Fiscalite Plus Que Les Notes
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C’est un prélèvement obligatoire (imposée par l’État) pécuniaire (en monnaie nationale) à titre
définitif, sans contrepartie mais seulement pour financer les dépenses publiques (il n'y a pas de
prestation directe fournie par l'État à la personne ou à l'entreprise. L'impôt est considéré comme une
source de financement pour les activités les projets et les politiques de l'État).
b) La taxe :
C’est un prélèvement obligatoire pécuniaire à titre définitif avec contrepartie (une prestation
directe est fournie par l'État à la personne ou à l'entreprise. Cette prestation peut être sous forme de
service public, d'infrastructure ou de régulation).
Est-ce que les redevances et les prélèvements parafiscaux sont des taxes ?
Au Maroc, les redevances et les prélèvements parafiscaux ne sont pas considérés comme des taxes.
Bien que ces termes soient souvent utilisés de manière interchangeable avec le terme "taxe", ils ont
des définitions légales distinctes.
Une redevance est une somme d'argent que l'on doit payer pour l'utilisation d'un bien public ou d'un
service fourni par l'État. Par exemple, les redevances peuvent être prélevées pour l'utilisation de
routes, de ports ou d'aéroports. En général, les redevances sont proportionnelles aux coûts engagés
par l'État pour fournir le service ou le bien public.
Les prélèvements parafiscaux sont des contributions financières obligatoires prélevées sur certaines
activités économiques, mais qui ne sont pas destinées à être utilisées pour financer les dépenses de
l'État. Les prélèvements parafiscaux peuvent être prélevés par des organisations professionnelles,
des associations ou des conseils interprofessionnels. Par exemple, au Maroc, le Conseil
Interprofessionnel du Vin peut prélever une taxe sur la production de vin pour financer ses propres
activités. Les prélèvements parafiscaux ne sont pas considérés comme des taxes car ils sont prélevés
pour financer des activités particulières plutôt que de fournir une source générale de revenus pour
l'État.
Impôt direct : est un impôt qui est prélevé directement sur les revenus ou les actifs des personnes
physiques ou morales. Cela signifie que la charge fiscale de l'impôt est supportée directement par la
personne qui paie l'impôt. Les impôts directs les plus courants au Maroc sont l'impôt sur le revenu,
l'impôt sur les sociétés, l'impôt foncier, et l'impôt sur la fortune.
Un impôt indirect : est un impôt qui est prélevé sur la vente ou la consommation de biens et de
services. Les impôts indirects les plus courants au Maroc sont la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), les
droits de douane et les droits d'accises sur certains produits tels que l'alcool et le tabac.
Donc pour l’impôt indirect s’il n’y a pas de la consommation y a pas d’impôt.
Est un impôt personnel et direct assis sur l’ensemble des bénéfices ou revenues des sociétés ou
autres personnes morales sous réserves des exemptions et des exclusions prévues par la loi fiscale
en vigueur (2023).
Direct : dès qu’on reçoit le revenu/ les bénéfices on est également taxé (avant la distribution des
bénéfices).
Personnel : tient compte la situation et la qualité de la personne impôt réel qui suit la matérialité
de l’opération qlq soit la personne.
2) Terminologie :
Les sociétés, les établissements publics, les associations et autres organismes assimilés, les fonds, les
établissements des sociétés non résidentes ou l’établissement des groupements desdites sociétés et
les autres personnes morales passible de l’impôt sur société.
La société doit remplir les critères de commercialité : par objet, par nature, ou par accessoire.
Sous réserve de l’application des conventions fiscales internationales de non double imposition :
Toute société quel que soit le lieu de son siège est soumise à l’impôt sur société en considération de
l’ensemble de ses bénéfices ou revenus de source marocaine se rapportent aux biens qu’elle possède
aux activités qu’elle exerce et aux opérations lucrative qu’elle réalise au Maroc même a titre
occasionnel.
Les sociétés ayant leurs sièges hors du Maroc sont en outre imposables en raison des produits bruts
qu’elles réalisent sur les travaux effectués par elles ou des services rendus soit pour le compte de
leurs propre succursales marocaines soit pour le compte de personnes physiques ou morales
domiciliés ou exerçant une activité au Maroc.
Par option :
Les sociétés en nom collectif (SNC), les sociétés en commandite simple (SCS), et les
sociétés de participation constituées au Maroc et comprenant que des personnes
physiques.
Pour les sociétés nouvellement créées, sur la déclaration prévue à l’article 148 ci-dessous ;
Pour les sociétés en cours d’exploitation, sur une demande établie sur ou d’après un
imprimé-modèle établi par l’administration, dans les quatre (4) mois qui suivent la clôture de
leur dernier exercice, remise contre récépissé ou adressée par lettre recommandée avec
accusé de réception au service des impôts du lieu de leur domicile fiscal ou de leur principal
établissement.
Les sociétés ayant opté pour l’IS sont assujetties à l’IS dans les conditions du droit commun
Les sociétés en nom collectif et les sociétés en commandite simple constituées au Maroc
et ne comprenant que des personnes physiques ainsi que les sociétés en participation
(qui ont opté pour l’IR).
Les sociétés de fait ne comprenant que des personnes physiques.
Les sociétés à objet immobilier, quelle que soit leur forme, dont le capital est divisé en
parts sociales ou actions nominatives :
Lorsque leur actif est constitué soit d'une unité de logement occupée en totalité ou en
majeure partie par les membres de la société ou certains d'entre eux, soit d'un terrain destiné à cette
fin.
Lorsqu’elles ont pour seul objet l'acquisition ou la construction, en leur nom, d'immeubles
collectifs ou d'ensembles immobiliers, en vue d'accorder statutairement à chacun de leurs membres,
nommément désigné, la libre disposition de la fraction d'immeuble ou d'ensemble immobilier
correspondant à ses droits sociaux. Chaque fraction est constituée d'une ou plusieurs unités à usage
professionnel ou d'habitation susceptibles d'une utilisation distincte.
Les sociétés immobilières visées ci-dessus sont appelées « sociétés immobilières transparentes »
dans le présent code.
d) Les exonérations :
Les exonérations permanentes :
Les associations et les organismes légalement assimilés à but non lucratif, pour les seules
opérations conformes à l'objet défini dans leurs statuts.
La Ligue nationale de lutte contre les maladies cardio-vasculaires.
La Fondation Hassan II pour la lutte contre le cancer.
Les associations d'usagers des eaux agricoles pour les activités nécessaires à leur
fonctionnement ou à la réalisation de leur objet.
La Fondation Cheikh Zaïd Ibn Soltan.
La Fondation Mohammed V pour la solidarité.
La Fondation Mohammed VI de promotion des œuvres sociales de l'éducation formation.
L’Office national des œuvres universitaires sociales et culturelles.
Les coopératives et leurs unions légalement constituées dont les statuts, le fonctionnement
et les opérations sont reconnus conformes à la législation et à la réglementation en vigueur
régissant la catégorie à laquelle elles appartiennent. (Cette exonération est accordée dans les
conditions prévues à l’article 7-I à savoir : CA < 10 000 000dhs et la transformation de MP).
Les sociétés non résidentes au titre des plus-values réalisées sur les cessions de valeurs
mobilières cotées à la bourse des valeurs du Maroc, à l’exclusion de celles résultant de la
cession des titres des sociétés à prépondérance immobilière.
La Banque Islamique de Développement (B.I.D.)
La Banque Africaine de Développement (B.A.D.)
La Société Financière Internationale (S.F.I.)
L’Agence Bayt Mal Al Quods Acharif.
L’Agence de Logements et d'Equipements Militaires (A.L.E.M.).
Les fonds de placements collectifs en titrisation (FPCT).
Les organismes de placement collectif en capital (O.P.C.C.).
La Société Nationale D’aménagement Collectif (S.O.N.A.D.A.C.), au titre des activités,
opérations et bénéfices résultant de la réalisation de logements sociaux afférents aux projets
« Annassim », situés dans les communes de Dar Bouazza et Lyssasfa et destinés au
recasement des habitants de l’ancienne médina de Casablanca.
La société "Sala Al-Jadida".
L’Agence pour la promotion et le développement économique et social des préfectures et
provinces du Nord du Royaume.
L’Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du Sud
du Royaume.
L’Agence pour la promotion et le développement économique et social de la préfecture et
des provinces de la région orientale du Royaume.
L’Agence Spéciale Tanger-Méditerranée.
L’Université Al Akhawayne d’Ifrane.
La Fondation Cheikh Khalifa Ibn Zaïd.
Sous réserve des dispositions transitoires prévues à l’article 247- XXIII ci-dessous, les
exploitations agricoles réalisant un chiffre d’affaires annuel inférieur à cinq millions
(5.000.000) de dirhams, au titre de leurs revenus agricoles tels que définis à l’article 46 ci-
dessous. Cette exonération ne s’applique pas aux autres catégories de revenus non agricoles
réalisés par les sociétés concernées. Toutefois, lorsque le chiffre d’affaires réalisé au cours
d’un exercice donné est inférieur à cinq millions (5.000.000) de dirhams, l’exonération
précitée n’est accordée que lorsque ledit chiffre d’affaires est resté inférieur à ce montant
pendant trois (3) exercices consécutifs19 ;
La Fondation Lalla Salma de prévention et traitement des cancers.
Les organismes de placement collectif immobilier (O.P.C.I).
La Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement.
La Ligue Marocaine pour la protection de l’enfance.
Les fédérations et les associations sportives reconnues d'utilité publique.
Exonérations permanentes en matière d’impôt retenu à la source (Prof machre7hach
mais kaina f la CGI).
Exonérations temporaires :
Le titulaire ou, le cas échéant, chacun des co-titulaires de toute concession d'exploitation des
gisements d'hydrocarbures bénéficie d'une exonération totale de l'impôt sur les sociétés
pendant une période de dix (10) années consécutives courant à compter de la date de mise
en production régulière de toute concession d'exploitation.
Les sociétés exploitant les centres de gestion de comptabilité, sont exonérées de l'impôt sur
les sociétés au titre de leurs opérations, pendant une période de quatre (4) ans suivant la
date de leur agrément.
Les entreprises hôtelières bénéficient, au titre de leurs établissements hôteliers pour la
partie de la base imposable correspondant à leur chiffre d’affaires réalisé en devises dûment
rapatriées directement par elles ou pour leur compte par l’intermédiaire d’agences de
voyages de l’exonération totale de l’impôt sur les sociétés pendant une période de cinq (5)
ans consécutifs qui court à compter de l’exercice au cours duquel la première opération
d’hébergement a été réalisée en devises.
Bénéficient également de l’exonération précitée, pour la partie de la base imposable
correspondant à leur chiffre d’affaires réalisé en devises dûment rapatriées directement par
elles ou pour leur compte par l’intermédiaire d’agences de voyages :
Les sociétés de gestion des résidences immobilières de promotion
touristique, telles que définies par la loi n° 01-07 édictant des mesures
particulières relatives aux résidences immobilières de promotion touristique
et modifiant et complétant la loi n° 61-00 portant statut des établissements
touristiques.
Les établissements d’animation touristique dont les activités sont fixées par
voie réglementaire.
Cette exonération est accordée à condition que les entreprises hôtelières et les
établissements d’animation touristique concernés produisent, en même temps que les
déclarations prévues aux articles 20, 82, 85 et 150 ci-dessous, un état faisant ressortir.
L’ensemble des produits correspondants à la base imposable.
Le chiffre d’affaires réalisé en devises par chaque établissement hôtelier,
ainsi que la partie de ce chiffre d’affaires exonéré de l’impôt.
Les sociétés de services ayant le statut « Casablanca Finance City », (à l’exclusion des
établissements de crédit et des entreprises d’assurances et de réassurance) bénéficient de
l'exonération totale de l’impôt sur les sociétés pendant une période de cinq (5) exercices
consécutifs, à compter du premier exercice d’octroi du statut précité. Toutefois, cette
exonération cesse d’être appliquée à l’expiration des soixante (60) premiers mois qui suivent
la date de constitution des sociétés concernées.
Les sociétés sportives relative à l’éducation physique et aux sports bénéficient de
l'exonération totale de l’impôt sur les sociétés pendant une période de cinq (5) exercices
consécutifs, à compter du premier exercice d’exploitation.
Les entreprises qui exercent leurs activités dans les zones d’accélération industrielle
bénéficient de l'exonération totale de l’impôt sur les sociétés durant les cinq (5) premiers
exercices consécutifs, à compter de la date du début de leur exploitation.
Toutefois et nonobstant toutes dispositions contraires, cette exonération ne s’applique pas
aux entreprises suivantes :
Les sociétés qui exercent leurs activités dans lesdites zones dans le cadre d’un
chantier de travaux de construction ou de montage
Les établissements de crédit et organismes assimilés ayant cette qualité
conformément à la législation en vigueur
Les entreprises d’assurances et de réassurance et les intermédiaires d’assurances,
ayant cette qualité conformément à la législation en vigueur
L’Agence spéciale Tanger-Méditerranée, ainsi que les sociétés intervenant dans la réalisation,
l’aménagement, l’exploitation et l’entretien du projet de la zone spéciale de développement
Tanger-Méditerranée et qui s’installent dans les zones d’accélération industrielle bénéficient
de l'exonération totale de l’impôt sur les sociétés durant les cinq (5) premiers exercices
accordée aux entreprises installées dans lesdites zones.
Le résultat fiscal de chaque exercice comptable est déterminé d'après l'excédent des produits
courants et non courants provenant des opérations de toute natures effectuées par les sociétés
pour les besoins de l’activité imposable.
Ledit résultat est rectifie de façon extracomptable conformément aux dispositions prévues par la
loi fiscale en vigueur (2023).
Le résultat fiscal se calcule sur la base de résultat comptable (Résultat du compte de produit et
des charges CPC) :
RC= Produits imposables - charges déductibles + Produits non imposables - charges non déductibles.
Les subventions et dons reçus de l'Etat, des collectivités locales ou des tiers sont rapportés à
l'exercice au cours duquel ils ont été perçus.
Toutefois, s’il s’agit de subventions d’investissement, la société peut les répartir sur la durée
d’amortissement des biens financés par lesdites subventions ou sur une durée de dix (10) exercices
lorsque les subventions précitées sont affectées à l’acquisition de terrains pour la réalisation des
projets d’investissement.
Ne sont pas considérés comme produits imposables, les produits de cession résultant des opérations
suivantes :
On entend par produit de la cession des valeurs, des titres, des effets ou immeubles, la différence
entre leur valeur réelle au jour de la défaillance et leur valeur comptable dans les écritures du
cédant.
Ne sont pas également considérés comme produits imposables, les produits des cessions des
participations des établissements et entreprises publics et de leurs filiales, réalisés dans le cadre des
opérations de transfert prévues par l’article premier de la loi n° 39-89 autorisant le transfert
d’entreprises publiques au secteur privé.
Charges déductibles :
Pour les immobilisations acquises à un prix libellé en devises, la base de calcul des amortissements
est constituée par la contre-valeur en dirhams à la date de l’établissement de la facture.
Le taux d'amortissement du coût d'acquisition des véhicules de transport de personnes, ne peut être
inférieur à 20% par an et la valeur totale fiscalement déductible, répartie sur cinq (5) ans à parts égales,
ne peut être supérieure à (300 000) dirhams TTC, au-delà de ce montant0, la dotation est non
déductible.
Lorsque lesdits véhicules sont utilisés par les entreprises dans le cadre d'un contrat de crédit-bail ou
de location, la part de la redevance ou du montant de la location supportée par l'utilisateur et
correspondant à l'amortissement au taux de 20% par an sur la partie du prix du véhicule excédant trois
cent mille (300 000) dirhams, n'est pas déductible pour la détermination du résultat fiscal de
l'utilisateur.
o Les intérêts constatés ou facturés relatifs aux sommes avancées par les associés à la
société pour les besoins de l'exploitation,
À condition que le capital social soit entièrement libéré. (L’intégralité du
capital social a été entièrement versée par les actionnaires et les associés et
est donc disponible pour être utilisé par l’entreprise), sans aucune dette ou
obligation restante.
Effet de commerce
Virement bancaire
Procédé électronique
Par compensation
Ne sont pas déductibles du résultat fiscal, les montants des achats, des travaux et
des prestations de services non justifiés.
Déficit reportable
Le déficit d'un exercice comptable peut être déduit du bénéfice de l'exercice comptable suivant. A
défaut de bénéfice ou en cas de bénéfice insuffisant pour que la déduction puisse être opérée en
totalité ou en partie, le déficit ou le reliquat de déficit peut être déduit des bénéfices des exercices
comptables suivants jusqu'au quatrième exercice qui suit l'exercice déficitaire.
5) Liquidation de l’IS
Calcul de l’IS
1) 1ere étape : Détermination du résultat comptable :
= les produits courants et non courants = les charges et non courantes engagées par les
besoins de l’activité.
2) 2eme étape : détermination du résultat fiscal avant impôt :
(A travers les rectifications extra comptables conformément aux dispositions prévues par la
loi fiscale en vigueur)
+ Réitération des charges au résultat net comptable parce qu’elles sont fiscalement non
déductibles ou constitues des libéralités.
- Déductions des produits qui sont totalement ou partiellement exonères ou soumis à
l’abattement ou qu’ils ont été antérieurement taxes.
Imputation des déficits : les déficits peuvent être déduits des bénéfices des exercices
comptables suivants jusqu’au 4eme exercice qui suit l’exercice déficitaire.
3) 3eme étape : calcul de l’impôt :
Application du taux d’imposition correspondant au résultat net fiscal annuel.
NB : Calcul de la cotisation minimale :
La cotisation minimale n’est pas dû par les nouvelles entreprises au-delà de 36mois suivant
le début de leur exploitation.
Base de calcul = CA.HT + Produits accessoires + Produits financiers (sauf produits de
participation) + subventions et primes reçus
Taux unifié de 0,25 % à toutes les entreprises quel que soit le résultat courant hors
amortissement déclaré.
Taux de 0,15% pour les opérations effectuées par les entreprises commerciales au titre des
ventes portant sur certains produits réglementés (Gaz, beurre, huile, sucre, farine, eau,
électricité).
NB : le minimum à payer par les sociétés éligibles est de 3000 dh
En cas ou l’IS est inferieurs à la CM celle-ci reste due :
On va ramener les taux vers les taux cibles : convergence vers les taux cibles.
Il convient de noter que les modalités de taxation diffèrent selon plusieurs critères dont notamment
la nature de l’activité et le lieu d’implantation.
Les taux seront majorés ou minores selon le cas au titre des exercices ouverts allant du 01
Janvier 2023 au 31 Décembre 2026.
Exemple : (Majoré) Société dont le bénéfice <= 300 000dhs.
Exemple : (Minoré) Société a activité industrielle dont le bénéfice <= 1 000 000dhs.
NB : Les acomptes prévisionnels dues seront calculés selon les taux de l’exercice en cours.
Taux en vigueur avant le 01/01/2023 10% 15% 20% 26% 31% 37%.
Acomptes= des avances sur l’impôt (en se basant sur l’année passée).
L’impôt sur les sociétés donne lieu au titre de l’exercice comptable en cours, au versement par la
société de quatre acomptes prévisionnels dont chacun est égal a 25% du montant de l’impôt du au
titre du dernier exercice clos appelé « Exercice de référence ».
Les versements des acomptes prévisionnels visés ci-dessus sont effectués spontanément auprès du
receveur de l’administration fiscale du lieu du siège social ou du principal établissement au Maroc de
la société avant l’expiration des 3e, 6e, 9e, et 12e mois suivant la date d’ouverture de l’exercice
comptable au cours.