L'Infection Des Pertes
L'Infection Des Pertes
L'Infection Des Pertes
Code :
Thème :
L'infection des pertes chez les femmes
Préparé par :
ELKOUZANI Aziza
HANNI Hanane
SOUDANI Zahia
Nous remercions tous les membres du jury d'avoir accepté d'étudier ce travail.
Nous tenons également à remercier nos professeurs du Département des sciences naturelles et de la
vie et plus particulièrement la branche de biochimie
Enfin, un grand merci à tous ceux qui nous ont aidés de loin ou de près à accomplir ce travail.
Dédicace
Premièrement ,Je remercier dieu pour son crédit et son soutien
A ma mère FATMA Bouhamou qui réjouir de mon succès ; Merci beaucoup à tous les conseil
,pour l'encouragé à chaque pas dans travail . Dieu merci, Vous avez souhaité voir ce jour
A mon père AHMED qui m'élevé la meilleur moralité ,encourager-moi à apprendre et à travailler.
Que
A mes frères MOHAMED, ABD ALKARIM, ABD ALJALILE et HAMZA et mes sœurs
MARIEM et AICHA
qui étaient mon soutien tout le long de la consultation scolaire et tracer-moi un chemin ver le
succès.
A mes neveux et mes nièces merci pour votre amour et votre soutien. Que Dieu les bénisse et les
garde
A Zahia et Aziza, qui ont partagé avec moi les difficultés et les ennuis de ce travail.
A les familles HANNI,ZAGLAOUI, BOUHAMOU et A tout les personnes qui donne-moi une
aide, les conseils et le courage pour prendre la meilleur étudie
HANANE
Dédicace
A Mon père ABDALKADER Soudani!
Merci, mon père, ma source de sécurité et de stabilité. Merci pour vos sacrifices pour mes études
et
pour que mes rêves se réalisent. J'étais et je suis toujours mon soutien et ma sécurité.
vous suffisent pas. Merci pour votre travail acharné et votre éducation. Grâce à vous, je suis ici
maintenant, que Dieu vous récompense de tout le meilleur. je t'aime maman
sœurs,Mabreka,Om alaid
Merci beaucoup d'être à mes côtés, vous êtes mon soutien et ma force.
Et merci à la famille de mon mari pour leur amour pour moi, surtout mon père et ma mère
Zahia
Dédicace
Je dédie ce modeste mémoire, qui est le fruit de mes efforts tout au long de mes années d’études,
aux personnes que j’aime de tout mon cœur.
J’aurais tout aimé que tu sois présente ce jour, puisses ton âme repose en paix, que dieu le tout
A ma chère mère Fatima je ne peux jamais imaginer une vie sons toi, merci pour ta patience, pour
ton soutien infini pour tes conseils d’or tout long de ma vie.
A mes chers frères et sœurs qui m’ont énormément soutenu durant toutes ces longues années
d’étude.
Ames chères amies en mémoire Hanane HANNI et Zahia SOUDANI pour ses soutiens, ses aides et
ses compréhensions.
Je dédie aussi ce travail à mon encadreur MESSAOUDI Mohammed à mes enseignants a tout qui
m’ont aidé a tracé le chemin de réussie.
A tous mes amies qui j’ai rencontrée à l’université et qui ont partagé mon temps doux et amer.
En fin à tous ceux qui ont participé de loin ou de près l’élaboration de ce modeste travail.
Merci
Aziza
Liste des abréviations
Ag: Antigène
AC: Anticorps
D:Diamètre
H2O2:Hydrogène péroxcide
Ig: immunoglobulines
O2:Dioxygène
R:Résestance
S:Senssibles
I
Liste des Figures
Figure 1: Représentation de l’appareil reproductif de la femme (Natisens) .....................................3
Figure 2: les étapes d'inhibition de la prolifération des germes pathogènes par Flore vaginal
(Mabrouka, 2015) .........................................................................................................................6
Figure 3:la composition des pertes blanches (Betton, 2021) ...........................................................7
Figure 4: : Cervicite mucopurulente causée par Chlamydia (Bates, 2003) .................................... 13
Figure 5 l'amplification d'acide nucléique par techniques cationiques (TAAN) (Mabrouka, 2015) 13
Figure 6: testes par immunofluorescence directe (DIF) (Mabrouka, 2015) ................................... 14
Figure 7 :diplocoque à Gram négatif (Mabrouka, 2015)................................................................ 15
Figure 8 :Trichomonas vaginal présentant quatre flagelles caractéristiques et ondulant membrane.
(Bates, 2003) ................................................................................. Error! Bookmark not defined.
Figure 9:Trichomonas vaginal (Mabrouka, 2015) ......................................................................... 16
Figure 10:coloration de Gram d'une infection candida par frottis vaginal montrant des
pseudophyphes et des spores positifs (Bates, 2003) ...................................................................... 17
Figure 11: matériel utilisé pour les examen cytobactériologie des pertes ....................................... 30
Figure 12: Schéma représentatif d’un prélèvement vaginal par la méthode d’écouvillonnage
(Madani, 2012) ............................................................................................................................ 30
Figure 13:Auto prélèvement vaginale (Roche-Sur-Yon, Martin, & Fayette) .................................. 31
Figure 14: Méthode d'ensemencement (figure originale)................. Error! Bookmark not defined.
Figure 15: Identification bactérienne sur milieu chromogène (figure originale) ............................. 33
Figure 16: la méthode de lecture des antigrames (figure originale) ................................................ 34
Figure 17:Répartition des Prélèvements ECB des pertes vaginales................................................ 38
Figure 18: Répartition des ECB des pertes vaginales positifs selon l’âge ...................................... 39
Figure 19: Répartition des ECB des Prélèvements positifs selon le type des examens ................... 40
Figure 20: Répartition des ECB des pertes vaginales positifs selon les souches bactérienne isolée 41
II
Liste de tableau
Tableau 1 :Causes des pertes vaginales (Bates, 2003) ................................................................... 12
Tableau 2: Méthode diagnostiques des infection urogénitales à Chlamydia trachomatis (Mabrouka,
2015) ........................................................................................................................................... 14
Tableau 3: Caractéristiques comparées des principales infections vaginal (Webe & Boussougant,
1986) ........................................................................................................................................... 19
Tableau 4:Comparaison entre pertes normales et pertes anormale: (Betton, 2021) ......................... 20
Tableau 5 :Répartition des échantillons d’hôpital « Ibn Sina » Adrar ............................................ 36
Tableau 6:Répartition des échantillons laboratoire d'analyse médicales Bouslimani ..................... 37
Tableau 7: résultat la numération des leucocytes et des cellules épithéliales dans les sécrétion
vaginales selon les résultats de ECB ............................................................................................. 37
Tableau 8:Répartition des prélèvements vaginales selon les Services ............................................ 38
Tableau9 :Resistance aux Escherichia coli ................................................................................... 41
Tableau01 :Resistance aux Streptococcus spp .............................................................................. 42
III
Sommaire
Liste des abréviations……………………………………………………………………………..…
Liste de tableau………………………………………………………………………………….….
Introduction …………………………………………………………………………………..…..01
IV
II.1. Les définition …………………………………………..…………………………………..…11
II.3.1.1. 1.Symptômes………………………………………………………………………..……..13
II.3.1.1. 2.Diagnostique…………………………….………………………………………………13
II.3.1.1. 3.Traitement ………………………………………………………………...……….……14
II.3.1.2. Infection à Gonorrhoeae……………………………………………………………...……15
II.3.1.2. 1.Symptômes……………………………………….…………..……………………….…15
II.3.1.2. 2.Diagnostique………………………………………………………………………..…...15
II.3.1.2. 3.Traitement ………………………………………………………………....................…15
II.3.1.3. Infection à Trichomonas……………………………………………………..……...…….16
II.3.1.3. 1.Symptômes………………………………………………………………..…………..…16
II.3.1.3. 2.Diagnostique………………………………………………………………..…………...16
II.3.1.3. 3.Traitement ……………………………………………………..…………………….….17
II.3.1.4. Génital herpes………………………………………………………………….………….17
II.3.2.Autre infection…………………………………………………………………………….....17
V
II.6.Prévention des infections vaginales………………………………………..……………….….20
III.2.SYMPTOMES…………………………………………………………………...………………23
III.3.Prélèvement…………………………………………………………………….……….…….23
III.4. DIAGNOSTIC…………………………………………………………………………..………24
IV.3.Matériel et produit…………………………………………………………………….……...29
IV.3.1. Matériel……………………………………………………………………………...……..29
IV.3.2. produit……………………………………………………………………………...……....30
IV.5.1.Examen cytologique……………………………………………………………..……….…31
IV.5.2.Ensemencement……………………….………………………………………...…………..32
VI
IV.6.1.Test de catalase………………………………………………………………………….......33
IV.7. Étude de la sensibilité aux antibiotiques…………………………………………….…….....33
IV.7. 1.Ensemencement d'antibiogramme…………………………………………………..….…..33
IV.7. 2.Lecture et interprétation de l'antibiogramme…………………………….…………………34
Chapitre V: Résultat et la discussion
V.1.Résultat………………………………………………………………………….……………..36
V.1.1. la numération des leucocytes et des cellules épithéliales dans les sécrétion vaginales selon les résultats
de ECB………………………………………………………….………….……….....37
V.1.2.Répartition des prélèvements vaginales selon les services……………………………….…38
V.1.5. Répartition des ECB de pertes vaginales positives selon le type examens………….……...39
V.1.6. Répartition des ECB de pertes vaginales positives selon les souches bactériennes isolées..40
V.1.7.1.1.Escherichia coli…………………………………………………………………….....….41
V.1.7.1.2.Streptococcus spp………………………………………………………..………...……42
V.2. Discussion………………………………………………………………………………...…...43
V.2.1.la numération des leucocytes et des cellules épithéliales dans les sécrétions vaginales selon les résultats
de ECB…………………………………………………………………….…………..43
V.2.2.Répartition des ECB des pertes vaginales……………………………………………....…...43
V.2.3.Répartition des ECB des pertes vaginales positifs selon l’âge……………………….……...43
V.2.4.Répartition des ECB de pertes vaginales positives selon les souches bactérienne isolée…...43
V.2.5. Sensibilité bactérienne aux différents antibiotiques…………………………..……..…..….44
V.2.5. 1.Escherichia coli …………………………………………………………………………...44
Conclusion…………………………………………………………………..……………………...45
Résumé……………………………………………………………………………………………..
Référence……………………...……………………………………………………………………
Annexe……………………………………………………………………………………..……….
VII
Introduction
VIII
introduction
Le problème des pertes vaginales est une problème considérable pour de nombreuses femmes
causant de malaise , de l'angoisse affectant les femmes qualité de vie (Shazia A Khan, 2009) .Cette
pertes vaginales sont un liquide produit par les glandes de la paroi vaginale et du col de l'utérus ,
Leur quantité et leur apparence varient tout au long du cycle menstruel mais l'augmentation de
leur quantité , une odeur anormale du liquide ou une douleur qui accompagne les pertes vaginales
peuvent tous être des signes d'infection des pertes vaginales (Melissa Conrad Stöppler, 2021).
La vaginite est un terme médical qui décrit divers troubles qui provoquent l'infection ou
l'inflammation de votre vagin. L'infection causée par des micro-organismes comme des bactéries,
des levures ou des virus, Les irritations causées par les produits chimiques contenus dans les
crèmes, les vaporisateurs ou même les vêtements étroits (Clinic, 2021).
L'objectif de notre travail est l'étude microbiologie de l'infection des pertes vaginales car l'infection
cause plusieurs maladie dangereuse .malheureusement, la plupart des femmes restent silencieuses
et ne reçoivent pas de traitement rapidement . dans cette mémoire représente Cinq chapitre,
chapitre I étudie généralité sur les pertes vaginales, chapitre II étudie l'infection des pertes
vaginales, chapitre III consacre à l'infection des pertes chez les femmes enceinte, Chapitre IV
consacre a l'étudie de matériel et méthode de les examen mycobactériologie des pertes vaginales et
le chapitre V étudie les résultat et la discussion.
1
Chapitre I :
généralité des pertes vaginale
2
Chapitre I : généralité des pertes vaginale
L’appareil génital féminin est l’appareil de la reproduction chez la femme. Il produit les gamètes et
soutien l’embryon en voie de développement. Il comprend
rus et vagin (voire figure 1).
(GAOUAR, 2014-2015).
3
Chapitre I : généralité des pertes vaginale
dans chaque cote (gauche et adroite) il y a deux ovaires situés dans la cavité pelvienne.ils
représente la glande génitale féminine qui responsable de la folliculogénèse et la sécrétion des
hormones sexuelles féminines (Natisens).
la trompe de Fallope est un longe conduit l'environ 12 cm qui relie chaque ovaire à l'utérus il joui
de rôle plus important de la captation de l'ovocyte au moment de l'ovulation grâce au mouvement
des cils de son ampoule, d'assurer le transporte des spermatozoïdes de l'utérus vers l'ovaire, et
ensuite des l'œufs fécondés en sens inverse (Natisens).
L’utérus:
L’utérus est un muscle creux qui a la forme d’une petite poire et dont la hauteur est de 7 cm (50 cm
en grossesse). Il est composé de fibres musculaires lisses à commande involontaire. La cavité de
l’utérus est recouverte par une muqueuse glandulaire, également hormono-dépendante, qui va se
préparer à recevoir à chaque cycle un œuf, c’est l’endomètre (Tchelougou, 2012).
Le vagin:
Les frottis hormonaux permettent une étude de l’état d’un cycle Le vagin s’incère autour du col de
l’utérus en faisant des culs de sac vaginaux. La longueur du vagin est de 7 à 8 cm, au repos. Il est
aplatit, les parois sont appliquées l’une contre l’autre. Le vagin constitue un véritable carrefour
reliant une zone stérile, l'utérus, à une zone septique, la peau, avec l'anus pour voisin immédiat. La
colonisation microbienne est inéluctable. On y retrouvera donc, en dehors de toute pathologie, une
flore d'origine intestinale (lactobacilles) et cutanée (Tchelougou, 2012).
I.2.Flore vaginale
4
Chapitre I : généralité des pertes vaginale
C'est l' ensemble de micro-organismes colonisant le vagin et formant un biofilm protecteur sur la
muqueuse vaginale empêchant la prolifération des germes pathogènes par le inhibition leur
croissance, leur adhésion et leur développement (Abbara, 2020).
Certains auteure classent les micro-organismes composant la four vaginale en trois groupes
La flore vaginale est dominée par la présence du bacille de Döderlein (108 à 112 bactéries par ml)
associé à de nombreuses autres espèces. En période d'activité génitale, le bacille de Döderlein
forme 95 % de la flore vaginale normale. Venu de l'anus (Tchelougou, 2012) .
5
Chapitre I : généralité des pertes vaginale
Figure 2: les étapes d'inhibition de la prolifération des germes pathogènes par Flore vaginal
(Mabrouka, 2015)
I.3. les pertes vaginale
Appeler les pertes blanche de leur nom scientifique leucorrhées, sont des sécrétions de couleur
blanche voir jaunâtre produites par le vagin et l'utérus. D'origine physiologique, ce phénomène
tout à fait naturel (sauf si les pertes sont anormale). Les pertes vaginales sont inodores, d'aspect
transparente ou légèrement laiteuse, blanche au jaune claire, plus ou moins abondantes ou épaisses
(Betton, 2021).
Les pertes sont composées de la glaire cervicale, de cellule mortes de la muqueuse vaginale, des
germes et de bactéries. Elles permettent de nettoyer et protéger le vulve, le vagin et l'utérus des
l'infection et elle compose sueur , la cyprine et le liquide lié à l'excitation sexuelle (voire figure 3)
(Betton, 2021).
6
Chapitre I : généralité des pertes vaginale
C’est une substance sécrétée au moment de l'ovulation au niveau du col de l'utérus qui permet
d'assurer la remontée des spermatozoïdes ver l'ovule lors de la fécondation (Betton, 2021).
Ce liquide sécrété par les glandes de Bartholin située de part et d'autre de la vulve. La quantité de
fluide produite varie de femme à l'autre. Certains médicaments, la grossesse et l'allaitement peuvent
influer sur cette lubrification naturelle (Ibanez, 2017).
Les sécrétions vaginales servent à protéger et équilibrer la flore vaginale en nettoyant naturellement
l'intérieur du vagin en expulsant des substances potentiellement nocive et les impuretés (Redon,
2019).
Les taux d'œstrogènes déterminent la production de glaire cervicale. Au premier jour des cycles, les
taux d'œstrogènes et de progestérone sont faible, le col de l'utérus ne produit pas beaucoup de fluide
à ce moment-là en raison des règles, il ya aurait d'ailleurs peu de chance que vous le marquez
(Druet, 2021).
7
Chapitre I : généralité des pertes vaginale
Dans les jours qui suivent règle, les taux d'œstrogènes augmentent (l'œstrogènes sont produits par
le follicule qui se développe dans l'ovaire et se prépare à libérer un œuf lors de l'ovulation). Plupart
des personnes ne remarquent pas de glaire cervicale pendant quelques jours, jusqu'à ce que le taux
d'œstrogènes soit plus élevé (Druet, 2021).
3.Dans les jours qui précédant l'ovulation: fluide collant, blanc, crémeux, semblable à une lotion
Lorsque le taux d’œstrogènes augmente, le col de l'utérus produit de glaire cervicale. Au début, ce
fluide peut être épais et collant ou poisseux, comme la lotion. Il peut avoir un aspect blanchâtre et
trouble, voire jaunâtre (Druet, 2021).
À l'approche de l'ovulation, la production de glaire cervicale est beaucoup plus important. Le vagin
commence à être beaucoup plus humide et le fluide devient plus glissant parce que la teneur de eau
augment. En quelques jours, la claire cervicale devient plus fluide et plus claire. 1à2 jours avant
l'ovulation, Au moment de pic de l’œstrogène, la glaire cervicale ressemble souvent à un blanc
d’œuf. Pendant la pic de sécrétion la glaire cervicale est composé d'environ 95% d'eau en poids et
de 54 % de solide (Druet, 2021).
Pendant le jour ou les deux jours qui suivent l'ovulation, la quantité de liquide produite diminue
rapidement. La progestérone dominante de cette phase, agit pour inhiber la sécrétion de liquide par
les cellules épithéliale du col de l'utérus. Le fluide peut à nouveau devenir collant ou poisseux, ou
simplement sec et absent (Druet, 2021).
Lorsqu'une femme est enceinte, les pertes augmentent en raison du taux élevé des hormones
produits par le corps puis par le placenta. Elles sont très abondantes et fluides, ces sécrétoire
forment un enduit blanchâtre, parfois grumeleux et souvent glaireux (Betton, 2021).
Voici quelque types de pertes vaginale peut être remarquée avant, pendant ou même après le
grossesse:
8
Chapitre I : généralité des pertes vaginale
Le volume de leucorrhée varié tout au long de cycle menstruel ce volume augment avant
l'ovulation, généralement une consiste légère et grasse. Apre l'ovulation ,le volume de mucus
secrétée diminue et s'épaissit mais devient plus difficile à remarque (ANAES, 2019).
Le bouchon muqueux:
Le bouchon muqueux est une accumulation épaisse de mucus qui remplit le col de l'utérus et le
bouche.
Il peut être transparent, légèrement rose ou légèrement rouge sang. Il est plus épais que les pertes
vaginale habituelle.il se forme pendant la grosse pour protéger le bébé des infection le bouche se
libère et est évacué du vagin juste avant le travail ou au cours de celui-ci lorsque le col de l'utérus
se dilate (ANAES, 2019).
Quelque heures avant le début du travail, la poche amniotique dans la quelle baigne le bébé peut se
déchirer, entrainant la perte du liquide amniotique (ANAES, 2019).
Les lochies:
Lochies est une pertes constituées de sang et de mucus qui sécrété dans les jours suivant
l'accouchement commencent par être rouge et épaisses, et ce change progressivement ver la colleur
rose puis finir a la colleur jaune ou blanche. Les femmes qui accouchent par césarienne pas
sécrétée beaucoup lochies comme les femme qui accouchent par voir basse. Cette lochies peut être
continuent pendant quatre à six semaines après l'accouchement (ANAES, 2019).
9
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
11
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
II.1.1. l'infection
C’est une maladie provoquée par des agents pathogènes vivants (bactéries, champignons ou virus)
(Tchelougou, 2012).
II.1.2. l'infection des pertes
Les infections vaginales sont une cause fréquente de détresse et d'inconfort chez les femmes. Les
infections vaginales sont souvent associées à la vaginite, une inflammation (enflure et irritation) du
vagin, caractérisée par des pertes et / ou du prurit (démangeaisons). La cause de la vaginite ne peut
pas être déterminée uniquement en se basant sur les symptômes ou l’examen physique. Les
symptômes peuvent aussi masquer une infection transmise sexuellement. De plus, des infections
mixtes ou multiples sont également possibles. Ainsi, des tests de laboratoire permettant une
évaluation des sécrétions vaginales à l’aide d’un microscope sont nécessaires pour obtenir un
diagnostic précis (Tchelougou, 2012).
II.2. Cause de l'infection des pertes vaginale
Les produits chimiques présents dans les bains moussants ou les savons
Chez les femmes en âge de procréer, les pertes viennent généralement d’une infection vaginale.
Les plus courantes sont :
Vaginose bactérienne
Candidose (infection par des levures)
Vaginite à Trichomonas ,sexuellement transmissible
infection les pertes sont provoquées par des maladies sexuellement transmissibles
(la gonorrhée ou une infection à Chlamydia).
La diminution des bactéries protectrices( lactobacilles) provoque la diminution l'acidité
dans le vagin donc les bactérie nocive augmente.
Les situations suivantes favorisent la prolifération des bactéries nocives (et par conséquent
augmentent le risque d’infections vaginales) :
11
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
Sang menstruel ou le sperme dans le vagin (car ils réduisent l’acidité du vagin)
Manque d’hygiène
12
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
II.3.1.1. 1.Symptômes
13
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
2-Un test de dépistage alternatif est le dosage immunoenzymatique (EIA). Ils sont adapté à
l'analyse des écouvillonnages endocervicaux, et le taux de détection est augmenté de 10 à 20 % si
un écouvillonnage urétral est pris en plus. Bien que moins cher et automatisable, le taux de
détection est inférieur à celui observé avec les TAAN (Bates, 2003).
3-testes par immunofluorescence directe (DIF) (figure 6). Ces tests prennent du temps et sont ne
convient pas au criblage de grands nombres d'échantillons (Bates, 2003)
Diagnostique sérologique
•Intérêt: infection des voies génitales hautes
•Titre Ig G ou Ig totales ≥ 64 : significatif d’une infection passée ou en cours
•Séroconversion (très rare) augmentation significative du titre d’AC (au moins 2 dilutions) entre 2
sérums prélevés à 3 semaines d‘intervalle permet le diagnostic d’une infection évolutive
•Igm: intérêt pneumopathies du nouveau-né
• Ig A: détection non standardisée (Mabrouka, 2015)
II.3.1.1. 3.Traitement
14
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
Pour les infections à chlamydias: Azithromycine 1 g par voie orale 1 fois ou avec de
la doxycycline 100 mg par voie orale 2 fois/jour pendant 7 jours (Goje, 2021)
II.3.1.2. Infection à Gonorrhoeae
Neisseria gonorrhoeae est une bactérie appartenant au groupe gonocoque du genre Neisseria
de la famille des Neisseriaceae. Elle est un diplocoque Gram négatif (voire figure 7) en forme de
grain de café aérobie strict. C’est une bactérie fragile, sensible aux variations de température. Elle
est également oxydase et catalase positive. L’élément pathognomonique est la présence de germe
intra cellulaire au sein de polynucléaires neutrophiles (BERHONDE, 2015).
II.3.1.2. 1.Symptômes
la dyspareunie, dysurie
douleur
saignements vaginaux irréguliers. (Bates, 2003)
II.3.1.2. 2.Diagnostique
le gonocoque détecté dans environ la moitié examinant une coloration de Gram prélèvement
prélevé sur l'endocol. Le diagnostic nécessite donc culture du gonocoque. Les spécimens
appropriés comprennent écouvillonnages endocervicaux et urétraux. La culture est un méthode de
détection de l'infection (sensibilité 495%), et permet également la détermination de l'antibiotique
sensibilité du gonocoque. (Bates, 2003)
II.3.1.2. 3.Traitement
15
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
II.3.1.3.1.Symptômes
Plusieurs individus ne présentent aucun symptôme. Les symptômes possibles sont les suivants :
(SantePubliqueOttawa, 2018)
II.3.1.3.2.Diagnostique
16
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
II.3.2.Autre infection
17
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
II.3.2.1.1.Symptômes
Une infection aux levures peut provoquer :
• des démangeaisons ou des sensations de brûlure vaginales
• des rougeurs ou une enflure de la vulve
• un écoulement blanc épais du vagin
• une sensation de brûlure durant la miction (au moment d’uriner)
• des rapports sexuels douloureux (Koenig D, 2016)
II.3.2.1.2.Diagnostique
Identification du levure est soit par microscopie, soit par culture d'un haut écouvillon sur les médias
de Sabouraud. (Bates, 2003)
II.3.2.1.3.Traitement
Le traitement est également efficace avec l'imidazole topique ou des préparations orales de triazole
dans 80 à 95 % des cas, bien que la recolonisation du vagin par les levures soit courante à 1 mois
après le traitement. (Bates, 2003)
II.3.2.2. Vaginose bactérienne
Elle se caractérise par une multiplication de micro-organismes anaérobies (Gardnerella vaginalis,
Prevotella ssp., Mycoplasma hominis, Mobiluncus ssp.) dans le vagin entraînant un remplacement
des lactobacilles et une augmentation du pH vaginal. Chez certaines femmes, les lactobacilles sont
également diminués et le pH est élevé, mais la microflore aérobie dérivée de l'intestin, comme
Escherichia coli, les streptocoques du groupe B et Staphylococcus aureus, prédomine (J Sherrard,
2011).
II.3.2.2.1.Symptômes
Les symptômes, s’ils se développent, peuvent apparaître et disparaître avec les menstruations. Les
symptômes peuvent inclure :
Pertes vaginales blanchâtres ou grises
Odeur de poisson provenant du vagin
Parfois de faibles démangeaisons ou une sensation de brûlure dans le vagin
(SantePubliqueOttawa, 2018)
II.3.2.2.2.Diagnostique
Le diagnostic de Vaginose bactérienne repose sur la Critères. Trois des quatre critères suivants sont
nécessaire pour confirmer la présence d'une Vaginose bactérienne :
• un pH vaginal élevé > 4,5 ;
• la présence d'un fin gris/blanc homogène décharge recouvrant les parois vaginales;
• la libération d'amines lors du mélange des pertes vaginales avec hydroxyde de potassium à 10 % ;
• la présence de cellules indicatrices sur préparation humide microscopie.
18
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
En pratique, la culture d'anaérobies sur un fond vaginal élevé l'écouvillon sera le seul test
disponible en dehors d'un réglage urinaire. Cependant, l'isolement de G. vaginalis ne doit pas être
utilisé seul comme test de diagnostic pour les bactéries Vaginose entre 35 et 55% des femmes sont
porteuses de cet organisme. (Bates, 2003)
II.3.2.2.3.Traitement
La plupart des cas de Vaginose bactérienne sont faciles à traiter avec une dose unique de
Métronidazole ou une cure de crème vaginale à la clindamycine. Cependant, la condition peut
réapparaître spontanément après un traitement réussi. (Bates, 2003)
II.3.2.3.Vaginite atrophique
La vaginite atrophique est l'amincissement, l'inflammation et le rétrécissement du vagin causés par
de faibles niveaux d'œstrogène. Les taux d’œstrogènes peuvent diminuer après la ménopause,
l’accouchement, ou pendant la période d’allaitement. Elle peut provoquer un écoulement, des
démangeaisons et des brûlures. Uriner et les rapports sexuels peuvent devenir difficiles et
douloureux. (Health Information Translations., 2019)
Tableau 3: Caractéristiques comparées des principales infections vaginal (Webe & Boussougant,
1986)
19
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
Le Tableau suivante représente la comparaison entre les pertes blanches normales et anormales :
• Évitez la transmission de microbes allant du rectum au vagin. Après être allée à la selle, essuyez-
vous de l’avant vers l’arrière, en direction opposée du vagin.
• Nettoyez bien les lèvres du vagin et veillez à maintenir cette zone sèche autant que possible.
21
Chapitre II : L'infection des pertes vaginale
• Évitez les savons ou les détergents irritants, les pulvérisateurs d’hygiène féminine.
• Nettoyez les diaphragmes et les applicateurs de spermicide avec de l’eau chaude savonneuse et
rincez bien.
• Pas de douche vaginale.
Utiliser une douche vaginale peut éliminer les bonnes bactéries et entraîner davantage
d’infections vaginales.
Une douche vaginale après un rapport sexuel n’empêche pas de tomber enceinte.
Votre écoulement vaginal aura une odeur différente pendant votre cycle mensuel. C’est
normal. Si vous constatez une odeur qui ne disparaît pas après vous être lavée, parlez-en à
votre médecin ou à votre infirmière.
Les femmes qui utilisent des douches vaginales sont davantage exposées à un risque de
maladie inflammatoire pelvienne.
• N’utilisez pas de remèdes maison. Les remèdes maison ne font que dissimuler le problème.
• Utilisez des préservatifs pour vous protéger des maladies sexuellement transmissibles (MST).
(Health Information Translations., 2019)
21
Chapitre III :
22
Chapitre III : L'infection des pertes chez les femmes enceinte
23
Chapitre III : L'infection des pertes chez les femmes enceinte
III.4. DIAGNOSTIC
La Vaginose bactérienne est caractérisée par une diminution des lactobacilles fréquemment
associée à une prolifération de Gardnerella vaginalis. Le diagnostic de cette affection est fait après
prélèvement vaginal et examen direct des sécrétions vaginales par coloration de Gram. On trouve
une flore bactérienne déséquilibrée avec présence de bactéries anaérobies. Les critères
diagnostiques sont les mêmes, peu importe la présence d’une grossesse ou non. (AMSEL R,
1983)
III.5.LES RISQUES LIES AU PORTAGE ET AUX INFECTIONS VAGINALES OU
ENDOCERVICALES POUR LA MERE, LE FŒTUS ET LE NOUVEAU-NE
Les relations entre une infection vaginale et les différentes complications maternelles et périnatales
sont variables en fonction des bactéries impliquées, de la notion de portage ou d'infection et du
stade de la grossesse (CNGOF, 1997).
III.5.1.Retentissement sur l'évolution de la grossesse
A. Relation entre infection cervico-vaginale et prématurité
Les infections cervico-vaginales peuvent être responsables d'une chorio-amniotite.
L'existence d'une béance cervico-isthmique peut favoriser l'ascension des germes dans
l'endocol. Une chorio-amniotite ou une endocervicite implique dans la production de cytokines
(IL1,
IL6, TNFÉ) responsable de rupture des membranes et/ou d'une production de prostaglandines
locales à l'origine d'une maturation cervicale et de contractions utérines. La chorio-amniotite
survient dans 1 à 10 % des grossesses. Ses conséquences périnatales (prématurité, mort in utero,
sepsis, endométrite) sont bien connues. Malheureusement, son diagnostic est parfois tardif dans la
mesure où elle est paucisymptomatique dans au moins 30 % des cas. Les ruptures prématurées des
membranes surviennent dans 4 à 7 % des grossesses. Dans 30 % des cas, elles sont responsables
d'un accouchement prématuré (CNGOF, 1997).
B. Les conséquences sont différentes selon les germes
Streptococcus agalactiae (SGB)
Le portage de SGB est responsable d'infections périnatales graves. La prévalence du portage est de
8 à 20 % chez les femmes enceintes. La relation entre portage pendant la grossesse et portage à
l'accouchement est imprévisible.
La relation entre portage maternel vaginal de SGB et accouchement prématuré est démontrée en
cas de forte colonisation maternelle vaginale avec un Odd ratio (OR) de 1,5. Dans ce cas ce risque
est réduit par le traitement antibiotique uniquement.
24
Chapitre III : L'infection des pertes chez les femmes enceinte
La relation entre bactériurie à SGB et accouchement prématuré est plus évidente ; le traitement
antibiotique sur la réduction du risqué d'accouchement prématuré dans ce contexte confirme le rôle
du streptocoque dans cette pathologie. En fait, la présence d'une bactériurie asymptomatique
maternelle à SGB est reconnue comme liée à une forte colonisation vaginale.
La relation entre rupture prématurée des membranes et colonisation à SGB est incertaine. La
survenue d'une chorio-amniotite serait plus fréquente (OR = 3,6), ceci indépendamment de la durée
d'ouverture de la poche des eaux, de la durée du monitorage interne et du nombre de touchers
vaginaux (CNGOF, 1997).
La Vaginose bactérienne :
il n'y a pas d'inflammation locale mais l'étude de la flore vaginale montre une nette diminution des
lactobacilles et une contamination par de nombreuses bactéries : Gardnerella vaginalis,
Mycoplasma hominis et bactéries anaérobies (dont Mobiluncus spp).
Ureaplasma urealyticum et Mycoplasma hominis
Le portage est fréquent dans les voies génitales féminines. La prévalence d'Ureaplasma
urealyticum au niveau du vagin et de l'endocol est respectivement de 72 % et 81 % ; celle de
Mycoplasma hominis est de 23 et 50 %.en dépit de l'isolement d'Ureaplasma urealyticum au niveau
des membranes choriales et du liquide amniotique, aucune étude n'a pu confirmer le rôle propre de
cet agent infectieux dans la survenue d'une rupture prématurée des membranes ni l'intérêt du
dépistage ou du traitement.
Le portage vaginal à Haemophilus influenzae ou para-influenzae s'associe à un risque accru
d'accouchement prématuré : l'OR est de 5,5.
Le portage vaginal d'Escherichia coli a récemment été corrélé avec une majoration du risque
d'accouchement prématuré (< 34 SA) (RR = 1,7). Ce risque est majeur pour les fortes colonisations
vaginales (RR = 2,7) (CNGOF, 1997).
III.5.2 Retentissement sur le fœtus et le nouveau-né
III.5.2.1Les complications fœtales
Deux types de complications fœtales peuvent être envisagés dans le cadre d'une infection génitale
maternelle : un mortes in utero ou un retard de la croissance fœtale.
Les conséquences sont différentes selon les germes :
Le lien entre portage maternel de SGB et perte fœtale est loin d'être certain à partir de l'analyse
des données de la littérature.
Le portage génital d'Escherichia coli a été corrélé avec la naissance d'enfants hypotrophies et ce,
indépendamment du terme de naissance (RR = 1,9). Lorsque la colonisation vaginale est
importante, ce risque s'élève à 2,4.
25
Chapitre III : L'infection des pertes chez les femmes enceinte
Le portage de Mycoplasma hominis n'est pas corrélé avec certitude avec la naissance d'enfants de
faible poids de naissance (< 2 500 g).
La Vaginose bactérienne est associée à la naissance d'enfants de " faible poids ", mais il s'agit le
plus souvent d'analyses uni variées ; les études avec analyse multi variée ne confirment pas ces
résultants (CNGOF, 1997).
26
Chapitre III : L'infection des pertes chez les femmes enceinte
Pour l'Ureaplasma urealyticum, le taux de colonisation néo-natale est d'au moins 50 % chez des
nouveau-nés à terme et les prématurés. Ce taux ne diffère pas quelle que soit la voie
d'accouchement. L'infection du fœtus est possible in utero (CNGOF, 1997).
Les femmes enceintes ne peuvent pas prendre n'importe quel médicament pour soigner les
infections des parties intimes. Voilà pourquoi il est indispensable de les prévenir grâce à
quelques règles d'hygiène élémentaires et en faisant des contrôles réguliers. Pendant la grossesse, Il
est recommandé de se rendre chez le gynécologue et de faire une analyse d'urine au moins une fois
par mois pendant les 8 premiers mois, et tous les 15 jours le dernier mois.
Vous devez boire beaucoup d'eau et marcher au moins 30 min par jour. Votre hygiène intime doit
être irréprochable, avec des toilettes fréquentes à l'eau tiède. Vous pouvez utiliser du savon, mais il
ne devra pas être anti-bactérien, ni contenir des substances agressives. Si vous continuez d'avoir
des rapports sexuels pendant la grossesse, il est préférable d'utiliser un préservatif pour éviter une
éventuelle transmission de bactéries. Votre partenaire aussi doit avoir une hygiène intime
irréprochable (CARDENAS, 2014).
III.7.Traitement
Les problèmes intimes liés aux voies urinaires nécessitent souvent un traitement antibiotique : les
médecins prescrivent souvent de la pénicilline ou de la céphalosporine.
En fonction du type d'infection, le traitement peut durer entre 1, 7 ou 14 jours, même si ce genre de
problème réapparait souvent pendant la grossesse. Dans ce cas, le traitement se prolonge durant les
neuf mois, à intervalles réguliers (CARDENAS, 2014).
27
Chapitre IV:
Matériel et méthode
28
Chapitre IV: Matériel et méthode
Dans cette étude nous avons pris de prélèvement de 30 femmes de défirent âge se plaignant des
infection des pertes dont 15 patients Adultes analysées au niveau de l'hôpital Ibn Sina d'Adar et 15
patient analysées au niveau de laboratoire d'analyse médicales Bouslimani .
IV.3.Matériel et produit
Pour le travail en utilise le matériel et le produit suivant:
IV.3.1. Matériel
29
Chapitre IV: Matériel et méthode
fil de boucle
Etuves Lame
Figure 11: matériel utilisé pour les examen cytobactériologie des pertes
IV.3.2. Produit
o l'eaux physiologique
o violet de gentiane
o Lugol
o Alcool
o Fuschine
o eaux oxygène
31
Chapitre IV: Matériel et méthode
I.5.1.Examen cytologique
IV.5.1.1.Examen microscopique
Examen cytologique est une examen direct constitue par examen à l'état frais et l'examen de
coloration
Examen à l'état frais utilisé pour rechercher les leucocytes, les cellules épithéliales, les hématies,
les Bactérie, les levures, Trichomonas vaginal. pour le travail en suivez les étapes suivant
31
Chapitre IV: Matériel et méthode
3. Verser le violet de gentiane sur la lame pour coloré tout le bactérie soit Gram+ soit Gram-
, en rincer la lame après 1minute.
4. Recouvrir de Lugol sur la lame et après 1minute laver la lame.
5. Tenir la lame inclinée et faire couler pendant 5 secondes de l'alcool à 95° jusqu'à
écoulement incolore
6. Verser la fuschine sur la lame et après 1minute rincer la lame puis en chauffer la lame par
le papier filtre.
7. En déposer la lame sur le microscope à l'objet X100 pour l'observation (ANGLET D. Y.-
A., 2016).
IV.5.2.Ensemencement
L'ensemencement effectue dans le milieu chromogène pour le identification directe des germes
pathogène. Il est réalisé dans différente culture : Hektoen, Chapman, Sabouraud, gélose au sang
(voir le figure 14).
Hektoen: milieux sélective pour isolement des bacelle Gram- ( entérobactéries)
Chapman: milieux sélective pour staphylocoque
Sabouraud: milieux sélective pour le champignon comme candida albicans.
gélose au sang cuit: milieux sélective pour les bactérie Gram+ exigent.
A l'aide d'écouvillon en fait l'ensemencement dans les différent milieux cultures A cote de Bec
Bunsen pour éviter la contamination puis en prendre le milieux de gélose au sang cuit dans la jarre
sous CO2 enfin Poser la jarre et les autre milieux de culture dans les étuve à37°C pendant 24 à48
heur et 72 heur pour le gélose Sabouraud. (Dr. BOUSSENA, 2020)
32
Chapitre IV: Matériel et méthode
IV.6.1.Test de catalase
en réalisé le test de catalase pour identifié les types des bactéries streptocoque ou staphylocoque
parce que le staphylocoque synthétise les enzymes de catalase qui transforme le peroxyde de
hydrogène (H2O2) en dioxygène (O2) avec libération de l'eaux.
Pour le manipulation en mettre une goutte de l'eaux oxygène H2O2 sur la lame puis à l'aide de fil
de boucle stérile en gratter une bonne quantité de bactérie. Enfin, déposer les bactéries sur une
goutte de l'eaux oxygène. Si en observé une bulle de l'air, les bactéries est produit le enzymes de
catalase . Si ne en observé pas une bulle de l'air , les bactérie ne produit pas les Enzyme de catalase.
(PHE, 2019)
IV.7. Étude de la sensibilité aux antibiotiques
IV.7. 1.Ensemencement d'antibiogramme
Réaliser l'étude de la sensibilité aux antibiotiques par l'utilisation des boites pétrés contenant le
milieu Mueller –Hinton car cette milieu de culture permette de croissance de la majorité des micro-
organismes. l’ensemencement doit se faire par les étapes suivent:
33
Chapitre IV: Matériel et méthode
frictionner les écouvillon sur la surface entière de la boite, en faisant tourner la boite d'environ
60 ° C entre les stries pour assurer une distribution uniforme.
A l'aide de pince stérile appliquer des disque sur la surface de gélose , ensuite incube les boites
à 37° pendant 24H. (MWL, 2022)
La lecture fait par la mesure de diamètre de zone d'inhibition et comparer avec le diamètre de
concentration critique inferieure et supérieure.si:
∅ mesuré ≥ D(CCinf)Sensible
34
Chapitre V:
Résultats et discussion
r
r
r
r
35
Chapitre V: Résultats et discussion
V.1. Résultat
Tableau 5 :Répartition des échantillons d’hôpital « IBN SINA» Adrar
1 ++ r+ ++ ++ - AGP
2 + r +++ - - + AGP
3 + r+ - - - AGP
4 + - ++ - + r AGP
5 ++ ++ - - + Candida
albicans
6 - ++ - + + AGP
7 + - - - - Candida
albicans
8 r ++ - - - - Staphyloccus
aureus
9 +++ +++ r- - + AGP
10 +++ - - +++ - Candida
albicans
11 r- + - - - Candida
albicans
12 +++ r+ - r- +++ Candida
albicans
13 + - - - ++ Candida
albicans
14 ++ - + - ++ Staphyloccus
Aureus
15 r+ - - r- - AGP
+Rare ++nombreux +++Assez nombreux - Absence
36
Chapitre V: Résultats et discussion
N:nombreaux
Tableaur7: résultat la numération des leucocytes et des cellules épithéliales dans les sécrétion
vaginales selon les résultats de ECB
37
Chapitre V: Résultats et discussion
Pour comprendre la situation de l’infection des pertes vaginal chez les femmes nous avons fait d'un
étude d'un échantillon de 30 femmes in Wilaya d’Adrar (Tableau8 ):
15patientes ont été étudiés à Laboratoire interne de l’hôpital « IBN SINA »avec un taux de
50%
15 patientes ont été étudiés à laboratoire médicales de Bouslimani avec un taux de 50%
Services Effectifs
Fréquence%
Laboratoire interne de l’hôpital « Ibn Sina » 15 50%
l’hôpital Privé 15 50%
Totale 30 100%
37% des femmes ont été exposées des prélèvements à culture Négatifs et 63% des femmes qui ont
été exposées des prélèvements à culture positifs.
fréquence
37%
positive
négative
63%
38
Chapitre V: Résultats et discussion
Au cours de notre étude 30 examens des prélèvements vaginaux, ont été réalisés dont 19 étaient
positifs avec un taux de 63 % .
Fréquence
40%
38% 38%
30%
25%
20%
Fréquence 10%
0%
Figure 18: Répartition des ECB des pertes vaginales positifs selon l’âge
39
Chapitre V: Résultats et discussion
Figure 19: Répartition des ECB des Prélèvements positifs selon le type des examens
V.1.6. Répartition des ECB de pertes vaginales positives selon les souches
bactériennes isolées
Trichomonas vaginalis dans 4 prélèvements sont présents avec des pourcentages 21.05%.
L’examen direct de coloration de Gram a montré la présence des Coccis à Gram positif
(streptococcies ssp et Staphylococcus aureus ) étaient dans 26.32%, les levures (candida albicans)
47.37% et la présence des bactéries à Gram négatifs (Escherichia coli) dans 5.26%. Les résultats
sont présentés dans la Figure 20
41
Chapitre V: Résultats et discussion
50%
45%
47% les souches bactériennes isolées
40%
35%
30%
25%
21%
20%
15% 16%
10% 11%
5% 5%
0%
Figure 20: Répartition des ECB des pertes vaginales positifs selon les souches bactérienne isolée
V.1.7. ANTIBIOGRAMME :
V.1.7.1.1.Escherichia coli :
Le taux des Escherichia coli étaient de 5%, et présentaient un taux de sensibilité de 100% à la
Cefazoline, Cefalexine, Cefotaxime, Gentamicine et Colistine par contre taux élevés de résistance à
la Amoxicilline, Amoxicilline + AC Clavulanique, Ciprofloxacine et
Trimethoprime/Sulfamethoxazole. Le résultat représente dans le Tableau 9
Antibiotique Nombre
Amoxicilline 0%
Amoxicilline+AC Clavulanique 0%
Cefazoline 100%
Cefalexine 100%
Cefotaxime 100%
Gentamicine 100%
Ciprofloxacine 0%
Colistine 100%
Trimethoprime/Sulfamethoxazole 0%
41
Chapitre V: Résultats et discussion
V.1.7.1.2.Streptococcus spp :
Le taux des Streptococcus spp représentaient 16%et ont monté un résistance à la Clindamycine et
42
Chapitre V: Résultats et discussion
V.2. Discussion:
V.2.1.la numération des leucocytes et des cellules épithéliales dans les
sécrétions vaginales selon les résultats de ECB:
Dans notre étude, nous avons observé que l'absence de leucocyte à était 39% dans ECB positive et
dans ECB négative à était 17%et nous observer Assez nombreux de leucocyte dans ECB positive à
était 6% mais dans ECB négative représente 67% et les cellules épithéliales représente avec de taux
variable dans ECB positive et négative. Ce résulta conformer avec (TAMBOURA, 2004) qui
obtienne l'absence de leucocyte dans ECB positive avec de taux 77,8% et dans ECB négative
présente 22,2%.
V.2.2.Répartition des ECB des pertes vaginales :
Dans notre étude, la prévalence de l'infection des pertes vaginale à été 63% ce taux rapproche de
64% signalés au Département de Gynécologie Obstétriques Hôpital Railway à Pakistan Rawalpindi
par (Shazia A Khan, 2009) mais ce qui est inferieur au 68,5% trouve au Yaoundé par (Nsagha, et
al., 2015) et 70,5% trouver au l’hôpital de District de Bonassama (Ngaba, et al., 2014). ce variable
peut être cause par la différenciation des périodes, le nombre d'échantillons étudiés , par l'utilisation
de déférente types des technique pour isolement et identification des germes pathogène et elle
causé par l'absence et la présence de matériel et le produit pour faire les analyse.
V.2.3.Répartition des ECB des pertes vaginales positifs selon l’âge:
D'aprè le résulta de laboratoire médicale de Bouslimani on montré que l'infection vaginale toucher
les femme entre les âge 22-42ans avec une prédominante des femmes d' âge de 30-40ans et 40-
42ans de taux 38% ce résultat cohérence avec (Nsagha, et al., 2015) qui obtienne de nombre plus
élevé des femmes a l'âge 26 à 40 ans .
Ceci explique que la période d’activité sexuelle intense dans cette tranche de l'âge et dans la même
période que la majorité des femmes en âge de procréer expriment le désir de maternité qui
provoque la transmissible des maladie sexuelle. (Tchelougou, 2012)
V.2.4.Répartition des ECB de pertes vaginales positives selon les souches
bactérienne isolée:
Nous avons candidat albicans plus fréquente au 47% ce résulta similaire de taux 46%qui trouver en
France par (Bohbot, Sednaoui, Verriere, & Achhammer, 2012) mais ce qui supérieur au 26%
rapporté par (Nsagha, et al., 2015).la prévalence de Trichomonas vaginalis à était de 21%,ce qui
rapproche de 20% de (Ryan, Zekeng, Roddy, & SS, 1998) et ce qui plus élève de 1,2%rapporté par
(Nsagha, et al., 2015)
43
Chapitre V: Résultats et discussion
La prévalence de streptococcie ssp à était 16%,ce qui supérieure au 1,96% rapporté au Bonassama
(Ngaba, et al., 2014).le Staphylococcus aureus à était 11% rapproche de taux 8,82%rapporté par
(Ngaba, et al., 2014) et ce qui supérieur de 5,49%réalise à Centre Hospitalier Régional de
SOKODE (Tchelougou, 2012). enfin, nous avons la prévalence de E. coli plus faible 5%,ce qui
inferieur de 12,90%retrouve dans CHU-YO de Ouagadougou (TAMBOURA, 2004)
La prévalence le plus fréquent de candida albicans peut être lie par de facture des risque suivent : le
modification hormonales lorsque la grossesse, le diabète, utilisation des vêtement trop serrés, humidité et la
prise des antibiotique (Deiller, 2021).
D'aprè le résulta, nous obtenue de résistance de E. coli avec de taux 100% par Cefazoline ,
Cefalexine, Cefotaxime, Gentamicine et Colistine .ce résulta conforme par (AZZAOUI, 2019)
Dans notre étude, nous obtenue le résistance de Streptococcus spp par Ampiciline, Levoncomycine
Ofloxacine, Vancomycine , Chloramphénicol avec de taux 100%, pénicilline et Cefotaxime avec de
taux 66,67%,et Erythromycine avec de taux 33,33%.donc les antibiotique Ampiciline,
Levoncomycine Ofloxacine, Vancomycine , Chloramphénicol est le plus efficace pour le
traitement. suivre pénicilline et Cefotaxime efficaces pour le traitement.
44
Conclusion
45
CONCLUSION
Les infections vaginales sont des problèmes inquiétants affectant la majorité des femmes et
souffrent de fausses couches avant et après le mariage à la suite de rapports sexuels
Il est normal pour chaque femme de sentir les sécrétions vaginales, mais parfois elles sont
anormales à la suite d’une augmentation des champignons ou des bactéries vaginales et causent des
sécrétions démangeaisons et malodorantes et peuvent causer des douleurs pendant la miction ou les
rapports sexuels.
Notre étude a mis en évidence la grande diversité qui provoque des infections de sécrétion
vaginale par inflammation principalement due à des champignons "candida albicans" et
principalement vaginite germinale "Gardnerella vaginalis" mais aussi une proportion de vaginite
bactérienne par "E. coli et Streptococcus spp
Les maladies transmises sexuellement doivent être confirmées par des études sur la Chlamydia
trachomatis et Gonorrhoeae plus Trichomonase vaginalis et autres
L’antibiothérapie n’est pas toujours la solution idéale mais doit être prise en compte des
conditions de prévention et d’hygiène en maintenant l’hygiène vaginale en la nettoyant à l’eau
chaude et en utilisant une lotion vaginale recommandée par le médecin. Utilisez des vêtements en
coton non léger avec soin pour sécher soigneusement chaque fois de l’avant au dos pour éviter que
n’atteigne le vagin
46
Résumé
Résumé
L'infection des pertes vaginales est considérée comme des maladie plus dangereuse et plus plaindre
par plupart des femmes adulte qui provoque inconfort et anxiété. nous avons mené une étudie sur
30femme dont 15 dans l'hôpital de IBEN SENA d'Adrar et 15 dans laboratoire médicale
Bouslimani pour étudie la prévalence de l'infection des pertes dans la région d'Adrar.
D'aprè notre étude, nous avons montré que candida albicans plus fréquente dans notre région avec
de taux 47,37%suivi Trichomonase vaginalis à été21%, Streptococcus spp à été 16%,
Staphylococcus aureus 11% et taux plus faible de E. coli a été 5%.nous obtenu de résistance de
Streptococcus spp par Ampiciline, Levoncomycine Ofloxacine, Vancomycine , Chloramphénicol
avec de taux 100%, pénicilline et Cefotaxime avec de taux 66,67% et Erythromycine avec de taux
33,33% et nous obtenue de résistance de E. coli avec de taux 100% par Cefazoline , Cefalexine,
Cefotaxime, Gentamicine et Colistine.
Nomes clé: L'infection des pertes vaginales, candida albicans, Streptococcus spp, Staphylococcus
aureus, Trichomonase vaginalis, E. coli, l’antibiorésistance.
Résumé
r Abstract
Vaginal discharge infection is considered to be the most dangerous and complaining disease by
most adult women which causes discomfort and anxiety. we conducted a study on 30 women
including 15 in the IBEN SENA hospital in Adrar and 15 in the Bouslimani medical laboratory to
study the prevalence of infection of losses in the Adrar region.
According to our study, we have shown that Candida albicans more frequent in our region with a
rate of 47.37% followed by Trichomonase vaginalis at 21%, streptococcus spp at 16%,
Staphylococcus aureus at 11% and a lower rate of E. coli was 5%. We obtained resistance of
streptococcus spp by Ampiciline, Levoncomycine Ofloxacine, Vancomycine, Chloramphénicol
with rate 100%, penicillin and Cefotaxime with rate 66.67%, and Erythromycin with rate 33.33%
and we obtained resistance of E. coli with 100% rate by Cefazoline, Cefalexine, Cefotaxime,
Gentamicine and Colistine
Key words: vaginal infections, candida albicans, Streptococcus spp, Staphylococcus aureus,
Trichomonase vaginalis, E. coli, antimicrobial resistance.
Résumé
ملخص r
تعتبر عدوى اإلفرازات المهبلية من أخطر األمراض التي تشكو من قبل معظم النساء البالغات والتي تسبب االنزعاج والقلق.
أجرينا دراسة على 01امرأة من بينهن 01في مستشفى IBEN SENAفي ادرار و 01في مختبر بوسليماني الطبي لدراسة
انتشار اإلصابة بالفقد في منطقة ادرار.
وفقًا لدراستنا ،فقد أظهرنا أن candida albicansأكثر شيوعًا في منطقتنا بنسبة ٪74.04تليها Trichomonase vaginalis
بنسبة ، ٪10و Streptococcus sppبنسبة ، ٪01و Staphylococcus aureusبنسبة ، ٪00وانخفاض معدل اإلصابة E.
coliبنسبة .٪1حصلنا على مقاومة Streptococcus sppبواسطة ، Levoncomycine Ofloxacine ، Ampiciline
Chloramphénicol، Vancomycineبنسبة pénicilline ، ٪011و Cefotaximeبنسبة ٪11.14و
Erythromycineبنسبة ٪00.00وحصلنا على مقاومة E. coliبنسبة ٪011بواسطة Cefazoline , Cefalexine
Cefotaxime, Gentamicine et Colistine.
الكلمات المفتاحية :االلتهابات المهبلية candida albicans, Streptococcus spp, Staphylococcus aureus,
,Trichomonase vaginalis, E. coli,مقاومة المضادات الحيوية.
Références bibliographiques
Références bibliographiques
Référence bibliographique :
1. Abbara, D. A. (2020, 10 18). La flore bactérien vaginale; le pH de vagin et le score de
Nugent. Consulté le 11 26, 2021, sur www.aly-abbara.com.
3. ANAES. (2019, Décember 5). Tout sur les pertes vaginales. Consulté le Mars 16, 2022, sur
www.pampers.fr.
4. ANGLET, D. Y.-A. (2016). Dans D. Y.-A. ANGLET, Fiche technique n°2 microbiologie
(p. 2).
10. Betton, N. (2021, 11 09). les pertes blanches: que sont-elles et à quoi servent-elles?
Explications. Consulté le 11 27, 2021, sur dansmaculotte.com.
11. Bohbot, J.-M., Sednaoui, P., Verriere, F., & Achhammer, I. (2012). Diversité étiologique
des vaginites. Dans Diversité étiologique des vaginites. France: Elsevier Masson SAS.
13. CARDENAS, J. (2014, Février 07). Les infection des pertes pendant la grossesse. Consulté
le MARS 16, 2022, sur www.dotissimo.fr.
14. Clinic, C. (2021, 11 30). Vaginite. Consulté le 04 07, 2022, sur htt://my.clevelandclinic.org
16. Deiller, V. (2021, 04 29). Mycose enceinte : quels sont les effets sur la grossesse. Consulté
le 04 19, 2022, sur https://www.passeportsante.net
17. Dr. BOUSSENA, S. (2020). Manuel des Travaux Pratiques de Bactériologie. Dans Manuel
des Travaux Pratiques de Bactériologie (p. 11).
Références bibliographiques
18. Druet, A. (2021, 11 07). Quels sont les différents types de pertes vaginales? Consulté le 11
25, 2021, sur helloclue .com.
19. ELMOGHAZLI, R. (2018). Profil microbiologique des infections vaginales. Dans thèse
L’OBTENTION DU DOCTORAT EN MÉDECINE. Marrakech: Faculté de Médcine et de
pharmacine Marrakech.
20. équipe naitre et grandir. (2019, septembre). les pertes vaginale durant la grossesse.
Consulté le mars 16, 2022, sur naitreetgrandir.com.
21. GAOUAR, K. (2014-2015). APPAREIL GENITAL FEMININ. Consulté le 12 04, 2021, sur
http://univ.ency-education.com.
22. Goje, O. (2021, Avrile). Lerner College of Medicine of Case Western Reserve University.
Consulté le 12 06, 2021
23. Health Information Translations. ( 2019, November 22). Vaginal Infection. French.
Consulté le 11 23, 2021, sur www.healthinfotranslations.org.
24. Ibanez, M. (2017, 10 25 ). les différents types de sécrétions vaginale consulté. Consulté le
11 28, 2021, sur www.doctissimo.fr.
26. J, S. (2007). Directive nationale sur la gestion des Trichomonas vaginale. Récupéré sur
www.bashh.org/guidelines/2007/tv0607. pdf.
28. L. Simon, J. H. (2002, 11 09). Infections gravido-puerpérales. Consulté le 04 13, 2022, sur
Mise en page samu-de-france .com: https://www.urgences-
serveur.fr/IMG/pdf/infections_gravido_puerperale.pdf
31. Marie-bé Sabourin, R. F. (2021, 12 14). Vaginose enciente: comment bien la soigner?
Consulté le 04 14, 2022, sur www.qare.fr/sante/vaginose/enceient/
33. MWL. (2022). Antibiogramme | Protocole | Interprétation. Consulté le 04 13, 2022, sur
microbiologie-clinique.com: https://microbiologie-clinique.com/antibiogramme.htm
Références bibliographiques
34. Natisens. (s.d.). . Anatomie et physiologie de l’appareil génital féminin : vue d’ensemble de
l’appareil reproducteur féminin. Consulté le 11 22, 2021, sur http://www.natisens.com.
35. Ngaba, G. P., Essomba, E. N., Koum, C. K., Ndzengue, L., Bika, C., Adiogo, D., et al.
(2014). Profil des germes impliqués dans les infections cervicovaginales chez la femme en
âge de procréer à l’hôpital de district de Bonassama.
36. Nsagha, D. S., Denis, Z., Assob, J. C., Njunda, A. L., Nchang, C. D., MvoNgum, N., et al.
(2015). Dans The Epidemiology of Trichomonas vaginalis, Gardnerella vaginalis and
Candida albicans Co- Infections in Women Attending the Yaounde University Teaching
Hospital (p. 29;30). Cameroon: Science and Education Publishing.
37. PHE. (2019). Catalase test. Dans UK Standards for Microbiology Investigations (p. 14).
England: Public Health England.
38. Redon, O. (2019, 08 06). Pertes vaginale: tout avoir sur les sécrétion du vagin. Consulté le
11 25, 2021, sur sante.journaldesfemmes.fr.
39. Roche-Sur-Yon, L., Martin, L., & Fayette, L. LABORATOIRE DE BIOLOGIE MÉDICALE
MULTISITE », s. d, 1.
40. Ryan, K., Zekeng, L., Roddy, R., & SS, D. (1998). Prévalence et prédiction des maladies
sexuellement transmissibles chez les professionnel(le)s du sexe au Cameroun. Dans
Prévalence et prédiction des maladies sexuellement transmissibles chez les
professionnel(le)s du sexe au Cameroun. Cameroun: National library of midcine.
43. Spence Des, M. C. (2007). Vaginal discharge. Dans CLINICAL REVIEW (p. 1149).
46. Webe, P., & Boussougant, Y. (1986). La vaginite non spécifique ou vaginose bactérien.
Technique et Biologie.
Annexe
Annexe
Annexe1
Annexe
Annexe2