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l'evaluation environnementale
Mali
profil EIA
Mise àd jour de: 14 février 2019
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SOCIAL
ENVIRONNEMENTAL
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compétent indique au promoteur la nature de l’étude à mener (Etude d’Impacts environnemental et social ou Notice d’Impacts
environnemental et social).
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Articles 15 et 16.
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Article 16 : (..) Si le projet est assujetti à une Etude d’Impacts environnemental et social, le promoteur élabore le projet de termes
de référence de l’Etude d’Impacts à réaliser conformément aux directives fournies.
Article 20 : Le service compétent dispose de quinze (15) jours pour approuver les termes de référence.
L’approbation des termes de référence ne peut intervenir qu’à la suite d’une visite de terrain effectuée par une commission de
représentants des services techniques concernés et du promoteur ou de son représentant.
(Note: les services techniques représentent les ministères concernés par le projet)
Délai du cadrage
15 jours.
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Article 20 : Le service compétent dispose de quinze (15) jours pour approuver les termes de référence. (...) Si dans les délais
impartis, le promoteur ou son représentant n’a reçu aucune suite, il est tenu d’adresser une lettre de rappel au service compétent
en précisant les références de la demande initiale. Le service compétent donne une réponse dans les quinze (15) jours, à compter
de la date de réception de la lettre de rappel.
Article 21 : Toutefois, les termes de référence sont considérés comme validés si dans les quinze jours du dépôt de la lettre de
rappel le promoteur ou son représentant n’a reçu aucune suite.
Procédure d'évaluation
L'Etat ou la collectivité territoriale consulte le public pour recueillir son avis (voire ci-dessous). Le
promoteur doit annexer les procès-verbaux des consultations à son rapport d'étude d'impacts. Ce
rapport doit être rédigé par un consultant aux choix du promoteur, conformément aux textes en vigueur
(qui ne sont pas spécifiés). Dans la pratique, une certification environnementale des consultants n'existe
pas. Mais des guides techniques existent et sont disponibles à la DNACPN.
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Article 17 : Pour la réalisation de l’Etude et la Notice d’Impacts environnemental et social, le promoteur a l’obligation de recourir
aux services d’un consultant de son choix, conformément aux textes en vigueur.
Article 19 : L’Etude d’Impacts environnemental et social est réalisée conformément à un guide général et aux guides sectoriels
tenant lieu de directives complémentaires aux textes en vigueur en matière d’évaluations environnementales.
Article 23 : Une consultation publique ayant pour objectif de recueillir les avis des populations concernées par le projet est
présidée par le représentant de l’Etat du lieu d’implantation du projet et organisée avec le concours des services techniques et du
promoteur. Toutefois, le représentant de l’Etat peut déléguer cette
Collectivité territoriale. Les modalités pratiques de conduite de la consultation publique sont définies par arrêté conjoint des
ministres chargés de l’Environnement, de l’Administration et des
Collectivités territoriales.
Article 24 : Les procès-verbaux dressés à l’occasion de la consultation publique sont signés de toutes les parties et annexés au
Rapport d’Etude d’Impacts environnemental et social.
Données de base
Description du projet
Impacts
Options alternatives
Proposition de suivi
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Article 34 : Le Rapport d’Etude d’Impacts environnemental et social de projet de catégorie A contient les éléments ci-après :
b) des informations générales notamment la description du projet proposé, les caractéristiques et les limites de la zone d’étude, les
principales parties concernées ;
c) une description de l’environnement du projet proposé : les caractéristiques physiques, biologiques et socioculturelles, les
tendances et menaces pour l’Environnement ;
d) une identification et une évaluation des impacts positifs et négatifs potentiels : directs et indirects, immédiats et à long terme,
importants et secondaires, locaux et éloignés du projet proposé sur l’Environnement ;
f) une analyse et la prise en compte des considérations liées aux changements climatiques ;
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h) une analyse des risques et dangers ;
i) une identification et mise en oeuvre des mesures d’atténuation/d’adaptation aux changements climatiques ;
j) une estimation des types et quantités de résidus et des émissions attendus (pollution de l’eau, de l’air et du sol, bruit, vibration,
etc.…) occasionnés par le projet ;
k) une description des mesures permettant de prévenir, de réduire ou de compenser, dans la mesure du possible, de graves
détériorations de l’Environnement ainsi que la description des mesures alternatives ou d’intervention non compensable mais
prioritaire dans la nature, le paysage et le milieu humain ;
l) une brève description des méthodes utilisées pour la consultation publique et les résultats y afférents ;
Article 35 : Le Rapport d’Etude d’Impacts environnemental et social de projet de catégorie B contient les éléments suivants :
b) des informations générales notamment la description du projet proposé, les caractéristiques et les limites de la zone d’étude, les
principales parties concernées ;
c) une description de l’environnement du projet proposé : les caractéristiques physiques, biologiques et socioculturelles, les
tendances et menaces pour l’Environnement ;
d) une identification et une évaluation des impacts positifs et négatifs potentiels : directs et indirects, immédiats et à long terme,
importants et secondaires, locaux et éloignés du projet proposé sur l’Environnement ;
e) une analyse et la prise en compte des considérations liées aux changements climatiques ;
g) une estimation des types et quantités de résidus et des émissions attendus (pollution de l’eau, de l’air et du sol, bruit, vibration,
etc.) occasionnés par le projet ;
h) une description des mesures permettant de prévenir, de réduire ou de compenser, dans la mesure du possible, de graves
détériorations de l’Environnement ainsi que la description des mesures alternatives ou d’intervention non compensable mais
prioritaire dans la nature, le paysage et le milieu humain ;
j) une brève description des méthodes utilisées pour la consultation publique et les résultats y afférents ;
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dans le mandat ont été traités de manière approfondie et correcte et il vérifie la viabilité des
informations fournies dans le rapport. Par la suite, le promoteur intègre toutes les observations et tous
les commentaires dans le rapport final de l'EIES, puis le soumet à la DNACPN afin d'obtenir un permis
environnemental du ministre.
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Article 25 : Le Rapport d’Etude d’Impacts environnemental et social est déposé par le promoteur en quinze (15) exemplaires
auprès du service compétent pour des fins d’analyse environnementale.
Article 26 : L’analyse du Rapport d’Etude d’Impacts environnemental et social est faite par un Comité technique interministériel.
L’analyse consiste à s’assurer que tous les éléments contenus dans les termes de référence sont traités de façon exhaustive et
exacte et à contrôler la fiabilité des données présentées dans l’étude. Après l’analyse du Comité technique interministériel, le
promoteur produit un rapport final intégrant toutes les observations et dépose cinq (05) copies, en plus de la version
électronique, auprès du service compétent pour l’acquisition du permis environnemental.
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Article 27: (..) Le ministre dispose d’un délai maximum de quarante-cinq (45) jours, à compter de la date de réception du
Rapport d’Etude d’Impacts environnemental et social, pour notifier sa décision au promoteur. Si dans les délais impartis, le
promoteur n’a reçu aucune suite, il est tenu d’adresser une lettre de rappel au ministre en précisant les références de la demande
initiale. Le ministre répond dans les quinze (15) jours, à compter de la date de réception de la lettre de rappel.
Article 28 : Toutefois, si le ministre chargé de l’Environnement ne notifie pas sa décision au promoteur dans les quinze jours à
partir de la date de réception de la lettre de rappel, le permis est acquis de plein droit.
Prise de décision
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Article 27 : Lorsque le Rapport d’Etude d’Impacts environnemental et social est jugé satisfaisant, le ministre en charge de
l’Environnement délivre, par décision, un Permis environnemental pour la réalisation du projet avec
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transparante du permis ou d'inclure d'autres éléments que ceux déjà contenus dans l'EIES.
Délai de la décision
Après la soumission du rapport de l'EIE, le ministre dispose de 45 jours pour communiquer sa décision.
S'il ne le fait pas, le promoteur est autorisé à mettre en œuvre le projet.
Suivi de la conformité
Le promoteur doit mettre en œuvre un plan de suivi de la qualité de l'environnement et de la surveillance
de la légalité de ses propres activités en collaboration avec des services techniques respectés et
l'administration locale de la Direction. Le DNACPN est responsable du respect du permis et supervise la
mise en œuvre du plan de surveillance. Les ministères sectoriels respectifs et le ministère chargé de
l'environnement assurent le contrôle de la surveillance environnementale. En outre, les autorités locales
de la zone touchée par le projet et les services techniques de l'État participent à la surveillance
locale. Avant la fin du projet, le promoteur doit également effectuer une vérification environnementale.
Cet audit est soumis à une analyse du comité technique interministériel pour l’analyse environnementale.
Si l'analyse conclut que le promoteur respecte ses engagements et ses obligations, le ministre chargé de
l'Environnement délivre un certificat d'autorisation environnementale. Si, au cours de la mise en œuvre
du projet, les mesures environnementales s'avèrent inadéquates, le ministère en charge de
l'environnement, en consultation avec le ministère du secteur concerné, peut demander au promoteur
d'adapter les mesures en fonction des besoins.
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surveillance environnementale et de suivi environnemental en collaboration avec les services techniques concernés
et l’administration locale.
Article 38 : Le service compétent s’assure du respect des autorisations émises pour la surveillance environnementale et
superviser la mise en oeuvre du plan de surveillance environnementale et du suivi.
Article 39 : Le ministre en charge du secteur du projet et celui de l’Environnement assurent le contrôle du programme de suivi et
de surveillance de l’Environnement. Les autorités locales des lieux d’implantation des projets et les services techniques sont
associés au suivi rapproché.
Article 40 : Avant la fin du projet, le promoteur procède à un audit environnemental. L’audit est soumis à l’analyse d’un comité
technique
interministériel restreint d’analyse environnementale. Si l’analyse conclut au respect, par le promoteur, de ses engagements et
obligations en matière environnementale, le ministre chargé de l’Environnement délivre un quitus.
d’envergure nationale ou régionale déjà réalisé ne peuvent être exécutés qu’après production d’une notice
d’impacts environnemental et social approuvée par le Directeur national ou régional de l’Assainissement et du Contrôle des
Pollutions et des Nuisances.
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Infractions et sanctions
En cas d'infractions, les sanctions sont imposées par le ministre de l'environnement en consultation avec
le ministre sectoriel compétent. On peut suspendre les travaux et le permis environnemental et même
révoquer le permis de manière permanente sans remboursement.
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Article 41 : Constituent des violations aux règles prescrites par le présent décret :
a) le fait, pour un promoteur, d’avoir entrepris l’exécution de son projet sans obtention préalable d’un Permis environnemental en
vigueur ou sans approbation du Rapport de la Notice d’Impacts ;
b) l’inexécution totale ou partielle des obligations contenues dans le Rapport d’Etude d’Impacts environnemental et social ou de
notice d’impacts environnemental et social et les clauses environnementales édictées par le Comité interministériel au niveau
national ou le Comité technique au niveau régional ;
c) le fait, pour un promoteur, de s’être abstenu de prendre les mesures de correction ou de compensation prescrites.
a) l’arrêt de l’exécution du projet qui pourrait être assorti d’une injonction de remise en état des lieux ;
c) l’injonction de procéder, dans un délai préfixé, à la mise en oeuvre de mesures de correction et de compensation ;
d) la suspension ou le retrait du Permis environnemental, le retrait de la lettre d’approbation du Rapport de la Notice d’Impacts
environnemental et social. Les sanctions sont prononcées par décision du ministre en charge de l’Environnement après concertation
avec le ministre sectoriel compétent.
Participation publique
3. A la fin de l’étude, des mesures pour intégrer les préoccupations exprimées par les populations sont
introduites.
source
ET SOCIAL (http://www.fao.org/faolex/results/details/en/c/LEX-FAOC152627 )
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Pas de temps maximum spécifié.
Accès à l'information
Le décret sur l'EIES ne crée pas une transparence obligatoire sauf les consultations publiques. Mais la loi
de 2001 crée un droit à toute personne à l'accès aux informations environnementales.
source
L'accès aux informations environnementales, dont la publication affecte les relations internationales, la défense nationale, la
confidentialité ou pouvant provoquer un grave danger pour la sécurité, est soumis à autorisation.
Article 8 : La demande d'information environnementale doit être refusée si elle se réfère à la transmission dossiers n'étant encore
clos ou de données dont le traitement n'est pas encore achevé ou de communications administratives internes.
source
Cartographie d'EIES
Instances professionnelles
Association Ouest-Africaine d'Evaluation Environnementale (AOAEE).
Association Malienne des Evaluations Environnementales: Le siège social de l’Association est fixé à à
Hamdallaye ACI, Rue 390, Porte 388,
Association nationale pour l'EIE au Mali; Contact: Mori Kaba Diakité [[email protected]]
Historique de l'EIES
Déjà en 1991, au Mali une loi sur la protection de l’environnement prévoyait des dispositions relatives à
l’EIES. La réglementation EIES de 1999 fournissait ensuite des informations plus détaillées sur le
processus d’EIES. Depuis lors, le système d'EIES au Mali a été perfectionné grâce à la publication de
nouveaux règlements et de règlements modifiés en matière d'EIES. La loi sur la pollution et les
nuisances de 2001 fournit le cadre juridique actuel de l’EIES au Mali. Après plusieurs révisions, un décret
sur l'EIES a été adopté en décembre 2018. La présente procédure oblige des consultations du public,
mais elle ne peut pas être considéré comme ayant une nature publique: ni les TdR, ni les rapport d'EIES
ni les permis environnementaux sont obligatoirement publiés ou susceptible d'un examen publique.
Pourtant, une loi de 2001 crée le droit de toute personne au libre accès aux informations
environnementales.
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source
Le décret n ° 99-189 du 5 juillet 1999 relatif aux procédures d'EIES a opérationnalisé l’EIES pour la première fois.
source
Article 3 : Les activités susceptibles de porter atteinte à l'environnement et à la qualité du cadre de vie sont soumises à une
autorisation préalable du ministre chargé de l'Environnement sur la base d'un rapport d'étude d'impact sur l'environnement.
Article 4: Un décret pris en Conseil des Ministres sur proposition du ministre chargé de l'environnement fixe, révise la liste des
projets soumis à l'étude d'impact sur l'environnement et précise le contenu de cette procédure.
Article 5: Sont obligatoirement soumis à l'audit d'environnement tout travail, tout aménagement et tout ouvrage industriel,
agricole, minier, artisanal, commercial ou de transport dont l'activité peut être source de pollution, de nuisance ou de dégradation
de l'environnement.
Article 6 : Un décret pris en Conseil des Ministres détermine les conditions d'exécution de l'audit.
http://faolex.fao.org/docs/texts/mli73664.doc
https://www.ecolex.org/details/legislation/loi-n-01-020-relative-aux-pollutions-et-aux-nuisances-lex-faoc073664/
source
http://www.fao.org/faolex/results/details/fr/c/LEX-FAOC183373/
Guides
Vers 2006, une série de guides sectoriels a été préparée. La CNEE ne possède aucune copie des versions
finales.
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Champs d'application de l'EIES
Le décret No 2018 -0991 stipule dans son Article 5 : Les projets, qu’ils soient publics ou
privés, consistant en des travaux, en des aménagements, en des constructions ou d’autres activités dans
les domaines industriel, énergétique, agricole, minier, artisanal, commercial ou de transport, des
télécommunications et des hydrocarbures dont la réalisation est susceptible de porter atteinte à
l’Environnement, sont soumis à une étude d’impacts environnemental et social ou à une notice d’impacts
environnemental et social. Projets listés en catégorie A et B nécessitent une EIES(la différence entre
catégorie A et B étant la matière de l'analyse).
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Article 4 : Les projets sont classés dans les trois catégories ci-après, selon l’importance de leurs impacts négatifs
sur l’environnement et sur le social:
Projets de Catégorie A : Projets pouvant avoir des impacts très négatifs, généralement irréversibles, sans précédent, le plus
souvent ressentis dans une zone plus vaste que les sites faisant l’objet des travaux.
Projets de catégorie B : Projets dont les impacts négatifs sur l’Environnement et sur les populations sont moins graves que ceux
des projets de la catégorie A. Ces impacts sont d’une nature délimitée
et rarement irréversible.
Projets de catégorie C : Projets dont les impacts négatifs ne sont pas significatifs sur l’Environnement.
source
Article 30 : Le ministre chargé de l’Environnement peut soustraire un projet d’étude d’impacts environnemental et social lorsque
la réalisation de ce projet vise à réparer ou à prévenir des dommages causés à l’Environnement par une catastrophe naturelle ou
technologique. Dans ce cas, le ministre chargé de l’Environnement prend une décision qui peut être assortie de conditions qu’il
juge nécessaires pour protéger l’Environnement.
source
https://environnement.gouv.ml/services-rattaches/
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Interministériel est responsable pour le contrôle de la qualité de l'EIES.
source
environnemental et social est faite par un Comité technique interministériel. L’analyse consiste à s’assurer que tous les
éléments contenus dans les termes de référence sont traités de façon exhaustive et exacte et à contrôler la fiabilité des
données présentées dans l’étude. Après l’analyse du Comité technique interministériel, le promoteur produit un rapport final
intégrant toutes les observations et dépose cinq (05) copies, en plus de la version électronique, auprès du service compétent pour
l’acquisition du permis environnemental.
Système de paiement
Le promoteur paie des droits pour l'EIES - à l'agence d'évaluation de la qualité des EIE (méthode directe)
source
Article 16 : A la réception de la demande, le service compétent indique au promoteur la nature de l’étude à mener (Etude
d’Impacts environnemental et social ou Notice d’Impacts environnemental et social). Si le projet est assujetti à une Etude
d’Impacts environnemental et social, le promoteur élabore le projet de termes de référence de l’Etude d’Impacts à
réaliser conformément aux directives fournies. Dans le cas d’une Notice d’Impacts environnemental et social, le promoteur ne
fournit pas de termes de référence. Aussi, le service compétent exige du promoteur le paiement de tous les frais afférents à :
d) la consultation publique ;
Le montant de ces frais est un pourcentage du coût total des investissements corporels fixé par arrêté conjoint des ministres
chargés de l’Environnement, des Investissements et des Finances. Ce même arrêté détermine les modalités de paiement et de
gestion des sommes perçues.
source
https://environnement.gouv.ml/
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