De La Chesnaie Sigismond - Malô Lilâk Tome 1
De La Chesnaie Sigismond - Malô Lilâk Tome 1
De La Chesnaie Sigismond - Malô Lilâk Tome 1
Sigismond de la Chesnaie
Illustration couverture
Victimes du bombardement de Dresde.
“Ce petit garçon est mort en s’agrippant à un pompier.”
Malô Lilâk
AUTOPSIE DÉTAILLÉE
D’UNE INVERSION GÉNOCIDAIRE
tome premier
Ce livre est dédié à toutes les victimes
des vrais holocaustes, ceux-là mêmes
que l’Histoire essaie de faire passer
pour fictifs ou sans importance.
© Sigismond de la Chesnaie 2017
Tous droits réservés pour tous pays.
15 avril 2017
mise en page
LE N C U LUS
Pour la Librairie Excommuniée Numérique des CUrieux de Lire les USuels
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NOTE DE L’AUTEUR
—7—
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
—8—
introduction
INTRODUCTION
—9—
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 10 —
introduction
— 11 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 12 —
introduction
— 13 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 14 —
PREMIÈRE PARTIE
panorama “ déconstructionniste ”
— 17 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 18 —
la psychopathologie et l’hystérie juives
— 19 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 20 —
la psychopathologie et l’hystérie juives
— 21 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 22 —
la psychopathologie et l’hystérie juives
— 23 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 24 —
la psychopathologie et l’hystérie juives
Notre protagoniste
part retrouver en-
suite des partisans
dans la forêt.
p. 179 : ‹ « Enfin le
temps de la ven-
geance ! » (p. 239).
Martin Gray (1922 – 2016) dit
La vengeance,
« Miétek le vengeur »
on le sait, est un
thème récurrent dans la littérature juive. “ Vengeance ” est d’ail-
leurs le titre de la deuxième partie du livre de Martin Gray.
Un de ses camarades racontait : Il a vu « les Allemands incen-
dier ce qui servait d’hôpital au ghetto, il les a vus fracasser les
têtes des nouveau-nés contre les murs, ouvrir les ventres des
femmes enceintes, jeter les malades dans les flammes. Il les a
vus ». Et si il les a vus, alors il faut le croire (1). ›
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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la psychopathologie et l’hystérie juives
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
selon une méthode chère aux occupants nazis : tenues par les
jambes et projetées la tête la première contre les briques. De
grosses mouches noires s’affairaient sur les flaques sanguino-
lentes à terre et sur les corps qui semblaient enfler et pourrir à
vue d’œil dans cette chaleur (1) ». ›
L’auteur Hervé Ryssen rectifie alors aussitôt le tir : ‹ On
nous permettra cependant de douter de la réalité de ces mé-
thodes nazies. Pour tout vous dire, on aurait tendance à penser
qu’il s’agirait plutôt d’une « projection », ou d’une inversion ac-
cusatoire, si vous préférez (2). ›
La technique de culpabilisation d’autrui, c’est-à-dire des
goyim, fut bien exploitée par notre pianiste où ‹ il publiait à la
fin de son ouvrage, le journal du capitaine Wilm Hosenfeld, qui
était un officier allemand anti-nazi : « Nous nous sommes cou-
verts d’un opprobre ineffaçable. C’est une malédiction qui pèse
à jamais sur nous. Et nous ne méritons aucune pitié, et nous
sommes tous coupables », écrivait celui-ci dans son journal.
Pour un peu, on jurerait que c’est ce Szpilman qui avait écrit
lui-même le texte (3). › Il faut toutefois relever le patronyme très
« aryen » de cet officier allemand.
‹ Le 25 juillet 1942, Hosenfeld décrivait les atrocités dont
étaient capables les Allemands : « Il a été construit, aux envi-
rons de Lublin, des chambres qui peuvent être surchauffées
au moyen d’un puissant courant électrique, selon la technique
employée dans les crématoires. De pauvres gens sont emme-
nés dans ces pièces où ils sont brûlés vifs, et de cette façon, il
est possible d’en tuer des milliers chaque jour en s’épargnant la
peine de les fusiller, de creuser des fosses communes et de les
y jeter ».
‹ Le 6 septembre 1942, Hosenfeld relatait ce qu’il avait en-
tendu dire de gens qui étaient parvenus à s’échapper de l’enfer
de Treblinka, à l’est de la Pologne : « Les milliers de femmes
et d’enfants débarqués là sont contraints à se déshabiller, puis
on les enferme dans un baraquement mobile et on les gaze.
Ensuite, cette prison mortelle est positionnée au-dessus d’un
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la psychopathologie et l’hystérie juives
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la psychopathologie et l’hystérie juives
— 31 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Mais à l’instar de
ses coreligion-
naires, notre grand
défenseur des
droits de l’homme
ne cachait pas
non plus ses senti-
ments à l’égard du
peuple allemand :
Eliezer Wiesel (1928 – 2016) « Tout juif, quelque
ou la « vérité » sans fard … part en lui, devrait
1. Elie Wiesel, Mémoires, tome 1, Seuil, 1994, p. 119 ; in Le Miroir du
judaïsme, p. 185
2. Le Miroir du judaïsme, p. 185
3. Jürgen Graf, L’Holocauste au scanner, 2e édition revue et corrigée
(traduite et adaptée de l’allemand), Guideon Burg Verlag, sept. 1993
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la psychopathologie et l’hystérie juives
1. Elie Wiesel, Legends of Our Time, Avon Books, New York, 1968,
pp. 177-178 in L’Holocauste au scanner.
2. reproduit dans Gott in Auschwitz, Fribourg-en-Brisgau/Bâle/
Vienne, 1979, p. 22 in Heinz Nawratil, Le Livre Noir de l’Expulsion, Ed.
Akribeia, 2001, traduction française de Schwarzbuch der Vergangenheit,
Universitas Verlag, 1982 et 1999, 4e édition entièrement révisée
3. in Annales d’Histoire Révisionniste, № 4, p. 166
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la psychopathologie et l’hystérie juives
1. ibid.
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1. ibid.
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la psychopathologie et l’hystérie juives
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la psychopathologie et l’hystérie juives
À propos du camp de
Treblinka, nous disposons
grâce au romancier ‹ russe ›
Vassili Semionovitch Gross-
man (1905 – 1964) d’autres
«preuves » incontestables de la
folie des nazis avec plus parti-
culièrement une description
de leurs étonnantes aptitu-
des pyrotechniques dans une
de ses productions, Die Hölle
von Treblinka, chronique de
guerre parue la première fois
en 1944 (cité d’après Historische Vassili Grassmann
Tatsachen. ndeg. 44) : (1905 – 1964)
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la psychopathologie et l’hystérie juives
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la psychopathologie et l’hystérie juives
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1. ibid. p. 33
2. ibid. p. 37
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la psychopathologie et l’hystérie juives
les chambres à gaz de près et avait eu, lui aussi, une chance
miraculeuse de s’en sortir :
« Comme il faisait très sombre dans les chambres, on
n’apercevait pas le long des murs des tuyaux, d’environ cinq
centimètres de diamètre, qui permettaient au gaz — des gaz
d’échappement d’un unique moteur diesel — de pénétrer dans
la pièce. Dans une chambre, on pouvait entasser quatre cents
personnes (1) ».
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Mel Mermelstein
Juif d’origine hongroise, né en 1926,
survivant d’Auschwitz ;
— 48 —
la psychopathologie et l’hystérie juives
Abraham Bomba
Juif d’origine allemande né en
1913, le “ coiffeur ” de Treblinka,
et qui devint le « témoin № 1 »
du film de Claude Lanzmann,
Shoah ;
— 49 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Irene Zisblatt
née Irén Zegelstein en 1929,
d’origine hongroise et bien-
sûr survivante de l’Holocauste,
prétendument internée à
Auschwitz-Birkenau, connue
surtout pour son « autobiogra-
phie », The Fifth Diamond dont
le « témoignage » fait aussi par-
tie de la Fondation Historique
Visuelle des Survivants de la
Shoah de Steven Spielberg ;
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CHAPITRE II
— 51 —
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— 52 —
la contagion hystérique juive chez les Goyim
1. www.gauthierdebock.com/on-lappelait-la-fille-du-traitre/
2. cité par Hervé Ryssen, p. 209
— 53 —
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1. ibid. p. 211
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la contagion hystérique juive chez les Goyim
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la contagion hystérique juive chez les Goyim
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la contagion hystérique juive chez les Goyim
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ou
Bruno Grosjean / Dösseker Binjamin Wilkomirski ?
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la contagion hystérique juive chez les Goyim
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la contagion hystérique juive chez les Goyim
1. ibid. p. 117
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
cherie sur le tapis), à savoir qu’il avait fait part dans une lettre
de ses inquiétudes et ce, quelques semaines seulement avant la
parution du futur best-seller, à Siegfried Unseld, le responsable
juif des éditions Jüdischer Verlag qui s’apprêtaient à l’éditer.
Sentant le risque de voir voler en éclats la possibilité de faire
du livre un succès mondial, qui plus est, par la faute d’un Goy,
entreprit alors toutes les mesures nécessaires en vue d’avoir en
mains les « preuves » qu’il lui fallait présenter impérativement,
sans quoi la parution du livre était vouée à l’échec. Après avoir
envoyé en Israël Eva Koralnik, l’agent littéraire de Wilkomirski
et elle aussi autre rescapée (!), pour y ‹ rencontrer Léa Balint,
spécialiste des « enfants sans identité » [ … ] qui estime que
Wilkomirski est forcément passé par l’orphelinat de Cracovie
dont il parle, étant donné qu’il connaît le prénom de Karola
(qui l’avait bel et bien rencontrée dans un train Zurich/Paris
en 1971 mais pour la première fois) qui, elle, y est passée de
façon certaine. [ … ] Unseld est à présent rassuré et le fâcheux
Helbling, ce goy, renvoyé dans le néant, lui et ses soupçons dé-
placés. Fort de toutes ces assurances et expertises, l’éditeur pu-
blie le livre. Mieux, même : il y ajoute à la fin un mot de blâme
à l’égard de la société suisse qui a voulu à tout prix refouler les
souvenirs de ces malheureux enfants. Voilà pour les Suisses.
Et puis, comment imaginer qu’on puisse inventer des horreurs
pareilles (1) ? ›
Anne Kling met alors en lumière un autre détail de poids
(p. 126) :
‹ …toutes les personnes qui ont contribué, à un titre ou
à un autre, à la parution de ce livre, sont juives : tous les pro-
moteurs, défenseurs et éditeurs de Wilkomirski le sont, sans
exception, et le seul non-juif qui apparaît dans cette affaire,
(outre Grosjean mais nul ne le sait encore) est Hanno Helbling,
cet empêcheur de tourner en rond. ›
Par la suite donc, une fois la supercherie attestée (on l’a
vu avec Ganzfried), d’autres viendront à la rescousse avec des
commentaires relevant de leurs domaines respectifs ; ainsi,
Wilkomirski se vit défendre par le psychanalyste juif français
Jean-Jacques Moscowitz citant entre autres, l’impossibilité du
récit si l’attaque contre les enfants juifs n’avait pas eu lieu et
1. ibid. pp. 125-126
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la contagion hystérique juive chez les Goyim
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CHAPITRE III
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les témoignages des Goyim
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qui lui auraient affirmé que les femmes et les enfants étaient
tués et brûlés. Il se serait ensuite rendu, aux fins de vérification,
à Kattowitz, où il rencontra cette fois des ouvriers français lui
confirmant ses incertitudes mais sans toutefois connaître la
méthode de mise à mort.
Outre l’évocation de son nom dans l’ouvrage de Raul
Hilberg (dans le panthéon plus haut) La Destruction des Juifs
d’Europe, Paris, Fayard, 1988, un film documentaire de Didier
Roten, La Mission de Victor Martin, lui fut consacré où était
reconstitué l’extraordinaire périple de notre deuxième « juste ».
Jan Nowak-Jeziorànski
(1914 ‑ 2005)
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les témoignages des Goyim
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les témoignages des Goyim
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que d’autres sont biffées d’un trait de plume. Il n’y a aucun pa-
raphe en marge de ces corrections, aucun rappel, en fin de do-
cument, du nombre de mots rayés nuls.
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les témoignages des Goyim
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le document « T1 »
+ : deuxiemeguerremondia.forumactif.com/t5621-le-rapport-gerstein
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les témoignages des Goyim
le document « T2 »
+ : deuxiemeguerremondia.forumactif.com/t5621-le-rapport-gerstein
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les témoignages des Goyim
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les témoignages des Goyim
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Ainsi, ‹ le person-
nage de Gerstein,
remodelé par ses
thuriféraires, pou-
vait parfaitement
tenir le double rôle
que l’on cherchait à
lui faire jouer :
1) nous faire pé-
nétrer sans au-
Léon Poliakov, un des promoteurs de Gerstein cune défense in-
tellectuelle dans le
monde de « la magique chambre à gaz », selon l’expression d’un
très grand auteur français, Louis-Ferdinand Céline ;
2) nous faire admettre la culpabilité universelle de tous
ceux qui ont gardé le silence, à l’exemple du pape Pie XII, de-
vant le plus grand crime de l’histoire du monde (1). ›
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les témoignages des Goyim
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1. ndla – C’est encore moi qui souligne car on en reparlera dans la troi-
sième partie de cet ouvrage.
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les témoignages des Goyim
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CHAPITRE IV
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le Journal d’Anne Frank
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F Philadelphia Inquirer
Ditlieb Felderer nous informe que la pièce qui se vit oc-
troyer le Prix Pulitzer avait été l’œuvre de Frances Goodrich et
de son futur mari, le dramaturge Albert Hackett et fut produite
comme pièce théâtrale de Broadway le 5 octobre 1955 sous
le titre The Diary of Anne Frank. Devant de telles louanges,
Felderer nous fait remarquer en haut de la page 11, à quel point
les personnalités éminentes et les journaux appuient cette
mascarade sans se poser de questions. En parlant de la pièce
de théâtre justement, il nous livre, toujours à la même page :
‹ le 26 octobre 1956, la pièce avait sa première à Stockholm
en Suède, au théâtre Intima. Au Danemark, la pièce parut à
Allescenen en 1956 et à Aalborg Teater en 1957.
‹ Littéralement, des milliers de gens avaient été affectés
par la pièce de théâtre, leurs larmes coulant jusque sur leurs
mentons. La pièce est remplie de déformations où de vrais
événements ont été falsifiés. Les Allemands et tout ce qu’il y a
avec eux sont dépeints comme de véritables bêtes. La manière
irréfléchie dans laquelle la pièce se poursuivit en déformant les
vrais événements alla apparemment si loin que même Schnabel
fut forcé de donner une correction à certains d’entre eux dans
son livre Anne Frank Spur eines Kindes. En octobre 1960, des
étudiants de l’Université de Moscou donnèrent leur première
représentation de la pièce réalisée par les Hackett. [ … ]
‹ George Stevens produisit un film coûteux en Cinémascope
qui mettait en vedette Millie Perkins dans le rôle d’Anne Frank.
La Twentieth Century Fox lança le film The Diary of Anne
Frank sur les écrans en 1959. La première suédoise eut lieu le
14 septembre 1959. Selon un bulletin d’information, G. Stevens
investit un million de couronnes à reconstruire des décors
« authentiques » où se produisirent les événements. [ … ] la
plupart des scènes furent toutefois prises à Hollywood où
une copie de l’entrepôt fut faite reposant sur des ressorts, qui
« permet au bâtiment de trembler aux explosions de bombes »
(Stockholms-Tidningen, 30 juin 1958). Le film s’étendit de plus
sur la propagande de haine vomie par les Sionistes à l’encontre
des Palestiniens et des Allemands. On prétendit que cette pe-
tite fille juive « devenant le symbole de l’enfant Juif Persécuté »
(Encyclopedia Judaica, Jerusalem, 1971-72, 54) donna suffisam-
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le Journal d’Anne Frank
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le Journal d’Anne Frank
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le Journal d’Anne Frank
page 190, ‹ Anne écrira par la suite sur deux cahiers carton-
nés puis sur des feuilles volantes : 338 feuillets pour être précis.
Apparemment les feuilles éparpillées par terre auxquelles les
nazis n’auraient pas prêté attention. ›
Puis ‹ c’est à partir de ce moment-là, c’est-à-dire vers la
fin de la réclusion, qu’elle aurait commencé à procéder à un
toilettage de son journal, en vue d’une publication éventuelle
après la guerre sous forme de roman. Tout en poursuivant la
première version, à savoir ses lettres à son amie imaginaire. Et
c’est pour cette raison qu’au départ de ce jeu de pistes très em-
brouillé, il y aurait deux versions du journal écrites par Anne
Frank. ›
En effet, l’édition Calmann-Lévy de 1950 publiait deux
lettres d’Anne Frank du 29 mars et du 11 mai 1944 respective-
ment (citées dans l’ouvrage d’Anne Kling) :
« Hier soir, lors de l’émission de la Hollande d’outre-mer, le
ministre Bolkestein a dit dans son discours qu’après-guerre l’on
ferait une collection de lettres et des mémoires concernant notre
époque. Naturellement, tous les yeux se sont tournés vers moi :
mon Journal serait pris d’assaut. Figure-toi un roman sur l’An-
nexe publié par moi, n’est-ce pas que ce serait intéressant ! » Et :
« En tout cas, après-guerre, je voudrais publier un roman
sur l’Annexe. Je ne sais pas si je réussirai, mais mon journal
me servira de document. À part l’Annexe, j’ai d’autres sujets
en tête. Je t’en parlerai plus longuement, quand ils auront pris
forme. »
Le scénario qui se présente alors est celui du père d’Anne
Frank qui va se retrouver, après la guerre et grâce à celle qui l’a
hébergé, en possession des écrits de sa fille, ces mêmes écrits,
tellement précieux on l’a vu, que la fillette n’avait même pas
pris la peine d’emporter au camp hollandais. Sachant que le
plus grand souhait d’Anne était de voir la publication du jour-
nal, il consulte certains amis dont la réaction s’avéra ‹ très fa-
vorable ›. Mais un travail de « recomposition » des deux textes
de la fillette s’annonce nécessaire où il fera appel pour ce faire,
à Isa et Albert Cauvern, un couple d’amis néerlandais. Otto
Frank donnera comme raisons à ce remaniement par la suite,
la présence de « redites, d’indiscrétions, passages sans intérêt »
et plus étonnant, des « omissions », omissions qui furent com-
— 103 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
blées par ses soins. Anne Kling cite à cet égard à la page 191, la
réponse du père Frank à Robert Faurisson qui l’interrogera en
1977 :
« C’était une tâche difficile. J’ai fait cette tâche selon ma
conscience. »
Comme le dit Kling, il n’en a sûrement pas été aussi dif-
ficile pour notre ami vu que celui-ci semblait beaucoup ap-
précier et rédigeait même des poèmes pour les anniversaires
dont certains avaient été retranscrits par Anne dans le Journal.
Anne Kling nous en donne alors le résultat :
‹ C’est cette version recomposée sous la supervision d’Otto
Frank et de surcroît « mise aux normes internes » par la mai-
son d’édition Contact, qui est publiée en 1947 à Amsterdam en
néerlandais sous le titre Het Achterhuis : Dagboekbrieven van
12 Juni 1942 — 1 Augustus 1944 (L’Annexe : Notes de journal
du juin 1942 — 1er août 1944). Dans la foulée, Le Journal est
traduit en allemand et en français : l’édition Calmann-Lévy de
1950 (1). ›
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le Journal d’Anne Frank
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1. ibid. p. 202
2. in Ditlieb Felderer, op. cit., p. 13
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Pourquoi le véritable
« journal » n’est-il pas
exhibé à ce centre, un
endroit beaucoup plus
approprié pour un docu-
mentaire de la sorte que
dans un soi-disant coffre-
fort bancaire en Suisse ? ›
Eh bien-sûr, les autres
documents originaux
d’Anne Frank, à savoir
les fameuses nouvelles,
collection de fables et
petites expériences per-
sonnelles, devraient aussi
être du menu mais là en-
Couverture de Life du 15 sept. 1958
Autre échantillon supposé core on fait chou blanc.
de l’écriture d’Anne Frank Felderer fait remarquer
que ‹ Mr Frank est si peu
concerné au sujet de « ses » documents qu’il n’a même pas pris
la peine d’en exhiber des photocopies au musée ! › Il nous fait
comprendre que la Fondation Anne Frank ne devrait avoir
aucune difficulté à exhiber de tels documents dans des vi-
trines adaptées, elle, qui est constamment en train de récla-
mer des fonds. Et pourtant, rien de tout cela ; attitude que
Felderer donne comme indice aux chercheurs scrupuleux se-
lon lequel il y aurait anguille sous roche. Le volume 4 de la New
Encyclopedia Britannica de 1975, page 279, aurait alors indiqué
en outre l’immensité du canular en nous informant que : « La
cachette sur Prinsengracht Canal est devenue un musée et un
1. C’est toujours nous qui soulignons.
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le Journal d’Anne Frank
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1. ibid. p. 15
2. Le soulignement est le nôtre.
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le Journal d’Anne Frank
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— 116 —
le Journal d’Anne Frank
graves, les vieillards et les faibles sont tués par du gaz em-
poisonné — dans une seule institution, 2 à 3 000, a dit un mé-
decin allemand » (tiré du livre The Hoax of the 20th Century de
A. R. Butz, cité par Felderer).
Un passage pour le moins révélateur de l’étude
de notre ancien témoin de Jéhovah concerne
la fameuse étoile jaune dont le
Journal justement attribue l’origine
aux Allemands, et de l’étoile en ques-
tion, et du port de celle-ci, ceci, une
fois encore, afin de faire grand cas
de cette autre affaire. En effet, ‹ une
note de bas de page, nous dit-il, af-
firme, après l’affirmation « Les juifs doivent
p o r t e r une étoile jaune » que : « Pour les distinguer des
autres, tous les juifs furent forcés par les Allemands de por-
ter, de manière visible et proéminente, une étoile jaune à six
pointes » (20 juin-42 :3). On nous dit « l’étoile jaune tape-à-
l’œil parlait d’elle-même » (9 juillet-42 :14 ; comparez : Dussel
la portant sur son manteau (1) (17 nov.-42 :45) › Jusqu’ici, me
direz-vous, rien de vraiment extraordinaire mais voici la suite :
‹ La brochure de l’AFFA a trois images à la page 18 où l’étoile
est bien visible.
Observez toutefois la seconde image à droite et
vous y découvrirez au centre l’étoile
de David (2), bien mise en évidence
dans un service religieux « juif ». La
vérité est que bien-sûr, la Magen David
a été pendant longtemps, outre la
Ménorah — candélabre à 7 ou 9
branches — le symbole juif le plus
proéminent. Ce furent en fait les dirigeants
juifs eux-mêmes qui exigèrent que les juifs la
portent bien en vue et fièrement (3). Plus de six ans avant que
la loi oblige les juifs à porter l’étoile, le rédacteur-en-chef de
1. ibid. p. 20
2. ndla – maguen David ou mahgen Dawid, littéralement « bouclier
de David » et Magen David dans le texte de Felderer,
3. C’est nous qui soulignons.
— 117 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. ibid
2. Nous soulignons à nouveau.
3. ibid.
— 118 —
le Journal d’Anne Frank
— 119 —
CHAPITRE V
— 121 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Grâce notam-
ment aux efforts
inlassables d’ins-
titutions telles
la Ligue Anti-
Diffamatoire
(Anti-Defamation
League, ADL), de
N’ayez crainte mes amis, moins en moins
la Colline veille à votre éducation… d ’A m é r i c a i n s ,
d’après un son-
dage cité par le Juif Joel Stein dans un article du Los Angeles
Times du 19 décembre 2008, croiraient en l’affirmation selon
laquelle ‹ les juifs contrôlent Hollywood › (22 % en 2008 contre
50 % en 1964). Voici donc un petit aperçu de la façon avec la-
quelle Hollywood est profondément juive :
o News Corp.. . . . . . . . . : Président Peter Chernin (A) ;
o Paramount Pictures.: Président Brad Grey (A) ;
o Walt Disney Co. .. . . : Directeur Robert Iger (A) ;
o Sony Pictures .. . .. . . : Michael Lynton (surprise, juif hollandais) ;
o Warner Bros.. . .. . .. : Président Barry Meyer (A) ;
o CBS Corp. .. . . . . . . . . . : Directeur Leslie Moonves
(tellement juif que son grand-oncle fut le 1er premier ministre d’Israël) ;
o MGM.. . .. . .. . .. . .. . . : Président Harry Sloan (A) ;
o NBC Universal.. . . . . : Directeur Jeff Zucker (méga-juif ) (1).
Voici maintenant les commentaires du célèbre acteur
américain Marlon Brando lors de son passage chez Larry King
il y a maintenant pas mal d’années (le 9 avril 1996) :
« Hollywood est dirigée par les juifs ; elle est la propriété
des Juifs –et ils devraient avoir plus de sensibilité à propos du
problème des gens qui souffrent. Parce que… nous avons vu…
les latinos, nous avons vu les Chinetoques, nous avons vu les
dangereux Jap bridés, nous avons vu les malins Philippins,
nous avons tout vu mais nous ne voyons jamais le youpin. Parce
1. jewwatch.com/jew-entertainment-hollywood-jewish-monopoly.
html
— 122 —
l’Audiovisuel au service des « martyrs »
1. rense.com/general21/bet.htm
— 123 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
montrer les événements non pas tels qu’ils sont, mais tels
qu’on voudrait qu’ils soient. [ … ] Créé par les francs-maçons
Lumière, le cinéma est la plus formidable arme qui soit, gon-
flant le moral des uns, culpabilisant les autres, incitant à la
haine les troisièmes… La raison pour laquelle les gauchistes
contrôlent le cinéma est évidente : qui finance les films ? Les
banques et les trusts. Qui sont les communistes ? Les membres
d’un parti financé par les banques et les trusts. Pourquoi les
banques et les trusts financent-elles le communisme ? Parce
que le communisme n’est que l’application du Talmud. › (1)
— 124 —
l’Audiovisuel au service des « martyrs »
— 125 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
ryk
)
— 126 —
l’Audiovisuel au service des « martyrs »
— 127 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 128 —
l’Audiovisuel au service des « martyrs »
— 129 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. ibid. p. 64.
2. ndla – Notre jeu de mots.
3. ndla – nous soulignons.
— 130 —
l’Audiovisuel au service des « martyrs »
l’horrible manège avec des victimes, cette fois, deux fois plus
nombreuses ! Pour des raisons physiques, chimiques et bio-
logiques, ce scénario est impossible dans la réalité. Ce récit
contredit aux lois de la nature qui imposeraient, entre autres
précautions, avant que les corps des victimes puissent être éva-
cués, une vingtaine d’heures d’une aération très dangereuse
pour le voisinage. »
1. ibid. p. 65
— 131 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 132 —
l’Audiovisuel au service des « martyrs »
L’affiche du film-fleuve …
… et son réalisateur
1. ibid. p. 67
— 133 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 134 —
l’Audiovisuel au service des « martyrs »
— 135 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
aurait été soi-disant inspiré par une scène du film muet de 1916
de D. W. Griffith, Intolerance, un mastodonte cinématogra-
phique de 3 heures et demi), Babylone, la cité antique ayant vu
naître la Fraternité du Serpent ? Pour en terminer temporaire-
ment avec Hollywood (nous y reviendrons dans la 3e partie de
l’ouvrage), Hollywood donc, lieu magique par excellence où les
étoiles brillent, non pas dans le ciel mais sur le trottoir, il serait
peut-être d’ailleurs amusant de demander à quelque cinéaste
local d’envergure mondiale tel Spielberg, de réaliser quelque
superproduction à propos de… Dresde par exemple…
— 136 —
CHAPITRE VI
— 137 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 138 —
passage au crible ‹négationniste›
A
Carlo Mattogno (1e partie)
Ce n’est peut-être pas un hasard si le premier volume des
Annales d’Histoire Révisionniste attaque son premier dossier
avec la très brillante étude du jeune Carlo Mattogno (à l’époque,
en 1987), intitulée Le mythe de l’extermination des juifs.
‹ Ce qui frappe le plus, nous dit-il, dans l’étude de la vo-
lumineuse littérature consacrée à l’ « extermination » des juifs,
c’est la disproportion qui existe entre une accusation aussi
grave et la fragilité des preuves fournies pour la soutenir (1). ›
En effet, comme l’avait bien souligné un compatriote de
Mattogno, Enzo Collotti, l’organisation d’une telle tragédie a
dû bénéficier de l’aide d’une multitude de secteurs et de per-
sonnes. De même, Gerald Reitlinger souligne que « L’Allemagne
hitlérienne est un État policier au plus haut degré, qui a laissé
des centaines de tonnes de documents et des milliers de pré-
cieux témoins, de sorte que finalement, il n’est rien en vérité que
cet adversaire n’ait confié au papier. »
Ce qui fait qu’à la fin de la guerre, les Alliés furent à même
de saisir toutes les archives du gouvernement allemand, dont
les secrètes, et les passer ainsi au crible (en vue du procès de
Nuremberg aux fins de servir de preuves contre les criminels de
guerre nazis). Mattogno nous donne le chiffre de 1 100 tonnes
de documents examinés par les Américains parmi lesquels
2 500 auraient été sélectionnés. Devant une telle exubérance
de pièces écrites, les preuves de l’ « extermination des Juifs »
devaient donc être un jeu d’enfant à assembler mais la situa-
tion s’avéra quelque peu problématique. Mattogno cite alors
(p. 16, 17) le grand historien de l’antisémitisme, Léon Poliakov
dans son livre de 1979, Bréviaire de la haine, p. 124 : « Les ar-
chives éventrées du IIIe Reich, les dépositions et récits de ses
chefs, nous permettent de reconstituer dans leurs moindres dé-
tails la naissance et le développement de ses plans d’agression,
de ses campagnes militaires et de toute la gamme de procédés
par lesquels les Nazis entendaient recréer le monde à leur fa-
çon. Seule, la campagne d’extermination des Juifs reste, en ce
qui concerne sa conception, ainsi que sous bien d’autres aspects
essentiels, plongée dans le brouillard. Des inférences et des
1. in ahr, № 1, p. 15
— 139 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 140 —
passage au crible ‹négationniste›
— 141 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 142 —
passage au crible ‹négationniste›
1. ibid. p. 28
— 143 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. Notre soulignement.
— 144 —
passage au crible ‹négationniste›
Deux ouvrages
de l’historien italien Carlo Mattogno
— 145 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
trace dans les archives nazies et, du point de vue juridique, ils
ne pouvaient pas avoir recours à l’échappatoire utilisée par les
historiens officiels selon lesquels tous les documents compro-
mettants ont été détruits.
‹ Ils élaborèrent alors la méthode exégétique audacieuse
qui permet de faire dire ce que l’on veut à n’importe quel docu-
ment. Le fondement de cette méthode exégétique repose sur la
spéculation arbitraire selon laquelle les autorités suprêmes na-
tionales-socialistes auraient adopté jusque dans les documents
les plus réservés une sorte de langage codé dont les enquêteurs
de Nuremberg prétendaient naturellement avoir découvert la
clé. D’où la déformation systématique — en fonction de l’ « ex-
termination » — de documents tout à fait anodins (1). ›
Comme on peut s’y attendre, c’est l’interprétation de
cette « solution finale » (Endlösung) qui représente l’exemple
‹ le plus connu de ce travestissement systématique ›, en deve-
nant alors synonyme d’ « extermination ». Mais, en réalité, réi-
tère Mattogno à la page 41, ‹ la « solution finale de la question
juive » souhaitée est une « solution par la voie de l’émigration
et de l’évacuation ». › Ce qui était d’ailleurs précisément identi-
fié comme tel par Heydrich lui-même dans une lettre du 6 no-
vembre 1941, lettre qui fut utilisée par Gérald Reitlinger, à la
p. 108 de son livre déjà cité, et William L. Shirer dans Storia
del Terzo Reich, Turin 1971, p. 1464, comme pièce justificative
de l’ « extermination » mais qui s’était vu alors amputée par nos
deux historiens officiels, de la partie qui ‹ parlait justement
d’émigration et d’évacuation ! › On nous donne alors comme
document supplémentaire se référant exclusivement à l’émi-
gration et à l’évacuation juives, la lettre de Göring du 31 juil-
let 1941, elle-même ‹ confirmée par un document très impor-
tant, le mémorandum de Martin Luther du 21 août 1942 ›. Carlo
Mattogno nous informe (page 58) qu’à ce moment, ‹ après avoir
évoqué le projet de Madagascar, à présent dépassé par les évé-
nements, Luther poursuit en notant que la lettre de Göring du
31 juillet 1941 fait suite à une lettre de Heydrich dans laquelle
celui-ci l’informait que :
« Le problème d’ensemble des quelque trois millions deux
cent cinquante mille juifs des territoires qui se trouvaient sous
1. ibid. pp. 38-39
— 146 —
passage au crible ‹négationniste›
— 147 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 148 —
passage au crible ‹négationniste›
— 149 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. Nous soulignons.
2. ibid. pp. 50-51
— 150 —
passage au crible ‹négationniste›
— 151 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 152 —
passage au crible ‹négationniste›
Mais il faut
préciser à
ce moment
que pour
beaucoup
d’histo-
riens offi-
ciels, cette
« extermi-
Le timbre allemand de 2006 nation »
primait,
d’après Mattogno, ‹ n’importe quelle exigence économique,
1. ibid. p. 55
— 153 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 154 —
passage au crible ‹négationniste›
— 155 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
B
Carlo Mattogno (2e partie)
Le chercheur italien Carlo Mattogno avait également
dressé une liste très complète d’ouvrages sur le révisionnisme
historique, incluant d’une part ceux traitant contre les « crimi-
nels de guerre » nazis, et d’autre part, ceux traitant des crimes
de guerre des Alliés, sans oublier naturellement ceux de celui
qui fut à juste titre considéré comme le précurseur du révision-
nisme historique actuel, Paul Rassinier. En effet, Paul Rassinier,
‹ socialiste, résistant, arrêté par la Gestapo en octobre 1943,
torturé pendant 11 jours, déporté à Buchenwald puis à Dora
pendant 19 mois, invalide à 95 % des suites de déportation,
titulaire de la « médaille de Vermeil de la Renaissance fran-
çaise » et de la « Rosette de la Résistance (1) » ›, fut le premier
à mettre en doute la réalité de l’ « extermination » des Juifs.
L’œuvre de ce grand résistant fut reprise et poursuivie, nous
souligne Mattogno, par d’autres chercheurs ayant ‹ produit une
riche littérature révisionniste ›. Le travail remarquable de cet
historien italien avait donc porté aussi sur cette compilation
de documents, ouvrages et autres écrits disponibles, à la fois
par les pro- et anti-révisionnistes, en remontant aussi près de
la source que possible. Il avait pu ainsi prendre connaissance
non seulement des écrits à l’encontre des « négateurs » et de
leurs réactions littéraires mais également des procès dirigés
contre ces premiers et de leurs déboires ainsi encourus. Il cite
par exemple le cas de Ditlieb Felderer (voir chapitre 4), arrêté
le 26 novembre 1982 et condamné à 10 mois de prison fermes
en mai 1983 pour avoir diffusé des « documents incitant à la
haine », bien-sûr, vous l’aurez compris, pour avoir nié la réalité
de l’ « extermination » des Juifs. Il évoquera encore les procès
de Robert Faurisson et de Thies Christophersen sans oublier le
retrait de titre de docteur de Wilhelm Staglïch ou l’annulation
de la soutenance de thèse de doctorat d’Henri Roques à propos
de l’affaire Gerstein (voir chapitre 3).
Après les fondements de son travail vus plus haut concer-
nant la vraie nature de la « solution finale » et ce recensement
de la littérature spécialisée, nous allons maintenant pouvoir
1. ibid. p. 69
— 156 —
passage au crible ‹négationniste›
— 157 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Mais, apprend-on
à la page 75, le 19
août 1960, le jour-
nal allemand Die
Zeit № 34, p. 16, pu-
blia — sous le titre
Keine Vergasung in
Dachau (« Pas de
gazage à Dachau »)
— une lettre du
Le Dr Franz Blaha
Dr Martin Broszat (debout à gauche sur la photo)
de l’Institut d’His-
toire contemporaine de Munich dans laquelle ce dernier
déclarait :
« Ni à Dachau, ni à Bergen-Belsen, ni à Buchenwald, des
juifs ou d’autres détenus n’ont été gazés. La chambre à gaz n’a
jamais été complètement terminée ni mise en service ». Puis :
« L’extermination massive des juifs par l’emploi des
gaz a commencé en 1941 ‑ 1942 et a eu lieu exclusivement
(ausschliesslich) en quelques rares emplacements choisis à cet
effet et pourvus des installations techniques correspondantes,
avant tout (vor allem) dans le territoire polonais occupé (mais
en aucun endroit du Reich) : à Auchwitz-Birkenau, à Sobibor-
sur-Bug, à Treblinka, Chelmno et Belzec ».
— 158 —
passage au crible ‹négationniste›
local (voir photo ci-dessous) ait jamais été ou fût destiné à être
une « chambre à gaz ».
1. ibid. p. 76
— 159 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 160 —
passage au crible ‹négationniste›
— 161 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
L’anglais exterminationniste
Gerald Reitlinger mention-
nait bien pourtant dans son
livre, p. 71 notamment, la « mé-
diocre valeur probante » des
recherches entreprises après
la guerre par ces commissions
d’enquête polonaises et qui
consistaient « essentiellement
en descriptions détachées, de
L’édition originale du livre personnes isolées, assez rare-
de Gerald Reitlinger, ment confirmées par d’autres
London, 1953 sources ».
— 162 —
passage au crible ‹négationniste›
— 163 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 164 —
passage au crible ‹négationniste›
— 165 —
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— 166 —
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— 167 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 168 —
passage au crible ‹négationniste›
— 169 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 170 —
passage au crible ‹négationniste›
1. ibid. p. 90 ;
ndla – Ce qui fait que nous avons bien finalement deux ouvrages en
question de Wellers
2. ndla – Bien cité cette fois dans ce collectif d’auteurs, p. 211
— 171 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Plan du Krématorium II :
à G., vestiaires, en bas « chambre à gaz » et à D., fours crématoires
+ http://www.lycee-jeanmace.fr/Projets/pologne/ch03/
— 172 —
passage au crible ‹négationniste›
— 173 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 174 —
passage au crible ‹négationniste›
— 175 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 176 —
passage au crible ‹négationniste›
1. ibid. p. 92
— 177 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. ibid. p. 93
— 178 —
passage au crible ‹négationniste›
— 179 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 180 —
passage au crible ‹négationniste›
— 181 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 182 —
passage au crible ‹négationniste›
1. ibid. p. 99
— 183 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 184 —
passage au crible ‹négationniste›
+ http://www.akadem.org/medias/documents/2-auschwitz.pdf
Photo aérienne
le camp d’Auschwitz prise par les Alliés le 4 avril 1944.
Le camp est le petit rectangle au centre de la photo à gauche,
les usines sont en haut
— 185 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http://sansconcessiontv.org/phdnm/sur-le-rendement-des-fours-crematoires/
Photo du 25 août 1944 des crématoires ii et iii de Birkenau
avec, en légende, les prétendues ouvertures
dans le toit pour le déversement du Zyklon B (Zyklon-B vent)
— 186 —
passage au crible ‹négationniste›
— 187 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 188 —
passage au crible ‹négationniste›
+ http://www.cndp.fr/crdpcreteil/index.php/component/ressources/?task=view&id=167
Photo du camp d’Auschwitz III-Monowitz
+ http://www.lethist.lautre.net/auschwitz.htm
Le complexe d’Auschwitz-Birkenau L’usine Buna-Werke d’I G Farben
— 189 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http://www.phdnm.org/uploads/3/0/0/1/3001973/birkenau_25viii_44.jpg
Photographie du camp d’Auschwitz le 25 août 1944
— 190 —
passage au crible ‹négationniste›
par Gerald Reitlinger (dans son livre déjà cité La Soluzione fi-
nale, p. 131 -132) en différant d’autorité d’un an la date de la pré-
tendue convocation de Höss et du prétendu ordre du Führer.
Parmi d’autres détails de la « confession » de Höss, il faut
citer l’existence, en juin 1941, de trois camps d’extermination
dans le Gouvernement général : Wolzek (qui n’a jamais existé),
Belzec et Tublinka (sic) au lieu de Treblinka. Ces deux derniers
entrèrent respectivement en service — selon l’historiographie
officielle rappelle Mattogno — en mars et juillet 1942. Ferait
aussi partie de cette « confession » une visite de Höss du camp
de Treblinka au printemps 1942, lequel aurait assisté à un pro-
cessus de gazage. Vu que la construction du camp en ques-
tion débuta le 1er juin et que, selon la Commission polonaise
d’enquête sur les crimes allemands en Pologne (vol. 1, p. 96), le
1er gazage y aurait été effectué le 23 juillet 1942, son « aveu » est
donc impossible.
‹ Mais ce n’est pas tout ›, nous prévient le chercheur ita-
lien (p. 103). ‹ Le commandant du camp rapporta à Höss qu’au
cours du semestre précédent, il avait « gazé » 80 000 personnes,
ce qui signifie que les « gazages » avaient commencé pen-
dant l’automne 1941, c’est-à-dire plusieurs mois avant que le
camp n’ait été construit ! ›
Selon à nouveau le document ps-3868, le commandant
de Treblinka « devait s’occuper principalement de la liquida-
tion de tous les Juifs du ghetto de Varsovie », or la déportation
des Juifs dans ce camp, nous informe-t-on, ne commença que
le 22 juillet 1942.
Voici maintenant un compte-rendu de Carlo Mattogno
(p. 104) des erreurs que les enquêteurs anglais ont fait « avouer »
à Höss, lesquels avaient une connaissance ‹ très approximative ›
concernant les camps polonais, même celui d’Auschwitz :
— les 2 premiers crématoires de Birkenau furent ache-
vés en 1942 (correction : les K. IV et K. II furent ache-
vés respectivement le 22 et le 31 mars 1943 (Helfe von
Auschwitz, Wydawnictwo Panstwowego Muzeum w
Oswiecimiu, 4, 1961, pp. 85 et 87) ;
— ils avaient chacun 5 fours doubles (correction : les K. II
et K. III avaient chacun 5 fours triples ‹à trois moufles›
‹même référence que ci-dessus, p. 110›) ;
— 191 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 192 —
passage au crible ‹négationniste›
— 193 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 194 —
passage au crible ‹négationniste›
C
Carlos Whitlock Porter
Quittons maintenant l’Italie et remontons l’Europe pour
retrouver un 2e grand « négationniste », Carlos Whitlock
Porter, installé en Belgique car ayant renoncé à sa citoyenne-
té américaine en 1984. Né en 1947 d’une famille d’officiers de
la Navy et d’avocats, ce natif de Californie était devenu tra-
ducteur professionnel et membre de l’Institut de Linguistique
après des études en Europe. Il traduisit ainsi lui-même son
ouvrage Not Guilty at Nuremberg de son anglais natal en al-
lemand, italien, français, portugais et espagnol. Après avoir
lu d’abord The Hoax of the 20th Century d’Arthur Butz (Le ca-
nular de l’Holocauste) qui l’avait convaincu, il s’était mis en-
suite à lire de Miklos Nyiszli, I was doctor in Auschwitz (cité
plus en haut en français) où il découvrit l’histoire absolument
incroyable selon laquelle une jeune femme avait échappé au
gaz de la mort parce que son nez se trouvait très près du sol
mouillé en béton. Sachant que l’air humide ne neutralise en
aucune manière les gaz empoisonnés, il vit l’absurdité totale de
cette histoire. Sa croyance en une vilaine imagination de toute
l’histoire de l’Holocauste se trouva alors solidement établie
après la lecture du livre ‹ volumineux, incroyable et dénué de
toute autorité › (selon Metapedia.org) de William S. Shirer sur
l’Holocauste. C’est après les constatations qui précèdent ainsi
qu’un travail minutieux, précis et détaillé dans les domaines
qui l’intéressaient dans son étude de l’Holocauste et des procès
des crimes de guerre allemands (qu’ils souhaitaient voir étu-
diés conjointement avec ceux des crimes de guerre japonais
— 195 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 196 —
passage au crible ‹négationniste›
— 197 —
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1. Nous soulignons.
— 198 —
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— 199 —
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1. Notre soulignage.
— 200 —
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— 203 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 204 —
passage au crible ‹négationniste›
1. Notre soulignement.
2. ibid. p. 23
— 205 —
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p. 9 du rapport Koherr
— 206 —
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— 208 —
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— 210 —
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
La photo du ravin
de Babi Yar
1. + http://germar-
rudolf.com/2012/05/
air-photo-evi-
dence/ ; il faut préciser
toutefois que ce n’est
plus le cas maintenant
puisqu’il est téléchar-
geable notamment chez
b a l d e r ex l i b r i s . c o m
— 216 —
passage au crible ‹négationniste›
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— 221 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. ibid. p. 46
— 222 —
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— 224 —
passage au crible ‹négationniste›
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 226 —
passage au crible ‹négationniste›
‹ Pas de fumée, pas d’incendie ›, nous dit Carlos : ‹ ces juifs ont
pu prendre leurs bagages et sont très faiblement escortés.
Tout laisse penser qu’il’ ont finalement obéi aux ordres
d’évacuation allemands. Ils partent donc tranquillement … ›
— 227 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
‹faute de vêtements, certains enfants ont été habillés avec des uni-
formes allemands. Commentaire : Notez leur jeune âge. D’après
un journal de l’époque, le plus jeune avait 5 ans (Voy. Les Nouvelles
du Matin, 9 juin 1945). D’après la thèse officielle, ces jeunes de
moins de 14 ans auraient dû être exterminés à Auschwitz.›
— 228 —
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 234 —
passage au crible ‹négationniste›
dit toujours rien ?). Maintenant que le lecteur est bien familia-
risé dans ce domaine, inutile donc de préciser à quelle commu-
nauté ce cher Moïssevitch appartenait ; il suffit simplement de
décortiquer son patronyme pour se rendre compte que ses an-
cêtres ne provenaient pas du fin fond de la Bourgogne. L’ironie
du sort étant parfois curieuse, c’est un livre justement écrit
par un Juif qui met en lumière cet épisode soviétique ; il s’agit
de l’ouvrage Le laboratoire des poisons — De Lénine à Poutine
écrit par le journaliste, essayiste et historien Arkadi Vaksberg,
éditeur Buchet Chastel, 2007. En voici le texte du quatrième
de couverture :
— Le Laboratoire des poisons :
En 1921, Lénine donnait l’ordre de créer un « laboratoire
des poisons » en vue de « combattre les ennemis du pouvoir so-
viétique ». Décision était prise de recourir à des méthodes ter-
roristes pour assurer le succès de la révolution, ou du moins,
le règne de ses maîtres. Ainsi, nombre d’exécutions extra -judi-
ciaires, en URSS ou à l’étranger, se soldèrent-elles par un simple
constat d’ « insuffisance cardiaque », ou de suicides suite à une
dépression... En fait toutes les méthodes étaient bonnes. C’est
ainsi que certains moururent dans les mains des médecins qui
devaient les soigner, que d’autres furent victimes d’étranges
accidents de la route... On aurait tort de croire que ces pra-
tiques ont disparu avec la mort de Staline. Dans la longue liste
des victimes, on trouve la veuve de Lénine, le général sovié-
tique Frounze, les généraux blancs émigrés Koupetov et Miller,
l’écrivain Boris Pilniak, le président tchèque Jan Masaryk, et
plus récemment l’ancien maire de Saint-Pétersbourg, Anatoli
Sobtchak ou le journaliste Chtchekochikhine.
— 235 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 236 —
passage au crible ‹négationniste›
— 237 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
D
les deux rapports Leuchter
Nous ne pouvions terminer ce passage au crible ‹ révision-
niste › sans évoquer l’élément qui manquait pour donner le
coup de grâce à la légende de l’Holocauste. En effet, des grands
chercheurs que nous avons pu découvrir dans cet ouvrage tels
que Ditlieb Felderer ou encore Robert Faurisson s’étaient déjà
posés des questions relatives à la possibilité technique d’effec-
tuer des gazages et incinérations massifs sur des individus et
ce, dès les années 1970. En parlant donc d’extermination, il ap-
pert justement qu’un ingénieur américain se trouvait être un
spécialiste des chambres à gaz d’exécution aux États-Unis. Son
nom : Frederick ‹ Fred › A. Leuchter Jr. Car avant lui, il faut bien
dire que personne n’avait jamais examiné les chambres à gaz
de Majdanek ni d’Auschwitz I, pas plus que les ruines de celles
de Birkenau. C’est en février 1988, à la demande des révision-
nistes, que Fred Leuchter se rendit en Pologne avec son équipe
aux fins d’examens poussés de ce qui était devenu le symbole
par excellence de la Shoah. Concernant cette demande des
révisionnistes, c’est surtout Robert Faurisson qui avait sug-
géré au Canadien d’origine allemande Ernst Zündel (qui avait
été traduit en justice à l’instigation d’une organisation juive,
Holocaust Remembrance Association, après que celui-ci eût
diffusé la version originale du livre contestant l’Holocauste
de l’anglais Richard Harwood, Did Six Million Really Die ?)
— 238 —
passage au crible ‹négationniste›
— 239 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 240 —
passage au crible ‹négationniste›
— 241 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http:/www.cwporter.com/bild2.htm
Les légendaires portes et trappes
des « chambres à gaz » d’Auschwitz
+ http:/www.cwporter.com/bild2.htm
La lourde porte d’une chambre à
gaz d’exécution américaine Sans
commentaires…
Portes № 1 & 2
des 3 portes de
la « chambre
à gaz » du
camp principal
d’Auschwitz
— 242 —
passage au crible ‹négationniste›
— 243 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 244 —
passage au crible ‹négationniste›
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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CHAPITRE VII
Dénouement ‹ déconstructionniste ›
— 247 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 248 —
dénouement ‹ déconstructionniste ›
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 250 —
DEUXIÈME PARTIE
PANORAMA CRYPTO-HISTORIQUE
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 256 —
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http://www.hagalil.com/archiv/2005/12/heydrich.htm
la Mercedes de type 320 B après l’attentat
+ casrom.free.fr/ryandescriptifoperations.htm
le village de Lidice
avant et après l’attaque des nazis :
— 260 —
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
— 261 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. ibid. p. 32
— 262 —
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
… cette affiche
(montrant la tombe de Cavell)
… et ce timbre
— 263 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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— 270 —
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
1. ibid. p. 44
2. ndla – Note : il était en réalité auteur propagandiste et non ministre.
3. Mortel pour qui en réalité et pour quelles raisons ? — nous verrons
cela en temps utile.
— 271 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 272 —
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
— 273 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
La mort prenait des voies diverses. C’est ainsi que les victimes
furent :
— frappées à mort,
— étranglées,
— noyées,
— poignardées,
— émasculées,
— piétinées par des hommes,
— piétinées par des chevaux,
— brûlées vives,
— mutilées de toutes les façons possibles,
— reliées à une pompe par le moyen de laquelle on intro-
duisait du purin dans leurs entrailles,
— mises dans des tonneaux que l’on faisait rouler jusqu’à
ce qu’elles succombent.
Nous épargnerons au lecteur les détails sur les assassinats
de femmes enceintes. ›
Voici par exemple la traduction de deux témoignages pro-
venant du Dokumente zur Austreibung der Sudetendeutschen,
cité plus haut et tirés du site en anglais et auto-publié par le
Groupe d’Étude pour la Préservation des Intérêts Allemands
des Sudètes en 1951. Il s’agit pour commencer de celui de
Marianne Klaus en date du 26 juin 1946 (coté sous le rapport
№ 63 du site) :
+wintersonnenwende.com/scriptorium/english/archives/whitebook/desg22.html#063
— 274 —
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
— 275 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
poussés tête la première dans l’eau sale. Je viens juste d’être li-
béré de Pankratz ».
Nous donnerons ici un aperçu du kaléidoscope d’hor-
reurs qui commença dans la capitale tchèque dès le 5 mai, tiré
d’une variante du site précédent de collecte d’informations et
de témoignages relatifs à la tragédie étouffée des Allemands
ethniques de Tchécoslovaquie ; il s’agit d’un dossier d’Ingomar
Pust qui s’intitule La Danse Macabre commença à Prague :
‹ Dès l’après-midi du 5 mai, la plupart des bureaux alle-
mands à personnel restreint de Prague avaient été assaillis.
Les bureaux plus importants de la Wehrmacht et les baraque-
ments furent les seuls qui pouvaient tenir le coup. Un groupe
de soldats allemands, rassemblés par un capitaine résolu, dé-
fendit la Gare Mazaryk où des milliers de réfugiés et de blessés
allemands s’étaient mis à couvert.
Un destin horrible rattrapa des milliers de blessés dans
plusieurs hôpitaux. Après que ces hôpitaux fussent assiégés
par la foule, les blessés cloués au lit furent abattus dans leurs
lits. Mais même ceux qui pouvaient marcher, et qui étaient
sortis ce jour, furent perdus. Tout soldat trouvé par lui-même
était battu à mort ou pendu. Des milliers de blessés qui avaient
été rassemblés à partir d’hôpitaux variés furent rassemblés
aux baraquements de Scharnhost et fauchés par le feu des
mitraillettes.
La nuit du 5 au 6 mai, des affiches avaient été suspendues
aux bâtiments et colonnes publicitaires : ... « Nemcum smrt ! »
Mort aux Allemands ! Au même moment, la radio exhortait
sans cesse les Tchèques à exterminer les Allemands. Leurs
maisons étaient systématiquement pillées. De nombreux ha-
bitants furent jetés par les fenêtres ou battus à mort mais des
milliers de plus furent entassés dans des sous-sols et prisons
improvisées et horriblement abusés.
‹ Les centres de résistance allemande essayèrent, avec des
tanks et des commandos, d’empêcher les massacres de ci-
vils allemands, du moins dans leur voisinage immédiat. Les
Tchèques contrecarrèrent toutefois ces efforts d’arrêter leur
avance en rassemblant en troupeau devant eux des femmes et
filles allemandes nues comme « obstacles anti-char » vivants.
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
+ http://razyboard.com/system/morethread-wer-kennt-diesen-ort-heimat-
freunde_aussig-1699209-5666218-0.html
Photo du massacre d’Aussig
1. ibid. pp.86-87
— 279 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Illustration
relative au massacre
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
brassard blanc était une proie idéale aux abus et était traité en
conséquence.
« J’appuie cette déclaration qui est mienne avec ma si-
gnature et suis préparée à la répéter sous serment à tout
moment (1) ».
Voici maintenant le rapport № 4 du site citant le rapport de
Max Becher en date du 14 décembre 1946 à propos du mauvais
traitement et du meurtre d’ouvriers allemands :
« Un dépôt de munitions explosa le 31 juillet 1945, dans une
banlieue d’Aussig. On fit porter le chapeau aux Allemands et les
Tchèques utilisèrent l’excuse pour une attaque sur eux. Aussig
se trouve sur la rive gauche de l’Elbe, et l’usine où je travaillais,
Georg Schicht-Schreckenstein, sur la rive droite. Il y a un pont
reliant les deux côtés. Après le travail, à 16h30 cet après-midi,
on nous fouilla pour des armes à la fois à la sortie de l’usine et à
nouveau au pont. Une fois au pont, nous n’étions pas autorisés
à nous retourner. Au bout d’Aussig, nous fûmes reçus par des
centaines de Tchèques armés de matraques et de barres de fer.
Je reçus plusieurs blessures sérieuses à la tête pendant que mon
compagnon, un contremaître de 67 ans, eut le crâne enfoncé.
J’appris plus tard que son corps avait été balancé dans le fleuve
et rejeté sur la rive 16 km en aval. On me demanda alors de por-
ter le corps d’un autre homme dont la tête avait été enfoncée,
vers une décharge proche. Ils me dirent à mon retour que ce se-
rait à mon tour d’être tué. Je fus forcé d’enlever ma veste et d’es-
suyer la mare de sang, pendant que j’étais frappé de toutes les
directions. Je parvins à m’enfuir, mais un Tchèque suivit et m’at-
taqua. Il portait une lourde matraque et me blessa gravement
avec. Il n’arrêta pas avant, comme je le suppose, de m’avoir cru
mort. Lorsque je repris connaissance, deux Tchèques m’aidèrent
à m’emmener vers une maison, où les habitants allemands avi-
saient la Croix-Rouge. Je fus emporté sur une civière et eus as-
sez de chance d’être admis à l’hôpital à 22h cette nuit. Cela me
sauva la vie. Voici ci-après mes blessures : 3 côtes cassées, bras
gauche cassé, 6 blessures à la tête nécessitant 23 points de suture.
Mon bras gauche, que j’avais utilisé comme bouclier contre les
coups, était tellement enflé, que le fait qu’il avait été cassé ne fut
1. + http://wintersonnenwende.com/scriptorium/english/archives/
whitebook/desg04.html#002
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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1. + wintersonnenwende.com/scriptorium/english/archives/white-
book/desg32.html#093
2. ndla – Muscle grand fessier.
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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1. + wintersonnenwende.com/scriptorium/english/archives/white-
book/desg19.html#056
2. ndla – 1945.
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
dans une cave sans fenêtres. Elle ne reçut aucun soin et sa bles-
sure aucun pansement. Ma grand-mère souffrit de douleurs
atroces. Ma tante, qui restait avec elle, fit appel à un docteur
pour de l’aide, mais il dit en riant, ‹ Ce n’est qu’une Allemande ›,
et partit. Après plusieurs demandes, ma tante parvint enfin à
obtenir un prêtre qui administra l’extrême onction. Ma grand-
mère mourut le jour suivant.
« Plusieurs filles Allemandes furent incarcérées dans la
prison. Chaque jour, les Russes venaient à la prison et emprun-
taient des femmes, qu’ils ramenaient le matin suivant.
« Pendant les moments horribles que je passai à l’hôpital,
je vis également des aumôniers tchèques, attachés à l’unité mi-
litaire, qui se tenaient sur nous avec un pistolet à la main, et qui
célébraient toutefois la communion le jour suivant (1) ».
Concernant le camp de Hanke donné en exemple plus
haut par Nawratil, ajoutons-y le rapport d’Alfred Kutschker du
3 août 1946 (coté sous le rapport № 46) :
« J’ai dû passer de début juin au 16 août
1945, par le tristement célèbre camp
de Hanke, dans l’Ostrava morave
(Mährisch Ostrau), où tous les
autres internés et moi-même
furent dépouillés à notre arrivée de
t o u t ce que nous possédions, même les habits,
sous-vêtements et chaussures, de façon à ce que nous fûmes
complètement nus. On nous balança alors des guenilles avec
lesquelles s’habiller. Comme toutes les autres personnes ici,
je fus battu quotidiennement — 120 coups. Chaque jour nous
étions étranglés jusqu’à ce que nous perdions connaissance. Six
personnes furent battues à mort devant mes yeux mêmes, par-
mi elles, Langer, Miesner, Konetschny et Kron. Je dus passer
alors un mois au tribunal d’instance de l’Ostrava morave, où on
nous donna l’ordre de déterrer les corps des soldats allemands
et de les balancer dans la fosse à ordures du cimetière de l’Os-
trava silésienne. Je fus alors transféré d’Ostrava à la prison de
Troppau, où je fus dégagé de mes obligations le 12 juillet de cette
1. + wintersonnenwende.com/scriptorium/english/archives/white-
book/desg09.html#020
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + wintersonnenwende.com/scriptorium/english/archives/white-
book/desg17.html#046
2. Raison pour laquelle nous soulignons.
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
même mon alliance furent confisqués. Mon mari avait déjà été
exclu du Parti et du corps médical des SS en 1939 et n’avait pas
été publiquement actif en aucune manière que ce soit. Toutes
mes demandes aux bureaux appropriés, concernant le sort de
mon mari, furent rejetées avec mépris. 35 autres hommes de
Bishofsteinitz avaient également disparu sans laisser de trace,
tous après avoir été remis au camp de concentration de Taus.
Les femmes de ces hommes ne reçurent aucune information
quant à ce qui arriva à leurs maris malgré leurs appels aux
autorités plusieurs fois. Avant que nous soyons relocalisées
(chassées), toutes les autres femmes et moi-même essayâmes
de découvrir où nos maris étaient retenus, de façon à ce que
nous pussions soit être établies ensemble avec eux ou obtenir
du moins un acte de décès. Tous nos efforts furent en vain. En
se basant sur les rapports de prisonniers libérés, nous pouvons
supposer que nos hommes sont morts ».
C’est dans ce contexte d’un ‹ déferlement de haine vétéro-
testamentaire et communiste › auquel s’était livré Radio Prague
à l’encontre des Allemands, qu’un ‹ certain professeur Zelenk,
de l’université de Prague ›, reprend le Dr App (p. 65-66), ‹ livra
20 femmes à une meute de Tchèques en disant : « Je vous amène
les truies allemandes ». La foule les frappa à coups de latte et de
matraque en caoutchouc en hurlant : « À genoux, prostituées
allemandes » (le Dr App nous indique que le terme est trop vil
pour qu’il le reprenne ici). Elles tombèrent à genoux, et on leur
tondit la tête avec des baïonnettes. Certaines de ces femmes qui
n’avaient rien fait et n’étaient accusées de rien, leur seul crime
étant d’être Allemandes, furent frappées à mort. L’une d’elles,
une mère, Helen Burger, perdit connaissance quand un coup lui
fracassa deux côtes. Lorsqu’elle revint à elle, son pied était en
sang : quelqu’un avait tranché 4 cm de chair dans son mollet ! ›
Austin App nous révèle alors la suite de cet autre épisode
tragique qui nous donnera un avant-goût du chapitre suivant
de cet ouvrage : ‹ Sur les 20 femmes torturées en même temps
qu’Helen Burger, deux se suicidèrent et deux sombrèrent dans
la folie. Elle-même survécut et fut conduite au camp Habigot
où 1 200 femmes étaient emprisonnées dans 4 baraquements.
Le comble des exactions qui s’ajoutèrent à l’épisode de l’expul-
sion est rapporté ici. Une infirmière tchèque de la Croix‑Rouge
— 300 —
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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— 302 —
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
+ http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekules_sudetenland_en
Des civils tchèques acclament l’arrivée des Américains.
Un Allemand tué, gisant à leurs pieds.
(on remarquera sur cette photo le bonheur sur le visage des en-
fants, ce qui en dit long sur la fanatisation de la population, vu
le niveau de sensibilité normalement très élevé aux bas âges)
— 303 —
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— 304 —
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
De plus, le dernier
conseiller juridique de
FDR, le Juif Rosenman,
aurait rapporté,
d’après l’auteur David
Irving, que le président
‹ esquissa avec amu-
sement une machine
à stériliser en série ›.
Theodore N. Kaufman Ce plan qui visait à
Stérilisation de tous les Allemands
faire mourir de faim
Germany Must Perish
(L’Allemagne doit périr)
au moins 20 millions
d’Allemands, s’accom-
pagnait également d’une politique de déportation massive des
Allemands en Afrique (1). Concernant cette stérilisation main-
tenant, venons-en à leur autre illustre comparse, Theodore
Kaufman. Celui qui fut aussi président de la Fédération amé-
ricaine pour la paix, avait déjà exposé, en 1941, c’est-à-dire
avant même l’entrée en guerre des Américains et plusieurs
mois avant la fameuse conférence de Wannsee qui, on s’en
souvient, planifiait officiellement l’élimination de tous les Juifs
d’Europe, ses projets d’extermination du peuple allemand dans
son livre Germany Must Perish (L’Allemagne doit périr) par la
stérilisation de tous les Allemands en âge de procréer. Il pré-
voyait aussi le partage de l’Allemagne avec ses voisins et son
livre comprenait une carte annexée permettant de visualiser
la part de territoire qui reviendrait à chacun de ces voisins une
fois la population d’Allemagne et d’Autriche disparue.
Notre « grand défenseur » des droits de l’homme avait ain-
si calculé par exemple combien de médecins et d’infirmières
mobiliser aux fins de réaliser son plan. Son livre, vendu mas-
sivement au prix de 25 cents, lui avait alors valu (c’est logique,
il était pour la « paix ») un article dithyrambique dans le ma-
gazine mondialiste américain, Time. Morgenthau avait, quant
à lui, écrit Germany Is Our Problem (L’Allemagne est notre
1. C’est nous qui insistons car nous aurons l’occasion de reparler des
contacts voulus avec les Africains aux fins de détruire qui vous savez
désormais.
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1. ibid. p. 82
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
1. ndla – Nous reviendrons plus bas sur ce passage qui ne fut pas
semble-t-il traduit correctement.
2. ibid. p. 77
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1. + http://wintersonnenwende.com/scriptorium/english/archives/
whitebook/desg07.html
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Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
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ces incidents ont été filmés et projetés dans les cinémas d’An-
gleterre et des États-Unis. En tout cas, le gérant de la propriété
de Neuhof près de Grafendorf, un certain Antonin Safar, me
parla de cela plusieurs mois après. Son rapport culmina dans
l’exclamation ; ‹ Ces porcs autrichiens ont fait un beau bordel
pour nous ! › [ … ]
[ … ] (1) »
+ http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekules_sudetenland_en
La longue marche des expulsés de Brunn
— 322 —
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
tons que le site dont est tirée la photo de cette mère déportée
avec ses petits (ci-dessus), mentionne un article de Jan Puhl du
journal allemand Der Spiegel du 2 juin 2010 révélant ‹ la récu-
pération d’un film récemment découvert et caché depuis des
lustres ›. Les événements dans le film se produisirent le 10 mai
1945 à Prague. Voici un extrait traduit de l’article :
« Pendant des décennies, les images se trouvaient oubliées
dans une boîte en alu — presque 7’ de film noir et blanc origi-
nal, tourné avec une caméra 8mm le 10 mai 1945, dans le dis-
trict de Borislavka de Prague lors de l’époque embrouillée de la
reddition allemande.
L’homme qui tourna le film était Jiri Chmelnicek, un in-
génieur civil et cinéaste amateur qui vivait dans le district de
Borislavka et voulait documenter la libération de la ville de la
brutale occupation nazie. [ … ] Le film de Chmelnicek montre
comment des Allemands furent rassemblés dans un cinéma
voisin, également appelé le Borislavka. La caméra fait alors
un panoramique sur le côté de la rue où 40 hommes et au
moins une femme se tiennent le dos à l’objectif. On peut voir
à l’arrière-plan une prairie. Des coups retentissent et, les unes
après les autres, chaque personne dans l’alignement s’effondre
et tombe en avant sur un talus bas. Les blessés gisant au sol
demandent miséricorde.
Un camion de l’Armée Rouge arrive, ses pneus écrasant aus-
si bien morts que blessés. On peut voir plus tard, des Allemands,
forcés de creuser une fosse commune dans la prairie (1) ».
1. + http://historyimages.blogspot.fr/2012/02/brno-death-march-ger-
mans-brutalised-and.html#
— 323 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 324 —
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie
Plaques commémoratives
de deux tragédies de cet holocauste
Aussig Brno
— 325 —
Position au sein
du Royaume de Prusse (1871)
Découpage en 3 zones
A
Province de Silésie
— 327 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 328 —
Les Allemands du territoire central et oriental
Reproduction d’un
ordre d’expulsion
de Bad Salzbrunn
du gouvernement
polonais.
+ http://nemet-sorstragedia.lorincz-veger.hu/nemet-sorstragedia-en/menekules-schlesien-en.html
Commandement
à la population allemande de la ville de Bad Salzbrunn,
quartier de Sandberg inclus.
Sur ordre du gouvernement polonais :
1. Le 14 juillet 1945, un transfert de la population
allemande sera effectué entre 6 et 9 heures.
2. La population allemande sera installée à l’ouest du
fleuve Neisse.
3. Chaque Allemand est autorisé à emporter un bagage maximum
de 20 kg.
— 329 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Deux photogra-
phies tirées du site
en question, rela-
tives à cette autre
expulsion.
Tout comme la
Bohême-Moravie
voisine, la Silésie
donc, ne fut nul-
lement épargnée
en termes d’hor-
reurs et autres
actes de sadisme.
Le docteur en
théologie Johannes
— 330 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 331 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 332 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 333 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 334 —
Les Allemands du territoire central et oriental
[…]
Un autre cas : Mlle Lucie Mildner n’avait aucune blessure
visible. Mais elle lutta durant plus d’une demi-heure avec deux
Russes qui l’abandonnèrent ensuite. Elle mourut peu de temps
après de dépression psychique.
Mlle Rossdeutscher appartenait à notre paroisse de
St‑Clément-Hofbauer à Breslau. Après la capitulation, fin mai
1945, elle voulut rejoindre sa mère à Opperau et fut attaquée
en route par les Russes. Ils lui fendirent le ventre. Sa mère, qui
était allée à sa rencontre, la trouva rue Roon. Elle est morte
dans les bras de celle-ci et ses dernières paroles furent : ‹ N’est-
ce-pas, Maman, j’irai bien au ciel puisque je n’ai pas péché › (1). »
— Drossen (aujourd’hui Osno Lubuskie), canton de
Westernberg/Neumarkt.
Témoignage tiré des Beiträge, vol. ii, p. 271 :
« [ … ] Ce qui était le plus terrible, c’était les nombreux viols
de femmes et de jeunes filles. Même les petites filles de 12 ans
furent profanées par les Russes, comme je le sais par Mme L…,
témoin oculaire. Des femmes qui ont enduré ces viols, beau-
coup sont mortes, par exemple Mme Gabel, 74 ans, Mlle Wolf,
80 ans ; Mme Rauhut mourut des suites de ces actes en avril
1945 à Zielenzig [ … ] ».
— Grüben (Grabin), canton de Falkenberg, HS.
Document tiré des Beiträge, vol. v, p. 207 :
« [ … ] Les femmes, jeunes filles et vieillards du village de
Grüben près de Falkenberg subirent un sort vraiment cruel. Ils
furent rassemblés un jour par la milice polonaise et furent roués
de coups sur des camions les transportant à Lamsdorf. Là, ils
durent rouvrir une fosse commune et nettoyer les cadavres avec
leurs propres mains. C’était l’été, la puanteur était à peine sup-
portable, sans compter la vue de cette décomposition qui déjà,
seule, suscitait de l’horreur. Lorsque les corps furent dégagés,
les femmes et les jeunes filles furent forcées de se coucher des-
sus, la figure contre les cadavres gluants et puants. Les milices
polonaises poussaient alors avec leurs crosses la figure de leurs
victimes dans cette décomposition infernale. Des morceaux de
— 335 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 336 —
Les Allemands du territoire central et oriental
pèrent les mains et les pieds avec une hache. Ses cris d’agonie
s’entendirent au loin. Elle fut retrouvée le lendemain, à moitié
calcinée, après que les Russes eurent incendié la grange. Les
membres coupés ne furent retrouvés qu’un jour plus tard et
mis dans le cercueil d’August Stehr le 5 février 1945. J’ai person-
nellement béni la tombe ».
— Lamsdorf (Lambinowice), canton de Falkenberg, HS.
Récit d’un médecin extrait des Beiträge, vol. v. pp. 165 sqq. :
« [ … ] Un jour, les latrines des femmes étaient bondées,
quand une sentinelle dirigea le tir de sa mitraillette sur cet
endroit. Toutes les femmes furent gravement blessées, soit au
ventre, soit à la poitrine. Elles furent emmenées baignant dans
leur sang à l’infirmerie où l’infirmier Hubert W. et Sœur Lucie
voulurent leur donner des soins. Mais on les en empêcha et les
blessées graves furent enterrées dans une fosse commune pour
faire disparaître toutes traces du crime, sauf une qui mourut de
faim plus tard.
Il n’était pas rare que des femmes et des mères de famille
nombreuse soient battues et que même les femmes gravement
malades soient violées. Le 2 septembre 1945, 100 femmes ren-
trèrent un soir de leur travail commandé au camp, trempées
par une pluie battante. Elles devaient chanter des chansons
nationales-socialistes et marcher au pas jusqu’à la place d’exer-
cice. On mettait un banc au centre et chaque femme devait s’y
coucher et recevait 25 à 30 coups sur les fesses avec un gros bâ-
ton. Après cela, la chair leur pendait littéralement et les mus-
cles étaient abîmés. Après protestation, elles furent emmenées
à l’infirmerie, mais le commandant refusa le matériel pour les
pansements et c’est ainsi qu’elles furent couchées sur des sacs de
paille sale, gémissant de douleur, tandis que les mouches dévo-
raient leurs plaies remplies de pus. Après un vrai martyre, la
mort les libéra…
Les viols atteignirent leur point culminant par l’ordre du
commandant Gimborski (1) qui travaillait en collaboration
avec Fuhrmann. Au début d’octobre, toutes les femmes et jeunes
1. ndla – L’infâme sadique Ceslaw Gimborski ou Geborski, qui, avant
de devenir le commandant du camp d’internement et de transfert de
Lamsdorf en juillet 45, avait servi jusqu’en mars 45 au camp de travail de
Zgoda dont on reparlera à la section suivante.
— 337 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 338 —
Les Allemands du territoire central et oriental
même sur des malades graves et même des femmes et des jeunes
filles mourantes [ … ] ».
+ http://www.trasksdad.com/Don%20Hall/lamsdorf.htm
Baraquements du Stalag XIII b de Lamsdorf
— 339 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— Liegnitz.
Récit individuel de juillet 1951 (1) :
« […]
Mais qui s’incline devant les survivantes de l’Allemagne
orientale, victimes déshonorées, torturées, malades et in-
firmes pour toujours ? Qui vénère la femme qui a porté
jusqu’au bout le fruit de ces heures douloureuses et qui a mis
au monde un enfant dont elle ne voulait pas ? Qui connaît le
supplice d’une mère déshonorée d’innombrables fois devant
ses enfants, qui a perdu leur amour et leur confiance ? Qui
connaît le raidissement et la mort de tous les sentiments dans
l’âme de ces femmes et jeunes filles qui ont été violées 40 à
60 fois par les Russes en une seule nuit et qui doivent malgré
tout continuer à vivre ? Qui comprendra la gravité de ce qui
fut fait à nos petites filles, nos toutes petites de 4 à 14 ans ? La
plupart vivent encore. Finalement il n’y a pas de mots pour
exprimer la souffrance de la femme allemande de l’Est (2) ».
— Neisse (Nysa), HS.
Document tiré des Beiträge, vol. i, p. 345 sqq. :
« Fin mars 1945, la forteresse tomba aux mains des Russes.
Il s’y trouvait, en dehors de 2000 civils, encore un bon nombre
de prêtres et de religieuses qui n’avaient pas voulu quitter la
ville pour soigner les vieillards et les malades restés sur place.
L’entrée de l’armée russe fut tragique. Dans la paroisse de St-
Dominique seulement, 15 religieuses furent assassinées après
avoir été violées. Dans un asile de religieuses âgées se trouvaient
120 sœurs entre 60 et 90 ans. Sauf quelques exceptions, celles-
ci aussi furent toutes violées. Actuellement, il n’y a plus que 50
survivantes. Les autres sont mortes à cause de l’évacuation or-
donnée par les Russes, des angoisses et des fatigues.
Les religieuses et prêtres maintenus dans la ville devaient
aider à déblayer les décombres, à enlever les cadavres et à cher-
cher dans les maisons les objets précieux avec le commando de
pillage.
— 340 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 341 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 342 —
Les Allemands du territoire central et oriental
1. http://france.eternelle.over-blog.com/article-les-enfants-mar-
tyrs-de-lamsdorf-66126934.html (site censuré par la bien-pensance
- Lenculus)
— 343 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
les prenant pour cibles, si bien que, pris sous le feu, la moitié
de ces malheureux se jetèrent dans un étang où ils se noyèrent.
Les autres, au nombre desquels se trouvait Erhard Sch., qui vit
toujours, réussirent à rentrer en se traînant avec difficulté. Ils
étaient tout en sang. Sous le choc de L’Événement, trois d’entre
eux perdirent l’usage de la parole. Un des prisonniers hurlait de
douleur parce qu’il avait reçu quatre profonds coups de baïon-
nette dans le corps. Mais il n’avait pas le droit d’aller à l’infir-
merie ni d’être soigné. Il se pendit durant la nuit près du grabat
d’un codétenu. »
+ http://www.pegasusarchive.org/pow/S344/PicSt_344_Capp3.htm
Reproduction d’une carte postale envoyée aux siens le
21 juin 1940 par le caporal-chef James John Capp de la
Rifle Brigade (Brigade de Fusiliers), capturé à Calais le
27 mai 1940 et interné dans le Stalag viii b ; à remarquer
tout particulièrement ce qu’il dit à ses proches : « Je vais
bien (I am Well) / dans un camp de prisonniers allemand
(in a german prison Camp) / Je suis tout à fait heureux (I
am quite happy) / tendres salutations (loving greetings) ».
— 344 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 345 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 346 —
Les Allemands du territoire central et oriental
1. ibid. p. 84
— 347 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
B
Le camp de Zgoda
— 348 —
Les Allemands du territoire central et oriental
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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Les Allemands du territoire central et oriental
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 356 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 357 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Le marché couvert de
Schwientochlowitz, camp de
rassemblement avant Zgoda
1. ibid. pp. 50-51
— 358 —
Les Allemands du territoire central et oriental
TémoignagedeMaxOgorek(extrait),deSpiessen-Elversberg
« […]
Déjà dans ce lieu de rassemblement, on subissait la rage
du commandant de camp Morel et de ses sbires. Il venait tous
les jours avec son état-major aviné, ils tiraient aveuglément sur
la masse, frappaient sauvagement leurs victimes sans défense
avec des cravaches à chiens et des matraques de caoutchouc,
puis choisissaient quelques prisonniers qu’ils abattaient hors
du marché. Beaucoup d’entre nous mirent fin à leurs jours ; ils
s’ouvraient les veines ou se pendaient dans les lieux d’aisances.
Le sadisme des tyrans n’était jamais assouvi. Je vois encore
un inspecteur des mines et un autre homme, tous deux bar-
bus, qui furent obligés de s’arracher mutuellement les poils de
barbe sous les coups de cravache, jusqu’à perdre connaissance.
Des hommes blessés aux jambes et des porteurs de prothèses
durent sauter par-dessus des tréteaux d’échoppe, jusqu’à ce
qu’ils restent étendus par terre. [ … ] Ensuite, nouveau trans-
fert, cette fois vers le camp de Zgoda, qui n’était pas loin. Là,
l’enfer était déchaîné. [ … ] La nuit, [ … ] Morel et ses complices
survinrent dans notre baraque, nous fûmes appelés et reçûmes
une bastonnade qui, elle aussi, nous restera en mémoire toute
notre vie. [ … ] Presque tous les jours, on faisait l’appel des
chambrées, nous devions nous coucher, visage contre le sol de
béton, et on nous piétinait avec des bottes. Sur les 3000 déte-
nus qu’il y avait au départ, il en mourut très tôt plus de 1200.
[…]
Original dans les archives de la Landsmannschaft der
Oberschlesier, à Ratingen (1). »
Témoignage de R. W. F. Bashford (cité d’après un autre
livre de Heinz Nawratil, Vertreibungsverbrechen an Deutschen,
Universitas Verlag, Munich, 1986, p. 49) :
‹ Il y eut encore plus de morts dans les camps que dans les
convois d’expulsés et dans les prisons de la police polonaise.
D’un rapport confidentiel que R. W. F. Bashford adres-
sait en 1945 au Foreign Office, il résulte que : « Les camps de
concentration ne sont pas supprimés, mais réutilisés par les
nouveaux maîtres. Pour la plupart, ils sont dirigés par la milice
— 359 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. Nous soulignons
2. ibid. p. 75
— 360 —
Les Allemands du territoire central et oriental
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 362 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 363 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Fig. 1
Brandebourg
Fig. 3
Fig. 2 : Brandebourg oriental et ses cantons
Fig. 4
Affiche électorale du parti CDU en 1947
illustrant cette déchirure indiquant :
« Plus jamais de ligne Oder-Neisse —
votez CDU »
(source Wikipedia)
— 364 —
Les Allemands du territoire central et oriental
C
Province du Brandebourg oriental
— 365 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
À l’instar de
la Silésie, le
Brandebourg
oriental connut
lui aussi son lot
d’expulsés et
d’horreurs. Le
site anglophone
‹ German trage-
dy of destiny ›
que nous avons
découvert précé-
demment, nous
Le partage en deux de Guben
révèle que ‹ des
600 000 résidents
environ du Brandebourg oriental, presque un tiers fut tué en
1945 par les attaques militaires de l’Armée rouge et les atrocités
commises durant l’occupation.
— 366 —
Les Allemands du territoire central et oriental
+ http://nemet-sorstragedia.lorincz-veger.hu/nemet-sorstragedia-en
— 367 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
D
Province de Poméranie
La province de Poméranie (en Allemand Pommern), plus
grande que la Belgique, qui prolonge au nord-est
le Brandebourg, fut considérablement accrue en
1938 avec, on l’a vu, la région autour de Driesen
séparée du Brandebourg (en vert sur la carte
plus bas) qui se vit alors rattachée à elle (cantons
d’Arnswalde et de Friedeberg), de même que la
région autour de Schneidemühl (en rouge sur la
carte avec Netzekreis) détachée de Posen, et le territoire au-
tour de Schlochau (en jaune sur la carte) détaché de la pro-
vince de Prusse occidentale. Le fleuve Oder formant, depuis
1945, la frontière entre l’Allemagne et la partie polonaise de la
Poméranie.
La Poméranie en 1871
Page suivante en 1938
1. + http://www.ostbrandenburg.com/brandenburg.htm
— 368 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 369 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekules_pommern_en
Stettin, la capitale administrative poméranienne
— 370 —
Les Allemands du territoire central et oriental
•
1. Ralph Franklin Keeling, Cruelles Moissons – La guerre d’après-guerre
des Alliés contre le peuple allemand, Éd. Akribeia, Saint-Genis-Laval,
2000, pp. 36-37
— 371 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
E
Province de Prusse occidentale, Posen, Dantzig
La province de Prusse occidentale (en allemand
Westpreussen) / Posen (province de Posnanie an-
nexée par le Reich en 1939 lors de
l’invasion de la Pologne) / Dantzig
est presque aussi grande que la
Suisse et la cité libre de Dantzig
(annexée aussi par le Reich en 1939)
est comparable au Luxembourg. On
l’a vu, la région autour de Schneidemühl, l’an-
cienne capitale, revint à la Poméranie en 1938
pendant que la région autour de Meseritz qui
s’était vue rattachée à la Prusse-occidentale/Posen
la même année, rejoignit alors le Brandebourg. Enfin, le can-
ton de Fraustadt, qui fut rattaché la Prusse occidentale/Posen
en 1938, devint alors partie de la Silésie. À noter que la région
s’étendant le long de la baie de Dantzig jusqu’au delta de la
Vistule fut appelée Pomérélie (allemand Pommerellen) ou
Petite Poméranie, Poméranie orientale, Poméranie de Dantzig
(que les Allemands rattachaient donc à la Prusse occidentale).
— 372 —
Les Allemands du territoire central et oriental
+ http://nemet-sorstragedia.lorincz-veger.hu/nemet-sorstragedia-en/menekules-westpreussen-en.html
— 373 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 374 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 375 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. http://www.voxnr.com/cc/etranger/EklEZAFZZZGwJHZjGu.shtml
— 376 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 377 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Bromberg (aujourd’hui
Bydgoszcz) connut tout
son lot d’horreurs du fait
aussi qu’elle était, nous
explique Nawratil, l’épi-
centre du corridor « po-
lonais », encore appelé
Corridor « polonais » ou de Dantzig couloir de Dantzig, une
bande de terre octroyée
à la Pologne par le Traité de Versailles pour lui donner un ac-
cès à la mer et dans lequel eut lieu l’essentiel de ces pogroms
parfois très cruels.
À proximité de Bromberg justement, se trouvait un camp
de travail de sinistre réputation qui, à l’instar de celui de
Sikawa près de Lodz ou de Granovo (Gronowo) près de Lissa
(voir carte ci-dessous pour repérage géographique), ne fut dé-
mantelé qu’en 1949-50. Il s’agit du camp de travail central de
Potulice (anciennement Lebrechtsdorf-Potulitz). Celui-ci fut
établi par les autorités communistes polonaises après la fin de
la Seconde Guerre mondiale en tant que centre de détention
pour Allemands et Polonais anti-communistes et fonctionna
de 1945 à 1950. Certaines sources font état d’environ 30 000
personnes qui y furent emprisonnées pendant cette période,
dont principalement des Allemands ethniques mais aussi des
combattants de l’Armia Kraowa et des prisonniers de guerre de
République tchèque, de Hongrie et de Roumanie. Les chiffres
de morts variant selon les sources, allant de 3 000 à 5 000 per-
sonnes (surtout à cause des épidémies). Il n’y a jusqu’ici rien
d’extraordinaire me direz-vous mais ce qui fait surtout la parti-
cularité de ce camp est son médecin juif, le Dr Ignacy ou Izydor
Cedrowski (dont le vrai nom serait, selon certaines sources,
Isidore Cederbaum, du camp de Zimna Woda) qui, lui aussi,
était un survivant auto-proclamé d’Auschwitz aspirant à la
vengeance.
D’après un blog du journaliste Henri de Fersan, le Dr
Cedrowski laissa mourir de faim et de froid 48 des 50 bébés
— 378 —
Les Allemands du territoire central et oriental
Il faut aussi faire observer à son sujet qu’il aurait été tou-
tefois épouvanté par le traitement réservé aux travailleurs alle-
mands en Poméranie. À cet égard, le journal catholique tchèque
Obzori nous indiquait dans un article que le Dr Cedrowski,
« survivant d’Auschwitz où toute sa famille avait succombé à la
Shoah », fut « pourtant stupéfait par l’exploitation meurtrière
dont les travailleurs allemands étaient victimes dans les fermes
d’État de la voïvodie de Poméranie en 1946-47 (1) ». À l’instar
de nombre de ses coreligionnaires donc, notre grand médecin
serait capable de manifester quelque signe d’horreur quand il
s’agit des crimes d’autrui mais pas des siens.
— 379 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 380 —
Les Allemands du territoire central et oriental
F
Province de Prusse orientale
La province de Prusse orientale (en allemand
Ostpreussen), avec Königsberg et le territoire
de Memel, était plus grande que les Pays-Bas.
L’étroite bande du territoire de Memel (en al-
lemand Memelland — voir aussi chap. 10, sec-
tion F) a toujours appartenu à la Prusse orientale. Il
fut annexé à la Lituanie en 1923, suite au Traité de Versailles,
mais retourna au Reich allemand en 1939. La partie sud plus
grande de la Prusse orientale est aujourd’hui en territoire polo-
nais (en vert sur la carte) tan-
dis que la partie nord autour
de Königsberg (aujourd’hui
Kaliningrad) revint à la
Russie (en jaune sur la carte)
qui voulait, de cette façon,
s’assurer un accès à la mer
Baltique, en même temps
que le port adhérent.
Prusse Orientale en 1871
— 381 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 382 —
Les Allemands du territoire central et oriental
+ http://nemet-sorstragedia.lorincz-veger.hu/nemet-sorstragedia-en/menekules-ostpreussen-en.html
Vieille carte postale peinte de Königsberg (1900)
Vue de l'étang avec, en arrière-plan, le château.
— 383 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. ibid. p. 40
— 384 —
Les Allemands du territoire central et oriental
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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Les Allemands du territoire central et oriental
Le village de Nemmersdorf
— 387 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 388 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 389 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Gare d’Allenstein
Nous donnerons encore un dernier témoignage, conservé
dans la Dokumentation der Vertreibung, vol. I 1, p. 247, concer-
nant le calvaire d’une femme racontant comment elle fut choi-
sie, avec d’autres femmes, pour être violée dans un bâtiment
destiné à cette fonction :
« Ces viols se répétèrent deux fois par jour, chaque fois avec
plusieurs soldats, jusqu’au 7e jour. Le 7e jour fut pour moi le
plus affreux. On vint me chercher le soir et on me libéra au ma-
tin. Mon sexe était déchiré sur toute la longueur et j’avais une
grosseur large d’un bras qui partait depuis le haut des cuisses,
au niveau du sexe, jusqu’au genou. Je ne pouvais plus ni mar-
cher ni m’allonger. Puis il y eut encore 3 jours comme les 6 pre-
miers, épouvantables. Après quoi, les soldats russes estimèrent
que nous avions notre compte, et on nous chassa toutes nues
hors de la pièce infernale. D’autres femmes prirent notre place.
Une vieille femme me donna une couverture. Ces horreurs se
déroulaient en présence de 10 femmes et souvent aussi de nos
propres enfants. Elles furent cependant épargnées aux deux
miens. Durant ces terribles journées, nous ne reçûmes aucune
nourriture, seulement de l’alcool et des cigarettes.
Le martyre nous avait rendues méconnaissables. On nous
rassembla ensuite pour une marche épuisante en direction
de [ … ] Preußisch-Holland (1).
1. ndla – Littéralement Hollande de Prusse, aujourd’hui Paslek dans la
— 390 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 391 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+http://nemet-sorstragedia.lorincz-veger.hu/nemet-sorstragedia-en/menekules-ostpreussen-en.html
Les conditions effroyables endurées
par les expulsés de Prusse orientale
— 392 —
Les Allemands du territoire central et oriental
Image satellite
de la lagune
— 393 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+http://nemet-sorstragedia.lorincz-veger.hu/nemet-sorstragedia-en/menekules-ostpreussen-en.html
Autre épreuve terrible :
la traversée de la lagune de la Vistule
(note : en allemand Frisches Haff, la lagune de la Vistule, est
une baie d’eau douce — certains disent saumâtre — au bord
de la Baltique donc, séparée de la baie de Gdansk — allemand
Dantzig — par la presqu’île de la Vistule. Elle est l’embouchure de
plusieurs branches qui s’y déversent dont le Nogat et le Pregolia.)
— 394 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 395 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Quant à ceux qui étaient encore dans les camps, leur si-
tuation n’était guère plus enviable ; en effet, ils eurent à lutter
contre des conditions d’hygiène déplorables et les maladies al-
lant avec ; ainsi par exemple dans le camp de Preußisch Eylau
ou Eylau-en-Prusse en 1945 (aujourd’hui Bagrationovsk), près
de la future frontière de Prusse orientale qui allait la partager
entre l’URSS au nord et la Pologne au sud, environ la moitié
des 12 000 à 14 000 détenus moururent du typhus et d’autres
maladies causées par la faim.
— 396 —
Les Allemands du territoire central et oriental
— 397 —
"L'Allemand est comme un saule.
Peu importe la façon dont vous le pliez,
il saura toujours reprendre racine."
Alexandre Soljénitsyne
russie
kazakhstan
ukraine
Localisation
A
Les Allemands de la Volga et de Russie
— 399 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http ://expelledgermans.org/volgagermans.htm
Vieille photo d’un village allemand de la Volga qui devint
bientôt partie de l’ « Engels » soviétique dans la république
autonome allemande de la Volga
— 400 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
1. + http://www.z-g-v.de/english/aktuelles/?id=56#ostbranden
— 401 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http ://expelledgermans.org/volgagermans.htm
Avis d’éviction donné par les autorités soviétiques à une famille
allemande les avertissant de leur expulsion immédiate et de la
saisie de leur propriété
B
Les Allemands de Yougoslavie
Les Allemands se trouvant en Yougoslavie compre-
naient, nous informe le site Tragédie allemande du
destin, d’abord ceux qui s’étaient installés dès les an-
nées 1330, dans la région de Gottschee en Carniole
(correspondant aujourd’hui à la municipalité de
Kocevje en Slovénie), près de la mer Adriatique. Quant
— 402 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
— 403 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http ://wotraceafg.voila.net/yougo.htm
La Yougoslavie en 1920, invention du Traité de Versailles
— 404 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
1. ibid. p. 94
2. ndla – Aujourd’hui en Serbie.
— 405 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Jarek connut 6 400 décès sur 18 000 détenus, Krusevlje 3 000 dé-
cès environ sur 10 000 détenus. »
Ces mêmes Archives nous permirent aussi de connaître
le nombre de camps et prisons ayant accueilli des Allemands
et répertoriés par le service de recherche de la Croix-Rouge
allemande : 1 562.
Vu les événements innombrables et variés qui n’ont ces-
sé de se dérouler dans cet ex-« pays » qu’était la Yougoslavie,
mosaïque de peuples différents assemblée par la magie du
Traité de Versailles, les sites de la Toile ne manquent pas d’in-
formations sur les tragédies relatives à l’histoire de cette partie
du monde mais il est nécessaire pour cela de bien analyser le
contenu de ceux-ci afin de bien savoir justement à quel peuple
nous avons à faire. Ainsi par exemple, le site détaillé de Guy de
Rambaud mentionne de son côté les camps de concentration
slovènes pour les membres de la minorité allemande :
• ‹ Strnisce, près de Ptuj (allemand Pettau). Après la
Seconde Guerre mondiale, les communistes y ins-
tallent un camp de mai à septembre 1945. C’est le Lager
Sterntal, un point de collecte central pour l’expul-
sion des Allemands de souche de la Basse-Styrie et la
Gottschee. 5 000 personnes moururent de faim, de ma-
ladie ou assassinés. En outre, il y a aussi des Slovènes
et des membres de la minorité hongroise de Prekmurje
détenus ;
• Hrastovec, près de Lenart (Slovenske Gorice) ;
• 4 camps près de Maribor (allemand Marburg an der
Drau) : Studenci, Brestnica, Kamnica et Tezno ;
• Teharje, à côté de Celje (allemand Cilli) (1). ›
Le site anglophone plus spécialisé, Zentrum gegen
Vertreibungen, nous relate ce qui suit :
‹ Après que la Yougoslavie se soit effondrée en avril 1941,
les Souabes du Danube furent divisés à nouveau de trois ma-
nières, et, en plus, furent obligés pour raisons d’état de servir
dans les associations militaires d’Allemagne et/ou de ses alliés.
Comme résultat, les partisans communistes, qui étaient actifs
dans le territoire de Yougoslavie à partir de 1941, de même que
1. + http://fr.guyderambaud.wikia.com/wiki/Les_massacres_titistes_de_prisonniers?file=A563.jpg
— 406 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
— 407 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekules_volksdeutsche_en
Allemands de Batchka en fuite
Nous poursuivrons notre cheminement de quête d’infor-
mations sur la Yougoslavie avec un autre site remarquable de la
Toile ayant entrepris de colliger autant de documents que pos-
sible relativement à l’expulsion du peuple allemand, l’Institute
for Research of Expelled Germans (Institut de Recherche des
Allemands expulsés), et qui se présente selon la page d’accueil,
comme ‹ une organisation de recherche universitaire œuvrant
à documenter l’histoire en grande partie inconnue de plus de
10 millions de civils allemands ethniques qui furent soumis à
la déportation, aux travaux forcés, à l’expulsion et dans cer-
tains cas, à la famine et la violence ethnique suivant la Seconde
Guerre mondiale. › Vu les informations abondantes du site,
nous nous limiterons donc aux éléments les plus importants
qui nous concernent :
‹ À l’arrivée de l’Armée rouge, l’Union soviétique infligea sa
propre dévastation sur la minorité allemande yougoslave, ma-
nifestement comme un acte de punition envers les atrocités de
l’Allemagne contre l’URSS pendant la guerre. De nombreuses
sources et récits personnels dépeignent des meurtres effrénés,
— 408 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
+ http://expelledgermans.org/danubegermans.htm
‹ Partisans yougoslaves escortant des prisonniers allemands
et souabes (nombre d’entre eux, des civils qui furent forcés de
rejoindre l’effort de guerre allemand) soit vers des camps de
prisonniers soit vers un procès (source : ww2incolor.com) ›
‹ Un petit nombre de Souabes, spécialement ceux des ré-
gions frontalières accusés d’activité irrédentiste, durent faire
des marches forcées ou furent expulsés en train vers la fron-
tière de l’Autriche occupée. L’entrée de la grande majorité de
ces Allemands expulsés leur fut refusée par les Alliés, vu qu’ils
étaient déjà submergés par l’implantation dans une nouvelle
— 409 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 410 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
+ http://fr.guyderambaud.wikia.com/wiki/Les_massacres_titistes_de_prisonniers
Souabes du Danube escortés de leur propriété confisquée
vers les camps d’emprisonnement et de travail forcé
(tableau de Stefan Jaeger)
— 411 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 412 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
voit la paille dans l’œil de son voisin mais pas la poutre dans
le sien. Un bourreau qui se trouve dépassé par les exactions
d’un autre bourreau, qui plus est, de la même communauté !
— 413 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 414 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
— 415 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. ibid. p. 99
2. Ce livre est disponible sur la Toile (sans les illustrations) à l’adresse :
+ http://w w w.germanvictims .com/w p-content/uploads/2013/06/
GENOCIDE-of-the-Ethnic-Germans-in-Yugoslavia-1944-1948-2007.pdf.
— 416 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
C
Les Allemands de Roumanie
Armoiries
de gauche à droite : Saxons de Transylvanie, Allemands
de Bukovine, Souabes du Banat (mêmes armoiries que
celles des Souabes du Danube), Souabes de Sathmar (Satu
Mare), Allemands de Bessarabie et Allemands de Dobr(o)
udja (et de Bulgarie).
— 417 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ larousse.fr/encyclopedie/divers/Roumanie_histoire/186037
Formation de la Roumanie
— 418 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
— 419 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 420 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
— 421 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Wartheland
Ses 3 régions
Le site Institute for Research of Expelledadministratives
Germans établit
de son côté deux voies différentes suivies par les minorités al-
lemandes de Bukovine, Bessarabie and Dobrudja d’une part, et
par celles des Saxons de Transylvanie et des Souabes du Banat,
d’autre part. C’est en effet à cause de leur proximité du Reich,
leurs fondations politiques et sociales développées ainsi que
les revendications irrédentistes de la Hongrie sur le Banat et
la Transylvanie, que les minorités de cette 2e catégorie, ap-
prend-on, suivirent un cours historique très différent.
Concernant la première catégorie, c’est-à-dire celle qui
s’était installée dans le nord (avec les minorités de Bukovine
et de Bessarabie) et dans le sud (celles de Dobrudja) du pays,
et qui contribua aux sociétés locales durant deux siècles, nous
mentionnerons toutefois seulement quelques mots vu que la
cause de leur quasi-totale disparition du paysage roumain ne
résultait ni d’une expulsion d’après-guerre par les Soviets ni de
celles des communistes roumains mais d’une politique diplo-
matique de transfert émanant du dirigeant d’une autre nation,
— 422 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
— 423 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 424 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
+ http://expelledgermans.org/transylvaniasaxons.htm#2
Allemands déportés dans la steppe de Baragan
‹ Monument principal de
protestation publique contre
le régime de Ceaucescu en
1989, une commémoration
des ‘martyrs’ à Bucarest. Les
premières étapes de la révolte
face au régime, furent, du
moins tel qu’on s’en souvient
traditionnellement,
parmi les minorités
hongroises et allemandes
privées du droit de vote. ›
— 425 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
D
Les Allemands de Hongrie
Ce fut suite à une invitation du roi de Hongrie
Geza II, déjà vers le milieu du XIIe siècle, ap-
prend-on du site Tragédie allemande du destin,
que les colons allemands arrivèrent dans le pays.
Durant le XVIIIe siècle, les Souabes du Danube
qui étaient implantés dans la Hongrie actuelle après
l e retrait des Turcs, s’installèrent principalement dans
les champs de la ‹ Turquie Souabe ›, dans les collines Buda et
la Backa.
Le 31 octobre 1918, la Hongrie devint indépendante et dut
céder à la Roumanie et à la Tchécoslovaquie environ un tiers
de son ancien territoire.
Des 500 000 Allemands (sur une population de 8,7 mil-
lions en 1937), seulement 60 000 fuirent les derniers jours de
la guerre, 35 000 furent déportés en Union soviétique pour tra-
vaux forcés.
À partir de 1946, 170 000 Allemands ethniques furent
évincés de force, dans des conditions inhumaines, dans la zone
américaine vers le Württemberg, et 50 000 nationaux alle-
mands dans la zone russe vers la Saxe.
Environ 270 000 Allemands pouvaient rester dans leur pa-
trie, sous la répression toutefois, d’un système communiste.
En ce qui a trait au destin des Allemands de Hongrie,
Heinz Nawratil puisa aussi ses références dans l’ouvrage de
Gerhard Ziemer, Deutscher Exodus, Stuttgard, 1973, p. 88, qui
donne des chiffres légèrement différents :
« La Hongrie comptait environ 600 000 Allemands dont
une partie d’entre eux s’enfuit en Autriche à l’approche de l’Ar-
mée Rouge. Les Russes déportèrent dans des camps de travail en
Union Soviétique près de 40 000 Allemands qui pour la plupart
ne revinrent jamais. Les accords de Potsdam avaient approuvé
l’expulsion des Allemands qui débuta en janvier 1946, sans tou-
tefois s’accompagner d’exactions, et ne fut jamais menée à son
terme. Au total, 290 000 Allemands furent expulsés et 270 000
restèrent en Hongrie. »
— 426 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
— 427 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 428 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
— 429 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 430 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
+ http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekules_volksdeutsche_en
Expulsion des Souabes de Hongrie
E
Les Allemands des Carpates (Slovaquie)
C’est sur invitation des souverains respectifs
que les immigrants allemands arrivèrent dans la
Slovaquie actuelle au XIIe siècle. Le site Tragédie
allemande du destin explique que c’était la vo-
lonté du roi hongrois de bâtir et développer les
régions abandonnées et désertifiées au nord et à
l’est de son pays par les fermiers, artisans, mineurs
et marchants.
C’est par la promesse de droits spéciaux qu’il pouvait gagner
les Allemands des Carpates (en allemand Karpatendeutsche,
karpatski Nemci en slovaque, encore dénommés Zipser
Sachsen ou Saxons de Spis ou Zipser Saxons) qui s’installèrent
dans le nord de la Slovaquie. Selon le site carpathiangerman.
com, les Allemands invités par les rois hongrois à cette époque
à s’installer dans ‹ les places fortes montagneuses vides des
Zips, devaient garder les passes montagneuses, partie d’une
importante route commerciale vers la Baltique et y développer
si possible l’exploitation minière. › Précisons que Zips, le nom
allemand de ces montagnes (en slovaque Spis, en hongrois
Szepesseg, en polonais Spisz), était aussi le nom d’une région du
nord-est de la Slovaquie avec une petite pointe dans le sud‑est
1. + http://expelledgermans.org/hungarygermans.htm#2
— 431 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http ://expelledgermans.org/sudetengermans.htm#
Carte des implantations des Allemands des Carpates
tout au long de l’histoire avant l’expulsion
— 432 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
— 433 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 434 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
— 435 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Plaque commémorant
l’expulsion des Allemands
des Carpates
(musée de Bratislava)
F
Les Allemands de la Baltique et de Lituanie
C’est depuis le XIIe siècle, nous indique le site
Zentrum gegen Vertreibungen, que les Allemands
s’installèrent dans les territoires des républiques
actuelles de Lettonie et d’Estonie (la partie nord
de la Livonie historique appartient aujourd’hui à
l’Estonie, la sud, de même que la capitale Riga, à
la Lettonie). Des missionnaires, ordres de chevaliers et mar-
chants allemands vinrent dans ces terres lors de la conversion
au Christianisme des Estoniens et des Livoniens (apparentés
aux Finnois) et des tribus lettones baltes (apparentées aux
Lituaniens et Prussiens) qui vivaient là. L’Ordre des Frères
de l’Épée, qui fut fondé à Riga en 1202, fusionna en 1236 avec
l’Ordre des Chevaliers Teutoniques, qui accapara tout le terri-
toire de la vieille Livonie.
1. + http://www.z-g-v.de/english/aktuelles/?id=56#karpaten
— 436 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
La Livonie
historique
(Wikipedia)
— 437 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http://www.z-g-v.de/english/aktuelles/?id=56#ostbranden
Carte des États de la Baltique en 1945
— 438 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
1. + http://www.z-g-v.de/english/aktuelles/?id=56#ostbranden
2. + http://www.z-g-v.de/english/aktuelles/?id=56#litauen
— 439 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 440 —
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale
— 441 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://expelledgermans.org/balticgermans.htm
— 442 —
CHAPITRE XI
— 443 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. ibid. p. 110
— 444 —
L’ Holocauste de la fuite et de l’expulsion : bilan
plume des atlas et des livres d’histoire, telles des « non human
beings », des « morts » au sens qu’Orwell donne à ce terme.
On chercherait en vain dans l’histoire des exemples compa-
rables (1). ›. Puis, plus loin, ‹ il ne fait aucun doute que la liqui-
dation des Allemands à l’Est constitue la plus vaste expulsion
de population de l’histoire mondiale. ›
Concernant les pertes d’après-guerre suite à l’expulsion
maintenant, on nous indique que l’Office fédéral de la statis-
tique entreprit de retirer du bilan démographique toutes les
pertes de guerre (soldats tombés, victimes des bombarde-
ments), ce qui donna ce qui suit :
pertes allemandes dues à l’expulsion (2)
(chiffres arrondis)
En chiffres % population
Pays
absolus (allemande)
— 445 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 446 —
L’ Holocauste de la fuite et de l’expulsion : bilan
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekules_volksdeutsche_en
— 447 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 448 —
L’ Holocauste de la fuite et de l’expulsion : bilan
+ expelledgermans.org
La carte des expulsions/déplacements
donnée par cet autre site anglophone
— 449 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
lon le site. Ainsi, si l’on se réfère aux 560 000 morts d’Europe
de l’Est avancés par le site de la Tragédie allemande du destin,
cela représenterait donc une plus grande perte que parmi tous
les déportés réunis du site de l’Institut pour la Recherche des
Allemands expulsés, ce qui n’a pas de sens.
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekules_en
— 450 —
CHAPITRE XII
L’Holocauste à Neptune
— 451 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 452 —
L’Holocauste à Neptune
Nous pourrions dès lors penser que tous ces expulsés par
voie de mer furent alors hors d’atteinte, une fois les zones ter-
restres laissées derrière. Laissons le site poursuivre :
‹ Plusieurs milliers qui pensaient être sauvés sur les ba-
teaux moururent d’une mort terrible dans l’eau glacée de la
Baltique. Bien que les Alliés sussent très bien que les navires
transportaient principalement des femmes, enfants et vieil-
lards, ils les attaquèrent avec des bombes, roquettes, canons de
pont et torpilles. Même les navires-hôpitaux remplis de blessés
graves, marqués de la Croix-Rouge, furent coulés sans pitié.
Un total de plus de 250 navires rejoignit le fond de la mer. ›
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekulthajok_en
— 453 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 454 —
L’Holocauste à Neptune
A
Le ‹ Wilhelm Gustloff ›
1. + http://www.vincelewis.net/wilhelmgustloff.html
— 455 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://www.feldgrau.com/wilhelmgustloff.html
— 456 —
L’Holocauste à Neptune
— 457 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 458 —
L’Holocauste à Neptune
— 459 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 460 —
L’Holocauste à Neptune
— 461 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
+ http ://www.wilhelmgustloff.com/images/Gallery/gustloff_night.jpg
— 462 —
L’Holocauste à Neptune
— 463 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://www.feldgrau.com/wilhelmgustloff.html
— 464 —
L’Holocauste à Neptune
— 465 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 466 —
L’Holocauste à Neptune
— 467 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 468 —
L’Holocauste à Neptune
— 469 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Le site poursuit :
‹ [ … ] Peu après 18h, le
Gustloff reçoit mot qu’un
convoi de dragueurs de mines
approche depuis la direction
opposée. Des disputes s’en-
flamment une fois de plus sur
le pont. Quel est le risque de
collision ? Des lumières de-
vraient-elles être allumées ?
Wilhelm Zahn recommande
d’allumer les lumières de na-
vigation vertes et rouges. Le
Capitaine Friedrich Petersen
capitaine Petersen vieillissant
donne son accord à contre
cœur et les lumières courantes sont allumées — une décision
devenant essentielle dans le désastre s’approchant dangereuse-
ment. Entre-temps, la glace couvre les ponts et s’épaissit sur les
bossoirs des canots de sauvetage. Les canons anti-aériens sont
devenus immobiles. Les efforts de l’équipage pour les déglacer
s’avérèrent inutiles (1). ›
Évidemment, l’équipement de détection de type U-boot à
bord du torpilleur d’escorte Löwe avait gelé et était inutile for-
çant ainsi les équipages des deux bateaux à se fier aux guets,
ordre sévère dans ces conditions.
Autre détail intéressant, les 4 torpilles du s-13 avaient
toutes été peintes avec une dédicace :
• Torpille 1 : pour la patrie
(celle qui frappa à l’arrière de la proue)
• Torpille 2 : pour Staline
(celle qui resta bloquée dans les tubes du s-13)
• Torpille 3 : pour le peuple soviétique
(celle qui frappa au milieu juste sous la piscine)
1. + http://ss-standartenfuhrer.deviantart.com/art/The-MS-Wilhelm-Gustloff-348928249
— 470 —
L’Holocauste à Neptune
1. + http://ss-standartenfuhrer.deviantart.com/art/The-MS-Wilhelm-Gustloff-348928249
— 471 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Piscine du
W i l h e l m
Gustloff et sa
mosaïque
— 472 —
L’Holocauste à Neptune
Chambre d’Ambre
Reconstruction et détails
— 473 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://www.vincelewis.net/wilhelmgustloff.html
— 474 —
L’Holocauste à Neptune
— 475 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
peler à cette occasion que, quelle que soit la rumeur, les réalisa-
teurs de cette œuvre étaient, outre un Danois, des Allemands)
et la détruisit afin d’annihiler délibérément tout souvenir.
Cet acte aurait été en violation directe de la Commission
Internationale des Tombes de Guerre (1), mais il semble que,
par dépit, les Russes le firent de toute façon. Il n’y avait certai-
nement pas d’amour perdu entre les Russes et les Allemands à
la fin de la Deuxième Guerre mondiale (2). ›
À propos de souvenir justement, le lecteur se souviendra
peut-être des paroles d’Elie Wiesel dans le chapitre I, celles
tirées de son essai L’extermination comme inspiration litté-
raire, où il disait : « [ … ] Chaque juif fut ainsi tué deux fois [ … ].
Aujourd’hui on tente de tuer les victimes une 3e fois en les dé-
pouillant de leur passé. De là ma très profonde conviction que
quiconque ne s’engage pas activement et constamment dans un
devoir pour la mémoire, et n’exhorte pas les autres à faire de
même, se rend complice du crime. » N’avons-nous pas là une
fois encore un exemple flagrant d’inversion accusatoire ? Le
lecteur n’aura qu’à changer simplement ‹ Juif › par ‹ Allemand ›
s’il désire se rapprocher un peu plus de la vérité. Il en ressort
donc que par cet acte, les Rouges ajoutèrent des insultes à leurs
victimes, et par extension à tous les Allemands, en retournant
vers l’épave aux fins de sauver tout ce qui pouvait être de va-
leur, pour finir par faire sauter leurs explosifs afin de dissimuler
leurs crimes.
Nous voilà arrivés maintenant à l’aspect le plus insolite de
ce drame, celui ayant trait à de curieuses coïncidences. Nous
avons pu voir que Vince Lewis parlait de l’éclairage du na-
vire comme ‹ une arrogance au nom du capitaine ›. Cela reste
curieux car la raison d’une telle arrogance est difficilement
discernable en pareilles circonstances ; en fait, même si cer-
taines personnes peuvent en faire montre, une telle attitude
serait plutôt une spécificité du béhaviorisme juif, la fameuse
« r’hutzpah » (d’ailleurs, soi-dit en passant, Lewis est un patro-
nyme juif, dérivé de Levi) ; il suffit pour s’en convaincre de jeter
simplement un œil sur les tristement célèbres Protocoles des
Sages de Sion, que d’aucuns ont bien-sûr qualifiés de « faux an-
— 476 —
L’Holocauste à Neptune
— 477 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. http://www.wilhelmgustloff.com/facts_didyouknow.htm
— 478 —
L’Holocauste à Neptune
— 479 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://historyonyx.blogspot.fr/2012/06/sinking-of-gustloff.html
— 480 —
L’Holocauste à Neptune
— 481 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://historyonyx.blogspot.fr/2012/06/sinking-of-gustloff.html
— 482 —
L’Holocauste à Neptune
1. + http://traitor666.blogspot.fr/2006/09/hitlers-titantic.html
— 483 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 484 —
L’Holocauste à Neptune
— 485 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 486 —
L’Holocauste à Neptune
— 487 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 488 —
L’Holocauste à Neptune
— 489 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
B
Le ‹ Goya ›
— 490 —
L’Holocauste à Neptune
— 491 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 492 —
L’Holocauste à Neptune
1. + http://www.desertwar.net/mv-goya.html
2. + http://www.vincelewis.net/wilhelmgustloff.html
— 493 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Sous-marin russe
type « Leninets » l-3
C
Le ‹ Cap Arcona ›
— 494 —
L’Holocauste à Neptune
— 495 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekulthajok_cap_arcona_en
— 496 —
L’Holocauste à Neptune
Le Cap Arcona
en flammes
— 497 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 498 —
L’Holocauste à Neptune
Lieu du naufrage du
Cap Arcona dans
la Baie de Lübeck,
à 3 km de Neustadt
(Wikipedia)
— 499 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
D
Le ‹ Steuben ›
— 500 —
L’Holocauste à Neptune
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekulthajok_steuben_en
— 501 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 502 —
L’Holocauste à Neptune
— 503 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 504 —
L’Holocauste à Neptune
+ http://ngm.nationalgeographic.com/ngm/0502/feature2/zoom1.html
‹ Des fleurs rouges et blanches représentant les couleurs
nationales polonaises flottent au-dessus de l’épave. Jetées là
un jour en août dernier (2004) par Heinz Peters, diplomate
à l’Ambassade allemande en Pologne qui arriva sur le navire
à l’arrière-plan, les fleurs faisaient partie d’un service de
commémoration. « Puissent les gens le long du littoral de la
mer Baltique n’être plus jamais témoins de la guerre », dit
Peters. « Ce fut la guerre commencée par l’Allemagne qui,
en tant que conséquence ultime et tragique, revendiqua les
vies de ceux que nous commémorons aujourd’hui ». ›
E
L’ ‹ Orion ›
— 505 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 506 —
L’Holocauste à Neptune
F
Le ‹ Thielbek ›
— 507 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekulthajok_thielbek_en
— 508 —
L’Holocauste à Neptune
G
Le ‹ Karlsruhe ›
— 509 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
H
Le ‹ Neuwerk ›
Le Neuwerk était un transporteur allemand de type car-
go-vraquier charbonnier construit en 1912 par la compagnie
britannique North Eastern Marine Engineering Co. Of South
Docks, Sunderland. Il affichait une longueur de 60 m, une lar-
geur de 9, un déplacement de 837 (ou 807) tonnes et une vi-
tesse de 9 nœuds. Voici un compte-rendu de Carl Racey sur le
site wrecksite.eu :
‹ Le 10 avril 1945 : dans l’un des derniers transports de ré-
fugiés de la ville assiégée de Pillau, le transporteur Neuwerk
approchait de Dantzig, son port de destination (où les réfugiés
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekulthajok_karlsruhe_en
— 510 —
L’Holocauste à Neptune
I
Autres navires
Les catastrophes qui suivent pourraient être qualifiées de
‹ mineures › à cause du nombre de victimes nettement moindre
que dans les cas précédents mais n’en restent pas moins dra-
matiques ; de plus, le chiffre cumulé des disparus lors de ces
autres naufrages s’exprimera lui aussi en milliers. Nous repro-
duirons pour ce faire la page du site anglophone Tragédie alle-
mande du destin consacrée à ces autres tragédies marines. De
1. + http://www.wrecksite.eu/wreck.aspx?186531
— 511 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/menekulthajok_egyebhajok_en
— 512 —
L’Holocauste à Neptune
J
Bilan
Effectuons dès à présent le bilan de toutes ces catastrophes
qui, en se basant sur les données fournies par le site Tragédie
allemande du destin, concernent rien de moins que 250 na-
vires de réfugiés, les 242 mentionnés ci-dessus avec les 11 cas
les plus importants + les 8 catastrophes majeures passées en
revue dans les sections A à G.
Les chiffres de victimes sont donnés suivant une estima-
tion la plus probable compte-tenu des références consultées
tout au long de cette étude, certains étant laissés tels quels
lorsque jugés exacts, d’autres étant arrondis quand les sources
disponibles ne permettent pas d’établir le bilan avec certitude.
navire victimes
Wilhelm Gustloff 9 343
Goya 7 000
Cap Arcona 5 594
Steuben 4 200
Orion 4 000
Thielbek 2 750
Karlsruhe 970
Neuwerk 956
242 autres navires 8 078
Total : 42 891
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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L’Holocauste à Neptune
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« Notre but premier est la destruction
du plus grand nombre d’Allemands
possible. Je compte tuer tout Allemand se
trouvant à l’ouest du Rhin et à l’intérieur
de la zone que nous attaquons. »
Général Eisenhower
l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
1. ibid. p. 21
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_en
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
A
Dresde
« Vous les gars, avez complètement rasé l’endroit
par le feu, l’avez transformé en une seule colonne de
flammes. Davantage de gens y moururent dans la
tempête de feu, dans cette grande flamme unique, que
n’en moururent à Hiroshima et Nagasaki combinées »
Kurt Vonnegut Jr.
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
soldats blessés. Pas une seule unité militaire, pas une seule bat-
terie antiaérienne ne furent déployées dans la cité. Ainsi que
les 600 000 (1) réfugiés de Breslau, Dresde était remplie de
presque 1,2 million de personnes. Churchill avait demandé des
« suggestions sur la façon de faire flamber 600 000 réfugiés ».
La manière de cibler des installations militaires à 60 (encore
une fois !) milles (env. 100 km) en-dehors de Dresde ne l’inté-
ressait pas. Plus de 700 000 bombes au phosphore furent lâ-
chées sur 1,2 million de gens. Une bombe pour 2 personnes. La
température au centre de la cité atteignait 1 600° C (le 1 semble
être ici une faute car il s’agit vraisemblablement de 600° C, voir
plus bas). Plus de 260 000 corps et résidus furent dénombrés.
Mais ceux qui périrent dans le centre de la cité ne peuvent être
retracés. Environ 500 000 enfants, femmes, personnes âgées,
soldats blessés et les animaux du zoo furent massacrés en une
seule nuit.
Le Mardi gras du 13 février 1945, une marée de réfugiés
fuyant l’Armée rouge à 60 milles (!) de là avait gonflé la popula-
tion de la cité à bien plus d’un million. Chaque nouveau réfugié
apportait des récits effroyables des atrocités soviétiques. Peu
de ces réfugiés reculant devant la terreur Rouge s’imaginaient
qu’ils étaient en passe de mourir dans une horreur pire que
tout ce que Staline pouvait inventer.
‹ Normalement, une atmosphère de carnaval prévalait à
Dresde le Mardi gras. En 1945, toutefois, la vue était plutôt
sombre. Les maisons débordaient partout de réfugiés et des
milliers furent forcés de camper dehors dans les rues grelot-
tant dans le froid glacial. ‹ Toutefois, les gens se sentaient re-
lativement en sécurité ; et bien que l’humeur fût maussade,
le cirque affichait complet ce soir-là alors que des milliers ve-
naient oublier pendant un moment les horreurs de la guerre.
Des groupes de petites filles défilaient en costume de carnaval
dans un effort de remonter le moral en déclin. Des sourires
à demi-tristes saluaient les filles riantes mais le moral était
remonté.
‹ Personne ne réalisait qu’en moins de 24h, ces mêmes
enfants innocents allaient mourir, hurlant, dans les tempêtes
de feu de Churchill. Mais, bien-sûr, personne ne pouvait sa-
1. ndla – Quel chiffre !
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
voir cela alors. Les Russes, c’est certain, étaient des sauvages,
mais au moins les Américains et les Britanniques étaient
« honorables ».
‹ Quand ces premières alarmes signalèrent donc le dé-
but des 14 heures d’enfer, les habitants de Dresde entraient
consciencieusement à flots dans leurs abris. Mais ils le firent
sans beaucoup d’enthousiasme, pensant les alarmes fausses,
puisque leur cité n’avait jamais été menacée depuis les airs.
Beaucoup n’allaient jamais ressortir vivants, car ce « grand
homme d’état démocrate », Winston Churchill — en collusion
avec cet autre « grand homme d’état démocrate », Franklin
Delano Roosevelt — avait décidé que la cité de Dresde devait
être anéantie par des bombardements à saturation.
‹ Quelles étaient les motivations de Churchill ? Elles
semblent avoir été politiques, plutôt que militaires. Les histo-
riens s’entendent unanimement que Dresde n’avait aucune va-
leur militaire. L’industrie qu’elle possédait en réalité produisait
seulement des cigarettes et de la porcelaine.
‹ Mais la Conférence de Yalta approchait, dans laquelle les
Soviets et leurs Alliés occidentaux allaient s’asseoir tels des
amateurs de macabre pour démembrer le cadavre fracassé de
l’Europe. Churchill désirait une carte maîtresse — un « coup
de tonnerre d’annihilation anglo-américaine » dévastateur —
avec laquelle impressionner Staline.
‹ Cette carte, toutefois, ne fut jamais jouée à Yalta car le
mauvais temps retarda le raid prévu au départ. Churchill in-
sistait pourtant que soit mené le raid — pour « perturber et
brouiller » la population civile allemande derrière les lignes.
‹ Les citoyens de Dresde eurent à peine le temps d’atteindre
leurs abris. La première bombe tomba à 22h09. L’attaque dura
24 minutes, laissant l’intérieur de la cité en une atroce mer de
feu. « Un bombardement à saturation de précision » avait créé
la tempête de feu voulue.
‹ Une tempête de feu est provoquée lorsque des centaines
de feux plus petits se joignent en une vaste conflagration.
D’énormes masses d’air sont aspirées pour alimenter le bra-
sier, provoquant une tornade artificielle. Ces personnes assez
malchanceuses pour se faire prendre dans la rafale de vent sont
projetées sur des rues entières dans les flammes. Ceux cher-
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://www.rense.com/general19/flame.htm
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Chasseur-escorte
p-51 Mustang
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l’Holocauste à Vulcain
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1. + http://www.rense.com/general37/alied.htm
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l’Holocauste à Vulcain
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l’Holocauste à Vulcain
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l’Holocauste à Vulcain
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l’Holocauste à Vulcain
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
sur son visage, il sortit son pistolet et abattit la bête. Les chim-
panzés avaient fui dans la cave à fruits et une frappe directe
avait alors fait effondrer le bâtiment sur eux. Eux aussi, comme
les hippos, suffoquèrent donc à mort — mais sur la terre, pas
dans l’eau. Certains des grands singes pouvaient être libérés de
leurs cages mais aucune de ces créatures ne fut jamais attrapée
par la suite, bien qu’un forestier en vît un des mois plus tard
dans l’Erzgebirge.
‹ De la volière en flammes, pas un seul oiseau ne put être
sauvé. Lors d’un espace bref, il y eut des cris stridents et hor-
ribles, puis seulement le ronflement des flammes.
‹ À côté de la volière était une terrasse pour des animaux
d’Amérique du Sud mais elle avait été frappée par une bombe
HE et personne ne pouvait dire maintenant à partir des lam-
beaux de chair qui éclaboussaient grotesquement les arbres à
quelle sorte d’animaux ils appartenaient. Le pavillon des anti-
lopes fut rasé au sol par le feu, comme celui des yaks. Certains
animaux pouvaient être sauvés mais ceux avec des brûlures
sérieuses moururent.
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_dresden_en
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l’Holocauste à Vulcain
B
Hambourg
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l’Holocauste à Vulcain
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1. + http://www.rense.com/general87/church.htm
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l’Holocauste à Vulcain
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Imaginez Coney Island (1) avec tous ses stands d’attractions re-
tirés — que reste-t-il ? Le parc d’attractions de Saint Pauli était
un énorme terrain de 600 yards de long (environ 540 m) sur
400 de large (environ 360 m). Cela requiert peu d’imagination
de le voir comme un splendide terrain d’aviation et c’est pour-
quoi il fut bombardé.
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
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1. + http://www.holocaustianity.com/zoo-bombing.html
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l’Holocauste à Vulcain
Operation Gomorrah
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
C
Berlin
« J’ai vu de nombreux travaux importants
d’ingénierie pendant la guerre, comme le
dégagement du port de Cherbourg, mais
je serais bien embarrassé pour dire par
où commencer pour reconstruire Berlin. »
Général Dwight Eisenhower,
Associated Press, Londres, 11 juin 1945
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l’Holocauste à Vulcain
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_berlin_en
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
D
Pforzheim
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
illustrations
Magazine Life,
Tragédie allemande du destin
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l’Holocauste à Vulcain
E
Cologne
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l’Holocauste à Vulcain
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_koln_en
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1. + http://www.history.com/this-day-in-history/brits-bombard-cologne-in-operation-millennium
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l’Holocauste à Vulcain
F
Magdebourg
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l’Holocauste à Vulcain
1. + http://jeune-nation.com/2014/01/marche-en-memoire-des-victimes-europeennes-
des-crimes-de-guerre-allies-a-magdebourg/
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
G
Darmstadt
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l’Holocauste à Vulcain
‹ La cité sud-hessienne
de Darmstadt, entre
autres choses un centre
de l’Art Nouveau, fut
attaquée à plusieurs re-
prises par les bombar-
diers britanniques et
américains.
‹ L’attaque principale
du 11 septembre 1944
fut aussi l’ « échantil-
lon » pour l’anéantis-
sement de Dresde une
demi-année plus tard.
Après un marquage de
but par un maître bom-
bardier (il s’agit bien-
sûr de Bomber Harris)
La colonie d’artistes, la chapelle et la pose de marqueurs
russe et le jardin du Landgraf fluorescents (« arbres de
Chrétien Noël ») comme guides,
les bombes qui furent
larguées éteignirent l’âme de la cité. L’apparence de Darmstadt
avec son cœur historique, l’Église Gothique de la Cité, l’Hô-
tel de ville de la Renaissance et les bâtiments uniques de l’Art
Nouveau, fut détruite de façon méconnaissable.
Parce qu’au même moment, un train rempli de munitions
fut aussi frappé, les bombes explosèrent pendant presque une
heure, de nombreuses personnes ne se faisaient pas confiance
depuis les caves. Ils croyaient que le bombardement continuait
toujours. Ils attendirent jusqu’à ce qu’il fût trop tard. La cha-
leur des feux et la fumée transformaient les abris en fours de
la mort.
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
H
Cassel
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_kassel_en
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
I
Essen, Munich & Heilbronn
Située dans la partie centrale du bassin de la Ruhr
dans le Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie,
Essen était connue pour accueillir les plus impor-
tants charbonnages et unités sidérurgiques d’Alle-
magne. La ville tirerait son nom de la famille des
Astnithi, fondateurs d’une abbaye féminine vers 845, destinée
à accueillir les jeunes filles de la noblesse saxonne.
Voici un tableau dépeint par le site référentiel sur le sujet
qui nous concerne :
‹ Essen était considérée comme l’une des régions indus-
trielles majeures de l’Allemagne. Des dizaines de milliers d’ou-
vriers aciéristes et leurs familles vivaient dans la cité sur la
Ruhr. À part les usines industrielles, les gens vivant à proximité
furent souvent ciblés par les attaques. En tant que « Blason du
Reich », Essen essuya 272 frappes aériennes. ›
Parmi les bombardements lourds sur la cité dont le site
donne les dates (échelonnées du 29 août 1940 au 11 mars 1945),
le nombre de bombardiers impliqués ainsi que le nombre de
pertes encourues sont donnés pour six d’entre eux :
‹ 5 mars 1943 : 442 bombardiers et 457 morts ; 13 mars
1943 : 457 bombardiers et 648 morts ; 4 avril 1943 : 348 bom-
bardiers et 143 morts ; 1er mai 1943 : 305 bombardiers et 153
morts ; 28 mai 1943 : 518 bombardiers et 196 morts et 26 juillet
1943 : 705 bombardiers et 541 morts.
Parce que les cités intérieures de la région de la Ruhr de-
vinrent des décombres et ruines à cause des nombreux raids
aériens à l’automne 1944, la vague de « 2e bataille aérienne »
annihila les quartiers encore intacts des banlieues. À partir de
février 1945, les canons des chasseurs-bombardiers visèrent
particulièrement les gares ferroviaires, trains, tramways et bus.
Les gens n’avaient ici aucune chance de s’échapper. Sans aver-
tissement, passagers et cheminots furent mis en pièces par les
grenades.
La cité fut complètement détruite, environ 100 000 foyers
furent anéantis (1). ›
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_essen_en
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_munchen_en
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Le bilan du site :
6 500 morts
Wikipedia
7 000 morts
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_heilbronn_en
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l’Holocauste à Vulcain
J
Nuremberg, Dortmund & Düsseldorf
Seconde ville de Bavière en importance après
Munich, Nuremberg (en allemand Nürnberg) allie
charme pittoresque et médiéval, faisant d’elle, une
métropole culturelle majeure du pays. La Pegnitz,
petite rivière de Franconie, sépare la vieille ville en
deux quartiers, celui de Sébald et celui de Lorenz, nommés
d’après les deux églises principales de Nuremberg. Le Château
Impérial, qui s’élève sur un promontoire rocheux au-dessus de
Nuremberg, était l’un des plus importants palais impériaux
fortifiés dans le Saint Empire romain germanique. Comme
chacun le sait, c’est dans cette ville, promue par Hitler « ca-
pitale idéologique du IIIe Reich » et où avaient été justement
promulguées les lois antisémites, que les Alliés décidèrent
d’y dresser le fameux ou plutôt tristement célèbre Tribunal
Militaire International pour y juger 24 hauts responsables et
8 organisations du régime nazi (dont la Gestapo et la SS). Le
célèbre procès de Nuremberg du 20 novembre 1945 au 1er oc-
tobre 1946 se tiendra alors dans un bâtiment épargné par les
bombes, ô coïncidence, le Palais de Justice.
Voici donc en détails le sort de cette cité pendant la guerre :
‹ Nuremberg était le site des conventions du parti de sorte
que sa destruction avait une signification psychologique im-
portante pour les Alliés.
Parallèlement, il y avait des industries majeures dans la ré-
gion de Nuremberg. Toutefois, la cible des attaques fut surtout
la vieille cité impériale avec le château et les maisons médié-
vales. Les raids eurent lieu les 29 août 1942, 26 février 1943,
9 mars 1943, 28 août 1943, 30/31 mars 1944, 3 octobre 1944,
2 janvier 1945, 20 février 1945, 16 mars 1945, 5 avril 1945.
La Vieille Ville de Nuremberg avec ses étroites rues si-
nueuses et ses anciennes maisons à colombages du Moyen-
Âge, brûla comme de l’amadou et fut presque complètement
détruite.
30 des 40 églises protestantes furent mises en ruines.
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
1. + http://www.holocaustianity.com/dortmund.html
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
K
Duisbourg, Francfort/Main & Wurtzbourg
Duisbourg est située dans le Land de Rhénanie-du-
Nord-Westphalie et dans le district de Düsseldorf,
au sud de la grande plaine d’Allemagne du nord, au
confluent de la Ruhr et du Rhin et possède le premier
port intérieur économique au monde. Le centre de la
ville ancienne s’étend sur la rive gauche de la Ruhr et sur la rive
droite du Rhin.
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_dusseldorf_en
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l’Holocauste à Vulcain
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_duisburg_en
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
Église St-Paul
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_frankfurt_en
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_wurzburg_en
— 607 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
L
Stuttgart, Brême & Mannheim
Capitale du Land de Bade-Wurtemberg, au sud
de l’Allemagne, Stuttgart, traversée par la rivière
Neckar, se trouve sur une série de collines, de
vallées et de parcs, ce qui ne manque pas de sur-
prendre le visiteur par trop habitué à associer géné-
ralement la ville avec sa réputation de « berceau de l’automo-
bile ». Surnommée parfois la Schwabenmetropole (la métropole
souabe), Stuttgart tiendrait son nom du vieux haut-allemand
« stuotgarten » où « stuot » signifie la jument, celle que l’on re-
trouve justement sur les armoiries de la ville, « garten » faisant
allusion à la grande étendue de la zone du peuplement d’ori-
gine. La ville compte notamment à son patrimoine des édifices
tels que l’Altes Schloss ou Vieux Château de style Renaissance,
le Neues Schloss ou Nouveau Château, d’architecture baroque/
classique, la Stiftskirche (l’Église collégiale), ainsi qu’un cer-
tain nombre de châteaux dans sa banlieue comme celui de
Ludwigsbourg, de style baroque sans oublier le parc et le châ-
teau de Rosenstein à Bad Cannstatt, quartier historique et ré-
sidentiel de la ville, ce dernier comprenant le jardin botanique
et zoologique Wilhelma.
Notre site de référence concernant les ravages de la guerre
dans le pays relate ce qui suit :
‹ Stuttgart était un important site industriel dans le sud de
l’Allemagne. La cité fut plusieurs fois la cible principale de l’of-
fensive de bombardement alliée.
En conséquence, les attaques furent menées les : 5 et 7 mai
1942, 23 novembre 1942, 12 mars 1943, 15 avril 1943, 21 février
1944, 2 et 15/16 mars 1944, 25/26 et 29 juillet 1944, 13 septembre
1944, 20 octobre 1944.
Le raid le plus sérieux eut lieu les 15/16 mars 1944 avec
813 bombardiers de la RAF et une charge de bombes de 2600
tonnes. À ce moment, 700 personnes furent tuées.
En juillet 1944, trois sorties majeurs de bombardiers
anéantirent intégralement l’intérieur de la cité. 100 000 per-
sonnes se retrouvèrent sans abri.
— 608 —
l’Holocauste à Vulcain
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_stuttgart_en
— 609 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_bremen_en
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://www.holocaustianity.com/bombed-cities-11.html
— 612 —
l’Holocauste à Vulcain
M
Wuppertal, Gelsenkirchen & Kiel
Située au cœur de la vaste agglomération Rhin-
Ruhr, dans le Bergische Land, région d’altitude de
la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Wuppertal,
à l’origine Barmen-Elberfeld, fut formée en 1929
de la fusion de plusieurs villes et hameaux voisins,
pour prendre son appellation définitive signifiant la ‹ Vallée
du Wupper ›, après 1930. La cité est connue d’abord pour son
monorail suspendu de 13 km, le Wuppertaler Schwebebahn,
inauguré en 1901 et circulant surtout au-dessus de la rivière
Wupper, mais aussi pour ses jardins publics et forêts (repré-
sentant les 2/3 de sa surface) ainsi que les vastes quartiers de
villas de l’époque des fondateurs. Nous n’oublierons pas non
plus les jardins botaniques et le formidable zoo, parc zoolo-
gique créé à la fin du XIXe siècle, s’étendant sur plus de 20 ha.
Voici maintenant le sort que réserva à cette autre belle cité
la 2e GM :
‹ La cité dans la région montagneuse du Berisches Land
(orthographe du texte), située dans l’étroite vallée de la rivière
Wupper, fut un important site d’essais des bombes incendiaires
de la RAF.
Le 30 mai 1943, 600 bombardiers lâchèrent sur la cité
300 000 bombes incendiaires.
Les étroites rues avec leurs maisons à colombages brû-
lèrent vivement, un barrage de feu se propagea à travers la
mince vallée du Wupper.
Les résidents qui ne purent se mettre à l’abri à temps et qui
tombèrent dans la chaleur infernale, brûlèrent jusqu’au point
où les adultes rétrécirent à un demi-mètre.
Les restes carbonisés des corps, par manque d’autres
containers, furent collectés dans des baignoires en zinc, des
bains pour étamage et des boîtes de conserve. Cela prit des
semaines pour récupérer les 3 400 morts ou leurs restes de
dessous les ruines.
La cité fut détruite à 80 %.
— 613 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
La fierté de Wuppertal,
la voie ferrée suspen-
due, ne fut pas épargnée
non plus et autre vue des
dommages.
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_wuppertal_en
— 614 —
l’Holocauste à Vulcain
holocaustianity.com cite
de son côté 2 attaques ma-
jeures, celle de la nuit du
25 juin 1943, par 473 bom-
bardiers de la RAF, et celle
du 9/10 juillet 1943 avec 418
appareils, la ville se trouvant
finalement détruite aux 3/4.
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_gelsenkirchen_en
— 615 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
N
Aix-La-Chapelle, Bochum & Hanovre
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 618 —
l’Holocauste à Vulcain
— 619 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Faisons maintenant la
somme des victimes de ces
bombardements tels que
citées plus haut :
145 tués (ou blessés) + 294
+ 1525 + 198 + 167 = 2 329
+ ‹ des centaines d’autres ›
(le 21 octobre 1944). Nous
arrondirons alors ces chiffres, dans le but d’éviter toute exagé-
ration potentielle, à 2500 victimes.
— 620 —
l’Holocauste à Vulcain
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_bochum_en
— 621 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 622 —
l’Holocauste à Vulcain
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_hannover_en
— 623 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
O
Schweinfurt & Lübeck
Ancienne ville impériale avec 1 200 ans d’histoire,
Schweinfurt fait aujourd’hui partie d’une cir-
conscription administrative bavaroise de Basse-
Franconie, la 3e ville de ce district après Wurtzbourg
et Aschaffenbourg. Son nom évolua à partir de
Suinuurde, Suinfurte, Swinvordi, Sweinvort puis Swein et en-
fin Schweinfurt, littéralement du latin Porcivadum, « gué où
les cochons s’arrêtent ». Entre autres curiosités historiques, la
ville compte par exemple des églises remarquables comme la
St-Johannes, le « Schrotturm », celle de St-Kilian, un Hôtel de
Ville de style Renaissance et bien-sûr, le Monument Friedrich
Rückert, au milieu de la place du Marché, commémorant le
génie et l’érudition de ce poète inspirateur de nombreux
musiciens et qui parlait 30 langues. Ce dernier fut aussi lié
à l’industrie et au développement de produits de renommée
internationale de Schweinfurt comme les paliers à rouleaux
et roulements à billes. Mais ce sont surtout ces derniers qui,
malheureusement, attirèrent sur la petite cité les foudres de la
guerre :
‹ De par son industrie, spécialement la production de rou-
lements à billes, Schweinfurt devint plusieurs fois la cible des
bombardiers alliés, particulièrement les : 17 août 1943, 14 oc-
tobre 1943, 24/25 février 1944, 14 avril 1944.
1. + http://www.holocaustianity.com/bombed-cities-08.html
— 624 —
l’Holocauste à Vulcain
— 625 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Ruelle Wolfgasse
1. + http://www.holocaustianity.com/schweinfurt-ruckert.html
— 626 —
l’Holocauste à Vulcain
Luitpoldstraße
+ http://www.thirdreichruins.com/schweinfurt2.htm
— 627 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_lubeck_en
— 628 —
l’Holocauste à Vulcain
1. http://www.holocaustianity.com/bombed-cities-11.html
— 629 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
P
Autres cités
Le site Tragédie allemande du destin, qui figure parmi nos
guides principaux dans ce dédale apocalyptique de la Seconde
Guerre mondiale, s’est efforcé ensuite de répertorier les dates
des bombardements opérés sur les villes de moindre impor-
tance. Indiquant que la période 1940 ‑ 1942 vit surtout les at-
taques lourdes s’en prendre aux cités majeures au nord et à
l’ouest du pays, à partir de 1943, les bombardements s’intensi-
fièrent de manière spectaculaire et frappèrent certaines cités
plus petites. Commençons par la période 1940 ‑ 1942 :
période 1940-1942
12 janvier 1940 Westerland/Sylt
12 et 16 mai 1940 Hamm et respectivement
29 janvier 1942 Münster
20/21 juin 1940 Bielefeld
20/21 juillet 1940 Wismar, Paderborn
29 décembre 1941 Crevelt (Krefeld)
11 janvier 1942 Wilhelmshaven
23-27 avril 1942 Rostock
7 et 23 juin 1942 Emden
10 août 1942 Osnabrück
12/13 août 1942 Mayence (Mainz)
3 septembre 1942 Karlsruhe
En 1942, les bombar-
dements furent menés
principalement contre
des cibles militaires.
Le nombre de 6 800
civils morts pourrait
être considéré comme
relativement bas (1). ›
Vue de Mayence après
le bombardement
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/terrorbombazas_tovabbi_varosok_en
— 630 —
l’Holocauste à Vulcain
période 1943
27 janvier ; 12, 19/20 février Wilhelmshaven
21 avril Stettin
15 et 22 juin Oberhausen et Crefelt (Krefeld)
23 juin Mülheim et Oberhausen
25 juin Elberfeld
resp. Sarrebruck (Saarbrücken)
30 et 31 juillet
et Remscheid
resp. Ratisbonne (Regensburg)
17 et 18 août
et Peenemünde
respectivement Leverkusen et
23 et 31 août
MönchenGladbach
2 octobre Hagen
Dantzig (Gdansk en Pologne) et
9 octobre
Anklam
10 et 21 octobre Münster et Leipzig
3 novembre et 4 décembre Wilhelmshaven et Leipzig
— 631 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
année 1944
6 janvier 1944 Stettin
11 janvier Halberstadt
11, 15 janvier et 20 février Brunswick (Braunschweig)
20 et 26 février resp. Leipzig et Augsbourg
14, 18 et 28 avril resp. Augsbourg, Cuxhaven et
Friedrichshafen
8 mai et 13 août Brunswick
13 et 14 août resp. Rüsselsheim et
Kaiserslautern
27 août Königsberg
30 août Emden, Stettin et Königsberg
13 septembre Osnabrück
5/6 et 6 octobre resp. Sarrebruck et Stralsund
15, 16, 18, et 19 octobre resp. Brunswick,
Wilhelmshaven, Bonn et
Mayence
6, 9, et 16 novembre resp. Coblence (Koblenz),
Wanne-Eickel et Düren
18, 19, 22 et 27 novembre resp. Münster, Wanne-Eickel,
Aschaffenbourg et Fribourg
3 et 4 décembre resp. Hagen et Karslruhe
6 et 7 décembre resp. Soest et Giessen (Gießen)
16 et 17 décembre resp. Ludwigshafen et Ulm
Le site ne mentionne pas ici le nombre de victimes pour
cette année 1944 et enchaîne aussitôt avec la dernière année
du conflit :
‹ Même quand la fin de la guerre était prévisible, la des-
truction des cités allemandes continua avec des centaines de
milliers de victimes civiles.
année 1945
7 et 17 janvier 1945 resp. Hanau et Paderborn
3 et 5 février resp. Wiesbaden et Bonn,
Ratisbonne
14/15 et 16/19 février resp. Chemnitz et Wesel
16 et 22 février resp. Ratisbonne et Worms
— 632 —
l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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l’Holocauste à Vulcain
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
nation soviétique que les Alliés avaient planifiée. Des 221 178
habitations, 28 178 furent complètement détruites et 93 000 en-
dommagées, 20 % des habitants natifs de Leipzig étaient ainsi
devenus sans domicile. Plus de 4 000 bâtiments non résiden-
tiels furent de même détruits par les dernières attaques, parmi
eux 56 écoles, plusieurs hôpitaux, 9 églises, plusieurs théâtres,
le musée d’art et le bâtiment principal de l’université. L’hôtel de
ville et les musées historiques furent lourdement endomma-
gés, les maisons historiques du Moyen-Âge, perdues.
Illustrations comparatives
Leipzig - Museum
— 638 —
l’Holocauste à Vulcain
1. + http://www.holocaustianity.com/leipzig-bombing.html
2. ndla – Note : il y a ici manifestement une erreur car le terme anglais
cité est casements, qui signifie fenêtre à deux battants, ce qui n’a aucun
rapport avec le contexte, l’auteur a sûrement voulu dire casemates dont
l’orthographe est identique en langue anglaise.
— 639 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 640 —
l’Holocauste à Vulcain
+ http ://liesliarsbeatniksandhippies.wordpress.com/
1. + http://www.holocaustianity.com/bombed-cities-09.html
— 641 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 642 —
l’Holocauste à Vulcain
— 643 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 644 —
l’Holocauste à Vulcain
— 645 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://www.holocaustianity.com/bombed-cities-14.html
— 646 —
l’Holocauste à Vulcain
1. + http://www.holocaustianity.com/bombed-cities-17.html
— 647 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 648 —
l’Holocauste à Vulcain
1. + http://www.holocaustianity.com/bombed-cities-16.html
— 649 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 650 —
l’Holocauste à Vulcain
Q
Bilan
Bien-sûr, nous pourrions continuer ainsi sur notre lancée
dans notre répertoire des cités allemandes tombées sous le feu
effroyable du ciel de la Seconde Guerre mondiale, ce qui néces-
siterait sans difficulté un ouvrage à lui tout seul. Contentons-
1. + http://www.holocaustianity.com/bombed-cities-15.html
— 651 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://www.rense.com/general35/behind.html
— 652 —
l’Holocauste à Vulcain
— 653 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
hérent selon nous, pour cette seule cité (à cause d’une part, du
doublement de population établie autour de 600 000 habitants
par la venue d’autant de réfugiés de Silésie, et d’autre part, de
l’intensité inouïe des bombardements), nous dépasserions ce
chiffre fixé si l’on décidait de totaliser individuellement les
pertes indiquées en gras de chaque cité passée en revue tout
au long de ce chapitre. Eh bien, c’est ce que nous allons juste-
ment faire en nous tournant vers une autre source qui n’hésita
pas non plus à revoir à la hausse ce nombre de victimes, le site
germano-anglophone Deutsche Opfer (germanvictims.com)
traitant spécifiquement des victimes allemandes. Le bilan de
cette autre source (qui donne 480 000 morts pour la seule cité
de Dresde) qui sera définitivement pris en considération pour
cette tragédie indicible est de 1 000 000 de morts.
Vu que le chiffre classique incroyable avancé de 25 000
à 60 000 morts pour Dresde semble être légion, un bilan de
650 000 victimes civiles pourrait donc paraître choquant à
certains bien-pensants et autres officiels au garde-à-vous de la
Nomenklatura historique officielle. Imaginons un instant les
actes des bombardements apocalyptiques joués sur la scène du
superbe théâtre romantique de Dresde couronnés d’un petit
prix allié de 25 000 morts seulement, alors que le grand ordon-
nateur de ces massacres sans nom mais revêtu du pagne de
respectabilité et d’honorabilité des vainqueurs de la Seconde
Guerre mondiale, comme de tout conflit d’ailleurs, le Juif
Winston Churchill (son grand-père maternel était Leonard
Walter Jerome, anciennement Jacobson (1817 ‑ 1817), spécula-
teur et partenaire en affaires d’un autre membre de la Tribu
et représentant américain principal des Rothschild, un certain
August Belmont, né Schoenberg (1813 ‑ 1813), pouvait se per-
mettre ces propos incroyablement dénués de tout scrupule (où
l’on pourra retrouver le chiffre magique évoqué à plusieurs re-
prises à la section traitant de la cité saxonne qui reçut presque
600 000 bombes) :
« Je ne veux entendre aucune suggestion sur la façon
d’attaquer les industries de guerre aux abords de Dresde
mais comment on peut frire 600 000 réfugiés de Breslau
(Prusse) (1) ».
1. + http://www.germanvictims.com/2013/05/24/bombing-1000000-dead/
— 654 —
l’Holocauste à Vulcain
— 655 —
‹ Deux sur sept retournent chez eux
– c’est la norme.
C’est bien pire dans les camps des hommes.
À Ketschendorf, chaque seconde on meurt de
dysenterie, de tuberculose et d’épuisement. … ›
Efi Hartenstein
— 657 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
A
Les camps soviétiques
Voici maintenant quelques lignes sur le sort des prison-
niers allemands incarcérés dans les camps de concentration et
de travail lors du déroulement du conflit :
‹ Avec la fin des combats à Stalingrad début février 1943,
commença le supplice de presque 100 000 soldats allemands
en captivité russe.
À des températures chutant jusqu’à – 30° c., de véritables
marches de la mort se firent vers les camps de concentration
Beketovka, Doubovka ou Krasnoarmeïsk, sans nourriture,
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/fogolytaborok_en
— 658 —
les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
— 659 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Transport dans
des wagons à bes-
tiaux des prison-
niers de guerre
La liste de ces camps spéciaux aux mains des Soviets si-
tués sur le territoire allemand, avec leur nombre de victimes et
déportés respectifs, est la suivante :
• Mühlberg .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . – 7 500 morts, 3 000 déportés ;
• Buchenwald .. . .. . . . .. . . . .. . . – 13 000 morts, 2 000 déportés ;
• Hohenschönhausen . – 3 000 morts ;
• Bautzen .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... . – 12 000 morts, 4 000 déportés ;
• Ketschendorf .. . .. .. . .. .. . .. – 6 000 morts, 2 000 déportés ;
• Jamlitz .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. . – 5 000 morts, 1 000 déportés ;
• Sachsenhausen .. ... .. ... . – 20 000 morts, 6 000 déportés ;
• Funfeichen .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. – 6 500 morts, 1 000 déportés ;
• Torgau-Zinna .. .. . .. .. . .. . – 2 000 morts, 4 000 déportés ;
• Weesow .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... . – 1 200 morts ;
• Francfort/Oder .. .. . . . .. . – 1 500 morts.
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/fogolytaborok_russia_en
— 660 —
les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
B
Les camps anglais et canadiens
Voici une brève vue d’ensemble de ce qu’il advint des pri-
sonniers allemands dans les camps de Grande-Bretagne et du
Canada par notre site référentiel :
‹ Dans la phase initiale de la guerre, les soldats allemands
tombèrent à peine aux mains des Anglais à l’exception de
quelques pilotes abattus.
Avec le début de l’offensive aérienne allemande, leur
nombre se chiffrait à environ 4 000 vers la fin de 1940.
À partir de 1941, les Britanniques répartirent leurs prison-
niers de guerre allemands sur tout le territoire du Commonwealth.
En dehors de la Grande-Bretagne, les plus gros camps de
détention étaient spécialement établis au Canada, en Australie,
au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.
Alors que la patrie anglaise gardait seulement 2 000 pri-
sonniers allemands vers mars 1944, cette situation changea
énormément par l’invasion de la Normandie en juin 1944.
Vers la fin de 1944, il y avait déjà 140 000 prisonniers sur
les îles britanniques, dans 380 grands camps et 1 500 camps
satellites plus petits, répartis dans tout le pays.
En suivant des stations temporaires, les prisonniers de
l’Afrika Korps furent détenus dans le camp d’Helwan près du
Caire de même que dans les camps établis dans la région du
Grand Lac Amer entre Suez et Ismaïlia. Il s’agissait d’énormes
emplacements de sable ceints de fils de fer barbelés, divisés en
petits quartiers. Les prisonniers vivaient dans des tentes, expo-
sés à une forte chaleur, mis sur de maigres rations, visités par
les insectes, les souris et les rats.
— 661 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
C
Les camps allemands
Beaucoup de soldats allemands pensèrent pouvoir retrou-
ver probablement la sécurité une fois expédiés chez eux mal-
gré leur statut de prisonniers de guerre, mais il n’en fut pas
ainsi. Le site Tragédie allemande du destin se charge de nous
en donner un petit aperçu :
1. ndla – Province de l’Alberta.
2. + http://www.rmoutlook.com/article/20111110/RMO0801/311109971
— 662 —
les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
— 663 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
D
Les camps français & africains
La situation des prisonniers allemands dans les camps
français ne s’avéra guère différente des camps précédents :
‹ Dans la campagne africaine, environ 25 000 soldats alle-
mands tombèrent aux mains des Français vers la fin de 1944.
On les amena d’abord au camp de Géryville (2). On les répartit
par la suite dans une trentaine de camps en Algérie, en Tunisie
et au Maroc.
Jusqu’à la mi-1947, presque tous les prisonniers furent
transférés vers la patrie française pour aider à la reconstruction.
Parallèlement, à partir de 1945, de grands contingents de
prisonniers furent repris aux Britanniques et par-dessus tout,
aux Américains.
Contrairement aux attentes, la majeure partie des prison-
niers transférés étaient totalement inaptes au travail. Des 103 000
prisonniers dans les 3 camps autour de Dietersheim qui furent
complètement repris aux Américains par la 7e Compagnie
française, 32 000 étaient des hommes vieux, des femmes et des
petits enfants, des malades et estropiés. Pour ces gens émaciés
que les Français appelaient des « déchets », pas un seul mor-
ceau de nourriture emmagasiné dans les camps ne fut apporté !
Les prisonniers des camps américains sur les prairies du
Rhin qui espéraient l’amélioration de leur situation dans les
camps français, furent rapidement déçus. Au début, la faim, la
violence et l’exploitation prévalaient également dans les camps
français. Des milliers de détenus furent tués. Il y eut en tout et
pour tout environ 1 065 000 prisonniers allemands sous garde
française. Les camps étaient éparpillés dans tout le pays.
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/fogolytaborok_deutsch_en
2. ndla – Algérie.
— 664 —
les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
— 665 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 666 —
les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
E
Les camps belges,
hollandais & luxembourgeois
— 667 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 668 —
les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
F
Les camps yougoslaves
N’ayant pas indiqué sur sa page d’introduction le nombre
de camps présents en Yougoslavie concernant les prisonniers
allemands, le site Tragédie allemande du destin apporte néan-
moins une description détaillée de leur situation qui prévalait
alors dans ce pseudo-pays qu’était la Yougoslavie, pure fabrica-
tion du Traité de Versailles :
‹ Les soldats capturés et les membres des communautés
civiles allemandes connurent en Yougoslavie le même sort
terrible.
Ils étaient souvent transportés vers le même camp. Là, ils
étaient sujets à la faim, au froid, à d’immenses difficultés, tra-
vaux forcés, torture et massacre.
Le nombre exact de prisonniers allemands en Yougoslavie,
dont la plupart s’y étaient rendus, est difficile à établir, mais il
pourrait être compris entre 200 000 et 240 000.
Selon des estimations, environ 80 000 prisonniers furent
assassinés après leur arrestation. La plupart des membres
de la Division « Prinz Eugen », consistant principalement en
Allemands ethniques du Banat, furent tués à leur capture.
Le 8 mai 1945, date de la reddition, il y avait encore
quelque 150 000 soldats allemands devant la frontière slovène.
Les Britanniques refusèrent de faire rentrer ces troupes en
Carinthie.
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/fogolytaborok_luxemburg_en
— 669 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 670 —
les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
G
L’holocauste d’Eisenhower & bilan
Afin de restituer au mieux le cadre particulier et sur-
tout illégal de la situation générale des prisonniers de guerre
allemands à la fin des hostilités, il nous faut citer la brillante
analyse d’une de nos autres sources de référence, le site an-
glophone Holocaustianity, analyse dont on retrouve une partie
également sur le site de justice4germans.com :
‹ Il n’y avait pas de « Traité de Paix » en place à la fin de la
guerre. Les prisonniers de guerre (pdg) allemands portaient
l’étiquette « forces ennemies désarmées (fed) » plutôt que
« prisonniers de guerre » afin de contourner les clauses de la
Convention de La Haye sur la Guerre Terrestre qui manda-
taient le traitement humain, incluant celui qui disait : « Après le
traité de paix, les prisonniers de guerre devraient être renvoyés
dans leur patrie dans le moins de temps possible. » Par cette
manipulation de la justice, les PDG allemands pouvaient être
emmenés vers les terres de leurs anciens ennemis et utilisés
comme main-d’œuvre esclave pendant des périodes considé-
rables, souvent au prix de leur vie à cause de sinistres difficul-
tés rencontrées avant, pendant et après leur transit. De plus,
un soldat allemand désigné comme FED n’avait aucun droit à
la nourriture, à l’eau ou à un abri, et pouvait, comme le firent
plusieurs milliers, mourir en quelques jours.
Il n’y avait pas d’observateurs impartiaux pour attester du
traitement des PDG détenus par l’US Army. À partir de la date de
la reddition inconditionnelle allemande, le 8 mai 1945, la Suisse
fut rejetée comme Puissance Protectrice officielle pour les pri-
sonniers allemands et la Croix-Rouge Internationale fut infor-
— 671 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 672 —
les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
1. + http://www.holocaustianity.com/german-pows.html
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
— 675 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
armoiries
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les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
— 681 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
relate les atrocités terribles dont j’ai été témoin comme garde de
prison pour l’un des camps de la mort d’Ike (surnom d’Eisen-
hower) le long du Rhin. »
— 682 —
les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
1. ndla – Il n’était pas aryen semble-t-il mais bien du même sang que celui
qu’il méprisait sans que cela n’entache bien-sûr ses qualités de ‹vrai guerrier›.
2. + http://www.rense.com/general46/germ.htm
3. + http://www.germanvictims.com/2013/05/16/allied-war-crimes-post/
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 686 —
les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower
Examen de la cachette
d’arsenic par un
membre de la police
allemande
1. ibid. p. 50
— 687 —
« …les Allemands devraient souffrir de la faim et du froid. »
Julius D. Clay
(Gouverneur militaire de la zone d’occupation américaine)
CHAPITRE XV
A
Le martyre de la famine et du froid
Voici pour commencer une déclaration de l’évêque de
Chichester, extraite du Congressional Record du 20 décembre
1945, citant un illustre pasteur allemand, à un moment où la
guerre était donc finie depuis plusieurs mois et où les vain-
— 689 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 690 —
martyr et pillage sous l’Occupation
— 691 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
— 692 —
martyr et pillage sous l’Occupation
— 693 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/megszallas_eh_fagyhalal_en
— 694 —
martyr et pillage sous l’Occupation
— 695 —
autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
B
Le supplice des femmes et des enfants
Parmi les références bien documentées à s’être penchées
sur le sort des femmes et des enfants, nous retrouvons encore
une fois le remarquable site anglophone Tragédie allemande
du destin, qui leur consacre une partie ; voici une traduction
de ce qu’il en ressort :
‹ Sans se plaindre, elles (les femmes) endurèrent d’intermi-
nables marches forcées à pied avec les bambins dans les bras,
tout ce qu’il leur restait d’affaires dans un sac à dos ou une va-
lise qu’elles transportaient jusqu’à épuisement.
Elles étaient souvent forcées de laisser derrière leurs
propres parents ou grands-parents qui n’avaient plus la force
de continuer.
En silence, elles enduraient les longs voyages dans des
charrettes à bœufs glacées, en même temps que les malades,
les blessés graves et les mourants.
Affamées et assoiffées, elles donnaient les derniers mor-
ceaux mangeables à leurs enfants.
Elles vivaient constamment dans la crainte de perdre la vie
à cause des bombes, grenades ou agressions brutales.
Un fardeau et une détresse émotionnelle particulièrement
lourds surmenaient de nombreuses infirmières et aides hos-
pitalières de la Croix-Rouge. Elles s’occupaient souvent des
blessés graves dans des situations dangereuses, sans considé-
ration pour leur propre vie, elles réconfortaient les mourants
dans leurs dernières heures d’agonie. Elles rendaient ce service
aux autres, même si les soins aux hommes avec des blessures
terribles, des brûlures horribles et des mutilations atroces, les
amenaient dans les limites de leur mental. Elles furent pour
de nombreuses personnes, dans toute la misère du sang et des
larmes de la douleur et de la mort, le seul confort et le dernier
espoir. Beaucoup d’entre elles qui tenaient jusqu’au bout au
chevet des malades, devenaient elles-mêmes victimes de viol,
meurtre ou enlèvement.
Elles passèrent d’interminables jours et nuits dans les
caves et bunkers, en crainte constante d’un bombardement qui
pourrait emporter leur vie ou toutes leurs affaires.
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martyr et pillage sous l’Occupation
1. + http://nemet_sorstragedia_en.lorincz-veger.hu/
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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martyr et pillage sous l’Occupation
1. + http://www.holocaustianity.com/wolfskinder.html
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1. + http://www.holocaustianity.com/wolfskinder.html
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martyr et pillage sous l’Occupation
C
Démantèlement industriel,
économique et scientifique
Ainsi, grâce au plan Morgenthau, l’Allemagne fut-elle as-
surée de voir des millions de ses enfants, petits et grands, mou-
rir de faim et de froid, cependant qu’au cas où l’interdiction
d’accès de la population à bon nombre de réserves alimentaires
aurait pu mettre trop visiblement en relief la tyrannie et la bar-
barie des « grands pacificateurs », ce même plan avait aussi mis
sur pied un autre moyen, indirect celui-là, qui allait produire
les mêmes effets, tout en évitant de révéler trop ouvertement
la face cachée diabolique des vainqueurs. Il s’agit du démantè-
lement du parc industriel de l’Allemagne, allant des usines aux
machineries agricoles. À cet égard, il nous faut retrouver un de
nos guides principaux ayant traité de l’expulsion des Sudètes,
l’auteur américain Austin J. App. Dans une brochure intitulée
Hitler et le National-Socialisme : Avaient-ils raison ou tort ?,
publiée pour la première fois le 15 juin 1974 et recueillie dans
l’ouvrage No Time for Silence, Institute of Historical Review,
Costa Mesa, 1987, ce professeur du Incarnate World College de
San Antonio au Texas nous présente la situation (extrait tiré de
la version française Ne pas se Taire, éd. La Sfinge, 2011, p. 93) :
‹ Un crime beaucoup plus irresponsable de la part des Anglo-
Américains a été, après la capitulation allemande, et à un mo-
ment où la nécessité militaire ne pouvait plus être invoquée
comme prétexte, le démantèlement de ce qu’il restait d’usines
en Allemagne et leur transfert en Russie. Il s’agissait de l’exécu-
tion du plan Morgenthau (jcs 1067, jcs 1779), dont le véritable
objectif était de réduire et de diviser l’Allemagne, mais aussi de
priver la population de machines, afin qu’elle meure de faim,
sans qu’on puisse toutefois dire qu’elle avait été directement
massacrée (2) ! On peut difficilement imaginer une barbarie
plus cruelle, face aux ruines de l’Allemagne, que de déman-
1. + http://www.holocaustianity.com/wolfskinder.html
2. C’est nous qui soulignons.
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martyr et pillage sous l’Occupation
D
Pillage culturel, autodafés
et destruction des monuments
Dans leur poursuite de « l’édification de la paix », les
« grands croisés démocrates », prirent le soin d’assassiner les
martyrs une seconde fois. On se rappellera les paroles de ce
« grand supplicié » de l’Histoire, Elie Wiesel, quand celui-ci
proférait qu’avec la destruction de la mémoire, on tuait ainsi
deux fois les victimes. Eh bien, faisons faire simplement ici une
volte-face au décor pour retrouver les éléments et accessoires
à leur vraie place. En effet, les décideurs alliés, d’Occident
comme de Russie, n’hésitèrent pas non plus à effacer du mieux
qu’ils pouvaient les lieux de mémoire du peuple allemand, bref,
tout ce qui pouvait symboliser leur culture, leur nation, leur
identité. Vu que ces Allemands n’étaient plus considérés par les
troupes alliées, conditionnées à souhait par des campagnes de
propagande à la Ehrenbourg, Morgenthau et consorts, comme
des êtres humains puisqu’exclus de la race des hommes, ceux-
ci devenaient-ils ainsi privés par la même occasion de la légis-
lation des droits de la personne et de la protection des institu-
tions du monde civilisé. Comme le rappelle Ralph F. Keeling,
‹ le pillage de l’Allemagne, après sa reddition sans condition,
restera dans l’histoire comme l’un des actes les plus mons-
trueux des temps modernes ›.
Avant de se lancer sur cette autre piste tragique, il faut
d’abord relever un autre détail qui fut porté à l’accusation lors
de cette mascarade que fut le Procès de Nuremberg, détail que
nous rapporte cette source électronique remarquable, le site
Holocaustianity (1) :
‹ Les dirigeants militaires allemands accusés de crimes
de guerre à Nuremberg furent accusés de « destruction et pil-
lage d’œuvres d’art » (en français dans le texte), basés spécifi-
quement sur la violation de l’art. 56 de la Convention de La
Haye de 1907 concernant le butin de guerre. Ironiquement, la
Convention de La Haye tenait son inspiration des différends
nés des Guerres napoléoniennes à propos du pillage notoire
de Napoléon. L’art. 56 était vu comme exprimant l’interdic-
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://www.holocaustianity.com/plunder-germany.html
2. Nous soulignons.
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martyr et pillage sous l’Occupation
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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martyr et pillage sous l’Occupation
plupart de ceux qui ont participé à des actes de pillage dans ces
secteurs étaient des Américains. ›
Voici un rapport de William H. Stoneman, correspondant
à l’étranger du Chicago Daily News, en poste auprès de la 3e ar-
mée américaine, en date du jour de la capitulation allemande :
« Des objets rares valant des millions de dollars et qui vont
des lentilles Zeiss, de nature si complexe, au beurre, au fromage
et jusqu’aux automobiles de luxe, sont en train d’être détruits
parce que l’armée n’a pas organisé de système de récupération
du matériel ennemi de valeur.
Les hommes de la ligne de front se comportent de manière
rustre avec les biens de l’ennemi. [ … ] Mais ce que prennent les sol-
dats du front n’est rien en comparaison des dommages causés par
le vandalisme gratuit de certains des soldats qui les suivent. [ … ]
J’ai tout d’abord découvert deux wagons de marchandises
remplis de magnifiques télémètres Zeiss pour canons antiaé-
riens, des milliers de lentilles rares, d’une valeur approximative
de peut-être un million de dollars.
La plupart des objets que nous avons vus ici — beaucoup
étaient éparpillés sur la voie — étaient inestimables et du
matériel valant des milliers de dollars avait été dispersé [ … ].
Quiconque connaissant un peu les instruments de précision
aurait versé toutes les larmes de ses yeux en voyant des ins-
truments de 500 à 1 000 dollars éparpillés au sol comme de la
vulgaire ferraille. [ … ] (1) »
Du côté des Français, voici ce qu’on apprend à nouveau du
site Holocaustianity :
‹ Le 30 avril 1945, la 2e Division d’Infanterie marocaine des
troupes françaises occupèrent Immenstadt, et ses officiers pé-
nétrèrent dans le château Rauhenzell et les pièces d’ivoire mé-
diévales disparurent. En 1983, le Louvre avait déjà acheté deux
des pièces, et s’en vit offrir deux de plus en 1993. [ … ] En sep-
tembre 1993, 5 pièces de plus du même lot qui avaient disparu
du château Rauhenzell, firent surface dans une vente aux en-
chères à Paris. › Ces 5 pièces, nous dit-on, après quelques diffi-
cultés d’ordre législatif étaient toutefois rendues à l’Allemagne
en 1994. Ce château de Rauhenzell en Bavière s’était vu aus-
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1. + http://www.holocaustianity.com/plunder-germany.html
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martyr et pillage sous l’Occupation
Staatsbibliothek Berlin
(Bibliothèque Nationale du Patrimoine culturel prussien)
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1. + http://www.holocaustianity.com/book-burning.html
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martyr et pillage sous l’Occupation
Voici maintenant
quelques mots sur le
célèbre monument de
Coblence de 1897 dé-
dié à l’Empereur alle-
mand Guillaume Ier, et
qui avait été ‹ inauguré
sur une langue de terre
sur le Rhin et connu
depuis l’époque des
Chevaliers Teutoniques sous le nom de
Deutsches Eck. Durant la 2e GM, l’artil-
lerie américaine fit sauter la statue (selon
des rumeurs, d’après un ordre personnel
d’Eisenhower) et le cheval fut grande-
ment détruit et ses plaques précieuses de
cuivre, volées. Au final, la statue restante
fut enlevée et fondue, bien que des frag-
ments de figures, dont la tête de l’Empe-
reur, réapparurent plus tard et reposent
aujourd’hui dans un musée de Coblence.
Le gouvernement d’occupation militaire
français avait l’intention de démanteler la
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
1. + http://www.holocaustianity.com/monuments.html
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1. + http://www.holocaustianity.com/monuments.html
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CHAPITRE XVI
Abâtardissement
et rééducation de la race allemande
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
der un tant soit peu ici sur ces horreurs commises à l’ouest
de la ligne Oder-Neiße, c’est-à-dire au sein même du territoire
délimité par les frontières actuelles de l’Allemagne. Si la barba-
rie Rouge était restée identique à l’égard des « Fraulein », ces
dernières eurent l’occasion de découvrir également une autre
forme de soumission et de souillure, beaucoup plus subtile et
sournoise celle-là, celle des Alliés occidentaux. Ainsi, parallè-
lement à la situation internationale avec les deux mâchoires
(ex-)communiste (c’est le nom du régime qui est officiellement
mort) et capitaliste de l’étau mondialiste, les femmes alle-
mandes de cette région du Reich furent-elles à même de subir
une attaque similaire des deux côtés du pays, les Russes à l’est,
et les Alliés occidentaux à l’ouest, et dont la nature de l’agres-
sion reflétera aussi, comme on pourra le constater, celle des
forces actuelles en présence sur l’échiquier du Nouvel Ordre
Mondial, à savoir la méthode brutale et directe (ex-)commu-
niste d’un côté, et la méthode anglo-américaine sournoise et
froidement calculée de l’autre, toutes deux arrivant au même
résultat.
Ce maître propagandiste dégénéré qu’était Ilya Ehrenbourg,
qui, faut-il le préciser, avait tenté dans ses mémoires, de se faire
passer pour une victime du stalinisme ainsi qu’un grand hu-
maniste, aurait dit également aux soldats russes le 31 janvier
1945 : « Les Allemands ont été punis à Oppeln, à Königsberg et
à Breslau. Ils ont été punis, mais pas encore assez ! Certains ont
été punis, mais pas encore la totalité d’entre eux ». De là, il n’y a
qu’un pas à imaginer la suite des événements.
Nous nous focaliserons surtout ici sur cet autre symbole
qu’était Berlin, non seulement parce qu’elle est la capitale mais
aussi à cause du fait que son destin illustre parfaitement d’une
certaine manière celui des femmes allemandes, vu qu’elle subit
également de plein fouet le resserrement et l’assaut des Alliés
des deux côtés, pour finir scindée en deux parties par cette
honte innommable qu’était le Mur de Berlin. Ce n’est peut‑être
pas un hasard si le général Eisenhower donna ordre au général
Patton de laisser le soin aux Rouges d’ouvrir les débats dans
la capitale. Comme le rappelle le Dr App, ‹ ils (les « croisés
d’Ehrenbourg) ne voulaient pas que la guerre s’achève avant
que les barbares Rouges n’abusent d’un maximum de jeunes
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Abâtardissement et rééducation de la race allemande
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Abâtardissement et rééducation de la race allemande
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1. + http://www.holocaustianity.com/human-loot.html
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Abâtardissement et rééducation de la race allemande
1. Nous soulignons.
2. + http://www.holocaustianity.com/human-loot.html
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1. ibid. p.94
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1. Nous soulignons.
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1. + http://www.holocaustianity.com/eisenhower.html
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1. + http://www.holocaustianity.com/human-loot.html
2. Heinz Nawratil, op. cit., p.193
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Abâtardissement et rééducation de la race allemande
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Abâtardissement et rééducation de la race allemande
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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CHAPITRE XVII
Dénouement crypto-historique
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
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dénouement crypto-historique
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autopsie détaillée d’une inversion génocidaire
Mais il n’en reste pas moins que les plans diaboliques des
Alliés furent mis à exécution, dont l’infâme plan Morgenthau,
cette ‹ loi du Talion talmudique ›, selon les termes du Dr App,
qui servit de base à ces conférences de la « paix » où avaient
été prévues notamment les modifications territoriales de l’Al-
lemagne, une fois le conflit terminé. Ainsi, fut-il décidé à la
conférence de Québec par exemple, que la Pologne se verrait
attribuer des territoires à l’est de la ligne Oder-Neiße en com-
pensation de ceux qu’elle allait céder aux Soviets. Un article
du New York Times du 26 juin 1945 est d’ailleurs très clair à ce
sujet :
« La Pologne est sûre d’obtenir à l’ouest plus qu’elle ne perd
au profit de la Russie soviétique à l’est de la ligne Curzon. Tout
comme la Prusse orientale, la Poméranie et la partie orientale
du Brandebourg, la Silésie tombe dans la part polonaise des
dépouilles de l’Allemagne. » Encore faut-il rappeler qu’à cette
même conférence, Roosevelt, qui avait été convaincu le pre-
mier par Morgenthau, avait, selon certains spécialistes, exercé
de fortes pressions quant à l’application du plan Morgenthau,
gagnant ainsi le consentement de Churchill et de Staline, alors
qu’il avait pourtant promis le 21 octobre 1944 le non-asser-
vissement du peuple allemand « car les Nations Unies ne pra-
tiquent pas le commerce d’esclaves ». Ainsi donc, suite à ces
accords, l’Allemagne se vit-elle amputée de plus d’un quart de
sa superficie (28 %), soit 114 000 km2, en devant accueillir les
survivants des millions de déplacés et d’expulsés des régions
orientales. Cette même Allemagne qui, au sortir du Traité de
Versailles, s’était déjà vue amputée du Corridor de Dantzig (qui
devait devenir une « ville libre » sous contrôle polonais, afin
que la Pologne pût disposer d’un port) qui la déchirait ainsi en
deux, une région qui, d’après bon nombre d’auteurs, était alle-
mande à 95 %. Quant à l’Autriche, elle avait été privée du seul
port maritime qu’elle avait depuis des siècles, celui de Trieste,
et s’était vu arracher 250 000 Autrichiens du Tyrol, de pur sang
germanique, pour être donnés à l’Italie. Pour couronner le tout,
comme nous l’explique à nouveau le Dr App dans une note de
bas de page d’un autre ouvrage, History’s Most Terrifying Peace,
San Antonio, Texas, 1947 (traduit par les éditions Akribeia sous
le titre La Paix la plus terrifiante de l’Histoire, 2014), à propos
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dénouement crypto-historique
créé par les militaires alliés pour développer des armes de des-
truction massive à utiliser contre les civils allemands.
Il faisait partie d’une grande « ville de fin du monde » ger-
mano/japonaise d’environ 8 km2 construite en 1943. Malgré
leurs « succès » avec leur millier de raids aériens incendiaires
contre Cologne et Hambourg, les Britanniques étaient frustrés
par leur incapacité à produire le même type de tempête de feu
à Berlin ; les conseillers scientifiques alliés avaient alors poussé
à la création d’un programme d’expérimentation incendiaire
sur des répliques exactes des maisons d’ouvriers allemands.
Selon l’Air Force, le village allemand de Dugway « correspon-
dait au type de maisons où vivait environ 80 % de la population
industrielle allemande ».
Utilisant la main d’œuvre des détenus de la prison d’état de
l’Utah, il fut terminé en 44 jours [ … ]. Commandé par le ser-
vice de la guerre chimique de l’US Army (Standard Oil), il fut
créé par un architecte d’origine allemande, Erich Mendelsohn,
Konrad Wachsmann et d’autres anciens résidents allemands
mécontents qui avaient récemment reçu assistance pour
déménager aux États-Unis avec l’aide d’Albert Einstein et
d’autres (1).
Ils allaient rejoindre l’émigré Walter Gropius pour tra-
vailler au développement de la préfabrication de tels systèmes.
Avant d’émigrer, Gropius (soutenu par le compositeur Arnold
Schoenberg, l’écrivain Franz Werfel et Einstein) dirigeait une
école d’architecture à succès en Allemagne au milieu des années
1920 appelée « Bauhaus ». Plusieurs architectes non cités affi-
liés au « Groupe Gropius » à Harvard aidèrent à la planification
du « Village allemand » et participèrent aux études de recherche
sur la façon d’incinérer ou de faire exploser efficacement des
structures et bâtiments typiques de la cité résidentielle alle-
mande. Ils rejoignirent avec enthousiasme le projet de Dugway
Proving Ground, où napalm et gaz empoisonnés étaient dé-
veloppés et testés pour usage contre les civils en Allemagne.
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1. + http://www.holocaustianity.com/extermination-plans.html
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ne soit en place pour conditionner les Allemands, ainsi qu’à
l’interruption de toutes les stations de radio allemandes, jour-
naux, magazines, hebdomadaires, etc jusqu’à l’application de
ces politiques. Les grandes propriétés devaient également être
fragmentées et divisées parmi les « paysans ». ›
à consulter absolument
+ http://leslufteaux.cultureforum.
net/t1871p950-les-bombardements-al-
l i e s - s u r- l - a l l e m a g n e - 19 4 0 - 19 4 5
un Criminel de guerre
« le Boucher » sir arthur harris
Commandant en chef du Bomber Command
Corps carbonisés dans des pou-
belles et cartons qui leur tien-
dront de cercueils
TABLE DES MATIÈRES
Note de l’auteur
Introduction
Chapitre premier
La psychopathologie et l’hystérie juives .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. 17
Chapitre II
La contagion hystérique juive chez les Goyim .. ... .. ... .. ... .. 51
Chapitre III
Témoignages des Goyim à l’appui des « martyrs » .. . .. . . . .. 67
Chapitre IV
Le Journal d’Anne Frank .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. 95
Chapitre V
L’Audiovisuel au service des « martyrs » .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. 121
Chapitre VI
Passage au crible ‹négationniste› .. .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . . 137
A – Carlo Mattogno (1e partie) .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. 139
B – Carlo Mattogno (2e partie) .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. 156
C – Carlos Whitlock Porter .. .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . . 195
D – Les deux rapports Leuchter .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 238
Chapitre VII
Dénouement ‹ déconstructionniste › .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. . 247
Chapitre VIII
Les Allemands des Sudètes et de Bohême-Moravie .. .. . . . . 255
— 795 —
Chapitre IX
Les Allemands du territoire central et oriental .. . .. . . . .. . . . .. 327
A – Province de Silésie .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . . 327
B – Le camp de Zgoda .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... . 348
C – Province du Brandebourg oriental .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 365
D – Province de Poméranie .. .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . 368
E – Province de Prusse occidentale, Posen, Dantzig . 372
F – Province de Prusse orientale .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 381
Chapitre X
Les Allemands ethniques d’Europe centrale et orientale . 399
A – Les Allemands de la Volga et de Russie .. ... .. ... .. ... . 399
B – Les Allemands de Yougoslavie .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... . 402
C – Les Allemands de Roumanie .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 417
D – Les Allemands de Hongrie .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. 426
E – Les Allemands des Carpates (Slovaquie) .. . .. . . . .. . . . .. 431
F – Les Allemands de la Baltique et de Lituanie .. . .. . . . .. 436
Chapitre XI
L’ Holocauste de la fuite et de l’expulsion : bilan .. ... .. ... .. . 443
Chapitre XII
L’Holocauste à Neptune .. .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . . 451
A – Le ‹ Wilhelm Gustloff › .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 455
B – Le ‹ Goya › .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. . 490
C – Le ‹ Cap Arcona › .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . 494
D – Le ‹ Steuben › .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. . 500
E – L’ ‹ Orion › .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. 505
F – Le ‹ Thielbek › .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. 507
G – Le ‹ Karlsruhe › .. .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . 509
H – Le ‹ Neuwerk › .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . 510
I – Autres navires .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . 511
J – Bilan .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 513
Chapitre XIII
L'Holocauste à Vulcain .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 522
A – Dresde .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 517
B – Hambourg .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 557
C – Berlin .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. 570
— 796 —
D – Pforzheim .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 575
E – Cologne .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. .. 577
F – Magdebourg .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. 581
G – Darmstadt .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. . 584
H – Cassel .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... . 588
I – Essen, Munich & Heilbronn .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. 593
J – Nuremberg, Dortmund & Düsseldorf .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . . 597
K – Duisbourg, Francfort/Main & Wurtzbourg .. . .. . . . .. 602
L – Stuttgart, Brême & Mannheim .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . 608
M – Wuppertal, Gelsenkirchen & Kiel .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 613
N – Aix-La-Chapelle, Bochum & Hanovre .. .. . . . .. . . . .. . . . . 617
O – Schweinfurt & Lübeck .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. . 624
P – Autres cités .. .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . 630
Q – Bilan .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. .. 651
Chapitre XIV
Les camps de prisonniers et l’holocauste d’Eisenhower .. . .. 657
A – Les camps soviétiques .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 658
B – Les camps anglais et canadiens .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 661
C – Les camps allemands .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... . 662
D – Les camps français & africains .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . .. .. . 664
E – Les camps belges, hollandais
& luxembourgeois .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 667
F – Les camps yougoslaves .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 669
G – L’holocauste d’Eisenhower & bilan .. ... .. ... .. ... .. ... .. .. 671
Chapitre XV
Martyr et pillage sous l’Occupation .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. ... .. . 689
A – Le martyre de la famine et du froid .. .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . 689
B – Le supplice des femmes et des enfants .. .. . . . .. . . . .. . . . 696
C – Démantèlement industriel, économique
et scientifique .. .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . 707
D – Pillage culturel, autodafés
et destruction des monuments .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 715
Chapitre XVI
Abâtardissement et rééducation de la race allemande .. .. . . 737
Chapitre XVII
Dénouement crypto-historique .. . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. . . . .. 767
— 797 —
Eostre
Déesse saxonne de la fertilité. Ses Symboles le lièvre et les œufs.
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