Seance 10 Le Poids Ecrasant de Lagriculture
Seance 10 Le Poids Ecrasant de Lagriculture
Seance 10 Le Poids Ecrasant de Lagriculture
La France moderne offre donc un territoire avec ses caractéristique. Conditions physique au
bon déroulé : eau a proximité, fertilité des sols. Les paysages agraires sont la résultante de deux
facteurs: les données écologique, la nature des sols, le climat , le relief. Et les données
démographique la façon dont les habitant habiter et aussi les donnée économique comment on le
travaille. Trois catégorie qui décrit les territoires ( finages) : Un territoire un espace en tant qu'il est
cultiver par un groupe de paysans.
Les trois éléments constitutif d'un terroir :
Hortus : le lieu autour du lieu de vie et d'exploitation et du paysans ( jardin). Parcelle qui échappe a
la fiscalité. Espace individuel.
Brughel le Jeune, Le Printemps, 1632
Ager : Les champs laburer qui est un espace collectif avec des règles collective.
Brughel le Jeune, La Moisson, 1621
Saltus : Les terres inculte qui ne sont ni jardiner ni labourer laisser en état la ou il y a des forets.
Mais joue un rôle important tout de même.
Brughel de Velours, La Terre, 1607-1608
France de bocages qui dominent la France atlantique. France des pénéplaines hercyniennes
(massifs Armoricain, Central et des Vosges) . Nature relative a la culture des céréales, les sols sont
acide et lessivé. Donc il faut concentrer les blés sur les quelques terres qui peuvent existé ici.
Comme les paysans n'ont pas assez de céréale on diversifie l'agriculture (ex : les vignes). C'est dans
cette France du bocage que le slatus est dominant avec les élevage et les bois. Les exploitation sont
plus grandes des les bocages et aussi plus dispersé et morcelés. On y trouver des hameau relier par
des chemins creux. L’élevage a crée le fait de compartimenter les champs avec des hait vive pour
éviter les divagation des troupeaux. D'un point de vue sociologique : les bocages regroupe des
métayers ( contraste moins fort) beaucoup plus indépendance et d'isolement, d'individualité.
Paysage bocager
Ce qui fait la spécificité du midi c’est le climat qui a des avantage avec la douceur
méditerranéenne avec un hortus important. Mais qui a aussi des inconvénient avec la sécheresse
notamment. On a aussi beaucoup d'averse et de crue qui ruinent les escapes paysans sur les
piémont. On va sur les espace des plaines littoral et le piémont pour éviter la malaria. Mais on doit
cultiver en pente donc on utiliser de la culture en terrasse pour facilité la culture. L'ager est très
contraint alors on mélange l'ager et l'hortus. On mélange cultive des céréales et culture fruitiers.
Économie de l'espace. La vignes est importante dans son rôle de complément. Du point de vue de
l'habitat il est beaucoup plus groupé qui pourrait passée pour des villes en vue des très gros village.
Les jardins y sont particulièrement soigné et on ne voit pas de saltus. Pour l’élevage on se tourne
vers les montagnes. VA apporter le saltus qui manque au plaines littorale du contrebats.
Pastoralisme et transhumance. On mène les troupeaux vers les estivage avec des pâtures meilleur.
Les caractéristique du paysages de montagne et que les activités s'exerce en fonction de l'altitude. Il
y a une répartition des végétaux et des types d’espaces. On a la limite des arbres autour de 2000
mètre ou il y a les estivage. En dessous on a les vignes et dans les plaines on a des produit de
fauche.
Un système agraire décrit a la fois le type de production agricoles et les technique employer.
Quelles types de plantes seront employé. Ce qui est récurant quelque soi le territoires, partout les
paysans donnent la priorité donne l'importance au blé. La tyrannies des bleds ( F. Braudel) → au
détriment des autres agriculture. On attend de l'agriculture pour manger et son aspect de speculture
soit de la vente est secondaire. Il est rare qu'on descende de 50% de la culture des terres en blé. On
donne de l'importance au froment. Céréale que le paysans ne consomme pas mais cherche a vendre.
Il préfère mange le pain de seigle ou de metaille. Certains blé se sèment au printemps comme l'orge
et l'avoine mais la plupart des blé sont des blés d'hiver telle que le froment ou le seigle. La
céréaliculture est une opération a l’époque moderne extrêmement complexe et délicate. Elle
nécessite une main d’œuvres très importante. Elle a besoins d'un outillage qui c'est lentement
perfectionner et qui est rare et coûteux. Tout le monde n'a pas ses propres outils on les loue. La
production de céréale ce traduit en différente étapes. Opérations de la céréaliculture traditionnelle :
labours, semailles, sarclage, moisson, battage, vannage On ne sème pas sur un sol inculte on le
labours une fois que la terre est retourner les semailles sont effectué a la volée. Les technique de
labours change en fonction des terroir. La charrue ne vaut que pour les champs du bassin parisienne.
La charrue n'est pas utiliser partout dans le midi on utiliser l'araire. Terre en pente la charrue est trop
lourde pour être tracter. Il existe aussi des terres en France ou on laboures avec des outil a mains
pour nous de jardinage comme la houe et la bêche. Quand les blé sont semer il sont tasser et tout au
long de la croissance des blé on fait du sarclage du désherbage. Quand le blé sont mur c’est le temps
de la moisson c'est ce moment qui demande le plus de main d’œuvres. Contrairement a ce que l’on
pense les blé ne sont pas fauché on utilise une faucille a dents et on sectionne a la moitié du chaume
as au pied. On voulait garder l chaume car il peuvent être utiliser pour de la construction ou alors on
les enfouit pour enrichir la terre. Ensuite les femmes passent derrière les hommes pour glaner et
récupérer les graines. Et ensuite on a le battage pour décrocher les grains et ensuite les vanner pour
les dépoussiérer et les détache de reste de végétaux indésirables
Labour à la charrue (enluminure du XIVe siècle)
Il ne faut pas négliger les culture d'appoint. L’intérêt des culture complémentaire c’est que
quand on est trop dépendant d'une culture on risque famine et disette. On a différents types :
les cultures industrielle :
– plantes tinctoriales (pastel toulousain, garance flamande, safran du Quercy et du Gâtinais)
qui servent a teindre le textiles.
– fibres végétales (lin et chanvre de l’Ouest et de Picardie, mûriers du Vivarais et des
Cévennes pour la sériciculture)
– On a aussi la sériciculture la culture du vers de soie pour des textiles de luxe
– Culture de tabac a partir des années 1620
Le paysans est obliger d’avoir une culture complémentaire pour assurer subsistance et assurance
financières.
Pendant la première modernité les surface cultiver s'entend les pâturages recule et l’élevage
ne se développe pas et recule presque. Ce qui permet de faire paître les animaux sont des zones
communales ou l'on laisse paître les animaux. Autre élément l'absence de sélection des races , de
croisement qui permettront par la suite d’améliorer les animaux et sont vulnérable au épizootie.
1520 -1530 moment d’épizootie importante. Cet élevage qui est structurellement faible et beaucoup
plus pratiquer a l'ouest dans la France des grand champs c’est les ovins qui sont élever. On fait
paître les moutons la ou les blé sont moissonner. Dans la France des pâturages c’est l’élevage
bovins qui domine. Dans cet élevages on a deux dimension : le naissage ( en vue de vente de bete)
et l'embouche ( en vue de la viande). Ce qui stimule l’élevage c’est l'appel de consommation dans
les villes. Consommation annuelle de Paris (années 1630) : 100 000 têtes de bovins et près de 400
000 d’ovins. Les autres types d’élevage tel que le porcins est essentiellement vivrier. Produit qui ce
conservent das les sels. On ne mange pas les chevaux il servent a l’agriculture.
Quitte a réduire le saltus et les forets on fait des défrichements pour faire des champs
cultiver. Cela renforce leur difficulté car la forets apporter des ressources aussi indispensable que ce
qui pousse dans les champs. Les forets française était moins vaste qu'aujourd'hui. Au 16 e et 17e
époque ou la forets a était la plus réduite, a l’état résiduelle. Recul de la couverture forestière : 35%
au mi-temps du XVIe siècle, 25% un siècle plus tard . La forets et un espace très intensément
cultiver et exploiter avec la multitudes de propriétaire. Il faut du bois de chauffage. Le bois est le
principale matériel de construction et le roi veut une flotte. Et il y a l’artisanat comme la forge par
exemple. Le risque c’est pas simplement qui l'on va couper les arbres mais on ne fait rien ensuite
elle devient un taillis totalement inexploitable. Le roi est sensible a cela déjà au moyen age un
soucie a ce que les coupes des forets ne nuisent pas a la repousse. A l’époque moderne on a un
début de l'administration des forets. François Ier en 1537 va soumettre la vente de ses plus belles
pièce de bois a l'autorisation des parlement. 1537 : réglementation de la vente des bois de haute
futaie. Il dépêche des agent royaux et crée le tribunal de la table de marbre à paris. Administration
royale des Eaux et Forêts : grand maître, ordinaires, gruyers . Colbert va être le plus vigilant sur la
question. 1669 : réglementation de l’exploitation des forêts (ordonnance de Saint-Germain). Va être
le premier code de toute les règles d'exploitation des forets. Malgré la vigilance on estime que le
moment ou la forets a le plus reculer et la fin du 16e siècle. Les meilleurs sont déjà cultivés. On va
étendre la surface cultiver sur des terres moins rentables on va retarder le cercle vicieux mais pas
l’arrêter. On va réduire le saltus et vont alimenter le cercle vicieux. Le but du paysans et de pas
manger toute les cultures qu'il fait. Alors il essaye de cultiver d'autre plantes c’est la que l'arrivé du
blédins ( maïs) va amorcer une révolution verte. La culture du blé va être spéculative et on va se
nourrir de maïs. On peut faire du pain de mais.