CCTP Secu Incendie
CCTP Secu Incendie
CCTP Secu Incendie
Ce C.C.T.P. a pour objet de préciser les règles à respecter en vue de la réalisation des installations
de système de sécurité incendie dans les bâtiments devant abriter l’Ecole Nationale des Enseignants du
Primaire (ENEP) de Dédougou.
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- Ensemble des cheminements secondaires liés au SSI et mise à la terre associée ;
- Paramétrages de l’ensemble et essais.
Les travaux suivants (liste non exhaustive) sont à la charge du présent lot :
Les installations de détection et protection contre l'incendie, objet du présent lot, devront
répondre aux prescriptions et spécifications des textes réglementaires suivants :
o Loi n°017-2006/AN du 18 mai 2006 portant code de l’urbanisme et de la construction au Burkina
Faso,
o Arrêté du 31 janvier 1986 relatif à la sécurité incendie dans les bâtiments d’habitation et son
modificatif,
Echantillons
Pour le matériel spécifique, l'entrepreneur fournira, pour chaque appareil, une documentation
complète accompagnée des caractéristiques techniques.
Esthétique
L’entrepreneur sera tenu d’avoir terminé ses essais au minimum un mois avant réception des
travaux et de faire la preuve de l’exécution de ceux-ci en fournissant un dossier d’essais complet.
Toutes les fournitures nécessaires aux essais seront à la charge de l'entreprise (talkie-walkie,
location d’un générateur de foyer type, foyer type 3 de type « buchettes de hêtre », et fumigènes…).
Tous les moyens en hommes et en matériels nécessaires à la réalisation de ces essais seront à la
charge du présent lot. Il est entendu que le technicien ayant procédé à la mise au point des
programmations et essais préalables sera obligatoirement présent.
Le dossier des Ouvrages sera indépendant du dossier d’identité du Système de Sécurité Incendie et
sera validé par le BET.
Le DOE sera remis sous support papier et informatique en format PDF, les plans étant remis quant à
eux au format PDF et DWG.
Entretien et maintenance
Il fournira une liste de contrôle du matériel et des essais, d'une part au client et d'autre part au bureau
d'études au moment de l'établissement du marché.
Les vérifications techniques devront être faites par une structure agréée ou un technicien compétent
L’entrepreneur devra mettre en place un registre de sécurité dans lequel seront annexés tous les contrats
d’entretien, les certificats de conformité et les travaux d’entretien des appareils et système de sécurité.
Formation
La formation des personnels fait partie intégrante de la prestation. Les personnes à former seront :
- Le personnel de surveillance,
- Les responsables de la sécurité,
- Le personnel du service de sécurité,
- Le personnel de maintenance.
Les formations devront permettre aux personnels concernés de maîtriser parfaitement les fonctions
attachées à son niveau de formation.
Des exercices pratiques ayant pour objet d’entrainer le personnel sur la conduite à tenir en cas d’incendie
ainsi que des exercices d’évacuation devront être organisés par l’entreprise.
L'entreprise sera responsable de ses ouvrages jusqu'à la réception définitive des travaux. Elle devra en
assurer la protection pendant toute la durée du chantier. Elle assurera le nettoyage de ses ouvrages, y
compris l'enlèvement hors chantier et abords, des gravois, emballages, chute de matériaux.
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II - PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DES EQUIPEMENTS
2.1 Généralités
Conformément à la notice de sécurité incendie, les infrastructures sont classées en ERP type R (3ème, 4ème
et 5ème catégorie), type N (4ème et 5ème catégorie), type W (2ème et 5ème catégorie), type L (2ème et 5ème
catégorie), type U (5ème catégorie) et en HABITATION 1ère famille.
A partir de ces classements, les systèmes de sécurité incendie à mettre en place sont un SSI de catégorie A
pour les Dortoirs, un SSI de catégorie C pour l’Amphithéâtre et un SSI de catégorie E dans les Salles
de Formation type R+1.
• Le SSI de catégorie A comprend :
o Un tableau de signalisation (TS) ou Equipement de contrôle et de signalisation (ECS)
o Des détecteurs automatiques
o Des déclencheurs manuels
o Des indicateurs d’action
o Des tableaux de report d’alarme
o Une Unité de gestion d’alarme (UGA 1)
o Des diffuseurs sonores
- de type 2b comprenant :
dispositif de commandes manuelles
bloc autonome d’alarme sonore de type Pr
bloc autonome d’alarme sonore de type Sa
Il pourrait être mis en œuvre deux moyens différents pour indiquer au système un début d’incendie.
L’un totalement manuel, réalisé au moyen de déclencheurs manuels, permet d’informer le système d’une
action volontaire sur un de ces dispositifs.
L’autre autonome, réalisé au moyen de détecteurs automatiques (fumée, thermo vélocimétrique, flamme),
renvoi au système une information de détection d’un départ d’incendie.
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De prime abord, les catégories de SSI qui sont définies dans le cadre de ce projet comprennent
prioritairement des détecteurs manuels, cependant, des détecteurs automatiques pourront être utilisés.
Ensemble comprenant :
- Une boite d’encastrement
- Un cadre venant se fixer sur la boîte d’encastrement
- Une membrane déformable sous simple pression d'un doigt et réarmable par clé
- Un bouton poussoir maintenu enclenché par la membrane déformable
- Une diode électroluminescente de signalisation
- Un emplacement pour mise en place de la clef de test
Une mention ou un logo sur chaque boîtier explicitera de façon claire l’action à mener pour activer le
bouton pressoir. L’utilisation de vitre ou d’élément à remplacer lors de la percussion sur les déclencheurs
manuels est totalement exclue. Ces boîtiers seront placés à 1,30 m du sol fini et installés en encastré.
a) Généralités
Il sera installé un détecteur dans les circulations, les locaux désenfumés et certains autres locaux.
Confère plans techniques et cahier des charges fonctionnel du SSI. Tous les détecteurs ponctuels employés
seront interchangeables par simple démontage de la tête d'analyse de son socle et disposeront d’un
indicateur d’alarme visuel.
Les détecteurs seront posés avec un grand soin d'esthétique. Ils seront correctement fixés à la dalle béton
ou au faux-plafond. En phase chantier, afin de permettre une pose suffisamment anticipée sans
encrassement des détecteurs et également afin de permettre d’effectuer assez tôt les tests de
fonctionnement, les détecteurs seront enfermés sous un capotage transparent garantissant l’étanchéité
aux poussières des têtes de détection.
Détecteur fonctionnant sur le principe soit de la réflexion d’un faisceau lumineux sur les particules de
fumée introduites dans une chambre d’analyse, soit sur le principe de l’opacification de la chambre
d'analyse par les fumées entraînant la réduction de performance d’un faisceau lumineux. Il aura pour
autres caractéristiques :
- Interchangeabilité simple
- Sensibilité à la fumée suivant règles R7
- Encrassement de la chambre de mesure très limité
- Isolateur systématique
- Entretien facile
Dans la zone cuisine Réfectoire par exemple, il conviendra de prendre en compte les dégagements de
fumée et /ou forte élévation de température du local pour le réglage des seuils de chaque technologie.
- Interchangeabilité simple
- Sensibilité à la température suivant règles R7
- Isolateur systématique
- Entretien facile
d) Indicateur d’action
Ces indicateurs d’action serviront à identifier le changement d’état d’un détecteur d’un local depuis
l’extérieur de ce dernier, ils assureront la répétition de l’allumage de la diode du détecteur ou groupe de
détecteurs.
En règle générale, tous les locaux sauf les circulations du bâtiment seront équipés d'indicateurs d'action.
Ils seront installés en circulation à proximité de la porte du local (en partie haute). Pour les modèles
devant être placés à l’extérieur, il pourra être fait usage de boites étanches pour en assurer leur protection
contre les intempéries.
L'équipement d'alarme de type 2B sera constitué d'un BAAS Pr, comportant 2, 4 ou 8 boucles de détection,
une sortie BAAS pour piloter une zone d’évacuation.
Dès le début de l'alarme restreinte, les issues de secours seront déverrouillées et les portes coupe-feu (s'il
n'y a pas de DCS) seront actionnées.
Un Dispositif de Commande et de Signalisation (DCS) pourra compléter le SSI de catégorie C pour assurer
les fonctions de compartimentage et de désenfumage.
Caractéristiques principales
- Tableaux de 2, 4 ou 8 boucles de détection au choix, pouvant recevoir chacune 30 DM
- 2 contacts auxiliaires pour piloter des portes coupe-feu ou des asservissements techniques
- Une sortie pour commander les BAAS type Sa (73 BAAS maximum)
- alimentation sur secteur secourue par batterie.
Le tableau devra être installé à un emplacement non accessible au public et surveillé pendant les heures
d’exploitation de l’établissement. Il devra être visible du personnel de surveillance et ses organes de
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commande et de signalisation devront demeurer facilement accessibles. Le tableau devra être fixé aux
éléments stables de la construction.
Le renvoi à distance des informations de fonctionnement et d’alarme pourra être assuré par un tableau de
synthèse de type Mosaic raccordé au tableau d’alarme (2 tableaux de synthèse maximum par tableau
d’alarme).
Les BAAS devront être installés hors de portée du public, soit par éloignement (hauteur minimum 2,25 m).
Dans certains cas d’équipement d’alarme, un message pré-enregistré prescrivant clairement l’ordre
d’évacuer devra interrompre l’alarme. Des BAAS avec flash compléteront l’installation pour les locaux
bruyants ou occupés par des personnes sourdes ou malentendantes.
L’équipement d’alarme de type 3 sera composé à minima d’un BAAS de type Ma et d’un DM.
Les BAAS de type Ma seront conformes aux normes NF C 48-150, NF S 61-936, NF S 32-001. Ils seront
dotés d’un avertisseur sonore (classe B) émettant le son normalisé d’évacuation NF S 32-001 avec un
niveau sonore de 90 dB à 2m.
Le signal sonore pourra être renforcé par un signal lumineux émettant un flash de couleur rouge pour
signifier aux personnes sourdes et malentendantes, la nécessité d’évacuer les lieux. Ce dispositif lumineux
améliorera aussi la perception du signal sonore d’évacuation auprès du public valide dans les locaux
bruyants.
Dans certains types de bâtiments (de type M ou de type L), on utilisera des BAAS Ma Me, autrement dit des
BAAS avec message parlé standardisé pour capter l’attention du public et l’informer d’évacuer les lieux par
les sorties les plus proches avant de lancer le son normalisé d’évacuation NF S 32-001.
Enfin, ces BAAS à message pourront être complétés par un signal lumineux de couleur rouge pour
améliorer le signal d’évacuation général auprès des personnes sourdes ou malentendantes. Les BAAS
seront dotés d’un contact auxiliaire RCT permettant notamment d’actionner la fermeture de portes coupe-
feu en cas d’incendie ou d’actionner la coupure sonore et la remise en lumière.
Les BAAS Ma seront dotés d’une autonomie de 72H en cas d’absence secteur. Ils s’autotesteront
périodiquement permettant ainsi de déceler et de signaler sur l’Interface Homme/Machine (IHM) du
produit tout défaut de fonctionnement ainsi que la présence d’une batterie dont la capacité serait trop
faible pour assurer une évacuation en toute sécurité.
Les BAAS devront être installés hors d’atteinte du public (hauteur minimum : 2,25 m du sol). Ils devront
être installés en nombre suffisant, de sorte que le signal sonore d’évacuation générale soit perceptible en
tout point du bâtiment.
Il sera doté d’un avertisseur sonore émettant le son normalisé d’évacuation NF S 32-001.
Selon la surface du bâtiment, le tableau d’alarme retenu sera alimenté 220 V par le secteur et doté d’1 à 2
boucles de DM et d’une sortie pour dispositifs d’évacuation, diffuseurs sonores (DS) et diffuseurs lumineux
(DL).
Il sera aussi équipé d’un contact auxiliaire RCT pour y raccorder éventuellement des Blocs Autonomes
d’Alarme Sonore Satellites (BAAS Sa).
Le tableau d’alarme sera doté d’une autonomie d’au moins 72H pour palier à toute absence secteur.
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Il s’autotestera périodiquement permettant ainsi de déceler et de signaler sur l’Interface Homme/Machine
(IHM) du produit tout défaut de fonctionnement, notamment une capacité batterie trop faible pour assurer
une évacuation en toute sécurité.
Le tableau d’alarme type 4 devra être installé hors d’atteinte du public (hauteur mini : 2,25 m du sol).
Les Blocs Autonomes d’Alarme Sonore Satellites (BAAS Sa) seront conformes aux normes NF C 48-150, NF
S 61-936, NF S 32-001 et pourront être installés en complément ou en lieu et place des diffuseurs sonores
d’alarme feu.
Le signal sonore pourra être renforcé par un signal lumineux émettant un flash de couleur rouge conforme
à la norme NF S 61-936 pour signifier aux personnes sourdes et malentendantes, la nécessité d’évacuer les
lieux.
Ce dispositif lumineux améliorera aussi la perception du signal sonore d’évacuation auprès du public valide
dans les locaux bruyants.
Les BAAS Sa à faible émission sonore (classe A) pourront être utilisés dans les sanitaires en lieux et place
des diffuseurs lumineux. Leurs flashs devront pouvoir être synchronisé si plus d’un BAAS Sa de ce type se
trouvent dans la même pièce afin de réduire les risques d’aveuglement lors de l’évacuation ainsi que les
risques de crises épileptiques auprès d’un public sensible.
Les BAAS Sa seront dotés d’une autonomie de 72H en cas d’absence secteur. Ils s’autotesteront
périodiquement permettant ainsi de déceler et de signaler sur l’Interface Homme/Machine (IHM) du
produit tout défaut de fonctionnement ainsi que la présence d’une batterie dont la capacité serait trop
faible pour assurer une évacuation en toute sécurité.
e) Diffuseurs sonores
Conformes aux normes NF EN 54-3, NF S 61-936 et certifiés CE DPC, devront être installés en nombre
suffisant et répartis judicieusement sur la surface de l’établissement afin que le signal sonore d’évacuation
générale qu’ils émettent soit audible en tout point du bâtiment.
Ils devront être installés hors de portée du public (hauteur minimum : 2,25m du sol). Le signal sonore
pourra être renforcé par un signal lumineux émettant un flash de couleur rouge conformément à la norme
NF S 61-936 pour signifier aux personnes sourdes et malentendantes, la nécessité d’évacuer les lieux.
Ce dispositif lumineux améliorera aussi la perception du signal sonore d’évacuation auprès du public valide
présent dans les locaux bruyants.
Dans les locaux humides ou à risque de projection d’eau, des DS étanches IP65 seront installés.
Pour les locaux avec murs en verre ou murs avec charte graphique ou avec la volonté de rendre le plus
discret possible et donc d’intégrer au mieux au bâti les différents dispositifs incendie, on utilisera les
diffuseurs sonores encastrables en faux-plafond.
Description
Le Robinet d’Incendie Armé (RIA) est un équipement de lutte contre l’incendie de première intervention,
alimenté en permanence en eau, permettant à toute personne non spécialisée, d’agir immédiatement et
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efficacement sur un début d’incendie en attendant si nécessaire, que des moyens plus puissants soient mis
en œuvre.
Règlementation
Les RIA sont conformes aux normes :
- EN 671-1 Installations fixes de lutte contre l’incendie. Systèmes équipés de tuyaux. Robinets
d’Incendie Armés équipés de tuyaux semi-rigides.
- EN 694 Tuyaux semi-rigides pour Robinets d’Incendie Armés.
- NF S 61.201 Robinets d’Incendie Armés équipés de tuyaux semi-rigides. Règles
d’installation et de maintenance de l’installation.
Composition
Le RIA est composé des éléments suivants :
- Un dévidoir tournant et pivotant, à alimentation axiale, de couleur rouge.
- Un support mural.
- Un robinet d’arrêt avec écrou de fixation (ouverture progressive en DN 33).
- Une longueur élémentaire de tuyau semi-rigide (NF EN 694), type A, Classe 2.
- Un robinet jet-diffuseur.
- Une notice technique.
A l’entrée du RIA le plus défavorisé, on devra avoir une pression minimale de 2.5 bars au diffuseur et la
longueur du tuyau sera de 20 mètres.
Sauf impossibilité, les RIA doivent être placés à l'intérieur des bâtiments, le plus près possible et à
l'extérieur des locaux à protéger.
Le nombre de RIA et le choix de leurs emplacements doivent être tels que toute la surface des locaux puisse
être efficacement atteinte.
Dans les locaux présentant des risques importants d'incendie, tout point de la surface de ces locaux doit
pouvoir être battu par au moins deux jets de lance.
b) Extincteurs
Les Poudres
C'est un agent extincteur chimique (à base de bicarbonate).
Il existe 2 catégories de poudre efficaces sur les classes B et C (Poudre Normale) ou A, B et C (Poudre
Polyvalente). Ces principales qualités sont la fluidité, la neutralité (non corrosive), la nontoxicité, son
insensibilité aux conditions climatiques et surtout la possibilité de l'utiliser en présence de courant
électrique.
La Mousse
C'est un mélange d'eau et d'émulseur qui produit la mousse. Elle peut être chimique (savon) ou organique
(poudre de sabot et de cornes de bovins).
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La mousse est principalement utilisée sur les feux d'hydrocarbure mais est toutefois efficace pour l'attaque
de feux situés dans des locaux dont l'accès s'avère difficile (caves, sous-sols, cales de navires, chambres
frigorifiques etc.).
Elle demeure aussi très efficace sur les feux de masse de matières plastiques, de caoutchouc, de tissus etc.
Les extincteurs :
Les extincteurs sont des appareils mobiles de première intervention, accessibles à tout public. Ils font
l'objet des normes NF S 61-900, NF EN 3-1 à 3-6 (indices de classement : S 61-905 à S 61-910), NF S 61-
917, FD S 61-918, XP S 61-919, NF S 61-920, NF EN 1866 (indice de classement : S 61-921), NF S 61-922.
Les appareils mobiles doivent être répartis de préférence dans les dégagements, en des endroits bien
visibles et facilement accessibles.
Ils ne doivent pas apporter de gêne à la circulation des personnes et leur emplacement doit être tel que
leur efficacité ne risque pas d'être compromis par les variations éventuelles de température survenant
dans l'établissement.
Les extincteurs portatifs doivent être accrochés à un élément fixe. Il est recommandé de ne pas placer la
poignée de portage à plus de 1,20 m du sol.
Selon les établissements, on trouvera au minimum un extincteur pour 200 ou 250 m² et par niveau, avec un
minimum de deux par établissement.
On ne doit pas devoir parcourir plus de 15 m pour trouver un extincteur. Les appareils situés à l’extérieur
devront être protégés des intempéries.
Partie 2 :
• Le mode d’emploi,
• Les pictogrammes représentant les classes de feux sur lesquelles l’extincteur peut être utilisé ;
Partie 3 :
• Les restrictions et dangers d’utilisation ;
Partie 4 :
• La mention de « Recharger après usage même partiel »,
• La mention de « Vérifier périodiquement et de n’utiliser pour le rechargement ou l’entretien que les
produits et pièces de rechange conformes au modèle certifié »,
• L’indication de l’agent extincteur et notamment, l’identification et la concentration des additifs,
• L’identification du gaz propulseur, le cas échéant,
• Le (s) numéro (s) de référence de certification,
• La désignation du modèle,
• Les températures limites de fonctionnement,
Partie 5 :
• Le nom et l’adresse du fabricant et/ou du fournisseur de l’appareil ;
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