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L'auteur explique comment la musique a un pouvoir sur le cerveau, notamment en ce qui concerne la

capacité de prédire ce qui va se passer ensuite et l'expérience d'être à mi-chemin entre les oiseaux
dans le ciel et les baleines dans l'océan. Il poursuit en disant que la condition d'être humain - à mi-
chemin entre les oiseaux dans le ciel et les baleines dans l'océan - nous permet de nous situer et que
le chant des oiseaux est aussi saccadé que les mouvements de l'oiseau. Tout comme les baleines
flottent à un rythme beaucoup plus fluide dans leur propre milieu, la musique humaine reflète la
marche, ce qui donne également aux humains leur fascination pour la métaphore selon laquelle la
musique bouge. Enfin, l'auteur explique comment la musique est un excellent moyen de marquer des
souvenirs, de se souvenir du passé, d'exprimer ses émotions les plus profondes et son identité, qui ne
peuvent être capturées par le langage.

Michael Spitzer explique que la musique a un pouvoir sur le cerveau similaire à celui des émotions.
Lorsque le cerveau voit une action, il n’a pas besoin de bouger pour ressentir ce mouvement ; au lieu
de cela, les neurones miroirs répondent par sympathie. Les bâillements sont contagieux, et quand je
te vois bâiller, je bâille en retour. Mais les émotions sont également contagieuses. Lorsque j’entends
une chanson triste, mon corps, mes neurones miroirs, sympathisent instinctivement, l’imitent et
reflètent la tristesse de la chanson. L'émotion n'est pas seulement un sentiment ; il a également un
rôle adaptatif, nous aidant à survivre. Le bonheur, c'est lorsque nous atteignons un objectif, la colère,
lorsque l'objectif est bloqué, la tristesse, lorsque nous perdons un être cher, et la peur est l'émotion
la plus archétypale. La musique est pleine de réponses similaires, connues sous le nom de frissons, de
frisson ou de sublime. Ces moments sont souvent déclenchés par des moments décisifs dans le
volume ou les extrémités, et on a les mêmes parties du cerveau qui réagissent à la peur comme à la
musique appelée « les frissons ».

The author explains how music has power over the brain, including the ability to predict what will
happen next and the experience of being halfway between birds in the sky and whales in the ocean.
He goes on to say that the condition of being human - halfway between birds in the sky and whales in
the ocean - allows us to situate ourselves and that the song of birds is as jerky as the movements of
the bird. Just like whales float at a much smoother pace in the ocean own environment, human music
reflects walking, which also gives humans their fascination with the metaphor that music moves.
Finally, the author explains how music is a great way to mark memories, remember the past, express
one's deepest emotions and identity, which cannot be captured through language.

Michael Spitzer explains that music has a power over the brain similar to that of emotions. When the
brain sees an action, it does not need to move to feel that movement; instead, mirror neurons
respond sympathetically. Yawns are contagious, and when I see you yawn, I yawn back. But emotions
are also contagious. When I hear a sad song, my body, my mirror neurons, instinctively sympathize,
imitate it and reflect the sadness of the song. Emotion is not just a feeling; it also has an adaptive
role, helping us survive. Happiness is when we achieve a goal, anger is when the goal is blocked,
sadness is when we lose a loved one, and fear is the most archetypal emotion. Music is full of similar
responses, known as thrills, thrills, or the sublime. These moments are often triggered by decisive
moments in volume or extremity, and you have the same parts of the brain that respond to fear as
they do to music called "the thrills." But you enjoy this fear, and it's very strange.

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