propriété BI Publisher précédé du préfixe « xdo- »
Type - sélectionnez « Texte »
Valeur : entrez la valeur de la propriété. Pour référencer un élément à partir des données XML
entrantes, entrez le chemin d’accès à l’élément XML entouré d’accolades. Par exemple :
{/root/password}
La figure suivante illustre la boîte de dialogue Propriétés :

Création d’un Template


RTF1
7-95
Incorporation d’une référence de police
Pour cet exemple, supposons que vous souhaitiez utiliser une police dans le modèle appelée «
XMLPScript ». Cette police n’étant pas disponible sur votre serveur, vous devez indiquer à BI
Publisher où trouver la police au moment de l’exécution. Vous indiquez à BI Publisher où
trouver la police en définissant la propriété « font ». Supposons que la police se trouve dans
« /tmp/fonts », puis vous devez entrer ce qui suit dans la boîte de dialogue Propriétés :
Nom: xdo-font.XMLPScript.no rmal.normal
Type : Texte
Valeur : truetype./tmp/fonts/XMLPScript.ttf
Lorsque le modèle est appliqué aux données XML sur le serveur, BI Publisher recherche la
police dans le répertoire /tmp/fonts. Notez que si le modèle est déployé dans plusieurs
emplacements, vous devez vous assurer que le chemin d’accès est valide pour chaque
emplacement.
Pour plus d’informations sur la définition des propriétés de police, consultez Définitions de police,
Guide de l’administrateur et du développeur Oracle Fusion Middleware pour Business Intelligence
Publisher .
Sécurisation d’une sortie PDF
Pour cet exemple, supposons que vous souhaitiez utiliser un mot de passe à partir des données XML
pour sécuriser le
Document de sortie PDF. Les données XML sont les suivantes :

17-96Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<PO>
<sécurité>vérité</sécurité>
<mot de passe>bienvenue</mot de passe>
<PO_DETAILS>
..
</PO>
Dans la boîte de dialogue Propriétés, définissez deux propriétés : pdf-security pour définir la
fonctionnalité de sécurité comme activée ou non, et pdf-open-password pour définir le mot de
passe. Entrez ce qui suit dans la boîte de dialogue Propriétés :
Nom: xdo-pdf-security
Type : Texte
Valeur : {/PO/security}
Nom: xdo-pdf-open-password
Type : Texte
Valeur : {/PO/password}
Il n’est pas recommandé de stocker le mot de passe dans les données XML si le code XML
persiste dans le système pendant une durée quelconque. Pour éviter ce risque de sécurité potentiel,
vous pouvez utiliser une valeur de paramètre de modèle générée et transmise dans la template au
moment de l’exécution.
Par exemple, vous pouvez configurer les paramètres suivants :
• PDFSec - pour transmettre la valeur de la propriété xdo-pdf-security

• PDFPWD - pour transmettre la valeur du mot de passe

Vous devez ensuite entrer ce qui suit dans la boîte de dialogue Propriétés :
Nom: xdo-pdf-security
Type : Texte
Valeur : {$PDFSec}
Nom: xdo-pdf-open-password
Type : Texte
Valeur : {$PDFPWD}
Pour plus d’informations sur les paramètres de modèle, voir Définition des paramètres
dans votre modèle, pages 17-93.

Mises en page de rapport avancées

Rapports de lots
Il est courant d’imprimer un lot de documents, tels que des factures ou des bons de commande dans
un seul fichier PDF. Parce que ces documents sont destinés à différents

Création d’un modèle


RTF1
7-97
clients, chaque document nécessitera que la numérotation des pages soit réinitialisée et que les
totaux des pages soient spécifiques au document. Si l’en-tête et le pied de page affichent des
champs à partir des données (tels que le nom du client), ceux-ci devront également être
réinitialisés.
BI Publisher prend en charge cette exigence grâce à l’utilisation d’une commande de contexte.
Cette commande vous permet de définir des éléments de votre rapport dans une section
spécifique. Lorsque la section change, ces éléments sont réinitialisés.
L’exemple suivant montre comment réinitialiser l’en-tête, le pied de page et la
numérotation des pages dans un fichier de sortie :
L’exemple XML suivant est un rapport qui contient plusieurs factures :
...
<LIST_G_INVOICE>
<G_INVOICE>
<BILL_CUST_NAME>Vision, Inc. </BILL_CUST_NAME>
<TRX_NUMBER>2345678</TRX_NUMBER> ...

</G_INVOICE>
<G_INVOICE>
<BILL_CUST_NAME>Oracle, Inc. </BILL_CUST_NAME>
<TRX_NUMBER>2345685</TRX_NUMBER> ...

</G_INVOICE>
...
</LIST_G_INVOICE>
...
Chaque élément G_INVOICE contient une facture pour un client potentiellement différent. Pour
demander à BI Publisher de démarrer une nouvelle section pour chaque occurrence de l’élément
G_INVOICE, ajoutez la commande @section à l’ouverture de chaque instruction du groupe, à
l’aide de la syntaxe suivante :
<?pour-each@section:nom du groupe?>
où group_name est le nom de l’élément pour lequel vous souhaitez commencer une
nouvelle section.
Par exemple, l’instruction de regroupement pour chaque exemple sera la suivante :
<?pour each@section:G_INVOICE?>
La balise de fermeture <?end for-each?> n’est pas modifiée.
La figure suivante montre un exemple de modèle. Notez que le groupe G_INVOICE pour
chaque déclaration se trouve toujours dans le corps du rapport, même si les en-têtes seront
réinitialisés par la commande.

17-98Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Le tableau suivant indique les valeurs des champs de formulaire de l’exemple :

Texte d’aide du champ de


Entrée de texte par défaut formulaire Description

pour chaque G_INVOICE <?pour each@section:G_INVOI Commence la G_INVOICE


CE?> , et définit le
en tant que section. Pour chaque
occurrence de G_INVOICE, un
une nouvelle section sera lancée.

<? TRX_NUMBER?> N/A Microsoft Word ne fonctionne pas


champs de formulaire de support
dans le
en-tête, donc le
syntaxe d’espace réservé pour le
TRX_NUMBER élément est
placé directement dans le
modèle.

G_INVOICE de fin <?end for each?> Ferme le G_INVOICE


groupe.

Maintenant, pour chaque nouvelle occurrence de l’élément G_INVOICE, une nouvelle section
va commencer. Les numéros de page redémarreront, et si les informations d’en-tête ou de pied
de page sont dérivées des données, elles seront également réinitialisées.

Conditions de traitement de l’absence de données trouvées


Lorsque vous utilisez @section avec les commandes BI Publisher pour chaque ou pour chaque
groupe (par exemple : <?for-each@section:ELEMENT_NAME?>) et que le fichier de données
d’entrée ne contient aucune donnée, un document de sortie PDF vide ou non valide peut être
généré pour cette boucle for-each. Pour éviter que cela ne se produise, entrez ce qui suit dans
votre modèle RTF :

Création d’un modèle


RTF1
7-99
1. À la fin de votre modèle RTF, ajoutez un saut de section

2. Sur la dernière page (la nouvelle page de section ), ajoutez la commande


<?if@section:not(ELEMENT_NAME)?>Aucune donnée trouvée<?end if?>
où ELEMENT_NAME est le même élément de données que celui que vous utilisez
dans votre boucle for-each@section .
Maintenant, si aucune donnée n’existe pour ELEMENT_NAME, un PDF valide sera généré
avec le text « Aucune donnée trouvée ».

Prise en charge des tableaux croisés dynamiques


Remarque : Voir également Insertion d’un tableau croisé dynamique,
pages 18 à 22 dans le chapitre « Création de modèles RTF à l’aide du
Générateur de modèles pour Word ».

Les colonnes d’un tableau croisé dynamique dépendent des données. Au moment de la
conception, vous ne savez pas combien de colonnes seront signalées ou quels seront les en-têtes
de colonne appropriés. De plus, si les colonnes doivent se briser sur une deuxième page, vous
devez être en mesure de définir les colonnes d’étiquette de ligne à répéter sur les pages
suivantes. L’exemple suivant montre how pour concevoir un rapport de récit pivot simple qui
prend en charge ces fonctionnalités.
Cet exemple utilise l’exemple XML suivant :

17-100Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<ROWSET>
<RÉSULTATS>
<INDUSTRIE> Concessionnaires de véhicules automobiles</INDUSTRIE>
<ANNÉE>2005</ANNÉE>
<QUARTER>T1</TRIMESTRE>
<VENTES>1000</VENTES>
</RÉSULTATS>
<RÉSULTATS>
<INDUSTRIE> Concessionnaires de véhicules automobiles</INDUSTRIE>
<ANNÉE>2005</ANNÉE>
<QUARTER>T2</TRIMESTRE>
<VENTES>2000</VENTES>
</RÉSULTATS>
<RÉSULTATS>
<INDUSTRIE> Concessionnaires de véhicules automobiles</INDUSTRIE>
<ANNÉE>2004</ANNÉE>
<QUARTER>T1</TRIMESTRE>
<VENTES>3000</VENTES>
</RÉSULTATS>
<RÉSULTATS>
<INDUSTRIE> Concessionnaires de véhicules automobiles</INDUSTRIE>
<ANNÉE>2004</ANNÉE>
<QUARTER>T2</TRIMESTRE>
<VENTES>3000</VENTES>
</RÉSULTATS>
<RÉSULTATS>
<INDUSTRIE> Concessionnaires de véhicules automobiles</INDUSTRIE>
<ANNÉE>2003</ANNÉE>
...
</RÉSULTATS >
<RÉSULTATS>
<INDUSTRIE>Aménagement de la maison</INDUSTRIE>
...
</RÉSULTATS>
<RÉSULTATS>
<INDUSTRIE>Électronique</INDUSTRIE>
...
</RÉSULTATS>
<RÉSULTATS>
<INDUSTRIE>Alimentation et boissons</INDUSTRIE>
...
</RÉSULTATS>

</ROWSET>

À partir de ce XML, nous allons générer un rapport qui montre chaque industrie et totalise les
ventes par année comme indiqué dans la figure suivante:

Le modèle pour générer ce rapport est illustré dans la figure suivante. Les entrées de champ
de formulaire sont affichées dans le tableau suivant.

Création d’un modèle RTF17-


101
Les champs de formulaire du modèle ont les valeurs suivantes :

Entrée de texte par Texte d’aide du champ de


défaut formulaire Description

Définit la première colonne comme un en-tête qui doit se


colonne d’en-tête <?table-de-rupture-horizontale:1?> répéter
si le tableau se divise en plusieurs pages. Pour plus
d’informations
à propos de cette syntaxe, voir Définition des colonnes à
répéter
À travers les pages, pages 17 à 104.
<?pour chaque- Utilise la syntaxe de regroupement (voir Regroupement du
pour: group@column:RES code XML)
Données, pages 17-85) pour regrouper les données par
ULTS; ANNÉE?> ANNÉE; et l'
@column commande context pour créer une colonne de table
pour chaque groupe (ANNÉE). Pour plus d’informations sur
commandes contextuelles, voir Utilisation des commandes
contextuelles,
pages 17 à 129.

ANNÉE <? ANNÉE?> Espace réservé pour l’élément YEAR.

fin <?fin pour chaque groupe?> Ferme la boucle pour chaque groupe.
<?pour chaque Commence le groupe pour créer une ligne de tableau pour
pour: groupe:RÉSULTATS;IN chaque
DUSTRY?> INDUSTRIE.

INDUSTRIE <? INDUSTRIE?> Espace réservé pour l’élément INDUSTRY.


<?pour chaque- Utilise la syntaxe de regroupement (voir Regroupement du
pour: group@cell:current- code XML)
Données, pages 17-85) pour regrouper les données par
groupe(); ANNÉE?> ANNÉE; et l'
@cell commande context pour créer une cellule de tableau
pour chaque
groupe (ANNÉE).

sum(Ventes) <?sum(current-group()//SALE Additionne les ventes du groupe en cours (ANNÉE).


S)?>

fin <?fin pour chaque groupe?> Ferme l’instruction for-each-group.

fin <?fin pour chaque groupe?> Ferme l’instruction for-each-group.


17-102Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Notez que seule la première ligne utilise le contexte @column pour déterminer le nombre de
colonnes de la table. Toutes les lignes restantes doivent utiliser le contexte @cel l pour créer
les cellules de tableau de la colonne. (Pour plus d’informations sur les commandes
contextuelles, voir Utilisation des commandes contextuelles, pages 17 à 129.)

Colonnes de données dynamiques


La possibilité de construire des colonnes de données dynamiques est une fonctionnalité très
puissante du template RTF. À l’aide de cette fonctionnalité, vous pouvez concevoir un modèle
qui restitue correctement une table lorsque le nombre de colonnes requis par les données est
variable.
Par exemple, vous concevez un modèle pour afficher des colonnes de résultats de test dans
des plages spécifiques. Toutefois, vous ne savez pas combien de plages auront des données à
signaler. Vous pouvez définir une colonne de données dynamiques à diviser en nombre
correct de colonnes au moment de l’exécution.
Utilisez les balises suivantes pour prendre en charge la mise en forme dynamique requise pour
afficher correctement les données :
• En-tête de colonne dynamique
<?split-column-header:nom de l’élément de groupe?>
Utilisez cette balise pour définir le groupe à fractionner pour les en-têtes de colonne d’un
tableau.

• Colonne dynamique <?split-column-data:nom de l’élément de groupe?>


Utilisez cette balise pour définir le groupe à fractionner pour les données de colonne d’une
table.

• Largeur de colonne dynamique


<?split-column-width:name?> ou <?split-
column-width:@width?>
Utilisez l’une de ces balises pour définir la largeur de la colonne lorsque la largeur est
décrite dans les données XML. La largeur peut être décrite de deux manières :
• Un élément XML stocke la valeur de la largeur. Dans ce cas, utilisez la syntaxe <?split-
column-width:name?>, où name est le nom de la balise d’élément XML qui contient la
valeur de la largeur.

• Si l’élément défini dans la balise split-column-header contient un attribut width,


utilisez la syntaxe <?split-column-width:@width?> pour utiliser la valeur de cet
attribut.

• Valeur unitaire de Dynamic Column Width (en points) <?split-column-width-unit: value?>


Utilisez cette balise pour définir un multiplicateur pour la largeur de colonne. Si vos largeurs
de colonne sont définies dans des cellules de caractères, vous devrez utiliser la valeur
multiplicatrice appropriée pour rendre les colonnes à la largeur correcte en points. Par
exemple, si vous utilisez

Création d’un modèle RTF17-


103
Police de messagerie de 10 points dans votre tableau, vous utiliseriez un multiplicateur de
6, qui est la largeur approximative d’un caractère affiché dans la police de messagerie de
10 points. Si le multiplicateur n’est pas défini, les largeurs des colonnes sont calculées en
percentage de la largeur totale de la table. Ceci est illustré dans le tableau suivant :

Définition de la
largeur Colonne 1 Colonne 2 Colonne 3

(Largeur = 10) (Largeur = 12) (Largeur = 14)

Multiplicateur non 10/10+12+14*100 28% %Largeur = 33 % %Largeur = 39 %


présent -% de largeur

Multiplicateur = 6 - 60 pts 72 pts 84 pts


Largeur

Définition des colonnes à répéter sur plusieurs pages


Si les colonnes de votre tableau se développent horizontalement sur plusieurs pages, vous
pouvez définir le nombre de colonnes d’en-tête de ligne que vous souhaitez répéter sur chaque
page. Utilisez la syntaxe suivante pour spécifier le nombre de colonnes à répéter :
<?tableau-de-rupture-horizontale:nombre?>
où nombre est le nombre de colonnes (en partant de la gauche) à répéter.
Notez que cette fonctionnalité est prise en charge pour la sortie PDF uniquement.

Exemple de colonnes de données dynamiques


Un modèle est requis pour afficher les plages de résultats aux tests pour les examens
scolaires. Logiquement, vous souhaitez que le rapport soit organisé comme indiqué dans le
tableau suivant :

Test Score Test Score Test Score Test Score ... Test Score
Gamme 1 Gamme 2 Gamme 3 Plage n

Nombre d’étudiants
Catégorie de test # étudiants dans # étudiants dans # étudiants dans dans
Gamme 1 Gamme 2 Gamme 3 Plage n

mais vous ne savez pas combien de plages de scores de test seront signalées. Le nombre de
colonnes Plage de scores de test est dynamique, en fonction des données.
Les données XML suivantes décrivent ces résultats de test. Le nombre d’occurrences de
l’élément <TestScoreRange> déterminera le nombre de colonnes requises. Dans ce cas, il y a
cinq colonnes: 0-20, 21-40, 41-60, 61-80 et 81-100. Pour chaque colonne, il existe un élément
amount (<NumOfStudents>) et un attribut column width (
<TestScore width="15">).

17-104Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<?xml version="1.0 » encoding="utf-8 »?>
<TestScoreTable>
<TestScores>
<TestCategory>Mathématiques</TestCategory>
< Largeur du Score ="15">
<TestScoreRange>0-20</TestScoreRange>
<NumofStudents>30</NumofStudents>
</TestScore>
< Largeur du TestScore ="20">
<TestScoreRange>21-40</TestScoreRange>
<NumofStudents>45</NumofStudents>
</TestScore>
< Largeur du TestScore ="15">
<TestScoreRange>41-60</TestScoreRange>
<NumofStudents>50</NumofStudents>
</TestScore>
< Largeur du TestScore ="20">
<TestScoreRange>61-80</TestScoreRange>
<NumofStudents>102</NumofStudents>
</TestScore>
< Largeur du TestScore ="15">
<TestScoreRange>81-100</TestScoreRange>
<NumofStudents>22</NumofStudents>
</TestScore>
</TestScores>
<TestScoreTable>
À l’aide des balises de colonne dynamiques dans les champs de formulaire, configurez la table
en deux colonnes, comme illustré dans la figure suivante. La première colonne, « Score de test »
est statique. La deuxième colonne, « En-tête et fractionnement de colonne » est la colonne
dynamique. Au moment de l’exécution, cette colonne sera divisée en fonction des données et
l’en-tête de chaque colonne sera correctement rempli. L’entrée Texte par défaut et l’entrée Aide
sur le champ de formulaire pour chaque champ sont répertoriées dans le tableau suivant la
figure. (Voir Méthode des champs de formulaire, pages 17-9 pour plus d’informations sur
l’utilisation des champs de formulaire).

Entrée de texte par défaut Entrée de texte d’aide du champ de formulaire

Groupe:TestScores <?pour chacun:TestScores?>

Catégorie de test <? TestCategory?>

En-tête de colonne et fractionnement <?split-column-header:TestScore?>


<?split-column-width:@width?>
<? TestScoreRange?>%

Contenu et fractionnement <?split-column-data:TestScore?>


<? Nombre d’étudiants?>

Création d’un modèle RTF17-


105
Entrée de texte par défaut Entrée de texte d’aide du champ de formulaire

fin:TestScores <?end for each?>

• Test Score est l’en-tête de colonne standard.

• La catégorie de test est l’espace réservé pour l’élément de données <TestCategory> ,


c’est-à-dire « Mathématiques », qui sera également l’en-tête de ligne.

• La deuxième colonne est celle à diviser dynamiquement. La largeur que vous spécifiez sera
divisée par le nombre de colonnes de données. Dans ce cas, il y a 5 colonnes de données.

• La deuxième column contiendra les données dynamiques de « plage ». La largeur de la


colonne sera divisée en fonction de la largeur de la colonne divisée. Étant donné que cet
exemple ne contient pas la balise unit value (<?split-column-width-unit:value?>), la
colonne sera divisée en pourcentage . L’encapsulation des données aura lieu si nécessaire.
Remarque : Si la balise (<?split-column-width-unit:value?>) était
présente, les colonnes auraient une largeur spécifique en points. Si la
largeur totale des colonnes était plus large que l’espace alloué sur la page,
le tableau se briserait sur une autre page.
La balise « horizontal-break-table » pourrait ensuite être utilisée pour
spécifier le nombre de colonnes à répéter sur la page suivante. Par
exemple, une valeur de « 1 » répéterait la colonne « Test Score » sur la
page suivante, avec la suite des colonnes qui ne correspondaient pas à la
première page.

Le modèle affichera la sortie illustrée dans la figure suivante :

Mise en forme du nombre, de la date et de la devise

Mise en forme des nombres


BI Publisher prend en charge deux méthodes pour spécifier le format de nombre :
• Masque de format numérique natif de Microsoft Word

17-106Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Fonction format-numéro d’Oracle

Remarque : Vous pouvez également utiliser la fonction de format-numéro XSL native


pour
formater les numéros. Voir : Mise en forme des nombres XSL natifs, pages 17-137.

Utilisez une seule de ces méthodes. Si le masque de format numérique est spécifié à
l’aide des deux méthodes, les données seront mises en forme deux fois, ce qui entraînera
un comportement inattendu.
Le séparateur de groupe et le séparateur de nombres seront définis au moment de l’exécution
en fonction des paramètres régionaux du modèle. Cela s’applique à la fois au masque de
format Oracle et au masque de format MS.

Exigences relatives aux sources de données


Pour utiliser le masque de format Oracle ou le masque de format Microsoft, les nombres de
votre source de données doivent être dans un format brut, sans mise en forme appliquée (par
exemple : 1000.00). Si le numéro a été formaté pour les pays européens (par exemple:
1.000,00), le format ne fonctionnera pas.
Remarque : L’analyseur BI Publisher nécessite la représentation de
chaîne Java BigDecimal. Il s’agit d’un signe facultatif (« -« ) suivi d’une
séquence de chiffres décimaux nuls ou plus (l’entier), éventuellement
suivi d’une fraction et éventuellement suivi d’un exposant. Pour example:
-123456.3455e-3.

Considérations relatives à la traduction


Si vous concevez un modèle pour qu’il soit traduisible, l’utilisation de la devise dans le
masque de format Microsoft n’est pas recommandée, sauf si vous souhaitez que les
données soient signalées dans la même devise pour toutes les traductions. L’utilisation du
masque de format MS définit la devise dans le modèle afin qu’il ne puisse pas être mis à
jour au moment de l’exécution.
Utilisez plutôt le masque de format Oracle. Par exemple, L999G999G999D99, où « L » sera
remplacé par le symbole monétaire en fonction des paramètres régionaux au moment de
l’exécution.
N’incluez pas « % » dans le masque de format, car cela corrigera l’emplacement du signe de
pourcentage dans l’affichage des nombres, tandis que la position souhaitée peut être au début
ou à la fin d’un nombre, selon les paramètres régionaux.

Utilisation du masque de format numérique Microsoft


Pour afficher des valeurs numériques, utilisez les fonctionnalités de mise en forme des
champs de Microsoft Word disponibles dans la boîte de dialogue Options de champ de
formulaire de texte. Le graphique suivant affiche un exemple :

Création d’un modèle RTF17-


107
Pour appliquer un format numérique à un champ de formulaire :
1. Ouvrez la boîte de dialogue Options de champ de formulaire pour le champ d’espace réservé.

2. Définissez le Type sur Nombre.

3. Sélectionnez le format de nombre approprié dans la liste des options.

Définitions de masque de format Microsoft prises en charge


Le tableau suivant répertorie les définitions de masque de format Microsoft prises en charge :

Symbole Emplacement Signification

0 Nombre Chiffre. Chaque 0 défini explicitement apparaîtra, si aucun autre nombre


occupe la position.

Exemple:

Format du masque: 00.0000

Données : 1,234

Affichage: 01.2340
Chiffre. Lorsqu’il est défini sur #, seules les données entrantes sont
# Nombre affichées.

Exemple:

Format du masque : ##. ####

Données : 1,234

Affichage: 1.234

17-108Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Symbole Emplacement Signification

. Nombre Détermine la position du séparateur décimal. La décimale


le symbole de séparateur utilisé sera déterminé au moment de l’exécution
en fonction de
paramètres régionaux du modèle.

Par exemple:

Format du masque: #,##0.00

Données : 1234,56

Affichage des paramètres régionaux en anglais : 1 234,56

Affichage pour les paramètres régionaux allemands: 1.234,56

- Nombre Détermine l’emplacement du signe moins pour les nombres négatifs.

, Nombre Détermine l’emplacement du séparateur de regroupement. Le


le symbole de séparateur de regroupement utilisé sera déterminé au
moment de l’exécution
basé sur les paramètres régionaux du modèle.

Par exemple:

Format du masque: #,##0.00

Données : 1234,56

Affichage des paramètres régionaux en anglais : 1 234,56

Affichage pour les paramètres régionaux allemands: 1.234,56

E Nombre Sépare la mantisse et l’exposant dans une notation scientifique.

Exemple:

Signe 0.###E+0 plus toujours affiché pour les nombres positifs

Signe 0.###E-0 plus non affiché pour les nombres positifs

; Limite du sous-modèle Sépare les sous-modèles positifs et négatifs. Voir la note ci-dessous.

% Préfixe ou suffixe Multiplier par 100 et afficher en pourcentage

' Préfixe ou suffixe Utilisé pour citer des caractères spéciaux dans un préfixe ou un suffixe.

Remarque : Limite de sous-modèle : un modèle contient un sous-modèle


positif et un sous-modèle négatif, par exemple, « #,##0.00;(#,##0.00) ». Chaque
sous-modèle a un préfixe, une partie numérique et un suffixe. Le sous-modèle
négatif est facultatif. Si
Création d’un modèle RTF17-
109
absent, le sous-modèle positif préfixé par le signe moins localisé (« - » dans
la plupart des paramètres régionaux) est utilisé comme sous-modèle négatif.
Autrement dit, « 0,00 » seul équivaut à « 0,00;-0,00 ». S’il existe un sous-
modèle négatif explicite, il ne sert qu’à spécifier le préfixe et le suffixe
négatifs. Le nombre de chiffres, les chiffres minimaux et d’autres
caractéristiques sont tous les mêmes que le modèle positif. Cela signifie que
« #,##0.0#;(#) » produit exactement le même comportement que
« #,##0.0#;(#,##0.0#) ».

Utilisation du masque de format Oracle


Pour appliquer le masque de format Oracle à un champ de formulaire :
1. Ouvrez la boîte de dialogue Options de champ de formulaire pour le champ d’espace réservé.

2. Définissez le Type sur « Texte normal ».

3. Dans le champ Texte d’aide du champ de formulaire, entrez la définition du


masque selon l’exemple suivant :
<?format-number:fieldname;' 999G999D99'?>


fieldname est le nom de la balise XML de l’élément de données que vous mettez en forme et
999G999D99 est la définition du masque.
Le graphique suivant montre un exemple d’entrée de boîte de dialogue Texte d’aide de champ de
formulaire pour l’élément de données « empno » :

Le tableau suivant répertorie les symboles de masque de format numérique Oracle pris en
charge et leurs définitions :

17-110Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Symbole Signification

0 Chiffre. Chaque 0 défini explicitement apparaîtra, si aucun autre nombre n’occupe la position.

Exemple:

Format du masque: 00.0000

Données : 1,234

Affichage: 01.2340
Chiffre. Renvoie la valeur avec le nombre spécifié de chiffres avec un espace de début si elle est
9 positive ou
un début moins s’il est négatif. Les zéros de début sont vides, à l’exception d’une valeur nulle, qui
renvoie
un zéro pour la partie entière du nombre à point fixe.

Exemple:

Format du masque: 99.9999

Données : 1,234

Affichage: 1.234

C Renvoie le symbole monétaire ISO dans la position spécifiée.

D Détermine l’emplacement du séparateur décimal. Symbole de séparateur décimal utilisé


sera déterminé au moment de l’exécution en fonction des paramètres régionaux du modèle.

Par exemple :

Format du masque: 9G999D99

Données : 1234,56

Affichage des paramètres régionaux en anglais : 1 234,56

Affichage pour les paramètres régionaux allemands: 1.234,56

EEEE Renvoie une valeur en notation scientifique.

G Détermine l’emplacement du séparateur de regroupement (milliers). Le séparateur de regroupement


le symbole utilisé sera déterminé au moment de l’exécution en fonction des paramètres régionaux du
modèle.

Par exemple:

Format du masque: 9G999D99

Données : 1234,56

Affichage des paramètres régionaux en anglais : 1 234,56

Affichage pour les paramètres régionaux allemands: 1.234,56

Création d’un modèle RTF17-


111
Symbole Signification

L Renvoie le symbole de devise locale dans la position spécifiée.

MI Affiche une valeur négative avec un " - » de fin.

PR Affiche la valeur négative entourée d'<>

PT Affiche la valeur négative comprise par ()

S (avant le nombre) Affiche une valeur positive avec un « + » en tête et des valeurs négatives avec un « - » en tête

S (après le numéro) Affiche une valeur positive avec un « + » à la fin et une valeur négative avec un « - » à la fin

Mise en forme de la date


BI Publisher prend en charge trois méthodes pour spécifier le format de date :
• Spécifiez un masque de format de date explicite à l’aide du masque de format de date
natif de Microsoft Word.

• Spécifiez un masque de format de date explicite à l’aide de la fonction format-date d’Oracle.

• Spécifiez un masque de format de date abstrait à l’aide des masques de format de date
abstrait d’Oracle. (Recommandé pour les modèles multilingues.)

Une seule méthode doit être utilisée. Si les masques de format Oracle et MS sont spécifiés, les
données seront formatées deux fois, ce qui entraînera un comportement inattendu.

Exigences relatives aux sources de données


Pour utiliser le masque de format Microsoft ou le masque de format Oracle, la date de la
source de données XML doit être au format canonique. Ce format est le suivant :
AAAA-MM-JJThh:mm:ss+HH:MM

• AAAA est l’année

• MM est le mois

• DD est le jour

• T est le séparateur entre la composante de date et d’heure

17-112Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• hh est l’heure au format 24 heures

• mm est le procès-verbal

• ss est la seconde

• +HH:MM est le décalage du fuseau horaire par rapport au temps universel (UTC) ou au
temps moyen de Greenwich

Un exemple de cette construction est:


2005-01-01T09:30:10-07:00
Les données après le « T » sont facultatives, donc la date suivante: 2005-01-01 peut être
formatée à l’aide de l’une ou l’autre option de formatage de date.
Important : Notez que si le composant d’heure et le décalage de fuseau
horaire ne sont pas inclus dans la date source XML, BI Publisher suppose
qu’il représente 00:00 UTC (c’est-à-dire aaaa-mm-jjT00:00:00-00:00).

Utilisation du masque de format de date Microsoft


Pour appliquer un format de date à un champ de formulaire :
1. Ouvrez la boîte de dialogue Options de champ de formulaire pour le champ d’espace
réservé.

2. Définissez le type sur Date, Date actuelle ou Heure actuelle.

3. Sélectionnez le format de date approprié dans la liste des options.

Si vous ne spécifiez pas le masque dans le champ Format de date , le masque de format
abstrait « MEDIUM » sera utilisé par défaut. Voir Oracle Abstract Format Masks, pages 17-
119 pour la description.
La figure suivante illustre la boîte de dialogue Options Field du formulaire texte avec un
format de date appliqué :

Création d’un modèle RTF17-


113
• hh est l’heure au format 24 heures

• mm est le procès-verbal

• ss est la seconde

• +HH:MM est le décalage du fuseau horaire par rapport au temps universel (UTC) ou au
temps moyen de Greenwich

Un exemple de cette construction est:


2005-01-01T09:30:10-07:00
Les données après le « T » sont facultatives, donc la date suivante: 2005-01-01 peut être
formatée en utilisant l’une ou l’autre option de formatage de date.
Important : Notez que si le composant d’heure et le décalage de fuseau
horaire ne sont pas inclus dans la date source XML, BI Publisher suppose
qu’il représente 00 h 00 UTC (c’est-à-dire aaaa-mm-ddT00:00:00-00:00).

Utilisation du masque de format de date Microsoft


Pour appliquer un format de date à un champ de formulaire :
1. Ouvrez la boîte de dialogue Options de champ de formulaire pour le champ d’espace
réservé.

2. Définissez le type sur Date, Date actuelle ou Heure actuelle.

3. Sélectionnez le format de date approprié dans la liste des options.

Si vous ne spécifiez pas le masque dans le champ Format de date , le masque de format
abstrait « MEDIUM » sera utilisé par défaut. Voir Oracle Abstract Format Masks, pages 17-
119 pour la description.
La figure suivante illustre la boîte de dialogue Options de champ de formulaire de texte avec
un format de date appliqué :

Création d’un modèle RTF17-


113
Le tableau suivant répertorie les composants de masque de format de date Microsoft pris en
charge :

Symbole Signification

d Le jour du mois. Les jours à un chiffre n’auront pas de zéro en tête.

Dd Le jour du mois. Les jours à un chiffre auront un zéro en tête.

Ddd Nom abrégé du jour de la semaine, tel que défini dans AbbreviatedDayNames.

dddd Nom complet du jour de la semaine, tel que défini dans DayNames.

M Mois numérique. Les mois à un chiffre n’auront pas de zéro en tête.

MM Mois numérique. Les mois à un chiffre auront un zéro en tête.

MMM Nom abrégé du mois, tel que défini dans AbbreviatedMonthNames.

MMMM Nom complet du mois, tel que défini dans MonthNames.

Aa L’année sans le siècle. Si l’année sans le siècle est inférieure à 10, l’année
s’affiche avec un zéro de début.

aaaa L’année en quatre chiffres.

Gg La période ou l’époque. Ce modèle est ignoré si la date à mettre en forme n’a pas
une chaîne de période ou d’ère associée.

17-114Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Symbole Signification

h L’heure dans une horloge de 12 heures . Les heures à un chiffre n’auront pas de zéro de début.

Hh L’heure dans une horloge de 12 heures. Les heures à un chiffre auront un zéro en tête.

H L’heure dans une horloge de 24 heures. Les heures à un chiffre n’auront pas de zéro de début.

HH L’heure dans une horloge de 24 heures. Les heures à un seul chiffre auront un zéro de tête.

m La minute. Les minutes à un chiffre n’auront pas de zéro de début.

mm La minute. Les minutes à un chiffre auront un zéro en tête.

s La seconde. Les secondes à un chiffre n’auront pas de zéro de début.

ß La seconde. Les secondes à un chiffre auront un zéro en tête.

f Affiche les fractions de secondes représentées en un chiffre.

Ff Affiche les fractions de secondes représentées en deux chiffres.

fff Affiche les fractions de secondes représentées en trois chiffres.

ffff Affiche les fractions de secondes représentées en quatre chiffres.

fffff Affiche les fractions de secondes représentées en cinq chiffres.

ffffff Affiche les fractions de secondes représentées en six chiffres.

fffffff Affiche les fractions de secondes représentées en sept chiffres.

Tt L’indicateur AM/PM défini dans AMDesignator ou PMDesignator, le cas échéant.


Affiche le décalage de fuseau horaire pour le fuseau horaire actuel du système en heures
z entières uniquement.
(Cet élément ne peut être utilisé que pour la mise en forme)
Affiche le décalage de fuseau horaire pour le fuseau horaire actuel du système en heures
Zz entières uniquement.
(Cet élément ne peut être utilisé que pour la mise en forme)

zzz Affiche le décalage de fuseau horaire pour le fuseau horaire actuel du système en heures et
compte-rendu.

Création d’un modèle RTF17-


115
Symbole Signification

: Séparateur de temps par défaut défini dans TimeSeparator.

/ Séparateur de date par défaut défini dans DateSeparator.


Chaîne entre guillemets. Affiche la valeur littérale de n’importe quelle chaîne entre deux
' caractères '.
Chaîne entre guillemets. Affiche la valeur littérale de n’importe quelle chaîne entre deux
" caractères « .

Utilisation du masque de format Oracle


Pour appliquer le masque de format Oracle à un champ de date :
1. Ouvrez la boîte de dialogue Options de champ de formulaire pour le champ d’espace réservé.

2. Définissez le Type sur Texte normal.

3. Sélectionnez l’option Ajouter un texte d’aide... pour ouvrir la boîte de dialogue Texte
d’aide du champ de formulaire.

4. Insérez la syntaxe suivante pour spécifier le masque de format de date :


<?format-date:date_string;
'ABSTRACT_FORMAT_MASK';' FUSEAU
HORAIRE?> ou
<?format-date-et-calendrier:date_string;
'ABSTRACT_FORMAT_MASK';' CALENDAR_NAME';' FUSEAU HORAIRE'?>
où le fuseau horaire est facultatif. L’utilisation détaillée du masque de format, du
calendrier et du fuseau horaire est décrite ci-dessous.
Si aucun masque de format n’est spécifié, le masque de format abstrait « MEDIUM » sera
utilisé par défaut.
Exemple de saisie de texte d’aide de champ de formulaire :
<?format-date:hiredate;' AAAA-MM-JJ'?>

Le tableau suivant répertorie les composants de masque de format Oracle pris en charge :

17-116Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Symbole Signification

- La ponctuation et le texte cité sont reproduits dans le résultat.

« texte »

ANNONCE Indicateur AD avec ou sans règles.

J.-C.

SUIS Indicateur méridien avec ou sans points.

R .M.

AV. J.-C Indicateur BC avec ou sans règles.

B.C.

CC Siècle. Par exemple, 2002 renvoie 21; 2000 renvoie 20.

JOUR Nom du jour, rembourré avec des blancs d’une longueur de 9 caractères.

D Jour de la semaine (1-7).

DD Jour du mois (1-31).

DDD Jour de l’année (1-366).

DL Renvoie une valeur au format de date longue.

DS Renvoie une valeur au format de date courte.

DY Nom abrégé du jour.

E Nom d’époque abrégé.

EE Nom complet de l’époque.

Création d’un modèle RTF17-


117
Symbole Signification

FF[1..9] Fractions de secondes. Utilisez les chiffres 1 à 9 après FF pour spécifier le nombre de chiffres dans le
fraction de seconde de la valeur datetime renvoyée.

Exemple:

'HH:MI:SS. FF3'

HH Heure de la journée (1-12).

HH12 Heure de la journée (1-12).

HH24 Heure de la journée (0-23).

MI Minute (0-59).

MM Mois (01-12; JAN = 01).

LUN Nom abrégé du mois.

MOIS Nom du mois, rembourré avec des blancs d’une longueur de 9 caractères.

PM Indicateur méridien avec ou sans points.

P.M.

RR Vous permet de stocker les dates du 20ème siècle au 21ème siècle en utilisant seulement deux chiffres.
Toute l’année. Accepte les entrées à 4 chiffres ou à 2 chiffres . Si 2 chiffres, fournit le même rendement
RRRR que
RR. Si vous ne voulez pas de cette fonctionnalité, entrez simplement l’année à 4 chiffres.

ß Secondes (0-59).

TZD Informations sur l’heure d’été. La valeur TZD est une chaîne de fuseau horaire abrégée avec
informations sur l’heure d’été. Il doit correspondre à la région spécifiée dans TZR.

Exemple:

PST (pour l’heure normale du Pacifique)

PDT (pour l’heure avancée du Pacifique)

TZH Heure du fuseau horaire. (Voir Élément de format TZM.)

17-118Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Symbole Signification

TZM Fuseau horaire minute. (Voir Élément de format TZH.)

Exemple:

'HH:MI:SS. FFTZH:TZM'
Informations sur la région du fuseau horaire. La valeur doit être l’une des régions de fuseau horaire
TZR prises en charge dans
la base de données. Exemple : PST (heure normale du Pacifique)

WW Semaine de l’année (1-53) où la semaine 1 commence le premier jour de l’année et se poursuit jusqu’au
septième jour de l’année.

W Semaine du mois (1-5) où la semaine 1 commence le premier jour du mois et se termine le


septième.

X Caractère radix local.

AAAA Année à 4 chiffres.

AA Dernier 2, ou 1 chiffre(s) de l’année.

Masque de format par défaut


Si vous ne souhaitez pas spécifier de masque de format avec la méthode MS ou la méthode
Oracle, vous pouvez omettre la définition de masque et utiliser le masque de format par défaut.
Le masque de format par défaut est le masque de format abstrait MEDIUM d’Oracle. (Voir
Oracle Abstract Format Masks, pages 17-119 pour la définition.)
Pour utiliser l’option par défaut à l’aide de la méthode Microsoft, définissez le type sur
Date, mais laissez le champ Format de date vide dans la boîte de dialogue Options du
champ de formulaire de texte.
Pour utiliser l’option par défaut à l’aide de la méthode Oracle, ne fournissez pas de définition
de masque à l’appel de fonction « format-date », par exemple :
<?format-date:embauche?>

Masques Oracle Abstract Format


Les masques de format de date abstrait reflètent les implémentations par défaut de la mise en
forme de la date/heure dans la bibliothèque I18N. Lorsque vous utilisez l’un de ces masques, la
sortie générée dépend des paramètres régionaux associés au rapport.
Spécifiez le masque abstrait à l’aide de la syntaxe suivante :
<?format-date:nom_champ;' MASQUE'?>

Création d’un modèle RTF17-


119
où fieldname est la balise d’élément XML et
MASK est le nom du masque au format Oracle abstract
Par exemple:
<?format-date:hiredate;' SHORT'?> <?format-date:hiredate;'
LONG_TIME_TZ'?> <?format-date:xdoxslt:sysdate_as_xsdformat();'
MOYEN'?>
Le tableau suivant répertorie les masques de format abstrait et l’exemple de sortie qui serait
généré pour les paramètres régionaux américains :

Masque Sortie pour les paramètres régionaux américains

COURT 2/31/99

DOULEUR MOYENNE 31 décembre 1999

LONG Le vendredi 31 décembre 1999

SHORT_TIME 31/12/99 18:15

MEDIUM_TIME 31 décembre 1999 18:15

LONG_TIME Le vendredi 31 décembre 1999, 18 h 15

SHORT_TIME_TZ 31/12/99 18:15 GMT

MEDIUM_TIME_TZ 31 décembre 1999 18:15 GMT

LONG_TIME_TZ Vendredi 31 décembre 1999 18:15 GMT

Mise en forme de la devise


BI Publisher vous permet de définir des masques de format de devise spécifiques à
appliquer à vos données publiées au moment de l’exécution.
Pour utiliser la mise en forme de devise, dans votre modèle RTF :
1. Configurez vos formats de devise dans les propriétés de configuration d’exécution de BI
Publisher. Les formats de devise peuvent être définis au niveau du système ou au niveau du
rapport.
Lorsque vous configurez la propriété de format de devise, vous définissez le format à
utiliser pour une devise spécifiée, à l’aide du code de devise ISO (International Standards
Organization). Un exemple est illustré dans la figure suivante :

17-120Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pour plus d’informations, consultez Définition des propriétés de configuration d’exécution,
page 22-1.

2. Entrez la commande format-devise dans votre modèle RTF pour appliquer le format au
champ au moment de l’exécution (utilisation décrite ci-dessous).

Application d’un format de devise à un champ


Les paramètres de la fonction format-devise sont les suivants :
<?format-devise:Amount_Field; CurrencyCode;displaySymbolOrNot?>


Amount_Field prend le nom de balise de l’élément XML qui contient la valeur de quantité dans
vos données.
CurrencyCode peut être défini sur une valeur statique ou dynamiquement. Si la valeur est
statique pour le rapport, entrez le code de devise ISO à trois lettres entre guillemets
simples, par exemple, 'USD'.
Pour définir la valeur dynamiquement, entrez le nom de balise de l’élément XML qui contient le
code de devise ISO. Notez qu’un élément contenant le code de devise doit être présent dans les
données.
Au moment de l’exécution, la Amount_Field sera mise en forme en fonction du format que
vous avez configuré pour le code de devise dans les propriétés du rapport.
displaySymbolOrNot prend l’une des valeurs suivantes, comme indiqué entre guillemets simples :
'true' ou 'false'. Lorsqu’il est défini sur 'true', le symbole monétaire sera affiché dans le rapport en
fonction de la valeur de CurrencyCode. Si vous ne souhaitez pas que le symbole monétaire
s’affiche, vous pouvez soit entrer 'false', soit simplement ne pas spécifier le paramètre.

Exemple : Affichage de plusieurs formats de devise dans un rapport


L’exemple suivant suppose que vous avez configuré les formats de devise suivants dans les
propriétés du rapport :

Création d’un modèle RTF17-


121
Code de devise Format du masque

USD 9G999D99

L’INR 9G99G99G999D99

Dans cet exemple, vous n’avez pas besoin de définir le code de devise dynamiquement.
Vous avez les éléments suivants dans vos données XML :
<TOTAL_SALES>
<US_SALES>8596526459.56</US_SALES>
<INDIA_SALES>60000000</INDIA_SALES>
</TOTAL_SALES>
Vous souhaitez afficher ces deux champs totaux dans votre modèle.
Par US_SALES, la syntaxe du champ propriétés de BI Publisher sera la suivante :
<?format-devise:US_SALES;' > USD

La figure suivante montre les deux champs d’un modèle avec la boîte de dialogue Propriétés de
BI Publisher affichant l’entrée pour INDIA_SALES ;

Au moment de l’exécution, les champs s’affichent comme suit :

Exemple : Affichage de plusieurs codes de devise dans un seul rapport


L’exemple XML simple suivant contient un élément contenant le montant (Trans_amount)
et un élément contenant le code de devise ISO (Cur_Code) :

17-122Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<ROW>
<Trans_Amount>123</Trans_Amount>
<Cur_Code>USD</Cur_Code>
</RANGÉE>
<ROW>
<Trans_Amount>-456</Trans_Amount>
<Cur_Code>GBP</Cur_Code>
</RANGÉE>
<ROW>
<Trans_Amount>748</Trans_A mount>
<Cur_Code>EUR</Cur_Code>
</RANGÉE>
<ROW>
<Trans_Amount>-987</Trans_Amount>
<Cur_Code>JPY</Cur_Code>
</RANGÉE>
Pour afficher chacun de ces montants avec le symbole monétaire approprié, entrez ce qui
suit dans votre modèle pour le champ dans lequel vous souhaitez que les montants
s’affichent :
<?format-devise:Trans_Amount; Cur_Code; » vrai'?>

La figure suivante montre l’exemple de sortie qui peut être atteint :

Prise en charge du calendrier et du fuseau horaire

Spécification du calendrier
Le terme « calendrier » fait référence à la date du calendrier affichée dans le rapport publié.
Les types suivants sont pris en charge :
• GRÉGORIEN

• ARABIC_HIJRAH

• ENGLISH_HIJRAH

• JAPANESE_IMPERIAL

• THAI_BUDDHA

• ROC_OFFICIAL (Taïwan)

Utilisez l’une des méthodes suivantes pour définir le type de calendrier :

Création d’un modèle RTF17-


123
• Appelez la fonction format-date-and-calendar et déclarez le type de calendrier.
Par exemple:
<?format-date-and-calendar:hiredate;' LONG_TIME_TZ';' ROC_OFFIC IAL';? >
Le graphique suivant montre la sortie générée à l’aide de cette définition avec des
paramètres régionaux définis sur zh-TW et un fuseau horaire défini sur Asie/Taipei :

• Définissez le type de calendrier à l’aide de l’option de profil XDO : Type


de calendrier (XDO_CALENDAR_TYPE).

Remarque : Le type de calendrier spécifié dans le modèle remplacera le


type de calendrier défini dans l’option de profil.

Spécification du fuseau horaire


Il existe deux façons de spécifier les informations de fuseau horaire :
• Appelez la fonction format-date ou format-date-and-calendar avec le format Oracle.

• Définissez le fuseau horaire du client (CLIENT_TIMEZONE_ID) du profil utilisateur


dans Les applications Oracle.

Si aucun fuseau horaire n’est spécifié, le fuseau horaire du rapport est utilisé.
Dans le modèle, le fuseau horaire doit être spécifié en tant que chaîne de fuseau horaire Java,
par exemple, Amérique/Los Angeles. L’exemple suivant montre la syntaxe à entrer dans le
champ de texte d’aide de votre modèle :
<?format-date:hiredate;' LONG_TIME_TZ';' Asie/Shanghai'?>

Utilisation de polices externes


BI Publisher vous permet d’utiliser des polices externes dans votre sortie qui ne sont
normalement pas disponibles sur le serveur. Pour configurer une nouvelle police pour la sortie
de votre rapport, utilisez-la pour concevoir votre modèle sur votre ordinateur client, puis
rendez-le disponible sur le serveur et configurez BI Publisher pour accéder à la police au
moment de l’exécution.
Remarque : Les polices externes sont prises en charge pour la sortie PDF uniquement.

1. Utilisez la police dans votre modèle.


1. Copiez la police dans votre répertoire <WINDOWS_HOME>/fonts.

17-124Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
2. Ouvrez Microsoft Word et créez votre modèle.

3. Insérer la police dans votre modèle : Sélectionnez le champ de texte ou de formulaire, puis
sélectionnez la police souhaitée dans la boîte de dialogue Police (Format > Police) ou dans
la liste déroulante police.
Le graphique suivant montre un exemple de la méthode form field et de la méthode
text :

2. Placez la police sur le serveur BI Publisher dans le répertoire


ORACLE_HOME/common/fonts.
Remarque : Les polices prédéfinies se trouvent dans Oracle Business
Intelligence Oracle home, dans: ORACLE_HOME/common/fonts.
L’emplacement de la police est défini par la variable XDO_FONT_DIR.
Si cette variable n’est pas définie dans votre environnement, les polices
seront situées dans $JAVA_HOME/jre/lib/fonts.

3. Définissez la propriété « font » de BI Publisher .


Vous pouvez définir la propriété de police du rapport dans la page Mappages de polices BI
Publisher ou dans le fichier de configuration.
Pour définir la propriété dans la page Mappages de polices :
Pour définir la propriété dans la page Mappages de polices : Ouvrez le rapport dans l’éditeur de
rapport. Cliquez sur Propriétés, puis sur Mappages de polices. Entrez la police, puis
sélectionnez la police à laquelle vous souhaitez la mapper. Reportez-vous à la section
Configuration des propriétés du rapport, pages 15 et 11.
Pour définir la propriété dans le fichier de configuration :
Mettez à jour la section « polices » du fichier de configuration BI Publisher avec le nom de
la police et son emplacement sur le serveur. Par exemple, la nouvelle entrée d’une police
TrueType est structurée comme suit :
<font family="MyFontName » style="normal » weight="normal"> <truetype
path="\user\fonts\MyFontName.ttf"/>
</police>

Pour plus d’informations, consultez Fichier de configuration de BI Publisher, Guide de


l’administrateur et du développeur Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business
Intelligence Publisher.

Vous pouvez maintenant exécuter votre rapport et BI Publisher utilisera la police dans la sortie
en tant que

Création d’un modèle RTF17-


125
Conçu. Pour la sortie PDF, les fonctionnalités avancées de gestion des polices de BI Publisher
incorporent les glyphes de police externes directement dans le document final. La police
incorporée contient uniquement les glyphes requis pour le document et non la définition
complète de la police. Par conséquent, le document est complètement autonome, éliminant
ainsi le besoin d’avoir des polices externes installées sur l’imprimante.

Utilisation des polices de codes-barres fournies avec BI Publisher


Les codes-barres suivants sont fournis avec BI Publisher :

Fichier de police Algorithme pris en charge

128R00. Le code128a, code128b et code128c

B39R00. Le code39, code39mod43

UPCR00. Le upca, upce

Lorsque vous utilisez l’une de ces polices préemballées, BI Publisher exécute le prétraitement
de vos données avant d’appliquer la police de code-barres aux données du document de sortie.
Par exemple, pour calculer les valeurs de somme de contrôle ou les bits de début et de fin des
données avant de les formater.
Au moment de la conception, il n’est pas nécessaire d’appliquer la police de code-barres au
champ dans Microsoft Word. Au lieu de cela, vous pouvez mapper la police que vous appliquez
au champ à l’aide du mappage de polices de BI Publisher. Au moment de l’exécution, BI
Publisher applique la police de code-barres à n’importe quel champ à l’aide de la police de base
que vous avez spécifiée dans le mappage de polices. Veillez à choisir une police qui n’est pas
utilisée ailleurs dans votre modèle. Pour plus d’informations sur le mappage des polices,
consultez Configuration des propriétés du rapport, pages 15-11.
Si vous souhaitez utiliser la police directement dans Microsoft Word, ajoutez le fichier . TTF
s’adresse à votre répertoire C:\WINDOWS\Fonts. Pour utiliser la fonction Aperçu du
Générateur de modèles, mappez la police dans le fichier de configuration du Générateur de
modèles. Voir Configuration des polices pour le générateur de modèles BI Publisher, pages 17-
140.
Pour les utiliser dans la sortie de votre rapport, effectuez les opérations suivantes :
1. Insérez un champ dans votre modèle où le code-barres doit s’afficher dans la sortie de votre
rapport.

2. Dans le champ du formulaire, entrez la commande suivante :


<?format-code-barres:données;' barcode_type'?> où
data est l’élément de votre source de données XML à encoder. Par exemple:
INVOICE_NO
barcode_type est l’un des algorithmes pris en charge répertoriés ci-dessus.

17-126Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Exemples:
<?format-code-barres:INVOICE_NO;' code128a'?>

<?format-code-barres:INVOICE_NO;' code39mod43'?>

<?format-code-barres:INVOICE_NO;' upca'?>

3. Dans Microsoft Word, appliquez la police au champ. Si vous n’avez pas installé les polices
de code-barres sur votre ordinateur client, sélectionnez une police qui n’est pas utilisée
ailleurs dans votre modèle, par exemple, Bookman.

4. Configurez la police dans la page Mappage des polices. Pour plus d’informations sur la
page Mappage des polices, consultez Configuration des propriétés du rapport, pages 15 et
11. Voici une figure de la page Mappage des polices :

Notez ce qui suit :


• Microsoft Word peut ne pas afficher correctement les polices de code-barres, même
lorsqu’elles sont installées sur votre client. Pour contourner ce problème, appliquez une
police différente au champ et mappez la police comme décrit ci-dessus.

• L’upca alogrithm accepte uniquement la chaîne de message UPC-A et s’encode en code-


barres UPC-A.

• Une chaîne de 12 caractères sera traitée comme un message UPC-A avec un chiffre de
contrôle, 11 sera sans chiffre de contrôle.

• L’algorithme upce accepte uniquement les chaînes de message UPC-E et les encode en
code-barres UPC-E.

Création d’un modèle RTF17-


127
• Une chaîne de 8 caractères sera traitée comme un message UPC-E avec une barre de
protection frontale et terminale ; une chaîne de 6 caractères sera sans barres de garde.

Mise en forme personnalisée des codes-barres


Si vous choisissez de ne pas utiliser l’une des polices de code-barres fournies ci-dessus, utilisez
cette procédure pour implémenter un code-barres personnalisé.
BI Publisher offre la possibilité d’exécuter un prétraitement de vos données avant d’appliquer
une police de code-barres aux données du document de sortie. Par exemple, vous devrez peut-
être calculer des valeurs de somme de contrôle ou des bits de début et de fin pour les données
avant de les formater.
La solution nécessite que vous enregistriez une classe de codage de code-barres auprès de BI
Publisher qui peut ensuite être instanciée au moment de l’exécution pour effectuer la mise en
forme dans le modèle. Ceci est couvert dans Advanced Barcode Font Formatting Class
Implementation, Oracle Fusion Middleware Administrator’s and Developer’s Guide for
Business Intelligence Publisher .
Pour activer la fonctionnalité de mise en forme dans votre modèle, vous devez utiliser deux
commandes dans votre modèle. La première commande enregistre la classe de codage de code-
barres auprès de BI Publisher. Cela doit être déclaré quelque part dans le modèle avant la
commande d’encodage. La seconde est la commande d’encodage pour identifier les données à
formater.

Enregistrer la classe d’encodage de code-barres


Utilisez la syntaxe suivante dans un champ de formulaire de votre modèle pour
enregistrer la classe de codage de code-barres :
<?register-barcode-vendor:java_class_name;barcode_vendor_id?>

Cette commande nécessite un nom de classe Java (cela effectuera l’encodage) et un ID de


fournisseur de code-barres tel que défini par la classe. Cette commande doit être placée dans
le modèle avant les commandes pour encoder les données dans le modèle. Par exemple:
<?register-barcode-vendor:'oracle.xdo.template.rtf.util.barcoder.Barcode Util';' XMLPBarVendor'?>

oracle.xdo.template.rtf.util.barcoder.BarcodeUtil est la classe Java et XMLPBarVendor est l’ID
fournisseur défini par la classe.

Encoder les données


Pour mettre en forme les données, utilisez la syntaxe suivante dans un champ de formulaire de votre
modèle :
<?format-code-barres:données; « ba rcode_type »; 'barcode_vendor_id'?>


data est l’élément de votre source de données XML à encoder. Par exemple:
LABEL_ID
barcode_type est la méthode de la classe Java de codage utilisée pour formater les données (
par exemple : Code128a).

17-128Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
barcode_vendor_id est l’ID défini dans le champ register-barcode-vendor de la première
commande que vous avez utilisée pour enregistrer la classe d’encodage.
Par exemple:
<?format-code-barres:LABEL_ID;' Code128a';' XMLPBarVendor'?>

Au moment de l’exécution, la méthode barcode_type est appelée pour formater la valeur


des données et la police de code-barres sera ensuite appliquée aux données de la sortie
finale.

Contrôle du placement des Instructions à l’aide des commandes de contexte


La syntaxe BI Publisher est simplifiée des instructions XSL. Cette syntaxe, ainsi que
toutes les commandes XSL natives que vous pouvez utiliser dans votre modèle, est
convertie en XSL-FO au moment de l’exécution. Le placement de ces instructions dans la
feuille de style convertie détermine le comportement de votre modèle.
Le processeur RTF de BI Publisher place ces instructions dans la feuille de style XSL-FO en
fonction du contexte le plus courant. Cependant, vous devez parfois définir le contexte des
instructions différemment pour créer un comportement spécifique. Pour prendre en charge cette
exigence, BI Publisher fournit un ensemble de commandes contextuelles qui vous permettent
de définir le contexte (ou l’emplacement) des instructions de traitement. Par exemple, à l’aide
de commandes contextuelles, vous pouvez :
• Spécifiez une instruction if dans un tableau pour faire référence à une cellule, une
ligne, une colonne ou le tableau entier.

• Spécifiez une boucle pour chaque boucle pour répéter les données actuelles ou la section
complète (pour créer de nouveaux en-têtes et pieds de page et redémarrer la numérotation
des pages)

• Définissez un variable dans la boucle courante ou au début du document.

Vous pouvez spécifier un contexte pour les commandes de traitement à l’aide de la syntaxe BI
Publisher et celles utilisant XSL natif.
• Pour spécifier un contexte pour une commande de traitement à l’aide de la syntaxe BI
Publisher simplifiée , ajoutez simplement @context à l’instruction de syntaxe. Par
exemple:
• <?for-each@section:INVOICE?> - spécifie que le groupe INVOICE doit commencer
une nouvelle section pour chaque occurrence. En ajoutant le contexte de section, vous
pouvez réinitialiser l’en-tête et le pied de page et la numérotation des pages.
Si vous ne souhaitez pas redémarrer la numérotation des pages, ajoutez la commande :
<?initial-page-number:'auto'?> après la commande @section pour continuer la
numérotation des pages entre les sections.

• <?if@column:TVA?> - spécifie que l’instruction if ne doit s’appliquer qu’à la colonne


TVA.

• Pour spécifier un contexte pour une commande XSL, ajoutez xdofo:ctx="context »

Création d’un modèle RTF17-


129
à vos balises pour spécifier le contexte d’insertion des instructions. Le
la valeur du contexte détermine l’emplacement de votre code.
Par exemple:

<xsl:for-each xdofo:ctx="section » sélectionnez ="INVOICE">


<xsl:attribute xdofo:ctx="inblock »
name="background-color">red</xsl:attribute>

BI Publisher prend en charge les types de contexte suivants :

Contexte Description

section L’instruction affecte l’ensemble de la section, y compris l’en-tête et le pied de page. Pour
Par exemple, une commande de contexte for-each@section crée une nouvelle section pour
chaque
occurrence - avec numérotation de page redémarrée et en-tête et pied de page.
Notez que vous pouvez conserver la numérotation continue des pages entre les sections à
l’aide de l’icône
<?initial-page-number:'auto'?>command.
Voir Batch Reports, page 17-97 pour un exemple de cette utilisation.

colonne L’instruction affectera toute la colonne d’une table. Ce contexte est généralement utilisé
pour afficher et masquer les colonnes du tableau en fonction des données.

Voir Mise en forme des colonnes, pages 17 à 69 pour un exemple.

cellule L’instruction affectera la cellule d’un tableau. Ceci est souvent utilisé avec
@column dans des tableaux croisés dynamiques pour créer un nombre dynamique de
colonnes.
Voir Pivot Support, page 17-100 pour un exemple.

bloquer L’instruction affectera plusieurs fo:blocks complets (paragraphes RTF). Ceci


le contexte est généralement utilisé pour if et for-each statements. Il peut également être
utilisé pour appliquer
mise en forme d’un paragraphe ou d’une cellule de tableau.

Voir Mise en surbrillance des cellules, pages 17 à 73 pour un exemple.

Inline Le contexte deviendra l’instruction unique à l’intérieur d’un bloc fo:inline. Ce contexte
est utilisé pour les variables.

incontext L’instruction est insérée immédiatement après l’instruction environnante. C’est le


par défaut pour les instructions <?sort?> qui doivent suivre l’environnement pour chaque
comme premier élément.

L’instruction devient une instruction unique à l’intérieur d’un fo:block (paragraphe RTF).
inblock Ceci
n’est généralement pas utile pour les instructions de contrôle (telles que si et pour chacune),
mais est
utile pour les instructions qui génèrent du texte, telles que call-template.
17-130Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Contexte Description

inlines L’instruction affectera plusieurs sections complètes en ligne. Une section en ligne est du texte
qui utilise la même mise en forme, telle qu’un groupe de mots rendus en gras.

Voir If Statements in Boilerplate Text, pages 17-65.

commencer L’instruction sera placée au début de la feuille de style XSL. C’est


requis pour les variables globales. Voir Définition des paramètres, pages 17-93.

fin L’instruction sera placée à la fin de la feuille de style XSL.

Le tableau suivant indique le contexte par défaut des commandes BI Publisher :

Commander Contexte

apply-template Inline

attribut Inline

modèle d’appel inblock

choisir bloquer

pour chaque bloquer

si bloquer

importation commencer

Param commencer

trier incontext

modèle fin

valeur-de Inline

variable fin

Création d’un modèle RTF17-


131
Utilisation des commandes XPath
XPath est une norme industrielle développée par le World Wide Web Consortium (W3C). C’est
la méthode utilisée pour naviguer dans un document XML. XPath est un ensemble de règles de
syntaxe permettant d’adresser les éléments individuels d’un document XML. Vous ne le savez
peut-être pas, mais vous avez déjà utilisé XPath ; Les modèles RTF utilisent XPath pour
naviguer dans les données XML au moment de l’exécution.
Cette section contient une brève introduction aux principes XPath. Pour plus d’informations,
consultez le site Web du W3C : http://www.w3.org/TR/xpath
XPath suit le dom (Document Object Model), qui interprète un document XML comme une
arborescence de nœuds. Un nœud peut être l’un des sept types suivants :
• racine

• élément

• attribut

• SMS

• espace de noms

• instruction de traitement

• commentaire

Bon nombre de ces éléments sont présentés dans l’exemple de code XML suivant, qui
contient un catalogue de CD :
<?xml version="1.0 » encoding="UTF-8 »?>
<! - Ma liste de CD ->
<CATALOG>
<CD cattype=Folk>
<TITLE>Empire Burlesque</TITRE>
<ARTISTE>Bob Dylan</ARTISTE>
<PAYS>USA</PAYS>
<PRIX>10.90</PRIX>
<ANNÉE>1985</ANNÉE>
</CD>
<CD cattype=Rock>
<TITLE>Masquez votre cœur</TITRE>
<ARTISTE>Bonnie Tylor</ARTISTE>
<PAYS>ROYAUME-UNI</PAYS>
<PRIX>9.90</PRIX>
<ANNÉE>1988</ANNÉE>
</CD>
</CATALOGUE>
Le nœud racine de cet exemple est CATALOG. CD est un élément, et il a un attribut cattype.
L’exemple contient le commentaire My CD Listing. Le texte est contenu dans les éléments de
document XML.

17-132Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Localisation des données
Recherchez des informations dans un document XML à l’aide d’expressions de chemin d’accès à
l’emplacement.
Un nœud est l’élément de recherche le plus courant que vous rencontrerez. Les nœuds de l’exemple
CATALOG XML incluent CD, TITLE et ARTIST. Utilisez une expression de chemin d’accès pour
localiser des nœuds dans un document XML. Par exemple, le chemin d’accès suivant renvoie tous
les éléments du CD :
CATALOGUE/CD


la barre oblique double (//) indique que tous les éléments du document XML qui
correspondent aux critères de recherche doivent être renvoyés, quel que soit le niveau du
document.
la barre oblique (/) sépare les hochements de tête des enfants. Tous les éléments
correspondant au motif seront renvoyés.
Pour récupérer les éléments TITLE individuels , utilisez la commande suivante :
/CATALOGUE/CD/TITRE

Cet exemple renvoie le code XML suivant :


<CATALOG>
<CD cattype=Folk>
<TITLE>Empire Burlesque</TITRE>
</CD>
<CD cattype=Rock>
<TITLE>Masquez votre cœur</TITRE>
</CD>
</CATALOGUE>
Limitez davantage votre recherche en utilisant des crochets. Les crochets localisent les éléments
avec certains nœuds enfants ou valeurs spécifiées. Par exemple, l’expression suivante localise
tous les CD enregistrés par Bob Dylan :
/CATALOGUE/CD[ARTISTE="Bob Dylan"]

Ou, si chaque élément CD n’avait pas d’élément PRICE, vous pouvez utiliser l’expression
suivante pour renvoyer uniquement les éléments CD qui incluent un élément PRICE :
/CATALOGUE/CD[PRIX]

Utilisez la notation entre crochets pour tirer parti de la valeur de l’attribut dans votre
recherche. Utilisez le symbole @ pour indiquer un attribut. Par exemple, l’expression suivante
localise tous les CD Rock (tous les CD avec la valeur d’attribut cattype Rock) :
CD[@catty pe="Rock"]

Cela renvoie les données suivantes à partir de l’exemple de document XML :


<CD cattype=Rock>
<TITLE>Masquez votre cœur</TITRE>
<ARTISTE>Bonnie Tylor</ARTISTE>
<PAYS>ROYAUME-UNI</PAYS>
<PRIX>9.90</PRIX>
<ANNÉE>1988</ANNÉE>
</CD>
Vous pouvez également utiliser des crochets pour spécifier le numéro d’article à récupérer. Par
exemple, le premier

Création d’un modèle RTF17-


133
L’élément CD est lu à partir du document XML à l’aide de l’expression XPath suivante :
/CATALOGUE/CD[1]

L’exemple renvoie le premier élément CD :


<CD cattype=Folk>
<TITLE>Empire Burlesque</TITRE>
<ARTISTE>Bob Dylan</ARTISTE>
<PAYS>USA</PAYS>
<PRIX>10.90</PRIX>
<ANNÉE>1985</ANNÉE>
</CD>
XPath prend également en charge les caractères génériques pour récupérer chaque élément
contenu dans le nœud spécifié. Par exemple, pour récupérer tous les CD de l’exemple XML,
utilisez l’expression suivante :
/CATALOGUE/*

Vous pouvez combiner des instructions avec des opérateurs booléens pour des recherches
plus complexes. L’expression suivante récupère tous les CD Folk et Rock, donc tous les
éléments de l’échantillon :
CD[@cattype="Folk"]|//CD[@cattype="Rock"]

Le tuyau (|) est égal à l’opérateur OR logique. De plus, XPath reconnaît les ou et and logiques,
ainsi que les opérateurs d’égalité : <=, <, >, >=, == et !=. Par exemple, nous pouvons trouver
tous les CD sortis en 1985 ou plus tard en utilisant l’expression suivante:
/CATALOGUE/CD[ANNÉE >=1985]

Référence de départ
Le premier caractère d’une expression XPath détermine le point auquel elle doit commencer
dans l’arborescence XML. Les déclarations commençant par une barre oblique (/) sont
considérées comme absolues. Aucune barre oblique n’indique une référence relative. Voici un
exemple de référence relative :
CD/*

Cette instruction commence la recherche au point de référence actuel. Cela signifie que si
l’exemple se produisait dans un groupe d’instructions, le point de référence laissé par
l’instruction précédente serait utilisé.
Comme indiqué précédemment, les barres obliques doubles (//) récupèrent chaque élément
correspondant, quel que soit l’emplacement dans le document, par conséquent, l’utilisation de
barres obliques doubles (//) ne doit être utilisée que lorsque cela est nécessaire pour améliorer les
performances.

Contexte et parent
Pour sélectionner les éléments actuels et parents, XPath reconnaît la notation de points
couramment utilisée pour naviguer dans les répertoires. Utilisez un seul point (.) pour
sélectionner le nœud actif et utilisez des périodides doubles (..) pour renvoyer le parent du
nœud actif. Par exemple, pour récupérer tous les nœuds enfants du parent du nœud actuel,
utilisez :
.. /*

Par conséquent, pour accéder à tous les CD à partir de l’exemple de code XML, utilisez l’expression
suivante :

17-134Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
/CATALOGUE/CD/..

Vous pouvez également accéder à tous les titres de CD sortis en 1988 en utilisant ce qui suit:
/CATALOGUE/CD/TITRE[.. /ANNÉE=1988]

Le.. est utilisé pour naviguer dans l’arborescence des éléments pour trouver l’élément YEAR au
même niveau que le TITLE, où il est ensuite testé pour une correspondance avec « 1988 ». Vous
pouvez également utiliser
// dans ce cas, mais si l’élément YEAR est utilisé ailleurs dans le document XML, vous
risquez d’obtenir des résultats erronés.
XPath est une norme extrêmement puissante lorsqu’elle est combinée avec des modèles RTF
vous permettant d’utiliser la mise en forme conditionnelle et le filtrage dans votre modèle.

Prise en charge des espaces de noms


Si vos données XML contiennent des espaces de noms, vous devez les déclarer dans le modèle
avant de référencer l’espace de noms dans un espace réservé. Déclarez l’espace de noms dans
le modèle à l’aide de la méthode RTF de base ou dans un champ de formulaire. Entrez la
syntaxe suivante :
<?namespace:namespace name= namespace url?>
Par exemple:
<?namespace:fsg=http://www.oracle.com/fsg/2002-30-20/?>
Une fois déclaré, vous pouvez utiliser l’espace de noms dans le balisage de l’espace réservé, par
exemple :
<?fsg:Nom_rapport?>

Utilisation d’éléments XSL


Vous pouvez utiliser n’importe quel élément XSL de votre modèle en insérant la syntaxe XSL
dans un champ de formulaire.
Si vous utilisez la méthode RTF de base, vous ne pouvez pas insérer la syntaxe XSL
directement dans votre modèle. BI Publisher a étendu les éléments XSL suivants pour les
utiliser dans les modèles RTF.
Pour les utiliser dans un modèle RTF de méthode de base, vous devez utiliser le formulaire
BALISE DE PUBLICATION BI de l’élément XSL. Si vous utilisez des champs de formulaire,
utilisez l’une ou l’autre option.

Appliquer une règle de modèle


Utilisez cet élément pour appliquer une règle de modèle aux nœuds enfants de l’élément actif.
Syntaxe XSL : <xsl:apply-templates select="name">
Balise BI Publisher : <?apply:name?>
Cette fonction s’applique à <xsl:template-match="n"> où n est le nom de l’élément.

Création d’un modèle RTF17-


135
Copier le nœud actuel
Utilisez cet élément pour créer une copie du nœud actif.
Syntaxe XSL : <xsl:copy-of select="name">
Balise BI Publisher : <?copy-of:name?>

Modèle d’appel
Utilisez cet élément pour appeler un modèle nommé à insérer ou à appliquer au modèle
actuel. Par exemple, utilisez cette fonctionnalité pour afficher une table plusieurs fois.
Syntaxe XSL : <xsl:call-template name="name">
Balise BI Publisher : <?call-template:name?>

Modèle de déclaration
Utilisez cet élément pour appliquer un ensemble de règles lorsqu’un nœud spécifié est mis en
correspondance.
Syntaxe XSL : <xsl:template name="name">
Balise BI Publisher : <?template:name?>

Déclaration de variable
Utilisez cet élément pour déclarer une variable locale ou globale.
Syntaxe XSL : <xsl:variable name="name">
Balise BI Publisher : <?variable:name?>
Exemple :
<xsl:variable name="color » select="'red'"/>

Attribue la valeur « rouge » à la variable « couleur ». La variable peut ensuite être référencée
dans le modèle.

Importer une feuille de style


Utilisez cet élément pour importer le contenu d’une feuille de style dans une autre.
Remarque : Une feuille de style importée a une priorité inférieure à celle de la
feuille de style importée.

Syntaxe XSL : <xsl:import href="url">


Balise BI Publisher : <?import:url?>

17-136Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Définir l’élément racine de la feuille de style
Cet élément et l’élément <xsl:stylesheet> sont des éléments complètement synonymes. Les
deux sont utilisés pour définir l’élément racine de la feuille de style.
Remarque : Une feuille de style incluse a la même priorité que la feuille de
style incluse.

Syntaxe XSL : <xsl:stylesheet xmlns:x="url">


Balise BI Publisher : <?namespace:x=url?>
Remarque : L’espace de noms doit être déclaré dans le modèle. Voir Prise en
charge des espaces de noms , pages 17 à 135.

Mise en forme native des nombres XSL


La fonction de format-nombre XSL native prend le format de base :
format-number(nombre,format,[decimalformat])

Paramètre Description

nombre Obligatoire. Spécifie le numéro à mettre en forme.

format Obligatoire. Spécifie le modèle de format. Utilisez ce qui suit


caractères pour spécifier le modèle :

• # (Indique un chiffre. Exemple : ####)

• 0 (Indique les zéros qui commencent et suivent. Exemple : 0000.00)

• . (La position de la virgule décimale Exemple : ###.##)

• , (Séparateur de groupe pour des milliers. Exemple : ###,###.##)

• % (Affiche le nombre sous forme de pourcentage. Exemple : ##%)

• ; (Séparateur de motifs. Le premier modèle sera utilisé pour


nombres positifs et le second pour les nombres négatifs)

decimalformat Optionnel. Pour plus d’informations sur le format décimal, veuillez


consultez n’importe quel manuel XSLT de base.

Création d’un modèle RTF17-


137
Utilisation des éléments FO
Vous pouvez utiliser la syntaxe FO native dans les champs de formulaire Microsoft Word.
Pour plus d’informations sur XSL-FO, consultez le site Web
du W3C à l’adresse
http://www.w3.org/2002/08/XSLFOsummary.html
L’ensemble des éléments FO pris en charge par BI Publisher se trouve en annexe :
Éléments XSL-FO pris en charge, page D-1.

Recommandations pour la conception de modèles RTF pour la sortie Microsoft


PowerPoint
BI Publisher peut générer votre modèle RTF en tant que sortie PowerPoint , ce qui vous permet
d’obtenir des données de rapport dans vos principales présentations commerciales.
Actuellement, le document PowerPoint généré est une simple exportation des données et des
graphiques formatés vers PowerPoint.

Limitations
Voici les limitations lors de l’utilisation de PowerPoint en tant que sortie :
• Lors de la conception de tableaux pour votre diapositive PowerPoint, vous devez définir le type
de bordure de tableau comme une seule ligne (la double bordure, le tiret et les autres types ne
sont pas pris en charge).

• Les liens hypertexte ne sont pas pris en charge.

• Les formes ne sont pas prises en charge.

• La position du texte peut être légèrement incorrecte si vous utilisez l’alignement à droite.

• Le format de papier doit être le même sur toutes les pages du modèle RTF. Vous ne
pouvez pas avoir des formats de papier mélangés dans le même document.

• Les langues bidirectionnelles ne sont pas prises en charge.

• La position du texte peut être légèrement incorrecte pour les polices chinoise, japonaise et
coréenne lors de l’utilisation d’effets gras ou italiques sur les caractères. En effet,
Microsoft utilise une émulation en gras ou en italique lorsqu’il n’y a pas de police en gras
ou en italique.

• Toutes les langues Unicode, à l’exception des langues bidirectionnelles, sont prises en charge.

• Le mécanisme de secours des polices de BI Publisher n’est pas pris en charge pour les
modèles PowerPoint. Si vous souhaitez utiliser une police qui n’est pas installée, assurez-
vous de l’avoir configurée avec BI Publisher.

Directives d’utilisation
Voici des instructions pour vous aider lors de la conception d’un modèle RTF destiné à

17-138Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Sortie PowerPoint :
• La sortie PowerPoint conservera l’orientation de la page (portrait ou paysage) définie dans
le modèle RTF. La plupart des présentations sont orientées en paysage, c’est donc
l’orientation recommandée de votre modèle RTF.

• Un saut de page dans votre modèle RTF générera une nouvelle diapositive.

• La couleur d’arrière-plan des diapositives est toujours générée en blanc. Si vous préférez
une couleur d’arrière-plan différente, vous devez modifier la couleur après la génération
du fichier PowerPoint.

• Lorsque vous mettez en surbrillance des caractères dans l’en-tête ou le pied de page,
lorsque la police n’est pas prédéfinie dans xdo.cfg, assurez-vous de spécifier la police
pour l’ensemble de la balise « <? XXXXXX?> », y compris les « <? » et « ?> » dans le
modèle.

À propos des graphiques dans la sortie PowerPoint


BI Publisher prend en charge les graphiques PowerPoint natifs pour certains types de
graphiques rendus dans la sortie PowerPoint2007. Lorsque le chart est inséré en tant que
graphique natif, vous pouvez le modifier dans PowerPoint. Si le graphique n’est pas inséré en
tant que graphique natif, BI Publisher insère une image PNG qui ne peut pas être mise à jour.
Les types de graphiques suivants peuvent être rendus en tant que graphiques PowerPoint natifs
dans
Sortie PowerPoint2007 :
• Tarte

• Bague

• Ligne

• Aire

• Radar

• Bulle

• Pareto

• Combinaison

• Stock

Tout type de graphique qui n’est pas natif de PowerPoint (par exemple, jauge ou entonnoir)
sera converti en graphique à barres.
Par défaut, l’insertion de graphique natif est activée. Pour désactiver l’insertion de graphique
natif pour un rapport, définissez la propriété de rapport Activer la prise en charge des
graphiques natifs PPTX sur false. Voir Réglage

Création d’un modèle RTF17-


139
Propriétés de mise en forme, page 22-1 pour plus d’informations.
Notez que lorsque la valeur False est définie sur False, tous les graphiques sont rendus sous
forme d’images dans votre sortie PowerPoint2007. Par conséquent, définissez cette option sur
false uniquement lorsque votre rapport inclut les types de graphiques non natifs.

Configuration des polices pour le serveur BI Publisher


La prise en charge de la sortie PowerPoint n’inclut pas le mécanisme de secours de police utilisé
pour d’autres types de sortie dans BI Publisher. Si vous utilisez une police non standard dans
votre template, vous devez configurer le serveur BI Publisher pour chaque police utilisée dans le
modèle RTF pour générer une sortie PowerPoint. Vous devrez copier ces polices sur votre
serveur BI Publisher server et définir les mappages de polices pour les modèles RTF. Cela peut
être fait pour l’ensemble du système ou pour des rapports individuels. Voir Définition des
mappages de polices, pages 22-17 pour plus de détails.

Configuration des polices pour le générateur de modèles BI Publisher


Lorsque vous utilisez BI Publisher Template Builder pour concevoir votre rapport, afin de
prévisualiser correctement l’output PPT qui utilise des polices non anglaises ou non
standard, vous devez définir les polices dans le fichier de configuration BI Publisher. Ce
fichier de configuration est appelé xdo.cfg et se trouve généralement dans :
C:\Oracle\BI Publisher\BI Publisher Desktop\Template Builder pour Word\config\
Notez que si vous n’avez pas encore utilisé ce fichier, vous pouvez trouver le fichier « xdo
example.cfg » à la place. Ce fichier doit être enregistré avec un codage UTF-8 et fournir
un chemin complet et absolu pour chaque police définie. Sinon, vous rencontrerez des
problèmes tels que des superpositions de caractères et un habillage qui ne fonctionne pas.
1. Accédez à C:\Oracle\BI Publisher\BI Publisher Desktop\Template Builder for
Word\config\

2. Ouvrez le fichier xdo.cfg et mettez à jour les mappages de polices. Pour obtenir des
informations sur la mise à jour des mappages de polices directement dans le fichier xdo.cfg,
consultez Définitions de polices, Guide de l’administrateur et du développeur Oracle Fusion
Middleware pour Business Intelligence Publisher.

3. Enregistrez le xdo.cfg au format UTF-8.


La figure suivante montre un exemple de xdo. Fichier cfg :

17-140Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Création d’un modèle RTF17-
141
18
Création de modèles RTF à l’aide du Générateur
de modèles pour
Word

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Introduction
• Commencer
• Accès aux données pour créer votre modèle
• Insertion de composants dans le modèle
• Aperçu d’un modèle
• Outils d’édition de modèles
• Téléchargement d’un modèle sur le serveur BI Publisher
• Utilisation des outils de traduction du Générateur de modèles
• Définition des options pour le Générateur de modèles
• Configuration d’un fichier de configuration
• Référence du menu BI Publisher

Introduction
Le Générateur de modèles est un complément à Microsoft Word qui simplifie le développement
de modèles RTF. Bien que le Générateur de modèles ne soit pas nécessaire pour créer des
modèles RTF, il fournit de nombreuses fonctions qui augmenteront votre productivité.
Le Générateur de modèles est étroitement intégré à Microsoft Word et vous permet
d’exécuter les fonctions suivantes :
• Insérer des champs de données

• Insérer des tableaux

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Wor
d18-1
• Insérer des formulaires

• Insérer des graphiques

• Prévisualiser votre modèle avec des exemples de données XML

• Parcourir et mettre à jour le contenu des champs de formulaire

• Extraire du texte standard dans un fichier de traduction XLIFF et tester les traductions

Notez que le Générateur de modèles automatise l’insertion des composants les plus
fréquemment utilisés d’un modèle RTF. Les modèles RTF prennent également en charge
un formatage et un traitement beaucoup plus complexes. Pour obtenir la description
complète des fonctionnalités du modèle RTF, voir Création d’un modèle RTF, page 17-2.

Avant de commencer :
Votre installation de Template Builder fournit des exemples et des fichiers de démonstration
pour vous aider à démarrer. Les démos sont accessibles à partir de votre menu Démarrer de
Windows comme suit :
Démarrer > programmes > les démonstrations d’Oracle BI Publisher Desktop >
Les demos sont également accessibles à partir du dossier BI Publisher\BI Publisher
Desktop\demos où vous avez installé BI Publisher Desktop (par exemple : C:\Program
Files\Oracle\BI Publisher\BI Publisher Desktop\demos).
Les démos suivantes sont fournies :
• Démo de rapport : illustre la création d’une mise en page de rapport à l’aide de nombreuses
fonctionnalités clés du Générateur de modèles, notamment : connexion au serveur BI
Publisher, chargement des données d’un rapport, insertion de tableaux et de graphiques et
définition de la mise en forme conditionnelle.

• Démo de facture - montre comment prendre une mise en page préparée et utiliser le Générateur
de modèles pour insérer les champs requis pour remplir le modèle avec des données au
moment de l’exécution.

• Démonstration de localisation - illustre les capacités de localisation du Générateur de


modèles et vous montre comment extraire un fichier XLIFF du modèle RTF de base. Le
fichier XLIFF peut ensuite être traduit et les traductions prévisualisées dans le
Générateur de modèles.

Les exemples de fichiers se trouvent dans le dossier BI Publisher\BI Publisher Desktop\Samples.


Le dossier Samples contient trois sous-dossiers :
• Modèles eText

• Modèles PDF

• Modèles RTF

Les exemples de modèles eText et PDF peuvent être utilisés comme références pour créer ces types
de

18-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Modèles. Le Générateur de modèles n’est disponible que pour les modèles RTF. Le
dossier des modèles RTF contient huit sous-dossiers pour fournir des exemples de
différents types de rapports. Reportez-vous à la TrainingGuide.ht ml située dans le dossier
Modèles RTF pour plus d’informations sur ce qui est contenu dans chaque exemple.

Prérequis et limitations
Conditions préalables:
• Votre modèle de données de rapport a été créé et s’exécute correctement. Pour plus
d’informations sur la création de modèles de données, consultez Création de modèles de
données, page 8-1.

• Les versions prises en charge de Microsoft Word et Microsoft Windows sont installées
sur votre client.
Remarque : Voir Configuration système requise et certification, page xix
pour obtenir les informations les plus récentes sur le matériel et les logiciels
de sécurité pris en charge.

• BI Publisher Template Builder a été téléchargé et installé sur votre client.


Le Générateur de modèles peut être téléchargé à partir de la région Prise en main de la
page d’accueil .

Limitations
• Le Générateur de modèles ne prend pas en charge l’affichage bidirectionnel du texte
dans l’interface utilisateur.

Commencer

Fonctionnalités d’Oracle BI Publisher Template Builder pour Word


Lorsque vous ouvrez Microsoft Word après avoir installé le Générateur de modèles, vous
remarquerez le menu Oracle BI Publisher.
Pour les versions de Microsoft Word antérieures à 2007, le menu et la barre d’outils
apparaîtront comme indiqué dans la figure suivante :

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Wor
d18-3
Pour les utilisateurs de Microsoft Word 2007, les commandes BI Publisher s’affichent au
format ruban :

Utilisez le menu (ou la barre d’outils) pour effectuer les opérations suivantes :
• Insérer des champs de données dans vos modèles RTF

• Insérer des tableaux, des formulaires, des graphiques et des tableaux croisés dynamiques

• Prévisualiser votre modèle dans plusieurs sorties

• Parcourir et mettre à jour le contenu des champs de formulaire

• Valider votre modèle

18-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Effectuer des calculs sur les champs du modèle

• Connectez-vous au catalogue Oracle BI Publisher pour récupérer des données afin de créer
votre modèle

• Télécharger votre modèle sur le serveur Oracle BI Publisher

• Extraire du texte standard dans un fichier de traduction XLIFF et tester les traductions

Création et téléchargement de votre modèle


Vous pouvez créer et télécharger votre modèle via une connexion directe avec le serveur BI
Publisher, ou vous pouvez créer et télécharger votre modèle en mode déconnecté.

Travailler en mode connecté


1. Ouvrez Microsoft Word.

2. Dans le menu Oracle BI Publisher, sélectionnez Ouvrir une session.

3. Entrez vos informations d’identification BI Publisher et l’URL du serveur BI


Publisher, par exemple : http://www.example.com:7001/xmlpserver. (Contactez votre
administrateur système si vous ne connaissez pas l’URL.)

4. La boîte de dialogue Ouvrir le modèle présente la même structure de dossiers que le


catalogue BI Publisher. Sélectionnez le rapport ou le modèle de données pour lequel vous
souhaitez créer un modèle.

5. Si vous avez sélectionné un modèle de données :


Cliquez sur Créer un rapport pour créer un rapport pour ce modèle de données
dans le catalogue BI Publisher. Il s’agit du rapport dans lequel vous allez
télécharger votre modèle.
Entrez un nom de rapport et sélectionnez le dossier dans lequel
l’enregistrer. Cliquez sur Enregistrer.
Les exemples de données du modèle de données sont chargés dans le
Générateur de modèles. Si vous avez sélectionné un rapport :
Cliquez sur Ouvrir le rapport pour charger les données dans le Générateur de modèles ou
double-cliquez sur <Nouveau> dans le volet Modèles de mise en page.
Notez que tous les modèles existants seront répertoriés dans le volet Modèles de mise en
page .

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Wor
d18-5
6. Suivez les instructions de ce chapitre pour insérer des champs de données et concevoir
votre modèle à l’aide de fonctionnalités telles que des tableaux, des graphiques et des
graphiques. Utilisez Microsoft Word pour appliquer la mise en forme aux polices et autres
objets de votre modèle.
Pour des options de modèle plus avancées, suivez les instructions de la section
Création d’un modèle RTF, page 17-2.

7. Pour télécharger votre fichier de modèle sur le serveur BI Publisher et l’ajouter à votre
définition de rapport, sélectionnez Télécharger le modèle sous dans le menu Oracle BI
Publisher.
Si vous n’avez pas enregistré votre modèle, vous serez invité à l’enregistrer au format
RTF.

8. Entrez un name et sélectionnez un paramètre régional dans la boîte de dialogue


Télécharger en tant que nouveau. Notez qu’il s’agit du nom qui apparaît sous Mises en
page dans l’Éditeur de rapports. Il s’agit également du nom de mise en page qui sera
affiché lorsqu’un utilisateur exécutera ce rapport.

9. Configurez les propriétés de cette disposition.


Accédez à l’éditeur de rapports BI Publisher pour configurer les propriétés de cette mise en
page, telles que les formats de sortie. Voir Configuration des mises en page, pages 15 et 7 pour
plus d’informations.

Travailler en mode déconnecté


Pour travailler en mode déconnecté, vous devez disposer d’un exemple de fichier de données
disponible dans votre environnement de travail local :
1. Enregistrez un exemple de fichier de données sur votre ordinateur local. Voir Accès aux
données pour créer votre modèle, pages 18-7.

2. Ouvrez Microsoft Word avec le Générateur de modèles installé.

18-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
3. Dans le menu Oracle BI Publisher du groupe Charger les données, sélectionnez
Exemple xml. Recherchez votre exemple de fichier de données dans votre répertoire
local et cliquez sur Ouvrir.
Remarque : Le Générateur de modèles prend également en charge
l’utilisation du schéma XML pour concevoir un modèle RTF. Toutefois,
étant donné que le schéma ne contient aucune donnée, l’aperçu de votre
rapport ne contiendra aucune donnée.

4. Suivez les instructions de ce chapitre pour insérer des champs de données et concevoir
votre modèle à l’aide de fonctionnalités telles que des tableaux, des graphiques, des
graphiques et d’autres composants de mise en page. Utilisez Microsoft Word pour
appliquer la mise en forme aux polices et autres objets de votre modèle.
Pour des options de modèle plus avancées, suivez les instructions de la section
Création d’un modèle RTF, page 17-2.

5. Téléchargez votre fichier de modèle de mise en page.


Dans le catalogue BI Publisher, ouvrez votre rapport dans l’Éditeur de rapports. Cliquez
sur Ajouter une nouvelle mise en page.
Complétez les champs de la boîte de dialogue, puis sélectionnez Télécharger. Le
modèle apparaîtra maintenant sous forme de mise en page pour le rapport.

6. Configurez les propriétés de cette disposition.


Voir Configuration des mises en page, pages 15 et 7 pour plus d’informations.

Accès aux données pour créer votre modèle


Le modèle de données définit le format XML qui sera fusionné avec le modèle RTF. Le
Générateur de modèles nécessite des exemples de données pour générer votre modèle. Vous
devez charger des exemples de données pour utiliser la plupart des fonctionnalités du générateur
de modèles.
Si vous n’êtes pas connecté à BI Publisher, utilisez la procédure « Chargement de données
XML à partir d’un fichier local ». Si vous êtes connecté, utilisez la procédure « Chargement
des données à partir du catalogue BI Publisher ».

Chargement de données XML à partir d’un fichier local


Une méthode de chargement des données dans le Générateur de modèles consiste à enregistrer
un exemple de données de rapport dans un répertoire local.
Pour plus d’informations sur l’enregistrement d’exemples de données à partir de votre
modèle de données de rapport, consultez la rubrique Test des modèles de données et
génération d’exemples de données, pages 9-32.
Si vous n’avez pas accès au modèle de données de rapport, mais que vous pouvez accéder au
rapport, vous pouvez également enregistrer des exemples de données à partir de la visionneuse
de rapports. Pour enregistrer des données à partir de la visionneuse de rapports :
1. Dans le catalogue BI Publisher, accédez au rapport.

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour Word18-


7
2. Cliquez sur Ouvrir pour exécuter le rapport dans la visionneuse de rapports.

3. Cliquez sur l’icône Actions , puis sur Exporter, puis sur Données. Vous serez invité à
enregistrer le fichier XML.

4. Enregistrez le fichier dans un répertoire local.

5. Utilisez la fonctionnalité Charger un exemple xml ci-dessous pour charger le


fichier XML enregistré dans le Générateur de modèles.

Le groupe Charger les données du menu Oracle BI Publisher vous permet de sélectionner et de
charger le fichier XML enregistré dans le Générateur de modèles.
• Exemple de code XML : cette fonction vous permet de charger un exemple de fichier
XML contenant tous les champs que vous souhaitez insérer dans votre modèle en tant que
source de données. Si vous n’êtes pas connecté au serveur BI Publisher, utilisez cette
méthode pour charger vos données.

• Schéma XML - Cette fonction vous permet de charger un fichier de schéma XML (.xsd)
contenant les champs disponibles dans les données XML de votre rapport. Le schéma XML
a l’avantage d’être complet (un exemple de fichier XML peut ne pas contenir tous les
champs de la source de données). Pour l’aperçu, le Générateur de modèles peut générer des
exemples de données factices pour un schéma XML. Cependant, l’aperçu fonctionne mieux
si vous téléchargez également des exemples réels de données.

Chargement de données à partir du catalogue BI Publisher


Vous pouvez vous connecter directement au serveur BI Publisher pour charger vos données de
rapport BI Publisher dans le Générateur de modèles afin de les utiliser comme exemples de
données pour la conception de mises en page. Vous pouvez également télécharger un modèle
existant pour le modifier.
Pour vous connecter à BI Publisher et charger une source de données :
1. Ouvrez une session sur BI Publisher Server : dans le menu Oracle BI Publisher,
sélectionnez Ouvrir une session. Pour plus d’informations sur le logging vers le serveur
BI Publisher, consultez Fonctionnement en mode connecté, page 18-5.

2. Une fois que vous avez ouvert une session, vous pouvez sélectionner Ouvrir. La
boîte de dialogue Ouvrir le modèle s’ouvre.

3. Accédez au dossier qui contient le rapport ou le modèle de données pour lequel vous
souhaitez créer un modèle.
Lorsque vous sélectionnez un rapport, vous pouvez choisir dans les modèles de mise en
page pour ouvrir un modèle existant, sélectionner Ouvrir le rapport pour charger
uniquement les exemples de données XML afin de créer une nouvelle mise en page ou
double-cliquer sur <Nouveau> pour charger les données dans le Générateur de modèles afin
de créer une nouvelle mise en page.
Lorsque vous sélectionnez un modèle de données, vous êtes invité à créer un rapport
dans le catalogue.

18-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Insertion de composants dans le modèle
Cette section comprend les rubriques suivantes :
• Insertion d’un champ, pages 18-9

• Insertion d’un tableau à l’aide de l’Assistant Tableau, pages 18-12

• Insertion d’un tableau ou d’un formulaire à l’aide de la boîte de dialogue


Tableau/Formulaire, pages 18-16

• Insertion d’un graphique, pages 18-20

• Insertion d’un tableau croisé dynamique, pages 18-22

• Insertion d’un groupe répétitif, pages 18-25

• Insertion d’une région conditionnelle, pages 18-28

• Insertion d’un format conditionnel, pages 18-29

Insertion d’un champ


Cette boîte de dialogue vous permet de sélectionner des éléments de données à partir de la
source de données et de les insérer dans le modèle.
Dans le groupe Insertion, sélectionnez Champ pour ouvrir la boîte de dialogue Champ. La boîte
de dialogue affiche la structure de votre source de données chargée dans une arborescence,
comme illustré dans la figure suivante :

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Wor
d18-9
Sélectionnez un champ qui représente un champ de données unique (un nœud feuille de
l’arborescence) et sélectionnez Insérer (vous pouvez également insérer le champ en le faisant
glisser et en le déposant dans votre document ou en double-cliquant sur le champ). Un champ
de formulaire de texte avec des virgules BI Publisher masquées est inséré à la position du
curseur dans le modèle. Vous pouvez sélectionner et insérer des champs de données
supplémentaires ou fermer la boîte de dialogue en cliquant sur le bouton Fermer.

A propos de la boîte de dialogue Insérer un champ


Les champs de la boîte de dialogue Insérer un champ sont les suivants :

Trouver
Pour un document XML avec une structure volumineuse et compliquée, utilisez la
fonctionnalité de recherche pour trouver un champ spécifique. Entrez une chaîne partielle du
nom du champ que vous recherchez dans le champ Rechercher, puis cliquez sur Suivant. La
prochaine occurrence d’un élément de données qui inclut votre expression search sera
sélectionnée. Cliquez à nouveau sur le bouton Rechercher suivant pour afficher l’occurrence
suivante.

Exemple
Lorsque vous sélectionnez un nom de champ dans l’arborescence, un exemple de valeur pour ce
champ s’affiche.

18-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Forcer la direction LTR (de gauche à droite)
Cette case à cocher n’est nécessaire que si vous utilisez le modèle dans une langue qui imprime
les caractères de droite à gauche, comme l’aracien ou l’hébreu. Utilisez cette fonctionnalité pour
forcer l’impression de gauche à droite pour des champs tels que les numéros de téléphone, les
adresses, les codes postaux ou les numéros de compte bancaire.
Calcul
Cette fonctionnalité vous permet d’exécuter des fonctions d’agrégation sur des champs de
données, tels que somme , moyenne, nombre, minimum et maximum.
Par exemple, si vous sélectionnez somme pour un champ de données, le champ affiche
la somme de toutes les valeurs qui se produisent pour ce champ de données, en
fonction du regroupement.
Il est important de comprendre le contexte de regroupement (marqué par les champs de
formulaire G et E) pour savoir exactement quels champs sont accumulés. Si vous insérez un
champ de données avec une fonction d’accumulation dans une section répétée (marquée par
des champs de formulaire d’instructions de traitement G et E), vous devez sélectionner Sur le
regroupement pour accumuler les données des occurrences au sein du groupe. Si vous ne
souhaitez pas que l’accumulation soit limitée au groupe, vous devez placer le champ
d’accumulation en dehors du groupe.
La figure suivante montre un exemple :

Notez également que le champ de données doit être un numéro XSL valide pour que les
fonctions d’accumulation fonctionnent. Les nombres mis en forme ne peuvent pas être traités par
BI Publisher (par exemple, un nombre utilisant un séparateur de milliers : 10 000 000,00 ne peut
pas être traité).
Pour plus d’informations sur les groupes de votre modèle à l’aide du Générateur de modèles,
voir Insertion d’un groupe répété, pages 18-25. Voir également Définition de groupes, pages
17-12 du chapitre : Création d’un modèle RTF.

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-11
Insertion d’une table à l’aide de l’Assistant Table
L’Assistant Insertion de table vous permet de créer des rapports standard. Dans le menu
Insertion, sélectionnez Assistant Tableau.

Étape 1 : Sélectionner le format du rapport


Commencez par sélectionner le format de rapport de base. Choisissez entre Table, Formulaire
ou Formulaire libre. L’exemple suivant montre comment chaque sélection apparaîtra dans le
rapport. La figure suivante montre des exemples de chacun :

Étape 2 : Sélectionner les données de la table


Un document XML peut inclure plusieurs ensembles de données groupés. Par exemple, un
document XML de bon de commande peut contenir des informations au niveau de l’en-tête,
des lignes, des expéditions et des contacts.
Dans cette étape, sélectionnez le groupe de données qui contient les données requises pour votre
table.
Par exemple, dans l’exemple de modèle RTF Balance Letter (qui se trouve dans les fichiers
installés du Générateur de modèles sous Oracle\BI Publisher\BI Publisher
Desktop\samples\RTF Templates), l’exemple de fichier XML contient trois groupes de données
comme suit :
• ARXCOBLX/G_CUSTOMER

• ARXCOBLX/G_CUSTOMER/G_CURRENCY

• ARXCOBLX/G_CUSTOMER/G_CURRENCY/G_INVOICES

L’Assistant Table présente une liste des groupes de données disponibles dans votre fichier de
données XML.
Sélectionnez le groupe qui contient les champs de données de votre table.

18-12Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pour créer un tableau pour répertorier les factures contenues dans les données, sélectionnez :
ARXCOBLX/G_CUSTOMER/G_CURRENCY/G_INVOICES
comme votre ensemble de données.

Étape 3 : Sélectionner les champs de données


L’Assistant Table présente les champs de données de l’ensemble de données sélectionné.

Utilisez les boutons de navette pour sélectionner les champs de données à afficher dans votre
tableau. Utilisez les flèches haut et bas pour réorganiser les champs après les avoir
sélectionnés.

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-13
Étape 4 : Regrouper la table
Cette étape vous permet de regrouper les données par un champ particulier. Ceci est facultatif.
Par exemple, si vous créez une table de factures, vous souhaiterez peut-être regrouper toutes les
factures d’un type ou d’une date particulier à regrouper dans le rapport.

Il existe deux options de regroupement : Groupe gauche ou Groupe ci-dessus. Le groupe gauche
créera une table imbriquée. Le champ Grouper par s’affiche à gauche dans le tableau extérieur.
Group Above créera une nouvelle table pour chaque nouvelle valeur de votre groupe par champ,
affichant la valeur du groupe par champ sous forme de titre de table.
En voici quelques exemples :
Group Left regroupe le groupe par occurrences d’élément comme illustré :

Group Above affiche le résultat sous la forme d’un tableau avec un en-tête :

18-14Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Lorsque vous sélectionnez un élément à regrouper, BI Publisher trie les données en fonction
de l’élément de regroupement. Si les données sont déjà triées par l’élément de regroupement,
activez la case à cocher Données déjà triées . Cela améliorera les performances.

Insérer une pause pour le groupe


Utilisez l’option Saut pour insérer un saut de page ou un saut de section après chaque
occurrence de ce groupe. Notez qu’un saut de section ne peut être créé que sur le groupe de
niveau supérieur. Les options de regroupement suivantes affichent uniquement l’option Saut
de page.
Notez qu’un saut de page démarrera le groupe suivant sur une nouvelle page ; un saut de section
démarrera le groupe suivant sur une nouvelle page, réinitialisera la numérotation des pages,
réinitialisera les en-têtes et les pieds de page et réinitialisera tous les calculs en cours pour
chaque occurrence du groupe.

Étape 5 : Trier le tableau


Vous pouvez trier les données de la table par un maximum de quatre champs différents.
Sélectionnez un champ, puis définissez l’ordre de tri (croissant ou décroissant), puis
sélectionnez le type de données approprié pour le champ. Par exemple, si le texte est
sélectionné, « 12 » viendra avant « 2 » (ordre alphiothémérique). Si le nombre est sélectionné,
« 2 » viendra avant « 12 ».
Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour
Word
18-15
Étape 6: Cliquez sur Terminer
Cliquez sur Terminer pour créer le tableau et l’insérer dans votre document Microsoft Word.

Étape 7 : Personnaliser le tableau à l’aide de la fonctionnalité Microsoft Word


Personnalisez le tableau en modifiant les polices, les couleurs, le dimensionnement des
colonnes, les bordures, l’ombrage, etc., à l’aide des commandes de mise en forme de
Microsoft Word.

Insertion d’un tableau ou d’un formulaire à l’aide de la boîte de dialogue Insérer un


tableau/formulaire
La boîte de dialogue Insérer un tableau/formulaire est l’outil le plus flexible du générateur de
modèles. Il vous permet d’effectuer les tâches suivantes :
• Créez une table simple ou imbriquée avec un nombre variable de lignes.

• Associez un groupe d’éléments de données, tels qu’une facture complète ou une ligne de
bon de commande, à un formulaire dans le document qui sera répété pour chaque
occurrence de l’élément de données.

• Sélectionnez et définissez une disposition pour tous les champs de données du modèle.

• Regroupez ou regroupez les données.

La boîte de dialogue Insérer un tableau/formulaire affiche deux volets d’arborescence. Le volet


gauche affiche la structure de la source de données, tandis que le volet droit affiche les éléments
qui seront copiés dans le modèle lorsque vous cliquez sur le bouton Insérer.

18-16Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Sélection des champs de données
Sélectionnez d’abord les champs de données à insérer dans le modèle, puis définissez comment
les mettre en forme. Faites glisser un élément XML du volet Source de données gauche vers le
volet Modèle droit. Si l’élément XML a des enfants, vous verrez un menu contextuel avec les
options suivantes :
• Supprimer un seul nœud

• Supprimer tous les nœuds

• Annuler

Sélectionnez Supprimer un seul nœud si vous souhaitez déplacer uniquement le nœud


sélectionné ou Supprimer tous les nœuds si vous souhaitez déplacer le nœud et tous ses
enfants.
Si vous faites glisser un champ de données supplémentaire du volet Source de données gauche vers le
volet Modèle droit, il est inséré au même niveau (même niveau) ou sous le nœud (enfant) où vous
libérez le nœud. La zone Insérer une position définit l’emplacement d’insertion du nœud.

Remarque : Si vous utilisez le bouton gauche de la souris pour le glisser-


déposer, le nœud et tous les enfants sont copiés. Toutefois, si vous utilisez le
bouton droit de la souris pour le glisser, une boîte de dialogue apparaît lorsque
vous relâchez le bouton de la souris. La boîte de dialogue vous donne la
possibilité de copier uniquement le nœud sélectionné ou le nœud sélectionné
et tous les enfants.

Définition de la mise en page


Lorsque vous sélectionnez un élément dans le volet Template de droite, vous verrez ses propriétés
ainsi qu’un aperçu de la façon dont le nœud sera rendu. Il existe deux types de nœuds :
• Champs de données

• Groupes de données

Les nœuds de champ de données (nœuds feuilles) n’ont pas de nœuds enfants. Ils
représentent des attributs simples tels que le montant total d’une facture ou le sous-total
d’une ligne de bon de commande.
Les nœuds de groupe de données (nœuds parents) sont des nœuds qui ont des nœuds enfants. En
règle générale, ils ne représentent pas des attributs de données, mais des groupes de données, tels
qu’une facture, un bon de commande, une ligne de commande d’achat ou un envoi.

Propriétés des champs de données


Si un nœud Champ de données est sélectionné, ses propriétés sont affichées dans le volet
Propriétés. Vous disposez des options suivantes pour décrire comment le Générateur de modèles
doit afficher le champ :
• Calcul

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-17
Vous pouvez sélectionner l’une des fonctions d’agrégation pour les champs de données.
Ces fonctions (en plus du nombre) n’ont d’effet que lorsqu’il y a plus d’un des champs de
données dans le contexte où vous utilisez la fonction.

• Forcer la direction LTR (de gauche à droite)


Cette option n’est nécessaire que si vous utilisez le modèle dans une langue qui affiche des
caractères de droite à gauche, tels que l’arabe ou l’hébreu. Utilisez cette option pour forcer
l’impression de gauche à droite pour des champs tels que les numéros de téléphone, les
adresses, les codes postaux ou les numéros de compte bancaire.

Propriétés du groupe de données


L’ordre dans lequel les éléments de données sont affichés reflète l’ordre des colonnes dans le
table. Si vous souhaitez réorganiser les colonnes, modifiez la zone Insérer une position de
Enfant à Même niveau. Faites ensuite glisser les éléments dans le bon ordre.
Si un nœud groupe de données est sélectionné, ses propriétés sont affichées dans le volet
Propriétés. Vous disposez des options suivantes pour décrire comment le Générateur de
modèles doit afficher le groupe :
• Style
Pour afficher les données sous la forme d’un tableau horizontal avec un en-tête,
sélectionnez Tableau. Pour afficher les champs les uns en dessous des autres avec des
étiquettes dans un tableau, utilisez Formulaire. Si vous souhaitez insérer les champs dans
une section de texte de forme libre qui doit être répétée pour cet élément, sélectionnez
Forme libre.

• Groupement
Le regroupement est une opération avancée qui vous permet de regrouper les données par
un élément spécifique dans les données. Par exemple, vous pouvez regrouper toutes vos
factures par client. Vous pouvez sélectionner un élément enfant de l’élément sélectionné
comme critère de regroupement. Pour plus d’informations, voir Regroupement, pages 18-
19.

• Afficher la valeur de regroupement


Cette propriété ne sera affichée que si vous avez sélectionné un nœud créé par la
fonctionnalité De regroupement. Par défaut, le champ que vous avez sélectionné pour
regrouper les données sera affiché dans le rapport. Si vous ne souhaitez pas que le champ
de données de regroupement s’affiche, sélectionnez Non.

• Trier par
Sélectionnez un élément par lequel les groupes de données sont triés.

• Ordre de tri
Si vous avez sélectionné un élément pour Trier par, vous pouvez sélectionner si les
données doivent être triées de manière ascendante ou descendante.

18-18Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Type de données de tri
Si vous avez sélectionné un élément pour Trier par, les données sont triées par défaut sous
forme de texte. Cela signifie que 12 seront affichés après 111. Si les données sont
numériques, sélectionnez Nombre comme type de données de tri.

• Casser
Cette propriété permet à yoyou d’insérer un saut de page ou un saut de section entre
chaque groupe de données. Si vous sélectionnez Nouvelle page par élément, un saut de
page sera inséré entre chaque élément après la première occurrence.
Conseil : Si vous souhaitez insérer un saut de page avant la première
occurrence d’un élément, utilisez la commande de saut de page de
Microsoft Word.

Si vous sélectionnez Nouvelle section par élément, un saut de section est créé pour chaque
groupe de données. Un saut de section a les effets suivants : il insère un saut de page, il
réinitialise les numéros de page et de nouvelles données peuvent être affichées dans l’en-
tête et le pied de page. Vous utiliserez généralement cette option si vous souhaitez
imprimer plusieurs documents (par exemple des factures ou des bons de commande) dans
un seul fichier PDF.

Insertion de tableaux et de formulaires


Une fois que vous avez fait glisser tous les champs de données et défini la mise en page,
sélectionnez le bouton Insérer pour placer les tableaux et les formulaires à la position du
curseur dans votre document.

Groupement
Vous pouvez regrouper n’importe quel nœud de groupe de données par n’importe lequel de ses
nœuds de champ de données enfants. Par exemple, si vous disposez de données de ventes pour
plusieurs trimestres, vous pouvez afficher les données de ventes organisées par trimestre. Dans
ce cas, vous devez regrouper les lignes de données de ventes par l’élément quarter.
Supposons la structure suivante :
Transaction de vente
Quartier
Client
Quantité
Pour regrouper les nœuds enfants d’un nœud (transaction de vente), vous sélectionnez l’un des
nœuds enfants (quarter) comme propriété de regroupement du nœud parent (transaction de
vente). Le Générateur de modèles fera de ce nœud (par exemple quart) le parent des autres
nœuds enfants (Client et Montant).
La structure new ressemblera à:
Transaction de vente
Quartier
Client
Quantité
Le critère de regroupement (Trimestre) se comporte désormais comme n’importe quel autre
nœud de groupe de données avec

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-19
enfants. Cela signifie que vous pouvez définir la disposition de ses enfants à l’aide des
propriétés Créer en tant que tableau, Style, Étiquette, Regroupement et Afficher la valeur de
regroupement.

Présentation des champs insérés dans le modèle


La boîte de dialogue Insérer une table/ un formulaire crée deux types de champs de formulaire :
• Champs de formulaire représentant des éléments de données

• Champs de formulaire avec instructions de traitement pour répéter des lignes de


tableau ou des sections de document

Les champs de formulaire représentant des éléments de données sont remplacés par les données
lorsque le modèle est traité. Les champs de formulaire indiquant les sections répétées sont
affichés comme pour chacun et fin pour chacun dans le document. (Remarque : Si vous avez
sélectionné le champ Formulaire abrégé option d’affichage, les champs pour chacun et fin pour
chaque formulaire s’afficheront sous la forme F et E.) La section du document encapsulé par
ces deux éléments est répétée, si l’élément de données associé est répété dans les données.

Insertion d’un graphique


Utilisez la boîte de dialogue Graphique pour insérer un graphique dans un modèle.

Type de graphique
BI Publisher prend en charge une grande variété de types de graphiques. Développez la liste
Type pour sélectionner le type de graphique pour ce modèle.

18-20Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Valeurs
Faites glisser et déposez la valeur de données que vous souhaitez mesurer dans le champ
Valeurs (par exemple, SALES). Vous pouvez sélectionner plusieurs éléments Value
(mesures).
Notez que le champ Valeurs changera en fonction du type de graphique que vous sélectionnez :
• Graphique de combinaison - active trois champs pour les sélections de valeur.

• Graphique de dispersion - un graphique de dispersion compare des paires de valeurs. Faites


glisser et déposez les éléments de données X et Y pour les comparer.

• Bubble Graph - un graphique à bulles compare des ensembles de trois valeurs. Semblable
au graphique scatter, la troisième valeur est affichée comme la taille de la bulle.

• Graphique de stock : faites glisser et déposez les éléments qui représentent les valeurs
Open, High, Low, Close et Volume pour le graphique de stock.

Agrégation
Vous pouvez choisir d’agréger les données Values sous la forme d’une somme, d’un nombre ou
d’une moyenne.

Étiquettes
Faites glisser et déposez l’élément de données pour lequel vous souhaitez voir la valeur tracée
(par exemple, Année). Sélectionnez Données de groupe pour regrouper les occurrences de
l’élément label avant de le restituer dans le graphique. Par exemple, si vous tracez des ventes par
année, la sélection de Données de groupe accumulera les valeurs de l’année, de sorte qu’une
seule occurrence de chaque année apparaîtra dans le graphique. Si vous ne sélectionnez pas
Données de groupe, la valeur de chaque occurrence de l’année dans les données sera tracée
séparément.

Couleur
Si vous souhaitez ajouter un élément de série au graphique, faites glisser et déposez l’élément
pour l’afficher en tant que série. Chaque valeur s’affiche sous la forme d’une nouvelle couleur
dans le graphique.

Le graphique est à l’intérieur du groupe


Cochez cette case si votre graphique se trouve à l’intérieur d’un regroupement et que vous
souhaitez que le graphique affiche des données uniquement pour les occurrences des éléments
de données au sein du groupe.

Style
Sélectionnez un jeu de couleurs et un style pour votre graphique.

Propriétés
La région des propriétés vous permet de modifier les noms d’affichage des valeurs et des étiquettes,
de sélectionner la couleur, le font et d’autres options d’affichage pour votre graphique. La liste des
propriétés changera en fonction
Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour
Word
18-21
sur votre sélection de graphiques.

Aperçu
Cliquez sur Aperçu pour afficher le graphique avec les exemples de données.

Données de groupe
Par défaut, les données seront regroupées par l’élément Value et agrégées par somme.
Si vous décochez la case Données de groupe, chaque occurrence de l’élément value sera tracée
et les fonctions d’agrégation ne seront pas disponibles.

Modification d’un graphique inséré


Pour modifier un graphique que vous avez déjà inséré dans votre modèle, cliquez avec le bouton
droit sur le graphique et sélectionnez Bi Publisher Chart dans le menu. Cela appellera la boîte de
dialogue du graphique pour vous permettre de modifier votre graphique.

Insertion d’un tableau croisé dynamique


Pour insérer un tableau croisé dynamique
1. Dans le menu BI Publisher du groupe Insertion, cliquez sur Tableau croisé dynamique.
La boîte de dialogue Tableau croisé dynamique présente vos données dans le volet
gauche avec des volets Disposition vides sur la droite pour vous permettre de glisser-
déposer des éléments de données. La figure suivante illustre la boîte de dialogue Tableau
croisé dynamique :

2. Faites glisser et déposez les éléments du volet Données vers le volet Disposition pour
créer votre structure de tableau croisé dynamique. L’exemple de mise en page suivant
montre les ventes par secteur accumulées par année et par mois :

18-22Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
3. Utilisez le volet Propriétés pour sélectionner Agrégation. Vous pouvez choisir
Somme, Nombre ou Moyenne. Choisissez ensuite un format numérique.

4. Par défaut, les sous-totaux des lignes et des colonnes sont affichés. Vous pouvez
choisir de ne pas afficher les sous-totaux en définissant les propriétés sur False.

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-23
5. Cliquez sur Aperçu pour voir comment le tableau croisé dynamique apparaîtra avant de
l’insérer dans votre modèle. Cliquez sur OK pour insérer le tableau croisé dynamique dans
votre modèle. Le tableau croisé dynamique apparaîtra comme suit dans votre modèle :

Au moment de l’exécution, ce tableau croisé dynamique génère la valeur suivante :

18-24Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Insertion d’un groupe répétitif
Pour insérer un groupe répétitif :
1. Sélectionnez la section du modèle qui contient les éléments que vous souhaitez répéter.

2. Dans le menu Oracle BI Publisher, dans le groupe Insertion, cliquez sur Groupe répétitif.

3. Entrez les champs appropriés dans la boîte de dialogue Propriétés de BI Publisher :

Pour chaque
Sélectionnez l’élément qui, pour chaque occurrence, doit se répéter. Lorsque vous
sélectionnez le champ Pour chaque donnée, vous indiquez à BI Publisher que pour chaque
occurrence du champ sélectionné dans les données, vous souhaitez que les éléments et les
instructions de traitement contenus dans la boucle soient répétés.
Par exemple, supposons que vos données contiennent des données de facturation pour les
clients et que vous souhaitez

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-25
to créer un tableau avec les factures de chaque client. Dans ce cas, pour chaque numéro de
client, vous souhaitez que la table se répète. Vous devez donc sélectionner le numéro de
client dans le champ Pour chaque client afin de créer une nouvelle boucle (ou un nouveau
groupe) pour chaque client.
Notez ce qui suit à propos de la création de groupes répétitifs :
• Pour les boucles et les regroupements qui ne se trouvent pas dans un autre groupe
(c’est-à-dire des groupes ou des boucles externes), vous devez sélectionner l’élément
XML répétitif à utiliser. Par exemple, si l’ensemble de données est plat, le seul
élément reproductible est /DATA/ROWSET/ROW. Dans les cas avec plusieurs
sources de données ou XML hiérarchique, vous pouvez choisir l’ensemble de
données.

• Si vous créez des groupes imbriqués (insertion d’une boucle ou d’un groupe à
l’intérieur d’une autre boucle dans le modèle), le champ Pour chaque utilisateur ne
peut pas être mis à jour car il est déjà défini par la boucle externe préexistante. Le
champ Pour chaque affiche « Élément de groupe » pour vous informer qu’un groupe
externe est déjà défini.

Chemin absolu
Activez cette case à cocher pour utiliser le chemin absolu de l’élément dans la structure
XML. Ceci est important si vos données contiennent le même nom d’élément regroupé
sous différents éléments parents.
Grouper par
Sélectionnez un champ dans la liste par lequel vous souhaitez regrouper les données. Si vous
souhaitez simplement créer une boucle simple, ne sélectionnez pas un groupe par élément. La
sélection d’un groupe par élément regroupera en fait les données dans une nouvelle hiérarchie
basée sur le groupe par élément.
Casser
Utilisez cette option pour créer un saut de page ou un saut de section si vous souhaitez
insérer un saut après chaque occurrence de ce groupe.
Notez qu’un saut de section ne peut être créé que sur des groupes externes qui entourent
l’ensemble du document. Si le champ sélectionné n’est pas un groupe externe, l’option Saut
de section ne sera pas disponible.
Notez également que lorsque vous insérez un saut de section, la numérotation des pages est
réinitialisée, les headers et les pieds de page sont réinitialisés et tous les calculs en cours
d’exécution sont réinitialisés pour chaque occurrence du groupe.

4. Pour trier les données groupées, sélectionnez l’onglet Tri. Vous pouvez sélectionner
jusqu’à quatre champs de tri. Pour chaque tri par champ, sélectionnez les options
suivantes :
Ordre de tri - sélectionnez Croissant ou Décroissant.
Type de données - Sélectionnez Nombre ou Date/Texte. Il est important que vous
sélectionniez le type de données correct pour atteindre l’ordre de tri attendu.
Notez que si vous effectuez un tri selon quatre critères et que vos noms d’éléments de
données XML sont longs, vous pouvez dépasser la limite de longueur de caractères (393
caractères) du champ de formulaire Microsoft Word.

18-26Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
5. L’onglet Avancé vous permet de modifier directement le code et d’entrer le texte à afficher
pour le champ.
La région Code affiche le code et les instructions de traitement que le Générateur de
modèles a insérés pour le champ. Vous pouvez le modifier si vous souhaitez modifier les
instructions de traitement de ce champ.
Le champ Texte à afficher indique comment ce champ s’affichera dans votre modèle.
Vous pouvez choisir d’entrer un texte descriptif pour vous permettre de mieux
comprendre chaque champ lors de la lecture du modèle, ou vous pouvez entrer des
entrées de texte abrégées qui seront moins intrusives pour l’apparence du modèle.
Remarque : Le texte d’affichage par défaut peut être défini comme Descriptif ou Abrégé
à l’aide de l’onglet Options.
La figure suivante montre l’onglet Avancé de la boîte de dialogue Propriétés de La
publication BI du groupe répétitif :

6. Lorsque vous avez terminé les options de la boîte de dialogue, cliquez sur OK. Cela
insérera les champs de formulaire dans votre modèle. Par défaut, le début de chaque champ
de formulaire affiche le texte « F » et est inséré au début de la section de modèle
sélectionnée. À la fin de la sélection, un champ de formulaire « E » sera inséré pour
indiquer la fin du groupe répétitif.

Création de champs de regroupement autour d’un bloc existant


Pour créer un groupe autour d’un bloc de texte ou d’éléments existant dans un modèle :
1. Sélectionnez le bloc de texte. Par exemple, une ligne de tableau.
Notez que si des balises BI Publisher préexistantes sont incluses dans le bloc, vous devez être

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-27
assurez-vous d’inclure les balises de début et de fin. Par exemple, si votre bloc contient des
balises d’ouverture pour chaque groupe, if ou pour chaque groupe, vous devez inclure les
balises end for-each, end-if et end for each-group dans votre sélection.

2. Dans le menu Oracle BI Publisher, dans le groupe Insertion, cliquez sur Groupe répétitif.

3. Dans la boîte de dialogue Propriétés de BI Publisher, entrez les champs pour


définir le groupe comme décrit dans Insertion d’un groupe répétitif, pages 18-25.

4. Cliquez sur OK pour insérer les champs de regroupement autour du bloc. Par exemple, si le
bloc est une ligne de tableau, le champ de début sera inséré au début de la première cellule
et le champ de fin sera placé à la fin du dernier champ.

Insertion et modification de régions conditionnelles


Un régin conditionnel est une zone entourée d’une instruction conditionnelle. Si l’instruction
est true, la zone est affichée dans le rapport ; si la condition est définie comme false, la zone
est supprimée du rapport.
Par exemple, vos données contiennent des informations de vente. Votre rapport contient un
tableau qui affiche les ventes par secteur. Vous souhaitez que ce tableau de votre rapport affiche
des informations pour les industries dont le chiffre d’affaires est inférieur à 100 000. À l’aide de
la fonctionnalité Insérer une région conditionnelle, vous pouvez sélectionner la région qui
contient la table sales et insérer la condition selon laquelle l’élément sales doit être inférieur à
100 000.
1. Sélectionnez la région à laquelle vous souhaitez appliquer la condition. Par exemple, si
vous souhaitez afficher un tableau uniquement pour une certaine condition, sélectionnez la
région qui contient le tableau. Notez que la région doit se trouver à l’intérieur d’une
boucle.

2. Dans le menu Oracle BI Publisher, dans le groupe Insertion, cliquez sur Région
conditionnelle. La figure suivante illustre la boîte de dialogue BI Publisher pour une région
conditionnelle :

3. Entrez les champs suivants :

18-28Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Champ de données (Data Field) : sélectionnez le champ à tester pour la condition.
Sélectionnez le type de données du champ : Nombre ou Date/Texte.
(Condition 1) Champ de données ( Data field ) : sélectionnez l’opérateur de comparaison.
Sélectionnez la valeur à laquelle vous devez remplir la condition. Notez que vous pouvez
entrer un entier, entrer du texte ou sélectionner un autre élément de données pour définir
une comparaison en fonction des valeurs entrantes.

4. Cliquez sur OK. Les champs de formulaire contenant la logique conditionnelle sont insérés
autour de la région. Le champ de formulaire de début affichera le texte « C » et le champ
de formulaire fermant la région affichera le texte « EC ».

Pour modifier le régin conditionnel, double-cliquez sur le champ de formulaire inséré pour lancer la
boîte de dialogue de modification ; ou cliquez avec le bouton droit sur le champ de formulaire et
sélectionnez BI Publisher, puis Propriétés.

Insertion d’une mise en forme conditionnelle


À l’aide de la fonctionnalité Format conditionnel, vous pouvez insérer des formats
conditionnels simples à appliquer aux lignes ou cellules du tableau. La boîte de dialogue fournit
plusieurs options courantes que vous pouvez sélectionner et le Générateur de modèles insère
automatiquement le code. La boîte de dialogue Format conditionnel prend en charge deux
conditions par champ.
Important : La boîte de dialogue Format conditionnelle ne peut pas être
utilisée à l’intérieur des tableaux croisés dynamiques. Vous devez insérer la
logique de mise en forme conditionnelle directement dans les champs de
formulaire appropriés.

Pour insérer un format conditionnel :


1. Placez le curseur dans la cellule du tableau de l’élément de données pour lequel vous
souhaitez définir la condition.

2. Dans le menu Oracle BI Publisher, dans le groupe Insertion, cliquez sur Format
conditionnel. La figure suivante illustre la boîte de dialogue Propriétés de BI Publisher
pour un format conditionnel :

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-29
3. Entrez ce qui suit dans la boîte de dialogue Format conditionnel
Champ de données (Data Field ) : sélectionnez l’élément à tester pour la condition et
le type de données de l’élément (Number ou Date/Text).
Appliquer à la ligne entière du tableau (Apply to Entire Table Row ) : si vous
souhaitez que le format soit appliqué à l’ensemble de la ligne du tableau, et pas
seulement à la cellule de l’élément sélectionné, activez cette case.
Condition 1) Champ de données — Sélectionnez l’opérateur de comparaison.
Sélectionnez la valeur à laquelle vous devez remplir la condition. Notez que vous pouvez
entrer un entier, entrer du texte ou sélectionner un autre élément de données pour définir
une comparaison en fonction des valeurs entrantes.

4. Cliquez sur Format pour définir le format que vous souhaitez appliquer lorsque la
condition est remplie. Les options sont la couleur d’arrière-plan, la couleur de police et le
style de police (régulier, gras, italique, italique gras). Cochez la case et le format de chaque
option que vous souhaitez appliquer. Après avoir sélectionné le format, la région Preview
affiche le format choisi.
La figure suivante illustre la boîte de dialogue Format :

18-30Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
5. Définissez une deuxième condition si vous le souhaitez.

6. Sélectionnez OK. Le champ de format conditionnel sera inséré en tant que champ de
formulaire avec le texte d’affichage « C ».

Pour modifier le format conditionnel, double-cliquez sur le champ de formulaire inséré pour
lancer la boîte de dialogue de modification ; ou cliquez sur le champ du formulaire et
sélectionnez BI Publisher, puis Propriétés.

Aperçu d’un modèle


Le groupe de menus Aperçu vous permet de prévisualiser votre modèle RTF avec des exemples
de données XML.
Remarque : Si vous ne l’avez pas déjà fait, vous devez charger des
exemples de données dans le Générateur de modèles pour prévisualiser le
rapport. Voir Accès aux données pour créer votre modèle, pages 18-7.

Dans le groupe Aperçu, sélectionnez le format de sortie. Si vous n’avez pas encore
enregistré votre modèle en tant que fichier RTF, vous serez invité à le faire.
• PDF
Adobe Acrobat Reader version 5.0 ou ultérieure doit être installé pour prévisualiser les
documents au format PDF.

• HTML
Lance votre navigateur par défaut pour afficher le rapport.

• EXCELLER
Pour utiliser cette option, vous devez disposer de Microsoft Excel 2003 ou version
ultérieure. Ce format génère MHTML (Microsoft Web archive), qui peut contenir des
images.

• EXCEL 2000

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-31
Génère du code HTML et lance Microsoft Excel pour le restituer. Les images incorporées
telles que les graphiques et les logos ne sont pas prises en charge dans ce type de sortie. Si
vous n’avez pas Microsoft Excel 2003 ou version ultérieure, utilisez cette option.

• RTF
Génère le rapport au format RTF.

• PowerPoint (en anglais)


Nécessite Microsoft PowerPoint 2003 ou 2007.

Outils d’édition de modèles


Cette section décrit les outils supplémentaires fournis avec le Générateur de modèles pour vous
aider à valider et à modifier votre modèle. Cette section comprend :
• Modification et affichage des propriétés du champ, pages 18-32

• Validation d’un modèle, pages 18-34

• Utilisation du navigateur de terrain , page 18-35

Modification et affichage des propriétés de champ


Une fois que vous avez inséré un champ de données (voir Insertion d’un champ, pages 18 et
9), vous pouvez afficher ou modifier les propriétés du champ dans la boîte de dialogue
Propriétés de BI Publisher.
Pour appeler la boîte de dialogue Propriétés de BI Publisher, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Double-cliquez sur le champ

• Cliquez avec le bouton droit sur le champ, dans le menu, sélectionnez BI Publisher, puis
Propriétés

La figure suivante illustre la boîte de dialogue Propriétés de BI Publisher : notez l’onglet


Propriétés, l’onglet Avancé et le bouton Propriétés de Word :
Remarque : Certains champs peuvent afficher uniquement l’onglet Avancé.

18-32Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
À propos de l’onglet Propriétés
Vous pouvez définir les propriétés suivantes pour un champ de données :
Champ de données — Sélectionnez le champ de données dans la liste des champs disponibles
de la source de données chargée .
Texte à afficher (Text to Display ) : entrez le texte d’affichage du champ de formulaire dans le
modèle. Ce texte sera remplacé au moment de l’exécution par la valeur dans les données.
Type ( Type : sélectionnez le type de données. Les options sont Texte normal, Nombre, Date,
Date actuelle, Heure actuelle. La sélection dans ce champ déterminera les options de format .
Format — Pour tout type de données à l’exception du texte normal, vous pouvez choisir parmi
plusieurs masques de mise en forme d’affichage de nombre ou de date ou entrer le vôtre.
Forcer LTR — (Forcer de gauche à droite) Utilisez cette case à cocher lorsque vous publiez le
modèle dans une langue qui indique les caractères de droite à gauche, comme l’arabe ou
l’hébreu. Utilisez cette option pour forcer l’impression de gauche à droite pour des champs tels
que les numéros de téléphone, les adresses, les codes postaux ou les numéros de compte
bancaire.
Fonction — Cette fonctionnalité vous permet d’exécuter des fonctions d’agrégation (Somme,
Moyenne, Nombre, Minimum, Maximum) sur les champs de données. Par exemple, si vous
sélectionnez somme pour un champ de données, le champ affichera la somme de toutes les
valeurs existantes pour ce champ de données en fonction de l’étendue (voir ci-dessous). Voir
aussi Insertion d’un champ, page 18-9 pour plus d’informations sur les fonctions d’agrégation.
Portée (informationnelle uniquement) — Ce champ a deux valeurs possibles :

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-33
• Élément de groupe — Indique que le champ de données se trouve à l’intérieur d’un
groupe. Si vous choisissez d’exécuter une fonction sur le champ, seules les occurrences du
champ dans le groupe actuel seront incluses dans l’agrégation.

• Normal ( Normal : indique que le champ ne se trouve pas à l’intérieur d’un groupe. Des
fonctions d’agrégation seront effectuées sur toutes les occurrences du champ dans les
données.

À propos de l’onglet Avancé


L’onglet Avancé affiche le code sous-jacent. Si le modèle de code dans le champ de
formulaire n’est pas reconnu (par exemple, parce que vous avez ajouté des commandes
manuellement au champ), la boîte de dialogue Propriétés de BI Publisher affiche
uniquement cet onglet.
Utilisez cet onglet pour modifier ou ajouter manuellement du code au champ de
formulaire. Sélectionnez OK pour mettre à jour le modèle. La figure suivante montre
l’onglet Avancé :

À propos du bouton Propriétés de Word


Le bouton Propriétés de Word ouvre la boîte de dialogue Options de champ de formulaire de texte
Microsoft Word. Vous pouvez également utiliser cette boîte de dialogue pour définir le type de
données et le format numérique. Le code sous-jacent utilisé par BI Publisher est également
disponible en cliquant sur le bouton Ajouter un texte d’aide .

Validation d’un modèle


Le Générateur de modèles fournit un outil de validation pour vérifier si le modèle n’est pas
utilisé correctement les commandes BI Publisher et les éléments non pris en charge dans le
fichier RTF.
18-34Guide du concepteur de report middleware d’Oracle Pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pour valider votre modèle :
Dans le menu BI Publisher, dans le groupe Outils, cliquez sur Valider le modèle.
S’il n’y a pas d’erreurs de validation, Aucune erreur trouvée ne sera renvoyée. Si une erreur
est détectée, l’erreur s’affiche. Vous pouvez utiliser l’explorateur de champs pour vous aider
à localiser l’erreur.

Utilisation de l’explorateur de champs


La boîte de dialogue de l’explorateur de champs fournit un moyen rapide de consulter et de
mettre à jour les instructions de BI Publisher masquées dans les champs de formulaire
Microsoft Word. Cette boîte de dialogue est particulièrement utile pour comprendre et modifier
les modèles existants.
Dans le groupe Outils, cliquez sur Explorateur de champs.

La boîte de dialogue Explorateur de champs affiche un tableau avec le texte d’affichage du


champ de formulaire dans la colonne Texte et les instructions de code sous-jacentes dans la
deuxième colonne Code. Lorsque vous sélectionnez une ligne spécifique dans la boîte de
dialogue, le champ de formulaire correspondant est sélectionné dans le document Microsoft
Word.
Si vous sélectionnez une partie du texte avant d’ouvrir l’Explorateur de champs, la boîte de
dialogue affiche uniquement les champs de votre sélection. Si aucun texte n’est sélectionné,
l’explorateur de champs affiche tous les champs du document.
Les options sont décrites dans le tableau suivant :

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-35
Option Description

Vous pouvez mettre à jour les instructions de traitement directement à partir


Éditer du champ
Boîte de dialogue du navigateur.
Sélectionnez un champ dans le tableau Texte. La zone Modifier affiche le
traitement
instructions pour le champ. Pour modifier les instructions du champ
modifiez le texte dans le champ Modifier et cliquez sur Mettre à jour.
La boîte de dialogue Explorateur de champs ne connaît aucun champ de
Rafraîchir formulaire que vous
ont été ajoutés ou modifiés alors que la boîte de dialogue est ouverte. Cliquez
sur Actualiser pour
afficher toutes les modifications apportées au document depuis la boîte de
dialogue Explorateur de champs
a été ouvert.
Si vous avez ouvert le navigateur avec une partie du document sélectionnée,
Afficher tout vous
ne verra que les champs de formulaire dans la zone sélectionnée. Cliquez sur
Afficher tout pour
voir tous les champs de formulaire dans le document.
Cliquez sur Fermer pour fermer l’explorateur de propriétés de champ. Le
Fermer bouton Fermer
ne pas mettre à jour automatiquement les modifications dans le champ
d’édition, par conséquent
Assurez-vous de sélectionner Mettre à jour si vous souhaitez enregistrer les
modifications.

Téléchargement d’un modèle sur le serveur BI Publisher


Si vous avez utilisé la boîte de dialogue Ouvrir un modèle pour vous connecter à BI Publisher
et charger vos données dans le Générateur de modèles, ou si vous avez téléchargé un modèle
existant à partir du catalogue BI Publisher, vous pouvez télécharger la mise en page nouvelle
ou mise à jour dans la définition de rapport sur le serveur. Voir Travailler en mode connecté,
pages 18-5.
Si vous avez téléchargé un modèle existant et que vous souhaitez télécharger les
modifications apportées au modèle, sélectionnez Télécharger le modèle dans le menu
Oracle BI Publisher.
S’il s’agit d’un nouveau modèle pour la définition de rapport, utilisez l’option Télécharger le
modèle en tant que pour télécharger la mise en page vers la définition de rapport sur le serveur.
Utilisez également cette option pour télécharger des modifications apportées à un modèle
existant sans avoir un nom différent.

Utilisation des outils de traduction du Générateur de modèles


Le Générateur de modèles fournit des outils pour vous aider à créer et à tester des traductions
pour vos modèles.

À propos des traductions


Il existe deux options pour ajouter des modèles traduits à votre définition de rapport BI
Publisher :
18-36Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Créer un modèle RTF distinct qui est traduit (un modèle localisé)

• Générer un fichier XLIFF à partir du modèle d’origine (au moment de l’exécution, le


modèle d’origine est appliqué pour la mise en page et le fichier XLIFF est appliqué pour la
traduction)

Utilisez la première option si le modèle traduit nécessite une mise en page différente de
celle du modèle d’origine .
Si vous avez uniquement besoin de traduction des chaînes de texte de la mise en page du
modèle, utilisez l’option XLIFF.
Pour plus d’informations sur les concepts de traduction et la prise en charge,
consultez la section Traduction de rapports et d’objets de catalogue, page 27-1.
Pour utiliser les outils de traduction de Template Builder afin de créer vos modèles de
traduction, consultez les rubriques suivantes de cette section :
• Extraction de texte dans un fichier XLIFF à des fins de traduction

• Prévisualisation d’une traduction

• Localisation d’un modèle

Pour une démonstration des fonctionnalités de localisation de BI Publisher , consultez la démo


LocalizationDemo.exe fournie avec votre installation de Template Builder (située dans le dossier BI
Publisher\BI Publisher Desktop\demos où vous avez installé BI Publisher Desktop).

Extraction de texte dans un fichier XLIFF à des fins de traduction


Cet élément de menu vous permet de créer un fichier de traduction XLIFF standard contenant le
texte standard de votre modèle. XLIFF est un format de fichier standard qui est compris par de
nombreux logiciels de traduction. Étant donné qu’un XLIFF est un fichier XML, vous pouvez
traduire le texte dans un éditeur de texte standard.
Une « chaîne traduisible » est tout texte du modèle destiné à être affiché dans le rapport publié,
tel que les en-têtes de tableau et les étiquettes de champ. Le texte fourni au moment de
l’exécution à partir des données n’est pas translabli, pas plus que le texte que vous fournissez
dans les champs de formulaire Microsoft Word.
1. Dans le menu BI Publisher, sélectionnez Outils, puis Traduire le modèle, puis Extraire
le texte.

2. Vous serez invité à enregistrer le fichier d’extraction en tant que type de fichier XML.
Entrez un nom pour le file d’extrait et enregistrez-le à l’emplacement souhaité.

3. Si vous souhaitez traduire le modèle vous-même, ouvrez le fichier .xlf à l’aide d’un
éditeur de texte et entrez les chaînes traduites dans le fichier. Pour obtenir une
description détaillée de l’utilisation des fichiers .xlf générés par BI Publisher, consultez
la rubrique : Utilisation des fichiers de traduction, page 27-2.

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-37
4. Lorsque vous avez terminé, vous pouvez prévisualiser la traduction. Téléchargez
ensuite le fichier dans la définition de rapport BI Publisher.

Aperçu du modèle et du fichier de traduction


Pour prévisualiser votre modèle avec votre fichier XLIFF traduit appliqué :
1. Dans BI Publisher, dans le groupe Outils, cliquez sur Traduction, puis sur
Aperçu de la traduction.

2. Vous serez invité à sélectionner votre fichier XLIFF enregistré. Recherchez le fichier,
puis sélectionnez Ouvrir.

Le Générateur de modèles fusionne les exemples de données, le fichier de traduction et le


modèle RTF pour générer un fichier PDF que vous pouvez prévisualiser.

Localisation d’un modèle


La localisation d’un modèle indique que vous créez un modèle à utiliser pour une langue
spécifique.
Étant donné que BI Publisher vous permet d’extraire les chaînes de texte standard de votre modèle
dans un fichier XLIFF qui peut être traduit puis appliqué au moment de l’exécution, si vos rapports
pour d’autres langues ne nécessitent que la traduction de ces chaînes de texte, il vous suffit de
fournir des fichiers XLIFF traduits pour accompagner votre modèle de base.
Toutefois, vous localisez un modèle lorsque les exigences pour le rapport dans la langue
spécifique vont au-delà de la simple traduction du texte dans la mise en page.
Pour enregistrer un modèle en tant que modèle localisé :
1. Dans le menu Oracle BI Publisher, dans le groupe Outils, sélectionnez Traductions, puis
Localiser le modèle. Cela déclenchera un avertissement indiquant que la localisation de
votre modèle remplacera le modèle. Cliquez sur OK.

2. Vous serez invité à sélectionner le fichier de traduction XLIFF. Recherchez le fichier


approprié et cliquez sur Ouvrir.

3. Le fichier XLIFF traduit sera appliqué au modèle que vous avez actuellement ouvert dans
Microsoft Word.

4. Enregistrez le modèle localisé.

5. Téléchargez le fichier de modèle vers la définition de rapport appropriée dans le


catalogue BI Publisher. Sélectionnez les paramètres régionaux appropriés dans la boîte
de dialogue de téléchargement.

18-38Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Définition des options pour le Générateur de modèles
Accédez à la boîte de dialogue Options comme suit : Dans le groupe Options, cliquez sur
Options.
La boîte de dialogue Options contient quatre onglets : Interface utilisateur, Aperçu, Génération,
Connexion.

Définition des options de l’interface utilisateur


Utilisez l’onglet Options de l’interface utilisateur pour définir les options qui influencent
l’apparence du Générateur de modèles :

L’arborescence affichant la source de données peut afficher les noms de balise XML corrects de
la source de données ou une version légèrement modifiée et plus facile à lire. Sélectionnez
l’option Noms d’éléments pour le rapport XML pour afficher les étiquettes modifiées. Ces
étiquettes ne contiennent pas de caractères <>, utilisent la casse du titre et utilisent des espaces
( » « ) au lieu de traits de soulignement (« _ »).

Définition des options d’aperçu


L’onglet Options d’aperçu vous permet de spécifier des options qui influencent la
fonctionnalité d’aperçu du Générateur de modèles.

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-39
Le tableau suivant décrit les options disponibles à partir de l’onglet Aperçu :

Option Description

Si vous avez un modèle de style BI Publisher disponible localement, vous pouvez le spécifier ici.
Modèle de style Un
Le modèle de style est un modèle RTF qui contient des informations de style qui peuvent être
appliquées à
Mises en page RTF, similaires à une feuille de style. Les informations de style dans le modèle de
style sont les suivantes :
appliqué aux mises en page RTF au moment de l’exécution pour obtenir une apparence et une
convivialité cohérentes dans l’ensemble de votre
rapports d’entreprise. Pour plus d’informations, Création et implémentation de modèles de style,
page 23-1.
Paramètres
régionaux Vous pouvez choisir la langue et le territoire utilisés pour prévisualiser votre modèle. Pendant que
cette modification ne traduira pas automatiquement les fichiers, il est important de définir le bon
paramètres régionaux de l’aperçu pour utiliser la direction correcte du texte (de gauche à droite ou
de droite à gauche),
et pour définir correctement les formats de date, de nombre et de devise spécifiques aux paramètres
régionaux.
La fonctionnalité d’aperçu (et d’exportation) nécessite du code Java. Vous pouvez modifier le
Accueil Java chemin d’accès à
votre répertoire JAVA HOME. Si cette option n’est pas spécifiée, le Générateur de modèles
suppose que la machine virtuelle Java (java.exe) est accessible dans le PATH spécifié dans
vos variables d’environnement de Windows.
18-40Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
OptionDescription

Option JavaSpécifiez la mémoire à réserver au Générateur de modèles pour traiter le modèle. La


valeur par défaut est -Xmx256M.

Définition des options de génération


Utilisez l’onglet Options de génération pour spécifier les options qui influencent la façon
dont le Générateur de modèles génère des tables et des formulaires.

Le tableau suivant décrit les options disponibles à partir de l’onglet Générer :

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-41
Option Description

Pour chaque champ de Choisissez comment le Générateur de modèles crée les champs de formulaire pour le traitement des
formulaire instructions dans
la boîte de dialogue Insérer un tableau/formulaire.
L’option Descriptif (par exemple : pour chaque facture) affiche un champ de formulaire
descriptif
pour les instructions de traitement. Cette option facilite la tâche du modèle de mise en page.
comprendre. Cependant, les champs plus longs peuvent détourner l’attention de la disposition
visuelle du
modèle. Notez que l’option descriptive ne s’applique pas aux champs dans les cellules du tableau.

L’option Abrégé (par exemple : F) fournit une abréviation d’une lettre pour chaque
instruction.
Cochez la case Masqué pour générer les champs du formulaire d’instructions de traitement à l’aide
de Microsoft
Effet de police cachée de Word. Le texte masqué est masqué dans l’aperçu avant impression et
vous pouvez
afficher ou masquer le texte masqué en modifiant le paramètre Texte masqué dans l’affichage
des Options Microsoft Word.
Taille du champ de
formulaire Large : insère le code BI Publisher dans une variable de document. La variable de document
peut accueillir environ 48 kilo-octets de ligne de code.
Il est important de noter que ce paramètre affecte uniquement les champs créés ou modifiés
pendant
cette option est définie. Les champs de formulaire créés avec le paramètre Grand ne peuvent pas
être compris par
Oracle BI Publisher 10g. Si votre modèle est destiné à être utilisé avec la version 10g de BI
Publisher, utilisez le paramètre Compatibilité descendante.

Rétrocompatible - dans les versions précédentes du Générateur de modèles, l’éditeur BI


le code a été inséré dans la zone de texte d’aide du champ de formulaire Microsoft Word. Cela a
limité le
longueur du code pouvant être inséré pour un seul champ de formulaire. Par défaut, l’option Large
est utilisé car il peut accueillir des chaînes de code beaucoup plus grandes. Cependant, le Grand
n’est pas compatible avec Oracle BI Publisher 10g.
Couleur d’en-tête de Lorsque vous insérez un tableau à l’aide de l’Assistant Tableau ou de la boîte de dialogue Insérer
tableau un tableau/formulaire, le
Template Builder applique la couleur d’en-tête de tableau spécifiée ici à l’en-tête de tableau
arrière-plan. Personnalisez la couleur par défaut de vos modèles.

Générer XSLT 2.0 BI Publisher utilise le processeur XSLT fourni par Oracle XDK 11.1.0.7.0, qui
code conforme prend en charge la recommandation W3C XSL Transformations 1.0. Le processeur également
implémente les ébauches de travail actuelles des normes XSLT et XPath 2.0. Pour en savoir plus
pour plus d’informations sur Oracle XDK, consultez oracle XML Developer’s Kit Programmer’s
Guide 11g.

Par défaut, BI Publisher est compatible avec XSLT 1.0. Si vous souhaitez utiliser XSLT et XPath
Les fonctionnalités 2.0 de votre modèle activent cette option. Cette configuration est effectuée au
niveau de l'
niveau du modèle. Le paramètre au niveau du modèle remplacera le paramètre du serveur.

Définition des options de connexion


Les options de cet onglet sont réservées pour une version ultérieure.
18-42Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Configuration d’un fichier de configuration
Le Générateur de modèles peut être utilisé avec un fichier de configuration BI Publisher.
Le fichier de configuration doit être nommé xdoconfig.xml et doit être stocké dans le
répertoire config (exemple de chemin d’accès : C:\Program Files\Oracle\BI Publisher
Desktop\Template Builder for Word\config) sous le répertoire BI Publisher.
Vous pouvez également utiliser le nom de fichier xdo.cfg, qui est utilisé par le serveur BI
Publisher. Le fichier de configuration vous permet de :
• Définissez des polices supplémentaires telles que Windings pour tester vos modèles

• Utiliser les paramètres de sécurité pour les fichiers PDF

Reportez-vous au Guide de l’administrateur et du développeur Oracle Fusion Middleware


pour Oracle Business Intelligence Publisher pour connaître la syntaxe du fichier de
configuration.

Référence du menu BI Publisher


Lorsque vous installerez le Générateur de modèles la prochaine fois que vous ouvrirez
Microsoft Word, le menu Oracle BI Publisher s’affichera.
Remarque : Si vous utilisez Microsoft Word 2007, vous devrez peut-être
modifier vos paramètres de complément : cliquez sur le bouton Office, puis
sur Options Word, puis sur Compléments.

À propos du groupe en ligne


Le groupe de commandes En ligne vous permet d’initier une interaction avec l’application BI
Publisher. Pour plus d’informations sur l’utilisation des commandes en ligne, voir : Utilisation
en mode connecté, page 18-5.

Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour


Word
18-43
Commander Description

Vous permet de vous connecter à BI Publisher. Entrez votre nom d’utilisateur et votre mot
Se connecter de passe. Choisir
ou entrez l’URL du serveur de rapports BI Publisher (consultez votre administrateur si
vous ne connaissez pas l’URL). Lorsque vous ouvrez une session, la boîte de dialogue
Ouvrir le modèle est
Affiché.
Remarque : Vous devez vous connecter directement au serveur BI Publisher. Par
exemple:
http://www.example.com:7001/xmlpserver.

Après avoir ouvert une session, cette commande devient disponible pour vous permettre
Ouvrir d’ouvrir un rapport
dans le catalogue BI Publisher.
Si vous avez utilisé la boîte de dialogue Ouvrir un modèle pour télécharger un modèle à
Télécharger le modèle partir de l’aide à la décision
Catalogue de l’éditeur, utilisez cette option pour télécharger la mise en page mise à jour
dans le rapport
dans le catalogue.
Télécharger le modèle en Si vous avez utilisé la boîte de dialogue Ouvrir un modèle pour télécharger un modèle ou
tant que pour ouvrir un
à partir du catalogue, utilisez cette option pour télécharger la mise en page dans le rapport
dans le catalogue. Utilisez également cette option pour télécharger des modifications dans
un
modèle existant sous un nom différent.
Enregistrer des données Si vous travaillez en mode connecté, utilisez cette commande pour enregistrer les données
XML dans un
répertoire local si vous avez également besoin d’accéder aux données en mode déconnecté.

À propos du groupe de données de chargement


Le groupe de commandes de données vous permet de charger un exemple de fichier de
données ou un exemple de schéma enregistré dans le Générateur de modèles. Vous devez
charger des données pour utiliser la plupart des fonctionnalités du Générateur de modèles.
Voir Accès aux données pour créer votre modèle, pages 18 et 7 pour plus d’options de
chargement des données dans le Générateur de modèles.
18-44Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Commander Description

Cette commande vous permet de charger un exemple de fichier XML précédemment


Exemple de code XML enregistré à partir de
votre source de données de rapport. Si vous n’êtes pas connecté au serveur BI Publisher,
utilisez
cette méthode pour charger vos données.

Schéma XML Cette commande vous permet de charger un fichier de schéma XML (.xsd) qui contient le
champs disponibles dans les données XML de votre rapport. Le schéma XML présente
l’avantage de
en cours d’achèvement (un exemple de fichier xml peut ne pas contenir tous les champs des
données
source). Pour l’aperçu, le Générateur de modèles peut générer des exemples de données
factices
pour un schéma XML. Cependant, l’aperçu fonctionne mieux si vous téléchargez également
de vrais
exemples de données.

À propos du groupe Insérer


Utilisez le groupe Insertion pour insérer les composants de mise en page dans votre
modèle. Pour plus d’informations, consultez Insertion de composants dans le modèle,
pages 18 et 9.

Commander Description

Assistant Table Cette fonction fournit un assistant qui vous guide tout au long de la création de tables
utilisé dans les rapports typiques.
La fonction de tableau croisé dynamique vous permet de glisser-déposer les éléments de
Tableau croisé dynamique données vers un
structure de tableau croisé dynamique.

Graphique BI Publisher ne reconnaît pas les graphiques Microsoft Word natifs. L’insertion
La fonction Graphique vous permet d’insérer un graphique compris par Oracle BI
Éditeur.
Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour
Word
18-45
Commander Description

Cette fonction vous permet de sélectionner des champs à partir de votre source de
Champ données et d’insérer
dans votre modèle.
Remarque : En tant que débutant, vous devez utiliser insérer des champs
uniquement pour les champs de données qui
sont uniques – aucun ne se répète – dans votre document. Voir Insertion d’un tableau,
page 18-12 pour plus d’informations sur la façon d’insérer des champs répétitifs.

Utilisez cette fonction pour insérer des champs de données à organiser comme simples
Tableau/Formulaire ou imbriqués
ou sous la forme d’un formulaire répété avec des données différentes. Vous pouvez
même organiser
tous les champs de données pour l’ensemble du document avant de les insérer.
Vous permet de sélectionner ou de définir un groupe d’éléments pour lesquels vous
Groupe répétitif souhaitez répéter
chaque occurrence d’un élément dans les données.
Vous permet de définir des formats conditionnels simples à appliquer aux lignes de
Format conditionnel tableau ou
Cellules.

Région conditionnelle Permet d’insérer une instruction conditionnelle autour d’une région du modèle.
Cette fonction insère tous les champs trouvés dans les données XML dans votre
Tous les champs document. Il
insérera également des instructions de traitement dans votre document qui répétera un
– telle qu’une ligne de tableau – lorsque l’élément XML associé est répété.
Remarque : Les documents XML contiennent souvent un grand nombre de champs
dans un
hiérarchie imbriquée. Par exemple, un bon de commande Oracle Purchasing
contient des lignes de bon de commande, qui contiennent des envois, qui contiennent
Distributions. La ligne de bon de commande contient à elle seule plus de 150 données
champs. Dans ces cas, vous devez utiliser la fonction Insérer une table/un formulaire
pour
avoir plus de contrôle sur les champs qui sont insérés.

À propos du groupe d’aperçu


Le groupe d’aperçu vous permet de prévisualiser votre modèle RTF avec les exemples de
données XML. Le menu d’aperçu vous propose des formats pdf, HTML, RTF, PowerPoint,
Excel (format MHTML) et EXCEL2000 comme formats de sortie. Lorsque vous
sélectionnez l’un de ces formats de sortie, le Générateur de modèles fusionne les données
dans votre modèle et crée le document de sortie.

18-46Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Remarque : Adobe Acrobat Reader version 5.0 ou ultérieure doit être
installé pour prévisualiser les documents au format PDF.

À propos du groupe Outils


Pour plus d’informations sur l’utilisation des commandes du groupe Outils, reportez-vous aux
sections Outils d’édition de modèles, page 18-32, et Utilisation des outils de traduction du
Générateur de modèles, pages 18 à 36.

Commander Description

Le navigateur de champs est un outil pour les utilisateurs avancés qui ont besoin de changer
Navigateur de champs la BI
Commandes Publisher masquées dans les champs de formulaire. Il montre les commandes
derrière
chaque champ de formulaire et vous permet de les modifier. Utilisez cet outil pour corriger
les défauts
Modèles RTF ou pour mettre à jour efficacement plusieurs champs.

Valider le modèle La fonction de validation vérifie si le modèle n’est pas utilisé correctement par BI Publisher
commandes et éléments non pris en charge dans le fichier Word.
Création de modèles RTF à l’aide du Générateur de modèles pour
Word
18-47
CommandeDescription

TranslationInclus les sous-commandes suivantes :

Extraire le texte - Cette commande vous permet de créer un fichier de traduction


XLIFF standard contenant le texte standard de votre modèle. XLIFF est un format de
fichier standard qui est compris par de nombreux logiciels de traduction. Étant donné
qu’un fichier XLIFF est un fichier XML, vous pouvez traduire le texte dans un éditeur
de texte. Pour plus d’informations sur l’utilisation des fichiers XLIFF, voir Utilisation
des fichiers de traduction, page 27-2.

Aperçu de la traduction - cette commande vous permet de prévisualiser votre modèle


sous forme de fichier PDF à l’aide d’un fichier de traduction XLIFF spécifié. Cette
fonctionnalité vous permet de tester les fichiers de traduction.

Localiser le modèle : cette commande applique un fichier de traduction à un modèle


RTF. Cela signifie que dans votre modèle RTF actuel, tout le texte standard est traduit.
La fonction principale de cette fonctionnalité est de créer une version spécifique à la
langue d’un template.

ExportInclude les sous-commandes suivantes :

Feuille de style XSL-FO - cette fonction vous permet de convertir le modèle RTF en
une feuille de style XSL-FO améliorée. Cette fonction peut être utilisée pour générer
XSL-FO pour le débogage ou une personnalisation ultérieure.

XML formaté - cette fonction vous permet d’appliquer la feuille de style XSL-FO
générée à partir du document Word aux exemples de données et d’enregistrer le format
FO intermédiaire. Cette fonction est principalement destinée au débogage.

PDF Cette fonction convertit le document Word en PDF.

À propos du groupe Options


La fonction d’options vous permet de définir certaines préférences et options pour
l’utilisation de BI Publisher et d’accéder à l’aide en ligne.

Voir Définition des options pour le Générateur de modèles, pages 18-39.

18-48Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
19
Création d’un modèle PDF

Aperçu
Pour créer un modèle PDF, prenez n’importe quel document PDF existant et appliquez le
balisage BI Publisher. Étant donné que vous pouvez utiliser un fichier PDF à partir de
n’importe quelle source, vous disposez de plusieurs options de conception. Par exemple:
• Concevez le modèle à l’aide de n’importe quelle application qui génère des documents
pouvant être convertis au format PDF

• Numériser un document papier pour l’utiliser comme modèle

• Télécharger un document PDF à partir d’un site Web tiers

Remarque : Les étapes requises pour créer un modèle à partir d’un fichier
PDF tiers dépendent de l’ajout ou non de champs de formulaire au
document. Pour plus d’informations, voir Création d’un modèle à partir d’un
formulaire PDF prédéfini, pages 19-17.

Si vous concevez le modèle, notez qu’une fois que vous avez converti au format PDF, votre
modèle est traité comme un arrière-plan défini. Lorsque vous annotez le modèle, vous
dessinez des champs au-dessus de cet arrière-plan. Pour modifier le modèle, vous devez
modifier votre document d’origine et le reconvertir au format PDF.
Pour cette raison, le modèle PDF n’est pas recommandé pour les documents qui nécessiteront
des mises à jour fréquentes. Cependant, il est approprié pour les formulaires qui auront un
modèle fixe, tels que les factures ou les bons de commande.

Exigences
Pour appliquer ou modifier des champs de formulaire à un document PDF, vous devez disposer
d’Adobe Acrobat Professional. BI Publisher prend en charge Adobe Acrobat 5.0 et versions
ultérieures en tant qu’outil de mise à jour de votre modèle. Veuillez noter, cependant, que quelle
que soit la version que vous utilisez pour

Création d’un modèle


PDF
19-1
concevez votre modèle, vous devez enregistrer votre fichier PDF au format Adobe
Acrobat 5.0 (spécification PDF version 1.4).
Important : Si vous utilisez une version ultérieure d’Adobe Acrobat
Professional, vous devez utiliser l’option Réduire la taille du fichier
(disponible dans le menu Document ou dans le menu Fichier selon votre
version) pour enregistrer votre fichier en tant que compatible avec Adobe
Acrobat 5.0.

Pour la conversion PDF, BI Publisher prend en charge n’importe quel utilitaire de conversion
PDF, tel qu’Adobe Acrobat Distiller.

Conception du modèle
Pour concevoir le modèle, vous pouvez utiliser n’importe quelle application de bureau qui
génère des documents pouvant être convertis au format PDF. Vous pouvez également
numériser un document papier original pour l’utiliser comme arrière-plan de la plaque
d’apprêt.
Voici le modèle d’un exemple de bon de commande. Il a été conçu à l’aide de Microsoft
Word et converti en PDF à l’aide d’Adobe Acrobat Distiller.

19-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Voici les données XML qui seront utilisées comme entrée pour ce modèle :

Création d’un modèle


PDF
19-3
<?xml version="1.0 »?>
<POXPRPOP2>
<G_HEADERS>
<POH_PO_NUM>1190-1</POH_PO_NUM>
<POH_REVISION_NUM>0</POH_REVISION_NUM>
<POH_SHIP_ADDRESS_LINE1>3455 108e Avenue</POH_SHIP_ADDRESS_LINE1>
<POH_SHIP_ADDRESS_LINE2></POH_SHIP_ADDRESS_LINE2>
<POH_SHIP_ADDRESS_LINE3></POH_SHIP_ADDRESS_LINE3>
<POH_SHIP_ADR_INFO>Seattle, WA 98101</POH_SHIP_ADR_INFO>
<POH_SHIP_COUNTRY>États-Unis</POH_SHIP_COUNTRY>
<POH_VENDOR_NAME>Fabricationalliée</POH_VENDOR_NAME>
<POH_VENDOR_ADDRESS_LINE1>1145 Brokaw Road</POH_VENDOR_ADDRESS_LINE1>
<POH_VENDOR_ADR_INFO>San Jose, CA 95034</POH_VENDOR_ADR_INFO>
<POH_VENDOR_COUNTRY>États-Unis</POH_VENDOR_COUNTRY>
<POH_BILL_ADD RESS_LINE1>90 Cinquième Avenue</POH_BILL_ADDRESS_LINE1>
<POH_BILL_ADR_INFO>New York, NY 10022-3422</POH_BILL_ADR_INFO>
<POH_BILL_COUNTRY>États-Unis</POH_BILL_COUNTRY>
<POH_BUYER>Smith, J</POH_BUYER>
<POH_PAYMENT_TERMS>45 Net (date des termes + 45)</POH_PAYMENT_T ERMS>
<POH_SHIP_VIA>UPS</POH_SHIP_VIA>
<POH_FREIGHT_TERMS>Due</POH_FREIGHT_TERMS>
<POH_CURRENCY_CODE>USD</POH_CURRENCY_CODE>
<POH_CURRENCY_CONVERSION_RATE></POH_CURRENCY_CONVERSION_RATE>
<LIST_G_LINES>
<G_LINES>
<POL_LINE_NUM>1</POL_LINE_NUM>
<POL_VENDOR_P RODUCT_NUM></POL_VENDOR_PRODUCT_NUM>
<POL_ITEM_DESCRIPTION> Titulaire de la carte PCMCIA II</POL_ITEM_DESCRIPTION>
<POL_QUANTITY_TO_PRINT></POL_QUANTITY_TO_PRINT>
<POL_UNIT_OF_MEASURE>Chaque </POL_UNIT_OF_MEASURE>
<POL_PRICE_TO_PRINT>15</POL_PRICE_TO_PRINT>
<C_FLEX_ITEM>CM16374</C_FLEX_ITEM>
<C_FLEX_ITEM_DISP>CM16374</C_FLEX_ITEM_DISP>
<PLL_QUANTITY_ORDERED>7500</PLL_QUANTITY_ORDERED>
<C_AMOUNT_PLL>112500</C_AMOUNT_PLL>
<C_AMOUNT_PLL_DISP>112 500,00 </C_AMOUNT_PLL_DISP>
</G_LINES>
</LIST_G_LINES>
<C_AMT_POL_RELEASE_TOTAL_ROUND>312420/<C_AMT_POL_RELEASE_TOTAL_ROUND>
</G_HEADERS>
</POXPRPOP2>

Ajout de balisage au modèle


Après avoir converti votre document au format PDF, vous définissez des champs de
formulaire qui afficheront les données du fichier d’entrée XML. Ces champs de formulaire
sont des espaces réservés pour les données.
Le processus d’association des données XML au modèle PDF est le même que celui du modèle
RTF. Voir : Association des données XML au modèle, pages 17-4.
Lorsque vous dessinez les champs de formulaire dans Adobe Acrobat, vous les dessinez au-
dessus du modèle que vous avez conçu. Il n’existe aucune relation entre les éléments de
conception de votre modèle et les champs de formulaire. Vous devez donc placer les champs
exactement là où vous souhaitez que les données s’affichent sur le modèle.

19-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Création d’un espace réservé
Vous pouvez définir un espace réservé sous forme de texte, de case à cocher ou de bouton
radio, selon la façon dont vous souhaitez que les données soient présentées.
Remarque : Les étapes d’ajout d’un champ de formulaire dépendent de la
version d’Adobe Acrobat Professional que vous utilisez. Consultez la
documentation Adobe pour connaître votre version. Si vous utilisez Adobe
Acrobat 9 Pro, dans le menu Formulaires, sélectionnez Ajouter ou
Modifier des champs.

Nommer l’espace réservé


Le nom de l’espace réservé doit correspondre au nom du champ source XML.

Création d’un espace réservé de texte


Voici comment créer un espace réservé de champ de formulaire de texte à l’aide d’Adobe
Acrobat 9 Pro. Si vous utilisez une autre version d’Adobe Acrobat Professional, reportez-vous
à la documentation pour plus de détails.
1. Dans le menu Formulaires , sélectionnez Ajouter ou modifier des champs.

2. Dans la liste Ajouter un nouveau champ , choisissez Champ de texte. Le curseur devient
un réticule.

3. Placez le hair croisé dans le formulaire où vous souhaitez que le champ réside et
cliquez dessus. La boîte de dialogue Nom du champ s’affiche.

4. Entrez le nom. Le nom du champ de texte doit correspondre au nom de l’élément


XML de vos données qui doit remplir ce champ au moment de l’exécution.

5. Pour définir d’autres propriétés, cliquez sur Afficher toutes les propriétés
Utilisez la boîte de dialogue Propriétés pour définir d’autres attributs pour l’espace
réservé. Par exemple, appliquez la taille maximale des caractères, définissez le type de
données de champ, la validation du type de données, la visibilité et la mise en forme.

6. Si le champ n’est pas placé exactement là où vous le souhaitez ou n’a pas la bonne
taille, faites glisser le champ pour obtenir un emplacement exact et redimensionnez le
champ à l’aide des poignées.

7. IMPORTANT : Lorsque vous avez ajouté tous vos champs, vous devez rendre votre
modèle compatible avec Adobe Acrobat 5.0. Dans le menu Document, sélectionnez
Réduire la taille du fichier. Dans la liste Rendre compatible avec, choisissez Adobe
Acrobat 5.0 et versions ultérieures.

Options de propriétés de champ prises en charge


BI Publisher prend en charge les options suivantes disponibles dans la boîte de dialogue Propriétés
du champ. Pour plus d’informations sur ces options, consultez la documentation Adobe Acrobat.

Création d’un modèle


PDF
19-5
• Généralités
• Lecture seule
Le réglage de cette case à cocher en combinaison avec un ensemble de propriétés de
configuration contrôle l’état en lecture seule/pouvant être mis à jour du champ dans le
fichier PDF de sortie. Voir Définition des champs comme pouvant être mis à jour ou en
lecture seule, pages 19-16.

• Obligatoire

• Visible/Caché

• Orientation (en degrés)

• Apparence
• Paramètres de bordure : couleur, arrière-plan, largeur et style

• Paramètres de texte: couleur, police, taille

• Style de bordure

• Onglet Options
• Multi-lignes

• Défilement du texte

• Onglet Format - Options de catégorie de numéro uniquement

• Onglet Calculer - toutes les fonctions de calcul

Création d’une case à cocher


Une case à cocher est utilisée pour présenter les options à partir desquelles plusieurs options
peuvent être sélectionnées. Chaque case à cocher représente un élément de données différent.
Vous définissez la valeur qui entraînera l’affichage de la case à cocher comme « cochée ».
Par exemple, un formulaire contient une liste de cases à cocher d’options automobiles telles que
la direction assistée, les vitres électriques et le toit ouvrant. Chacun d’entre eux représente un
élément différent du fichier XML (par exemple <POWER_STEERING>). Si le fichier XML
contient la valeur « Y » pour l’un de ces champs, vous souhaitez que la case à cocher s’affiche
comme cochée. Toutes ces options ou aucune de ces options peuvent être sélectionnées.
Ce qui suit décrit comment créer une case à cocher field à l’aide d’Adobe Acrobat 9 Pro. Si
vous utilisez une autre version d’Adobe Acrobat Professional, reportez-vous à la
documentation pour plus de détails.
1. Dans le menu Formulaires , sélectionnez Ajouter ou modifier des champs.

19-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
2. Dans la liste Ajouter un nouveau champ , choisissez Case à cocher. Le curseur devient un
réticule.

3. Placez le réticule dans le formulaire où vous souhaitez que le champ réside et cliquez
dessus. La boîte de dialogue Nom du champ s’affiche.

4. Entrez le nom. Le nom du champ de case à cocher doit correspondre au nom de l’élément
XML de vos données qui doit déterminer son état (coché ou non).

5. Cliquez sur Afficher toutes les propriétés

6. Cliquez sur l’onglet Options .

7. Sélectionnez le type de style de case à cocher dans la liste.

8. Dans le champ Exporter la valeur , entrez la valeur à laquelle le champ de données


XML doit correspondre pour activer l’état « vérifié ».
Pour l’exemple, entrez « Y » pour le champ de case à cocher each.

9. Définissez d’autres propriétés comme vous le souhaitez.

Création d’un groupe de boutons radio


Un groupe de boutons radio est utilisé pour afficher des options parmi lesquelles une seule peut
être sélectionnée.
Par exemple, votre fichier de données XML contient un champ appelé
<SHIPMENT_METHOD>. Les valeurs possibles pour ce champ sont « Standard » ou
« Overnight ». Vous représentez ce champ dans votre formulaire avec deux boutons radio, l’un
étiqueté « Standard » et l’autre étiqueté « Overnight ». Définissez les deux champs de case
d’option comme espaces réservés pour le champ de données <SHIPMENT_METHOD>. Pour
un champ, définissez l’état « on » lorsque la valeur est « Standard ». Pour l’autre, définissez
l’état « on » lorsque la valeur est « Overnight ».
Voici comment créer un groupe de boutons radio à l’aide d’Adobe Acrobat 9 Pro. Si vous
utilisez une version différente d’Adobe Acrobat Professional, reportez-vous à la documentation
pour plus de détails.
1. Dans le menu Formulaires , sélectionnez Ajouter ou modifier des champs.

2. Dans la liste Ajouter un nouveau champ , choisissez Bouton radio. Le curseur


devient un réticule.

3. Placez le réticule dans le formulaire où vous souhaitez que le groupe de boutons radio réside
et cliquez dessus. La boîte de dialogue Nom du groupe radio s’affiche.

4. Entrez le nom. Le nom du groupe de radios doit correspondre au nom de l’élément XML
de vos données qui doit déterminer son état (sélectionné ou non).

5. Dans le champ Valeur du bouton , entrez la valeur à laquelle le champ de données XML
doit correspondre pour activer l’état « on ».
Pour l’exemple, entrez « Standard » pour le champ intitulé « Standard ».

Création d’un modèle


PDF
19-7
6. Pour entrer une autre case d’option dans le groupe, cliquez sur Ajouter un autre bouton
au groupe. Le nom du groupe de radios sera défini par défaut dans le champ Nom.

7. Dans le champ Valeur du bouton , entrez la valeur à laquelle le champ de données XML
doit correspondre pour activer l’état « activé » pour ce bouton.
Par exemple, entrez " Overnight » pour le champ intitulé « Overnight ».

8. Si vous souhaitez modifier l’une des propriétés, cliquez sur Afficher toutes les
propriétés. Pour modifier le style de la case d’option, cliquez sur l’onglet Options .

9. Sélectionnez Bouton radio dans la liste déroulante Type.

10. Définissez d’autres propriétés comme vous le souhaitez.

Définition de groupes de champs répétitifs


Dans la mise en page PDF, vous définissez explicitement la zone de la page qui contiendra les
champs répétitifs. Par exemple, sur la disposition du bon de commande, les champs répétitifs
doivent s’afficher dans le bloc d’espace entre la ligne d’en-tête d’article et le champ Total.
Pour définir la zone à contenir le groupe de champs répétitifs :
1. Insérez un champ de texte au début de la zone qui doit contenir le groupe.

2. Dans la boîte de dialogue Nom du champ, entrez le nom unique de votre choix. Ce
champ n’est pas mappé.

3. Dans le champ Info-bulle de la boîte de dialogue Propriétés du champ de texte, entrez la


syntaxe suivante :
<?rep_field="BODY_START »?>

4. Définissez la fin de la zone de groupe en insérant un champ de texte à la fin de la zone qui
doit contenir le groupe.

5. Dans la boîte de dialogue Nom du champ, entrez le nom unique de votre choix. Ce
champ n’est pas mappé. Notez que le nom que vous attribuez à ce champ doit être
différent du nom que vous avez attribué au champ « body start ».

6. Dans le champ Info-bulle de la boîte de dialogue Propriétés du champ de texte, entrez la


syntaxe following :
<?rep_field="BODY_END »?>

Pour définir un groupe de champs répétitifs :


1. Insérez un espace réservé pour le premier élément du groupe.
Remarque : Le placement de ce champ par rapport à l'
BODY_START balise définit la distance entre les lignes répétées

19-8Guide du concepteur de rapports Sur le middleware Oracle Pour Oracle Business Intelligence Publisher
pour chaque occurrence. Voir Placement des champs répétitifs, pages 19-15.

2. Pour chaque élément du groupe, entrez la syntaxe suivante dans le champ Info-bulle :
<?rep_field="T1_G n »?>
où n est le numéro de ligne de l’élément de la mise en page.
Par exemple, le groupe de l’exemple de rapport est présenté sur trois lignes.
• Pour les champs appartenant à la ligne qui commence par « PO_LINE_NUM », entrez
<?rep_field="T1_G1 »?>

• Pour les champs appartenant à la ligne qui commence par «


C_FLEX_ITEM_DISP », entrez
<?rep_field="T1_G2 »?>

• Pour les champs appartenant à la ligne qui commence par «


C_SHIP_TO_ADDRESS », entrez
<?rep_field="T1_G3 »?>

Le graphique suivant montre les entrées du champ Description courte/Info-bulle :

3. (Facultatif) Alignez vos champs. Pour garantir un alignement correct d’une ligne de
champs, il est recommandé d’utiliser la fonction d’alignement d’Adobe Acrobat.

Ajout de numéros de page


Cette section décrit comment ajouter les fonctionnalités de page suivantes à votre mise en page
PDF :
• Numéros de page

• Sauts de page

Création d’un modèle


PDF
19-9
Ajout de numéros de page
Pour ajouter des numéros de page, définissez un champ dans la mise en page où vous
souhaitez que le numéro de page apparaisse et entrez une valeur initiale dans ce champ comme
suit :
1. Décidez de la position sur la mise en page où vous souhaitez que le numéro de page soit affiché.

2. Créez un champ d’espace réservé appelé @pagenum@ (voir Création d’un espace réservé
de texte, pages 19-5).

3. Entrez une valeur de départ pour le numéro de page dans le champ Par défaut (Propriétés
du champ de texte >'onglet Options). Si les données XML incluent une valeur pour ce
champ, la valeur de départ affectée dans la mise en page sera remplacée. Si aucune valeur
de départ n’est attribuée, la valeur par défaut est 1.

Ajout de sauts de page


Vous pouvez définir un saut de page dans votre mise en page pour qu’il se produise après un
champ reproductible. Pour insérer un saut de page après l’occurrence d’un champ spécifique,
ajoutez ce qui suit à la syntaxe du champ Info-bulle de la boîte de dialogue Propriétés du
champ de texte :
page_break="oui »
Par exemple:
<?rep_field="T1_G3 », page_break="oui »?>
L’exemple suivant illustre l’insertion d’un saut de page dans une mise en page.
L’exemple XML contient les salaires des employés par département :

19-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<?xml version="1.0 »?>
<! - Généré par Oracle Reports version 6.0.8.22.0 ->
<ROOT>
<LIST_G_DEPTNO>
<G_DEPTNO>
<DEPTNO>10</DEPTNO>
<LIST_G_EMPNO>
<G_EMPNO>
<EMPNO>7782</EMPNO>
<ENAME>CLARK</ENAME>
<JOB>MANAGER</JOB>
<SAL>2450</SAL>
</G_EMPNO>
<G_EMPNO>
<EMPNO>7839</EMPNO>
<ENAME>KING</ENAME>
<EMPLOI>PRÉSIDENT</EMPLOI>
<SAL>5000</SAL>
</G_EMPNO>
<G_EMPNO>
<EMPNO>125</EMPNO>
<ENAME>KANG</ENAME>
<JOB>CLERK</JOB>
<SAL>2000</SAL>
</G_EMPNO>
<G_EMPNO>
<EMPNO>7934</EMPNO>
<ENAME>MILLER</ENAME>
<JOB>CLERK</JOB>
<SAL>1300</SAL>
</G_EMPNO>
<G_EMPNO>
<EMPNO>123</EMPNO>
<ENAME>MARY</ENAME>
<JOB>CLERK</JOB>
<SAL>400</SAL>
</G_EMPNO>
<G_EMPNO>
<EMPNO>124</EMPNO>
<ENAME>TOM</ENAME>
<JOB>CLERK</JOB>
<SAL>3000</SAL>
</G_EMPNO>
</LIST_G_EMPNO>
<SUMSALPERDEPTNO>9150</SUMSALPERDEPTNO>
</G_DEPTNO>

<G_DEPTNO>
<DEPTNO>30</DEPTNO>
<LIST_G_EMPNO>
.
.
.

</LIST_G_EMPNO>
<SUMSALPERDEPTNO>9400</SUMSALPERDEPTNO>
</G_DEPTNO>
</LIST_G_DEPTNO>
<SUMSALPERREPORT>29425</SUMSALPERREPORT>
</ROOT>
Création d’un modèle
PDF1
9-11
Nous voulons déclarer les informations salariales pour chaque employé par département, comme
indiqué dans la mise en page suivante:

Pour insérer un saut de page après chaque service, insérez la syntaxe de saut de page dans le
champ Info-bulle du champ SUMSALPERDEPTNO comme suit :
<?rep_field="T1_G3 », page_break="oui »?>

La boîte de dialogue Propriétés du champ est illustrée dans la figure suivante :

Notez que pour que la rupture se produise, le champ doit être rempli avec les données du fichier
XML.
L’exemple de rapport contenant des données est illustré dans la figure suivante :

19-12Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
La page s’interrompt après chaque département.

Effectuer des calculs


Adobe Acrobat fournit une fonction de calcul dans la boîte de dialogue Propriétés du champ. À

Création d’un modèle


PDF1
9-13
créez un champ pour afficher un total calculé sur votre rapport :
1. Créez un champ de texte pour afficher le total calculé. Donnez au champ le nom de
votre choix.

2. Dans la boîte de dialogue Propriétés du champ, sélectionnez l’onglet Format .

3. Sélectionnez Nombre dans la liste Catégorie.

4. Sélectionnez l’onglet Calculer .

5. Sélectionnez la case d’option à côté de « Valeur is the <Liste des opérations> des
champs suivants : »

6. Sélectionnez somme (+) dans la liste.

7. Cliquez sur le bouton Choisir... et sélectionnez les champs à totaliser.

Exemple de mise en page PDF terminée


La figure suivante montre la mise en page PDF terminée :

19-14Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Comportement d’exécution

Placement des champs répétitifs


Comme nous l’avons déjà noté, le placement, l’espacement et l’alignement des champs que
vous créez sur la mise en page sont indépendants de la disposition de formulaire sous-jacente.
Au moment de l’exécution, BI Publisher place chaque ligne de données répétée en fonction des
calculs effectués sur le placement des lignes de champs que vous avez créées, comme suit :
Première occurrence :

Création d’un modèle


PDF1
9-15
La première rangée de champs répétitifs affichera exactement où vous les avez placés sur la mise
en page.
Deuxième occurrence, une seule ligne :
Pour placer la deuxième occurrence du groupe, BI Publisher calcule la distance entre la balise
BODY_START et le premier champ de la première occurrence. Le premier champ de la
deuxième occurrence du groupe sera placé cette distance calculée en dessous de la première
occurrence.
Deuxième occurrence, plusieurs lignes :
Si le premier groupe contient plusieurs lignes, la deuxième occurrence du groupe sera
placée la distance calculée sous la dernière ligne de la première occurrence.
La distance entre les lignes au sein du groupe sera maintenue telle que définie dans la
première occurrence.

Définition des champs comme pouvant être mis à jour ou en lecture seule
Lorsque vous définissez un champ dans la mise en page, vous avez la possibilité de
sélectionner « Lecture seule » pour le champ, comme illustré dans l’exemple de boîte de
dialogue Propriétés du champ de texte suivant :

Indépendamment de ce que vous choisissez au moment du design pour la case à cocher Lecture
seule, le comportement par défaut du moteur de traitement PDF consiste à définir tous les
champs en lecture seule pour le fichier PDF de sortie. Vous pouvez modifier ce comportement
à l’aide des propriétés de rapport suivantes (voir Définition des propriétés du rapport, page 22-
1) :
• all-field-readonly

19-16Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• all-fields-readonly-asis

• supprimer-pdf-champs

Notez que dans les deux premières options, vous définissez un état pour le champ dans la sortie
PDF. Le paramètre des champs individuels peut toujours être modifié dans la sortie à l’aide
d’Adobe Acrobat Professional. Notez également que parce que les champs sont maintenus, les
données sont toujours séparées et peuvent être extraites. Dans la troisième option, « remove-
pdf-fields », la structure est aplatie et aucune séparation champ/données n’est maintenue.
Pour rendre tous les champs pouvant être mis à jour :
Définissez la propriété « all-field-readonly » sur « false ». Cela définit l’état Lecture seule sur «
false » pour tous les champs, quels que soient les paramètres de champ individuels au moment
du design.
Pour que tous les champs soient lus uniquement :
Il s’agit du comportement par défaut. Aucun paramètre n’est requis.
Pour conserver la case à cocher Lecture seule pour chaque champ :
Pour conserver le paramètre de la case à cocher Lecture seule champ par champ dans le
fichier PDF de sortie, définissez la propriété « all-fields-readonly-asis » sur « true ». Cette
propriété remplacera les settings de « all-field-readonly ».
Pour supprimer tous les champs du fichier PDF de sortie :
Définissez la propriété « remove-pdf-fields » sur « true ».

Données de débordement
Lorsque plusieurs pages sont nécessaires pour accueillir les occurrences de lignes de données
répétitives, chaque page s’affiche de manière identique, à l’exception de la zone de répétition
définie, qui affiche la suite des données répétitives. Par exemple, si les lignes d’article du bon de
commande s’étendent au-delà de la zone définie sur la mise en page, les pages suivantes
afficheront toutes les données du formulaire de bon de commande avec la suite des lignes
d’article.

Création d’une mise en page à partir d’un formulaire PDF prédéfini


Il existe de nombreux formulaires PDF disponibles en ligne que vous pouvez utiliser comme
mises en page pour vos données de rapport. Par exemple, les formulaires gouvernementaux
que votre company est tenu de soumettre. Vous pouvez utiliser ces fichiers PDF téléchargés
comme mises en page de rapport, en fournissant les données XML au moment de l’exécution
pour remplir les champs de rapport.
Certains de ces formulaires ont déjà des champs de formulaire définis, d’autres non (voir
Déterminer si un PDF a des champs Form définis, pages 19-18 si vous n’êtes pas sûr). Si des
champs sont déjà définis dans le formulaire PDF, vous pouvez utiliser l’une des méthodes
suivantes pour faire correspondre les noms des champs de formulaire aux noms des champs de
données :
• Utilisez Adobe Acrobat Professional pour renommer les champs du document afin qu’ils
correspondent aux noms des éléments de votre fichier de données XML. Voir Utilisation
d’un formulaire prédéfini en tant que

Création d’un modèle


PDF1
9-17
Mise en page en renommant les champs de formulaire, pages 19-18.

• Utilisez l’éditeur de modèle de données de BI Publisher pour renommer les noms


d’éléments XML dans votre fichier de données afin qu’ils correspondent aux noms de
champs dans le formulaire PDF. Voir Utilisation de la vue Structure pour modifier votre
structure de données, pages 10 à 35.

Si les champs du formulaire ne sont pas déjà définis dans le fichier PDF téléchargé, vous
devez les créer. Reportez-vous à la section Ajout de balisage à la mise en page, pages 19 et
4 pour obtenir des instructions sur l’insertion des espaces réservés des champs de
formulaire.

Déterminer si un fichier PDF a des champs de formulaire définis


Pour déterminer si les champs de formulaire de votre formulaire PDF sont définis :
1. Ouvrez votre document dans Adobe Acrobat Reader ou Adobe Acrobat Professional.

2. Cliquez sur Mettre en surbrillance les champs. Les champs de formulaire qui existent dans le
document seront mis en surbrillance.

Pour obtenir la liste des noms des champs :


1. Ouvrez votre document dans Adobe Acrobat Professional.

2. Dans le menu Formulaire, sélectionnez Ajouter ou modifier des champs. Les noms des
champs s’affichent dans le document ainsi que dans le volet Champs.

Utilisation d’un formulaire PDF prédéfini comme mise en page en renommant les champs de
formulaire
1. Téléchargez ou importez le fichier PDF sur votre système local.

2. Ouvrez le fichier dans Adobe Acrobat Professional.

3. Dans le menu Formulaire, sélectionnez Ajouter ou Modifier des champs. Cela mettra
en surbrillance les champs de texte qui ont déjà été définis.
La figure suivante montre un exemple de formulaire PDF W-2 après avoir sélectionné
Ajouter ou Modifier des champs pour mettre en surbrillance les champs de texte.

19-18Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pour mapper les champs de formulaire existants aux données de votre fichier XML
entrant, renommez les champs pour qu’ils correspondent aux noms d’éléments de votre
fichier XML.

4. Ouvrez la boîte de dialogue Propriétés du champ de texte du champ de formulaire en


double-cliquant sur le champ ou en sélectionnant le champ, puis en sélectionnant
Propriétés dans le menu droit de la souris.

5. Dans le champ Nom , entrez le nom de l’élément à partir de votre fichier XML d’entrée .

6. Répétez l’opération pour tous les champs que vous souhaitez remplir par votre fichier de
données.

7. Lorsque tous les champs ont été mis à jour, cliquez sur Fermer la modification du
formulaire.

8. Enregistrez votre mise en page.

9. IMPORTANT : Rendez votre mise en page compatible avec Adobe Acrobat 5.0. Dans
le menu Document, sélectionnez Reduce File Size. Dans la liste Rendre compatible
avec, choisissez Adobe Acrobat 5.0 et versions ultérieures.

Ajout ou désignation d’un champ pour une signature numérique


Oracle BI Publisher prend en charge les signatures numériques sur les documents de sortie PDF. Les
signatures numériques vous permettent de vérifier l’authenticité des documents que vous envoyez et
recevez. Oracle BI Publisher peut accéder à votre fichier d’identification numérique à partir d’un
emplacement central et sécurisé et, au moment de l’exécution, signer la sortie PDF avec l’id
numérique. La signature numérique vérifie l’identité du signataire et garantit que le document n’a pas
été modifié après sa signature.
La mise en œuvre de la signature numérique nécessite plusieurs tâches dans le produit BI
Publisher. Cette rubrique décrit comment ajouter un nouveau champ ou configurer un champ
existant dans votre modèle PDF pour la signature numérique. Pour plus d’informations et une
description de l’autre
Création d’un modèle
PDF1
9-19
tâches et options requises, voir Implémentation d’une signature numérique, Guide de
l’administrateur et du développeur Oracle Fusion Middleware pour Business
Intelligence Publisher.

À propos des options de champ de signature


Pour les modèles PDF, vous disposez des options suivantes pour définir un champ de
signature numérique pour votre rapport de sortie :
• Ajoutez un champ de signature à la mise en page PDF.
Utilisez cette option si vous souhaitez que la signature numérique apparaisse dans un
champ spécifique et que votre modèle PDF n’inclut pas déjà de champ de signature.
Voir Ajout d’un champ de signature, pages 19-20.

• Utilisez un champ de signature existant dans le modèle PDF.


Utilisez cette option si votre modèle PDF inclut déjà un champ de signature que vous
souhaitez utiliser. Pour désigner un champ existant pour la signature numérique, définissez-
le dans la page Configuration du runtime. Voir Configuration du rapport pour insérer la
signature numérique au moment de l’exécution, pages 19-21.

• Désignez la position de la signature numérique sur le rapport de sortie en définissant les


coordonnées x et y.
Utilisez cette option si vous préférez désigner les coordonnées x et y pour le placement de
la signature numérique, plutôt que d’utiliser un champ de signature. Vous définissez la
position à l’aide des propriétés d’exécution. Pour plus d’informations sur la définition de
ces propriétés, voir Propriétés de la signature numérique PDF, pages 22 et 7.

Les trois options nécessitent de définir les propriétés de configuration du rapport dans la
page Propriétés du rapport après avoir téléchargé le modèle.

Ajout d’un champ de signature


Pour ajouter un champ de signature :
1. Ouvrez le modèle dans Adobe Acrobat Professional.

2. Dans le menu Formulaire , sélectionnez Ajouter ou modifier des champs. Cliquez ensuite
sur Ajouter un nouveau champ. Choisissez Signature numérique dans la liste des
champs.

3. Dessinez le champ de signature à l’emplacement souhaité sur la mise en page. Lorsque vous
relâchez le bouton de la souris, une boîte de dialogue vous invite à entrer un nom pour le
champ.

4. Entrez un nom pour votre champ de signature. La figure suivante montre un champ
de signature numérique inséré appelé « My_Signature ».

19-20Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
5. Enregistrez votre modèle.

6. Passez à Configuration du rapport pour insérer la signature numérique au moment de


l’exécution, page 19-21.

Configuration du rapport pour insérer la signature numérique au moment de


l’exécution
Après avoir téléchargé votre modèle PDF dans la définition du rapport (voir Ajout d’une mise
en page, pages 15 et 5), vous devez activer la signature numérique et spécifier le champ de
signature dans les Propriétés du rapport.
1. Dans la page Modifier le rapport, cliquez sur Propriétés, puis sur l’onglet Mise en forme.

2. Faites défiler jusqu’au groupe de propriétés Signature numérique PDF.

3. Définissez Activer la signature numérique sur True.

4. Pour la propriété Nom du champ de signature existant, entrez le nom du champ à partir
du modèle PDF.
Aucune autre propriété n’est requise pour cette méthode.
La figure suivante montre le nom de champ « My_Signature » entré dans le champ
de propriétés.

Création d’un modèle


PDF1
9-21
5. Cliquez sur OK.
Notez que les propriétés d’exécution que vous venez de définir sont au niveau du rapport et
non au niveau de la mise en page. Par conséquent, toutes les mises en page associées au
rapport incluront désormais la signature numérique comme spécifié dans les propriétés du
rapport. Lorsqu’un nom de champ de signature existant est spécifié, le modèle doit
contenir le champ de la signature à appliquer.

19-22Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
20
Création d’un modèle Flash

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Introduction
• Création d’un modèle Flash
• Téléchargement du modèle Flash dans la définition de rapport
• Définition des propriétés de la sortie PDF
• Pour plus d’informations

Introduction
La prise en charge des modèles Flash par BI Publisher vous permet de développer des modèles
Adobe Flex qui peuvent être appliqués aux rapports BI Publisher pour générer des documents de
sortie Flash interactifs.
Remarque : Adobe Flex est une technologie open source permettant de créer
des applications multiplateformes interactives. Les applications Flex peuvent
être livrées à l’aide d’Adobe Flash Player. Pour plus d’informations, consultez
le site Web Flex à l’adresse http://www.flex.org.

L’intégration de BI Publisher avec Flex vous permet de créer des modèles Flex, de les tester
sur votre bureau et de les déployer sur le serveur BI Publisher pour générer une sortie Flash.
Les utilisateurs peuvent ensuite exécuter les rapports à partir de l’interface utilisateur de BI
Publisher ou les planifier pour la remise aux consommateurs de rapports.
Ce chapitre décrit comment configurer un modèle Flex avec une source de données « plate » BI
Publisher (c’est-à-dire qu’il n’y a pas de hiérarchie dans les données XML) et comment inclure
des objets plus simples tels que des tableaux et des graphiques. Pour plus d’informations sur
l’interactivité, la connectivité entre les composants et des rubriques plus avancées, reportez-
vous à la documentation Flex d’Adobe.

Création d’un modèle


Flas
h20-1
Conditions préalables à la création et à l’affichage de modèles Flash
Voici les conditions préalables à la création et à l’affichage de modèles Flash :
• Pour afficher la sortie :
• Pour afficher la sortie du rapport à partir du modèle Flash, Adobe Flash Player 9 doit
être installé sur votre ordinateur. Si vous affichez des rapports via l’interface
utilisateur de BI Publisher, votre navigateur Web doit également prendre en charge le
plug-in Adobe Flash Player 9.

• Pour créer des modèles :


• L’IDE FlexBuilder d’Adobe
Oracle BI Publisher est actuellement certifié avec la version 2.0.1. L’outil peut
être téléchargé et acheté sur le site Web d’Adobe à l’adresse
http://www.adobe.com/products/flex/.
Notez que la fonctionnalité de cartographie nécessite des frais de licence supplémentaires.

• Modèle de données de rapport configuré dans BI Publisher qui génère du code XML
plat. Pour plus d’informations sur la configuration de votre modèle de données,
consultez Définition du modèle de données, page 8-1.

Paramètres de configuration requis pour l’affichage de la sortie PDF


Les paramètres de sécurité renforcés dans les dernières versions d’Adobe Reader (9.3)
désactivent par défaut le contenu multimédia comme Flash. En raison de cette modification,
lors de l’accès à la sortie de rapport PDF qui contains des objets Flash incorporés, les
utilisateurs peuvent obtenir un message d’erreur tel que « Certaines fonctionnalités sont
désactivées pour éviter les risques de sécurité potentiels ».
Pour activer le contenu Flash dans la sortie PDF, modifiez les paramètres de
configuration Flash comme suit :
1. Dans Adobe Acrobat, dans le menu Edit, cliquez sur Préférences.

2. Dans la boîte de dialogue Préférences, dans la liste Catégories, cliquez sur Approbation
multimédia (héritée).

3. Sélectionnez Autorisations d’affichage pour : Autres documents.

4. Sélectionnez « Autorisations pour Adobe Flash Player est défini sur Invite ».

5. Réglez « Modifier l’autorisation du lecteur multimédia sélectionné en » sur « Toujours »,


puis cochez les trois cases ci-dessous et cliquez sur OK.

20-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Création d’un modèle Flash
Cette section décrit comment créer un modèle Flash et inclut les rubriques suivantes :
• Ajout de la source de données

• Création de la mise en page

• Liaison de données

Ajout de la source de données


Pour ajouter la source de données :
1. Générez un exemple de fichier de données à partir de votre modèle de données de rapport
comme suit :
Dans l’éditeur de modèle de données, sélectionnez le bouton de la barre d’outils
Obtenir la sortie XML. Dans la Visionneuse de rapports, sélectionnez le nombre de lignes
à renvoyer, puis cliquez sur Exécuter. Dans la liste de la barre d’outils Actions,
sélectionnez Exporter XML et enregistrez les résultats en tant que fichier XML dans un
répertoire local.
Cet exemple est basé sur les données suivantes :
<ROWSET>
<ROW>
<NAME>Neena Kochhar</NAME>
<FIRST_NAME>Neena</FIRST_NAME>
<LAST_NAME>Kochhar</LAST_NAME> <SALARY>17000</SALARY>
<ANNUAL_SALARY>204000</ANNUAL_SALARY>
<FED_WITHHELD>57120</FED_WITHHELD>
<JOB_TITLE></JOB_TITLE> <DEPART
MENT_NAME>Executive</DEPARTMENT_NAME> <MANAGER>
Steven King</DIRECTEUR>
</RANGÉE>
<ROW>
...
</ROWSET>
Ces données sont générées à partir du rapport simple basé sur une requête suivant :

Création d’un modèle


Flas
h20-3
choisir
e.first_name || ' ' || e.last_name nom,
e.first_name,
e.last_name,
e.salaire,
e.salaire*12 ANNUAL_SALARY,
e.salaire*12*0,28 FED_WITHHELD,
j.job_title,
d.department_name,
m.first_name || ' ' || m.last_name manager des employés e,
employés m,
les départements d,
emplois j
où e.department_id = d.department_id
et j.job_id = e.job_id
et e.manager_id = m.employee_id

2. Ouvrez l’IDE Flex et créez un nouveau projet Flex ; sélectionnez la méthode d’accès
aux données « De base », comme illustré dans l’exemple suivant.

Dans la boîte de dialogue suivante, attribuez un nom au projet, comme illustré dans
l’exemple suivant. Le nom que vous utilisez ici sera attribué au nom de fichier de modèle
que vous allez créer.

20-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Cliquez sur Terminer.
L’IDE crée le fichier de définition de modèle Flex, qui est un fichier MXML. Un fichier
MXML est un format XML. Voici un exemple :
<?xml version="1.0 » encoding="utf-8 »?>
<mx:Application xmlns:mx="http://www.adobe.com/2006/mxml »
layout="absolu">
</mx:Application>
Vous pouvez maintenant le mettre à jour manuellement ou à l’aide du générateur visuel.

3. Connectez le code XML que vous avez téléchargé à partir de votre modèle de données de
rapport :
Pour connecter les données, utilisez les services de données XML pris en charge par Flex
et incorporez les exemples de données dans le fichier MXML.
L’exemple de fichier MXML avec les données connectées est affiché. Reportez-vous à la
section suivante pour obtenir une description des composants de fichier.

Création d’un modèle


Flas
h20-5
<?xml version="1.0 » encoding="utf-8 »?>
<mx:Application xmlns:mx="http://www.adobe.com/2006/mxml »
layout="absolu">
<mx:Script>
<! [CDATA[
[Liable]
données var publiquesXML:XML =
<ROWSET>
<ROW>
<NOM>Neena Kochhar</NOM>
<FIRST_NAME>Neena</FIRST_NAME>
<LAST_NAME>Kochhar</LAST_NAME>
<SALAIRE>17000</SALAIRE>
<ANNUAL_SALARY>204000</ANNUAL_SALARY>
<FED_WITHHELD>57120</FED_WITHHELD>
<JOB_TITLE> Vice-président de l’administration</JOB_TITLE>
<DEPARTMENT_NAME>Exécutif</DEPARTMENT_NAME>
<MANAGER>Steven King</MANAGER>
</RANGÉE>
<ROW>
...
</ROWSET>;
]]>
</mx:Script>
</mx:Application>
La partie XML doit sembler familière comme les données que vous avez téléchargées. Les
éléments supplémentaires à noter sont les suivants :
• <mx:Script> — Indique le début du code de script du modèle. Il existe également une
instruction </mx:Script> de fermeture.

• [Liable] — Cela indique que la variable suivante peut être liée à un composant de mise
en page .

• public var dataXML:XML — Il s’agit de la déclaration de variable de données :


• public — La valeur de la variable est disponible pour l’ensemble du modèle.

• var — Déclare qu’il existe une variable dans le rapport.

• dataXML — Nom de la variable. Notez qu’il s’agit d’un nom obligatoire. Vous
devez utiliser ce nom pour utiliser le modèle avec BI Publisher.

• :XML — Déclare que la variable est un type XML.

• ; — Notez le point-virgule après la fin des données XML que vous avez fournies.

Au moment de l’exécution, le serveur BI Publisher génère les données d’exécution du


rapport et les injecte dans le modèle Flex en remplaçant les exemples de données
conservés dans la variable dataXML. Cette fonctionnalité permet de distribuer le rapport
Flex aux utilisateurs sans avoir besoin de se connecter au serveur.

20-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Création de la mise en page
L’IDE Flex crée un canevas par défaut sur lequel vous pouvez déposer des objets. Vous
pouvez modifier le canevas selon vos besoins en fonction de votre rapport.
Important : Si vous avez l’intention d’incorporer la sortie Flash dans un
document PDF, vous devez définir la largeur et la hauteur du modèle dans la
zone Taille des propriétés Mise en page. Même si vous souhaitez accepter
la taille par défaut, vous devez entrer explicitement des valeurs dans ces
champs.

Créez la mise en page en ajoutant des objets de rapport à la palette de mise en page. Cet
exemple utilise l’onglet Flex Design pour ajouter les objets à la mise en page. Cliquez sur
l’onglet Création pour afficher les objets disponibles dans le volet Navigateur de
composants.
La figure suivante montre un exemple des objets disponibles dans le volet Navigateur de
composants :

Ces objets peuvent être glissés et déposés dans la palette de conception.


1. Commencez par faire glisser un objet Panel sous le nœud Disposition vers la palette de
conception. Notez que lorsque vous faites glisser le panneau autour du bord de la palette,
les directives sont affichées en bleu. Utilisez ces guides pour vous aider à aligner des
objets.

2. Déposez le panneau dans le coin supérieur gauche de la palette.

Création d’un modèle


Flas
h20-7
3. Maintenant, faites glisser le bord inférieur droit du panneau vers le côté droit de la
palette.

4. Ensuite, faites-le glisser vers le bas jusqu’à environ la moitié de la hauteur de la


palette. Vous pouvez également utiliser la palette de propriétés sur le côté droit pour
définir la taille du panneau.

5. Sélectionnez maintenant un objet Datagrid. Il s’agit de l’objet permettant de restituer les


données sous forme de tableau. Déposez-le sur le panneau que vous avez créé à l’étape 1.
Le Datagrid est maintenant un enfant du panneau; vous pouvez le redimensionner au
besoin. Le résultat final est illustré dans la figure suivante :

Par défaut, trois colonnes sont générées. Dans la section suivante, Liaison des objets de
disposition à la source de données, pages 20 à 9, vous allez remplacer la valeur par
défaut dans le code MXML.

Ajout d’un graphique


Si vous avez acheté l’option de création de graphiques, vous pouvez ajouter des graphiques à votre
mise en page.
1. Tout d’abord, faites de la place pour le graphique dans votre mise en page. Mettez en
surbrillance l’objet Datagrid et tirez le bord supérieur vers le bas à environ la moitié de
la hauteur du panneau d’hébergement.

2. Pour cet exemple, sélectionnez et faites glisser un histogramme à partir de la palette de


conception et déposez-le sur le panneau d’hébergement. Utilisez les instructions pour
l’aligner.

3. Une fois que vous l’avez déposé, notez que la taille par défaut chevauche le Datagrid et que le

20-8Guide du concepteur de rapports Middleware Odacle Fusion pour Oracle Business Intelligence Publisher
La légende du graphique se trouve dans le coin supérieur gauche. Redimensionnez le
graphique et déplacez la légende vers la droite pour ressembler à la figure suivante :

Il s’agit d’un exemple de graphique. Vous le lierez aux données de la section suivante.

Liaison des objets de disposition à la source de données


Maintenant que la mise en page est terminée, liez les objets de disposition à la source de
données. Flex offre une certaine aide à travers la palette de propriétés des objets pour définir la
liaison, mais pas assez pour terminer la tâche. Par conséquent, vous devez mettre à jour le
MXML directement à l’aide de l’éditeur source.

Liaison du DataGrid
Pour lier le DataGrid :
1. Commencez par mettre en surbrillance le DataGrid dans la palette de conception , puis
cliquez sur l’onglet Source pour afficher la source MXML. Vous verrez que la première
ligne du code DataGrid a été mise en surbrillance pour vous. Il s’agit d’une fonctionnalité
utile si vous avez créé des modèles Flex complexes et que vous devez localiser facilement le
code.
Le code DataGrid est le suivant :
<mx:DataGrid x="10 » y="160 » width="476 » height="152"> <mx:columns>
<mx:DataGridColumn headerText="Column 1» dataField="col1"/>
<mx:DataGridColumn headerText="Column 2» dataField="col2"/>
<mx:DataGridColumn headerText="Column 3 » dataField="col3"/>
</mx:colonnes>
</mx:DataGrid>

Création d’un modèle


Flas
h20-9
Notez que le code définit la position x,y relative de la grille dans son conteneur parent
ainsi que sa largeur et sa hauteur. L’élément suivant définit les colonnes avec les
attributs de l’étiquette d’en-tête et des champs de données.
L’objectif est d’obtenir un tableau qui ressemble à la figure suivante :

2. Informez dataGrid de la source de données en ajoutant un attribut à l’élément


<mx:DataGrid> comme suit :
dataProvider="{dataXML.ROW} »

Cet attribut définit l’objet de données à utiliser au moment de l’exécution pour remplir la
grille. Rappelez-vous que dans cet exemple, la variable de données XML a été définie
comme « dataXML » ; utilisez maintenant cette définition suivie de " ROW » (c’est-à-dire
dataXML.ROW). ROW est le groupe répétitif de l’ensemble de données. Notez que la
syntaxe nécessite les accolades pour indiquer au moteur Flex qu’il s’agit d’une source de
données.

3. Liez les colonnes. Dans la structure de base fournie, remplacez les valeurs de dataField par
le nom d’élément approprié de votre source de données. Remplacez également les valeurs
headerText par les noms d’en-tête de colonne souhaités. Pour example, pour la première
colonne, remplacez
<mx:DataGridColumn headerText="Colonne 1 » dataField="col1"/> avec
<mx:DataGridColumn headerText="Employee » dataField="NAME » />
Cela définit le nom de l’en-tête de la première colonne comme « Employé » et lie les
données de colonne à l’élément « NAME » dans la source de données XML.
L’exemple de code DataGrid complété est le suivant :

20-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<mx:DataGrid x="10 » y="160 » width="476 » height="152 »
dataProvider="{dataXML.ROW}">
<mx:colonnes>
<mx:DataGridColumn headerText="Employee » dataField="NAME » /> <mx:DataGridColumn
headerText="Title » dataField="JOB_TITLE"/> <mx:DataGridColumn headerText="Salaire
mensuel »
dataField="SALAIRE"/>
<mx:DataGridColumn headerText="Salaire annuel »
dataField="ANNUAL_SALARY"/>
</mx:colonnes>
</mx:DataGrid>

4. Vous pouvez maintenant prévisualiser le modèle avec vos exemples de données.


Sélectionnez Exécuter, puis Exécuter EmployeeReport. Cela ouvrira une nouvelle fenêtre
de navigation et affichera la table avec vos exemples de données.

Liaison du graphique
Pour lier le graphique :
1. Dans l’onglet Création , mettez le graphique en surbrillance. Ensuite, revenez à la vue
Source pour trouver le code du graphique :
<mx:ColumnChart x="10 » y="10 » id="columnchart1 » width="476 » height="142">
<mx:série>
<mx:ColumnSeries displayName="Série 1 » yField=""/> </mx:series>
</mx:ColumnChart>
<mx:Legend dataProvider="{columnchart1} » x="383 » y="10"/>

2. Pour lier la source de données à l’objet graphique, ajoutez l’attribut dataProvider à


l’élément <mx:ColumnChart> comme suit : dataProvider="{dataXML.ROW} »
3. Ajoutez ensuite la liaison pour l’axe horizontal et la série de colonnes. Reportez-vous aux
fichiers d’aide Flex pour plus de détails.
Pour créer un graphique montrant le salaire par employé, semblable à l’exemple suivant :

apportez les mises à jour suivantes au code :


• Ajouter un élément <horizontalAxis> pour définir l’élément à partir de la source de
données

Création d’un modèle


Flash
20-11
qui sera utilisé pour l’axe horizontal du graphique. Utilisez l’attribut categoryField
pour affecter la valeur de l’élément de données. Dans cet exemple, l’élément de
données NAME est affecté.

• Modifiez le groupe <série> pour lier la valeur SALARY à chaque nom d’employé
afin de créer une barre pour chaque employé.

Voici l’exemple de code :


<mx:ColumnChart x="10 » y="10 » id="columnchart1 » width="476 »
height="142 » dataProvider="{dataXML.ROW}">
<mx:horizontalAxis>
<mx: CategoryAxiscategoryField="NAME » />
</mx:horizontalAxis>
<mx:> de série
<mx:ColumnSeries xField="NAME" yField="SALARY »
displayName="Salaire"/>
</mx:series>
</mx:ColumnChart>
<mx:Legend dataProvider="{columnchart1} » x="383 » y="10"/>
Remarque dans l’exemple précédent, l’élément <mx:horizontalAxis> a été ajouté et
l’attribut categoryField est affecté à l’attribut NAME. Cet élément est requis pour
afficher le graphique.
L’élément <mx:series> a été mis à jour en liant la valeur SALARY à chaque employé
NAME pour créer une barre pour chaque employé.
You n’a pas besoin de mettre à jour le code de légende. Notez que l’attribut id de
l'<mx:ColumnChart>element correspond à la valeur de l’attribut dataProvider de
l’élément <mx:Legend>.
4. Vous pouvez maintenant exécuter le modèle à l’aide de vos exemples de données. Vous devez
obtenir une sortie montrant le graphique au-dessus des données tabulées comme indiqué dans
la figure suivante :

20-12Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Téléchargement du modèle Flash dans la définition de rapport
Pour télécharger le modèle dans votre définition de rapport :
1. Accédez à votre rapport dans le catalogue. Cliquez sur Modifier pour lancer l’Éditeur de
rapports.

2. Cliquez sur Ajouter une nouvelle mise en page.

3. Sous Télécharger ou Générer une nouvelle mise en page, cliquez sur Télécharger.

4. Dans la boîte de dialogue Télécharger le fichier de modèle :


• Entrez un nom de mise en page.

• Cliquez sur Parcourir et accédez au répertoire du projet Flex. Sous ce répertoire,


ouvrez le répertoire bin et sélectionnez le fichier EmployeeReport.swf.

• Dans la liste Type de modèle , sélectionnez Modèle Flash.

• Sélectionnez les paramètres régionaux de ce modèle.

5. Cliquez sur Télécharger pour ajouter le modèle Flash aux mises en page disponibles pour le
rapport.

Définition des propriétés de la sortie PDF


La page Propriétés du rapport inclut un ensemble de propriétés spécifiques au rendu de Flash

Création d’un modèle


Flash
20-13
Modèles. Ces propriétés vous permettent de spécifier la taille et l’emplacement de l’objet
Flash lorsque vous sélectionnez PDF comme type de sortie.
Important : Pour produire une sortie PDF, vous devez spécifier la hauteur et la
largeur du modèle dans Flex Builder. Voir Création de la mise en page, pages
20 et 7.

Pour définir les propriétés de la sortie PDF :


1. Accédez à votre rapport dans le catalogue. Cliquez sur Modifier pour lancer l’éditeur de
rapports.

2. Dans l’Éditeur de rapports, cliquez sur Propriétés pour ouvrir la boîte de dialogue Propriétés
du rapport.

3. Cliquez sur l’onglet Formatage et faites défiler jusqu’à l’ensemble des propriétés sous
l’en-tête Flash .

4. Entrez les valeurs des propriétés. Notez qu’aucune propriété n’est requise. Si vous n’entrez
aucune valeur, les valeurs par défaut supposent un document de 11 pouces sur 8,5 pouces
(paysage standard), avec un encart d’un quart de pouce dans le coin supérieur gauche de la
page comme point d’insertion de l’objet Flash. La zone par défaut du document sera la taille
de l’objet SWF.
• Largeur de page du document wrapper – spécifiez en points la largeur du
document PDF de sortie. La valeur par défaut est 792 ou 11 pouces.

• Hauteur de la page du document wrapper – spécifiez en points la hauteur de la sortie

20-14Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Document PDF. La valeur par défaut est 612 ou 8,5 pouces.

• Position de départ x de la zone Flash dans pdf : en utilisant le bord gauche du


document comme point d’axe 0, spécifiez en points la position horizontale de début de
l’objet Flash dans le document PDF. La valeur par défaut est 18 ou 0,25 pouce.

• Position de départ y de la zone Flash dans pdf – en utilisant le coin supérieur gauche
du document comme point d’axe 0, spécifiez en points la position verticale de début de
l’objet Flash dans le document PDF. La valeur par défaut est 18 ou 0,25 pouce.

• Largeur de la zone Flash : entrez en points la largeur de la zone du document que


l’objet Flash doit occuper. La valeur par défaut est la largeur de l’objet SWF.

• Hauteur de la zone Flash : entrez dans les points la hauteur de la zone dans le
document que l’objet Flash doit occuper. La valeur par défaut est la hauteur de l’objet
SWF.

Pour plus d’informations


Ce chapitre a montré comment créer un modèle Flex simple, mais Adobe Flex vous permet de
créer des rapports interactifs beaucoup plus complexes pour vos utilisateurs. L’animation, le
« câblage » ensemble et le formatage des objets de mise en page peuvent être réalisés avec
Flex. Vous pouvez également résumer et créer des champs calculés sur les données entrantes.
Veuillez consulter la documentation Flex pour connaître ces fonctionnalités plus avancées.

Création d’un modèle


Flash
20-15
21
Création d’un modèle eText

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Introduction
• Structure des modèles de texte électronique
• Construction des tables de données
• Tables de commandes d’installation
• Expressions, structures de contrôle et fonctions
• Identificateurs, opérateurs et littéraux

Introduction
Un modèle eText est un modèle basé sur RTF qui est utilisé pour générer une sortie de texte
pour le transfert électronique de fonds (TEF) et l’échange de données informatisé (EDI). Au
moment de l’exécution, BI Publisher applique ce modèle à un fichier de données XML
d’entrée pour créer un fichier texte de sortie qui peut être transmis à une banque ou à un autre
client. Étant donné que la sortie est destinée à la communication électronique, les modèles
eText doivent suivre des instructions de format très spécifiques pour le placement exact des
données.
Remarque: Un TEF est une transmission électronique de données
financières et de paiements aux banques dans un format de position fixe
spécifique fichier plat (texte).
L’EDI est similaire au TEF, sauf qu’il ne se limite pas à la transmission
d’informations de paiement aux banques. Il est souvent utilisé comme
méthode d’échange de documents commerciaux, tels que des bons de
commande et des factures, entre entreprises. Les données EDI sont basées sur
un délimiteur et sont également transmises sous forme de fichier plat (texte).

Les fichiers dans ces formats sont transmis sous forme de fichiers plats, plutôt que imprimés
sur papier. La longueur d’un disque est souvent de plusieurs centaines de caractères et donc
difficile à lager sur du papier de format standard.

Création d’un modèle


eTex
t21-1
Pour tenir compte de la longueur de l’enregistrement, les modèles EFT et EDI sont conçus à l’aide
de tableaux. Chaque enregistrement est représenté par une table. Chaque ligne d’une table
correspond à un champ d’un enregistrement. Les colonnes de la table spécifient la position, la
longueur et la valeur du champ.
Ces formats peuvent également nécessiter une gestion spéciale des données du fichier XML
d’entrée. Cette manipulation spéciale peut être au niveau global (pour l’example, le
remplacement de caractères et le séquençage) ou au niveau de l’enregistrement (par exemple, le
tri). Les commandes permettant d’exécuter ces fonctions sont déclarées dans des lignes de
commandes. Les commandes de niveau global sont déclarées dans les tables d’installation.
Au moment de l’exécution, BI Publisher construit le file de sortie en fonction des
commandes d’installation et des spécifications de mise en page dans les tables.

Conditions préalables
Cette section est destinée aux utilisateurs qui sont familiers avec le public des transactions EDI
et EFT pour cette section les préparateurs de modèles eText auront besoin de connaissances
fonctionnelles et techniques. C’est-à-dire une expertise fonctionnelle pour comprendre les
exigences de format de paiement spécifiques à la banque et au pays et une expertise technique
suffisante pour comprendre la structure de données XML et les commandes, fonctions et
opérations de syntaxe de codage spécifiques à eText.

Structure des modèles de texte électronique


Il existe deux types de modèles eText : à position fixe (modèles EFT) et à délimiteur (modèles
EDI). Les modèles sont composés d’une série de tableaux. Les tableaux définissent les
commandes de disposition et de configuration et les définitions de champs de données. Les
colonnes de description des données requises pour les deux types de modèles varient, mais les
commandes et les fonctions disponibles sont les mêmes. Une table peut contenir uniquement
des commandes, ou elle peut contenir des commandes et des champs de données.
Le graphique suivant montre un exemple tiré d’un modèle EFT pour afficher la structure
générale des lignes de commande et de données :

21-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Les commandes qui s’appliquent globalement ou les commandes qui définissent des
éléments de programme pour le modèle sont des commandes « setup ». Ceux-ci doivent être
spécifiés dans la ou les tables initiales du modèle. Des exemples de commandes
d’installation sont Type de modèle et Jeu de caractères.
Dans les tables de données, vous fournissez le nom de l’élément de données XML source (ou
des données statiques) et les définitions de placement et de mise en forme spécifiques
requises par la banque ou l’entité destinataire. Vous pouvez également définir les fonctions à
exécuter sur les données et les instructions conditionnelles.
Les tables de données doivent toujours commencer par une ligne de commande qui définit le «
Niveau ». Le niveau associe la table à un élément du fichier de données XML et établit la
hiérarchie. Les champs de données qui sont ensuite définis dans la table pour le niveau
correspondent aux éléments enfants de l’élément XML.
Le graphique ci-dessous illustre la relation entre la hiérarchie de données XML et le niveau du
modèle. L’élément XML « RequestHeader » est défini comme le Level. Les éléments de
données définis dans la table (« FileID » et « Encryption ») sont des enfants de l’élément
RequestHeader.

Création d’un modèle


eTex
t21-3
L’ordre des tables dans le modèle détermine l’ordre d’impression des enregistrements. Au
moment de l’exécution, le système parcourt en boucle toutes les instances de l’élément XML
correspondant à une table (Level) et imprime les enregistrements appartenant à la table. Le
système passe ensuite au tableau suivant dans le modèle. Si les tables sont imbriquées, le
système génère les enregistrements imbriqués des tables enfants avant de passer à l’instance
parente suivante.

Lignes de commande, lignes de données et lignes d’en-tête de colonne de données


La figure suivante illustre le placement des lignes de commande, des lignes de données et
des lignes d’en-tête de colonne de données :

21-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Les lignes de commande sont utilisées pour spécifier des commandes dans le modèle. Les lignes
de commande ont toujours deux colonnes : nom de la commande et paramètre de commande.
Les lignes de commande n’ont pas d’en-têtes de colonne. Les commandes contrôlent la
configuration globale et les structures d’enregistrement du modèle.
Les lignes vides peuvent être insérées n’importe où dans un tableau pour améliorer la lisibilité.
Le plus souvent, ils sont utilisés dans la table d’installation, entre les commandes. Les lignes
vides sont ignorées par BI Publisher lorsque le modèle est analysé.

Lignes d’en-tête de colonne de données


Les en-têtes de colonne de données spécifient les en-têtes de colonne pour les champs de
données (tels que Position, Longueur, Format, Remplissage et Commentaires). Une ligne d’en-
tête de colonne suit généralement la commande Niveau dans un tableau (ou la commande de
tri, le cas échéant). La ligne d’en-tête de colonne doit précéder les lignes de données de la
table. Des lignes d’en-tête de colonne vides supplémentaires peuvent être insérées à n’importe
quelle position dans un tableau pour améliorer la lisibilité. Les lignes vides seront ignorées au
moment de l’exécution.
Les lignes d’en-tête de colonne de données requises varient en fonction du type de
modèle. Voir Structure de la ligne de données, pages 21-12.

Lignes de données
Les lignes de données contiennent les champs de données correspondant aux lignes d’en-tête de
colonne.
Le contenu des lignes de données varie en fonction du type de modèle. Voir Structure de

Création d’un modèle de texte


élect
ronique21-5
la ligne de données, pages 21-12.

Construction des tables de données


Les tables de données contiennent une combinaison de lignes de commande et de lignes de
champ de données. Chaque table de données doit commencer par une ligne de commande Level
qui spécifie son élément XML. Chaque enregistrement doit commencer par une commande New
Record qui spécifie le début d’un nouvel enregistrement et la fin d’un enregistrement précédent
(le cas échéant).
Les colonnes requises pour les champs de données varient en fonction du type de modèle.

Lignes de commande
Les lignes de commande ont toujours deux colonnes : nom de la commande et
paramètre de commande . Les commandes prises en charge sont les suivantes :
• Niveau

• Nouveau record

• Tri croissant

• Tri décroissant

• Condition d’affichage

L’utilisation de chacune de ces commandes est décrite dans les sections suivantes.

Commande de niveau
La commande level associe une table à un élément XML. Le paramètre de la commande level
est un élément XML. Le niveau sera imprimé une fois pour chaque instance où l’élément XML
apparaît dans le fichier d’entrée de données.
Les commandes de niveau définissent la hiérarchie du modèle. Par exemple, les extraits de données
XML de paiement sont hiérarchiques. Un lot peut avoir plusieurs paiements enfants, et un paiement
peut avoir plusieurs factures enfants. Cette hiérarchie est représentée en XML sous forme d’éléments
enfants imbriqués dans un élément parent. En associant les tables à des éléments XML via la
commande level, les tables auront également la même structure hiérarchique.
Semblable à la balise de fermeture d’un élément XML, la commande de niveau a une
commande de niveau final associée. Les tables enfants doivent être définies entre les
commandes de niveau et de niveau final de la table définie pour l’élément parent.
Un élément XML ne peut être associé qu’à un seul niveau. Tous les enregistrements
appartenant à un niveau doivent résider dans la table de ce niveau ou dans une table imbriquée
appartenant à ce niveau. La commande de niveau final sera spécifiée à la fin de la table finale.
Voici un exemple de structure d’une disposition d’enregistrement de fichier EFT :

21-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• FileHeaderRecordA
• BatchHeaderRecordA

• BatchHeaderRecordB
PaymentRecordA
PaymentRecordB
• InvoiceRecordA

• Batch FooterRecordC

• BatchFooterRecordD

• FileFooterRecordB

Voici sa disposition de tableau:

<NIVEAU> RequestHeader

<NOUVEAU RECORD> FileHeaderRecordA

Lignes de données pour FileHeaderRecordA

<NIVEAU> Lot

<NOUVEAU RECORD> BatchHeaderRecordA

Lignes de données pour BatchHeaderRecordA

<NOUVEAU RECORD> BatchHeaderRecordB

Lignes de données pour batchHeaderRecordB

<NIVEAU> Paiement

<NOUVEAU RECORD> PaymentRecordA

Lignes de données pour PaymentRecordA

Création d’un modèle de texte


élect
ronique21-7
<NOUVEAU RECORD> PaymentRecordB

Lignes de données pour PaymentRecordB

<NIVEAU> Facture

<NOUVEAU RECORD> InvoiceRecordA

Lignes de données pour InvoiceRecordA

<NIVEAU DE FIN > Facture

<NIVEAU DE FIN > Paiement

<NIVEAU> Lot

<NOUVEAU RECORD> BatchFooterRecordC

Lignes de données pour le BatchFooterRecordC

<NOUVEAU RECORD> BatchFooterRecordD

Lignes de données pour le BatchFooterRecordD

<NIVEAU DE FIN > Lot

<NIVEAU> RequestHeader

<NOUVEAU RECORD> FileFooterRecordB

Lignes de données pour FileFooterRecordB

<NIVEAU DE FIN > RequestHeader

Plusieurs enregistrements pour le même niveau peuvent exister dans la même table. Cependant,
chaque table peut

21-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
n’ont qu’un seul niveau défini. Dans l’exemple ci-dessus, BatchHeaderRecordA et
BatchHeaderRecordB sont tous deux définis dans la même table. Toutefois, notez que le
NIVEAU DE FIN du paiement doit être défini dans sa propre table distincte après l’élément
enfant Facture. Le niveau de fin de paiement ne peut pas résider dans la même table que le
niveau de facture.
Notez que vous n’avez pas besoin d’utiliser tous les niveaux de l’extrait de données dans
votre modèle. Par exemple, si un extrait contient les niveaux : RequestHeader > Batch >
Payment > Invoice, vous pouvez utiliser uniquement les niveaux de lot et de facture.
Cependant, la hiérarchie des niveaux doit être maintenue.
La hiérarchie des tables détermine l’ordre d’impression des enregistrements. Pour chaque
élément XML parent, les enregistrements de la table parente correspondante sont imprimés
dans l’ordre dans lequel ils apparaissent dans la table. Le système parcourt en boucle les
instances des éléments XML enfants correspondant aux tables enfants et imprime les
enregistrements enfants selon l’ordre spécifié. Le système imprime ensuite les
enregistrements de la table parent englobante (niveau final), le cas échéant.
Par exemple, compte tenu de la structure du modèle EFT ci-dessus, supposons que le
fichier de données d’entrée contient les éléments suivants :
• Lot1
• Paiement1
• Facture1

• Facture2

• Paiement2
• Facture1

• Lot2
• Paiement1
• Facture1

• Facture2

• Facture3

Cela générera les enregistrements imprimés suivants :

Création d’un modèle de texte


élect
ronique21-9
Ordre d’enregistrement Type d’enregistrement Description

Un enregistrement d’en-tête pour


1 FileHeaderRecordA le
Fichier EFT

2 BatchHeaderRecordA Pour Batch1

3 BatchHeaderRecordB Pour Batch1

4 PaymentRecordA Pour Batch1, Payment1

5 PaymentRecordB Pour Batch1, Payment1

6 InvoiceRecordA Pour Batch1, Payment1,


Facture1

7 InvoiceRecordA Pour Batch1, Payment1,


Facture2

8 PaymentRecordA Pour Batch1, Payment2


Enregistrement des
9 paiementsB Pour Batch1, Payment2

10 InvoiceRecordA Pour Batch1, Payment2,


Facture1

11 BatchFooterRecordC Pour Batch1

12 BatchFooterRecordD Pour Batch1

13 BatchHeaderRecordA Pour Batch2

14 BatchHeaderRecordB Pour Batch2

15 PaymentRecordA Pour Batch2, Payment1

16 PaymentRecordB Pour Batch2, Payment1

17 InvoiceRecordA Pour Batch2, Payment1,


Facture1

18 InvoiceRecordA Pour Batch2, Payment1,


Facture2

21-10Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Ordre d’enregistrement Type d’enregistrement Description

19 InvoiceRecordA Pour Batch2, Payment1,


Facture3

20 BatchFooterRecordC Pour Batch2

21 BatchFooterRecordD Pour Batch2


Un enregistrement de pied de page
22 FileFooterRecordB pour l’EFT
lime

Commande Nouvel enregistrement


La commande new record signifie le début d’un enregistrement et la fin du précédent, le cas
échéant. Chaque enregistrement d’un modèle doit commencer par la commande new record.
L’enregistrement se poursuit jusqu’à la commande New Record suivante, ou jusqu’à la fin de la
table ou la fin de la commande de niveau.
Un enregistrement est une construction pour l’organisation des éléments appartenant à un
niveau. Le nom de l’enregistrement n’est pas associé au fichier d’entrée XML.
Une table peut contenir plusieurs enregistrements, et donc plusieurs nouvelles commandes
d’enregistrement. Tous les enregistrements d’une table se trouvent au même niveau hiérarchique.
Ils seront imprimés dans l’ordre dans lequel ils sont spécifiés dans le tableau.
La commande new record peut avoir un nom comme paramètre. Ce nom devient le nom de
l’enregistrement. Le nom de l’enregistrement est également appelé type d’enregistrement. Le
nom peut être utilisé dans la fonction COUNT pour compter les instances générées de
l’enregistrement. Voir COUNT, page 21-30 fonction, pour plus d’informations.
Les nouvelles commandes d’enregistrement (ou les enregistrements vides) ne sont pas autorisées.

Commandes Trier par ordre croissant et Trier par ordre décroissant


Utilisez les commandes trier par ordre croissant et trier par ordre décroissant pour trier les
instances d’un niveau. Entrez les éléments que vous souhaitez trier dans un list séparé par des
virgules. Il s’agit d’une commande facultative. Lorsqu’il est utilisé, il doit venir juste après la
commande de (premier) niveau et il s’applique à tous les enregistrements du niveau, même si
les enregistrements sont spécifiés dans plusieurs tables.

Afficher la condition, commande


La commande de condition d’affichage spécifie quand l’enregistrement ou le groupe de champs
de données inclus doit être affiché. Le paramètre command est une expression booléenne.
Lorsqu’il est évalué à true, l’enregistrement ou le groupe de champs de données s’affiche.
Sinon, l’enregistrement ou le groupe de champs de données est ignoré.
La commande display condition peut être utilisée avec un enregistrement ou un groupe de
données

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-11
champs. Lorsqu’elle est utilisée avec un enregistrement, la commande de condition d’affichage
doit suivre la commande new record. Lorsqu’elle est utilisée avec un groupe de champs de
données, la commande de condition d’affichage doit suivre une ligne de champ de données.
Dans ce cas, la condition d’affichage s’appliquera au reste des champs jusqu’à la fin de
l’enregistrement.
Les commandes de condition d’affichage consécutives sont fusionnées en tant que conditions
AND. Les conditions d’affichage fusionnées s’appliquent au même enregistrement ou groupe
de champs de données inclus.

Structure des lignes de données


Les champs de données d’enregistrement de sortie sont représentés dans le modèle par
des lignes de tableau. Dans FIXED_POSITION_BASED modèles, chaque ligne
possède les attributs (ou colonnes) de following :
• Position

• Longueur

• Format

• Coussinet

• Données

• Commentaires

Les cinq premières colonnes sont obligatoires et doivent apparaître dans l’ordre indiqué.
Pour les modèles DELIMITER_BASED, chaque ligne de données possède les
attributs (colonnes) suivants :
• Longueur maximale

• Format

• Données

• Étiquette

• Commentaires

Les trois premières colonnes sont obligatoires et doivent être déclarées dans l’ordre indiqué.
Dans les deux types de modèles, la colonne Commentaires est facultative et ignorée par le
système. Vous pouvez insérer des colonnes d’informations supplémentaires si vous le
souhaitez, car toutes les colonnes après celles requises sont ignorées.
Les règles d’utilisation de ces colonnes sont les suivantes :

21-12Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Position
Spécifie la position de départ du champ dans l’enregistrement. L’unité est en nombre de
caractères. Cette colonne n’est utilisée qu’avec FIXED_POSITION_BASED modèles.

Longueur/Longueur maximale
Spécifie la longueur du champ. L’unité est en nombre de characters. Pour
FIXED_POSITION_BASED modèles, tous les champs ont une longueur fixe. Si les données
sont inférieures à la longueur spécifiée, elles sont rembourrées. Si les données sont plus
longues, elles sont tronquées. La troncature se produit toujours à droite.
Pour DELIMITER_BASED modèles, la longueur maximale du champ est spécifiée. Si les
données dépassent la longueur maximale, elles seront tronquées. Les données ne sont pas
rembourrées si elles sont inférieures à la longueur maximale.

Mettre en forme la colonne


Spécifie le type de données et le paramètre de format. Il existe trois types de données acceptées :
• Alpha

• Nombre

• Date

Reportez-vous aux mots clés au niveau du champ, pages 21-35 pour leur utilisation.
Type de données numérique
Les données numériques ont trois paramètres de format facultatifs : Entier, Décimal ou vous
pouvez définir un masque de format. Spécifiez les paramètres facultatifs avec le type de
données Number comme suit :
• Nombre, Entier

• Nombre, décimal

• Masque de nombre,
<format> Par exemple :
Nombre, ###,###.00

Le format Entier utilise uniquement la partie numérique entière d’une valeur numérique et
ignore la décimale. Le format décimal utilise uniquement la partie décimale de la valeur
numérique et ignore la partie entière.
Le tableau suivant présente des exemples de définition d’un masque de format. Lors de la
spécification du masque, # représente qu’un chiffre doit être affiché lorsqu’il est présent dans
les données ; 0 représente que l’espace réservé numérique doit être affiché, que les données
soient présentes ou non.
Lors de la spécification du masque de format, le séparateur de groupe doit toujours être « ," et le
séparateur décimal doit toujours être « . » Pour les modifier dans la sortie réelle, vous devez utiliser
les commandes d’installation NUMBER THOUSANDS SEPARATOR et NUMBER DECIMAL

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-13
SÉPARATEUR. Voir Tables de commandes d’installation, pages 21-16 pour plus de détails sur ces
commandes.
Le tableau suivant présente des exemples de données, de spécificateur de format et de
sortie. La sortie suppose le groupe par défaut et les séparateurs décimaux.

Données Spécificateur de format Sortie

123456789 ###,###.00 123,456,789.00

123456789.2 ###.00 123456789.20

1234.56789 ###.000 1234.568

123456789.2 # 123456789

123456789.2 #. ## 123456789.2

123456789 #. ## 123456789

Type de données de date


Le paramètre de format de type de données Date doit toujours être explicitement indiqué. Le
paramètre de format suit les styles de date SQL, tels que MMDDYY.
Mappage des types de données basés sur le délimiteur EDI aux types de données eText
Certains formats EDI (DELIMITER_BASED) utilisent des types de données plus
descriptifs. Ceux-ci sont mappés aux trois types de données de modèle dans le tableau
suivant :

Type de données ASC X12 Type de données de modèle de format

A - Alphabétique Alpha

AN -Alphanumérique Alpha

B - Binaire Nombre

CD - Élément de données composite N/A

CH - Caractère Alpha

DT - Date Date

FS - Chaîne de longueur fixe Alpha

21-14Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Type de données ASC X12 Type de données de modèle de format

ID - Identifiant Alpha

IV - Valeur incrémentielle Nombre

Nn - Numérique Nombre

PW - Mot de passe Alpha

R - Nombre décimal Chiffre

TM - Temps Date

Supposons maintenant que vous avez spécifié les commandes d’installation suivantes :

SÉPARATEUR NOMBRE DE MILLIERS .

SÉPARATEUR DÉCIMAL DE NOMBRES ,

Le tableau suivant indique les données, le spécificateur de format et la sortie pour ce cas.
Notez que le spécificateur de format nécessite l’utilisation des séparateurs par défaut, quelles
que soient les entrées de commande d’installation.

Données Spécificateur de format Sortie

123456789 ###,###.00 123.456.789,00

123456789.2 ###.00 123456789,20

1234.56789 ###.000 1234,568

123456789.2 # 123456789

123456789.2 #. ## 123456789,2

123456789 #. ## 123456789

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-15
Coussinet
Cela s’applique uniquement aux modèles FIXED_POSITION_BASED. Spécifiez le côté de
remplissage (L = gauche ou R = droite) et le caractère. Les champs numériques et
alphanumériques peuvent être rembourrés. Si ce champ n’est pas spécifié, les champs
numériques sont rembourrés à gauche avec « 0 » ; Les champs alpha sont rembourrés à droite
avec des espaces.
Exemple d’utilisation :
• Pour remplir un champ à gauche avec un « 0 », entrez ce qui suit dans le champ de
colonne Pad : L, '0'

• Pour tamponner un champ à droite avec un espace, entrez le champ de colonne Pad
suivant : R, ' '

Données
Spécifie l’élément XML de l’extrait de données qui doit remplir le champ. La colonne de
données peut simplement contenir le nom de la balise XML ou contenir des expressions et
des fonctions. Pour plus d’informations, consultez Expressions, structure de contrôle et
fonctions, pages 21-28.

Étiquette
Agit comme une colonne de commentaire pour les modèles DELIMITER_BASED. Il spécifie
la balise de référence dans EDIFACT formats et les ID de référence dans ASC X12.

Commentaires
Utilisez cette colonne pour noter les commentaires de formulaire libre sur le modèle.
Habituellement, cette colonne est utilisée pour noter les besoins de l’entreprise et l’utilisation du
champ de données.

Tables de commandes d’installation

Table de commandes d’installation


Un modèle commence toujours par une table qui spécifie les commandes d’installation. Les
commandes d’installation définissent des attributs globaux, tels que le type de modèle et le jeu
de caractères de sortie et les éléments de programme, tels que le séquençage et la
concaténation.
Les commandes d’installation sont les suivantes :
• Type de template

• Jeu de caractères de sortie

• Mode longueur de sortie

21-16Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Nouveau personnage d’enregistrement

• Caractères non valides

• Remplacer les caractères

• Séparateur nombre de milliers

• Séparateur décimal de nombres

• Définir le niveau

• Définir la séquence

• Définir la concaténation

Quelques exemples de tableaux d’installation sont présentés dans les figures suivantes :

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-17
21-18Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Commande Type de modèle
Cette commande spécifie le type de modèle. Il en existe deux types :
FIXED_POSITION_BASED et DELIMITER_BASED.
Utilisez les modèles FIXED_POSITION_BASED pour les formats d’enregistrement de
longueur fixe, tels que les EFT. Dans ces formats, tous les champs d’un enregistrement ont une
longueur fixe. Si les données sont plus courtes que la longueur spécifiée, elles seront
rembourrées. S’il est plus long, il sera tronqué. Le système spécifie le comportement par défaut
pour le remplissage et la troncature des données. Des exemples de formats basés sur des
positions fixes sont les EFT en Europe et le fichier NACHA ACH aux États-Unis.
Dans un modèle DELIMITER_BASED, les données ne sont jamais rembourrées et tronquées
uniquement lorsqu’elles ont atteint une longueur de champ maximale. Les champs vides sont
autorisés (lorsque les données sont nulles). Des délimiteurs désignés sont utilisés pour séparer
les champs de données. Si un champ est vide, deux délimiteurs apparaîtront l’un à côté de
l’autre. Des exemples de modèles délimités sont les formats EDI tels que les formats ASC X12
820 et UN EDIFACT - PAYMUL, DIRDEB et CREMUL.
Dans les formats EDI, un enregistrement est appelé sometimes un segment. Un segment EDI est

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-19
traité de la même manière qu’un enregistrement. Démarrez chaque segment avec une nouvelle
commande d’enregistrement et attribuez-lui un nom d’enregistrement. Vous devez disposer
d’un field de données spécifiant le nom du segment dans le cadre des données de sortie
immédiatement après la commande new record.
Pour DELIMITER_BASED modèles, vous insérez les délimiteurs de champs de données
appropriés dans des lignes distinctes entre les champs de données. Après chaque ligne de champ
de données, vous insérez une ligne de délimiteur. Vous pouvez insérer un espace réservé pour
un champ vide en définissant deux lignes de délimiteur consécutives.
Les champs vides sont souvent utilisés pour des raisons de syntaxe : vous devez insérer des
espaces réservés pour les champs vides afin que les champs qui suivent puissent être
correctement identifiés.
Il existe différents délimiteurs pour signifier les champs de données, les champs de données
composites et la fin de l’enregistrement. Certains formats vous permettent de choisir les caractères
délimiteurs. Dans tous les cas, vous devez utiliser le même délimiteur de manière cohérente pour le
même objectif afin d’éviter les erreurs de syntaxe.
Dans DELIMITER_BASED modèles, les colonnes <POSITION> et <PAD> ne s’appliquent pas.
Ils sont omis des tables de données.
Certains modèles DELIMITER_BASED ont des spécifications de longueur
minimale et maximale. Dans ces cas, Oracle Payments valide la longueur.

Définir le niveau, commande


Certains formats nécessitent des niveaux de données supplémentaires spécifiques qui ne
figurent pas dans l’extrait de données. Par exemple, certains formats exigent que les paiements
soient regroupés par date de paiement. À l’aide de la commande Définir le niveau, un groupe
de dates de paiement peut être défini et référencé en tant que niveau dans le modèle, même s’il
ne figure pas dans le fichier d’extraction d’entrée.
Lorsque vous utilisez la commande Définir le niveau, vous déclarez un niveau de base qui
existe dans l’extrait. La commande Définir le niveau insère un nouveau niveau un biseau
supérieur au niveau de base de l’extrait. Le nouveau niveau fonctionne comme un
regroupement des instances du niveau de base.
La commande Définir le niveau est une commande d’installation, elle doit donc être définie
dans la table d’installation. Il comporte trois sous-commandes :
• Commande Niveau de base - définit le niveau (élément XML) de l’extrait sur lequel le
nouveau niveau est basé. La commande Définir le niveau doit toujours comporter une
seule et unique sous-commande de niveau de base.

• Critères de regroupement : définit les éléments d’extraction XML utilisés pour regrouper
les instances du niveau de base afin de former les instances du nouveau niveau. Le
paramètre de la commande critères de regroupement est une liste d’éléments séparés par
des virgules qui spécifient les conditions de regroupement.
L’ordre des éléments détermine la hiérarchie du grouping. Les instances du niveau de
base sont d’abord divisées en groupes selon les valeurs du premier critère, puis chacun de
ces groupes est subdivisé en groupes selon le deuxième critère, et ainsi de suite. Chacun
des sous-groupes finaux sera considéré comme une instance du nouveau niveau.

21-20Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Tri de groupe croissant ou Tri de groupe décroissant - définit le tri du groupe. Insérez la
ligne de commande <GROUPE SORT CROISSANT> ou <GROUPE SORT
DÉCROISSANT> n’importe où entre les commandes <DEFINE LEVEL> et <END
DEFINE LEVEL>. Le paramètre de la commande sort est une liste d’éléments séparés par
des virgules par lesquels trier le groupe.

Par exemple, le tableau suivant indique cinq paiements sous un lot :

Instance de paiement PaymentDate (regroupement) PayeeName (regroupement)


critère 1) critère 2)

Paiement1 Date de paiement1 Nom du bénéficiaire1

Paiement2 Date de paiement2 Nom du bénéficiaire1

Paiement3 Date de paiement1 Nom du bénéficiaire2

Paiement4 Date de paiement1 Nom du bénéficiaire1

Paiement5 Date de paiement1 Nom du bénéficiaire3

Dans le modèle, construisez la table de configuration comme suit pour créer un niveau appelé
« PaymentsByPayDatePayee » à partir du niveau de base « Paiement » regroupé en fonction de
la date de paiement et du nom du bénéficiaire. Ajoutez la commande Group Sort Ascending
pour trier chaque groupe par PaymentDate et PayeeName :

<DÉFINIR LE NIVEAU> PaiementsParPayDatePayee

< NIVEAU DE BASE> Paiement

<CRITÈRES DE REGROUPEMENT> PaymentDate, PayeeName

<ACCÉSTÈGE CROISSANT> PaymentDate, PayeeName

<FIN DÉFINIR LE NIVEAU> PaiementsParPayDatePayee

Les cinq paiements généreront les quatre groupes (instances) suivants pour le nouveau niveau :

Instance de groupe de
paiement Critères de groupe Paiements en groupe

Groupe1 PaymentDate1, PayeeName1 Paiement1, Paiement4

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-21
Instance de groupe de
paiement Critères de groupe Paiements en groupe

Groupe2 PaymentDate1, PayeeName2 Paiement3

Groupe3 PaymentDate1, PayeeName3 Paiement5


PaymentDate2, Nom du
Groupe4 bénéficiaire1 Paiement2

L’ordre des nouvelles instances est l’ordre dans lequel les enregistrements seront imprimés.
Lors de l’évaluation des critères de regroupement multiples pour former les instances du
nouveau niveau, les critères peuvent être considérés comme formant une hiérarchie. Le premier
critère est au sommet de la hiérarchie, le dernier critère est au bas de la hiérarchie.
En général, il existe deux types de scénarios de regroupement de données spécifiques au format
EFT. Certains formats impriment uniquement les enregistrements de groupe ; d’autres impriment les
groupes avec les enregistrements d’éléments individuels imbriqués dans des groupes. Voici deux
exemples de ces scénarios basés sur les cinq conditions de paiement et de regroupement
précédemment illustrées.
Exemple
Premier scénario : enregistrements de groupe uniquement
Structure du fichier EFT :
• BatchRec
• PaymentGroupHeaderRec

• PaymentGroupFooterRec

Séquence
d’enregistrement Type d’enregistrement Description

1 BatchRec

2 PaymentGroupHeaderRec Pour le groupe 1 (PaymentDate1, PayeeName1)

3 PaymentGroupFooterRec Pour le groupe 1 (PaymentDate1, PayeeName1)

4 PaymentGroupHeaderRec Pour le groupe 2 (PaymentDate1, PayeeName2)

5 PaymentGroupFooterRec Pour le groupe 2 (PaymentDate1, PayeeName2)

6 PaymentGroupHeaderRec Pour le groupe 3 (PaymentDate1, PayeeName3)

7 PaymentGroupFooterRec Pour le groupe 3 (PaymentDate1, PayeeName3)

21-22Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Séquence
d’enregistrement Type d’enregistrement Description

8 PaymentGroupHeaderRec Pour le groupe 4 (PaymentDate2, PayeeName1)

9 PaymentGroupFooterRec Pour le groupe 4 (PaymentDate2, PayeeName1)

Exemple
Scénario 2 : Enregistrements de groupe et enregistrements individuels
Structure du fichier EFT :
BatchRec
• PaymentGroupHeaderRec
• PaiementRec

• PaymentGroupFooterRec

Sortie générée :

Séquence
d’enregistrement Type d’enregistrement Description

1 BatchRec

2 PaymentGroupHeaderRec Pour le groupe 1 (PaymentDate1, PayeeName1)

3 PaiementRec Pour le paiement1

4 PaiementRec Pour le paiement4

5 PaymentGroupFooterRec Pour le groupe 1 (PaymentDate1, PayeeName1)

6 PaymentGroupHeaderRec Pour le groupe 2 (PaymentDate1, PayeeName2)

7 PaiementRec Pour le paiement3

8 PaymentGroupFooterRec Pour le groupe 2 (PaymentDate1, PayeeName2)

9 PaymentGroupHeaderRec Pour le groupe 3 (PaymentDate1, PayeeName3)

10 PaiementRec Pour le paiement5

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-23
Séquence
d’enregistrement Type d’enregistrement Description

11 PaymentGroupFooterRec Pour le groupe 3 (PaymentDate1, PayeeName3)

12 PaymentGroupHeaderRec Pour le groupe 4 (PaymentDate2, PayeeName1)

13 PaiementRec Pour le paiement2

14 PaymentGroupFooterRec Pour le groupe 4 (PaymentDate2, PayeeName1)

Une fois défini avec la commande Définir le niveau, le nouveau niveau peut être utilisé dans le
modèle de la même manière qu’un niveau apparaissant dans l’extrait. Toutefois, les
enregistrements du nouveau niveau ne peuvent référencer que les champs de niveau de base
définis dans ses critères de regroupement. Ils ne peuvent pas référencer d’autres champs de
niveau de base autrement que dans les fonctions de résumé.
Par exemple, PaymentGroupHeaderRec peut référencer PaymentDate et PayeeName dans ses
champs. Il peut également référencer le Montant de paiement (un champ de niveau de
paiement) dans une fonction SUM. Toutefois, it ne peut pas référencer d’autres champs de
niveau de paiement, tels que PaymentDocName ou PaymentDocNum.
La commande Définir le niveau doit toujours comporter une seule et unique sous-commande de
critères de regroupement. La commande Définir le niveau comporte une commande de niveau
de fin de fin d’entreprise. Les sous-commandes doivent être spécifiées entre les commandes
define level et end-define level. Ils peuvent être déclarés dans n’importe quel ordre.

Définir la commande de séquence


La commande define sequence définit une séquence qui peut être utilisée conjointement avec la
fonction SEQUENCE_NUMBER pour indexer les enregistrements EFT générés ou les
instances d’extraction (les enregistrements de base de données). Les enregistrements EFT sont
les enregistrements physiques définis dans le modèle. Les enregistrements de base de données
sont les enregistrements de l’extrait. Pour éviter toute confusion, le terme « enregistrement »
fera toujours référence à l’enregistrement EFT. L’enregistrement de base de données sera
appelé instance ou niveau d’élément d’extraction.
La commande define sequence comporte quatre sous-commandes : reset at level, increment
basis, start at et maximum :
Réinitialiser au niveau
La sous-commande Reset at Level définit l’emplacement où la séquence réinitialise son numéro
de départ. Il s’agit d’une sous-commande obligatoire. Par exemple, pour numéroter les
paiements dans un lot, définissez la réinitialisation au niveau Batch. Pour continuer à numéroter
entre les lots, définissez le niveau reset comme RequestHeader.
Dans certains cas, la séquence est réinitialisée en dehors du modèle. Par exemple, une séquence
périodique peut être définie pour réinitialiser par date. Dans ces cas, le mot-clé
PERIODIC_SEQUENCE est utilisé pour la réinitialisation au niveau. Le système enregistre le
numéro de séquence le plus ancien utilisé pour un fichier de paiement dans la base de données.
Contrôle des événements extérieurs réinitialisant la séquence dans le

21-24Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
database. Pour la prochaine exécution du fichier de paiement, le numéro de séquence est
extrait de la base de données pour le numéro de début au numéro (voir la sous-commande
Démarrer à).
Base d’incrément
La sous-commande increment basis spécifie si la séquence doit être incrémentée en fonction
d’instances d’enregistrement ou d’extraction. Les paramètres autorisés pour cette sous-
commande sont RECORD et LEVEL.
Entrez RECORD pour incrémenter la séquence de chaque enregistrement.
Entrez LEVEL pour incrémenter la séquence pour chaque nouvelle instance d’un niveau.
Notez que pour les niveaux avec plusieurs enregistrements, si vous utilisez l’incrément basé
sur le niveau, tous les enregistrements du niveau auront le même numéro de séquence.
L’incrément basé sur l’enregistrement attribuera à chaque enregistrement du niveau un
nouveau numéro de séquence.
Pour les incréments basés sur les niveaux, le numéro de séquence ne peut être utilisé que dans
les champs d’un seul niveau. Par exemple, supposons qu’un extrait ait une hiérarchie de > de
paiement par lots > facture et que vous définissiez la base d’incrément par séquence de niveau,
avec réinitialisation au niveau du lot. Vous pouvez utiliser la séquence dans les champs de
paiement ou de niveau de vénale, mais pas les deux. Vous ne pouvez pas avoir de numérotation
séquentielle entre les niveaux hiérarchiques.
Toutefois, cette règle ne s’applique pas à la base d’incrémentation par séquences
d’enregistrement. Les enregistrements peuvent être séquencés à travers les niveaux.
Pour les séquences incrémentielles par niveau et par séquence d’enregistrement, le niveau de
la séquence est implicite en fonction de l’endroit où la séquence est définie.

Définir la commande Concaténation


Utilisez la commande Définir la concaténation pour concaténer des éléments d’extraction au
niveau de l’enfant à utiliser dans les champs de niveau parent. Par exemple, utilisez cette
commande pour concaténer le numéro de facture et la date d’échéance de toutes les factures
appartenant à un paiement à utiliser dans un champ de niveau paiement.
La commande define concatenation comporte trois sous-commandes : niveau de base, élément
et délimiteur.

Sous-commandant de niveau de base


La sous-commande de niveau de base spécifie le niveau enfant de l’opération. Pour
chaque instance de niveau parent, l’opération de concaténation effectue une boucle à
travers les instances de niveau enfant pour générer la chaîne concaténée.

Sous-commande d’élément
Le sous-command d’élément spécifie l’opération utilisée pour générer chaque élément. Un
élément est une expression de niveau enfant qui sera concaténée ensemble pour générer la
chaîne de concaténation.

Sous-commande Délimiteur
La sous-commande delimiter spécifie le délimiteur pour séparer les éléments concaténés dans

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-25
la chaîne.

Utilisation de la fonction SUBSTR


Utilisez la fonction SUBSTR pour décomposer les chaînes concaténées en chaînes plus petites
qui peuvent être placées dans différents champs. Par exemple, le tableau suivant affiche cinq
factures dans un paiement :

Facture InvoiceNum (numéro de facture)

1 car_parts_inv0001

2 car_parts_inv0002

3 car_parts_inv0003

4 car_parts_inv0004

5 car_parts_inv0005

Utilisation de la définition de concaténation suivante :

< DÉFINIR LA CONCATÉNATION> ConcatenatedInvoiceInfo

< NIVEAU DE BASE> Facture

<ÉLÉMENT> InvoiceNum (numéro de facture)

<LIMITEUR> ','

<FIN DÉFINIR LA CONCATÉNATION> ConcatenatedInvoiceInfo

Vous pouvez référencer ConcatenatedInvoiceInfo dans un champ de niveau de paiement. La chaîne sera :
car_parts_inv0001 car_parts_inv0002 car_parts_inv0003 car_parts_ inv0004
car_parts_inv0005
Si vous souhaitez utiliser uniquement les quarante premiers caractères des informations
de facture concaténées, utilisez la fonction TRUNCATE ou la fonction SUBSTR
comme suit :
TRUNCATE(ConcatenatedInvoiceInfo, 40)
SUBSTR(ConctenatedInvoiceInfo, 1, 40)
L’une ou l’autre de ces déclarations se traduira par :
car_parts_inv0001 car_parts_inv0002 car_

21-26Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Pour isoler les quarante caractères suivants, utilisez la fonction SUBSTR :
SUBSTR(ConcatenatedInvoiceInfo, 41, 40)
pour obtenir la chaîne suivante :
parts_inv0003 car_parts_inv0004 car_par

Commandes Caractères et caractères de remplacement non valides


Certains formats nécessitent un jeu de caractères différent de celui utilisé pour entrer le data
dans les applications Oracle. Par exemple, certains formats allemands nécessitent le fichier de
sortie en ASCII, mais les données ont été saisies en allemand. S’il existe une incompatibilité
entre les jeux de caractères d’origine et cible, vous pouvez définir un équivalent ASCII pour
remplacer l’original. Par exemple, vous remplaceriez le tréma allemand « a » par « ao ».
Certains formats n’autorisent pas certains caractères. Pour vous assurer que les caractères non
valides connus ne seront pas transmis dans votre fichier de sortie, utilisez la commande
Caractères non valides pour signaler les occurrences de caractères spécifiques.
Pour utiliser la commande caractères de remplacement, spécifiez les caractères sources dans la
colonne de gauche et les caractères de remplacement dans la colonne de droite. Vous devez
entrer les caractères sources dans le jeu de caractères d’origine. Il s’agit du cas unique dans un
modèle de format dans lequel vous utilisez un jeu de caractères non destiné à la sortie. Entrez
les caractères de remplacement dans le jeu de caractères de sortie requis.
Pour DELIMITER_BASED formats, s’il y a des délimiteurs dans les données, vous pouvez
utiliser le caractère d’échappement « ? » pour conserver leur signification. Par exemple
Prénom?+Nom équivaut à Prénom+Nom
Quelle source?? équivaut à Quelle source?
Notez que le caractère d’échappement lui-même doit être échappé s’il est utilisé dans les
données.
La commande caractères de remplacement peut être utilisée pour prendre en charge
l’exigence de caractère d’échappement. Spécifiez le délimiteur comme source et le caractère
d’échappement plus le délimiteur comme cible. Par exemple, l’entrée de commande pour les
exemples précédents serait :

<SORDÉSIDENTS DE REMPLACEMENT>

+ ?+

? ??

< CARACTÈRES DE REMPLACEMENT DE FIN >

La commande caractère non valide comporte un paramètre unique qui est une chaîne de
caractères non valides qui entraînera une erreur du système.
Le processus de remplacement des caractères est effectué avant ou pendant le jeu de caractères

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-27
conversion. La conversion du jeu de caractères est effectuée directement sur l’extrait XML,
avant la mise en forme. Après la conversion du jeu de caractères, les caractères non valides
seront vérifiés en termes de jeu de caractères de sortie. Si aucun caractère non valide n’est
trouvé, le système procède au formatage.

Commandes de jeu de caractères de sortie et de nouveau caractère d’enregistrement


Utilisez la commande nouveau caractère d’enregistrement pour spécifier le ou les caractères à
supprimer les interruptions d’enregistrement explicites et implicites au moment de l’exécution.
Chaque nouvelle commande d’enregistrement représente un saut d’enregistrement explicite.
Chaque extrémité de la table représente un saut d’enregistrement implicite. Le paramètre est une
liste de noms de caractères constants séparés par des virgules.
Certains formats ne contiennent pas de records. La sortie générée est une seule ligne de
données. Dans ce cas, laissez le champ du paramètre de commande du nouveau caractère
d’enregistrement vide.
Si vous ne définissez pas de champ « nouveau caractère d’enregistrement » dans le modèle, le
système définira « \n » comme nouveau caractère d’enregistrement default.

Mode longueur de sortie


Le mode longueur de sortie peut être réglé sur « caractère » ou « octet ». Lorsque OUTPUT
LENGTH MODE est défini sur « caractère », la longueur de l’enregistrement de sortie pour
chaque champ est basée sur la longueur du caractère. Lorsque OUTPUT LENGTH MODE est
défini sur « byte », la longueur de l’enregistrement de sortie pour chaque champ est basée sur la
longueur de l’octet.
Si aucun paramètre OUTPUT LENGTH MODE n’est fourni, « character » sera utilisé.

Séparateur de nombres de milliers et séparateur décimal de nombres


Le séparateur par défaut de milliers (ou de groupes) est une virgule (« ,") et le séparateur
décimal par défaut est un point (« . »). Utilisez la commande Séparateur de milliers de milliers
et la commande Séparateur décimal de nombre pour spécifier des séparateurs autres que les
valeurs par défaut. Par exemple, pour définir « . » comme séparateur de groupe et « ," comme
séparateur décimal, entrez ce qui suit :

SÉPARATEUR NOMBRE DE MILLIERS .

SÉPARATEUR DÉCIMAL DE NOMBRES ,

Notez que lorsque vous définissez « NUMBER DECIMAL SEPARATOR », vous devez
également définir « NUMBER THOUSANDS SEPARATOR ». Assurez-vous de définir le
masque de format approprié pour le champ à afficher. Pour plus d’informations sur la mise en
forme des nombres, voir Format de colonne, pages 21-13.

Expressions, structures de contrôle et fonctions


Cette section décrit les règles et l’utilisation des expressions dans le modèle. Il décrit
également les structures et les fonctions de contrôle complémentaires.

21-28Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Expressions
Les expressions peuvent être utilisées dans la colonne de données pour les champs de données
et les paramètres de commande some. Une expression est un groupe de champs d’extraction
XML, de littéraux, de fonctions et d’opérateurs. Les expressions peuvent être imbriquées. Une
expression peut également inclure la structure de contrôle « IF ». Lorsqu’une expression est
évaluée, elle génère toujours un résultat. Les effets secondaires ne sont pas autorisés pour
l’évaluation. Sur la base des résultats de l’évaluation, les expressions sont classées dans les
trois catégories suivantes :
• Expression booléenne : expression qui renvoie une valeur booléenne, true ou false. Cette
expression de type ne peut être utilisée que dans la structure de contrôle « IF-THEN-
ELSE » et le paramètre de la commande de condition d’affichage.

• Expression numérique : expression qui renvoie un nombre. Ce type d’expression peut être
utilisé dans des champs de données numériques. Il peut également être utilisé dans des
fonctions et des commandes qui nécessitent des paramètres numériques.

• Expression de caractère : expression qui renvoie une chaîne alphanumérique. Ce type


d’expression peut être utilisé dans les champs de données de chaîne (type de format Alpha).
Ils peuvent également être utilisés dans les fonctions et command qui nécessitent des
paramètres de chaîne.

Structures de contrôle
La seule structure de contrôle prise en charge est « IF-THEN-ELSE ». Il peut être
utilisé dans une expression. La syntaxe est la suivante :
SI <boolean_expressionA> ALORS
<expression numérique ou de caractère1>
[ELSIF <boolean_expressi onB ALORS
<expression numérique ou de caractère2>]
...
[SINON
<expression numérique ou de caractère3]
FIN SI
Généralement, la structure de contrôle doit être évaluée à un nombre ou à une chaîne
alphanumérique. La structure de contrôle est considérée comme une expression numérique ou
de caractère . Les clauses ELSIF et ELSE sont facultatives et il peut y avoir autant de clauses
ELSIF que nécessaire. La structure de contrôle peut être imbriquée.
Le prédicat IN est pris en charge dans la structure de contrôle IF-THEN-ELSE. Par exemple:
SI PaiementMonteur/Devise/Code IN ('USD', 'EUR', 'AON', 'AZM') ALORS

PayeeAccount/FundsCaptureOrder/OrderAmount/Value * 100
ELSIF PaymentAmount/Currency/Code IN ('BHD', 'IQD', 'KWD') ALORS
PayeeAccount/FundsCaptureOrder/OrderAmount/Value * 1000
AUTRE
PayeeAccount/FundsCaptureOrder/OrderAmount/Valeur
FIN SI;

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-29
Fonctions
Voici la liste des fonctions prises en charge :
• SEQUENCE_NUMBER - est un index d’élément d’enregistrement. Il est utilisé
conjointement avec la commande Définir la séquence. Il a un paramètre, qui est la séquence
définie par la commande Définir la séquence. Au moment de l’exécution, il augmentera sa
valeur de séquence d’un chaque fois qu’il est référencé dans un enregistrement.

• COUNT - compte les instances d’extraction au niveau enfant ou les enregistrements de


level enfant d’un type spécifique. Déclarez la fonction COUNT à un niveau supérieur à
l’entité à compter. La fonction a un argument. Si l’argument est un niveau, la fonction
compte toutes les instances du niveau (enfant) appartenant à l’instance de niveau actuel
(parent).
Par exemple, si le niveau à compter est Paiement et que le niveau actuel est Batch, le
COUNT renvoie le nombre total de paiements dans le lot. Toutefois, si le niveau actuel est
RequestHeader, le COUNT renvoie le nombre total de paiements dans le fichier pour tous
les lots. Si l’argument est un type d’enregistrement, la fonction count compte tous les
enregistrements générés du type d’enregistrement (niveau enfant) appartenant à l’instance
de niveau actuel.

• INTEGER_PART, DECIMAL_PART - rétablit l’entier ou la partie décimale d’une


valeur numérique. Ceci est utilisé dans les expressions imbriquées et dans les
commandes (condition d’affichage et groupe par). Pour la mise en forme finale d’un
champ numérique dans la colonne de données, utilisez le format Entier/Décimal.

• IS_NUMERIC - test booléen pour savoir si l’argument est numérique. Utilisé uniquement
avec la structure de contrôle « IF ».

• TRUNCATE - tronquer le premier argument - une chaîne à la longueur du deuxième


argument. Si le premier argument est plus court que la longueur spécifiée par le deuxième
argument, le premier argument est renvoyé inchangé. Il s’agit d’une version conviviale
pour un sous-ensemble de la fonctionnalité SQL substr().

• SOMME - additionne toutes les instances enfants de l’argument de champ d’extraction


XML. Le champ doit être une valeur numérique. Le champ à additionner doit être à un
niveau inférieur au niveau sur lequel la fonction SUM a été déclarée.

• MIN, MAX : recherchez le minimum ou le maximum de toutes les instances enfants de


l’argument de champ d’extraction XML. Le champ doit être une valeur numérique. Le
champ sur lequel opérer doit toujours être à un niveau inférieur au niveau sur lequel la
fonction a été déclarée.

• FORMAT_DATE - Met en forme une chaîne de date dans n’importe quel format de date
souhaitable. Par exemple : FORMAT_DATE(« 1900-01-01T18:19:20 », « AAAA/MM/JJ
HH24:MI:SS »)
produira les résultats suivants :

21-30Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
1900/01/01 18:19:20

• FORMAT_NUMBER – Formate un nombre à afficher dans le format souhaité.


Par exemple:
FORMAT_NUMBER(« 1234567890.0987654321 »,
« 999,999.99 ») produit la sortie suivante :
1,234,567,890.10

• MESSAGE_LENGTH - renvoie la longueur du message dans le message EFT.

• RECORD_LENGTH - renvoie la longueur de l’enregistrement dans le message EFT.

• INSTR – return la position numérique d’un caractère nommé dans un champ de texte.

• SYSDATE, DATE – obtient la date et l’heure actuelles.

• POSITION – renvoie la position d’un nœud dans l’arborescence du document XML.

• REPLACE – remplace une chaîne par une autre chaîne.s

• CONVERT_CASE – convertit une chaîne ou un caractère en majuscules ou minuscules.

• CHR – obtient la représentation en caractères d’un arsgument, qui est une valeur ASCII.

• LPAD, RPAD – génère un remplissage gauche ou droit pour les valeurs de chaîne.

• ET, OU, PAS – fonctions de l’opérateur sur les éléments.

• DISTINCT_VALUES - équivalent à la fonction XPATH DISTINCT-VALUES. Renvoie


une séquence dans laquelle toutes les valeurs en double, sauf une, ont été supprimées, en
fonction de l’égalité des valeurs. Utilisation : distinct_values(nom de champ).

• INCREASE_DATE - incrémente une date du nombre de jours spécifié. Usage:


increase_date(.//date, 2)
renvoie une valeur de date deux jours après la valeur de .//date

• DECREASE_DATE - diminue une date du nombre de jours spécifié. Usage:


decrease_date(.//date, 2)
renvoie une valeur de date deux avant la valeur .//date

• Les autres fonctions SQL sont les suivantes. Utilisez la syntaxe correspondant à la

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-31
Fonction SQL.
• TO_DATE

• BAISSER

• SUPÉRIEUR

• LONGUEUR

• MAXIMUM

• MOINS

• DÉCODER

• CEIL

• ABS

• SOL

• ROND

• CHR

• TO_CHAR

• SUBSTR

• LTRIM

• RTRIM

• COUPER

• DANS

• TRADUIRE

Identificateurs, opérateurs et littéraux


Cette section répertorie les mots et expressions clés réservés et leur utilisation. Les opérateurs pris en
charge sont définis et les règles de référencement des champs d’extraction XML et d’utilisation de
littéraux.

Mots-clés
Il existe quatre catégories de mots clés et de phrases clés :

21-32Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
• Mots clés d’en-tête de commande et de colonne

• Mots clés du paramètre de commande et du paramètre de fonction

• Mots-clés au niveau du champ

• Mots-clés de l’expression

Mots clés d’en-tête de commande et de colonne


Les mots clés suivants doivent être utilisés comme indiqué : inclus dans <> s et dans
toutes les lettres majuscules avec une police en gras.
• <LEVEL> la première entrée d’une table de données. Associe la table à un élément XML
et spécifie la hiérarchie de la table.

• <END LEVEL> - déclare la fin du niveau actuel. Peut être utilisé à la fin d’une table ou
dans une table autonome.

• <POSITION> - en-tête de colonne pour la première colonne de lignes de champ de


données, qui spécifie la position de départ du champ de données dans un
enregistrement.

• <LENGTH> - en-tête de colonne pour la deuxième colonne de lignes de champ de


données, qui spécifie la longueur du champ de données.

• <FORMAT> - en-tête de colonne pour la troisième colonne de lignes de champ de


données, qui spécifie le type de données et le paramètre de format.

• <PAD> - en-tête de colonne pour la quatrième colonne de lignes de champ de données,


qui spécifie le style de remplissage et le caractère de remplissage .

• <DATA> - en-tête de colonne pour la cinquième colonne des lignes de champ de


données, qui spécifie la source de données.

• <COMMENT> - en-tête de colonne pour la sixième colonne des lignes de champ de


données, ce qui permet des commentaires de forme libre.

• <NEW RECORD> - spécifie un nouvel enregistrement.

• <DISPLAY CONDITION> - spécifie la condition à laquelle un enregistrement doit


être imprimé.

• <TEMPLATE TYPE> - spécifie le type du modèle,


FIXED_POSITION_BASED ou DELIMITER_BASED.

• < JEU DE CARACTÈRES DE SORTIE> - spécifie le jeu de caractères à utiliser


lors de la génération de la sortie.

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-33
• <NOUVEAU CARACTÈRE D’ENREGISTREMENT> - spécifie le ou les
caractères à utiliser pour signifier les nouveaux enregistrements explicites et implicites
au moment de l’exécution.

• <DEFINE LEVEL> - définit un niveau spécifique au format dans le modèle.

• <BASE LEVEL> - sous-commande pour les commandes define level et define


concatenation .

• <GROUPING CRITERIA> - sous-commande de la commande define level.

• <END DEFINE LEVEL> - signifie la fin d’un niveau.

• <DESÉQUERIE> - définit une séquence basée sur un élément d’enregistrement ou


d’extraction à utiliser dans les champs du modèle.

• <RESET AT LEVEL> - sous-commande de la commande define sequence.

• <INCREMENT BASIS> - sous-commande de la commande define sequence.

• <START AT> - sous-commande de la commande define sequence.

• <MAXIMUM> - sous-commande de la commande define sequence.

• <MAXIMUM LENGTH> - en-tête de colonne pour la première colonne de lignes de


champ de données, qui spécifie la longueur maximale du champ de données. Pour
DELIMITER_BASED modèles uniquement.

• <END DEFINE SEQUENCE> - signifie la fin de la commande de séquence.

• <DEFINE CONCATENATION> - définit une concaténation d’éléments de niveau


enfant qui peuvent être référencés sous forme de chaîne dans les champs de niveau
parent.

• <ELEMENT> - sous-commande de la commande define concaténation.

• <DELIMITER> - sous-commande de la commande define concaténation.

• <END DEFINE CONCATENATION> - signifie la fin de la commande


define concatenation.

• <SORT ASCENDING> - tri spécifique au format pour les instances d’un niveau.

• <SORT DESCENDING> - tri spécifique au format pour les instances d’un niveau.

Mots clés du paramètre de commande et du paramètre de fonction


Ces mots clés doivent être saisis en majuscules, polices non en gras.
• PERIODIC_SEQUENCE - utilisé dans la commande reset at level subcommand du define

21-34Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
commande de séquence. Il indique que le numéro de séquence doit être réinitialisé en
dehors du modèle.

• FIXED_POSITION_BASED, DELIMITER_BASED - utilisé dans la commande


type de modèle, spécifie le type de modèle.

• RECORD, LEVEL - utilisé dans la sous-commande increment basis de la commande define


sequence. RECORD incrémente la séquence chaque fois qu’elle est utilisée dans un nouvel
enregistrement. LEVEL incrémente la séquence uniquement pour une nouvelle instance du
niveau.

Mots-clés au niveau du champ


• Alpha - dans la colonne <FORMAT>, spécifie que le type de données est alphanumérique.

• Nombre - dans la colonne <FORMAT>, spécifie que le type de données est numérique.

• Entier - dans la colonne <FORMAT>, utilisée avec le mot clé Nombre. Prend la partie
entière du nombre. Celle-ci a les mêmes fonctionnalités que la fonction INTEGER, sauf que
la fonction INTEGER est utilisée dans les expressions, tandis que le mot clé Integer est
utilisé dans la colonne <FORMAT> uniquement.

• Décimal - dans la colonne <FORMAT>, utilisée avec le mot clé Nombre. Prend la partie
décimale du nombre. Celle-ci a les mêmes fonctionnalités que la fonction DECIMAL,
sauf que la fonction DECIMAL est utilisée dans les expressions, tandis que le mot clé
Décimal est utilisé dans la colonne <FORMAT> uniquement.

• Date - dans la colonne <FORMAT>, spécifie que le type de données est date.

• L, R- dans la colonne <PAD>, spécifie le côté du rembourrage (gauche ou droite).

Expression Mots clés


Les mots-clés et les expressions utilisés dans les expressions doivent être en majuscules et en
caractères gras.
• SI ALORS SINON SINON FIN SI - ces mots clés sont toujours utilisés comme un
groupe. Ils spécifient les expressions de structure de contrôle « IF ».

• IS NULL, IS NOT NULL - ces expressions sont utilisées dans la structure de contrôle IF
. Ils font partie des prédicats booléens pour tester si une expression est NULL ou non
NULL.

Opérateurs
Il existe deux groupes d’opérateurs : les opérateurs de test booléens et l’expression
Opérateurs. Les opérateurs de test booléens incluent : « = », « <> », « < », « > », « >= » et
« <= ». Ils ne peuvent être utilisés qu’avec la structure de contrôle IF. Les opérateurs
d’expression sont les suivants : « () », « || », « + », « - » et « * ». Ils peuvent être utilisés dans
n’importe quelle expression.

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-35
Symbole Usage

= Égal à tester. Utilisé dans la structure de contrôle IF


seulement.

<> Pas égal à tester. Utilisé dans le contrôle IF


structure uniquement.

> Supérieur au test. Utilisé dans le contrôle IF


structure uniquement.
Moins que le test. Utilisé dans la structure de
< contrôle IF
seulement.

>= Supérieur ou égal au test. Utilisé dans la FI


structure de contrôle uniquement.

<= Inférieur ou égal au test. Utilisé dans la FI


structure de contrôle uniquement.

() Argument de fonction et groupe d’expressions


délimiteur. Groupe d’expressions à l’intérieur de
« () »
seront toujours évalués en premier. « () » peut être
imbriqué.

|| Opérateur de concaténation de chaîne.

+ Opérateur d’addition. Conversion de type implicite


peut être exécuté si l’un des opérandes est
pas des chiffres.
Opérateur de soustraction. Conversion de type
- implicite
peut être exécuté si l’un des opérandes est
pas des chiffres.

* Opérateur de multiplication. Type implicite


la conversion peut être effectuée si l’un des
les opérandes ne sont pas des nombres.

DIV Opérande de division. Conversion de type implicite


peut être exécuté si l’un des opérandes est
pas des chiffres. Notez que « / » n’est pas utilisé car
il fait partie de la syntaxe XPATH.

21-36Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Symbole Usage

DANS Égal à n’importe quel membre du test.

PAS DANS Annule l’opérateur IN.


Non égal à n’importe quel membre du test.

Référence aux champs d’extraction XML et à la syntaxe XPATH


Les éléments XML peuvent être utilisés dans n’importe quelle expression. Au moment de
l’exécution , ils seront remplacés par les valeurs de champ correspondantes. Les noms des
champs sont sensibles à la casse.
Lorsque les champs d’extraction XML sont utilisés dans le modèle, ils doivent suivre la
syntaxe XPATH. Ceci est nécessaire pour que le moteur BI Publisher puisse interpréter
correctement les éléments XML.
Il existe toujours un élément extract considéré comme l’élément de contexte lors du processus
de mise en forme de BI Publisher. Lorsque BI Publisher traite les lignes de données d’une table,
l’élément level de la table est l’élément context. Par exemple, lorsque BI Publisher traite les
lignes de données de la table Paiement, Paiement est l’élément de contexte. Le XPATH relatif
que vous utilisez pour référencer les éléments d’extraction est spécifié en termes d’élément de
contexte.
Par exemple, si vous devez faire référence à l’élément PayeeName dans une table de
données de paiement, vous devez spécifier le chemin relatif suivant :
Payee/PayeeInfo/PayeeName
Chaque couche de la hiérarchie d’éléments XML est séparée par une barre oblique inverse
« / ». Vous utilisez cette notation pour tous les éléments imbriqués. Le chemin relatif de
l’élément enfant immédiat du niveau est simplement le nom de l’élément lui-même. Par
exemple, vous pouvez utiliser le nom de l’élément TransactionID tel qu’il est dans la table
Paiement.
Pour référencer un élément de niveau parent dans une table de niveau enfant, vous pouvez
utiliser le fichier « .. / » notation. Pour example, dans la table Payment si vous devez référencer
l’élément BatchName, vous pouvez spécifier .. /BatchName. Le « .. / » vous donnera Batch
comme contexte; dans ce contexte, vous pouvez utiliser le nom de l’élément BatchName
directement car BatchName est un enfant immédiat de Batch. Cette notation va jusqu’à
n’importe quel niveau pour les éléments parents. Par exemple, si vous devez référencer
l’élément RequesterParty (dans RequestHeader) dans une table de données de paiement, vous
pouvez spécifier les éléments suivants :
.. /.. /TrxnParties/RequesterParty
Vous pouvez utiliser le chemin d’accès absolu pour référencer n’importe quel élément
d’extraction n’importe où dans le modèle. Le chemin absolu commence par une barre oblique
inverse « / ». Pour le PayeeName dans l’exemple de table Paiement ci-dessus, vous aurez le
chemin absolu suivant : /BatchRequest/Batch/Payment/Payee/PayeeInfo/PayeeName
La syntaxe du chemin absolu offre de meilleures performances.

Création d’un modèle de texte


électr
onique21-37
Les identificateurs définis par les commandes d’installation tels que définir le niveau, définir la
séquence et définir la concaténation sont considérés comme globaux. Ils peuvent être utilisés
n’importe où dans le modèle. Aucun chemin absolu ou relatif n’est requis. Le niveau de base et
la réinitialisation au niveau des commandes d’installation peuvent également être spécifiés. BI
Publisher sera en mesure de trouver le contexte correct pour eux.
Si vous utilisez la syntaxe de chemin d’accès relatif, vous devez le spécifier par rapport aux
niveaux de base dans les commandes suivantes :
• Sous-commande d’élément de la commande définir la concaténation

• Sous-commande Critères de regroupement de la commande Définir le niveau

La référence du champ d’extraction dans la sous-commande start at de la commande define


sequence doit être spécifiée avec un chemin absolu.
La règle permettant de référencer un élément d’extraction pour la commande level est
identique à la règle pour les champs de données. Par exemple, si vous disposez d’une table de
niveau Batch et d’une table de niveau Payment imbriquée, vous pouvez spécifier le nom de
l’élément Payment tel quel pour la table Payment. Parce que le contexte d’évaluation de la
commande Level de la table Payment est le Batch.
Toutefois, si vous ignorez le level Paiement et que vous disposez d’un tableau niveau Facture
directement sous le tableau Lot, vous devrez spécifier Paiement/Facture comme élément de
niveau pour le tableau Facture.
La syntaxe XPATH requise par le modèle est très similaire à la syntaxe du répertoire UNIX/LINUX.
L’élément context est équivalent au répertoire actif. Vous pouvez spécifier un fichier relatif au
répertoire actif ou vous pouvez utiliser le chemin absolu qui commence par un « / ».
Enfin, la référence du champ d’extraction résultant de la sous-commande critères de
regroupement de la commande define level doit être spécifiée entre guillemets simples. Cela
indique au moteur BI Publisher d’utiliser les champs d’extraction comme critères de
regroupement, et non leurs valeurs.

21-38Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
22
Définition des propriétés de mise
en forme

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Introduction
• Propriétés de sortie PDF
• Propriétés de sécurité PDF
• Propriétés de signature numérique PDF
• Propriétés de sortie RTF
• Propriétés de sortie HTML
• Propriétés de traitement FO
• Propriétés du modèle RTF
• Propriétés du modèle PDF
• Propriétés du modèle Flash
• Définition des mappages de polices

Introduction
L’onglet Mise en forme de la boîte de dialogue Propriétés du rapport vous permet de définir
des propriétés de mise en forme d’exécution au niveau du rapport. Ces propriétés sont
également définies au niveau du système. Si des valeurs conflictuelles sont définies pour une
propriété à chaque niveau, le niveau du rapport est prioritaire.
Pour définir une propriété au niveau du rapport :
1. Ouvrez le rapport dans l’Éditeur de rapports. Et puis

2. Cliquez sur Propriétés. La boîte de dialogue Propriétés du rapport s’ouvre.

3. Cliquez sur l’onglet Mise en forme pour afficher les propriétés de mise en forme.

Définition des propriétés de mise en


form
e22-1
Pour chaque propriété, la valeur du rapport peut être mise à jour et la valeur du
serveur est affichée à titre de référence.

Pour plus d’informations sur la définition des propriétés au niveau du serveur, consultez
Définition des configurations d’exécution, Guide de l’administrateur et du développeur
Oracle Fusion Middleware pour Business Intelligence Publisher

Propriétés de sortie PDF


Le tableau suivant décrit les propriétés disponibles pour la sortie PDF :

Nom de la propriété Description

Compresser la sortie PDF Valeur par défaut : true


Description : spécifiez « true » ou « false » pour contrôler la compression du fichier PDF
de sortie
lime.

Nom interne:pdf-compression

22-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Nom de la propriété Description

Masquer les barres de menus de la


visionneuse PDF Valeur par défaut : false
Description : spécifiez « true » pour masquer la barre de menus de l’application de
visionneuse lorsque le
est actif. L’option de barre de menus n’est efficace que lors de l’utilisation de l’option
Exporter
, qui affiche la sortie dans une application Acrobat Reader autonome
en dehors du navigateur.

Nom interne : pdf-hide-menubar


Masquer les barres d’outils de la
visionneuse PDF Valeur par défaut : false
Description : spécifiez « true » pour masquer la barre d’outils de l’application de
visionneuse lorsque le
est actif.

Nom interne:pdf-hide-toolbar
Remplacer les guillemets
intelligents Valeur par défaut : true
Description : définissez sur « false » si vous ne voulez pas que les guillemets bouclés
soient remplacés par des guillemets droits
citations dans votre sortie PDF.

Nom interne : pdf-replace-smartquotes


Utiliser une seule ressource
partagée Valeur par défaut : true
objet pour toutes les pages
Description : le mode par défaut de BI Publisher crée une ressource partagée
pour toutes les pages d’un fichier PDF. Ce mode a l’avantage de créer un
taille de fichier globalement plus petite. Cependant, les inconvénients sont les suivants:
L’affichage peut prendre plus de temps pour un fichier volumineux avec de
• nombreux objets SVG

• Si vous choisissez de fractionner le fichier à l’aide d’Adobe Acrobat pour extraire ou


supprimer des parties, les fichiers PDF modifiés seront plus volumineux car tous les
fichiers uniques
objet de ressource partagée (contenant tous les objets SVG pour l’ensemble du
fichier)
sera inclus avec chaque portion extraite.

La définition de cette propriété sur « false » créera un objet de ressource pour chaque
page. La taille du fichier sera plus grande, mais l’affichage pdf sera plus rapide et le
PDF peut être divisé en fichiers plus petits plus facilement.

Nom interne : pdf-use-one-resources

Propriétés de sécurité PDF


Utilisez les propriétés suivantes pour contrôler les paramètres de sécurité de vos
documents PDF de sortie :
Définition des propriétés de mise en
form
e22-3
Nom de la propriété Description

Activer la sécurité PDF Valeur par défaut : false

Description : si vous spécifiez « true », le fichier PDF de sortie sera


crypté. Vous pouvez également spécifier les propriétés suivantes :

• Ouvrir le mot de passe du document

• Modifier le mot de passe des autorisations

• Niveau de chiffrement

Nom interne : pdf-security

Ouvrir le mot de passe du document Valeur par défaut : S.O.

Description : Ce mot de passe sera requis pour ouvrir le


document. Il permettra aux utilisateurs d’ouvrir le document uniquement. Ceci
est activée uniquement lorsque " Activer la sécurité PDF » est défini sur
« true ».

Nom interne:pdf-open-password
Modifier le mot de passe des
autorisations Valeur par défaut : S.O.

Description : ce mot de passe permet aux utilisateurs de remplacer la sécurité


réglage. Cette propriété n’est effective que lorsque « Activer la sécurité PDF »
est
défini sur « true ».

Nom interne:pdf-permissions-password

22-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Nom de la propriété Description

Niveau de chiffrement Valeur par défaut : 2 - élevé

Description : spécifiez le niveau de chiffrement du fichier PDF de sortie. Le


les valeurs possibles sont les suivantes :

• 0 : Faible (RC4 40 bits, Acrobat 3.0 ou version ultérieure)

• 1 : Moyen (RC4 128 bits, Acrobat 5.0 ou version ultérieure)

• 2 : Élevé (AES 128 bits, Acrobat 7.0 ou version ultérieure)

Cette propriété n’est effective que lorsque « Activer la sécurité PDF » est
défini sur « true ». Lorsque le niveau de chiffrement est défini sur 0, vous
pouvez également définir les propriétés suivantes :
• Désactiver l’impression

• Désactiver la modification de document

• Désactiver la copie de contexte, l’extraction et l’accessibilité

• Désactiver l’ajout ou la modification de commentaires et de champs de


formulaire

Lorsque le niveau de chiffrement est défini sur 1 ou supérieur, les


propriétés suivantes sont disponibles :
• Activer l’accès au texte pour les lecteurs d’écran

• Activer la copie de texte, d’images et d’autres contenus

• Niveau de modification autorisé

• Niveau d’impression autorisé

Nom interne: pdf-encryption-level

Désactiver la modification de documentPar défaut : false

Description : autorisation disponible lorsque « Niveau de chiffrement » est


défini sur 0.
Lorsqu’il est défini sur « true », le fichier PDF ne peut pas être modifié.

Nom interne:pdf-no-changing-the-document

Définition des propriétés de mise en


form
e22-5
Nom de la propriété Description

Désactiver l’impression Valeur par défaut : false


Description : autorisation disponible lorsque « Niveau de chiffrement » est
défini sur 0.
Lorsqu’elle est définie sur « true », l’impression est désactivée pour le fichier
PDF.

Nom interne:pdf-no-printing
Désactiver l’ajout ou la modification de
commentaires Valeur par défaut : false
et champs de formulaire Description : autorisation disponible lorsque « Niveau de chiffrement » est
défini sur 0.
Lorsqu’il est défini sur « true », la possibilité d’ajouter ou de modifier des
commentaires et un formulaire
est désactivé.

Nom interne:pdf-no-accff

Désactiver la copie de contexte, l’extraction Valeur par défaut : false


et l’accessibilité
Description:P ermission disponible lorsque « Niveau de chiffrement » est
défini sur 0. Lorsqu’elles sont définies sur « true », les fonctionnalités de
copie de contexte, d’extraction et d’accessibilité sont désactivées.

Nom interne :
pdf-no-cceda

Valeur par défaut : true


Activer l’accès au texte pour les lecteurs
d’écran Description : autorisation disponible lorsque le « niveau de chiffrement »
est défini sur 1 ou supérieur. Lorsqu’il est défini sur « true », l’accès au
texte pour les lecteurs d’écran est activé.

Nom interne :
pdf-enable-accessibility

Valeur par défaut : false

Activer la copie de texte, d’images et Description : autorisation disponible lorsque le « niveau de chiffrement »
d’autres contenus est défini sur 1 ou supérieur. Lorsque la valeur est « true », la copie de
texte, d’images et d’autres contenus est activée.

Nom interne : pdf-enable-copying

22-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Nom de la propriété Description

Niveau de modification autorisé Valeur par défaut : 0


Description : autorisation disponible lorsque le « niveau de chiffrement » est
défini sur 1
ou plus. Les valeurs valides sont les suivantes :

• 0: aucun

• 1: Permet d’insérer, de supprimer et de faire pivoter des pages

• 2: Permet de remplir les champs de formulaire et de signer

• 3: Permet de commenter, de remplir des champs de formulaire et de signer

• 4: Autorise toutes les modifications à l’exception de l’extraction de pages

Nom interne:pdf-changes-allowed

Niveau d’impression autorisé Valeur par défaut : 0


Description : autorisation disponible lorsque le « niveau de chiffrement » est
défini sur 1
ou plus. Les valeurs valides sont les suivantes :

• 0: Aucun

• 1: Basse résolution (150 dpi)

• 2: Haute résolution

Nom interne:pdf-printing-allowed

Propriétés de signature numérique PDF


Les propriétés suivantes ne doivent être définies qu’au niveau du rapport pour activer la
signature numérique d’un rapport et pour définir le placement de la signature dans le
document PDF de sortie. Pour plus d’informations sur l’activation de la signature numérique
pour vos documents PDF de sortie, consultez Implémentation d’une signature numérique,
Guide de l’administrateur et du développeur Oracle Fusion Middleware pour Business
Intelligence Publisher.
Notez que pour implémenter la signature numérique d’un rapport basé sur un modèle de mise en
page PDF ou une template de mise en page RTF, vous devez définir la propriété Activer la
signature numérique sur « True » pour le rapport.
Vous devez également définir les propriétés appropriées pour placer la signature numérique à
l’emplacement souhaité sur votre rapport de sortie. Vos choix pour le placement de la signature
numérique dépendent du type de modèle. Les choix sont les suivants :

Définition des propriétés de mise en


form
e22-7
• (PDF seulement) Placez la signature numérique dans un champ spécifique en
définissant la propriété Nom du champ de signature existant.

• (RTF et PDF) Placez la signature numérique dans un emplacement général de la page (en
haut à gauche, en haut au centre ou en haut à droite) en définissant la propriété Signature
field location.

• (RTF et PDF) Placez la signature numérique dans un emplacement spécifique désigné par
les coordonnées x et y en définissant les propriétés coordonnées x du champ Signature
et Champ Signature y coordonnées.
Si vous choisissez cette option, vous pouvez également définir largeur du champ
Signature et hauteur du champ Signature pour définir la taille du champ dans votre
document.

Notez que si vous activez la signature numérique, mais que vous ne définissez aucune
propriété d’emplacement, le placement de la signature numérique sera par défaut en haut à
gauche du document.

Nom de la propriété Description

Activer la signature numérique Valeur par défaut : false


Description : définissez cette valeur sur « true » pour activer la signature
numérique pour le rapport.

Nom interne : signature-enable

Nom du champ de signature existant Valeur par défaut : S.O.


Description : cette propriété s’applique uniquement aux modèles de mise en
page PDF. Si
votre rapport est basé sur un modèle PDF, vous pouvez entrer un champ à
partir du
Modèle PDF dans lequel placer la signature numérique. Pour en savoir plus
des informations sur la définition d’un champ pour la signature dans un modèle
PDF,
voir Ajout ou désignation d’un champ pour une signature numérique, pages 19-
19.

Nom interne : nom_champ_signature

Emplacement du champ de signature Valeur par défaut : en haut à gauche


Description : cette propriété peut s’appliquer aux modèles de mise en page
RTF ou PDF .
Cette propriété fournit une liste contenant les valeurs suivantes : Top
À gauche, en haut au centre, en haut à droite. Choisissez l’un de ces
emplacements généraux et
BI Publisher insérera la signature numérique dans le document de sortie,
dimensionné et positionné de manière appropriée. Si vous choisissez de définir
cette propriété,
n’entrez pas les coordonnées X et Y ni les propriétés de largeur et de hauteur.

Nom interne : signature-field-location


22-8Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Nom de la propriété Description

Coordonnées du champ de signature X Valeur par défaut : 0


Description : cette propriété peut s’appliquer aux modèles de mise en page
RTF ou PDF.
En utilisant le bord gauche du document comme point zéro de l’axe X,
entrez la position en points que vous souhaitez que la signature numérique soit
placé à partir de la gauche. Par exemple, si vous souhaitez que la signature
numérique
être placé horizontalement au milieu d’un 8,5 pouces par 11 pouces
document (c’est-à-dire 612 points de largeur et 792 points de hauteur), entrez
306.

Nom interne : signature-field-pos-x

Champ de signature Coordonnées Y Valeur par défaut : 0


Description : cette propriété peut s’appliquer aux modèles de mise en page
RTF ou PDF.
En utilisant le bord inférieur du document comme point zéro de l’axe Y,
entrez la position en points que vous souhaitez que la signature numérique soit
placé par le bas. Par exemple, si vous voulez la signature numérique
à placer verticalement au milieu d’un 8,5 pouces par 11 pouces
document (c’est-à-dire 612 points de largeur et 792 points de hauteur), entrez
396.

Nom interne : signature-field-pos-y

Largeur du champ de signature Valeur par défaut : 0

Description: Entrez en points (72 points égaux à un pouce) le souhaité


largeur du champ de signature numérique inséré. Cela ne s’applique que si
vous
définissent également les propriétés Champ de signature x coordonnées et
Coordonnée du champ de signature Y.

Nom interne : signature-field-width

Hauteur du champ de signature Valeur par défaut : 0

Description: Entrez en points (72 points égaux à un pouce) le souhaité


hauteur du champ de signature numérique inséré. Cela ne s’applique que si
vous
définissent également les propriétés Champ de signature x coordonnées et
Coordonnée du champ de signature Y.

Nom interne : signature-field-height

Propriétés de sortie RTF


Les propriétés suivantes peuvent être définies pour régir les fichiers de sortie RTF :
Définition des propriétés de mise en
form
e22-9
Nom de la propriété Description

Activer le suivi des modifications Valeur par défaut : false


Description : définissez sur " true " pour activer le suivi des modifications dans le
RTF de sortie
document.

Nom interne : rtf-track-changes

Protéger le document pour le suivi Valeur par défaut : false


changements Description : définissez sur « true » pour protéger le document contre les
modifications suivies.

Nom interne:rtf-protect-document-for-tracked-changes

Police par défaut Valeur par défaut : Arial:12


Description : utilisez cette propriété pour définir le style et la taille de la police en
RTF
lorsqu’aucune autre police n’a été définie. Ceci est particulièrement utile pour
contrôler le dimensionnement des cellules de tableau vides dans les rapports générés.

Entrez le nom et la taille de la police au format suivant <FontName>:<size>

par exemple : Arial:12.

Notez que la police que vous choisissez doit être disponible pour BI Publisher
moteur de traitement au moment de l’exécution. Voir Définition des mappages de
polices, pages 22 à 17 pour
des informations sur l’installation des polices pour le serveur BI Publisher et
également pour le
liste des polices prédéfinies pour BI Publisher.

Nom interne : rtf-output-default-font

Propriétés de sortie HTML


Les propriétés suivantes peuvent être définies pour régir les fichiers de sortie HTML :

Nom de la propriété Description

Afficher l’en-tête Valeur par défaut : true

Description : définissez sur « false » pour supprimer l’en-tête du modèle en HTML


sortie.

Nom interne : html-show-header

22-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Nom de la propriété Description

Afficher le pied de page Valeur par défaut : true


Description : définissez sur « false » pour supprimer le pied de page du modèle en
HTML
sortie.

Nom interne: html-show-footer

Remplacer les guillemets intelligents Valeur par défaut : true


Description : définissez sur " false » si vous ne souhaitez pas que les guillemets
bouclés soient remplacés par
guillemets droits dans votre sortie HTML.

Nom interne : html-replace-smartquotes

Jeu de caractères Valeur par défaut : UTF-8

Description : spécifie le jeu de caractères HTML de sortie.

Nom interne : html-output-charset

Rendre la sortie HTML accessible Valeur par défaut : false

Description : spécifiez true si vous souhaitez créer la sortie HTML


accessible.

Nom interne : rendre accessible


Utiliser la largeur en pourcentage pour
le tableau Valeur par défaut : true
colonnes Description : définissez cette propriété sur true pour afficher les colonnes de table
en fonction de
une valeur en pourcentage de la largeur totale de la table plutôt qu’en tant que
valeur dans
aiguillage.

Cette propriété est particulièrement utile si votre navigateur affiche des tables avec
colonnes extrêmement larges. La définition de cette propriété sur true s’améliorera
lisibilité des tableaux.

Nom interne: html-output-width-in-percentage

Propriétés de traitement FO
Les propriétés suivantes peuvent être définies pour régir le traitement FO :
Définition des propriétés de mise en
forme
22-11
Nom de la propriété Description

Utiliser le processeur XSLT de BI


Publisher Valeur par défaut : true
Description : contrôle l’utilisation de l’analyseur BI Publisher. S’il est défini sur false,
XSLT ne sera pas
être analysé.

Nom interne : xslt-xdoparser


Activer la fonctionnalité évolutive de
XSLT Valeur par défaut : false
processeur
Description : contrôle la fonctionnalité évolutive de l’analyseur XDO. La propriété
« Use BI Publisher’s XSLT processor » doit être défini sur « true » pour que cette
propriété ait la valeur
être efficace.

Nom interne : xslt-scalable


Activer l’optimisation du runtime
XSLT Valeur par défaut : true
Description : lorsqu’il est défini sur « true », les performances globales du processeur
FO
est augmentée et la taille des fichiers FO temporaires générés dans le temp
est considérablement réduit. Notez que pour les petits rapports (par exemple
1-2 pages) l’augmentation des performances n’est pas aussi marquée.
Pour améliorer encore les performances lorsque vous définissez cette propriété sur true,
il est
recommandé de définir la propriété Extraire les jeux d’attributs sur « false ». Voir
Propriétés du modèle RTF, pages 22-14.

Nom interne : xslt-runtime-optimization

Activer l’optimisation XPath Valeur par défaut : false


Description : lorsqu’il est défini sur « true », le fichier de données XML est analysé
pour
fréquence de l’élément. Les informations sont ensuite utilisées pour optimiser XPath en
XSL.

Nom interne : xslt-xpath-optimization


Pages mises en cache pendant le
traitement Valeur par défaut : 50

Description : cette propriété est activée uniquement lorsque vous avez spécifié un
Répertoire temporaire (sous Propriétés générales). Pendant la table des matières
génération, le processeur FO met en cache les pages jusqu’au nombre de pages
dépasse la valeur spécifiée pour cette propriété. Il écrit ensuite les pages dans un fichier
dans le répertoire temporaire.

Nom interne : system-cache-page-size

22-12Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Nom de la propriété Description

Substitution de chiffres en langue Bidi Valeur par défaut : Aucun


type Description : Les valeurs valides sont « Aucun » et « National ». Lorsqu’il est défini
sur « Aucun »,
Les numéros d’Europe de l’Est seront utilisés. Lorsqu’il est défini sur « National »,
Hindi
(chiffres arabo-indiens) sera utilisé. Ce paramètre n’est effectif que lorsque
les paramètres régionaux sont arabes, sinon ils sont ignorés.

Nom interne : substitution de chiffres


Désactiver la prise en charge des en-
têtes de variables Valeur par défaut : false
Description : si « true », empêche la prise en charge de l’en-tête de variable. En-tête de
variable
support étend automatiquement la taille de l’en-tête pour s’adapter à l'
contenu.

Nom interne : fo-prevent-variable-header


Ajouter un préfixe aux ID lors de la
fusion Valeur par défaut : false
FO
Description : lors de la fusion de plusieurs entrées XSL-FO, le processeur FO
ajoute automatiquement des préfixes aléatoires pour résoudre les ID en conflit.
Définition de ceci
la propriété « true » désactive cette fonctionnalité.

Nom interne : fo-merge-conflict-resolution

Activer le multithreading Valeur par défaut : false

Description : si vous avez une machine multiprocesseur ou une machine avec un


processeur unique double cœur, vous pourrez peut-être obtenir un document plus rapide
génération en définissant cette option sur True.

Nom interne: fo-multi-threads

Désactiver les références externes Valeur par défaut : true


Description : un paramètre « true » (par défaut) interdit l’importation de paramètres
secondaires.
fichiers tels que des sous-modèles ou d’autres documents XML pendant le traitement
XSL
et l’analyse XML. Cela augmente la sécurité de votre système. Définissez ceci sur
« false »
si votre rapport ou modèle appelle des fichiers externes.

Nom interne: xdk-secure-io-mode


Définition des propriétés de mise en
forme
22-13
Nom de la propriété Description

Taille de la mémoire tampon d’analyse


FO Valeur par défaut : 1000000
Description : définit la taille de la mémoire tampon du processeur FO . Lorsque la
mémoire tampon
est plein, les éléments de la mémoire tampon seront rendus dans le rapport. Rapports
avec de grands tableaux ou des tableaux croisés dynamiques qui nécessitent une mise
en forme complexe et
les calculs peuvent nécessiter un tampon plus important pour restituer correctement ces
objets dans le
rapport. Augmentez la taille de la mémoire tampon au niveau du rapport pour ces
rapports. Note
que l’augmentation de cette valeur affectera la consommation de mémoire de votre
système.

Nom interne: fo-chunk-size


Activer l’optimisation du runtime
XSLT Valeur par défaut : true
pour le sous-modèle Remarque : La valeur par défaut est true sur le serveur BI Publisher. Si vous
appelez le
FOProcessor directement, la valeur par défaut est false.

Description : fournit une option pour effectuer l’importation XSL dans FOProcessor
avant de passer un seul XSL à XDK pour un traitement ultérieur. Cela permet
xslt-optimization à appliquer à l’ensemble du modèle XSL principal qui
inclut tous ses sous-modèles.

Nom interne : xslt-do-import


Activer la prise en charge des
graphiques natifs PPTX Valeur par défaut : true
Description : cette propriété s’applique à la sortie PowerPoint 2007. Lorsqu’il est
défini sur
true, les graphiques dans la sortie PowerPoint 2007 seront rendus en tant que
PowerPoint natif
(PPTX) graphiques. Si cette propriété a la valeur false, le graphique sera rendu sous la
forme d’un
image PNG incorporée.

Nom interne : pptx-native-chart

Propriétés du modèle RTF


Les propriétés suivantes peuvent être définies pour régir les modèles RTF :
22-14Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Nom de la propriété Description

Extraire des jeux d’attributs Valeur par défaut : Auto

Description : le processeur RTF extrait automatiquement les jeux d’attributs


dans le XSL-FO généré. Les ensembles extraits sont placés dans un FO supplémentaire
, qui peut être référencé. Cela améliore les performances de traitement et
réduit la taille du fichier.

Les valeurs valides sont les suivantes :

• Activer - extraire les jeux d’attributs pour tous les modèles et sous-modèles

• Auto - extraire les jeux d’attributs pour les modèles, mais pas les sous-modèles

• Désactiver - ne pas extraire les jeux d’attributs

Nom interne:rtf-extract-attribute-sets

Activer la réécriture XPath Valeur par défaut : true

Description : lors de la conversion d’un modèle RTF en XSL-FO, le processeur RTF


réécrit automatiquement les noms des balises XML pour représenter l’intégralité de
XPath
notations. Définissez cette propriété sur « false » pour désactiver cette fonctionnalité.

Nom interne : rtf-rewrite-path


Caractères utilisés pour la case à
cocher Valeur par défaut : Albany WT J;9746;9747/A

Description : la police de sortie PDF par défaut de BI Publisher n’inclut pas de


glyphe pour représenter une case à cocher. Si votre modèle contient une case à cocher,
utilisez cette option
pour définir une police Unicode pour la représentation des cases à cocher dans votre
Sortie PDF. Vous devez définir le numéro de police Unicode pour l’état « vérifié »
et le numéro de police Unicode pour l’état « non coché » à l’aide des éléments suivants
syntaxe : fontname;<numéro de police d’unicode pour le glyphe de la valeur
true >;<numéro de police d’unicode pour le glyphe de la valeur false>
Exemple : Albany WT J;9746;9747/A

Notez que la police que vous spécifiez doit être mise à la disposition de BI
Publisher au moment de l’exécution.

Nom interne : rtf-checkbox-glyph

Propriétés du modèle PDF


Les propriétés suivantes peuvent être définies pour régir les modèles PDF :

Définition des propriétés de mise en


forme
22-15
Nom de la propriété Description

Supprimer les champs PDF de la sortie Valeur par défaut : false


Description : spécifiez « true » pour supprimer les champs PDF de la sortie. Lorsque
PDF
les champs sont supprimés, les données saisies dans les champs ne peuvent pas être
extraites. Pour en savoir plus
pour plus d’informations, voir Définition des champs comme pouvant être mis à jour ou
en lecture seule, pages 19-16.

Nom interne : remove-pdf-fields


Définir tous les champs en lecture
seule en sortie Valeur par défaut :

Description : par défaut, BI Publisher définit tous les champs du fichier PDF de
sortie d’un modèle PDF en lecture seule. Si vous souhaitez que tous les champs
puissent être mis à jour, définissez cette propriété sur « false ». Pour plus
d’informations, voir Définition des champs comme pouvant être mis à jour ou en
lecture seule, pages 19-16.

Nom interne : all-field-readonly

Conserver le paramètre en lecture Valeur par défaut :


seule de chaque champ
Description : définissez cette propriété sur « true » si vous souhaitez conserver le
paramètre « Lecture seule » de chaque champ tel que défini dans le modèle PDF .
Cette propriété remplace les paramètres de « Définir tous les champs en lecture seule
en sortie ». Pour plus d’informations, voir Définition des champs comme pouvant
être mis à jour ou en lecture seule, pages 19-16.

Nom interne : all-fields-readonly-asis

Propriétés de Flash Template


Les propriétés suivantes peuvent être définies pour régir les modèles Flash :

Nom de la propriété Description

Largeur de page de
l’emballage Valeur par défaut : 792
document
Description:

Spécifiez en points la largeur du document PDF de sortie. La valeur par défaut est 792 ou 11
Pouces.

Nom interne:flash-page-width

22-16Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Nom de la propriété Description

Hauteur de page de
l’emballage Valeur par défaut : 612
document
Description : spécifiez en points la hauteur du document PDF de sortie. Valeur par défaut
est de 612 ou 8,5 pouces

Nom interne: flash-page-height

Démarrer x position de la zone Valeur par défaut : 18


Flash dans PDF
Description : en utilisant le bord gauche du document comme point d’axe 0, spécifiez en
points la position horizontale de début de l’objet Flash dans le document PDF. La valeur
par défaut est 18 ou .25 pouces

Nom interne : flash-startx

Démarrer la position y de la Valeur par défaut : 18


zone Flash dans PDF
Description : en utilisant le coin supérieur gauche du document comme point de
l’axe 0, spécifiez en points la position verticale de début de l’objet Flash dans le
document PDF. Le default est de 18, ou 0,25 pouce.

Nom interne: flash-starty

Largeur de la zone FlashPar défaut : identique à la largeur du flash en points dans swf

Description : entrez en points la largeur de la zone du document à occuper par l’objet


Flash. La valeur par défaut est la largeur de l’objet SWF.
Nom interne: flash-width

Hauteur de la zone d’éclairPar défaut : identique à la hauteur du flash en points dans swf

Description:

Entrez en points la hauteur de la zone du document que l’objet Flash doit occuper.
La valeur par défaut est la hauteur de l’objet SWF.

Nom interne: flash-height

Définition des mappages de polices


La fonctionnalité de mappage de polices de BI Publisher vous permet de mapper des polices
de base dans des modèles RTF ou PDF pour cibler les polices à utiliser dans le document
publié. Les mappages de polices peuvent être spécifiés au niveau du site ou du rapport. Le
mappage des polices est effectué uniquement pour la sortie POWERPoint PDF.
Il existe deux types de mappages de polices :

Définition des propriétés de mise en


forme
22-17
• Modèles RTF - pour mapper les polices des modèles RTF et XSL-FO aux polices de
sortie PDF et PowerPoint

• Modèles PDF - pour mapper les polices des modèles PDF à différentes polices de sortie
PDF.

Mise à disposition des polices pour BI Publisher


BI Publisher fournit un ensemble de polices Type1 et un ensemble de polices TrueType. Vous
pouvez sélectionner n’importe laquelle des polices de ces jeux en tant que police cible sans
configuration supplémentaire requise. Pour obtenir la liste des polices prédéfinies, consultez Les
polices prédéfinies de BI Publisher, page 22-19.
Les polices prédéfinies se trouvent dans la page d’accueil Oracle Business Intelligence Oracle,
dans : ORACLE_HOME/common/fonts. Si vous souhaitez mapper à une autre police, vous devez
placer la police dans ce répertoire pour la rendre disponible pour BI Publisher au moment de
l’exécution. Si votre environnement est clustered, vous devez placer la police sur chaque serveur.
Remarque : L’emplacement de la police est défini par la variable
XDO_FONT_DIR. Si cette variable n’est pas définie dans votre
environnement, les polices seront situées dans $JAVA_HOME/jre/lib/fonts.

Définition du mappage des polices au niveau du site ou du report


Un mappage de polices peut être défini au niveau du site ou du rapport :
• Pour définir un mappage au niveau du site, sélectionnez le lien Mappages de polices
dans la page Administrateur.

• Pour définir un mappage au niveau du rapport, sélectionnez le lien Configuration du


rapport, puis sélectionnez l’onglet Mappages de polices. Ces paramètres s’appliqueront
uniquement au rapport sélectionné.

Les paramètres au niveau du rapport auront priorité sur les paramètres au niveau du site.

Création d’un mappage de polices


Dans la page Admin, sous Configuration du runtime, sélectionnez Mappages de polices.
Pour créer un mappage de polices
• Sous Modèles RTF ou Modèles PDF, sélectionnez Ajouter un mappage de polices.

• Entrez ce qui suit sur la page Ajouter un mappage de polices :


• Police de base - entrez la famille de polices qui sera mappée à une nouvelle police.
Exemple : Arial

• Sélectionnez le style : Normal ou Italique (Ne s’applique pas à la police Modèle PDF

22-18Guide du concepteur de rapports Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
mappages)

• Sélectionnez le Weight: Normal ou Gras (Ne s’applique pas aux mappages de


polices de modèle PDF)

• Sélectionnez le type de police cible : Type 1 ou TrueType

• Entrez la police cible


Si vous avez sélectionné TrueType, vous pouvez entrer une police numérotée spécifique
dans la collection. Entrez le numéro de la collection TrueType (TTC) de la police
souhaitée.
Pour obtenir la liste des polices prédéfinies, consultez Les polices prédéfinies de BI
Publisher, page 22-19

Polices prédéfinies de BI Publisher


Les polices Type1 suivantes sont intégrées à Adobe Acrobat et BI Publisher fournit un
mappage pour ces polices par défaut. Vous pouvez sélectionner n’importe laquelle de ces
polices comme police cible sans configuration supplémentaire requise.
Les polices Type1 sont répertoriées dans le tableau suivant :

Polices de type 1

Nombre Famille de polices Style Poids Nom de la police

1 empattement normal normal Temps romain

1 empattement normal audacieux Times-Bold

1 empattement italique normal Temps-Italique

1 empattement italique audacieux Times-BoldItalic

2 sans empattement normal normal Helvetica

2 sans empattement normal audacieux Helvetica-Bold

2 sans empattement italique normal Helvetica-Oblique

2 sans empattement italique audacieux Helvetica-BoldObliq


ue

Définition des propriétés de mise en


forme
22-19
Nombre Famille de polices Style Poids Nom de la police

3 monoespace normal normal Courrier

3 monoespace normal audacieux Courier-Bold

3 monoespace italique normal Courrier-Oblique

3 monoespace italique audacieux Courier-BoldOblique

4 Courrier normal normal Courrier

4 Courrier normal audacieux Courier-Bold

4 Courrier italique normal Courrier-Oblique

4 Courrier italique audacieux Courier-BoldOblique

5 Helvetica normal normal Helvetica

5 Helvetica normal audacieux Helvetica-Bold

5 Helvetica italique normal Helvetica-Oblique

5 Helvetica italique audacieux Helvetica-BoldObliq


ue

6 Fois normal normal Fois

6 Fois normal audacieux Times-Bold

6 Fois italique normal Temps-Italique

6 Fois italique audacieux Times-BoldItalic

7 Symbole normal normal Symbole

8 ZapfDingbats normal normal ZapfDingbats

Les polices TrueType sont répertoriées dans le tableau suivant. Toutes les polices
TrueType seront sous-ensemble et incorporées dans pdf.

22-20Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Nombre Famille de polices Style Poids Police réelle Police réelle
Nom Type

1 Albany WT normal normal ALBANYWT.ttf TrueType


(Latin1 uniquement)

2 Albany WT J normal normal ALBANWTJ.ttf TrueType


(Saveur japonaise)

3 Albany WT K normal normal ALBANWTK.ttf TrueType


(Saveur coréenne)

4 Albany WT SC normal normal ALBANWTS.ttf TrueType


(Simplifié
Saveur chinoise)

5 Albany WT TC normal normal ALBANWTT.ttf TrueType


(Traditionnel
Saveur chinoise)

6 Andale normal normal ADUO.ttf TrueType


Duospace WT (Latin1 uniquement,
Largeur fixe)

6 Andale audacieux audacieux ADUOB.ttf TrueType


Duospace WT (Latin1 uniquement,
Largeur fixe)

7 Andale normal normal ADUOJ.ttf TrueType


Duospace WT J (Saveur japonaise,
Largeur fixe)

7 Andale audacieux audacieux ADUOJB.ttf TrueType


Duospace WT J (Saveur japonaise,
Largeur fixe)

8 Andale normal normal ADUOK.ttf TrueType


Duospace WT K (Saveur coréenne,
Largeur fixe)

8 Andale audacieux audacieux ADUOKB.ttf TrueType


Duospace WT K (Saveur coréenne,
Largeur fixe)

Définition des propriétés de mise en


forme
22-21
Famille de
Nombre polices Style Poids Police réelle Police réelle
Nom Type

9 Andale normal normal ADUOSC.ttf TrueType


Duospace WT (Simplifié
SC Saveur chinoise,
Largeur fixe)

9 Andale audacieux audacieux ADUOSCB.ttf TrueType


Duospace WT (Simplifié
SC Saveur chinoise,
Largeur fixe)

10 Andale normal normal ADUOTC.ttf TrueType


Duospace WT (Traditionnel
TC Saveur chinoise,
Largeur fixe)

10 Andale audacieux audacieux ADUOTCB.ttf TrueType


Duospace WT (Traditionnel
TC Saveur chinoise,
Largeur fixe)

Polices de code-barres incluses


BI Publisher inclut également les polices de code-barres suivantes :

Fichier de police Algorithme pris en charge

128R00. Le code128a, code128b et code128c

B39R00. Le code39, code39mod43

UPCR00. Le upca, upce

Pour plus d’informations sur l’utilisation des polices de code-barres dans un modèle RTF,
voir Utilisation des codes-barres fournis avec BI Publisher, pages 17 à 126.

22-22Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Partie 5
Création et implémentation de modèles de style
23
Création et implémentation de modèles de style

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Présentation des modèles de style
• Création d’un fichier RTF de modèle de style
• Téléchargement d’un fichier de modèle de style dans le catalogue
• Affectation d’un modèle de style à une mise en page de rapport
• Mise à jour d’un modèle de style
• Ajout de traductions à votre définition de modèle de style

Présentation des modèles de style


Un modèle de style est un modèle RTF qui contient des informations de style qui peuvent être
appliquées aux mises en page RTF. Les informations de style dans le modèle de style sont
appliquées aux mises en page RTF au moment de l’exécution pour obtenir une apparence
cohérente dans vos rapports d’entreprise. Vous associez un modèle de style à une mise en page
de rapport dans la définition de rapport. L’utilisation d’un modèle de style présente les
avantages suivants :
• Permet la même apparence dans tous vos rapports d’entreprise

• Active le même contenu d’en-tête et de pied de page, tel que les logos d’entreprise, les
en-têtes, la numérotation des pages et des and

• Simplifie la modification des éléments et des styles dans tous les rapports

A propos des styles définis dans le modèle de style


Les styles des éléments suivants peuvent être définis dans le modèle de style :

Styles de paragraphe et d’en-tête


Vous pouvez créer un style de paragraphe dans votre modèle de style. Lorsque ce même style
nommé est

Création et implémentation de modèles de


style
23-1
Utilisée dans la mise en page de votre rapport, la mise en page du rapport héritera des éléments
suivants de la définition du modèle de style : famille de police, taille de police, poids de la police
(normal, gras), style de police (normal, italique), couleur de la police et décoration du texte
(soulignement, surligne ou barré).

Styles de tableau
Voici quelques-uns des éléments de style hérités de la définition de style de tableau : style de
police, style de bordure, définition de quadrillage, ombrage et alignement du texte.

Contenu de l’en-tête et du pied de page


Les régions d’en-tête et de pied de page du modèle de style seront appliquées à la mise en page
du rapport. Cela inclut les images, les dates, les numéros de page, et tout autre contenu textuel.
Si la mise en page du rapport inclut également un contenu d’en-tête et de pied de page, il sera
remplacé.

Vue d’ensemble du processus de modèle de style


Temps de conception
Pour le modèle de style :
1. Ouvrez Microsoft Word.

2. Définissez des styles nommés pour les paragraphes, les tableaux, les en-têtes et le contenu
statique de l’en-tête et du pied de page. Voici votre modèle de style

3. Enregistrez ce document en tant que fichier . RTF.

4. Pour vous assurer que vous ne perdez pas vos styles personnalisés dans Microsoft Word,
enregistrez également le document en tant que fichier de modèle Word (.dot) ou
enregistrez vos styles dans le fichier Normal.dot. Ce fichier peut être partagé avec d’autres
concepteurs de rapports.

5. Téléchargez le fichier de modèle de style RTF dans le catalogue.

Pour le modèle de mise en page utilisant le modèle de style :


1. Dans votre modèle RTF, utilisez les mêmes styles nommés pour les éléments de
paragraphe et de tableau que vous souhaitez hériter du modèle de style.

2. Ouvrez le rapport dans l’éditeur de rapports de BI Publisher et sélectionnez le modèle de style à


associer au rapport. Activez ensuite le modèle de style pour la mise en page de rapport
spécifique.

Runtime
Lorsque vous exécutez le rapport avec la mise en page sélectionnée, BI Publisher applique
les styles, l’en-tête et le pied de page du modèle de style.

23-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Création d’un fichier RTF de modèle de style
Les sections suivantes décrivent comment définir les types de style dans votre document Microsoft
Word. Pour plus d’informations, consultez la documentation Microsoft Word.

Définition de stylets pour les paragraphes et les en-têtes


Utilisez un style de paragraphe pour définir la mise en forme telle que le type de police, la taille,
la couleur, le positionnement du texte et l’espacement. Un style de paragraphe peut être appliqué
à un ou plusieurs paragraphes. Utilisez également un style de paragraphe pour mettre en forme
les en-têtes et les titres de votre rapport.

Pour définir un type de style de paragraphe :


1. Dans votre document Microsoft Word, dans le menu Format, sélectionnez Styles et
mise en forme.

2. Dans le volet Office Styles et mise en forme, sélectionnez Nouveau style.

3. Dans la boîte de dialogue Nouveau style, entrez un nom pour votre style. Choisissez le
type de style : Paragraphe. Mettez en forme votre style à l’aide des options présentées dans
la boîte de dialogue. Pour afficher d’autres options de paragraphe (telles que la couleur de
police et les effets de texte), cliquez sur Format.

4. Lorsque vous avez terminé, cliquez sur OK et votre nouveau style apparaîtra dans la
liste des formats disponibles dans le volet Office Styles et mise en forme.

5. Choisissez votre nouveau style et créez une entrée dans votre modèle de style pour
afficher le style.

Pour appliquer le style de paragraphe, tapez dans votre document :


1. Placez votre curseur dans le paragraphe (ou texte) auquel vous souhaitez appliquer le
style.

2. Sélectionnez le style dans la liste des formats disponibles dans le volet Office Styles et mise
en forme. Le style sera appliqué au paragraphe.

Pour modifier un type de style existant :


1. Dans votre document Microsoft Word, dans le menu Format, sélectionnez Styles et
mise en forme.

2. Dans le volet Office Styles et mise en forme, sélectionnez et cliquez avec le bouton droit sur
le style à modifier.

3. Dans le menu, sélectionnez Modifier.

Création et implémentation de modèles de


style
23-3
Définition des styles pour les tableaux

Pour définir un type de style de tableau :


1. Dans votre document Microsoft Word, dans le menu Format, sélectionnez Styles et
mise en forme.

2. Dans le volet Office Styles et mise en forme, sélectionnez Nouveau style.

3. Dans la boîte de dialogue Nouveau style, entrez un nom pour votre style. Choisissez le type
de style : Tableau. Mettez en forme votre style à l’aide des options présentées dans la boîte
de dialogue. Pour afficher d’autres options de tableau (telles que Propriétés du tableau et
Bordures et ombrage), cliquez sur Format.

4. Lorsque vous avez terminé, cliquez sur OK et votre nouveau style apparaîtra dans la
liste des formats disponibles dans le volet Office Styles et mise en forme.

5. Choisissez votre nouveau style et créez une entrée dans votre modèle de style pour
afficher le style.

Pour appliquer le type de style de tableau dans votre document :


1. Placez votre curseur dans le tableau auquel vous souhaitez appliquer le style.

2. Sélectionnez le style de tableau dans la liste des formats disponibles dans le volet Office
Styles et mise en forme. Le style sera appliqué au tableau.

Définition d’un en-tête et d’un pied de page


Vous pouvez définir un en-tête et un pied de page dans votre modèle de style. Les contents et
le dimensionnement de l’en-tête et du pied de page dans le modèle de style seront appliqués
aux mises en page du rapport.
Important : Si un en-tête et un pied de page ont été définis dans la mise en
page du rapport, ils seront remplacés. L’en-tête et le pied de page du modèle
de style seront appliqués.

Pour définir un en-tête et un pied de page :


1. Dans votre document Microsoft Word, dans le menu Affichage, sélectionnez En-tête et pied de page.

2. Entrez le contenu de l’en-tête et du pied de page. Cela peut inclure un logo ou un fichier
image, du texte statique, des horodatages actuels, des numéros de page ou tout autre
contenu pris en charge par Microsoft Word.

23-4Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Téléchargement d’un fichier de modèle de style dans le catalogue
Vous pouvez placer un modèle de style dans n’importe quel dossier du catalogue auquel vous
avez accès.
Votre organisation peut avoir un dossier désigné pour les modèles de style.
Pour télécharger un fichier de modèle de style :
1. Dans l’en-tête global, cliquez sur Nouveau, puis sur Modèle de style. Cela supprime
une page de propriétés de modèle de style sans titre.

2. Dans la région Modèles, cliquez sur le bouton Télécharger dans la barre d’outils.

3. Dans la boîte de dialogue Télécharger le fichier de modèle, utilisez le bouton Parcourir pour
sélectionner votre fichier de modèle. Sélectionnez rtf comme Type, puis sélectionnez les
paramètres régionaux appropriés. Cliquez ensuite sur OK.

Votre fichier de modèle de style s’affiche dans la région Modèles en tant que nom de
paramètres régionaux que vous avez sélectionné (par exemple : en_US).

Création et implémentation de modèles de


style
23-5
4. Cliquez sur Enregistrer.

5. Dans la boîte de dialogue Enregistrer sous , choisissez le dossier de catalogue dans lequel
enregistrer le modèle de style. Entrez le nom et cliquez sur Enregistrer.
Remarque : Vous ne pouvez télécharger qu’un seul fichier RTF par
paramètre régional dans une définition de modèle de style. Si vous
téléchargez des fichiers de modèle supplémentaires dans ce modèle de
style , chaque fichier sera automatiquement nommé en tant que
paramètre régional, quel que soit le nom que vous donnez au fichier
avant le téléchargement.

6. Si vous téléchargez plusieurs fichiers localisés, sélectionnez le fichier à utiliser par défaut.
Pour plus d’informations sur la localisation des fichiers de modèle, voir Ajout de
traductions à votre modèle de style, pages 23 et 7.

Affectation d’un modèle de style à une mise en page de rapport


1. Accédez au rapport dans le catalogue et cliquez sur Modifier pour ouvrir l’éditeur de rapport.

2. Dans la vue miniature par défaut, sélectionnez Afficher une liste. Dans la région de mise en
page, cliquez sur l’icône Choisir pour rechercher et sélectionner votre modèle de style dans
le catalogue BI Publisher .

3. Pour les modèles de mise en page que vous souhaitez utiliser le modèle de style, activez
la case Appliquer le modèle de style pour la template. Notez que la zone n’est activée
que pour les modèles RTF.

23-6Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
La figure suivante illustre les actions requises pour activer un modèle de style dans l’Éditeur de
rapports.

Mise à jour d’un modèle de style


Pour mettre à jour ou modifier un modèle de style enregistré :
1. Accédez au fichier dans le catalogue.

2. Cliquez sur Modifier pour ouvrir la page des propriétés du modèle de style.

3. Supprimez le fichier existant.

4. Téléchargez le fichier modifié en choisissant les mêmes paramètres régionaux.

Ajout de traductions à votre définition de modèle de style


Les modèles de style offrent la même prise en charge des traductions que les fichiers de modèle
RTF.
Vous pouvez télécharger plusieurs fichiers RTF traduits sous une seule définition de modèle de
style et attribuer les paramètres régionaux appropriés. Ceux-ci s’affichent dans la région
Modèles, comme illustré dans la figure suivante :

Création et implémentation de modèles de


style
23-7
Vous pouvez également générer un fichier XLIFF (.xlf) des chaînes traduisibles, traduire les
chaînes et télécharger le fichier traduit. Ceux-ci s’affichent dans la région Traductions, comme
illustré dans la figure suivante :

Au moment de l’exécution, le modèle de style approprié est appliqué en fonction du paramètre


préférence du compte de l’utilisateur pour les paramètres régionaux du rapport pour les rapports
consultés en ligne ; ou, pour les rapports planifiés, en fonction de la sélection de l’utilisateur
pour les paramètres régionaux du rapport pour le rapport planifié.

23-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Les fichiers XLIFF pour les modèles de style peuvent être générés individuellement, puis
traduits et téléchargés individuellement. Ou, si vous effectuez une traduction de catalogue qui
inclut les dossiers de modèle de style, les chaînes des fichiers de modèle de style seront extraites
et incluses dans le fichier de traduction catalog plus volumineux. Lorsque le fichier de
traduction de catalogue est téléchargé vers BI Publisher, les traductions appropriées du fichier
catalogue s’affichent dans la région Traductions de la définition de modèle de style.
Pour plus d’informations sur les traductions, consultez la section Traduction de rapports et
d’objets de catalogue, page 27-1.

Création et implémentation de modèles de


style
23-9
Partie 6
Création et implémentation de sous-modèles
24
Présentation des sous-modèles

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Qu’est-ce qu’un sous-modèle
• Emplacements pris en charge pour les sous-modèles
• Conception d’un sous-modèle
• Test de sous-modèles à partir du Bureau
• Création de l’objet De sous-modèle dans le catalogue
• Appel d’un sous-modèle à partir d’une source externe

Qu’est-ce qu’un sous-modèle


Un sous-modèle est une fonctionnalité de mise en forme qui peut être définie une fois et
utilisée plusieurs fois dans un seul modèle de mise en page ou dans plusieurs fichiers de
modèle de mise en page. Ce formatage peut être dans un format de fichier RTF ou un format
de fichier XSL. Les sous-modèles RTF sont faciles à concevoir car vous pouvez utiliser les
fonctionnalités natives de Microsoft Word. Les sous-modèles XSL peuvent être utilisés pour
répondre à des exigences complexes en matière de mise en page et de données.
Voici quelques utilisations courantes des sous-modèles :
• Réutilisation d’une disposition ou d’un composant commun (tel qu’un en-tête, un pied de
page ou un bloc d’adresses)

• Gestion des mises en page paramétrées

• Gestion des mises en page dynamiques ou conditionnelles

• Gestion de longs calculs ou réutilisation de formules

À propos des sous-modèles RTF


Un sous-modèle RTF est un fichier RTF qui se compose d’une ou plusieurs définitions
<?template:?> , chacune contenant un bloc de mise en forme ou de commandes.

Présentation de Subtemplates24-1
Ce fichier RTF, lorsqu’il est téléchargé vers BI Publisher en tant qu’objet de sous-modèle
dans le catalogue, peut être appelé à partir d’un autre modèle RTF.

À propos des sous-modèles XSL


Un sous-modèle XSL est un fichier XSL qui contient des commandes de mise en forme ou de
traitement en XSL pour que le moteur de mise en forme BI Publisher puisse s’exécuter. Utilisez un
modèle XSL pour inclure des calculs complexes ou des instructions de mise en forme non pris en
charge par la norme RTF.
Ce fichier XSL, lorsqu’il est téléchargé vers BI Publisher en tant qu’objet de sous-modèle
dans le catalogue, peut être appelé à partir d’un modèle RTF.

Emplacements pris en charge pour les sous-modèles


Il est recommandé de télécharger vos sous-modèles dans le catalogue BI Publisher. C’est
l’endroit le plus sécurisé.
Pour des raisons de compatibilité avec les anciennes versions de BI Publisher, il est également
possible d’appeler un sous-modèle qui réside dans un fichier sur le serveur local ou sur un autre
serveur (accessible par le protocole HTTP). L’utilisation de l’une de ces méthodes nécessite une
syntaxe d’importation et des paramètres de serveur spécifiques pour autoriser la communication.
Voir Appel d’un sous-modèle à partir d’une source externe, pages 24 et 4 pour plus
d’informations.

Conception d’un sous-modèle


Pour plus d’informations sur la conception d’un sous-modèle RTF, voir Conception de sous-
modèles RTF, page 25-1.
Pour plus d’informations sur la conception d’un sous-modèle XSL, voir Conception de sous-
modèles XSL, page 26-1.

Test de sous-modèles à partir du Bureau


Si BI Publisher Template Builder est installé, vous pouvez prévisualiser la combinaison de
modèles et de sous-modèles avant de les télécharger dans le catalogue BI Publisher. Pour
effectuer un test à partir de votre environnement local, vous devez modifier la syntaxe du modèle
d’importation pour permettre au processeur BI Publisher de localiser le fichier de sous-modèle
dans votre répertoire local. Pour tester, entrez la syntaxe du modèle d’importation comme suit :
<?import:file:{local_template_path}?>

Par exemple:
<?import:file:C:///Template_Directory/subtemplate_file.rtf?>

ou pour un fichier de sous-modèle XSL :


<?import:file:C:///Template_Directory/subtemplate_file.xsl?>

Vous pouvez ensuite sélectionner l’option Aperçu dans le Générateur de modèles et bi-éditeur

24-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
peut localiser votre sous-modèle et le restituer à partir de votre environnement local.
Notez qu’avant de télécharger le modèle principal dans le catalogue BI Publisher, vous devez
modifier la syntaxe d’importation pour qu’elle pointe vers l’emplacement approprié dans le
catalogue.

Création de l’objet De sous-modèle dans le catalogue


Pour télécharger votre fichier de sous-modèle :
1. Dans l’en-tête global, cliquez sur Nouveau , puis sur Sous-modèle. Cela lance une
page de sous-modèle sans titre.

2. Dans la région Modèles, cliquez sur Télécharger pour lancer la boîte de dialogue
Télécharger le fichier de modèle.

3. Recherchez et sélectionnez votre fichier de sous-modèle.


• Type : sélectionnez rtf pour les fichiers de sous-modèles RTF ou xsl pour les fichiers de
sous-modèles XSL.

• Paramètres régionaux : sélectionnez les paramètres régionaux appropriés pour le


fichier de sous-modèle.

4. Téléchargement Click.
Votre fichier de sous-modèle s’affiche dans la région Modèles en tant que nom de
paramètres régionaux que vous avez sélectionné (par exemple : en_US).

5. Cliquez sur Enregistrer. Dans la boîte de dialogue Enregistrer sous, choisissez le


dossier de catalogue dans lequel enregistrer le sous-modèle. Entrez le nom et cliquez sur
Enregistrer. La figure suivante montre un sous-modèle nommé « Mon sous-modèle » :
Présentation des sous-
modèles24-3
6. (Sous-modèles RTF uniquement) Si vous téléchargez plusieurs fichiers localisés,
sélectionnez le fichier à utiliser par défaut. Pour plus d’informations sur la localisation
des fichiers de modèle, voir Ajout de traductions à votre sous-modèle, pages 23 et 7.
Remarque : Vous ne pouvez télécharger qu’un seul fichier RTF par
paramètre régional dans une définition de sous-modèle. Si vous
téléchargez des fichiers de modèle supplémentaires dans ce sous-modèle,
chaque fichier sera automatiquement nommé en tant que paramètre
régional, quel que soit le nom que vous donnez au fichier avant le
téléchargement.

Important : Les traductions ne sont pas prises en charge pour les sous-modèles XSL.

Notez que l’objet Sub Template est enregistré avec l’extension « .xsb ». Vous utiliserez le nom
que vous choisissez ici avec l’extension .xsb lorsque vous importez l’objet Sub Template (par
exemple : MySubtemplate.xsb).

Appel d’un sous-modèle à partir d’une source externe


Cette section décrit comment appeler un sous-modèle qui réside en dehors du catalogue.
Important : Ces instructions sont fournies à des fins de compatibilité descendante
uniquement. Il est recommandé de placer vos sous-modèles dans le catalogue.

Notez que la localisation n’est pas prise en charge pour les sous-modèles qui sont gérés en
dehors du catalogue.

24-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Importation d’un sous-modèle en dehors du catalogue via HTTP ou FTP
Utilisez un protocole standard, tel que http ou ftp et entrez l’instruction import comme suit :
<?import:http//myhost:8080/subtemplate.rtf?>

Importation de sous-modèles en dehors du catalogue sur le même serveur


Si votre sous-modèle se trouve sur le serveur, mais pas dans le catalogue BI Publisher, entrez
ce qui suit :
<?import:file://{template_path}?>


template_path est le chemin d’accès au fichier de sous-modèle sur votre serveur
Par exemple:
<?import:file://c:/Folder/mySubtemplate.rtf?>

Paramètres requis pour exécuter les sous-modèles stockés en dehors du catalogue


L’utilisation de sous-modèles nécessite le paramètre de propriété de configuration de
traitement FO suivant pour le rapport :
• Désactiver les références externes : doit être défini sur False

Présentation des sous-


modèles24-5
25
Conception de sous-modèles
RTF

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Présentation des sous-modèles RTF
• Vue d’ensemble du processus de création et d’implémentation de sous-modèles RTF
• Création d’un fichier de sous-modèle RTF
• Appel d’un sous-modèle à partir de votre modèle principal
• Quand utiliser les sous-modèles RTF
• Ajout de traductions à un sous-modèle RTF

Présentation des sous-modèles RTF


Un sous-modèle RTF est un fichier RTF qui se compose d’une ou plusieurs définitions
<?template:?> , chacune contenant un bloc de mise en forme ou de commandes.
Ce fichier RTF, lorsqu’il est téléchargé vers BI Publisher en tant qu’objet Sub Template dans
le catalogue, peut être appelé à partir d’autres modèles RTF.
La figure suivante illustre la composition d’un sous-modèle RTF :

Conception de sous-modèles
RTF
25-1
Vue d’ensemble du processus de création et d’implémentation de sous-modèles
RTF
L’utilisation d’un sous-modèle comprend les étapes suivantes (décrites dans les
sections suivantes) :
1. Créez le fichier RTF contenant les composants courants ou les instructions de traitement
que vous souhaitez inclure dans d’autres modèles.

2. Créez la mise en page appelante ou « principale » et incluez les deux commandes suivantes :
• import - pour importer le fichier de sous-modèle dans le modèle de mise en page principal.

• call-template - pour exécuter ou restituer le contenu du sous-modèle dans la mise en


page principale.

3. Testez votre modèle et votre sous-modèle.


Conseil : Vous pouvez utiliser BI Publisher Desktop Template Viewer
pour tester votre mise en page principale et votre sous-modèle avant de
les charger dans le catalogue. Pour ce faire, vous devez modifier la
syntaxe du modèle d’importation pour pointer vers l’emplacement du
sous-modèle dans votre environnement local. Voir Test des sous-
modèles à partir du Bureau, pages 24-2.

4. Chargez le modèle principal dans la définition de rapport et créez l’objet Sub Template dans le
catalogue. Voir Création de l’objet de sous-modèle dans le catalogue, page 24-3
.

Création d’un fichier de sous-modèle RTF


Entrez les composants ou les instructions dans un fichier RTF. Pour définir les
instructions en tant que sous-modèle, placez le contenu dans les balises suivantes :

25-2Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<?modèle:template_name?>
.. contenu du sous-modèle...
<?modèle de fin?>

template_name est le nom que vous choisissez pour le sous-modèle.
Notez que dans un seul fichier RTF, vous pouvez avoir plusieurs
<?modèle:template_name?>
<?modèle de fin?>
, pour marquer différents « sous-modèles » ou segments à inclure dans d’autres fichiers.
Par exemple, l’exemple de fichier RTF suivant contient deux sous-modèles, l’un nommé
commonHeader et l’autre nommé commonFooter :

Appel d’un sous-modèle à partir de votre modèle principal


Pour implémenter le sous-modèle dans votre modèle principal, vous devez créer deux
entrées dans votre modèle principal :
Tout d’abord, importez le fichier de sous-modèle dans le modèle principal. La syntaxe
d’importation indique au moteur BI Publisher où trouver le sous-modèle dans le catalogue.
Deuxièmement, entrez une commande d’appel pour afficher le contenu du sous-modèle à la
position souhaitée.

Importation du sous-modèle dans le modèle principal


Entrez la commande import n’importe où dans le modèle principal avant la commande de
modèle d’appel :
• Si vous n’avez pas besoin de paramètres régionaux, entrez les éléments suivants :
<?import:xdoxsl:///{chemin d’accès à subtemplate.xsb}?>

Conception de sous-modèles
RTF
25-3

path to subtemplate.xsb est le chemin d’accès à l’objet .xsb subtemplate dans le catalogue.
Par exemple:
<?import:xdoxsl:///Executive/HR_Reports/mySubtemplate.xsb?>

Appel du sous-modèle pour afficher son contenu


1. À l’emplacement du modèle principal où vous souhaitez que le sous-modèle s’affiche,
entrez la commande call-template, comme suit :
<?call-template:template_name?> où

template_name est le nom que vous avez attribué au contenu de l’instruction de


déclaration de modèle dans le fichier de sous-modèle (c’est-à-dire le
<?template:template_name?> statement).

La figure suivante illustre les entrées requises dans votre modèle principal :

Importation d’un sous-modèle localisé


Pour désigner les paramètres régionaux du sous-modèle importé, ajoutez les paramètres
régionaux à l’instruction import comme suit :
<?import:xdoxsl:///{chemin d’accès à subtemplate.xsb}?loc={locale_name}?>


path to subtemplate.xsb est le chemin d’accès à l’objet .xsb subtemplate dans le catalogue
et
locale_name est la combinaison langue-territoire qui comprend les paramètres régionaux. La
désignation des paramètres régionaux est facultative.
Par exemple:

25-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<?import:xdoxsl:///Executive/HR_Reports/mySubtemplate.xsb?loc=en-US?>

Notez que vous pouvez également utiliser ${_XDOLOCALE} pour importer un sous-modèle
localisé en fonction des paramètres régionaux de l’utilisateur d’exécution. Par exemple:
<?import:xdoxsl:///Executive/HR_Reports/mySubtemplate.xsb?loc=${_XDOLOCA LE}?>

Exemple
Dans cet exemple, l’adresse de votre société est une chaîne fixe qui apparaît dans tous vos
modèles. Plutôt que de reproduire la chaîne dans tous vos modèles, vous pouvez la placer
dans un sous-modèle et la référencer à partir de tous les autres.
1. Dans un fichier RTF, entrez la déclaration de modèle suivante :
<?template:MyAddress?> Mon
entreprise
500 Main Street Any City,
CA 98765 <?end
template?>

2. Créez un sous-modèle dans le catalogue à l’emplacement suivant :


Rapports/modèles client.

3. Téléchargez ce fichier dans le sous-modèle et enregistrez-le en tant que « Composants


communs » (BI Publisher attribuera à l’objet l’extension .xsb).

4. Dans votre modèle principal, entrez l’instruction import suivante dans un champ de
formulaire ou directement dans le modèle :
<?import:xdoxsl:///Customer Reports/Templates/Common
Components.xsb?>

5. Dans votre modèle principal, à l’emplacement où vous souhaitez que l’adresse apparaisse,
entrez
<?call-template:MyAddress?>

Au moment de l’exécution, le contenu du sous-modèle MyAddress sera récupéré et rendu dans


la mise en page du modèle principal.
Cette fonctionnalité ne se limite pas aux chaînes, vous pouvez insérer n’importe quelle
fonctionnalité de modèle RTF valide dans un sous-modèle et même passer des paramètres de
l’un à l’autre. Pour obtenir des exemples, reportez-vous à la section suivante : Quand utiliser
les sous-modèles RTF, pages 25 et 5.

Quand utiliser les sous-modèles RTF


Voici plusieurs cas d’utilisation courants pour les sous-modèles RTF.

Réutilisation d’une mise en page commune


Souvent, plusieurs rapports nécessitent le même contenu d’en-tête et de pied de page. En utilisant
un sous-modèle RTF pour contenir ce contenu, toutes les modifications globales seront
simplifiées et

Conception de sous-modèles
RTF
25-5
nécessitent de mettre à jour uniquement le sous-modèle au lieu de chaque mise en page individuelle.

Affichage conditionnel d’une mise en page basée sur une valeur dans les données
Les sous-modèles peuvent également être utilisés pour appliquer des mises en page
conditionnelles en fonction d’une valeur dans les données du rapport.
À l’aide de la commande « choisir » du modèle RTF, vous pouvez demander à BI Publisher
d’appliquer un autre <?template?> défini dans votre fichier de sous-modèle.
IMPORTANT : Vous ne conditionnez pas l’instruction import pour le fichier de sous-modèle.
Au lieu de cela, vous importez un fichier de sous-modèle et conditionnez l’instruction call. Vous
définissez les options > de plusieurs <?template?template? dans le fichier de sous-modèle
unique.

Exemple
Supposons que vous avez un rapport qui sera envoyé aux clients en Inde et aux États-Unis.
Vous devez appliquer une disposition d’adresse différente en fonction du code de pays
(COUNTRY_CODE) fourni dans les données. Cet exemple utilise la fonctionnalité
d’instruction « if » des modèles RTF pour appeler le sous-modèle avec le format d’adresse
approprié.
Votre fichier de sous-modèle peut ressembler à ce qui suit :
<?modèle:US_Address?>
<? US_Address_Field1?>
<? US_Address_Field2?>
<? US_Address_Field3?>
<?modèle de fin?>

<?modèle:IN_Address?>
<? IN_Address_Field1?>
<? IN_Address_Field2?>
<? IN_Address_Field3?>
<?modèle de fin?>
1. Créez un sous-modèle dans le catalogue à l’emplacement suivant :
Clients/Rapports de facture
Téléchargez le fichier RTF et enregistrez le sous-modèle en tant que « Adresses ».

2. Dans votre modèle principal, entrez ce qui suit pour importer le sous-modèle :
<?import:xdoxsl:///Customers/Invoice Reports/Addresses.xsb?>

3. À l’emplacement où vous souhaitez que l’adresse s’affiche, entrez ce qui suit :


<?if:COUNTRY_CODE='USA'?>
<?call:US_Address?>
<?fin si?>
<?if:COUNTRY_CODE='IN'?>
<?call:IN_Address?>
<?fin si?>

Lorsque le rapport est exécuté, le format d’adresse est correctement appliqué en fonction de la
valeur de COUNTRY_CODE dans les données.

25-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Affichage conditionnel d’une mise en page basée sur une valeur de paramètre
Cet exemple montre comment afficher une disposition différente en fonction d’une valeur de
paramètre utilisateur ou d’une sélection dans une liste de valeurs. Le paramètre peut être
transmis au modèle RTF et utilisé pour appeler un autre <?template?> dans le fichier de sous-
modèle en fonction de la valeur.
IMPORTANT : Vous ne pouvez pas conditionner l’instruction import pour le fichier de sous-
modèle.

Exemple
Supposons que dans votre modèle de données de rapport, vous avez défini un paramètre
nommé DeptName. Vous configurez ce paramètre en tant que type Menu et l’associez à une
liste de valeurs, ce qui permet à votre utilisateur d’effectuer une sélection dans la liste
lorsqu’il affiche le rapport dans la Visionneuse de rapports (ou lorsqu’il planifie le rapport).
Dans votre modèle de mise en page principale RTF, entrez la commande suivante pour
capturer la valeur choisie par l’utilisateur :
<?param@begin:DeptName?>

Pour afficher la disposition en fonction de cette sélection d’utilisateur, vous pouvez


utiliser un statement IF ou une instruction CHOOSE pour évaluer la valeur du paramètre
et appeler le sous-modèle associé.
Utilisez l’instruction CHOOSE lorsqu’il existe de nombreux tests conditionnels et qu’une action
par défaut est attendue pour le reste des valeurs. Par exemple, les services Comptabilité, Ventes
et Marketing ont chacun besoin d’une mise en page différente. Tous les autres services peuvent
utiliser une mise en page par défaut.
1. Créez un fichier RTF et incluez les déclarations de modèle suivantes :
<?template:tAccounting?>
- - - Disposition comptable spécifique ici - - -
<?modèle de fin?>

<?template:tSales?>
- - - Mise en page de vente spécifique ici - --
<?modèle de fin?>

<?template:tMark?>
- - - Mise en page marketing spécifique ici - - <?end template?>
<?template:tDefault?>
- - - Mise en page par défaut ici - --
<?modèle de fin?>

2. Créez un sous-modèle dans le catalogue à l’emplacement suivant :


Dossiers partagés/Dépenses de la direction/du service
Téléchargez le fichier RTF et enregistrez le sous-modèle sous le nom « DeptSubtemps ».

3. Dans votre modèle RTF principal, incluez les commandes suivantes :

Conception de sous-modèles
RTF
25-7
<?import:xdoxsl:///Executive/Department
Dépenses/DeptSubtemps.xsb?loc=fr-FR?>

<?param@begin:DeptName?>

<?choisir:?>
<?quand:$DeptName='Comptabilité'?>
<?appel:tCompte?>
<?fin quand?>
<?quand:$DeptName='Ventes'?>
<?call:tSales?>
<?fin quand?>
<?quand:$DeptName='Marketing'?>
<?call:tMark?>
<?fin quand?>
<?sinon:$>
<?call:tDefault?>
<?fin autrement?>
<?fin choisissez:?>
Lorsque l’utilisateur exécute le rapport, la mise en page appliquée est déterminée en fonction
de la valeur de DeptName. Pour plus d’informations sur les instructions CHOOSE dans les
modèles RTF, voir Instructions Choose, page 17-67.

Gestion de calculs simples ou de formules répétées


Des calculs simples peuvent également être gérés à l’aide d’un sous-modèle RTF. Les
formules plus complexes doivent être traitées avec un sous-modèle XSL.

Exemple
Cet exemple illustre la configuration d’un sous-modèle pour contenir une formule
permettant de calculer les intérêts.
Le sous-modèle effectuera le calcul de l’intérêt sur les données de ce rapport et transmettra le
résultat au modèle principal. Le sous-modèle prend en charge la possibilité que plusieurs
rapports qui appellent cette fonctionnalité puissent avoir des noms de balise différents pour les
composants de la formule.
Supposons que vous disposez des données XML suivantes :
<LOAN_D ATA>
<LOAN_AMOUNT>6000000</LOAN_AMOUNT>
<INTEREST_RATE>.053</INTEREST_RATE>
<NO_OF_YEARS>30</NO_OF_YEARS>
</LOAN_DATA>
1. Dans un fichier RTF, créez un modèle de déclaration appelé « calcInterest ». Dans ce sous-
modèle, vous allez définir un paramètre pour chacun des éléments (principal, taux d’intérêt
et années) de la formule. Notez que vous devez définir la valeur par défaut pour chaque
paramètre.
<?modèle:calcInterest?>
<?param:principal;0?>
<?param:intRate;0?>
<?param:années;0?>
<?nombre($principal) * nombre($intRate) * nombre($years)?> <?end template?>

25-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
2. Créez un sous-modèle dans le catalogue à l’emplacement suivant :
Dossiers/sous-modèles partagés
Téléchargez le fichier RTF et enregistrez le sous-modèle en tant que « calculs ».

3. Dans votre modèle principal, entrez ce qui suit pour importer le sous-modèle :
<?import:xdoxsl:///Subtemplates/calculations.xsb?>

4. À l’emplacement où vous souhaitez que les résultats du calcul s’affichent, entrez ce qui
suit dans un champ BI Publisher :
<?call@inlines:calcInterest?> <?with-param:principal;.
/LOAN_AMOUNT?> <?with-param:intRate;.
/INTEREST_RATE?> <?with-param:years;.
/NO_OF_YEARS?>
< de fin d’appel >

Notez l’utilisation de la commande @inlines ici. Ceci est facultatif. La commande


@inlines force le rendu des résultats en ligne à l’emplacement du modèle où l’appel à la
sous-plaque est effectué. Utilisez cette fonctionnalité, par exemple, si vous souhaitez
conserver les résultats sur la même ligne qu’une chaîne de texte qui précède l’appel.

Ajout de traductions à un sous-modèle RTF


Les sous-modèles RTF offrent la même prise en charge des traductions que les fichiers de
modèle RTF.
Vous pouvez télécharger plusieurs fichiers RTF traduits sous une seule définition de sous-
modèle et attribuer les paramètres régionaux appropriés. Ceux-ci s’affichent dans la région
Modèles, comme illustré dans la figure suivante :

Conception de sous-modèles
RTF
25-9
Vous pouvez également générer un fichier XLIFF (.xlf) des chaînes traduisibles, traduire les
chaînes et télécharger le fichier traduit. Ceux-ci s’affichent dans la région Traductions, comme
illustré dans la figure suivante :

Au moment de l’exécution, la localisation de sous-modèle appropriée est appliquée en fonction du


paramètre préférence du compte de l’utilisateur pour les paramètres régionaux du rapport pour les
rapports consultés en ligne ; ou, pour les rapports planifiés, en fonction de la sélection de l’utilisateur
pour les paramètres régionaux du rapport pour le rapport planifié.

25-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Les fichiers XLIFF pour les sous-modèles peuvent être générés individuellement, puis traduits
et téléchargés individuellement. Ou, si vous effectuez une traduction de catalogue qui inclut
les dossiers de sous-modèle, les chaînes des fichiers de sous-modèle seront extraites et incluses
dans le fichier de traduction de catalogue plus volumineux . Lorsque le fichier de traduction de
catalogue est téléchargé vers BI Publisher, les traductions appropriées du fichier catalogue
s’affichent dans la région Traductions de la définition de sous-modèle.
Pour plus d’informations sur les traductions, consultez la section Traduction de rapports et
d’objets de catalogue, page 27-1.

Conception de sous-modèles
RTF2
5-11
26
Conception de sous-modèles
XSL

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Présentation des sous-modèles XSL
• Vue d’ensemble du processus de création et d’implémentation de sous-modèles XSL
• Création d’un fichier de sous-modèle XSL
• Appel d’un sous-modèle XSL à partir de votre modèle principal
• Création de l’objet de sous-modèle dans le catalogue
• Exemples d’utilisations de sous-modèles XSL

Présentation des sous-modèles XSL


Un sous-modèle XSL est un fichier XSL composé d’une ou plusieurs définitions
<xsl:template> , chacune contenant un bloc de commandes de mise en forme ou de
traitement.
Ce fichier XSL , lorsqu’il est téléchargé vers BI Publisher en tant qu’objet De sous-modèle
dans le catalogue, peut être appelé à partir d’autres modèles RTF pour exécuter les
commandes de mise en forme ou de traitement.
Les sous-modèles XSL permettent au concepteur de rapports de gérer des données complexes et
des exigences de mise en page. Vous pouvez transformer la structure de données d’une section
d’un rapport (par exemple, pour un graphique) ou créer une feuille de style pour gérer une mise
en page complexe.

Où placer le code XSL dans le modèle principal RTF


Lorsque vous appelez le sous-modèle XSL dans votre sous-modèle RTF principal, vous utilisez
des commandes XSL. Vous devez placer ce code dans un champ BI Publisher (ou un champ de
formulaire Microsoft Word). Vous ne pouvez pas entrer de code XSL directement dans le corps
de votre modèle RTF. La boîte de dialogue des propriétés de BI Publisher est illustrée dans la
figure suivante :
Conception de sous-modèles
XSL
26-1
Pour plus d’informations sur l’insertion de champs de formulaire dans un modèle RTF, voir :
Insertion d’un champ, page 18-9 du chapitre : Création de modèles RTF à l’aide du Générateur
de modèles pour Word
ou
Insertion d’un champ de formulaire, page 17-9 du chapitre : Création d’un modèle RTF.

Vue d’ensemble du processus de création et d’implémentation de sous-modèles


XSL
La création et l’implémentation d’un sous-modèle XSL se composent des étapes suivantes :
1. Créez le fichier XSL contenant les composants courants ou les instructions de traitement
que vous souhaitez inclure dans d’autres modèles.
Le sous-modèle XSL se compose d’une ou plusieurs définitions de modèle XSL. Ces
modèles contiennent des règles à appliquer lorsqu’un nœud spécifié est masqué.

2. Créez la mise en page appelante ou « principale » et incluez une commande pour « importer
» le sous-modèle dans le modèle principal, et une commande pour appliquer le sous-modèle
XSL à l’élément de données approprié.

3. Téléchargez le modèle principal dans votre définition de rapport et créez l’objet Sub
Template dans le catalogue.

Création d’un fichier de sous-modèle XSL


Entrez les instructions dans un éditeur qui vous permettra d’enregistrer le fichier sous le type
« .xsl ». Un sous-modèle XSL se compose d’une ou plusieurs définitions de modèle XSL. Ces
modèles

26-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
contiennent des règles à appliquer lorsqu’un nœud spécifié est mis en correspondance.
La syntaxe de la définition du sous-modèle est la suivante :
<xsl:modèle
nom="nom »
match="modèle »
mode="mode »
priority="nombre">
<!--Contenu:(<xsl:param>*,template) -->
</xsl:modèle>
Le tableau suivant décrit les composants de la déclaration de modèle :

Composant Description

xsl:modèle L’élément xsl:template est utilisé pour définir un modèle qui


peut être appliqué à un nœud pour produire la sortie souhaitée
montrer.

nom="nom » Optionnel. Spécifie un nom pour le modèle. Remarque: Si ceci


l’attribut est omis, un attribut de correspondance est requis.
Optionnel. Modèle de correspondance pour le modèle.
match="modèle » Remarque : Si
cet attribut est omis un attribut name est requis.

priority="nombre » Optionnel. Un nombre qui indique la priorité numérique


du modèle. Il est possible que plus d’un modèle
peut être appliqué à un nœud. La valeur de priorité la plus élevée
le modèle est toujours choisi. La valeur varie de -9,0 à
9.0.

Exemple:
<xsl:template match="P|p">
<fo:block white-space-collapse="false » padding-bottom="3pt »
linefeed-treatment="preserve">
<xsl:apply-templates select="text()|*|@*"/> </fo:block>
</xsl:modèle>

<xsl:template match="FORT| B|b">


<fo:inline font-weight="bold">
<xsl:apply-templates/>
</fo:inline>
</xsl:modèle>

Appel d’un sous-modèle XSL à partir de votre modèle principal


Pour implémenter le sous-modèle dans votre modèle principal, vous devez créer deux
entrées dans votre modèle principal :

Conception de sous-modèles
XSL
26-3
Tout d’abord, importez le fichier de sous-modèle dans le modèle principal. La syntaxe
d’importation indique au moteur BI Publisher où trouver le sous-modèle dans le catalogue.
Deuxièmement, entrez une commande d’appel pour afficher le contenu du sous-modèle à la
position souhaitée.

Importation du sous-modèle
Entrez la commande import n’importe où dans le modèle principal avant la commande de
modèle d’appel comme suit :
<?import:xdoxsl:///{chemin d’accès à subtemplate.xsb}?>


path to subtemplate.xsb est le path de l’objet .xsb subtemplate dans le catalogue.
Par exemple:
<?import:xdoxsl:///Executive/Financial Reports/mySubtemplate.xsb?>

Appel du sous-modèle
Les instructions de modèle que vous avez définies dans le fichier de sous-modèle XSL sont
appliquées aux éléments de données . Il existe deux façons d’appeler un modèle défini dans le
sous-modèle XSL importé :
• En faisant correspondre le contenu des données avec les critères de correspondance :
<xsl:apply-templates select="data_element"/>

Cela appliquera tous les modèles définis dans la sous-tentative XSL au


data_element spécifié. En fonction du contenu des données de data_elment, les fonctions
appropriées de ces modèles seront appliquées. Consultez le cas d’utilisation suivant pour
obtenir un exemple détaillé :
• Gestion des données XML avec la mise en forme HTML, pages 26-6

• En appelant un modèle par son nom :


<xsl:call-template name="templateName"/>

Cela appellera simplement le modèle par son nom et le modèle s’exécutera de la même
manière qu’un appel de fonction. Ici aussi, les paramètres peuvent être transmis à l’appel de
modèle similaire à un sous-modèle RTF. Reportez-vous à la section suivante : Transmission
de paramètres à un sous-modèle XSL, pages 26-5.
Consultez le cas d’utilisation suivant pour obtenir un exemple détaillé :
• Application dynamique de la mise en forme à une partie de données, pages 26-9

26-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Transmission de paramètres à un sous-modèle XSL
Pour passer des paramètres au sous-modèle XSL, déclarez d’abord le paramètre dans
la définition <xsl:template>, comme suit :
<xsl:template name="templateName » match="/">
<xsl:param name="nom » />
</xsl:modèle>
Appelez ensuite ce modèle à l’aide de la syntaxe suivante :
<xsl:call-template name="templateName"> <xsl:with-param name="name »
select="expression">
<?--- Contenu:modèle -->
</xsl:with-param>
</xsl:call-template>

Création de l’objet De sous-modèle dans le catalogue


Pour télécharger votre fichier de sous-modèle :
1. Dans l’en-tête global, cliquez sur Nouveau , puis sur Sous-modèle. Cela lance une
page de sous-modèle sans titre.

2. Dans la région Modèles, cliquez sur Télécharger pour lancer la boîte de dialogue
Télécharger le fichier de modèle.

3. Recherchez et sélectionnez votre fichier de sous-modèle.


• Type : sélectionnez xsl pour un fichier de sous-modèle XSL.

• Paramètres régionaux : sélectionnez les paramètres régionaux appropriés pour le


fichier de sous-modèle.

4. Cliquez sur Télécharger.


Votre fichier de sous-modèle s’affiche dans la région Modèles en tant que nom de
paramètres régionaux que vous avez sélectionné (par exemple : en_US).

5. Cliquez sur Enregistrer. Dans la boîte de dialogue Enregistrer sous, choisissez le


dossier de catalogue dans lequel enregistrer le sous-modèle. Entrez le nom et cliquez sur
Enregistrer. La figure suivante montre un sous-modèle nommé « Mon sous-modèle » :

Conception de sous-modèles
XSL
26-5
Important : Les traductions ne sont pas prises en charge pour les sous-modèles XSL.

Notez que l’objet Sub Template est enregistré avec l’extension « .xsb ». Vous utiliserez le nom
que vous choisissez ici avec l’extension .xsb lorsque vous importerez le sous-modèle dans votre
rapport (par exemple : MySubtemplate.xsb).

Exemples d’utilisations de sous-modèles XSL


Voici des exemples de mise en forme qui peuvent être obtenues dans votre rapport à l’aide de
Sous-modèles XSL :
• Gestion des données XML avec la mise en forme HTML, pages 26-6

• Application dynamique de la mise en forme à une partie des données, pages 26-9

Gestion des données XML avec la mise en forme HTML


Si vous avez des données XML qui contiennent déjà une mise en forme HTML et que vous
souhaitez conserver cette mise en forme dans votre rapport, vous pouvez conserver cette mise en
forme à l’aide d’un sous-modèle XSL pour mapper les commandes de mise en forme HTML aux
équivalents XSL qui peuvent être gérés par BI Publisher.
Notez que le code HTML doit être au format XHTML. Cela signifie que toutes les balises
HTML doivent avoir des balises de début et de fin dans les données. Par exemple, si vos
données utilisent un simple <BR> pour une pause, vous devrez ajouter le </BR> de fermeture
avant de pouvoir utiliser cette solution.
Voici quelques exemples de données avec la mise en forme HTML :

26-6Oracle Fusion Middleware Report Designer’s Guide for Oracle Business Intelligence Publisher
<DONNÉES>
<ROW>
<PROJECT_NAME>Gestion de projet</PROJECT_NAME>
<PROJECT_SCOPE>
<p>Développer une application pour produire des résumés <i>exécutifs</i> et des rapports de
projet détaillés. L’application permettra aux utilisateurs de : </p>
<p>Importer des fichiers MS Project existants </p>
<p>Autoriser l’utilisateur à mapper des ressources spécifiques à un fichier à une base de
données centrale entités (c’est-à-dire des personnes) et des projets ; </p>
<p> Fournir des résultats structurés qui peuvent être consultés par le personnel et les
cadres. </p>
</PROJECT_SCOPE>
<PROJECT_DEFINITION><b>Les informations sur les projets en cours ne sont pas facilement
accessibles aux dirigeants.</b> La fourniture de ces informations crée un fardeau de reporting pour le
personnel informatique, qui peut déjà conserver ces informations dans les fichiers du projet Microsoft.
</PROJECT_DEFINITION>
</RANGÉE>
</DONNÉES>
Notez dans cet exemple les balises HTML suivantes :
• <p> - balise de paragraphe

• <i> - balise italique

• <b> - balise en gras

Supposons que vous souhaitiez afficher ces données dans un rapport en conservant la mise
en forme fournie par ces balises, comme illustré dans la figure suivante :

Le sous-modèle suivant utilise la syntaxe XSL pour faire correspondre les trois balises HTML dans
les données XML. Le modèle remplace ensuite la chaîne HTML correspondante par son équivalent
XSLFO.

Conception de sous-modèles
XSL
26-7
<xsl:template match="P|p">
<fo:block white-space-collapse="false » padding-bottom="3pt »
linefeed-treatment="preserve">
<xsl:apply-templates select="text()|*|@*"/>
</fo:bloquer>
</xsl:modèle>

<xsl:template match="FORT| B|b">


<fo:inline font-weight="bold">
<xsl:apply-templates/>
</fo:inline>
</xsl:modèle>

<xsl:template match="EM| I|i">


<fo:inline font-style="italic">
<xsl:apply-templates/>
</fo:inline>
</xsl:modèle>
1. Ajoutez ce fichier de sous-modèle XSL à l’emplacement du catalogue BI Publisher
: Dossiers/projets partagés. Enregistrez ce fichier de sous-modèle sous le nom
« htmlmarkup.xsb ».

2. Dans votre modèle principal, entrez ce qui suit pour importer le fichier de sous-modèle :
<?import:xdoxsl:///Projects/htmlmarkup.xsb?>

3. Pour chaque champ doté d’un balisage HTML, appelez la commande xsl apply-template.
Dans cet exemple, il existe deux champs :
<xsl:apply-templates select="PROJECT_SCOPE"/> <xsl:apply-templates
select="PROJECT_DEFINITION"/>
La figure suivante montre les définitions de champ dans le modèle :

La commande indique au processeur d’appliquer tous les modèles à la valeur de l’élément


PROJECT_SCOPE et PROJECT_DEFINITION. Il parcourra ensuite les fonctions du
sous-modèle à la recherche d’une correspondance.

26-8Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Application dynamique de la mise en forme à une partie de données
Cette application de sous-modèles est utile pour les documents qui nécessitent des
formules chimiques, des calculs mathématiques ou des exposants et des indices.
Par exemple, dans l’exemple de données XML ci-dessous, le CO2 devrait s’afficher en tant
que CO2 et H2O en tant que H2O.
<ROWSET>
<ROW>
<FORMULE>CO2</FORMULE>
</RANGÉE>
<ROW>
<FORMULE>H2O</FORMULE>
</RANGÉE>
</ROWSET>
Cela peut être réalisé en utilisant un sous-modèle XSL. À l’aide de la syntaxe XSL, vous
pouvez définir un modèle avec n’importe quel nom, par exemple, « chemical_formatter » qui
acceptera le champ FORMULA comme paramètre, puis lire un caractère à la fois. Il comparera
le caractère avec 0 à 9 chiffres, et s’il y a une correspondance, ce caractère sera souscrit à
l’aide de la syntaxe XSL FO suivante :
<fo:inline baseline-shift="sub » font-size="75%">

Voici un exemple de code pour l’instruction de modèle XSL :

Conception de sous-modèles
XSL
26-9
<xsl:nom du modèle="chemical_formatter">
<! - accepte un paramètre par exemple H2O ->
<xsl:param name="formula"/>
<! - Prend le premier caractère de la chaîne et le teste pour voir s’il
est un nombre compris entre 0 et 9 - > <xsl:variable name="each_char »
select="substring($formula,1,1)"/>
<xsl:choisir>
<xsl:when test="$each_char='1' ou $each_char='2'
ou $each_char='3' ou $each_char='4' ou $each_char='5' ou $each_char='6' ou
$each_char='7' ou $each_char='8' ou $each_char='9' ou $each_char='0'">
<! - s’il est numérique, il définit les propriétés d’indice FO - > <fo:inline baseline-shift="sub »
font-size="75%">
<xsl:valeur-de_select="$each_char"/>
</fo:inline>
</xsl:quand>
<xsl:sinon>
<! - sinon le charater est laissé tel quel - > <fo:inline baseline-
shift="normal">
<xsl:valeur-de_select="$each_char"/>
</fo:inline>
</xsl:sinon>
</xsl:choisir>
<! - tester s’il y a d’autres caractères dans la chaîne, si oui le rappel du modèle - >
<xsl:if test="substring-after($formula,$each_char) !=''"> <xsl:call-template
name="chemical_formater">
<xsl:with-param name="formula">
<xsl:value-of select="substring-after($formula,$each_char)"/>

</xsl:with-param>
</xsl:call-template>
</xsl:si>
</xsl:modèle>
1. Enregistrez ce fichier sous le nom chemical.xsl.

2. Suivez les instructions de la section Téléchargement d’un sous-modèle dans le catalogue,


page 24-3 pour créer un objet de sous-modèle dans le catalogue. Supposons que vous
nommez le sous-modèle « Chemical » (il sera enregistré sous le nom Chemical.xsb) et que
vous le placez à l’emplacement suivant : Shared Folders/Subtemplates.

3. Dans le modèle RTF principal, entrez la syntaxe import :


<?import:xdoxsl:///Subtemplates/Chemical.xsb?>

4. Pour afficher le code XSL dans le rapport, créez une boucle sur les données et dans le
champ VALUE, utilisez :
<xsl:call-template name="chemical_formatter">
<xsl:with-param name="formula » select="VALUE"/> </xsl:call-template>

Cela appelle le modèle de mise en forme avec la valeur FORMULA qui est H2O. Une
fois rendues, les formules seront affichées comme prévu : H2O.

26-10Guide du concepteur de rapports d’Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Partie 7
Traduction de rapports et d’objets de
catalogue
27
Vue d’ensemble et concepts du support à la
traduction

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Vue d’ensemble du support à la traduction
• Utilisation des fichiers de traduction
• Qu’est-ce qu’un XLIFF ?
• Structure du fichier XLIFF
• Logique de sélection des paramètres régionaux

Vue d’ensemble du support à la traduction


BI Publisher prend en charge la traduction de deux manières :
• Traductions de catalogues

• Traductions de modèles

Qu’est-ce que la traduction de catalogue ?


Important : Si BI Publisher est intégré à Oracle Business Intelligence
Enterprise Edition, la traduction du catalogue BI Publisher (dossiers et
rapports, modèle de données, modèles de style et noms de sous-modèles) est
ignorée. Le mécanisme de traduction du catalogue Oracle BI Enterprise
Edition est appliqué à la place. Reportez-vous à la section « Localisation des
déploiements Oracle Business Intelligence » dans le Guide de
l’administrateur système Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business
Intelligence Enterprise Edition pour plus d’informations sur les composants
pouvant être traduits dans un catalogue intégré.

La traduction de catalogue est une fonctionnalité de BI Publisher qui vous permet d’extraire les
chaînes traduisibles de tous les objets contenus dans un dossier de catalogue sélectionné dans un
dossier de catalogue distinct

Vue d’ensemble et concepts du support à la


trad
uction27-1
fichier; ce fichier peut ensuite être traduit et téléchargé vers BI Publisher et se voir attribuer le
code de langue approprié.
La traduction de catalogue extrait non seulement les chaînes traduisibles des mises en page
de reportation, mais également les chaînes de l’interface utilisateur affichées aux utilisateurs,
telles que les descriptions d’objets de catalogue, les noms de paramètres de rapport et les
noms complets de données.
Les utilisateurs qui consultent le catalogue verront les traductions d’éléments appropriées pour la
langue de l’interface utilisateur sélectionnée dans leurs préférences Mon compte. Les utilisateurs
verront les traductions de rapport appropriées pour les paramètres régionaux de rapport qu’ils ont
sélectionnés dans leurs préférences Mon compte.

Qu’est-ce que la traduction de modèles ?


La traduction de modèles est une fonctionnalité de BI Publisher qui vous permet d’extraire
les chaînes traduisibles d’un seul modèle RTF (y compris les sous-modèles et les modèles
de style) ou d’un modèle de mise en page BI Publisher unique (fichier .xpt).
Utilisez cette option lorsque vous n’avez besoin que de la traduction des documents du rapport final.
Par exemple, vous devez générer des factures traduites à envoyer aux clients allemands et japonais.

Utilisation des fichiers de traduction


Lorsque vous extrayez les chaînes traduisibles pour une traduction de catalogue ou de
modèle, BI Publisher crée un fichier XLIFF qui contient les chaînes.
Vous pouvez traduire ces chaînes au sein de votre organisation ou envoyer le fichier à un
fournisseur de localisation. Vous téléchargez ensuite le fichier XLIFF traduit dans le catalogue
ou la mise en page individuelle et lui attribuez les paramètres régionaux appropriés.
Cette section décrit comment utiliser un fichier XLIFF. Il contient les rubriques suivantes :
• Qu’est-ce qu’un XLIFF ?

• Structure du fichier XLIFF

Qu’est-ce qu’un XLIFF ?


XLIFF est le format de fichier d’échange de localisation XML. C’est le format standard utilisé
par les providers de localisation. Pour plus d’informations sur la spécification XLIFF,
consultez http://www.oasis-open.org/committees/xliff/documents/xliff-specification.htm

Structure du fichier XLIFF


Le fichier XLIFF généré a la structure suivante :

27-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
<xliff>
<fichier>
<header>
<corps>
<trans-unité>
<source>
<ciblage>
<note>
La figure suivante montre un extrait d’un fichier XLIFF non traduit :

attributs de langue source et de langue cible


L’élément <file> inclut les attributs langue source et langue cible. La valeur valide pour la
langue source et la langue cible est une combinaison du code de langue et du code de pays
comme suit :
• le code de langue ISO 639 à deux lettres

• le code de pays ISO 3166 à deux lettres

Note : Pour plus d’informations sur l’Organisation internationale de normalisation


(ISO) et les listes de codes, voir Organisation internationale de normalisation
[http://www.iso.org/iso/en/ISOOnline.frontpage].

Par exemple, la valeur pour English-United States est « en-US ». Cette combinaison est
également appelée paramètre régional.
Lorsque vous modifiez le fichier XLIFF exporté, vous devez modifier la langue cible

Vue d’ensemble et concepts du support à la


trad
uction27-3
à la valeur locale appropriée de votre langue cible. Le tableau suivant présente des exemples
de valeurs d’attribut de langue source et de langue cible appropriées pour les traductions
données :

Traduction valeur de la langue source valeur de la langue cible


(Langue/Territoire)

De l’anglais/US fr-US fr-CA

Vers l’anglais/Canada

De l’anglais/US fr-US zh-CN

Vers le Chinois/Chine

Depuis le Japon/Japon ja-JP fr-FR

Vers Français/France

Champs de données incorporés


Certains modèles contiennent des espaces réservés pour les champs de données
incorporés dans les chaînes d’affichage de texte du rapport. Par exemple, le titre de
l’exemple de rapport est
Registre italien de la TVA d’achat - (année)
où (année) est un espace réservé dans le modèle RTF qui sera rempli au moment de
l’exécution par des données provenant d’un élément XML. Ces champs ne sont pas
traduisibles, car la valeur provient des données au moment de l’exécution.
Pour identifier les champs de données incorporés, le jeton suivant est utilisé dans le fichier XLIFF :
[& n]
où n représente l’occurrence numérotée d’un champ de données dans le modèle.
Par exemple, dans l’exemple XLIFF précédent, la première chaîne traduisible est
<source>Réseau de TVA d’achat italien - [&1]<source>

Avertissement : Ne modifiez pas ou ne supprimez pas les jetons de champ


de données incorporés, sinon vous affecterez la fusion des données XML
avec le modèle.

éléments <source> et <ciblage>


Chaque élément <source> contient une chaîne traduisible du modèle dans la langue source du
modèle. Par exemple
<source>Total</source>

27-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Lorsque vous exportez initialement le fichier XLIFF pour traduction, les éléments source et
cible sont tous identiques. Pour créer la traduction de ce modèle, entrez la traduction
appropriée pour chaque chaîne d’élément source dans son élément <target> correspondant .
Par conséquent, si vous traduisiez l’exemple de modèle en allemand, vous devez entrer ce qui
suit pour la chaîne Total :
<source>Total</source>
< cible>Gesamtbetrag</cible>
La figure suivante montre l’exemple de fichier XLIFF de la figure précédente mise à jour
avec la traduction chinoise :

Logique de sélection des paramètres régionaux


BI Publisher applique une traduction basée sur les paramètres régionaux de rapport
sélectionnés par l’utilisateur. BI Publisher essaiera d’abord de faire correspondre un modèle
RTF nommé pour les paramètres régionaux, puis un fichier XLIFF nommé pour les
paramètres régionaux. Si aucune correspondance exacte sur le territoire de langue n’est
trouvée, BI Publisher essaiera de faire correspondre uniquement la langue.
Par exemple, si vous avez un rapport pour lequel le modèle de base est appelé
EmployeeTemplate.rtf et que les paramètres régionaux sélectionnés sont Français (France), BI
Publisher sélectionnera la traduction à appliquer selon la hiérarchie suivante :
EmployeeTemplate.rtf (fr_FR)
EmployeeTemplate.xlf (fr_FR)
EmployeeTemplate.rtf (fr)
EmployeeTemplate.xlf (fr)

Vue d’ensemble et concepts du support de


trad
uction27-5
EmployeeTemplate.rtf (par défaut)
Notez qu’avec le même ensemble de traductions, si les paramètres régionaux sélectionnés sont
Français (Suisse), le EmployeeTemplate.rtf (fr) serait appliqué. Maintenant, si les traductions
disponibles étaient limitées à l’ensemble suivant :
EmployeeTemplate.rtf (fr_FR)
EmployeeTemplate.xlf (fr_FR)
EmployeeTemplate.rtf (par défaut)
et les paramètres régionaux sélectionnés sont Français (Suisse), puis le .rtf EmployeeTemplate
(par défaut) sera appliqué. Même s’il existe une correspondance de langue, BI Publisher ne
correspond pas aux différents paramètres régionaux.
Par conséquent, si vous voulez vous assurer qu’une traduction de langue Français est utilisée
lorsque Français est la langue sélectionnée, quel que soit le paramètre régional sélectionné, you
doit inclure un fichier rtf ou xlf nommé pour la langue uniquement (c’est-à-dire
EmployeeTemplate_fr.rtf ou EmployeeTemplate_fr.xlf).

27-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
28
Traduction de modèles individuels

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Aperçu
• Types de traductions
• Utilisation de l’option XLIFF
• Utilisation de l’option Modèle localisé

Aperçu
Les fichiers individuels qui peuvent être traduits sont les suivants :
• Fichiers de mise en page RTF

• modèles de style

• sous-modèles

• Mises en page BI Publisher (.xpt)

Ce chapitre explique comment créer et télécharger des fichiers de modèle traduits lorsque
vous souhaitez uniquement fournir des traductions pour des modèles spécifiques.
Si vous souhaitez traduire les mises en page dans le cadre plus large du catalogue,
consultez Traduction d’objets, de modèles de données et de modèles de catalogue,
page 29-1.

Types de traductions
Il existe deux options pour ajouter des traductions pour vos modèles :
• Créez un modèle RTF distinct qui est traduit (un modèle localisé). Notez que cette option
n’est prise en charge que pour les modèles RTF.

Traduction de modèles
indiv
iduels28-1
• Générer un XLIFF à partir du modèle d’origine (au moment de l’exécution, le modèle
d’origine est appliqué pour la mise en page et le XLIFF est appliqué pour la traduction)

Utilisez la première option si le modèle traduit nécessite une mise en page différente de
celle du modèle d’origine.
Si vous avez uniquement besoin de traduction des chaînes de texte de la mise en page du
modèle, utilisez l’option XLIFF.
Les diagrammes suivants illustrent les concepts de traduction :

28-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Utilisation de l’option XLIFF
La vue d’ensemble du processus d’utilisation de l’option XLIFF est la suivante :
1. Générez le XLIFF à partir du modèle RTF ou XPT.

2. Traduisez les chaînes.

3. Téléchargez la traduction.

Traduction de modèles
indiv
iduels28-3
Génération du XLIFF à partir d’un modèle
Il existe deux méthodes pour générer un XLIFF pour un seul fichier de modèle :
• Générer le XLIFF à l’aide du Générateur de modèles pour Microsoft Word (non pris en
charge pour les modèles XPT)

• Générer le XLIFF à partir de la page Propriétés de mise en page

Génération du XLIFF à partir du Générateur de modèles


Remarque : Cette procédure suppose que vous avez installé BI
Publisher Template Builder pour Microsoft Word. Voir Download BI
Publisher Tools, page 2-6 pour plus d’informations sur le
téléchargement du complément pour Microsoft Word.

Pour générer un XLIFF à partir du Générateur de modèles :


1. Ouvrez votre modèle in Microsoft Word avec le Générateur de modèles pour Word
installé.

2. Sous l’onglet Générateur de modèles, dans le groupe Outils, cliquez sur Traduction, puis
sur Extraire le texte.
BI Publisher extrait les chaînes traduisibles du modèle et les exporte vers un fichier XLIFF
(fichier .xlf).

3. Enregistrez le XLIFF dans un répertoire local.

Génération du XLIFF à partir de la page propriétés de mise en page


Pour les modèles de mise en page de rapport :
1. Accédez au rapport dans le catalogue et cliquez sur Modifier pour l’ouvrir pour le modifier.

2. Dans la vue miniature des mises en page de référentiel, cliquez sur le lien
Propriétés de la mise en page (RTF ou XPT) pour ouvrir la page Propriétés de la
mise en page.

3. Dans la région Traductions , cliquez sur Extraire la traduction.


BI Publisher extrait les chaînes traduisibles du modèle et les exporte vers un fichier XLIFF
(fichier .xlf).

4. Enregistrez le XLIFF dans un répertoire local.

Pour les modèles de style et les sous-modèles :


1. Accédez au modèle de style ou au sous-modèle dans le catalogue et cliquez sur Modifier
pour ouvrir le Gestionnaire de modèles.

28-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
2. Dans la région Traductions , cliquez sur Extraire la traduction.
BI Publisher extrait les chaînes traduisibles du modèle et les exporte vers un fichier XLIFF
(fichier .xlf).

3. Enregistrez le XLIFF dans un répertoire local.

Traduction du XLIFF
Une fois que vous avez téléchargé le XLIFF, il peut être envoyé à un fournisseur de traduction,
ou à l’aide d’un éditeur de texte, vous pouvez entrer la traduction pour chaque chaîne. Voir
Structure du fichier XLIFF, page 27-2 pour obtenir des instructions sur la façon de modifier le
fichier XLIFF.
Une « chaîne traduisible » est tout texte du modèle destiné à être affiché dans le rapport publié,
tel que les en-têtes de tableau et les étiquettes de champ. Le texte fourni au moment de
l’exécution à partir des données n’est pas négociable, pas plus que le texte que vous fournissez
dans les champs de formulaire Microsoft Word.
Vous pouvez traduire le fichier XLIFF du modèle dans autant de langues que vous le
souhaitez, puis associer ces traductions au modèle d’origine. Voir Téléchargement du XLIFF
traduit vers BI Publisher, pages 28-5.

Téléchargement du code XLIFF traduit vers BI Publisher


1. Accédez au rapport, au sous-modèle ou au modèle de style dans le catalogue et cliquez sur
Modifier pour l’ouvrir pour le modifier.
Pour les rapports uniquement :
Dans la vue miniature des mises en page de rapport, cliquez sur le lien Propriétés de
la mise en page pour ouvrir le Gestionnaire de modèles.

2. Dans la région Traductions, cliquez sur le bouton Télécharger dans la barre d’outils.

3. Dans la boîte de dialogue Télécharger le fichier de traduction , recherchez le fichier


dans votre répertoire local et sélectionnez les paramètres régionaux de cette
traduction.

4. Cliquez sur OK pour télécharger le fichier et l’afficher dans le tableau Traductions .

Traduction de modèles
indiv
iduels28-5
Utilisation de l’option modèle localisé
Si vous devez concevoir une mise en page différente pour les rapports que vous présentez pour
différentes localisations, vous pouvez créer un nouveau fichier RTF conçu et traduit pour les
paramètres régionaux et télécharger ce fichier dans le Gestionnaire de modèles.
Remarque : L’option de modèle localisé n’est pas prise en charge
pour les modèles XPT .

La vue d’ensemble du processus d’utilisation de l’option de modèle localisé est la suivante :


1. Concevez le modèle de mise en page RTF localisé, le sous-modèle ou le modèle de style.

2. Téléchargez le fichier localisé dans le Gestionnaire de modèles .

Conception du fichier de modèle localisé


Utilisez les mêmes outils que ceux que vous avez utilisés pour créer le fichier de modèle de
base, traduire les chaînes et personnaliser la mise en page comme vous le souhaitez pour les
paramètres régionaux.

Téléchargement du modèle localisé vers BI Publisher


1. Accédez au rapport, au sous-modèle ou au modèle de style dans le catalogue et cliquez
sur Modifier pour l’ouvrir pour le modifier.
Pour les rapports uniquement :
Dans la vue miniature des mises en page de rapport, cliquez sur le lien Propriétés de
la mise en page pour ouvrir le Gestionnaire de modèles.

2. Dans la région Templates, cliquez sur le bouton Télécharger dans la barre d’outils.

3. Dans la boîte de dialogue Télécharger le fichier de modèle, recherchez le fichier dans


votre répertoire local, sélectionnez rtf comme type de modèle et sélectionnez les
paramètres régionaux de ce fichier de modèle.

28-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
4. Cliquez sur OK pour télécharger le fichier et l’afficher dans le tableau Modèles .

Traduction de modèles
indiv
iduels28-7
29
Traduction d’objets de catalogue, de modèles de
données et de
modèles

Ce chapitre traite des sujets suivants :


• Aperçu
• Ce qui peut être traduit
• Exportation du fichier XLIFF
• Identification et mise à jour des balises d’objet
• Importation du fichier XLIFF

Aperçu
Ce chapitre explique comment utiliser la fonction Export XLIFF disponible au niveau du
catalogue.
Lorsque vous sélectionnez un dossier et choisissez cette option, un seul fichier XLIFF est généré
qui contient les chaînes traduisibles des objets de catalogue contenus dans le dossier ; et les
modèles RTF et XPT contenus dans le dossier. Voir la section suivante pour la liste détaillée de
ce qui est traduisible.
Les chaînes cibles dans le fichier XLIFF généré peuvent être traduites dans la langue souhaitée.
Le XLIFF peut ensuite être téléchargé dans le référentiel BI Publisher et affecté aux paramètres
régionaux appropriés. Les chaînes traduites du XLIFF s’affichent lorsqu’un utilisateur
sélectionne la langue cible comme langue d’interface utilisateur (pour les chaînes d’objet de
catalogue) ou sélectionne la langue cible comme paramètre régional de rapport (pour les chaînes
de modèle de rapport).
Notez que si BI Publisher est intégré à Oracle Business Intelligence Enterprise Edition, la
traduction de chaînes d’objets catalog BI Publisher (nom de dossier et de rapport, modèle de
données, modèle de style et sous-modèle) est ignorée. Le mécanisme de traduction du
catalogue Oracle BI Enterprise Edition est appliqué à la place. Reportez-vous à la section «
Localisation des déploiements Oracle Business Intelligence » dans le Guide de l’administrateur
système Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Enterprise Edition pour
plus d’informations sur les composants qui peuvent
Traduction d’objets de catalogue, de modèles de données et de
mod
èles29-1
être traduit dans un catalogue intégré.

Ce qui peut être traduit


Le tableau suivant indique quelles chaînes peuvent être traduites :

Objet Ce qui peut être traduit Préférence qui détermine


Traduction affichée

Langue de l’interface utilisateur


Dossier Nom (s’applique à tous)

Description
Langue de l’interface utilisateur
Modèle de données Nom (s’applique à tous)

Description

Nom complet des données


Langue de l’interface utilisateur
Rapport Nom (s’applique à tous)

Description

Noms de mise en page


Référence du modèle de
données

Nom du paramètre

Nom de la liste des valeurs

Modèle de style Nom Langue de l’interface utilisateur

Texte statique dans le modèle Paramètres régionaux du rapport

Sous-modèle Nom Langue de l’interface utilisateur

Texte statique dans le modèle Paramètres régionaux du rapport


Mises en page de l’éditeur BI Texte statique dans la mise en
(.xpt) page Paramètres régionaux du rapport
Texte statique dans la mise en
Mises en page RTF page Paramètres régionaux du rapport

À propos des limitations du langage source


Pour la traduction de catalogue, la langue source est limitée à « en ». Vous devez créer des
objets de catalogue et de modèle de données en anglais pour pouvoir les traduire.

29-2Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Exportation du fichier XLIFF
Pour exporter un fichier XLIFF pour un dossier de catalogue :
1. Sélectionnez le dossier dans le catalogue.

2. Cliquez sur le bouton de la barre d’outils Traduction, puis sur Exporter XLIFF.

BI Publisher extrait les chaînes traduisibles du modèle et les exporte vers un fichier XLIFF
(fichier .xlf).

3. Enregistrez le fichier XLIFF dans un répertoire local.

Identification et mise à jour des balises d’objet


Pour plus d’informations sur la mise à jour manuelle des fichiers XLIFF avec des chaînes de
traduction, voir Concepts de traduction, page 27-2.
Notez que dans le fichier XLIFF généré pour un objet catalogue, les attributs de langue source
et de langue cible contiennent uniquement des valeurs pour le code de langue à deux lettres,
comme illustré dans la figure suivante :

Importation du fichier XLIFF


Une fois les balises cibles traduites, vous êtes prêt à réimporter le fichier XLIFF dans BI
Publisher.
Pour importer un fichier XLIFF
1. Accédez au dossier à partir duquel le fichier XLIFF a été généré.

2. Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Traduction et sélectionnez Importer XLIFF.
Ceci

Traduction d’objets de catalogue, de modèles de données et de


mod
èles29-3
lance la boîte de dialogue Télécharger illustrée dans la figure suivante :

3. Cliquez sur Parcourir pour localiser le fichier traduit, puis sélectionnez les paramètres
régionaux appropriés dans la liste.

4. Cliquez sur Télécharger.

29-4Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Un
Techniques de gestion des fichiers de sortie
volumineux

Cette annexe couvre les sujets suivants :


• Techniques de gestion des fichiers de sortie PDF volumineux
• Réutilisation du contenu statique
• Génération d’une sortie PDF compressée
• Implémentation du fractionnement PDF pour un modèle RTF
• Implémentation du fractionnement PDF pour un modèle PDF

Techniques de gestion des fichiers de sortie PDF volumineux


Cette section décrit les techniques disponibles pour améliorer les performances lorsque votre
rapport génère des fichiers de sortie PDF très volumineux. Les techniques abordées dans ce
chapitre sont les suivantes :
• Réutilisation du contenu statique pour réduire la taille du fichier de sortie, page A-1

• Génération d’une sortie PDF compressée, page A-4

Réutilisation de la content statique


Cette section explique comment réutiliser du contenu statique et répétitif dans la sortie de votre
rapport PDF afin de réduire la taille globale du fichier PDF. Cette section contient les rubriques
suivantes :
• Qu’est-ce que la réutilisation statique du contenu ?

• Limites de cette fonctionnalité

• Définition de Content réutilisable dans un modèle RTF

• Exemple
Techniques de gestion des fichiers de sortie
vol
umineuxA-1
Qu’est-ce que la réutilisation statique du contenu ?
Si votre rapport contient du contenu statique et que le placement de ce contenu dans le rapport
est également corrigé (par exemple, un ensemble d’instructions au dos d’un formulaire W-2
fédéral), vous pouvez utiliser cette fonctionnalité de BI Publisher pour réduire la taille du fichier
PDF généré.
En utilisant le formulaire W-2 comme exemple, le rapport a la sortie attendue suivante :

Pour chaque employé, un contenu spécifique est rendu, mais la dernière (ou deuxième) page
de chacun contient un ensemble d’instructions identique.
Cet ensemble d’instructions peut être défini comme un contenu statique réutilisable. Lorsque
le contenu est identifié comme un contenu statique réutilisable, BI Publisher n’inclut le
contenu statique dans le document PDF généré qu’une seule fois et le référence à d’autres
endroits si nécessaire, réduisant ainsi la taille globale du fichier de sortie.

Limites de cette fonctionnalité


Cette feature a les limitations suivantes:
• Le contenu statique à réutiliser dans le rapport généré doit tenir sur une page de la sortie
PDF générée.

• Le contenu du rapport avant le contenu statique doit avoir une hauteur fixe. Par exemple, le
formulaire W-2 comporte un ensemble fixe de champs qui se produisent avant le rendu du
contenu statique. Le contenu statique réutilisable est placé dans la même position que le

Guide du concepteur de rapports A-2Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
origine de la page pour chaque occurrence.

• Cette fonctionnalité ne peut être utilisée qu’avec des modèles RTF générant une sortie PDF.

Définition de contenu réutilisable dans un modèle RTF


Pour définir le contenu statique à réutiliser, utilisez les balises following autour du contenu
de votre modèle comme suit :
<?contenu-statique-réutilisable:?>

.... contenu statique ici ...


<?fin du contenu statique réutilisable?>

L’insertion de ces balises autour du contenu statique indique à BI Publisher d’inclure ce contenu
une seule fois dans le fichier généré, puis de le référencer dans la même position pour chaque
occurrence.

Exemple
L’exemple suivant illustre une implémentation de cette fonctionnalité. L’exemple de rapport
génère une occurrence par employé. Le rapport généré contiendra des informations spécifiques
à l’employé sur la page d’accueil de chaque événement et des instructions statiques qui
s’imprimeront au verso de chaque événement. Un saut de section se produira après que chaque
employé réinitialise la numérotation des pages.
Ce qui suit illustre cette structure de modèle :

Techniques de gestion des fichiers de sortie


vol
umineuxA-3
Génération d’une sortie PDF compressée
Lors de la génération d’une sortie PDF, BI Publisher ne limite pas la taille du fichier de
sortie. Toutefois, lorsque la taille du fichier approche les 2 Go, Adobe Acrobat Reader peut
ne plus être en mesure d’ouvrir ou de gérer le fichier.
BI Publisher fournit une fonctionnalité permettant de diviser un fichier de sortie PDF volumineux
en fichiers plus petits et plus faciles à gérer, tout en préservant l’intégrité du rapport en tant
qu’unité logique.
Lorsque le fractionnement de sortie PDF est activé pour un rapport, le rapport est divisé en
plusieurs fichiers générés dans un seul fichier zip. Le type de sortie est PDFZ. Pour faciliter
l’accès aux fichiers de composants, BI Publisher génère également un fichier d’index qui
spécifie depuis et vers les éléments contenus dans chaque fichier PDF de composant.
Pour activer cette fonctionnalité, le concepteur de rapports doit configurer le rapport à l’aide
des méthodes décrites dans cette section.

Limitations et conditions préalables


• Cette fonctionnalité est prise en charge uniquement pour la sortie PDF générée à
partir d’un modèle RTF ou d’un modèle PDF.

• L’entrée de l’ensemble de données dans le rapport doit être constituée de données XML
plates (c’est-à-dire ROWSET/ROW). L’ensemble de données ne peut pas être
hiérarchique ou concaténé.

• L’ensemble de données doit être trié par l’élément désigné comme l’élément « répétition
» (comme décrit ci-dessous).

Guide du concepteur de rapports A-4Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Considérations relatives au temps de conception
Pour annuler le fractionnement des rapports, le concepteur de rapports doit déterminer les
éléments suivants :
• Sélectionnez un élément « répéter » qui servira de compteur.

• Déterminez le nombre d’instances de l’élément de répétition par fichier PDF.

• Sélectionnez les éléments de données à inclure dans le fichier d’index généré.

Sélection du type de sortie


Après avoir téléchargé le modèle dans la définition de rapport, activez les fichiers PDF
compressés comme type de sortie :

Lors de la planification du rapport, sélectionnez PDFZ comme type de sortie.

Techniques de gestion des fichiers de sortie


vol
umineuxA-5
Implémentation du fractionnement PDF pour un modèle RTF
Cette section décrit comment activer le fractionnement PDF pour les rapports générés à
partir de modèles RTF. Cette section comprend les rubriques suivantes :
• Saisie des commandes dans votre modèle RTF

• Exemples

Saisie des commandes dans votre modèle RTF


Lorsque vous concevez votre modèle pour utiliser cette fonctionnalité, vous devez ajouter des
commandes pour spécifier les éléments suivants :
• Quel élément des données sera répété (à l’aide de la commande simple for-each)

• Combien d’occurrences de l’élément seront incluses dans chaque fichier PDF

• Quelles informations (éléments de données) inclure dans le fichier d’index

Pour ce faire, les deux commandes suivantes doivent être entrées dans votre modèle dans la
boucle for-each de l’élément par lequel vous souhaitez diviser le document :
• <?catalog-index-info:name; element_name?> où
nameest le nom que vous choisissez qui sera utilisé dans le fichier d’index pour identifier
les enregistrements de et vers inclus dans chaque document.
element_name est le nom de la balise XML de l’élément qui fournira la valeur du nom que
vous identifiez ci-dessus.
La commande catalog-index-info définit la construction du fichier d’index créé.

• <?if:position() mod n = 0?><?document-split:?><?end if?> où


nis le nombre d’enregistrements que vous souhaitez inclure par fichier PDF.
Cette commande doit être placée dans la boucle for-each de l’élément à compter. Cette
commande indique à BI Publisher de fractionner le document après le saut de page suivant
lorsque le nombre d’enregistrements est égal à la valeur que vous avez fournie pour n.
Chaque fois que le fractionnement de document est effectué, les paires nom-valeur
définies dans la commande catalog-index-info sont écrites dans les fichiers d’index.

A-6Guide du concepteur de rapports A-6Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Exemple - divisé par département
Cet exemple est basé sur les données XML suivantes :
<DATA_DS>
<G_EMP>
<DEPARTMENT_NAME>Ventes</DEPARTMENT_NAME>
<FIRST_NAME>Ellen</FIRST_NAME>
<LAST_NAME>Abel</LAST_NAME>
<HIRE_DATE>1996-05-11T00:00:00.000-07:00</HIRE_DATE>
<SALAIRE>11000</SALAIRE>
</G_EMP>
<G_EMP>
<DEPARTMENT_NAME>Ventes</DEPARTMENT_NAME>
<FIRST_NAME>Dimanche</FIRST_NAME>
<LAST_NAME>Ande</LAST_NAME>
<HIRE_DATE>2000-03-24T00:00:00.000-08:00</HIRE_DATE>
<SALAIRE>6400</SALAIRE>
</G_EMP>
<G_EMP>
<DEPARTMENT_NAME>Expédition</DEPARTMENT_NAME>
<FIRST_NAME>Mozhe</FIRST_NAME>
<LAST_NAME>Atkinson</LAST_NAME>
<HIRE_DATE>1997-10-30T00:00:00.000-08:00</HIRE_DATE>
<SALAIRE>2800</SALAIRE>
</G_EMP>
<G_EMP>
<DEPARTMENT_NAME>IT</DEPARTMENT_NAME>
<FIRST_NAME>David</FIRST_NAME>
<LAST_NAME>Austin</LAST_NAME>
<HIRE_DATE>1997-06-25T00:00:00.000-07:00</HIRE_DATE>
<SALAIRE>4800</SALAIRE>
</G_EMP>

...
</DATA_DS>
Dans cet exemple, le rapport PDF de sortie inclut un document pour chaque employé. Vous
souhaitez qu’un nouveau fichier PDF soit généré pour chaque service. Vous souhaitez que
l’index répertorie les FIRST_NAME et LAST_NAME de chaque enregistrement inclus dans le
fichier PDF.
Pour obtenir cette sortie, entrez ce qui suit dans votre modèle
<?pour chaque-groupe:ROW;. /DEPARTMENT_NAME?> <?for-
each:current-group()?> <?catalog-index-info:'Prénom';
FIRST_NAME?> <?catalog-index-info:'Nom'; LAST_NAME?> ...

<?end for each?>


<?document-split:?>
<?end for-each-group?>

Implémentation du fractionnement PDF pour un modèle PDF


Cette section décrit les commandes requises dans un modèle PDF pour diviser la sortie en
plusieurs fichiers PDF.

Techniques de gestion des fichiers de sortie


vol
umineuxA-7
Saisie des commandes dans le modèle PDF
Pour activer cette fonctionnalité pour un modèle PDF, entrez les trois champs de formulaire
suivants dans votre modèle avec les commandes spécifiées dans le champ « Info-bulle » :

Nom du champ de formulaireTooltip, commande

REPEAT-ELEMENT <?élément_répétition:nom de l’élément?>

element_name est le nom de la balise XML de l’élément


répétitif qui sera compté.

Exemple:
<?élément_répétition:emp_id?>

<?catalog-index-info:'Nom';element_name?>
CATALOGUE-INDEX-INFO

'Nom' est l’étiquette qui apparaîtra dans le fichier d’index pour


la element_name que vous spécifiez. L’indice
générer une liste « De » et « À » pour chaque fichier du
ensemble zippé .

Exemple:
<?catalog-index-info:'Dernier
Nom »; LAST_NAME?>

Notez que vous pouvez inclure plusieurs occurrences de l'


Commande catalog-index-info pour inclure plusieurs données
dans le fichier d’index.

SPLIT-COUNT <?split-count:n?>

n est le nombre d’occurrences de l’élément répétitif


qui déclenchera la création d’un nouveau fichier.

Exemple:
<?split-count:10000?>

Guide du concepteur de rapports A-8Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
B
Prise en charge étendue des fonctions
dans les
modèles
RTF

Cette annexe couvre les sujets suivants :


• Fonctions SQL et XSL étendues
• Équivalents XSL
• Utilisation des éléments FO

Fonctions SQL et XSL étendues


BI Publisher a étendu un ensemble de fonctions SQL et XSL à utiliser dans les modèles RTF.
La syntaxe de ces fonctions étendues est la suivante :
<?xdofx:expression?>
pour les fonctions SQL étendues ou
<?xdoxslt:expression?>
pour les fonctions XSL étendues.
Remarque : Vous ne pouvez pas mélanger des instructions xdofx avec des expressions
XSL dans le
même contexte. Par exemple, supposons que vous aviez deux éléments,
FIRST_NAME et LAST_NAME que vous vouliez concaténer en un
Champ de 30 caractères et tampon de droite le champ avec le caractère « x », vous
ne pouvait PAS utiliser les éléments suivants :
INCORRECT:
<?xdofx:rpad(concat(FIRST_NAME,LAST_NAME),30, 'x')?>

car concat est une expression XSL. Au lieu de cela, vous pouvez
utiliser les éléments suivants :
C’EST BIEN ÇA:
Prise en charge étendue des fonctions dans les modèles
RT
FB-1
<?xdofx:rpad(FIRST_NAME|| LAST_NAME),30,'x')?>

Les fonctions prises en charge sont indiquées dans le tableau suivant :

Instruction SQL ou XSL Usage Description


Expression

2+3 Utilisation: <?xdofx:2+3?> Addition


Description : Ajout

2-3 Utilisation:<?xdofx:2-3?> Soustraction


Description : Soustraction

2*3 Utilisation: <?xdofx:2*3?> Multiplication


Description: Multiplication

2 div 3 Utilisation: <?xdofx:2 div 3?> Division


Description : Division

2**3 Utilisation: <?xdofx:2**3?> Exponentiel


Description : Exponentielle

3|| 2 <?xdofx:3|| 2?>


Concaténation
sdiv() <?xdoxslt:sdiv(num1,num2,
La fonction safe divide renvoie une valeur spécifiée
chaîne)?>
si le résultat de la fonction est NaN. Dans la
syntaxe illustrée,

num1 est le dividende ; num2 est le diviseur et


string est la valeur à restituer si NaN est retourné.

Exemples : <?xdoxslt:sdiv(10,0, '0')?>


donnerait '0'

<?xdoxslt:sdiv(10,0, 'Aucun')?> donnerait


'Aucun'

B-2Guide du concepteur de rapports Middleware Oracle Fusion pour Oracle Business Intelligence Publisher
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

lpad('aaa',10,'.') <?xdofx:lpad('aaa',10,'.')? > La fonction lpad tamponne le côté gauche d’une


chaîne avec un ensemble spécifique de caractères.
La syntaxe de la fonction lpad est la suivante :
lpad(
chaîne1,padded_length,[pad_string])

string1 est la chaîne à laquelle insérer les


caractères (à gauche).

padded_length est le nombre de caractères à


renvoyer .

pad_string est la chaîne qui sera rembourrée sur


le côté gauche de string1 .

La fonction rpad tamponne le côté droit d’une


rpad('aaa',10,'.') <?xdofx:rpad('aaa',10,'.')? > chaîne avec un ensemble spécifique de caractères.

La syntaxe de la fonction rpad est la suivante :


rpad(
chaîne1,padded_length,[pad_string]).

string1 est la chaîne à laquelle insérer des


caractères (à droite).

padded_length est le nombre de caractères à


renvoyer .

pad_string est la chaîne qui sera rembourrée sur


le côté droit de string1

Supprime les espaces d’une chaîne. Entrez le texte à


rogner, la fonction renvoie le texte découpé.

trim() <?xdoxslt:trim(' a ')?>


Supprime les espaces blancs de début d’une chaîne.

Supprime les espaces blancs de fin d’une chaîne.


ltrim() <?xdoxslt:ltrim(' a ')?>

rtrim()
<?xdoxslt:rtrim(' a ')?>

Prise en charge étendue des fonctions dans les modèles


RTFB-3
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

tronquer <?xdoxslt:tronquer ( nombre [, entier ] La fonction tronquer renvoie un nombre tronqué à


)?> des endroits entiers à droite de la virgule. Si l’entier
est omis, le nombre est tronqué à la valeur entière
de l’entier. integer peut être négatif pour tronquer
les valeurs à gauche de la virgule. integer doit être
un entier.

Exemple:
<?xdoxslt:tronquer(-2.3333)?>

Retourne

-2

Exemple:
<?xdoxslt:truncate(2.7777, 2)?>

Retourne

2.77

Exemple:
<?xdoxslt:truncate(27.7777, -1)?>

Retourne

20

La fonction de réplication réplique la chaîne spécifiée


le nombre de fois spécifié.
répliquer <?xdoxslt:replicate('string' Exemple:
, entier)?>
<?xdoxslt:replicate('oracle', 3)?>

Retourne

oracleoracleoracle

B-4Oracle Fusion Middleware Report Designer’s Guide pour Oracle Business Intelligence Publisher
Instruction SQL ou XSL Usage Description
Expression

decode('xxx','bbb','ccc','x <?xdofx:decode('xxx','bbb',' La fonction de décodage a la fonctionnalité d’un


xx','ddd') ccc','xxx','ddd')?> Instruction IF-THEN-ELSE. La syntaxe de l'
La fonction de décodage est :
décodage(expression, recherche, résultat
[,recherche, résultat]... [, par défaut])
expression est la valeur à comparer.

la recherche est la valeur qui est comparée à


expression.

result est la valeur renvoyée, si l’expression est


égal à la recherche.
default est renvoyé si aucune correspondance n’est
trouvée.

Instr('abcabcabc','a',2) <?xdofx:Instr('abcabcabc','a La fonction instr renvoie l’emplacement d’un


',2)?> sous-chaîne dans une chaîne. La syntaxe de l’instr
la fonction est :
instr(string1,string2,[start_positi
sur],[nth_appearance])
string1 est la chaîne à rechercher.

string2 est la sous-chaîne à rechercher dans string1.

start_position est la position dans string1 où le


la recherche va commencer. La première position dans
la chaîne
est 1. Si le start_position est négatif, le
compte start_position nombre de
caractères de la fin de string1, puis
recherche vers le début de string1.

nème apparence est la nième apparition de string2.

substr('abcdefg',2,3) <?xdofx:substr('abcdefg',2,3 La fonction substr vous permet d’extraire un


)?> sous-chaîne d’une chaîne. La syntaxe de l'
La fonction substr est :
substr(string, start_position,
longueur)
string est la chaîne source.

start_position est la position pour l’extraction. Le


la première position dans la chaîne est toujours 1.

longueur est le nombre de caractères à extraire.


Prise en charge étendue des fonctions dans les modèles
RT
FB-5
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

Gauche <?xdoxslt:left('abcdefg', 3)?> Permet d’extraire le nombre de caractères spécifié


d’une chaîne, en commençant par la gauche. La
syntaxe est left(string, Numchars)
Par exemple, <?xdoxslt:left('abcdefg', 3)?>
Retourne

abc

Permet d’extraire le nombre de caractères spécifié


<?xdoxslt:right('abcdefg', 3)?> d’une chaîne, en commençant par la droite. La
Droite syntaxe est right(string, Numchars)
Par exemple
<?xdoxslt:right('abcdefg', 3)?>

Retourne

efg

<?xdofx:replace(name,'John', 'Jon')?>
La fonction replace remplace une séquence de
caractères dans une chaîne par un autre ensemble
de caractères. La syntaxe de la fonction replace est
replace(name,'John','Jon' ) la suivante :

replace(string1,string_to_replace,[chaîne
replacement_])

string1 est la chaîne permettant de remplacer une


séquence de caractères par un autre ensemble de
caractères.

string_to_replace est la chaîne qui sera


recherchée dans string1.

replacement_string est facultatif. Toutes les


occurrences de string_to_replace seront remplacées
par replacement_string dans string1.

<?xdofx:to_number('12345')?> La fonction to_number convertit char, une valeur de


type de données CHAR, VARCHAR2, NCHAR ou
NVARCHAR2 contenant un nombre dans le format
spécifié par le modèle de format facultatif fmt, en
to_number('12345') une valeur de type de données NUMBER.

B-6Guide du concepteur de rapports Middleware Oracle Fusion pour Oracle Business Intelligence Publisher
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

format_number <?xdoxslt:format_number(1234 5, n, Convertit un nombre en chaîne et met en forme le


$_XDOLOCALE)?> nombre en fonction des paramètres régionaux
spécifiés dans
$_XDOLOCALE et au nombre de décimales
positions spécifiées dans n en utilisant la valeur par
défaut de Java
symboles. Par exemple:
<?xdoxslt:format_number(-12345, 2, 'fr-FR')?>
Retourne

-12 345,00

Convertit un nombre en chaîne et utilise les


format_number <?xdoxslt:format_number(1234 5, n, s1,
séparateurs spécifiés : s1 pour le séparateur mille
s2,$_XDOLOCALE)?> et s2 pour le séparateur décimal. Par exemple:
<?xdoxslt:format_number(12345, 2, 'g', 'd',
$_XDOLOCALE)?>returns
12g345d00

Renvoie un nombre mis en forme avec le modèle


spécifié.
pat_format_number <?xdoxslt:pat_format_number( 12345, '##,##0.00', Par exemple:
<?xdoxslt:pat_format_number(12345, '##,##0.00',
$_XDOLOCALE)?>
$_XDOLOCALE)?>
Retourne

12,345.00

to_char(12345) <?xdofx:to_char('12345')?> Utilisez la fonction TO_CHAR pour traduire une


valeur de type de données NUMBER en type de
données VARCHAR2.

to_date <?xdofx:to_date ( char [, fmt [,


TO_DATE convertit le caractère du type de
'nlsparam']] ) données CHAR, VARCHAR2, NCHAR ou
NVARCHAR2 en une valeur de type de données
DATE. Le fmt est un format de date spécifiant le
format de char. Si vous omettez fmt, alors char
must être dans le format de date par défaut. Si fmt
est 'J', pour Julien, alors char doit être un entier.

Prise en charge étendue des fonctions dans les modèles


RT
FB-7
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

format_date() <?xdoxslt:format_date(./AnyDate,' yyLise la date dans un format et crée dans un autre


aa-MM-jj','MM/jj/aaaa', format.
_XDOLOCALE $,
_XDOTIMEZONE $)?>

<?xdofx:sysdate()?>
SYSDATE renvoie la date et l’heure actuelles.
sysdate()
Le type de données de la valeur renvoyée est DATE.
La fonction ne nécessite aucun argument.

current_date() <?xdoxslt:current_date($_XDO LOCALE, Renvoie la date actuelle au format « aaaa-MM-jj »


$_XDOTIMEZONE)?> dans les paramètres régionaux et le fuseau horaire
donnés. Cette fonction ne prend en charge que le
Exemple: calendrier grégorien.
<?xdoxslt:current_date('ja-J P',
'Asia/Tokyo')?>

current_time() <?xdoxslt:current_time($_XDO LOCALE,


Renvoie l’heure actuelle dans les paramètres
$_XDOTIMEZONE)?> régionaux et le fuseau horaire donnés. Cette
Exemple: fonction ne prend en charge que le calendrier
grégorien.
<?xdoxslt:current_time('ja-J P',
'Asia/Tokyo')?>

minimum <?xdoxslt:minimum(ELEMENT_NA
ME)?> Renvoie la valeur minimale de l’élément dans
l’ensemble.

B-8Oracle Fusion Middleware Report Designer’s Guide pour Oracle Business Intelligence Publisher
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

date_diff <?xdoxslt:date_diff('y',
Cette fonction fournit une méthode pour obtenir la
« AAAA-MM-JJ », « AAAA-MM-JJ », différence entre deux dates dans les paramètres
_XDOLOCALE $, régionaux donnés. Les dates doivent être au
_XDOTIMEZONE $)?> format « aaaa-MM-jj ». Cette fonction ne prend
en charge que le calendrier grégorien. La syntaxe
est la suivante :
<?xdoxslt:date_diff('format', 'AAAA-MM-
JJ', 'AAAA-MM-JJ', _XDOLOCALE $,
_XDOTIMEZONE $)?>

format est la valeur de temps pour laquelle la


différence doit être calculée. Les valeurs valides sont :
• y - pour l’année

• m - pour le mois

• w - pour la semaine

• d - pour la journée

• h - pour l’heure

• mi - pour minute

• s - pendant quelques secondes

• ms - pour les millisecondes

Exemple:
<?xdoxslt:date_diff('y', '2000-04-08',
'2001-05-01', $_XDOLOCALE,
$_XDOTIMEZONE)?>
Retourne

Exemple:
<?xdoxslt:date_diff('m', '2001-04-08',
'2000-02-01', $_XDOLOCALE,
$_XDOTIMEZONE)?>
Retourne

Prise en charge étendue des fonctions dans les modèles


RT
FB-9
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

-14

Exemple:
<?xdoxslt:date_diff('d',
'2006-04-08', '2006-04-01',
_XDOLOCALE $,
'Amérique/Los_Angeles')?>

Retourne

-7

Cette fonction fournit une méthode pour obtenir la


sec_diff <?xdoxslt:sec_diff('2000-04-
différence entre deux dates en secondes dans les
08T20:00:00', paramètres régionaux donnés. Les dates doivent
'2000-04-08T21:00:00', être dans « aaaa-MM-jj’T’HH:mm:ss ». Cette
_XDOLOCALE $, _XDOTIMEZONE $?> fonction ne prend en charge que le calendrier
grégorien.

Exemple:
<?xdoxslt:sec_diff('2000-04-08T20:0 0:00', '2000-04-
08T21:00:00', $_XDOLOCALE,
$_XDOTIMEZONE?>
Retourne

3600

Cette fonction fournit une méthode pour obtenir la


get_day <?xdoxslt:get_day('2000-04-0 8', valeur journalière d’une date au format « aaaa-
$_XDOLOCALE)?> MM-jj » dans les paramètres régionaux donnés.
Cette fonction ne prend en charge que le calendrier
grégorien.

Exemple:
<?xdoxslt:get_day('2000-04-08',
$_XDOLOCALE)?>
Retourne

B-10Guide du concepteur de rapports Middleware Amazon Fusion pour Oracle Business Intelligence Publisher
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

get_month <?xdoxslt:get_month('2000-04 -08', Cette fonction fournit une méthode pour obtenir la
$_XDOLOCALE)?> valeur mensuelle d’une date au format « aaaa-MM-
jj » dans les paramètres régionaux donnés. Cette
fonction ne prend en charge que le calendrier
grégorien.

Exemple:
<?xdoxslt:get_month('2000-04-08',
$_XDOLOCALE)?>
Retourne

get_year <?xdoxslt:get_year('2000-04-08', Cette fonction fournit une méthode pour obtenir la


valeur d’année d’une date au format « aaaa-MM-jj »
$_XDOLOCALE)?>
dans les paramètres régionaux donnés. Cette
fonction ne prend en charge que le calendrier
grégorien.

Exemple:
<?xdoxslt:get_year('2000-04-08',
$_XDOLOCALE)?>
Retourne

2000

Prise en charge étendue des fonctions dans les modèles


RTF
B-11
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

month_name <?xdoxslt:month_name(1, 0, Cette fonction fournit une méthode pour obtenir le


_XDOLOCALE $)?> nom du mois dans les paramètres régionaux donnés.
Cette fonction ne prend en charge que le calendrier
grégorien.

La syntaxe de cette fonction est la suivante :


<?xdoxslt:month_name(mois, [ abréviation
?], $_XDOLOCALE)?>

mois est la valeur numérique du mois


(Januany = 1)

et

[abréger?] est la valeur 0 pour ne pas abréger


ou 1 pour abréger.

Exemple:
<?xdoxslt:month_name(12, 1, 'fr-FR')?>
Retourne

Dec.

Exemple »
<?xdoxslt:month_name(1, 0,
_XDOLOCALE $)?>
Retourne

Janvier

maximum <?xdoxslt:maximum(ELEMENT_NA Renvoie la valeur maximale de l’élément dans


ME)?> l’ensemble.

ABS <?xdoxslt:abs(-123.45)?> Renvoie la valeur absolue du nombre saisi.

Exemple:
<?xdoxslt:abs(-123.45)?>

Retourne:

123.45

B-12Guide du concepteur de rapports d’Intergiciel Oracle Fusion pour Oracle Business Intelligence Publisher
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

chr <?xdofx:chr(n)?>
CHR renvoie le caractère ayant l’équivalent binaire
à n dans le jeu de caractères de base de données ou
le jeu de caractères national.

ceil <?xdofx:ceil(n)?>
CEIL renvoie le plus petit entier supérieur ou
égal à n.

étage <?xdofx:étage(n)?>
FLOOR renvoie le plus grand entier égal ou
inférieur à n.

Rond <?xdofx:round ( nombre [, ROUND renvoie le nombre arrondi aux entiers


situés à droite de la virgule. Si l’entier est omis, le
entier ] )?> nombre est arrondi à 0 place. l’entier peut être
(Fonction SQL)
négatif pour arrondir les chiffres à gauche de la
virgule. integer doit être un entier.

Exemple:
<?xdofx:round (2.777)?>

Retourne

Exemple:
<?xdofx:round (2.777, 2)?>

Retourne

2.78

Prise en charge étendue des fonctions dans les modèles


RTF
B-13
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

Rond <?xdoxslt:round ( nombre [, entier ] )?> ROUND renvoie le nombre arrondi aux entiers
situés à droite de la virgule. Si l’entier est omis, le
(Fonction XSLT ) nombre est arrondi à 0 place. l’entier peut être
négatif pour arrondir les chiffres à gauche de la
virgule. integer doit être un entier.

Exemple:
<?xdoxslt:round (2.777)?>

Retourne

Exemple:
<?xdoxslt:round (2.777, 2)?>

Retourne

2.78

<?xdofx:inférieur (char)?> LOWER renvoie le caractère, avec toutes les lettres


en minuscules. char peut être n’importe lequel des
baisser
types de données CHAR, VARCHAR2, NCHAR,
NVARCHAR2, CLOB ou NCLOB. La valeur
renvoyée est le même type de données que char.

<?xdofx:upper(char)?>
supérieur UPPER renvoie char, avec toutes les lettres majuscules.
char peut être n’importe lequel des types de données
CHAR,
VARCHAR2, NCHAR, NVARCHAR2, CLOB,
ou NCLOB. La valeur renvoyée est la même
type de données en tant que char.

longueur <?xdofx:length(char)?> La fonction « longueur » renvoie la longueur de


caractère. LENGTH calcule la longueur à l’aide des
caractères définis par le jeu de caractères d’entrée.

maximum <?xdofx:greatest ( expr [, expr]... )? > GREATEST renvoie le plus grand de la liste des
exprs. Toutes les exprs après la première sont
implicitement converties en type de données de
la première expr avant la comparaison.

<?xdofx:least ( expr [, expr]... )? LEAST renvoie le moindre de la liste des exprs.


moins > Toutes les exprs après la première sont
implicitement converties en type de données de la
première expr avant la comparaison.

B-14Guide du concepteur de rapports Middleware Oracle Fusion pour Oracle Business Intelligence Publisher
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

next_element <?xdoxslt:next_element(curre nt- Méthode pour obtenir l’élément suivant dans le


group(),.,'<element-name> ')?> groupe actuel. Renvoie l’élément qui se produit
après l’élément nommé. Par exemple:
<?xdoxslt:next_element(current-grou
p(),.,'employee')?>
renverra l’élément qui se produit dans le
groupe actuel après « employé ».

<?xdoxslt:prev_element(curre nt-
Méthode pour obtenir l’élément précédent dans le
prev_element group(),..,'<element-name ')?> groupe actuel. Renvoie l’élément qui se produit
avant le nom de l’élément. Pour example :
<?xdoxslt:prev_element(current-grou
p(),.,'employee')?>
renverra l’élément qui se produit dans le
groupe actuel avant « employé ».
<?xdoxslt:set_array($_XDOCTX
, '<nom de la table de hachage>', n, Définit une valeur dans une table de hachage. La
set_array syntaxe est
'<valeur>')?> <?xdoxslt:set_array($_XDOCTX, '<nom
de la table de hachage>', n, '<valeur>')?>
where

$_XDOCTX est nécessaire pour définir le contexte,

<nom de la table de hachage> est le nom que


vous fournissez pour votre table

n est l’index de la table de hachage

<valeur> est la valeur à définir dans la table de


hachage.

Par exemple:
<?xdoxslt:set_array($_XDOCTX,
'Employee', 2, 'Jones')?>
Voir get_array ci-dessous.

Prise en charge étendue des fonctions dans les modèles


RTF
B-15
Instruction SQL ou XSLUsageDescription
Expression

get_array <?xdoxslt:get_array($_XDOCTX
Renvoie la valeur à l’index spécifié de la table de
, '<nom de la table de hachage>', n hachage.
)?>
La syntaxe est
<?xdoxslt:get_array($_XDOCTX, '<nom
de la table de hachage>', n)?>

$_XDOCTX est nécessaire pour définir le contexte,

<nom de la table de hachage> est le nom que


vous avez fourni pour votre table dans
set_array

n est la valeur d’index de l’élément que vous


souhaitez renvoyer.

Par exemple, utilisé conjointement avec


l’exemple set_array ci-dessus,
<?xdoxslt:get_array($_XDOCTX,
'Employé', 2)?>
Retourne

Jones

Le tableau suivant présente les fonctions combinées prises en charge :

Instruction SQL Usage

(2+3/4-6*7)/8 <?xdofx:(2+3/4-6*7)/8?>

lpad(substr('1234567890',5,3),10,'^') <?xdofx:lpad(substr('1234567890',5,3),10,'^')?>

decode('a','b','c','d','e','1')|| instr('321',1,1) <?xdofx:decode('a','b','c','d','e','1')|| instr('321',1,1)?>

Conversion de nombre en mot


Cette fonction permet la conversion de nombres en mots pour la sortie du modèle RTF.
Il s’agit d’une exigence courante pour l’impression de chèques.
La nouvelle fonction est « to_check_number ». La syntaxe de cette fonction est
<?xdofx:to_check_number(amount, precisionOrCurrency, caseType, decimalStyle)?>

B-16Guide du concepteur de rapports d’Intergiciel d’Oracle Fusion pour Oracle Business Intelligence Publisher
Le tableau suivant décrit les attributs de fonction :

AttributeDescriptionValid , valeur

montantNombre à transformer. N’importe quel nombre

precisionOrCurrencyPour cet attribut, vous pouvez spécifier le Un entier, tel que 2 ; ou un code
précision, qui est le nombre de chiffres après la de devise, tel que « USD ».
virgule; ou le code de devise, qui régira le nombre de
chiffres après la virgule. Le code de devise ne génère
pas de symbole monétaire dans la sortie.

caseTypeType de cas de la sortie. Les valeurs valides sont les suivantes :

« CASE_UPPER »,

« CASE_LOWER »,

« CASE_INIT_CAP »

DecimalStyleTypeoutput de la zone de fraction décimale. Les valeurs valides sont les


suivantes :

« DECIMAL_STYLE_FRACTION
1',
« DECIMAL_STYLE_FRACTION
2',

« DECIMAL_STYLE_WORD »

Les exemples suivants affichent la fonction telle qu’elle est entrée dans un modèle RTF et
la sortie renvoyée :

Entrée de modèle RTF Sortie renvoyée

<?xdofx:to_check_number(12345.67, 2)?> Douze mille trois cent quarante-cinq et 67/100

<?xdofx:to_check_number(12345.67, 'USD')?> Douze mille trois cent quarante-cinq et 67/100

<?xdofx:to_check_number(12345, 'JPY', DOUZE MILLE TROIS CENTS


'CASE_UPPER')?> QUARANTE-CINQ

<?xdofx:to_check_number(12345.67, 'EUR', douze mille trois cent quarante-cinq et


'CASE_LOWER', 'DECIMAL_STYLE_WORDS')?> soixante-sept

Prise en charge étendue des fonctions dans les modèles


RTF
B-17
Équivalents XSL
Le tableau suivant répertorie la syntaxe simplifiée de BI Publisher avec les équivalents XSL.

Éléments XSL pris en chargeDescriptionBI Syntaxe de l’éditeur

<xsl:valeur-de-sélectionne= Syntaxe de l’espace réservé <? nom?>


« nom">

<xsl:apply-templates Applique une règle de modèle aux <?appliquer:nom?>


nœuds enfants de l’élément actif.
select="name">

Crée une copie du nœud actif. <?copie-de:nom?>


<xsl:copy-of select="name">

Appelle un modèle nommé à


<xsl:call-template insérer/appliquer au modèle actuel. <?appel:nom?>
name="name">
Trie un groupe de données en
fonction d’un élément du jeu de
<xsl:sort select="nom"> données. <?sort:nom?>

Boucle à travers les lignes de données


d’un groupe, utilisées pour générer une
<xsl:for-each select="name » > <?pour-chaque:nom?>
sortie tabulaire.

Utilisé en conjonction avec quand et


<xsl:choisir> autrement pour exprimer plusieurs
tests conditionnels. <?choisir?>

<xsl:when test="exp"> Utilisé conjointement avec choisir <?quand:expression?>


et sinon pour exprimer plusieurs
tests conditionnels

<xsl:sinon> Utilisé conjointement avec choisir <?sinon?>


et quand exprimer plusieurs
tests conditionnels

Utilisé pour la mise en forme


<xsl:if test="exp"> conditionnelle. <?si:expression?>

<xsl:template name="name"> Modèle de déclaration <?modèle:nom?>

<xsl:nom de variable="nom"> Déclaration de variable locale ou globale <?variable:nom?>

B-18Guide du concepteur de rapports Middleware Oracle Pour Oracle Business Intelligence Publisher
Éléments XSL pris en chargeDescriptionBI Syntaxe de l’éditeur

<xsl:import href="url"> Importer le contenu d’une feuille de style <?import:url?>


dans un autre

<xsl:include href="url">
Inclure une feuille de style dans une autre <?include:url?>

<xsl:stylesheet Définir l’élément racine d’un <?namespace:x=url?>


xmlns:x="url"> feuille de style

Utilisation des éléments FO


Vous pouvez utiliser la plupart des éléments FO dans un modèle RTF dans les champs de
formulaire Microsoft Word. Les éléments FO suivants ont été étendus pour une utilisation
avec les modèles RTF BI Publisher. La syntaxe BI Publisher peut être utilisée avec l’une ou
l’autre méthode de modèle RTF.
La liste complète des éléments FO pris en charge par BI Publisher se trouve en annexe :
Éléments XSL-FO pris en charge, page D-1.

Fo, élément Syntaxe de BI Publisher

<fo:page-number-citation <?fo:page-number-citation:id?>
ref-id="id">

<fo:numéro-page> <?fo:numéro-de-page?>

<fo:TOUT NOM SANS ATTRIBUT> <?fo:TOUT NOM SANS ATTRIBUT?>

Prise en charge étendue des fonctions dans les modèles


RTF
B-19
C
Conception de rapports
accessibles

Introduction
Cette annexe décrit les techniques de conception de rapports afin d’accroître l’accessibilité
des résultats des rapports pour les utilisateurs handicapés.
Notez que la prise en charge de l’accessibilité concerne uniquement la sortie HTML.
Les rubriques suivantes sont incluses :
• Éviter les tables imbriquées ou séparées, page C-1

• Définition d’un titre de document, page C-3

• Définition d’un texte de remplacement pour une image, page C-3

• Définition d’un résumé de tableau, page C-4

• Définition d’un en-tête de colonne de tableau, page C-4

• Définition d’un en-tête de ligne de tableau, page C-4

• Exemples de tables prises en charge, page C-5

Éviter les tables imbriquées ou séparées


Évitez d’utiliser des tables imbriquées dans un rapport. Pour un rapport complexe, essayez de
décomposer des tableaux complexes en plusieurs tableaux simples et directs.
La figure suivante montre un tableau simple :

Conception de rapports
acc
essiblesC-1
La figure suivante montre un exemple de tableau imbriqué : un tableau est inséré dans une
cellule de tableau :

Exemples
Voici des exemples de structures de table que BI Publisher prend en charge et ne prend
pas en charge pour l’accessibilité :

Tables imbriquées
BI Publisher ne prend pas en charge l’accessibilité lorsque des tables imbriquées sont utilisées
dans un rapport. Dans l’exemple suivant. BI Publisher ne peut pas dire à quelles données de
colonne « C1R1data » appartient :

Disposition de tableau non prise en charge :

Supprimez la table imbriquée comme illustré :

Disposition de tableau prise en charge :

Guide du concepteur de rapports C-2Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Les en-têtes de tableau ne doivent pas être séparés du corps du tableau
L’exemple suivant n’est pas pris en charge car les champs d’en-tête, de corps de
tableau et d’accessibilité existent dans 3 tables différentes.

Mise en page table non prise en charge

Ces trois tableaux devraient être réunis en un seul pour soutenir l’accessibilité :

Disposition de tableau prise en charge

Définition d’un titre de document


Pour définir ou modifier le titre d’un document dans Microsoft Word :
Dans Word 2007 : cliquez sur le bouton Office , sur Préparer, puis sur Propriétés.
Dans les versions précédentes de Word : dans le menu Fichier , cliquez sur Propriétés,
puis sur l’onglet Résumé .

Définition d’un texte de remplacement pour une image


Pour définir un texte de remplacement pour une image dans votre modèle :
1. Cliquez avec le bouton droit sur l’image.

2. Dans le menu, cliquez sur Format de l’image.

3. Sous l’onglet Texte de remplacement, entrez « alt: » suivi du texte de


remplacement. Par exemple : alt:flower picture

Conception de rapports
acc
essiblesC-3
Remarque : Dans les versions de Word antérieures à 2007, entrez la
syntaxe alt:text sous l’onglet Web .

Définition d’un résumé de tableau


Ajoutez un résumé de tableau à un tableau en insérant la commande suivante :
<?table-summary: 'My Table Test'?>

dans la position de la première colonne et de la première ligne du tableau.

Définition d’un en-tête de colonne de tableau


Pour définir un en-tête de colonne de tableau :
Dans Word 2007 :
1. Sélectionnez la ou les lignes d’en-tête. La sélection doit inclure la première ligne du tableau.

2. Sous l’onglet Création, dans le groupe Options de style de tableau, sélectionnez Ligne d’en-
tête.

3. Cliquez avec le bouton droit sur la table et sélectionnez Propriétés de la table.

4. Dans la boîte de dialogue Propriétés du tableau , cliquez sur l’onglet Ligne, puis
sélectionnez Répéter en tant que ligne d’en-tête en haut de chaque page.

Dans les versions antérieures de Word :


1. Sélectionnez la ou les lignes d’en-tête. La sélection doit inclure la première ligne du tableau.

2. Dans le menu Tableau, cliquez sur Répétition des lignes d’en-tête.

Définition d’un en-tête de ligne de tableau


Pour définir plusieurs en-têtes de ligne, utilisez la commande BI Publisher :
<?acc-row-header:col_index?>

Exemple d’utilisation :
<?acc-row-header:'1,2,4'?> ==> colonnes 1, 2 et 4 seront des en-têtes de ligne.
<?acc-row-header:'1,4'?> ==> les colonnes 1 et 4 seront des en-têtes de ligne.

Dans la figure suivante, le code derrière le champ ACC est :


ACC Field=<?table-summary:'My Table Test '?><?acc-row-header:'1,2'?>

qui définit les deux premières colonnes comme des en-têtes de ligne :

Guide du concepteur de rapports C-4Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Exemples de tables prises en charge
Les figures suivantes présentent des exemples de tableaux pour lesquels l’accessibilité est prise en
charge :
En-têtes de colonne et de ligne doubles

Total du résumé du groupe

En-têtes de ligne séparés avec en-tête de colonne partagé


Conception de rapports
acc
essiblesC-5
En-têtes de ligne séparés avec en-tête de colonne individuel

C-6Guide du concepteur de rapports Middleware Apple pour Oracle Business Intelligence Publisher
D
Éléments XSL-FO pris en
charge

Éléments XSL-FO pris en charge


Le tableau suivant répertorie les éléments XSL-FO pris en charge dans cette version. Pour
chaque élément, les éléments de contenu et les attributs pris en charge sont répertoriés. Si des
éléments ont partagé des attributs pris en charge, ceux-ci sont notés en tant que groupe et sont
répertoriés dans le tableau suivant, Groupes de propriétés. Par exemple, plusieurs éléments
partagent l’élément de contenu en ligne. Plutôt que de répertorier les propriétés en ligne à
chaque fois, chaque entrée note que les « propriétés en ligne » sont prises en charge. La liste des
propriétés en ligne se trouve dans le tableau Groupes de propriétés.
XSL-FO
Ele
mentsD-1 pris en charge
Éléments de contenu pris en
Élément charge Attributs pris en charge

lien de base graphique externe propriétés en ligne

Inline destination externe

chef destination interne

numéro_page

numéro-page-citation

lien de base

bloquer

bloc-conteneur

table

bloc_liste

enveloppe

marqueur

retrieve-marker

bidi-override bidi-override propriétés en ligne

graphique externe

instream-foreign-object

Inline

chef

numéro_page

numéro-page-citation

lien de base

D-2Guide du concepteur de rapports D-2Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Éléments de contenu pris en
Élément charge Attributs pris en charge

bloquer graphique externe propriétés_bloc

Inline

numéro_page

numéro-page-citation

lien de base

bloquer

bloc-conteneur

table

bloc_liste

enveloppe

bloc-conteneur bloquer propriétés_bloc

bloc-conteneur

table

bloc_liste

enveloppe

arbre-signet Signet N/A

Signet Signet destination externe

bookmark-title destination interne

état_démarrage

bookmark-title N/A Couleur

style de police

font-weight
XSL-FO
Ele
mentsD-3 pris en charge
Éléments de contenu pris en
Élément charge Attributs pris en charge

conditional-page-master- S.O. master-reference


référence
position_page

• premier

• dernier

• se reposer

• quelconque

• hériter

impair-ou-pair

• étrange

• même

• quelconque

• hériter

blanc-ou-pas-vide

• blanc

• pas vide

• quelconque

• hériter

graphique externe N/A propriétés_graphiques

src

D-4Oracle Fusion Middleware Report Designer’s Guide pour Oracle Business Intelligence Publisher
Éléments de contenu pris en
Élément charge Attributs pris en charge

couler bloquer propriétés d’écoulement

bloc-conteneur

table

bloc_liste

enveloppe

Inline graphique externe propriétés en ligne

Inline

chef

numéro_page

numéro-page-citation

lien de base

bloquer

bloc-conteneur

table

enveloppe

instream-foreign-object N/A propriétés_graphiques

layout-master-set page-sequence-master N/A

simple-page-master

simple-page-master

page-sequence-master

chef N/A propriétés en ligne

bloc_liste élément_liste propriétés_bloc

élément_liste étiquette_élément_liste propriétés_bloc

list-item-body
XSL-FO
Ele
mentsD-5 pris en charge
Éléments de contenu pris en
Élément charge Attributs pris en charge

list-item-body bloquer propriétés_bloc

bloc-conteneur

table

bloc_liste

enveloppe

étiquette_élément_liste bloquer propriétés_bloc

bloc-conteneur

table

bloc_liste

enveloppe

numéro_page N/A propriétés-inline-vides

numéro-page-citation N/A propriétés-inline-vides

ref-id

D-6Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Éléments de contenu pris en
Élément charge Attributs pris en charge

séquence_page contenu statique propriétés héritables

couler id

master-reference

numéro_page_initiale

• auto

• <-page>

force-page-count

• auto

• end-on-even

• fin sur impair

• fin sur la mise en page paire

• fin sur mise en page impaire

• pas de force

• hériter

format

page-sequence-master référence-maître-page-unique nom_maître

référence-maître-page-reproductible
e

répétable-page-master-alternati
ves

région-après N/A propriétés_région_latérale

région-avant N/A propriétés_région_latérale

région-corps N/A propriétés_région

margin-properties-CSS

nombre_colonnes
XSL-FO
Ele
mentsD-7 pris en charge
Éléments de contenu pris en
Élément charge Attributs pris en charge

fin de région N/A propriétés_région_latérale

region-start N/A propriétés_région_latérale

répétable-page-master-a conditional-page-master-referen répétitions maximales


lternatifs après Jésus-Christ

page-maître-r reproductible N/A master-reference


Référence répétitions maximales

racine arbre-signet propriétés héritables

layout-master-set

séquence_page

D-8Guide du concepteur de rapports D-8Oracle Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Éléments de contenu pris en
Élément charge Attributs pris en charge

simple-page-master région-corps margin-properties-CSS

région-avant nom_maître

région-après hauteur de la page

region-start largeur_page

fin de région orientation de référence

• 0

• 90

• 180

• 270

• -90

• -180

• -270

• 0deg

• 90deg

• 180deg

• 270deg

• -90deg

• -180deg

• -270deg

• hériter

mode d’écriture

• lr-tb
XSL-FO
Ele
mentsD-9 pris en charge
Éléments de contenu pris en
Élément charge Attributs pris en charge

single-page-master-refere N/A master-reference


Rce

contenu statique bloquer propriétés d’écoulement

bloc-conteneur

table

enveloppe

table table-colonne propriétés_bloc

en-tête de tableau

pied de table

table-corps

table-corps ligne_table propriétés héritables

id

cellule_tableau bloquer propriétés_bloc

bloc-conteneur nombre-colonnes-fractionnées

table nombre-lignes-fractionnées

bloc_liste

enveloppe

table-colonne N/A propriétés héritables

numéro_colonne

largeur_colonne

nombre-colonnes-répétées

pied de table ligne_table propriétés héritables

id

en-tête de tableau ligne_table propriétés héritables

id

D-10Guide du concepteur de rapports Middleware d’Oracle Business Intelligence pour Oracle Business Intelligence Publisher
Éléments de contenu pris en
Élément charge Attributs pris en charge

ligne_table cellule_tableau propriétés héritables

id

enveloppe Inline propriétés héritables

numéro_page id

numéro-page-citation

lien de base

bloquer

bloc-conteneur

table

enveloppe

Tableau Groupes de propriétés


Le tableau suivant répertorie les propriétés prises en charge appartenant aux groupes
d’attributs définis dans le tableau précédent.

XSL-FO
Elem
entsD-11 pris en charge
Groupe de propriétés Propriétés

capt
propriétés-zones ure

débordement (visible, masqué)

orientation de référence

• 0

• 90

• 180

• 270

• -90

• -180

• -270

• 0deg

• 90deg

• 180deg

• 270deg

• -90deg

• -180deg

• -270deg

• hériter

mode écriture (lr-tb, rl-tb, lr, rl)

baseline-shift (baseline, sub, super)

alignement vertical

propriétés_bloc propriétés héritables

id

D-12Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Groupe de propriétésPropriétés

bordure-rembourrage-arrière-plan-propriétésre-couleur-arrière-plan

image-arrière-plan

arrière-plan-position-verticale

arrière-plan-position-horizontale

frontière

bordure après couleur

bordure après style (aucun, pointillé, pointillé, solide, double)

bordure-après-largeur

bordure avant couleur

style bordure avant (aucun, solide)

bordure-avant-largeur

bordure-bas

bordure-bas-couleur

bordure-bas-style (aucun, pointillé, pointillé, solide, double)

bordure-bas-largeur

bordure-couleur

bordure-fin-couleur

style de bordure (aucun, pointillé, pointillé, solide, double)

bordure-fin-largeur

bordure-gauche

bordure-gauche-couleur

bordure de style gauche (aucun, pointillé, pointillé, solide, double)

bordure-gauche-largeur

frontière-droite

bordure-droite-couleur

bordure droite (aucune, pointillée, pointillée, solide, double)

bordure-droite-largeur

bordure-début-couleur

XSL-FO
Elem
entsD-13 pris en charge
Groupe de propriétés Propriétés

style border-start (aucun, pointillé, pointillé, solide, double)

bordure-début-largeur

bordure-haut

bordure-top-couleur

style bordure supérieure (aucun, pointillé, pointillé, solide, double)

bordure-haut-largeur

largeur_bordure

rembourrage

rembourrage-après

rembourrage-avant

rembourrage-fond

extrémité de rembourrage

rembourrage-gauche

rembourrage-droite

padding-start

rembourrage-haut

box-size-properties hauteur

Largeur

propriétés_caractère propriétés_police

texte-décoration

propriétés-inline-vides propriétés_caractère

bordure-remplissage-arrière-plan-propriétés

id

Couleur

D-14Guide du concepteur de rapports Middleware d’Oracle Business Intelligence pour Oracle Business Intelligence Publisher
Groupe de propriétés Propriétés

propriétés d’écoulement propriétés héritables

id

nom_flux

propriétés_police famille_police

taille_police

style de police (normal, italique, oblique)

font-weight (normal, gras)

table-omit-header-at-break (VRAI, FAUX, hériter)

table-omit-footer-at-break (VRAI, FAUX, hériter)

propriétés_graphiques bordure-remplissage-arrière-plan-propriétés

margin-properties-inline

box-size-properties

propriétés_police

keeps-and-breaks-properties-atomic

id

XSL-FO
Elem
entsD-15 pris en charge
Groupe de propriétés Propriétés

propriétés héritables bordure-remplissage-arrière-plan-propriétés

box-size-properties

margin-properties-inline

propriétés-zones

propriétés_caractère

propriétés liées à la ligne

leader-properties

keeps-and-breaks-properties-block

Couleur

position-absolue

• auto

• absolu

• fixe

• hériter

propriétés en ligne propriétés héritables

id

keeps-and-breaks-properties-atomic break-after (auto, colonne, page)

pause avant (auto,colonne)

garder-avec-suivant

keep-with-next.within-page

keeps-and-breaks-properties-block keeps-and-breaks-properties-inline

D-16Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Groupe de propriétés Propriétés

keeps-and-breaks-properties-inline keeps-and-breaks-properties-atomic

garder ensemble

keep-together.within-line

keep-together.within-column

keep-together.within-page

leader-properties modèle de ligne de repère (règle, points)

longueur_leader

leader-length.optimum (pointillé, pointillé, solide, double)

règle-épaisseur
alignement du texte (début, centre, fin, justifier, gauche, droite,
propriétés liées à la ligne hériter)

text-align-last (début, centre, fin, justifier, gauche, droite, hériter)

retrait de texte
traitement de l’alimentation en ligne (ignorer, conserver, traiter
comme un espace,
traiter comme zéro-largeur-espace, hériter )

traitement des espaces blancs (ignorer, préserver,


ignore-if-before-linefeed, ignore-if-after-linefeed,
ignore-if-surrounding-linefeed, hériter)

réduction des espaces blancs (FAUX, VRAI, hériter)

wrap-option (no-wrap, wrap, inherit)

direction (ltr)

margin-properties-block margin-properties-CSS

espace-après

espace-après.optimum

espace-avant

espace-avant.optimum

début-retrait

retrait de fin

XSL-FO
Elem
entsD-17 pris en charge
Groupe de propriétés Propriétés

margin-properties-CSS marge

marge-bas

marge-gauche

marge-droite

marge-haut

margin-properties-inline margin-properties-block

espace-start

space-start.optimum

extrémité de l’espace

space-end.optimum

position

• statique

• parent

• absolu

• fixe

• hériter
Ret
our
au
déb
ut
Gau
che

propriétés_région bordure-remplissage-arrière-plan-propriétés

propriétés-zones

nom_région

propriétés_région_latérale propriétés_région

étendue

D-18Guide du concepteur de rapports d’Amazon Fusion Middleware pour Oracle Business Intelligence Publisher
Index

Un C
Adobe Flash calculs en mise en page PDF,
conception de modèles, 20-1 option de profil de calendrier 19-13,
paramètres requis pour la sortie PDF, 20- spécification de calendrier 17-123,
2 éléments agrégés mise en surbrillance de cellule 17-
définition des propriétés, 10-21 123
alignement conditionnel dans les modèles RTF,
Modèle RTF, 17-42 graphiques 17-73
Analyseur pour Excel, 3-11 création dans les modèles RTF,
espace réservé de case à cocher 17-19
B création dans la mise en page
PDF, prise en charge des cases à
prise en charge en arrière-plan cocher 19-6
Modèles RTF, 17-47 Modèles RTF, 17-60
mise en forme des codes-barres choisir des relevés, 17-67
personnalisé, 17-128 prise en charge des images clipart, 17-30
codes-barres colonnes
inclus dans BI Publisher, alignement largeur fixe dans les
bidirectionnel des langues 17-126 tableaux, 17-43 colonnes
Modèle RTF, 17-42 conditionnelles
balises body Modèle rtf, mise en forme
Mise en page PDF, 19-8 conditionnelle 17-69, 17-64
Modèle RTF, 17-16 lignes de tableau, 17-71
Signets fonctionnalités de mise en forme
génération de signets PDF à partir d’un conditionnelle, propriétés de
modèle RTF, 17-58 configuration 17-64
insertion dans les modèles RTF, 17-55 priorité des niveaux, 22-1
total des pages reportées/reportées, 17- commande de contexte, 17-129
78 rapports croisés, 17-100
éclatement
planification de l’éclatement d’un D
rapport, mise en place 4-9, 14-2
modèle de données
définitions de composants,
modèles de données 8-1
options, 8-3

Indice-1
champs de date dans les modèles 19-5
RTF, signature numérique 17-45 champs de formulaire dans le modèle PDF, 19-4
ajout d’un champ de signature à une mise en
page PDF, affichage 19-19 G
langue de réglage, prise en
charge de dessin 2-4, prise en groupe
charge de champ de formulaire méthode RTF de base, définition
déroulant 17-30 17-13 dans la mise en page PDF,
Modèles RTF, 17-61 colonnes définition 19-8 dans le modèle RTF,
de données dynamiques, 17-103 17-12
exemple, 17-104 syntaxe, 17-12
table des matières dynamique dans le modèle RTF, 17- définition dans les modèles RTF,
58 méthode de champ de formulaire
17-6, 17-14
E scénarios de regroupement dans le modèle
RTF, 17-12 dans les modèles RTF , 17-5
fin à la page paire, 17-54
Tableaux de données etext, 21-6 H
Lignes de commande du modèle etext, 21-6
Tableau de commandes de configuration du en-têtes et pieds de page
modèle etext, 21-16 page paire différente première page , 17-17
forcer le rapport pour se différentes pages impaires et paires,
terminer, 17-54 Excel Analyzer, 17-17 insérant des espaces réservés,
3-11 17-16 multiples, 17-16
prérequis, 3-11 réinitialisation dans un fichier de sortie,
modèle RTF 17-97, 17-16
F texte masqué
prise en charge des modèles RTF ,
taille du fichier rupture de tableau horizontale 17-42,
techniques de réduction, sortie HTML 17-104
colonnes de largeur fixe A-1 contrôle des largeurs de table,
Modèles RTF, 17-43 liens hypertexte 22-11
Modèles Flash signets, 17-55
propriétés de configuration, dynamique, 17-55
conception 20-13, 20-1 insertion dans le modèle RTF, 17-55
téléchargement sur le serveur BI Publisher, interne, 17-55
20-13 FO statique, 17-55
éléments pris en charge, D-1
Éléments FO Je
utilisation dans les modèles RTF,
polices 17-138, B-19 si déclarations, 17-65, 17-65
externe, 17-124 Instructions IF
cartographie, 22-17 en texte libre, 17-65
mise en place, 17-124 déclarations if-then-else, 17-66
Pieds Images
Modèle RTF, 17-16 y compris dans le modèle RTF,
pour chaque groupe XSL 2.0 standard, 17-85 prédicat 17-18 IN
options de mise en forme dans les modèles PDF, 19- Structure de contrôle If-Then-Else
5 Modèles de texte électronique, 21-29
méthode de champ de formulaire
insertion d’espaces réservés, 17-9
options de propriétés de champ de formulaire dans le
modèle PDF,

Indice-2
numéros de page
L Mises en page PDF, 19-9
redémarrage dans un fichier de sortie,
Langue modèle RTF 17-97, 17-42
définition de la langue d’affichage, 2-4 totaux des pages
définition de la préférence de rapport, 2-4 avancé/reporté, insertion 17-78 dans le
dernière page modèle RTF, 17-76
prise en charge du contenu spécial, Paramètres
éditeur de mise en page 17-51 ajout au modèle de données, 11-1
caractéristiques, 16-1 mot de passe
LDAP changement, 2-4
utilisation comme source de données, 9-15 Mises en page PDF
paramètres régionaux exemple terminé, 19-14
définition de la préférence de rapport, 2-4 création à partir d’un fichier téléchargé,
19-17 définissant des groupes, 19-8
M définition de, 19-1
données de débordement, 19-17
balisage
sauts de page, 19-9
ajout au modèle PDF , 19-4 ajout au
numérotation des pages, 19-9
modèle RTF, 17-7
espaces réservés
prise en charge de pages
case à cocher, 19-6
multicolonnes, 17 à 46 en-têtes et
groupe de boutons radio, 19-7
pieds de page multiples
placement des champs répétitifs au moment de
Modèle RTF, 17-16
l’exécution, comportements d’exécution 19-15, 19-
15
N Sortie pdf
Prise en charge de l’espace de noms dans le gestion de fichiers volumineux, A-1
modèle RTF, sauts de page natifs 17-135 et Sortie PDF
numérotation des pages, 17-41 valeurs NULL invalide, 17-99
comment tester dans les données XML Modèle PDF
, conversion nombre-mot 17-85, B-16 ajout de balisage, 19-4
espaces réservés
types de, 19-5
O Modèles PDF
OLAP espaces réservés
définition en tant que type texte, 19-5
d’ensemble de données, formats de exemple de modèle de bon de commande, 19-2
sortie 9-14 enregistrement au format compatible avec Adobe
limitation par rapport, données de Acrobat 5.0, sources 19-1 pour les modèles de
débordement 18-6, 18-7 dans les mises document, modes pris en charge 19-2, 19-1 quand
en page PDF, 19-17 utiliser, 19-1

P tableau croisé dynamique


conception dans des modèles RTF , 17
sauts de page à 100 espaces réservés
Mises en page PDF, 19-9 méthode RTF de base, 17-8, 17-8
Modèle RTF, 17-41, sauts de champ de formulaire Méthode RTF,
page 17-49 et numérotation des 17-8, 17-9 dans les modèles PDF,
pages 19-4 dans les modèles RTF, 17-5
support natif, 17-41
numéro de page
définition initiale
Modèles RTF, 17-50

Indice-3
définition, 17-6, 17-8 modes pris en charge, 17-3
insertion dans l’en-tête et le pied de page de RTF méthode de base, 17-3
modèle, 17-16 méthode du champ de formulaire, 17-3
Mises en page PDF en utilisant XSL ou XSL:FO, 17-3
case à cocher, 19-6 Conception de modèles RTF
groupe de boutons radio, en-têtes et pieds de page, 17-16
19-7 modèles PDF Espaces réservés de modèle RTF, 17-8
texte, 19-5 totaux courants
types de, 19-5 Modèles RTF, 17-82
Sortie PowerPoint
considérations de conception, S
17-138 polices prédéfinies, 22-19
préférences exemple de modèle RTF
réglage, 2-3 balisage terminé, 17-11
définition de la langue recherche, 2-9
d’affichage , 2-4 définition des commande de contexte de section, 17-97
mots de passe, 2-4 définition définition du numéro de page initial
des paramètres régionaux du Modèles RTF, 17-50
rapport, 2-4 support de forme, 17-30
Propriétés classement
éléments agrégés, paramètre 10- Modèle RTF, 17-84
21 au niveau du modèle, 17-95 Fonctions SQL
Syntaxe BI Publisher pour, B-1
R utilisation dans les modèles RTF, 17-132
Fonctions SQL étendues pour BI Publisher, B-1
groupe de boutons radio modèles de style, 23-1
création dans des mises en syntaxe
page PDF, regroupement 19-7, Espace réservé du modèle RTF, 17-8
17-85 éléments répétitifs
Voir les groupes T
Format RTF (Rich Text Format)
définition, 17-2 fonctions de table
rupture de ligne colonnes à largeur fixe , 17-43 empêchant
prévention dans les modèles RTF, les lignes de se briser entre les pages
mise en forme de ligne 17-43 Modèle RTF, 17-43
conditionnel, 17-71 troncature de texte, 17-44
Espaces réservés RTF fonctions de table
syntaxe, 17-8 répétition des en-têtes de tableau
Modèle RTF Modèle RTF, 17-43
ajout de balisage, 17-7 Modèle RTF, 17-42
application d’éléments de conception, 17-7 prise en charge de la table des matières
définition, 17-2 Modèle RTF, 17-58
conception, 17-4 TABLE DES MATIÈRES dynamique, 17-58
groupes, 17-5 Tables
y compris les images, 17-18 contrôle des largeurs de tableau dans la sortie
fonctionnalités de mise en forme HTML, 22-11
natives, 17-41 espaces réservés, 17- Tables
5 prérequis, 17-3 pause de table horizontale, 17-104
exemple de modèle de conception, 17-4

Indice-4
Générateur de modèles, 18-3variable declaration, 17-136
prérequis, 18-3
espace réservé de texte
création dans un modèle PDF, 19-5
troncature de texte dans les tableaux, 17-44
fuseau horaire
paramètre pour les rapports, 2-4
Totaux
reporté/reporté, 17-78
insertion des totaux de page dans le modèle RTF, 17-76
course
Modèles RTF, 17-82

U
variables pouvant être mises à jour
Modèles RTF, 17-92

V
Variables
Modèles RTF, 17-92

W
Filigranes
Modèles RTF, 17-47
Service web
définition comme source de données, 9-22
formats pris en charge, 9-22

X
Fichier de données XML
exemple, 17-4
Fichier XML
comment lire, 17-5
Éléments XSL:FO
utilisation dans les modèles RTF, 17-132
Éléments XSL
appliquer une règle de modèle, 17-135
Syntaxe de BI Publisher pour , B-18
modèle d’appel, 17-136
copier le nœud actuel, 17-136
définir l’élément racine de la feuille de style, 17-
137
importer une feuille de style, 17-136
modèle de déclaration, 17-136
utilisation dans les modèles RTF, 17-135

Indice-5

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