PDF of Supremacistes L Enquete Mondiale Chez Les Gourous de La Droite Identitaire 1St Edition Philippe Joseph Salazar Full Chapter Ebook
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Ouvrages
Pour résumer les événements des 11 et 12 août 2017 : une marche aux
flambeaux spectaculaire, mais sans incident violent, se déroule le 11 au soir,
et sans opposition réelle sur le campus de l’université. Une vidéo montre
même un étudiant solitaire et stupéfait s’écriant : « Mais où sont les
opposants, où êtes-vous ? Les nazis sont là ! »
Durant la nuit, l’opposition finit par s’organiser grâce aux réseaux
sociaux. Se font face les groupes racistes, dont certains armés (le port d’arme
visible est légal en Virginie), et une concentration d’une dizaine de groupes
d’opposants, interconfessionnels, antifa, communiste et ultra-gauche.
L’affrontement aurait dû être évité.
Mais l’affrontement eut lieu, le résultat d’une gabegie des pouvoirs
publics, à savoir : l’indécision des responsables politiques et universitaires
tant sur quoi autoriser et quand, et surtout comment maintenir l’ordre (un
rapport officiel a formellement accusé la police de n’avoir rien fait pour
éviter que les deux manifestations ne soient au contact), ajoutée à la
confusion créée par le principal groupe de défense des droits civils (ACLU),
traditionnellement aligné à gauche, mais qui se porta en soutien au droit des
nationalistes blancs à se réunir le 12 autour de la statue (dans sa logique de
défense inconditionnelle de la liberté absolue d’expression), une autorisation
validée par le juge local en dépit du maire qui répliqua en autorisant des
contre-manifestants à se réunir, mais ailleurs que dans le parc de la statue.
Comme on dit, « a perfect storm ».
Le 12, ce fut donc la mêlée, avec de nombreux actes de violence de part et
d’autre ; une jeune femme mourut après avoir été percutée par une voiture
forçant son passage dans un groupe d’opposants, conduite par un jeune
suprémaciste. Il plaida qu’il fuyait un lynchage, et il a été condamné,
échappant de justesse à la peine de mort malgré vingt-neuf chefs
d’accusation – résumés par cette formule, désormais un tag, qui depuis a
fait fortune : « crime de haine ». Depuis, ce jeune suprémaciste est retombé
dans l’anonymat, car le héros médiatique de Charlottesville, tête d’affiche
de la « haine », c’est l’autre jeune militant alt rightiste, celui qui participait à
la marche nocturne du 11, dont la photographie a fait la une des médias et
qui soudain est devenu le poster boy de l’événement, Peter Cvjetanovic.
Peter Cvjetanovic parle
É
Californie) ; derrière eux, les maîtres seniors, Julia Kristeva, Étienne
Balibar, Alain Badiou et Jacques Rancière. Et puis des auteurs plus
ésotériques tels que Jean-Luc Nancy et Jean-François Lyotard ou atypiques
mais très lus comme Guy Debord.
Les vrais néomarxistes anglais sont là, qu’on range parfois sous l’étiquette
de Critical Theory, mais en tristes figurants car ils n’auront jamais le cachet
des philosophes français. Les Allemands sont à l’appel avec l’École de
Francfort, Jürgen Habermas en tête, le théoricien de la « sphère publique »,
mais il est passé de mode comme notre Louis Althusser, tandis que son
successeur Axel Honneth a quelques suiveurs. On trouve aussi l’Argentin
Ernesto Laclau dont le fondamental ouvrage La Raison populiste est
devenu un classique du néomarxisme contemporain, mais suspect de
péronisme ou de chavisme, au choix (et pourtant, que de leçons à tirer de ce
livre magistral).
À cet édifice fait de bric et de broc s’ajoute ce que le psychologue
évolutionniste et professeur d’université californien Kevin MacDonald a
longuement analysé comme « la culture de la critique », à savoir comment,
selon lui, les intellectuels juifs, depuis le début du XXe siècle, détruisent la
culture européenne originelle en pratiquant une critique systématique de ses
valeurs afin de diviser les élites non juives et en « pathologisant » les loyautés
identitaires des groupes sociaux européens de souche, afin d’assurer au
judaïsme le contrôle hégémonique des appareils culturels de ces sociétés.
MacDonald (né en 1944) est une célébrité75 : il a suscité de nombreuses
controverses dans le milieu universitaire et intellectuel américain. Ce sont
les travaux de MacDonald qui ont unifié l’édifice en un argument
synthétique, d’où son prestige, et les débats qu’il suscite en dehors du cercle
des intellectuels identitaires.
Voilà le triple fond du « marxisme culturel », expression qui, il faut en
prendre conscience, fait le buzz parmi l’alt right internationale.
De plus, sur le terrain des campus universitaires, le marxisme culturel
désigne, dans la bouche de l’alt right, tous les produits dérivés de cette offre
hétéroclite de penseurs européens contemporains. Ces produits dérivés sont
les études de « genre », les études dites « subalternes » (à propos des peuples
soumis culturellement aux normes du « Nord » opulent), les études dites
« décoloniales » ; souvent regroupées sous l’étiquette de « studies76 ». Bref,
tout l’appareil intellectuel qui favoriserait la désintégration morale de
l’identité blanche, et que rejette donc l’alt right qui parle couramment de
« lavage de cerveaux » à ce propos.
Matt est court sur les contre-penseurs de la mouvance – il suppose que je
les connais bien et préfère, en militant de terrain, aller droit au but. Et puis
ces contre-intellectuels, qui sont à l’arrière-plan, je les rencontrerai plus
tard. Je reste sur la cible.
— Pourquoi un apprentissage technique ?
— Apprendre un métier technique pour mieux servir mon peuple.
Mais est-ce la seule raison de sa défense de l’apprentissage technique ?
En l’écoutant, j’entends en fait parler l’Amérique du XIXe siècle : lors de
l’expansion vers l’ouest, accompagnée d’une vague d’immigration
essentiellement venue d’Irlande et des principautés allemandes, mais aussi
de Scandinavie, se fondèrent de nouvelles universités, en fait des « collèges »
de premier cycle portés sur la formation aux professions agricoles et
techniques (dites « mécaniques »), d’où l’étiquette, de nos jours prestigieuse,
A&M (Agricultural & Mechanical). Le capitalisme et l’industrialisation de
l’« Empire » a reposé sur ce réseau d’universités centrées non pas sur les
lettres ou la science, mais sur les professions utiles.
Leur propos n’était pas uniquement mercantile mais éminemment
civique : une fois qu’un territoire à l’ouest était viable économiquement,
avec du rail, des villes, des professions qui pouvaient créer de la richesse, on
offrait des terrains domaniaux aux collèges à fonder et le territoire devenait
un État de plein exercice. La politique commençait aussi à fonctionner.
C’est aussi pourquoi la « rhétorique », c’est-à-dire la capacité de faire de la
politique, est entrée immédiatement au curriculum de ces collèges : pour
exercer un métier profitable et pratique, il faut savoir persuader que le
produit est bon. De là à la politique, il n’y a qu’un pas. Trump est un bon
exemple de ce rapport étroit entre l’exercice des professions en prise directe
sur l’économie (le BTP dans son cas) et l’usage pratique efficace de la parole
publique. L’alt right et Trump ont en commun, de ce point de vue, une
agilité reconnue, et qui sidère leurs adversaires, à user de tous les moyens
techniques offerts par Internet et le Web – rien d’étonnant : ils sont les
héritiers directs de cette éducation A&M des pionniers, à contre-courant du
« marxisme culturel ».
Il n’existe ainsi aucune contradiction entre faire l’apologie des formations
techniques et être éloquent en public. Un des traits des militants de l’alt
right, si bien reconnu par leurs ennemis comme le mouvement antifa, c’est
leur adresse oratoire. Ils savent parler en public, construire des
argumentaires, appréhender les réactions d’un auditoire, bref, ils savent
s’exprimer. Le front antifa a d’ailleurs fait cette recommandation :
« N’essayez pas d’argumenter avec un type de alt right, mettez-lui le poing
sur la gueule. » Aveu d’impuissance rhétorique.
Je le regarde, je fais signe au serveur, d’origine latino, que nous en
resterons au G and T et au Campari pour tout le repas, alors qu’huîtres et
foie gras arrivent ; ailleurs, par exemple au bar du National Press Club,
nous aurions dîné au Jack Daniel’s. Mais là-bas trop d’oreilles traînent.
Êtes-vous un suprémaciste ?
Kreivi Henningillä oli vaimonsa kanssa kaksi lasta. Itse hän pitkät
ajat oleskeli poissa, koska oli joutunut orjuuteen; sillä välin pidettiin
hänen puolisonsa hulluinhuoneeseen teljettynä. Vapaaherra lähti
Saksaan matkustamaan ja otti mukaansa holhokkinsa, pikku
Henrikin. Siellä hän jätti lapsen asumattomalle saarelle, mutta se
tulikin pelastetuksi. Kelpo ihmiset ottivat sen kasvattaaksensa ja se
elää vieläkin. Tyttären, joka äidin luulotellun kuoleman jälkeen myös
joutui setänsä holhouksen alaiseksi, oli tämä myös päättänyt
surmata, mutta hänen kätyrinsä, jonka kävi lasta sääli, vaihetti sen
kuolleeseen lapseen, jonka vapaaherran poissa ollessa toimitti
hautaan. Huolimatta kaikista vaaroista ja kummallisista
elämänvaiheista, tämä kreivittären toinenkin lapsi vielä elää. Kaikki
te hyvin tunnette hänet… se on Stella. Katsokaa, kuinka äiti ja tytär
ovat toistensa näköisiä, niin ette enään epäile!… Mitä poikaan tulee,
jonka muistopatsaan olette nähneet puistossa, niin hänkin, niinkuin
jo sanoin, elää vielä. No niin, minä olen Henrik Henning… tämä on
äitini ja Stella on minun sisareni… Oikeudessa olen vaativa takaisin
kaikki oikeutemme ja syytökset tätä miestä kohtaan olen myös
käräjissä näyttävä toteen. Olkoon hän kuinka viekas tahansa,
kierrelköön niin, että totuus muuttuu valheeksi ja valhe totuudeksi,
Jumala on kuitenkin oleva puolellani ja antava minulle viisautta, jotta
saan hänet kaikkine juonineen paljastetuksi.
*****
*****
*****
Harald ei unohtanut v. Nitiä. Seppä oli käynyt avaamassa lukon ja
pian v. Nit jälleen oli ullakkokamarissa, jossa Harald kertoi hänelle,
mitä päivän kuluessa oli tapahtunut. Herra v. Nit ei tahtonut mennä
vapaaherraa katsomaan.
Seppä avasi myös lukon, jolla kreivittären vasen käsi vielä oli
kytkettynä rautavitjoihin. Nyt vasta hän tunsi itsensä oikein vapaaksi
ja miltei unohti menneisyyden.
*****
Heidän istuttuaan noin yhden tai kaksi tuntia, astui Emilia sisään ja
viittasi Haraldia tulemaan ulos.