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Gynécologie Obstétrique, 4e édition, sous l'égide du Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
et de la Conférence Nationale des PU-PH en gynécologie-obstétrique.
© 2018, Elsevier Masson SAS
ISBN : 978-2-294-75406-7
e-ISBN : 978-2-294-75540-8
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Table des matières
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Comité de rédaction de la 4e édition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XXIII


Avant-propos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XXV
Liste des abréviations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XXVII

I Connaissances Gynécologie
1 Item 8 – UE 1 – Éthique médicale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
Interruption volontaire de grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
II. Pour réfléchir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
Diagnostic prénatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
II. Pour réfléchir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
Interruption médicale de grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
II. Pour réfléchir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
Diagnostic préimplantatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
II. Pour réfléchir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
V
Décisions difficiles aux limites de la viabilité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
II. Pour réfléchir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10

2 Item 10 – UE 1 – Violences sexuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13


I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
A. Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
B. Épidémiologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
C. Législation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
II. Objectifs de la prise en charge d'une victime de violences sexuelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
III. Accueil et information d'une victime . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
A. Vérifier la notion de plainte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
B. Apprécier les conséquences psychologiques initiales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
C. Préparer la victime à l'examen médical . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
IV. Étapes de l'examen clinique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
A. Contexte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
B. Entretien médical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
V. Conduite à tenir après l'examen clinique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
VI. Rédaction du certificat médical . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18

3 Item 24 – UE 2 – Grossesse extra-utérine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21


I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
B. Évolution naturelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
C. Facteurs de risque. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
II. Diagnostic. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
A. Diagnostic positif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
B. Diagnostics différentiels. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
III. Traitements. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
A. GEU symptomatique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
Table des matières

B. GEU pauci ou asymptomatique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26


C. Cas particulier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
IV. Mesures associées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28

4 
Item 34 – UE 2 – Anomalies du cycle menstruel. Métrorragies
Item 41 – UE 2 – Hémorragie génitale chez la femme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
I. Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
II.Prise en charge initiale (quelle que soit l'étiologie) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
Principales étiologies des ménométrorragies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
III. 33
IV.Bilan de 1re intention devant une hémorragie génitale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
A. Examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
B. Bilan biologique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
C. Imagerie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
D. Hystéroscopie diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
E. Biopsie d'endomètre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
F. À ne pas faire devant des métrorragies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
V. Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
A. Traitements généraux (quelle que soit l'étiologie). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
B. Traitement étiologique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35

5 Item 40 – UE 2 – Aménorrhée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
I. Rappels – Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
II. Conduite à tenir devant un trouble du cycle ou une aménorrhée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
III. Les différentes causes des troubles du cycle ou d'une aménorrhée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
A. Si la FSH, l'œstradiol et la prolactine sont normaux
et la LH normale ou élevée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
B. Si la FSH est élevée (> 25 UI/L) et l'œstradiol bas :
insuffisance ovarienne prématurée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
C. Si la FSH, l'œstradiol et la LH sont bas. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
VI IV. Syndrome prémenstruel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
B. Physiopathologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
C. Tableau clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
D. Traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47

6 Item 120 – UE 5 – Ménopause . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49


I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
B. Population concernée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
II. Diagnostic. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
III. Examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
A. Interrogatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
B. Examen général. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
C. Examen gynécologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
D. Examens complémentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
IV. Conséquences de la ménopause. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
A. Syndrome climatérique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
B. Risques de la ménopause. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
V. Conditions pour envisager un THM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
A. Qui traiter ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
B. Traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
VI. Insuffisance ovarienne prématurée
(anciennement : ménopause précoce) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

7 Item 35 – UE 2 – Contraception. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
II. Indications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62
III. Méthodes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62
A. Contraception œstroprogestative (COP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62
B. Contraception progestative seule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65
Table des matières

C. Contraceptions mécaniques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
D. Contraception définitive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68
E. Contraception d'urgence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
IV. Mise en place de la contraception . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
A. Interrogatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
B. Examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
C. Examens complémentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70
D. Initiation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
E. Évaluation/surveillance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
F. Cas/situations particulier(e)s . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71

8 
Item 36 – UE 2 – Prise en charge de l'interruption volontaire
de grossesse, réalisée dans le cadre légal, dans un délai de 14 SA. . . . . . . . . . . 75
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75
II. Législation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76
A. Conditions de la pratique des IVG. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76
B. Droit à l'anonymat. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77
III. Structures de prise en charge des IVG. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77
A. En établissement de santé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77
B. Hors établissement de santé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
C. Dans les centres de santé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
IV. Déroulement de la prise en charge. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
A. Consultation initiale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
B. 2e consultation : confirmation de l'IVG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79
C. Réalisation de l'IVG. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79
D. Consultation post-IVG. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79
V. Méthodes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79
A. Méthode instrumentale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80
B. IVG médicamenteuse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81
VII
VI. Complications et prévention. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83
A. Complications immédiates. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83
B. Complications secondaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85
C. Complications à long terme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85
VII. Contraception après une IVG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85
9 
Item 37 – UE 2 – Stérilité du couple : conduite
de la première consultation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87
A. Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87
B. Causes et facteurs de risque d'infertilité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87
II. Première consultation du couple infertile. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89
A. Bilan clinique chez la femme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89
B. Bilan clinique chez l'homme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90
III. Bilan paraclinique de 1re intention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90
A. Bilan féminin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90
B. Bilan masculin de 1re intention : spermogramme et spermocytogramme. . . . . . . . . . . . . . . . . . 94
C. Bilan du couple : interaction sperme – glaire cervicale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95
IV. Bilan préconceptionnel et pré-AMP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95
10 
Item 38 – UE 2 – Assistance médicale à la procréation :
principaux aspects médicaux, biologiques et éthiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99
I. Définition et conditions d'accès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99
II. Bilan préthérapeutique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100
A. Bilan médical . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100
B. Bilan psychosocial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100
C. Conditions de prise en charge par l'assurance santé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101
III. Insémination artificielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101
A. Technique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101
B. Indications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102
C. Résultats. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102
Table des matières

IV. Fécondation in vitro avec transfert embryonnaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103


A. Principales indications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103
B. Recueil de gamètes féminins. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 104
C. Phase biologique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105
D. Transfert embryonnaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105
E. Résultats. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 106
F. Congélation embryonnaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 106
G. Complications. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 106
V. Place de l'AMP en oncofertilité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107
A. Transposition ovarienne. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107
B. Autoconservation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107

11 
Item 39 – UE 2 – Orientation diagnostique devant une douleur
pelvienne aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
Douleurs pelviennes aiguës. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
B. Épidémiologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110
C. Physiopathologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110
II. Orientation diagnostique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111
A. Interrogatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112
B. Examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113
C. Examens complémentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113
Endométriose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 116
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
II. Circonstances de découverte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119
A. Dysménorrhées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119
B. Dyspareunies profondes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119
VIII C. Symptômes digestifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120
D. Symptômes urinaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120
E. Autres symptômes cataméniaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120
F. Douleurs intermenstruelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120
G. Infertilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120
III. Données de l'examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
A. Interrogatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
B. Examen abdominal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
C. Examen au spéculum. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
D. Toucher vaginal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
E. Toucher rectal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
IV. Examens paracliniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122
A. Échographie pelvienne par voie endovaginale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122
B. IRM abdominopelvienne. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122
C. Autres examens d'imagerie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
D. Bilan biologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
E. Cœlioscopie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
V. Principes thérapeutiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
A. Traitement médicamenteux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
B. Traitement chirurgical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125
C. Traitement de l'infertilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125

12 
Item 42 – UE 2 – Tuméfaction pelvienne chez la femme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127
A. Étiologies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127
B. Étiologies utérines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127
C. Étiologies ovariennes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 129
D. Étiologies tubaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 131
E. Étiologies péritonéales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 131
F. Étiologies digestives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 132
II. Orientations diagnostiques fournies par l'interrogatoire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 132
Table des matières

III. Orientations diagnostiques fournies par l'examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 132


A. Toucher vaginal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 132
B. Examen abdominal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133
C. Toucher rectal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133
IV. Orientations diagnostiques fournies par les examens complémentaires. . . . . . . . . . . . . . . 134
A. Tumeurs utérines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 134
B. Tumeurs ovariennes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135
V. Attitude thérapeutique devant un fibrome utérin : principes du traitement. . . . . . . . . . . . 136
A. Abstention thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 136
B. Traitement médical . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 136
C. Traitement préchirurgical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137
D. Traitement chirurgical . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137
E. Myolyse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 138
F. Traitement des complications. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 138
VI. Attitude thérapeutique devant un kyste ovarien : principes du traitement. . . . . . . . . . . . . 139
A. Abstention thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 139
B. Traitement médical . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 139
C. Traitement chirurgical . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140
D. Destruction. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140
E. Traitement des complications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140

13 Item 47 – UE 2 – Puberté normale et pathologique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143


I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143
II. Clinique de la puberté physiologique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143
A. Seins et organes génitaux chez la fille. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144
B. Organes génitaux chez le garçon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144
C. Sésamoïde du pouce – Croissance – Masse graisseuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145
III. Avance pubertaire ou puberté précoce . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145
A. Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145
IX
B. Physiopathologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145
C. Signes cliniques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146
D. Bilan étiologique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146
IV. Retard pubertaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147
A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147
B. Étiologies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147

14 Item 56 – UE 3 – Sexualité normale et ses troubles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149


I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149
A. Physiologie du rapport sexuel normal (ou eupareunie) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149
B. Causes de difficultés sexuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150
II. Principaux troubles de la sexualité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
A. Troubles du désir. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
B. Troubles de la lubrification . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153
C. Troubles du plaisir. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153
D. Troubles douloureux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153
III. Comment aborder un trouble de la sexualité ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155

15 
Item 42 – UE 2 – Tuméfaction pelvienne chez la femme
Item 118 – UE 3 – Principales techniques de rééducation et de réadaptation
Item 121 – UE 3 – Troubles de la miction et incontinence urinaire de l'adulte
et du sujet âgé Item 342 – UE 2 – Rétention aiguë d'urine . . . . . . . . . . . . . . . . . . 159
I. Incontinence urinaire féminine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 160
A. Les différents types d'incontinence urinaire de la femme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 160
B. Explorations complémentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 160
C. Traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 162
D. Bilan de l'incontinence urinaire de la femme âgée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 163
II. Troubles de la miction chez la femme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 163
III. Prolapsus génital. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164
A. Diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164
B. Traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165
Table des matières

16 
Item 158 – UE 6 – Infections sexuellement transmissibles (IST) : gonococcies,
chlamydioses, syphilis, papillomavirus humain (HPV), trichomonose . . . . . . . . 169
Gonococcie, chlamydiose, syphilis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169
A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169
B. Épidémiologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 170
C. Facteurs de risque. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 170
II. Principales infections sexuellement transmissibles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 170
A. Infections à Chlamydia trachomatis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 170
B. Infections à gonocoque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 172
C. Syphilis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 173
D. Autres infections sexuellement transmissibles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 175
III. Principales conséquences des IST . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 175
Leucorrhées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 177
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 177
II. Rappels. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 178
A. Leucorrhées physiologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 178
B. Écosystème vaginal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 178
III. Conduite de l'examen d'une femme consultant pour des leucorrhées anormales . . . . . . . . 178
A. Interrogatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 178
B. Examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 179
C. Indications du prélèvement vaginal adressé au laboratoire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 179
IV. Étiologies des leucorrhées pathologiques et choix thérapeutiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180
A. Causes infectieuses. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180
B. Causes néoplasiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 182
C. Cas particuliers. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 182
Salpingite (infection génitale haute). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183
X I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183
II. Circonstances de survenue des IGH aiguës
et principaux germes responsables. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183
III. Diagnostic clinique d'une IGH non compliquée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 184
A. Interrogatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 184
B. Symptomatologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 184
C. Examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 184
IV. Bilan initial. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
A. Diagnostic positif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
B. Diagnostic différentiel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
C. Formes compliquées d'IGH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
V. Stratégie thérapeutique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186
A. Traitement des IGH non compliquées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186
B. Traitement des IGH compliquées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187
C. Traitement préventif (++). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188
VI. Complications à moyen et long termes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188

17 Item 287 – UE 9 – Facteurs de risque, prévention et dépistage des cancers. . . . . . . 191


I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 191
A. Épidémiologie du cancer en France – Projection 2015 (données INCa 2016). . . . . . . . . . . . . . . 191
B. Les différents types de prévention. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192
II. Facteurs de risque et prévention primaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192
A. Définitions des facteurs de risque. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192
B. Les différents facteurs de risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192
C. Facteurs de risque des cancers du sein, de l'ovaire, du col utérin et de l'endomètre. . . . . . . . . . 196
III. Dépistage et prévention secondaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 198
A. Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 198
B. Critères nécessaires pour la mise en œuvre d'un dépistage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 199
C. Les dépistages en France . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 199
IV. Annexe 1 – Plans nationaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203
Plans nationaux santé environnement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203
Plan Ecophyto 2018. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203
Table des matières

Plan cancer 2014–2019. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203


Plan d'urgence pour la qualité de l'air (PUQA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203
Plan santé au travail 2016–2020. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203
Plan national sur les résidus de médicaments dans l'eau (PNRM) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 204
Plan particules. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 204
Plans radon. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 204
V. Annexe 2 – Liste des cancers professionnels reconnus en France
et agent(s) ou source(s) d'exposition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 205

18 
Item 297 – UE 9 – Lésions bénignes du col utérin. Tumeurs du col utérin,
tumeurs du corps utérin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 207
Lésions bénignes du col utérin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 207
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 208
A. Anatomie physiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 208
B. Physiopathologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 209
II. Dépistage des lésions précancéreuses. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 210
A. Le frottis : un outil de dépistage efficace. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 210
B. Mise en œuvre optimale du frottis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 210
C. Test HPV. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 212
III. Diagnostic des lésions précancéreuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 213
A. Indications de la colposcopie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 213
B. Examen colposcopique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 213
IV. Traitement des lésions précancéreuses. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 215
A. Modalités du traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 215
B. Résultats du traitement et modalités de la surveillance post-thérapeutique. . . . . . . . . . . . . . . . 216
C. Vaccination prophylactique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216
V. Autres lésions bénignes du col . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217
A. Cervicites. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217
B. Polypes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217
XI
C. Fibromes ou polypes fibreux accouchés par le col. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217
D. Endométriose cervicale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 218
Tumeurs malignes du col utérin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
A. Généralités. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
B. Types histologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
C. Principaux facteurs de risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
II. Circonstances de découverte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
A. Dépistage systématique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221
B. Signes cliniques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221
C. Formes évoluées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221
III. Données de l'examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222
A. Interrogatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222
B. Examen au spéculum puis toucher vaginal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222
IV. Confirmation du diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 223
V. Bilan d'extension . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 223
A. Examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 223
B. Examens complémentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 223
VI. Principaux facteurs pronostiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 225
VII. Principes thérapeutiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 226
A. Méthodes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 226
B. Indications thérapeutiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 227
VIII. Principales complications. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 227
IX. Modalités de surveillance clinique et paraclinique d'une patiente traitée
pour un cancer du col utérin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 227
Tumeurs du corps utérin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229
A. Généralités. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229
B. Types histologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229
C. Principaux facteurs de risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229
Table des matières

II. Circonstances de découverte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 231


A. Signes cliniques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 231
B. Découverte fortuite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 232
III. Données de l'examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 232
A. Interrogatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 232
B. Examen physique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 233
IV. Confirmation du diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 233
A. Données de l'imagerie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 233
B. Analyses histologiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 234
V. Bilan d'extension . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 235
A. Évaluation de l'état général . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 235
B. IRM abdominopelvienne. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 235
C. Recherche des métastases . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 235
VI. Facteurs pronostiques du cancer de l'endomètre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 235
A. Stade FIGO. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236
B. Grade de différenciation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236
C. Type histologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236
VII. Principes thérapeutiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 237
VIII. Surveillance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 237

19 Item 303 – UE 9 – Diagnostiquer une tumeur de l'ovaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 239


I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 239
A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 239
B. Épidémiologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 239
C. Anatomie pathologique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 240
D. Physiopathologie et facteurs de risque des cancers de l'ovaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 242
II. Tumeurs ovariennes bénignes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
A. Interrogatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
B. Examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
XII
C. Examens complémentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244
D. Prise en charge. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244
E. Complications. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 245
III. Cancer de l'ovaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 246
A. Bilan clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 246
B. Bilan paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 246
C. Principes de la prise en charge du cancer de l'ovaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 247
D. Pronostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 250
E. Surveillance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 250
IV. Tumeurs ovariennes borderline ou frontières. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 250
V. Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 251

20 Item 309 – UE 9 – Tumeurs du sein. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 253


I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 253
A. Anatomie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 253
B. Épidémiologie (données de l'INCa) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 254
II. Prise en charge diagnostique devant une tumeur du sein . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 254
A. Examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 254
B. Examens paracliniques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 257
III. Prise en charge d'une tumeur bénigne. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 262
IV. Prise en charge d'un cancer du sein . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 263
A. Examen clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 264
B. Examens paracliniques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 265
C. Prise en charge des carcinomes intracanalaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 267
D. Prise en charge des carcinomes infiltrants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 268

II Connaissances Obstétrique
21 Item 21 – UE 2 – Examen prénuptial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 279
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 279
II. Quelles patientes sont concernées, et quand ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 279
Table des matières

III. Quelles informations recueillir ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 280


IV. Quel examen clinique réaliser ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 281
V. Quels examens biologiques proposer ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 281
VI. À quels traitements médicamenteux être attentif ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 282
VII. Quelles vaccinations proposer ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 282
A. Tétanos-diphtérie-poliomyélite-coqueluche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 282
B. Rubéole . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 282
C. Varicelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 282
D. Grippe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283
VIII. Quelle prévention proposer pour les risques liés au mode
de vie et à l'environnement ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283
A. Alimentation et activité physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283
B. Automédication. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283
C. Alcool . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283
D. Tabac (consommation active et passive). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283
E. Cannabis et autres substances psychoactives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283
F. Pénibilité du travail, risques professionnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 284
G. Situations de précarité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 284
H. Autres risques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 284
IX. Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 284

22 Item 22 – UE 2 – Grossesse normale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 287


I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 287
II. Modifications physiologiques au cours de la grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 288
A. Modifications respiratoires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 288
B. Modifications cardiovasculaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 288
C. Modifications des constantes biologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 289
D. Modifications de l'appareil urinaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 290
E. Modifications de l'appareil digestif et du système endocrinien. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 290
F. Modifications du métabolisme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 290 XIII
G. Modifications des autres systèmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 291
III. Surveillance de la grossesse normale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 291
A. Avant la conception. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 291
B. Suivi prénatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 292
IV. Choix de la maternité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 293
V. Diagnostic de grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 293
VI. Détermination du terme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 294
VII. Évaluation des facteurs de risque. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 294
A. Interrogatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 294
B. Prescription des examens complémentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 295
VIII. Déclaration de la grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 298
IX. Le projet de naissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 299
X. Consultations du 2e trimestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 299
A. Consultation du 4e mois (16–20 SA). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 300
B. Consultation du 5e mois (20–24 SA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 300
C. Consultation du 6e mois (24–28 SA) – 4e examen prénatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 300
XI. Consultations du 3e trimestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 301
A. Consultation du 7e mois (28–32 SA) – 5e examen prénatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 301
B. Consultation du 8e mois (32–37 SA) – 6e examen prénatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 302
C. Consultation du 9e mois (37–42 SA) – 7e examen prénatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 302
XII. Examen postnatal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 303
XIII. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 303

23 Item 23 – UE 2 – Principales complications de la grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . 307


Hémorragie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 308
I. Hémorragies génitales du 1er trimestre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 308
A. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 308
B. Conduite de l'examen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 308
C. Orientation diagnostique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 308
D. Conduite à tenir en fonction de l'étiologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 310
Table des matières

II. Hémorragies génitales du 3e trimestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 312


A. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 312
B. Conduite de l'examen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 312
C. Orientation diagnostique et prise en charge immédiate . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 312
D. Conduite à tenir immédiate. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 313
E. Conduite à tenir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 314
III. Hémorragie du post-partum. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 315
A. Gestes obstétricaux immédiats. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 317
B. Autres mesures. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 317
C. En cas d'échec . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 317
D. Prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 318
Hypertension artérielle gravidique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 319
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 319
II. Éléments de diagnostic. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 319
III. Évolutions des différents types d'HTA au cours de la grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 320
A. En cas d'HTA chronique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 320
B. En cas d'HTA gravidique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 320
C. En cas de prééclampsie surajoutée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 320
IV. Objectifs de l'examen d'une femme enceinte hypertendue. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 321
V. Diagnostic clinique de sévérité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 321
VI. Explorations à réaliser. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 321
A. Sur le plan maternel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 321
B. Sur le plan fœtal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 322
VII. Principes de la prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 322
VIII. Modalités du traitement médical antihypertenseur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 323
IX. Conduite à tenir après l'accouchement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 323
X. Mesures préventives pour les grossesses suivantes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 324
XI. Complications à long terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 324
XIV Menace d'accouchement prématuré. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 326
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 326
II. Étiologies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 326
A. Facteurs de risques maternels. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 326
B. Causes infectieuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 327
C. Causes obstétricales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 327
III. Diagnostic. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 327
A. Diagnostic clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 327
B. Examen gynécologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 327
C. Facteurs de gravité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 328
IV. Examens paracliniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 328
V. Échographie obstétricale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 328
VI. Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 328
A. Versant maternel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 328
B. Versant fœtal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 329
C. Surveillance de l'efficacité des traitements et mesures associées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 330
Fièvre pendant la grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 331
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 331
II. Conduite de l'examen. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 331
A. Interrogatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 332
B. Examen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 332
III. Orientation diagnostique et prise en charge immédiate . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 332
IV. Prise en charge en milieu hospitalier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 333
A. Pyélonéphrite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 334
B. Chorioamniotite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 334
C. Listériose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 334
D. Hépatite virale aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 335
E. Rubéole, toxoplasmose, herpès, syphilis, CMV, VIH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 335

24 
Item 25 – UE 2 – Douleur abdominale aiguë de la femme enceinte. . . . . . . . . . 337
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 337
II. Les grandes étiologies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 337
Table des matières

III. Prise en charge des situations d'urgence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 343


A. En urgence, rechercher les étiologies mettant
en jeu le pronostic vital du fœtus ou de la mère. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 344
B. Une fois les urgences extrêmes éliminées,
examens à la recherche des autres étiologies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 344
C. En l'absence d'étiologie identifiée au terme de ce bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 345

25 
Item 26 – UE 2 – Prévention des risques fœtaux :
infections, médicaments, toxiques, irradiation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 347
Infections bactériennes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 348
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 348
II. Infections par voie ascendante vaginale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 348
A. Circonstances de dépistage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 348
B. Résultats des prélèvements et traitement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 349
III. Streptocoque du groupe B au cours de la grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 349
A. Diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 350
B. Traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 350
IV. Infections transmises par voie transplacentaire hématogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 350
A. Syphilis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 350
B. Listériose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 352
V. Tuberculose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 354
Infections virales et toxoplasmose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
I. Toxoplasmose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
A. Fréquence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
B. Transmission materno-fœtale et conséquences fœtales et infantiles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
C. Prévention primaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
D. Prévention secondaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
II. Rubéole. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 357
A. Conséquences . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 357 XV
B. Prévention primaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 358
C. Prévention secondaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 358
III. Varicelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 359
A. Prévention primaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 359
B. Prévention secondaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 360
IV. Cytomégalovirus. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 361
A. Principaux facteurs de contamination maternelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 361
B. Transmission materno-fœtale et ses conséquences. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 361
C. Prévention primaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 362
D. Prévention secondaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 363
V. Parvovirus B19. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 364
VI. Herpès. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 365
A. Prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 365
B. Conduite à tenir au moment de l'accouchement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 365
VII. Hépatites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 366
A. Hépatite B . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 366
B. Hépatite C . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 367
VIII. VIH. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 367
A. Dépistage des mères contaminées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 368
B. Risque de transmission materno-fœtale (TMF) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 368
C. Prévention de la transmission materno-fœtale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 368
IX. Grippe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 370
A. Prévention primaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 370
B. Prévention secondaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 370
Allo-immunisation antiérythrocytaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 372
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 372
II. Physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 372
III. Diagnostic. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 373
A. Diagnostic de l'allo-immunisation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 373
B. Évaluation du risque fœtal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 373
C. Diagnostic de l'anémie fœtale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 374
Table des matières

IV. Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 376


A. Prise en charge de l'anémie fœtale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 376
B. Prise en charge du nouveau-né. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 376
V. Prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 376
A. Prévention anténatale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 376
B. Après l'accouchement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 377
Médicaments et grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 379
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 379
II. Que faire en cas d'exposition ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 380
III. Médicaments à risque. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 381
A. Risque tératogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 381
B. Risque fœtal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 383
C. Risque néonatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 383
IV. Vaccins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 384
Tabac et grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 386
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 386
II. Physiopathologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 386
III. Conséquences d'une intoxication tabagique pendant la grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 386
A. Au 1er trimestre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 386
B. Aux 2e et 3e trimestres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 387
IV. Prise en charge des femmes enceintes fumeuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 387
V. Prévention des rechutes après l'accouchement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 388
Alcool et grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 389
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 389
II. Conséquences d'une alcoolisation pendant
la grossesse : SAF et ETCAF. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 389
III. Mécanisme – Relation dose-effet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 390
IV. Prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 391
XVI V. Prise en charge. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 392
Addictologie et grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 393
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 393
II. Produits en cause et leurs principaux effets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 393
A. Tabac. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 394
B. Alcool. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 394
C. Cannabis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 395
D. Cocaïne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 396
E. Opiacés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 397
F. Autres produits illicites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 399
G. Médicaments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 399
III. Repérage des conduites addictives et des facteurs de risques associés. . . . . . . . . . . . . . . . . 400
IV. Aspects essentiels de la prise en charge obstétricale et addictologique. . . . . . . . . . . . . . . . 401
A. Principes de la prise en charge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 401
B. Conduite du premier entretien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 402
C. Prise en charge d'une addiction aux opiacés pendant la grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 402
D. Prise en charge des autres addictions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 403
E. Pour conclure : accompagner et soutenir. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 403
V. Accueil de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 404
A. Syndrome de sevrage néonatal après exposition in utero aux opiacés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 404
B. Allaitement maternel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 406
VI. Conséquences à long terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 406
Irradiation et grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 407
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 407
II. Notions générales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 408
A. Unités utilisées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 408
B. Mécanismes d'action des rayonnements ionisants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 408
C. Dose délivrée à l'utérus (dose gonades). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 409
D. Irradiation naturelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 409
E. Les trois différents types d'irradiation médicale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 409
III. Conséquences fœtales des irradiations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 410
Table des matières

IV. Situations particulières. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 410


A. Scintigraphies, médecine nucléaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 410
B. Radiothérapie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 411
V. En pratique, ce que l'on peut retenir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 411
A. Découverte d'une grossesse après un examen de radiodiagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 411
B. Examen de radiodiagnostic chez une femme enceinte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 411
C. Femme enceinte se tenant occasionnellement à proximité d'un patient bénéficiant
d'un examen radiologique (enfant, etc.) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 412
D. Circonstances inhabituelles (nombre de clichés, durée de scopie, etc.). . . . . . . . . . . . . . . . . . . 412

26 Item 27 – UE 2 – Infection urinaire et grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 413


I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 413
II. Étiopathogénie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 413
A. Facteurs favorisants. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 413
B. Germes incriminés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414
III. Colonisation urinaire gravidique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414
A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414
B. Recherche de facteurs de risques d'infection urinaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414
C. Principe du dépistage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 415
D. Traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 415
IV. Cystite aiguë gravidique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 416
A. Clinique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 416
B. Diagnostic biologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 416
C. Traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 417
V. Pyélonéphrite aiguë gravidique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 418
A. Clinique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 418
B. Diagnostic biologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 418
C. Traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 418

27 
Item 29 – UE 2 – Prématurité et retard de croissance intra-utérin : XVII
facteurs de risque et prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 423
I. Prématurité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 423
A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 423
B. Épidémiologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 423
C. Prématurité spontanée et induite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 424
D. Physiopathologie et causes de la prématurité spontanée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 425
E. Prévention. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 427
II. Retard de croissance intra-utérin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 428
A. Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 428
B. Dépistage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 429
C. Causes et facteurs de risque. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 431
D. Évaluation du bien-être fœtal devant un RCIU. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 433
E. Prévention. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 433
III. Annexe – Vaginose bactérienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 435

28 
Item 30 – UE 2 – Accouchement normal en présentation du sommet.
Suites de couches normales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 437
I. Rappels. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 437
A. Bassin maternel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 438
B. Mobile fœtal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 440
C. Utérus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 441
D. Contraction utérine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 441
II. Accouchement normal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 443
A. Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 443
B. Première étape du travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 443
C. Deuxième étape du travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 446
D. Troisième étape du travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 454
E. Quatrième étape du travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 456
III. Suites de couches normales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 456
A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 457
B. Physiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 457
C. Conduite à tenir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 457
Table des matières

29 Item 32 – UE 2 – Allaitement maternel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 465


I. Physiologie de la lactation humaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 465
A. Transformation mammaire pendant la grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 467
B. Lactation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 467
II. Bénéfices de l'allaitement maternel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 467
III. Prévalence et facteurs influençant l'allaitement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 469
IV. Conseils pour l'allaitement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 469
V. Inhibition de la lactation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 470
VI. Complications de l'allaitement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 470
A. Engorgement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 470
B. Crevasses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 471
C. Mastite. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 471
D. Abcès du sein lactant. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 472
E. Insuffisance de lait. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 473
VII. Médicaments, toxiques et infections. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 473
A. Médicaments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 473
B. Toxiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 473
C. Infections. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 481

30 
Item 33 – UE 2 – Suites de couches pathologiques :
pathologie maternelle dans les 40 jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 485
I. Avertissement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 485
II. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 485
III.Éléments cliniques de surveillance pendant les suites de couches. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 486
IV. Hyperthermie pendant les suites de couches et signes cliniques d'orientation. . . . . . . . . . . 486
A. Endométrite aiguë du post-partum. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 486
B. Pyélonéphrite aiguë. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 487
C. Thrombophlébite des membres inférieurs ou pelvienne. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 487
XVIII D. Complications de l'allaitement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 487
E. Anomalie de la cicatrisation (infection du site opératoire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 489
V. Hémorragie génitale pendant les suites de couches et signes
cliniques d'orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 489
A. Atonie utérine isolée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 489
B. Endométrite hémorragique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 490
C. Rétention placentaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 490
D. « Retour de couches hémorragique ». . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 490
E. Autres causes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 491
VI. Thrombose veineuse dans le post-partum et signes cliniques d'orientation. . . . . . . . . . . . . 491
A. Thrombose veineuse superficielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 491
B. Thrombose veineuse profonde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 491
C. Thrombose veineuse pelvienne. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 492
D. Thrombophlébite cérébrale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 492

31 
Item 43 – UE 2 – Problèmes posés par les maladies génétiques
Item 54 – UE 3 – L'enfant handicapé : orientation et prise en charge. . . . . . . . 495
Trisomie 21 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 495
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 495
II. Diagnostiquer une trisomie 21, en connaître l'évolution naturelle
et les principales complications. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 496
A. Diagnostiquer une trisomie 21. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 496
B. Évolution naturelle et complications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 501
III. Prise en charge d'un enfant atteint de trisomie 21. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 502
A. Problèmes liés à la maladie, retentissement familial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 502
B. Principes de prise en charge. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 502
Mucoviscidose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 506
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 506
II. Diagnostiquer une mucoviscidose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 506
A. Situations diagnostiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 506
B. Confirmation diagnostique et évaluation du retentissement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 510
Table des matières

III. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi de l'enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . 511


A. Prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 511
B. Planification du suivi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 514
Syndrome de l'X fragile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 516
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 516
A. Données épidémiologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 516
B. Données génétiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 516
II. Diagnostiquer un syndrome de l'X fragile et assurer la prise en charge de l'enfant. . . . . . . 517
A. Diagnostic clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 517
B. Diagnostic clinique d'une prémutation dans le gène FMR1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 518
C. Diagnostic paraclinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 518
D. Prise en charge. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 519
III. Conseil génétique et diagnostic prénatal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 519
A. Conseil génétique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 519
B. Diagnostic prénatal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 519

32 Item 67 – UE 3 – Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum. . . . . . . . 521


I. Principaux troubles psychiques de la grossesse et du post-partum. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 521
A. Pendant la grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 521
B. Après l'accouchement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 522
II. Facteurs de risque. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 524
III. Conduite à tenir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 525

33 
Item 245 – EU 8 – Diabète sucré de types 1 et 2
préexistants et grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 527
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 527
II. Diabète de type 1. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 527
A. Complications. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 527
B. Principes du traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 530 XIX
III. Diabète de type 2. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 532

34 Item 252 – UE 8 – Nutrition et grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 535


Diabète gestationnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 535
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 535
II. Définition et épidémiologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 535
A. Définition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 536
B. Facteurs de risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 536
C. Prévalence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 537
III. Complications. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 537
A. Conséquences maternelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 537
B. Conséquences pour l'enfant. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 537
IV. Dépistage et diagnostic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 539
A. Justification du dépistage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 539
B. Qui dépister ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 539
C. Quand et comment dépister ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 540
D. Critères diagnostiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 540
V. Principes du traitement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 540
A. Traitement du diabète gestationnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 540
B. Surveillance obstétricale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 541
C. Accouchement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 541
D. Surveillance néonatale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 541
VI. Post-partum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 542
Grossesse normale. Besoins nutritionnels d'une femme enceinte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 543
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 543
II. Recommandations alimentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 543
A. Apports hydriques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 543
B. Alimentation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 544
C. Hygiène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 544
III. Vitamines et sels minéraux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 544
Table des matières

35 Item 339 – UE 11 – Prise en charge d'une patiente atteinte de prééclampsie. . . . . . . 547


I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 547
II. Facteurs de risque. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 548
III. Diagnostic. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 548
IV. Évolution naturelle de la prééclampsie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 548
V. Bilan d'une patiente prééclamptique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 549
A. Bilan clinique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 549
B. Bilan biologique complet à la recherche des complications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 550
C. Bilan d'imagerie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 550
D. Au terme du bilan : recherche de critères de sévérité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 550
E. Quand décider de provoquer l'accouchement ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 551
VI. Principes de la prise en charge thérapeutique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 551
A. En cas de prééclampsie sévère, sans critère d'urgence vitale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 551
B. En cas d'éclampsie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552
C. En cas de prééclampsie modérée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 553
VII. Après l'accouchement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 553
A. Post-partum immédiat. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 553
B. Consultation postnatale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 553
C. Pour une future grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 554
36 
Item 28 – UE 2 – Connaître les principaux risques professionnels
pour la maternité, liés au travail de la mère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 555
I. Pour comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 555
II. Risques professionnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 555
A. Risques chimiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 555
B. Risques du travail physique, de la posture, des contraintes thermiques, des vibrations et du bruit . . . . . . 556
C. Risques des champs électromagnétiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 557
D. Risques des rayonnements ionisants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 557
XX E. Risques biologiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 557
F. Risques organisationnels et psychosociaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 558
G. Professions pour lesquelles les risques pour l'enfant sont décrits ou discutés dans la littérature. . . . . . . 558
III. Évaluation des risques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 559
A. Identifier les dangers. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 559
B. Évaluer le degré d'exposition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 559
C. Connaître la relation dose-effet et le seuil de dangerosité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 560
IV. Réglementation relative à la grossesse au travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 560
A. Protection du contrat de travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 560
B. Protection de l'état de santé de la salariée enceinte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 561
C. Protection contre les risques particuliers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 561
D. Actions de prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 562
E. Droits aux congés et à l'assurance maternité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 563
F. Droit au retour dans l'entreprise. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 563
V. Annexe – Classifications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 565

III Entraînement
37 Cas cliniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 571
Énoncés et questions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 571
Réponses. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 575

38 Dossiers progressifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 585


Énoncés et questions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 585
Réponses. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 622

39 QI. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 695
Questions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 695
Réponses. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 719

Index. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 727
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XXI
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Comité de rédaction
de la 4e édition
Comité de coordination
Body Gilles, CHU de Tours.
Deffieux Xavier, hôpital Antoine-Béclère, Clamart.
Deruelle Philippe, Hôpitaux Universitaires de Strasbourg.
Graesslin Olivier, hôpital Maison Blanche, CHU de Reims.
Huissoud Cyril, hôpital de la Croix Rousse, Lyon.
Riethmuller Didier, hôpital Jean Minjoz, CHU de Besançon.
Robin Geoffroy, CHU de Lille.

Auteurs
Boulot Pierre, CHU de Montpellier.
Bourret Antoine, hôpital Cochin, Paris.
Bretelle Florence, CHU de Marseille.
Carcopino Xavier, CHU de Marseille.
Ceccaldi Pierre-François, hôpital Beaujon, Paris.
Collet Michel, CHRU de Brest.
XXIII
Cortet Marion, hôpital de la Croix Rousse, Lyon.
Courbière Blandine, CHU de Marseille.
David Brigitte, hôpital de la Croix Rousse, Lyon.
Daraï Emile, hôpital Tenon, Paris.
Dubertret Caroline, hôpital Louis Mourier, Paris.
Duvernay Nathalie, hôpital de la Croix Rousse, Lyon.
Fauvet Raphaëlle, CHU de Caen.
Gabriel René, CHU de Reims.
Grange Gilles, maternité Port Royal, Paris.
Houfflin-Debarge Véronique, CHU de Lille.
Judlin Philippe, CHU de Nancy.
Kayem Gilles, hôpital Trousseau, Paris.
Lepercq Jacques, maternité Port Royal, Paris.
Maurice Odile, CHU de Reims.
Mottet Nicolas, hôpital Jean Minjoz, CHU de Besançon.
Nocart Nicolas, CHU de Bordeaux.
Odent Sylvie, CHU de Rennes.
Parant Olivier, CHU de Toulouse.
Philip Charles-André, hôpital de la Croix Rousse, Lyon.
Philippe Henri-Jean, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, Paris.
Piccone Olivier, hôpital Louis Mourier, Paris.
Rabischong Benoit, CHU de Clermont-Ferrand.
Comité de rédaction de la 4e édition

Rajeev Ramanah, hôpital Jean Minjoz, CHU de Besançon.


Sanlaville Damien, hôpital femme mère enfant, Lyon.
Senthiles Loïc, CHU de Bordeaux.
Subtil Damien, CHRU de Lille.
Verspick Éric, CHU de Rouen.

XXIV
Avant-propos
La réforme de l'ECN avec ses modifications de programme et des modalités d'enseignement néces-
sitait de proposer aux étudiants du deuxième cycle des études médicales une nouvelle édition de
l'ouvrage de référence en gynécologie-obstétrique.
Cet ouvrage a été préparé par un groupe d'enseignants de la conférence des enseignants de
Gynécologie-Obstétrique, sous l'autorité du Collège National des Gynécologues et Obstétriciens
(CNGOF) et de la sous-section du Conseil National des Universités (CNU).
Il est la référence pour guider les étudiants dans l'apprentissage de la discipline pour la préparation
l'évaluation de l'ECN. Vous y retrouverez, une organisation identique à la précédente édition avec
pour chaque item du programme des ECN, le cours traité en trois parties : objectifs pédagogiques ;
cours divisé en chapitres et points clés. L'accent a été mis sur une écriture plus pédagogique et plus
aisée pour l'apprentissage. Les questions indifférenciées et les dossiers progressifs visent à préparer
spécifiquement aux modalités d'évaluation telles que proposées par l'i-ECN.
Les ressources pédagogiques s'appuient sur les recommandations pour la pratique clinique du CNGOF
mais sont spécifiquement adaptées au niveau requis pour une étudiant du 2ème cycle selon l'esprit de
la réforme des études médicales :
– « Le deuxième cycle a pour objectif l'acquisition des compétences cliniques et thérapeutiques et de
capacités d'adaptation permettant aux étudiants d'exercer les fonctions hospitalières du troisième
cycle… »
– « les modalités d'enseignement doivent favoriser le développement de l'auto-apprentissage contrôlé
et de l'interdisciplinarité. »
– « Les enseignements ne doivent pas chercher à couvrir l'ensemble des champs disciplinaires, mais XXV
doivent considérer comme essentiel ce qui est fréquent ou grave… »
Nous remercions particulièrement les coordonnateurs ainsi que tous les rédacteurs et relecteurs pour
la réalisation de cet ouvrage particulièrement utile.
I. Nisand
Président du CNGOF (Collège National des Gynécologues-Obstétriciens Français)

L. Boubli
Président de la sous-section de Gynécologie-Obstétrique du CNU (Conseil National des Universités)
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Liste des abréviations
Ac Anticorps
ACM Artère cérébrale moyenne
ACR American College of Radiology
ACTH Adrenocorticotropic Hormone
ADN Acide désoxyribonucléique
ADNlc Acide désoxyribonucléique libre circulant
ADO Antidiabétique oral
AEEH Allocation d'éducation de l'enfant handicapé
AEG Altération de l'état général
AES Allocation d'éducation spéciale
AFE Augmentation du flux expiratoire
AFH Anovulation hypothalamique fonctionnelle
AFP Alphafœtoprotéine
AFS American Fertility Society
AG Âge gestationnel
Ag Antigène
AGC Atypical Glandular Cell
AINS Anti-inflammatoire non stéroïdien
AIS Adénocarcinome in situ
AJPP Allocation journalière de présence parentale
ALAT Alanine-aminotransférase XXVII
ALP Anesthésie locale paracervicale
AMH Antimullerian Hormone
AMM Autorisation de mise sur le marché
AMP Assistance médicale à la procréation
Anaes Agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé
Anses Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail
ANSM Agence nationale de sécurité du médicament
AP Accouchement prématuré
APO Administration prophylactique d'oxytocine
ARA 2 Antagoniste de l'angiotensine 2
ARNm Acide ribonucléique messager
ARS Agence régionale de santé
ARV Antirétroviral
ASA American Society of Anesthesiologists
ASAT Aspartate-aminotransférase
ASC-H Atypical Squamous Cell evocating High grade lesion
ASC-US Atypical Squamous Cell of Unknowned Significance
ATCD Antécédent
ATIII Antithrombine III
ATO Abcès tubo-ovarien
ATU Autorisation temporaire d'utilisation
AVC Accident vasculaire cérébral
AVK Antivitamine K
AVS Auxiliaire de vie scolaire
BCG Bacille de Calmette et Guérin
BDC Bruit du cœur fœtal
Liste des abréviations

BEH Bulletin épidémiologique hebdomadaire


BIG Bulletin d'interruption de grossesse
BIP Bipariétal (diamètre)
BU Bandelette urinaire
C3G Céphalosporine de 3e génération
CAF Caisse d'allocation familiale
CAMSP Centre d'action médicosociale précoce
CAV Canal atrioventriculaire
CB Curetage biopsique
CCMH Concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine
CCNE Comité consultatif national d'éthique
CDAPH Commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées
CDES Commission départementale d'éducation spéciale
CFTR Cystic Fibrosis Transmembrane conductance Regulator
CGH Comparative Genomic Hybridization
CHIP Chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale
CIA Communication interauriculaire
CIM Classification internationale des maladies
CIN Néoplasie intra-épithéliale cervicale
CIRC Centre international de recherche sur le cancer
CIV Communication interventriculaire
CIVD Coagulation intravasculaire disséminée
CMIA Chemiluminescent Magnetic microparticle Immunoassay
CMR Cancérogène, mutagène et reprotoxique
XXVIII CMV Cytomégalovirus
CNGOF Collège national des gynécologues et obstétriciens français
COP Contraception œstroprogestative
COTOREP Commission technique d'orientation et de reclassement professionnel
CPAM Caisse primaire d'assurance-maladie
CPDPN Centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal
CRAT Centre de référence sur les agents tératogènes
CRCM Centre de ressources et de compétences de la mucoviscidose
CRPV Centre régional de pharmacovigilance
CRP C Reactive Protein
CT Curiethérapie
CU Contraction utérine
CVF Capacité vitale forcée
DCI Dénomination commune internationale
DCIR Données de consommation inter-régimes
DES Diéthylstilbestrol
DG Diabète gestationnel
DI Détroit inférieur
DIAPPERS Delirium, Infection – urinary tract infections, Atrophic urethritis and vaginitis, Pharmaceutics,
Psychiatric disorders, Excessive urine output, Restricted mobility, Stool impaction
DIU Dispositif intra-utérin
DM Détroit moyen
DMO Densité minérale osseuse
DOCCU Dépistage organisé du cancer du col utérin
DPA Douleur pelvienne aiguë
DPI Diagnostic préimplantatoire
DPN Diagnostic prénatal
Liste des abréviations

DPNI Diagnostic prénatal non invasif


DREES Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques
DROM Départements et régions d'outre-mer
DS Détroit supérieur
DT2 Diabète de type 2
DTCP Diphtérie, tétanos, coqueluche, poliomyélite
E2 Œstradiol
ECBC Examen cytobactériologique des crachats
ECBU Examen cytobactériologique des urines
ECBV Examen cytobactériologique du vagin
ECG Électrocardiogramme
EE Éthinylœstradiol
EFR Épreuve fonctionnelle respiratoire
EI Événement indésirable
EIA Enzyme Immunoassay
ELISA Enzyme Linked Immunosorbent Assay
EPF Estimation du poids fœtal
EPP Entretien prénatal précoce
ERCF Enregistrement du rythme cardiaque fœtal
ESS Équipe de suivi de scolarité
ETCAF Ensemble des troubles causés par l'alcoolisation fœtale
EVA Échelle visuelle analogique
5-FU 5-fluoro-uracile
FC Fréquence cardiaque
FCS Fausse couche spontanée XXIX
FCT Fausse couche tardive
FCU Frottis cervico-utérin
FCV Frottis cervico-vaginal
FDG Fluorodésoxyglucose
FDR Facteur de risque
FEC 5-fluoro-uracile, épirubicine, cyclophosphamide
FIGO Fédération internationale des gynécologues obstétriciens
FISH Fluorescence In Situ Hybridization
FIV Fécondation in vitro
FMR1 Fragile X Mental Retardation 1
FR Fréquence respiratoire
FSH Follicle Stimulating Hormone
FTA Fluorescent Treponema Antibody
FXTAS Fragile X Tremor Ataxia Syndrome
GAJ Glycémie à jeun
GB Globule blanc
GEU Grossesse extra-utérine
GH Growth Hormone
GHB Gammahydroxybutyrate
GLI Grossesse de localisation indéterminée
GnRH Gonadotropin Releasing Hormone
HAS Haute autorité de santé
HAV Hyperactivité vésicale
Hb Hémoglobine
HbA1c Hémoglobine glyquée
HBPM Héparine de bas poids moléculaire
Liste des abréviations 

hCG Hormone chorionique gonadotrope


HCSP Haut conseil pour la santé publique
HDL High Density Lipoprotein
HE4 Human Epididymal Protein 4
HELLP Hemolysis, Elevated Liver enzymes, Low Platelets
HGPO Hyperglycémie provoquée par voie orale
HHO Hypothalamo-hypophyso-ovarien (axe)
HI Haemophilus influenzae
HIFU High Intensity Focused Ultrasound
HMG Human Menopausal Gonadotrophin
HNPCC Hereditary Non-Polyposis Colorectal Cancer ou cancer colorectal héréditaire sanspolypose
HPV Human Papillomavirus
HRP Hématome rétroplacentaire
HSDD Hypoactive Sexual Desire Disorder
HSH Homme ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes
HSIL High grade Superficial Intra-epthelial Lesion
HSO Hyperstimulation ovarienne
HSV Herpes Simplex Virus
Ht Hématocrite
HTA Hypertension artérielle
HTAg Hypertension artérielle gravidique
HTAP Hypertension artérielle pulmonaire
HTLV Human T-cell Lymphoma Virus
HU Hauteur utérine
XXX IA Insémination artificielle
IAC Insémination artificielle avec sperme du conjoint
IAD Insémination artificielle avec sperme de donneur
ICSI Intracytoplasmic Sperm Injection
IEC Inhibiteur de l'enzyme de conversion
Ig Immunoglobuline
IGF Insulin-like Growth Factor
IGFBP-1 Insulin-like Growth Factor-Binding Protein 1
IGH Infection génitale haute
IIC Insémination intra-cervicale
IIU Insémination intra-utérine
IM Intramusculaire
IMC Indice de masse corporelle
IME Institut médico-éducatif
IMG Interruption médicale de la grossesse
IMPro Institut médicoprofessionnel
IMSI ICSI avec spermatozoïde morphologiquement sélectionné
INCa Institut national du cancer
INTI Inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse
INR Intenational Normalized Ratio
IOM Institute of Medicine
IOP Insuffisance ovarienne prématurée
IOTA International Ovarian Tumor Analysis
IP Inhibiteur de protéase
IRA Insuffisance rénale aiguë
IRM Imagerie par résonance magnétique
IST Infection sexuellement transmissible
Liste des abréviations

IUE Incontinence urinaire à l'effort


IUM Incontinence urinaire mixte
IUTR Incontinence urinaire transitoire réversible
IUU Incontinence urinaire sur urgenturies
IV Intraveineux
IVD Intraveineux direct
IVG Interruption volontaire de la grossesse
LA Liquide amniotique
LARC Long-Acting Reversible Contraception
LCC Longueur craniocaudale
LCR Liquide céphalorachidien
LDH Lactate-déshydrogénase
LDL Low Density Lipoprotein
LES Lupus érythémateux systémique
LF Longueur fémorale
LH Luteinizing Hormone
LIEBG Lésion intra-épithéliale de bas grade
LIEHG Lésion intra-épithéliale de haut grade
LIN Lobular Intraepithelial Neoplasia
LSIL Low grade Superficial Intra-epthelial Lesion
MAF Mouvements actifs fœtaux
MAMA Méthode d'allaitement maternel et d'aménorrhée
MAPA Mesure ambulatoire de la pression artérielle
MAVU Malformation artérioveineuse utérine
MDPH Maison départementale des personnes handicapées XXXI
MFIU Mort fœtale in utero
MIV Maturation ovocytaire in vitro
MNI Mononucléose infectieuse
MoM Multiple de la médiane
MRKH Mayer-Rokitansky-Küster-Hauser (syndrome de)
MTEV Maladie thromboembolique veineuse
NFS Numération formule sanguine
NS Nœud sentinelle
OAP Œdème aigu pulmonaire
OATS Oligo-asthéno-tératospermie
OHP Hydroxyprogestérone
OIDA Occipito-iliaque droite antérieure
OIDP Occipito-iliaque droite postérieure
OIDT Occipito-iliaque droite transverse
OIGA Occipito-iliaque gauche antérieure
OIGP Occipito-iliaque gauche postérieure
OIGT Occipito-iliaque gauche transverse
OMS Organisation mondiale de la santé
OP Occipito-pubienne
OP Œstroprogestatif
OPN Os propres du nez
OR Odds Ratio
OS Occipito-sacrée
PA Périmètre abdominal
PA Pression artérielle
PA Pseudomonas aeruginosa
Liste des abréviations

PAD Pression artérielle diastolique


PAG Petit poids pour l'âge gestationnel
PAI Projet d'accueil individualisé
PAM Plaque aréolo-mamelonnaire
PAM Pression artérielle moyenne
PAPP-A Pregnancy Associated Plasma Protein A
PAS Pression artérielle systolique
PC Périmètre crânien
PCR Polymerase Chain Reaction
PCUM Pression de clôture urétrale maximale
PDE Poche des eaux
PE Pré-éclampsie
PEA Potentiels évoqués auditifs
PFC Plasma frais congelé
PG Prostaglandine
PMI Protection maternelle et infantile
PMSI Programme de médicalisation des systèmes d'information
PNA Pyélonéphrite aiguë
PNP Préparation à la naissance et à la parentalité
PO Per Os
POF Premature Ovarian Failure
PPS Projet personnalisé de scolarisation
PPS Projet personnalisé de soin
PRES Posterior Reversible Encephalopathy Syndrome
XXXII PRL Prolactine
PSV Pic systolique de vélocité
PV Prélèvement vaginal
QI Quotient intellectuel
RAI Recherche d'agglutinines irrégulières
RC Réponse complète
RCF Rythme cardiaque fœtal
RCIU Retard de croissance intra-utérin
RCP Réunion de concertation pluridisciplinaire
RH Récepteur hormonal
Rh Rhésus
ROMA Risk of Ovarian Maligancy Algorythm
ROR Rougeole, oreillons, rubéole
ROT Réflexe ostéotendineux
RPC Recommandation pour la pratique clinique
RPR Rapid Plasma Reagin
RR Risque relatif
RT Radiothérapie
RT-PCR Reverse Transcription Polymerase Chain Reaction
SA Semaine d'aménorrhée
SA Staphylococcus aureus
SAF Syndrome d'alcoolisation fœtale
SAPL Syndrome des antiphospholipides
SARM Staphylococcus aureus résistant à la méticilline
SASM Staphylococcus aureus sensible à la méticilline
SCC Squamous Cell Carcinoma
Sd Syndrome
Liste des abréviations

SDHEA Sulfate de déhydroépiandrostérone


SERM Selective Estrogen Receptor Modulator
SET Single Embryo Transfer
SF Sage-femme
SGB Streptocoque du groupe B
SNC Système nerveux central
SOPK Syndrome des ovaires polykystiques
SPM Syndrome prémenstruel
SPRM Selective Progesterone Receptor Modulator
SSNN Syndrome de sevrage néonatal
STIC Serous Tubal Intraepithelial Carcinoma
SV Sonde vésicale
T° Température
T21 Trisomie 21
T3 Tri-iodothyronine
T3l Tri-iodothyronine libre
T4 Tétra-iodothyronine
T4l Tétra-iodothyronine libre
TAP Thoraco-abdomino-pelvien
TBO Tumeur borderline ovarienne
TCA Temps de céphaline activée
TDM Tomodensitométrie
TEP Tomographie par émission de positons
TFO Tumeur frontière de l'ovaire
TG Triglycérides XXXIII
THC Tétrahydrocannabinol
THM Traitement hormonal de la ménopause
THS Traitement hormonal substitutif
TIR Trypsine immunoréactive
TMF Transmission materno-fœtale
TMS Trouble musculosquelettique
TNT Test non tréponémique
TP Taux de prothrombine
TPC Test post-coïtal
TPHA Treponema Pallidum Hémaglutination
TRAK Anticorps antirécepteur de la TSH
TSH Thyroid Stimulating Hormone
TSHus Thyroid Stimulating Hormone ultrasensible
TT Test tréponémique
TV Toucher vaginal
UFC Unité formant colonie
ULIS Unité localisée pour l'inclusion scolaire
UTDL Unité terminale ductolobulaire
VB Vaginose bactérienne
VCT Variabilité à court terme
VDRL Venereal Disease Research Laboratory
VEMS Volume expiratoire maximal par seconde
VGM Volume globulaire moyen
VHA Virus de l'hépatite A
VHB Virus de l'hépatite B
VHC Virus de l'hépatite C
Liste des abréviations

VIH Virus de l'immunodéficience humaine


VNI Ventilation non invasive
VPN Valeur prédictive négative
VPP Valeur prédictive positive
VPP Voie veineuse profonde
VS Vitesse de sédimentation
VTR Valeur toxicologique de référence

XXXIV
I
Connaissances
Gynécologie
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CHAPITRE

1
Item 8 – UE 1 – Éthique
médicale
Interruption volontaire de grossesse
I. Pour comprendre
II. Pour réfléchir
Diagnostic prénatal
I. Pour comprendre
II. Pour réfléchir
Interruption médicale de grossesse
I. Pour comprendre

Connaissances
II. Pour réfléchir
Diagnostic préimplantatoire
I. Pour comprendre
II. Pour réfléchir
Décisions difficiles aux limites de la viabilité
I. Pour comprendre
II. Pour réfléchir

Objectifs pédagogiques 3
Décrire les principes éthiques et l'argumentation d'une décision d'interruption volon-
taire de la grossesse (IVG) ou d'interruption médicale de grossesse (IMG).
Décrire les questions posées par le diagnostic prénatal et le diagnostic préimplanta-
toire (DPN/DPI).
Décrire les principes des décisions difficiles aux limites de la viabilité (LV) (dilemmes
éthiques et éléments de réflexion).

Interruption volontaire de grossesse

I. Pour comprendre
Chaque année en France, 14,9 interruptions volontaires de grossesse (IVG) pour 1 000 femmes
âgées de 15 à 49 ans sont pratiquées, ce qui représentait 218 000 actes en 2016. Ce chiffre
est stable depuis 10 ans.
En France, l'IVG est encadrée par la loi et régie par l'article L. 2212 du Code de la santé
publique.

Gynécologie – Obstétrique
© 2018, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés
Connaissances Gynécologie

Conditions de l'IVG en France


• Toute femme enceinte qui ne veut pas poursuivre sa grossesse et qui satisfait aux conditions suivantes
peut réaliser une IVG :
– grossesse de moins de 12 semaines (soit 14 semaines d'aménorrhée – SA) ;
– pour une patiente mineure, être accompagnée d'une personne majeure de son choix, à défaut d'un
titulaire de l'autorité parentale (il n'est pas nécessaire d'avoir une autorisation parentale).
• L'entrave à l'IVG est un délit passible de poursuites.
• Pour les femmes étrangères, l'IVG n'est soumise à aucune condition de durée et de régularité du séjour
sur le territoire.
• Les frais de prise en charge (soins, surveillance, hospitalisation) sont intégralement pris en charge par
l'assurance maladie.
• En pratique, l'IVG peut être faite préférentiellement par voie médicamenteuse avant 7 SA, voire 9 SA
si elle est pratiquée dans un établissement de santé. Au-delà de cette date, l'IVG doit être pratiquée en
établissement de santé, par voie chirurgicale par un médecin, mais peut également être réalisée par voie
médicamenteuse (choix des patientes).

II. Pour réfléchir


• L'IVG a été autorisée en France à partir du 17 janvier 1975 lors de la promulgation de la loi
Veil. Cette loi, qui a connu de nombreuses évolutions depuis 1975, visait non seulement
à satisfaire les revendications de maîtrise de la fertilité, mais également à mettre fin aux
4 conséquences catastrophiques en termes de morbidité et mortalité maternelles des avorte-
ments pratiqués hors cadre légal et médical.
• Dans de nombreux pays où l'IVG n'est toujours pas autorisée ou est difficilement acces-
sible, les conséquences des avortements clandestins pèsent lourdement sur la santé des
femmes.
• L'IVG est un droit de la femme. Désormais, elle peut être réalisée à sa demande sans avoir
à invoquer, comme c'était le cas avant 2014, une situation de « détresse ». Cette notion de
« détresse » a été supprimée en 2014 au nom de l'égalité entre l'homme et la femme.
• Face à l'évolution de la démographie médicale dans certaines régions, la question de l'accès
à l'IVG est au centre des préoccupations de tous les acteurs de soin.
• En dépit de voix qui s'opposaient à cette mesure arguant qu'elle contribuait à banaliser cet
acte, le délai de réflexion obligatoire d'une semaine a été supprimé en 2016, raccourcissant
ainsi le circuit pour les femmes.
• Un délai de 48 heures est obligatoire après un entretien psychosocial (pour toutes les
mineures et pour toutes les majeures qui réalisent cet entretien).
• Les médecins et sages-femmes sont dans l'obligation d'informer, d'accompagner et
d'orienter les femmes demandeuses, sans aucune discrimination.
• Un médecin ou sage-femme peut refuser de pratiquer une IVG, mais il ou elle est obligé(e)
d'orienter une femme demandeuse d'une IVG vers un organisme ou un confrère ou une
consœur pratiquant l'IVG.
• Une entrave à l'IVG est passible de poursuites judiciaires. Le délit d'entrave concerne éga-
lement la désinformation sur l'IVG, notamment via internet ou des numéros verts.
• Afin de garantir une information objective sur l'IVG et faciliter l'orientation des femmes, un
site web a été créé par le gouvernement français : http://ivg.gouv.fr/.
Item 8 – UE 1 – Éthique médicale 1

clés
Points

• L'IVG est accessible à toute femme enceinte d'au plus 12 semaines de grossesse sur le territoire français,
notamment aux mineurs sans nécessairement d'accord parental.
• L'entrave à l'IVG est un délit passible de poursuites.

Notions indispensables PCZ


• Les médecins et sages-femmes sont dans l'obligation d'informer, d'accompagner et d'orienter les femmes
demandeuses, sans aucune discrimination.

Réflexe transversalité
• Item 36 – Prise en charge de l'interruption volontaire de grossesse

Connaissances
Diagnostic prénatal

I. Pour comprendre
5
En France, la pratique du diagnostic prénatal (DPN) est régie par l'article L. 2131 du Code de
la santé publique (encadré 1.1).
Il existe une confusion terminologique autour du DPN qui regroupe aussi bien des pratiques
de dépistage prénatal que des pratiques de diagnostic anténatal. Il est nécessaire, pour com-
prendre, de bien distinguer les actes de dépistage (échographies fœtales des 1er, 2e ou 3e tri-
mestres, dosages des marqueurs sériques de la trisomie 21 qui, en association avec l'âge
maternel et éventuellement la mesure de la clarté nucale, permettent le calcul d'un risque,

Encadré 1.1
Extraits de l'article L. 2131 du Code de la santé publique
I. Le diagnostic prénatal s'entend des pratiques En cas de risque avéré, la femme enceinte et, si elle
médicales, y compris l'échographie obstétricale et le souhaite, l'autre membre du couple sont pris en
fœtale, ayant pour but de détecter in utero chez charge par un médecin et, le cas échéant ou à sa
l'embryon ou le fœtus une affection d'une particu- demande, orientés vers un centre pluridisciplinaire
lière gravité. de diagnostic prénatal. Ils reçoivent, sauf opposition
II. Toute femme enceinte reçoit, lors d'une consul- de leur part, des informations sur les caractéristiques
tation médicale, une information loyale, claire et de l'affection suspectée, les moyens de la détecter
adaptée à sa situation sur la possibilité de recourir, et les possibilités de prévention, de soin ou de prise
à sa demande, à des examens de biologie médicale en charge adaptée du fœtus ou de l'enfant né. Une
et d'imagerie permettant d'évaluer le risque que liste des associations spécialisées et agréées dans
l'embryon ou le fœtus présente une affection sus- l'accompagnement des patients atteints de l'affec-
ceptible de modifier le déroulement ou le suivi de tion suspectée et de leur famille leur est proposée.
sa grossesse. IV. En cas de risque avéré, de nouveaux examens
III. Le prescripteur, médecin ou sage-femme, com- de biologie médicale et d'imagerie à visée diagnos-
munique les résultats de ces examens à la femme tique peuvent être proposés par un médecin, le cas
enceinte et lui donne toute l'information nécessaire échéant membre d'un centre pluridisciplinaire de
à leur compréhension. diagnostic prénatal, au cours d'une consultation
adaptée à l'affection recherchée.
Connaissances Gynécologie

analyse de l'ADN fœtal dans le sang maternel) des actes diagnostiques (échographie fœtale
de 2e intention, IRM fœtale, caryotype fœtal, etc.). Si les actes de dépistage sont accessibles
à l'ensemble de la population des femmes enceintes, les actes diagnostiques ne sont réservés
qu'aux femmes dont le fœtus présente des caractéristiques qui le placent dans un groupe à
risque. La réalisation d'examens à visée diagnostique en population générale peut non seule-
ment s'avérer inutile et coûteuse, mais ces examens sont aussi susceptibles d'avoir des consé-
quences potentiellement iatrogènes.

II. Pour réfléchir


• Les examens de dépistage ou de diagnostic prénatal d'affections graves (anatomiques et/
ou chromosomiques et/ou génétiques) chez le fœtus par des moyens biologiques, cytolo-
giques, sérologiques et d'imagerie, ainsi que le calcul de risque concernant le dépistage
anténatal des aneuploïdies ne sont pas une obligation pour les futurs parents.
• Les médecins ou sages-femmes qui assurent le suivi prénatal sont en revanche dans l'obli-
gation d'informer les patients de l'existence des différents examens prénatals et de les
prescrire aux futurs parents si ces derniers les souhaitent.
• Certains futurs parents choisissent de ne pas réaliser tout ou partie des examens de dépis-
tage/diagnostic prénatal. Ce choix doit être accepté par les soignants sans jugement, et
ceux-ci ne sauraient d'aucune manière les y contraindre.
• Lorsqu'il existe une suspicion ou diagnostic d'une affection grave chez un fœtus, les soi-
gnants sont dans l'obligation d'orienter et d'accompagner le couple, qu'ils formulent ou
non une demande d'interruption médicale de grossesse (IMG).
6 • Les limites des outils de dépistage utilisés en prénatal, et notamment le fait qu'un fœtus à
bas risque d'aneuploïdies n'est pas forcément indemne d'une anomalie chromosomique,
doivent être bien comprises des parents. De la même façon, une échographie anténatale
sans anomalie ne peut pas garantir qu'un fœtus est indemne d'anomalie anatomique,
génétique ou chromosomique.
• Lorsqu'une anomalie génétique, chromosomique ou infectieuse est suspectée, un prélève-
ment fœtal (amniocentèse ou biopsie du trophoblaste) est proposé aux futurs parents. Le
but est d'effectuer une analyse cytogénétique ou microbiologique sur le liquide amniotique
ou les tissus trophoblastiques prélevés. Ces gestes, lorsqu'ils sont pratiqués au 2e trimestre
de grossesse, sont associés à un risque de perte fœtale de 0,5 %. La décision de faire ou
ne pas faire ces examens amène ainsi à confronter deux risques de nature très différente.
Dans le cas de la trisomie 21 où le diagnostic anténatal est associé dans la très grande
majorité des cas à une IMG, cela revient à mettre en regard la perte d'un fœtus sans ano-
malies et la naissance vivante d'un fœtus porteur d'une anomalie grave.
• Concernant les aneuploïdies, il existe depuis quelques années un dépistage beaucoup plus
sensible et spécifique, le dépistage prénatal non invasif (DPNI). Il repose sur une analyse de
l'ADN fœtal circulant dans le sang maternel. Ce test non invasif peut, dans certains cas,
éviter une amniocentèse ou biopsie du trophoblaste chez les fœtus à risque d'aneuploïdie.
Le DPNI est actuellement non remboursé et son coût est supérieur à 300 €. Tant qu'un rem-
boursement n'est pas mis en place, ce test non invasif, dont l'intérêt a bien été démontré,
est susceptible de générer des inégalités sociales de santé.
• Outre le diagnostic, la pratique des examens de DPN permet également de préciser un pro-
nostic et d'organiser, le cas échéant, la prise en charge anté et postnatale la plus adaptée
pour l'enfant à naître.
• Si l'affection dépistée in utero est d'une particulière gravité et incurable au moment du
diagnostic et si les parents en font la demande, une IMG pourra être réalisée.
Item 8 – UE 1 – Éthique médicale 1

clés
Points

• L'information sur le dépistage prénatal est proposée de façon systématique aux femmes enceintes en
France.
• La participation aux différents examens n'est pas une obligation.
• Les outils de dépistage (échographies anténatales, dépistage pour les aneuploïdies) ne peuvent garantir
à 100 % la naissance d'un enfant indemne d'anomalies.
• Les examens diagnostiques ne doivent être réalisés que sur indication médicale.

Notions indispensables PCZ


• Les médecins ou sages-femmes qui assurent le suivi prénatal sont en revanche dans l'obligation d'informer
les patients de l'existence des différents examens prénatals et de les prescrire aux futurs parents si ces
derniers les souhaitent.

Connaissances
Interruption médicale de grossesse

I. Pour comprendre
La pratique de l'interruption médicale de grossesse en France est régie par l'article 2213 du
7
Code de la santé publique (encadré 1.2). Deux types de situation ouvrent la possibilité à l'IMG :
la pathologie maternelle et la pathologie fœtale.

Encadré 1.2
Extrait de l'article L. 2213-1 du Code de la santé publique : interruption
de grossesse pratiquée pour motif médical
L'interruption volontaire d'une grossesse peut, à naire chargée d'examiner la demande de la femme
toute époque, être pratiquée si deux médecins comprend au moins quatre personnes qui sont
membres d'une équipe pluridisciplinaire attestent, un médecin qualifié en gynécologie-obstétrique,
après que cette équipe a rendu son avis consultatif, membre d'un centre pluridisciplinaire de diagnos-
soit que la poursuite de la grossesse met en péril tic prénatal, un praticien spécialiste de l'affection
grave la santé de la femme, soit qu'il existe une dont la femme est atteinte, un médecin choisi par
forte probabilité que l'enfant à naître soit atteint la femme et une personne qualifiée tenue au secret
d'une affection d'une particulière gravité reconnue professionnel qui peut être un assistant social ou un
comme incurable au moment du diagnostic. psychologue. Le médecin qualifié en gynécologie-
Lorsque l'interruption de grossesse est envisagée au obstétrique et le médecin qualifié dans le traitement
motif que la poursuite de la grossesse met en péril de l'affection dont la femme est atteinte doivent
grave la santé de la femme, l'équipe pluridiscipli- exercer leur activité dans un établissement de santé.

II. Pour réfléchir


• L'IMG peut être pratiquée quel que soit le terme de la grossesse si elle répond aux critères
définis par la loi. Cette absence d'âge gestationnel place la France dans une situation par-
ticulière par rapport à la plupart des pays où il existe une limite. Après la naissance, il n'est
plus question d'IMG.
Connaissances Gynécologie

• La formulation de la loi française laisse une place importante à la subjectivité des équipes
en charge de juger de la recevabilité d'une demande d'IMG. Les notions de « péril grave »,
de « forte probabilité » ou de « particulière gravité » sont autant de notions susceptibles
d'être interprétées différemment selon les équipes et peut générer des inégalités de prises
en charge entre les différents CPDPN (Centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal).
Pourtant, l'alternative qui consisterait en une liste limitative des pathologies ouvrant droit à
l'IMG serait non seulement stigmatisante pour les personnes vivantes porteuses des mala-
dies concernées, mais réduirait la décision à la pathologie sans y intégrer le contexte, or ceci
permet une réelle analyse au cas par cas.
• En cas de pathologie grave, l'IMG ne saurait être imposée et l'alternative à l'IMG (variable
selon la pathologie et sa létalité) doit être proposée et, le cas échéant, organisée.

clés
Points

• L'interruption médicale de grossesse est accessible sans limite d'âge gestationnel.


• Elle peut être réalisée soit en cas de mise en péril de la santé maternelle, soit en cas d'affection grave et
incurable pour l'enfant à naître.

Notions indispensables PCZ


• L'IMG peut être pratiquée quel que soit le terme de la grossesse si elle répond aux critères définis par la loi.

Diagnostic préimplantatoire

I. Pour comprendre
Le diagnostic préimplantatoire (DPI) a été permis techniquement par la réunion des savoirs
acquis dans le domaine de l'aide médicale à la procréation et du diagnostic prénatal. Sa pra-
tique est en France régie par l'article L. 2131 du Code de la santé publique (encadré 1.3). Un
couple ne peut avoir accès au DPI que si un CPDPN considère sa demande comme recevable.

II. Pour réfléchir


• Le nombre de centres habilités à pratiquer le DPI étant limité (4 en France en 2017), le
temps d'attente peut être long. Dans certaines situations, notamment lorsque l'âge de
la femme est avancé (> 38 ans lorsqu'on parle d'assistance médicale à la procréation), ce
temps long joue contre les chances de succès.
• La possibilité de diagnostiquer des maladies génétiques graves et incurables à un stade
très précoce de l'embryogenèse in vitro (blastocyste, 8 cellules), avant même le transfert
de l'embryon in utero, évite à certains couples le parcours allant du DPN à l'IMG. Une fois
implanté in utero, il n'est toutefois pas possible de garantir aux futurs parents que l'enfant
ne présentera pas une autre pathologie.
• Comme pour le DPN, la question du seuil d'acceptabilité des situations ouvrant droit au DPI
est une question difficile. Si les demandes concernant des pathologies comme l'hémophilie,
la drépanocytose, la mucoviscidose, la maladie de Huntington sont aujourd'hui acceptées,
qu'en est-il des pathologies graves dont l'anomalie génétique n'est pas systématiquement
Item 8 – UE 1 – Éthique médicale 1

Encadré 1.3
Extrait de l'article L. 2131-4 du Code de la santé publique
On entend par diagnostic préimplantatoire le dia- • il ne peut être réalisé, à certaines conditions, que
gnostic biologique réalisé à partir de cellules préle- dans un établissement spécifiquement autorisé à
vées sur l'embryon in vitro. cet effet par l'Agence de la biomédecine instituée
Le diagnostic préimplantatoire n'est autorisé qu'à à l'article L. 1418-1.
titre exceptionnel dans les conditions suivantes : (…) Le diagnostic préimplantatoire peut également
• un médecin exerçant son activité dans un centre être autorisé lorsque les conditions suivantes sont
pluridisciplinaire de diagnostic prénatal tel que défini réunies :
par l'article L. 2131-1 doit attester que le couple, du • le couple a donné naissance à un enfant atteint
fait de sa situation familiale, a une forte probabilité d'une maladie génétique entraînant la mort dès
de donner naissance à un enfant atteint d'une mala- les premières années de la vie et reconnue comme
die génétique d'une particulière gravité reconnue incurable au moment du diagnostic ;
comme incurable au moment du diagnostic ; • le pronostic vital de cet enfant peut être amélioré,
• le diagnostic ne peut être effectué que lorsqu'a de façon décisive, par l'application sur celui-ci
été préalablement et précisément identifiée, d'une thérapeutique ne portant pas atteinte à
chez l'un des parents ou l'un de ses ascendants l'intégrité du corps de l'enfant né du transfert de

Connaissances
immédiats dans le cas d'une maladie gravement l'embryon in utero, conformément à l'article 16-3
invalidante, à révélation tardive et mettant préma- du Code civil ;
turément en jeu le pronostic vital, l'anomalie ou • le diagnostic mentionné au premier alinéa a pour
les anomalies responsables d'une telle maladie ; seuls objets de rechercher la maladie génétique
• les deux membres du couple expriment par écrit ainsi que les moyens de la prévenir et de la trai-
leur consentement à la réalisation du diagnostic ; ter, d'une part, et de permettre l'application de
• le diagnostic ne peut avoir d'autre objet que de la thérapeutique mentionnée au troisième alinéa,
rechercher cette affection ainsi que les moyens de d'autre part.
la prévenir et de la traiter :
9

associée au développement de la pathologie mais est un facteur de susceptibilité qui en


augmente le risque et pour lesquelles il est possible de mettre en place d'autres stratégies
de prévention (p. ex. mutation du gène BRCA1) ?
• Autre situation ouvrant à un questionnement éthique, la possibilité depuis 2004 de sélection-
ner non seulement des embryons indemnes de l'anomalie génétique, mais également sur la
base de leur compatibilité HLA avec un frère ou une sœur atteint(e) en attente de greffe. Si
après la réalisation de la procédure de DPI, il existe des embryons sains mais non compatibles
HLA avec l'enfant atteint, la patiente est en droit de refuser le transfert. Cependant, la loi
française interdit dans ce cas la réalisation d'une nouvelle tentative de DPI.

clés
Points

• Le diagnostic préimplantatoire est accessible aux couples avec risque d'une maladie génétique transmis-
sible à l'enfant à naître.
• Sa réalisation nécessite l'accord préalable d'un centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal.

Notions indispensables PCZ


• Un couple ne peut avoir accès au DPI que si un CPDPN considère sa demande comme recevable.
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DAHOMAN WEAPONS.
⁂ For a description of these Weapons, the reader is referred to
the List of Illustrations at the commencement of this Volume.
Next came the King’s second son’s female soldiers, from a part
called Kakagee’s country, in consequence of having the government
of that country. These soldiers, about six hundred, went through the
same ceremony as the others. His Majesty always anxiously
explained every thing to me, and sent to the palace for paper for me
to make notes upon. During the day about six thousand women-
soldiers passed successively before the King, who frequently
introduced the principal officers of this corps to me, relating their
achievements. This seemed to give them great satisfaction. Amongst
them, he introduced me to one of his principal wives, a stout, noble-
looking woman, of a light brown complexion. She commanded the
whole of the King’s wives, who are all soldiers, amounting to six
hundred, present on this occasion. The King introduced her to me as
my mother. I was for some time at a loss to comprehend the
meaning of this, but soon found that his Majesty had appointed this
favourite wife to furnish all English or white men with provisions
during their sojourn in this country.
The term mother is, in many cases, misapplied in Abomey; for
instance, if a man has a wife, or a number of them, they are called
mothers, no one being allowed to call them wives but the King. My
inquiries relative to the meaning of this were often erroneously
answered, till I observed an old man, whose name was given me,
and soon after a young woman was pointed out to me as his mother,
though the woman was at least twenty-five years younger than her
supposed son. Owing to this, I was very incredulous, telling my
informant that he must be mistaken. It may appear singular in a
civilized part of the world, to learn that no distinction is made in the
term mother between the wife and real mother. After introducing me
to a number of his chiefs or captains, some of whom are very fine
well-built men, the King informed me that I had better go home, as it
was now getting dusk. After drinking again with his Majesty, I retired
to my house, where I was visited by many of the principal people of
Dahomey, and also received the canes of a great many Spaniards
and Portuguese (as they call themselves), liberated slaves from
Whydah, and who were here attending the custom, or holiday.
In this country it is customary, when a servant or messenger is
sent to inquire after the health of any person of rank, to send your
cane or stick, which the messenger delivers into the hands of the
person addressed. When the King sends his messenger in the
morning to make his compliments and inquire after my health, both
my people and the messenger-attendants prostrate themselves and
kiss the ground to the King’s cane.
Next morning, June 12th, as early as seven o’clock, I was again
summoned to attend the review. On approaching his Majesty, the
same ceremony was observed as on my introduction yesterday. He
again asked me to ride, and told me he should like the principal
officers in command of the male soldiers to be present at this day’s
review to see me. Accordingly, some of the principal ministers came
with me to show me where to stand, to allow the passing soldiery to
have a full view of the King’s visitor, or King’s stranger, as they called
me. The soldiers were now fast arriving from all quarters; each
regiment preceded by its band, whose instruments produced the
most discordant sounds that can be imagined—drums, elephants’
teeth, bullocks’ horns, and a sort of triangular iron tube, which they
beat with a small stick, and which gave forth sounds like a sheep-
bell.
The commander rides in the centre of his regiment, if provided
with a horse (which is not stronger than a Shetland pony), with two
men holding him on. Others who have no horses are carried in
hammocks. After about four thousand men had passed me,
marching without any discipline or form, I returned to the King’s
canopy to await the commencement of the review. In a short time the
female soldiers made their appearance in full marching order, with
provisions, amounting to about seventeen hundred. This corps was
preceded by its band. The drum is carried on the head, one end to
the front and the other to the rear; the person beating it walks behind
the carrier. The drum belonging to the corps was ornamented with
twelve human skulls. The women carrying provisions march in the
rear, each of them having a certain portion of baggage; some carry
mats for the female officers to lie upon, and one woman carries a
large umbrella for the commanding officer. Those carrying provisions
have large calabashes on their heads, weighing about sixty pounds
each, containing different sorts of provisions, such as fowls cooked
in palm-oil, kankie, dab-a-dab, made of the same material as kankie,
but boiled instead of baked. This is the principal food used here for
general consumption, as well as on the march. Seven standards are
also carried with this regiment, the tops of which are ornamented
with human skulls. This regiment belongs to Megah, the King’s
principal jailor.
About two hundred marched past as I have described, followed in
succession by the King’s women, to-day amounting to six hundred,
all from the King’s palace. These were headed by Dagbyweka. The
drum was also ornamented by twelve skulls of traitors, or men
caught in arms against the King. This corps observed certain
regulations on the march not customary with the others: nine women
and an officer marched in front as an advance guard, at a short
interval fifty supporters, then followed the main body. One individual
officer is always appointed to lead the attack, who is distinguished by
a sword of different pattern. An attack is, if possible, always made in
the night, or very early in the morning.
Next followed the female soldiers from Apadomey, commanded by
Knawie (or white man’s mother). Next, Icandee people, a country
distant one day’s journey to the W.N.W. of Abomey.
After this procession, which consisted altogether of about eight
thousand women, well armed and clothed, had passed, the King
asked me to go and see what his women-soldiers were about to
perform. I was accordingly conducted to a large space of broken
ground, where fourteen days had been occupied in erecting three
immense prickly piles of green bush. These three clumps, or piles, of
a sort of strong briar or thorn, armed with the most dangerous
prickles, were placed in line, occupying about four hundred yards,
leaving only a narrow passage between them, sufficient merely to
distinguish each clump appointed to each regiment. These piles
were about seventy feet wide and eight feet high. Upon examining
them, I could not persuade myself that any human being, without
boots or shoes, would, under any circumstances, attempt to pass
over so dangerous a collection of the most efficiently armed plants I
had ever seen. Behind these piles already mentioned, were yards, or
large pens, at the distance of three hundred yards, fenced with piles
seven feet high, thickly matted together with strong reeds. Enclosed
therein were several hundred slaves belonging to the King.
It may be well to state that this affair was entirely got up to
illustrate an attack upon a town and the capture of prisoners, who
are of course made slaves. After waiting a short time, the Apadomey
soldiers made their appearance at about two hundred yards from or
in front of the first pile, where they halted with shouldered arms. In a
few seconds the word for attack was given, and a rush was made
towards the pile with a speed beyond conception, and in less than
one minute the whole body had passed over this immense pile, and
had taken the supposed town. Each of the other piles was passed
with equal rapidity at intervals of twenty minutes; after which we
again returned to our former station in the market-place. Here we
found his Majesty waiting for us. He anxiously inquired how I was
pleased with the performance of his female soldiers, and asked if I
thought the same number of Englishwomen would perform the
same. I, of course, answered, no: we had no female soldiers in
England, but we had females who had individually and voluntarily
equally distinguished themselves.
In a short time after our return, the Apadomey regiment passed,
on their return, in single file—each leading in a string a young male
or female slave, carrying also the dried scalp of one man supposed
to have been killed in the attack. On all such occasions, when a
person is killed in battle, the skin is taken from the head, and kept as
a trophy of valour.[16] I counted seven hundred scalps pass in this
manner. The captains of each corps, in passing, again presented
themselves before his Majesty, and received the King’s approval of
their conduct. After all had passed, each regiment again formed in
column before the King, and each officer was presented to me, and
their deeds of valour recorded, for which they were promoted. No
promotion takes place unless merited on account of some act of
distinguished merit. When the King’s household troop or regiment
formed up, his Majesty asked me if I observed the form of an animal
worn on the white cotton skull-cap of this corps. I replied in the
affirmative. This animal, he informed me, was killed by some of his
women when in the bush during the last war, a few months ago; and
he had ordered the figure to be worn on the cap as a badge of
distinction.
One officer of this corps of King’s soldier-wives was introduced to
me. Her name was Adadimo. This female had, during the two last
years’ war, taken, successively, each year a male prisoner, for which
she was promoted, and his Majesty had also presented her with two
female slaves. Adadimo is a tall thin woman, about twenty-two years
of age, and good-looking for a black, and mild and unassuming in
appearance. The King also introduced her to an Ashantee prince
and some attendants, who were here on a visit, of which I was not
before aware. No doubt the King of Ashantee had sent them as
spies to ascertain whether I really did pass through Dahomey to the
Kong Mountains or not, as it will be recollected that, upon the King of
Ashantee refusing to allow me to pass, the Governor of Cape Coast
(Captain Hill) told the King’s messenger that I should pass to the
mountains in spite of him (the King of Ashantee). After presenting
Adadimo to the Ashantees, he addressed her and the regiment to
the following effect, the regiment being now on their knees:—He told
them that I was one of the Queen of England’s soldiers, sent on a
friendly mission or visit, to collect information respecting his
kingdom; and he himself felt proud and much gratified to be able to
inform them all of the circumstance, more especially as he could
assure them that the Queen of England was the greatest and most
powerful sovereign in the world, and far surpassed all countries in
war, as well as in the manufacture of guns and cloth, the two British
articles best known in the country. He repeated that the highest
possible compliment was paid to Adadimo, by her being introduced
to me, and having her name registered in my book. During this
speech she remained on her knees, and returned me repeated
thanks. The same example was followed by the whole regiment.
Next came a regiment belonging to a country called Ginoa,
commanded by a female of the same name. This regiment consisted
only of three hundred women. This corps make no prisoners, but kill
all. After all this ceremony was over, the principal male officers
prostrated themselves, and went through the regular form of
harangue, as if this review had been actual service. They informed
his Majesty that they were happy to congratulate him upon the return
of his victorious army and capture of a great number of slaves.
His Majesty, then turning to me, addressed me in a loud voice to
the following effect: “You come from the greatest and richest country
in the world, and I am truly gratified at seeing you in my country. The
only thing I regret is that so few Englishmen come to see me. I
should at all times feel proud to do any thing in my power to
accommodate an Englishman, and endeavour to make him
comfortable in my country. I am aware,” he added, “that I have not in
my power all the necessaries required by Englishmen, but if I were
more frequently visited by them I would take care to procure
everything necessary for their comfort. You have travelled much in
Africa,[17] and from what you have seen you are now aware that I am
as far superior in Africa, as England is to Spain or Portugal, not,” he
said, “excepting the Ashantees, some of whom he observed were
present, and could judge for themselves: although in former times,”
he remarked, “the Ashantees surpassed him as far as he now
surpassed them.”
I do not know how the Ashantee relished this observation, but I
suppose not well, as he is a conceited fop, and upon the whole a
sharp, shrewd young man. I put some questions to him respecting
his country, but his answers were both evasive and untrue, thinking
no doubt that I was quite ignorant on the subject. He informed me
that Coomassie was four moons’ journey from Dahomey; and also in
order to make his country look great, told me and the King that there
were no less than one hundred English merchants in Coomassie
buying gold when he came away. Upon which I flatly contradicted
him, and told him that only one white man resided in Ashantee, Mr.
Chapman, a missionary, who had lately been ill-treated by a set of
ruffians. This mortified him very much; and he remarked to the King
that white men only came to Ashantee for what they could get, and
boasted of the great presents his father had made to Mr. Freeman;
but I informed his Majesty that the King received ten times more from
Mr. Freeman than he ever received or expected in return; that
Englishmen never expected any return for a present. The Ashantee
persisted in what he had stated, and declared that any present
received by the King of Ashantee was made merely through fear.
Upon this the King, in an angry tone, ordered him to be silent. He
was aware that England feared no nation, and he would not suffer an
Englishman to be insulted in his country.[18] This terminated my
conversation with the Ashantee on that day.
It will, doubtless, seem singular, that the male soldiers are not
mentioned as taking any part in the two days’ review, but they
remained inactive the whole time, except when eating. At this part of
the ceremony they played their part, being amply supplied with
provisions. In fact, every one present, on both days, although so
numerous, was supplied with plenty. No person, however, except
myself, was furnished with a table, not even the Spaniards nor
Portuguese, although many visitors of both nations, who were
present at the custom, still remained here, knowing that I was
expected. The Ashantee prince objected to drink out of a calabash,
seeing that I was supplied with tumblers, but he was told by one of
the King’s headmen that he was only a black man, and that if he did
not choose to drink from the calabash he might go without. He
preferred the former, and drank out of what he had used all his life—
the calabash. The male soldiers were seated on the ground without
any regularity, forming a crescent in the rear of his Majesty.
Before breaking up, the King assembled all his principal officers,
and introduced them to me, describing their rank and office.
Amongst them were some of his cousins—Hadabadja, Agerbee, and
Gadypapo, three captains of the male troops, remarkably fine men,
with good craniums and heads much of the Moorish cast, although
darker—not so dark, however, as the genuine negro character.
Egboza is commander-in-chief of all the King’s army, and son of
Kakagee, the principal of the King’s house, being both treasurer and
chamberlain. After many more introductions to inferior officers the
principal officers were desired to drink the Queen of England’s
health. This was to be drunk out of a human skull, apparently not
long before it had been useful to the original possessor. However, as
this was considered the highest compliment that can be paid to any
person, I drank my sovereign’s health from the bony goblet. The
King also joined. I then proposed his Majesty’s health, which was
drunk from the same vessel. This concluded the second day’s
performance.
I may be permitted to make a few remarks on the army of women.
It is certainly a surprising sight in an uncivilized country. I had, it is
true, often heard of the King’s female soldiers, but now I have seen
them, all well armed, and generally fine strong healthy women, and
doubtless capable of enduring great fatigue. They seem to use the
long Danish musket with as much ease as one of our grenadiers
does his firelock, but not, of course, with the same quickness, as
they are not trained to any particular exercise, but, on receiving the
word, make an attack like a pack of hounds, with great swiftness. Of
course they would be useless against disciplined troops, if at all
approaching to the same numbers. Still their appearance is more
martial than the generality of the men; and if undertaking a
campaign, I should prefer the females to the male soldiers of this
country. From all I have seen of Africa, I believe the King of
Dahomey possesses an army superior to any sovereign west of the
Great Desert.

FOOTNOTES:
[15] The higher officers of the household are allowed to adopt
their official title as their family name, Mayho being in the
Dahoman language Prime Minister.
[16] It must not be supposed that these female warriors kill
according to the number of scalps presented; the scalps are the
accumulation of many years. If six or seven men are killed during
one year’s war, it is deemed a great thing: one party always run
away in these slave-hunts; but when armies meet the slaughter is
great.
[17] It is a surprising fact, that my last visit to Africa, in the Niger
expedition, was well known to him, though by what means I
cannot tell, unless through the Ashantees, as we brought the
Ashantee princes to Africa.
[18] The King told the Ashantee to take back his father’s
present, a gold-hilted sword, and tell him that all the gold in
Ashantee would not induce him to intercept an Englishman.
CHAPTER XII.
Visit to the King at his Palace—Description of it—Reception
by his Majesty—Gaudy Dress of the Attendants—Masks,
Ornaments, &c.—Occasion of the War between the Mahees
and Dahomans, and its Result—The King’s Walking-staffs—
Dance performed by his Majesty—Another Review of Female
Troops—Execution of Four Traitors—Horrible Occurrence—
Disgusting office of the Blood-drinker—Ludicrous Scene—
The King’s Mother and Grandmother—Dance performed by
them—Costume of the King’s Favourite Wives—I perform on
the Jew’s Harp—I dance with his Majesty—His Message to
the Queen of England—Ridiculous Customs—Court of
Appeal established at Abomey—Character of the King—
Domestic Slavery—A Slave-hunt—Military Distinctions—Want
of natural Affection in the Natives—Roguery of my Servant—
The King’s Commissions to me—An Interesting Incident—
Murderous Attack on me by my Servant—Inquiry into the
Occurrence—My Servant compelled to accompany me.
June 13th.—To-day I attended at the King’s house or palace. After
passing through two quadrangles of about sixty yards by thirty, we
entered the principal square. This square is formed of three sides of
houses or long sheds; and on the opposite side to the principal part
or side is a high wall of clay, with human skulls placed at short
intervals on the top. All the quadrangles were filled with a mob of
armed men, some sitting, some lying down asleep, others walking
about smoking.
This palace, for the King has many, is divided into different
apartments, all on the ground-floor; for though the ridge of the roof is
of sufficient height for two stories, yet the thatch is brought down so
low as to reach to within four feet of the ground. Along the front is a
low piazza, extending the whole length of the building. The main
entrance is in the centre of the side of the square. In this entrance
the King lay on a fine crimson carpet, trimmed with gold lace.
At first I could not perceive his Majesty, as he was placed so far
back under this low dark piazza, although I was told that he was
paying his respects to me by motioning with his hand. However, I
returned the compliment towards the spot where, according to
appearance, he was, surrounded by numbers of his favourite wives.
Upon being desired to approach nearer, I was directed by Mayho
and some more headmen, who accompanied me, who advanced
slowly on their hands and knees, myself in the centre, till within a few
yards of his Majesty, whom I could now perfectly see. The King
raised himself to a sitting posture from the large crimson silk velvet
cushion on which he had been reclining, and very kindly asked me
how I felt after sitting with him so long on the previous day. He then
ordered a very large canopy, or huge umbrella, richly ornamented, to
be stuck up. A hole was accordingly dug in the ground, and the
handle of the umbrella placed therein, the earth beat tightly round it,
similar to a large mushroom. A table was also placed under it, with
plenty of refreshment, both of solids and liquids.
After I was comfortably seated, his Majesty advanced towards me
to drink my health, which was accompanied with loud hurrahs from
his people. Provisions were then distributed in all directions, after I
had been furnished. At some distance behind me were some
Portuguese gentlemen, whom I had observed on the two previous
days, but his Majesty seemed to take no notice of them more than of
his own people. They were furnished with food in the same manner
as his own people, without table or spoon, or any other implement
beyond the calabash containing the food. I was a little surprised at
this, particularly as I was aware that the Portuguese were the
purchasers of many of the King’s slaves; but through my interpreter,
Mayho thus explained the matter. He said the King was well aware
that the pretended friendship of the Portuguese was entirely for
selfish and pecuniary motives, whereas the English were not slave-
dealers; moreover, that England was an independent nation, and the
greatest in the white man’s world, as he himself was of the black
man’s world; and declared that the friendship of one Englishman was
worth that of a thousand Portuguese, and that the King’s father had
always taught him to respect an Englishman. His Majesty desired me
to drink the health of the Queen of England and all her family. I then
proposed his Majesty’s health in the name of the Queen of England.
At this he seemed much pleased, and asked me if the Queen
allowed me to drink his health. I replied certainly: and that when a
genuine compliment is paid to the Queen of England, she always
returns it to the meanest of her subjects. This drew a general shout
of applause from all his Majesty’s head people.
The King now retired to his previous position; and after I had
partaken of some eatables, the day’s amusement commenced. All
the principal men in his Majesty’s service were ordered to the front.
They were all dressed in their most gaudy dresses, of various
shapes and colours, according to the taste of the wearer; but all of
the headmen wore silver gauntlets, and a profusion of beads and
anklets, generally made of a common small iron chain, in substance
similar to a horse-collar chain used in England, but the links merely
closed, not welded. Others of lower rank, or second, as they are
called (for each headman has his second), were dressed in their
military dress. Several of the principal men were also disguised in
masks and clowns’ dresses, who performed antics and all manner of
buffoonery. Some had on masks resembling the head of a bear,
others that of a monkey. Some also displayed a pair of silver horns
fixed on the forehead by a bandeau. About ten yards in front of the
place where his Majesty lay, three skulls were placed on the ground,
forming an equilateral triangle, about three feet apart. At a little
distance from the three last-named skulls a calabash was placed,
containing several skulls of distinguished men taken or killed in war.
On a low stool was also placed a large imitation of a skull in silver,
but a very indifferent imitation, of Portuguese manufacture; and
seven standards, with ridiculous devices rudely cut from different-
coloured cloth, and sewed on them, chiefly relating to their defeat of
the Makee or Mahee[19] people, a country about six days’ journey to
the northward of Dahomey. The pole of each standard was mounted
with the skull of a caboceer, or ruler of a town.
It would appear that the Mahees had many skirmishes with the
Dahomans. On one occasion a trading party went from Dahomey to
the Mahee country to traffic, but were robbed of their goods and
murdered. This circumstance so enraged the King of Dahomey that
he immediately collected all his soldiers, male and female, and
marched them into the enemy’s country. His army, however, returned
without either a negotiation or gaining a victory. Whereupon the King
ordered his soldiers to return immediately, with orders to destroy the
capital within three days. Accordingly, they returned by forced
marches, and reached the capital of the Mahee country, which was
found to be strongly fenced round with the same prickly bush I have
already mentioned. The same night, or early on the following
morning, the female soldiers took the place, with the King and his
wives, and a great number of his headmen, without any resistance,
and in three days the Dahomans (according to their own account)
took one hundred and twenty-six towns, making the greater part of
the enemy prisoners, and putting to death those who offered any
resistance. This was the last great war in which the Dahomans had
been engaged.
Near the King were placed several large staffs or walking-sticks,
with a skull fixed on the upper end of each, the stick passing through
the skull so as to leave about seven inches of the stick above the
skull for the hand when walking. The stick is about four and a half
feet long, and is used as the ancient pilgrim’s staff, being grasped
perpendicularly, thumb upwards.
In a short time his Majesty expressed his wish to dance, which
was approved of by all the people by loud yells and the firing of
muskets. The King then came forward to the open space in front,
where the three skulls were placed, and commenced a dance, or
rather elephantine motion, the movement being all in the hips and
shoulders. After moving in this way about one minute, his Majesty
took one of the staffs and skulls, and recommenced dancing
amongst the three skulls, which lay on the ground. He then ordered
a cigar to be lighted for him, and began smoking; at the same time
he folded his arms, with the staff under his arms, resting with his
breast on the top of the skull, and displaying all the indifference
possible. He then advanced towards me and gave me a cigar, and
again desired me to drink his health. He asked me if I should like to
be present on the following day to witness the execution of four
(men) traitors, and proffered me the honour of being the executioner.
This honour, however, I declined; but he pressed me, observing he
should like to see the capability of my sword, which he admired
much. I told him that I would rather save a man’s life than take it,
unless in my own defence. This he admitted was all very good, but
asked me whether I should like to save the life of a person who had
attempted the life of my Queen? I, of course, replied, Certainly not.
Then he told me that the crime of these men was similar. His Majesty
now retired, and shortly afterwards sent me a second supply of
provisions in several large calabashes, as wide as the old
Winchester bushel, containing fowls, mutton, and pork.
The soups made here are very superior, though perhaps too hotly
seasoned for European palates. Owing to the great concourse of
people the heat was so great as to cause a drowsiness to come over
me in consequence of sitting so long. His Majesty, observing this,
very condescendingly forwarded to me a fine silver snuff-box,
desiring me to take a pinch, at the same time directing his prime
minister to tell me not to remain any longer than I felt inclined; but as
I was aware that the whole affair had been got up at an enormous
expense, entirely on my account, I returned my thanks, and informed
the messenger that I enjoyed it much, and remained a considerable
time longer, after which I begged leave to retire. He sent a
messenger with his cane, in the evening, to ask how I was after
sitting so long.
14th.—Again I visited the palace at half-past eight o’clock. The
head, or commander, of one of his Majesty’s female regiments,
named Godthimay, placed herself on her knees close to the three
human skulls; and a regiment (before mentioned) who killed the
alligator, presented themselves on their knees in tens, and
Godthimay, as their spokesman, harangued the multitude and the
King, extolling the valour of these women. When the harangue was
over, Godthimay passed along the kneeling rank, and placing a hand
in succession upon the head of each, dismissed them, and ten more
occupied their place until this tedious ceremony was completed.
The ceremonies of this day were nearly a repetition of those of
yesterday, till the time arrived (an hour before sunset) when the four
traitors were brought into the square for execution. They marched
through the mob, or assembled crowd, apparently as little concerned
as the spectators, who seemed more cheerful than before the
prisoners made their appearance, as if they were pleased with the
prospect of a change of performance. The prisoners were marched
close past me in slow time, consequently I had a good opportunity of
minutely observing them, particularly as every person remained on
his knees with the exception of myself and the guard who
accompanied the prisoners.
They were all young men of the middle size, and appeared to be
of one family, or at least of the same tribe of Mahees, who are much
better looking than the people of the coast. Each man was gagged
with a short piece of wood, with a small strip of white cotton tied
round each end of the stick, and passed round the pole. This was to
prevent them from speaking. They were arranged in line, kneeling
before the King. The head gong-gong man then gave four beats on
the gong, as one—two, and one—two, the upper part of the gong-
gong being smaller than the lower, and thus rendering the sounds
different, similar to our public clocks in England when striking the
quarters. After the four beats, the gong man addressed the culprits
upon the enormity of their crime and the justice of their sentence.
During this lengthened harangue the gong-gong was struck at short
intervals, which gave a sort of awful solemnity to the scene. After
this, the men were suddenly marched some distance back from his
Majesty, who on this occasion refused to witness the execution. The
men were then ordered to kneel in line about nine feet apart, their
hands being tied in front of the body, and the elbows held behind by
two men, the body of the culprit bending forward. Poor old Mayho,
who is an excellent man, was the proper executioner. He held the
knife or bill-hook to me, but I again declined the honour; when the
old man, at one blow on the back of the neck, divided the head from
the body of the first culprit, with the exception of a small portion of
the skin, which was separated by passing the knife underneath.
Unfortunately, the second man was dreadfully mangled, for the poor
fellow, at the moment the blow was struck having raised his head,
the knife struck in a slanting direction, and only made a large wound;
the next blow caught him on the back of the head, when the brain
protruded. The poor fellow struggled violently. The third stroke
caught him across the shoulders, inflicting a dreadful gash. The next
caught him on the neck, which was twice repeated. The officer
steadying the criminal now lost his hold on account of the blood
which rushed from the blood-vessels on all who were near. Poor old
Mayho, now quite palsied, took hold of the head, and after twisting it
several times round, separated it from the still convulsed and
struggling trunk. During the latter part of this disgusting execution the
head presented an awful spectacle, the distortion of the features,
and the eyeballs completely upturned, giving it a horrid appearance.
The next man, poor fellow, with his eyes partially shut and head
drooping forward near to the ground, remained all this time in
suspense; casting a partial glance on the head which was now close
to him, and the trunk dragged close past him, the blood still rushing
from it like a fountain. Mayho refused to make another attempt, an
another man acted in his stead, and at one blow separated the
spinal bone, but did not entirely separate the head from the body.
This was finished in the same manner as the first. However, the
fourth culprit was not so fortunate, his head not being separated till
after three strokes. The body afterwards rolled over several times,
when the blood spurted over my face and clothes.
The most disgusting part of this abominable and barbarous
execution was that of an old ill-looking wretch, who, like the
numerous vultures, stood with a small calabash in his hand, ready to
catch the blood from each individual, which he greedily devoured
before it had escaped one minute from the veins. The old wretch had
the impudence to put some rum in the blood and ask me to drink; at
that moment I could with good heart have sent a bullet through his
head. Before execution, the victim is furnished with a clean white
cloth to tie round the loins. After decapitation the body is immediately
dragged off by the heels, to a large pit at a considerable distance
from the town, and thrown therein, and is immediately devoured by
wolves and vultures, which are here so ravenous, that they will
almost take your victuals from you.
June 20th.—I again visited the palace, to attend the custom or
holiday. The commencement of this day’s amusement presented a
most ludicrous scene. Four tall men, singularly dressed, and with
bullocks’ tails tied so as to hang over their hips behind, arranged
themselves in line, in front of his Majesty, and by passing at the side
step, lowering and poising the body by the bend of the knee, caused
the tail to make a circular motion of a disgusting appearance. This
was considered one of the most interesting parts of this performance
of buffoonery.
I forgot to mention that the palace which I visited this day was
different from that which I visited on the two previous days. In the
entrances of the doors, human skulls were built in the walls, about
half the skull projecting beyond the surface of the walls. After a
number of introductions, similar to those on the former days, the
King’s mother entered the court, preceded by six women, carrying
large brass pans filled with skulls, with shank bones fixed
perpendicularly to the outside of the pans. Another pan, covered with
scarlet cloth, as also two other pots of an oval shape, were carried
on the heads of females, with a skull placed on the top, or over the
mouth of each. After parading these different vessels round the
palace-yard, they were placed on the ground, in front of several
calabashes (previously placed there), containing a number of scalps.
The King’s mother is a stout old lady of about eighty years of age,
and was dressed in a rich silk velvet tunic of crimson, with a large
robe or train supported by two women. Her head is covered with an
immense large Spanish beaver hat of nine inches brim, trimmed with
gold lace. The mother placed herself in front of the King, and
prostrated herself, throwing dirt or earth over her old grey hair; like
all the others, no distinction being made in her case. The old woman
then got up and danced before his Majesty; and at this moment, the
King’s grandmother arrived. She is still more stout than the mother,
and although about one hundred years of age, still preserves her
plumpness and symmetry.
These two ancient dames both joined in the dance, and it was
certainly surprising to see with what agility they moved, considering
their years. They again prostrated themselves, and advanced
towards his Majesty on their knees. After a short conversation they
distributed a large quantity of cowries amongst their head people.
The cowries are all strung on a piece of grass, forty cowries on each
string. Fifty strings is a head, and the value of a dollar of silver. The
King’s principal or favourite wives wear coronets of silver, as well as
the wives of his principal ministers. Some of the King’s wives also
wear a short dagger, similar to those worn by young midshipmen in
the British Navy, stuck between a bandeau and the head, point
downwards. His Majesty came, as usual, to my canopy and shook
hands with me, inquiring after my health, and desired to drink to me;
but, after a moment’s consideration, proposed the health of the
Queen of England first. After drinking to Her Majesty, the King drank
my health, and in return I drank his health. His Majesty then desired
all his headmen to draw near, and begged me to play the Jew’s harp,
with one of which I had presented him. This ancient Israelitish
instrument afforded much sweeter music than their bullocks’ horns
and elephants’ teeth, and was consequently much admired. The
King next desired me to play while he danced to my music, and
afterwards desired me to dance with him and play the while. It was
rather a difficult task to dance and play the Jew’s harp at the same
time. However, as this was considered the highest mark of honour
which could possibly be conferred upon me, civility would not allow
me to refuse; and although I never was an excellent dancer, I did my
best on this occasion, and gained the applause of his Majesty, as
well as the deafening applause of all present, except the Ashantees
and some Portuguese, who were extremely jealous of me,
particularly as the King never condescended to notice any of them
during their stay at Dahomey, farther than by sending them
provisions daily, as is the King’s habit during this annual festival or
custom.
This day his Majesty gave away to his people eight hundred head
of cowries, and gave me five head and a gallon of rum for dancing
with him. He then desired me to play to and dance with his favourite
wives, after which he sent plenty of provisions for myself and people.
The amusement terminated in a similar way to those on the
preceding day, and in the evening I returned home, through a dense
crowd of people scarcely passable for the space of half a mile.
After this I did not visit the palace till the 19th, when his Majesty
desired my presence. The ceremony on this day was much the same
as on the previous mentioned days, but the King seemed rather
disinclined to let me proceed any farther, until I should take a
message from him to England for the Queen of England, and that
upon my return I should be welcome to go through any part of his
kingdom, together with as many Englishmen as I thought proper to
bring with me. However, I informed him that it was impossible for me
to do so, as I could not return till I had visited and passed over the
Kong Mountains; and that my objects were purely scientific, and as
much for his benefit as that of others. This, he said, he doubted not,
for he would never suspect an Englishman of any thing unjust, or
unbecoming the character of so great a nation; but as he himself
could not write, he was anxious to send me as his messenger to the
Queen of England, I informed him that the Queen of England never
received any communication of importance verbally, but that it must
be reduced to writing, and I volunteered to be his scribe for that
purpose. For this he returned me thanks, and then at once
consented to allow me to proceed, promising also to send a guard of
honour with me through the Mahee country, with whom the
Dahomans have of late been at war. He seems very doubtful of my
safety beyond his capital, although he does not confess it. He has so
lately conquered that country, that I do not believe the King has great
confidence in them, farther than their dread of the law compels them.
However, he informed me that I must wait a week or ten days, till he
could arrange which of the caboceers, or headmen, to send with me.
From this period till my march for the Kong Mountains I passed my
time heavily, rarely taking any exercise, on account of the ridiculous
custom of being obliged to turn out of the road if any of the King’s
wives should meet you. They are in all parts of the town and
neighbourhood, employed on different domestic occupations, but
principally in carrying food in immense gourds or calabashes on the
head, containing provisions for the King’s ministers and principal

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