Info 20844 20kouba
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KOUBA
Placé sur l’un des derniers mamelons des collines du Sahel, à 127 mètres d’élévation, le village de KOUBA occupe le
centre du golfe que ferment à droite le cap MATIFOU et à gauche la ville d’ALGER distante de 6,5 km.
La commune de KOUBA se situe sur l'un des derniers mamelons du sahel algérois. Son territoire s'étend vers le
Nord à travers des pentes douces pour rejoindre la petite plaine côtière et au Sud en direction de la Mitidja un peu
plus loin. La commune est bordée à l'Est par l'oued Ouchayah, un petit cours d'eau et au Sud par l'oued El-Abki, un
autre petit cours d'eau. Plusieurs anciens cours d'eau ont disparu, comme l'oued El-Garidi en lieu et place de
l'actuelle rocade Sud ou encore l'oued Kniss au Nord.
HISTOIRE
La ville de KOUBA doit son appellation à la mosquée édifiée en 1543 par BRAHIM Pacha un haut fonctionnaire de
la régence d’Alger.
Ce pacha avait pris sa retraite et s'était installé sur cette colline et y avait bâti, à son sommet, son palais et une
mosquée dont la coupole était visible de très loin disait on. Il ne subsiste aujourd'hui que l'ancienne mosquée qui
fut rénovée et reconvertie pendant la colonisation en couvent où résidaient des sœurs. Cette coupole de couleur
verte est toujours visible de nos jours et ne peut pas être confondue avec celle de l'ancienne église dont la coupole
est noire.
Au 18e siècle un mausolée est édifié en l'honneur du marabout Sidi EL-GARIDI qui avait légué un terrain devenu
aujourd'hui le cimetière de Garidi. Le mausolée et le cimetière se trouvent en lisière d'un village appelé après la
colonisation Vieux-Kouba.
Le nom d’ALGER a toujours exercé sur les esprits d’Europe un prestige considérable. Son légendaire passé
barbaresque, son histoire d’où s’exhale une farouche odeur de piraterie et d’esclavage, les longues luttes qui ont
dressé contre elle les amiraux les plus fameux du monde, autant de motifs sentimentaux qui, de siècle en siècle,
l’ont paré d’une auréole singulière.
Pour ceux qui l’ignorent encore, ALGER est demeurée l’aire d’où s’élançaient les galiotes de Barberousse, et que
menacèrent vainement les XIMENES, les Diego DE-VERA, les DORIA, les DUSQUESNE, les DESTREE, les Charles
QUINT…
On sait que REGNARD y fut esclave, que CERVANTES y vécut captif, et avec eux tant de grands noms de France,
d’Italie, d’Espagne !
Saint Vincent-de-Paul (1581/1660) a été aussi esclave en 1605 mais il a pu s’enfuir après deux années de
détention ; ce fait est contesté par quelques historiens…
On sait que les deys y succédaient aux deys avec une rapidité terrifiante et que la peau de lion, insigne de cette
royauté éphémère, y fut souvent baignée dans le sang des souverains massacrés par ceux-là mêmes qui les
avaient élus et proclamés.
Cependant, c’est à la France que devait échoir l’honneur de mettre fin à plusieurs siècles d’une insupportable
insolence.
Un coup d’éventail ont suffi pour mettre fin à des siècles de piraterie et d’insolence » (Source Félix FALCK 1930).
Le débarquement débute le 14 juin 1830 à SIDI-FERRUCH et prend fin le 5 juillet, date à laquelle, après plusieurs
batailles, le Dey d’Alger, HUSSEIN, signe à EL-BIAR un acte de reddition, la capitulation d’ALGER. Puis les troupes
françaises entre dans la ville le 9 juillet : ALGER est prise.
La première région d’Algérie, nom donné par la France, où s’établit solidement l’élément colonisé fut la plaine
littorale d’ALGER.
Cette ville se trouve resserrée entre la mer et les escarpements rapides d’un petit massif de 400 mètres, le SAHEL ;
au Sud le Sahel s’abaisse par une pente douce vers la grande plaine de la Mitidja. Sahel et Mitidja forment une
seule région agricole que l’on peut désigner sous le nom de plaine d’Alger.
Dès 1835, les colons s’établirent près d’ALGER à MUSTAPHA ; HUSSEIN-DEY, KOUBA, BIRKADEM, EL-BIAR et
BIRMANDREÏS.
L’origine de KOUBA remonte aux premiers mois de l’occupation française où, pour couvrir ALGER, deux camps
retranchés sont créés DELY-IBRAHIM et KOUBA
Mairie de KOUBA
KOUBA (Source Anom) : Village commencé en 1832, commune délimitée par arrêté du 22 avril 1835, érigée en
commune de plein exercice par décret du 31 décembre 1856. KOUBA est rattachée à Alger par arrêté du 7 mars
1959 et en constitue le 8e arrondissement avec BIRMANDREÏS. Une section administrative spécialisée porte son
nom.
La commune de KOUBA avait une annexe :
GUE-DE-CONSTANTINE : Lieu-dit tirant son nom d'un pont sur l'Harrach, au milieu du 19e siècle. Une gare de chemin de fer y est
établie en 1862, sur la ligne Alger-Blida, future Alger-Oran.
Le village colonial a été construit à partir de 1832. Des concessions ont d'abord été données à 23 familles
allemandes avant qu'elles ne soient remplacées par des familles françaises en 1835. Ce village englobait un
territoire comprenant, au Nord-est la zone côtière, depuis l'actuelle HUSSEIN-DEY jusqu'à l'embouchure de l’oued
Harrach, et au Sud-ouest le Gué de Constantine.
KOUBA : « Ancien village arabe transformé en village européen par le Duc de ROVIGO, en 1833, pour y loger un
essaim d’émigrants alsaciens répartis sur DELY-IBRAHIM et sur KOUBA, qui furent les premiers colons d’Algérie.
Situé à 6,5 km à l’Est d’ALGER, dans les coteaux du Sahel, à l’extrémité orientale du massif, il s’élève sur une
hauteur d’où l’œil embrasse un vaste horizon. La commune a pour limites :
-Au Nord : La section de MUSTAPHA-PACHA ;
-A l’Est : La commune d’HUSSEIN-DEY ;
-Au Sud-est, le cours de l’HARRACH, la commune de BIRKADEM.
« Son territoire montueux, accidenté, sec et sablonneux, convient très bien aux cultures maraîchères, à la vigne et
aux arbres en général. L’aspect du pays est riant et pittoresque, animé et décoré par de superbes maisons de
campagne qui s’établirent de bonne heure sous la protection d’un camp qui fut, à son origine, un des avant-postes
d’ALGER. Ce camp, situé sur un mamelon que contourne la route, et d’où l’on descend immédiatement vers la
Mitidja, a depuis été concédé à l’évêque d’Alger pour l’établissement du grand séminaire ; on est en train de
remplacer les baraques par les constructions définitives entreprises sur des proportions monumentales, et qui
ont coûté déjà 2 millions ; une maison de la Sainte enfance s’abrite sous ce haut patronage.
« Les principaux cours d’eau de la commune sont l’Harrach, qui coule au pied du Sahel, et l’oued Knis qui la sépare
de Mustapha-pacha. Sur ce dernier sont établis plusieurs moulins pour les céréales, qui, avec des exploitations de
carrières et des briqueteries, constituent l’industrie de la localité. Le nouveau KOUBA, au pied du séminaire, est
desservi par la route d’Alger à Rovigo, et par celle de Kouba et de Birkadem, autrefois destinée à relier les camps
de ces deux postes.
En 1832 un village est construit près du camp retranché et l’on y installe 23 familles allemandes qui initialement
voulaient se rendre en Amérique mais en 1835 presque toutes les concessions attribuées à ces émigrants étaient
abandonnées. Elles sont alors redistribuées à des colons français qui avaient été contraints d’abandonner leurs
terres dans la Mitidja.
Ces nouveaux arrivants, trouvant à KOUBA la sécurité et un village bien construit, se mirent au travail avec
ardeur.
Quelques Français d'origine avaient acheté de vastes concessions.
L'un d'eux, homme d'initiative en matière de colonisation, avait loti ses terres et les avait louées, dans de bonnes
conditions, à des Mahonnais, gens de vie sobre, accoutumés aux travaux de la terre et durs à la peine.
Ce sont ces nouveaux arrivants qui plantent les premiers cépages de vigne du Roussillonnais.
Erigée en commune en 1836 sur un territoire de 1 600 hectares, la première école est créée en 1841, puis ce sera
en 1848 le séminaire érigé sur une partie du camp militaire cédé par Cavaignac à Monseigneur PAVY et l’église
actuelle inaugurée le 3 avril 1892 par Monseigneur LAVIGERIE.
Les environs sont charmants, ce ne sont que vignobles, cultures maraîchères, jardins particuliers fleuris et
embaumés.
On peut, par des sentiers couverts et de nombreuses routes, se diriger vers les jolis centres environnants
BIRMANDREÏS, BIRKADEM, Le GUE de CONSTANTINE, MAISON-CARREE et HUSSEIN-DEY.
KOUBA est desservi par un Service de tramways électriques (C.F.R A.). L'électricité et le gaz y sont distribués pour
l'éclairage, la force motrice et le chauffage. L'importance de KOUBA va chaque jour grandissant ; de nombreuses
villas s'édifient et des quartiers nouveaux surgissent.
Un commerce important de primeurs y est fait.
•1832 : Les travaux préliminaires de ce village furent commencés, installation de vingt-trois familles allemandes,
Ordonnance royale Louis Philipe créant le centre de colonisation de KOUBA.
• 1835 : Première école en dur KOUBA. Installation de colons fuyant la Mitidja et donation des terres à des colons
par l’administration française.
• 1842 : Le village compte 22 maisons.
• 1848 : Cession à l'église, par CAVAIGNAC, du terrain du futur Grand Séminaire.
• 1851 : Une maison fut aménagée en église est bénie par Monseigneur PAVY, 2° évêque d'Alger.
•1853 : Mise en application du projet de création d’un Grand Séminaire.
1835 (17/08) : WASSILY Jean (48ans sans précision).Témoins MM. BENEDITTI Jean (G-champêtre) et MARGUERITE (Gendarme) ;
1835 (21/08) : FADING Catherine (Vve sans précision). Témoins MM. MARGUERITE (Gendarme) et BENEDITTI Jean (G-champêtre) :
1835 (22/08) : MENNESON Joseph (Colon, 55 ans natif du Nord). Témoins MM. MARGUERITE (Gendarme) et AUDIBERT (Colon) ;
1835 (14/09) : GRIMAUT Louis (11ans). Témoins MM. MARGUERITE et BRETON (Gendarmes) ;
1835 (15/11) : GADOT née MAGNY (57ans native du Nord). Témoins MM. BENEDITTI Jean (G-champêtre) et MARGUERITE (Gendarme) ;
1836 (28/03) : DELATRE Barbe (sans précision). Témoins MM. MARGUERITE (Gendarme) et MAUBREY (Colon) ;
1836 (04/07) : FRANKEL Frédéric (domestique, 45 ans natif Alsace). Témoins MM SCHMIDT Melchior et LOWA André ;
1836 (15/08) : OSTERMANN (domestique, 28 ans natif Prusse). Témoins MM. SCHMIDT Melchior et LOWA André ;
1837 (13/04) : PONS Marguerite (7 mois). Témoins MM. PONS Antoine et PONS Joseph ;
1837 (12/06) : TEINGRIS Eugène (6 mois natif de la Seine). Témoins MM MAUBREY Charles et LEGROS Modeste (Colons) ;
1837 (16/06) : TEINGRIS Paul (5 mois natif de la Seine). Témoins MM MAUBREY Charles et PINARD Philippe (Colons)
1837 (04/07) : GRIVEAU Honorine (5 mois, père Marin). Témoins MM. TEINGRIS J. François et PINARD Jules (Colons) ;
1837 (28/07) : MARILLET Eugène (natif de Charente). Témoins MM. LEJEUNE et GEAY ;
1837 (16/08) : SALVETAT Pierre (15 jours, père natif du Tarn). Témoins MM. TEINGRIS J. François et PINARD Jules (Colons) ;
1837 (25/08) : CHABAND Adolphe (25ans, natif Ardèche). Témoins MM MAUBREY Charles et BOUREL Auguste ;
1837 (16/09) : MOREL Marie (Régisseur, 51ans natif de ROUEN). Témoins MM. AUBRY et BLANSEY Michel ;
1837 (20/09) : PHILIPPE Anna (8ans). Témoins MM MAUBREY Charles et TEINGRIS J. François ;
1837 (24/09) : JENLY Jean René (11 mois). Témoins MM MAUBREY Charles et TEINGRIS J. François ;
Années : 1838 1839 1840 1841 1842 1843 1844 1845
Décès : 2 18 15 13 7 15 abs 5
1838 (23/08) : M. JARRE Charle (Instituteur natif de Savoie) avec Mlle DUVERDIER Jeanne (Institutrice native des Pyrénées Atlantiques) ;
1839 (16/02) : M. GOUMARRE Louis (Boucher natif du Vaucluse) avec Mlle JEANNIN Thérèze (Aubergiste native Hte Saône) ;
1840 (08/04) : M. KEFFER Etienne (Garde colonial natif Allemagne) avec Mme (Vve) JEANNIN Thérèze (Native de Hte Saône) ;
1840 (24/09) : M. FECHENBACH François (ex-soldat natif ?) avec Mme (Vve) GROS Louise (SP native de ?) ;
1840 (20/10) : M. JUILLY Benoist (Sans précisions) avec Mlle WEISS Elisabeth (Sans précisions) ;
1841 (11/02) : M. JACQUES (Employé natif du Gers) avec Mlle BOSC Gustavine (SP native du Gers) ;
1841 (06/03) : M. AUGUSTE François (Douanier natif de la Meurthe) avec Mlle STREISSEL Madeleine (Cuisinière native d’Alsace) ;
1841 (01/10) : M. STIELDORFF J. Philippe (Employé natif de Moselle) avec Mme (Vve) FROSSARD Elisabeth (SP native d’Alsace) ;
1843 (08/04) : M. BLANZEY Michel (Cultivateur natif de la Meurthe) avec Mme (Vve) FUSCH Françoise (Aubergiste native de ?) ;
1843 (10/10) : M. ANTOINE Blaise (Meunier natif de l’Aude) avec Mlle DAIDE Elisabeth (SP native de ?) ;
1844 (22/10) : M. (Veuf) BAROT Valentin (Jardinier natif de Marseille) avec Mlle ROMAGNY Marguerite (SP native du Rhône) ;
1845 (12/03) : M. ALIMUNDO Pierre (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle PETRUS Magdaléna (Journalière native des Baléares) ;
1845 (26/03) : M. MOLL Bartholomé (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle SALORD Magdaléna (SP native des Baléares) ;
1845 (22/07) : M. VIDAL J. Baptiste (Meunier natif du Var) avec Mlle VUILLEMENOT Claude (Domestique native de Hte Saône) ;
1845 (04/09) : M. DEBROUX J. Pierre (Serrurier natif du Lot) avec Mlle LEYGONIE Pétronille (SP native de Corrèze) ;
1845 (05/10) : M. MASCARO José (Journalier natif des Baléares) avec Mlle SIMO M. Rosa (Domestique native des Baléares) ;
1846 (24/01) : M. CAIRE Auguste (Maçon natif Pyr. Atlantiques) avec Mlle BONTEMPS Mélanie (Blanchisseuse native de l’Aisne) ;
1846 (25/03) : M. SAINTEBARBE André (Cultivateur natif du Jura) avec Mlle JACQUOT Marie (SP native des Vosges) ;
1846 (04/06) : M. BLOGET Nicolas (Garde-champêtre natif de l’Aube) avec Mme (Vve) WEISS Elisabeth (SP native d’Allemagne) ;
1846 (08/08) : M. COLIN J. Baptiste (Tailleur de pierre natif de S. et Loire) avec Mlle MICHALLET Rose (SP native de l’Isère) ;
1846 (25/08) : M. GAULARD Nicolas (Luthier natif des Vosges) avec Mlle SQUIVET Adèle (SP native du Nord) ;
1847 (17/02) : M. WEISS Jacob (Employé natif d’Allemagne) avec Mlle BECKER A. Marie (SP native de Moselle) ;
1847 (13/03) : M. ROLLAND François (Marchand natif du Maine et Loire) avec Mlle ESQUIVET Joséphine (SP native des Ardennes) ;
1847 (17/04) : M. BATTY Claude (Entrepreneur natif de l’Ain) avec Mlle SEGUIN Catherine (SP native du Nord) ;
1847 (06/05) : M. SCHWAAL Martin (Gendarme natif d’Alsace) avec Mlle SCHMIDT Rosine (Couturière native d’Alsace) ;
1847 (31/05) : M. GINDRE Claude (Gendarme natif du Jura) avec Mlle SCHMEFFZKY A. Marie (Couturière native d’Alsace) ;
1847 (31/05) : M. POURRIERE Esprit (Postier natif des Alpes de Hte Provence) avec Mlle EYRAUD Elisabeth (SP native de Hte Loire) ;
1847 (03/07) : M. OBER Jacques (Gendarme natif d’Alsace) avec Mlle MONCELET Virginie (Modiste native de la Sarthe) ;
1847 (24/08) : M. MIGNON Benoit (Boulanger natif de l’Ain) avec Mlle BERNET Anne (SP native des Pyrénées Atlantiques) ;
1847 (16/10) : M. GORNES Lorenzo (Jardinier natif des Baléares) avec Mlle CURSACH Agata (SP native des Baléares) ;
1847 (04/11) : M. STROMMEREDER François (Tailleur de pierres natif Allemagne) avec Mme (Vve) WEISSNER A. Marie (Blanchisseuse d’Alsace) ;
1847 (28/11) : M. HELMER Ignace (Serrurier-forgeron natif d’Alsace) avec Mlle STULB Madelaine (SP native d’Alsace) ;
1848 (29/01) : M. BIZET Jacques (ex-militaire natif du Pas de Calais) avec Mlle SEGUIN Euphrosine (SP native de la Manche) ;
1848 (31/03) : M. LAUNARD Louis (Gendarme natif des Vosges) avec Mlle VUILLEMENOT Julie (Couturière native d’Haute Saône) ;
1848 (28/09) : M. PONS Francisco (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle MASCARO Maria (Couturière native des Baléares) ;
1849 (25/04) : M. (Veuf) SAINTEBARBE André (Cultivateur natif du Jura) avec Mme (Vve) PRIEURE Jeanne (Ménagère native de S. et Loire) ;
1849 (11/10) : M. MERCADAL Cosme (Cultivateur natif des Baléares)) avec Mlle CAMPS Valentine (SP native des Baléares) ;
1849 (27/12) : M. LUTZ Philippe (Cantonnier natif Alsace) avec Mlle GERTZ Barbe (SP native d’Alsace) ;
1850 (29/01) : M. STULB Jean (Cultivateur natif Alsace) avec Mlle BOSC Jeanne (Couturière native du Gers) ;
1850 (11/05) : M. PONS Christoval (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle ALZINA Agueda (SP native des Baléares) :
1850 (03/08) : M. ALZINA Gabriel (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle PETRUS Margarita (Domestique native des Baléares) ;
1850 (07/09) : M. JOCHIM Jacques (Cantonnier natif Alsace) avec Mlle KRIEGER Marie (SP native d’Alsace) ;
1850 (31/10) : M. MOLL Onorate (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle FRIAY Margarita (SP native des Baléares) ;
1850 (29/12) : M. BOENSCH Jean (Maire natif d’Allemagne) avec Mlle FLORES dite FLORIS Dorothéa (SP native des Baléares) ;
1851 (23/01) : M. BIDERMANN Christophe (Gendarme natif de la Meurthe) avec Mme (Vve) BEDRNET Jeanne (SP native Pyr. Atlantiques) ;
1851 (20/02) : M. JACOB J. Baptiste (Cultivateur natif d’Alsace) avec Mlle CASADOUMECQ Elisabeth (SP native Pyr. Atlantiques) ;
1851 (01/03) : M. CARDONA Lorenzo (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle REIS Angéla (Couturière native des Baléares) ;
1851 (14/06) : M. COMPAN Joseph (Journalier natif d’Espagne) avec Mlle BARBER M. Dolorès (SP native d’Espagne) ;
1851 (09/08) : M. PONS Cosme (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle PONS Marguerite (SP native des Baléares );
1851 (16/08) : M. VADELL Lorenzo (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle VIDAL Catarina (SP native des Baléares ) ;
1851 (13/09) : M. ANDREU Antonio (Charron natif des Baléares) avec Mlle FRIAN (TRIAY) Margarita (SP native d’Alger) ;
1851 (28/12) : M. WIRTZ Michel (Cultivateur natif d’Alsace) avec Mlle MANIA Catherine (Domestique native d’Alsace) ;
1852 (17/04) : M. CAMPS François (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle MERCADAL Magdaléna (SP native des Baléares ) ;
1852 (07/07) : M. BORNERT Louis (Charretier natif d’Alsace) avec Mlle MILLER Catherine (SP native d’Alsace) ;
1852 (12/08) : M. MALLIA Michel (Loueur de chevaux natif MALTE) avec Mlle ATTARD Angéla (SP native de MALTE) ;
1852 (25/09) : M. FANER Francisco (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle ALBA Antonia (Domestique native des Baléares) ;
1852 (09/10) : M. SERA Pedro (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle XIMENES Juana (SP native des Baléares) ;
1852 (16/10) : M. PONS Pedro (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle MERCADAL Margarita (SP native des Baléares) ;
1852 (06/11) : M. BONTOUR Pierre (Cuisinier natif de Paris) avec Mlle SEGUIN Louise (SP native du Cantal) ;
1852 (13/11) : M. XIMENES Juan (Cultivateur natif des Baléares) avec Mlle GORRIAS Rafaela (SP native des Baléares).
(1904) AMBROSINO Antoine (Cultivateur)/AMBROSINO Rosine ; (1897) AMELLER Jacques (Cultivateur)/OLIVAS Angéla ; (1897) ANGLADA
André (Cultivateur)/SAMPOL Marie ; (1897) ANGLADA Antoine (Cultivateur)/VENYS Marguerite ; (1903) ANGLADA Antoine (Cultivateur)
/GUARDIOLA M. Rose ; (1901) ANGLADA Antonio (Agriculteur)/MASCARO Antonia ; (1905) ANGLADA Benoît (Cultivateur)/MARCO M.
Thérèse ; (1902) ARNANDIS J. Daniel (Employé)/OLIVES Marie ; (1897) BAGUR Antoine (Cultivateur)/SEGUI Francisca ; (1901) BALS Barthélémy
(Menuisier)/POU Françoise ; (1905) BETTAM Mohamed (Journalier)/ZITOUNI Kheïra ; (1899) BISBAL Antoine (Jardinier)/GUNALONS Jeanne ;
(1901) BOTTARO Antoine (Commerçant)/BENEJEAN Jeanne ; (1905) BRIZZI Ludovic (Maçon)/DI-BERT Elvira ; (1902) CANELLAS Joseph
(Cultivateur)/VILLALONGUA Françoise ; (1904) CARDONA Barthélémy (Cultivateur)/PONS Marguerite ; (1905) CARDONA Gabriel (Cultivateur)
/SALOM Barbe ; (1903) CARDONA Joseph (Jardinier)/CAPO Madeleine ; (1897) CARDONA Laurent (Cultivateur)/SINTES Agathe ; (1902)
CARDONA-Y-CAPO Thomas (Cultivateur)/BERENGUER Joaquine ; (1903) CARRERAS Antoine (Cocher)/BENEJAM Elisabeth ; (1899) CARRERAS
François (Cultivateur) /MARI Marie ; (1905) CARRERAS Jean (Cultivateur)/SASTRE Catherine ; (1904) CAPO Antoine (Cultivateur)/COLL Françoise ;
(1903) CAPO Laurent (Cultivateur)/SEGUI Marguerite ; (1899) CHAPPE Léon (Limonadier)/CHAPPUIS Henriette ; (1901) CHERFILS Paul (Courtier)
/DUSTON Françoise ; (1902) COMBRISSON Sébastien (Cultivateur)/DAUBENEY Fernande ; (1904) COMELLAS Pierre (Cultivateur)/GOMILA
Catherine ; (1905) CORTES Barthélémy (Cultivateur)/GORNES Marie ; (1902) COSTA Joseph (Cultivateur)/COSTA Juana ; (1905) COSTA Michel
(Journalier) /CASTELLO Marie ; (1903) COUDERC Eugène (Cultivateur)/RENAUDIN Victoire ; (1902) CROCI Antoine (Chauffeur)/AMBROSINO
Joséphine ; (1899) CUZIN Jean (Charpentier)/CROCI Annette ; (1901) DE-KERPEZDRON Yvan (Rentier)/FOUQUET Renée ; (1905) DESMARTIN
Camille (Employé)/LAMOUROUX Elisa ; (1897) DRUOTON Jean (Garde-champêtre)/TERRASSE Marie ; (1901) DUVAL Louis (Débitant)/COLL
Jeanne ; (1897) FARJAT J. Marie (Coiffeur)/KELER Rose ; (1899) FAURE Ernest (?)/VENTURINI Marie ; (1905) FEDELICH Pierre (Cultivateur)/PONS
Jeanne ; (1901) FERNANDEZ Albert (Agriculteur)/DE-LUCA Marie ; (1901) FILIMUNDI Antoine (Tanneur)/RESPAUD Anne ; (1901)
GALANTOMINI Louis (Employé)/FOUQUET Marthe ; (1901) GARCIN Edouard (Cultivateur)/MOLBERT Hélène ; (1905) GINESTAR Vincent
(Journalier)/GOMEZ Dolorès ; (1904) GOMES Jacques (Briquetier)/MORALES Marie ; (1897) GOMILA Antoine (Cultivateur)/AOURIA Adèle ;
(1901) GRIMAUD Théophile (Boulanger)/BAY Jeanne ; (1903) GUNELONS Joseph (Journalier)/PRATS Marie ; (1903) GURDIOLA Antoine
(Cultivateur)/ARSENE Eugénie ; (1897) HACQUARD Lucien (Militaire)/MOREAU Marie ; (1897) IMPERIALI Paul (Cultivateur)/SEGUI Marie ; (1905)
KASASNI Ali (Cafetier)/REMLI Aïcha ; (1905) LACOSTE Augustin (Administrateur)/CHEVALLIER Hélène ; (1905) LALANDE Arneste (Militaire)
/BONNAFOUS Constance ; (1904) LAMARQUE Antoine (Cultivateur)/BONNAFOUX Juliette ; (1905) LE-SAUSSE Armand (Commis des postes)
/BESNARD Virginie ; (1905) LLORENS Etienne (Cultivateur)/MASCARO Marguerite ; (1902) MARQUES Dominique (Cultivateur)/GORNES Jeanne ;
(1899) MARTIN Edmond (Cultivateur)/ORS Antoinette ; (1901) MASCARO Denis (Journalier)/DUBOURDIEU Jeanne ; (1897) MASCARO Raphaël
(Meunier)/SERRA Marie ; (1897) MELIA Jacques (Journalier)/BAËZA Amélie ; (1897) MISCHLER Pierre (Cultivateur)/JASSERAND Jeanne ; (1904)
MONSERRAT Georges (Cultivateur) /MARIE ; (1904) MONTI Joseph (Cultivateur)/TUR Marie ; (1899) NUVOLATO Salvador (Journalier)/BROTONS
Marie ; (1897) ORFILA Jean (Cultivateur)/CARDONA Emilie ; (1899) OUARDIOLA Joseph (Cultivateur)/BARBER Vincente ; (1901) PONS Cosme
(Cultivateur)/FEDELICH Barbe ; (1899) PONS Jean (Cultivateur)/PONS Jeanne ; (1899) PONS Laurent (Cultivateur)/SEGUI Catherine ; (1897) PONS
Michel (Jardinier)/CARDONA Madeleine ; (1903) PONS Michel (Cultivateur) /SEGUI Angèle ; (1903) RAYNAUD Paulin (Cultivateur) /GUETAULT
Cornélie ; (1904) RIPOLL Jean (Cultivateur)/COSTA Joséphine ; (1905) ROIG Joseph (Cultivateur)/TRIAY Catherine ; (1905) ROIG Michel
(Cultivateur)/PLANELLS Marie ; (1899) ROUQUET Isidore (Boulanger)/PLANTIE Marie ; (1905) RUSAFA Salvador (Cultivateur) /GUARDIOLA
Marie ; (1901) SALORD Michel (Cultivateur)/TORRES Catherine ; (1902) SALORT Honoré (Camionneur)/GALLI Marie ; (1897) SALORT Jules
(Cultivateur)/SAMPOL Marguerite ; (1899) SAMPOL Gabriel (Ouvrier)/ARANDA Marie ; (1905) SASTRE Antoine (Cultivateur)/ANGLADE Marie ;
(1905) SASTRE Antoine (Cultivateur) /SAMPOL Catherine ; (1901) SASTRE Joseph (Cultivateur)/SEGUI Madeleine ; (1899) SCOTTO-DI-CARLO
Vincent (Cultivateur)/LUBRANO Adelaïde ; (1897) SCOTTO-DI-LIQUORI Michel (Jardinier)/LUBRANO Anastasie ; (1899) SEGUI Antoine (Jardinier)
/FUGUET Antoinette ; (1902) SEGUI Antoine (Cultivateur)/SASTRE Marie ; (1901) SERRA Joseph (Mineur)/MARIE Louise ; (1902) SERVA Antoine
(Charretier)/FOURNES Rosine ; (1902) SINTES François (Journalier) /BROTONS Marie ; (1899) SINTES Jacques (Cultivateur)/DURAN Isabelle ;
(1904) TEILLON J. Marie (Voyageur de commerce)/BONELLO Thérèse ; (1904) TORRES Pierre (Cultivateur)/FEDELICH Antoinette ; (1904) VIDAL
David (Militaire)/LE-SAUSSE Jeanne ; (1905) ZANZI Antoine (Maçon)/ISELLA Marguerite ;
Année 1909 : BALS Marguerite (Menuisier) ; BONET François (Cultivateur) ; BORDAS Lucie (Gendarme) ; CARRERAS Catherine (Fermier) ; CAPO
Jean (Fermier) ; CHARBONNEAUD Marie (Charron) ; CIRER Pierre (Cordonnier) ; COSTA Joseph (Cultivateur) ; COSTA Michel (Journalier) ;
DOUMERGUE Georgette (Maître scieur) ; FEDELICH Raphaël (Fermier) ; FLORIT M. Louise (Débitant) ; FRAILAN Antoine (Cultivateur) ; FUCHS
Emmy (Bijoutier) ; GARCIA Joseph (Cultivateur) ; GUASCH Antoine (Cultivateur) ; GUGLIELMINE Jeanne (Soufrier) ; HARTIVICK Jeanne (Garde
particulier) ; LIMINANA François (Coiffeur) ; MARI Barthélémy (Jardinier) ; MARI Eulalie (Forgeron) ; MARI Joseph (Marchand) ; MARI Marie
(Journalier) ; MARI Pierre (Boulanger) ; MONSERRAT Georges (Fermier) ; PEREZ Léonor (Maçon) ; PONS Antoine (Marchand de vin) ; PONS
Marguerite (Cultivateur) ; PONTE Marie (Militaire) ; RIGUIELLO Henri (Jardinier) ; ROIG Marie (Cultivateur) ; ROIG Pierre (Domestique) ; SAMPOL
Robert (Tâcheron) ; SANTACREUX Purification (Journalier) ; SASTRE J. Antoine (Cultivateur) ; SCOTTO-DI-CARLO Marguerite (Fermier) ; SCOTTO-
DI-CARLO Sauveur (Cultivateur) ; SEGUI Françoise (Fermier) ; SINTES Laurent (Cultivateur) ; SINTES Mathieu (Fermier) ; SOLER Suzanne
(Charcutier) ; TORRES Catherine (Journalier) ; TRIAY M. Antoinette (Employé CFA) ; TUR Antoine (Cultivateur) ; TUR Marguerite (Cultivateur) ;
VICENS Rosalie (Journalier) ;
er
Fernand SASTRE est né le 1 octobre 1923 à KOUBA et mort le 13 juin 1998
Pied noir, dirigeant du RC KOUBA de 1946 à 1962, puis membre du comité directeur de la ligue d'Alger de 1955 à 1962, Fernand SASTRE est
ensuite membre de la ligue de Paris, membre de la commission du championnat de France amateur, secrétaire de la Coupe de France, puis
secrétaire général de la Fédération Française de football de 1969 à 1972. Il devient par la suite coprésident du CFO, comité d'organisation
de la Coupe du monde 1998, il décède au tout début du mondial ne voyant pas le succès final de l'équipe de France.
NDLR : Si l’un des vôtres n’est malheureusement pas mentionné, ne pouvant tout insérer, je vous recommande de procéder comme
suit :
-Après avoir accédé à google vous devez alors inscrire anom algérie,
-dès lors que vous êtes sur le site anom vous devez sélectionner KOUBA sur la bande défilante.
-Dès que le portail KOUBA est ouvert, mentionnez le nom de la personne recherchée sous réserve que la naissance, le mariage ou
le décès soit survenu avant 1905.
Le Lycée
DEPARTEMENT
Le département d’ALGER est un des départements d’Algérie, qui a existé entre 1848 et 1962 – Index 91 puis 9A à
partir de 1957.
Considérée comme une province française, l’Algérie fut départementalisée le 9 décembre 1848.
Les départements créés à cette date étaient la zone civile des trois provinces correspondant aux beylicks de la
régence d’Alger récemment conquis. Par conséquent, la ville d’ALGER fut faite préfecture du département portant
son nom, couvrant alors le centre de l'Algérie, laissant à l'Est le département de Constantine et à l'Ouest le
département d’Oran.
Les provinces d'Algérie furent totalement départementalisées au début de la IIIe république, et le département
d'ALGER couvrait alors un peu plus de 170 000 km2. Il fut divisé en six arrondissements dont les sous-préfectures
étaient : AUMALE, BLIDA, MEDEA, MILIANA, ORLEANSVILLE et TIZI-OUZOU.
Le 28 janvier 1956, une réforme administrative visant à tenir compte de la forte croissance démographique
qu'avait connu le pays, amputa le département d'Alger de son arrière-pays et créant ainsi le 20 mai 1957, trois
départements supplémentaires : le département du TITTERI (Chef lieu MEDEA), le département du CHELIF (Chef
lieu ORLEANSVILLE) et le département de la Grande Kabylie (Chef lieu TIZI-OUZOU).
Le nouveau département d'Alger couvrait alors 3 393 km2, était peuplé de 1 079 806 habitants et possédait deux
sous-préfectures, BLIDA et MAISON-BLANCHE.
ABOUCAYA Élie (Mort en 1915) ; ADI Mohammed (1915) ; ANGEREAU Germain (?) ; BENALIA Ben Ali (?) ; BERENI Paul
(1914) ; BERNABEU Joseph (1914) ; BERNASCONI Angélo (1917) ; BLANCHON Justin (?) ; BOLTZ Victor (1915) ; BOUGUERRA
Mohamed (1917) ; BOUKRI DIT KADRI Henri (?) ; BOUKTACHE Abdelkader (1918) ; CAILHAU Noël (1915) ; CALAMEL Abel
(1914) ; CHARTON René (1918) ; CHETAIL Edgard (1916) ; CLEDES Pierre (?) ; CLÉMENT Joseph (1915) ; CODONNET Eugène
(1915) ; CROZAT Ulysse (?) ; DANTOINE Louis (1917) ; DEBBLASI Louis (1916) ; ESCRIVA Joseph (?) ; FEZOU Charles (1918) ;
FINATEU Charles (1918) ; FOURNIER Gabriel (1916) ; FULLANA Henri (1917) ; GABET Louis (1915) ; GISBERD Grégoire (1915) ;
GOUBILLON Louis (1915) ; HOERTEL Auguste (1914) ; KERROUCHE Ahmed (1916) ; LACAZE George (1915) ; LAGONELLE
Marcel (?) : LALOUI Ali (1914) ; LEMONNIER Paul (?) ; LEUWERS François (1915) ; MANOC Vincent (1917) ; MANZANO
Bruno (1918) ; MARTINEZ Joseph (1915) ; MARZAROLI Albert (1914) ; MENGUAL Carmelo (1915) ; MERRAIN Alfred (?) ;
MERZOUK Mohammed (?) ; MIRALLÈS Gaëtano (1915) ; MIRAMON Joseph (1914) ; MUNIER Maurice (1918) ; MUNIER
Raymond (1918) ; NAVARO Joseph (1918) ; NENCI Dominique (1918) ; NUZA Théophile (1918) ; OLIVIER Eugène (1915) ;
OLIVIER Mathias (1914) ; PALOMO Pascal (1915) ; PARER Sauveur (?) ; SANTINI Jean Pasquin (1914) ; SELLÉS François (1915) ;
SILVE Eugène (1917) ; SINTES Camille (1914) ; SORIANO Antoine (1915) ; THIRIELT Mohammed (?) ; TONOLO Barthélémy
(1915) ; TRON Henri (1916) ; VIAN Louis (?) ; VIÉ Paul (1915) ; VIRCONDELET Albin (1914)
Inauguré en 1955, ce centre immense était un lieu de repos qui se classait sans aucun doute comme l’un des plus
parfait d’Europe. Les Mutilés de tous âges et les Anciens Combattants de plus de 60 ans, trouvaient là une retraite
agréable, mêlant Français et Musulmans, au rythme d’une vie commune, le centre de KOUBA comptait lors de son
inauguration, 150 pensionnaires, et pour eux, les jours s’écoulaient dans une sorte de vie familiale qui
prolongeait leurs anciennes fraternités d’Armes.
GUERRE 1939/1945 : ADROVER Damien (1944) ; BENOIT Jean (?) ; DELAUZUN Maurice (?) ; GUIRAND Edgar (1944) ;
LABAT Roger (1944) ; LIORCA René (?) ; NEBOT Rolland (1945)
Nous n’oublions pas nos forces de l’ordre victimes de leurs devoirs dans le secteur dont :
Soldat (GRET 810) BOURDEAU François (21ans), tué à l’ennemi le 22 novembre 1959 ;
Matelot fusilier (Commando de Penfentenyo) DUPRE Louis (19ans), natif de KOUBA, tué à l’ennemi le 23 juillet 1957 à
NEMOURS :
Nous avons aussi une pensée toute particulière concernant nos compatriotes victimes d’un terrorisme aveugle mais
aussi cruel à KOUBA :
https://encyclopedie-afn.org/Kouba_-_Ville
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k77453s.pdf (pages 146 et 147)
https://www.persee.fr/doc/geo_0003-4010_1898_num_7_31_18092
http://diaressaada.alger.free.fr/l-mes_cartes-postales/Population/Alger/Alger.html
http://tenes.info/nostalgie/KOUBA
http://algeroisementvotre.free.fr/site1000/alger19a/alger084.html