EDSGIII
EDSGIII
Enquête Démographique
et de Santé 2019–21
RÉPUBLIQUE GABONAISE
Juin 2023
Ce rapport présente les résultats de la troisième Enquête Démographique et de Santé au Gabon (EDSG-III),
conduite dans le cadre du programme des activités “Gabon-Banque mondiale (feuille de route) 2015–2020”.
L’EDSG-III 2019–21 a été réalisée par la Direction Générale de la Statistique (DGS) du ministère de l’Économie
et de la Relance, en étroite collaboration avec le Programme de Lutte contre les IST et le VIH/Sida
(PLIST/VIHSIDA), le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) du ministère de la Santé et des
Affaires Sociales (MSAS), et les services techniques du ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
Scientifique. Le financement de l’EDSG-III a été assuré par la Banque mondiale, l’UNFPA et le Gouvernement
de la République Gabonaise. ICF a fourni l’assistance technique à l’ensemble du projet par le biais du DHS
Program dont l’objectif est de fournir un support et une assistance technique à des pays à travers le monde pour
la réalisation des enquêtes sur la population et la santé.
Pour tout renseignement concernant la troisième Enquête Démographique et de Santé au Gabon (EDSG-III),
veuillez contacter la Direction Générale de la Statistique, Gabon : OLOUMI, Immeuble ancienne Planification ;
B.P. 2119-Libreville-Gabon ; e-mail : [email protected] ; téléphone : (+241) 0172 04 55/0172 13 69/01 76
06 71 ; fax : (+241) 01 72 04 57 ; web : https://statgabon.ga.
Pour obtenir des informations sur le DHS Program, veuillez contacter ICF, 530 Gaither Road, Suite 500,
Rockville, MD 20850, USA ; téléphone : +1-301-407-6500 ; fax : +1-301-407-6501 ; email :
[email protected]; Internet : www.DHSprogram.com.
Citation recommandée :
Direction Générale de la Statistique (DGS) et ICF. 2023. Enquête Démographique et de Santé au Gabon, 2019–
21. Libreville, Gabon et Rockville, Maryland, USA : DGS et ICF.
TABLE DES MATIÈRES
5 FÉCONDITÉ ................................................................................................................................. 85
5.1 Fécondité actuelle .............................................................................................................. 85
5.2 Enfants déjà nés et enfants survivants ............................................................................... 87
5.3 Intervalles intergénésiques ................................................................................................ 88
5.4 Insusceptibilité de tomber enceinte ................................................................................... 89
5.5 Âge à la première naissance .............................................................................................. 90
5.6 Fécondité des adolescentes ................................................................................................ 90
5.7 Rapports sexuels et comportements en matière de santé reproductive avant l’âge
de 15 ans ............................................................................................................................ 93
Graphique 2.1 Eau utilisée par les ménages pour boire, par résidence ........................................ 12
Graphique 2.2 Types d’installations sanitaires utilisées par les ménages par résidence.............. 13
Graphique 2.3 Quintiles de bien-être économique par résidence ................................................ 16
Graphique 2.4 Pyramide des âges de la population ..................................................................... 17
Graphique 2.5 Fréquentation scolaire au niveau secondaire par indice de bien-être
économique .......................................................................................................... 20
5 FÉCONDITÉ ................................................................................................................................. 85
Tableau 5.1 Fécondité actuelle ................................................................................................ 94
Tableau 5.2 Fécondité selon certaines caractéristiques ........................................................... 94
Tableau 5.3.1 Tendances de la fécondité par âge et indice synthétique de fécondité ................. 95
Tableau 5.3.2 Tendances de la fécondité par âge ....................................................................... 95
Tableau 5.4 Enfants nés vivants et enfants survivants des femmes ......................................... 96
Tableau 5.5 Intervalles intergénésique .................................................................................... 97
Tableau 5.6 Aménorrhée, abstinence et insusceptibilité post-partum...................................... 98
Tableau 5.7 Durée médiane de l’aménorrhée, de l’abstinence post-partum et de
l’insusceptibilité post-partum............................................................................... 99
Tableau 5.8 Ménopause ......................................................................................................... 100
Tableau 5.9 Âge à la première naissance ............................................................................... 100
Tableau 5.10 Âge médian à la première naissance .................................................................. 101
Tableau 5.11 Fécondité des adolescentes ................................................................................ 102
Tableau 5.12 Rapports sexuels et comportements en matière de santé reproductive avant
l’âge de 15 ans ................................................................................................... 102
Graphique 6.1 Désir de limiter les naissances par nombre d’enfants vivants : tendances ......... 104
Graphique 6.2 Désir de limiter les naissances par nombre d’enfants vivants ............................ 105
Graphique 6.3 Taille idéale de la famille ................................................................................... 106
Graphique 6.4 Taille idéale de la famille par bien-être économique du ménage ....................... 106
Graphique 6.5 Planification de la fécondité............................................................................... 107
Graphique 6.6 Fécondité désirée et fécondité actuelle : tendances............................................ 108
Carte 7.1 Utilisation d’une méthode moderne contraceptive par province........................ 120
Carte 7.2 Besoins non satisfaits par province .................................................................... 125
Graphique 8.1 Proportion de femmes ayant déclaré avoir avorté au cours de leur vie .............. 148
Graphique 8.2 Avortement par niveau d’instruction des femmes ............................................. 148
Carte 9.1 Naissances dans un établissement de santé par province ................................... 169
Carte 11.1 Retard de croissance chez les enfants par province ........................................... 220
Carte 11.2 Anémie chez les enfants par province................................................................ 227
Graphique 12.1 Tendances de la mortalité des enfants de moins de 5 ans .................................. 254
Graphique 12.2 Mortalité infanto-juvénile par niveau d’instruction de la mère.......................... 256
Graphique 12.3 Mortalité des enfants de moins de 5 ans selon l’intervalle avec la
naissance précédente .......................................................................................... 257
Graphique 12.4 Mortalité périnatale par bien-être économique du ménage ................................ 258
Graphique 14.1 A eu la pression artérielle mesurée par un prestataire de soins de santé ............ 295
Graphique 14.2 Informé par un prestataire qu’ils souffraient d’hypertension artérielle par
quintile de bien-être ........................................................................................... 295
Graphique 14.3 Prévalence de l’hypertension et niveaux d’hypertension ................................... 296
Graphique 14.4 Femmes ayant entendu parler du cancer du col de l’utérus par niveau
d’instruction ....................................................................................................... 298
Graphique 14.5 A eu la glycémie mesurée par un médecin ou par un prestataire de soins de
santé par résidence ............................................................................................. 299
Graphique 16.1 Violence subie par les femmes selon leur état matrimonial ............................... 348
Graphique 16.2 Violence subie durant une grossesse selon le nombre d’enfants vivants ........... 350
Graphique 16.3 Types d’actes de violence conjugale .................................................................. 352
Graphique 16.4 Tendances de la violence conjugale ................................................................... 353
Graphique 16.5 Violence conjugale selon le nombre de contrôles exercés par le
mari/partenaire ................................................................................................... 355
Graphique 16.6 Recherche d’aide par type de violence subie ..................................................... 357
Ce rapport présente les résultats définitifs de l’EDSG-III 2019–21 qui a été exécutée, sur le terrain de 2019
à 2021, pour sa phase de collecte principale des données dans les unités primaires de sondage (grappes).
En mettant en place le dispositif de l’Enquête Démographique et de Santé, la DGS souhaite mettre à la
disposition des décideurs politiques, des planificateurs et des chercheurs, des données actualisées pour une
meilleure planification du développement économique et social du pays. Il constitue donc un précieux
instrument de travail pour tous les acteurs dans le but d’une évaluation efficace et une mise en œuvre
pertinente des programmes de population et de santé en vue d’améliorer davantage la qualité de vie de la
population gabonaise. Il donne également des indicateurs de référence dans les domaines de la santé et de
la démographie en rapport avec l’agenda mondial 2030 sur les objectifs de développement durable (ODD)
et l’agenda 2063 de développement de l’Afrique baptisé “L’Afrique que nous voulons”. Avec les données
de cette EDSG-III 2019–21, le Gabon vient de renforcer, d’enrichir et d’actualiser ses bases de données
socioéconomiques.
J’adresse toutes mes félicitations au personnel de terrain (superviseurs, éditeurs, chefs d’équipe,
chauffeurs, enquêteurs, techniciens de santé), pour leur professionnalisme, leur dévouement et leur
l’endurance dont ils ont fait preuve et qui ont été déterminants pour la réussite de ce travail.
À travers ce rapport, la DGS poursuit ses efforts à l’endroit des utilisateurs pour faciliter l’accès aux
données. Les bases et les documents relatifs à l’EDSG-III 2019–21 sont mis en ligne sur internet et sont
téléchargeables.
Je remercie tous les partenaires institutionnels et toutes les personnes qui ont contribué à la réussite de
cette importante opération.
J’exprime ma profonde gratitude aux populations pour leur appui et leur disponibilité tout au long du
travail de collecte des données.
Préface • xix
REMERCIEMENTS
L
a troisième Enquête Démographique et de Santé (EDSG-III), réalisée par la Direction Générale de
la Statistique (DGS) en collaboration avec les différents programmes nationaux, œuvrant dans les
domaines de la santé, a bénéficié de l’appui technique d’ICF.
Cette opération a été financée par la Banque mondiale dans le cadre du Projet de Développement des
Statistiques (PDS). Cette opération d’envergure nationale a permis au Gabon de disposer de données
statistiques actualisées dans les domaines aussi variés que la fécondité, la mortalité des enfants et des
adultes, la planification familiale, les soins pré et postnatals, la nutrition, la vaccination, la santé de la mère
et de l’enfant, la violence domestique, la consommation de tabac et d’alcool, les maladies cardio-
vasculaires, la connaissance et les attitudes des hommes et des femmes concernant le VIH et l’hépatite B,
le travail et la discipline des enfants. Par ailleurs, elle a également collecté des données qui ont permis
d’estimer les prévalences nationales du Virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et du Virus de
l’hépatite B dans la population des femmes et des hommes de 15-64 ans, suite aux prélèvements anonymes
de sang effectués sur les personnes éligibles pour le dépistage volontaire.
L’aboutissement de cette opération est attribuable, en premier lieu, à la disponibilité des populations que
nous remercions vivement, mais aussi à l’engagement des plus Hautes Autorités du pays pour le
renforcement des capacités statistiques nationales, sans oublier l’implication des partenaires internationaux
et leur rôle d’encadrement technique. À cet égard, je voudrais vous réaffirmer ma gratitude, pour tous les
efforts accomplis dans la réalisation de cette importante opération qui contribuera à améliorer les données
statistiques dans ce domaine, avec pour but final, une meilleure prise de décisions en termes de politiques
et programmes de développement de notre pays.
▪ Son Excellence, Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République Gabonaise, Chef de l’État,
pour son implication personnelle dans le renforcement des capacités statistiques au Gabon ;
▪ Monsieur Alain Claude BYLIE BI NZE, Premier Ministre, Chef du Gouvernement, pour la mise en
œuvre de ce projet ;
▪ Madame Nicole Jeanine Lydie ROBOTY épse MBOU, Ministre de l’Économie et de la Relance, qui
a efficacement œuvré à la réussite du projet dans un contexte de COVID-19 ;
▪ L’ensemble des autorités administratives, politiques, militaires et religieuses pour les facilités
apportées aux équipes dans les différentes phases de cette activité ;
▪ Toutes les populations des localités visitées pour leur accueil et leur disponibilité.
Remerciements • xxi
▪ La Banque mondiale, pour son assistance technique et financière ;
▪ Notre partenaire technique et financier, le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) pour
sa précieuse contribution à la réussite de ce projet.
▪ L’agence fiduciaire CNTIPPEE, pour la gestion financière et comptable des fonds alloués au projet.
▪ Les experts de ICF Macro International, en l’occurrence, Yodit BEKELE, Tinga SINARE, Juste
Sibiri NITIEMA, Professeur Michel TOUKAM, Dr Sanou OUMAROU, Ruilin REN, pour
l’appui dans la préparation et l’encadrement de la collecte, du traitement des données, l’analyse et la
publication des résultats.
Nos chaleureuses félicitations à tous les analystes et lecteurs du présent rapport, principalement :
Enfin, nous rendons un hommage à Bernard BARRÈRE, Directeur adjoint des opérations du Programme
Mondial des Enquêtes Démographiques et de Santé, et à Jacques EROULAGO, Chef d’équipe des phases
cartographie, enquêtes pilote et principale de la Troisième Enquête Démographique et de Santé (EDSG-
III), qui nous ont quittés avant la finalisation de ce projet.
Au nom de la Direction Générale de la Statistique, je puis assurer à toutes et à tous que cette publication
des résultats de la troisième Enquête Démographique et de Santé répond aux attentes globales du projet, et
que l’ensemble de ces statistiques sera mis à la disposition de tous, dans les meilleurs délais.
xxii • Remerciements
LISTE DES PARTICIPANTS À L’ATELIER D’ANALYSE
DE L’EDSG-III 2019–21
DGS
ZE NGUEMA Désiré
NDONG MISSANG Jean Martin
REVAZA Elvire
NKOGHE BEKALE Serge
BAKITA Roland
ONDO ONGONE Alain Gervais
ANGUE ELLA Rosine
ZONG MBA Daniella Rosita
NDEMEZOGHE ONDO Isaac Paterne
ZANG TOUNG Olga
MAGANGA Serges R.
MOUDJIGUI Dieu-Donné Paul
BOUASSA Lionnel
WAMBERT MASSAMBA Ghislain
HepB Hépatite B
Hib Haemophilus Influenzae type B
HTA Hypertension artérielle
SD Secteurs de dénombrement
SIDA Syndrome de l’Immunodéficience Acquise
SMAM Semaine mondiale de l’allaitement maternel
SMI Santé maternelle et infantile
SRMNIA-N Santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile des adolescents et la nutrition
SRO Sels de réhydratation orale
SUN Scaling Up Nutrition
L
e rapport final de la troisième EDS du
Gabon (EDSG-III) 2019–21 est basé sur
environ 200 tableaux de données. Pour
qu’ils puissent être consultés rapidement et
facilement, les tableaux se trouvent à la fin de
chaque chapitre, et les utilisateurs, disposant de la
version électronique, peuvent aussi y accéder en
utilisant les liens pertinents dans le texte. En outre,
ce format plus attrayant et très pratique présente
environ 90 graphiques et cartes qui soulignent
clairement les tendances au cours du temps, les
variations infranationales et certaines
caractéristiques sociodémographiques. Des cartes
colorées présentent les résultats répartis par
province au Gabon. Le texte a été simplifié pour
mettre en évidence les points-clés dans une liste à
puces et les définitions des indicateurs présentés
dans des encadrés.
Les pages suivantes fournissent une introduction à l’organisation des tableaux de l’EDSG-III, la
présentation des caractéristiques sociodémographiques, ainsi qu’un bref résumé de la procédure
d’échantillonnage pour faciliter la compréhension des dénominateurs. En outre, cette section comprend des
exercices pour que les utilisateurs s’exercent à interpréter les tableaux de l’EDSG-III en utilisant leurs
nouvelles compétences.
Caractéristique
Lit un journal, au
moins, une fois
télévision, au
mois, une fois
Écoute la radio, Les trois médias, Aucun média, au
au moins, une au moins, une moins, une fois
2
Effectif de
sociodémographique par semaine par semaine fois par semaine fois par semaine par semaine femmes
Groupe d’âges
15–19 10,1 76,6 12,0 3,3 20,3 1 726
20–24 12,1 78,8 13,0 4,4 19,1 1 839
25–29 12,1 78,7 14,1 3,3 18,6 1 798
30–34 14,7 80,4 17,7 5,0 16,7 1 493
35–39 15,9 77,2 19,7 6,1 19,7 1 257
40–44 15,2 75,6 20,5 5,9 20,1 1 051
45–49 12,8 70,4 19,0 4,7 26,3 747
Résidence
Port Gentil/Libreville 14,4 81,9 16,7 4,4 15,3 5 718
Autres villes 12,0 76,6 15,2 5,1 20,8 3 453
Ensemble urbain 13,5 79,9 16,1 4,6 17,3 9 171
Rural 7,2 47,2 12,4 2,7 47,2 739
Province
Libreville 16,4 82,2 18,5 5,2 14,8 4 624
Port-Gentil 5,9 80,7 9,0 1,0 17,3 1 094
Estuaire (sans Libreville) 16,7 78,7 14,3 5,1 17,3 1 321
Haut-Ogooué 7,3 70,9 6,6 3,0 27,0 863
Moyen-Ogooué 24,3 77,4 19,4 8,7 16,7 303
Ngounié 4,5 62,3 8,1 1,7 34,7 395
Nyanga 3,4 68,9 14,2 1,8 28,9 181
Ogooué-Ivindo 1,9 46,5 4,0 0,7 51,9 213
Ogooué-Lolo 6,3 68,8 9,8 1,8 29,1 213
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 4,7 69,9 15,8 1,8 27,3 104
Woleu-Ntem 10,9 70,2 34,7 9,7 27,4 597
Niveau d’instruction
Aucun
Primaire
1,1
4,6
59,2
64,1
5 11,8
13,8
0,8
2,0
37,5
32,5
586
1 286
Secondaire 1er cycle 10,6 77,2 14,2 3,5 19,8 4 242
Secondaire 2e cycle 15,8 84,9 16,8 5,4 12,9 2 300
Supérieur 27,4 85,6 22,2 9,5 11,1 1 496
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 6,7 49,8 10,6 2,5 45,4 1 593
Second 10,2 76,6 14,0 3,5 20,1 2 054
Moyen 9,6 82,8 15,5 3,0 15,3 2 047
Quatrième 16,4 85,9 19,8 5,4 11,4 2 106
Le plus élevé 20,4 85,7 18,0 7,5 11,9 2 109
Ensemble 15–49
4 13,0 77,5 15,8 4,5 19,6 9 910
Étape 1 : Lisez le titre et le sous-titre, surlignés en orange dans le tableau ci-dessus. Ils présentent le sujet
et la population de référence que le tableau décrit. Dans ce cas, le tableau porte sur les femmes de
15–49 ans et leur niveau d’exposition à différents types de médias. Ces questions ont été posées à toutes
les femmes éligibles de 15–49 ans.
Étape 2 : Examinez les en-têtes de colonnes—surlignés en vert dans l’Exemple 1. Ils décrivent comment
l’information est présentée par catégorie. Dans ce tableau, les trois premières colonnes de données
présentent les différents types de médias auxquels les femmes ont accès au moins une fois par semaine. La
quatrième colonne présente les femmes qui ont accès aux trois types de médias alors que la cinquième
colonne présente les femmes qui n’ont accès à aucun des trois types de médias sur une base hebdomadaire.
La dernière colonne montre les effectifs de femmes de 15–49 ans interviewées dans l’enquête.
Étape 3 : Examinez les titres des lignes—la première colonne verticale surlignée en bleu dans l’Exemple
1. Ces titres sont les catégories selon lesquelles les données sont distribuées, basées sur les caractéristiques
Étape 4 : Regardez la dernière ligne du tableau surlignée en rose. Ces pourcentages représentent
l’ensemble de toutes les femmes de 15–49 ans et leur accès à différents types de médias au moins une fois
par semaine. Dans ce cas, 13,0 %* des femmes de 15–49 ans lisent un journal au moins une fois par
semaine, 77,5 % regardent la télévision au moins une fois par semaine et 15,8 % écoutent la radio sur une
base hebdomadaire.
Étape 5 : Pour trouver quel est le pourcentage de femmes ayant un niveau d’instruction primaire qui
écoutent la radio, au moins, une fois par semaine, tracez deux lignes imaginaires, comme montré en violet
dans l’Exemple 1. Cela montre que 13,8 % de femmes de 15–49 ans ayant un niveau d’instruction primaire
écoutent la radio, au moins, une fois par semaine.
En regardant les variations par caractéristiques sociodémographiques, nous pouvons voir comment varie le
niveau d’exposition des femmes aux médias de masse au Gabon. Les médias de masse sont souvent utilisés
pour communiquer des messages sur la santé. Savoir comment varie l’exposition aux médias dans les
différents groupes de population peut aider les planificateurs de programmes et les décideurs politiques à
mieux identifier les groupes cibles et atteindre plus efficacement les populations concernées.
*Dans ce document, les données sont présentées exactement comme elles apparaissent dans le tableau, y compris le nombre
de décimales. Cependant, dans la suite de ce rapport, les chiffres seront arrondis au point de pourcentage entier le plus
proche.
2 Pourcentage
Pourcentage
pour lesquels
pour lesquels on a recherché
Pourcentage des conseils ou des conseils ou
avec des un traitement un traitement le
Caractéristique symptômes Effectif ont été même jour ou Effectif
sociodémographique d’IRA1 d’enfants recherchés2 le jour suivant d’enfants
Âge en mois
<6 0,6 587 * * 4
6–11 1,7 668 * * 11
12–23 3,0 1 289 (95,7) (49,4) 39
24–35 1,3 1 029 * * 13
a
36–47 0,5 1 187 * * 6
b
48–59 1,1 1 112 * * 13
Sexe
Masculin 1,3 3 079 (92,1) (61,3) 42
Féminin 1,6 2 794 (98,2) (34,0) 43
Consommation de tabac/
cigarettes par la mère
Fume cigarettes/tabac 0,7 113 * * 1
Ne fume pas 1,5 5 760 95,2 47,8 84
Combustible de cuisson
Électricité ou gaz 1,4 5 351 96,7 50,3 77
Kérosène * 10 * * 0
Charbon de bois 0,5 156 * * 1
Bois/paille3 2,2 351 * * 8
Sciure/copeaux de bois * 1 * * 0
Pas de repas préparé dans le
ménage
Résidence
* 5 * 4 * 0
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur
est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Les symptômes d’IRA incluent une respiration courte et rapide associée à des problèmes de congestion dans la
poitrine et/ou des difficultés respiratoires associées à des problèmes de congestion dans la poitrine.
2
Sont inclus les conseils ou traitements fournis par : Secteur public, secteur médical privé, boutique, marché et
vendeur de médicament itinérants. Ne sont pas pris en compte ici les conseils ou traitements fournis par un praticien
traditionnel ou un “Nganga” (devin-guérisseur au Gabon).
3
Y compris l’herbe, les arbustes et les résidus agricoles
Étape 2 : Identifiez les colonnes qui se réfèrent à tous les enfants de moins de 5 ans (a), et isolez ensuite
les colonnes qui se réfèrent seulement aux enfants de moins de 5 ans qui ont eu des symptômes d’IRA au
cours des 2 semaines ayant précédé l’interview (b).
Étape 3 : Regardez le premier groupe de colonnes (a). Quel pourcentage d’enfants de moins de 5 ans ont
eu des symptômes d’IRA au cours des 2 semaines ayant précédé l’interview ? C’est 1,4 %.
Maintenant regardez le groupe (b). Combien d’enfants de moins de 5 ans ont eu des symptômes d’IRA au
cours des 2 semaines ayant précédé l’interview ? Ce sont 85 enfants ou 1,4 % de 5 873 enfants de moins de
5 ans (avec chiffres arrondis). Le groupe (b) est un sous-groupe du groupe (a).
Étape 4 : 85 enfants de moins de 5 ans ont eu des symptômes d’IRA au cours des 2 semaines ayant
précédé l’interview. Une fois que ces 85 enfants sont répartis par caractéristiques sociodémographiques, il
y a parfois trop peu de cas pour que ces pourcentages soient fiables.
Parmi les enfants de moins de 5 ans de sexe féminin ayant eu des symptômes d’IRA au cours des 2
semaines ayant précédé l’interview, quel est le pourcentage pour lesquels on a recherché des conseils
ou un traitement le jour même ou le jour suivant ? 34,0 %. Ce pourcentage est entre parenthèses car il
est basé sur un effectif réduit (25–49 enfants non pondérés) dans cette catégorie. Les lecteurs doivent
utiliser ces chiffres avec précaution - ils peuvent ne pas être fiables. (Pour plus d’informations sur les
nombres pondérés et non pondérés, voir Exemple 3.)
Parmi les enfants de moins de 5 ans et dans la province de la Nyanga, quel est le pourcentage pour lesquels
des conseils ou un traitement ont été recherchés ? Il n’y a pas de chiffre dans cette cellule - seulement
un astérisque. Cela parce que la valeur est basée sur un effectif de cas inférieur à 25 enfants non-
pondérés. Les résultats pour ce groupe ne sont pas présentés. Le sous-groupe est trop petit et, par
conséquent, les données ne sont pas fiables.
Note : Quand des nombres sont présentés entre parenthèses ou quand il y a un astérisque à la place d’un
chiffre dans un tableau, l’explication doit figurer dans une note au bas du tableau. S’il n’y a aucune
parenthèse ou astérisque dans le tableau, vous pouvez en déduire qu’il y a suffisamment de cas dans toutes
les catégories et que les données sont statistiquement représentatives.
Un échantillon est un groupe d’individus Tableau 3.1 Caractéristiques sociodémographiques des enquêtés
Répartition (en %) des femmes et des hommes enquêtés de 15–49 ans par certaines
sélectionnés pour une enquête. Dans caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
l’EDSG-III 2019–21, l’échantillon est Femme
conçu pour représenter la population Caractéristique Pourcentage Effectif Effectif non
nationale de 15–49 ans. En plus des
sociodémographique
Province
3 pondéré 2 pondéré 1 pondéré
(Libreville et Port-Gentil).
Pour produire des statistiques représentatives du pays dans son ensemble, au niveau des neuf provinces et
des deux grandes villes, le nombre de femmes enquêtées dans chaque entité géographique administrative
doit contribuer à la taille de l’échantillon total (national) en proportion de la taille de l’entité géographique
administrative. Cependant, dans le cas où certaines entités géographiques administratives ont de petites
populations, un échantillon alloué en proportion de chaque entité géographique administrative peut ne pas
inclure suffisamment de femmes de chacune d’elle pour l’analyse. Pour résoudre ce problème, les entités
géographiques administratives avec de petites populations sont sur-échantillonnées. Prenons le cas
suivant : vous disposez d’assez d’argent pour interviewer 11 043 femmes et vous voulez produire des
résultats représentatifs au niveau de l’ensemble du Gabon et au niveau de ses provinces (comme dans le
Tableau 3.1). Cependant, la population totale du Gabon n’est pas répartie de manière égale à travers les
entités géographiques administratives : certaines provinces, comme le Libreville, sont très peuplées alors
que d’autres comme l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) ne le sont pas. Par conséquent, l’Ogooué-
Maritime (sans Port-Gentil) doit être sur-échantillonnée.
Un statisticien expert en sondage détermine combien de femmes doivent être interviewées dans chaque
entité géographique administrative (province) pour obtenir des résultats statistiquement fiables. La colonne
surlignée en bleu (1) dans le tableau, à droite, présente le nombre réel de femmes interviewées dans chaque
province. Dans les provinces, le nombre de femmes interviewées varie de 826 à l’Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) à 1 128 à Libreville. Le nombre d’interviews est suffisant pour obtenir des résultats fiables
dans chaque province.
Avec cette répartition d’interviews, certaines provinces sont surreprésentées et d’autres sont sous-
représentées. Par exemple, la population de Libreville représente environ 46,7 % de la population du
Gabon, alors que la population de l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) ne représente que 1,1 % de la
population du Gabon. Cependant, comme le montre la colonne en bleu, le nombre de femmes interviewées
à Libreville ne représentent qu’environ 10,2 % de l’échantillon des femmes enquêtées (1 128 /11 043) et le
nombre de femmes interviewées dans l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) représente 7,5 % de
l’échantillon total des femmes enquêtées (826 /11 043). Cette répartition non pondérée des femmes ne
représente pas fidèlement la population du Gabon.
Pour obtenir des statistiques représentatives du Gabon, la répartition des femmes dans l’échantillon doit
être pondérée (ou ajustée mathématiquement) de manière à ce qu’elle soit proche de la répartition réelle
Comment les statisticiens pondèrent-ils chaque catégorie ? Ils recalculent les catégories pour qu’elles
reflètent la population réelle du Gabon. Si vous comparez la colonne en vert (3) à la répartition réelle de la
population du Gabon, vous verrez que les femmes de chaque entité géographique administrative
contribuent à l’échantillon total avec le même poids qu’elles contribuent à la population du Gabon.
L’effectif pondéré de femmes dans l’enquête représente maintenant avec précision la proportion de
femmes qui vivent réellement à Libreville et la proportion de femmes qui vivent dans l’Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil).
À cause de la crise sanitaire mondiale causée par le coronavirus (COVID-19), le travail de collecte des
données sur le terrain a été effectué en deux phases. La première qui s’est déroulée du 23 novembre 2019
au 27 mars 2020 a couvert 51 % du total des grappes de l’échantillon de l’enquête. La deuxième phase est
intervenue à la suite de l’allègement des mesures restrictives de lutte contre la COVID-19 au Gabon et a
couvert la période allant du 7 juin au 30 octobre 2021.
Les données collectées au cours de l’EDSG-III 2019–21 ont pour objectif d’aider les responsables
politiques et les gestionnaires de programmes à évaluer et à mettre en place les programmes et les
stratégies pour améliorer l’état de santé de la population du pays.
ENQUÊTE HOMME
1 - Caractéristiques
2 - PF
3 - Mariage et activité sexuelle
4 - Préférences en matière de fécondité
5 - Caractéristiques du conjoint, emploi, et rôle des genres
6 - Connaissance/attitudes sur le VIH/SIDA
7 - Autres problèmes de santé (et fumer)
8 - Consommation d’alcool et facteurs de risque
9 - Maladies non transmissibles
Par ailleurs, avant le démarrage de la collecte des données de l’EDSG-III 2019–21 auprès des ménages de
l’échantillon, les agents retenus pour l’enquête ont rempli un Questionnaire de l’Enquêteur.
Le Questionnaire Ménage, administré à un membre adulte du ménage et bien informé sur le ménage,
permet d’enregistrer tous les membres du ménage et les visiteurs qui y ont passé la nuit précédant
l’enquête, avec certaines de leurs caractéristiques : lien de parenté avec le chef de ménage, sexe, âge,
situation de résidence, niveau d’instruction, etc. Il permet aussi d’identifier les femmes, les hommes et les
enfants éligibles pour les interviews individuelles et/ou pour les tests et mesures anthropométriques. Ce
questionnaire permet également de collecter les informations sur les caractéristiques du ménage, telles que
la principale source d’approvisionnement en eau à boire, le type de toilettes, le type de matériaux du sol du
logement, la possession de certains biens durables, la possession de bétail et/ou de volaille, le lavage des
mains et la possession et l’utilisation de la moustiquaire. Il recueille aussi des données sur l’enregistrement
des enfants à l’état civil, le travail et la discipline des enfants.
Le Questionnaire Individuel Femme est utilisé pour enregistrer les informations concernant les femmes
éligibles, c’est-à-dire les femmes âgées de 15–64 ans, résidentes ou visiteuses du ménage. Il comprend les
sections suivantes : caractéristiques sociodémographiques de l’enquêtée, reproduction (et mortalité des
enfants), contraception, grossesse et soins pré et postnatals, vaccination des enfants, santé de l’enfant et
nutrition, union (mariage) et activité sexuelle, préférences en matière de fécondité, caractéristiques du
mari/partenaire et travail de la femme, connaissance/attitude sur le VIH/sida (sous-échantillon de l’enquête
homme), autres problèmes de santé et statut tabagique (sous-échantillon de l’enquête homme), mortalité
adulte et mortalité maternelle, maladies non transmissibles (sous-échantillon de l’enquête homme),
violences basées sur le genre (sous-échantillon de l’enquête homme et une femme aléatoirement
sélectionnée par ménage).
Le Questionnaire Biomarqueur 1 a permis d’enregistrer les résultats des mesures anthropométriques (poids
et taille) et des tests d’anémie et de paludisme dans les ménages non sélectionnés pour l’enquête homme
(sous-échantillon d’un tiers). Le Questionnaire Biomarqueur 2 a été utilisé dans le sous-échantillon de
Le Questionnaire Enquêteur a été rempli par les chefs d’équipe, les enquêteurs et les agents biomarqueurs
qui ont été retenus pour réaliser la collecte des données sur le terrain. Ce questionnaire permet de connaître
les caractéristiques sociodémographiques de base des agents de terrain (milieu de résidence, âge, sexe, état
matrimonial, niveau d’instruction, langues parlées), expérience en matière de grandes enquêtes telles que
les EDS.
Pendant la collecte des données et dans le sous-échantillon des deux-tiers des ménages, dans chaque
ménage visité, les enquêteurs ont testé le sel utilisé pour la cuisine. Ce test rapide permet de déterminer sur
place la teneur en iode du sel. Le “kit” utilisé permet de faire la distinction entre le sel non iodé et le sel
iodé à plus ou moins 15 parties par million (ppm). Le sel iodé à moins 15 ppm est considéré comme
insuffisamment iodé alors que celui iodé à 15 ppm ou plus est considéré comme adéquatement iodé.
Dans tous les ménages, les enfants de 6–59 mois étaient éligibles pour le test d’anémie. Pour les femmes et
les hommes de 15–64 ans, le test d’anémie ne concernait que ces catégories de population du sous-
échantillon des deux-tiers des ménages. Ce test a été effectué en utilisant le système HemoCue 201+. Après
obtention du consentement éclairé et avant le prélèvement de sang, le doigt (ou le talon pour les enfants de
6–12 mois et ceux qui sont maigres) a été nettoyé avec un tampon alcoolisé. Le doigt (ou le talon) a été
séché à l’air libre, puis un agent biomarqueur a effectué une piqûre sur la surface palmaire de l’extrémité
du doigt (ou au talon) à l’aide d’une lancette auto-rétractable, stérile et non réutilisable. Une goutte de sang
a été récupérée dans une microcuvette HemoCue et insérée dans le photomètre qui affichait le niveau
d’hémoglobine. Le résultat du test et sa signification ont été communiqués à la femme ou à l’homme ayant
participé au test ou au parent/adulte responsable de l’enfant.
En outre, dans les cas où le niveau d’hémoglobine se situait en dessous d’une certaine limite qui
correspond à une anémie sévère (un niveau d’hémoglobine <8g/dl) , l’agent biomarqueur recommandait
aux personnes concernées de se rendre dans un établissement sanitaire le plus proche pour diagnostic et
prise en charge. Une “brochure informative sur l’anémie” était systématiquement laissée aux ménages
ayant des membres éligibles pour le test d’anémie, qu’ils aient accepté ou non d’être testés.
Afin d’estimer la prévalence du paludisme parmi les enfants de 6–59 mois, dans tous les ménages, des
prélèvements de sang ont été effectués chez les enfants de ce groupe d’âges, pour lesquels les parents ou
Les tests du VIH et de l’hépatite B ont été effectués dans le sous-échantillon des deux-tiers des ménages
sélectionnés pour l’enquête homme. Dans ce sous-échantillon, toutes les femmes et tous les hommes de
15–64 ans étaient éligibles pour ces tests. Les prélèvements de sang ont été réalisés auprès de toutes les
femmes et de tous les hommes éligibles de ces ménages qui acceptaient volontairement de se soumettre
aux tests. Le protocole pour dépister le VIH et celui pour dépister l’hépatite B sont basés sur le protocole
anonyme-lié développé par le programme DHS. Selon ces protocoles, aucun nom ou autre caractéristique
individuelle ou géographique permettant d’identifier un individu ne peut être lié à l’échantillon de sang.
Prélèvement des gouttes de sang séché (DBS) : Après obtention du consentement éclairé pour chacun des
deux tests, l’agent biomarqueur a prélevé des gouttes de sang capillaire sur du papier filtre. Une étiquette
contenant un code à barres a été apposée sur le papier filtre. Une deuxième étiquette avec le même code à
barres a ensuite été collée dans les Questionnaires Biomarqueurs sur la colonne correspondant à la
personne éligible. Enfin, une troisième étiquette code à barres identique aux deux précédentes a été collée
à la feuille de transmission des DBS. Les gouttes de sang sur papier filtre ont été séchées pendant la nuit
dans une boîte de séchage contenant un dessicatif pour absorber l’humidité. Le lendemain, chaque
échantillon séché a été placé dans un petit sac en plastique imperméable et à fermeture hermétique. Ces
sacs en plastique individuels ont été conservés jusqu’à leur acheminement à la coordination de l’enquête à
la DGS à Libreville pour enregistrement, vérification et transfert au Laboratoire national du Gabon. Le
laboratoire enregistrait, à son tour, les prélèvements avant de les stocker à basse température (-80° C).
Après le brouillage de tous les identifiants pouvant permettre de retrouver une personne éligible ou une
grappe enquêtée, l’analyse des DBS au laboratoire pour les deux tests a été effectuée du 4 août au 23
décembre 2022. Un rapport séparé contenant plus de détails sur les algorithmes de dépistage et la
prévalence du VIH et de l’hépatite B est disponible.
Le poids et la taille des enfants de moins de 5 ans (dans tous les ménages), des femmes et des hommes de
15–64 ans (dans deux-tiers des ménages) ont été mesurés à l’aide, respectivement, des balances
électroniques SECA avec affichage numérique (numéro de modèle SECA 878) et des toises graduées Shorr
Board®. Les enfants de moins de 2 ans ont été mesurés en position couchée (longueur) tandis que ceux
âgés de 2 ans ou plus et les adultes ont été mesurés debout (taille). Les mesures, enregistrées dans les
Questionnaires Biomarqueurs, ont été utilisées pour évaluer l’état nutritionnel.
Dans le sous-échantillon des deux-tiers des ménages sélectionnés pour l’enquête homme, les enquêteurs
devaient mesurer la pression artérielle de toutes les femmes de 15–64 ans et de tous les hommes de 35–64
ans. Une première mesure était prise en début d’interview, une autre au milieu de l’interview, une 3e à la
fin et une moyenne de ces mesures a été calculée. Ce résultat a été communiqué aux participants et les
personnes présentant une hypertension ont été référées à un établissement sanitaire pour un suivi et une
prise en charge appropriés. Une brochure d’information et d’éducation sur l’hypertension et les moyens de
prévention a été laissée dans chacun des ménages de l’échantillon global.
L’enquête pilote a été effectuée du 30 juillet au 21 août 2019 dans deux quartiers (Venez-Voir et Lalala à
gauche) de Libreville et deux villages (Donguila et Ngouindji) situés à 50 km environ de Libreville.
Aucune des six grappes du prétest ne faisait partie de l’échantillon principal. Au total, 80 ménages ont été
interviewés par quatre équipes de travail. L’objectif de cet exercice était de tester, entre autres, les
questionnaires et le recueil des données à l’aide de la tablette par les agents, l’acceptation de l’enquête
dans la communauté, l’estimation du temps nécessaire au remplissage de chaque type de questionnaire et
la stratégie de mise en œuvre de l’enquête.
La première session de formation a été organisée du 11 octobre au 8 novembre 2019 pour préparer les
agents à la réalisation de l’enquête principale. La DGS a préalablement sélectionné 108 candidats (61
femmes et 47 hommes) aux postes d’enquêtrice, d’enquêteur et de chef d’équipe ; et le Laboratoire
national a recruté 38 candidats au poste d’agent biomarqueur (mesureur et aide-mesureur). La formation a
été organisée séparément pour le volet “questionnaire et CAPI”, du 11 octobre au 6 novembre 2019 et pour
le volet “biomarqueur”, du 21 octobre au 6 novembre 2019 à l’École supérieure de gestion, d’informatique
et des sciences (ESGIS) de Libreville dans trois salles. Les 108 candidats aux postes d’enquêtrice,
enquêteur et chef d’équipe ont été répartis dans deux salles distinctes et les 38 candidats au poste d’agents
biomarqueur dans la troisième salle. La formation des candidats enquêtrices, enquêteurs et chefs d’équipes
a porté sur les techniques d’interview et de remplissage des questionnaires, l’utilisation des tablettes PC
pour le recueil des informations, la réalisation du test de la teneur en iode du sel de cuisine et la prise de la
tension artérielle. Les candidats techniciens de santé ont, quant à eux, été formés sur les techniques de
prise des mesures anthropométriques, de réalisation des tests d’anémie et du paludisme et de celles
concernant le prélèvement sanguin pour les tests du VIH et de l’hépatite B.
Comme dans le prétest, la formation a été assurée par les cadres de la DGS (volet questionnaire et CAPI),
du Laboratoire national (volet biomarqueur) et des experts d’ICF avec la contribution des cadres des
départements sectoriels des ministères impliqués. L’approche utilisée a consisté en (i) une lecture
concomitante des manuels d’instruction et des questionnaires, suivie d’explications et de démonstrations ;
(ii) des jeux de rôle en salle entre personnel en formation, suivis de discussions ; (iii) des pratiques sur le
terrain dans des ménages réels et dans des formations sanitaires suivies de discussions en salle ; et (iv) de
l’organisation régulière des évaluations des connaissances acquises, suivies de discussions en salle. La
formation sur la mesure de la taille des enfants a comporté des tests de standardisation.
La pratique sur le terrain après la formation a été réalisée du 3 au 5 novembre 2019 dans cinq grappes
proches du lieu de la formation avec tous les candidats. Aucune de ces localités ne faisait partie de
l’échantillon principal de l’EDSG-III 2019–21.
Avec l’allègement des mesures restrictives liées à la COVID-19 par le Gouvernement vers la fin de l’année
2020, la reprise des activités de l’EDSG-III 2019–21 a été envisagée. Se basant sur l’expérience de la
gestion difficile des 17 équipes, il a été convenu de réduire à 12 le nombre d’équipes à mobiliser pour cette
deuxième phase. En outre, le poste d’éditeur a été supprimé. La longue période de suspension nécessitait
une remise à niveau des agents de terrain ayant réalisé la collecte lors de la première phase. Parmi les 124
agents ayant participé à la phase I, seuls 96 (69 enquêtrices, enquêteurs et chefs d’équipe ; 23 agents
biomarqueurs et quatre éditeurs) étaient disponibles pour la reprise. Pour le volet biomarqueur, le
Laboratoire national a recruté un complément d’effectif de 11 nouveaux candidats pour combler les
besoins. Des séances de mise à niveau ont été organisées du 4 au 16 janvier 2021 à l’Institut universitaire
des sciences de l’organisation (IUSO) de Libreville au profit des 69 agents (enquêtrices, enquêteurs et
chefs d’équipe) et des quatre éditeurs. Cependant, pour les 34 agents biomarqueurs (23 anciens et 11
nouveaux), la formation a été reprise entièrement pour permettre, en particulier, aux nouveaux, de se
familiariser avec tous les aspects de leur mission. Lors de cette deuxième phase de formation et dans le
contexte COVID-19, un accent a été mis sur la sensibilisation de tous les agents sur les mesures de lutte
contre la maladie et les comportements à adopter durant les activités en salle, mais aussi dans la
communauté.
À l’issue de ces séances de mise à niveau pour les enquêtrices, enquêteurs et chefs d’équipe et de
formation pour les agents biomarqueur, 84 personnes (60 enquêtrices, enquêteurs et chefs d’équipe et 24
agents biomarqueurs) ont été sélectionnées pour constituer 12 équipes de travail avec la même composition
par équipe que celle de la phase I. À cause de la pandémie de COVID-19, chaque équipe avait, pour cette
phase, à sa disposition deux véhicules avec chauffeurs. Le respect des gestes barrières (port des masques,
distanciation, utilisation de gel désinfectant pour les mains) a été strictement suivi à tout moment par le
personnel de terrain, y compris les chauffeurs en vue de la protection contre la COVID-19.
La collecte des données de la deuxième phase de l’EDSG-III 2019–21 a couvert la période allant du 7 juin
au 30 octobre 2021. Au cours de cette phase, les 192 grappes restantes après la première phase de collecte
ont été visitées. La supervision des travaux a été assurée par les cadres du comité technique et les experts
d’ICF. Elle a permis de contrôler la qualité des données collectées par les agents de terrain, de sensibiliser
les autorités locales à collaborer à la mise en œuvre de cette enquête et d’apporter des solutions aux
problèmes rencontrés par les agents sur le terrain et surtout d’harmoniser la façon de collecter les données.
La collecte des données de l’EDSG-III 2019–21 a été officiellement lancée le 23 novembre 2019. Elle a
commencé dans la province de l’Estuaire et a mobilisé :
▪ 17 équipes de 8 personnes ;
▪ 12 superviseurs techniques ;
▪ 5 superviseurs généraux ;
▪ 18 ramasseurs des échantillons de sang séché (DBS).
Avec la déclaration des cas de COVID-19 en mars 2020 au Gabon et suite à la prise des mesures
restrictives pour lutter contre la pandémie, la direction nationale de l’enquête, de concert avec toutes les
parties prenantes, a décidé de suspendre à partir du 27 mars 2020 les activités de terrain de l’EDSG-III et
d’attendre un moment plus propice pour la reprise. À ce stade, la collecte était achevée dans 198 grappes
sur un total de 390 que compte l’échantillon, soit une couverture de 51 % après environ quatre mois de
travail.
La deuxième phase de la collecte a été effectuée du 7 juin au 30 octobre 2021 dans une partie de la
province de l’Estuaire et dans les huit autres provinces du pays. Elle concernait les 192 grappes restantes et
a mobilisé :
▪ 12 équipes de 9 personnes ;
▪ 12 superviseurs techniques ;
▪ 5 superviseurs généraux ;
▪ 12 ramasseurs de DBS.
Chaque équipe était composée d’un chef d’équipe, trois enquêtrices, un enquêteur, deux agents
biomarqueurs et deux chauffeurs.
Sauvegardes environnementales
Les aspects sur les sauvegardes environnementales évoquées au cours de l’EDSG-III 2019–21 concernent
la gestion des déchets biodangereux. En général, tout matériel qui entre en contact avec le sang ou le sérum
(lancettes, microcuvettes, tampons alcoolisés, compresses de gaze stérile, gants, etc.) est considéré comme
biodangereux (dangereux pour les autres êtres humains). Il est très important de se débarrasser de ce
matériel de façon adéquate pour empêcher la transmission de diverses maladies transmissibles par le sang,
telles que l’hépatite B et le VIH, parmi les membres du personnel de l’enquête et parmi la population de la
communauté où se déroule l’enquête.
Pendant la collecte des données, les déchets biodangereux ont été collectés dans un conteneur spécial,
rangés et transportés en prenant toutes les précautions adéquates et détruits sans risque à la fin de chaque
journée de travail sur le terrain.
Les équipes avaient deux options pour se débarrasser des déchets biodangereux :
1. Les apporter dans l’établissement de santé le plus proche pour être éliminés dans un incinérateur
(meilleure option). Les établissements de santé doivent normalement se débarrasser des déchets en
suivant des procédures standard.
2. Suivre les procédures de DHS décrites dans le manuel des biomarqueurs pour désinfecter, brûler et
enfouir les déchets sur le terrain. Tout le personnel de santé a été formé sur cette façon d’éliminer en
toute sécurité les déchets sur le terrain.
Les missions régulières de supervision centrale étaient surtout orientées vers les équipes qui présentaient
des préoccupations spécifiques ou particulières au regard des tableaux de qualité.
Lorsque toutes les données de terrain ont été transmises au serveur, le fichier des données de l’enquête a
été vérifié, apuré et les coefficients de pondération ont été appliqués. La vérification de la cohérence
interne des données saisies et l’apurement final de l’ensemble des données ont été réalisés jusqu’en avril
2022.
La vérification finale a été réalisée avec l’assistance de l’équipe technique de l’enquête, y compris,
l’informaticien d’ICF.
Le taux de réponses des ménages varie peu entre le milieu rural et le milieu urbain. Il est légèrement plus
faible à Port-Gentil/Libreville (97 % contre 99 % dans l’ensemble).
Dans les 11 781 ménages enquêtés, 9 912 femmes âgées de 15–49 ans étaient éligibles pour l’enquête
individuelle, et pour 9 507 d’entre elles, l’interview a été menée avec succès, soit un taux de réponse de
96 %, quel que soit le milieu de résidence. Au cours de l’EDSG-III 2019–21, l’enquête auprès des hommes
a été réalisée dans deux ménages sur trois. Dans ce même sous-échantillon, les femmes de 50–64 ans
étaient concernées. Dans les 8 190 ménages sélectionnés, 7 814 ont été identifiés, parmi lesquels 7 713 ont
été enquêtés, soit un taux de réponse de 99 %, pratiquement identique en milieu rural (99 %) et urbain
(98 %). Parmi les femmes, 1 592 âgées de 50–64 ans ont été identifiées comme étant éligibles et pour
1 536 d’entre elles, l’interview a été réalisée avec succès, soit un taux de réponse de 97 %. Le taux de
réponse enregistré en milieu urbain (96 %) est légèrement inférieur à celui du milieu rural (98 %).
Dans les 7 713 ménages enquêtés, 5 964 hommes âgés de 15–49 ans ont été identifiés comme étant
éligibles et 5 566 ont été interviewés avec succès, soit un taux de réponse de 93 %. Le taux de réponse
enregistré en milieu urbain (93 %) est légèrement inférieur à celui du milieu rural (95 %). Dans le même
sous-échantillon de ménages enquêtés avec succès, 1 423 hommes de 50–64 ans ont été identifiées comme
étant éligibles et pour 1 328 d’entre eux, l’interview a été réalisée avec succès, soit un taux de réponse de
93 %. Le taux de réponse enregistré en milieu urbain est plus faible que celui obtenu en milieu rural (90 %
contre 97 %).
1
Ménages interviewés/ménages identifiés
2
Enquêtés interviewés/enquêtés éligibles
L
es information collectées au cours de l’EDSG-III 2029–21 sur les caractéristiques socio-
économiques de la population des ménages sont utiles pour interpréter les indicateurs
démographiques ; en outre, elles peuvent fournir une indication approximative de la
représentativité de l’enquête. Ces informations permettent aussi de mieux connaître les conditions de vie
dans lesquelles vivent les populations.
Ce chapitre a pour objectif de présenter les données sur la source d’approvisionnement de l’eau de boisson,
l’utilisation de toilettes, l’exposition à la fumée à l’intérieur du logement, le niveau de bien-être
économique, le lavage des mains, la composition de la population des ménages, le niveau d’instruction
atteint, et la fréquentation scolaire.
Tendances : Dans la période 2000 à 2019–21, on constate une nette amélioration de l’accès à une source
d’eau pour la boisson améliorée, le pourcentage étant passé de 79 % à 93 %.
Les résultats du Tableau 2.1.1 montrent aussi que 87 % des ménages disposent d’un service de base en eau
de boisson. Le pourcentage varie de 94 % en milieu urbain à 38 % en milieu rural. Dans l’ensemble, 5 %
des ménages ont accès à un service limité en eau de boisson, avec une proportion plus élevée en milieu
rural qu’urbain (10 % contre 5 %).
Le Tableau 2.1.2 présente la répartition de la population de droit par la provenance de l’eau à boire selon
les provinces et les quintiles de bien-être économique ainsi que les pourcentages disposant d’un service de
base d’approvisionnement en eau de boisson et ceux disposant d’un service limité d’approvisionnement.
Globalement, la quasi-totalité de la population consomme de l’eau provenant d’une source améliorée
(92 %) et seulement 8 % de l’eau provenant d’une source non améliorée. Cependant, les résultats montrent
un écart entre la plupart des provinces où le pourcentage de la population qui consomme de l’eau d’une
source améliorée varie de pratiquement 100 % à Port-Gentil à 57 % dans l’Ogooué-Ivindo. De même, le
pourcentage de population disposant d’un service de base d’approvisionnement en eau de boisson varie de
98 % à Port-Gentil à 53 % dans la province de l’Ogooué-Ivindo.
Les résultats selon le quintile de bien-être économique montrent que le pourcentage de population qui
consomme de l’eau d’une source améliorée est plus faible (70 %) dans le quintile le plus bas que dans les
Le Tableau 2.1.3 présente les proportions de ménages et de la population qui utilisent des moyens de
traitement de l’eau utilisée pour boire. Près de quatre ménages sur cinq (79 %) n’utilisent aucun moyen
approprié de traitement de l’eau de boisson, cette proportion étant plus élevée en milieu rural qu’en milieu
urbain (90 % contre 78 %). Globalement, seulement 18 % des ménages utilisent une méthode appropriée
de traitement de l’eau de boisson (19 % en milieu urbain et 6 % en milieu rural). Le filtrage apparait
comme le moyen de traitement approprié le plus utilisée (13 %), avec un pourcentage plus élevé en milieu
urbain qu’en milieu rural (15 % contre 3 %).
Le Tableau 2.2 montre que plus de deux ménages sur cinq (43 %) ont déclaré qu’au cours des deux
dernières semaines, l’eau avait été disponible sans interruption d’au moins un jour. Par contre, 55 % des
ménages ont déclaré que l’eau n’avait pas été disponible pendant au moins un jour. Cette proportion varie
de 56 % en milieu urbain à 33 % en milieu rural.
Le Tableau 2.3.1 et le Graphique 2.2 présentent les Graphique 2.2 Types d’installations
données concernant l’utilisation d’installations sanitaires utilisées par les ménages
sanitaires par les ménages enquêtés. par résidence
Répartition (en %) des ménages par type
Au Gabon, près de trois ménages sur quatre (73 %) d’installations sanitaires
utilisent des installations sanitaires améliorées, cette
1 1 4
proportion étant plus élevée en milieu urbain qu’en 26 19 Pas de toilettes/
milieu rural (80 % contre 20 %) (Graphique 2.2). nature
Les installations sanitaires améliorées les plus
couramment déclarées sont les chasses d’eau/chasses 76 Toilettes non
améliorées
d’eau manuelle reliée à une fosse septique (45 %).
73 80
À l’opposé, environ un ménage sur quatre (26 %) Installations
sanitaires
utilise des installations sanitaires non améliorées, 20 améliorées
essentiellement les fosses d’aisances sans dalle/trou
ouvert (16 %). Le pourcentage de ménages n’ayant Ensemble Urbain Rural
accès à aucun type de toilettes est de 1 % et il varie
de 4 % en milieu rural à 1 % en milieu urbain.
Globalement, 41 % des ménages disposent d’installation sanitaire dans le logement contre 51 % dans la
cour, la concession ou la parcelle. Le pourcentage de ménages disposant de toilettes dans le logement varie
de 6 % en milieu rural à 46 % en milieu urbain.
L’utilisation des toilettes par plusieurs ménages augmente le risque de propagation de diverses maladies
comme la diarrhée. Le Tableau 2.3.1 montre que dans l’ensemble, 50 % des ménages utilisent des
installations sanitaires de base, cette proportion variant de 55 % en milieu urbain à 16 % en milieu rural.
Le Tableau 2.3.2 présente les résultats par province et quintile de bien-être économique, pour la
population de droit. Globalement, 73 % de la population utilisent des installations sanitaires améliorées,
26 % des installations non améliorées et 1 % de la population pratique la défécation à l’air libre. Selon la
province, les résultats montrent que c’est dans la capitale Libreville, que le pourcentage de population
disposant d’installations sanitaires améliorées est le plus élevé, en particulier par rapport à d’autre province
comme l’Ogooué-Ivindo où cette proportion est la plus faible (respectivement 86 % et 24 %).
La proportion de la population qui utilise des installations sanitaires améliorées augmente avec le quintile
de bien-être-économique, passant de 29 % dans le plus bas à 99 % dans le plus élevé.
Un peu plus de la moitié de la population de droit disposent d’installations sanitaires de base (54 %) ; ce
pourcentage varie d’une province à l’autre, d’un minimum de 18 % dans l’Ogooué-Ivindo à un maximum
de 66 % à l’Estuaire sans Libreville. L’utilisation par la population d’installations sanitaires de base
augmente avec le quintile de bien-être économique, passant de 14 % dans le plus bas à 97 % dans le plus
élevé.
Près d’un cinquième de la population utilise des installations sanitaires limitées (19 %) et ce pourcentage
varie de 27 % dans la capitale économique Port-Gentil, à seulement 6 % dans la province de l’Ogooué-
Ivindo et dans le Woleu-Ntem. Les résultats selon les quintiles montrent que c’est dans le quintile le plus
élevé que le pourcentage de la population qui utilise des installations sanitaires limitées est le plus faible
(2 %) et dans les quintiles intermédiaires qu’ils sont les plus élevés (36 % dans le second et 33 % dans le
moyen).
Au Gabon, plus de trois ménages sur quatre (79 %) cuisinent à l’intérieur du logement et seulement un
ménage sur dix (10 %) utilise un combustible solide pour cuisiner (le combustible solide comprend le
charbon de bois, le bois de chauffe, la sciure/copeaux de bois, la paille/branchages/herbes et les résidus
agricoles) ; par contre 87 % des ménages utilisent un combustible non polluant (l’électricité ou le gaz de
pétrole liquéfié/gaz naturel/biogaz) pour cuisiner, cette proportion variant de 92 % en milieu urbain à 45 %
en milieu rural.
L’EDSG-III a également collecté des données sur l’accès à l’électricité, les matériaux de revêtement du sol
du logement et le nombre de pièces utilisées pour dormir. Les résultats du Tableau 2.4 montrent que plus
de neuf ménages gabonais sur dix (93 %) ont accès à l’électricité, et l’accès est plus courant en milieu
urbain (98 %) qu’en milieu rural (54 %). D’autre part, les matériaux de revêtement du sol les plus
couramment utilisés sont le ciment (44 %) et le carrelage (41 %). Cependant, l’utilisation de ces matériaux
varie sensiblement selon le milieu de résidence : le carrelage est nettement plus courant en milieu urbain
qu’en milieu rural (45 % contre 5 %), en particulier à Port-Gentil ou Libreville (52 % contre 35 % dans les
autres villes). En milieu rural, près de la moitié (49 %) des ménages vivent dans un logement dont le sol est
recouvert de ciment contre 43 % en milieu urbain.
Quant au nombre de pièces utilisées pour dormir, on constate dans l’ensemble, que 36 % des ménages
utilisent une seule pièce pour dormir et 36 % également en utilisent au moins trois. Le pourcentage de
ménages utilisant au moins trois pièces pour dormir est plus élevé en milieu rural qu’en milieu urbain
(52 % contre 34 %).
Les résultats concernant le combustible pour la cuisine montrent que plus de quatre ménages sur cinq
(85 %) utilisent le Gaz butane/Biogaz et moins d’un ménage sur dix (7 %) le bois de chauffe. Les ménages
urbains utilisent beaucoup plus fréquemment le gaz butane/biogaz (91 %) contre 45 % en milieu rural. Les
ménages du milieu rural se servent plutôt du bois de chauffe pour la cuisson, 42 % contre 3 % des ménages
urbains.
Le Tableau 2.5 présente par milieu de résidence, le pourcentage de ménages possédant certains
équipements, moyens de transport, terres agricoles et animaux de ferme. En termes d’équipement, les
résultats montrent que quasiment tous les ménages possèdent un téléphone portable (95 %) et une
télévision (83 %). Cependant, les résultats montrent que les ménages urbains possèdent plus fréquemment
que ceux du milieu rural des biens de consommation. À titre d’exemple, on constate que 88 % des ménages
urbains possèdent un poste de télévision, contre 46 % des ménages ruraux, 97 % ont un téléphone portable
contre 84 % des ménages ruraux.
Comme moyen de transport, on constate que la voiture/camion est le moyen de transport le plus
fréquemment possédé par les ménages (14 %) : 15 % en milieu urbain contre 4 % en milieu rural.
En outre, la possession de terres agricoles et d’animaux de ferme est plus courante en milieu rural qu’en
milieu urbain (respectivement 57 % contre 12 % et 25 % contre 5 %).
Au cours de l’enquête auprès des ménages, on a demandé si le ménage avait un ou plusieurs chiens. Dans
le cas d’une réponse positive, on a demandé si le ou les chiens étaient vaccinés. En outre, on a demandé si
des membres du ménage avaient été mordus par un chien au cours des 12 derniers mois. Au Gabon, 8 %
des ménages possèdent un ou plusieurs chiens (Tableau 2.6). Ce pourcentage est plus élevé en milieu rural
qu’en milieu urbain (14 % contre 8 %). Parmi les ménages ayant un ou des chiens, 27 % ont déclaré que
leurs chiens étaient vaccinés. Le pourcentage de ménages dont les chiens sont vaccinés est nettement plus
faible en milieu rural qu’en milieu urbain (3 % contre 33 %).
Le Tableau 2.7 présente la répartition de la population de droit par quintile de bien-être économique selon
le milieu et la province de résidence. Le tableau comprend également le coefficient de Gini, un indicateur
de dispersion qui permet de mesurer les écarts dans la distribution des richesses dans le pays. Le
coefficient de Gini varie de 0, indiquant une égalité parfaite à 1, indiquant une inégalité extrême.
L’inégalité est d’autant plus forte que l’indice est élevé.
Le Graphique 2.3 montre que plus d’un cinquième Graphique 2.3 Quintiles de bien-être
(22 %) de la population urbaine est classée dans le économique par résidence
quintile de bien-être économique le plus élevé, Répartition (en %) de la population de
contre 1 % de la population rurale. En milieu rural, droit par quintile de bien-être économique
90 % de la population se situent dans les deux 1
quintiles les plus bas : 78 % dans le quintile le plus 22 6 3
12 Le plus élevé
bas et 12 % dans le deuxième quintile. Par province,
les résultats montrent que 70 % de la population de 22 Quatrième
l’Ogooué-Ivindo se situent dans le quintile le plus
Moyen
bas contre 4 % à Libreville où 26 % de la population 22
78
est classée dans le quintile le plus élevé. Second
21
Le coefficient de Gini qui est de 0,17 dans Le plus bas
13
l’ensemble, varie de 0,12 à Port-Gentil/Libreville à
0,34 en milieu rural ; dans les provinces, l’indicateur Urbain Rural
varie de 0,13 à Libreville à 0,40 dans l’Ogooué-Ivindo.
Le Tableau 2.8 montre qu’un endroit pour se laver les mains a été observé pour 90 % de la population de
droit et dans près d’un cas sur deux (49 %), cet endroit est fixe : 51 % en milieu urbain et 25 % en milieu
rural.
Ménage
Une personne ou un groupe de personnes apparentées ou non qui vivent
ensemble dans le même logement, qui reconnaissent un adulte, femme ou
homme, comme chef de ménage, qui partagent les mêmes arrangements
ménagers et qui sont considérés comme une seule unité.
Population de fait
Toutes les personnes qui sont restées dans les ménages sélectionnés la nuit
avant l’interview (qu’elles soient des résidentes habituelles ou des visiteuses).
Population de droit
Toutes les personnes qui sont des résidentes habituelles des ménages
sélectionnés, qu’elles aient passé ou non, la nuit avant l’interview dans le
ménage.
Comment les données sont-elles calculées
Sauf indication contraire, tous les tableaux sont calculés sur la population de
fait.
L’EDSG-III comprend un total de 46 250 membres de fait des ménages, dont 22 665 hommes et 23 585
femmes, soit un rapport de masculinité de 96 hommes pour 100 femmes. Le Tableau 2.9 montre que 39 %
de la population a moins de 15 ans, 57 % a entre 15 et 64 ans tandis que les 65 ans ou plus ne représentent
que 4 % de la population. Plus de la moitié (56 %) de la population de fait des ménages sont des adultes
âgés de 18 ans et plus, et les adolescents de 10 à 19 ans représentent un cinquième de la population (20 %).
Tendances : Le pourcentage de ménages comprenant des enfants de moins de 18 ans qui ne vivent pas
avec un parent biologique a diminué entre 2012 et 2019–21, passant de 25 % à 20 %.
2.7 INSTRUCTION
2.7.1 Niveau d’instruction atteint
De par son influence positive sur les comportements en matière de santé, telles que la recherche de soins
médicaux et la vaccination des enfants ou encore l’utilisation de méthodes contraceptives ainsi que les
habitudes en matière d’hygiène et de nutrition, le niveau d’instruction des membres d’un ménage compte
parmi les caractéristiques les plus importantes qui contribuent à l’amélioration des conditions de vie.
Dans le cadre de l’enquête ménage, des données ont été collectées sur le niveau d’instruction atteint et la
dernière classe achevée à ce niveau par chaque membre du ménage âgé de trois ans ou plus ; trois niveaux
d’instruction ont été pris en considération : le primaire, le secondaire premier cycle et le secondaire second
cycle ou plus. Les résultats sur le niveau d’instruction sont présentés aux Tableaux 2.11.1 et 2.11.2 pour
les femmes et les hommes de 6 ans ou plus.
De façon globale, que ce soit parmi les femmes ou parmi les hommes, le pourcentage n’ayant aucun niveau
d’instruction est de 9 %. Le nombre médian d’années d’instruction complétées varie de 7,2 parmi les
femmes à 7,5 parmi les hommes. Si les écarts entre hommes et femmes ne sont pas très importants, ils le
sont davantage entre les milieux de résidence, urbain et rural, en particulier parmi les femmes. En milieu
rural, le pourcentage de femmes sans niveau d’instruction est environ deux fois plus élevé qu’en milieu
urbain (19 % contre 8 %). Parmi les hommes, l’écart est plus faible (10 % en rural contre 8 % en urbain)
Parmi les femmes, c’est dans les provinces de la Nyanga et de la Ngounié que les proportions de celles
sans instruction sont les plus élevées (17 % dans les deux cas). Chez les hommes, c’est dans le Moyen-
Ogooué et la Ngounié que ce pourcentage est le plus élevé (10 %). À l’opposé, c’est dans les villes de
Libreville/Port-Gentil (7 % pour les femmes et 9 % pour les hommes) que l’on enregistre les proportions
les plus faibles d’enquêtés sans niveau d’instruction. Enfin, selon le quintile de bien-être économique, les
résultats montrent que les proportions de femmes et d’hommes sans niveau d’instruction diminuent du
quintile le plus bas au quintile le plus élevé passant respectivement de de 17 % à 4 % et de 11 % à 3 %.
Les résultats selon le niveau d’instruction atteint montrent que 8 % des femmes et 6 % des hommes ont
atteint un niveau primaire complet ; dans 6 % des cas, les femmes ont un niveau secondaire complet ; chez
les hommes, cette proportion est de 7 %. En ce qui concerne le niveau supérieur, on constate que 10 % des
femmes et une proportion plus élevée d’hommes (13 %) ont atteint un niveau supérieur. Les résultats selon
l’âge mettent en évidence une amélioration de la scolarisation des plus âgés aux plus jeunes. C’est ainsi
que, chez les femmes, la proportion de celles sans niveau d’instruction passe de 49 % parmi les 65 ans et
Au Gabon, le taux net de fréquentation scolaire (TNF) au niveau primaire pour la population âgée de 6 à
10 ans est de 88 %, que ce soit parmi les garçons ou parmi les filles. Le TNF pour le niveau secondaire est
de 64 % et il est un peu plus élevé parmi les filles que parmi les garçons (67 % contre 60 %)
(Tableau 2.12).
Le taux brut de fréquentation (TBF) est également présenté dans le Tableau 2.12. Une valeur du TBF
supérieure à 100 % signifie que certains élèves n’ont pas l’âge scolaire officiel du niveau qu’ils
fréquentent. Au niveau primaire, ce taux est de 131 % et au niveau secondaire, il s’établit à 105 %. Le TBF
est légèrement plus élevé pour les garçons que pour les filles au niveau primaire (132 % contre 130 %). On
constate l’opposé au niveau secondaire (108 % parmi les filles contre 101 % parmi les garçons).
▪ Le taux net de fréquentation scolaire au niveau primaire ne varie pratiquement pas entre les milieux de
résidence urbain et rural (88 % contre 87 %). Par contre, au niveau secondaire, ce taux est nettement
plus faible en milieu rural qu’en milieu urbain (28 % contre 67 %).
▪ Le TNF au niveau primaire est plus élevé dans les provinces de la Nyanga et de la Ngounié
(respectivement 91 % et 90 %) et nettement plus faible à l’Estuaire sans Libreville (84 %). Quant au
TBF, il varie d’un minimum de 122 % à Libreville à 162 % dans la province de l’Ogooué-Ivindo.
Un IPG égal à 1 traduit l’égalité entre les genres en termes de fréquentation scolaire. Un IPG inférieur à 1
indique que plus de garçons que de filles fréquentent l’école et traduit une inégalité en termes de
fréquentation scolaire au détriment des filles ; à l’opposé, un IPG supérieur à 1 indique que plus de filles
que de garçons fréquentent l’école.
L’indice de parité entre les genres, basé sur le TBF, au Gabon, est de 0,98 au niveau primaire et de 1,06 au
niveau secondaire. Ce qui traduit une fréquentation légèrement plus faible des filles par rapport aux
garçons au niveau primaire et à l’opposé, une fréquentation plus élevée des filles par rapport aux garçons
au niveau secondaire. L’IPG basé sur le TNF traduit une égalité entre les filles et les garçons en termes de
fréquentation scolaire au niveau primaire (1,00) et, au niveau secondaire, un avantage en termes de
fréquentation scolaire des filles par rapport aux garçons (1,11).
▪ L’indice de parité entre les genres au niveau primaire basé sur le taux net est plus faible en milieu rural
qu’en milieu urbain (0,96 contre 1,01).
▪ L’indice de parité entre les genres au niveau primaire basé sur le taux net varie de 1 dans le quintile le
plus bas à 1,11 dans le plus élevé.
1
Y compris l’eau provenant d’un robinet chez le voisin et un temps d’approvisionnement aller-retour de zéro minute.
2
Définie comme l’eau de boisson provenant d’une source améliorée, à condition qu’elle soit fournie sur place ou que le temps d’approvisionnement aller-retour soit de 30
minutes ou moins. Y compris l’eau de boisson gérée en toute sécurité, et non mentionnée ailleurs.
3
Définie comme l’eau de boisson provenant d’une source améliorée et que le temps d’approvisionnement aller-retour dépasse 30 minutes ou qu’il est inconnu.
Note : Les enquêtés peuvent déclarer plusieurs méthodes de traitement de l’eau et, par conséquent, la somme des pourcentages peut dépasser 100 %.
1
Les méthodes appropriées de traitement de l’eau sont l’ébullition, l’ajout de javel/chlore, le filtrage et la désinfection solaire.
1
Y compris les ménages/population déclarant que l’eau utilisée pour boire provient principalement d’un robinet ou d’un puits à pompe ou d’un forage ainsi que ceux qui
déclarent que l’eau utilisée pour boire est de l’eau en bouteille tant que leur source principale d’eau utilisée pour la cuisine et pour se laver les mains provient d’un
robinet ou d’un puits à pompe ou d’un forage.
1
Défini comme l’utilisation d’installations sanitaires améliorées qui ne sont pas partagées avec plusieurs ménages et qui évacuent de manière hygiénique les déchets
humains ; non présenté séparément.
2
Défini comme l’utilisation d’installations sanitaires améliorées partagées par deux ménages ou plus.
Pourcentage Pourcentage
Type d’installation sanitaire disposant disposant
Installations Installations d’installations d’installations
Caractéristique sanitaires sanitaires non Défécation en sanitaires de sanitaires Effectif de
socio-économique améliorées1 améliorées2 plein air Total base3 limitées4 personnes
Province
Libreville 86,1 13,5 0,4 100,0 63,3 22,8 20 388
Port-Gentil 82,2 16,8 1,1 100,0 55,3 26,9 4 591
Estuaire (sans Libreville) 82,8 16,2 1,0 100,0 66,0 16,9 6 092
Haut-Ogooué 65,6 31,3 3,1 100,0 45,3 20,3 4 066
Moyen-Ogooué 43,1 56,3 0,6 100,0 31,5 11,6 1 586
Ngounié 48,1 51,2 0,7 100,0 33,2 14,9 2 087
Nyanga 48,3 50,8 0,9 100,0 35,3 13,1 987
Ogooué-Ivindo 23,8 75,9 0,3 100,0 17,5 6,3 1 250
Ogooué-Lolo 44,6 55,2 0,2 100,0 34,2 10,5 1 245
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 60,9 38,3 0,8 100,0 48,9 12,0 583
Woleu-Ntem 42,8 56,1 1,1 100,0 36,4 6,4 3 354
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 29,0 68,3 2,7 100,0 13,7 15,3 9 246
Second 64,1 34,7 1,2 100,0 28,5 35,6 9 246
Moyen 79,1 20,6 0,4 100,0 46,6 32,5 9 244
Quatrième 94,6 5,4 0,1 100,0 84,2 10,4 9 246
Le plus élevé 99,4 0,6 0,0 100,0 97,3 2,1 9 245
Ensemble 73,2 25,9 0,9 100,0 54,1 19,2 46 228
1
Voir Tableau 2.3.1 pour les types de toilettes “améliorées”.
2
Voir Tableau 2.3.1 pour les types de toilettes “non améliorées”.
3
Défini comme l'utilisation d'installations sanitaire améliorées qui ne sont pas partagées par d'autres ménages. Y compris des installations
sanitaires gérées en toute sécurité, et non mentionnées ailleurs.
4
Défini comme l’utilisation d’installations sanitaires améliorées partagées par deux ménages ou plus.
1
Y compris le charbon de bois, le bois de chauffe, la sciure/copeaux de bois, la paille/branchages/herbes et les résidus agricoles.
2
Y compris l’électricité et le gaz de pétrole liquéfié/gaz naturel/biogaz
1
Vaches, taureaux, autre bétail, chevaux, ânes, mules, chèvres, moutons, poulets ou autre volaille, porcs,
lapins.
1
Comprend le savon ou un produit nettoyant en morceau, liquide, en poudre ou sous forme de pâte.
2
Les produits nettoyants autres que le savon comprennent des produits disponibles localement comme la cendre, la boue ou le sable.
3
Disponibilité d’installation pour le lavage des mains avec du savon et de l’eau.
4
Disponibilité d’installation pour le lavage des mains sans du savon et/ou de l’eau.
Note : Le tableau est basé sur la population de droit des ménages, c’est-à-dire les résidents habituels.
1
Comprend les enfants dont l’un des deux parents est décédé et dont l’état de survie de l’autre est inconnu
2
Les enfants ne vivant pas avec un parent biologique sont les enfants de moins de 18 ans qui vivent dans un ménage dans
lequel il n’y a ni leur mère, ni leur père.
1
A achevé avec succès 5 classes du niveau primaire.
2
A achevé avec succès 7 classes du niveau secondaire.
Province
Libreville 87,8 88,2 88,0 1,00 122,1 122,3 122,2 1,00
Port-Gentil 87,2 89,7 88,5 1,03 125,1 125,3 125,2 1,00
Estuaire (sans Libreville) 84,4 84,0 84,2 1,00 115,5 124,3 119,4 1,08
Haut-Ogooué 89,3 89,5 89,4 1,00 150,9 143,6 147,2 0,95
Moyen-Ogooué 88,8 87,8 88,3 0,99 151,0 135,2 142,9 0,90
Ngounié 91,6 88,1 89,7 0,96 153,3 138,6 145,4 0,90
Nyanga 91,2 90,4 90,8 0,99 152,2 151,4 151,8 0,99
Ogooué-Ivindo 83,0 88,0 85,3 1,06 161,8 162,2 162,0 1,00
Ogooué-Lolo 89,3 88,5 88,9 0,99 154,6 156,1 155,3 1,01
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 85,9 84,8 85,4 0,99 143,6 143,2 143,4 1,00
Woleu-Ntem 90,1 86,4 88,1 0,96 148,3 127,5 137,2 0,86
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 85,5 85,3 85,4 1,00 149,4 144,1 146,8 0,96
Second 90,0 90,8 90,4 1,01 138,7 135,5 137,2 0,98
Moyen 92,1 90,8 91,4 0,99 134,4 126,6 130,3 0,94
Quatrième 89,3 82,4 85,8 0,92 126,7 120,1 123,4 0,95
Le plus élevé 81,0 89,9 85,4 1,11 106,0 122,8 114,3 1,16
1
Le taux net de fréquentation scolaire (TNF) au niveau primaire est le pourcentage de la population d’âge officiel de fréquentation du
niveau primaire (6–10 ans) qui fréquente l’école primaire. Le taux net de fréquentation scolaire pour le niveau secondaire est le
pourcentage de la population d’âge officiel de fréquentation du niveau secondaire (11–17 ans) qui fréquente l’école secondaire. Par
définition le taux net de fréquentation ne peut excéder 100 %.
2
Le taux brut de fréquentation scolaire (TBF) au niveau primaire est le nombre total d’élèves du niveau primaire, exprimé en pourcentage
de la population d’âge officiel de fréquentation du niveau primaire. Le taux brut de fréquentation scolaire au niveau secondaire est le
nombre total d’élèves du niveau secondaire, exprimé en pourcentage de la population d’âge officiel de fréquentation du niveau secondaire.
S’il y a pour un niveau donné un nombre important d’élèves plus âgés ou plus jeunes que l’âge officiel pour ce niveau, le TBF peut excéder
100 %.
3
L’indice de parité entre les genres au niveau primaire est le ratio du TBF au niveau primaire des filles sur le TBF des garçons. L’indice
de parité entre les genres au niveau secondaire est le ratio du TBF au niveau secondaire des filles sur le TBF des garçons.
C
e chapitre présente les résultats concernant les caractéristiques démographiques et socio-
économiques des enquêtés comme, entre autres, l’âge, le niveau d’instruction, le lieu de résidence,
l’état matrimonial, l’emploi et le niveau de bien-être économique. Ces informations sont
particulièrement utiles pour comprendre les facteurs qui influencent l’utilisation des services de santé
reproductive, le recours à la contraception et les comportements en matière de santé.
La répartition par âge de la population de 15–49 ans présente une allure assez régulière ; les proportions
d’individus dans chaque groupe d’âges diminuent au fur et à mesure que l’âge avance, passant, chez les
▪ Plus de la moitié des femmes (54 %) et la moitié des hommes (50 %) ont moins de 30 ans.
▪ Au moment de l’enquête, un peu moins d’une femme sur deux (48 %) et deux hommes sur cinq
(40 %) étaient mariés ou vivaient avec un partenaire comme s’ils étaient mariés.
▪ Le pourcentage de femmes célibataires est plus faible que celui des hommes (41 % contre 50 %).
▪ Quel que soit le sexe, environ une personne sur dix était divorcée, séparée ou veuve.
Plus de neuf personnes sur dix vivent en milieu urbain (93 % des femmes et 92 % des hommes) ; du point
de vue de la province, les résultats mettent en évidence une répartition assez inégale de la population sur le
territoire, confirmant le caractère macrocéphale de la population gabonaise : l’Estuaire (avec Libreville)
concentre 60 % des femmes et 63 % des hommes, suivi de l’Ogooué-Maritime (avec Port-Gentil),
seulement 12 % de femmes et 11 % d’hommes et loin derrière, la Nyanga avec 2 % de femmes et 2 %
d’hommes.
Pour ce qui est de la religion, les résultats montrent que 86 % des femmes et 71 % des hommes sont
chrétiens (Catholiques, Protestantes, Églises de réveil et autres religions chrétiennes) ; c‘est ensuite la
religion musulmane qui est la plus représentée avec 8 % de femmes et 15 % d’hommes.
Les résultats selon le niveau d’instruction ne font pas apparaître d’écarts importants entre les femmes et les
hommes.
La répartition de la population enquêtée par quintile de bien-être économique ne met pas en évidence
d’écarts entre les femmes et les hommes.
Les Tableaux 3.2.1 et 3.2.2 présentent la répartition des femmes et des hommes de 15–49 ans, selon le
plus haut niveau d’instruction atteint, en fonction de de l’âge, du milieu de résidence, de la province et du
quintile de bien-être économique des enquêtés.
3.2.2 Alphabétisation
Alphabétisation
On suppose que les enquêtés qui ont fréquenté un niveau supérieur au niveau
secondaire sont alphabétisés. Tous les autres enquêtés, qui ont lu à haute
voix une phrase préparée qui leur a été montré sont considérés comme
alphabétisés, s’ils ont pu lire toute la phrase ou une partie de la phrase.
Échantillon : Femmes et hommes de 15–49 ans
Au Gabon, la quasi-totalité des femmes et des hommes de 15–49 ans sont alphabétisés (90 % des femmes
et 91 % des hommes) (Tableaux 3.3.1 et 3.3.2).
▪ Les taux d’alphabétisation augmentent des générations anciennes aux plus récentes : parmi les femmes
âgées de 45–49 ans au moment de l’enquête, 84 % sont alphabétisées ; parmi celles de 15–24 ans, ce
pourcentage est de 93 %. Parmi les hommes, on note la même tendance, le pourcentage étant
alphabétisé passant respectivement de 90 % à 95 %.
▪ Dans l’ensemble, les taux d’alphabétisation sont plus élevés en milieu urbain qu’en milieu rural. Cela
s’observe aussi bien chez les femmes (91 % contre 82 %) que chez les hommes (92 % contre 88 %).
▪ Les écarts entre les provinces ne sont pas très importants : toutefois, on note un pourcentage plus
faibles dans l’Ogooué-Ivindo pour les femmes (75 %) et dans la Ngounié et l’Ogooué-Ivindo pour les
hommes (87 % dans les deux cas).
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, les taux d’alphabétisation augmentent,
passant, parmi les femmes de 83 % à 97 % et, parmi les hommes, de 88 % à 98 %.
Les données sur l’exposition d’une personne ou d’une communauté aux différents médias sont
particulièrement importantes pour la mise en place de programmes d’éducation, de sensibilisation et de
diffusion d’informations dans tous les domaines, notamment ceux de la santé et, en particulier, dans le
domaine de la planification familiale. Elles sont également utiles pour évaluer l’accès de la population à
l’information.
Les résultats permettent de constater que les Graphique 3.3 Exposition aux médias
pourcentages de femmes et d’hommes de 15–49 ans Pourcentage de femmes et d’hommes de
exposés aux trois médias sont faibles : 15–49 ans qui sont exposés à des médias
respectivement 5 % et 8 % (Tableaux 3.4.1 et 3.4.2). chaque semaine
Chez les femmes (78 %) comme chez les hommes Femme Homme
(79 %), la télévision est le média le plus utilisé pour 78 79
s’informer. Le pourcentage de femmes qui lisent un
journal au moins une fois par semaine est moins
élevé que celui des hommes (13 % contre 17 %). À 24 20 17
l’opposé, 17 % des hommes et 20 % des femmes ne 13 17 16
8
5
sont exposées à aucun des trois médias (journal,
radio ou télévision) (Graphique 3.3). Lit un Regarde Écoute la Les trois Aucun de
journal la radio médias ces
L’internet fournit un autre moyen important pour télévision médias
partager les informations. Par internet, il faut
comprendre l’utilisation des services divers et variés comme le courrier électronique (e-mail), les pages
avec liens et contenus multimédias des sites Web, la transmission de vidéos et d’audio en direct (ou
streaming) et les médias sociaux.
L’internet est un support de plus en plus utilisé au Gabon. En effet, 69 % des femmes et 80 % des hommes
de 15–49 ans ont déclaré l’avoir déjà utilisé. Parmi les femmes, 63 % l’avaient utilisé au cours des 12
derniers mois et parmi elles, 71 % pratiquement chaque jour. Parmi les hommes, 76 % ont utilisé internet
au cours des 12 derniers mois et parmi eux, 67 % presque chaque jour (Tableaux 3.5.1 et 3.5.2).
Tendances : Comparativement à 2012, on constate une diminution de l’exposition aux médias des femmes
et des hommes de 15–49 ans : Entre 2012 et 2019–21, le pourcentage de femmes exposées, au moins une
fois par semaine, aux trois médias cités dans l’enquête est passé de 19 % à 5 %. Les pourcentages ont
diminué quel que soit le média. En 2012, 38 % des femmes lisaient un journal au moins une fois par
semaine contre 13 % en 2019–21 et respectivement 89 % regardaient la télévision contre 76 % ;
Concernant la radio, le pourcentage est passé de 39 % à 16 %. En 2012, le pourcentage qui n’était exposé à
aucun des trois médias était de 8 % contre 20 % à l’enquête actuelle.
On constate la même tendance parmi les hommes : de 32 % en 2012, le pourcentage qui était exposé, au
moins une fois par semaine, aux trois médias a diminué, passant à 8 % et le pourcentage sans aucun accès
a augmenté, passant de 4 % à 17 %.
▪ L’exposition aux médias varie fortement selon le milieu de résidence. Elle est plus élevée en milieu
urbain que rural : 47 % des femmes et 42 % des hommes du milieu rural ne sont exposés à aucun
média, contre respectivement 17 % et 15 % en milieu urbain.
▪ Les résultats selon les provinces mettent en évidence des disparités : c’est dans les provinces de
l’Ogooué-Ivindo (52 %), la Ngounié (35 %), l’Ogooué-Lolo (29 %) et dans la Nyanga (29 %) que les
pourcentages de femmes exposées à aucun média sont les plus élevés. Chez les hommes, c’est dans les
provinces de la Ngounié (46 %), l’Ogooué-Ivindo (35 %) et dans la Nyanga (33 %) que la non
exposition aux trois médias est la plus élevée.
▪ L’utilisation des médias est fortement influencée par le niveau d’instruction. En effet, l’exposition aux
médias augmente avec le niveau d’instruction. Quel que soit le sexe, les proportions de femmes et
d’hommes qui ne sont exposés à aucun média diminuent, au fur et à mesure, que le niveau
d’instruction augmente, passant de 38% chez les femmes n’ayant aucun niveau instruction à 11 % chez
celles du supérieur ; et chez les hommes, de 32 % à 10 % respectivement.
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, les proportions de femmes et d’hommes
exposés aux trois médias augmentent, passant parmi les femmes de 3 % à 8 % et, parmi les hommes,
de 2 % à 14 %.
▪ L’utilisation de l’internet au cours des 12 derniers mois augmente de manière importante avec le
niveau d’instruction, passant chez les femmes, de 24 % parmi celles n’ayant aucun niveau à 95 %
parmi celles ayant le niveau supérieur et, chez les hommes, de respectivement 62 % à 96 %.
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, les proportions de femmes et d’hommes
ayant utilisé l’internet au cours des 12 derniers mois augmentent, passant parmi les femmes de 31 % à
86 % et, parmi les hommes de 47 % à 94 %.
3.4 EMPLOI
Travaille actuellement
Les enquêtés qui travaillaient dans les 7 jours qui précédaient l’enquête
Échantillon : Femmes et hommes de 15–49 ans
Lors de l’enquête, des questions relatives à l’emploi ont été posées aux hommes et aux femmes. Ces
questions ont permis d’identifier les hommes et les femmes qui travaillaient au moment de l’enquête, c’est-
à-dire au cours des sept jours précédant l’enquête, et ceux qui avaient effectué un travail quelconque, à un
certain moment, au cours des 12 mois ayant précédé l’enquête. Plus de deux femmes sur cinq (43 %) et
sept hommes de 15-49 ans sur dix (71 %) ont déclaré qu’ils travaillaient au cours des sept jours avant
l’enquête. De plus, 7 % des femmes et 8 % des hommes de 15–49 ans travaillaient au cours des 12 mois
avant l’enquête mais ne travaillaient plus au moment de l’enquête (Tableaux 3.6.1 et 3.6.2).
Tendances : Entre 2012 et 2019-21, la proportion de femmes qui travaillaient au cours des 7 jours avant
l’enquête n’a pratiquement pas varié (44 % à 43 %). Chez les hommes, le pourcentage d’actifs au cours
des 7 jours avant l’enquête a légèrement augmenté, passant de 68 % à 71 % dans la même période.
▪ Les pourcentages de femmes et d’hommes qui travaillaient au moment de l’enquête ont tendance à
augmenter avec l’âge, passant, chez les femmes de 10 % à 15–19 ans à 68 % à 40-44 ans et, chez les
hommes, de respectivement 26 % à 92 %.
▪ La participation à l’activité économique des femmes a tendance à augmenter avec le nombre d’enfants.
En effet, de 23 % à la parité 0, le pourcentage de femmes qui travaillaient au moment de l’enquête
passe à 46 % à la parité 1-2 et à
56 % à la parité 5 ou plus. Graphique 3.4 Statut de l’emploi par
niveau d’instruction
▪ Les pourcentages de femmes et Poucentage de femmes et d’hommes de 15–49 ans qui
d’hommes actifs sont plus travaillent actuellement
élevés parmi ceux sans niveau Femme Homme
d’instruction (respectivement 91
53 % et 91 %) et parmi ceux 81
ayant le niveau supérieur 71
66 66
(respectivement 52 % et 81 %)
53 52
que parmi les autres 45
40 39
(Graphique 3.4).
Occupation
Classés dans les catégories Cadre, technicien/direction, employé, ventes et
services, manuel qualifié, manuel non qualifié, employé de maison, agriculture
et autre.
Échantillon : Femmes et hommes de 15–49 ans qui travaillaient actuellement
ou qui ont travaillé dans les 12 mois qui précédaient l’enquête
▪ Dans l’ensemble, quel que soit le groupe d’âges, c’est dans les Ventes et Services que les femmes et
les hommes sont proportionnellement les plus nombreux.
▪ Chez les femmes, le pourcentage de personnes occupées dans les ventes et services diminue avec
l’augmentation du quintile de bien-être économique à partir du second, passant de 62 % à 42 % dans le
plus élevé. Chez les hommes, les variations sont plus irrégulières.
▪ Le Tableau 3.8 présente la répartition des femmes ayant eu un emploi au cours des 12 derniers mois
en fonction du type de rémunération, du type d’employeur et de la régularité de l’emploi selon le
secteur d’activité (agricole ou non-agricole). Dans l’ensemble, la quasi-totalité des femmes ayant
travaillé ont été rémunérées en argent seulement (92 %) et cette pratique est moins fréquente dans le
secteur agricole (32 %), secteur dans lequel près d’un tiers des femmes n’ont pas été rémunérées pour
leur travail (32 %). Près de six femmes sur dix travaillent à leur compte (58 %) et c’est le cas pour la
majorité de celles qui travaillent dans le secteur agricole (87 %). Enfin, 60 % des femmes travaillaient
toute l’année et ce pourcentage varie de 55 % dans le secteur agricole à 60 % dans le secteur non
agricole.
Le type d’assurance le plus fréquemment déclaré par les femmes (45 %) et les hommes (58 %) est
l’assurance fournie par la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale (CNAMGS). Les
pourcentages de femmes et d’hommes bénéficiant d’autres types d’assurance médicale sont très faibles.
La proportion de femmes de 15–49 ans qui fument du tabac est très faible : 2 % (Tableau 3.10.1). Les
données du Tableau 3.10.2 sur la consommation de tabac chez les hommes de 15–49 ans montrent que
21 % fument du tabac, sous n’importe quelle forme et 20 % fument des cigarettes. Dans 11 % des cas, les
hommes ont déclaré fumer tous les jours et 10 %, de manière occasionnelle. Parmi les hommes qui fument
des cigarettes tous les jours, 23 % en fument moins de cinq par jour et 9 % en fument 25 ou plus (Tableau
3.11). Les pourcentages de femmes et d’hommes qui consomment du tabac non fumé sont très faibles
(Tableau 3.12).
Tendances : La comparaison avec les résultats de l’enquête de 2012 montre que le pourcentage d’hommes
de 15–49 ans qui fument du tabac, sous n’importe quelle forme, a légèrement baissé, passant 23 % à 21 %
▪ La proportion d’hommes qui fument des cigarettes est plus élevée en milieu rural (30 %) qu’en milieu
urbain (19 %).
▪ La proportion d’hommes qui fument des cigarettes diminue du quintile de bien-être économique le
plus bas au quintile le plus élevé, passant de 29 % à 11 %.
Note : Le niveau d’instruction correspond au plus haut niveau d’instruction atteint, qu’il ait été achevé ou non.
na = non applicable
1
A achevé avec succès 5 classes du niveau primaire
2
A achevé avec succès 4 classes du niveau secondaire 1er cycle
3
A achevé avec succès 3 classes du niveau secondaire 2e cycle
1
A achevé avec succès 5 classes du niveau primaire
2
A achevé avec succès 4 classes du niveau secondaire 1er cycle
3
A achevé avec succès 3 classes du niveau secondaire 2e cycle
1
C’est-à-dire les femmes qui ont fréquenté l’école au niveau supérieur et celles qui peuvent lire une phrase entière ou une partie de phrase
1
C’est-à-dire les hommes qui ont fréquenté l’école au niveau supérieur et ceux qui peuvent lire une phrase entière ou une partie de phrase
A utilisé Parmi les femmes ayant utilisé l’internet au cours des 12 derniers mois,
l’internet au pourcentage qui, au cours du mois dernier, l’ont utilisé :
A déjà cours des Au moins Moins d’une
Caractéristique utilisé 12 derniers Effectif de Presque une fois par fois par Effectif de
sociodémographique l’internet mois femmes chaque jour semaine semaine Pas du tout Total femmes
Groupe d’âges
15–19 69,1 61,3 1 726 60,3 21,5 14,7 3,5 100,0 1 058
20–24 82,2 75,2 1 839 77,2 14,6 6,4 1,8 100,0 1 382
25–29 78,9 70,5 1 798 76,7 15,6 5,4 2,4 100,0 1 268
30–34 72,6 67,2 1 493 75,9 15,2 8,2 0,7 100,0 1 003
35–39 66,7 61,2 1 257 72,1 17,2 7,0 3,7 100,0 770
40–44 50,6 44,5 1 051 60,9 26,3 9,7 3,1 100,0 467
45–49 40,0 33,1 747 56,9 29,5 12,8 0,9 100,0 247
Résidence
Port Gentil/Libreville 74,9 68,5 5 718 73,7 15,6 7,8 2,9 100,0 3 919
Autres villes 67,6 59,9 3 453 68,3 21,2 9,1 1,4 100,0 2 067
Ensemble urbain 72,2 65,3 9 171 71,8 17,5 8,2 2,4 100,0 5 986
Rural 34,9 28,4 739 56,7 27,0 15,1 1,2 100,0 210
Province
Libreville 74,2 68,1 4 624 74,9 14,7 7,0 3,3 100,0 3 150
Port-Gentil 77,7 70,3 1 094 68,7 19,2 11,0 1,1 100,0 770
Estuaire (sans Libreville) 73,7 66,8 1 321 73,9 17,8 7,2 1,0 100,0 883
Haut-Ogooué 65,8 53,2 863 61,5 27,0 9,9 1,6 100,0 460
Moyen-Ogooué 55,6 46,9 303 69,0 20,9 8,7 1,5 100,0 142
Ngounié 48,1 42,5 395 39,4 35,7 22,4 2,5 100,0 168
Nyanga 50,6 42,7 181 53,1 24,8 18,1 4,0 100,0 77
Ogooué-Ivindo 33,1 29,4 213 58,2 24,6 14,9 2,3 100,0 63
Ogooué-Lolo 49,0 39,5 213 59,3 23,5 15,2 2,0 100,0 84
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 63,7 55,9 104 64,8 24,9 9,0 1,3 100,0 58
Woleu-Ntem 60,2 57,2 597 77,9 16,1 5,8 0,2 100,0 342
Niveau d’instruction
Aucun 30,3 24,2 586 78,1 12,2 5,2 4,5 100,0 142
Primaire 30,7 24,5 1 286 49,4 27,6 19,5 3,4 100,0 314
Secondaire 1er cycle 64,8 55,3 4 242 62,3 22,3 12,8 2,5 100,0 2 347
Secondaire 2e cycle 91,4 85,5 2 300 73,6 18,5 5,7 2,1 100,0 1 966
Supérieur 97,1 95,4 1 496 87,2 8,0 3,0 1,8 100,0 1 427
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 37,0 31,1 1 593 51,9 27,6 18,3 2,1 100,0 495
Second 61,8 51,5 2 054 61,9 22,1 12,1 3,9 100,0 1 058
Moyen 72,1 64,0 2 047 64,9 22,6 9,9 2,7 100,0 1 311
Quatrième 78,3 72,6 2 106 76,9 15,1 6,0 2,1 100,0 1 530
Le plus élevé 89,7 85,5 2 109 82,2 11,6 4,8 1,5 100,0 1 802
Ensemble 15–49 69,4 62,5 9 910 71,3 17,9 8,5 2,3 100,0 6 196
50–64 22,9 18,4 1 133 61,0 24,8 12,4 1,9 100,0 209
Ensemble 15–64 64,6 58,0 11 043 71,0 18,1 8,6 2,3 100,0 6 405
A utilisé Parmi les hommes ayant utilisé l’internet au cours des 12 derniers mois,
l’internet au pourcentage qui, au cours du mois dernier, l’ont utilisé :
A déjà cours des Au moins Moins d’une
Caractéristique utilisé 12 derniers Effectif Presque une fois par fois par Effectif
sociodémographique l’internet mois d’hommes chaque jour semaine semaine Pas du tout Total d’hommes
Groupe d’âges
15–19 77,9 72,8 1 109 51,7 28,7 16,8 2,8 100,0 808
20–24 86,7 81,1 924 67,5 23,6 8,1 0,7 100,0 749
25–29 87,8 83,7 897 70,4 17,5 8,1 4,0 100,0 751
30–34 84,2 80,9 933 73,2 16,2 8,6 2,1 100,0 755
35–39 80,1 76,0 768 68,3 19,4 12,3 0,0 100,0 584
40–44 69,9 65,5 662 73,3 21,8 4,9 0,0 100,0 434
45–49 68,7 61,5 560 74,1 19,5 5,0 1,4 100,0 344
Résidence
Port Gentil/Libreville 84,0 80,8 3 488 65,9 21,6 10,5 2,0 100,0 2 818
Autres villes 80,8 74,3 1 905 70,6 20,0 8,1 1,4 100,0 1 416
Ensemble urbain 82,9 78,5 5 393 67,5 21,1 9,7 1,8 100,0 4 234
Rural 50,0 41,4 461 62,7 23,6 11,5 2,2 100,0 191
Province
Libreville 83,7 80,6 2 911 65,7 21,0 11,0 2,3 100,0 2 346
Port-Gentil 85,3 81,8 577 66,8 24,9 7,8 0,4 100,0 472
Estuaire (sans Libreville) 81,8 78,7 788 76,2 17,7 5,5 0,6 100,0 620
Haut-Ogooué 85,9 74,8 451 82,2 8,1 6,8 2,8 100,0 338
Moyen-Ogooué 68,3 57,3 163 73,3 19,2 6,0 1,5 100,0 93
Ngounié 56,4 48,4 219 46,6 32,9 18,3 2,3 100,0 106
Nyanga 64,5 57,9 103 49,0 32,7 18,3 0,0 100,0 60
Ogooué-Ivindo 60,4 50,8 129 64,3 25,7 8,7 1,2 100,0 65
Ogooué-Lolo 71,1 65,5 125 57,4 31,1 11,5 0,0 100,0 82
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 74,4 62,3 65 58,6 27,0 10,8 3,6 100,0 41
Woleu-Ntem 68,7 62,5 323 53,6 32,3 11,7 2,3 100,0 202
Niveau d’instruction
Aucun 63,9 62,3 381 67,1 21,1 11,6 0,2 100,0 238
Primaire 48,4 44,0 655 62,8 22,5 12,9 1,9 100,0 288
Secondaire 1er cycle 76,8 69,1 2 281 56,2 25,7 15,0 3,0 100,0 1 576
Secondaire 2e cycle 92,2 88,4 1 498 69,2 23,2 6,0 1,5 100,0 1 324
Supérieur 97,0 96,2 1 038 83,4 11,0 5,1 0,5 100,0 998
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 56,7 47,3 911 50,8 30,5 16,1 2,6 100,0 431
Second 71,0 65,6 1 114 56,2 28,3 13,4 2,1 100,0 731
Moyen 83,7 77,9 1 413 65,3 20,2 11,6 2,9 100,0 1 100
Quatrième 88,4 85,5 1 296 73,9 17,8 7,1 1,1 100,0 1 108
Le plus élevé 95,1 94,2 1 120 76,8 16,9 5,5 0,8 100,0 1 055
Ensemble 15–49 80,3 75,6 5 854 67,3 21,2 9,8 1,8 100,0 4 425
50–64 43,8 38,1 1 040 58,4 32,5 7,1 2,0 100,0 396
Ensemble 15–64 74,8 69,9 6 894 66,5 22,1 9,5 1,8 100,0 4 821
1
“Travaille actuellement” signifie que les femmes ont travaillé au cours des 7 derniers jours. En outre, les femmes qui n’ont pas
travaillé au cours des 7 derniers jours mais qui ont un emploi régulier et qui étaient absentes parce qu’elles étaient en congé, malades
ou en vacances ou encore pour d’autres raisons sont incluses ici.
1
“Travaille actuellement” signifie que les hommes ont travaillé au cours des 7 derniers jours. En outre, les hommes qui n’ont pas
travaillé au cours des 7 derniers jours mais qui ont un emploi régulier et qui étaient absents parce qu’ils étaient en congé, malades ou
en vacances ou encore pour d’autres raisons sont inclus ici.
Note : L’ensemble comprend les femmes dont l’information sur le type d’emploi est
manquante et qui ne sont pas présentées séparément.
1
Y compris un usage quotidien et occasionnel (pas tous les jours).
2
Les cigarettes incluent les kreteks.
3
Comprend les pipes à tabac, les cigares, les cheroots, les cigarillos et les pipes à eau.
4
Par consommation occasionnelle, on entend ici une consommation qui n’est pas quotidienne.
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
1
Comprend les cigarettes achetées en commerce, les cigarettes roulées à la main et les kreteks.
L
’union et l’activité sexuelle permettent de déterminer dans quelle mesure les femmes sont exposées
au risque de grossesse et aux maladies sexuellement transmissibles. Ce sont donc des déterminants
importants du niveau de la fécondité. En outre, les conditions dans lesquelles ont lieu l’union et
l’activité sexuelle ont des conséquences importantes sur la vie des femmes et des hommes.
Ce chapitre traite de l’état matrimonial des enquêtés, de la polygamie, de l’âge au premier rapport sexuel et
à la première union.
Actuellement en union :
Les femmes et les hommes qui ont déclaré qu’ils étaient mariés ou qu’ils
vivaient ensemble avec un partenaire comme s’ils étaient mariés au moment
de l’enquête.
Échantillon : Femmes et hommes de 15–49 ans
Au moment de l’enquête, 41 % des femmes de 15–49 ans étaient célibataires et près de la moitié était en
union (48 %). Dix pour cent étaient séparées ou divorcées et un pour cent était veuve.
Parmi les hommes de 15–49 ans, 50% étaient célibataires au moment de l’enquête et 40 % vivaient en
union ; 14 % étaient mariés contre 17 % des femmes. En outre, comme chez les femmes, 10 % étaient
divorcés ou séparés et moins d’un pour cent était veuf (Tableau 4.1 et Graphique 4.1).
Les pourcentages de femmes célibataires diminuent plus rapidement que chez les hommes, avec l’âge : à
20–24 ans, 64 % des femmes sont célibataires contre 85 % chez les hommes ; dans le groupe d’âges 25–29
ans, ces proportions sont de 33 % contre 59 %. À partir de 30–34 ans, les écarts se réduisent mais à 45–49
ans, 14 % des femmes sont célibataires contre 7 % des hommes.
Mariée ou Marié ou
vivant avec Divorcé/
vivant avec
quelqu’un séparé
quelqu’un Divorcée/
40 % 10 %
48 % séparée
10 % Veuf
Veuve <1 %
1% Célibataire
Célibataire
41 % 50 %
Tendances : Entre 2012 et 2019–21, la proportion de femmes de 15–49 ans vivant en union a augmenté,
passant de 34 % à 48 % ; dans la même période, le pourcentage d’hommes en union de 15–49 ans est passé
de 27 % à 40 %.
Au cours de l’enquête, on a demandé aux femmes actuellement mariées si leur mariage avait été consenti,
s’il s’agissait d’un mariage arrangé ou si elles avaient été forcées. Dans la majorité des cas, les femmes de
15–49 ans ont consenti à leur mariage (89 %). Ce pourcentage est aussi élevé parmi celles de 50–64 ans
(92 %). Dix pour cent des femmes de 15–49 ans ont déclaré que leur mariage était un mariage arrangé et
un pour cent a été forcée de se marier (Tableau 4.2).
▪ Le pourcentage de femmes ayant consenti à leur mariage a tendance à augmenter avec le niveau
d’instruction, variant de 73 % parmi celles sans niveau d’instruction à, pratiquement, 100 % parmi
celles ayant le niveau supérieur. Le pourcentage de femmes dont le mariage a été arrangé suit la
tendance inverse, le pourcentage passant respectivement de 26 % à moins d’un pour cent
(Tableau 4.2).
On a aussi demandé aux femmes si elles s’étaient mariées civilement, religieusement ou de manière
coutumière. Plus des trois-quarts des femmes de 15–49 ans se sont mariées de manière coutumière (76 %) ;
pour près de six femmes sur dix, le mariage était un mariage civil (58 %) et 42 % se sont mariées
religieusement (Tableau 4.3).
▪ Le pourcentage de femmes mariées de manière coutumière est nettement plus élevé en milieu rural
qu’en milieu urbain (90 % contre 75 %).
▪ Les résultats selon l’âge montrent que le pourcentage de femmes mariées civilement a tendance à
diminuer des générations anciennes aux plus récentes, passant de 65 % parmi les femmes de 45–49 ans
à 38 % parmi celles de 20–24 ans. Par contre, le pourcentage de femmes mariées religieusement suit la
tendance inverse, le pourcentage passant de 30 % parmi celles de 45–49 ans à 54 % à 25–29 ans et
52 % à 20–24 ans (Tableau 4.3).
Polygamie
Les femmes qui ont déclaré que leur mari ou partenaire a d’autres épouses
sont considérées comme vivant en union polygame. Les hommes ayant
déclaré qu’il vivait avec plus d’une épouse ou partenaire sont aussi considérés
comme vivant en union polygame.
Échantillon : Femmes et hommes de 15–49 ans actuellement en union
Au cours de l’enquête, on a demandé aux femmes actuellement en union si elles étaient mariées ou si elles
vivaient avec un homme ayant plus d’une épouse ou vivant avec plus d’une partenaire ; aux hommes, on a
demandé à ceux qui étaient mariés ou qui vivaient en union, s’ils étaient mariés à plus d’une épouse ou
s’ils avaient plusieurs partenaires.
Le Tableau 4.4.1 présente la répartition en pourcentages des femmes de 15–49 ans, actuellement en union,
par nombre de coépouses, selon certaines caractéristiques. La polygamie n’est certes pas une pratique très
répandue au Gabon, la majorité des femmes n’ayant pas de co-épouses (86 %) ; le pourcentage de femmes
ayant des co-épouses est de 6 % et 7 % des femmes n’ont pas été en mesure de fournir une réponse.
La quasi-majorité des hommes de 15–49 ans sont monogames (95 %)et seulement 5 % ont deux épouses
ou plus. Le pourcentage d’hommes polygames est cependant plus élevé parmi ceux de 50–64 ans (8 %)
(Tableau 4.4.2).
▪ La proportion de femmes ayant au moins une coépouse est plus faible chez les femmes de 20–24 ans
(3 %) et plus élevée chez celles de 45–49 ans (10 %).
Au cours de l’enquête, on a demandé aux femmes et aux hommes à quel âge ils avaient commencé à vivre
pour la première fois avec un/une partenaire.
Le Tableau 4.5 présente les pourcentages de femmes et d’hommes qui ont déjà contracté une première
union avant d’atteindre certains âges exacts et les âges médians à la première union pour les femmes de
25–49 ans et pour les hommes de 30–49 ans. Au Gabon, près de la moitié des femmes de 25–49 ans entrent
en union pour la première fois avant d’atteindre 25 ans (49 %).
En outre, des générations anciennes aux plus récentes, on constate une diminution des unions précoces :
5 % des femmes âgées de 45–49 ans à l’enquête avaient déjà contracté une première union avant
d’atteindre 15 ans exacts contre 4 % parmi celles âgées de 30–34 ans et 1 % parmi celles de 15–19 ans.
Par ailleurs, les hommes entrent en première union à un âge un peu plus tardif. En effet, dans le groupe
d’âges 25–49 ans, 30 % des hommes contre 49 % des femmes étaient en union avant d’atteindre 25 ans
exacts.
▪ Dans les provinces, l’âge médian des femmes de Graphique 4.4 Âge médian des femmes
30–49 ans à la première union varie de 20,8 ans à l’union par niveau d’instruction
dans l’Ogooué-Lolo à 27,1 ans dans le Moyen- Âge médian à la première union parmi les
Ogooué ; chez les hommes, les écarts sont plus femmes de 30–49 ans
faibles, de 26,2 dans l’Ogooué-Maritime (sans 29,8
Port-Gentil) à 29,9 ans à Port-Gentil. 25,5 26,3
23,2
21,5
▪ L’âge médian des femmes de 30–49 ans à la
première union a tendance à augmenter avec le
niveau d’instruction, variant de 21,5 ans parmi
celles sans niveau d’instruction à 29,8 ans parmi
celles ayant le niveau supérieur
(Graphique 4.4). Aucun Primaire Secon- Secon- Supérieur
daire daire
4.5 ÂGE AUX PREMIERS 1er cycle 2e cycle
RAPPORTS SEXUELS
L’âge aux premiers rapports sexuels est un déterminant de la fécondité aussi important que l’âge à la
première union, dans la mesure où les rapports sexuels n’ont pas toujours lieu dans le cadre de l’union.
Pour cette raison, on a demandé aux femmes et aux hommes, quel âge ils avaient lors de leurs premiers
rapports sexuels. Le Tableau 4.7 présente les pourcentages de femmes et d’hommes qui ont eu leurs
premiers rapports sexuels avant d’atteindre certains âges exacts et les âges médians aux premiers rapports
sexuels pour les femmes de 20–49 ans et de 25–49 ans et pour les hommes de 20–49 ans, de 25–49 ans et
de 20–64 ans.
À 20 ans exacts, 86 % des femmes âgées de 25–49 ans avaient déjà eu leurs premiers rapports sexuels et à
25 ans exacts, ce pourcentage est de 95 %. Près d’une femme sur cinq (18 %) avait eu des rapports sexuels
précoces, c’est-à-dire avant l’âge de 15 ans. Parmi les hommes de 25–49 ans, ces pourcentages sont
respectivement de 79 % et 93 % et 20 % avaient débuté leur vie sexuelle avant l’âge de 15 ans.
À la différence des femmes, l’âge médian des Graphique 4.5 Rapports sexuels
hommes aux premiers rapports sexuels a tendance à précoces : tendances
rajeunir des générations anciennes aux plus Pourcentage ayant eu leurs premiers
récentes ; passant de 17,7 ans parmi ceux de 45–49 rapports sexuels avant d’atteindre l’âge
ans à 16,4 ans parmi ceux de 20–24 ans. de 18 ans
77 Femme de
Tendances : Les pourcentages de femmes et 25–49 ans
66 66
d’hommes ayant eu leurs premiers rapports sexuels
avant d’atteindre 18 ans ont tendance à diminuer, 66
61 60
Homme de
passant parmi les femmes de 77 % en 2000 à 66 % 25–49 ans
en 2012 et en 2019–21. Dans la même période, ce
pourcentage passe pour les hommes de 66 % à 61 %
et à 60 % (Graphique 4.5).
EDSG-I EDSG-II EDSG-III
Variations par caractéristique 2000 2012 2019–21
▪ Que ce soit parmi les femmes de 25–49 ans ou parmi les hommes de 25–64 ans, l’âge médian aux
premiers rapports sexuels est plus précoce en milieu rural qu’en milieu urbain (respectivement 15,9
ans contre 16,9 ans et 16,9 ans contre 17,4 ans parmi les hommes de 20–64 ans) (Tableau 4.8).
▪ Parmi les femmes de 20–49 ans, l’âge médian aux premiers rapports sexuels a tendance à augmenter
avec le niveau d’instruction, passant de 16,2 ans parmi celles ayant le niveau primaire à 18,3 ans parmi
celles ayant le niveau supérieur. Parmi les hommes, les écarts sont très faibles.
▪ Du quintile le plus bas au plus élevé, l’âge médian aux premiers rapports sexuels a tendance à
augmenter, passant, parmi les femmes de 25–49 ans, de 16,0 ans à 17,6 ans et, parmi les hommes de
20–64 ans, de 16,9 ans à 17,3 ans.
Plus de la moitié des femmes (52 %) et des hommes de 15–49 ans (57 %) ont déclaré avoir eu leurs
derniers rapports sexuels pendant les quatre semaines précédant l’enquête. En outre, parmi les femmes de
15–49 ans, 12 % n’avaient jamais eu de rapports sexuels. Parmi les hommes, ce pourcentage est de 9 %.
▪ Le pourcentage de femmes sexuellement actives au cours des quatre dernières semaines a tendance à
augmenter avec l’âge, passant de 21 % à 15–19 ans à 62 % à 35–39 ans puis à diminuer par la suite
pour atteindre 55 % à 45–49 ans. Parmi les hommes, on note la même tendance mais qui se prolonge
plus tard, le pourcentage d’hommes sexuellement actifs au cours des quatre dernières semaines passant
de 19 % à 15–19 ans à 75 % à 35–39 ans avant de diminuer pour atteindre 69 % à 45–49 ans.
Note : Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
Note : Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été
supprimée.
1
Non compris les femmes qui ont répondu “Ne sait pas” quand on leur a demandé si leur conjoint avait d’autres épouses/partenaires.
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
Note : L’âge à la première union est défini comme étant l’âge auquel l’enquêté(e) a commencé à vivre avec son premier époux/épouse/
partenaire.
na = non applicable pour cause de troncature
a = non calculé parce que moins de 50 % des enquêtés ont commencé à vivre pour la première fois avec leur époux/épouse /partenaire avant
d’atteindre le début du groupe d’âges.
Âge médian à la première union parmi les femmes de 25–49 ans et de 30–49 ans
et âge médian à la première union parmi les hommes de 30–64 ans, selon
certaines caractéristiques, EDSG-III 2019–21
Âge des
Âge des femmes hommes
Caractéristique 25–49 30–49 30–64
Résidence
Port Gentil/Libreville a 26,1 28,8
Autres villes a 26,1 29,2
Ensemble urbain a 26,1 28,9
Rural 24,0 24,8 28,4
Province
Libreville a 26,3 28,5
Port-Gentil 24,5 24,9 29,9
Estuaire (sans Libreville) a 27,3 29,0
Haut-Ogooué a 25,4 a
Moyen-Ogooué a 27,1 29,0
Ngounié 23,9 24,4 28,3
Nyanga 24,8 24,7 28,4
Ogooué-Ivindo 23,7 22,5 26,5
Ogooué-Lolo 20,5 20,8 28,7
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 23,7 24,4 26,2
Woleu-Ntem a 25,8 27,8
Niveau d’instruction
Aucun 21,6 21,5 29,0
Primaire 23,0 23,2 29,2
Secondaire 1er cycle 24,3 25,5 28,4
Secondaire 2e cycle a 26,3 28,5
Supérieur a 29,8 29,6
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 24,4 25,3 29,7
Second 25,0 26,7 28,2
Moyen 23,7 23,8 29,3
Quatrième a 26,7 28,8
Le plus élevé a 26,5 28,4
Ensemble a 26,0 28,8
Note : L’âge à la première union est défini comme étant l’âge auquel l’enquêté(e)
a commencé à vivre avec son premier époux/sa première épouse/partenaire.
a = non calculé parce que moins de 50 % des femmes ou des hommes ont
commencé à vivre pour la première fois avec leur époux/épouse/partenaire avant
d’atteindre le début du groupe d’âges.
a = non calculé parce que moins de 50 % des enquêtés ont eu leurs premiers rapports sexuels avant
d’atteindre le début du groupe d’âges.
1
Non compris les femmes qui ont eu des rapports sexuels au cours des 4 dernières semaines.
2
Non compris les femmes qui ne sont pas actuellement en union.
1
Non compris les hommes qui ont eu des rapports sexuels au cours des 4 dernières semaines.
2
Non compris les hommes qui ne sont pas actuellement en union.
L
e nombre d’enfants qu’a une femme dépend de plusieurs facteurs, comme l’âge auquel elle
commence à avoir des enfants, l’intervalle entre les naissances et son aptitude à la reproduction. Le
report de la première naissance et l’allongement de l’intervalle intergénésique ont joué un rôle
important dans la réduction des niveaux de fécondité dans de nombreux pays. Ces facteurs ont aussi des
conséquences positives en termes de santé. À l’opposé, des intervalles intergénésiques courts (de moins de
24 mois) peuvent avoir des effets néfastes pour les nouveau-nés et pour leurs mères, comme des naissances
avant terme, des faibles poids à la naissance et le décès. La maternité à un âge très jeune est associée à un
risque accru de complications durant la grossesse et la naissance de l’enfant et à des niveaux élevés de
mortalité néonatale.
Ce chapitre présente les niveaux de fécondité du Gabon et certaines variations selon les caractéristiques
sociodémographiques de la femme telles que le milieu de résidence, les provinces et le niveau
d’instruction. Plus précisément, il présente l’indice synthétique de fécondité, l’intervalle intergénésique,
l’insusceptibilité de tomber enceinte (à cause de l’aménorrhée post-partum, de l’abstinence post-partum ou
de la ménopause), l’âge à la première naissance et la fécondité des adolescentes.
Le Tableau 5.1, montre qu’au Gabon, le nombre moyen d’enfants que mettrait au monde une femme à la
fin de sa vie féconde est estimé à 3,9 ; il varie de 3,8 en milieu urbain à 5,4 en milieu rural.
Fécondité • 85
Le Tableau 5.1 présente aussi le taux brut de natalité pour la période des trois années ayant précédé
l’enquête, pour l’ensemble du pays et par milieu de résidence : dans l’ensemble ; il est estimé à 3 1‰ et il
varie de 29 ‰ en milieu rural à 32 ‰ en milieu urbain.
Le taux de fécondité par groupe d’âge varie de manière importante avec l’âge : de 3 ‰ parmi les jeunes
filles de moins de 15 ans, il augmente rapidement pour atteindre un maximum de 181 ‰ dans le groupe
d’âges 25–29 ans puis diminue lentement jusqu’à 35–39 ans où il se situe à 118 ‰ et il atteint 5 ‰ en fin
de vie féconde.
Le taux global de fécondité est le nombre annuel moyen de naissances vivantes pour 1 000 femmes âgées
de 15 à 49 durant une année donnée ; il est estimé à 139 ‰. Il est plus élevé en milieu rural (187 ‰) qu’en
milieu urbain (136 ‰). Le pourcentage de femmes enceintes est de 7 % au niveau national, 7 % en milieu
urbain et 9 % en milieu rural et le nombre moyen d’enfants nés vivants des femmes de 40–49 ans est de
4,1 (Tableau 5.2).
Le Graphique 5.2 montre que les taux de fécondité EDSG-I EDSG-II EDSG-III
diminuent globalement depuis la première enquête 2000 2012 2019–21
réalisée en 2000, en particulier dans les groupes
d’âges 15–19 ans et 20-24 ans, les taux étant passé Graphique 5.2 Tendances de la
respectivement de 142 ‰ en 2000 à 99 ‰ en 2019– fécondité par âge
21 et de 196 ‰ à 173 ‰. Bien que les courbes aient Naissances pour 1 000 femmes
une allure quasi similaire quelle que soit l’enquête, 200 EDSG-I 2000
on constate que le pic de fécondité est atteint plus EDSG-II 2012
tard aux deux dernières enquêtes par rapport à la 150 EDSG-III 2019–21
première enquête : en 2000, le taux le plus élevé se
situait dans le groupe d’âges 20-24 ans (196 ‰)
100
contre 25-29 ans en 2012 (187 ‰) et en 2019-21
(189 ‰). Le Tableau 5.3.2 qui présente les taux de
50
fécondité par groupe d’âges par période de cinq ans
précédant l’enquête actuelle montre que les taux ont
0
globalement baissé de la période la plus ancienne à
15–19 20–24 25–29 30–34 35–39 40–44 45–49
la plus récente : en particulier, à 15-19 ans, le taux Groupe d’âges
est passé de 102 ‰ 15–19 ans avant l’enquête à
99 ‰ 0–4 ans avant l’enquête. Cependant, cette tendance ne s’observe pas à tous les âges : dans les
groupes d’âges 20-24 ans et 25-29 ans, on constate une augmentation des taux de la période la plus
ancienne à la plus récente, passant dans le groupe 20-24 ans de 138 ‰ à 174 ‰ et dans le groupe 25-29
ans de 172 ‰ à 189 ‰.
86 • Fécondité
Variations par caractéristique
▪ Le nombre moyen d’enfants par femme varie entre les provinces, d’un maximum de 5,6 dans
l’Ogooué-Ivindo à 3,6 à Libreville ou 3,8 dans l’Estuaire (sans Libreville) et 3,9 à Port-Gentil (Carte
5.1).
▪ Le nombre moyen d’enfants par femme diminue Graphique 5.3 Fécondité par
avec le niveau d’instruction, passant de 5,3 niveau d’instruction
parmi les femmes sans niveau d’instruction à 3,1 ISF pour les 3 années avant l’enquête
parmi celles ayant le niveau secondaire 2e cycle
et à 2,8 parmi celles ayant le niveau supérieur 5,3 5,4
(Graphique 5.3).
4,3
▪ Du quintile le plus bas au plus élevé, le nombre 3,1
2,8
moyen d’enfants par femme diminue, passant de
5,4 à 2,9.
Fécondité • 87
lesquels 2,0 étaient encore en vie. Parmi les femmes en union du même groupe d’âges, ces nombres
moyens sont de 3,0 enfants nés vivants et 2,9 enfants survivants (Tableau 5.4). Le nombre moyen
d’enfants survivants, chez les femmes en union, augmente rapidement avec l’âge, passant de 0,7 à 15–19
ans à 2,1 à 25–29 ans pour atteindre un maximum de 4,1 à 45–49 ans. La répartition par âge met en
évidence une fécondité toujours précoce puisque 16 % des jeunes femmes de moins de 20 ans ont déjà
donné naissance à, au moins un enfant.
La durée de l’intervalle qui sépare la naissance d’un enfant de la naissance précédente a une influence sur
l’état de santé de la mère et de l’enfant. Il est admis (Locoh, 1984) que les intervalles intergénésiques
courts (inférieurs à 24 mois) sont nuisibles à la santé et à l’état nutritionnel des enfants et augmentent leur
risque de décéder.
▪ Le nombre médian de mois depuis la naissance précédente a tendance à augmenter avec l’âge de la
mère, passant de 24,7 mois parmi celles de 15–19 ans à 31,9 mois parmi celles de 20–29 ans et à 48,2
mois dans le groupe d’âges 40–49 ans.
▪ La durée médiane d’espacement des naissances augmente avec le niveau d’instruction de la mère,
passant de 31,6 mois quand la mère n’a aucun niveau d’instruction à 45,0 mois quand elle a le niveau
supérieur.
88 • Fécondité
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, la durée médiane de l’intervalle
intergénésique augmente, passant de 32,2 mois à 45,5 mois.
Aménorrhée post-partum
Période entre la naissance de l’enfant et le retour des règles.
Abstinence post-partum
Période entre la naissance de l’enfant et la reprise des rapports sexuels.
Insusceptibilité post-partum
Période pendant laquelle on considère qu’une femme ne court pas de risque
de tomber enceinte, soit parce qu’elle est en aménorrhée post-partum et/ou en
abstinence post-partum.
Dans l’ensemble, pour près d’une naissance sur cinq (19 %) ayant eu lieu durant les trois années précédant
l’enquête, les mères sont en aménorrhée post-partum, pour près d’un quart des naissances (24 %) les mères
sont en abstinence post-partum et pour 29 % des naissances, les mères ne sont pas susceptibles de tomber
enceintes (Tableau 5.6).
Le nombre de mois après la fin de la grossesse au cours desquels la moitié des femmes sont en aménorrhée
post-partum est de 5,5 mois, de 6,6 mois pour l’abstinence post-partum et de 8,2 mois pour la durée
d’insusceptibilité post-partum (Tableau 5.7).
▪ En milieu rural, la durée médiane de l’aménorrhée post-partum est plus longue qu’en milieu urbain :
8,2 mois contre 5,3 mois (Tableau 5.7).
▪ La durée médiane de l’aménorrhée post-partum varie entre provinces : c’est dans le Haut-Ogooué (8,2
mois), la Ngounié (8,9 mois) et l’Ogooué-Ivindo (9,4 mois) que l’on observe la durée la plus longue
et, à l’opposé, c’est dans l’Estuaire (sans Libreville) (4,2 mois) et la Nyanga (4,7 mois) que l’on note
les durées médianes les plus courtes.
Fécondité • 89
Ménopause
Les femmes sont considérées comme ayant atteint la ménopause si elles ne
sont ni enceintes, ni en aménorrhée post-partum et si elles n’ont pas eu de
règles pendant une période de 6 mois avant l’enquête ou si elles déclarent
qu’elles sont en ménopause ou qu’elles ont eu une hystérectomie, ou si elles
n’ont jamais eu de règles.
Échantillon : Femmes de 30–49 ans
Le Tableau 5.8 montre qu’environ 7 % des femmes âgées de 30–49 ans sont considérées comme étant en
ménopause au moment de l’enquête. Ce pourcentage augmente avec l’âge, de 1 % chez les femmes de 30–
34 ans à 35 % chez celles de 48–49 ans.
Le Tableau 5.9 sur l’âge à la première naissance, présente la répartition des femmes selon le groupe d’âges
au moment de l’enquête et l’âge médian à la première naissance, c’est-à-dire l’âge auquel 50 % des
femmes ont déjà eu leur premier enfant.
Dans l’ensemble, l’âge médian à la première naissance des femmes âgées de 25–49 ans est estimé à 20,4
ans. En atteignant 18 ans, 29 % des femmes de 25–49 ans avaient déjà eu une première naissance et en
atteignant 25 ans, près des trois quart avaient déjà eu une première naissance (73 %). Par ailleurs, 10 % des
femmes âgées de 25–49 ans n’ont jamais donné naissance.
▪ L’âge médian à la première naissance des Graphique 5.5 Âge médian à la première
femmes âgées de 25–49 ans est plus tardif en naissance par résidence
milieu urbain qu’en milieu rural (20,5 ans contre Âge médian à la première naissance
19,3 ans) et à Port-Gentil/Libreville par rapport parmi les femmes de 25–49 ans
aux autres villes (21,0 contre 19,9 ans) (Tableau
5.10 et Graphique 5.5). 21,0
19,9 20,5
19,3
▪ L’âge médian à la première naissance varie en
fonction du niveau d’instruction. En effet, plus
les femmes de 25-49 ans sont instruites, plus
l’âge médian à la première naissance est tardif :
de 18,9 ans chez les femmes ayant le niveau
primaire, il atteint 24,9 ans chez celles ayant le
niveau supérieur. Libreville/ Autres Villes Urbain Rural
Port Gentil
▪ Du quintile le plus bas au plus élevé, l’âge
médian à la première naissance augmente, passant de 19,2 ans à 22,8 ans.
90 • Fécondité
Les adolescentes, c’est-à-dire les jeunes femmes âgées de 15–19 ans dans le cadre de cette enquête,
constituent un groupe à risque en matière de fécondité. Pour diverses raisons, l’analyse de la fécondité
dans ce groupe d’âges revêt une grande importance. En effet, les enfants nés de mères jeunes (moins de 20
ans) courent généralement un risque plus important de décéder que ceux issus de mères plus âgées. De
même, les accouchements précoces augmentent le risque de décéder chez les adolescentes. Par ailleurs,
l’entrée précoce des jeunes filles dans la vie féconde réduit considérablement leurs opportunités scolaires.
Pour toutes ces raisons, le niveau de leur fécondité occupe une place importante dans l’élaboration des
politiques et la mise en œuvre des stratégies et des programmes de santé de la reproduction.
Le Tableau 5.11 présente le pourcentage d’adolescentes de 15–19 ans qui ont déjà eu une naissance
vivante ou qui sont enceintes d’un premier enfant et de celles qui ont déjà commencé leur vie féconde
selon certaines caractéristiques sociodémographiques comme l’âge, le milieu de résidence, la province, le
niveau d’instruction et le quintile de bien-être économique.
Au Gabon, 19 % des jeunes femmes de 15–19 ans ont déjà commencé leur vie reproductive : 16 % ont déjà
eu une naissance vivante et 3 % sont enceintes d’un premier enfant.
Fécondité • 91
Carte 5.2 Grossesse et maternité des adolescentes par province
Pourcentage de femmes de 15–19 ans qui ont commencé leur vie procréative
▪ Le pourcentage d’adolescentes de 15–19 ans ayant déjà commencé leur vie féconde diminue avec le
niveau d’instruction, passant de 28 % parmi celles ayant le niveau primaire à 15 % parmi celles ayant
le niveau secondaire 2e cycle.
▪ Du quintile le plus bas au plus élevé, le pourcentage d’adolescentes ayant déjà commencé leur vie
procréative a tendance à diminuer, passant de 33 % à 11 %.
92 • Fécondité
5.7 RAPPORTS SEXUELS ET COMPORTEMENTS EN MATIERE DE SANTE
REPRODUCTIVE AVANT L’AGE DE 15 ANS
Parmi les femmes et les hommes de 15–19 ans, 10 % Graphique 5.7 Comportements en
des femmes et 23 % des hommes ont eu leurs matière de sexualité et de santé de la
premiers rapports sexuels avant l’âge de 15 ans ; reproduction avant l’âge de 15 ans
seulement 1 % des femmes et aucun homme n’était Pourcentage de femmes et d’hommes de
en union avant l’âge de 15 ans. Ces résultats 15–19 ans
indiquent que les rapports sexuels n’ont pas toujours Femme Homme
lieu dans le cadre de l’union. Par ailleurs, 2 % des
femmes ont donné naissance à un enfant et
pratiquement aucun homme n’a engendré d’enfant
avant l’âge de 15 ans (Tableau 5.12 et
23
Graphique 5.7). 10
1 <1 2 <1
LISTE DES TABLEAUX A eu des rapports Marié avant A donné
sexuels avant 15 ans naissance/
Pour plus d’informations sur les niveaux de 15 ans engendré avant
fécondité et certains déterminants de la fécondité, 15 ans
voir les tableaux suivants :
Fécondité • 93
Tableau 5.1 Fécondité actuelle
Taux de fécondité par âge, Indice synthétique de fécondité (ISF), Taux global de fécondité
générale (TGFG) et Taux brut de natalité (TBN) pour la période des 3 années ayant précédé
l’enquête par milieu de résidence, EDSG-III 2019–21
Résidence
Port Gentil/ Ensemble
Groupe d’âges Libreville Autres villes urbain Rural Ensemble
<15 [1] [5] [3] [3] [3]
15–19 90 100 94 176 100
20–24 153 190 167 254 173
25–29 175 190 180 211 181
30–34 146 181 158 210 161
35–39 116 113 115 161 118
40–44 42 49 45 69 47
45–49 [5] [4] [5] [6] [5]
ISF (15–49) 3,6 4,1 3,8 5,4 3,9
TGFG 130 146 136 187 139
TBN 31,6 31,9 31,6 28,9 31,3
Notes : Les taux sont exprimés pour 1 000 femmes. Les taux entre crochets sont tronqués. Les
taux correspondent à la période 1–36 mois précédant l’enquête. Les taux pour le groupe d’âges
10–14 ans sont basés sur des données rétrospectives provenant des femmes âgées de 15–17
ans.
ISF : Indice synthétique de fécondité exprimé pour une femme
TGFG : Taux global de fécondité générale exprimé pour 1 000 femmes âgées de 15–44 ans
TBN : Taux brut de natalité exprimé pour 1 000 individus
94 • Fécondité
Tableau 5.3.1 Tendances de la fécondité par âge et
indice synthétique de fécondité
Notes : Les taux de fécondité par groupe d’âges sont exprimés pour
1 000 femmes. Les taux entre crochets sont tronqués. Les taux
excluent le mois de l’interview. Pour la période 0–4 ans, les taux pour
le groupe d’âges 10–14 ans sont basées sur des données
rétrospectives provenant des femmes âgées de 15–19 ans.
Fécondité • 95
Tableau 5.4 Enfants nés vivants et enfants survivants des femmes
Répartition (en %) de l’ensemble des femmes de 15–49 ans et des femmes de 15–49 ans en union par nombre d’enfants nés vivants, nombre moyen d’enfants
nés vivants et nombre moyen d’enfants survivants, par le groupe d’âges, EDSG-III 2019–21
Nombre Nombre
moyen moyen
Nombre moyen d’enfants nés vivants Effectif de d’enfants d’enfants
Groupe d’âges 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10+ Total femmes nés vivants survivants
ENSEMBLE DES FEMMES
15–19 83,9 13,6 2,3 0,2 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 100,0 1 726 0,19 0,18
20–24 43,3 30,6 16,4 7,3 1,8 0,3 0,2 0,0 0,0 0,0 0,0 100,0 1 839 0,95 0,92
25–29 18,3 25,1 25,3 17,4 8,6 2,9 2,0 0,3 0,0 0,0 0,0 100,0 1 798 1,92 1,84
30–34 10,1 16,2 23,8 20,4 13,9 8,8 3,6 2,3 0,9 0,1 0,0 100,0 1 493 2,70 2,61
35–39 6,2 13,5 20,6 20,9 14,9 11,1 6,7 3,0 2,2 0,5 0,3 100,0 1 257 3,20 3,05
40–44 5,3 13,0 10,2 16,4 17,3 11,5 9,1 7,6 5,0 2,4 2,1 100,0 1 051 4,01 3,80
45–49 6,1 9,2 14,5 14,4 13,8 13,9 8,0 6,4 5,8 4,5 3,3 100,0 747 4,22 3,90
Ensemble 29,3 18,8 16,4 13,1 8,7 5,6 3,4 2,1 1,4 0,7 0,5 100,0 9 910 2,11 2,01
FEMMES ACTUELLEMENT EN UNION
15–19 43,3 42,0 12,1 2,5 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 100,0 157 0,74 0,71
20–24 20,8 31,4 26,3 15,3 4,8 0,9 0,5 0,0 0,0 0,0 0,0 100,0 563 1,56 1,49
25–29 10,3 23,2 27,9 20,5 10,8 4,1 2,8 0,3 0,0 0,0 0,0 100,0 1 004 2,24 2,14
30–34 6,9 12,0 23,1 23,2 15,9 10,9 4,0 3,0 0,8 0,1 0,0 100,0 975 2,98 2,89
35–39 3,7 10,0 17,5 23,6 17,1 13,9 7,7 3,1 2,7 0,4 0,3 100,0 875 3,50 3,34
40–44 4,2 10,9 9,5 16,4 15,5 12,9 11,0 9,8 5,2 2,8 1,9 100,0 711 4,28 4,05
45–49 3,9 8,3 14,6 14,6 15,2 14,2 7,3 5,3 7,3 5,0 4,4 100,0 490 4,45 4,12
Ensemble 9,2 16,7 20,2 19,2 13,1 9,1 5,3 3,3 2,2 1,0 0,8 100,0 4 776 3,02 2,88
96 • Fécondité
Tableau 5.5 Intervalles intergénésique
Répartition (en %) des naissances, autres que les naissances de rang un, ayant eu lieu au cours des 5 années ayant précédé l’enquête par nombre de mois écoulés depuis
la naissance précédente et nombre médian de mois depuis la naissance précédente, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Nombre
Effectifs de médian de
naissances mois depuis la
Caractéristique Mois depuis la naissance précédente autres que de naissance
sociodémographique 7–17 18–23 24–35 36–47 48–59 60+ Total premier rang précédente
Âge de la mère
15–19 23,7 14,1 52,3 8,8 0,5 0,6 100,0 41 24,7
20–29 10,9 15,2 30,8 16,2 9,0 17,8 100,0 1 873 31,9
30–39 7,0 10,9 22,3 16,4 12,8 30,6 100,0 2 036 43,0
40–49 4,4 10,6 17,2 17,6 13,5 36,8 100,0 506 48,2
Sexe de l’enfant
précédent
Masculin 8,5 12,8 25,9 16,6 10,4 25,8 100,0 2 280 37,9
Féminin 8,5 12,6 25,3 16,1 12,0 25,5 100,0 2 174 38,4
État de survie de la
naissance précédente
Vivante 7,5 12,6 25,8 16,4 11,3 26,4 100,0 4 289 38,6
Décédée 32,9 14,7 21,5 16,5 7,4 6,9 100,0 166 24,6
Rang de naissance
2–3 8,0 11,7 24,4 15,1 11,0 29,8 100,0 2 625 40,1
4–6 9,1 14,1 26,0 17,3 11,9 21,6 100,0 1 502 36,4
7+ 10,0 14,6 33,2 22,0 8,8 11,4 100,0 327 32,0
Résidence
Port Gentil/Libreville 8,2 12,6 22,7 16,1 11,1 29,3 100,0 2 395 40,5
Autres villes 8,5 12,7 27,8 16,2 11,2 23,5 100,0 1 625 36,4
Ensemble urbain 8,3 12,7 24,7 16,2 11,2 26,9 100,0 4 020 38,8
Rural 10,1 13,2 33,6 18,3 11,0 13,7 100,0 434 32,4
Province
Libreville 7,8 12,6 22,3 16,6 11,6 29,0 100,0 1 868 40,7
Port-Gentil 9,4 12,6 23,9 14,4 9,4 30,4 100,0 527 39,5
Estuaire (sans Libreville) 10,5 12,2 24,5 14,9 9,0 29,0 100,0 590 37,1
Haut-Ogooué 5,5 11,6 27,6 17,9 15,1 22,2 100,0 422 38,7
Moyen-Ogooué 7,2 12,7 32,3 14,9 12,7 20,3 100,0 136 35,0
Ngounié 8,7 13,8 31,3 17,5 10,9 17,8 100,0 193 32,6
Nyanga 6,6 13,9 30,7 15,8 13,8 19,3 100,0 91 35,1
Ogooué-Ivindo 8,2 13,3 36,3 18,3 9,6 14,3 100,0 132 32,5
Ogooué-Lolo 8,2 12,3 34,5 17,5 13,1 14,3 100,0 124 34,1
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 8,3 14,5 29,6 17,6 9,3 20,7 100,0 57 34,1
Woleu-Ntem 12,4 14,6 30,5 17,8 9,1 15,6 100,0 315 31,9
Niveau d’instruction de
la mère
Aucun 11,3 16,4 28,9 15,7 7,2 20,5 100,0 361 31,6
Primaire 7,8 11,0 29,9 21,2 11,1 19,1 100,0 754 36,8
Secondaire 1er cycle 9,3 13,3 27,6 15,4 11,5 22,9 100,0 2 087 35,9
Secondaire 2e cycle 5,5 12,2 18,6 14,8 12,6 36,4 100,0 744 46,7
Supérieur 8,6 11,1 18,8 16,0 10,8 34,5 100,0 507 45,0
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 9,4 15,2 31,3 19,1 10,8 14,1 100,0 958 32,2
Second 8,9 12,6 28,1 15,1 12,5 22,7 100,0 946 36,2
Moyen 8,4 12,0 23,7 16,7 11,6 27,6 100,0 966 39,2
Quatrième 9,7 12,9 21,4 16,4 8,5 31,1 100,0 871 39,4
Le plus élevé 5,5 10,2 22,2 13,9 12,4 35,8 100,0 713 45,5
Ensemble 8,5 12,7 25,6 16,4 11,2 25,7 100,0 4 455 38,1
Note : Les naissances de rang 1 sont exclues. L’intervalle pour les naissances multiples est le nombre de mois écoulés depuis la grossesse précédente qui a abouti à une
naissance vivante.
Fécondité • 97
Tableau 5.6 Aménorrhée, abstinence et insusceptibilité post-partum
Pourcentage de naissances des 3 années ayant précédé l’enquête dont les mères sont
en aménorrhée, en abstinence et en insusceptibilité post-partum, selon le nombre de mois
depuis la naissance et durées médiane et moyenne, EDSG-III 2019–21
98 • Fécondité
Tableau 5.7 Durée médiane de l’aménorrhée, de l’abstinence post-partum et
de l’insusceptibilité post-partum
Note : Les médianes sont basées sur le statut au moment de l’enquête (statut
actuel). Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
1
Y compris les naissances pour lesquelles les mères sont encore, soit en
aménorrhée, soit en abstinence, (ou les deux), à la suite d’une naissance.
Fécondité • 99
Tableau 5.8 Ménopause
Pourcentage de femmes de 30–49 ans qui sont en
ménopause, selon l’âge, EDSG-III 2019–21
Pourcentage en Effectif de
Groupe d’âges ménopause1 femmes
Âge
30–34 1,1 1 493
35–39 2,4 1 257
40–41 2,1 496
42–43 6,9 376
44–45 15,2 332
46–47 24,5 285
48–49 34,9 309
Ensemble 6,8 4 547
1
Le pourcentage de femmes qui (1) ne sont pas
enceintes, (2) ont eu une naissance dans les 5
dernières années et ne sont pas en aménorrhée
post-partum et (3) celles qui présentent les
caractéristiques suivantes : (a) les dernières règles
ont eu lieu 6 mois ou plus avant l’interview ou
(b) elles ont déclaré qu’elles étaient en ménopause
ou qu’elles avaient eu une hystérectomie ou
(c) elles n’avaient jamais eu de règles
100 • Fécondité
Tableau 5.10 Âge médian à la première naissance
Âge médian à la première naissance parmi les femmes de 20–
49 ans et de 25–49 ans, selon certaines caractéristique,
EDSG-III 2019–21
Femmes de Femme de
Caractéristique 20–49 ans 25–49 ans
Résidence
Port Gentil/Libreville a 21,0
Autres villes a 19,9
Ensemble urbain a 20,5
Rural 19,2 19,3
Province
Libreville a 21,1
Port-Gentil a 20,6
Estuaire (sans Libreville) a 20,9
Haut-Ogooué 19,7 19,5
Moyen-Ogooué 19,8 19,6
Ngounié a 20,5
Nyanga 19,1 18,9
Ogooué-Ivindo 18,9 18,8
Ogooué-Lolo 19,0 18,8
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 19,0 19,0
Woleu-Ntem 19,5 19,6
Niveau d’instruction
Aucun a 23,5
Primaire 18,8 18,9
Secondaire 1er cycle 19,1 19,1
Secondaire 2e cycle a 21,3
Supérieur a 24,9
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 19,1 19,2
Second 19,8 19,7
Moyen a 20,3
Quatrième a 20,8
Le plus élevé a 22,8
Ensemble a 20,4
Fécondité • 101
Tableau 5.11 Fécondité des adolescentes
Pourcentage de femmes de 15–19 ans qui ont eu une naissance vivante ou qui sont enceintes d’un
premier enfant et pourcentage ayant commencé leur vie procréative, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage de femmes de 15–19
ans qui : Pourcentage
ont eu une sont enceintes ayant commencé
Caractéristique naissance d’un premier leur vie Effectif de
sociodémographique vivante enfant procréative femmes
Âge
15–17 6,2 2,6 8,8 1 045
15 1,6 1,1 2,7 323
16 6,7 2,9 9,6 390
17 10,2 3,5 13,7 332
18 25,5 4,9 30,4 384
19 38,8 4,0 42,8 297
Résidence
Port Gentil/Libreville 14,6 3,0 17,6 912
Autres villes 16,9 3,6 20,4 682
Ensemble urbain 15,6 3,2 18,8 1 594
Rural 22,8 4,2 27,0 132
Province
Libreville 15,4 2,6 18,0 697
Port-Gentil 11,8 4,2 16,0 215
Estuaire (sans Libreville) 15,5 2,6 18,1 218
Haut-Ogooué 18,1 1,9 19,9 166
Moyen-Ogooué 20,5 2,1 22,6 75
Ngounié 15,0 6,7 21,7 78
Nyanga 16,8 4,8 21,6 46
Ogooué-Ivindo 21,9 9,1 31,0 45
Ogooué-Lolo 18,5 2,8 21,3 48
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 20,4 1,9 22,3 23
Woleu-Ntem 20,2 5,4 25,6 117
Niveau d’instruction
Aucun (17,1) (9,6) (26,6) 35
Primaire 19,0 8,8 27,8 211
Secondaire 1er cycle 16,4 2,9 19,3 1 077
Secondaire 2e cycle 14,1 1,1 15,2 390
Supérieur * * * 13
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 27,8 4,7 32,5 305
Second 19,1 2,4 21,5 384
Moyen 13,9 5,2 19,1 352
Quatrième 11,5 3,0 14,6 360
Le plus élevé 9,1 1,4 10,5 326
Ensemble 16,1 3,3 19,4 1 726
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique
qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
102 • Fécondité
PRÉFÉRENCES EN MATIÈRE DE FÉCONDITÉ 6
Résultats clés
L
a collecte de données sur les préférences en matière de fécondité a pour objectif d’évaluer les
efforts accomplis par les couples dans le contrôle de leur fécondité et de mesurer les besoins futurs
en matière de contraception, non seulement pour espacer, mais aussi pour limiter les naissances.
Lors de l’EDSG-III 2019–21, les questions sur les préférences en matière de fécondité ont été posées aux
femmes et aux hommes actuellement en union.
Ces questions concernaient le désir d’enfants, le désir de limitation des naissances, le nombre idéal
d’enfants et la planification de la fécondité. Les données concernant les préférences en matière de
fécondité ont montré que les attitudes et les opinions vis-à-vis de la procréation ont toujours été un sujet de
controverse. Pour certains chercheurs, les réponses aux questions sur les préférences en matière de
fécondité présentent certaines limites. D’une part, elles reflètent des points de vue éphémères qui peuvent
être exprimés sans beaucoup de conviction ; d’autre part, elles ne tiennent pas compte de l’effet des
pressions sociales ou de l’attitude des autres membres de la famille, particulièrement de celle du
mari/partenaire, qui peuvent avoir une grande influence sur les décisions en matière de reproduction ;
enfin, les données sont obtenues à partir d’un échantillon de femmes de différents âges et ayant des
histoires génésiques différentes. Au cours de l’EDSG-III 2019–21, des questions ont été posées aux
femmes concernant leur désir d’avoir, ou non, des enfants supplémentaires dans l’avenir, au délai d’attente
avant d’avoir un prochain enfant et au nombre total d’enfants désirés.
Au Gabon, plus de six femmes de 15–49 ans, actuellement en union, sur dix (62 %) souhaitent avoir un
enfant ou un autre enfant. Parmi ces femmes souhaitant un ou des enfants : 24 % le souhaitent dans les
deux ans, 25 % souhaitent attendre au moins deux ans et 12 % le souhaitent mais ne savent pas quand. À
l’opposé, 26 % des femmes ne souhaitent plus d’enfants (Tableau 6.1).
Les résultats concernant les hommes montrent que 70 % de ceux de 15–49 ans actuellement en union
souhaitent un enfant ou un autre enfant : 29 % souhaitent un enfant rapidement, dans les deux années et
27 % souhaitent attendre au moins deux ans et 15 % en veulent mais ne savent pas quand. Le pourcentage
d’hommes ne souhaitant plus d’enfants est un peu plus faible que celui des femmes (22 % contre 26 %).
Le désir d’avoir un autre enfant diminue avec le nombre d’enfants vivants aussi bien chez les femmes que
chez les hommes.
Tendances : Par rapport à 2012, le pourcentage de Graphique 6.1 Désir de limiter les
femmes de 15–49 ans ne souhaitant plus d’enfants a naissances par nombre d’enfants
légèrement augmenté, passant de 23 % à 26 % en vivants : tendances
2019–21 alors que celui des hommes a légèrement Pourcentage de femmes de 15-19 ans
baissé, passant respectivement de 24 % à 22 %. Le actuellement en union qui ne désirent
Graphique 6.1 montre qu’à la parité 2, les plus d’enfant
pourcentages pour les femmes n’ont presque pas
varié dans la période 2000 à 2019–21. Par contre à la
parité 3, on constate que 17 % des femmes ne
souhaitaient plus d’enfants en 2000 contre 19 % en 34 36
2012 et 25 % en 2019–21. On note la même 26 25
4 enfants
19
tendance à la parité 4. 17 3 enfants
2 enfants
Les Tableaux 6.2.1 et 6.2.2 présentent les résultats 12 11 12
concernant le désir de limiter les naissances des EDSG-I EDSG-II EDSG-III
femmes et des hommes de 15–49 ans actuellement 2000 2012 2019–21
en union selon certaines caractéristiques sociodémographiques.
▪ Dans les provinces, le pourcentage de femmes ne souhaitant plus d’enfants varie de 36 % dans
l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) et 33 % dans l’Ogooué-Ivindo à 19 % dans la Ngounié, et chez
les hommes, de 36 % dans l’Ogooué-Lolo à 15 % dans le Moyen-Ogooué ou 16 % dans le Haut-
Ogooué.
Au cours de l’EDSG-III 2019–21, l’une des deux questions suivantes a été posée aux femmes et aux
hommes selon leur situation au moment de l’enquête : aux femmes et aux hommes qui n’avaient pas
d’enfant, on a demandé : “Si vous pouviez choisir exactement le nombre d’enfants à avoir dans votre vie,
combien voudriez-vous en avoir ?” Aux femmes et aux hommes qui avaient des enfants, la question a été
formulée ainsi : “Si vous pouviez revenir à l’époque où vous n’aviez pas d’enfant et choisir exactement le
nombre d’enfants à avoir dans votre vie, combien auriez-vous voulu en avoir ?
Tendances : Dans la période 2000 à 2019–21, le nombre moyen idéal d’enfants pour l’ensemble des
femmes de 15–49 ans a légèrement diminué, passant de 4,9 en 2000 à 4,6 en 2012 et à 4,3 en 2019–21 ; la
diminution est un peu plus importante parmi les femmes en union, ce nombre moyen étant passé
respectivement de 5,4 à 5,0 et à 4,7. Parmi tous les hommes de 15–49 ans, on constate une tendance à la
baisse un peu plus importante que chez les femmes, le nombre moyen d’enfants idéal étant passé de 5,8 à
5,3 et à 4,9. Parmi ceux en union, la baisse est plus nette, le nombre moyen étant passé de 6,8 à 6,0 et à 5,4.
▪ Les résultats selon l’âge montrent que pour les femmes de 45–49 ans, le nombre idéal d’enfants est de
5,5 enfants alors qu’il n’est plus que 3,8 chez celles de 15–19 ans (Tableau 6.4).
▪ La taille idéale de la famille varie de 4,3 enfants en milieu urbain à 4,8 en milieu rural.
▪ Dans les provinces, le nombre moyen idéal Graphique 6.4 Taille idéale de la famille
d’enfants varie de 5,1 dans l’Ogooué-Ivindo qui par bien-être économique du ménage
enregistre le plus élevé à un minimum de 4,0 à Nombre moyen idéal d’enfants pour
Port-Gentil et 4,1 dans l’Estuaire (sans l’ensemble des femmes de 15–49 ans
Libreville).
4,7 4,4
4,3 4,4
▪ Le nombre idéal d’enfants diminue avec le 4,1
niveau d’instruction ; il passe de 5,0 pour les
femmes n’ayant aucun niveau d’instruction à 4,7
parmi celles ayant le niveau primaire et à 4,1
parmi celles ayant le niveau supérieur.
▪ Du quintile le plus bas au plus élevé, le nombre Le plus Second Moyen Quatrième Le plus
idéal d’enfants diminue, passant de 4,7 à 4,1 bas élevé
(Graphique 6.4). Le plus pauvre Le plus riche
Au cours de l’EDSG-III 2019–21, pour chaque naissance ayant eu lieu au cours des cinq dernières années
et pour la grossesse actuelle (pour les femmes enceintes), on a demandé à la mère si elle voulait être
enceinte à ce moment-là, plus tard, ou s’il s’agissait d’une grossesse non désirée. Les réponses à ces
questions permettent de mesurer le niveau de réussite des couples dans le contrôle de leur fécondité et
d’évaluer l’importance des grossesses non désirées.
▪ La proportion d’une naissance non désirée augmente avec le rang de naissance, variant de 4 % pour les
naissances de rang 1 à 9 % pour celles de rang 3 et à 21 % pour celles de rang 4 ou plus.
▪ Par ailleurs, on constate que les proportions de naissances ayant eu lieu au moment voulu augmentent
avec l’âge de la mère jusqu’à 34 ans et diminue après cet âge. Pour les naissances souhaitées plus tard,
le pourcentage diminue de façon importante avec l’âge de la mère.
▪ C’est dans le groupe d’âges à très forte fécondité (20–34 ans) que les naissances sont les mieux
planifiées : 53 % à 62 % de ces naissances étaient désirées et se sont produites au moment voulu.
Le Tableau 6.6 présente les taux de fécondité Graphique 6.6 Fécondité désirée et
désirée pour les trois années avant l’enquête et le fécondité actuelle : tendances
Graphique 6.6 présente une comparaison entre Nombre désiré et nombre actuel d’enfants
l’Indice Synthétique de Fécondité Désirée (ISFD) et par femme
l’Indice Synthétique de Fécondité actuelle (ISF). Le 4,2 4,1
calcul de l’ISFD est analogue à celui de l’ISF, mais 3,9 ISF
0,7 0,7
pour le calcul de l’ISFD, les naissances non désirées 0,7 Écart
ne figurent pas au numérateur. Ainsi, l’ISFD est un
indice qui exprime le niveau de fécondité qui
théoriquement devrait être atteint si toutes les 3,5 3,2 3,2 ISF désiré
naissances non désirées étaient évitées. La différence
observée entre ces deux indices permet de
déterminer l’effet potentiel qu’aurait eu un
programme de planification familiale réussi sur le EDSG-I EDSG-II EDSG-III
2000 2012 2019–21
contrôle de la fécondité.
Au Gabon pendant la période des trois années ayant précédé l’enquête de 2019–21, si toutes les naissances
non désirées avaient été évitées, l’ISF des femmes serait de 3,2 enfants au lieu de 3,9 enfants. Ce niveau de
fécondité désirée met en évidence l’importance des besoins en matière de planification familiale qu’il reste
à satisfaire, surtout en milieu rural.
Tendances : Les différentes EDS ont montré que l’ISFD est toujours inférieur à l’ISF. Au fil du temps,
l’ISFD et l’ISF tendent à diminuer. En 2000, l’ISF des femmes gabonaise était de 4,2 enfants. Il a continué
a baissé en 2012 (4,1) et en 2019–21 (3,9). Concernant l’ISFD, on constate la même tendance puisqu’il est
passé de 3,5 enfants par femme en 2000, et à 3,4 en 2012 et en 2019–21 , 3,2 enfants par femme
(Graphique 6.6).
▪ L’ISFD est plus élevé en milieu rural (4,1enfants) qu’en milieu urbain (3,1 enfants), et à
Libreville/Port-Gentil par rapport aux autres villes (3,0 enfants contre 3,3 dans les Autres villes).
▪ Dans les provinces, l’ISFD varie d’un minimum de 2,9 enfants par femme à l’Estuaire (sans
Libreville) à un maximum de 4,2 enfants dans l’Ogooué-Ivindo.
▪ L’ISFD varie d’un minimum de 2,5 enfants parmi les femmes ayant le niveau d’instruction secondaire
2nd cycle à un maximum de 5,0 parmi celles n’ayant aucun niveau d’instruction.
na = non applicable
1
Le nombre d’enfants vivants comprend la grossesse actuelle.
2
Veut une autre naissance dans les 2 ans
3
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus
4
Y compris la stérilisation féminine et masculine
5
Le nombre d’enfants vivants pour les hommes comprend un enfant supplémentaire si l’épouse de l’enquêté est enceinte (ou si l’une des
épouses est enceinte pour les hommes ayant actuellement plus d’une épouse).
Note : Les femmes stérilisées ou celles dont le partenaire/mari est stérilisé sont considérées comme ne voulant plus d’enfants.
Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur
moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Le nombre d’enfants vivants inclut la grossesse actuelle.
Note : Les hommes stérilisés ou qui ont déclaré à la question concernant le désir d’enfants que leur épouse/partenaire était
stérilisée sont considérés comme ne voulant plus d’enfants. Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non
pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Le nombre d’enfants vivants comprend un enfant supplémentaire si l’épouse/partenaire de l’enquêté est enceinte (ou si une
des épouses est enceinte pour les hommes qui ont actuellement plus d’une épouse).
1
Le nombre d’enfants vivants inclut la grossesse actuelle pour les femmes.
2
Les moyennes sont calculées en excluant les enquêtés qui ont fourni des réponses non numériques.
3
Pour les hommes, le nombre d’enfants vivants comprend un enfant supplémentaire si l’épouse de l’enquêté est enceinte (ou si l’une
des épouses est enceinte si l’homme a actuellement plus d’une épouse).
1
Effectif de femmes ayant donné une réponse numérique
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
Note : Les taux sont basés sur les naissances des femmes de
15–49 ans durant la période 1–36 mois précédant l’enquête.
L’ISF est le même que celui présenté au Tableau 5.2.
L
es couples peuvent utiliser des méthodes contraceptives pour limiter ou espacer le nombre
d’enfants. Ce chapitre présente les résultats sur l’utilisation et les sources d’approvisionnement des
méthodes contraceptives, le choix informé des méthodes et les taux et les raisons de
discontinuation contraceptive. En outre, il présente l’estimation de la demande potentielle en planification
familiale ainsi que les résultats concernant le contact des non-utilisatrices de la contraception avec des
prestataires de planification familiale.
Au cours de l’EDSG-III 2019–21, la collecte des informations concernant la connaissance des méthodes
contraceptives a été effectuée de la façon suivante : après avoir informé la personne enquêtée de
l’existence de méthodes ou moyens qu’un couple pouvait utiliser pour retarder ou éviter une grossesse,
l’enquêtrice demandait à l’enquêté si elle/il avait entendu parler de chaque méthode après l’avoir citée et
décrite.
Dans l’ensemble, la quasi-totalité des femmes et des hommes ont déclaré avoir entendu parler d’une
méthode de contraception. Les méthodes modernes sont mieux connues que les méthodes traditionnelles
Le Tableau 7.1 présente également, les niveaux de connaissance par méthode spécifique. On constate que,
parmi les méthodes modernes, le condom masculin est la méthode la plus connue par les femmes et les
hommes, quelle que soit la catégorie à laquelle ils appartiennent, suivi de la pilule, du condom féminin et
de la pilule du lendemain ; par contre, le DIU, la stérilisation masculine et les implants sont moins
connues. En outre, 75 % des femmes et 75 % des hommes connaissent une méthode traditionnelle. Ce sont
les femmes non en union sexuellement actives (81 %) et les hommes actuellement en union (82 %) qui
sont proportionnellement les plus nombreux à connaître une méthode de ce type.
Les résultats du Tableau 7.2 ne font apparaître aucune variation importante de la connaissance d’au moins
une méthode contraceptive, qu’elle soit moderne ou traditionnelle. La connaissance des méthodes
contraceptives est quasiment généralisée au Gabon. Tout au plus peut-on souligner que le pourcentage de
femmes qui connaissent au moins une méthode est plus faible parmi celles sans niveau d’instruction
(88 %).
Prévalence de la contraception
Pourcentage de femmes qui utilisent une méthode contraceptive
Échantillon : Toutes les femmes de 15–49 ans, actuellement en union, et les
femmes de 15–49 ans non en union sexuellement actives
Méthodes modernes
Comprennent la stérilisation masculine et féminine, les injectables, le dispositif
intra-utérin (DIU), les pilules contraceptives, les implants, le condom masculin
et le condom féminin, la méthode des jours fixes (MJF), la méthode de
l’allaitement maternel et de l’aménorrhée (MAMA) et la pilule du lendemain
Au Gabon, 25 % des femmes de 15–49 ans en union utilisaient, au moment de l’enquête, une méthode
contraceptive, principalement une méthode moderne (17 %). Seulement 8 % utilisaient une méthode
traditionnelle (Tableau 7.3). La prévalence de la contraception parmi les femmes non en union
sexuellement actives est nettement plus élevée (40 %
Graphique 7.1 Utilisation contraceptive
pour toutes les méthodes et 33 % pour les méthodes
modernes). Pourcentage de femmes de 15–49 ans
qui utilisent actuellement une
Parmi les méthodes contraceptives modernes, le méthode contraceptive
condom masculin et la pilule sont les méthodes les Une méthode 25
40
plus utilisées par les femmes, quelle que soit la
17
catégorie (respectivement 12 % et 2 % parmi toutes Une méthode moderne 33
les femmes et 10 % et 4 % parmi les femmes 10
Condom masculin
actuellement en union) (Graphique 7.1). Parmi les 28
femmes non en union sexuellement actives, le Pilule 4
2
condom masculin est aussi, de loin, la méthode la
1
plus fréquemment utilisée (28 %). Injectables 1 Actuellement
en union
Implants 1
1
Non en union,
Pilule du lendemain 1
2 sexuellement
active
Méthode traditionnelle 8
7
On note cette même tendance à la baisse parmi les femmes non en union sexuellement actives : le
pourcentage d’utilisatrices d’une méthode, quelle qu’elle soit, est passé de 56 % à 40 % et le pourcentage
utilisant une méthode moderne est passé de 45 % à 33 % ; en particulier le pourcentage d’utilisatrices de
condoms masculins a diminué, passant de 42 % à 28 %. En ce qui concerne l’utilisation de méthodes
traditionnelles, on constate aussi une diminution, le pourcentage étant passé de 11 % à 7 %.
▪ La prévalence contraceptive moderne parmi les femmes en union se situe autour de 20 % parmi les
femmes de 20–34 ans. Au-delà, le pourcentage d’utilisatrices tend à diminuer pour atteindre 15 % à
40–44 ans et 6 % à 45–49 ans (Tableau 7.3).
▪ La prévalence contraceptive moderne parmi les femmes en union est plus élevée parmi celles ayant 3–
4 enfants (21 % contre 15–16 % parmi les autres) (Tableau 7.4.1).
▪ Le pourcentage d’utilisatrices de méthodes modernes, actuellement en union, est plus élevé en milieu
urbain qu’en milieu rural (18 % contre 11 %), et à Port-Gentil/Libreville que dans les autres villes
(19 % contre 16 %).
▪ Connaissance douteuse : “Juste avant le début des règles” ou “Juste après la fin des règles”. Ces
réponses sont vagues, mais elles peuvent correspondre à la période de fertilité ;
▪ Méconnaissance : “Durant les règles”, “Pas de moment précis”, “Autre” et “Ne sait pas”.
Parmi toutes les femmes, on constate que près de la moitié (48 %) ont une connaissance exacte de la
période féconde. Parmi les femmes qui pratiquent la méthode du rythme, un peu plus de six femmes sur
dix (64 %) ont une connaissance précise de la période la plus propice pour tomber enceinte.
Les Tableaux 7.8.1 et 7.8.2 présentent les pourcentages d’utilisatrices de pilules et de condoms qui
utilisent une marque d’un programme de marketing social. Parmi les utilisatrices de la pilule, 39 %
utilisaient la marque Adepal et 37 % des utilisatrices de condoms utilisaient la marque Carex.
Choix informé
Un choix informé indique qu’une femme a été informée des effets secondaires
de la méthode, de ce qu’elle devait faire si elle ressentait des effets
secondaires ainsi que de l’existence d’autres méthodes qu’elle pourrait utiliser.
Échantillon : Femmes de 15–49 ans qui utilisent actuellement certaines
méthodes modernes de contraception et dont le dernier épisode d’utilisation a
commencé dans les 5 années avant l’enquête
Permettre aux femmes qui veulent utiliser une méthode contraceptive de faire un choix informé compte
parmi les éléments les plus importants de tout programme de planification familiale. Pour cette raison, on a
demandé aux utilisatrices actuelles de la pilule si elles avaient été informées des effets secondaires de la
méthode, sur ce qu’il fallait faire si ces effets secondaires se manifestaient et enfin si elles avaient été
informées de l’existence d’autres méthodes. Les résultats sont présentés au Tableau 7.9.
Parmi les utilisatrices actuelles d’une méthode moderne dont la dernière période d’utilisation a commencé
au cours des cinq années ayant précédé l’enquête, 64 % ont été informées de la possibilité d’effets
secondaires ou de problèmes liés à l’utilisation de cette méthode. Près de la moitié des utilisatrices (48 %)
ont été informées sur ce qu’il fallait faire si ces problèmes se manifestaient et plus de la moitié (54 %) ont
été informées par un agent de santé ou de planification familiale de l’existence d’autres méthodes
modernes qu’elles pourraient utiliser. Globalement, plus d’un tiers des utilisatrices actuelles de méthodes
modernes ont reçu les trois informations (35 %). En fonction de la source initiale de la méthode, on
constate que c’est dans le secteur public que les femmes ont obtenu le plus d’informations (42 % contre
28 % dans le secteur médical privé). En outre, 65 % des utilisatrices d’implants contre 28 % des
utilisatrices de la pilule ont obtenu les trois informations.
Tendances : Le pourcentage d’utilisatrices de méthodes modernes de contraception ayant reçu les trois
types d’information a nettement augmenté depuis 2012, passant de 19 % à 35 %.
Parmi les épisodes d’utilisation contraceptive commencés par les femmes au cours des cinq dernières
années, 48 % ont été discontinués dans les 12 mois. C’est pour le retrait et la pilule que les taux de
discontinuation sont les plus élevés (respectivement 57 % et 51 % contre 31 % pour la méthode du rythme
(Tableau 7.10). Les rapports sexuels peu fréquents/mari éloigné (21 %) et le désir de tomber enceinte
(20 %) sont les raisons les plus fréquemment citées par les femmes pour expliquer le fait d’avoir
interrompu une méthode (Tableau 7.11).
Le Tableau 7.12.1 présente les estimations des besoins non satisfaits et satisfaits en matière de
contraception pour les femmes de 15–49 ans actuellement en union, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques. Précisons tout d’abord que la définition des besoins non satisfaits en matière de
planification familiale a été révisée pour rendre comparable, dans le temps et entre les pays enquêtés, les
estimations de cet indicateur. Les estimations des
besoins non satisfaits présentées au Tableau 7.12.1 Graphique 7.5 Demande en matière de
ont été recalculées en utilisant la définition révisée planification familiale
des besoins non satisfaits et elles peuvent donc être Répartition (en %) des femmes de
légèrement différentes par rapport aux valeurs 15–49 ans actuellement en union selon
les besoins en matière de
publiées dans les rapports finals des enquêtes planification familiale
précédentes. Besoins non
satisfaits pour
Les résultats montrent que parmi les femmes de 15– limiter
Besoins non
49 ans en union, 33 % ont des besoins non satisfaits satisfaits pour
10 %
en matière de contraception : dans 23 % des cas, ces espacer Besoins
besoins en matière de planification familiale sont 23 % satisfaits
non satisfaits pour espacer les naissances et dans pour espacer
17 %
10 % des cas pour les limiter. À l’opposé, 25 % des
femmes en union ont des besoins satisfaits ; ce sont Pas de
celles qui utilisent actuellement une méthode. besoins en
matière de PF Besoins
L’utilisation d’une méthode contraceptive est 42 % satisfaits pour
davantage orientée vers l’espacement des naissances limiter
que vers leur limitation (17 % contre 8 %) 8%
(Graphique 7.5). Globalement, la demande totale en
La demande totale en planification familiale des femmes non en union et sexuellement actives est
largement plus élevée que celle des femmes en union (81 % contre 58 %) (Tableaux 7.12.1 et 7.12.2).
▪ Dans le groupe d’âges 15–19 ans, près de la moitié des femmes actuellement en union ont des besoins
non satisfaits en PF (49 %) ; ce pourcentage diminue ensuite avec l’âge, passant de 41 % à 20–24 ans à
18 % à 45–49 ans (Tableau 7.12.1).
▪ Dans les provinces, les proportions de femmes de 15-49 ans dont les besoins en planification familiale
ne sont pas satisfaits varient d’un minimum de 31 % à Libreville à un maximum de 41 % dans
l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) (Carte 7.2).
▪ Les résultats selon les quintiles de bien-être Graphique 7.7 Besoins non satisfaits
économique montrent que c’est dans le quintile par bien-être économique du ménage
le plus bas que le pourcentage de femmes en Pourcentage de femmes de 15–49 ans
union dont les besoins en planification familiale actuellement en union ayant des besoins
ne sont pas satisfaits est le plus élevé (40 % non satisfaits en planification familiale
contre 27 % dans le quintile le plus élevé)
(Graphique 7.7).
40 36 35
32
27
Parmi les femmes en union et utilisatrices de la planification familiale, la décision d’utilisation d’une
méthode est une décision conjointe du partenaire/mari et de la femme (58 %). Dans 30 % des cas, c’est la
femme qui a principalement décidé et dans seulement 11 % des cas, cette décision a été prise
principalement par le mari/partenaire. Globalement, on constate que la femme est impliquée dans cette
prise de décision dans 88 % des cas (Tableau 7.13).
Parmi les femmes actuellement en union mais non-utilisatrices de la contraception, on constate que la
décision de ne pas utiliser une méthode contraceptive procède aussi d’une décision conjointe (46 %), mais
dans une proportion plus faible que la décision d’utiliser la planification familiale. En particulier, on note
que dans 32 % des cas, c’est la femme qui a décidé de ne pas recourir à une méthode de contraception.
Dans 20 % des cas, la décision a été prise principalement par le mari/partenaire. Finalement, la prise de
décision concernant la planification familiale, que ce soit pour utiliser ou pour ne pas utiliser, est prise en
majorité par les femmes.
Au cours de l’enquête, on a posé des questions aux femmes en union non-utilisatrices de la contraception
sur leur intention concernant une utilisation future. Le Tableau 7.14 présente la répartition de ces femmes
par intention d’utiliser une méthode dans l’avenir selon le nombre d’enfants vivants. Si plus de la moitié
des femmes en union et non utilisatrices de méthodes contraceptives (53 %) ont déclaré qu’elles n’avaient
pas l’intention d’en utiliser une dans l’avenir, 33 % ont cependant déclaré qu’elles en avaient l’intention et
14 % n’avaient pas encore pris de décision.
Les intentions des femmes actuellement en union qui n’utilisent pas de méthode varient selon le nombre
d’enfants : 62 % des femmes sans enfant n’ont pas l’intention d’utiliser une méthode contraceptive contre
58 % parmi celles ayant un enfant, 52 % parmi celles en ayant deux et 54 % parmi celles ayant trois
enfants.
7.6.2 Exposition aux messages sur la planification familiale dans les médias
L’utilisation des médias est indispensable pour sensibiliser la population aux problèmes concernant la
planification familiale. Pour évaluer l’impact des médias sur la population, on a demandé aux femmes si
elles avaient entendu à la radio, à la télévision ou par téléphone, ou lu dans un journal, un magazine ou sur
des affiches ou pendant des causeries éducatives un message sur la planification familiale au cours des
derniers mois ayant précédé l’enquête.
Le Tableau 7.15 montre que, dans l’ensemble, 67 % des femmes (six médias cités) et 70 % des hommes
(quatre médias cités) de 15–49 ans n’avaient reçu aucun message sur la planification familiale par le biais
des médias cités dans l’enquête. C’est surtout par le biais de la télévision et au cours de causeries
éducatives que les femmes ont reçu des messages sur la planification familiale (respectivement 17 %
et 18 %). Les proportions de femmes qui ont entendu ce type de messages à la radio ou qui en ont lu dans
les journaux ou sur des affiches sont plus faibles (respectivement 8 %, 7 % et 10 %).
Au cours de l’enquête, on a collecté des informations pour savoir si les femmes non-utilisatrices de
méthodes contraceptives avaient reçu la visite d’un agent de terrain avec qui elles avaient parlé de PF et si
elles avaient visité un établissement de santé au cours des 12 derniers mois et si elles y avaient parlé de
planification familiale. Deux pour cent des femmes non-utilisatrices de la contraception ont reçu la visite
d’un agent de terrain et ont parlé de planification familiale (Tableau 7.16). Parmi les femmes qui sont non-
utilisatrices de la contraception, seulement 8 % se sont rendues dans un établissement de santé au cours des
12 derniers mois et ont parlé de planification familiale mais 45 % ont visité un établissement de santé sans
parler de planification familiale. Globalement, Plus de neuf femmes sur dix non-utilisatrices de la
contraception (91 %) n’ont parlé de planification familiale ni avec un agent de santé, ni avec du personnel
d’établissement de santé.
▪ Le pourcentage de femmes ayant parlé de planification avec un agent de terrain varie de moins d’un
pour cent dans l’Ogooué-Ivindo à 9 % dans le Woleu-Ntem. En ce qui concerne les femmes qui ont
discuté de PF dans un établissement de santé, les pourcentages varient de 5 % dans Ogooué-Lolo à
16 % dans le Moyen-Ogooué (Tableau 7.16).
na = Non applicable
1
Sexuellement actif signifie que la personne a eu ses derniers rapports sexuels dans les 30 jours qui ont précédé l’enquête.
Pourcentage de femmes et d’hommes de 15–49 ans, actuellement en union, qui ont entendu parler d’au moins une
méthode contraceptive et pourcentage ayant entendu parler d’au moins une méthode contraceptive moderne, selon
certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Femme Homme
A entendu A entendu
A entendu parler d’au A entendu parler d’au
parler d’au moins une parler d’au moins une
Caractéristique moins une méthode Effectif de moins une méthode Effectif
sociodémographique méthode moderne1 femmes méthode moderne1 d’hommes
Groupe d’âges
15–19 96,9 96,9 157 (100,0) (100,0) 23
20–24 96,8 96,8 563 100,0 100,0 76
25–29 99,3 99,3 1 004 100,0 100,0 262
30–34 98,8 98,8 975 99,9 99,8 523
35–39 98,7 98,6 875 100,0 100,0 538
40–44 98,5 98,4 711 99,6 99,6 498
45–49 97,1 97,0 490 98,3 98,3 423
Résidence
Port Gentil/Libreville 98,3 98,3 2 816 99,6 99,5 1 420
Autres villes 98,5 98,5 1 533 99,7 99,7 717
Ensemble urbain 98,4 98,4 4 349 99,6 99,6 2 137
Rural 98,1 97,7 427 99,1 99,1 206
Province
Libreville 98,1 98,1 2 295 99,5 99,5 1 158
Port-Gentil 99,5 99,5 521 100,0 99,7 262
Estuaire (sans Libreville) 98,7 98,7 581 99,8 99,8 309
Haut-Ogooué 98,1 98,1 359 98,9 98,9 168
Moyen-Ogooué 98,1 97,9 151 99,6 99,6 69
Ngounié 97,7 97,4 203 100,0 100,0 89
Nyanga 98,3 98,3 79 99,3 99,3 41
Ogooué-Ivindo 98,2 98,0 104 98,9 98,9 54
Ogooué-Lolo 99,8 99,3 128 99,4 99,4 45
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 99,4 99,3 54 99,4 99,4 28
Woleu-Ntem 98,2 98,2 301 100,0 100,0 120
Niveau d’instruction
Aucun 87,5 87,3 420 98,9 98,6 235
Primaire 99,1 99,1 764 97,4 97,4 262
Secondaire 1er cycle 99,3 99,3 1 937 100,0 100,0 751
Secondaire 2e cycle 99,4 99,4 952 100,0 100,0 566
Supérieur 100,0 100,0 703 100,0 100,0 528
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 98,4 98,2 746 99,5 99,5 327
Second 97,7 97,7 879 99,9 99,9 435
Moyen 98,3 98,3 1 024 100,0 99,8 538
Quatrième 98,7 98,7 1 077 98,6 98,6 566
Le plus élevé 98,6 98,6 1 051 100,0 100,0 477
Ensemble 15–49 98,4 98,3 4 776 99,6 99,5 2 343
50–64 na na na 98,4 98,4 841
Ensemble 15–64 na na na 99,3 99,2 3 184
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
na = non applicable
1
Stérilisation féminine, stérilisation masculine, pilule, DIU, injectables, implants, condom masculin, condom féminin,
pilule du lendemain, méthode des jours fixes (MJF), méthode de l’allaitement maternel et de l’aménorrhée (MAMA)
et d’autres méthodes modernes.
Note : Si plus d’une méthode est utilisée, seule la plus efficace est prise en compte dans ce tableau.
MJF = Méthode des Jours Fixes
MAMA = Méthode de l’allaitement maternel et de l’aménorrhée
1
Femme ayant eu des rapports sexuels au cours des 30 jours ayant précédé l’enquête.
À suivre…
Note : Si plus d’une méthode a été utilisée, seule la plus efficace est prise en compte dans ce tableau.
MJF = Méthode des Jours Fixes
MAMA = Méthode de l’Allaitement Maternel et de l’Aménorrhée
1
Femme ayant eu des rapports sexuels dans les 30 jours précédant l’enquête.
Note : Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été
supprimée.
MJF = Méthode des Jours Fixes
Note : Une connaissance correcte de la période de fertilité est définie ainsi : “Au milieu
de deux cycles menstruels/entre deux périodes de règles.”
Répartition (en %) des utilisatrices de méthodes modernes de contraception, âgées de 15–49 ans, par source
d’approvisionnement la plus récente, selon la méthode, EDSG-III 2019–21
Condom Pilule du
Source de la méthode Injectables Implants Pilule masculin lendemain Autre1 Ensemble
Secteur public 63,5 69,7 30,2 3,2 (2,2) (42,6) 13,5
Hôpital du
gouvernement 25,1 49,4 22,3 2,3 (0,3) (32,1) 8,8
Centre de santé du
gouvernement 21,9 6,3 5,6 0,4 (1,9) (9,2) 2,8
Clinique mobile du
gouvernement 14,3 6,3 2,3 0,1 (0,0) (0,0) 1,3
Agent de santé du
gouvernement 2,2 7,7 0,0 0,3 (0,0) (1,3) 0,6
Secteur médical privé 35,6 30,3 69,8 74,1 (97,8) (8,0) 68,4
Hôpital/clinique privé 20,4 25,3 3,7 0,4 (0,0) (2,9) 2,7
Pharmacie 14,0 0,0 63,7 73,5 (97,8) (5,1) 65,0
Médecin privé 1,3 0,0 1,6 0,0 (0,0) (0,0) 0,3
Clinique mobile privée 0,0 3,7 0,0 0,0 (0,0) (0,0) 0,1
Agent de santé du privé 0,0 1,4 0,7 0,2 (0,0) (0,0) 0,3
Autre source 0,9 0,0 0,0 22,5 (0,0) (49,4) 18,0
Boutique 0,3 0,0 0,0 14,0 (0,0) (0,0) 10,0
Institution religieuse 0,0 0,0 0,0 0,0 (0,0) (2,2) 0,1
Ami/parent 0,0 0,0 0,0 7,1 (0,0) (33,0) 6,4
Autre 0,5 0,0 0,0 1,4 (0,0) (14,2) 1,6
Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
Effectif de femmes 87 53 227 1 202 57 22 1 692
Note : L’ensemble inclut d’autres méthodes modernes mais exclut la Méthode de l’Allaitement Maternel et de
l’Aménorrhée (MAMA). Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque
indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
MJF = Méthode des Jours Fixes
1
Y compris la stérilisation féminine, la stérilisation masculine, la DIU, l’implants, le condom féminin, la MJF et la
MAMA
Note : Dans ce tableau, sont exclues les utilisatrices de pilules qui n’en connaissent pas la marque. Les valeurs entre parenthèses sont basées sur
25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
Note : Dans ce tableau, sont exclues les utilisatrices de condoms qui n’en connaissent pas la marque. L’utilisation du
condom est basée sur la déclaration de la femme. Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non
pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Parmi les utilisatrices de condom qui n’utilisent pas aussi la pilule.
Note : Le tableau n’inclut que les méthodes figurant sur la liste. Les valeurs entre parenthèses sont basées sur
25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et
qu’elle a été supprimée.
1
Source au moment où a commencé l’épisode d’utilisation de la méthode actuelle
Note : Les valeurs sont basées sur des calculs de table de survie en utilisant les informations sur les épisodes d’utilisation qui ont eu lieu 3–62 mois avant l’enquête. Les
valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
1
Inclut rapports sexuels peu fréquents/mari absent, difficultés à tomber enceinte/ménopause et dissolution de l’union/séparation.
2
Inclut difficultés d’accès /trop éloigné, coût trop élevé et utilisation peu pratique.
3
Les raisons de la discontinuation sont mutuellement exclusives et leur somme correspond au total figurant dans cette colonne.
4
On considère qu’une femme a changé de méthode si elle a utilisé une méthode différente dans le mois qui a suivi la discontinuation ou si elle a donné comme raison de
discontinuation qu’elle “souhaitait une méthode plus efficace” et qu’elle a commencé à utiliser une autre méthode dans les deux mois qui ont suivi la discontinuation.
5
Tous les épisodes d’utilisation qui ont eu lieu dans les 5 ans ayant précédé l’enquête sont inclus. Les épisodes d’utilisation incluent les épisodes qui ont été discontinués
pendant la période d’observation ainsi que les épisodes d’utilisation qui n’ont pas été discontinués durant la période d’observation.
6
Y compris la Stérilisation masculine, la DIU, l’implants, le condom féminin, la MJF et la MAMA.
Note : Les valeurs figurant dans ce tableau sont basées sur la définition révisée des besoins non satisfaits en matière de planification familiale, décrite dans
Bradley et al, 2012.
1
La demande totale équivaut à la somme des besoins non satisfaits et des besoins satisfaits.
2
Le pourcentage de demande satisfaite équivaut aux besoins satisfaits divisés par la demande totale.
3
Les méthodes modernes incluent la stérilisation féminine, la stérilisation masculine, la pilule, le DIU, les injectables, les implants, le condom masculin, le
condom féminin, la pilule du lendemain, la méthode des Jours Fixes (MJF), la méthode de l’allaitement maternel et de l’aménorrhée (MAMA) et d’autres méthodes
modernes.
Pourcentage de toutes les femmes de 15–49 ans et des femmes de 15–49 ans, non en union sexuellement actives, ayant des besoins non satisfaits en matière de
planification familiale, pourcentage dont les besoins en matière de planification familiale sont satisfaits, demande totale en planification familiale et pourcentage de
la demande en planification familiale qui est satisfaite, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pourcen-
tage de
demande
Besoins satisfaits en matière
satisfaite
Besoins non satisfaits en de planification familiale Demande totale en
Pourcen- par des
matière de planification familiale (utilisation actuelle) planification familiale1
tage de méthodes
Caractéristique Pour Pour Pour Pour Pour Pour Effectif de demande moder-
sociodémographique espacer limiter Total espacer limiter Total espacer limiter Total femmes satisfaite2 nes3
ENSEMBLE DES FEMMES
Groupe d’âges
15–19 13,5 0,5 14,0 12,7 1,2 13,9 26,2 1,7 27,9 1 726 49,8 43,5
20–24 23,7 2,4 26,1 26,8 2,4 29,1 50,5 4,8 55,3 1 839 52,7 42,2
25–29 26,2 5,9 32,2 24,3 3,8 28,1 50,6 9,7 60,3 1 798 46,6 35,8
30–34 23,4 8,4 31,7 20,8 5,0 25,9 44,2 13,4 57,6 1 493 44,9 33,7
35–39 16,9 11,0 27,9 17,1 7,4 24,5 34,0 18,3 52,4 1 257 46,8 30,2
40–44 7,9 14,4 22,3 6,9 11,8 18,7 14,8 26,2 40,9 1 051 45,6 32,7
45–49 4,6 9,9 14,5 1,6 8,6 10,2 6,1 18,6 24,7 747 41,2 22,4
Résidence
Port Gentil/
Libreville 17,9 6,2 24,0 18,8 5,6 24,4 36,7 11,8 48,4 5 718 50,4 37,7
Autres villes 18,7 6,5 25,2 17,5 4,0 21,5 36,2 10,6 46,8 3 453 46,0 35,7
Ensemble urbain 18,2 6,3 24,5 18,3 5,0 23,3 36,5 11,3 47,8 9 171 48,8 37,0
Rural 20,3 9,6 30,0 11,0 3,8 14,8 31,3 13,4 44,7 739 33,0 23,4
Province
Libreville 17,0 6,2 23,3 19,4 5,6 25,1 36,5 11,9 48,3 4 624 51,9 38,5
Port-Gentil 21,5 5,8 27,3 16,1 5,5 21,6 37,5 11,3 48,8 1 094 44,2 34,5
Estuaire (sans
Libreville) 16,6 6,5 23,1 16,0 3,5 19,5 32,6 10,0 42,7 1 321 45,8 37,5
Haut-Ogooué 17,6 7,5 25,1 21,2 4,7 25,9 38,6 12,3 51,0 863 50,8 37,8
Moyen-Ogooué 21,8 7,7 29,5 7,7 2,8 10,5 29,4 10,5 39,9 303 26,2 17,9
Ngounié 22,6 4,3 26,9 14,0 2,8 16,8 36,7 7,1 43,7 395 38,5 29,4
Nyanga 19,3 7,7 27,0 11,7 2,8 14,5 31,1 10,5 41,5 181 34,9 30,0
Ogooué-Ivindo 20,6 8,3 28,8 15,3 6,9 22,2 35,9 15,1 51,0 213 43,5 29,4
Ogooué-Lolo 20,2 5,6 25,7 22,4 6,9 29,3 42,5 12,5 55,0 213 53,2 35,0
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 19,4 9,0 28,4 11,5 6,5 18,0 30,9 15,4 46,4 104 38,7 31,4
Woleu-Ntem 21,4 8,7 30,1 16,4 3,3 19,7 37,8 12,0 49,8 597 39,5 31,2
Niveau d’instruction
Aucun 23,4 8,5 31,9 9,6 3,1 12,8 33,1 11,6 44,7 586 28,6 20,2
Primaire 19,6 11,0 30,6 10,8 4,6 15,4 30,4 15,6 45,9 1 286 33,5 25,3
Secondaire 1er
cycle 19,4 6,5 25,8 15,6 6,1 21,7 34,9 12,6 47,5 4 242 45,6 33,9
Secondaire 2e
cycle 16,8 4,8 21,6 23,6 4,0 27,6 40,4 8,9 49,3 2 300 56,1 45,4
Supérieur 14,8 4,8 19,6 24,1 4,0 28,1 38,9 8,8 47,7 1 496 58,9 41,6
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 22,3 8,6 30,9 12,5 3,6 16,1 34,7 12,3 47,0 1 593 34,3 27,1
Second 17,9 7,8 25,7 21,4 3,2 24,5 39,2 11,0 50,3 2 054 48,8 36,0
Moyen 19,4 5,0 24,4 19,6 6,2 25,8 39,0 11,2 50,2 2 047 51,4 39,7
Quatrième 19,7 6,4 26,1 16,1 4,9 21,0 35,7 11,3 47,1 2 106 44,6 32,5
Le plus élevé 13,4 5,4 18,8 18,2 6,3 24,5 31,6 11,7 43,3 2 109 56,6 43,0
Ensemble 18,3 6,5 24,9 17,8 4,9 22,7 36,1 11,5 47,6 9 910 47,7 36,0
FEMMES NON EN UNION SEXUELLEMENT ACTIVES4
Groupe d’âges
15–19 43,4 1,1 44,5 45,0 2,6 47,6 88,4 3,7 92,1 251 51,7 46,2
20–24 34,7 1,7 36,5 46,7 2,7 49,3 81,4 4,4 85,8 521 57,5 46,6
25–29 35,6 5,7 41,3 36,6 6,0 42,6 72,2 11,7 84,0 372 50,8 40,9
30–34 36,5 10,8 47,3 25,6 3,7 29,3 62,1 14,5 76,6 194 38,2 32,0
35–39 25,2 9,7 34,9 24,7 5,1 29,9 49,9 14,8 64,8 138 46,1 37,1
40–44 25,1 25,7 50,8 17,2 8,0 25,2 42,3 33,7 76,0 100 33,2 30,7
45–49 9,2 16,5 25,6 2,7 1,6 4,3 11,9 18,1 30,0 72 14,5 14,1
Résidence
Port Gentil/
Libreville 33,8 6,0 39,8 36,4 4,7 41,1 70,2 10,8 80,9 956 50,8 41,3
Autres villes 34,2 6,0 40,2 37,6 3,0 40,6 71,8 9,0 80,9 603 50,3 43,9
Ensemble urbain 34,0 6,0 40,0 36,9 4,1 40,9 70,8 10,1 80,9 1 559 50,6 42,3
Rural 34,0 12,6 46,6 23,4 2,7 26,2 57,4 15,3 72,7 88 36,0 25,5
À suivre…
Note : Les valeurs figurant dans ce tableau sont basées sur la définition révisée des besoins non satisfaits en matière de planification familiale, décrite dans Bradley
et al, 2012.Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
1
La demande totale équivaut à la somme des besoins non satisfaits et des besoins satisfaits.
2
Le pourcentage de demande satisfaite équivaut aux besoins satisfaits divisés par la demande totale.
3
Les méthodes modernes incluent la stérilisation féminine, la stérilisation masculine, la pilule, le DIU, les injectables, les implants, le condom masculin, le condom
féminin, la pilule du lendemain, la méthode des jours fixes (MJF), la méthode de l’allaitement maternel et de l’aménorrhée (MAMA) et d’autres méthodes modernes.
4
Femmes qui ont eu des rapports sexuels dans les 30 jours qui ont précédé l’enquête.
Note : Dans ce tableau, les femmes qui sont actuellement enceintes sont exclues. Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
1
Y compris la grossesse actuelle
na = non applicable
P
ar définition, l’avortement est l’interruption prématurée de la grossesse. On distingue plusieurs
formes d’avortements. L’avortement peut être spontané couramment désigné sous le terme de fausse
couche, dû à une maladie ou sans cause connue. L’avortement peut aussi être provoqué pour des
raisons médicales qui peuvent concerner autant le fœtus que la mère ; enfin l’avortement peut être
provoqué, sans raison médicale, dans ce cas on parle d’interruption volontaire de grossesse ou IVG.
Précisons que l’EDSG-III, comme l’EDSG-II et l’EDSG-I, s’est intéressée uniquement aux avortements
provoqués, qu’elle qu’en soit la raison. Rappelons qu’au Gabon, l’interruption volontaire de la grossesse
est un acte légalement interdit. Cependant, les résultats des EDSG-I et II réalisées en 2000 et 2012 ont mis
en évidence une proportion non négligeable de femmes ayant déclaré avoir avorté, au moins, une fois au
cours de leur vie, ce qui montre qu’au Gabon, la pratique de l’avortement n’est pas une pratique marginale.
Les données collectées lors de l’EDSG-III concernant l’avortement provoqué parmi les femmes de 15–49
ans permettent d’évaluer l’évolution de cette pratique par rapport aux EDSG-I et II et d’en avoir une
meilleure connaissance. Les questions, intégrées dans le questionnaire femme, plus précisément dans la
section relative à la reproduction, ont permis de recueillir des données sur le nombre d’avortements, l’âge
au premier avortement, le stade de la grossesse au moment du dernier avortement, la personne qui a pris la
décision d’avorter, les raisons qui ont motivé cette décision, la procédure d’avortement, le lieu, le type
d’assistance, les complications ayant suivi la procédure ainsi que le coût de l’avortement. Précisons enfin
que, pour les femmes qui avaient avorté plusieurs fois, les questions sur les conditions d’avortement
portaient sur le dernier avortement, ayant eu lieu après 2014–16.
Parmi les femmes de 15–49 ans, 8 % ont déclaré avoir eu recours à l’avortement, au moins une fois, dans
leur vie et, dans plus de la moitié des cas, les femmes ayant avorté, n’ont avorté qu’une fois (5 %).
Précisons que l’avortement étant illégal au Gabon, interdit par la religion et mal considéré du point de vue
social et culturel, on peut comprendre que, pendant l’enquête, certaines femmes n’aient pas déclaré avoir
eu recours à cette pratique. Il faut donc considérer cette proportion comme étant sous-estimée et comme
étant une valeur minimale de la pratique de l’avortement au Gabon.
Avortement • 147
Tendance : La comparaison de ces résultats avec Graphique 8.1 Proportion de femmes
ceux des enquêtes précédentes montrent qu’entre ayant déclaré avoir avorté au cours
2000 et 2012, le pourcentage de femmes ayant eu de leur vie
recours à l’avortement dans leur vie avait augmenté, Proportion de femmes ayant déclaré avoir
passant de 15 % à 23 %. Cette tendance ne s’est pas avorté au cours de leur vie, EDSG-I 2000,
poursuivie et depuis 2012, on enregistre une EDSG-II 2012 et EDSG-III 2019–21
diminution du pourcentage de recours à
l’avortement, celui-ci étant trois fois plus faible
qu’en 2012 (8 % par rapport à 23 %) (Graphique
8.1).
Variations sociodémographiques 23
15
8
Les pourcentages de femmes ayant eu recours à
l’avortement dans leur vie ne varient pas de manière EDSG-I EDSG-II EDSG-III
importante. On note cependant que : 2000 2012 2019–21
▪ Dans les provinces, le pourcentage de femmes Graphique 8.2 Avortement par niveau
ayant eu recours à l’avortement varie de 16 % d’instruction des femmes
dans le Woleu-Ntem et de12 % à Port-Gentil à Pourcentage des femmes de 15–49 ans
3 % dans le Moyen-Ogooué. ayant avorté au moins une fois selon le
niveau d’instruction
▪ Le recours à l’avortement augmente avec le
niveau d’instruction, passant de 1 % parmi les
femmes sans niveau d’instruction à 8 % parmi
celles ayant le niveau secondaire 1er cycle et à
11 % parmi celles ayant le niveau supérieur 11
8 9
(Graphique 8.2). 7
1
8.2 ÂGE AU PREMIER Aucun Primaire Secon- Secon- Supérieur
AVORTEMENT daire daire
1er cycle 2e cycle
Le Tableau 8.2 présente la répartition de l’ensemble
des femmes par âge au premier avortement. D’une manière générale, on constate que, comme en 2000 et
2012, c’est principalement entre 15–24 ans qu’a eu lieu le premier avortement (5 % en 2019–21, 16 % en
2012 et 9 % en 2000). Très peu de femmes ont avorté avant l’âge de 15 ans (moins de 1 %) et après 30 ans
(1 %).
Les résultats selon les autres caractéristiques sociodémographiques ne font pas apparaître de variations très
importantes. Tout au plus peut-on souligner que la proportion de femmes ayant avorté pour la première fois
à un âge très jeune (15–19 ans) augmente avec le niveau d’instruction variant de 0 % parmi les femmes
sans niveau d’instruction à 3 % parmi celles ayant un niveau supérieur. On note aussi que le pourcentage
de femmes ayant avorté entre 15 et 19 ans est un peu plus élevé au Woleu-Ntem (4%) et à l’Ogooué-
Maritime (sans Port-Gentil) (3%) et à Port-Gentil (3%) que dans les autres provinces.
▪ Le pourcentage de femmes ayant avorté au cours des cinq dernières années est plus élevé parmi les
femmes de 25–29 ans (7 %).
148 • Avortement
▪ Le pourcentage de femmes ayant avorté au cours des cinq dernières années est plus élevé à Port-Gentil
(6 %), dans l’Ogooué-Ivindo (6 %) et, surtout, dans le Woleu-Ntem (9 %) que dans le Moyen-Ogooué
(2 %) et dans la Nyanga (2 %).
Le Tableau 8.3 présente également la répartition des femmes qui ont avorté, au moins, une fois depuis
2014–16 selon la durée de grossesse au moment de leur dernier avortement. On constate que la majorité
des femmes ont avorté entre 2 et 4 mois de grossesse (53 %). Pour près de la moitié des femmes (45 %)
l’avortement a eu lieu à un stade très précoce (moins de 2 mois) alors que pour 1 % des femmes, il a eu
lieu pendant que la grossesse était à un stade très avancé (5 mois ou plus), ce qui accroît les risques pour la
santé de la femme. De façon générale, il semblerait que les femmes de 25–29 ans (51 %), celles ayant entre
1 et 2 enfants (53 %), celles du Woleu-Ntem (52 %), et enfin les femmes appartenant au quintile de bien-
être moyen (64 %) aient recours à l’avortement à un stade plus précoce de la grossesse que les autres.
Dans 91 % des cas, l’enquêtée a déclaré qu’elle avait pris cette décision elle- même (Tableau 8.4). Quatre
pour cent des femmes ont déclaré que c’est le mari/partenaire qui a décidé et, pour 3 % des femmes, c’est
un professionnel de la santé qui a recommandé à la femme d’interrompre sa grossesse. Enfin, un peu plus
de 2 % des femmes ont déclaré que la décision d’avorter a été prise par une personne autre que le mari ou
un professionnel de la santé.
Tendance : Par rapport à 2012, on constate que le pourcentage de femmes ayant décidé elles-mêmes
d’avoir recours à l’avortement a nettement augmenté, passant de 80 % à 91 %. Le pourcentage de celles
qui ont déclaré que la décision avait été prise par le mari ou partenaire a diminué de moitié, passant de 8 %
à 4 %.
Variations sociodémographiques
En outre, le fait que le mari/partenaire ne souhaitait pas l’enfant est la raison citée par 13 % des femmes et
dans une proportion identique (13 %) les femmes ont pris la décision d’avorter car les naissances étaient
trop rapprochées ou le nombre d’enfants était trop élevé. Comme nous l’avons vu dans ce rapport, au
chapitre 7 consacré à la planification familiale que 25 % de l’ensemble des femmes ont des besoins non
satisfaits en matière de contraception, dont la plupart (18 %) pour espacer les naissances.
En outre, 9 % des femmes ont pris la décision d’interrompre leur grossesse car elles souhaitaient continuer
leur scolarité ou poursuivre leur carrière professionnelle.
Avortement • 149
Variations sociodémographiques
▪ Les difficultés économiques ont été plus fréquemment citées par les femmes de 30–34 ans (38 %), par
celles ayant un nombre d’enfants élevé (38 % pour celles ayant 3–4 enfants et 32 % pour celles en
ayant au moins cinq) et par celles du quintile le plus bas (33 %).
▪ Le souhait de continuer des études ou de travailler a été plus fréquemment avancé par les jeunes
femmes de 20–24 ans (21 %), celles ayant un niveau d’instruction secondaire 2nd cycle (19 %) et par
celles du quintile moyen (19 %).
Globalement, on constate que les femmes ont principalement utilisé deux méthodes : la dilatation/curetage
(38 %) et les comprimés (38 %). Dans environ 20 % des cas, les femmes ont utilisé des plantes/décoctions.
Tendances : Par rapport à l’enquête de 2012, on constate que les pourcentages de femmes ayant avorté par
la méthode de la dilatation/curetage ou en utilisant des comprimés ont diminué, passant respectivement de
44 % et de 41 % à 38 % pour les deux méthodes en 2019–21. Par contre, dans la même période, le
pourcentage ayant avorté en prenant des plantes ou des décoctions a augmenté, passant de 12 % à 20 %. En
particulier, en milieu rural, le pourcentage est passé de 26 % à 36 %. Dans le Woleu-Ntem, ce pourcentage
est passé de 16 % à 27 %.
Variations sociodémographiques
▪ L’utilisation de plantes ou de décoction pour avorter est plus fréquent chez les jeunes femmes (22 % à
20–24 ans contre 15 % à 30–34 ans), en milieu rural qu’en milieu urbain (36 % contre 18 %), dans le
Woleu-Ntem qu’à Port-Gentil (27 % contre 16 %) et dans le quintile le plus bas que dans les autres, en
particulier dans le quatrième quintile (43 % contre 6 %).
▪ L’utilisation de comprimés pour avorter est plus courante parmi les jeunes femmes (45 % à 20–24 ans
contre 28 % à 30–34 ans), quand l’avortement a lieu à un stade précoce de la grossesse (40 % à moins
de 2 mois contre 36 % à 2–4 mois), dans les autres villes qu’ailleurs (42 % contre 34 % en rural),
parmi les femmes ayant le niveau d’instruction primaire (47 % contre 37 % parmi celles ayant le
niveau secondaire 2e cycle) et surtout par les femmes du second quintile (58 %).
▪ La dilatation et le curetage sont des procédures plus fréquemment utilisées par les femmes de 30–34
ans (55 %), celles qui résident en milieu urbain (39 % contre 33 % en milieu rural), à Port-Gentil
(50 %), celles ayant le niveau primaire (47 %) et celles dont le ménage est classé dans le quatrième
quintile (45 %).
Dans plus de la moitié des cas (54 %), le dernier avortement a eu lieu dans une maison (54 %), dans la
majorité des cas dans la maison de l’enquêtée (46 %) ou moins fréquemment dans une autre maison (8 %).
En outre, bien que l’avortement soit illégal, il a eu lieu, dans 46 % des cas dans un établissement de santé,
plus fréquemment du secteur privé (27 %) que public (20 %). Parmi les femmes de 20–24 ans et parmi
celles de 25–29 ans, près de la moitié ont avorté dans leur propre maison (48 %-49 %).
150 • Avortement
Tendance : Par rapport à 2012, on constate que le pourcentage de femmes dont le dernier avortement a eu
lieu dans un établissement de santé privé a diminué, passant de 31 % à 27 % ; à l’opposé, le pourcentage
de celles ayant avorté dans un établissement de santé du secteur public a légèrement augmenté, passant de
17 % à 20 %. Le pourcentage de femmes ayant avorté dans leur maison n’a pas varié.
Variations sociodémographiques
▪ Le pourcentage de femmes dont l’avortement a eu lieu dans leur maison est plus élevé parmi les jeunes
femmes de 20–24 ans et de 25–29 ans (respectivement 48 % et 49 % contre 28 % à 30–34 ans), en
milieu rural qu’en milieu urbain (53 % contre 45 %) et dans les autres villes par rapport à
Libreville/Port-Gentil (55 % contre 39 %).
▪ Le pourcentage de femmes ayant avorté dans un établissement privé est plus fréquent parmi les
femmes de 35–39 ans (45 %), à Port-Gentil/Libreville (34 % contre 17 % dans les autres villes) et
parmi les femmes du quintile moyen (42 % contre 8 % dans le plus bas).
Variations sociodémographiques
▪ Près de la moitié des femmes du milieu rural ont avorté sans aucune assistance (47 % contre 35 % en
milieu urbain) ; dans les autres villes, ce pourcentage est aussi plus élevé qu’à Port-Gentil/Libreville
(48 % contre 28 %).
▪ Près des deux tiers des femmes classées dans le quintile le plus bas (64 %) et la moitié de celles du
second quintile (49 %) ont avorté sans aucune assistance contre 28 % dans les autres quintiles.
▪ Près de la moitié des femmes du Woleu-Ntem ont accouché sans aucune assistance (48 %).
▪ L’avortement assisté par un médecin varie avec le stade de la grossesse, de 33 % quand l’avortement a
lieu à un stade précoce à 37 % quand il a lieu entre 2 et 4 mois de grossesse.
Environ près d’un quart de femmes ayant avorté au moins une fois depuis 2014–16 ont déclaré avoir eu
des complications après leur dernier avortement (24 %).
Variations sociodémographiques
▪ Le pourcentage de femmes ayant eu des complications est plus élevé parmi celles de 25–29 ans
(31 %), parmi celles dont l’avortement a eu lieu à 2–4 mois de grossesse (30 % contre 18 % à un stade
précoce), en milieu rural (31 % contre 24 % en urbain) et dans les autres villes (32 % contre 19 % à
Libreville/Port-Gentil).
Avortement • 151
▪ Dans le Woleu-Ntem, 43 % des femmes ont déclaré avoir eu des complications à la suite de leur
avortement.
Variations sociodémographiques
▪ Parmi les femmes dont le dernier avortement a été effectué dans un établissement de santé public, près
de la moitié (49 %) ont payé entre 10 000 FCFA et moins de 100 000 FCFA. Parmi celles qui ont
avorté dans un établissement de santé privé, 48 % ont payé entre 50 000 et moins de 100 000 FCFA et
33 % ont payé entre 100 000 et moins de 200 000.
▪ À ces disparités entre type d’établissements de santé s’ajoutent des disparités en fonction des
caractéristiques socio-économiques des femmes. En effet, en milieu urbain, plus d’une femme sur
cinq, soit 22 %, a payé entre 50 000 et moins de 100 000 FCFA pour son dernier avortement contre
24 % en milieu rural où 19 % des femmes n’ont rien payé.
▪ Les résultats selon le niveau d’instruction montrent que parmi les femmes ayant un niveau primaire,
28 % ont dépensé entre 50 000 et moins de 100 000 FCFA pour le dernier avortement ; on le constate
également pour celles ayant un niveau secondaire 2nd cycle (27 %).
▪ Du quintile le plus bas au quatrième quintile, le pourcentage de femmes n’ayant rien payé pour leur
dernier avortement diminue, passant de 31 % à 15 % et à l’inverse, le pourcentage ayant payé entre
100 000 et moins de 200 000 FCFA augmente, passant respectivement de 5 % à 16 %.
152 • Avortement
Tableau 8.1 Nombre d’avortements
Répartition (en %) de l’ensemble des femmes par nombre d’avortements qu’elles ont eus au cours de leur vie, selon certaines
caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Avortement • 153
Tableau 8.2 Âge au premier avortement
Répartition (en %) de ces femmes selon l’âge au premier avortement, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Femmes qui
Caractéristique n’ont jamais Âge au premier avortement Effectif de
sociodémographique avorté <15 15–19 20–24 25–29 30–34 35 ou plus Total femmes
Groupe d’âge
15–19 99,4 0,0 0,6 0,0 0,0 0,0 0,0 100,0 1 726
20–24 92,8 0,2 3,2 3,8 0,0 0,0 0,0 100,0 1 839
25–29 88,7 0,2 3,2 4,9 2,9 0,0 0,0 100,0 1 798
30–34 90,8 0,1 1,7 3,1 3,4 0,9 0,0 100,0 1 493
35–39 88,3 0,0 2,7 2,1 3,2 3,3 0,5 100,0 1 257
40–44 90,2 0,0 1,4 2,5 1,7 2,9 1,4 100,0 1 051
45–49 92,2 0,7 1,2 1,5 0,8 2,3 1,4 100,0 747
Nombre d’enfants
vivants
0 96,3 0,0 1,8 1,4 0,4 0,0 0,1 100,0 2 954
1–2 90,3 0,2 2,9 3,8 1,7 1,0 0,1 100,0 3 612
3–4 90,2 0,2 1,8 2,7 2,4 2,0 0,6 100,0 2 149
5+ 89,9 0,0 1,0 2,7 3,4 1,8 1,2 100,0 1 194
Résidence
Port Gentil/Libreville 91,4 0,1 2,2 2,9 2,0 1,1 0,2 100,0 5 718
Autres villes 92,8 0,1 2,0 2,4 1,4 0,9 0,4 100,0 3 453
Ensemble urbain 91,9 0,1 2,1 2,7 1,7 1,0 0,3 100,0 9 171
Rural 92,9 0,2 1,6 2,5 1,0 0,8 1,1 100,0 739
Province
Libreville 92,2 0,2 2,0 2,6 1,9 1,0 0,1 100,0 4 624
Port-Gentil 88,0 0,0 3,0 4,1 2,4 1,9 0,6 100,0 1 094
Estuaire (sans
Libreville) 94,5 0,2 1,5 1,7 0,9 1,0 0,1 100,0 1 321
Haut-Ogooué 94,7 0,0 1,3 2,3 1,1 0,4 0,2 100,0 863
Moyen-Ogooué 97,0 0,0 1,0 1,2 0,4 0,1 0,2 100,0 303
Ngounié 93,9 0,0 1,6 1,4 1,6 1,2 0,3 100,0 395
Nyanga 94,3 0,1 0,8 2,3 1,1 0,7 0,8 100,0 181
Ogooué-Ivindo 90,0 0,0 2,1 3,8 2,3 0,9 1,0 100,0 213
Ogooué-Lolo 91,4 0,2 2,4 2,3 1,3 1,2 1,3 100,0 213
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 92,9 0,2 2,8 1,7 1,0 0,6 0,8 100,0 104
Woleu-Ntem 84,5 0,3 4,4 5,4 2,7 1,2 1,6 100,0 597
Niveau d’instruction
Aucun 98,6 0,9 0,0 0,4 0,0 0,0 0,0 100,0 586
Primaire 93,1 0,1 1,0 2,3 1,9 1,0 0,7 100,0 1 286
Secondaire 1er cycle 92,4 0,1 2,3 2,1 1,7 1,1 0,3 100,0 4 242
Secondaire 2e cycle 91,0 0,1 2,4 4,0 1,5 0,8 0,3 100,0 2 300
Supérieur 89,0 0,1 2,9 3,6 2,6 1,4 0,2 100,0 1 496
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 93,3 0,1 1,7 2,4 1,5 0,5 0,5 100,0 1 593
Second 91,4 0,3 2,4 2,8 1,8 0,8 0,4 100,0 2 054
Moyen 92,6 0,0 1,7 2,4 2,1 0,9 0,2 100,0 2 047
Quatrième 90,7 0,1 2,1 3,4 2,0 1,5 0,3 100,0 2 106
Le plus élevé 92,4 0,2 2,6 2,4 1,0 1,2 0,2 100,0 2 109
Ensemble 92,0 0,1 2,1 2,7 1,7 1,0 0,3 100,0 9 910
154 • Avortement
Tableau 8.3 Stade de la grossesse au moment de l’avortement
Pourcentage de femmes qui ont avorté au moins une fois depuis 2014–16 et répartition (en %) de ces femmes selon le stade de la grossesse au moment de
leur dernier avortement, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage
de femmes Effectif de
ayant avorté femmes ayant
Caractéristique depuis Effectif de Stade de la grossesse au moment du dernier avortement avorté depuis
sociodémographique 2014–16 femmes ≤1 mois 2–4 mois 5 mois ou plus Non déterminé Total 2014–16
Groupe d’âge
15–19 0,6 1 726 * * * * 100,0 10
20–24 6,7 1 839 38,1 60,0 1,8 0,0 100,0 123
25–29 7,3 1 798 51,3 48,4 0,2 0,0 100,0 131
30–34 3,9 1 493 46,8 51,6 1,6 0,0 100,0 59
35–39 4,4 1 257 38,0 61,2 0,9 0,0 100,0 56
40–44 1,9 1 051 (53,1) (44,8) (2,1) (0,0) 100,0 20
45–49 0,8 747 * * * * 100,0 6
Nombre d’enfants
vivants
0 2,5 2 954 30,7 67,8 1,5 0,0 100,0 74
1–2 4,8 3 612 53,4 45,7 0,9 0,0 100,0 173
3–4 5,3 2 149 46,8 52,3 0,9 0,0 100,0 113
5+ 3,7 1 194 35,4 62,3 2,3 0,0 100,0 45
Résidence
Port Gentil/Libreville 4,2 5 718 49,7 49,0 1,3 0,0 100,0 240
Autres villes 3,9 3 453 38,7 60,8 0,4 0,0 100,0 134
Ensemble urbain 4,1 9 171 45,8 53,2 1,0 0,0 100,0 374
Rural 4,2 739 41,1 55,5 3,3 0,0 100,0 31
Province
Libreville 3,8 4 624 (53,5) (46,5) (0,0) (0,0) 100,0 176
Port-Gentil 5,9 1 094 39,2 55,9 4,9 0,0 100,0 64
Estuaire (sans
Libreville) 2,5 1 321 * * * * 100,0 33
Haut-Ogooué 3,6 863 (19,7) (80,3) (0,0) (0,0) 100,0 31
Moyen-Ogooué 1,5 303 * * * * 100,0 5
Ngounié 3,4 395 * * * * 100,0 13
Nyanga 2,2 181 * * * * 100,0 4
Ogooué-Ivindo 5,7 213 (29,2) (69,7) (1,1) (0,0) 100,0 12
Ogooué-Lolo 4,2 213 (45,3) (51,4) (3,3) (0,0) 100,0 9
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 3,3 104 (42,8) (53,3) (3,9) (0,0) 100,0 3
Woleu-Ntem 9,1 597 52,2 46,9 0,9 0,0 100,0 54
Niveau d’instruction
Aucun 0,2 586 * * * * 100,0 1
Primaire 3,2 1 286 34,3 63,7 1,9 0,0 100,0 41
Secondaire 1er cycle 4,0 4 242 39,1 58,6 2,4 0,0 100,0 170
Secondaire 2e cycle 5,5 2 300 48,0 52,0 0,0 0,0 100,0 125
Supérieur 4,5 1 496 (62,6) (37,4) (0,0) (0,0) 100,0 68
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 4,5 1 593 39,9 57,4 2,7 0,0 100,0 72
Second 4,5 2 054 30,3 66,6 3,0 0,0 100,0 93
Moyen 4,4 2 047 64,0 36,0 0,0 0,0 100,0 91
Quatrième 4,6 2 106 47,1 52,9 0,0 0,0 100,0 97
Le plus élevé 2,5 2 109 (44,4) (55,6) (0,0) (0,0) 100,0 53
Ensemble 4,1 9 910 45,4 53,4 1,2 0,0 100,0 405
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non
pondérés et qu’elle a été supprimée.
Avortement • 155
Tableau 8.4 Décision de l’avortement
Répartition (en %) des femmes qui ont avorté au moins une fois depuis 2014–16 selon le type de personne qui les a poussées ou forcées à subir leur
avortement, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Effectif de
L’enquêtée a été poussée/forcée à avorter par : femmes ayant
Caractéristique L’enquêtée a Mari/ Professionnel Parents/amis/ avorté depuis
sociodémographique décidé elle-même partenaire de la santé autre Total 2014–16
Groupe d’âge
15–19 * * * * 100,0 10
20–24 91,1 4,0 1,4 3,5 100,0 123
25–29 88,2 4,9 4,6 2,4 100,0 131
30–34 93,4 2,1 4,3 0,2 100,0 59
35–39 93,5 1,6 2,6 2,3 100,0 56
40–44 (92,4) (1,5) (4,5) (1,6) 100,0 20
45–49 * * * * 100,0 6
Stade de la grossesse au
moment du dernier
avortement
Moins de 2 mois 88,6 5,3 3,7 2,4 100,0 184
2–4 mois 92,8 2,0 2,7 2,5 100,0 216
5 mois ou plus * * * * 100,0 5
Nombre d’enfants vivants
0 88,2 2,3 2,5 7,0 100,0 74
1–2 91,2 2,8 4,4 1,6 100,0 173
3–4 91,0 6,3 2,6 0,1 100,0 113
5+ 94,1 1,3 0,9 3,6 100,0 45
Résidence
Port Gentil/Libreville 92,0 3,9 2,5 1,6 100,0 240
Autres villes 89,4 2,3 4,8 3,6 100,0 134
Ensemble urbain 91,0 3,3 3,3 2,3 100,0 374
Rural 89,8 6,0 1,0 3,3 100,0 31
Province
Libreville (93,3) (3,1) (2,2) (1,5) 100,0 176
Port-Gentil 88,4 6,3 3,3 2,0 100,0 64
Estuaire (sans Libreville) * * * * 100,0 33
Haut-Ogooué (83,8) (0,0) (3,8) (12,4) 100,0 31
Moyen-Ogooué * * * * 100,0 5
Ngounié * * * * 100,0 13
Nyanga * * * * 100,0 4
Ogooué-Ivindo (89,6) (3,5) (4,1) (2,8) 100,0 12
Ogooué-Lolo (90,3) (3,3) (2,7) (3,6) 100,0 9
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) (80,2) (6,5) (1,8) (11,6) 100,0 3
Woleu-Ntem 95,9 4,1 0,0 0,0 100,0 54
Niveau d’instruction
Aucun * * * * 100,0 1
Primaire 96,4 3,2 0,0 0,5 100,0 41
Secondaire 1er cycle 91,2 4,8 2,2 1,7 100,0 170
Secondaire 2e cycle 91,3 1,7 1,7 5,3 100,0 125
Supérieur (86,3) (3,7) (10,0) (0,0) 100,0 68
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 90,8 2,0 1,8 5,4 100,0 72
Second 94,5 4,3 0,0 1,2 100,0 93
Moyen 85,1 7,3 7,7 0,0 100,0 91
Quatrième 94,8 2,1 2,7 0,3 100,0 97
Le plus élevé (87,9) (0,4) (3,3) (8,4) 100,0 53
Ensemble 90,9 3,5 3,1 2,4 100,0 405
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas
non pondérés et qu’elle a été supprimée.
156 • Avortement
Tableau 8.5 Raisons de l’avortement
Répartition (en %) des femmes qui ont avorté au moins une fois depuis 2014–16 selon la raison principale pour laquelle elles ont avorté la dernière fois, selon certaines
caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Raison principale du dernier avortement
Trop
d’enfants/ Effectif de
nais- Mari/ Pour Difficultés femmes
sances partenaire continuer écono- ayant
Trop jeune trop ne voulait scolarité/ miques, Autre/ avorté
Caractéristique Problème pour avoir Déjà trop rappro- Peur des pas de manque Cas de Non depuis
sociodémographique santé un enfant d’enfants chées parents l’enfant travailler d’argent viol déterminé Total 2014–16
Groupe d’âge
15–19 * * * * * * * * * * 100,0 10
20–24 7,6 8,3 0,6 10,4 17,3 15,4 20,7 10,5 0,0 9,2 100,0 123
25–29 7,7 3,5 6,1 15,0 5,7 11,5 6,1 21,4 0,2 22,8 100,0 131
30–34 5,8 0,0 8,7 17,3 0,2 11,1 1,9 37,5 0,0 17,5 100,0 59
35–39 2,8 2,0 8,5 13,7 0,0 15,8 2,2 26,1 0,0 28,8 100,0 56
40–44 (13,3) (0,0) (6,3) (4,3) (0,0) (9,2) (0,0) (23,3) (0,0) (43,7) 100,0 20
45–49 * * * * * * * * * * 100,0 6
Nombre d’enfants
vivants
0 14,0 16,5 0,0 0,0 30,5 9,6 12,8 6,7 0,0 9,9 100,0 74
1–2 7,1 4,4 3,2 19,2 4,3 18,6 14,4 12,4 0,1 16,4 100,0 173
3–4 4,0 0,8 5,4 10,0 0,3 8,6 1,8 38,2 0,0 31,1 100,0 113
5+ 2,2 0,5 27,2 15,2 0,0 7,4 0,0 31,5 0,0 15,9 100,0 45
Décision de
l’avortement
Enquêtée elle-
même 4,7 5,6 6,5 13,6 7,9 12,4 9,4 21,9 0,1 17,9 100,0 368
Quelqu’un d’autre (29,4) (0,6) (0,0) (3,5) (3,2) (17,5) (5,0) (7,7) (0,0) (33,1) 100,0 37
Résidence
Port Gentil/
Libreville 6,8 5,4 4,0 11,8 9,3 8,9 10,5 22,1 0,0 21,2 100,0 240
Autres villes 7,2 4,6 7,6 12,6 5,5 18,3 7,7 19,2 0,0 17,3 100,0 134
Ensemble urbain 7,0 5,1 5,3 12,1 8,0 12,3 9,5 21,0 0,0 19,8 100,0 374
Rural 6,6 5,4 13,2 19,8 2,0 20,3 3,0 16,0 0,6 12,9 100,0 31
Province
Libreville (8,1) (4,5) (3,9) (8,7) (10,5) (8,1) (11,0) (21,0) (0,0) (24,2) 100,0 176
Port-Gentil 3,4 7,8 4,2 20,3 6,0 11,0 9,1 25,1 0,0 13,0 100,0 64
Estuaire (sans
Libreville) * * * * * * * * * * 100,0 33
Haut-Ogooué (8,0) (6,0) (5,5) (13,2) (14,5) (11,4) (4,8) (16,2) (0,0) (20,4) 100,0 31
Moyen-Ogooué * * * * * * * * * * 100,0 5
Ngounié * * * * * * * * * * 100,0 13
Nyanga * * * * * * * * * * 100,0 4
Ogooué-Ivindo (8,6) (0,0) (5,6) (11,0) (9,3) (34,1) (5,3) (22,2) (0,0) (3,8) 100,0 12
Ogooué-Lolo (2,7) (0,0) (4,1) (0,9) (0,0) (11,2) (12,8) (19,9) (0,0) (48,4) 100,0 9
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) (14,7) (13,8) (4,3) (11,3) (6,8) (26,0) (5,3) (12,6) (0,0) (5,2) 100,0 3
Woleu-Ntem 2,6 5,8 16,0 22,0 0,4 14,1 9,7 18,3 0,0 11,2 100,0 54
Niveau d’instruction
Aucun * * * * * * * * * * 100,0 1
Primaire 0,6 0,0 10,9 13,0 0,5 11,2 0,0 20,8 0,0 42,8 100,0 41
Secondaire 1er
cycle 4,0 3,0 6,7 11,8 9,2 14,7 1,4 35,7 0,1 13,5 100,0 170
Secondaire 2e
cycle 4,4 9,1 6,4 15,3 10,2 11,6 19,0 8,1 0,0 16,0 100,0 125
Supérieur (23,0) (6,5) (0,0) (10,0) (2,6) (10,8) (15,3) (6,2) (0,0) (25,6) 100,0 68
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 2,2 3,0 7,4 14,6 6,0 14,9 5,7 32,7 0,3 13,2 100,0 72
Second 2,4 12,9 6,1 14,2 10,3 15,7 0,5 28,9 0,0 9,0 100,0 93
Moyen 7,4 2,6 3,9 3,3 6,3 6,8 19,4 19,3 0,0 31,0 100,0 91
Quatrième 6,4 4,6 9,6 11,6 10,6 17,1 9,6 7,4 0,0 23,1 100,0 97
Le plus élevé (21,7) (0,0) (0,0) (25,3) (1,0) (7,9) (9,6) (16,3) (0,0) (18,2) 100,0 53
Ensemble 7,0 5,2 5,9 12,7 7,5 12,9 9,0 20,7 0,0 19,3 100,0 405
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et
qu’elle a été supprimée.
Avortement • 157
Tableau 8.6 Procédure d’avortement
Parmi les femmes qui ont avorté au moins une fois depuis 2014–16, pourcentage de celles ayant utilisé différents moyens ou procédures pour leur
dernier avortement, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Procédure d’avortement Effectif de
Plantes/ femmes ayant
Caractéristique Dilatation et décoctions/ avorté depuis
sociodémographique curetage Aspiration Sonde Injections Comprimés autre 2014–16
Groupe d’âge
15–19 * * * * * * 10
20–24 26,9 1,4 0,0 9,7 44,9 22,0 123
25–29 41,4 2,5 0,0 9,5 37,7 19,3 131
30–34 54,8 5,2 0,0 10,6 27,7 14,7 59
35–39 46,6 1,9 0,0 8,6 30,5 16,8 56
40–44 (28,3) (0,0) (0,0) (11,3) (50,7) (11,3) 20
45–49 * * * * * * 6
Stade de la grossesse au
moment du dernier
avortement
Moins de 2 mois 37,9 2,9 0,0 6,6 40,3 18,5 184
2–4 mois 39,0 1,9 0,1 12,2 36,3 19,8 216
5 mois ou plus * * * * * * 5
Résidence
Port Gentil/Libreville 42,3 2,0 0,0 11,2 36,6 13,6 240
Autres villes 31,9 3,2 0,0 7,5 41,7 26,3 134
Ensemble urbain 38,6 2,4 0,0 9,8 38,4 18,2 374
Rural 32,7 1,2 0,4 8,7 34,0 35,9 31
Province
Libreville (39,3) (0,0) (0,0) (11,1) (43,2) (12,6) 176
Port-Gentil 50,4 7,4 0,0 11,3 18,3 16,3 64
Estuaire (sans Libreville) * * * * * * 33
Haut-Ogooué (30,2) (1,7) (0,0) (15,9) (67,4) (24,3) 31
Moyen-Ogooué * * * * * * 5
Ngounié * * * * * * 13
Nyanga * * * * * * 4
Ogooué-Ivindo (35,0) (2,2) (0,0) (3,4) (18,9) (47,8) 12
Ogooué-Lolo (40,8) (0,0) (0,0) (4,1) (43,2) (18,1) 9
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) (12,5) (0,0) (3,7) (16,9) (31,9) (38,8) 3
Woleu-Ntem 39,3 2,3 0,0 3,2 38,2 26,5 54
Niveau d’instruction
Aucun * * * * * * 1
Primaire 46,8 0,0 0,0 11,5 47,2 17,3 41
Secondaire 1er cycle 32,4 1,3 0,1 5,9 40,2 25,9 170
Secondaire 2e cycle 38,8 3,4 0,0 8,0 36,9 16,4 125
Supérieur (45,4) (4,3) (0,0) (21,7) (29,7) (10,8) 68
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 19,0 0,9 0,0 7,0 37,1 42,9 72
Second 30,9 1,7 0,1 6,1 57,9 15,1 93
Moyen 43,3 3,4 0,0 16,8 25,8 20,6 91
Quatrième 44,9 1,2 0,0 9,8 44,4 5,5 97
Le plus élevé (55,4) (5,8) (0,0) (7,7) (14,0) (19,4) 53
Ensemble 38,1 2,3 0,0 9,8 38,0 19,5 405
Note : Une même femme ayant pu utiliser plusieurs procédures/moyens, le total des pourcentages peut excéder 100 %. Les valeurs entre parenthèses
sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
158 • Avortement
Tableau 8.7 Lieu de l’avortement
Répartition (en %) des femmes qui ont avorté au moins une fois depuis 2014–16 selon le lieu où a été effectué le dernier avortement, selon certaines
caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Lieu du dernier avortement Effectif de
Autre maison/ femmes ayant
Caractéristique Établissement de Établissement de Maison de autre/non avorté depuis
sociodémographique santé public santé privé l’enquêtée déterminé Total 2014–16
Groupe d’âge
15–19 * * * * 100,0 10
20–24 11,3 23,6 48,2 16,9 100,0 123
25–29 22,9 22,2 48,7 6,2 100,0 131
30–34 36,5 32,3 28,3 2,9 100,0 59
35–39 13,7 45,3 39,1 1,9 100,0 56
40–44 (23,3) (15,4) (61,2) (0,0) 100,0 20
45–49 * * * * 100,0 6
Stade de la grossesse au
moment du dernier
avortement
Moins de 2 mois 17,2 27,5 45,0 10,3 100,0 184
2–4 mois 21,4 26,4 45,3 6,8 100,0 216
5 mois ou plus * * * * 100,0 5
Résidence
Port Gentil/Libreville 16,3 34,0 39,4 10,4 100,0 240
Autres villes 24,5 16,6 54,6 4,2 100,0 134
Ensemble urbain 19,2 27,8 44,9 8,2 100,0 374
Rural 23,8 13,1 53,3 9,9 100,0 31
Province
Libreville (10,1) (32,2) (46,2) (11,5) 100,0 176
Port-Gentil 33,1 38,9 20,8 7,3 100,0 64
Estuaire (sans Libreville) * * * * 100,0 33
Haut-Ogooué (20,1) (15,3) (60,3) (4,3) 100,0 31
Moyen-Ogooué * * * * 100,0 5
Ngounié * * * * 100,0 13
Nyanga * * * * 100,0 4
Ogooué-Ivindo (35,3) (0,0) (59,6) (5,1) 100,0 12
Ogooué-Lolo (37,3) (11,4) (45,2) (6,1) 100,0 9
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) (24,1) (11,7) (55,6) (8,5) 100,0 3
Woleu-Ntem 23,6 15,5 51,3 9,6 100,0 54
Niveau d’instruction
Aucun * * * * 100,0 1
Primaire 9,8 35,2 51,3 3,7 100,0 41
Secondaire 1er cycle 22,5 12,2 55,1 10,2 100,0 170
Secondaire 2e cycle 16,9 35,8 38,3 9,0 100,0 125
Supérieur (22,3) (41,0) (31,5) (5,2) 100,0 68
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 18,4 7,6 67,2 6,7 100,0 72
Second 18,3 18,2 56,0 7,5 100,0 93
Moyen 17,5 42,1 37,8 2,6 100,0 91
Quatrième 15,8 27,5 39,8 16,8 100,0 97
Le plus élevé (33,9) (39,0) (21,2) (5,9) 100,0 53
Ensemble 19,6 26,6 45,5 8,3 100,0 405
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas
non pondérés et qu’elle a été supprimée.
Avortement • 159
Tableau 8.8 Assistance à l’avortement
Répartition (en %) des femmes qui ont avorté au moins une fois depuis 2014–16 par type d’assistance lors du dernier avortement,
selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Assistance au dernier avortement Effectif de
Sage-femme/ femmes ayant
Caractéristique Assistante/ Autre avorté depuis
sociodémographique Médecin Infirmière personne Personne Total 2014–16
Groupe d’âge
15–19 * * * * 100,0 10
20–24 27,2 4,1 34,6 34,0 100,0 123
25–29 30,2 13,4 18,3 38,1 100,0 131
30–34 61,5 8,7 5,1 24,6 100,0 59
35–39 44,8 14,9 5,5 34,8 100,0 56
40–44 (25,2) (12,3) (2,4) (60,1) 100,0 20
45–49 * * * * 100,0 6
Stade de la grossesse au
moment du dernier
avortement
Moins de 2 mois 33,3 10,5 18,9 37,3 100,0 184
2–4 mois 37,3 9,0 18,9 34,9 100,0 216
5 mois ou plus * * * * 100,0 5
Résidence
Port Gentil/Libreville 37,6 9,4 24,9 28,1 100,0 240
Autres villes 32,3 10,1 9,6 48,1 100,0 134
Ensemble urbain 35,7 9,7 19,4 35,3 100,0 374
Rural 28,4 11,0 13,7 47,0 100,0 31
Province
Libreville (31,1) (6,8) (30,3) (31,8) 100,0 176
Port-Gentil 55,3 16,7 9,9 18,1 100,0 64
Estuaire (sans Libreville) * * * * 100,0 33
Haut-Ogooué (23,8) (9,0) (10,9) (56,2) 100,0 31
Moyen-Ogooué * * * * 100,0 5
Ngounié * * * * 100,0 13
Nyanga * * * * 100,0 4
Ogooué-Ivindo (17,3) (17,9) (10,1) (54,6) 100,0 12
Ogooué-Lolo (43,3) (5,4) (12,3) (39,0) 100,0 9
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) (29,4) (13,0) (23,2) (34,5) 100,0 3
Woleu-Ntem 30,9 13,6 7,5 48,1 100,0 54
Niveau d’instruction
Aucun * * * * 100,0 1
Primaire 32,2 13,4 12,1 42,3 100,0 41
Secondaire 1er cycle 24,7 10,4 15,7 49,2 100,0 170
Secondaire 2e cycle 35,8 11,9 24,0 28,3 100,0 125
Supérieur (61,1) (2,2) (21,7) (15,0) 100,0 68
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 18,0 10,0 8,5 63,5 100,0 72
Second 18,3 8,5 24,5 48,7 100,0 93
Moyen 49,4 11,2 11,2 28,2 100,0 91
Quatrième 38,7 5,5 28,1 27,8 100,0 97
Le plus élevé (56,8) (17,2) (20,0) (5,9) 100,0 53
Ensemble 35,1 9,8 19,0 36,2 100,0 405
Note : Si différentes personnes ont assisté l’avortement, seule la plus qualifiée est prise en compte dans ce tableau. Les valeurs entre
parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non
pondérés et qu’elle a été supprimée.
160 • Avortement
Tableau 8.9 Complications après l’avortement
Proportion de femmes qui ont avorté au moins une fois depuis 2014–16 et
qui ont déclaré avoir eu des complications après le dernier avortement, selon
certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Effectif de
Proportion ayant femmes ayant
Caractéristique déclaré avoir eu avorté depuis
sociodémographique des complications 2014–16
Groupe d’âge
15–19 * 10
20–24 24,8 123
25–29 30,5 131
30–34 19,2 59
35–39 12,0 56
40–44 (17,2) 20
45–49 * 6
Stade de la grossesse au moment
du dernier avortement
Moins de 2 mois 17,7 184
2–4 mois 30,3 216
5 mois ou plus * 5
Résidence
Port Gentil/Libreville 19,2 240
Autres villes 32,0 134
Ensemble urbain 23,8 374
Rural 30,7 31
Province
Libreville (16,8) 176
Port-Gentil 26,0 64
Estuaire (sans Libreville) * 33
Haut-Ogooué (35,6) 31
Moyen-Ogooué * 5
Ngounié * 13
Nyanga * 4
Ogooué-Ivindo (36,2) 12
Ogooué-Lolo (32,8) 9
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) (10,3) 3
Woleu-Ntem 42,9 54
Niveau d’instruction
Aucun * 1
Primaire 31,0 41
Secondaire 1er cycle 28,5 170
Secondaire 2e cycle 23,8 125
Supérieur (9,6) 68
Ensemble 24,3 405
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non
pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25
cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
Avortement • 161
Tableau 8.10 Coût de l’avortement
Répartition (en %) des femmes qui ont avorté au moins une fois depuis 2014–16 par coût du dernier avortement (en FCFA), selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Effectif de
femmes
ayant
Assistance au dernier avortement (en FCFA)
avorté
Caractéristique 10 000– 25 000– 50 000– 100 000– 200 000 NSP/ depuis
sociodémographique 0 <10 000 <25 000 <50 000 <100 000 <200 000 ou + manquant Total 2014–16
Lieu de l’avortement
Établissement de santé
public 2,9 11,0 8,1 10,9 29,7 25,1 6,5 5,8 100,0 79
Établissement de santé
privé 0,0 9,1 0,0 1,9 47,9 32,5 2,7 6,0 100,0 108
Autre 26,8 14,2 23,7 15,3 7,4 0,3 0,4 11,9 100,0 218
Résidence
Port Gentil/Libreville 10,7 13,4 14,0 9,6 25,7 15,0 1,4 10,2 100,0 240
Autres villes 21,9 7,7 15,9 14,1 16,6 12,5 2,8 8,3 100,0 134
Ensemble urbain 14,7 11,4 14,7 11,2 22,4 14,1 1,9 9,5 100,0 374
Rural 18,5 22,1 10,7 6,5 23,9 8,6 5,5 4,2 100,0 31
Province
Libreville (11,3) (17,4) (14,5) (10,4) (27,3) (8,5) (0,0) (10,7) 100,0 176
Port-Gentil 9,0 2,6 12,6 7,4 21,2 32,8 5,4 9,0 100,0 64
Estuaire (sans Libreville) * * * * * * * * 100,0 33
Haut-Ogooué (16,8) (11,0) (8,4) (25,4) (11,3) (18,7) (1,9) (6,5) 100,0 31
Moyen-Ogooué * * * * * * * * 100,0 5
Ngounié * * * * * * * * 100,0 13
Nyanga * * * * * * * * 100,0 4
Ogooué-Ivindo (49,2) (7,5) (7,0) (8,6) (20,4) (0,0) (2,2) (5,1) 100,0 12
Ogooué-Lolo (14,7) (7,0) (17,3) (4,3) (13,8) (27,7) (6,0) (9,1) 100,0 9
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) (18,1) (18,4) (4,5) (23,1) (14,6) (4,8) (14,9) (1,8) 100,0 3
Woleu-Ntem 18,9 16,6 23,5 9,2 23,1 6,5 0,0 2,1 100,0 54
Niveau d’instruction
Aucun * * * * * * * * 100,0 1
Primaire 11,6 14,8 8,7 7,7 27,9 11,4 8,5 9,4 100,0 41
Secondaire 1er cycle 22,2 12,1 15,9 16,2 19,0 8,0 1,3 5,4 100,0 170
Secondaire 2e cycle 10,7 15,2 12,2 8,2 27,1 14,9 1,6 10,1 100,0 125
Supérieur (6,9) (5,7) (18,0) (4,4) (18,9) (27,4) (2,0) (16,5) 100,0 68
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 31,0 16,1 7,6 17,0 13,0 4,8 4,2 6,4 100,0 72
Second 14,6 12,0 18,9 12,4 26,4 8,1 0,9 6,8 100,0 93
Moyen 8,6 14,8 12,8 5,8 30,8 19,6 2,1 5,6 100,0 91
Quatrième 15,2 12,9 18,4 11,3 14,9 16,1 0,1 11,1 100,0 97
Le plus élevé (4,8) (1,6) (10,8) (7,7) (28,6) (21,1) (5,7) (19,6) 100,0 53
Ensemble 15,0 12,2 14,4 10,8 22,5 13,7 2,2 9,1 100,0 405
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non
pondérés et qu’elle a été supprimée.
162 • Avortement
SANTÉ MATERNELLE 9
Résultats clés
L
a santé de la mère et de l’enfant est l’une des priorités du Gouvernement gabonais, qui, pour
l’améliorer, a adhéré à différentes initiatives internationales. C’est ainsi qu’en 1994, à l’instar des
autres états membres de la région africaine, le Gabon s’est engagé à mettre en œuvre les
recommandations de la Conférence Internationale du Caire sur la Population et le Développement (CIPD)
et celles de la CIPD 25 reconnaissant les droits sexuels et reproductifs comme des droits humains et à
appliquer le concept nouveau de la santé sexuelle et de la reproduction. Par santé de la reproduction, on
entend : “Le bien-être général tant physique que mental et social de la personne humaine pour ce qui
concerne l’appareil génital, ses fonctions et son fonctionnement et non pas l’absence de maladies ou
d’infirmités” (CIPD, 1994). En outre, pour définir ses orientations politiques dans le domaine de la santé
de la reproduction, le Gabon a développé une politique nationale (2001–2010) actualisée en 2022.
Dans ce contexte, les données collectées au cours de l’EDSG-III permettent d’une part d’identifier les
problèmes actuels les plus importants en matière de santé maternelle et d’autre part, dans la mesure où
elles sont comparables avec celles de l’enquête précédente, d’évaluer l’impact des politiques et des
programmes mis en place dans ce domaine entre 2012 et 2021. Dans ce chapitre les résultats se structurent
autour de quatre points essentiels :
Les services de soins de santé durant la grossesse, l’accouchement et après l’accouchement sont importants
pour la survie et le bien-être de la mère et de l’enfant. En 2016, l’Organisation mondiale de la santé (OMS)
a publié des recommandations complètes sur les soins prénatals pour garantir une expérience positive de la
grossesse. Le nouveau modèle de prestation des soins prénatals est un modèle axé sur les objectifs avec
une approche de la prestation de services fondés sur des données probantes, sur la qualité et le contenu de
soins. Contrairement au traitement de base ou en quatre visites, le nouveau modèle de soins prénatals de
l’OMS recommande de réaliser un minimum de huit contacts CPN. En utilisant le mot “contacter” plutôt
que “visiter”, le modèle de Consultation Prénatale favorise une connexion plus active entre les clients des
soins prénatals et leurs prestataires de soins de santé.
Le Tableau 9.1 présente la répartition des femmes de 15–49 ans qui ont eu une naissance vivante au cours
des cinq dernières années ayant précédé l’enquête, par type de prestataire de santé vu durant la grossesse
pour la naissance la plus récente et le pourcentage de naissances les plus récentes pour lesquelles la mère a
consulté un professionnel de la santé, selon certaines caractéristiques sociodémographiques. Les
prestataires de santé considérés comme du personnel qualifié pour fournir des soins prénatals, figurent au
bas du Tableau 9.1 et dans l’encadré en début de chapitre.
Dans l’ensemble, parmi les femmes ayant eu une naissance vivante au cours des cinq années ayant précédé
l’enquête, plus de neuf sur dix (97 %) ont reçu des soins prénatals par un professionnel de la santé
(médecins, gynécologues, sage-femmes, infirmières et infirmières accoucheurs). Ces consultations ont été
principalement effectuées par des sage-femmes (67 %) et des gynécologues (26 %). Très peu de
consultations ont été faites par les infirmiers accoucheurs et infirmières accoucheuses (1 %). On note que
3 % des femmes n’ont pas reçu de soins prénatals.
▪ Bien qu’élevée dans tous les sous-groupes de femmes, la couverture en soins prénatals par du
personnel de santé qualifié demeure plus élevée en milieu urbain qu’en milieu rural (98 % contre
90 %).
▪ Dans toutes les provinces, la couverture en soins prénatals est très élevée, plus de neuf femmes sur dix
ayant reçu des soins prénatals par du personnel formé, seule la province de l’Ogooué-Ivindo enregistre
un pourcentage un peu plus faible de femmes ayant reçu des soins prénatals (87 %).
▪ La couverture en soins prénatals est un peu plus faible parmi les femmes ayant le niveau primaire
(92 % contre 98–100 % parmi celles ayant le niveau d’instruction secondaire et supérieur.
▪ Dans le quintile le plus bas, 91 % des femmes ont bénéficié d’un suivi prénatal contre 97–99 % dans
les autres quintiles.
Pour être efficaces, les soins prénatals doivent être effectués à un stade précoce de la grossesse (depuis la
16ème semaine de la grossesse) et continuer de manière régulière jusqu’à l’accouchement. L’Organisation
mondiale de la santé (OMS) recommande, au moins, quatre visites prénatales tout au long de la grossesse.
Le Tableau 9.2 présente les données concernant le nombre de visites effectuées par les femmes enceintes,
le stade de la grossesse à la première visite et le nombre médian de mois de grossesse à la première visite
prénatale (pour les femmes ayant reçu des soins prénatals).
On note que 78 % des femmes ont effectué, au moins, quatre visites prénatales, ce qui est en accord avec
les recommandations de l’OMS. Dans 14 % des cas, les mères ont effectué 2–3 visites et environ 1 % des
femmes n’en ont effectué qu’une seule. Les écarts entre milieux de résidence sont importants puisqu’en
milieu urbain, 79 % des femmes ont effectué les quatre visites recommandées contre seulement 62 % en
milieu rural. Dans le milieu urbain, on note un écart entre Libreville/Port-Gentil où 82 % des femmes
ayant eu une naissance au cours des cinq dernières années ont effectué les quatre visites prénatales
recommandées contre 76 % dans les Autres villes.
En ce qui concerne le stade de la grossesse auquel a eu lieu la première visite, on constate que dans plus de
six cas sur dix (69 %), la première visite a eu lieu avant le quatrième mois de la grossesse. Cependant, en
milieu rural, cette proportion concerne seulement moins d’une femme sur deux (48 %), alors qu’elle
atteint 71 % en milieu urbain. C’est à Libreville/Port-Gentil que la proportion de femmes qui ont effectué
leur première visite avant le quatrième mois de la grossesse est la plus élevée (74 %) ; dans les autres
villes, cette proportion n’est que de 65 %. Les résultats révèlent par ailleurs que 22 % des femmes
enceintes ont effectué leur première visite entre 4–5 mois et dans 4 % des cas, la première visite n’a eu lieu
qu’après le sixième mois de grossesse. Le nombre médian de mois de grossesse à la première visite est
estimé à 3,5 et il varie selon le milieu de résidence, de 3,9 en milieu rural à 3,5 en milieu urbain.
On constate que, parmi les femmes qui ont reçu des Examen vaginal 99
soins prénatals pour la naissance la plus récente, Prélèvement sanguin 98
dans la quasi-totalité des cas, les femmes ont été
pesées (99 %) et mesurées (93 %), leur tension Prise de la tension 98
artérielle a été vérifiée (98 %) ; on a effectué un
Prélèvement d’urine 96
prélèvement d’urine dans 96 % des cas, un
prélèvement sanguin dans 98 % des cas ainsi qu’un Mesure de la taille 93
toucher vaginal pour pratiquement toutes les femmes Examen conjonctive et
99 %. Par contre, l’examen de la conjonctive et des 83
muqueuse
muqueuses a été moins fréquent puisqu’il n’a été
effectué que sur 83 % des femmes (Graphique 9.2).
Le tétanos est l’une des maladies les plus graves et constitue une cause majeure de mortalité chez le
nouveau-né dans de nombreux pays en développement.
Les résultats du Tableau 9.4, qui portent sur les femmes de 15–49 ans qui ont eu une naissance au cours
des cinq années ayant précédé l’enquête, indiquent que 59 % ont reçu, au moins, deux doses de vaccin
La couverture vaccinale ne présente pas de disparités très importantes. On peut cependant souligner
certaines variations :
▪ Les naissances de femmes très jeunes (moins de 20 ans à la naissance de l’enfant) sont moins bien
protégées que celles dont la mère était plus âgée : par exemple, 60 % des naissances dont la mère
avait moins de 20 ans à la naissance de l’enfant ont été protégées contre le tétanos néonatal contre
71 % quand la mère avait 20–34 ans ou 35–49 ans à la naissance.
▪ Dans les provinces, ce sont les naissances du Woleu-Ntem (52 %) et de l’Ogooué-Ivindo (53 %) qui
sont les moins bien protégées contre un maximum de 79 % à Port-Gentil et 76 % dans l’Estuaire (sans
Libreville) et dans l’Ogooué-Lolo.
▪ Du quintile le plus bas au plus élevé, le pourcentage de naissances protégées contre le tétanos
néonatals augmente, passant de 58 % à 78 %.
D’une manière générale, les résultats du Tableau 9.5 montrent que 95 % des naissances ont eu lieu dans un
établissement de santé, en majorité un établissement de santé du secteur public (81 %). Dans 14 % des cas,
l’accouchement a eu lieu dans un établissement du secteur privé et 5 % des naissances se sont déroulées à
la maison.
▪ En milieu rural, 21 % des naissances se sont Graphique 9.4 Naissances ayant eu lieu
déroulées à la maison et 78 % dans un dans un établissement de santé
établissement de santé contre respectivement par résidence
3 % et 97 % en milieu urbain. C’est dans les Pourcentage de naissances vivantes des
Autres villes que la proportion de femmes qui 5 années avant l’enquête qui se sont
ont accouché dans un hôpital du secteur public déroulées dans un établissement de santé
est la plus élevée (89 %). À Libreville/Port- 95 98 95 97
Gentil, 22 % des femmes ont accouché dans un 78
établissement du secteur privé (Graphique 9.4).
▪ Du quintile le plus bas au plus élevé, le pourcentage de naissances ayant eu lieu à la maison a tendance
à diminuer, passant de 13 % à 1 %.
Tendances : Le pourcentage de
naissances dont l’accouchement a
été assisté par un prestataire de
santé formé augmente depuis 2000, passant de 83 % à 87 % en 2012 et à 95 % en 2019–21.
▪ Le pourcentage de naissances dont l’accouchement s’est déroulé avec l’assistance de personnel formé
varie de manière importante avec le nombre de visites prénatales, passant de 50 % quand il n’y a eu
aucun suivi prénatal à 90 % quand ce nombre est de 1–3 et à 98 % quand il est de quatre ou plus.
L’accouchement par césarienne peut réduire les risques de mortalité maternelle. Parmi les naissances
vivantes ayant eu lieu au cours des cinq années précédant l’enquête, 9 % se sont déroulées par césarienne :
4 % ont été décidées avant le début des douleurs et 4 % après le début des douleurs (Tableau 9.7).
Tendances : Depuis 2012, le pourcentage de naissances accouchées par césarienne a peu varié passant de
10 % à 9 % en 2019–21.
▪ Le pourcentage de naissances par césarienne diminue avec le rang de naissance, passant de 11 % pour
les naissances de rang 1 à 6 % pour celles de rangs quatre et plus (Tableau 9.7).
▪ Le recours à la césarienne est plus fréquent quand le nombre de visites prénatales est de quatre ou plus
(10 %) et quand la naissance a eu lieu dans un établissement de santé privé (14 %).
▪ Les naissances par césarienne sont plus courantes en milieu urbain qu’en milieu rural (9 % contre 5 %)
et à Port-Gentil/Libreville que dans les autres villes (11 % contre 7 %).
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, le pourcentage de naissances par
césarienne varie de 5 % à 14 %.
Le Tableau 9.8 présente les pourcentages de femmes qui ont eu une naissance vivante au cours des cinq
années avant l’enquête et dont l’accouchement de la dernière naissance a eu lieu dans un établissement de
santé par durée de séjour dans l’établissement en fonction du type d’accouchement. On constate que la
durée du séjour dans l’établissement de santé est plus longue quand l’accouchement s’est déroulé par
césarienne que par voie basse : 95 % des femmes sont restées au moins trois jours dans l’établissement à la
suite d’une césarienne contre 33 % quand l’accouchement a été effectué par voie basse.
Les résultats du Tableau 9.9 montrent que près des trois quarts des femmes (73 %) ont reçu des soins
postnatals dans les délais recommandés. À l’opposé, 17 % des femmes n’ont pas reçu de soins postnatals
ou après les 41 jours qui ont suivi la naissance.
En 2018, pour amener le maximum de femmes a consulté le plus tôt possible après l’accouchement, le
Gabon a adopté un nouveau calendrier des soins postnatals. Il consiste à effectuer quatre consultations
postnatales ou contacts. Il est conseillé de faire le premier contact dans les 24 heures après
l’accouchement, le deuxième contact le 3ème jour, le troisième contact entre le 7ème et le 14ème jour et le
quatrième contact à la 6ème semaine.
▪ La moitié des femmes ayant accouché ailleurs Graphique 9.7 Soins postnatals selon le
(50 %) que dans un établissement de santé ont lieu de l’accouchement
reçu des soins postnatals dans les deux jours qui Pourcentage des dernières naissances
ont suivi la naissance contre 74 % quand des 2 années avant l’enquête pour
l’accouchement a eu lieu dans un établissement lesquelles les femmes et les nouveau-nés
ont reçu des soins postnatals dans les
de santé (Graphique 9.7).
2 jours après la naissance
▪ Le pourcentage de femmes ayant reçu des soins Établissement de santé Ailleurs Ensemble
postnatals dans les délais recommandés est plus 81 78
74 73
faible en milieu rural qu’en milieu urbain (62 %
contre 74 %). 50
37
▪ Les résultats par province montrent que le suivi
postnatal des mères est moins fréquent dans
l’Ogooué-Ivindo (64 %), dans l’Ogooué-Lolo
(62 %) et dans la Nyanga (62 %) que dans le
Femme Nouveau-né
Woleu-Ntem (74 %), Libreville (75 %) et Port-
Gentil (82 %).
▪ Le pourcentage de femmes ayant eu un suivi postnatal dans les délais recommandés est nettement plus
élevé parmi celles ayant le niveau supérieur (81 % contre 68 % parmi celles sans niveau d’instruction
ou ayant le niveau primaire).
▪ Du quintile le plus bas au plus élevé, le pourcentage de femmes ayant eu un suivi postnatal dans les
délais recommandés augmente, passant de 58 % à 82 %.
Type de prestataire
Le Tableau 9.10 présente les résultats selon le type de prestataire qui a dispensé les soins postnatals. Il en
ressort que les soins postnatals sont, en majorité, dispensés par les médecins (gynécologue et autre
médecin), les sage-femmes, les infirmiers/infirmières assistant (72 %). Ceci est conforme à la Politique
Nationale de Santé Sexuelle et de la Reproduction actualisée en 2022, qui recommande que le personnel
formé soit habilité à offrir les soins postnatals à la mère et au nouveau-né.
Le Tableau 9.11 présente les proportions de dernières naissances ayant eu lieu au cours des deux années
ayant précédé l’enquête et qui ont reçu des soins postnatals. On constate que 11 % des naissances n’ont
reçu aucun soin postnatal ou seulement des soins tardifs, après la première semaine. Dans seulement 78 %
des cas, l’état de santé du nouveau-né a été examiné, selon les recommandations, dans les deux jours qui
ont suivi sa naissance.
▪ Le pourcentage de nouveau-nés ayant reçu des soins postnatals dans les délais recommandés varie
surtout avec le lieu d’accouchement : de 81 % quand la naissance a eu lieu dans un établissement de
santé à 37 % quand elle a eu lieu ailleurs (Graphique 9.7).
▪ La couverture en soins postnatals pour les nouveau-nés est plus élevée en milieu urbain qu’en milieu
rural (80 % contre 66 %).
▪ Dans les provinces, la couverture en soins postnatals des nouveau-nés varie de 63 % dans l’Ogooué-
Ivindo à 92 % à Port-Gentil.
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, la couverture en soins postnatals
augmente, passant de 68 % à 85 %.
Type de prestataire
Les résultats présentés selon le type de prestataire qui a dispensé les soins postnatals aux nouveau-nés
montrent que près de huit nouveau-nés sur dix (78 %) ont reçu les soins postnatals dans les deux premiers
jours après la naissance dispensés par du personnel de santé formé, habilité à fournir ces soins
(Tableau 9.12).
Les soins postnatals aux nouveau-nés constituent une stratégie globale visant à améliorer la santé des
nouveau-nés par le biais d’interventions réalisées immédiatement après la naissance, ainsi que durant la
période postnatale ; ils sont essentiels pour garantir la bonne santé du nouveau-né.
Le Tableau 9.13 présente le pourcentage de naissances pour lesquelles certaines interventions ont été
effectuées au cours des 2 premiers jours après la naissance. Il s’agit de l’examen du cordon, la prise de la
température, le counseling sur les signes de danger, le counseling sur l’allaitement et l’observation de
l’allaitement et la pesée.
Plus de neuf nouveau-nés sur dix (91 %) ont bénéficié d’au moins deux actes ou conseil au cours des deux
premiers jours après la naissance ; la quasi-totalité des nouveau-nés (94 %) ont été pesés à la naissance.
L’acte/conseil le moins fréquemment effectué est le conseil sur les signes de danger du nouveau-né (61 %).
Au cours de l’EDSG-III, on a demandé aux femmes si certains problèmes, qui étaient cités, pouvaient
constituer un obstacle pour qu’elles se fassent soigner ou pour qu’elles reçoivent un avis médical. Les
résultats figurent dans le Tableau 9.14.
Dans l’ensemble, plus de la moitié des femmes (52 %) ont cité, au moins, un problème qui pourrait limiter
leur accès aux soins de santé. Parmi les problèmes cités, c’est le manque d’argent pour le traitement qui
constitue l’obstacle aux soins de santé le plus fréquemment mentionné par les femmes (46 %). Ce sont les
jeunes de 15–19 ans (48 %), les célibataires (48 %), les femmes n’ayant pas travaillé au cours des douze
derniers mois (48 %), celles du milieu rural (55 %) et celles de la province de la Ngounié (59 %) qui ont le
plus fréquemment mentionné le manque d’argent. Outre cette raison, les femmes ont cité dans 33 % des
cas la distance au service de santé. En milieu rural, ce pourcentage est de 49 % et dans l’Ogooué-Ivindo de
50 %.
Note : Si plus d’un prestataire de soins prénatals a été déclaré, seul celui possédant les qualifications les plus élevées a été pris en compte dans ce tableau.
1
Sont considérés, dans le pays, comme des prestataires de soins prénatals qualifiés le médecin (gynécologue/autre médecin), la sage-femme, l’infirmier/infirmière
accoucheur(euse) et l’infirmier/infirmière
1
Y compris les mères ayant reçu deux injections au cours de la grossesse de la naissance
vivante la plus récente ou, au moins, deux injections (la dernière ayant été effectuée au
cours des 3 années ayant précédé la dernière naissance vivante), ou, au moins, trois
injections (la dernière ayant été effectuée au cours des 5 années ayant précédé la dernière
naissance vivante), ou, au moins, quatre injections (la dernière ayant été effectuée au
cours des 10 années ayant précédé la dernière naissance vivante), ou, au moins, cinq
injections avant la dernière naissance vivante
1
Concerne seulement la naissance vivante la plus récente ayant eu lieu au cours des 5 années ayant précédé l’enquête
Note : Si l’enquêtée a déclaré que plus d’une personne avait assisté l’accouchement, seule la personne possédant les qualifications les plus élevées est prise en
compte dans ce tableau.
1
Le personnel qualifié comprend le médecin (gynécologue/autre médecin), la sage-femme, l’infirmier/infirmière accoucheur(euse) et l’infirmier/infirmière.
2
Concerne seulement la naissance vivante la plus récente ayant eu au lieu au cours des 5 années ayant précédé l’enquête
Note : La question sur la césarienne n’est posée qu’aux femmes qui ont accouché dans un établissement
de santé. Dans ce tableau, on suppose que les femmes qui n’ont pas accouché dans un établissement
de santé n’ont pas accouché par césarienne.
1
Concerne seulement la naissance la plus récente ayant eu lieu au cours des 5 années ayant précédé
l’enquête
Parmi les femmes de 15–49 ans ayant eu une naissance dans les 2 années ayant précédé l’enquête, répartition (en %) de la durée écoulée entre l’accouchement
et le premier examen postnatal de la mère pour la naissance vivante la plus récente et pourcentage de femmes ayant eu une naissance dans les 2 années ayant
précédé l’enquête qui ont reçu un examen postnatal au cours des 2 jours ayant suivi la naissance, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-
III 2019–21
Pourcen-
tage de
femmes
ayant eu un
examen
postnatal
Durée écoulée entre l’accouchement et dans les 2
le premier examen postnatal de la mère1 Pas jours
Caractéristique Moins de 4–23 Ne sait pas/ d’examen suivant la Effectif de
sociodémographique 4 heures heures 1–2 jours 3–6 jours 7–41 jours manquant postnatals2 Total naissance1 femmes
Âge à la naissance
<20 41,9 3,1 24,6 0,2 0,7 7,4 22,1 100,0 69,6 309
20–34 45,2 7,4 20,3 0,6 2,9 7,5 16,2 100,0 72,8 1 745
35–49 49,8 9,3 17,7 0,5 0,0 9,2 13,5 100,0 76,7 403
Rang de naissance
1 49,3 5,6 20,7 0,6 1,0 8,4 14,4 100,0 75,7 589
2–3 40,1 9,7 22,0 0,7 3,4 6,8 17,2 100,0 71,8 1 095
4–5 51,0 4,0 18,4 0,3 1,8 8,5 16,0 100,0 73,4 499
6+ 48,9 5,8 16,9 0,4 0,0 8,6 19,3 100,0 71,6 273
Lieu d’accouchement
Établissement de santé 46,1 7,3 20,9 0,5 2,1 7,7 15,4 100,0 74,3 2 332
Ailleurs 34,3 4,4 11,1 1,3 2,9 8,0 38,1 100,0 49,7 125
Résidence
Port Gentil/Libreville 45,1 8,7 22,3 0,4 2,4 6,3 14,8 100,0 76,1 1 382
Autres villes 47,9 5,0 18,2 0,6 2,1 10,0 16,3 100,0 71,1 855
Ensemble urbain 46,2 7,3 20,7 0,5 2,3 7,7 15,4 100,0 74,2 2 237
Rural 39,1 5,4 17,0 1,6 0,9 8,0 28,0 100,0 61,5 219
Province
Libreville 45,1 8,4 21,2 0,2 2,4 7,2 15,4 100,0 74,8 1 118
Port-Gentil 45,0 10,0 26,7 1,1 2,2 2,7 12,3 100,0 81,7 265
Estuaire (sans Libreville) 50,2 5,5 15,3 0,2 3,2 15,4 10,1 100,0 71,1 316
Haut-Ogooué 36,2 5,9 25,6 0,4 1,6 7,8 22,5 100,0 67,7 214
Moyen-Ogooué 38,9 8,3 20,0 1,4 0,4 13,4 17,7 100,0 67,2 75
Ngounié 42,1 1,7 26,3 1,7 2,7 7,3 18,3 100,0 70,0 110
Nyanga 44,5 3,2 14,1 0,0 1,7 4,6 31,9 100,0 61,8 43
Ogooué-Ivindo 40,2 2,7 20,8 0,4 0,0 3,9 32,0 100,0 63,7 66
Ogooué-Lolo 25,2 8,0 28,8 1,1 2,4 3,6 30,8 100,0 62,0 62
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 62,0 3,7 5,3 0,9 1,1 2,9 24,1 100,0 71,0 28
Woleu-Ntem 65,5 4,5 4,1 1,8 0,5 7,3 16,4 100,0 74,1 159
Niveau d’instruction
Aucun 52,3 6,1 9,1 0,3 1,3 9,2 21,7 100,0 67,5 185
Primaire 34,9 8,5 24,7 0,7 1,3 6,2 23,8 100,0 68,1 367
Secondaire 1er cycle 46,6 5,1 19,8 0,4 2,5 7,7 17,8 100,0 71,5 1 075
Secondaire 2e cycle 45,8 8,2 22,7 0,4 2,0 7,8 13,2 100,0 76,7 480
Supérieur 49,4 11,1 20,4 1,3 2,7 8,5 6,5 100,0 80,9 348
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 38,3 3,6 16,3 1,3 1,2 7,6 31,8 100,0 58,2 487
Second 44,1 6,2 21,5 0,1 1,6 6,4 20,1 100,0 71,8 519
Moyen 47,3 6,9 25,9 0,2 1,6 6,5 11,5 100,0 80,1 528
Quatrième 50,9 8,7 14,6 1,0 4,6 9,3 10,8 100,0 74,3 511
Le plus élevé 46,8 10,9 24,0 0,2 1,6 9,2 7,4 100,0 81,6 410
Ensemble 45,5 7,1 20,4 0,6 2,1 7,7 16,5 100,0 73,1 2 456
1
Sont incluses les femmes qui ont eu un examen postnatal dispensé par un médecin (gynécologue/autre médecin), une sage-femme, un (une) infirmier/infirmière
assistant(e), une matrone ou une accoucheuse traditionnelle
2
Y compris les femmes qui ont eu un examen postnatal apprès 41 jours
1
Sont inclus les nouveau-nés qui ont eu un examen postnatal dispensé par un médecin (gynécologue/autre médecin), une sage-femme, un (une)
infirmier/infirmière assistant(e), une matrone ou une accoucheuse traditionnelle
2
Y compris les nouveau-nés qui ont eu un examen après la première semaine
1
Concerne les nouveau-nés qui ont été pesés “à la naissance”. Il se peut que certains nouveau-nés pesés au cours des 2 jours après
la naissance aient été exclus.
L
es données sur la santé et la survie des enfants peuvent aider les décideurs et les responsables de
programmes à évaluer l’efficacité des stratégies actuelles, à élaborer des interventions appropriées
pour prévenir les décès causés par les maladies infantiles et améliorer la santé des enfants au
Gabon.
Ce chapitre présente les résultats concernant le poids à la naissance et la couverture vaccinale des jeunes
enfants. Les données sur la prévalence et les traitements des trois maladies infantiles les plus courantes,
comme les symptômes d’infections respiratoires aiguës (IRA), la fièvre et la diarrhée, y sont aussi
analysées. En outre, étant donné l’importance des pratiques hygiéniques appropriées dans la prévention et
la réduction des maladies diarrhéiques, ce chapitre présente aussi les résultats sur l’évacuation des selles
des enfants.
Lors de cette enquête, le poids et la taille des naissances vivantes ayant eu lieu au cours des 5 années ayant
précédé l’interview ont été recueillis, soit sur la base d’un enregistrement écrit, soit sur l’estimation donnée
par la mère de la grosseur de l’enfant à la naissance. Bien que subjective, cette estimation peut être
considérée comme une mesure indirecte de la taille de l’enfant.
Le Tableau 10.1 présente les résultats concernant le poids et la taille de l’enfant à la naissance selon
certaines caractéristiques sociodémographiques. On note que le pourcentage de toutes les naissances
vivantes dont le poids a été déclaré par la mère est de 93 % ; selon l’estimation de la mère 81 % des
enfants étaient moyens, plus gros que la moyenne ou très gros. Parmi les naissances dont on connait le
poids, 14 % étaient de faible poids à la naissance, c’est-à-dire inférieur à 2,5 kg.
Tendances : Entre 2000 et 2019–21, le pourcentage de naissances dont le poids déclaré à la naissance est
inférieur à 2,5 kg n’a pratiquement pas varié, passant de 13 % en 2000 à 14 % en 2012 ou en 2019–21.
▪ Le pourcentage de naissances dont le poids est connu est plus faible en milieu rural qu’en milieu
urbain (78 % contre 94 %) ; dans les provinces, il varie de 68 % dans l’Ogooué-Ivindo à 97 % à Port-
Gentil et dans l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil).
▪ C’est dans le Haut-Ogooué que le pourcentage de naissances pesant moins de 2,5 kg est le plus élevé
(17 %) et à Port-Gentil qu’il est le plus faible (11 %).
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, le pourcentage de naissances de faible
poids a tendance à diminuer, passant de 18 % à 7 %.
Le Programme Élargi de Vaccination mis en œuvre par le ministère de la Santé et des Affaires Sociale cible
principalement les enfants de 0 à 11 mois et les femmes enceintes. Le calendrier vaccinal du PEV
comporte les vaccins suivants : (i) le vaccin BCG contre la Tuberculose, (ii) le vaccin DTCoq-HepB-Hib
(Pentavalent) contre la Diphtérie, le Tétanos, la Coqueluche, l’Hépatite B et les infections à Haemophilus
Influenzae type b, (iii) le vaccin oral contre la Poliomyélite, (iv) le vaccin antipoliomyélitique inactivé,
(v) le vaccin contre la rougeole, (vi) le vaccin contre la Fièvre Jaune, (vii) le vaccin Td contre le Tétanos et
la Diphtérie chez la femme enceinte.
La vaccination est mise en œuvre au niveau périphérique par les différentes structures sanitaires publiques,
parapubliques et privées. En 2021, le Programme Élargi de Vaccination comptait dans l’ensemble du pays,
120 centres de vaccinations dont 98 publics et 22 privés. En dehors des centres de vaccination PEV, il
existe des sites de vaccination privés non PEV qui vaccinent également les enfants et utilisent des vaccins
qui ne proviennent pas du système d’approvisionnement de l’État.
Au cours de l’enquête EDSG-III 2019–21, l’état vaccinal des enfants de 12-23 mois a été enregistré sur la
base du carnet de vaccination ou de la déclaration de la mère lorsque le carnet de santé n’était pas
disponible.
Conformément aux recommandations de l’OMS suivies par le PEV, on considère qu’un enfant a reçu tous
les vaccins de base s’il a reçu :
▪ Dans les formations sanitaires du privé PEV et du public : une dose de vaccin BCG, trois doses de
DTCoq-HepB-Hib (Pentavalent), trois doses de vaccin oral contre la Polio (non compris le vaccin
contre la Poliomyélite donné à la naissance), et une dose de vaccin contre la rougeole ;
▪ Dans les formations sanitaires du privé non PEV : une dose de vaccin BCG, trois doses de Pentaxim
(DTC-Hib -Polio (non compris le vaccin contre la Poliomyélite donné à la naissance)), trois doses de
Euvax (HepB), et une dose de vaccin contre la rougeole.
Au Gabon, selon les résultats de l’EDSG-III, 44 % des enfants de 12-23 mois ont reçu tous les vaccins de
base à n’importe quel moment avant l’enquête et 33 % les avaient reçus à l’âge approprié (Tableau 10.2).
À l’opposé, 10 % des enfants de 12–23 mois n’ont reçu aucun vaccin.
▪ C’est dans l’Ogooué-Ivindo que la couverture vaccinale de base des enfants de 12–23 mois est la plus
faible (29 %) et dans la Nyanga qu’elle est la plus élevée (59 %) (Carte 10.1).
▪ La couverture vaccinale des enfants varie avec Graphique 10.3 Couverture vaccinale
le niveau d’instruction de la mère, passant de par bien-être économique du ménage
29 % parmi les enfants dont la mère a le niveau Pourcentage d’enfants de 12–23 mois
primaire à 60 % parmi ceux dont elle a le niveau ayant reçu tous les vaccins de base à
supérieur. n’importe quel moment avant l’enquête
▪ Les pourcentages d’enfants ayant déjà eu un carnet de vaccination sont plus faibles en milieu rural
qu’en milieu urbain (88 % contre 96 %).
Le Tableau 10.5 montre que 1 % des enfants de moins de 5 ans ont présenté des symptômes d’IRA au
cours des deux semaines ayant précédé l’interview. Des conseils ou un traitement ont été recherchés dans
95 % des cas. Pour 47 % des enfants ayant présenté des symptômes d’IRA, ces conseils ou traitement ont
été recherchés rapidement, c’est-à-dire le jour même ou le jour suivant l’apparition des symptômes.
C’est dans le secteur public (65 %), principalement dans les hôpitaux ou dans les centres de santé du
gouvernement (64 %), que l’on a recherché un traitement ou des conseils pour traiter les IRA des enfants
(Tableau 10.6). Pour 41 % des enfants, les conseils ou le traitement ont été recherchés dans le secteur
médical privé, essentiellement dans les pharmacies (38 %).
10.4 FIÈVRE
La fièvre est une manifestation majeure du paludisme et d’autres infections aiguës chez les enfants. Dans
la mesure où elle compte parmi les signes généraux d’une maladie qui peut survenir toute l’année, elle
contribue à la morbidité et la mortalité chez les jeunes enfants. La prise en charge rapide (dans les 24 à 48
heures) de la fièvre chez l’enfant est donc capitale pour la réduction de la morbidité et de la mortalité
infanto-juvénile.
La prévalence de la fièvre a été estimée en demandant aux mères si leurs enfants de moins de 5 ans avaient
eu de la fièvre au cours des 2 semaines ayant précédé l’interview.
Traitement de la fièvre
Enfants avec de la fièvre pour lesquels on a recherché des conseils ou un
traitement.
Échantillon : Enfants de moins de 5 ans ayant eu de la fièvre au cours des 2
semaines ayant précédé l’enquête
Dans l’ensemble, 22 % des enfants de moins de 5 ans ont eu de la fièvre dans la période considérée. Des
conseils ou un traitement ont été recherchés pour 76 % de ces enfants, et dans 45 % des cas, la démarche a
été effectuée rapidement (le jour même où le jour suivant). En outre, 17 % ont été traités avec des
antibiotiques.
▪ La prévalence de la fièvre est élevée dans le groupe d’âges 12–23 mois (30 %).
▪ Le pourcentage d’enfants pour lesquels on a recherché un traitement ou des conseils pour la fièvre, le
jour même ou le suivant, est plus faible en milieu rural qu’en milieu urbain (31 % contre 46 %).
▪ Le pourcentage d’enfants pour lesquels on a recherché un traitement ou des conseils pour la fièvre, le
jour même ou le suivant, varie de 30 % dans l’Ogooué-Ivindo à 63 % dans le Haut-Ogooué.
▪ Du point de vue du quintile de bien-être économique, les résultats montrent que le pourcentage
d’enfants pour lesquels on a recherché un traitement ou des conseils le jour même ou le suivant varie
de 35 % dans le second quintile à 60 % dans le quatrième.
▪ Le pourcentage d’enfants dont la fièvre a été traitée avec des antibiotiques augmente avec le niveau
d’instruction de la mère, passant de 6 % parmi les enfants dont la mère n’a aucun niveau d’instruction
à 26 % parmi ceux dont elle a le niveau supérieur.
Le Tableau 10.8 montre que 17 % des enfants de moins de 5 ans ont eu un épisode de diarrhée au cours
des deux semaines ayant précédé l’interview. Des conseils ou un traitement ont été recherché pour 57 % de
ces enfants.
▪ C’est dans les provinces de la Nyanga (19 %), de Libreville (20 %), et de l’Ogooué Lolo (20 %) que
l’on enregistre les prévalences les plus élevées de la diarrhée. À l’opposé, c’est dans le Woleu-Ntem
qu’elle est la plus faible (12 %).
▪ Le pourcentage d’enfants pour lesquels on a recherché des conseils ou un traitement durant l’épisode
diarrhéique augmente avec le niveau d’instruction de la mère, passant de 45 % parmi les enfants dont
la mère a le niveau primaire à 76 % parmi ceux dont elle a le niveau supérieur.
C’est dans le secteur médical privé (62 %), principalement dans une pharmacie (57 %), que l’on a
recherché le plus fréquemment un traitement ou des conseils pour traiter la diarrhée des enfants (Tableau
10.11). Pour 35 % des enfants, les conseils ou le traitement ont été recherchés dans le secteur médical
public, essentiellement dans les hôpitaux ou dans les centres de santé du gouvernement (28 %).
▪ Le pourcentage d’enfants dont la diarrhée a été traitée au moyen d’une TRO est plus élevé en milieu
urbain (56 %) qu’en milieu rural (39 %).
▪ Le pourcentage d’enfants dont la diarrhée a été traitée au moyen d’une TRO varie d’un maximum de
75 % dans la ville de Port-Gentil à un minimum de 11 % dans le Woleu-Ntem.
▪ Le recours à la TRO pour traiter la diarrhée parmi les enfants de moins de 5 ans augmente avec le
niveau d’instruction de la mère de 43 % quand elle a le niveau primaire à 71 % quand elle a le niveau
supérieur.
Le SRO est un moyen simple et efficace permettant de réduire la déshydratation causée par la diarrhée. Le
Tableau 10.12 présente le pourcentage de femmes de 15–49 ans ayant eu une naissance vivante au cours
des 5 années précédant l’enquête qui connaissent les sachets de SRO ou les liquides SRO préconditionnés
pour le traitement de la diarrhée. Il ressort de ce tableau que 23 % des femmes connaissent les sachets de
SRO ou les liquides SRO préconditionnés.
▪ Le pourcentage de femmes qui connaissent les sachets de SRO augmente avec l’âge, passant de 14 %
parmi celles de 15–19 ans à 24 % parmi celles de 35–49 ans.
▪ La connaissance des sachets de SRO est plus élevée parmi les femmes du milieu urbain (23 %) que
parmi celles du milieu rural (20 %).
22 17
1
Le respect des règles d’hygiène lors de l’évacuation des selles des enfants évite la propagation de certaines
maladies comme le choléra, l’amibiase et la typhoïde. On considère que les matières fécales des enfants
sont évacuées de manière appropriée si l’enfant utilise les toilettes ou les latrines, si les matières fécales
sont jetées ou rincées dans des toilettes ou des latrines ou si elles sont enterrées.
Au Gabon, dans seulement 28 % des cas, on s’est débarrassé de manière appropriée des selles des enfants
les plus jeunes de moins de 2 ans. Dans 5 % des cas, l’enfant a utilisé des toilettes ou latrines et dans 23 %
des cas, les selles ont été jetées dans des toilettes ou latrines. À l’opposé, pour 69 % des enfants, elles ont
été jetées aux ordures, ou jetées dans les égouts/caniveaux (1 %) (Tableau 10.13).
▪ Dans les ménages disposant d’installations sanitaires améliorées, les selles des enfants ont été
évacuées de manière appropriée dans 26 % des cas contre 33 % dans les ménages disposant
d’installations sanitaires non améliorées.
▪ C’est dans la province du Woleu-Ntem que l’on constate le pourcentage le plus faible d’enfants dont
les selles ont été évacuées de manière appropriée (18 %) ; à l’opposé, ce pourcentage est plus élevé
dans la province de la Ngounié (47 %).
▪ Le pourcentage d’enfants pour lesquels on s’est débarrassé des selles de manière appropriée diminue
avec le niveau d’instruction de la mère, passant de 39 % quand la mère n’a aucun niveau d’instruction
à 22 % quand elle a le niveau supérieur.
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, le pourcentage d’enfants pour lesquels
on s’est débarrassé des selles de manière appropriée diminue, passant respectivement de 31 % à 18 %.
1
Basé soit sur un enregistrement écrit, soit sur la déclaration de la mère
na = non applicable
BCG = Bacille Calmette-Guérin ; VPO=Vaccin Polio Oral ; VPI = Vaccin Polio Inactivé ; DTCoq = Diphthérie-
tétanos-coqueluche ; HepB = Hépatite B
1
Carnet, carte de vaccination, livret ou autre enregistrement écrit
2
Reçu avant l’âge de 12 mois
3
Pour les enfants dont les informations sur la vaccination sont basées sur la déclaration de la mère, la date de la
vaccination n’est pas collectée. On considère que les proportions de vaccins donnés au cours de la première et de
la deuxième année sont les mêmes que pour les enfants possédant un enregistrement écrit des vaccins.
4
BCG, trois doses d’un vaccin contenant les antigènes du DTCoq, trois doses d’un vaccin contenant les antigènes
de la polio (Vaccin Polio Oral (VPO) ou Vaccin Polio Inactivé (VPI) et une dose de vaccin contre la rougeole
5
BCG, trois doses d’un vaccin contenant les antigènes du DTCoq, trois doses d’un vaccin contenant les antigènes
de l’hépatite B, une dose de vaccin polio oral donné à la naissance, trois doses d’un vaccin contenant les antigènes
de la polio (Vaccin Polio Oral (VPO) ou Vaccin Polio Inactivé (VPI), une dose supplémentaire de VPI, une dose de
vaccin contre la rougeole, et une dose de vaccin contre la fièvre jaune
Note : On considère que les enfants ont reçu le vaccin si le vaccin est enregistré sur le carnet de vaccination ou si la mère a déclaré que l’enfant l’avait reçu. Pour les
enfants dont les informations sont basées sur la déclaration de la mère, la date de la vaccination n’est pas collectée. On suppose que les proportions de vaccinations
données pendant la première et la deuxième année sont les mêmes que pour les enfants possédant un enregistrement écrit des vaccinations.
BCG = Bacille Calmette-Guérin ; VPO=Vaccin Polio Oral ; VPI = Vaccin Polio Inactivé ; DTCoq = Diphthérie-tétanos-coqueluche ; HepB = Hépatite B
1
Polio 0 est le vaccin contre la polio donné à la naissance.
2
BCG, trois doses d’un vaccin contenant les antigènes du DTCoq, trois doses d’un vaccin contenant les antigènes de la polio (Vaccin Polio Oral (VPO) ou Vaccin Polio
Inactivé (VPI)) et une dose de vaccin contre la rougeole
3
BCG, trois doses d’un vaccin contenant les antigènes du DTCoq, trois doses d’un vaccin contenant les antigènes de l’hépatite B, une dose de vaccin polio oral donné
à la naissance, trois doses d’un vaccin contenant les antigènes de la polio (Vaccin Polio Oral (VPO) ou Vaccin Polio Inactivé (VPI)), une dose supplémentaire de VPI,
une dose de vaccin contre la rougeole, et une dose de vaccin contre la fièvre jaune
4
Carnet, carte de vaccination, livret ou autre enregistrement écrit
Pourcentage d’enfants de 12–23 mois qui ont déjà eu un carnet de vaccination et pourcentage avec un
carnet de vaccination qui a été vu, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–
21
Enfants de 12–23 mois
Pourcentage ayant Pourcentage avec un
Caractéristique déjà eu un carnet de carnet de vaccination
sociodémographique vaccination1 qui a été vu1 Effectif d’enfants
Sexe
Masculin 93,5 69,4 655
Féminin 96,7 70,3 634
Rang de naissance
1 95,9 71,5 320
2–3 95,0 68,3 554
4–5 94,9 68,2 290
6+ 93,8 76,0 125
Résidence
Port Gentil/Libreville 96,0 73,3 752
Autres villes 95,4 66,6 427
Ensemble urbain 95,8 70,9 1 179
Rural 87,8 58,3 111
Province
Libreville 95,6 73,0 607
Port-Gentil 97,6 74,5 144
Estuaire (sans Libreville) 95,0 61,2 165
Haut-Ogooué 97,1 63,2 95
Moyen-Ogooué 94,0 63,4 35
Ngounié 90,1 63,3 64
Nyanga 90,4 68,2 20
Ogooué-Ivindo 84,3 62,2 30
Ogooué-Lolo 96,8 72,8 34
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 93,4 72,6 12
Woleu-Ntem 93,8 71,9 82
Niveau d’instruction de la mère
Aucun 89,6 61,6 102
Primaire 95,0 76,5 174
Secondaire 1er cycle 94,1 69,0 582
Secondaire 2e cycle 96,0 66,1 242
Supérieur 99,9 75,3 190
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 88,9 59,5 229
Second 95,2 68,3 302
Moyen 94,7 74,6 290
Quatrième 100,0 66,2 278
Le plus élevé 95,8 82,5 190
Ensemble 95,1 69,8 1 289
1
Carnet, carte de vaccination, livret ou autre enregistrement écrit
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés
et qu’elle a été supprimée.
1
Les symptômes d’IRA incluent une respiration courte et rapide associée à des problèmes de congestion dans la poitrine et/ou des difficultés respiratoires
associées à des problèmes de congestion dans la poitrine.
2
Sont inclus les conseils ou traitements fournis par : Secteur public, secteur médical privé, boutique, marché et vendeur de médicament itinérants. Ne sont pas
pris en compte ici les conseils ou traitements fournis par un praticien traditionnel ou un ”Nganga (devin-guérisseur au Gabon)”
3
Y compris l’herbe, les arbustes et les résidus agricoles
1
Les symptômes d’IRA incluent une respiration courte et rapide associée à des
problèmes de congestion dans la poitrine et/ou des difficultés respiratoires
associées à des problèmes de congestion dans la poitrine.
1
Sont inclus les conseils ou traitements fournis par : secteur public, secteur médical privé, boutique, marché et vendeur de médicament itinérants. Non compris
les conseils ou traitements fournis par un praticien traditionnel ou un “Nganga (devin-guérisseur au Gabon)”.
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur
est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Sont inclus les conseils ou traitements fournis par : secteur public, secteur médical privé, boutique, marché et vendeur
de médicament itinérants. Non compris les conseils ou traitements fournis par un praticien traditionnel ou un “Nganga
(devin-guérisseur au Gabon)”.
2
Se référer au Tableau 2.1.1 pour la définition des catégories.
3
Se référer au Tableau 2.3.1 pour la définition des catégories.
Note : Il est recommandé, pendant les épisodes diarrhéiques, de donner davantage de liquides à l’enfant et de ne pas réduire les rations alimentaires. Les valeurs entre
parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
À suivre…
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
SRO = Sels de réhydratation par voie orale
1
Solution Maison Recommandée inclut “Eau de riz”.
2
Par poursuite de l’alimentation, on entend ici les enfants à qui on a donné davantage de nourriture que d’habitude, la même quantité ou un peu moins que d’habitude pendant les épisodes diarrhéiques.
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
1
On considère que les matières fécales des enfants sont évacuées de manière appropriée si l’enfant utilise les toilettes ou les latrines, si les matières fécales sont jetées ou
rincées dans des toilettes ou des latrines ou si elles sont enterrées.
2
Se référer au tableau 2.3.1 pour la définition des catégories.
E n dépit d’un fort potentiel naturel, le Gabon, comme ses voisins d’Afrique centrale, est confronté
aux problèmes d’insécurité alimentaire et nutritionnelle. Ils sont le résultat d’une association
complexe de facteurs interdépendants, généralement liés à la disponibilité alimentaire, la stabilité de
l’offre, l’accès à la nourriture, la consommation des aliments, la santé, l’eau, l’hygiène et l’assainissement,
l’éducation, aux us et coutumes, aux relations hommes-femmes, à l’équité sociale et plus généralement au
contexte social et à l’environnement local.
Le Gabon fait également face, dans sa population, au double fardeau de la malnutrition par carence et par
excès. Quatre décennies auparavant, les problèmes de malnutrition étaient généralement dus à des carences
nutritionnelles, plus particulièrement chez les enfants de moins de 5 ans. Depuis quelques années, on
constate une augmentation progressive des cas de surpoids et d’obésité aussi bien chez les enfants que chez
Parmi les principales causes liées aux problèmes d’alimentation on peut citer, entre autres :
▪ La méconnaissance par les familles des bases d’une bonne alimentation, certaines coutumes,
l’influence familiale en faveur de l’usage de substituts du lait maternel garantissant l’image d’un
certain niveau de statut social, les publicités en faveur des produits émanant de l’industrie alimentaire.
▪ Une perte d’attrait pour l’agriculture qui n’occupe qu’un sixième de la population et qui perd chaque
année des actifs dont la plupart est drainée vers les centres urbains à travers le phénomène d’exode
rural qui désertifie les villages.
▪ La survenue de pathologies telles que le VIH et plus récemment la pandémie Covid-19 qui ont aggravé
les problèmes en matière de malnutrition (pertes d’emploi, décès de chefs de famille, baisse de revenus
financiers des familles).
▪ L’accroissement des maladies chroniques non transmissibles (HTA, AVC, diabète, obésité, cancers) lié
en grande partie aux changements dans nos modes de vie et d’alimentation.
▪ Le Gouvernement gabonais a fait de la lutte contre l’insécurité alimentaire et nutritionnelle une priorité
nationale. Ainsi, de nombreuses actions ont été menées depuis quelques années, via une implication
concertée et synergique de l’ensemble des secteurs et des acteurs concernés par ces thématiques.
Ce chapitre concerne l’état nutritionnel des enfants et des adultes et il présente la prévalence de l’anémie
parmi les enfants et les adultes (femmes et hommes de 15–49 ans). En outre, les pratiques alimentaires du
nourrisson et du jeune enfant, comme l’allaitement et l’alimentation de complément ainsi que la
supplémentation en micronutriments et le déparasitage parmi les enfants et les femmes enceintes
constituent d’autres sujets abordés dans ce chapitre. La fin de ce chapitre est consacrée à la présentation
des résultats concernant la disponibilité de sel iodé pour la cuisine dans les ménages.
Le retard de croissance qui se traduit par une taille trop petite par rapport à l’âge, est un signe de
malnutrition chronique qui résulte d’une alimentation inadéquate sur une longue période. Les causes les
plus directes du retard de croissance sont, d’une part une alimentation inappropriée et d’autre part, des
infections récurrentes ou des maladies chroniques qui ont pour conséquence un faible apport nutritionnel
ainsi qu’une absorption et une utilisation insuffisantes des aliments. Une alimentation inappropriée est
caractérisée par des quantités de nourriture insuffisante et/ou des aliments pauvres en micronutriments dont
le faible contenu énergétique ne favorise pas la croissance.
L’émaciation qui se traduit par un poids trop faible par rapport à la taille est une mesure de la malnutrition
aiguë. Cette dernière est la conséquence de carences alimentaires pendant la période précédant
immédiatement l’enquête. L’émaciation peut être causée par un régime alimentaire inadéquat, caractérisé
par des rations alimentaires insuffisantes ou elle peut être consécutive à des épisodes récents de maladies
ou d’infections qui provoquent une perte de poids.
Le surpoids qui se traduit par un poids trop important par rapport à la taille est une mesure de la
surnutrition qui est le résultat d’un déséquilibre entre les calories consommées (en trop grandes quantités)
et celles dépensées (trop peu).
L’insuffisance pondérale qui se traduit par un poids trop faible par rapport à l’âge, est un indice combiné
du poids-pour-taille et de la taille-pour-âge, reflétant à la fois la malnutrition aiguë (émaciation) et la
malnutrition chronique (retard de croissance).
Les moyennes des z scores pour la taille-pour-âge, le poids-pour taille et le poids-pour-âge sont aussi
calculées comme une statistique résumée représentant l’état nutritionnel des enfants dans une population.
Ces scores moyens décrivent l’état nutritionnel de toute la population des enfants sans l’utilisation d’un
seuil. Un z score moyen de moins de 0 (c’est-à-dire, une valeur moyenne négative pour le retard de
croissance, l’émaciation ou l’insuffisance pondérale) suggère un décalage vers le bas de l’état nutritionnel
de toute la population de l’échantillon par rapport à la population de référence. Plus les z scores moyens
sont éloignés de 0, plus la prévalence de la sous-nutrition sera élevée.
Des techniciens en santé ont été formés pour prendre les mesures de la taille et du poids des enfants et des
adultes. La formation sur la mesure de la taille des enfants a comporté des tests de standardisation pendant
la première phase de la formation. Les enfants de moins de 2 ans ont été mesurés en position couchée
(longueur) tandis que ceux âgés de 2 ans ou plus et les adultes ont été mesurés debout (taille) ; Le poids a
été mesuré avec une balance électronique SECA avec affichage numérique (numéro de modèle SECA
878). La taille et la longueur ont été mesurées à l’aide d’une toise graduée ShorrBoard®.
Dans l’ensemble, les résultats de l’enquête montrent qu’au Gabon, un peu plus d’un enfant de moins de 5
ans sur dix (14 %) accuse un retard de croissance ou est atteint de malnutrition chronique (il est trop petit
pour son âge) et 5 % ont un retard de croissance sévère. Trois pour cent sont émaciés ou souffrent de
malnutrition aiguë (ils sont trop maigres par rapport à leur taille) et 1 % le sont sous la forme sévère. Cinq
pour cent des enfants de moins de 5 ans présentent une insuffisance pondérale (ils sont trop maigres par
rapport à leur âge) et la forme sévère touche 1 % des enfants (Tableau 11.1).
▪ Le pourcentage d’enfants de moins de 5 ans malnutris varie avec la grosseur de l’enfant à la naissance.
Le retard de croissance touche 30 % de ceux nés très petits contre 12 % de ceux qui étaient moyens ou
plus gros que la moyenne à la naissance. L’émaciation touche 11 % des enfants nés très petits contre
3 % de ceux qui étaient moyens ou plus gros que la moyenne à la naissance. Quant à l’insuffisance
pondérale, elle affecte 21% des enfants de moins de 5 ans très petits à la naissance contre 4 % de ceux
qui étaient moyens ou plus gros que la moyenne à la naissance.
▪ Le pourcentage d’enfants présentant une insuffisance pondérale est plus faible chez ceux dont la mère
est en surpoids/obèse par rapport à ceux dont l’état nutritionnel de la mère est normal (2 % contre
8 %).
▪ Les résultats selon la province montrent que c’est dans l’Ogooué-Ivindo (38 %), l’Ogooué-Lolo
(27 %), la Ngounié (25 %) et le Haut-Ogooué (24 %) que l’on enregistre les pourcentages les plus
élevés de retard de croissance (malnutrition chronique) chez les enfants (Carte 11.1).
L’initiation précoce de l’allaitement dans l’heure suivant la naissance est importante, tant pour la mère que
pour l’enfant. Le premier lait maternel contient le colostrum qui est très riche d’un point de vue
nutritionnel et qui contient les anticorps qui protègent le nouveau-né des maladies. L’initiation précoce de
l’allaitement encourage aussi le lien affectif entre la mère et son nouveau-né et, en outre, il facilite la
production régulière de lait maternel.
Au Gabon, selon l’EDSG-III, 93 % des enfants derniers-nés dont la naissance a eu lieu au cours des deux
années précédant l’enquête ont été allaités. Cependant, on note que seulement 70 % l’ont été dans l’heure
qui a suivi leur naissance et près d’un dernier-né sur deux (47 %) a reçu des aliments avant d’être allaité
(Tableau 11.2).
Tendances
▪ Entre 2000 et 2019–21, le pourcentage d’enfants derniers-nés, dont la naissance a eu lieu au cours des
deux années avant l’enquête, qui ont été allaités a augmenté, passant de 88 % en 2000 à 90 % en 2012
et à 93 % en 2019–21.
▪ Entre 2000 et 2012, le pourcentage d’enfants allaités dans l’heure qui a suivi la naissance a diminué de
manière importante, passant de 61 % à 32 %. Cependant, depuis 2012, on constate une augmentation,
le pourcentage étant passé de 32 % à 70 %, soit un pourcentage supérieur à celui de 2000.
▪ Entre 2012 et 2019–21, le pourcentage d’enfants qui ont reçu des aliments avant d’être allaités a
augmenté, passant de 42 % à 47 %.
▪ Le pourcentage d’enfants derniers-nés allaités dans l’heure qui a suivi la naissance est plus élevé
quand l’accouchement a été assisté par une sage-femme traditionnelle (77 %) que par du personnel de
santé (71 %) ou par une autre catégorie de personnel (61 %).
▪ L’allaitement dans l’heure qui suit la naissance est plus fréquent quand l’accouchement a eu lieu dans
un établissement de santé (71 %) qu’à la maison (65 %).
▪ Les résultats selon la province montrent que c’est l’Ogooué-Ivindo (91 %), la Nyanga (81 %) et le
Moyen-Ogooué (80 %) qui présentent les pourcentages les plus élevés d’enfants derniers-nés, allaités
dans l’heure qui a suivi la naissance. Cette pratique est moins fréquente dans l’Ogooué-Lolo (46 %).
Le lait maternel contient tous les nutriments nécessaires à l’enfant pendant les 6 premiers mois. Pendant
cette période, il est recommandé que les enfants ne reçoivent rien d’autre que le lait maternel, c’est-à-dire
qu’ils soient exclusivement allaités. L’allaitement exclusif pendant les 6 premiers mois permet de prévenir
les infections comme la diarrhée et les maladies respiratoires et fournit tous les nutriments et les liquides
nécessaires à la croissance et au développement optimal de l’enfant. Donner des aliments de complément
avant l’âge de 6 mois aura l’effet inverse de réduire la production de lait, celle-ci étant stimulée par la
fréquence et l’intensité de la succion.
Allaitement exclusif
Proportion d’enfants de 0–5 mois qui sont exclusivement allaités au sein.
Échantillon : Enfants derniers-nés dont la naissance a eu lieu 2 ans avant
l’enquête
Les résultats concernant les Graphique 11.3 Pratiques d’allaitement par âge
pratiques d’allaitement des enfants Pourcentage d’enfants de moins de 2 ans
selon l’âge sont présentés au 100 Pas
Tableau 11.3 et au d’allaitement
Graphique 11.3. Dans l’ensemble, 80 Allaitement et aliments
moins d’un enfant de moins de 6 de complément
mois sur cinq (19 %) est 60
exclusivement allaité au sein 40 Allaitement
(Tableau 11.4) et contrairement exclusif
aux recommandations en la 20
matière, on constate que 48 % des
enfants de moins de six mois 0
<2 2–3 4–5 6–8 9–11 12–17 18–23
reçoivent d’autres laits, 11 %
Âge en mois
reçoivent, en plus du lait maternel,
de l’eau seulement et 11 % des aliments de complément.
Tendances : Entre 2012 et 2019–21, le pourcentage d’enfants de moins de six mois exclusivement allaités
a nettement augmenté, passant de 6 % à 19 %.
Le Tableau 11.5 montre que la durée médiane de l’allaitement maternel parmi les enfants nés au cours des
3 années ayant précédé l’enquête est de 11,4 mois. En moyenne, un enfant est allaité pendant 12,5 mois.
Quand à l’allaitement exclusif, il dure en moyenne 2,3 mois et l’allaitement prédominant, c’est-à-dire,
exclusivement allaité ou allaité et recevant de l’eau plate et/ou des liquides non lactés, dure, en moyenne,
3,3 mois.
▪ La durée médiane de l’allaitement est plus longue en milieu rural (14,3 mois) qu’en milieu urbain
(11,2 mois).
▪ Selon la province, elle est très courte dans l’Estuaire (sans Libreville) (6,9 mois) et plus longue dans
l’Ogooué-Ivindo (13,9 mois) et le Moyen-Ogooué (12,8 mois).
▪ La durée médiane de l’allaitement diminue avec le niveau d’instruction de la mère, passant de 14,2
mois chez les enfants dont la mère n’a aucun niveau d’instruction à 10,9 mois chez ceux dont elle a le
niveau secondaire 2e cycle.
La tétine du biberon peut facilement être contaminée et par conséquent accroitre les risques de maladies
parmi les enfants nourris au biberon. L’utilisation du biberon n’est donc pas recommandée pour nourrir les
enfants de moins de 2 ans (OMS 2005).
Alimentation au biberon
Proportion d’enfants de 0–23 mois qui sont nourris avec un biberon.
Échantillon : Enfants derniers-nés dont la naissance a eu lieu 2 ans avant
l’enquête
Au Gabon, pratiquement un enfant de 0–23 mois sur deux (48 %) est nourri au biberon (Tableau 11.4).
▪ Le pourcentage d’enfants de moins de 2 ans vivant avec leur mère et nourris avec le biberon varie
selon l’âge, passant de plus de 62 % ou plus avant 9 mois à 60 % à 9–11 mois et à 23 % à 18–23 mois
(Tableau 11.3).
Après l’âge de 6 mois, le lait maternel n’est plus suffisant pour couvrir les besoins nutritionnels d’un
enfant. À partir de cet âge, des aliments de complément adaptés doivent donc être introduits dans
l’alimentation de l’enfant tout en continuant de l’allaiter jusqu’à l’âge de 2 ans ou plus. Cette période de
transition entre l’allaitement exclusif et une alimentation diversifiée familiale a lieu à un moment où les
enfants sont les plus vulnérables à la malnutrition et il est donc important qu’ils reçoivent, pendant cette
période, des aliments solides, semi-solides ou mous.
Une alimentation de complément appropriée doit être variée pour satisfaire tous les besoins en nutriments
de l’enfant. Les fruits et les légumes riches en vitamine A doivent être consommés quotidiennement.
Manger des fruits et des légumes, en plus de ceux qui sont riches en vitamine A, est tout aussi important.
Des études ont montré qu’une alimentation de complément qui ne comprendrait que des légumes est
insuffisante pour couvrir les besoins en certains micronutriments. Par conséquent, il est recommandé que la
viande, les volailles, le poisson ou les œufs fassent partie de l’alimentation quotidienne, aussi souvent que
possible (OMS 2003).
Les résultats concernant les divers types d’aliments et de liquides reçus, le jour ou la nuit ayant précédé
l’interview, par les enfants de moins de 2 ans vivant avec leur mère, sont présentés dans le Tableau 11.6.
Ces résultats sont présentés selon l’âge pour les enfants allaités et pour ceux qui ne le sont pas. Dans
11.2.6 Diversité alimentaire minimale, fréquence minimale des repas, apport minimum
alimentaire acceptable
Les nouveau-nés et les jeunes enfants doivent recevoir un apport minimum alimentaire acceptable pour
leur garantir une croissance et un développement optimal. Si l’alimentation des nouveau-nés et des enfants
n’est pas diversifiée et s’ils ne sont pas nourris à une certaine fréquence, ils sont vulnérables à la
malnutrition, en particulier au retard de croissance et aux carences en micronutriments et ils sont exposés à
des risques de morbidité et de mortalité plus élevés. La recommandation de l’OMS concernant le minimum
alimentaire acceptable est une combinaison de diversité alimentaire minimale et de fréquence minimale
des repas. La définition des trois indicateurs d’évaluation des pratiques d’alimentation du nourrisson et du
jeune enfant figure dans l’encadré ci-dessous.
La diversité alimentaire est un indicateur indirect de la densité adéquate en micronutriments des aliments.
En consommant des aliments appartenant à, au moins, 5 groupes, l’enfant a une plus grande probabilité de
manger au moins un aliment d’origine animale et au moins un fruit ou légume, en plus d’un aliment de
base comme des céréales, des racines ou des tubercules (OMS 2008). Les 5 groupes d’aliments
proviennent d’une liste de 8 groupes d’aliments : lait maternel ; céréales, racines et tubercules ;
légumineuses et noix ; produits laitiers (lait, yaourt, fromage) ; produits d’origine animale (viande, volaille,
abats et poisson) ; œufs ; fruits et légumes riches en vitamine A ; autres fruits et légumes.
La fréquence minimale des repas est un indicateur indirect de la consommation énergétique de l’enfant. On
considère que les enfants allaités de 6–8 mois reçoivent un nombre minimum de repas s’ils consomment
des aliments solides, semi-solides, ou mous au moins deux fois par jour. On considère que les enfants
allaités de 6–23 mois reçoivent un nombre minimum de repas s’ils consomment des aliments solides, semi-
solides, ou mous, au moins, trois fois par jour. On considère que les enfants non allaités de 6–23 mois
reçoivent un nombre minimum de repas s’ils consomment des aliments solides, semi-solides, ou mous, ou
des produits laitiers au moins, quatre fois par jour et si, au moins un des aliments est un aliment solide,
semi-solide ou mous.
▪ Le pourcentage d’enfants de 6–23 mois ayant reçu un apport minimum alimentaire acceptable est plus
élevé en milieu urbain (16 %) qu’en milieu rural (9 %).
▪ Les résultats selon la province montrent que c’est dans celles du Moyen-Ogooué (26 %) et du Woleu-
Ntem (23 %) que le pourcentage d’enfants de 6–23 mois nourris selon les trois pratiques ANJE est le
plus élevé. À l’opposé, dans celle du Haut-Ogooué (2 %) et de la ville de Port-Gentil (6 %), très peu
d’enfants ont été nourri en suivant ces recommandations.
▪ Le pourcentage d’enfants ayant reçu un apport minimum alimentaire acceptable est plus élevé parmi
ceux dont la mère a le niveau d’instruction supérieur que parmi ceux dont elle n’a aucun niveau
d’instruction (23 % contre 11 %).
Pour comprendre certaines pratiques d’allaitement de l’enfant au Gabon, L’EDSG-III 2019–21 a collecté,
auprès des femmes de 15–49 ans et concernant les enfants derniers-nés au cours des deux années avant
l’enquête, des informations sur la raison du non-allaitement de l’enfant, sur celles qui justifient
l’allaitement de l’enfant et, enfin, pourquoi le premier lait jaune (colostrum) n’a pas été donné à l’enfant.
Pour l’ensemble du pays, 7 % des enfants derniers-nés dont la naissance a eu lieu au cours des deux années
avant l’enquête n’ont pas été allaité (Tableau 11.7.1). Les principales raisons évoquées pour justifier ce
comportement sont les problèmes de santé ou la fatigue (22 %), l’absence de lait (20 %) ou le décès de
l’enfant (10 %). Quatre pour cent des enfants n’ont pas été allaités parce que le lait n’a pas été considéré
comme bon ou même empoisonné et dans 4 %, également, c’est le personnel de santé qui a donné du lait
artificiel (3 %) ou qui l’a conseillé (1 %).
À l’opposé, 46 % des enfants ont été allaités parce c’est une meilleure alimentation pour un bébé et 40 %
parce que le lait maternel est riche en nutriments. Trente-trois pour cent des enfants ont été allaités parce
que c’est un mode d’alimentation naturel pour un bébé. En outre, 29 % des enfants ont été allaités pour
suivre les conseils du personnel de santé. Enfin, pour 12 % d’enfants, la raison avancée a été que
l’allaitement renforce les liens affectifs mère/enfant (Tableau 11.7.2).
Les résultats du Tableau 11.7.3 indiquent que parmi les derniers-nés qui ont été allaités, 63 % ont, en plus
du lait maternel, pris autre chose. Les principales raisons qui expliquent cette pratique sont, surtout,
l’absence de lait (36 %) et la reprise du travail ou de l’école (28 %). La gourmandise de l’enfant a été une
raison avancée pour 19 % des enfants et pour 16 %, c’est la soif qui explique que l’enfant a reçu autre
chose que le lait maternel.
Niveau d’hémoglobine en
Anémie grammes/décilitre*
Anémie <11,0
Anémie légère 10,0–10,9
Anémie modérée 7,0–9,9
Anémie sévère <7,0
Pas d’anémie 11,0 ou plus
* Les niveaux d’hémoglobine sont ajustés en fonction de
l’altitude dans les zones situées au-dessus de 1 000 mètres.
L’anémie est un état pathologique caractérisé par un niveau d’hémoglobine trop faible dans le sang. La
carence en fer est une cause courante d’anémie et on estime qu’elle est responsable, globalement, de la
moitié des anémies chez les femmes et les enfants. L’anémie peut aussi être causée par le paludisme,
l’ankylostome et d’autres helminthes, des carences nutritionnelles, des infections chroniques et des
maladies génétiques comme la thalassémie. L’anémie est un problème de santé grave chez les enfants car
elle peut affecter le développement cognitif, et elle a des répercussions à long terme, en termes de santé et
au niveau économique (Balarajan, 2011). L’anémie sous la forme sévère accroit les risques de mortalité.
Au cours de l’EDSG-III 2019–21, les niveaux d’hémoglobine ont été mesurés à l’aide d’un appareil
HemoCue® Hb 201+ à partir d’échantillons de sang prélevé au doigt ou au talon qui ont été ensuite utilisés
pour déterminer les niveaux d’anémie dans la population.
Globalement, près de sept enfants de 6–59 mois sur Graphique 11.5 Tendance de l’anémie chez
dix sont atteints d’anémie (68 %), environ un tiers les enfants
l’est sous la forme légère (32 %), 35 % sous la forme Pourcentage d’enfants de 6–59 mois
modérée et 2 % sous la forme sévère (Tableau 11.8).
▪ Le pourcentage d’enfants anémiés est plus faible parmi ceux de 36–47 mois (65 %) et 48–59 mois
(60 %) que parmi les plus jeunes parmi lesquels la prévalence varie entre 72 % à 6–8 mois et 75 % à
9–11 mois.
▪ Selon la province, on observe également des écarts. Les enfants les plus anémiés sont ceux de
l’Ogooué-Ivindo (73 %), la Nyanga (73 %), la Ngounié (71 %) et de la ville de Port-Gentil (72 %). À
l’opposé, le Woleu-Ntem (58 %) et l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) (62 %), présentent les
pourcentages les plus faibles d’enfants anémiés (Carte 11.2).
Au Gabon, parmi les 91 % des ménages dans lesquels le sel a été testé, 98 % disposaient de sel iodé
(Tableau 11.9).
▪ La presque totalité des ménages dont le sel a été testé disposent du sel iodé, quelle que soit la
caractéristique considérée.
Les informations collectées sur la consommation d’aliments parmi les enfants de 6–23 mois sont utiles
pour savoir dans quelle mesure les enfants consomment quotidiennement des aliments de groupes riches en
deux micronutriments-clés, le fer et la vitamine A dans leur alimentation quotidienne. Le fer est un
micronutriment qui agit sur un grand nombre de fonctions biologique et sa carence est l’une des causes
principales de l’anémie qui a des conséquences graves sur la santé des enfants. La vitamine A est un
micronutriment essentiel pour le système immunitaire et elle joue un rôle important sur le maintien du tissu
épithélial. Une carence sévère en vitamine A peut causer des lésions oculaires et elle est l’une des causes
les plus importantes de cécité pendant l’enfance. La carence en vitamine A augmente la gravité des
infections comme la rougeole et les maladies diarrhéiques et ralentit la guérison des maladies.
Parmi les enfants derniers-nés de 6–23 mois vivant avec leur mère, 72 % ont consommé des aliments
riches en vitamine A dans les dernières 24 heures et 57 % ont consommé des aliments riches en fer ; parmi
les enfants de 6–59 mois, 22 % ont reçu des suppléments de fer au cours des 7 jours précédant l’enquête,
20 % ont reçu des suppléments de vitamine A dans les 6 derniers mois et près de sept enfants sur dix
(68 %) ont été traités avec des vermifuges dans cette période. En outre, dans 98 % des cas, les enfants de
6–59 mois vivent dans un ménage disposant de sel iodé (Tableau 11.10).
Tendances :
▪ Entre 2012 et 2019–21, le pourcentage d’enfants de 6–59 mois ayant consommé des aliments riches en
vitamine A dans les dernières 24 heures a augmenté, passant de 68 % à 72 % ; le pourcentage ayant
consommé des aliments riches en fer n’a pas varié (57 %). Concernant la supplémentation en vitamine
A, on constate une diminution importante, le pourcentage d’enfants qui en ont bénéficié étant passé de
54 % à 20 % et le pourcentage de ceux qui ont reçu des suppléments de fer a peu varié, passant de
21 % à 22 %. Dans la même période, le pourcentage d’enfants traités avec des vermifuges a
légèrement diminué, passant de 72 % à 68 %.
▪ Les pourcentages d’enfants de 6–23 mois ayant consommé, dans les dernières 24 heures, des aliments
riches en vitamine A et des aliments riches en fer augmentent avec l’âge, passant, respectivement, de
51 % à 6–8 mois, à 85 % à 18–23 mois et de respectivement 30 % à 73 %. On constate une tendance
identique concernant le traitement avec des vermifuges chez les enfants de 6–59 mois, le pourcentage
passant de 23 % à 6–8 mois, à 79 % à 18–23 mois. Au-delà, le pourcentage diminue pour atteindre
69 % à 48–59 mois.
▪ La consommation, dans les dernières 24 heures, d’aliments riches en Vitamine A est plus importante
chez les enfants non allaités (79 %) que chez ceux allaités (60 %). Il en est de même des aliments
riches en fer (66 % contre 43 %) et du traitement avec des vermifuges dans les six derniers mois (71 %
contre 47 %).
▪ Les résultats selon la province montrent que le pourcentage d’enfants ayant consommé, dans les
dernières 24 heures, des aliments riches en vitamine A et des aliments riches en fer est plus élevé au
Woleu-Ntem (respectivement, 80 % et 65 %), à l’Ogooué-Lolo (respectivement, 80 % et 59 %) à
Libreville (respectivement, 77 % et 63 %) que dans le Haut-Ogooué (respectivement, 59 % et 40 %).
▪ Le traitement avec des vermifuges est une pratique courante à Libreville (74 %), à Port-Gentil (71 %)
et à l’Ogooué-Lolo (66 %) contrairement au Moyen-Ogooué (52 %) qui a le pourcentage le plus faible.
État IMC
Trop maigre par rapport à la taille Moins de 18,5
Normal Entre 18,5 et 24,9
Surpoids Entre 25,0 et 29,9
Obèse Supérieur ou égal à 30,0
Échantillon : Femmes de 15–49 ans qui ne sont pas enceintes et qui n’ont
pas eu de naissances dans les 2 mois ayant précédé l’enquête et les hommes
de 15–49 ans
Petite taille
Proportion de femmes dont la taille est inférieure à 145 cm
Échantillon : Femmes de 15–49 ans
L’état nutritionnel des enfants est étroitement lié à celui de leur mère et il est donc important de disposer de
données sur l’état nutritionnel des femmes. Par ailleurs, l’état nutritionnel des femmes en âge de procréer
est un des facteurs déterminants du bon déroulement de la grossesse et de son issue ainsi que de la
mortalité maternelle. En outre, il influe sur la morbidité et la mortalité des jeunes enfants. L’évaluation de
l’état nutritionnel des femmes en âge de procréer est particulièrement utile dans l’identification des
grossesses à risque. Du point de vue anatomique, la taille des mères étant associée à la largeur de leur
bassin, les femmes de petite taille sont plus susceptibles d’avoir des complications pendant la grossesse et
l’accouchement et d’accoucher des enfants de faible poids. La taille généralement admise en dessous de
laquelle une femme peut être considérée à risque est comprise entre 140 et 150 centimètres.
Au cours de l’EDSG-III 2019–21, en vue d’évaluer l’état nutritionnel des femmes en âge de procréer, on a
relevé, dans un sous-échantillon de deux ménages sur trois, les données anthropométriques (la taille et le
poids) des femmes de 15–49 ans. Ces mesures du poids et de la taille ont permis de déterminer l’indice de
masse corporelle (IMC) ou indice de Quételet. L’IMC est calculé en divisant le poids (en kilogrammes) par
le carré de la taille en mètre. Il est exprimé en kilogramme par mètre carré (kg/m2). Le déficit énergétique
chronique chez la femme en âge de procréer est indiqué par les valeurs de l’IMC inférieures à la valeur
seuil (18,5), tandis que le surpoids est indiqué pour les valeurs supérieures ou égales au seuil (25,0). Il
Au Gabon, 8 % des femmes de 15–49 ans présentent Graphique 11.6 État nutritionnel des femmes
un état de maigreur, dans la majorité des cas sous la Répartition (en %) des femmes de
forme légère (6 %) mais pour 2 % des femmes, la 15–49 ans
maigreur est modérée et sévère. À l’opposé, près
d’une sur deux (48 %) sont en surpoids ou obèses, y
Obèse
compris 25 % qui sont obèses. L’IMC moyen des 25 % Maigre
femmes en âge de procréer est estimée à 26,1 et la 8%
proportion des femmes de petite taille avoisine 1 % Surpoids
23 %
(Tableau 11.11.1 et Graphique 11.6).
Poids
Tendances normal
44 %
▪ De 2012 à 2019–21, le pourcentage de femmes
de 15–49 ans présentant un état de maigreur a
légèrement augmenté, passant de 7 % à 8 %.
▪ Le surpoids ou l’obésité touche beaucoup plus les femmes de 15–49 ans de l’Estuaire (sans Libreville)
(52 %), du Woleu-Ntem (51 %), de Port-Gentil (50 %) et de Libreville (50 %). La Ngounié et la
Nyanga enregistrent les pourcentages les plus faibles de femmes en surpoids ou obèses
(respectivement 36 % et 35 %).
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, le pourcentage de femmes en surpoids
ou obèses a tendance à augmenter, passant de 38 % à 57 %. La prévalence de l’obésité est deux fois
plus élevée parmi les femmes du quintile le plus élevé par rapport à celle du quintile le plus bas (31 %
contre 15 %).
Tout comme pour les femmes, l’EDSG-III, a collecté des données anthropométriques (la taille et le poids)
auprès des hommes de 15–64 ans, dans le même sous-échantillon que celui des femmes, pour évaluer aussi
leur état nutritionnel. Ces données du poids et de la taille ont permis de déterminer les mêmes indicateurs
que ceux des femmes.
Comme chez les femmes, 8 % des hommes de 15–49 Graphique 11.8 État nutritionnel
ans présentent un état de maigreur, en majorité sous des hommes
la forme légère (6 %) et, comme chez les femmes, Répartition (en %) des hommes de
2 % sont maigres sous la forme modérée et sévère. À 15–49 ans
l’opposé, 29 % sont en surpoids ou obèses y compris Obèse
8%
8 % qui sont obèses. L’obésité touche trois fois plus Surpoids
les femmes que les hommes (25 % contre 8 %). 21 % Maigre
L’IMC moyen des hommes de 15–49 ans est estimée 8%
à 23,4 (Tableau 11.11.2 et Graphique 11.8).
▪ Du quintile le plus bas au plus élevé, le pourcentage d’hommes en surpoids ou obèses augmente,
passant de 17 % à 40 %.
Au cours de l’EDSG-III 2019–21, les niveaux d’hémoglobine ont aussi été mesurés pour les femmes et les
hommes de 15–49 ans dans le sous-échantillon de deux ménages sur trois.
Les résultats du Tableau 11.12.1 montrent que 65 % des femmes de 15 à 49 ans souffrent d’anémie : 27 %
sous la forme légère, 34 % sous la forme modérée et 4 % sous la forme sévère. Vingt et six pour cent
(26 %) des hommes de 15–49 ans sont anémiés (Tableau 11.12.2).
▪ La prévalence de l’anémie chez les femmes est plus élevée en milieu urbain (65 %) qu’en milieu rural
(62 %). Par contre, chez les hommes, la prévalence de l’anémie est plus élevée en milieu rural qu’en
milieu urbain (30 % contre 25 %).
▪ Le pourcentage de femmes anémiées est plus élevé dans la Nyanga (71 %) et la ville Port-Gentil
(70 %) et elle est plus faible dans le Haut-Ogooué (56 %), l’Ogooué-Ivindo (56 %) et le Woleu-Ntem
(56 %). Chez les hommes, le pourcentage le plus élevé est observé à l’Ogooué-Lolo (31 %) et les plus
faibles au Haut-Ogooué (22 %) et au Woleu-Ntem (22 %).
Au cours de l’EDSG-III 2019–21, des questions ont été posées aux femmes pour savoir si leur
consommation de micronutriments était adéquate. Les résultats sont présentés dans le Tableau 11.13. Il
convient de rappeler que les données portent sur les femmes de 15–49 ans qui ont eu un enfant au cours
des cinq années ayant précédé l’enquête.
Parmi les femmes ayant eu un enfant au cours des cinq années ayant précédé l’EDSG-III, 39 % ont pris du
fer sous forme de comprimés ou sirop pendant au moins 90 jours au cours de la grossesse de leur dernière
naissance. Plus de 4 femmes sur 5 (81 %) ont pris des vermifuges pendant la grossesse de la dernière
naissance. Tout comme chez les enfants de 6–59 mois, 98 % des femmes vivent dans un ménage disposant
de sel iodé.
Tendances : Entre 2012 et 2019–21, le pourcentage de femmes ayant pris du fer pendant au moins 90
jours au cours de leur dernière grossesse a nettement diminué, passant de 57 % à 39 %. Par contre, dans la
même période, le pourcentage de femmes traitées avec des vermifuges pendant la grossesse a augmenté,
passant de 71 % à 81 %.
▪ L’administration de fer pendant au moins 90 jours au cours de la dernière grossesse (40 % en urbain et
31 % en rural) ainsi que le traitement avec des vermifuges (82 % en urbain et 72 % en rural) sont plus
fréquents en milieu urbain qu’en milieu rural.
▪ Les pourcentages des femmes qui ont pris du fer, pendant au moins 90 jours, pendant la dernière
grossesse sont plus élevés à Port-Gentil (58 %), à l’Ogooué-Lolo (53 %) et à la Ngounié (52 %). C’est
à l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) (19 %) et à la Nyanga (15 %) que les pourcentages les plus
faibles sont observés.
▪ Les pourcentages des femmes qui ont pris du fer pendant au moins 90 jours augmentent avec leur
niveau d’instruction, passant de 30 % parmi celles sans niveau d’instruction à 38 % parmi celles ayant
le niveau secondaire 1er cycle et à 46 % parmi celles ayant le niveau supérieur.
Pourcentage d’enfants de moins de 5 ans considérés comme atteints de malnutrition selon les trois indices anthropométriques de mesure de l’état nutritionnel : la taille-
pour-âge, le poids-pour-taille et le poids-pour-âge, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Taille-pour-Âge1 Poids-pour-Taille Poids-pour-Âge
Pourcen- Pourcen- Pourcen-
Pourcen- tage en Pourcen- tage en Pourcen- Pourcen- tage en Pourcen-
tage en dessous z score tage en dessous tage au- z score tage en dessous tage au- z score
Caractéristique dessous de -2 moyen Effectif dessous de -2 dessus moyen Effectif dessous de -2 dessus moyen Effectif
sociodémographique de -3 ET ET2 (ET) d’enfants de -3 ET ET2 de +2 ET (ET) d’enfants de -3 ET ET2 de +2 ET (ET) d’enfants
Âge en mois
<6 4,8 15,2 -0,5 598 2,8 6,0 13,9 0,2 594 1,3 7,5 3,7 -0,2 611
6–8 1,5 5,8 -0,2 385 0,8 5,5 5,0 0,0 387 0,5 5,7 4,0 -0,2 391
9–11 2,7 11,8 -0,1 321 0,0 1,4 5,8 0,1 320 2,1 5,3 9,1 -0,1 321
12–17 6,4 19,1 -0,7 732 2,3 6,2 5,7 0,0 740 2,9 9,8 2,0 -0,3 738
18–23 7,8 23,3 -1,0 685 1,0 3,1 5,5 0,2 700 1,5 4,7 2,8 -0,3 691
24–35 6,2 15,8 -0,7 1 140 0,9 3,5 4,8 0,2 1 151 0,8 5,7 3,1 -0,3 1 141
36–47 3,1 12,8 -0,6 1 358 0,2 1,9 2,8 0,0 1 379 0,7 3,8 2,2 -0,3 1 366
48–59 2,8 10,0 -0,5 1 240 0,3 2,2 2,8 -0,2 1 253 0,6 3,7 1,8 -0,4 1 241
Sexe
Masculin 5,2 15,7 -0,7 3 367 0,9 3,3 5,2 0,1 3 392 1,3 5,4 3,0 -0,3 3 388
Féminin 3,7 12,9 -0,5 3 092 1,0 3,5 4,8 0,0 3 130 1,0 5,4 2,9 -0,2 3 112
Intervalle
intergénésique en
mois3
Première naissance4 3,4 12,1 -0,5 1 372 0,9 3,4 6,7 0,1 1 369 1,4 5,1 4,2 -0,2 1 387
<24 5,9 18,6 -0,8 820 1,0 3,8 3,4 -0,1 845 2,2 8,3 1,5 -0,6 833
24–47 4,6 15,0 -0,7 1 693 1,4 4,8 5,6 0,1 1 702 1,0 5,5 2,0 -0,3 1 700
48+ 4,5 12,5 -0,5 1 534 0,5 1,9 5,6 0,1 1 524 0,7 4,6 4,0 -0,2 1 538
Grosseur à la
naissance3
Très petit 13,0 30,4 -1,1 321 3,1 10,9 5,6 -0,3 317 5,9 21,1 3,8 -0,9 323
Petit 5,8 17,6 -0,9 615 0,6 4,2 2,8 -0,1 620 2,5 8,7 0,4 -0,6 619
Moyen ou plus gros
que la moyenne 3,6 12,2 -0,5 4 386 0,8 2,8 6,0 0,1 4 405 0,7 4,0 3,4 -0,2 4 420
Manquant 7,6 25,3 -1,0 94 1,8 4,4 1,6 -0,1 95 2,2 8,5 1,4 -0,7 95
Interview de la mère
Interviewée 4,5 14,1 -0,6 5 419 1,0 3,5 5,5 0,1 5 440 1,2 5,6 3,1 -0,3 5 459
Mère non
interviewée mais
vivant dans le
ménage 3,6 11,2 -0,2 204 0,3 1,9 1,4 -0,1 206 0,6 2,5 0,8 -0,2 204
Mère non
interviewée et ne
vivant pas dans le
ménage5 4,9 17,0 -0,5 837 0,8 3,3 2,9 -0,0 876 0,9 5,0 2,6 -0,3 836
État nutritionnel de
la mère6
Maigre (BMI < 18,5) 5,0 19,5 -0,9 144 0,0 4,9 1,4 -0,2 144 0,8 8,2 0,0 -0,6 144
Normal (BMI 18,5–
24,9) 5,2 16,7 -0,7 1 390 1,0 3,7 2,9 -0,0 1 393 1,9 7,5 1,4 -0,4 1 397
En surpoids/obèse
(BMI ≥ 25) 2,0 9,2 -0,4 1 469 0,2 1,8 5,4 0,2 1 482 0,4 2,0 3,6 -0,1 1 480
Résidence
Port Gentil/
Libreville 2,9 9,8 -0,4 3 373 1,0 3,7 5,0 0,0 3 410 0,8 3,8 3,6 -0,2 3 397
Autres villes 5,2 17,1 -0,7 2 400 0,9 2,9 5,1 0,1 2 415 1,3 6,4 2,3 -0,3 2 415
Ensemble urbain 3,8 12,9 -0,5 5 773 1,0 3,4 5,1 0,0 5 825 1,0 4,9 3,0 -0,3 5 811
Rural 10,2 27,0 -1,1 686 0,6 3,7 4,8 0,1 697 2,3 9,8 2,1 -0,6 688
Province
Libreville 2,8 9,4 -0,4 2 620 0,9 3,8 5,2 0,0 2 653 0,7 3,6 3,9 -0,2 2 643
Port-Gentil 3,0 11,4 -0,4 754 1,2 3,3 4,6 0,0 757 1,4 4,6 2,4 -0,2 754
Estuaire (sans
Libreville) 2,7 11,1 -0,5 801 1,1 3,5 5,6 0,0 805 0,5 5,4 2,8 -0,2 804
Haut-Ogooué 7,4 23,5 -0,9 610 0,3 1,7 5,1 0,1 607 2,3 7,3 2,9 -0,5 614
Moyen-Ogooué 4,4 16,8 -0,7 227 0,8 3,7 4,2 -0,0 229 1,1 7,8 2,1 -0,4 227
Ngounié 9,3 24,7 -1,0 304 1,1 4,5 3,7 0,0 305 2,8 11,6 1,1 -0,6 305
Nyanga 6,4 22,7 -1,0 128 1,2 5,1 1,5 -0,2 130 1,8 9,5 0,7 -0,7 128
Ogooué-Ivindo 16,2 38,1 -1,5 207 0,3 1,6 9,1 0,4 206 1,9 10,0 2,0 -0,6 207
Ogooué-Lolo 10,4 27,2 -1,2 192 1,1 4,0 1,9 -0,1 196 2,5 11,8 0,9 -0,8 194
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 5,4 15,9 -0,7 89 0,8 3,9 3,8 0,0 90 1,4 8,7 1,5 -0,4 90
Woleu-Ntem 4,4 14,4 -0,7 527 0,9 2,7 6,0 0,3 544 1,0 3,4 2,3 -0,2 534
À suivre…
Note : Chaque indice est exprimé en termes d’unités d’écart type (ET) par rapport à la médiane des Normes OMS de la croissance de l’enfant. Un astérisque indique
qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Les enfants de moins de 2 ans sont mesurés en position allongée alors que tous les autres enfants sont mesurés en position debout.
2
Y compris les enfants qui se situent en-dessous de -3 ET de la médiane des Normes OMS de la croissance de l’enfant
3
Non compris les enfants dont la mère n’a pas été interviewée
4
Les premières naissances multiples (jumeaux, triplés, etc.) sont comptées comme première naissance parce qu’elles n’ont pas d’intervalle avec la naissance précédente.
5
Y compris les enfants dont la mère est décédée
6
Non compris les enfants dont la mère n’a pas été pesée et mesurée, les enfants dont la mère n’a pas été interviewée et les enfants dont la mère est enceinte ou a
donné naissance à un enfants dans les deux mois précédents. L’état nutritionnel de la mère, basé sur l’IMC (Indice de Masse Corporelle), est présenté au Tableau
11.12.1.
7
Pour les femmes qui n’ont pas été interviewées, l’information provient du questionnaire Ménage. Non compris les enfants dont la mère n’est pas listée dans le
questionnaire Ménage.
Parmi les enfants derniers-nés dont la naissance a eu lieu au cours des 2 années ayant précédé l’enquête, pourcentage ayant été
allaité, pourcentage qui ont commencé à être allaité dans l’heure qui a suivi la naissance et pourcentage qui ont commencé à être
allaité le jour qui a suivi leur naissance et parmi les derniers nés dont la naissance a eu lieu au cours des 2 années ayant précédé
l’enquête qui ont été allaités, pourcentage ayant reçu des aliments avant d’être allaités, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Parmi les enfants derniers-nés
Parmi les derniers-nés dont la naissance a eu lieu au cours des au cours des 2 dernières
2 dernières années : années et qui ont été allaités :
Pourcentage
ayant Pourcentage
commencé à ayant Effectif
être allaité commencé à Pourcentage d’enfants
Pourcentage dans l’heure être allaité le Effectif ayant reçu des derniers-nés
Caractéristique ayant été qui a suivi la jour qui a suivi d’enfants aliments ayant ayant été
sociodémographique allaité naissance la naissance1 derniers-nés d’être allaités2 allaités
Sexe
Masculin 92,6 70,1 81,3 1 226 48,9 1 135
Féminin 93,7 70,5 83,2 1 230 44,9 1 152
Assistance à l’accouchement
Personnel de santé3 93,5 70,8 82,8 2 317 47,6 2 168
Sage-femme traditionnelle 89,4 77,4 83,0 34 20,0 31
Autre 85,7 60,7 73,3 96 42,0 82
Personne * * * 9 * 7
Lieu de l’accouchement
Établissement de santé 93,4 70,7 82,5 2 332 47,1 2 178
Maison 87,8 65,2 78,3 118 41,8 104
Autre * * * 6 * 5
Résidence
Port Gentil/Libreville 93,5 72,7 82,0 1 382 45,8 1 293
Autres villes 92,6 66,4 82,2 855 50,6 792
Ensemble urbain 93,2 70,3 82,1 2 237 47,6 2 084
Rural 92,6 70,8 84,2 219 39,4 203
Province
Libreville 93,9 71,3 81,2 1 118 48,4 1 049
Port-Gentil 92,1 78,6 85,3 265 34,4 244
Estuaire (sans Libreville) 88,6 62,2 78,3 316 51,6 280
Haut-Ogooué 96,4 62,5 85,5 214 59,2 206
Moyen-Ogooué 90,0 79,8 81,3 75 45,5 68
Ngounié 97,1 66,0 86,2 110 38,5 107
Nyanga 91,6 80,9 85,0 43 27,6 40
Ogooué-Ivindo 96,7 90,5 94,5 66 18,4 64
Ogooué-Lolo 95,6 45,9 82,2 62 43,8 59
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 94,7 76,1 86,7 28 42,9 27
Woleu-Ntem 90,7 72,6 79,4 159 56,6 145
Niveau d’instruction de la mère
Aucun 96,7 82,4 91,3 185 23,4 178
Primaire 92,2 67,0 81,1 367 43,8 339
Secondaire 1er cycle 93,1 71,7 82,5 1 075 45,5 1 001
Secondaire 2e cycle 93,5 69,6 81,2 480 54,8 449
Supérieur 91,8 64,5 79,6 348 56,4 320
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 93,0 71,5 85,1 487 38,2 453
Second 90,9 66,4 78,8 519 46,8 472
Moyen 94,4 74,5 84,1 528 47,1 499
Quatrième 93,5 70,9 80,3 511 50,2 478
Le plus élevé 94,1 67,8 83,4 410 52,8 386
Ensemble 93,1 70,3 82,3 2 456 46,9 2 287
Note : Le tableau est basé sur les enfants derniers-nés, dont la naissance a eu lieu au cours des 2 années ayant précédé l’enquête,
cela qu’ils soient en vie ou décédés au moment de l’enquête. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non
pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Y compris les enfants qui ont commencé à être allaités dans l’heure qui a suivi la naissance
2
C’est-à-dire les enfants à qui on a donné autre chose que le lait maternel pendant les 3 premiers jours
3
Médecin (gynécologue/autre médecin), sage-femme, infirmier/infirmière accoucheur(euse) ou infirmier/infirmière
Répartition (en %) des enfants derniers-nés de moins de 2 ans vivant avec leur mère par type d’allaitement, pourcentage actuellement allaité,
pourcentage de tous les enfants de moins de 2 ans utilisant un biberon, selon l’âge en mois, EDSG-III 2019–21
Effectif
des
derniers-
Type d’allaitement nés de
Allaités et Pourcen- moins de Pourcen-
Allaité et aliments tage 2 ans tage Effectif
Exclu- Allaité liquides Allaités et de actuelle- vivant utilisant d’enfants
Non sivement et eau non autres complé- ment avec leur un de moins
Âge en mois allaité allaité seulement lactés1 laits ment Total allaité mère biberon de 2 ans
0–1 4,4 33,5 10,4 0,3 51,1 0,3 100,0 95,6 186 65,4 191
2–3 4,9 18,2 13,4 0,9 57,6 4,9 100,0 95,1 166 66,5 180
4–5 17,8 7,9 9,7 1,2 37,4 26,1 100,0 82,2 211 65,3 216
6–8 21,9 3,1 6,1 0,7 4,6 63,7 100,0 78,1 336 62,0 356
9–11 34,4 0,5 5,0 0,5 2,6 57,0 100,0 65,6 297 59,8 313
12–17 77,5 0,0 0,9 0,1 0,2 21,3 100,0 22,5 590 44,0 649
18–23 89,4 0,6 0,1 0,0 0,1 9,8 100,0 10,6 532 22,5 641
0–3 4,7 26,2 11,8 0,6 54,2 2,5 100,0 95,3 352 65,9 371
0–5 9,6 19,4 11,0 0,8 47,9 11,3 100,0 90,4 563 65,7 587
6–9 20,7 2,7 6,9 0,5 4,6 64,6 100,0 79,3 430 63,6 457
12–15 69,6 0,0 1,3 0,1 0,2 28,8 100,0 30,4 381 47,2 429
12–23 83,2 0,3 0,6 0,1 0,1 15,8 100,0 16,8 1 121 33,3 1 289
20–23 91,6 0,1 0,0 0,0 0,0 8,2 100,0 8,4 313 17,8 393
Note : Les données sur l’allaitement se rapportent à une période de 24 heures (hier et la nuit dernière). Les enfants classés dans la catégorie
“Allaitement et eau seulement” ne reçoivent aucun complément liquide ou solide. Les catégories “Non allaité”, “Allaité exclusivement”, “Allaité et
eau seulement”, “Jus/liquides non lactés”, “Autres laits”, et “Aliments de complément” (solides et semi solides) sont hiérarchiques et mutuellement
exclusives et la somme des pourcentages égale 100 %. Ainsi, les enfants qui sont allaités et qui reçoivent des liquides non lactés et qui ne
reçoivent pas d’autres laits et qui ne reçoivent pas d’aliments de complément sont classés dans la catégorie “Liquides non lactés” même s’ils
reçoivent également de l’eau. Tout enfant qui reçoit des aliments de complément est classé dans cette catégorie tant qu’il est toujours allaité.
1
Les liquides non lactés comprennent les jus, les boissons à base de jus, les bouillons et les autres liquides.
Note : Les durées médiane et moyenne de l’allaitement sont basées sur le statut
d’allaitement de l’enfant au moment de l’enquête (statut actuel). Y compris les enfants
vivants et décédés. Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non
pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non
pondérés et qu’elle a été supprimée.
a = Non présenté parce que moins de 50 % des enfants de cette catégorie sont
exclusivement allaités ou ne reçoivent que de l’eau en plus du lait maternel
1
Pour les enfants derniers-nés de moins de 24 mois vivant avec leur mère et qui sont
allaités, l’information pour déterminer si l’allaitement est exclusif et prédominant est
basée sur le rappel des aliments consommés pendant une période de 24 heures. On
suppose que les derniers-nés de 24 mois ou plus qui vivent avec leur mère et qui sont
allaités ne reçoivent ni un allaitement exclusif, ni un allaitement prédominant. On suppose
que les enfants derniers-nés qui ne vivent pas actuellement avec leur mère et tous les
enfants qui ne sont pas des derniers-nés ne sont pas actuellement allaités.
2
Soit exclusivement allaités ou qui ont reçu le lait maternel, de l’eau et/ou des liquides
non lactés seulement
Pourcentage d’enfants derniers-nés de moins de 2 ans vivant avec leur mère, par type d’aliments consommés le jour ou la nuit ayant précédé l’interview, selon
qu’ils sont, ou non, allaités et selon l’âge, EDSG-III 2019–21
Liquides Aliments solides ou semi-solides
Prépara-
tions à Prépara- Fro-
Fruits et base de tions à mage, Prépara-
Lait en Aliments Prépara- légumes racines base de yaourt, tions Effectif
poudre enrichis tions à riches en Autres et de légumes Viande, autres solides d’enfants
pour Autres Autres pour base de vitamine fruits et tuber- et de poisson, produits ou semi- de moins
Âge en mois enfant laits1 liquides2 bébé céréales3 A4 légumes cules noix volaille Œufs laitiers solides de 2 ans
ENFANTS ALLAITÉS
0–1 52,3 13,3 3,2 0,3 0,4 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,4 178
2–3 64,1 7,3 4,2 3,1 3,5 1,3 0,3 0,6 0,0 0,5 0,6 0,7 5,2 158
4–5 66,2 10,5 12,6 20,3 24,4 10,3 2,9 0,9 0,6 2,3 1,0 11,9 31,7 173
6–8 54,3 21,8 32,1 48,8 64,5 36,4 12,3 10,6 4,7 20,9 17,0 38,5 81,6 262
9–11 50,4 35,2 41,9 43,6 70,2 46,2 16,4 29,1 8,5 35,8 27,1 34,1 86,9 195
12–17 21,4 28,8 49,3 20,9 67,7 56,3 16,4 28,8 7,4 49,4 19,1 37,6 94,8 132
18–23 41,3 61,2 62,4 42,1 70,7 48,1 27,0 44,1 10,6 58,3 32,7 60,5 92,3 56
6–23 45,2 30,7 41,2 40,9 67,4 44,4 15,6 22,8 6,9 34,5 21,9 38,9 86,8 646
Ensemble 52,0 21,8 26,0 26,4 41,9 26,6 9,2 13,0 3,9 19,7 12,4 23,6 54,1 1 155
ENFANTS NON ALLAITÉS
0–1 * * * * * * * * * * * * * 8
2–3 * * * * * * * * * * * * * 8
4–5 (76,9) (45,1) (18,7) (27,4) (47,2) (29,6) (22,8) (20,9) (0,0) (20,0) (0,0) (18,6) (66,8) 38
6–8 74,8 31,2 36,0 59,1 77,1 48,2 29,7 14,5 14,3 14,6 19,7 41,6 84,7 74
9–11 76,0 35,3 44,1 49,6 85,9 54,6 9,0 30,5 14,1 56,0 18,9 62,8 93,1 102
12–17 49,4 57,3 52,8 39,9 77,4 55,5 20,8 25,2 8,9 53,4 33,3 43,9 97,9 457
18–23 32,5 56,9 66,1 32,7 78,2 63,9 28,3 37,9 17,0 68,0 36,4 52,2 97,5 476
6–23 46,3 53,4 56,6 39,0 78,5 58,5 23,5 30,4 13,2 57,3 32,4 49,1 96,4 1 108
Ensemble 47,5 52,4 54,6 38,0 76,4 56,8 23,2 29,7 12,6 55,3 30,9 47,4 94,1 1 162
Note : Les données sur l’allaitement et sur les aliments consommés se rapportent à la période de “24 heures” (hier et la nuit dernière). Les valeurs entre
parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été
supprimée.
1
Les autres laits comprennent le lait d’animal, qu’il soit frais, en boite ou en poudre.
2
N’inclut pas l’eau plate. Inclut les jus, les boissons à base de jus, les bouillons clairs ou d’autres liquides non lactés.
3
Inclut les aliments enrichis pour bébés
4
Comprend les patates douces, citrouilles, carottes, courges ou autres tubercules jaunes ou oranges à l’intérieur, les légumes à feuilles vert-foncées [comme
l’amarante (folong), l’épinard, le taro, l’oseille, les feuilles de manioc), les mangues, les papayes, les oranges
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
1
Enfants qui ont reçu des aliments de cinq groupes ou plus des huit groupes alimentaires suivants : a. lait maternel ; b. préparation commerciale pour bébés, lait autre
que le lait maternel, fromage ou yaourt ou autres produits laitiers ; c. préparations à base de céréales, de racines ou de tubercules et les préparations enrichies pour
bébés à base de céréales ; d. fruits et légumes riches en vitamine A et préparation à base d’huile de palme rouge, de noix de palme ou de sauce de pulpe de noix ;
e. autres fruits et légumes ; f. œufs ; g. viande, poisson et coquillage (et abats) ; h. légumes et noix
2
Pour les enfants allaités, la fréquence minimale des repas consiste à recevoir des aliments solides ou semi-solides au moins deux fois par jour pour les enfants de
6–8 mois et au moins trois fois par jour pour ceux de 9–23 mois.
3
On considère que les enfants allaités de 6–23 mois reçoivent un apport minimum alimentaire acceptable s’ils sont nourris selon la diversité minimale alimentaire telle
que décrite dans la note 1 et la fréquence minimale des repas telle que défini dans la note 2.
4
Y compris au moins deux repas comptant une préparation commerciale pour bébés, du lait d’animal frais, en boite en poudre et du yaourt
5
Pour les enfants de 6–23 mois non allaités, on considère que la fréquence minimale des repas est de recevoir des aliments solides ou semi-solides ou des
préparations à base de lait au moins quatre fois par jour.
6
On considère que les enfants non allaités de 6–23 mois ont un apport minimum alimentaire acceptable s’ils reçoivent d’autres laits ou des produits laitiers au moins
deux fois par jour, s’ils sont nourris selon la fréquence minimale des repas telle que définie à la note 5 et s’ils reçoivent des aliments solides ou semi-solides provenant
d’au moins quatre groupes d’aliments, non compris le groupe d’aliments comprenant le lait ou les produits laitiers.
7
Lait maternel ou pas de lait maternel et recevant au moins deux repas de préparations commerciales pour bébés, de lait d’animal frais, en boite ou en poudre et de
yaourt
8
Les enfants nourris le nombre minimum de fois recommandé par jour selon leur âge et selon qu’ils sont allaités ou non comme décrit aux notes 2 et 5
9
On considère que les enfants de 6–23 mois ont un apport minimum alimentaire acceptable s’ils reçoivent le lait maternel, d’autres laits ou des produits laitiers comme
décrit à la note 7, s’ils sont nourris selon la diversité alimentaire minimale comme décrit à la note 1 et selon la fréquence minimale des repas comme décrit aux notes
2 et 5.
Parmi les enfants derniers-nés dont la naissance a eu lieu au cours des 2 années ayant précédé l’enquête, pourcentage n’ayant pas été allaité, et parmi les derniers
nés dont la naissance a eu lieu au cours des 2 années ayant précédé l’enquête qui n’ont pas été allaités, répartition (en %) par raison du non-allaitement, selon
certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Parmi les
derniers-nés dont
la naissance a eu
lieu au cours des
2 dernières
années Raison du non-allaitement
Lait Lait
artificiel artificiel
Pourcen- donné conseillé Effectif
tage Effectif Lait pas Prob- Refus par par d’enfants
n’ayant d’enfants bon/ lème Refus membre person- person- Esthé- derniers-
pas été derniers- Enfant Pas de empoi- santé/ père de de la nel de nel de tique des nés pas
allaité nés décédé lait sonné fatigue l’enfant famille santé santé seins Autre Total allaites
Sexe
Masculin 7,4 1 226 5,9 17,4 6,8 22,1 2,9 3,5 4,6 0,0 3,8 33,0 100,0 91
Féminin 6,3 1 230 15,2 22,1 1,2 20,9 0,9 0,4 0,9 1,9 0,0 36,5 100,0 78
Assistance à
l’accouchement
Personnel de santé1 6,5 2 317 10,8 20,7 4,5 21,4 2,2 2,1 0,5 1,0 2,3 34,6 100,0 150
Sage-femme tradi-
tionnelle 10,6 34 * * * * * * * * * * 100,0 4
Autre 14,3 96 * * * * * * * * * * 100,0 14
Personne * 9 * * * * * * * * * * 100,0 2
Lieu de l’accouche-
ment
Établissement de
santé 6,6 2 332 10,9 20,7 4,4 20,9 2,2 0,5 3,2 1,0 2,2 34,1 100,0 154
Maison 12,2 118 * * * * * * * * * * 100,0 14
Autre * 6 * * * * * * * * * * 100,0 1
Résidence
Port Gentil/
Libreville 6,5 1 382 (6,9) (29,9) (4,3) (21,2) (0,0) (0,0) (4,7) (1,0) (3,4) (28,6) 100,0 89
Autres villes 7,4 855 13,7 6,8 4,8 23,2 4,2 4,6 1,1 0,9 0,3 40,4 100,0 63
Ensemble urbain 6,8 2 237 9,7 20,3 4,5 22,0 1,7 1,9 3,2 1,0 2,1 33,5 100,0 153
Rural 7,4 219 14,5 12,3 1,5 17,4 4,4 3,5 0,0 0,0 1,0 45,5 100,0 16
Province
Libreville 6,1 1 118 * * * * * * * * * * 100,0 68
Port-Gentil 7,9 265 * * * * * * * * * * 100,0 21
Estuaire (sans
Libreville) 11,4 316 * * * * * * * * * * 100,0 36
Haut-Ogooué 3,6 214 * * * * * * * * * * 100,0 8
Moyen-Ogooué 10,0 75 * * * * * * * * * * 100,0 8
Ngounié 2,9 110 * * * * * * * * * * 100,0 3
Nyanga 8,4 43 * * * * * * * * * * 100,0 4
Ogooué-Ivindo 3,3 66 * * * * * * * * * * 100,0 2
Ogooué-Lolo 4,4 62 * * * * * * * * * * 100,0 3
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 5,3 28 * * * * * * * * * * 100,0 1
Woleu-Ntem 9,3 159 (8,9) (14,3) (7,6) (13,1) (9,2) (6,9) (0,0) (0,0) (0,0) (40,0) 100,0 15
Niveau d’instruction
Aucun 3,3 185 * * * * * * * * * * 100,0 6
Primaire 7,8 367 (13,4) (2,2) (3,6) (31,3) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (49,5) 100,0 29
Secondaire 1er
cycle 6,9 1 075 10,6 18,3 7,8 11,6 0,2 0,6 6,7 0,7 4,4 39,0 100,0 74
Secondaire 2e cycle 6,5 480 (10,0) (23,5) (1,0) (25,2) (5,9) (8,8) (0,0) (2,9) (0,5) (22,2) 100,0 31
Supérieur 8,2 348 * * * * * * * * * * 100,0 29
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 7,0 487 8,1 10,3 13,4 21,6 0,0 1,6 2,1 0,0 9,6 33,3 100,0 34
Second 9,1 519 (2,9) (15,7) (5,4) (10,3) (1,5) (6,2) (0,0) (1,1) (0,0) (56,9) 100,0 47
Moyen 5,6 528 * * * * * * * * * * 100,0 30
Quatrième 6,5 511 * * * * * * * * * * 100,0 33
Le plus élevé 5,9 410 * * * * * * * * * * 100,0 24
Ensemble 6,9 2 456 10,2 19,6 4,2 21,6 2,0 2,1 2,9 0,9 2,0 34,6 100,0 169
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et
qu’elle a été supprimée.
1
Médecin (gynécologue/autre médecin), sage-femme, infirmier/infirmière accoucheur(euse) ou infirmier/infirmière
Parmi les enfants derniers-nés dont la naissance a eu lieu au cours des 2 années ayant précédé l’enquête et allaite, pourcentage par raison pour l’allaitement, selon
certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Raison pour l’allaitement
Mode Conseils Rôle Renforce- Rôle
d’alimen- Lait de protecteur ment des préventif Effectif
tation Meilleure maternel Conseils l’entou- du lait liens Protection de Exclusif Mode d’enfants
naturelle alimenta- riche en du rage maternel affectifs de la l’allaite- face une d’alimen- derniers-
Caractéristique pour un tion pour nutri- personnel (familial, contre les mère/ santé de ment nouvelle tation Autre nés
sociodémographique bébé un bébé ments de santé etc.) infections enfant la mère maternel grossesse gratuit raison allaites
Sexe
Masculin 32,9 48,2 37,1 28,9 14,0 10,8 11,9 3,4 0,3 3,9 1,5 0,0 660
Féminin 33,0 43,4 42,4 29,8 11,2 8,5 11,9 2,5 0,7 4,6 2,5 0,0 633
Assistance à
l’accouchement
Personnel de santé1 33,4 46,9 40,9 30,4 12,1 9,5 12,5 3,1 0,5 3,8 2,1 0,0 1 221
Sage-femme tradi-
tionnelle (38,8) (22,3) (10,5) (1,3) (19,6) (7,9) (0,0) (2,1) (1,3) (6,0) (1,3) (0,0) 15
Autre 20,4 30,9 22,3 15,4 21,8 14,7 3,3 0,0 0,0 14,7 0,0 0,0 55
Personne * * * * * * * * * * * * 2
Lieu de l’accouche-
ment
Établissement de
santé 32,9 46,5 40,5 30,6 12,0 9,4 12,5 3,1 0,5 4,2 2,1 0,0 1 229
Maison 32,4 35,1 25,4 4,5 25,0 15,6 1,0 0,5 0,3 5,9 0,3 0,0 61
Autre * * * * * * * * * * * * 3
Résidence
Port Gentil/
Libreville 30,4 46,5 43,0 28,1 12,9 9,9 13,0 2,6 0,0 3,9 1,9 0,0 765
Autres villes 35,3 47,3 37,7 32,9 11,5 10,0 11,1 3,8 1,3 4,6 2,2 0,0 432
Ensemble urbain 32,1 46,8 41,1 29,8 12,4 10,0 12,3 3,0 0,5 4,2 2,0 0,0 1 197
Rural 42,9 34,4 22,5 23,9 15,3 5,9 6,9 1,5 0,8 5,5 1,5 0,0 96
Province
Libreville 27,8 48,3 47,2 26,2 13,7 10,8 13,9 2,4 0,0 4,7 2,2 0,0 613
Port-Gentil 40,8 39,1 26,1 35,5 9,6 6,3 9,3 3,3 0,0 0,8 0,8 0,0 152
Estuaire (sans
Libreville) 20,6 44,7 43,5 24,6 3,2 11,7 10,4 3,9 0,0 2,0 2,0 0,0 185
Haut-Ogooué 29,3 52,1 23,4 47,7 12,3 10,5 17,1 2,2 3,4 8,8 1,4 0,0 94
Moyen-Ogooué 54,6 30,3 29,4 27,0 19,5 5,3 10,5 3,7 0,0 2,5 2,4 0,0 33
Ngounié 61,3 30,0 40,5 37,0 21,6 12,5 6,3 6,0 0,0 1,8 5,9 0,0 50
Nyanga 53,0 37,9 21,2 20,7 12,5 2,5 3,3 0,0 0,0 5,8 4,0 0,0 20
Ogooué-Ivindo 61,2 39,7 31,1 24,1 26,6 17,4 16,7 12,9 12,9 24,8 0,0 0,0 24
Ogooué-Lolo 33,6 58,2 26,6 24,9 17,1 2,1 6,9 3,1 0,7 6,4 0,9 0,0 30
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 43,2 28,8 20,5 28,7 11,5 3,5 7,7 5,2 0,0 0,6 1,2 0,0 11
Woleu-Ntem 48,5 53,1 37,3 32,8 17,7 4,7 5,9 0,0 0,0 2,8 1,0 0,0 81
Niveau d’instruction
Aucun 32,4 47,4 34,6 23,6 6,4 2,9 2,9 1,3 0,6 1,7 0,7 0,0 66
Primaire 30,8 34,3 31,2 34,4 20,4 5,5 5,1 0,3 0,7 3,2 1,4 0,0 165
Secondaire 1er
cycle 34,4 46,2 40,5 29,7 12,2 7,6 11,3 3,1 0,5 4,8 1,6 0,0 569
Secondaire 2e cycle 33,9 44,2 42,7 32,8 14,6 16,8 18,8 4,4 0,6 6,2 0,6 0,0 278
Supérieur 29,8 55,4 41,9 21,9 7,1 11,2 12,5 3,0 0,0 2,0 5,6 0,0 214
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 36,4 34,6 31,1 24,1 11,5 4,9 5,5 1,8 1,1 7,4 1,8 0,0 213
Second 26,6 52,1 41,4 28,9 12,7 8,4 12,3 4,0 0,4 6,6 1,1 0,0 296
Moyen 30,6 33,9 39,9 38,5 15,7 12,7 14,2 2,7 0,5 4,8 1,9 0,0 264
Quatrième 39,6 52,9 46,7 28,2 13,7 9,7 12,5 2,6 0,6 2,2 2,4 0,0 303
Le plus élevé 31,7 52,9 35,8 25,6 8,3 12,3 14,2 3,2 0,0 0,3 2,9 0,0 217
Ensemble 32,9 45,8 39,7 29,4 12,6 9,7 11,9 2,9 0,5 4,3 2,0 0,0 1 293
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle
a été supprimée.
1
Médecin (gynécologue/autre médecin), sage-femme, infirmier/infirmière accoucheur(euse) ou infirmier/infirmière
Parmi les enfants derniers-nés dont la naissance a eu lieu au cours des 2 années ayant précédé l’enquête et qui sont allaités, pourcentage à qui on a donné autre
chose en plus du lait maternel, et pami ceux ayant reçu autre chose, pourcentage par raison justifiant d’avoir donné autre chose que le lait maternel, selon
certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Parmi les derniers-nés
dont la naissance a eu
lieu au cours des 2
dernières années et
qui ont été allaites Raison justifiant d’avoir donné donner autre chose en plus du lait maternel
Pourcen-
tage à qui Effectif
on a donné Conseils d’enfants
autre Effectif de Conseils derniers-
chose en d’enfants Reprise du Enfant l’entourage du person- Influence nés qui ont
Caractéristique plus du lait derniers- travail ou Bébé avait Pas assez gourmand (familial, nel de de la Autre eu autre
sociodémographique maternel nés de l’école soif de lait ou glouton etc.) santé publicité raison chose
Sexe
Masculin 61,9 1 226 28,7 17,9 33,3 20,5 8,5 4,2 3,1 13,8 760
Féminin 64,2 1 230 26,7 13,7 38,0 16,5 8,6 6,9 1,4 11,6 789
Assistance à
l’accouchement
Personnel de santé1 64,2 2 317 28,5 15,0 35,4 18,1 8,5 5,8 2,3 12,7 1 487
Sage-femme tradi-
tionnelle 26,0 34 (6,2) (35,3) (22,5) (18,9) (38,6) (0,0) (0,0) (11,2) 9
Autre 49,1 96 8,3 39,7 40,0 32,9 6,1 0,8 1,6 14,6 47
Personne * 9 * * * * * * * * 5
Lieu d’accouche-
ment
Établissement de
santé 63,8 2 332 28,4 14,7 35,6 18,4 8,4 5,8 2,2 12,6 1 489
Maison 48,5 118 11,4 42,1 39,0 18,8 12,6 0,8 3,4 14,9 57
Autre * 6 * * * * * * * * 3
Résidence
Port Gentil/
Libreville 64,5 1 382 27,6 14,5 37,1 16,9 6,8 5,3 1,4 14,6 891
Autres villes 63,9 855 30,3 15,9 33,9 19,7 11,1 6,1 3,1 9,9 546
Ensemble urbain 64,2 2 237 28,6 15,1 35,9 18,0 8,4 5,6 2,1 12,8 1 437
Rural 50,9 219 15,4 25,2 33,2 24,4 10,6 5,9 4,2 11,4 112
Province
Libreville 64,3 1 118 28,3 14,3 37,3 15,8 6,5 4,2 1,4 16,0 719
Port-Gentil 65,1 265 24,8 15,5 36,2 21,5 7,9 9,8 1,5 8,8 172
Estuaire (sans
Libreville) 56,5 316 29,2 8,4 42,7 16,4 8,0 3,7 2,2 6,0 179
Haut-Ogooué 79,4 214 16,9 12,0 30,7 30,9 7,8 3,2 5,3 17,6 170
Moyen-Ogooué 55,6 75 19,6 24,4 45,2 18,5 9,7 4,4 5,4 6,6 42
Ngounié 64,2 110 27,5 26,4 26,6 20,6 12,9 10,2 4,4 8,0 71
Nyanga 55,9 43 31,3 16,1 19,3 23,3 11,6 7,5 2,7 5,4 24
Ogooué-Ivindo 32,0 66 18,5 48,9 23,9 14,7 10,8 2,5 0,5 6,1 21
Ogooué-Lolo 56,6 62 28,1 16,9 27,6 13,1 20,5 4,7 1,8 13,3 35
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 57,7 28 12,6 13,0 29,8 29,5 16,3 14,6 2,4 12,3 16
Woleu-Ntem 62,9 159 50,6 28,4 31,6 12,7 16,8 12,3 1,9 8,2 100
Niveau d’instruction
Aucun 34,7 185 (1,6) (37,7) (27,4) (30,5) (10,0) (0,4) (0,0) (9,1) 64
Primaire 56,0 367 9,5 18,9 40,7 25,7 12,4 6,6 1,3 12,0 206
Secondaire 1er
cycle 64,0 1 075 23,0 16,2 36,1 20,5 8,4 6,5 4,2 12,1 689
Secondaire 2e cycle 69,6 480 35,5 16,2 39,4 14,5 6,4 5,3 0,4 14,6 334
Supérieur 73,5 348 51,2 6,3 27,9 9,4 8,5 4,0 0,7 13,3 256
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 54,4 487 18,5 21,3 33,0 20,2 13,7 6,0 3,2 8,5 265
Second 63,3 519 22,3 15,2 37,8 26,3 8,8 8,5 2,5 11,7 329
Moyen 63,1 528 22,7 18,3 42,1 16,1 7,4 4,8 4,0 11,2 333
Quatrième 60,9 511 35,5 17,4 32,0 11,0 6,7 5,7 0,3 16,1 311
Le plus élevé 75,6 410 38,7 7,4 32,6 18,7 7,1 3,1 1,1 15,5 310
Ensemble 63,1 2 456 27,7 15,8 35,7 18,5 8,6 5,6 2,2 12,7 1 549
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés
et qu’elle a été supprimée.
1
Médecin (gynécologue/autre médecin), sage-femme, infirmier/infirmière accoucheur(euse) ou infirmier/infirmière
Parmi les enfants derniers-nés dont la naissance a eu lieu au cours des 2 années ayant précédé l’enquête et allaitent, pourcentage qui ont
eu le premier lait jaune, et pami ceux qui n’ont pas eu le premier lait jaune, répartition (en %) par raison, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage Effectif
d’enfants d’enfants
derniers-nés derniers-nés
qui n’a pas eu Effectif Mauvais pour Mauvais pour qui n’ont pas
Caractéristique le premier lait d’enfants la santé de la la santé de eu le premier
sociodémographique jaune derniers-nés mère l’enfant Autre Total lait jaune
Sexe
Masculin 9,0 1 226 13,5 49,5 36,9 100,0 110
Féminin 8,2 1 230 12,7 53,7 33,6 100,0 101
Assistance à
l’accouchement
Personnel de santé1 8,6 2 317 13,2 51,5 35,3 100,0 199
Sage-femme tradition-
nelle 14,3 34 * * * 100,0 5
Autre 7,4 96 * * * 100,0 7
Personne * 9 * * * 100,0 0
Lieu d’accouchement
Établissement de santé 8,5 2 332 13,2 51,1 35,8 100,0 199
Maison 10,3 118 (12,0) (59,1) (28,9) 100,0 12
Autre * 6 * * * 100,0 0
Résidence
Port Gentil/Libreville 9,1 1 382 17,1 47,4 35,5 100,0 125
Autres villes 8,0 855 6,6 60,7 32,6 100,0 68
Ensemble urbain 8,6 2 237 13,4 52,1 34,5 100,0 193
Rural 8,1 219 9,9 45,4 44,6 100,0 18
Province
Libreville 8,1 1 118 * * * 100,0 91
Port-Gentil 13,2 265 (14,6) (54,7) (30,6) 100,0 35
Estuaire (sans
Libreville) 3,8 316 * * * 100,0 12
Haut-Ogooué 11,1 214 (0,0) (72,6) (27,4) 100,0 24
Moyen-Ogooué 3,2 75 * * * 100,0 2
Ngounié 14,0 110 * * * 100,0 15
Nyanga 6,2 43 * * * 100,0 3
Ogooué-Ivindo 12,0 66 (20,9) (25,5) (53,6) 100,0 8
Ogooué-Lolo 10,0 62 (1,6) (67,8) (30,5) 100,0 6
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 12,0 28 * * * 100,0 3
Woleu-Ntem 7,4 159 * * * 100,0 12
Niveau d’instruction
Aucun 2,6 185 * * * 100,0 5
Primaire 7,9 367 10,2 61,7 28,2 100,0 29
Secondaire 1er cycle 10,9 1 075 14,5 45,0 40,5 100,0 117
Secondaire 2e cycle 10,0 480 (12,1) (66,0) (21,9) 100,0 48
Supérieur 3,5 348 * * * 100,0 12
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 9,6 487 5,0 56,0 39,0 100,0 47
Second 10,8 519 14,5 49,5 36,1 100,0 56
Moyen 9,9 528 (11,9) (49,4) (38,7) 100,0 52
Quatrième 7,1 511 (11,3) (61,2) (27,4) 100,0 37
Le plus élevé 4,7 410 * * * 100,0 19
Ensemble 8,6 2 456 13,1 51,5 35,4 100,0 211
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins
de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Médecin (gynécologue/autre médecin), sage-femme, infirmier/infirmière accoucheur(euse) ou infirmier/infirmière
Pourcentage d’enfants de 6–59 mois considérés comme étant anémiés, selon certaines
caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Anémie selon le niveau d’hémoglobine
Anémie Anémie Effectif
légère modérée Anémie d’enfants
Caractéristique Anémie (10,0–10,9 (7,0–9,9 sévère de 6–59
sociodémographique (<11,0 g/dl) g/dl) g/dl) (<7,0 g/dl) mois
Âge en mois
6–8 71,5 31,4 38,9 1,2 351
9–11 75,1 36,1 37,4 1,6 305
12–17 71,3 29,1 39,7 2,4 697
18–23 74,0 33,8 38,9 1,3 683
24–35 73,4 31,1 39,3 3,1 1 117
36–47 64,9 29,3 33,4 2,2 1 342
48–59 59,7 34,8 24,4 0,5 1 213
Sexe
Masculin 69,5 32,2 35,6 1,6 2 978
Féminin 67,0 31,4 33,5 2,1 2 730
Interview de la mère
Interviewée 68,1 31,2 35,3 1,6 4 683
Mère non interviewée et vivant
dans le ménage 76,4 40,2 30,5 5,7 182
Mère non interviewée et ne
vivant pas dans le ménage1 67,6 33,5 31,9 2,2 844
Résidence
Port Gentil/Libreville 70,1 34,7 34,2 1,2 2 985
Autres villes 64,5 28,6 33,8 2,1 2 083
Ensemble urbain 67,8 32,2 34,1 1,5 5 069
Rural 72,0 28,9 39,0 4,1 640
Province
Libreville 69,5 35,3 32,8 1,4 2 328
Port-Gentil 72,3 32,5 39,5 0,3 657
Estuaire (sans Libreville) 69,0 30,5 35,9 2,6 658
Haut-Ogooué 64,7 32,0 31,4 1,3 539
Moyen-Ogooué 66,4 31,0 34,4 1,0 205
Ngounié 71,0 24,9 43,4 2,7 266
Nyanga 72,5 32,1 38,1 2,3 113
Ogooué-Ivindo 73,3 22,4 45,3 5,5 184
Ogooué-Lolo 67,8 28,8 35,6 3,4 179
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 61,7 34,6 26,3 0,8 79
Woleu-Ntem 57,9 24,2 30,1 3,5 499
Niveau d’instruction de la
mère2
Aucun 66,3 30,3 35,3 0,7 428
Primaire 72,5 30,2 37,8 4,4 752
Secondaire 1er cycle 71,0 30,1 39,0 1,8 2 224
Secondaire 2e cycle 64,5 34,1 29,9 0,5 881
Supérieur 59,5 34,9 23,9 0,8 555
Manquant * * * * 25
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 74,2 28,6 41,8 3,7 1 244
Second 73,6 36,1 36,1 1,4 1 309
Moyen 69,7 31,2 36,1 2,3 1 178
Quatrième 63,6 33,0 29,6 1,0 1 098
Le plus élevé 56,0 29,5 26,4 0,1 879
Ensemble 68,3 31,8 34,6 1,8 5 709
Notes : Le tableau est basé sur les enfants qui ont passé la nuit ayant précédé l’interview dans le
ménage et qui ont été testés pour l’anémie. La prévalence de l’anémie, basée sur le niveau
d’hémoglobine est ajustée en fonction de l’altitude en utilisant les formules du CDC, 1998.
Hémoglobine en grammes par décilitre (g/dl). Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur
moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Y compris les enfants dont la mère est décédée
2
Pour les femmes qui n’ont pas été interviewées, l’information provient du questionnaire Ménage.
Non compris les enfants dont la mère n’est pas listée dans le questionnaire Ménage.
Parmi tous les ménages, pourcentage dont le sel a été testé pour la présence d’iode, pourcentage disposant de sel mais dont le sel n’a
pas été testé et pourcentage ne disposant pas de sel dans le ménage et, parmi les ménages dont le sel a été testé, pourcentage ayant
du sel iodé selon certaines caractéristiques, EDSG-III 2019–21
Parmi les ménages dans
Parmi tous les ménages, pourcentage : lesquels le sel a été testé :
Disposant de Ne disposant
sel mais dont le pas de sel Pourcentage
Caractéristique Dont le sel a sel n’a pas dans le Effectif de disposant de Effectif de
sociodémographique été testé été testé1 ménage ménages sel iodé ménages
Résidence
Port Gentil/Libreville 89,0 2,4 8,6 4 220 97,1 3 756
Autres villes 93,4 1,2 5,4 2 608 98,1 2 437
Ensemble urbain 90,7 1,9 7,4 6 828 97,5 6 192
Rural 93,8 0,9 5,3 877 98,9 822
Province
Libreville 88,4 2,5 9,1 3 439 97,3 3 040
Port-Gentil 91,6 1,7 6,7 781 96,3 716
Estuaire (sans Libreville) 93,9 1,1 5,0 1 012 97,2 951
Haut-Ogooué 93,4 0,4 6,2 655 99,5 612
Moyen-Ogooué 89,7 3,6 6,7 266 99,9 239
Ngounié 92,5 0,7 6,8 360 97,6 333
Nyanga 87,1 3,1 9,8 166 97,9 145
Ogooué-Ivindo 95,0 1,2 3,8 189 96,0 179
Ogooué-Lolo 96,7 0,4 2,9 201 100,0 195
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 94,1 1,4 4,5 97 97,4 92
Woleu-Ntem 95,5 0,8 3,7 538 98,7 514
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 86,7 2,1 11,2 1 634 98,2 1 417
Second 87,3 1,7 11,0 1 552 98,3 1 355
Moyen 88,5 2,3 9,2 1 568 98,9 1 388
Quatrième 96,7 1,1 2,3 1 542 96,5 1 491
Le plus élevé 96,8 2,0 1,2 1 409 96,5 1 364
Ensemble 91,0 1,8 7,2 7 705 97,7 7 014
1
Y compris les ménages dans lesquels le sel n’a pas pu être testé pour des raisons techniques ou logistiques incluant la disponibilité
de kits de tests
na = non applicable
1
Y compris la viande (et abats), poisson, volaille, œufs, citrouilles, ignames ou courges rouges ou jaunes, carottes, pommes de terre douces rouges,
légumes à feuilles vert foncé, mangues mûres, papayes mûres et autres fruits et légumes produits localement qui sont riches en vitamine A, et
préparation à base d’huile de palme rouge, de noix de palme ou de sauce de pulpe de noix
2
Y compris la viande (et les abats), le poisson, la volaille et œufs
3
Basé sur le souvenir de la mère
4
Basé sur le souvenir de la mère et le carnet de vaccination (quand il est disponible)
5
Les vermifuges contre les parasites intestinaux sont couramment donnés pour traiter les helminthes et les schistosomiases.
6
Sont exclus les enfants vivant dans un ménage dans lesquels le sel n’a pas été testé
Parmi les femmes de 15–49 ans, pourcentage ayant une taille inférieure à 145 cm, un Indice de Masse Corporelle (IMC) moyen et pourcentage
ayant certains niveaux d’IMC, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Indice de Masse Corporelle1
Indice
Taille Normal Maigre En surpoids/obèse
de
Pourcen- Masse
tage en Corpo- <17,0 ≥25,0
dessous relle 18,5–24,9 <18,5 17,0–18,4 (Maigreur (Total en 25,0–29,9
Caractéristique de 145 Effectif de moyen (Total (Total (Maigreur modérée surpoids (en ≥30,0 Effectif de
sociodémographique cm femmes (IMC) normal) maigre) légère) et sévère) ou obèse) surpoids) (Obèse) femmes
Groupe d’âges
15–19 1,3 1 046 21,9 61,4 21,2 16,0 5,3 17,3 11,3 6,0 985
20–29 0,7 2 265 24,8 52,6 7,9 5,5 2,5 39,5 23,2 16,3 1 978
30–39 0,5 1 648 28,4 32,3 2,3 1,9 0,4 65,4 29,4 35,9 1 456
40–49 0,5 1 154 29,2 29,1 3,5 2,9 0,6 67,4 26,2 41,2 1 139
Résidence
Port Gentil/
Libreville 0,5 3 434 26,6 42,0 7,6 5,4 2,1 50,4 22,7 27,7 3 139
Autres villes 0,7 2 189 25,6 45,5 8,6 6,6 2,0 45,8 24,4 21,4 1 982
Ensemble urbain 0,6 5 623 26,2 43,4 8,0 5,9 2,1 48,6 23,4 25,3 5 121
Rural 1,7 490 25,0 52,0 7,0 5,7 1,3 41,0 22,7 18,4 437
Province
Libreville 0,6 2 743 26,6 42,1 7,5 5,6 1,9 50,4 23,4 27,1 2 518
Port-Gentil 0,3 691 26,8 41,8 7,8 4,8 3,0 50,4 20,1 30,3 621
Estuaire (sans
Libreville) 0,3 796 26,3 38,5 9,2 6,8 2,5 52,2 26,5 25,7 717
Haut-Ogooué 1,0 558 24,8 50,7 8,9 7,3 1,6 40,4 23,8 16,7 503
Moyen-Ogooué 0,1 192 25,2 48,1 9,0 6,0 3,0 42,9 21,7 21,2 174
Ngounié 1,4 249 24,5 56,8 7,1 5,5 1,6 36,1 22,4 13,7 226
Nyanga 0,5 116 24,3 51,4 13,5 10,9 2,6 35,1 21,2 13,9 104
Ogooué-Ivindo 2,8 136 24,7 53,4 9,3 8,0 1,2 37,3 20,7 16,6 118
Ogooué-Lolo 2,3 149 24,4 54,8 7,5 4,9 2,6 37,8 23,2 14,6 131
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 1,2 70 25,6 46,8 8,6 6,9 1,7 44,6 21,6 23,0 65
Woleu-Ntem 0,8 414 26,4 44,0 4,9 4,3 0,6 51,1 24,8 26,3 381
Niveau d’instruction
Aucun 0,7 380 26,3 51,0 4,0 3,5 0,5 45,0 18,4 26,6 352
Primaire 2,7 793 26,4 42,6 6,1 4,1 2,0 51,3 24,7 26,5 703
Secondaire 1er
cycle 0,5 2 684 25,8 44,8 9,1 7,4 1,7 46,1 22,5 23,6 2 435
Secondaire 2e cycle 0,3 1 367 26,1 45,2 8,6 4,8 3,8 46,1 21,8 24,4 1 252
Supérieur 0,0 889 26,6 38,2 6,3 5,3 1,0 55,5 29,2 26,2 817
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 1,5 1 007 24,6 53,4 8,8 6,6 2,2 37,8 22,7 15,1 885
Second 0,9 1 265 25,8 47,2 8,5 6,2 2,2 44,3 21,1 23,2 1 160
Moyen 0,3 1 273 25,5 48,6 9,0 7,1 1,9 42,4 20,9 21,6 1 162
Quatrième 0,4 1 371 27,0 37,2 6,6 5,0 1,5 56,2 26,2 30,0 1 233
Le plus élevé 0,5 1 197 27,4 36,2 7,0 4,6 2,3 56,8 25,4 31,4 1 118
Ensemble 15–49 0,7 6 113 26,1 44,0 7,9 5,9 2,0 48,0 23,3 24,7 5 558
50–64 1,0 1 050 28,5 31,0 2,5 1,7 0,8 66,4 29,5 36,9 1 050
Ensemble 15–64 0,7 7 163 26,5 42,0 7,0 5,2 1,8 51,0 24,3 26,7 6 608
2
Note : L’Indice de Masse Corporelle (IMC) est le ratio du poids en kilogrammes par rapport au carré de la taille en mètres (kg/m ).
1
Sont exclues les femmes enceintes et les femmes ayant eu une naissance dans les 2 mois précédents
Parmi les hommes de 15–49 ans, Indice de Masse Corporelle (IMC) moyen et pourcentage ayant certains niveaux d’IMC selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Indice de Masse Corporelle
Normal Maigre En surpoids/obèse
Indice de <17,0
Masse 17,0–18,4 (Maigreur ≥25,0 (Total
Caractéristique Corporelle 18,5–24,9 <18,5 (Total (Maigreur modérée et en surpoids 25,0–29,9 ≥30,0 Effectif
sociodémographique moyen (IMC) (Total normal) maigre) légère) sévère) ou obèse) (En surpoids) (Obèse) d’hommes
Groupe d’âges
15–19 20,7 72,9 22,5 15,7 6,7 4,6 2,7 2,0 1 012
20–29 22,6 75,5 6,7 5,5 1,2 17,8 14,8 3,0 1 599
30–39 24,5 54,5 4,2 3,7 0,5 41,3 30,5 10,8 1 469
40–49 25,5 47,2 2,1 2,0 0,1 50,7 33,7 17,0 1 117
Résidence
Port Gentil/
Libreville 23,6 59,5 8,2 6,4 1,9 32,3 22,7 9,6 3 011
Autres villes 23,0 66,5 8,2 6,4 1,9 25,2 18,8 6,4 1 735
Ensemble urbain 23,4 62,0 8,2 6,4 1,9 29,7 21,3 8,4 4 746
Rural 22,8 72,8 6,4 4,9 1,5 20,8 17,5 3,4 451
Province
Libreville 23,7 60,1 8,0 6,5 1,5 31,9 22,0 9,9 2 462
Port-Gentil 23,5 56,5 9,4 5,9 3,5 34,1 25,8 8,3 548
Estuaire (sans
Libreville) 23,4 62,9 7,5 5,3 2,2 29,6 21,5 8,1 660
Haut-Ogooué 22,9 65,5 9,1 7,8 1,4 25,4 21,3 4,1 439
Moyen-Ogooué 23,1 72,2 6,1 4,6 1,5 21,8 14,4 7,4 145
Ngounié 22,8 72,9 6,6 4,7 1,9 20,5 16,6 3,9 216
Nyanga 22,6 69,7 9,1 6,9 2,2 21,1 15,8 5,4 96
Ogooué-Ivindo 22,6 72,2 8,7 6,2 2,5 19,2 14,0 5,1 126
Ogooué-Lolo 22,6 68,4 9,6 7,5 2,1 22,0 17,9 4,2 120
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 23,1 66,0 8,1 6,5 1,7 25,8 18,3 7,5 65
Woleu-Ntem 22,7 73,6 7,1 6,1 1,0 19,3 14,9 4,5 320
Niveau d’instruction
Aucun 23,6 58,6 10,0 9,3 0,7 31,4 24,1 7,3 345
Primaire 22,8 66,3 10,0 7,8 2,2 23,6 18,5 5,1 578
Secondaire 1er
cycle 22,8 65,7 10,8 7,4 3,4 23,5 17,0 6,5 2 064
Secondaire 2e cycle 23,6 63,0 6,1 5,4 0,8 30,9 20,8 10,1 1 338
Supérieur 24,7 55,9 2,6 2,6 0,0 41,5 30,8 10,7 872
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 22,5 74,1 8,9 7,2 1,7 17,0 14,6 2,4 853
Second 22,9 68,3 8,8 6,9 1,9 22,9 17,1 5,8 1 021
Moyen 23,4 61,7 8,3 6,3 2,0 30,0 21,6 8,4 1 253
Quatrième 23,8 59,0 7,9 7,0 1,0 33,0 21,8 11,3 1 127
Le plus élevé 24,2 53,6 6,4 3,8 2,6 40,0 29,0 11,0 943
Ensemble 15–49 23,4 63,0 8,1 6,2 1,8 28,9 20,9 8,0 5 197
50–64 25,6 46,4 4,0 2,4 1,6 49,6 31,7 17,9 947
Ensemble 15–64 23,7 60,4 7,5 5,7 1,8 32,1 22,6 9,5 6 144
Note : L’Indice de Masse Corporelle (IMC) est le ratio du poids en kilogrammes par rapport au carré de la taille en mètres (kg/m2).
Pourcentage de femmes de 15–49 ans atteintes d’anémie, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Anémie selon le niveau d’hémoglobine
Anémie Légère Modérée Sévère
Caractéristique Non enceinte <12,0 g/dl 11,0–11,9 g/dl 8,0–10,9 g/dl <8,0 g/dl Effectif
sociodémographique Enceinte <11,0 g/dl) 10,0–10,9 g/dl) 7,0–9,9 g/dl) 7,0–9,9 g/dl de femmes
Groupe d’âges
15–19 72,0 32,3 36,2 3,5 1 010
20–29 63,5 27,8 33,0 2,7 2 164
30–39 62,4 24,7 33,5 4,3 1 579
40–49 64,9 23,5 35,5 5,9 1 115
Nombre d’enfants déjà
nés
0 67,8 28,3 35,0 4,5 1 611
1 62,1 28,1 29,9 4,2 1 116
2–3 65,8 27,2 36,6 2,0 1 753
4–5 61,9 23,6 33,5 4,8 901
6+ 64,8 24,5 33,9 6,4 487
Maternité
Enceinte 64,3 28,6 33,4 2,3 409
Allaite 60,0 30,4 28,7 0,9 696
Ni l’un, ni l’autre 65,7 26,2 35,0 4,4 4 764
Utilisation de cigarettes1
Fume des cigarettes 56,1 21,2 30,7 4,2 182
Ne fume pas des
cigarettes 65,2 27,1 34,3 3,9 5 686
Résidence
Port Gentil/Libreville 67,3 27,1 35,9 4,3 3 269
Autres villes 61,9 26,3 32,2 3,5 2 114
Ensemble urbain 65,2 26,8 34,4 4,0 5 382
Rural 62,4 28,3 31,5 2,6 486
Province
Libreville 66,6 27,3 34,7 4,7 2 614
Port-Gentil 69,8 26,3 40,5 2,9 655
Estuaire (sans Libreville) 67,7 25,7 37,5 4,5 724
Haut-Ogooué 55,5 24,1 29,2 2,3 562
Moyen-Ogooué 67,0 29,1 34,8 3,1 188
Ngounié 63,5 30,3 31,1 2,1 246
Nyanga 71,2 29,7 36,4 5,1 113
Ogooué-Ivindo 55,6 24,7 28,5 2,4 136
Ogooué-Lolo 66,2 29,4 34,0 2,8 148
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 63,7 28,3 31,4 4,0 70
Woleu-Ntem 55,5 27,3 24,9 3,3 412
Niveau d’instruction
Aucun 66,1 34,0 27,8 4,3 362
Primaire 62,9 26,1 33,2 3,6 787
Secondaire 1er cycle 66,3 27,0 35,3 4,0 2 588
Secondaire 2e cycle 61,8 25,7 32,3 3,8 1 317
Supérieur 67,2 26,2 37,5 3,6 815
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 65,5 29,2 32,7 3,6 1 000
Second 65,6 26,3 35,6 3,8 1 219
Moyen 65,7 25,8 34,9 5,0 1 224
Quatrième 65,2 27,8 33,1 4,3 1 328
Le plus élevé 62,6 25,7 34,5 2,3 1 097
Ensemble 15–49 64,9 26,9 34,2 3,9 5 868
50–64 53,0 24,2 27,1 1,7 1 133
Ensemble 15–64 63,0 26,5 33,0 3,5 7 002
Note : La prévalence est ajustée en fonction de l’altitude et du statut tabagique, si l’information est disponible, en utilisant les formules du CDC, 1998.
1
Y compris les cigarettes commerciales et cigarettes roulées
Parmi les femmes de 15–49 ans ayant eu un enfant au cours des 5 années ayant précédé l’enquête, répartition (en %) par nombre de jours
pendant lesquels elles ont pris du fer, sous forme de comprimés ou de sirop, pendant la grossesse de leur dernier enfant et pourcentage qui ont
pris des vermifuges au cours de la grossesse de leur dernier enfant et parmi les femmes de 15–49 ans ayant eu un enfant au cours des 5 années
ayant précédé l’enquête et qui vivent dans un ménage dans lequel le sel a été testé pour la présence d’iode, pourcentage vivant dans un ménage
disposant de sel iodé, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Parmi les femmes
ayant eu un enfant
Parmi les femmes ayant eu un enfant dans les 5 dernières années : dans les 5 dernières
Pourcen- années qui vivent
tage de dans un ménage dans
Nombre de jours pendant lesquels elles ont pris du fer, en comprimés femmes lequel le sel a été
ou en sirop, au cours de la grossesse de leur dernière naissance ayant pris testé :
des Pourcen-
vermifuges tage vivant
pendant la dans un
grossesse ménage
Ne sait de la disposant
Caractéristique pas/ dernière Effectif de de sel Effectif de
sociodémographique Aucun <60 60–89 90+ manquant Total naissance femmes iodé1 femmes
Groupe d’âges
15–19 8,3 28,7 7,0 24,9 31,2 100,0 68,0 276 94,1 169
20–29 6,2 25,6 3,8 37,9 26,5 100,0 80,2 2 092 98,0 1 311
30–39 6,3 22,0 3,7 44,1 23,9 100,0 84,9 1 593 99,0 1 006
40–49 9,9 26,1 4,1 38,1 21,9 100,0 82,7 409 96,1 273
Résidence
Port Gentil/Libreville 4,6 25,5 3,2 40,0 26,8 100,0 84,8 2 433 97,7 1 510
Autres villes 7,2 22,4 4,6 40,4 25,4 100,0 78,2 1 569 98,0 1 012
Ensemble urbain 5,6 24,3 3,7 40,1 26,3 100,0 82,3 4 002 97,8 2 523
Rural 19,1 27,0 6,9 31,1 15,9 100,0 71,8 368 99,0 236
Province
Libreville 4,2 27,9 2,2 35,3 30,4 100,0 85,5 1 941 97,9 1 200
Port-Gentil 6,2 15,8 7,0 58,2 12,7 100,0 82,1 492 96,9 310
Estuaire (sans
Libreville) 6,2 22,2 4,4 33,3 33,9 100,0 78,2 582 96,9 366
Haut-Ogooué 8,4 16,4 6,4 47,4 21,4 100,0 78,3 394 100,0 251
Moyen-Ogooué 5,9 43,3 2,0 28,2 20,7 100,0 84,0 132 100,0 80
Ngounié 13,4 7,9 2,6 51,5 24,6 100,0 74,7 182 95,5 110
Nyanga 9,7 49,4 6,4 14,8 19,8 100,0 74,1 82 96,7 53
Ogooué-Ivindo 19,1 17,2 4,5 43,8 15,4 100,0 69,9 113 96,4 75
Ogooué-Lolo 6,7 18,5 8,4 53,1 13,3 100,0 76,5 109 100,0 75
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 9,7 49,6 5,5 19,3 15,8 100,0 72,9 50 99,2 32
Woleu-Ntem 13,6 27,6 5,9 36,5 16,3 100,0 75,7 293 99,1 207
Niveau d’instruction
Aucun 11,3 23,4 5,3 30,2 29,9 100,0 88,8 311 95,9 207
Primaire 12,8 26,6 3,6 34,2 22,9 100,0 75,3 627 97,5 376
Secondaire 1er cycle 7,3 24,1 4,6 37,9 26,2 100,0 79,7 1 892 98,5 1 235
Secondaire 2e cycle 4,2 22,3 4,2 44,6 24,7 100,0 81,8 907 98,1 540
Supérieur 0,5 27,5 1,8 45,9 24,2 100,0 88,0 634 97,4 401
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 17,6 23,2 6,4 33,3 19,5 100,0 69,2 826 98,0 498
Second 5,6 27,0 4,8 40,8 21,9 100,0 79,8 949 99,2 588
Moyen 3,1 25,7 2,8 37,3 31,0 100,0 86,9 950 98,3 602
Quatrième 5,2 21,9 2,9 44,2 25,8 100,0 86,5 863 96,1 589
Le plus élevé 2,8 24,2 3,2 41,3 28,5 100,0 83,7 782 98,2 482
Ensemble 6,7 24,5 4,0 39,4 25,4 100,0 81,4 4 370 97,9 2 759
1
Non compris les femmes des ménages dans lesquels le sel n’a pas été testé
es informations sur la mortalité des enfants sont pertinentes pour l’évaluation démographique de la
Ce chapitre présente les niveaux, tendances et différentiels de la mortalité périnatale, néonatale, infantile et
infanto-juvénile. Il présente aussi les facteurs biodémographiques et les comportements procréateurs qui
contribuent à augmenter les risques de mortalité des enfants de moins de 5 ans. Les indicateurs de
mortalité sont calculés à partir d’information obtenues par l’historique des naissances, dans lequel les
femmes déclarent toutes les naissances qu’elles ont eues, ainsi que, pour chaque enfant, la date de
naissance, l’état de survie, l’âge actuel ou l’âge au décès.
La qualité des estimations de la mortalité calculées à partir des informations provenant de l’historique des
naissances dépend de la capacité de la mère à se souvenir de tous les enfants à qui elle a donné naissance
mais aussi de leur date de naissance et de leurs âges au décès. Les problèmes qui peuvent affecter la qualité
des données comprennent :
▪ L’omission sélective dans l’historique des naissances de celles qui n’ont pas survécu, ce qui peut
induire une sous-estimation de la mortalité des enfants.
▪ Le déplacement des dates de naissances, qui peut biaiser les tendances de la mortalité. Cela arrive
quand un enquêteur enregistre sciemment une naissance à une date différente de celle à laquelle elle
s’est produite. Cela peut aussi arriver quand un enquêteur essaye de diminuer sa charge de travail en
▪ La qualité de l’âge au décès. Une mauvaise déclaration de l’âge de l’enfant au décès peut biaiser les
variations par âge de la mortalité, en particulier si l’effet net de la mauvaise déclaration de l’âge est le
transfert des décès d’une tranche d’âges à une autre.
▪ Toute méthode de mesure de la mortalité des enfants qui repose sur les déclarations de la mère, comme
l’historique des naissances, suppose que la mortalité adulte féminine n’est pas élevée, ou si c’est le
cas, qu’il y a peu ou aucune corrélation entre les risques de mortalité des mères et ceux de leurs
enfants.
Des indicateurs de la qualité des données de la mortalité sur lesquels les estimations présentées, dans ce
chapitre sont basées, figurent en Annexe C (cf. Tableau C.3-C.6).
Au Gabon, le quotient de mortalité infantile pour la période des cinq années avant l’enquêté est estimé à
28 ‰ et celui de la mortalité juvénile à 12 ‰. Autrement dit, sur 1 000 naissances vivantes, 28 meurent
avant d’atteindre leur premier anniversaire et 12 décèdent entre le premier et le cinquième anniversaire.
Durant cette période, le risque global de décès entre la naissance et le cinquième anniversaire est estimé à
39 ‰, soit environ un enfant sur 25 (Tableau 12.1).
▪ Les risques de décéder des enfants sont plus élevés en milieu rural qu’en milieu urbain, cela quelle que
soit la composante de la mortalité des enfants. Le taux de mortalité infanto-juvénile varie de 76 ‰ en
milieu rural à 35 ‰ en milieu urbain. Quant au quotient de mortalité infantile, il varie de 41 ‰ à
26 ‰. C’est pour la mortalité néonatale que l’écart est le moins important (20 ‰ en rural contre 17 ‰
en urbain).
Les estimations des niveaux de mortalité selon d’autres caractéristiques sociodémographiques sont
calculées pour la période de 10 ans avant l’enquête (Tableau 12.3). Cette période de référence plus longue
permet de disposer dans chaque sous-groupe d’un nombre de cas suffisant pour le calcul des indicateurs de
mortalité des enfants.
▪ Le niveau de mortalité infanto-juvénile des enfants varie de manière importante entre les provinces :
ce sont les provinces de l’Ogooué-Ivindo (79 ‰), du Woleu-Ntem (64 ‰) et de l’Ogooué-Lolo (52 ‰)
qui enregistrent les niveaux de mortalité les plus élevés. À l’opposé, des niveaux plus faibles sont
observés dans les provinces de l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) (26 ‰), du Moyen-Ogooué
(33 ‰) ainsi que des villes de Port-Gentil (28 ‰) et de Libreville (32 ‰) (Carte 12.1).
▪ La mortalité infantile est plus élevée au Woleu-Ntem (46 ‰), à l’Ogooué-Ivindo (35 ‰) et à l’Estuaire
(sans Libreville) (34 ‰) et plus faible à Port-Gentil (21 ‰), au Haut-Ogooué (22 ‰) et à l’Ogooué-
Maritime (sans Port-Gentil) (23 ‰).
▪ La mortalité infanto-juvénile est plus faible chez Graphique 12.2 Mortalité infanto-juvénile
les enfants dont la mère n’a aucun niveau par niveau d’instruction de la mère
d’instruction (31 ‰) et plus élevé chez ceux Décès pour 1 000 naissances vivantes
dont elle a le niveau primaire (58 ‰) pour la période des 10 années ayant
(Graphique 12.2). On observe ces mêmes précédé l’enquête
variations pour la mortalité infantile, celle-ci
58
variant de 23 ‰ parmi les enfants dont la mère
n’a aucun niveau d’instruction à 37 ‰parmi
36 35 34
ceux dont elle a le niveau primaire). 31
▪ Les risques de décès des enfants de moins de 5 ans varient de manière importante avec l’âge de la
mère à la naissance de l’enfant. Les enfants nés d’une mère dont l’âge à la naissance est précoce
(moins de 20 ans) ou tardif (30-39 ans) courent des risques plus élevés de décéder que ceux dont la
mère avait 20-29 ans à leur naissance. Le quotient de mortalité infanto-juvénile est estimé à 42 ‰ pour
les enfants dont l’âge de la mère à la naissance est inférieur à 20 ans et pour ceux dont l’âge de la mère
à la naissance est compris entre 30 et 39 ans et à 33 ‰ pour les enfants dont l’âge de la mère est
compris entre 20 ans et 29 ans.
▪ Le risque de décès des enfants de moins de 5 ans varie aussi selon le rang de naissance des enfants.
Les enfants de rang 1 et ceux de rangs élevés (7 ou plus) courent un risque plus élevé de décès.
Concernant la mortalité infantile, le taux est
estimé à 28 ‰ pour le rang 1 et à 58 ‰ pour les
Graphique 12.3 Mortalité des enfants de
moins de 5 ans selon l’intervalle avec la
rangs 7 ou plus contre 24 ‰ pour les rangs 2-3.
naissance précédente
▪ Le risque de décès des enfants de moins de 5 ans Décès pour 1 000 naissances vivantes
diminue avec l’augmentation de l’intervalle pour la période des 10 années ayant
précédé l’enquête
entre les naissances. Le niveau de la mortalité
infanto-juvénile varie de 58 ‰ quand <2 années 2 années 3 années 4 années +
l’intervalle est inférieur à 2 ans à 26 ‰ quand il
58
est de 4 ans ou plus. Le taux de mortalité
infantile varie respectivement de 43 ‰ à 18 ‰ 43 41 44
(Graphique 12.3).
28 26 26
18
Pour la période des cinq années ayant précédé l’EDSG-III, le taux de mortalité périnatale est estimé à
26 ‰ au Gabon (Tableau 12.4). Ce taux varie de manière importante en fonction de certaines
caractéristiques sociodémographiques des mères.
▪ Le taux de mortalité périnatale est nettement plus élevé quand l’âge de la mère à la naissance est tardif
(83 ‰ contre 21 ‰-25 ‰ dans les autres groupes d’âges).
▪ Le risque de mortalité périnatale est plus élevé Graphique 12.4 Mortalité périnatale par
en milieu rural (30 ‰) qu’en milieu urbain bien-être économique du ménage
(25 ‰). C’est à Port-Gentil/Libreville que la Décès pour 1 000 grossesses de 7 mois
mortalité périnatale est la plus faible (21 ‰), en ou plus pour les 5 années ayant
dessous de la moyenne nationale et du milieu précédé l’enquête
rural.
La survie des nourrissons et des enfants dépend en partie des caractéristiques démographiques et
biologiques de leur mère. Généralement, la probabilité de décès en bas âge est nettement plus élevée chez
les enfants nés de mères trop jeunes (moins de 18 ans) ou trop âgées (plus de 34 ans), chez les enfants nés
après un court espacement des naissances (moins de 24 mois après la naissance précédente) et chez les
enfants nés de mères à parité élevée (plus de trois enfants). Le Tableau 12.5 présente la répartition (en %)
des enfants nés au cours des cinq années précédant l’enquête par catégorie de risque élevé de mortalité
(ainsi que les ratios de risques) et la répartition (en %) des femmes actuellement en union par catégorie de
risque si elles concevaient un enfant au moment de l’enquête.
▪ Au Gabon, parmi les naissances ayant eu lieu au cours des cinq années ayant précédé l’enquête, 31 %
ne se trouvent dans aucune catégorie de hauts risques. Par contre, 21 % des naissances sont classées
dans une catégorie de hauts risques inévitables qui comprennent les naissances de rang 1, celles des
femmes de 18-34 ans et qui présentent un risque de mortalité 1,30 fois plus élevé que celles
n’appartenant à aucune catégorie à haut risque.
▪ Près de la moitié des naissances (48 %) des cinq années ayant précédé l’enquête entrent dans une
catégorie à hauts risques évitables dont 31 % sont à haut risque unique et 17 % à hauts risques
multiples.
Les ratios de risques indiquent l’association entre des facteurs de risques et la mortalité des enfants. Une
naissance appartenant à une catégorie quelconque à haut risque unique court un risque de décéder 1,20 fois
supérieur à celle n’appartenant à aucune catégorie à hauts risques évitables. Un intervalle intergénésique
court (moins de 24 mois) apparait comme le facteur de risque le plus élevé ; les enfants dont la naissance a
eu lieu moins de 24 mois après la naissance précédente courent un risque de décéder 1,37 fois plus élevé
que la catégorie de référence. Un âge tardif à la naissance affecte aussi les risques de décès des enfants : les
enfants dont la mère était âgée de plus de 34 ans à leur naissance courent un risque de décéder 1,29 fois
plus élevé que la catégorie de référence.
La combinaison des facteurs de risque, évoqués ci-dessus, contribue à une augmentation des risques à la
naissance. Le ratio de risque parmi les naissances classées dans la catégorie à hauts risques multiples
Dans l’ensemble, 74 % des femmes actuellement en union seraient susceptibles de donner naissance à un
enfant qui entrerait dans une catégorie de hauts risques évitables : 31 % appartiendraient à la catégorie de
haut risque unique et 43 % à la catégorie de hauts risques multiples.
1
Calculé par différence entre les taux de mortalité infantile et néonatale
Tableau 12.2 Quotients de mortalité des enfants sur 5 ans selon certaines caractéristiques
Quotients de mortalité néonatale, postnéonatale, infantile, juvénile et infanto-juvénile des enfants de moins de 5 ans pour la période
des 5 années ayant précédé l’enquête, selon certaines caractéristiques démographiques, EDSG-III 2019–21
Mortalité Mortalité Mortalité Mortalité Mortalité
Caractéristique néonatale post-néonatale infantile juvénile infanto-juvénile
démographique (NN) (PNN)1 (1q0) (4q1) (5q0)
Sexe de l’enfant
Masculin 18 8 26 14 40
Féminin 17 12 29 10 38
Résidence
Port Gentil/Libreville 14 6 20 4 24
Autres villes 23 13 35 17 51
Ensemble urbain 17 9 26 9 35
Rural 20 21 41 37 76
Ensemble 18 10 28 12 39
1
Calculé par différence entre les taux de mortalité infantile et néonatale
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 250–499 cas non pondérés de personnes années d’exposition. Un astérisque
indique qu’une valeur est basée sur moins de 250 personnes années d’exposition au risque de décéder et qu’elle a été supprimée.
na = non disponible
1
Calculé par différence entre les taux de mortalité infantile et néonatale.
2
Non compris les naissances de rang 1
3
Quotients pour la période des 5 années avant l’enquête
1
Les mort-nés sont des décès fœtaux qui se sont produits à 7 mois ou plus de grossesse.
2
Les décès néonatals précoces sont des décès qui se sont produits à 0–6 jours parmi les enfants nés vivants.
3
Équivaut à la somme du nombre de mort-nés et de décès néonatals précoces divisée par le nombre de grossesse à 7 mois
ou plus, exprimé pour 1 000
4
Les catégories correspondent aux intervalles entre naissances de < 24 mois, 24–35 mois, 36–47 mois et 48 mois ou+ en
supposant une durée de grossesse de 9 mois.
Note : Le rapport de risque est le rapport de la proportion de naissances décédées parmi les naissances appartenant à une
catégorie à haut risque spécifique à la proportion de naissances décédées parmi celles n’appartenant à aucune catégorie à
hauts risques. La valeur entre parenthèse est basée sur 25–49 cas non pondéré. Un astérisque indique qu’une valeur est
basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
na = non applicable
1
Les femmes sont classées dans les catégories à risque selon le statut qu’elles auraient à la naissance de l’enfant si elles
concevaient un enfant au moment de l’enquête : âge actuel inférieur à 17 ans et 3 mois ou supérieur à 34 ans et 2 mois, la
dernière naissance a eu lieu il y a 15 mois ou la dernière naissance était de rang 3 ou plus.
2
Y compris la catégorie : âge < 18 ans et rang de naissance > 3
a
Y compris les femmes stérilisées
L
e paludisme est une maladie parasitaire fébrile causée par la piqûre d’un moustique femelle infesté
du genre anophèles. Selon le dernier rapport mondial de l’OMS de 2021 sur le paludisme dans le
monde, le nombre de cas de paludisme a été estimé à 241 millions en 2020 contre 227 millions en
2019, ce qui représente une augmentation de près de 14 millions de cas de paludisme. La maladie a causé
534 000 morts en 2019 contre 602 000 en 2020, soit une augmentation de 68 000 décès dans le monde.
L’Afrique subsaharienne continue de porter le fardeau du paludisme le plus lourd, représentant environ
95 % de tous les cas de paludisme et 96 % de tous les décès en 2020. Environ 80 % des décès dans la
région concernent des enfants de moins de 5 ans (World Malaria Report 2021 WHO). L’OMS a noté dans
le même rapport un ralentissement des progrès, en particulier dans les pays où la charge de la morbidité est
Paludisme • 265
élevée. Les déficits de financement ont entravé l’accès à des outils de lutte contre le paludisme qui ont fait
leur preuve comme, entre autres, l’utilisation de moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) ou le recours
au traitement préventif intermittent (TPIg) pendant la grossesse.
Depuis 2015, les taux de progression des cas et des décès sont restés stagnants dans de nombreux pays où
la transmission du paludisme est modérée ou élevée ; la situation a été aggravée, en particulier en Afrique
subsaharienne, par les perturbations de la pandémie de COVID-19 et d’autres urgences humanitaires
(épidémie d’Ébola).
Au Gabon, la transmission du paludisme est pérenne avec trois espèces plasmodiales qui sont présentes : le
plasmodium malariae ; le plasmodium ovalae et le plasmodium falciparum. La dernière espèce, le
plasmodium falciparum, est responsable d’accès pernicieux diagnostiqué à lui seul dans 96 % des
prélèvements.
Le paludisme est classé parmi les problèmes de santé prioritaires dans la Politique nationale de santé. De
plus, la transmission du paludisme est stable et pérenne tout au long de l’année, sur l’ensemble du territoire
national. Toute la population est à risque, même si les enfants de moins de 5 ans et les femmes enceintes
représentent les populations les plus à risque de paludisme grave.
Sur la base des engagements et cibles fixés au niveau mondial, régional et national, le Plan stratégique
national de lutte contre le paludisme 2017–21 s’est fixé comme but de réduire d’au moins 40 %, au plus
tard en décembre 2021, la morbidité et la mortalité liées au paludisme par rapport à 2015.
Ce chapitre présente les données utiles pour évaluer l’efficacité des stratégies de contrôle du paludisme qui
ont été mises en place, stratégies qui comprennent la disponibilité et l’utilisation de moustiquaires. La
prophylaxie du paludisme se fait uniquement pour la femme enceinte avec la Sulfadoxine Pyriméthamine
(SP) et le traitement thérapeutique à base des combinaisons thérapeutiques à base d’artémisinine (CTA), le
test de diagnostic des enfants avec de la fièvre ainsi que la prévalence de l’anémie et du paludisme parmi
les enfants de moins de 5 ans.
266 • Paludisme
Couverture universelle en MII dans les ménages
Pourcentage de ménages avec, au moins, une MII pour deux personnes.
Échantillon : Ménages
Les résultats de l’EDSG-III indiquent que, dans l’ensemble, environ un ménage sur cinq (21 %) disposait
d’au moins une MII. En moyenne, un ménage disposait de 0,4 MII (Tableau 13.1). Un ménage sur dix
(10 %) a au moins une MII pour deux personnes qui ont passé la nuit avant l’interview dans le ménage.
Tendances : Sur la période allant de 2012 à 2019–21, le pourcentage de ménages possédant au moins une
MII a diminué de 15 points de pourcentage, passant de 36 % à 21 %.
▪ La possession d’au moins une MII par les ménages est plus élevée en milieu rurale (29 %) qu’en
milieu urbaine (21 %).
▪ C’est dans les provinces de la Nyanga (54 %), de l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) (41 %), de la
Ngounié (34 %) et de l’Ogooué-Ivindo (34 %) que la possession de MII est la plus élevée. Par contre,
les provinces de l’Estuaire (sans Libreville) (20 %), les deux grandes villes du pays, Libreville (19 %)
et Port-Gentil (17 %) enregistrent les plus faibles pourcentages de ménages possédant une MII (Carte
13.1).
Paludisme • 267
Carte 13.1 Possession de MII par Province
Pourcentage de ménages possédant au moins une MII
28 26
21 18 14
268 • Paludisme
Source des moustiquaires Graphique 13.2 Source
d’approvisionnement des MII
À l’exception de la distribution de routine (visites
Répartition (en %) des MII dans les
prénatales) ou de celle localisée de moustiquaires, le ménages interviewés
Gabon n’a pas encore organisé une campagne
Campagne de
nationale de distribution de masse de moustiquaires ;
distribution 30
la toute première est prévue pour l’année 2024. (localisée)
Distribution visite
La principale source d’obtention des MII est la prénatale
9
boutique/marché pour près d’un ménage sur deux
(49 %), suivie par la campagne de distribution1 Distribution PEV 2
(30 %). Dans 9 % des cas, c’est lors des visites
prénatales que la MII a été obtenue et, dans 2 % de Distribution
établissement de 2
cas, lors de la visite pour la vaccination santé/pharmacie
(Tableau 13.2 et Graphique 13.2).
Boutique/Marché 49
Autre 8
13.3 ACCÈS AUX MII ET UTILISATION DES MII DANS LES MÉNAGES
L’accès aux MII est mesuré par le pourcentage de la population qui aurait pu dormir sous une MII si
chaque MII du ménage était utilisée par deux personnes au maximum. La comparaison de cet indicateur
avec ceux concernant l’utilisation peut aider les programmes à identifier les obstacles empêchant
l’utilisation des MII, à orienter ou réorienter les stratégies et à mettre en place les interventions
appropriées. Dans l’ensemble, 16 % de la population de fait des ménages ont accès à une MII
(Tableau 13.3) et 14 % des membres des ménages ont dormi sous une MII la nuit avant l’interview
(Tableau 13.5). Tout comme la possession, le niveau de l’accès et celui de l’utilisation sont aussi très
faible au Gabon. En comparant l’accès et l’utilisation, il y a un écart de 2 points de pourcentage. Le
Tableau 13.5 montre également que parmi les ménages ayant au moins une MII, 59 % de la population
l’ont utilisée pour dormir la nuit avant l’interview. En outre, 82 % des MII existantes ont été utilisées la
nuit ayant précédé l’interview (Tableau 13.6).
1
Le Gabon n’a pas encore organisé une campagne nationale de distribution de masse de MII. Cependant, des
campagnes localisées de distribution de MII ont déjà été effectuées dans des localités/villes/provinces.
Paludisme • 269
Tendances : Entre 2012 et 2019–21, on observe une Graphique 13.3 Accès et utilisation des
nette tendance à la baisse de l’accès aux MII et de MII : tendances
leur utilisation. Concernant l’accès, le pourcentage Pourcentage de la population des
est passé de 27 % à 16 % et celui de l’utilisation par ménages ayant accès aux MII et
les membres des ménages de 27 % à 14 %. En outre, pourcentage de la population ayant dormi
sous une MII la nuit avant l’interview
en 2012, les pourcentages d’accès et d’utilisation
étaient quasiment identiques. En 2019–21, on note Accès à une MII A dormi sous une MII
un léger écart (Graphique 13.3).
▪ Le pourcentage de la population de fait des ménages ayant accès à une MII est plus élevée dans les
provinces de la Nyanga (44 %) et de l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) (31 %). Ce sont la
province du Woleu-Ntem (13 %) et la ville de Port-Gentil (11 %) qui enregistrent les pourcentages les
plus faibles (Tableau 13.4 et Carte 13.2). En ce qui concerne l’utilisation, les mêmes tendances sont
observées.
270 • Paludisme
Carte 13.2 Accès aux MII par province
Pourcentage de la population des ménages ayant accès à une MII
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, les pourcentages de ménages ayant
accès aux MII et ceux ayant dormi sous une MII la nuit avant l’interview diminuent, passant pour
l’accès de 21 % à 9 % et pour l’utilisation de 21 % à 7 %.
13.4 UTILISATION DES MII PAR LES ENFANTS ET LES FEMMES ENCEINTES
Dans l’ensemble des ménages, près d’un enfant de moins de 5 ans sur cinq (19 %) a dormi sous une MII la
nuit avant l’interview. Dans les ménages possédant au moins une MII, ce pourcentage est de 68 %
(Tableau 13.7).
Parmi les femmes de 15 à 49 ans enceintes, 14 % avaient dormi sous une MII la nuit avant l’enquête. Dans
les ménages possédant au moins une MII, ce pourcentage est plus élevé puisqu’il concerne 63 % des
femmes enceintes (Tableau 13.8).
Tendances : La comparaison des résultats avec l’EDSG-II 2012 met en évidence une baisse de l’utilisation
de la MII, que ce soit parmi les enfants de moins de 5 ans ou parmi les femmes de 15–49 ans enceintes : en
effet, de 39 % en 2012, le pourcentage d’enfants ayant dormi sous une MII est passé à 19 % en 2019–21,
soit une baisse de 20 points de pourcentage. On constate aussi cette tendance à la baisse parmi les enfants
vivant dans un ménage ayant au moins une MII, le pourcentage étant passé de 72 % à 68 %. Concernant
les femmes enceintes, le pourcentage de celles ayant dormi sous une MII est passé de 29 % à 14 % ; parmi
Paludisme • 271
les femmes enceintes vivant dans un ménage ayant au moins une MII, le taux d’utilisation est passé de
64 % à 63 %.
▪ L’utilisation de la MII est plus fréquente en milieu rural qu’en milieu urbain : le pourcentage d’enfants
de moins de 5 ans ayant dormi sous une MII la nuit avant l’interview varie de 23 % en milieu rural à
19 % en milieu urbain (Tableau 13.7). Parmi les femmes enceintes, le taux d’utilisation varie de 24 %
en milieu rural à 13 % en milieu urbain (Tableau 13.8).
▪ L’utilisation de MII par les enfants ou par les femmes enceintes est plus élevée dans les provinces de la
Nyanga (respectivement 51 % et 39 %), de la Ngounié (respectivement 35 % et 34 %) et de l’Ogooué-
Maritime (sans Port-Gentil) (34 % parmi les enfants) et plus faible dans celle du Woleu-Ntem
(respectivement 13 % et 8 %) et la ville de Port-Gentil (respectivement 15 % et 8 %).
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, le taux d’utilisation de la MII diminue,
passant chez les enfants de 24 % à 11 % (Tableau 13.7) et chez les femmes enceintes de 21 % à 11 %
(Tableau 13.8).
L’infection palustre durant la grossesse est un problème majeur de santé publique au Gabon, comportant
des risques importants pour la mère, le fœtus et le nouveau-né. Le traitement préventif intermittent du
paludisme pendant la grossesse (TPIg) est un protocole thérapeutique complet d’antipaludiques
administrés aux femmes enceintes au cours de visites prénatales de routine pour prévenir le paludisme. Le
TPIg permet de prévenir les épisodes de paludisme chez la mère, l’anémie maternelle et fœtale, il permet
également la réduction de la parasitémie placentaire, le faible poids à la naissance et la mortalité néonatale.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande une approche à 3 volets pour réduire les
conséquences négatives sur la santé associées au paludisme pendant la grossesse (PPG) : diagnostic et
traitement rapide de l’infection confirmée, utilisation de moustiquaires imprégnées d’insecticide et TPIg
(OMS 2004). La Sulfadoxine-pyriméthamine (SP), appelée aussi Fansidar ou Maloxine est le médicament
recommandé pour le TPIg au Gabon. Depuis plus de 10 ans, le ministère en charge de la Santé a mis en
place le TPIg, consistant en l’administration d’au moins 2 doses de sulfadoxine-pyriméthamine (SP) au
cours des visites prénatales de routine au second et troisième trimestre de grossesse (TPIg2+) pour protéger
la mère et l’enfant du paludisme. En 2013, le Programme national de lutte contre le paludisme a adopté la
recommandation de l’OMS 2012 consistant à administrer 1 dose de SP lors de chaque visite prénatale à
partir de la 16ème semaine d’aménorrhée, en respectant un intervalle d’au moins un mois entre les doses
jusqu’à 6 doses, si possible. L’indicateur de l’enquête utilisé pour mesurer la couverture de cette
intervention est le pourcentage de femmes ayant eu une naissance vivante au cours des deux années ayant
précédé l’enquête qui ont reçu trois doses ou plus de SP pour prévenir le paludisme au cours de leur
grossesse la plus récente (TPIg3+).
Parmi les femmes de 15 à 49 ans ayant eu une naissance vivante au cours des deux années précédant
l’enquête, 88 % ont reçu une dose ou plus de SP (Fansidar/Maloxine) pour prévenir le paludisme. Plus de
trois femmes sur cinq (61 %) ont reçu deux doses ou plus de SP (Fansidar/Maloxine) et dans seulement
38 %, c’est-à-dire moins de 2 femmes sur cinq, ont reçu au moins trois doses (Tableau 13.9).
272 • Paludisme
Variations par caractéristique
▪ Les pourcentages de femmes enceintes ayant reçu au moins trois doses ou plus de SP
(Fansidar/Maloxine) sont pratiquement identiques en milieu urbain et rural (38 % en milieu urbain et
37 % en milieu rural).
▪ La proportion, des femmes enceintes ayant pris au moins les trois doses de SP, est plus élevée dans les
provinces du Woleu-Ntem (59 %), de la Nyanga (47 %) et du Moyen-Ogooué (44 %) et elle est plus
faible dans celle du Haut-Ogooué (28 %).
▪ La proportion des femmes enceintes ayant pris la troisième dose ou plus de SP varie très peu en
fonction du niveau d’instruction et du quintile de bien-être économique (Tableau 13.9).
Parmi les informations collectées lors de l’EDSG-III sur la santé des enfants de moins de 5 ans, figurent
celles concernant les épisodes de fièvre et leurs traitements. La fièvre étant le principal signe clinique du
paludisme, on a demandé, si les enfants de moins de 5 ans avaient eu de la fièvre au cours des 2 semaines
précédant l’interview. Si la réponse était positive, on posait alors une série de questions sur le traitement de
la fièvre. Ces questions portaient, entre autres, sur la prise de médicaments antipaludiques et sur le moment
où le traitement avait été administré pour la première fois.
Il ressort des résultats du Tableau 13.10 qu’au cours des 2 semaines ayant précédé l’interview, 22 % des
enfants de moins de 5 ans avaient présenté de la fièvre. Parmi les enfants malades, des conseils et
traitements ont été recherchés pour 76 % d’entre eux. Par ailleurs, 14 % des enfants malades ont bénéficié
d’un test de diagnostic rapide au doigt ou au talon.
Paludisme • 273
Au cours de l’enquête, les enquêtrices ont, non seulement demandé aux mères dont l’enfant avait eu de la
fièvre au cours des deux semaines avant l’interview si un traitement ou des conseils avaient été recherchés,
mais aussi l’endroit où l’on s’était adressé. Les résultats présentés au Tableau 13.11 montrent que c’est
principalement dans le secteur médical privé que les enquêtés ont recherché des conseils ou un traitement
contre la fièvre, surtout pour les enfants malades et pour lesquels on avait recherché une prise en charge
(56 %).
Parmi les enfants de moins de 5 ans ayant eu de la fièvre au cours des 2 semaines ayant précédé l’interview
et qui ont reçu un antipaludique : 56 % ont été traités avec une CTA, 8 % avec de la SP/Fansidar, 8 % avec
de l’Amodiaquine/Flavoquine/Camoquin/Maloxine/Nivaquine. La quinine (1 %), le quinimax (1 %) et la
chloroquine (moins d’un pour cent) sont moins fréquemment utilisés (Tableau 13.12). Cependant
seulement 3 % de ces enfants ont pris la CTA le jour même où le jour suivant l’apparition de la fièvre.
▪ Pour 43 % d’enfants ayant eu de la fièvre, on s’est adressé au secteur médical privé pour rechercher
des conseils ou un traitement, essentiellement dans une pharmacie (38 % pour l’ensemble des enfants
avec de la fièvre et 50 % pour ceux, avec de la fièvre et pour lesquels on a recherché des conseils ou
un traitement) (Tableau 13.11).
▪ Le secteur médical public est moins sollicité que celui privé pour obtenir des conseils ou un traitement
contre la fièvre (39 %). Dans ce secteur, c’est surtout dans un hôpital/centre de santé du gouvernement
que l’on s’est adressé pour les conseils ou un traitement (24 % pour les enfants ayant de la fièvre et
31 % pour ceux ayant de la fièvre et pour lesquels on a recherché des conseils ou un traitement).
Tendances : Entre 2012 et 2019–21, le pourcentage d’enfants fébriles pour lesquels un traitement ou des
conseils ont été recherchés a augmenté, passant de 70 % à 76 %. Par contre, le pourcentage d’enfants ayant
eu de la fièvre et à qui on a prélevé du sang pour être testé n’a pratiquement pas changé (15 % en 2012 et
14 % en 2019–21).
▪ Dans les provinces, le pourcentage d’enfants pour lesquels on a recherché des conseils ou un
traitement pour la fièvre varie de 48 % dans l’Ogooué-Ivindo à 86 % dans le Haut-Ogooué.
▪ En milieu urbain, des conseils et des traitements ont été recherchés pour 77 % des enfants malades
contre seulement 60 % en milieu rural.
▪ Dans 56 % des cas, des conseils ou un traitement contre la fièvre pour les enfants malades ont plus
souvent été recherchés dans le secteur médical privé (56 %) que dans celui public (39 %)
(Tableau 13.11).
▪ Le pourcentage d’enfants à qui on a administré une CTA est un peu plus élevé en milieu rural qu’en
milieu urbain (60 % contre 56 %) et beaucoup plus élevé dans les autres villes qu’à Port-
Gentil/Libreville (64 % contre 51 %) (Tableau 13.12).
274 • Paludisme
13.7 PRÉVALENCE DU FAIBLE NIVEAU D’HÉMOGLOBINE CHEZ LES
ENFANTS
L’anémie est un état pathologique caractérisé par une baisse anormale du taux d’hémoglobine dans le sang.
Il provoque une diminution de la quantité d’oxygène dans les tissus et les organes du corps et réduit leur
capacité de fonctionnement. L’anémie est associée à des troubles du développement moteur et cognitif
chez l’enfant. Les principales causes de l’anémie chez les enfants sont le paludisme et une carence en fer,
en folates, en vitamine B12, ou en d’autres nutriments. D’autres problèmes comme des infections causées
par des vers intestinaux, les hémoglobinopathies et la drépanocytose peuvent aussi être responsables de
l’anémie. Bien que l’anémie ne soit pas spécifique au paludisme, les tendances de la prévalence de
l’anémie peuvent refléter la morbidité causée par le paludisme et elles varient en fonction des changements
de la couverture des interventions dans le domaine du paludisme (Korenromp 2004). Les interventions
dans le domaine du paludisme ont été associées à une réduction de 60 % du risque d’anémie en utilisant un
seuil de 8g/dl (RBM 2003).
Dans l’ensemble, le taux de couverture des tests d’hémoglobine est élevé, un échantillon de sang ayant été
prélevé pour 95 % des enfants éligibles (Tableau 13.13). Les résultats montrent que, sur le plan national,
5 % des enfants de 6–59 mois ont un taux d’hémoglobine inférieur à 8,0 g/dl et peuvent être considérés
comme présentant une anémie (Tableau 13.14).
Tendances : Depuis la dernière enquête de 2012, le pourcentage d’enfants de 6–59 mois ayant un taux
d’hémoglobine inférieur à 8,0 g/dl est demeuré constant (5 %).
▪ La proportion d’enfants dont le niveau d’hémoglobine est inférieur à 8,0g/dl est deux fois plus élevée
en milieu rural par rapport au milieu urbain (10 % contre 5 %).
▪ La prévalence du faible niveau d’hémoglobine parmi les enfants de 6–59 mois varie de 14 % dans
l’Ogooué-Ivindo à 3 % à Port-Gentil ou dans l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil).
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, la prévalence du faible niveau
d’hémoglobine diminue passant de 9 % à moins d’un pour cent.
Dans tous les ménages, tous les enfants âgés de 6–59 mois étaient éligibles pour un test de diagnostic
rapide (TDR). La prévalence parasitaire du paludisme chez les enfants de 6–59 mois selon le résultat du
TDR indique que, pour, plus d’un enfant de 6–59 mois sur dix (13 %), le test s’est révélé positif
(Tableau 13.15).
Paludisme • 275
Variations par caractéristique
▪ La prévalence du Paludisme parmi les enfants de 6–59 mois est plus de trois fois plus élevée en milieu
rural (35 %) qu’en milieu urbain (10 %).
▪ Les enfants dont la mère n’a pas été interviewée et ne vivait pas dans le ménage semblent plus exposés
au paludisme par rapport à ceux dont la mère vivait dans le ménage et a été interviewée. En effet, la
prévalence du paludisme est nettement plus élevée parmi les enfants dont la mère n’a pas été
interviewée et ne vivait pas dans le ménage (19 %) par rapport à ceux dont elle n’a pas été interviewée
mais vivait dans le ménage (9 %) et à ceux dont la mère a été interviewée (11 %).
▪ Selon les provinces, l’Ogooué-Ivindo (43 %) et le Woleu-Ntem (36 %) présentent les niveaux de
prévalence les plus élevés. À l’opposé, c’est dans la province de l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil)
(4 %), la ville de Libreville (4 %) et celle de Port-Gentil (1 %) que l’on observe les niveaux les plus
faibles (Carte 13.3).
▪ La prévalence du paludisme chez les enfants de 6–59 mois varie selon le niveau d’instruction de la
mère, passant de 8 % parmi les enfants dont la mère n’a aucun niveau d’instruction à un maximum de
21 % parmi ceux dont la mère a le niveau primaire ; à partir de ce niveau, la prévalence baisse
276 • Paludisme
sensiblement : de 14 % quand la mère a le niveau secondaire 1er cycle à 5 % quand elle a le niveau
secondaire 2e cycle et à 1 % quand elle a le niveau supérieur.
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, la prévalence du paludisme diminue,
passant de 34 % à 1 %.
Paludisme • 277
Tableau 13.1 Possession de moustiquaires par les ménages
Pourcentage de ménages qui possèdent, au moins, une moustiquaire (traitée ou non traitée) et une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) ; nombre moyen de
moustiquaires et de MII par ménage ; et pourcentage de ménages qui possèdent, au moins, une moustiquaire et une MII pour deux personnes qui ont passé la nuit avant
l’interview dans le ménage, selon certaines caractéristiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage de ménages ayant,
au moins, une moustiquaire pour
deux personnes qui ont passé
Pourcentage de ménages ayant, Nombre moyen de moustiquaires la nuit avant l’interview Effectif de
au moins, une moustiquaire par ménage dans le ménage ménages avec
Une Une Une au moins une
moustiquaire moustiquaire moustiquaire personne qui a
Une imprégnée Une imprégnée Une imprégnée passé la nuit
moustiquaire d’insecticide moustiquaire d’insecticide Effectif de moustiquaire d’insecticide avant l’interview
Caractéristique quelconque (MII)1 quelconque (MII)1 ménages quelconque (MII)1 dans le ménage
Résidence
Port Gentil/
Libreville 31,6 18,3 0,5 0,3 6 451 14,5 7,2 6 415
Autres villes 37,6 24,1 0,7 0,4 3 991 19,8 11,3 3 978
Ensemble urbain 33,9 20,5 0,6 0,3 10 442 16,5 8,8 10 394
Rural 44,1 28,5 0,8 0,5 1 339 29,9 17,8 1 331
Province
Libreville 32,6 18,7 0,6 0,3 5 260 15,1 7,2 5 228
Port-Gentil 27,0 16,8 0,4 0,2 1 192 11,9 7,1 1 187
Estuaire (sans
Libreville) 29,5 19,6 0,5 0,3 1 558 16,8 10,9 1 550
Haut-Ogooué 40,4 21,0 0,8 0,3 995 21,0 8,7 992
Moyen-Ogooué 47,0 27,2 0,8 0,5 409 28,2 13,9 409
Ngounié 52,4 34,2 1,0 0,7 552 30,5 18,2 551
Nyanga 70,3 54,2 1,5 1,1 252 47,1 31,8 249
Ogooué-Ivindo 46,3 34,1 0,9 0,6 288 22,9 15,1 287
Ogooué-Lolo 38,6 24,9 0,7 0,4 306 21,4 12,1 304
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 55,8 41,3 1,1 0,8 148 36,7 25,5 148
Woleu-Ntem 28,9 19,0 0,5 0,3 821 16,2 9,4 819
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 45,6 27,6 0,8 0,5 2 595 28,1 15,3 2 573
Second 41,9 25,6 0,8 0,4 2 383 21,1 11,8 2 366
Moyen 35,6 21,0 0,6 0,4 2 359 17,2 8,4 2 346
Quatrième 27,5 17,9 0,5 0,3 2 269 11,8 6,8 2 266
Le plus élevé 22,2 13,7 0,4 0,2 2 175 10,3 5,8 2 175
Ensemble 35,0 21,4 0,6 0,4 11 781 18,0 9,8 11 724
1
Une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) est une moustiquaire qui a été imprégnée industriellement par le fabricant et qui ne nécessite pas de traitement
supplémentaire. Dans l’EDSG-II 2012, c’était connu sous le nom de Moustiquaire Imprégnée à Longue Durée d’Action (MILDA).
278 • Paludisme
Tableau 13.2 Source d’obtention des moustiquaires
Répartition (en %) des moustiquaires par source d’obtention, selon certaines caractéristiques, EDSG-III 2019–21
Établis-
sement
Cam- Visite de santé Établis- Insti- Ne sait Effectif
pagne Visite pour du sement Bou- tution ONG/ pas/ de
de distri- pré- vac- gouver- de santé Phar- tique/ reli- associ- Agent de man- mous-
Caractéristique bution natale cination nement privé macie marché gieuse ation santé Autre quant Total tiquaires
Type de
moustiquaires
MII1 29,8 8,7 2,1 0,9 0,3 0,8 49,0 0,1 0,4 1,1 5,3 1,5 100,0 4 297
Autre2 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,3 85,4 0,1 0,1 0,2 8,6 5,3 100,0 3 073
Résidence
Port Gentil/
Libreville 14,1 5,2 0,9 0,7 0,3 0,6 63,7 0,1 0,4 0,3 8,7 5,0 100,0 3 462
Autres villes 19,0 5,0 1,6 0,4 0,1 0,5 65,6 0,0 0,2 1,3 4,9 1,3 100,0 2 859
Ensemble
urbain 16,3 5,1 1,2 0,6 0,2 0,6 64,6 0,1 0,3 0,8 7,0 3,4 100,0 6 321
Rural 23,7 4,9 1,3 0,3 0,2 0,6 61,6 0,2 0,3 0,5 4,8 1,5 100,0 1 050
Province
Libreville 14,6 5,1 0,9 0,7 0,3 0,6 62,6 0,1 0,5 0,3 9,0 5,4 100,0 2 979
Port-Gentil 11,1 5,9 1,0 0,5 0,3 1,0 70,1 0,0 0,0 0,3 6,9 3,0 100,0 483
Estuaire (sans
Libreville) 19,0 4,6 0,7 0,7 0,1 0,6 66,3 0,2 0,1 2,7 3,8 1,2 100,0 800
Haut-Ogooué 11,2 3,3 1,8 0,0 0,0 0,6 76,0 0,0 0,2 0,5 5,5 0,8 100,0 753
Moyen-Ogooué 29,4 6,1 1,7 0,3 0,2 0,4 58,6 0,0 0,1 0,4 1,3 1,7 100,0 340
Ngounié 12,4 3,3 2,2 0,1 0,1 0,5 68,8 0,3 0,1 0,7 10,0 1,5 100,0 555
Nyanga 34,7 2,9 1,3 0,8 0,3 0,1 54,2 0,0 0,2 0,4 2,5 2,6 100,0 381
Ogooué-Ivindo 33,8 5,8 0,9 0,3 0,0 0,3 54,9 0,0 0,5 0,2 2,0 1,3 100,0 250
Ogooué-Lolo 16,0 6,1 1,1 0,9 0,6 2,1 65,6 0,0 0,8 0,3 4,9 1,5 100,0 222
Ogooué-
Maritime
(sans Port-
Gentil) 20,3 3,1 0,9 0,1 0,0 0,4 70,4 0,1 0,0 0,3 3,8 0,7 100,0 163
Woleu-Ntem 23,0 11,1 2,3 0,4 0,1 0,4 52,9 0,0 0,4 2,2 5,8 1,4 100,0 446
Quintiles de
bien-être
économique
Le plus bas 20,0 4,7 1,6 0,4 0,2 0,2 63,7 0,1 0,2 0,5 7,0 1,3 100,0 2 061
Second 18,0 4,0 1,5 0,2 0,0 0,2 66,9 0,1 0,6 0,5 5,1 2,9 100,0 1 807
Moyen 17,5 5,7 0,2 0,3 0,0 0,9 64,0 0,2 0,0 0,3 6,4 4,5 100,0 1 515
Quatrième 13,1 5,0 1,2 1,2 0,7 1,3 65,2 0,0 0,1 0,7 8,1 3,6 100,0 1 134
Le plus élevé 15,3 7,0 1,4 1,3 0,1 0,9 58,1 0,0 0,7 2,9 7,7 4,7 100,0 853
Ensemble 17,4 5,1 1,2 0,5 0,2 0,6 64,1 0,1 0,3 0,7 6,7 3,1 100,0 7 370
1
Une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) est une moustiquaire qui a été imprégnée industriellement par le fabricant et qui ne nécessite pas de traitement
supplémentaire. Dans l’EDSG-II 2012, c’était connu sous le nom de Moustiquaire Imprégnée à Longue Durée d’Action (MILDA).
2
N’importe quelle moustiquaire qui n’est pas une MII
Répartition (en %) de la population de fait des ménages par nombre de MII que possède le ménage, et pourcentage ayant accès à une
MII, selon le nombre de personnes qui ont passé la nuit dans le ménage avant l’interview, EDSG-III 2019–21
Nombre de personnes qui ont passé la nuit dans le ménage avant l’interview
Nombre de MII1 1 2 3 4 5 6 7 8+ Ensemble
0 84,6 82,5 80,6 76,0 76,1 74,2 66,5 73,3 75,6
1 13,9 11,7 11,7 13,1 10,1 10,5 11,6 8,2 10,7
2 1,1 4,4 5,0 8,0 11,0 8,7 9,1 8,3 7,7
3 0,3 1,1 1,7 2,2 2,4 4,7 10,0 6,2 4,2
4 0,1 0,3 0,3 0,5 0,4 1,2 2,2 2,0 1,1
5 0,0 0,0 0,0 0,1 0,0 0,5 0,5 1,3 0,5
6 0,0 0,0 0,7 0,1 0,0 0,1 0,0 0,5 0,2
7 0,0 0,0 0,0 0,1 0,0 0,0 0,0 0,2 0,1
Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
Effectif 2 631 3 686 4 787 5 940 6 376 5 757 4 806 12 267 46 250
Pourcentage ayant
accès à une MII1,2 15,4 17,5 15,5 17,5 15,7 15,9 19,9 12,2 15,6
1
Une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) est une moustiquaire qui a été imprégnée industriellement par le fabricant et qui ne
nécessite pas de traitement supplémentaire. Dans l’EDSG-II 2012, c’était connu sous le nom de Moustiquaire Imprégnée à Longue
Durée d’Action (MILDA).
2
Pourcentage de la population de fait des ménages qui aurait pu dormir sous une MII si chaque MII du ménage était utilisée par deux
personnes au maximum
Paludisme • 279
Tableau 13.4 Accès à une MII
Pourcentage de la population de fait des ménages ayant accès à
une MII dans le ménage, selon certaines caractéristiques, EDSG-III
2019–21
Pourcentage
de la
population de
fait ayant accès Effectif de
Caractéristique à une MII1 personnes
Résidence
Port Gentil/ Libreville 13,1 24 832
Autres villes 17,7 16 619
Ensemble urbain 15,0 41 451
Rural 20,8 4 799
Province
Libreville 13,6 20 177
Port-Gentil 11,2 4 656
Estuaire (sans Libreville) 14,1 6 072
Haut-Ogooué 14,7 4 085
Moyen-Ogooué 18,6 1 589
Ngounié 27,9 2 109
Nyanga 43,5 995
Ogooué-Ivindo 23,4 1 277
Ogooué-Lolo 17,6 1 261
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 31,4 582
Woleu-Ntem 13,3 3 447
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 20,8 9 343
Second 19,2 9 239
Moyen 16,2 9 263
Quatrième 12,5 9 226
Le plus élevé 9,0 9 179
Ensemble 15,6 46 250
1
Pourcentage de la population de fait des ménages qui aurait pu
dormir sous une MII si chaque MII du ménage était utilisée par deux
personnes au maximum
280 • Paludisme
Tableau 13.5 Utilisation des moustiquaires par les ménages
Pourcentage de la population de fait des ménages qui, la nuit avant l’interview, a dormi sous une moustiquaire (traitée ou
non) et sous une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) ; et parmi la population de fait des ménages avec, au moins, une
MII, pourcentage qui a dormi sous une MII la nuit avant l’interview, selon certaines caractéristiques sociodémographiques,
EDSG-III 2019–21
Population des ménages avec au
Population des ménages moins une MII1
Pourcentage
ayant dormi
sous une Pourcentage Pourcentage
moustiquaire ayant dormi ayant dormi
Caractéristique (traitée ou non) sous une MII1 la sous une MII1 la
sociodémographique la nuit dernière nuit dernière Effectif nuit dernière Effectif
Groupe d’âges
<5 32,4 19,0 6 968 68,4 1 933
5–14 23,1 13,9 11 066 54,0 2 847
15–34 19,6 11,1 14 677 51,6 3 147
35–49 23,3 14,6 7 523 62,1 1 765
50+ 32,0 18,2 6 016 68,0 1 606
Sexe
Masculin 22,7 13,4 22 665 56,7 5 345
Féminin 26,5 15,4 23 585 61,2 5 953
Résidence
Port Gentil/ Libreville 21,5 11,7 24 832 54,7 5 302
Autres villes 27,8 17,1 16 619 62,6 4 550
Ensemble urbain 24,0 13,9 41 451 58,4 9 852
Rural 29,6 19,2 4 799 63,8 1 447
Province
Libreville 22,3 11,8 20 177 53,1 4 473
Port-Gentil 18,1 11,3 4 656 63,5 829
Estuaire (sans Libreville) 20,5 13,4 6 072 61,7 1 319
Haut-Ogooué 31,5 15,3 4 085 67,2 928
Moyen-Ogooué 31,3 17,1 1 589 55,5 491
Ngounié 42,8 27,7 2 109 69,3 842
Nyanga 56,6 43,2 995 72,0 597
Ogooué-Ivindo 31,1 23,3 1 277 61,8 481
Ogooué-Lolo 28,5 17,7 1 261 62,6 356
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 41,2 30,7 582 71,4 251
Woleu-Ntem 15,8 10,2 3 447 47,8 732
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 33,9 20,5 9 343 66,2 2 886
Second 33,9 19,3 9 239 62,9 2 833
Moyen 26,4 15,1 9 263 58,9 2 381
Quatrième 17,7 10,5 9 226 51,8 1 873
Le plus élevé 10,9 6,6 9 179 45,9 1 325
Ensemble 24,6 14,4 46 250 59,1 11 298
1
Une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) est une moustiquaire qui a été imprégnée industriellement par le fabricant
et qui ne nécessite pas de traitement supplémentaire. Dans l’EDSG-II 2012, c’était connu sous le nom de Moustiquaire
Imprégnée à Longue Durée d’Action (MILDA).
Paludisme • 281
Tableau 13.6 Utilisation des MII existantes
Pourcentage de moustiquaires imprégnées d’insecticide (MII) qui
ont été utilisées par une personne la nuit ayant précédé l’interview,
selon certaines caractéristiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage
de MII1
existantes
utilisées la nuit Effectif
Caractéristique dernière de MII1
Résidence
Port Gentil/Libreville 78,2 1 896
Autres villes 87,0 1 742
Ensemble urbain 82,4 3 638
Rural 78,6 659
Province
Libreville 75,9 1 602
Port-Gentil 90,7 294
Estuaire (sans Libreville) 89,5 513
Haut-Ogooué 91,1 347
Moyen-Ogooué 84,6 187
Ngounié 84,4 361
Nyanga 82,4 278
Ogooué-Ivindo 85,6 176
Ogooué-Lolo 86,9 136
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 82,7 118
Woleu-Ntem 70,2 285
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 85,8 1 207
Second 87,5 1 049
Moyen 83,0 853
Quatrième 77,6 660
Le plus élevé 65,0 529
Ensemble 81,8 4 297
1
Une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) est une
moustiquaire qui a été imprégnée industriellement par le fabricant
et qui ne nécessite pas de traitement supplémentaire. Dans l’EDSG-
II 2012, c’était connu sous le nom de Moustiquaire Imprégnée à
Longue Durée d’Action (MILDA).
282 • Paludisme
Tableau 13.7 Utilisation des moustiquaires par les enfants
Pourcentage d’enfants de moins de 5 ans qui, la nuit avant l’interview, ont dormi sous une moustiquaire (traitée ou non) et
sous une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) ; et parmi les enfants de moins de 5 ans des ménages avec, au moins,
une MII, pourcentage qui ont dormi sous une MII la nuit avant l’interview, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Enfants de moins
de 5 ans dans les ménages
Enfants de moins de 5 ans dans tous les ménages ayant au moins une MII1
Pourcentage
ayant dormi
sous une Pourcentage Pourcentage
moustiquaire ayant dormi ayant dormi
Caractéristique (traitée ou non) sous une MII1 la Effectif sous une MII1 la Effectif
sociodémographique la nuit dernière nuit dernière d’enfants nuit dernière d’enfants
Age en mois
<12 40,1 25,4 1 436 81,1 450
12–23 35,5 19,2 1 520 69,5 420
24–35 28,5 18,9 1 228 67,8 342
36–47 28,4 16,5 1 471 63,2 384
48–59 28,6 14,5 1 314 56,7 337
Sexe
Masculin 31,6 18,7 3 629 67,5 1 004
Féminin 33,3 19,3 3 339 69,5 929
Résidence
Port Gentil/ Libreville 30,4 16,1 3 678 66,3 893
Autres villes 35,2 22,0 2 574 70,8 801
Ensemble urbain 32,4 18,5 6 252 68,5 1 693
Rural 32,9 22,9 716 68,3 240
Province
Libreville 32,2 16,4 2 878 63,8 741
Port-Gentil 24,0 14,9 800 78,8 151
Estuaire (sans Libreville) 28,3 19,0 890 75,7 224
Haut-Ogooué 37,4 18,8 651 71,5 171
Moyen-Ogooué 41,8 24,3 242 65,8 90
Ngounié 53,0 34,7 313 73,9 147
Nyanga 61,9 51,3 137 78,7 90
Ogooué-Ivindo 36,1 27,0 215 68,0 86
Ogooué-Lolo 34,4 21,4 198 69,2 61
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 45,3 33,9 92 74,7 42
Woleu-Ntem 19,3 12,6 552 52,9 131
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 38,9 24,0 1 489 72,1 495
Second 40,8 22,8 1 513 71,3 483
Moyen 31,2 18,5 1 454 64,3 419
Quatrième 27,9 16,2 1 335 66,0 329
Le plus élevé 20,0 11,4 1 177 65,2 207
Ensemble 32,4 19,0 6 968 68,4 1 933
Note : Le tableau est basé sur les enfants ayant passé la nuit précédant l’interview dans le ménage.
1
Une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) est une moustiquaire qui a été imprégnée industriellement par le fabricant
et qui ne nécessite pas de traitement supplémentaire. Dans l’EDSG-II 2012, c’était connu sous le nom de Moustiquaire
Imprégnée à Longue Durée d’Action (MILDA).
Paludisme • 283
Tableau 13.8 Utilisation des moustiquaires par les femmes enceintes
Pourcentage de femmes de 15–49 ans enceintes qui, la nuit avant l’interview, ont dormi sous une moustiquaire (traitée ou
non) et sous une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) ; et parmi les femmes de 15–49 ans enceintes des ménages
avec, au moins, une MII, pourcentage qui ont dormi sous une MII la nuit avant l’interview, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Parmi les femmes de 15–49 ans
Parmi les femmes de 15–49 ans enceintes dans enceintes dans les ménages
tous les ménages ayant au moins une MII1
Pourcentage
ayant dormi
sous une Pourcentage Pourcentage
moustiquaire ayant dormi Effectif de ayant dormi Effectif de
Caractéristique (traitée ou non) sous une MII1 la femmes sous une MII1 la femmes
sociodémographique la nuit dernière nuit dernière enceintes nuit dernière enceintes
Résidence
Port Gentil/ Libreville 18,7 10,6 429 * 76
Autres villes 27,9 18,0 257 62,2 74
Ensemble urbain 22,1 13,4 687 61,2 150
Rural 32,3 23,9 73 70,1 25
Province
Libreville 19,1 11,4 343 * 64
Port-Gentil 16,8 7,6 86 * 11
Estuaire (sans Libreville) 23,0 20,0 95 * 25
Haut-Ogooué 27,5 8,7 61 * 9
Moyen-Ogooué 36,7 19,2 24 (44,8) 10
Ngounié 47,5 33,6 38 (68,3) 19
Nyanga 50,9 39,4 15 (70,3) 8
Ogooué-Ivindo 28,5 20,4 24 (57,9) 8
Ogooué-Lolo 28,3 24,1 22 (72,4) 7
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) (41,1) (31,1) 6 * 3
Woleu-Ntem 14,7 8,8 45 * 9
Niveau d’instruction
Aucun (27,6) (24,2) 35 * 11
Primaire 23,9 12,0 116 56,4 25
Secondaire 1er cycle 25,8 16,8 340 62,3 92
Secondaire 2e cycle 19,4 11,5 177 * 28
Supérieur 17,4 10,3 92 * 21
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 34,0 21,1 159 66,7 50
Second 37,1 19,4 144 (66,4) 42
Moyen 15,4 4,7 144 * 20
Quatrième 16,6 14,3 209 (74,9) 40
Le plus élevé 10,8 10,8 104 * 23
Ensemble 23,1 14,4 760 62,5 175
Note : Le tableau est basé sur les femmes ayant passé la nuit précédant l’interview dans le ménage. Les valeurs entre
parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas
non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) est une moustiquaire qui a été imprégnée industriellement par le fabricant
et qui ne nécessite pas de traitement supplémentaire. Dans l’EDSG-II 2012, c’était connu sous le nom de Moustiquaire
Imprégnée à Longue Durée d’Action (MILDA).
284 • Paludisme
Tableau 13.9 Utilisation du traitement préventif intermittent (TPIg) par les femmes pendant la grossesse
Pourcentage de femmes de 15–49 ans ayant eu une naissance vivante au cours des 2 années ayant précédé l’enquête qui, pendant la grossesse
de la dernière naissance vivante, ont reçu une dose ou plus de SP/Fansidar/Maloxine, ont reçu deux doses ou plus de SP/Fansidar/Maloxine, et
qui ont reçu trois doses ou plus de SP/Fansidar/Maloxine, selon certaines caractéristiques, EDSG-III 2019–21
Effectif de femmes ayant eu
Pourcentage ayant reçu Pourcentage ayant reçu Pourcentage ayant reçu une naissance vivante dans
une dose ou plus de deux doses ou plus de trois doses ou plus de les 2 années ayant
Caractéristique SP/Fansidar/Maloxine SP/Fansidar/Maloxine SP/Fansidar/Maloxine précédé l’enquête
Résidence
Port Gentil/ Libreville 88,4 61,4 36,6 1 382
Autres villes 88,3 63,0 40,3 855
Ensemble urbain 88,4 62,0 38,0 2 237
Rural 79,5 55,5 36,8 219
Province
Libreville 87,8 59,8 37,4 1 118
Port-Gentil 90,8 68,0 33,5 265
Estuaire (sans Libreville) 86,9 64,6 38,3 316
Haut-Ogooué 87,0 55,8 28,0 214
Moyen-Ogooué 90,6 59,5 44,1 75
Ngounié 89,8 57,1 33,7 110
Nyanga 84,3 58,7 46,7 43
Ogooué-Ivindo 72,3 52,1 36,7 66
Ogooué-Lolo 91,3 69,6 40,4 62
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 88,8 69,4 37,5 28
Woleu-Ntem 85,1 66,6 59,1 159
Niveau d’instruction
Aucun 84,5 61,0 43,8 185
Primaire 82,4 51,1 31,1 367
Secondaire 1er cycle 85,6 60,3 37,3 1 075
Secondaire 2e cycle 90,7 64,8 38,7 480
Supérieur 96,7 71,4 43,0 348
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 79,3 55,1 34,7 487
Second 87,5 55,1 36,3 519
Moyen 87,2 62,5 41,6 528
Quatrième 90,1 66,3 37,5 511
Le plus élevé 94,8 69,4 39,5 410
Ensemble 87,6 61,4 37,9 2 456
Paludisme • 285
Tableau 13.10 Prévalence, diagnostic et traitement précoce des enfants avec de la fièvre
Pourcentage d’enfants de moins de 5 ans qui ont eu de la fièvre au cours des 2 semaines ayant précédé l’interview ; parmi les enfants
de moins de 5 ans ayant eu de la fièvre, pourcentage pour lesquels des conseils ou un traitement ont été recherchés, pourcentage
pour lesquels des conseils ou un traitement ont été recherchés le jour même ou le jour suivant le début de la fièvre et pourcentage pour
lesquels on a effectué un prélèvement de sang au doigt ou au talon pour être testé, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Enfants de moins de 5 ans Enfants de moins de 5 ans avec de la fièvre
Pourcentage Pourcentage
Pourcentage pour lesquels pour lesquels
ayant eu de Pourcentage des conseils ou on a effectué
la fièvre au pour lesquels un traitement un prélèvement
cours des 2 des conseils ou ont été de sang au
semaines un traitement recherchés le doigt ou au
Caractéristique précédant Effectif ont été jour même ou talon pour Effectif
1 1
sociodémographique l’interview d’enfants recherchés le jour suivant être testé d’enfants
Age en mois
<12 21,2 1 256 86,1 54,3 10,9 267
12–23 29,9 1 289 73,1 43,8 16,7 385
24–35 21,2 1 029 76,9 42,3 11,2 218
36–47 18,3 1 187 71,8 42,7 16,2 218
48–59 18,7 1 112 70,1 37,6 13,8 208
Sexe
Masculin 21,2 3 079 77,0 44,2 13,8 654
Féminin 23,0 2 794 74,4 44,8 14,2 642
Résidence
Port Gentil/ Libreville 24,1 3 239 80,1 44,9 12,4 780
Autres villes 18,6 2 111 71,8 48,2 17,3 393
Ensemble urbain 21,9 5 350 77,3 46,0 14,0 1 173
Rural 23,5 523 60,1 30,6 14,0 123
Province
Libreville 25,5 2 576 81,6 44,9 14,0 658
Port-Gentil 18,4 663 72,3 44,7 3,6 122
Estuaire (sans Libreville) 17,9 765 62,2 38,6 15,8 137
Haut-Ogooué 19,1 541 86,3 63,4 29,8 104
Moyen-Ogooué 18,8 177 60,6 35,8 16,4 33
Ngounié 19,4 254 71,9 44,3 13,6 49
Nyanga 22,5 110 69,0 50,2 9,4 25
Ogooué-Ivindo 26,9 158 48,2 29,5 12,2 42
Ogooué-Lolo 23,9 153 74,5 36,9 11,8 36
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 19,1 71 65,8 43,0 7,4 14
Woleu-Ntem 18,6 406 68,9 40,2 9,9 75
Niveau d’instruction de la mère
Aucun 12,8 457 71,6 46,5 11,0 59
Primaire 23,8 868 64,6 44,7 14,7 206
Secondaire 1er cycle 22,0 2 650 73,4 41,8 14,8 584
Secondaire 2e cycle 24,3 1 106 82,4 46,2 14,6 269
Supérieur 22,5 791 87,3 50,0 10,9 178
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 21,7 1 177 62,8 38,3 18,0 255
Second 23,7 1 276 75,3 34,6 14,0 303
Moyen 25,4 1 289 76,2 45,9 14,8 327
Quatrième 19,8 1 151 80,1 60,3 10,4 228
Le plus élevé 18,8 979 87,9 47,7 11,6 184
Ensemble 22,1 5 873 75,7 44,5 14,0 1 296
1
Sont inclus les conseils ou les traitements des sources suivantes : secteur public, secteur médical privé, boutique, marché et vendeur
de médicament itinérants. Ne sont pas pris en compte ici les conseils ou traitements fournis par un praticien traditionnel ou un “Nganga
(devin-guérisseur au Gabon)”.
286 • Paludisme
Tableau 13.11 Source des conseils ou traitements pour les enfants
ayant de la fièvre
Paludisme • 287
Tableau 13.12 Type d’antipaludiques utilisés
Parmi les enfants de moins de 5 ans ayant eu de la fièvre au cours des 2 semaines ayant précédé l’interview qui ont pris n’importe quel antipaludique, pourcentage ayant
pris des antipaludiques spécifiques, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage d’enfants ayant pris l’antipaludique
Pourcentage d’enfants ayant pris : le jour même ou le jour suivant :
Amodi- Amodi-
aquine/ aquine/ Effectif
N’im- flavo- N’im- flavo- d’enfants
porte quine/ porte quine/ ayant eu
quelle camo- quelle camo- de la
CTA quin/ CTA quin/ fièvre et
(arsu- malox- (arsu- malox- ayant pris
cam, SP/ ine/ Autre cam, SP/ ine/ Autre des
Caractéristique coar- Quini- Fan- Chloro- niva- antipa- coar- Quini- Fan- Chloro- niva- antipa- antipa-
sociodémographique tem) Quinine max sidar quine quine ludique tem) Quinine max sidar quine quine ludique ludiques
Âge en mois
<6 * * * * * * * * * * * * * * 19
6–11 (35,7) (2,6) (0,0) (0,8) (0,0) (11,5) (52,0) (3,2) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (11,5) (43,6) 28
12–23 49,9 0,4 0,9 7,7 0,0 9,8 37,7 0,3 0,4 0,0 5,8 0,0 9,7 11,7 91
24–35 69,9 0,0 0,3 7,5 0,0 2,3 24,5 0,0 0,0 0,0 0,9 0,0 1,5 7,7 67
36–47 70,7 0,5 1,6 9,9 0,0 0,7 23,7 5,9 0,5 0,0 0,0 0,0 0,0 6,5 78
48–59 51,0 0,1 0,0 4,2 0,0 19,2 40,9 6,3 0,1 0,0 1,9 0,0 3,4 28,6 69
Sexe
Masculin 59,2 0,0 1,1 6,2 0,0 4,7 38,9 4,7 0,0 0,0 1,3 0,0 4,3 20,7 207
Féminin 51,8 1,0 0,1 9,4 0,0 12,3 28,9 0,2 0,5 0,0 3,1 0,0 4,5 12,2 145
Résidence
Port Gentil/
Libreville 51,4 0,0 0,6 9,3 0,0 8,6 37,3 4,7 0,0 0,0 2,0 0,0 4,2 20,5 210
Autres villes 64,0 0,7 1,0 4,3 0,0 7,3 31,7 0,2 0,0 0,0 2,6 0,0 5,3 13,5 111
Ensemble urbain 55,7 0,2 0,8 7,6 0,0 8,2 35,3 3,1 0,0 0,0 2,2 0,0 4,6 18,1 321
Rural 60,0 2,7 0,0 6,7 0,0 4,6 29,7 0,4 2,7 0,0 0,3 0,0 2,2 8,1 32
Province
Libreville (51,1) (0,0) (0,0) (9,6) (0,0) (9,2) (37,7) (4,5) (0,0) (0,0) (1,8) (0,0) (4,5) (20,7) 196
Port-Gentil * * * * * * * * * * * * * * 14
Estuaire (sans
Libreville) * * * * * * * * * * * * * * 28
Haut-Ogooué (52,3) (0,0) (0,0) (10,2) (0,0) (10,2) (35,8) (0,0) (0,0) (0,0) (7,1) (0,0) (6,6) (0,0) 36
Moyen-Ogooué (73,8) (6,4) (0,0) (2,3) (0,0) (4,7) (19,2) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (15,9) 12
Ngounié (59,5) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (8,3) (37,3) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (5,5) (17,0) 21
Nyanga (38,8) (0,0) (1,8) (8,5) (0,0) (3,6) (52,9) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (1,6) (31,3) 7
Ogooué-Ivindo 57,3 3,8 0,0 3,3 0,0 0,0 37,1 2,8 3,8 0,0 0,0 0,0 0,0 6,8 13
Ogooué-Lolo (62,8) (0,0) (0,0) (4,1) (0,0) (0,0) (37,2) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (0,0) (11,8) 8
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) * * * * * * * * * * * * * * 3
Woleu-Ntem (81,7) (2,5) (5,7) (5,4) (0,0) (8,3) (27,8) (0,0) (2,5) (0,0) (2,2) (0,0) (6,8) (21,0) 15
Niveau d’instruction
de la mère
Aucun * * * * * * * * * * * * * * 21
Primaire 58,4 2,0 0,0 8,2 0,0 7,3 26,5 0,4 0,7 0,0 7,3 0,0 7,3 3,7 58
Secondaire 1er
cycle 56,4 0,2 0,1 10,2 0,0 13,5 29,8 5,9 0,2 0,0 1,8 0,0 6,7 16,0 166
Secondaire 2e cycle 54,8 0,0 3,7 0,0 0,0 1,4 52,5 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,2 25,4 62
Supérieur * * * * * * * * * * * * * * 46
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 56,7 1,3 0,2 5,9 0,0 7,2 36,3 0,6 0,1 0,0 0,0 0,0 4,7 11,6 62
Second 62,5 1,0 0,3 3,6 0,0 10,7 33,3 0,0 1,0 0,0 3,2 0,0 3,2 18,6 74
Moyen 52,6 0,0 0,9 12,3 0,0 15,7 28,3 5,7 0,0 0,0 4,2 0,0 10,4 13,3 97
Quatrième 45,9 0,0 1,6 1,0 0,0 0,0 53,1 0,0 0,0 0,0 1,0 0,0 0,0 26,1 79
Le plus élevé * * * * * * * * * * * * * * 40
Ensemble 56,1 0,5 0,7 7,5 0,0 7,8 34,8 2,9 0,2 0,0 2,0 0,0 4,4 17,2 353
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et
qu’elle a été supprimée.
CTA = Combinaison Thérapeutique à base d’Artémisinine
288 • Paludisme
Tableau 13.13 Couverture des tests d’anémie et du paludisme auprès des
enfants
Note : Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non
pondérés et qu’elle a été supprimée.
TDR = Test de Diagnostic Rapide (SD Bioline Malaria Antigène Pf/PAN)
1
Y compris les enfants dont la mère est décédée
2
Pour les femmes qui n’ont pas été interviewées, l’information provient du
questionnaire Ménage. Non compris les enfants dont la mère n’est pas listée dans le
questionnaire Ménage.
Paludisme • 289
Tableau 13.14 Niveau d’hémoglobine <8,0 g/dl chez les
enfants
Note : Le tableau est basé sur les enfants ayant passé la nuit
précédant l’interview dans le ménage. Les niveaux
d’hémoglobine sont ajustés en fonction de l’altitude en utilisant
les formules du CDC (CDC 1998). L’hémoglobine est mesurée
en grammes par décilitre (g/dl). Un astérisque indique qu’une
valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a
été supprimée.
1
Y compris les enfants dont la mère est décédée
2
Pour les femmes qui n’ont pas été interviewées, l’information
provient du questionnaire Ménage. Non compris les enfants dont
la mère n’est pas listée dans le questionnaire Ménage.
290 • Paludisme
Tableau 13.15 Prévalence du paludisme chez les enfants
Pourcentage d’enfants de 6–59 mois dont les résultats du test de
diagnostic rapide (TDR) sont classés positifs, selon certaines
caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Prévalence du paludisme
selon le TDR
Caractéristique TDR Effectif
sociodémographique positif d’enfants
Âge en mois
6–8 6,5 351
9–11 5,6 305
12–17 9,8 693
18–23 10,2 683
24–35 15,4 1 113
36–47 14,2 1 338
48–59 14,5 1 213
Sexe
Masculin 12,3 2 974
Féminin 12,9 2 722
Statut de l’interview de la mère
Interviewée 11,4 4 670
Non interviewée mais vivant
dans le ménage 9,2 182
Non interviewée mais ne vivant
pas dans le ménage1 19,4 844
Résidence
Port Gentil/Libreville 3,6 2 977
Autres villes 18,5 2 080
Ensemble urbain 9,7 5 057
Rural 35,0 640
Province
Libreville 4,4 2 320
Port-Gentil 0,8 657
Estuaire (sans Libreville) 15,8 655
Haut-Ogooué 11,6 539
Moyen-Ogooué 19,0 205
Ngounié 27,8 266
Nyanga 21,3 113
Ogooué-Ivindo 43,2 184
Ogooué-Lolo 23,5 179
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 4,1 79
Woleu-Ntem 36,2 499
Niveau d’instruction de la
mère2
Aucun 8,0 424
Primaire 21,1 752
Secondaire 1er cycle 13,8 2 220
Secondaire 2e cycle 5,1 877
Supérieur 1,3 555
Manquant * 25
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 33,6 1 244
Second 12,0 1 309
Moyen 8,5 1 174
Quatrième 2,7 1 094
Le plus élevé 1,1 876
Ensemble 12,6 5 696
Paludisme • 291
SANTÉ DES ADULTES ET MALADIES
NON TRANSMISSIBLES 14
Résultats clés
▪ Prise en charge de l’hypertension artérielle : Au
Gabon, le pourcentage d’adultes qui ont appris d’un
prestataire de santé qu’ils avaient de l’hypertension et qui
prennent des médicaments pour la contrôler est de 19 %
chez les femmes de 15–49 ans et de 14 % chez les
hommes de 15–49 ans.
▪ Prévalence de l’hypertension artérielle : La prévalence
de l’hypertension artérielle est de 11 % chez les femmes
de 15 à 49 ans et de 23 % chez les hommes de 35 à 49
ans.
▪ Types de maladies non transmissibles : L’arthrite est
la maladie non transmissible qui affecte le plus les
Gabonais, en particulier parmi celles et ceux de 50–64
ans (18 %) : 23 % parmi les femmes et 12 % parmi les
hommes.
▪ Cancer du col de l’utérus : Parmi les femmes de 15-49
ans, 79 % ont entendu parler du cancer du col de
l’utérus, 65 % connaissent l’existence d’un test de
dépistage mais seulement 15 % en ont déjà effectué un.
▪ Prise en charge de la glycémie : Plus d’un quart des
femmes de 15-49 ans (26 %) et 18 % des hommes de
15–49 ans ont déclaré avoir eu, au moins une fois, leur
glycémie mesurée par un prestataire de soins de santé.
Deux pour cent des femmes et 2 % des hommes de
15–49 ans ont été informés qu’ils souffraient
d’hyperglycémie.
L
es maladies non transmissibles (MNT) constituent une menace importante et grandissante pour la
santé des individus et des populations dans le monde. Les MNT se définissent comme toutes
maladies non-infectieuses et non-transmissibles entre personnes. Elles peuvent être chroniques et à
progression lente, grandes pourvoyeuses de complications prévisibles, précoces, invalidantes, à forte
létalité comme certains types d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) et pourtant évitables. En outre, elles
constituent un défi important pour les systèmes de santé. Le dépistage précoce et la prévention des facteurs
de risques sont les outils essentiels de contrôle des MNT. Au Gabon, en l’absence de données nationales
factuelles et dans l’attente d’une enquête STEPS sur les maladies non transmissibles et leurs facteurs de
risque, les présents résultats constituent une base de données appréciable et très importante.
Ce chapitre présente les résultats concernant la connaissance du cancer du sein, la pratique de l’auto-
examen des seins et des examens cliniques, la connaissance du cancer cervical et la pratique des tests de
dépistage du cancer cervical avec un frottis du col de l’utérus qui recherche, selon l’âge de la personne la
présence de cellules du col anormales au niveau du col de l’utérus. La connaissance et les antécédents de
diabète et les antécédents de dépistage de la tension artérielle ainsi que les autres types de maladies non
transmissibles à l’instar des maladies cardiovasculaires, des maladies pulmonaires, des tumeurs/cancers, de
la dépression, de l’arthrite et des autres maladies chroniques.
Au cours de l’EDSG-III 2019–21, on a demandé aux femmes et aux hommes de 15–49 ans si un médecin
ou un autre professionnel de santé avait déjà vérifié leur tension artérielle et si on leur avait dit qu’ils
avaient une tension artérielle élevée ou de l’hypertension. On a aussi demandé si ces consultations avaient
eu lieu ou non au cours des 12 derniers mois, si des médicaments avaient été prescrits, et si l’enquêté les
prenait. Les résultats sont présentés au Tableau 14.1.1 pour les femmes et au Tableau 14.1.2 pour les
hommes.
Parmi les femmes de 15–49 ans, 73 % ont déclaré avoir déjà eu leur tension artérielle mesurée par un
prestataire de santé, 14 % ont été informées par un prestataire de santé qu’elles souffraient d’hypertension
artérielle. Parmi ces femmes informées de leur état, 50 % l’avaient été au cours des 12 mois précédant
l’interview. Parmi les femmes qui ont appris par un prestataire qu’elles souffraient d’hypertension, le
pourcentage à qui on a prescrit des médicaments antihypertenseurs est de 48 % et 19 % seulement
prenaient leurs médicaments.
Chez les hommes de 15–49 ans, les pourcentages de ceux dont la tension artérielle a été mesurée et de
ceux ayant été informées de leur condition sont bien plus faibles (respectivement 58 % et 9 %). En outre,
57 % des hommes avaient été informés du niveau trop élevé de leur tension artérielle au cours des 12
derniers mois, 35 % d’entre eux avaient reçu une prescription des médicaments antihypertenseurs et
seulement 14 % suivaient un traitement au moment de l’enquête.
▪ Que ce soit parmi les femmes ou parmi les hommes, les pourcentages de ceux qui ont eu leur tension
mesurée augmentent globalement avec l’âge, passant chez les femmes de 65 % à 15–29 ans à 85 % à
40–49 ans et, chez les hommes, respectivement de 43 % à 76 %.
▪ Les pourcentages d’adultes qui ont été informés qu’ils souffraient d’hypertension artérielle augmentent
aussi avec l’âge, passant chez les femmes de 7 % à 15–29 ans à 25 % à 40–49 ans et, chez les
hommes, respectivement de 5 % à 18 % à 40–49 ans.
74 79
72 71 70
66 66
54 53
43
Femme Homme
Le plus pauvre Le plus riche
La tension artérielle correspond à la pression exercée par le flux du sang dans les artères. Elle est exprimée
par deux valeurs : la pression systolique et la pression diastolique. Elle est catégorisée, suivant la valeur de
chacun de ces deux éléments en hypotension, tension normale et hypertension.
Au cours de l’EDSG-III, la pression artérielle a été prise chez les femmes de 15–64 ans et chez les
hommes de 35–64 ans, dans un sous-échantillon de deux ménages sur trois. Cette mesure était effectuée à
trois reprises au cours de l’interview à l’aide d’un tensiomètre électronique Digital Blood Pressure
Monitor, Model UA-767F. Le Tableau 14.2.1 et le Tableau 14.2.2 présentent les résultats pour les femmes
et pour les hommes.
La prévalence de l’hypertension artérielle chez les femmes de 15–49 ans est de 11 %. Parmi les femmes
dont on a mesuré la tension, près des deux tiers avaient une tension optimale (64 %), 13 % avaient une
tension normale ; par contre, 7 % avaient une tension légèrement élevée (hypertension de niveau 1), 2 %
une tension modérément élevée (niveau 2) et 1 % avait une tension sévèrement élevée (niveau 3).
Seulement 1 % des femmes dont la tension a été mesurée avait une pression artérielle normalisée ou
contrôlée par les médicaments.
▪ La prévalence de l’hypertension artérielle est plus élevée parmi les hommes et les femmes qui ont
déclaré ne pas fumer que parmi ceux qui fument : parmi les hommes, la prévalence varie de 24 % à
20 %) et, parmi les femmes, de 11 % à 9 %
Globalement les résultats montrent que l’arthrite et les maladies pulmonaires sont les maladies non
transmissibles qui affectent le plus la population gabonaise. En effet, 3 % des adultes de 15-49 ans ont été
informés par un prestataire de santé qu’ils étaient atteints d’arthrite ; Le pourcentage de ceux qui ont été
informés qu’ils avaient une maladie pulmonaire est aussi de 3 %. Deux pour cent ont appris d’un
prestataire de santé qu’ils avaient une maladie cardiovasculaire.
Variations
▪ Les pourcentages de femmes et d’hommes informés par un prestataire de santé qu’ils avaient de
l’arthrite ou une maladie cardiovasculaire augmentent avec l’âge, en particulier pour l’arthrite : en
effet, de 3 % dans le groupe d’âges 15–49 ans, le pourcentage d’enquêtés informés qu’ils avaient de
l’arthrite passe à 18 % dans le groupe d’âges 50–64 ans. Cette augmentation avec l’âge touche
particulièrement les femmes : de 3 % à 15–49 ans, le pourcentage passe à 23 % à 50–64 ans. Parmi les
hommes, il passe de 2 % à 12 %.
▪ La prévalence des maladies non transmissibles varie avec le sexe : les maladies pulmonaires touchent
plus les hommes que les femmes. Par contre, les femmes sont plus affectées par l’arthrite que les
hommes : parmi les enquêtés de 50-64 ans, 5 % des hommes contre 2 % des femmes souffrent d’une
maladie pulmonaire ; par contre, dans ce groupe d’âges, 23 % des femmes contre 12 % des hommes
ont atteintes par l’arthrite.
Il est souvent recommandé aux femmes dès l’âge adulte, et particulièrement à partir de 35 à 40 ans, de
faire périodiquement un test de dépistage du cancer du col de l’utérus, afin de détecter le plus tôt possible
la survenue de cette maladie à forte létalité et débuter à temps un traitement pour augmenter les chances de
guérison.
Dans sa 8e édition lancée par le ministère de la Santé et la FSBO pour la Famille, 95 124 personnes ont été
sensibilisées sur l’ensemble du territoire, 12 324 personnes dépistées, 766 cas suspects, 54 biopsies et 741
autres infections. Et lors de la première édition de novembre bleu en 2020 chez les hommes, l’on a
enregistré 480 hommes dépistés, 26 cas de cancer de la prostate, 24 cas en stade avancé et 13 % d’hommes
avaient une autre pathologie.
Pour évaluer la connaissance du cancer du col de l’utérus par les femmes de 15–49 ans, on leur a d’abord
demandé si elles en avaient déjà entendu parler, et si elles avaient entendu parler du test de dépistage de
cette maladie.
Les résultats obtenus sont présentés au Tableau 14.4. Près de huit femmes de 15–49 ans sur dix (79 %) ont
déclaré avoir entendu parler du cancer du col de l’utérus et 65 % ont entendu parler d’un test de dépistage
de cette maladie. Par contre, seulement 15 % des femmes ont effectué un test de dépistage.
Au vu des résultats de cette enquête, il ressort que les pourcentages de femmes qui connaissent le cancer
du col de l’utérus et l’existence de test de détection sont élevés, quel que soit le sous-groupe de population.
En milieu rural où le niveau de connaissance est relativement plus faible, 63 % ont entendu parler du
cancer du col de l’utérus et 53 % du test de détection. En milieu urbain, les pourcentages sont,
respectivement, de 80 % et 66 %. Cela pourrait être dû, en partie, à l’effet des campagnes de sensibilisation
et de dépistage des cancers féminins menées dans le pays tous les mois d’octobre depuis 2013.
▪ La connaissance du cancer du col de l’utérus est plus fréquente en milieu urbain qu’en milieu rural
(80 % contre 63 %). Il en est de même de la connaissance d’un test de dépistage de cette maladie
(respectivement 66 % contre 53 %).
▪ Le pourcentage de femmes de 15–49 ans qui ont Graphique 14.4 Femmes ayant entendu
déclaré avoir entendu parler du cancer du col de parler du cancer du col de l’utérus par
l’utérus et le pourcentage de celles ayant niveau d’instruction
entendu parler d’un test de dépistage Pourcentage de femmes de 15–49 ans
augmentent avec le niveau d’instruction, passant
95
pour la connaissance de la maladie, de 50 % 91
chez les femmes sans niveau d’instruction à 76
95 % chez celles ayant le niveau supérieur 64
(Graphique 14.4), et pour la connaissance d’un 50
test de dépistage, de respectivement 35 % à
86 %.
L’hyperglycémie est une concentration anormalement élevée en glucose dans le sang. Elle est un
symptôme révélateur d’un diabète, entraînant certaines complications, notamment au niveau des yeux, des
reins, des nerfs, du cœur et des vaisseaux sanguins.
Au cours de l’EDSG-III 2019–21, on a demandé aux femmes de 15–49 ans et aux hommes de 15–49 ans,
si un médecin ou un prestataire de soins de santé avait déjà mesuré leur glycémie et si on leur avait dit
qu’ils faisaient de l’hyperglycémie ou diabète. Parmi les femmes et les hommes qui ont appris d’un
prestataire qu’ils souffraient d’hyperglycémie, on leur a aussi demandé s’ils avaient été informés dans les
12 mois précédant l’enquête, si on leur avait prescrit des médicaments pour contrôler la glycémie et s’ils
les prenaient.
Les résultats sont présentés au Tableau 14.5.1 pour les femmes et au Tableau 14.5.2 pour les hommes.
Dans l’ensemble, 26 % des femmes de 15–49 ans et 18 % des hommes de 15–49 ans ont déclaré avoir déjà
eu leur glycémie mesurée par un prestataire de santé. Par ailleurs, une faible proportion de femmes (2 %)
comme d’hommes (2 %) avaient été informés par un prestataire qu’ils souffraient d’hyperglycémie. Parmi
les femmes informées de leur problème, plus d’une sur quatre (26 %) avait été informée dans les 12
derniers mois contrairement aux hommes qui étaient plus nombreux à avoir été informés (66 %).
Parmi les femmes qui ont appris d’un prestataire de santé qu’elles faisaient de l’hyperglycémie, le
pourcentage à qui on avait prescrit des médicaments est de 30 % et 14 % les prenaient. Chez les hommes,
on note une meilleure situation, soit 50 % ayant reçu une prescription médicale et 35 % suivant
effectivement le traitement.
Pourcentage de femmes de 15–49 ans dont la pression artérielle a été mesurée et qui ont été informées par un prestataire de soins de santé qu’elles souffraient
d’hypertension artérielle ; parmi les femmes ayant appris qu’elles souffraient d’hypertension, pourcentage ayant reçu cette information dans les 12 mois précédant
l’enquête, pourcentage à qui l’on a prescrit des médicaments antihypertenseurs, et pourcentage qui prennent des antihypertenseurs ; selon certaines
caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Parmi les femmes qui ont appris d’un prestataire qu’elles
A eu la pression souffraient d’hypertension, pourcentage qui :
artérielle Informée par un Ont été À qui l’on a Prennent des
mesurée par un prestataire informées dans prescrit des médicaments
médecin ou un qu’elle souffrait les 12 mois médicaments pour contrôler
Caractéristique fournisseur de d’hypertension Effectif de précédant pour contrôler la la pression Effectif de
sociodémographique soins de santé artérielle femmes l’enquête tension artérielle artérielle femmes
Groupe d’âges
15–29 64,7 7,3 3 513 44,2 39,7 11,1 257
15–19 41,9 2,8 1 127 (36,6) (22,6) (20,4) 32
20–24 70,5 8,7 1 182 39,2 36,3 8,4 103
25–29 80,3 10,2 1 204 50,4 46,9 11,0 123
30–39 80,6 18,5 1 772 46,5 35,6 6,5 328
30–34 83,5 17,5 972 40,9 28,7 7,4 170
35–39 77,1 19,8 801 52,5 43,0 5,5 158
40–49 84,8 24,7 1 221 58,3 68,6 39,2 302
40–44 83,4 21,0 738 53,4 66,5 34,1 155
45–49 86,9 30,4 483 63,4 70,9 44,5 147
Résidence
Port Gentil/Libreville 77,7 15,1 3 701 49,1 50,3 20,6 560
Autres villes 67,1 11,9 2 309 51,3 43,4 16,6 274
Ensemble urbain 73,6 13,9 6 010 49,8 48,0 19,3 834
Rural 62,3 10,6 497 50,1 47,7 13,2 53
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 66,0 13,3 1 031 44,0 43,0 19,9 138
Second 72,3 14,4 1 333 46,1 48,0 20,3 192
Moyen 71,4 12,5 1 387 50,3 46,7 13,3 174
Quatrième 74,1 11,9 1 442 51,6 54,9 25,7 172
Le plus élevé 78,5 16,1 1 315 55,3 46,8 16,3 212
Ensemble 15–49 72,8 13,6 6 507 49,8 48,0 19,0 887
50–64 86,1 36,8 1 133 65,6 80,4 53,1 417
Ensemble 15–64 74,8 17,1 7 640 54,9 58,4 29,9 1 304
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
Pourcentage d’hommes de 15–49 ans dont la pression artérielle a été mesurée et qui ont été informés par un prestataire de soins de santé qu’ils souffraient
d’hypertension artérielle ; parmi les hommes ayant appris qu’ils souffraient d’hypertension, pourcentage ayant reçu cette information dans les 12 mois précédant
l’enquête, pourcentage à qui l’on a prescrit des médicaments antihypertenseurs, et pourcentage qui prennent des antihypertenseurs ; selon certaines
caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Parmi les hommes qui ont appris d’un prestataire qu’ils
A eu la pression souffraient d’hypertension, pourcentage qui :
artérielle mesuré Informée par un À qui l’on a Prennent des
par un médecin prestataire qu’il Ont été informés prescrit des médicaments
ou un souffrait dans les 12 mois médicaments pour contrôler
Caractéristique fournisseur de d’hypertension Effectif précédant pour contrôler la la pression Effectif
sociodémographique soins de santé artérielle d’hommes l’enquête tension artérielle artérielle d’hommes
Groupe d’âges
15–29 42,9 5,1 2 930 57,9 21,5 3,9 151
15–19 26,0 1,4 1 109 * * * 15
20–24 45,0 6,4 924 (59,4) (31,3) (3,0) 59
25–29 61,6 8,5 897 (55,8) (12,9) (5,4) 76
30–39 70,4 8,7 1 702 50,5 33,5 13,8 148
30–34 69,3 7,4 933 48,4 28,0 11,4 69
35–39 71,8 10,3 768 52,4 38,3 15,8 79
40–49 75,9 17,9 1 222 61,2 44,2 20,0 218
40–44 73,3 16,2 662 58,6 50,9 26,3 107
45–49 79,0 19,9 560 63,7 37,7 13,9 111
Résidence
Port Gentil/Libreville 60,5 10,1 3 488 60,7 34,8 15,0 352
Autres villes 55,5 7,4 1 905 52,0 34,3 11,2 142
Ensemble urbain 58,7 9,2 5 393 58,2 34,7 13,9 494
Rural 46,8 5,0 461 35,9 31,8 4,9 23
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 43,1 5,5 911 42,1 23,2 6,5 51
Second 54,3 6,7 1 114 68,5 41,4 19,7 75
Moyen 53,1 9,2 1 413 61,6 29,6 11,0 131
Quatrième 65,5 9,8 1 296 49,4 31,5 13,3 126
Le plus élevé 70,1 12,0 1 120 59,6 42,6 15,4 135
Ensemble 15–49 57,8 8,8 5 854 57,2 34,5 13,5 517
50–64 81,3 28,2 1 040 58,6 59,1 30,2 293
Ensemble 15–64 61,3 11,8 6 894 57,7 43,4 19,6 811
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés
et qu’elle a été supprimée.
Prévalence de la pression artérielle parmi les femmes de 15–49 ans et répartition (en %) des femmes selon le niveau de pression artérielle, en fonction de
certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Classification de la pression artérielle
Tension
Légère- Modéré- norma- Mesures
Préva- Normale ment ment Sévère- lisée/ de la
lence de la Normale supérieure élevée élevée ment contrôlée tension
pression Optimale 120–129/ 130–139/ 140–159/ 160–179/ élevée par des artérielle
Caractéristique artérielle <120/< 80 80–84 85–89 90–99 100–109 180+/110+ médi- man- Effectif de
sociodémographique élevée mmHg mmHg mmHg mmHg mmHg mmHg caments quantes Total femmes
Groupe d’âges
15–29 4,2 74,2 11,3 5,1 3,4 0,6 0,3 0,6 4,7 100,0 3 513
15–19 2,6 78,5 10,0 3,1 2,4 0,2 0,0 0,6 5,3 100,0 1 127
20–24 3,5 75,1 9,4 6,3 3,0 0,4 0,0 0,7 5,1 100,0 1 182
25–29 6,5 69,2 14,4 5,8 4,6 1,1 0,8 0,4 3,7 100,0 1 204
30–39 12,6 60,5 13,7 8,0 9,1 2,2 1,3 0,9 4,3 100,0 1 772
30–34 11,1 61,4 12,8 6,7 8,5 1,5 1,1 1,3 6,7 100,0 972
35–39 14,5 59,4 14,8 9,4 9,8 3,1 1,6 0,5 1,5 100,0 801
40–49 25,8 40,4 14,1 12,2 15,3 6,0 4,5 2,8 4,7 100,0 1 221
40–44 19,5 44,0 15,7 12,1 11,4 4,8 3,2 2,2 6,6 100,0 738
45–49 35,5 35,0 11,7 12,2 21,1 7,9 6,5 3,7 1,8 100,0 483
Résidence
Port Gentil/
Libreville 10,9 64,4 11,6 6,9 6,8 2,2 1,9 1,2 5,0 100,0 3 701
Autres villes 10,2 63,5 13,5 7,5 7,9 1,8 0,6 0,9 4,4 100,0 2 309
Ensemble urbain 10,7 64,0 12,3 7,1 7,2 2,1 1,4 1,1 4,8 100,0 6 010
Rural 9,5 65,1 14,3 8,4 6,9 1,6 1,0 0,5 2,2 100,0 497
Consommation de
tabac à fumer
Oui 9,3 73,8 6,7 5,8 9,0 0,3 0,0 0,3 4,1 100,0 191
Non 10,6 63,8 12,6 7,2 7,1 2,1 1,4 1,1 4,6 100,0 6 316
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 10,4 64,2 13,3 8,4 7,8 1,8 0,8 1,1 2,6 100,0 1 031
Second 10,3 65,3 13,0 6,8 7,4 1,8 1,2 1,2 3,4 100,0 1 333
Moyen 10,5 62,2 13,8 6,6 7,6 2,0 0,9 1,0 5,9 100,0 1 387
Quatrième 9,6 67,9 11,5 5,1 5,2 3,1 1,3 1,3 4,6 100,0 1 442
Le plus élevé 12,1 60,7 11,0 9,6 8,3 1,4 2,4 0,7 5,9 100,0 1 315
Ensemble 15–49 10,6 64,1 12,5 7,2 7,2 2,0 1,4 1,1 4,6 100,0 6 507
50–64 34,1 26,3 15,1 10,7 18,6 9,5 6,0 7,9 5,8 100,0 1 133
Ensemble 15–64 14,0 58,5 12,9 7,7 8,9 3,1 2,0 2,1 4,8 100,0 7 640
Prévalence de la pression artérielle élevée parmi les hommes de 35–49 ans et répartition (en %) des hommes selon le niveau de pression artérielle, en
fonction de certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Classification de la pression artérielle
Légère- Modéré- Sévère- Tension
Préva- ment ment ment norma- Mesures
lence Normale élevée élevée élevée lisée/ de la
de la Normale supérieure 140–159/ 160–179/ 180+/ contrôlée tension
pression Optimale 120–129/ 130–139/ 90–99 100–109 110+ par des artérielle
Caractéristique artérielle < 120/< 80 80–84 85–89 mmHg mmHg mmHg médica- man- Effectif
sociodémographique élevée mmHg mmHg mmHg (Niveau 1) (Niveau 2) (Niveau 3) ments quantes Total d’hommes
Groupe d’âges
35–39 17,5 34,4 25,4 16,2 12,3 4,0 1,2 0,7 5,8 100,0 768
40–44 23,8 31,8 23,9 15,2 19,2 3,0 1,6 1,4 3,9 100,0 662
45–49 29,7 32,2 21,7 13,3 16,7 9,1 3,9 0,7 2,3 100,0 560
Résidence
Port Gentil/
Libreville 26,9 33,8 18,2 15,2 18,5 5,8 2,5 1,2 4,7 100,0 1 214
Autres villes 17,8 28,9 34,2 15,0 11,9 4,3 1,6 0,5 3,5 100,0 601
Ensemble urbain 23,9 32,2 23,5 15,1 16,3 5,3 2,2 1,0 4,3 100,0 1 815
Rural 14,5 40,4 27,8 14,5 10,8 3,0 0,8 0,0 2,8 100,0 176
Consommation de
tabac à fumer
Oui 19,8 41,0 20,3 12,4 13,9 5,5 0,4 0,1 6,5 100,0 417
Non 23,9 30,8 24,8 15,8 16,4 5,0 2,6 1,1 3,6 100,0 1 573
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 16,0 43,0 22,4 14,6 12,1 2,7 1,2 0,3 3,6 100,0 300
Second 25,4 32,3 24,3 14,9 19,7 5,1 0,6 0,5 2,6 100,0 335
Moyen 24,1 31,1 25,1 14,3 14,7 5,4 4,0 1,1 4,3 100,0 460
Quatrième 21,7 27,4 23,9 18,2 14,9 4,6 2,2 1,2 7,6 100,0 452
Le plus élevé 26,2 34,1 23,2 13,1 17,5 6,9 1,8 1,2 2,2 100,0 443
35–49 23,0 32,9 23,9 15,1 15,8 5,1 2,1 0,9 4,2 100,0 1 990
50–64 35,3 24,0 16,2 16,4 20,4 9,6 5,3 2,3 5,7 100,0 1 040
Ensemble 35–64 27,3 29,9 21,2 15,5 17,4 6,7 3,2 1,4 4,7 100,0 3 030
Prévalence de certaines maladies non transmissibles parmi les personnes âgées de 15–49 ans, 50–64 ans et 15–64 ans, selon le sexe, EDSG-III 2019–
21
Enquêtés 15–49 ans Enquêtés 50–64 ans Enquêtés 15–64 ans
Type de maladies non transmissibles Femmes Hommes Ensemble Femmes Hommes Ensemble Femmes Hommes Ensemble
Maladies cardiovasculaires 1,3 2,0 1,6 5,1 5,6 5,3 1,9 2,5 2,2
Maladies pulmonaires 2,3 3,0 2,7 2,1 5,4 3,7 2,3 3,4 2,8
Tumeurs 0,2 0,1 0,1 0,2 1,1 0,6 0,2 0,2 0,2
Dépression 2,2 1,0 1,6 7,0 3,6 5,3 2,9 1,4 2,2
Arthrite 3,4 1,9 2,7 22,9 11,6 17,5 6,3 3,4 4,9
Autres maladies chroniques 1,8 3,4 2,6 5,7 7,0 6,3 2,4 4,0 3,1
Effectif 6 507 5 854 12 361 1 133 1 040 2 173 7 640 6 894 14 534
Pourcentage de femmes de 15–49 ans ayant entendu parler du cancer du col de l’utérus, pourcentage ayant entendu parler d’un test pour le cancer du col de l’utérus et
pourcentage qui ont effectué un test pour le cancer du col de l’utérus ; distribution (en %) des femmes de 15–49 ans ayant effectué le test selon la date du dernier test et
distribution (en %) selon le résultat du test ; selon les caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pour- Parmi les femmes ayant effectué le test :
centage Pour-
ayant centage
Pour- entendu ayant
centage parler effectué
ayant d’un test le test Effectif
Date du dernier test Résultat du test
entendu pour le pour le des
parler du cancer cancer Ne sait N’a pas femmes
cancer du col du col Effectif pas/ Anor- Nor- reçu de ayant
Caractéristique du col de de de de man- mal/ mal/ Indéter- résul- Ne effectué
sociodémographique l’utérus l’utérus l’utérus femmes < 1 an 1–3 ans > 3 ans quant Total positif négatif miné tats sait pas Total le test
Groupe d’âges
15–29 74,1 58,9 9,5 3 513 32,7 47,6 19,0 0,8 100,0 1,3 98,1 0,1 0,5 0,0 100,0 333
15–19 58,2 41,6 2,6 1 127 31,5 35,4 33,1 0,0 100,0 * * * * * 100,0 30
20–24 79,3 64,4 9,2 1 182 30,2 52,1 15,4 2,3 100,0 1,6 98,3 0,0 0,1 0,0 100,0 108
25–29 83,8 69,6 16,2 1 204 34,3 46,9 18,8 0,0 100,0 1,3 97,7 0,2 0,8 0,0 100,0 195
30–39 86,7 73,6 20,4 1 772 20,6 56,4 19,9 3,1 100,0 0,0 99,3 0,3 0,3 0,0 100,0 361
30–34 86,4 74,8 20,2 972 19,3 67,7 11,6 1,4 100,0 0,0 99,0 0,6 0,4 0,0 100,0 197
35–39 87,1 72,1 20,5 801 22,3 42,7 29,9 5,1 100,0 0,0 99,7 0,0 0,3 0,0 100,0 164
40–49 82,2 71,1 24,6 1 221 22,1 44,4 31,1 2,4 100,0 0,0 99,1 0,0 0,9 0,0 100,0 301
40–44 81,2 70,9 24,1 738 21,7 47,8 28,2 2,4 100,0 0,0 98,5 0,0 1,5 0,0 100,0 178
45–49 83,8 71,5 25,4 483 22,7 39,4 35,3 2,5 100,0 0,1 99,8 0,0 0,0 0,0 100,0 123
Résidence
Port Gentil/
Libreville 80,3 66,7 15,8 3 701 26,7 49,9 21,2 2,2 100,0 0,0 99,3 0,2 0,5 0,0 100,0 584
Autres villes 80,5 65,4 15,3 2 309 23,8 49,5 24,9 1,8 100,0 1,2 98,2 0,1 0,5 0,0 100,0 353
Ensemble urbain 80,4 66,2 15,6 6 010 25,6 49,8 22,6 2,0 100,0 0,5 98,9 0,2 0,5 0,0 100,0 937
Rural 63,0 52,7 11,6 497 17,7 50,1 29,0 3,2 100,0 0,4 98,1 0,0 1,4 0,1 100,0 58
Niveau d’instruction
Aucun 49,5 35,1 10,6 406 39,4 51,0 9,6 0,0 100,0 (0,0) (100,0) (0,0) (0,0) (0,0) 100,0 43
Primaire 64,4 50,9 9,1 838 21,1 42,6 35,1 1,2 100,0 0,2 97,9 0,0 1,8 0,1 100,0 76
Secondaire 1er
cycle 75,9 59,6 12,3 2 840 22,0 50,4 24,3 3,4 100,0 0,8 98,4 0,1 0,7 0,0 100,0 348
Secondaire 2e cycle 91,1 78,5 16,7 1 443 24,8 54,7 19,1 1,4 100,0 0,7 99,2 0,0 0,1 0,0 100,0 241
Supérieur 95,3 86,4 29,2 980 28,2 46,7 23,4 1,7 100,0 0,0 99,1 0,4 0,5 0,0 100,0 286
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 66,7 52,3 10,1 1 031 34,1 39,1 25,9 0,9 100,0 0,2 98,9 0,0 0,8 0,1 100,0 104
Second 73,6 58,8 11,9 1 333 23,3 54,9 21,4 0,4 100,0 0,1 99,8 0,0 0,1 0,0 100,0 159
Moyen 83,1 68,4 12,8 1 387 17,8 53,2 26,9 2,1 100,0 1,4 96,7 0,3 1,7 0,0 100,0 177
Quatrième 81,9 67,6 17,5 1 442 23,8 51,6 21,0 3,6 100,0 0,7 98,3 0,5 0,5 0,0 100,0 253
Le plus élevé 86,8 75,8 23,0 1 315 28,4 47,3 22,2 2,2 100,0 0,0 100,0 0,0 0,0 0,0 100,0 303
Ensemble 15–49 79,0 65,2 15,3 6 507 25,1 49,8 23,0 2,1 100,0 0,5 98,8 0,2 0,5 0,0 100,0 995
50–64 80,3 70,3 22,9 1 133 19,4 49,6 25,9 5,1 100,0 0,5 95,8 0,0 3,0 0,7 100,0 259
Ensemble 15–64 79,2 65,9 16,4 7 640 23,9 49,8 23,6 2,7 100,0 0,5 98,2 0,1 1,1 0,1 100,0 1 254
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle
a été supprimée.
Pourcentage de femmes de 15–49 ans dont la glycémie a été mesurée et qui ont été informées par un prestataire de soins de santé qu’elles faisaient de
l’hyperglycémie ou du diabète ; parmi les femmes qui ont appris qu’elles faisaient de l’hyperglycémie, pourcentage ayant reçu cette information dans les 12 mois
précédant l’enquête, pourcentage à qui l’on a prescrit des médicaments antidiabétiques, et pourcentage qui prennent des antidiabétiques, selon certaines
caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Parmi les femmes qui ont appris d’un prestataire qu’elles
faisaient de l’hyperglycémie, pourcentage qui :
A eu la glycémie À qui l’on a
mesurée par un Informée par un Ont été informées prescrit des Prennent des
médecin ou un prestataire qu’elle dans les 12 mois médicaments médicaments
Caractéristique prestataire de faisait de Effectif des précédant pour contrôler la pour contrôler la Effectif de
sociodémographique soins de santé l’hyperglycémie femmes l’enquête glycémie glycémie femmes
Groupe d’âges
15–29 20,4 1,1 3 513 (30,1) (8,7) (7,8) 38
15–19 10,5 0,2 1 127 * * * 3
20–24 20,6 1,2 1 182 * * * 14
25–29 29,6 1,8 1 204 * * * 21
30–39 31,5 2,9 1 772 (26,7) (38,5) (16,8) 52
30–34 29,8 2,1 972 * * * 20
35–39 33,6 4,0 801 * * * 32
40–49 35,7 3,9 1 221 (22,5) (37,4) (15,4) 48
40–44 35,0 3,2 738 * * * 24
45–49 36,8 5,0 483 * * * 24
Résidence
Port Gentil/Libreville 30,0 2,8 3 701 (22,4) (24,3) (6,8) 103
Autres villes 22,6 1,2 2 309 39,4 48,2 40,0 29
Ensemble urbain 27,2 2,2 6 010 26,1 29,5 14,1 131
Rural 16,1 1,3 497 * * * 6
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 17,6 1,2 1 031 (21,8) (52,2) (48,1) 12
Second 21,8 1,5 1 333 * * * 20
Moyen 25,0 2,3 1 387 * * * 32
Quatrième 28,7 2,3 1 442 * * * 33
Le plus élevé 36,5 3,2 1 315 * * * 42
Ensemble 15–49 26,3 2,1 6 507 26,2 30,0 13,8 138
50–64 41,7 9,2 1 133 67,1 60,8 53,9 104
Ensemble 15–64 28,6 3,2 7 640 43,8 43,3 31,1 242
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés
et qu’elle a été supprimée.
Pourcentage d’hommes de 15–49 ans dont la glycémie a été mesurée et qui ont été informés par un prestataire de soins de santé qu’ils faisaient de l’hyperglycémie
ou du diabète ; parmi les hommes qui ont appris qu’ils faisaient de l’hyperglycémie, pourcentage ayant reçu cette information dans les 12 mois précédant l’enquête,
pourcentage à qui l’on a prescrit des médicaments antidiabétiques, et pourcentage qui prennent des antidiabétiques; selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Parmi les hommes qui ont appris d’un prestataire qu’ils
faisaient de l’hyperglycémie, pourcentage qui :
A eu la glycémie A qui l’on a
mesurée par un Informé par un Ont été informés prescrit des Prennent des
médecin ou un prestataire qu’il dans les 12 mois médicaments médicaments
Caractéristique prestataire de faisait de Effectif précédant pour contrôler pour contrôler Effectif
sociodémographique soins de santé l’hyperglycémie d’hommes l’enquête la glycémie la glycémie d’hommes
Groupe d’âges
15–29 8,0 0,4 2 930 * * * 12
15–19 3,7 0,4 1 109 * * * 5
20–24 7,6 0,7 924 * * * 6
25–29 13,8 0,1 897 * * * 1
30–39 25,2 2,7 1 702 (67,8) (57,3) (30,2) 46
30–34 22,1 3,3 933 * * * 31
35–39 29,0 2,0 768 * * * 16
40–49 32,9 4,6 1 222 (76,5) (46,4) (38,1) 56
40–44 30,5 5,2 662 * * * 34
45–49 35,7 4,0 560 * * * 22
Résidence
Port Gentil/Libreville 21,1 2,6 3 488 (70,9) (56,2) (38,0) 91
Autres villes 14,3 1,0 1 905 (49,0) (28,6) (20,3) 20
Ensemble urbain 18,7 2,1 5 393 67,0 51,3 34,8 111
Rural 12,3 0,7 461 * * * 3
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 10,0 0,3 911 * * * 3
Second 15,3 1,4 1 114 * * * 16
Moyen 15,8 2,2 1 413 * * * 31
Quatrième 20,4 3,1 1 296 * * * 40
Le plus élevé 28,1 2,2 1 120 * * * 24
Ensemble 15–49 18,2 1,9 5 854 65,7 50,4 34,5 114
50–64 32,4 5,3 1 040 85,8 69,3 54,4 55
Ensemble 15–64 20,3 2,4 6 894 72,2 56,5 40,9 169
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés
et qu’elle a été supprimée.
D
ans le cadre de la lutte contre les inégalités femmes-hommes, le Gabon dispose d’un cadre
juridique et institutionnel qui figure dans sa Constitution. En effet, la Constitution de la
République Gabonaise en son article 2, alinéa 2, stipule que : “La République Gabonaise assure
l’égalité de tous les citoyens devant la loi, sans distinction d’origine, de race, de sexe, d’opinion ou de
religion”. Cette exigence s’est traduite par la ratification des instruments juridiques internationaux de
promotion de l’égalité de genre, et par la prise en compte de la dimension genre dans la législation
nationale ainsi que dans la conception et la mise en œuvre des politiques publiques.
Aussi, pouvons-nous citer la Stratégie Nationale d’Égalité et d’Équité de Genre (SNEEG) mise en place en
2010, le Plan Décennal pour l’Autonomisation de la Femme Gabonaise (2015–2025). De même, plusieurs
textes (lois et décrets) ont été initiés ou revus ; il s’agit, notamment, de :
▪ La loi n°002/2015 du 25 juin 2015 portant adoption de la deuxième partie du Code Civil relative aux
successions avec pour objectif de revisiter les lois discriminatoires en matière de succession ;
▪ La loi n°3/94 du 21 novembre 1994 portant Code du Travail modifiée par la loi n°12/2000 du 12
octobre 2000, en son article 8 dispose que “tous les travailleurs sont égaux devant la loi et bénéficient
de la même protection et des mêmes garanties. Toute discrimination en matière d’emploi et de
condition de travail fondée notamment sur la race, la couleur, le sexe, la religion, l’opinion publique,
l’ascendance nationale ou l’origine sociale est interdite” ;
▪ Le nouveau code pénal au Gabon octroie la possibilité à la femme d’exercer la profession de son
choix, de participer au choix du domicile familial tout en reconnaissant le divorce par consentement
mutuel et interdisant la répudiation.
Plus récemment, la Stratégie de Promotion des droits de la femme et de réduction des inégalités hommes-
femmes au Gabon dénommée “GABON-ÉGALITÉ” a été lancée. Elle se propose de faire du Gabon à
moyen et long terme, un modèle d’égalité hommes-femmes et de promotion des droits des femmes en
Afrique.
Pour répondre à un besoin de suivi et d’évaluation de l’efficacité de tout cet arsenal juridique,
institutionnel et stratégique, il convient de produire certains indicateurs qui permettront de mesurer les
progrès réalisés.
Ce chapitre présente l’analyse des résultats concernant le pouvoir d’action des femmes, en termes
d’emploi, de revenus, de contrôle de leurs gains et d’écarts de revenus par rapport à ceux de leur conjoint.
En outre, à partir des réponses des femmes à des questions spécifiques, deux indicateurs différents du
pouvoir d’action des femmes ont été élaborés : la participation des femmes dans la prise de décision dans
le ménage et l’opinion des femmes concernant le fait de battre son épouse/partenaire.
Emploi
On considère que les enquêtés ont travaillé s’ils ont effectué n’importe quel
travail autre que leur travail domestique au cours des 12 derniers mois.
Échantillon : Femmes et hommes de 15–49 ans actuellement en union
Lors de l’enquête, on a demandé aux femmes et aux hommes en union s’ils avaient travaillé au cours des
12 derniers mois et sous quelle forme ils avaient été rémunérés pour leur travail.
Les résultats présentés au Tableau 15.1 montrent que plus de la moitié des femmes en union de 15–49 ans
(57 %) ont déclaré qu’elles avaient travaillé au cours des 12 mois ayant précédé l’enquête. Par contre
concernant les hommes en union de 15–49 ans les résultats montrent que pratiquement tous avaient exercé
un travail au cours des 12 derniers mois (98 %). Pour le travail effectué, la large majorité de toutes les
Tendances : Par rapport aux données de l’EDSG-II 2012, on ne constate pas de variation du pourcentage
de femmes en union qui avaient exercé un travail au cours des 12 derniers mois (58 % contre 57 %). Par
contre, on constate une augmentation du nombre de femmes qui ont été rémunérées en argent uniquement
(84 % en 2012 contre 93 % en 2019–21). Le pourcentage de femmes en union non rémunérées pour son
travail a baissé de plus de moitié, passant de 12 % à 5 %.
▪ La proportion des femmes et des hommes en Graphique 15.1 Emploi par âge
union ayant travaillé au cours des 12 derniers Pourcentage de femmes et d’hommes
mois augmente avec l’âge, passant d’un actuellement en union qui ont travaillé à
minimum de 19 % parmi celles de 15–19 ans à n’importe quel moment au cours des
un maximum de 69 % parmi celles de 45–49 12 mois avant l’enquête
Homme actuellement en union
ans. Chez les hommes la variation est très faible,
95 99 98 98 98
on passe de 88 % chez les 15–19 à 98 % chez (88)
93
les 45–49 ans (Graphique 15.1).
68 69 69
62
48
Femme actuellement en union
34
19
Le pouvoir de décision concernant l’utilisation du revenu du travail de la femme est considéré comme l’un
des indicateurs directs du statut de la femme. En effet, il permet de mesurer son niveau d’autonomie
financière. Plus le nombre de décisions auxquelles la femme est impliquée est élevé, plus on considère que
son niveau d’autonomie est élevé.
▪ C’est dans les provinces de l’Ogooué-Lolo (68 %), du Woleu-Ntem (53 %) et de la ville de Port-Gentil
(66 %) que les proportions de femme décidant elles-mêmes de l’utilisation de leur revenu sont les plus
élevées. À l’opposé, c’est à l’Estuaire (sans Libreville) que ce pourcentage est le plus faible (31 %).
C’est dans le Haut-Ogooué que le pourcentage de femmes dont le mari/partenaire décide
principalement de l’utilisation de leurs gains est le plus élevé (14 %) (Tableau 15.2.1).
▪ C’est parmi les femmes ayant le niveau supérieur que le pourcentage de celles qui décident en
concertation avec leur mari/partenaire est le plus élevé (56 %). Par contre, c’est parmi les femmes sans
niveau d’instruction que le rôle du mari/partenaire dans la décision d’utilisation des gains de la femme
est le plus important (19 % contre moins de 9 % dans chacune des autres catégories).
Au Gabon, lorsque la femme gagne moins que son conjoint, c’est elle qui décide principalement de
l’utilisation de ses propres gains (53 %). Quand il s’agit des gains du mari/partenaire, il est plus courant
que la décision d’utilisation soit conjointe (46 %).
La possession de maisons ou de terres peut conférer une certaine autonomie financière, sociale et peut
contribuer à l’amélioration des conditions de vie du ménage. Pour les femmes, être propriétaires de ces
biens peut renforcer leur autonomie, leur niveau de revenu et leur pouvoir d’achat, et aussi leur permettre
de participer à la prise de décision dans leur ménage et dans la communauté. Elle peut également les
protéger en cas de décès du mari/partenaire ou rupture d’union.
Les résultats du Tableau 15.4.1 et du Tableau 15.4.2 montrent que la proportion des femmes de 15–49 ans
et des hommes de 15–49 ans qui ne possèdent pas une maison et des terres est très élevée. Au Gabon, 14 %
seulement de femmes ont déclaré posséder une maison (5 % seule, 6 % conjointement et 3 % seule et
conjointement). Le pourcentage d’hommes de 15–49 ans possédant une maison est légèrement plus élevé
16 % (11 % seul, 4 % conjointement et 1 % seul et conjointement). Cinq pour cent (5 %) des femmes et
11 % des hommes ont déclaré posséder de terres.
Tendances : Par rapport à 2012, le pourcentage de femmes possédant une maison seule ou avec quelqu’un
d’autre a diminué, passant de 23 % à 14 %. On note la même tendance pour la possession de terres, le
pourcentage étant passé de 20 % à 5 %.
▪ La possession de maison, seul, conjointement ou seul et conjointement, augmente avec l’âge quel que
soit le sexe.
▪ La possession de maisons est plus fréquente en milieu rural qu’en milieu urbain. Une femme sur cinq
(20 %) en milieu rural possède une maison contre 13 % des femmes en milieu urbain. Chez les
▪ Les pourcentages des femmes possédant une maison sont plus élevés dans le Moyen-Ogooué (20 %),
le Woleu-Ntem (19 %) et l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) (19 %). Ils sont plus faibles à
Libreville (13 %), Port-Gentil (9 %), dans le Haut-Ogooué (13 %) et la Ngounié (13 %).
Au Gabon, parmi les femmes qui possèdent une Graphique 15.4 Possessions de biens
maison, la moitié n’a pas de titre de propriété pour la Pourcentage de femmes et d’hommes de
maison (50 %). Chez les hommes, ce pourcentage 15–49 ans selon qu’ils possèdent
est plus élevé (63 %) (Tableau 15.5.1, certains biens
Tableau 15.5.2). Femme Homme
▪ Le pourcentage de femmes et d’hommes disposant d’un titre de propriété pour une maison sur lequel
figure leur nom a globalement tendance à augmenter avec le niveau d’instruction ; on note cependant
un pourcentage plus faible parmi les femmes ayant le niveau primaire (11 % contre 32 % parmi celles
ayant le niveau supérieur).
▪ Le pourcentage de femmes et d’hommes disposant d’un titre de propriété pour une maison sur lequel
figure leur nom est nettement plus élevé parmi ceux du quintile le plus élevé par rapport aux autres
(31 % contre 25 % dans les autres, parmi les femmes et 41 % contre 36 % dans les autres, parmi les
hommes).
Dans la majorité des cas, la majorité des femmes et des hommes de 15–49 ans n’ont pas de titre de
propriété pour les terres possédées (respectivement 69 % et 64 %) (Tableau 15.6.1 et Tableau 15.6.2). En
▪ Disposer d’un titre de propriété pour ses terres avec son nom est plus fréquent en milieu urbain qu’en
milieu rural (22 % contre 4 % parmi les femmes et 31 % contre 9 % parmi les hommes).
▪ Les pourcentages les plus élevés des personnes possédant un titre de propriété de terres avec leur nom
sont observés parmi les femmes du Moyen-Ogooué (29 %) et de la Nyanga (22 %) et les plus faibles
parmi celles de l’Ogooué-Ivindo (moins d’un pour cent) et de l’Ogooué-Lolo (1 %). Chez les hommes,
c’est dans le Moyen-Ogooué (39 %), l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) (36 %) et l’Estuaire (sans
Libreville) (36 %) que les pourcentages disposant d’un titre de propriété avec leur nom sont les plus
élevés ; c’est dans la Ngounié (8 %) qu’il est le plus faible.
Au Gabon comme le montre le Tableau 15.7, le document administratif officiel le plus courant attestant la
preuve de possession d’une maison par les femmes est le titre foncier (35 %) ; suivi du plan de bornage du
cadastre (ANUTTC) (17 %). La réquisition d’immatriculation (1 %) et l’attestation de régularisation
(moins d’un pour cent) sont rares.
En milieu rural, le plan de bornage du cadastre (ANUTTC) (33 %) est le document administratif officiel le
plus possédé.
Concernant le terrain, le titre foncier (23 %) et le document administratif officiel le plus possédé
(Tableau 15.8). Viennent ensuite, le plan de bornage du cadastre (ANUTTC) (17 %) puis du permis
d’occupation (16 %).
▪ L’utilisation du téléphone portable pour effectuer des transactions financières ne varie pas beaucoup
entre les milieux de résidence pour les femmes (75 % en urbain contre 72 % en rural) ; par contre,
l’écart est plus prononcé parmi les hommes (74 % en urbain contre 63 % en rural).
▪ Dans toutes les provinces, chez les femmes comme chez les hommes, la possession d’un téléphone
portable est largement répandue, son utilisation dans les transactions financières également. Par contre,
les pourcentages possédants et utilisant un compte bancaire sont très faibles dans la Nyanga (6 %),
l’Ogooué-Ivindo (5 %) et l’Ogooué-Lolo (5 %) pour les femmes et, dans l’Ogooué-Ivindo (10 %) pour
les hommes.
▪ Du quintile de bien-être économique le plus bas au plus élevé, les pourcentages de femmes et
d’hommes possédant et utilisant un compte bancaire ainsi que les pourcentages de ceux possédant et
utilisant leur téléphone pour des transactions financières augmentent de manière importante.
Pour évaluer le rôle et le niveau d’implication des femmes et des hommes dans les prises de décision au
niveau du ménage, des questions ont été posées pour savoir qui, de l’enquêté ou d’une autre personne,
avait le dernier mot dans certaines décisions. Chez les femmes, les questions portaient sur trois sujets : les
décisions concernant leurs soins de santé, les achats importants pour le ménage et les visites à la famille ou
Les résultats présentés dans le Tableau 15.10 et le Graphique 15.6 Participation des
Tableau 15.11.1 montrent que, quel que soit le type femmes dans la prise de décision
de décision, dans la majorité des cas, les femmes Pourcentage de femmes de 15–49 ans
sont impliquées dans la prise de décision, soit seule actuellement en union qui ont participé à
ou conjointement avec leur mari/partenaire : la la prise de certaines décisions
proportion de femmes en union qui ont déclaré être
Soins de santé de la
impliquées dans la prise de décision concernant leurs femme
73
propres soins de santé est de 73 %, 28 % ayant
décidé principalement et 45 % en concertation avec Achats importants pour
77
le mari/partenaire. Ce pourcentage est de 77 % en ce le ménage
qui concerne les achats importants du ménage et de
Visites à la famille ou
79 % pour les visites à sa famille (Graphique 15.6). aux amis
79
Globalement, 62 % ont participé à la prise des trois
décisions retenues dans l’enquête. A participé à la prise des
62
3 décisions
Les résultats concernant les hommes de 15–49 ans N’a participé à la prise
(Tableau 15.11.2) montrent que ces derniers d’aucune de ces 12
décident principalement dans 87 % des cas pour décisions
leurs propres soins de santé et dans 72 % des cas,
pour les achats importants du ménage. Sept hommes sur dix ont participé à la prise des deux décisions
retenues dans l’enquête (70 %).
Tendances : Le pourcentage de femmes de 15–49 ans ayant participé à la prise des trois décisions retenues
dans l’enquête a augmenté, passant de 44 % à 62 %. En particulier, le pourcentage de femmes ayant été
impliqué dans la décision concernant leurs propres soins de santé est passé de 58 % à 73 % et le
pourcentage ayant participé à la prise de décision concernant les achats importants du ménage est passé de
73 % à 77 %.
▪ La proportion de femmes impliquées dans la prise des trois décisions augmente avec le niveau
d’instruction, passant de 38 % chez celles sans niveau d’instruction à 68 % chez celles ayant le niveau
secondaire 2nd cycle et à 72 % chez celles ayant le niveau supérieur (Tableau 15.11.1).
▪ C’est dans les provinces du Woleu-Ntem (23 %), de la Nyanga (21 %) et le Haut-Ogooué (15 %) que
le pourcentage des femmes qui ne sont impliquées dans la prise d’aucune des trois décisions est le plus
élevé.
▪ Le pourcentage d’hommes ayant participé à la prise des deux décisions retenues dans l’enquête est
plus élevé en milieu rural qu’en milieu urbain (79 % contre 69 %) (Tableau 15.11.2).
▪ Le pourcentage d’hommes qui ne sont impliqués dans la prise d’aucune des deux décisions est plus
élevé dans la Ngounié (20 %) et la ville de Port-Gentil (16 %) que dans les autres provinces.
Les résultats du Tableau 15.12.1 montrent que, globalement, environ une femme de 15–49 ans sur trois
(29 %) pense qu’il est justifié qu’un homme batte sa femme pour au moins une des cinq raisons citées.
Près d’une femme sur quatre (23 %) pense qu’il est justifié qu’un homme batte sa femme quand elle
néglige les enfants, 16 % si elle argumente avec le mari, 8 % si elle sort sans le lui dire, 5 % quand elle
refuse d’avoir des rapports sexuels avec lui et 3 % quand elle brûle la nourriture.
▪ Le pourcentage de femmes qui justifient le recours à la violence conjugale, pour au moins une des
raisons citées, est plus élevé en milieu rural (36 %) qu’en milieu urbain (29 %) (Tableau 15.12.1). On
retrouve ce même écart parmi les hommes (36 % contre 33 %) (Tableau 15.12.2).
▪ La justification de la violence conjugale, pour au moins une des cinq raisons citées est une opinion
plus fréquemment répandue chez les femmes du Moyen-Ogooué (43 %), de l’Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) (39 %), de l’Ogooué-Lolo (38 %) que parmi celles du Haut-Ogooué (23 %).
▪ Le pourcentage de femmes justifiant la violence conjugale est nettement plus faible parmi celles ayant
le niveau supérieur que parmi les autres, en particulier par rapport à celles ayant le niveau primaire
(14 % contre 38 %).
Plus de trois femmes de 15–49 ans sur cinq (62 %) et sept hommes de 15–49 ans sur dix (70 %) pensent
qu’il est justifié qu’une femme refuse d’avoir des rapports sexuels avec son mari/partenaire si elle sait qu’il
a des relations sexuelles avec d’autres femmes. De même, 82 % des femmes et 90 % des hommes pensent
qu’il est justifié qu’une femme demande à utiliser un condom au cours des rapports sexuels si elle sait que
son mari/partenaire a une IST (Tableau 15.13). Pour près des trois quarts des femmes (73 %), il est justifié
qu’une femme refuse d’avoir des rapports sexuels avec son mari/partenaire si elle sait qu’il a une IST.
Le Tableau 15.14 montre qu’au Gabon, plus d’une femme sur deux en union (51 %) a déclaré pouvoir
refuser des rapports sexuels à son mari/partenaire quand elle ne souhaite pas en avoir et une sur deux
(50 %) peut demander à leur mari/partenaire d’utiliser un condom.
▪ Le pourcentage d’hommes justifiant la négociation de rapports sexuels protégés, que ce soit dans le cas
de multipartenariat ou d’IST est toujours plus élevé que celui des femmes, quelle que soit la
caractéristique sociodémographique (Tableau 15.13).
▪ Que ce soit parmi les femmes ou parmi les hommes, les pourcentages justifiant l’adoption de
comportements sexuels à moindre risque sont plus élevés en milieu urbain qu’en milieu rural.
▪ Le pourcentage de femmes pouvant refuser des rapports sexuels à leur mari/partenaire quand elles ne
souhaitent pas en avoir est plus faible parmi celles qui n’ont aucun niveau d’instruction (32 %) que
parmi les autres (Tableau 15.14).
Le premier indicateur relève du pouvoir décisionnel que la femme exerce dans son environnement proche
et dans les domaines et aspects qui affectent sa propre vie. Plus le nombre de décisions auxquelles la
femme est impliquée est élevé (ici entre 0 et 3), plus on considère que son niveau d’autonomie est élevé.
Le deuxième indicateur mesure le degré d’approbation des femmes concernant le recours à la violence
conjugale dans certaines situations. Les valeurs de cette échelle sont comprises entre 0 et 5. On considère
qu’un score élevé indique un niveau d’acceptation élevé de la violence conjugale associée à un pouvoir
d’action plus faible.
Les résultats montrent que la proportion de femmes qui ne justifient pour aucune raison le recours à la
violence conjugale augmente avec le nombre de décisions dans lesquelles elles ont été associées, passant
de 66 % quand la femme n’a participé à aucune décision à 74 % quand elle a été impliquée dans la prise
des trois décisions. De même, la proportion de femmes ayant participé à la prise de toutes les décisions
Le Tableau 15.16 présente la répartition des femmes de 15–49 ans actuellement en union selon
l’utilisation actuelle de la contraception en fonction des deux indicateurs du pouvoir d’action des femmes,
à savoir le nombre de décisions auxquelles la femme a participé, soit seule, soit en commun avec son
mari/partenaire, et le nombre de raisons pour lesquelles la femme pense qu’il est justifié qu’un
mari/partenaire frappe ou batte son épouse.
On constate, ici, une association positive entre, d’une part l’utilisation de la contraception et le nombre de
décisions auxquelles la femme a participé et d’autre part entre l’utilisation contraceptive et le nombre de
raisons justifiant le recours à la violence conjugale. En effet, l’utilisation d’une méthode de contraception
moderne augmente avec le nombre de décisions, de 16 % quand la femme n’a participé à aucune décision à
17 % quand elle a participé à 1–2 décisions et à 18 % quand elle a été associée à la prise des trois
décisions. Pour le second indicateur, la tendance est irrégulière, mais quand la femme ne justifie le recours
à la violence conjugale pour aucune raison, 25 % utilisent une méthode et 17 % une méthode moderne
contre respectivement 11 % et 8 % quand la violence est justifiée pour les cinq raisons.
15.10.2 Pouvoir d’action des femmes, nombre idéal d’enfants et besoins non
satisfaits en matière de planification familiale
Le Tableau 15.17 présente le nombre moyen idéal d’enfants pour les femmes de 15–49 ans et la
proportion de femmes de 15–49 ans, en union, ayant des besoins non satisfaits en matière de planification
familiale, selon les deux indicateurs du pouvoir d’action des femmes. Les résultats ne montrent pas une
association très claire entre les indicateurs du pouvoir d’action des femmes et les besoins non satisfaits en
matière de contraception et le nombre idéal d’enfants. En ce qui concerne le nombre moyen idéal d’enfants
souhaités par la femme, il augmente légèrement en fonction du nombre de raisons qui justifient la violence
conjugale : de 4,3 quand la femme ne justifie pour aucune raison le recours à la violence conjugale, à 5,0
quand elle la justifie pour 3–4 raisons et à 4,8, pour 5 raisons.
Le Tableau 15.18 présente le pourcentage des femmes de 15–49 ans ayant eu une naissance au cours des
cinq années ayant précédé l’enquête qui ont reçu des soins prénatals et postnatals par du personnel de santé
qualifié et dont l’accouchement a été assisté par du personnel de santé qualifié, pour la naissance la plus
récente, selon les indicateurs du pouvoir d’action des femmes.
▪ Le tableau ne montre pas une association claire entre les indicateurs du pouvoir d’action des femmes et
les soins prénatals et les soins postnatals.
▪ Pour l’assistance à l’accouchement par contre, il ressort que l’opinion de la femme justifiant la
violence conjugale est négativement associée à l’assistance à l’accouchement par un prestataire
qualifié. Le pourcentage de femmes dont l’accouchement a été assisté par un prestataire qualifié a
tendance à diminuer avec l’augmentation du nombre de raisons justifiant le recours à la violence
conjugale : de 96 % quand la femme ne justifie pour aucune raison le recours à la violence conjugale, à
93 % quand elle la justifie pour 3–4 raisons et à 92 %, pour 5 raisons. De même, on constate que le
pourcentage de femmes dont l’accouchement a été assisté par du personnel de santé a tendance à
augmenter avec le nombre de décision auxquelles la femme a participé, passant de 92 % quand le
nombre de décision est de zéro à 96 % quand il est de trois.
Le Tableau 15.19 présente les taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans, selon les indicateurs du
pouvoir d’action des femmes. Concernant les trois composantes de la mortalité des enfants, et
contrairement à ce à quoi on s’attend, il semble que les niveaux aient tendance à augmenter avec le nombre
de décision auxquelles la femme a participé, passant, pour la mortalité infantile, de 24 ‰ pour aucune
décision à 29‰ quand le nombre est de trois.
Concernant les tendances de la mortalité en fonction du second indicateur, on ne note pas de tendances très
claires.
▪ Tableau 15.1 Emploi et type de rémunération des femmes et des hommes actuellement en
union
▪ Tableau 15.2.1 Contrôle de l’utilisation de l’argent gagné par les femmes et importance de
l’argent gagné par les femmes par rapport à celui gagné par leur conjoint
▪ Tableau 15.2.2 Contrôle de l’argent gagné par les hommes
▪ Tableau 15.3 Contrôle par les femmes de l’utilisation de leurs propres gains et contrôle de
l’utilisation des gains de leur mari/partenaire
▪ Tableau 15.4.1 Possession de biens : Femme
▪ Tableau 15.4.2 Possession de biens : Homme
▪ Tableau 15.5.1 Possession d’un titre de propriété pour une maison : Femme
▪ Tableau 15.5.2 Possession d’un titre de propriété pour une maison : Homme
▪ Tableau 15.6.1 Possession d’un titre de propriété pour des terres : Femme
▪ Tableau 15.6.2 Possession d’un titre de propriété pour des terres : Homme
▪ Tableau 15.7 Type de document de propriété pour une maison
▪ Tableau 15.8 Type de document de propriété pour de terres
▪ Tableau 15.9.1 Possession et utilisation de comptes bancaires et de téléphones portables :
Femme
▪ Tableau 15.9.2 Possession et utilisation de comptes bancaires et de téléphones portables :
Homme
▪ Tableau 15.10 Participation dans la prise de décision
▪ Tableau 15.11.1 Participation des femmes dans la prise de décision selon certaines
caractéristiques sociodémographiques
▪ Tableau 15.11.2 Participation des hommes dans la prise de décision selon certaines
caractéristiques sociodémographiques
▪ Tableau 15.12.1 Opinion des femmes concernant le fait qu’un mari batte sa femme
▪ Tableau 15.12.2 Opinion des hommes concernant le fait qu’un mari batte sa femme
▪ Tableau 15.13 Opinions concernant la négociation de rapports sexuels sans risque avec le
mari/partenaire
▪ Tableau 15.14 Capacité des femmes à négocier les rapports sexuels avec leur mari/partenaire
▪ Tableau 15.15 Indicateurs du pouvoir d’action des femmes
▪ Tableau 15.16 Utilisation actuelle de la contraception selon les indicateurs du pouvoir
d’action des femmes
▪ Tableau 15.17 Nombre idéal d’enfants et besoins non satisfaits en matière de planification
familiale selon certains indicateurs du pouvoir d’action des femmes
▪ Tableau 15.18 Soins de santé maternelle, selon les indicateurs du pouvoir d’action des
femmes
▪ Tableau 15.19 Mortalité des enfants de moins de 5 ans selon certains indicateurs du pouvoir
d’action des femmes
Pourcentage de femmes et d’hommes de 15–49 ans, actuellement en union, ayant travaillé à n’importe quel moment, au cours des 12 derniers mois,
et répartition (en %) des femmes et des hommes actuellement en union et ayant travaillé au cours des 12 derniers mois par type de rémunération,
selon l’âge, EDSG-III 2019–21
Répartition des enquêtés actuellement
Parmi les enquêtés en union ayant travaillé au cours des
actuellement en union : 12 derniers mois par type de rémunération
Pourcentage
ayant travaillé
au cours des
12 derniers Effectif Argent Argent et En nature Non Effectif
Groupe d’âges mois d’enquêtés uniquement nature seulement rémunéré Total d’enquêté(e)s
FEMME
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas
non pondérés et qu’elle a été supprimée.
Répartition (en %) des femmes de 15–49 ans, actuellement en union, qui ont gagné de l’argent pour leur travail au cours des 12 mois ayant précédé l’enquête en
fonction de la personne qui décide comment est utilisé l’argent gagné par la femme et répartition selon que les femmes gagnent plus ou moins que leur conjoint, selon
certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Personne qui décide comment est utilisé
l’argent gagné par la femme : Gains de la femme par rapport à ceux du conjoint :
Le
A peu conjoint
Principale- Femme et Principale- près la ne gagne
Caractéristique ment la conjoint ment le Plus que Moins que même pas Ne sait Effectif de
sociodémographique femme ensemble conjoint Autre Total le conjoint le conjoint chose d’argent pas Total femmes
Groupe d’âges
15–19 (68,9) (11,9) (12,7) (6,5) 100,0 (26,0) (71,1) (0,7) (1,4) (0,8) 100,0 30
20–24 45,4 37,4 16,8 0,4 100,0 7,4 83,3 4,2 0,0 5,1 100,0 176
25–29 50,5 44,4 5,0 0,0 100,0 12,3 72,1 7,6 1,2 6,8 100,0 444
30–34 53,6 38,9 7,4 0,1 100,0 8,0 73,1 8,2 2,2 8,5 100,0 586
35–39 51,4 40,0 8,6 0,0 100,0 7,7 69,5 12,2 0,5 10,0 100,0 571
40–44 45,7 44,0 10,4 0,0 100,0 10,8 70,4 6,9 2,1 9,9 100,0 460
45–49 49,8 41,3 8,8 0,0 100,0 10,8 63,5 10,2 4,1 11,4 100,0 313
Nombre d’enfants
vivants
0 54,3 35,8 9,1 0,8 100,0 4,5 72,4 7,7 1,5 13,9 100,0 180
1–2 51,9 39,5 8,5 0,2 100,0 10,8 72,1 7,0 1,0 9,1 100,0 972
3–4 47,0 43,1 9,8 0,0 100,0 10,4 70,9 9,1 1,7 8,0 100,0 920
5+ 52,0 41,2 6,8 0,0 100,0 8,3 69,4 11,1 3,0 8,2 100,0 508
Résidence
Port Gentil/Libreville 54,5 37,7 7,8 0,1 100,0 8,8 73,6 6,6 1,7 9,3 100,0 1 646
Autres villes 41,7 47,2 10,9 0,2 100,0 11,2 67,4 12,5 1,6 7,3 100,0 766
Ensemble urbain 50,4 40,7 8,8 0,1 100,0 9,6 71,6 8,4 1,6 8,7 100,0 2 412
Rural 49,0 43,3 7,3 0,5 100,0 11,2 64,4 11,3 2,3 10,7 100,0 167
Province
Libreville 51,9 39,4 8,8 0,0 100,0 9,2 74,2 6,7 1,0 8,8 100,0 1 328
Port-Gentil 65,6 30,6 3,4 0,4 100,0 7,3 71,1 5,8 4,2 11,6 100,0 318
Estuaire (sans
Libreville) 31,0 58,6 10,4 0,0 100,0 11,4 63,4 15,0 0,6 9,6 100,0 305
Haut-Ogooué 47,7 38,8 13,5 0,0 100,0 11,3 69,4 10,2 1,7 7,5 100,0 151
Moyen-Ogooué 49,0 43,4 7,6 0,0 100,0 9,7 66,3 12,7 2,3 9,1 100,0 72
Ngounié 41,5 46,7 11,0 0,8 100,0 15,1 63,5 9,2 2,4 9,7 100,0 95
Nyanga 38,7 50,4 9,7 1,2 100,0 12,5 71,1 10,4 2,0 4,0 100,0 35
Ogooué-Ivindo 44,0 49,5 6,5 0,0 100,0 13,1 70,5 3,2 0,0 13,2 100,0 25
Ogooué-Lolo 67,8 29,1 2,7 0,4 100,0 10,0 78,2 3,8 2,5 5,5 100,0 53
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 38,3 55,4 6,3 0,0 100,0 15,6 65,1 13,1 1,8 4,4 100,0 30
Woleu-Ntem 52,5 35,4 11,6 0,5 100,0 8,2 68,2 15,1 3,1 5,4 100,0 167
Niveau d’instruction
Aucun 44,3 36,8 18,9 0,0 100,0 5,9 72,1 7,5 0,5 14,0 100,0 208
Primaire 53,8 38,1 7,7 0,3 100,0 4,5 76,1 6,6 1,5 11,2 100,0 365
Secondaire 1er cycle 53,9 37,2 8,7 0,2 100,0 10,3 72,0 6,7 1,7 9,4 100,0 1 028
Secondaire 2e cycle 53,8 38,7 7,5 0,0 100,0 9,7 71,4 9,8 2,0 7,1 100,0 538
Supérieur 37,6 56,3 6,0 0,0 100,0 14,2 64,4 14,0 2,1 5,3 100,0 440
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 58,5 33,6 7,4 0,5 100,0 13,8 66,3 8,5 2,6 8,8 100,0 282
Second 49,4 41,0 9,4 0,2 100,0 11,0 67,7 8,7 1,3 11,3 100,0 473
Moyen 49,2 42,6 7,9 0,2 100,0 10,1 71,4 5,5 1,8 11,2 100,0 559
Quatrième 51,4 37,1 11,5 0,0 100,0 9,9 72,9 7,7 2,1 7,3 100,0 600
Le plus élevé 47,5 45,7 6,7 0,0 100,0 6,5 74,0 12,0 1,1 6,5 100,0 665
Ensemble 50,3 40,9 8,7 0,1 100,0 9,7 71,2 8,6 1,7 8,8 100,0 2 580
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
Répartition (en %) des hommes de 15–49 ans actuellement en union qui ont été rémunérés en argent et répartition (en %) des femmes de 15–49 ans actuellement en
union dont le mari/partenaire a été rémunéré en argent, en fonction de la personne qui décide comment est utilisé l’argent gagné par le mari/partenaire, selon certaines
caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Homme Femme
Personne qui décide comment est utilisé l’argent Personne qui décide comment est utilisé l’argent
gagné par le mari/partenaire : gagné par le mari/partenaire :
Femme Princi- Femme Princi-
Princi- et mari/ palement Effectif Princi- et mari/ palement
Caractéristique palement partenaire le mari/ d’hom- palement partenaire le mari/ Effectif de
sociodémographique la femme ensemble partenaire Autre Manquant Total mes la femme ensemble partenaire Autre Total femmes
Groupe d’âges
15–19 * * * * * 100,0 20 30,9 27,8 41,3 0,0 100,0 146
20–24 14,3 24,2 61,5 0,0 0,0 100,0 69 14,4 46,9 38,6 0,1 100,0 551
25–29 8,9 35,5 54,0 0,0 1,6 100,0 238 15,7 50,6 33,6 0,0 100,0 992
30–34 12,9 36,0 50,7 0,2 0,3 100,0 504 11,6 50,6 37,8 0,0 100,0 959
35–39 13,7 39,4 46,9 0,0 0,0 100,0 517 13,9 51,9 34,2 0,0 100,0 868
40–44 14,6 39,2 45,8 0,0 0,4 100,0 478 16,4 55,3 28,3 0,0 100,0 698
45–49 8,9 47,2 43,9 0,0 0,0 100,0 396 13,0 52,7 34,3 0,0 100,0 471
Nombre d’enfants
vivants
0 11,3 26,7 61,7 0,3 0,0 100,0 200 19,9 44,7 35,4 0,0 100,0 442
1–2 12,7 40,9 45,6 0,0 0,9 100,0 831 14,5 49,7 35,8 0,0 100,0 1 829
3–4 11,2 34,0 54,7 0,1 0,0 100,0 668 14,2 51,3 34,5 0,0 100,0 1 514
5+ 13,2 48,1 38,8 0,0 0,0 100,0 522 13,2 54,3 32,5 0,0 100,0 898
Résidence
Port Gentil/
Libreville 14,3 36,6 48,8 0,0 0,4 100,0 1 380 15,8 48,9 35,3 0,0 100,0 2 768
Autres villes 8,8 42,6 48,2 0,2 0,2 100,0 669 12,4 52,7 34,9 0,0 100,0 1 507
Ensemble urbain 12,5 38,6 48,6 0,1 0,3 100,0 2 049 14,6 50,2 35,2 0,0 100,0 4 275
Rural 9,1 47,1 43,1 0,0 0,7 100,0 172 15,7 54,6 29,6 0,1 100,0 409
Province
Libreville 13,7 34,8 51,1 0,0 0,3 100,0 1 129 16,7 48,4 34,9 0,0 100,0 2 266
Port-Gentil 16,7 44,4 38,4 0,0 0,4 100,0 251 11,8 50,8 37,4 0,0 100,0 502
Estuaire (sans
Libreville) 10,3 30,5 59,2 0,0 0,0 100,0 294 12,9 57,6 29,5 0,0 100,0 576
Haut-Ogooué 8,2 66,1 25,7 0,0 0,0 100,0 151 9,1 59,0 31,9 0,0 100,0 353
Moyen-Ogooué 3,5 49,2 45,5 0,0 1,9 100,0 56 24,5 57,9 17,6 0,0 100,0 147
Ngounié 20,9 35,4 42,4 0,0 1,3 100,0 81 17,6 44,9 37,4 0,0 100,0 196
Nyanga 9,2 40,5 47,5 2,8 0,0 100,0 35 12,7 52,3 35,0 0,0 100,0 76
Ogooué-Ivindo 5,2 43,3 51,5 0,0 0,0 100,0 46 8,2 60,1 31,7 0,0 100,0 98
Ogooué-Lolo 4,4 44,7 50,9 0,0 0,0 100,0 39 6,9 45,2 47,9 0,0 100,0 124
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 4,7 57,5 36,5 0,8 0,6 100,0 26 14,0 59,1 26,9 0,0 100,0 51
Woleu-Ntem 4,1 47,7 48,1 0,0 0,0 100,0 113 13,8 40,6 45,4 0,2 100,0 294
Niveau
d’instruction
Aucun 5,4 17,9 76,6 0,0 0,0 100,0 214 9,5 32,6 57,9 0,0 100,0 415
Primaire 12,4 27,2 60,3 0,1 0,0 100,0 238 15,0 48,7 36,2 0,1 100,0 746
Secondaire 1er
cycle 13,5 41,1 44,6 0,1 0,8 100,0 705 16,0 48,3 35,7 0,0 100,0 1 902
Secondaire 2e
cycle 12,2 47,8 39,9 0,0 0,2 100,0 547 16,3 55,0 28,7 0,0 100,0 930
Supérieur 13,3 42,0 44,5 0,1 0,1 100,0 517 11,7 64,0 24,2 0,0 100,0 690
Quintiles de bien-
être économique
Le plus bas 8,4 38,9 52,4 0,2 0,0 100,0 280 16,1 50,5 33,4 0,1 100,0 718
Second 12,7 30,7 55,4 0,0 1,2 100,0 417 17,7 46,8 35,5 0,0 100,0 870
Moyen 10,6 41,3 48,0 0,0 0,0 100,0 516 15,7 49,2 35,1 0,0 100,0 1 003
Quatrième 14,3 39,1 46,2 0,0 0,4 100,0 542 12,6 52,1 35,3 0,0 100,0 1 057
Le plus élevé 13,4 44,8 41,7 0,1 0,0 100,0 467 12,4 53,7 33,9 0,0 100,0 1 037
Ensemble 15–49 12,2 39,2 48,2 0,1 0,3 100,0 2 222 14,7 50,6 34,7 0,0 100,0 4 684
50–64 10,0 41,1 49,0 0,0 0,0 100,0 599 na na na na na na
Ensemble 15–64 11,7 39,6 48,3 0,0 0,3 100,0 2 820 na na na na na na
Note : Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
na = non applicable
Répartition (en %) des femmes de 15–49 ans actuellement en union ayant gagné de l’argent au cours des 12 derniers mois en fonction de la personne qui décide
comment est utilisé l’argent gagné par la femme et répartition (en %) des femmes de 15–49 ans actuellement en union dont le mari/partenaire a gagné de l’argent
en fonction de la personne qui décide comment est utilisé l’argent gagné par le mari/partenaire, selon l’importance des gains de la femme par rapport à ceux de
son mari/partenaire, EDSG-III 2019–21
Personne qui décide comment est utilisé Personne qui décide comment est utilisé
l’argent gagné par la femme : l’argent gagné par le mari-partenaire :
Femme
et mari/ Princi- Femme Princi-
Gains de la femme par- palement et mari/ palement
par rapport à ceux Princi- tenaire le mari/ Effectif Princi- par- le mari/
de son mari/ palement en- parte- Man- de palement tenaire par- Effectif de
partenaire la femme semble naire Autre quant Total femmes la femme ensemble tenaire Autre Total femmes
Plus que son
mari/partenaire 40,3 51,0 8,8 0,0 0,0 100,0 250 25,2 58,2 16,6 0,0 100,0 250
Moins 53,3 37,1 9,4 0,2 0,0 100,0 1 836 15,2 46,1 38,6 0,0 100,0 1 836
À peu près la même
chose 36,9 57,9 5,2 0,0 0,0 100,0 223 12,0 70,1 17,9 0,0 100,0 223
Conjoint n’a pas
gagné d’argent ou
n’a pas travaillé (50,4) (44,7) (3,9) (1,0) (0,0) 100,0 42 na na na na na na
La femme a travaillé
mais n’a pas gagné
d’argent na na na na na na 0 16,5 45,7 37,5 0,3 100,0 151
La femme n’a pas
travaillé na na na na na na 0 12,2 52,0 35,7 0,0 100,0 1 996
Ensemble1 50,3 40,7 8,8 0,1 0,0 100,0 2 351 14,3 50,6 35,0 0,0 100,0 4 456
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
na = non applicable
1
Y compris les cas où la femme ne sait pas si elle a gagné plus ou moins que son mari/partenaire
Répartition (en %) des femmes de 15–49 ans par possession de maison ou de terres, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage possédant une maison : Pourcentage possédant des terres :
Pourcen- Pourcen-
tage ne tage ne
Seule possédant Seule possédant Effectif
Caractéristique En et en pas de En et en pas de de
sociodémographique Seule commun commun maison Total Seule commun commun terres Total femmes
Groupe d’âges
15–19 0,6 0,1 0,1 99,2 100,0 0,0 0,1 0,0 99,9 100,0 1 726
20–24 2,0 1,1 0,7 96,2 100,0 0,8 1,1 0,2 97,9 100,0 1 839
25–29 2,3 3,8 1,8 92,1 100,0 1,6 2,1 0,2 96,2 100,0 1 798
30–34 4,9 6,3 3,2 85,6 100,0 1,8 2,6 1,3 94,4 100,0 1 493
35–39 7,3 10,5 3,8 78,4 100,0 3,7 2,9 0,7 92,7 100,0 1 257
40–44 11,3 14,1 5,4 69,2 100,0 6,3 4,7 1,2 87,8 100,0 1 051
45–49 18,4 19,5 5,1 57,1 100,0 8,8 6,5 2,3 82,4 100,0 747
Résidence
Port Gentil/Libreville 5,1 5,7 1,8 87,5 100,0 1,2 1,9 0,3 96,6 100,0 5 718
Autres villes 5,0 6,0 3,1 85,9 100,0 3,6 1,9 0,9 93,6 100,0 3 453
Ensemble urbain 5,0 5,8 2,3 86,9 100,0 2,1 1,9 0,5 95,5 100,0 9 171
Rural 6,4 10,2 3,9 79,5 100,0 7,9 7,8 2,1 82,2 100,0 739
Province
Libreville 5,3 6,2 1,8 86,7 100,0 1,4 2,1 0,3 96,3 100,0 4 624
Port-Gentil 4,0 3,8 1,5 90,7 100,0 0,4 1,3 0,5 97,9 100,0 1 094
Estuaire (sans
Libreville) 3,7 5,2 5,3 85,8 100,0 1,6 0,8 1,4 96,3 100,0 1 321
Haut-Ogooué 5,8 6,5 1,2 86,6 100,0 5,3 2,1 1,0 91,5 100,0 863
Moyen-Ogooué 8,0 5,3 6,2 80,4 100,0 2,8 1,8 1,2 94,2 100,0 303
Ngounié 4,4 7,3 1,7 86,6 100,0 6,0 6,5 0,6 86,9 100,0 395
Nyanga 7,4 4,1 2,1 86,4 100,0 6,3 2,0 1,0 90,7 100,0 181
Ogooué-Ivindo 4,7 9,7 1,9 83,7 100,0 7,8 9,7 0,8 81,8 100,0 213
Ogooué-Lolo 5,1 6,5 3,4 85,0 100,0 8,5 3,4 3,0 85,1 100,0 213
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 10,5 6,6 2,4 80,5 100,0 6,3 2,5 0,4 90,8 100,0 104
Woleu-Ntem 5,7 11,0 2,2 81,1 100,0 4,9 4,8 0,7 89,6 100,0 597
Niveau d’instruction
Aucun 2,7 8,5 6,0 82,8 100,0 3,6 2,3 0,6 93,4 100,0 586
Primaire 8,0 7,8 3,1 81,1 100,0 7,0 4,9 1,2 87,0 100,0 1 286
Secondaire 1er cycle 4,3 6,6 1,9 87,3 100,0 2,1 2,1 0,6 95,2 100,0 4 242
Secondaire 2e cycle 5,1 4,9 1,8 88,2 100,0 0,9 2,3 0,7 96,1 100,0 2 300
Supérieur 6,0 4,5 2,9 86,6 100,0 1,8 0,9 0,5 96,8 100,0 1 496
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 6,4 6,5 2,3 84,8 100,0 7,3 4,5 1,5 86,8 100,0 1 593
Second 4,5 5,3 1,3 88,9 100,0 3,0 2,7 0,8 93,5 100,0 2 054
Moyen 3,8 6,7 2,2 87,3 100,0 0,9 2,0 0,0 97,0 100,0 2 047
Quatrième 5,8 4,8 1,7 87,7 100,0 1,3 1,5 0,3 97,0 100,0 2 106
Le plus élevé 5,4 7,5 4,5 82,6 100,0 1,2 1,5 0,8 96,4 100,0 2 109
Ensemble 5,1 6,2 2,4 86,3 100,0 2,5 2,3 0,7 94,5 100,0 9 910
Répartition (en %) des hommes de 15–49 ans par possession de maison ou de terres, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage possédant une maison : Pourcentage possédant des terres :
Pourcen- Pourcen-
tage ne tage ne
possédant possédant
Caractéristique En Seule et en pas de En Seule et en pas de Effectif
sociodémographique Seule commun commun maison Total Seule commun commun terres Total d’hommes
Groupe d’âges
15–19 0,8 0,9 0,0 98,3 100,0 0,7 1,0 0,0 98,3 100,0 1 109
20–24 3,2 1,5 0,0 95,3 100,0 2,0 1,4 0,9 95,7 100,0 924
25–29 7,9 2,2 0,5 89,4 100,0 6,7 2,1 0,4 90,8 100,0 897
30–34 9,8 5,0 0,9 84,3 100,0 6,6 3,6 1,0 88,9 100,0 933
35–39 18,0 2,3 1,6 78,1 100,0 9,7 5,9 0,8 83,5 100,0 768
40–44 22,7 10,4 5,1 61,7 100,0 9,6 6,7 1,5 82,2 100,0 662
45–49 28,8 8,8 3,6 58,7 100,0 12,8 7,7 4,9 74,6 100,0 560
Résidence
Port Gentil/Libreville 11,7 3,3 1,0 84,0 100,0 4,7 3,1 0,8 91,4 100,0 3 488
Autres villes 8,4 5,0 2,0 84,6 100,0 6,0 3,8 1,3 88,8 100,0 1 905
Ensemble urbain 10,6 3,9 1,3 84,2 100,0 5,2 3,3 1,0 90,5 100,0 5 393
Rural 17,7 3,3 1,7 77,3 100,0 17,2 6,2 2,1 74,5 100,0 461
Province
Libreville 12,3 3,4 1,1 83,2 100,0 5,0 3,0 1,0 91,0 100,0 2 911
Port-Gentil 8,9 2,7 0,4 88,1 100,0 2,9 3,7 0,2 93,3 100,0 577
Estuaire (sans
Libreville) 7,4 6,4 2,1 84,1 100,0 3,9 4,0 1,1 91,1 100,0 788
Haut-Ogooué 7,8 3,2 3,4 85,6 100,0 6,1 2,6 1,9 89,4 100,0 451
Moyen-Ogooué 13,8 0,9 0,5 84,8 100,0 11,0 1,2 1,0 86,8 100,0 163
Ngounié 11,2 6,1 1,3 81,4 100,0 11,7 7,7 1,2 79,3 100,0 219
Nyanga 15,0 4,8 0,6 79,6 100,0 14,5 11,8 0,0 73,7 100,0 103
Ogooué-Ivindo 16,2 4,3 2,2 77,3 100,0 11,4 5,5 2,9 80,2 100,0 129
Ogooué-Lolo 11,2 2,6 1,2 85,0 100,0 2,2 0,4 2,8 94,6 100,0 125
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 20,5 9,2 1,6 68,7 100,0 19,6 7,0 1,8 71,6 100,0 65
Woleu-Ntem 11,7 3,5 1,2 83,5 100,0 14,7 4,8 1,6 78,9 100,0 323
Niveau d’instruction
Aucun 5,8 1,0 0,4 92,8 100,0 6,7 0,8 0,2 92,4 100,0 381
Primaire 11,2 2,0 1,6 85,2 100,0 7,7 3,6 1,0 87,7 100,0 655
Secondaire 1er cycle 11,0 3,7 1,1 84,1 100,0 4,4 3,3 1,1 91,2 100,0 2 281
Secondaire 2e cycle 11,1 3,8 1,2 83,9 100,0 5,6 3,5 0,5 90,4 100,0 1 498
Supérieur 13,2 6,5 2,3 78,0 100,0 9,3 5,3 2,4 83,0 100,0 1 038
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 13,7 3,5 1,3 81,5 100,0 12,0 5,0 1,6 81,5 100,0 911
Second 9,5 1,4 1,8 87,2 100,0 4,1 2,7 0,7 92,5 100,0 1 114
Moyen 9,4 5,0 1,9 83,7 100,0 5,1 2,4 1,2 91,3 100,0 1 413
Quatrième 11,2 3,9 0,2 84,6 100,0 4,9 3,6 1,0 90,5 100,0 1 296
Le plus élevé 12,6 5,1 1,6 80,7 100,0 6,0 4,8 1,0 88,2 100,0 1 120
Ensemble 15–49 11,1 3,9 1,4 83,7 100,0 6,1 3,6 1,1 89,2 100,0 5 854
50–64 40,1 16,2 6,3 37,5 100,0 17,4 13,3 4,6 64,7 100,0 1 040
Ensemble 15–64 15,5 5,7 2,1 76,7 100,0 7,8 5,0 1,6 85,5 100,0 6 894
Parmi les femmes de 15–49 ans qui possèdent une maison, répartition (en %) selon que la maison possédée a un titre
de propriété et selon que le nom de la femme figure, ou non, sur le titre, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
La maison a un titre
de propriété et :
Le nom de Le nom de Effectif de
la femme la femme ne N’a pas de femmes
Caractéristique figure sur figure pas titre de Ne sait pas/ possédant
sociodémographique le titre sur le titre propriété manquant1 Total une maison2
Groupe d’âges
15–19 (10,2) (10,0) (71,2) (8,6) 100,0 13
20–24 32,0 15,8 43,3 9,0 100,0 70
25–29 8,0 21,2 50,9 19,8 100,0 142
30–34 16,6 12,5 53,4 17,5 100,0 214
35–39 25,4 19,2 41,1 14,2 100,0 272
40–44 28,4 15,3 47,3 9,0 100,0 324
45–49 25,4 9,9 57,8 7,0 100,0 321
Résidence
Port Gentil/Libreville 23,5 16,7 45,3 14,5 100,0 716
Autres villes 26,4 15,2 48,7 9,7 100,0 489
Ensemble urbain 24,7 16,1 46,7 12,5 100,0 1 205
Rural 10,2 5,7 75,8 8,2 100,0 151
Province
Libreville 23,8 16,5 43,8 16,0 100,0 615
Port-Gentil 22,1 18,1 54,7 5,1 100,0 101
Estuaire (sans Libreville) 31,3 12,2 40,9 15,6 100,0 187
Haut-Ogooué 11,3 9,7 73,9 5,1 100,0 116
Moyen-Ogooué 40,3 13,3 38,0 8,4 100,0 59
Ngounié 22,7 8,8 57,4 11,0 100,0 53
Nyanga 28,3 5,8 57,2 8,6 100,0 25
Ogooué-Ivindo 7,1 4,2 84,4 4,4 100,0 35
Ogooué-Lolo 8,6 11,9 76,0 3,5 100,0 32
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 17,4 6,0 68,2 8,4 100,0 20
Woleu-Ntem 18,9 25,2 49,3 6,5 100,0 113
Niveau d’instruction
Aucun 21,9 4,8 46,6 26,7 100,0 101
Primaire 10,7 12,7 69,2 7,4 100,0 243
Secondaire 1er cycle 22,7 14,0 50,7 12,6 100,0 541
Secondaire 2e cycle 28,6 23,1 37,8 10,6 100,0 270
Supérieur 32,3 14,3 42,5 10,8 100,0 201
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 12,6 6,8 73,6 7,0 100,0 243
Second 22,8 15,3 49,9 12,0 100,0 228
Moyen 23,7 18,1 41,0 17,1 100,0 261
Quatrième 20,9 17,9 51,3 10,0 100,0 259
Le plus élevé 31,3 15,8 39,6 13,3 100,0 366
Ensemble 23,1 14,9 49,9 12,1 100,0 1 356
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
1
Y compris les femmes qui ont une maison avec un titre/acte de propriété, mais qui ne savent pas si leur nom est sur
le titre/acte (ou cette information est manquante), et les femmes qui ne savent pas s’il y a un acte/titre de propriété
pour la maison (ou cette information est manquante)
2
Y compris les femmes qui possèdent une maison seule, en commun ou seule et en commun
Parmi les hommes de 15–49 ans qui possèdent une maison, répartition (en %) selon que la maison possédée a un titre
de propriété et selon que le nom de l’homme figure, ou non, sur le titre, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
La maison a un titre
de propriété et :
Le nom de Le nom de Effectif
l’homme l’homme ne N’a pas de d’hommes
Caractéristique figure sur figure pas sur titre de Ne sait pas/ possédant
sociodémographique le titre le titre propriété manquant1 Total une maison2
Groupe d’âges
15–19 * * * * 100,0 19
20–24 (6,6) (12,3) (79,1) (2,0) 100,0 43
25–29 16,6 11,8 66,6 5,0 100,0 95
30–34 20,9 9,2 62,9 7,0 100,0 147
35–39 27,5 20,2 52,2 0,0 100,0 168
40–44 24,3 5,3 70,4 0,0 100,0 253
45–49 32,7 5,2 62,1 0,0 100,0 231
Résidence
Port Gentil/Libreville 24,1 12,0 61,1 2,7 100,0 559
Autres villes 31,0 8,6 59,7 0,6 100,0 294
Ensemble urbain 26,5 10,9 60,6 2,0 100,0 853
Rural 13,0 1,9 84,7 0,4 100,0 104
Province
Libreville 22,0 12,7 62,2 3,1 100,0 490
Port-Gentil 39,1 7,7 53,2 0,0 100,0 69
Estuaire (sans Libreville) 31,6 12,2 56,3 0,0 100,0 125
Haut-Ogooué 29,7 1,1 67,5 1,7 100,0 65
Moyen-Ogooué 37,3 4,3 58,4 0,0 100,0 25
Ngounié 3,5 1,4 95,1 0,0 100,0 41
Nyanga 17,2 1,6 81,1 0,0 100,0 21
Ogooué-Ivindo 25,3 1,4 73,3 0,0 100,0 29
Ogooué-Lolo 46,6 5,6 47,8 0,0 100,0 19
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 23,6 8,3 67,2 0,9 100,0 20
Woleu-Ntem 20,0 11,8 66,3 1,9 100,0 53
Niveau d’instruction
Aucun 18,5 0,8 61,9 18,8 100,0 28
Primaire 19,0 8,3 72,3 0,4 100,0 97
Secondaire 1er cycle 24,4 8,9 66,2 0,5 100,0 362
Secondaire 2e cycle 28,4 10,5 61,0 0,1 100,0 241
Supérieur 25,9 12,5 57,3 4,3 100,0 228
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 12,3 0,9 86,1 0,8 100,0 168
Second 12,3 15,8 67,8 4,1 100,0 142
Moyen 35,2 13,3 49,2 2,3 100,0 231
Quatrième 16,1 9,4 74,5 0,0 100,0 199
Le plus élevé 40,8 9,8 47,2 2,2 100,0 216
Ensemble 15–49 25,0 9,9 63,3 1,8 100,0 957
50–64 33,5 5,1 60,9 0,5 100,0 650
Ensemble 15–64 28,5 7,9 62,3 1,3 100,0 1 607
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est
basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Y compris les hommes qui ont une maison avec un titre/acte de propriété, mais qui ne savent pas si leur nom est sur le
titre/acte (ou cette information est manquante), et les hommes qui ne savent pas s’il y a un acte/titre de propriété pour la
maison (ou cette information est manquante)
2
Y compris les hommes qui possèdent une maison seule, en commun ou seule et en commun
Parmi les femmes de 15–49 ans qui possèdent des terres, répartition (en %) selon que les terres possédées ont un
titre de propriété et selon que le nom de la femme figure, ou non, sur le titre, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Les terres ont un titre
de propriété et :
Le nom de Le nom de Effectif de
la femme la femme ne N’a pas de femmes
Caractéristique figure sur figure pas titre de Ne sait pas/ possédant
sociodémographique le titre sur le titre propriété manquant1 Total des terres2
Groupe d’âges
15–19 * * * * 100,0 2
20–24 (24,7) (23,6) (49,8) (1,8) 100,0 39
25–29 21,0 0,1 60,6 18,3 100,0 69
30–34 22,9 2,8 68,2 6,1 100,0 84
35–39 15,0 10,1 72,3 2,6 100,0 92
40–44 14,5 8,8 72,9 3,7 100,0 129
45–49 16,3 5,3 73,8 4,6 100,0 131
Résidence
Port Gentil/Libreville 36,3 16,9 40,5 6,4 100,0 195
Autres villes 10,0 2,7 81,2 6,2 100,0 220
Ensemble urbain 22,3 9,3 62,1 6,3 100,0 414
Rural 3,6 0,4 91,6 4,3 100,0 131
Province
Libreville (36,3) (17,5) (39,3) (6,8) 100,0 171
Port-Gentil * * * * 100,0 23
Estuaire (sans Libreville) (13,3) (2,9) (68,5) (15,3) 100,0 49
Haut-Ogooué 3,7 1,6 92,9 1,9 100,0 73
Moyen-Ogooué 28,8 0,0 66,5 4,7 100,0 18
Ngounié 5,0 2,4 84,0 8,6 100,0 52
Nyanga 21,8 1,0 68,1 9,1 100,0 17
Ogooué-Ivindo 0,0 0,0 96,8 3,2 100,0 39
Ogooué-Lolo 1,3 1,3 95,2 2,2 100,0 32
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 12,9 0,0 85,3 1,9 100,0 10
Woleu-Ntem 7,2 3,2 87,4 2,2 100,0 62
Niveau d’instruction
Aucun 8,2 0,0 87,1 4,8 100,0 38
Primaire 8,9 5,2 80,4 5,5 100,0 168
Secondaire 1er cycle 27,4 8,2 55,2 9,2 100,0 202
Secondaire 2e cycle 14,8 8,8 74,9 1,5 100,0 89
Supérieur (22,0) (12,8) (63,6) (1,6) 100,0 48
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 7,0 0,5 88,6 3,9 100,0 210
Second 21,0 7,1 56,7 15,2 100,0 134
Moyen 23,7 8,7 66,8 0,9 100,0 62
Quatrième (31,3) (31,1) (36,2) (1,3) 100,0 64
Le plus élevé (26,1) (4,5) (67,2) (2,3) 100,0 76
Ensemble 17,8 7,2 69,2 5,8 100,0 546
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur
est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Y compris les femmes qui ont des terres avec un titre/acte de propriété, mais qui ne savent pas si leur nom est sur
le titre/acte (ou cette information est manquante), et les femmes qui ne savent pas s’il y a un acte/titre de propriété
pour les terres (ou cette information est manquante)
2
Y compris les femmes qui possèdent des terres seules, en commun ou seuls et en commun
Parmi les hommes de 15–49 ans qui possèdent des terres, répartition (en %) selon que les terres possédées ont un
titre de propriété et selon que le nom de l’homme figure, ou non, sur le titre, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Les terres ont un titre
de propriété et :
Le nom de Le nom de Effectif
l’homme l’homme ne N’a pas de d’hommes
Caractéristique figure sur figure pas titre de Ne sait pas/ possédant
sociodémographique le titre sur le titre propriété manquant1 Total des terres2
Groupe d’âges
15–19 * * * * 100,0 18
20–24 (18,9) (5,1) (74,3) (1,8) 100,0 40
25–29 22,6 5,4 71,9 0,0 100,0 82
30–34 20,3 18,5 61,2 0,0 100,0 104
35–39 29,5 8,1 62,3 0,1 100,0 126
40–44 36,6 1,8 61,3 0,3 100,0 118
45–49 24,2 5,3 60,8 9,7 100,0 142
Résidence
Port Gentil/Libreville 27,7 9,5 58,5 4,3 100,0 301
Autres villes 35,3 6,5 57,4 0,8 100,0 213
Ensemble urbain 30,8 8,2 58,1 2,9 100,0 514
Rural 9,1 3,5 87,4 0,1 100,0 118
Province
Libreville 26,2 10,9 57,9 5,0 100,0 262
Port-Gentil (37,8) (0,0) (62,2) (0,0) 100,0 39
Estuaire (sans Libreville) 35,9 16,0 48,1 0,0 100,0 70
Haut-Ogooué (37,4) (0,0) (61,2) (1,5) 100,0 48
Moyen-Ogooué 38,9 5,2 55,9 0,0 100,0 21
Ngounié 7,6 0,0 90,3 2,1 100,0 45
Nyanga 18,0 1,1 80,9 0,0 100,0 27
Ogooué-Ivindo 15,6 0,4 83,7 0,4 100,0 25
Ogooué-Lolo (4,9) (3,7) (91,4) (0,0) 100,0 7
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 36,2 6,1 57,6 0,1 100,0 19
Woleu-Ntem 22,2 5,6 72,2 0,0 100,0 68
Niveau d’instruction
Aucun (8,2) (27,0) (64,8) (0,1) 100,0 29
Primaire 13,1 1,1 76,9 8,9 100,0 81
Secondaire 1er cycle 24,9 6,0 68,5 0,5 100,0 200
Secondaire 2e cycle 37,2 3,4 59,4 0,0 100,0 144
Supérieur 29,6 11,7 54,9 3,7 100,0 177
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 6,9 3,8 88,7 0,7 100,0 169
Second 18,3 5,7 67,4 8,6 100,0 84
Moyen 37,6 7,0 50,1 5,3 100,0 123
Quatrième 29,7 7,9 62,4 0,0 100,0 124
Le plus élevé 44,8 12,8 42,4 0,0 100,0 132
Ensemble 15–49 26,8 7,4 63,5 2,4 100,0 631
50–64 29,6 4,0 65,4 1,0 100,0 367
Ensemble 15–64 27,8 6,1 64,2 1,9 100,0 998
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur
est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
1
Y compris les femmes qui ont des terres avec un titre/acte de propriété, mais qui ne savent pas si leur nom est sur
le titre/acte (ou cette information est manquante), et les femmes qui ne savent pas s’il y a un acte/titre de propriété
pour les terres (ou cette information est manquante)
2
Y compris les femmes qui possèdent des terres seuls, en commun ou seuls et en commun
Parmi les femmes de 15–49 ans qui possèdent une maison, répartition (en %) par type de document de propriété, selon le milieu
de résidence, EDSG-III 2019–21
Résidence
Port Gentil/ Ensemble
Type de document de propriété Libreville Autres villes urbain Rural Ensemble
Titre foncier 32,1 40,6 35,6 25,8 35,2
Décret d’attribution 13,5 10,0 12,1 16,0 12,2
Réquisition d’immatriculation 0,9 1,4 1,1 0,0 1,1
Contrat sous bail 3,3 1,7 2,7 6,5 2,8
Plan de bornage délivré par cadastre/
ANUTTC 12,0 21,0 15,7 32,9 16,5
Attestation de régularisation 0,5 0,1 0,3 0,0 0,3
Attestation de cession 13,1 16,7 14,6 1,0 14,0
Permis d’occupation 9,8 5,8 8,2 10,6 8,3
Autre titre de propriété 14,7 2,6 9,8 7,2 9,7
Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
Effectif qui possède une maison 316 219 535 25 559
Parmi les femmes de 15–49 ans qui possèdent de terres, répartition (en %) par type de document de propriété, selon le milieu de
résidence, EDSG-III 2019–21
Résidence
Port Gentil/ Ensemble
Type de document de propriété Libreville Autres villes urbain Rural Ensemble
Titre foncier (17,8) (36,4) 21,9 * 22,5
Décret d’attribution (15,1) (0,5) 11,8 * 11,6
Réquisition d’immatriculation (3,6) (0,0) 2,8 * 2,7
Contrat sous bail (0,0) (0,0) 0,0 * 0,2
Plan de bornage délivré par cadastre/
ANUTTC (15,0) (20,9) 16,3 * 17,2
Attestation de régularisation (7,9) (0,0) 6,2 * 5,9
Attestation de cession (11,7) (19,0) 13,3 * 12,8
Permis d’occupation (15,9) (18,5) 16,5 * 16,3
Autre titre de propriété (13,1) (4,8) 11,2 * 10,8
Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
Effectif qui possède une terre 104 29 133 6 139
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur
moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
Pourcentage de femmes de 15–49 ans qui ont et utilisent un compte dans une banque ou une autre institution financière et
pourcentage qui possède un téléphone portable ; parmi les femmes possédant un téléphone portable, pourcentage qui l’ont
utilisé pour effectuer des transactions financières, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Utilise un Effectif de
téléphone femmes qui
Possède un portable pour possèdent un
Caractéristique A et utilise un téléphone Effectif de des transactions téléphone
sociodémographique compte bancaire portable femmes financières portable
Groupe d’âges
15–19 2,8 65,0 1 726 57,4 1 122
20–24 14,1 91,6 1 839 77,3 1 685
25–29 15,6 93,7 1 798 78,3 1 685
30–34 21,0 95,0 1 493 82,1 1 418
35–39 30,2 94,8 1 257 75,6 1 192
40–44 29,6 94,0 1 051 75,9 988
45–49 24,0 93,1 747 71,5 695
Résidence
Port Gentil/Libreville 21,0 90,7 5 718 73,2 5 184
Autres villes 14,8 88,2 3 453 78,4 3 044
Ensemble urbain 18,7 89,7 9 171 75,1 8 228
Rural 7,6 75,3 739 71,8 557
Province
Libreville 21,7 90,6 4 624 71,6 4 191
Port-Gentil 18,4 90,7 1 094 79,9 993
Estuaire (sans Libreville) 22,6 89,9 1 321 78,3 1 187
Haut-Ogooué 7,9 86,9 863 80,4 751
Moyen-Ogooué 19,7 85,1 303 78,2 258
Ngounié 7,7 81,7 395 75,7 323
Nyanga 6,4 77,5 181 75,1 141
Ogooué-Ivindo 4,9 70,8 213 73,4 151
Ogooué-Lolo 5,3 83,7 213 80,9 178
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 9,6 86,6 104 74,9 90
Woleu-Ntem 11,3 87,5 597 72,5 522
Niveau d’instruction
Aucun 7,0 80,8 586 43,7 474
Primaire 7,7 77,9 1 286 64,0 1 002
Secondaire 1er cycle 11,0 86,1 4 242 73,9 3 653
Secondaire 2e cycle 18,6 94,3 2 300 79,0 2 168
Supérieur 49,4 99,5 1 496 88,7 1 488
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 3,9 76,7 1 593 70,5 1 222
Second 9,4 88,4 2 054 74,5 1 816
Moyen 12,6 89,5 2 047 73,6 1 831
Quatrième 21,2 91,7 2 106 77,0 1 931
Le plus élevé 38,3 94,1 2 109 77,2 1 984
Ensemble 17,9 88,6 9 910 74,9 8 785
Pourcentage d’hommes de 15–49 ans qui ont et utilisent un compte dans une banque ou une autre institution financière et
pourcentage qui possède un téléphone portable ; parmi les hommes possédant un téléphone portable, pourcentage qui l’ont
utilisé pour effectuer des transactions financières, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Utilise un Effectif
téléphone d’hommes qui
Possède un portable pour possèdent un
Caractéristique A et utilise un téléphone Effectif des transactions téléphone
sociodémographique compte bancaire portable d’hommes financières portable
Groupe d’âges
15–19 3,0 64,2 1 109 40,0 712
20–24 10,0 89,5 924 70,8 827
25–29 20,1 95,4 897 78,1 856
30–34 36,4 96,6 933 82,6 902
35–39 41,6 96,4 768 81,4 741
40–44 39,4 94,9 662 80,8 629
45–49 41,5 96,4 560 74,5 540
Résidence
Port Gentil/Libreville 27,4 89,1 3 488 72,6 3 108
Autres villes 24,2 91,1 1 905 75,7 1 736
Ensemble urbain 26,2 89,8 5 393 73,7 4 843
Rural 9,5 78,7 461 62,6 363
Province
Libreville 27,3 88,6 2 911 73,2 2 578
Port-Gentil 27,8 91,8 577 69,9 529
Estuaire (sans Libreville) 30,1 93,5 788 74,2 736
Haut-Ogooué 22,4 94,1 451 80,6 425
Moyen-Ogooué 15,1 83,7 163 72,9 136
Ngounié 15,6 83,6 219 71,9 183
Nyanga 13,9 82,5 103 65,9 85
Ogooué-Ivindo 9,9 78,3 129 69,5 101
Ogooué-Lolo 12,5 81,9 125 64,8 102
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 16,7 87,7 65 72,2 57
Woleu-Ntem 16,5 84,3 323 68,6 272
Niveau d’instruction
Aucun 11,7 93,5 381 57,4 357
Primaire 10,1 76,6 655 57,1 502
Secondaire 1er cycle 12,3 83,3 2 281 64,1 1 900
Secondaire 2e cycle 31,3 95,4 1 498 81,3 1 430
Supérieur 57,7 98,1 1 038 91,0 1 018
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 5,3 79,6 911 60,8 725
Second 13,8 87,5 1 114 71,6 974
Moyen 23,7 87,4 1 413 76,2 1 236
Quatrième 30,1 94,6 1 296 74,5 1 226
Le plus élevé 47,5 93,3 1 120 76,9 1 045
Ensemble 15–49 24,9 88,9 5 854 72,9 5 206
50–64 45,5 94,6 1 040 67,9 984
Ensemble 15–64 28,0 89,8 6 894 72,1 6 190
Répartition (en %) des femmes et des hommes de 15–49 ans, actuellement en union, en fonction de la personne qui prend, habituellement, les
décisions dans certains domaines, EDSG-III 2019–21
Femme et
Principale- mari/parte- Principale-
ment la naire en ment le mari/ Quelqu’un Effectif de
Décision femme commun partenaire d’autre Autre Manquant Total femmes
FEMME
Soins de santé de la femme 27,9 44,6 26,2 0,7 0,6 0,0 100,0 4 776
Achats importants du
ménage 33,2 44,1 21,1 1,0 0,6 0,0 100,0 4 776
Visites à sa famille ou à ses
parents 33,7 45,2 19,8 0,5 0,8 0,0 100,0 4 776
HOMME
Soins de santé du
mari/partenaire 11,4 28,1 58,8 0,6 0,8 0,3 100,0 2 343
Achats importants du
ménage 26,8 38,5 33,7 0,2 0,5 0,3 100,0 2 343
Pourcentage de femmes de 15–49 ans, actuellement en union, qui habituellement prennent certaines décisions, soit seules,
soit en commun avec leur mari/partenaire, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Décisions
Faire les
Propres soins achats Visites à sa Aucune des
Caractéristique de santé de importants famille ou Les trois trois Effectif de
sociodémographique la femme du ménage parents décisions décisions femmes
Groupe d’âges
15–19 49,8 50,4 58,2 37,7 29,8 157
20–24 60,6 65,9 65,5 46,9 22,9 563
25–29 71,1 77,3 78,8 61,9 12,4 1 004
30–34 75,0 78,2 81,4 63,3 10,5 975
35–39 74,9 79,5 80,3 62,2 9,8 875
40–44 79,6 81,8 84,3 69,7 7,5 711
45–49 76,6 86,9 85,8 69,2 7,5 490
Emploi (dans les 12 derniers
mois)
N’a pas travaillé 67,7 72,3 75,2 57,3 16,0 2 043
A travaillé et a été rémunérée
en argent 76,3 81,4 82,0 64,8 8,6 2 580
A travaillé mais n’a pas été
rémunérée en argent 70,7 75,2 75,7 63,8 18,5 153
Nombre d’enfants vivants
0 67,6 69,0 73,7 57,6 19,0 464
1–2 71,6 75,7 77,9 60,4 13,2 1 852
3–4 75,2 80,5 80,7 63,4 9,8 1 536
5+ 72,2 79,3 80,4 62,9 10,3 924
Résidence
Port Gentil/Libreville 71,9 76,4 77,9 59,3 11,7 2 816
Autres villes 72,4 78,2 80,2 64,5 13,5 1 533
Ensemble urbain 72,1 77,0 78,7 61,2 12,3 4 349
Rural 76,3 80,2 80,9 65,8 9,8 427
Province
Libreville 70,8 75,2 76,4 58,0 12,7 2 295
Port-Gentil 76,9 81,5 84,2 65,3 7,1 521
Estuaire (sans Libreville) 72,8 81,5 83,8 65,1 9,8 581
Haut-Ogooué 74,5 76,6 79,5 67,6 15,1 359
Moyen-Ogooué 88,4 86,0 92,8 81,9 4,6 151
Ngounié 76,3 80,4 85,7 67,9 9,9 203
Nyanga 60,0 68,7 68,7 52,3 20,5 79
Ogooué-Ivindo 82,3 81,9 85,2 73,5 9,4 104
Ogooué-Lolo 70,9 80,9 81,2 58,6 8,0 128
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 77,3 84,3 82,7 68,7 8,5 54
Woleu-Ntem 63,6 70,1 65,6 52,5 23,1 301
Niveau d’instruction
Aucun 43,0 48,7 48,1 37,7 43,5 420
Primaire 69,4 75,6 72,8 57,2 14,8 764
Secondaire 1er cycle 73,8 79,3 81,0 61,7 8,5 1 937
Secondaire 2e cycle 77,2 81,2 85,2 67,6 8,5 952
Supérieur 83,1 85,4 89,5 72,2 5,1 703
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 73,6 77,8 80,2 64,5 12,7 746
Second 67,8 75,7 79,6 60,4 14,0 879
Moyen 69,6 74,2 77,1 56,9 13,1 1 024
Quatrième 73,6 79,2 77,6 64,6 12,5 1 077
Le plus élevé 77,1 79,3 80,4 61,9 8,7 1 051
Ensemble 72,5 77,3 78,9 61,6 12,1 4 776
Pourcentage des hommes de 15–49 ans, actuellement en union, qui habituellement prennent certaines
décisions, soit seuls, soit en commun avec leur épouse/partenaire, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Décisions
Faire les
Propres soins achats Aucune des
Caractéristique de santé de importants Les deux deux Effectif
sociodémographique l’homme du ménage décisions décisions d’hommes
Groupe d’âges
15–19 (93,0) (77,8) (77,8) (7,0) 23
20–24 86,8 74,3 70,1 8,9 76
25–29 88,3 76,0 72,5 8,2 262
30–34 87,7 72,0 68,9 9,1 523
35–39 83,4 69,3 66,7 14,0 538
40–44 86,8 72,1 70,5 11,6 498
45–49 89,2 73,1 71,9 9,6 423
Emploi (dans les 12 derniers
mois)
N’a pas travaillé 86,5 82,4 76,7 7,8 60
A travaillé et a été rémunérée
en argent 87,0 71,7 69,5 10,8 2 222
A travaillé mais n’a pas été
rémunérée en argent 81,2 81,5 74,4 11,6 61
Nombre d’enfants vivants
0 90,2 78,4 76,2 7,6 217
1–2 87,1 72,3 69,1 9,7 860
3–4 85,3 71,1 68,6 12,2 704
5+ 87,2 71,0 69,8 11,7 562
Résidence
Port Gentil/Libreville 84,8 68,1 65,4 12,5 1 420
Autres villes 90,1 77,7 75,9 8,1 717
Ensemble urbain 86,6 71,3 68,9 11,0 2 137
Rural 89,9 81,5 79,1 7,7 206
Province
Libreville 85,3 66,1 63,2 11,8 1 158
Port-Gentil 82,5 76,9 74,9 15,5 262
Estuaire (sans Libreville) 90,1 75,0 73,7 8,6 309
Haut-Ogooué 88,2 82,0 78,1 7,9 168
Moyen-Ogooué 93,1 84,6 83,7 6,0 69
Ngounié 79,3 77,2 76,6 20,2 89
Nyanga 91,0 81,8 79,3 6,5 41
Ogooué-Ivindo 94,7 81,8 81,5 5,1 54
Ogooué-Lolo 93,3 70,4 68,6 4,9 45
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 97,7 76,8 75,9 1,4 28
Woleu-Ntem 93,8 81,0 78,2 3,4 120
Niveau d’instruction
Aucun 97,4 87,0 86,5 2,1 235
Primaire 87,1 80,8 78,7 10,8 262
Secondaire 1er cycle 83,7 71,2 68,4 13,5 751
Secondaire 2e cycle 87,6 69,5 67,1 10,1 566
Supérieur 85,9 65,6 62,8 11,4 528
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 87,0 81,6 76,6 7,9 327
Second 88,0 78,3 77,2 10,9 435
Moyen 90,5 74,8 72,3 7,0 538
Quatrième 85,7 68,4 66,7 12,6 566
Le plus élevé 83,1 61,7 59,3 14,5 477
Ensemble 15–49 86,9 72,2 69,8 10,7 2 343
50–64 87,5 70,9 69,2 10,8 841
Ensemble 15–64 87,1 71,9 69,7 10,8 3 184
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
Pourcentage de toutes les femmes de 15–49 ans qui pensent qu’il est justifié que, pour certaines raisons, un mari batte sa femme, par raison particulière et selon
certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Il est justifié qu’un mari batte sa femme quand elle :
Refuse de lui Pourcentage
Refuse d’avoir donner l’argent d’accord avec
des rapports pour ses au moins une
Caractéristique Brûle la Argumente Sort sans Néglige sexuels besoins des raisons Effectif de
sociodémographique nourriture avec lui le lui dire les enfants avec lui personnels citées femmes
Groupe d’âges
15–19 3,7 17,9 7,4 30,5 4,6 1,7 36,8 1 726
20–24 3,3 16,6 6,7 24,4 4,3 1,8 30,7 1 839
25–29 2,6 15,0 5,3 22,7 3,4 0,8 28,4 1 798
30–34 2,0 14,7 7,4 18,9 5,7 1,4 25,1 1 493
35–39 3,1 15,7 8,5 17,3 5,3 1,4 25,5 1 257
40–44 3,4 15,5 9,3 22,1 5,8 2,0 26,5 1 051
45–49 6,3 19,7 13,5 21,1 7,8 3,7 30,6 747
Emploi (dans les 12 derniers
mois)
N’a pas travaillé 2,9 16,1 6,8 23,6 4,9 1,4 30,0 4 990
A travaillé et a été rémunérée
en argent 3,5 16,9 8,7 22,7 5,1 1,9 29,2 4 592
A travaillé mais n’a pas été
rémunérée en argent 4,4 10,6 6,8 16,8 3,8 2,7 22,2 327
Nombre d’enfants vivants
0 3,0 14,3 5,0 23,4 3,7 1,5 28,7 2 954
1–2 2,5 15,3 7,7 22,3 4,4 1,5 28,0 3 612
3–4 4,1 18,9 9,7 22,9 6,2 1,8 32,1 2 149
5+ 4,6 19,2 10,7 23,7 7,4 2,3 30,3 1 194
État matrimonial
Célibataire 2,6 14,0 5,1 23,2 3,9 1,4 28,3 4 088
En union 3,2 17,7 9,5 21,5 6,2 1,9 29,3 4 776
En rupture d’union 5,8 18,8 9,6 28,6 3,4 1,5 33,9 1 046
Résidence
Port Gentil/Libreville 2,7 17,0 5,8 22,4 4,5 1,2 29,2 5 718
Autres villes 3,5 14,4 9,2 22,6 4,9 2,0 28,3 3 453
Ensemble urbain 3,0 16,1 7,1 22,4 4,6 1,5 28,9 9 171
Rural 6,4 19,1 15,3 28,8 8,9 3,1 35,7 739
Province
Libreville 2,8 16,5 5,7 22,3 5,0 1,3 29,1 4 624
Port-Gentil 2,5 19,4 6,5 22,7 2,3 0,9 29,8 1 094
Estuaire (sans Libreville) 2,8 12,1 8,8 18,6 5,3 2,4 25,0 1 321
Haut-Ogooué 2,4 10,3 4,2 19,5 2,4 0,9 22,7 863
Moyen-Ogooué 6,7 28,2 20,8 31,3 13,2 3,4 42,6 303
Ngounié 7,7 20,1 13,7 26,3 7,8 3,6 33,1 395
Nyanga 5,6 23,2 12,5 26,3 5,8 2,1 34,8 181
Ogooué-Ivindo 5,5 16,0 11,5 23,6 4,9 2,0 27,9 213
Ogooué-Lolo 4,5 15,6 11,9 32,3 3,7 1,7 37,8 213
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 2,5 22,1 11,1 31,9 3,3 1,6 38,6 104
Woleu-Ntem 4,1 15,5 12,7 30,0 6,6 2,8 35,5 597
Niveau d’instruction
Aucun 6,7 20,3 15,1 22,6 13,7 4,5 29,0 586
Primaire 5,4 23,6 14,1 28,8 8,4 3,3 38,4 1 286
Secondaire 1er cycle 3,7 18,7 8,3 27,5 5,3 1,3 34,1 4 242
Secondaire 2e cycle 1,9 12,8 4,8 20,0 2,4 1,1 25,9 2 300
Supérieur 0,8 6,9 1,8 9,6 1,3 1,1 13,7 1 496
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 5,9 19,6 13,6 29,5 7,0 2,9 36,3 1 593
Second 4,0 18,7 8,0 26,6 5,3 1,5 33,4 2 054
Moyen 2,7 17,8 7,2 24,7 4,7 1,5 31,8 2 047
Quatrième 2,1 15,0 6,0 21,1 4,3 1,4 27,7 2 106
Le plus élevé 2,2 11,1 5,2 14,4 3,9 1,2 19,6 2 109
Ensemble 3,2 16,3 7,7 22,9 4,9 1,6 29,4 9 910
Pourcentage de tous les hommes de 15–49 ans qui pensent qu’il est justifié que, pour certaines raisons, un mari batte sa femme, par raison particulière et selon certaines
caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Il est justifié qu’un mari batte sa femme quand elle :
Refuse de lui Pourcentage
Refuse d’avoir donner l’argent d’accord avec
des rapports pour ses au moins une
Caractéristique Brûle la Argumente Sort sans Néglige les sexuels besoins des raisons Effectif
sociodémographique nourriture avec lui le lui dire enfants avec lui personnels citées d’hommes
Groupe d’âges
15–19 3,8 24,1 13,4 33,8 3,2 2,2 40,4 1 109
20–24 3,8 24,0 11,2 32,7 3,9 2,6 39,9 924
25–29 1,3 21,7 10,0 29,3 1,8 1,8 37,7 897
30–34 1,5 18,2 7,8 19,1 2,4 1,0 26,4 933
35–39 2,4 18,2 10,1 23,0 3,1 0,7 31,9 768
40–44 3,0 18,1 5,7 18,1 3,1 0,3 26,0 662
45–49 2,1 18,4 8,7 15,3 1,9 0,3 23,8 560
Emploi (dans les 12 derniers
mois)
N’a pas travaillé 3,0 17,4 8,9 26,0 3,3 1,6 31,5 1 208
A travaillé et a été rémunérée
en argent 2,5 21,6 10,2 25,6 2,7 1,4 33,9 4 427
A travaillé mais n’a pas été
rémunérée en argent 3,4 23,4 9,4 24,7 1,4 0,8 32,4 218
Nombre d’enfants vivants
0 3,2 21,1 10,5 29,0 3,1 2,0 35,6 2 699
1–2 1,8 20,2 11,1 24,2 2,6 1,3 31,6 1 603
3–4 1,9 20,4 8,2 22,3 3,2 0,4 31,4 916
5+ 3,1 21,5 6,7 19,9 1,6 0,6 31,0 636
État matrimonial
Célibataire 3,1 22,4 11,3 29,1 3,1 2,1 36,5 2 902
En union 1,9 19,3 8,5 21,4 2,5 0,4 29,7 2 343
En rupture d’union 3,0 18,9 8,7 25,5 2,6 1,8 32,4 610
Résidence
Port Gentil/Libreville 2,4 22,9 8,5 26,2 2,6 1,3 36,2 3 488
Autres villes 2,5 16,0 10,9 23,9 2,7 1,4 27,4 1 905
Ensemble urbain 2,4 20,5 9,3 25,3 2,6 1,4 33,1 5 393
Rural 4,6 24,4 16,4 29,1 4,8 2,0 36,1 461
Province
Libreville 2,7 25,1 8,9 28,6 2,7 1,5 39,3 2 911
Port-Gentil 1,4 11,9 6,6 14,0 2,1 0,4 20,4 577
Estuaire (sans Libreville) 2,9 9,3 7,1 17,6 1,6 0,8 19,9 788
Haut-Ogooué 2,2 14,9 11,7 18,2 3,5 1,2 20,6 451
Moyen-Ogooué 2,6 12,5 5,1 18,7 3,1 0,6 23,0 163
Ngounié 2,1 36,5 9,9 35,5 2,7 0,1 44,5 219
Nyanga 7,0 24,2 20,4 31,4 7,6 5,7 36,1 103
Ogooué-Ivindo 3,6 31,0 18,0 36,2 5,1 2,8 44,1 129
Ogooué-Lolo 4,7 22,2 22,1 31,5 5,5 0,9 35,7 125
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 2,8 13,3 11,1 25,5 2,3 0,9 30,5 65
Woleu-Ntem 2,1 23,1 20,2 38,6 3,7 3,6 45,0 323
Niveau d’instruction
Aucun 3,2 12,2 6,0 12,5 6,4 0,8 18,6 381
Primaire 3,0 24,6 14,1 30,4 3,9 1,8 35,9 655
Secondaire 1er cycle 3,7 23,9 12,8 30,4 3,4 1,7 38,1 2 281
Secondaire 2e cycle 1,2 20,4 9,0 23,6 1,5 1,4 32,7 1 498
Supérieur 1,9 15,2 3,4 20,1 1,3 0,7 27,6 1 038
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 3,9 23,6 14,9 31,8 5,6 2,3 37,0 911
Second 3,0 27,0 11,6 29,6 3,0 2,0 38,6 1 114
Moyen 2,9 20,9 9,3 24,6 2,4 0,8 33,7 1 413
Quatrième 1,7 18,9 9,7 24,1 2,1 1,4 31,7 1 296
Le plus élevé 1,9 14,3 5,2 19,9 1,7 0,8 26,6 1 120
Ensemble 15–49 2,6 20,8 9,9 25,6 2,8 1,4 33,3 5 854
50–64 2,1 13,4 9,2 15,0 2,6 0,6 20,0 1 040
Ensemble 15–64 2,5 19,7 9,8 24,0 2,8 1,3 31,3 6 894
Pourcentage de femmes et d’hommes de 15–49 ans qui pensent qu’il est justifié qu’une femme refuse d’avoir des relations sexuelles avec
son mari/partenaire si elle sait qu’il a des relations sexuelles avec d’autres femmes ; pourcentage qui pense qu’il est justifié qu’une femme
demande à ce qu’un condom soit utilisé au cours des rapports sexuels si elle sait que son mari/partenaire a une infection sexuellement
transmissible (IST) et pourcentage qui pense qu’il est justifié qu’une femme refuse d’avoir des rapports sexuels avec son mari/partenaire si
elle sait qu’il a une infection sexuellement transmissible (IST), selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Femme Homme
Il est justifié qu’une femme : Il est justifié qu’une femme :
Refuse Refuse
d’avoir des Demande à d’avoir des Demande à
relations ce qu’un relations ce qu’un
sexuelles condom soit sexuelles condom soit
avec son utilisé au avec son utilisé au
mari/parte- cours des Refuse mari/parte- cours des
naire si elle rapports d’avoir des naire si elle rapports
sait qu’il a sexuels si elle rapports avec sait qu’il a sexuels si elle
des relations sait que son lui si elle sait des relations sait que son
sexuelles mari/parte- que son mari/ sexuelles mari/parte-
Caractéristique avec d’autres naire a partenaire a Effectif de avec d’autres naire a Effectif
sociodémographique femmes une IST une IST femmes femmes une IST d’hommes
Groupe d’âges
15–24 64,3 80 ,5 70,4 2 309 68,1 88,0 2 033
15–19 64,2 77,8 67,3 1 127 68,2 85,3 1 109
20–24 64,5 83,1 73,3 1 182 68,0 91,2 924
25–29 62,0 82,8 75,1 1 204 70,7 91,9 897
30–39 59,6 81,5 73,1 1 772 68,8 90,2 1 702
40–49 62,6 83,7 73,9 1 221 71,7 91,0 1 222
État matrimonial
Célibataire 65,2 82,2 73,4 2 655 68,2 88,4 2 902
A déjà eu des rapports
sexuels 65,2 84,6 76,1 1 938 69,4 90,6 2 355
N’a jamais eu de rapports
sexuels 65,4 75,7 66,2 717 63,2 78,8 547
En union 58,4 80,2 70,8 3 194 71,4 90,5 2 343
En rupture d’union 69,6 88,0 78,4 658 68,1 94,3 610
Résidence
Port Gentil/Libreville 66,6 84,0 75,6 3 701 70,7 91,0 3 488
Autres villes 57,1 80,4 69,8 2 309 68,4 88,5 1 905
Ensemble urbain 63,0 82,6 73,4 6 010 69,9 90,1 5 393
Rural 54,4 72,2 63,6 497 64,7 86,5 461
Province
Libreville 65,6 82,3 74,1 2 975 69,4 90,2 2 911
Port-Gentil 70,9 90,9 82,0 726 77,1 95,4 577
Estuaire (sans Libreville) 57,2 76,0 64,7 869 73,2 87,2 788
Haut-Ogooué 51,0 77,9 60,8 575 62,0 81,1 451
Moyen-Ogooué 71,5 73,7 70,4 203 74,5 96,2 163
Ngounié 64,5 80,0 81,1 255 69,4 94,5 219
Nyanga 64,9 82,1 72,9 124 69,9 81,7 103
Ogooué-Ivindo 53,8 79,8 70,4 140 50,7 89,2 129
Ogooué-Lolo 65,5 94,7 87,2 151 80,5 90,2 125
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 69,4 84,9 77,9 71 75,9 93,8 65
Woleu-Ntem 44,4 80,7 69,7 419 56,9 91,2 323
Niveau d’instruction
Aucun 45,1 53,1 53,4 406 53,2 75,5 381
Primaire 55,6 75,1 67,8 838 61,9 82,9 655
Secondaire 1er cycle 61,3 83,4 74,3 2 840 69,7 89,4 2 281
Secondaire 2e cycle 69,5 89,1 78,1 1 443 73,4 95,2 1 498
Supérieur 67,7 84,3 72,1 980 73,9 92,8 1 038
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 58,6 78,3 70,3 1 031 67,1 86,1 911
Second 59,0 81,1 70,3 1 333 68,1 88,7 1 114
Moyen 64,4 81,4 71,6 1 387 69,0 91,6 1 413
Quatrième 64,8 83,2 75,3 1 442 71,6 89,8 1 296
Le plus élevé 63,7 84,2 75,1 1 315 70,8 91,7 1 120
Ensemble 15–49 62,3 81,8 72,7 6 507 69,5 89,8 5 854
50–64 na na na na 70,7 87,8 1 040
Ensemble 15–64 na na na na 69,6 89,5 6 894
na = non applicable
na = non applicable
1
Se référer au tableau 15.11.1 pour la liste des décisions.
2
Se référer au tableau 15.12.1 pour la liste des raisons.
Tableau 15.16 Utilisation actuelle de la contraception selon les indicateurs du pouvoir d’action des femmes
Répartition des femmes de 15–49 ans, actuellement en union par méthode contraceptive actuellement utilisée selon certains indicateurs du pouvoir
d’action des femmes, EDSG-III 2019–21
Méthodes modernes
Méthodes Une
Une modernes méthode N’utilise pas
Indicateur du pouvoir Une méthode Stérilisation temporaires Condom tradition- actuelle- Effectif de
d’action méthode moderne1 féminine féminines2 masculin nelle ment Total femmes
Nombre de décisions
auxquelles la femme a
participé3
0 23,0 16,4 0,0 6,7 9,7 6,6 77,0 100,0 578
1–2 27,1 16,6 0,3 7,3 9,1 10,5 72,9 100,0 1 257
3 24,1 17,8 0,2 7,2 10,5 6,4 75,9 100,0 2 941
Nombre de raisons pour
lesquelles il est
justifié qu’un mari
batte sa femme4
0 24,5 17,3 0,1 7,6 9,6 7,2 75,5 100,0 3 378
1–2 27,6 19,8 0,4 6,7 12,7 7,8 72,4 100,0 1 002
3–4 21,7 11,7 0,0 4,8 6,9 10,0 78,3 100,0 328
5 11,2 7,6 0,0 2,0 5,6 3,6 88,8 100,0 68
Ensemble 24,8 17,3 0,2 7,1 10,0 7,5 75,2 100,0 4 776
Note : Si plus d’une méthode est utilisée, seule la plus efficace est prise en compte dans ce tableau.
1
Stérilisation féminine, stérilisation masculine, pilule, DIU, injectables, implants, condom masculin, condom féminin, pilule du lendemain, méthode des
jours fixes (MJF), méthode de l’allaitement maternel et de l’aménorrhée (MAMA) et d’autres méthodes modernes
2
Pilule, DIU, injectables, implants, condom féminin, pilule du lendemain, méthode des jours fixes (MJF), méthode de l’allaitement maternel et de
l’aménorrhée (MAMA) et d’autres méthodes modernes
3
Se référer au Tableau 15.11.1 pour la liste des décisions.
4
Se référer au tableau 15.12.1 pour la liste des raisons.
Nombre moyen idéal d’enfant pour les femmes de 15–49 ans et pourcentage de femmes de 15–49 ans
actuellement en union ayant des besoins non satisfaits en matière de planification familiale, selon certains
indicateurs du pouvoir d’action des femmes, EDSG-III 2019–21
Pourcentage de femmes
actuellement en union ayant des Effectif de
Nombre besoins non satisfaits en matière femmes
moyen de planification familiale2 actuel-
idéal Effectif de Pour lement en
Indicateur du pouvoir d’action d’enfants1 femmes espacer Pour limiter Total union
Nombre de décisions
auxquelles la femme a
participé3
0 4,8 506 26,7 8,6 35,3 578
1–2 4,5 1 201 21,4 11,0 32,4 1 257
3 4,7 2 825 23,0 10,5 33,5 2 941
Nombre de raisons pour
lesquelles il est justifié
qu’un mari batte sa femme4
0 4,3 6 742 23,4 10,6 34,0 3 378
1–2 4,4 2 121 22,0 11,4 33,5 1 002
3–4 5,0 559 21,3 5,6 26,9 328
5 4,8 107 28,1 8,4 36,5 68
Ensemble 4,3 9 529 23,0 10,4 33,4 4 776
1
Sont exclues dans le calcul de la moyenne, les enquêtées qui ont donné des réponses non numériques
2
L’estimation des besoins non satisfaits est basée sur la définition révisée décrite dans Bradley et al., 2012.
3
Limité aux seules femmes actuellement en union. Se référer au tableau 15.11.1 pour la liste des décisions.
4
Se référer au tableau 15.12.1 pour la liste des raisons.
Tableau 15.18 Soins de santé maternelle, selon les indicateurs du pouvoir d’action des femmes
Pourcentage de femmes de 15–49 ans ayant eu un enfant au cours des 5 années ayant précédé l’enquête
qui ont reçu des soins prénatals, une assistance à l’accouchement et des soins postnatals par du personnel
de santé pour leur naissance la plus récente, selon certains indicateurs du pouvoir d’action des femmes,
EDSG-III 2019–21
Pourcentage Effectif de
Pourcentage ayant eu un femmes ayant
Pourcentage dont examen eu une
ayant reçu des l’accouchement postnatal dans naissance
soins prénatals a été assisté par les 2 jours vivante dans les
d’un prestataire un prestataire suivant la 5 dernières
Indicateur du pouvoir d’action qualifié1 qualifié1 naissance2 années
Nombre de décisions auxquelles
la femme a participé3
0 96,2 91,9 72,9 384
1–2 97,8 95,3 69,6 771
3 97,0 96,2 69,6 1 626
Nombre de raisons pour
lesquelles il est justifié qu’un
mari batte sa femme4
0 97,8 96,2 71,8 3 012
1–2 96,8 93,2 70,1 1 031
3–4 91,4 92,7 64,6 271
5 97,8 92,1 79,9 56
Ensemble 97,1 95,2 71,0 4 370
1
Les prestataires qualifiés incluent le médecin (gynécologue/autre médecin), la sage-femme,
l’infirmier/infirmière accoucheur(euse) et l’infirmier/infirmière.
2
Y compris les femmes qui ont reçu des soins postnatals d’un médecin (pédiatre, gynécologue, autre
médecin), d’une sage-femme, d’un(e) infirmier/infirmière assistant(e), d’une puéricultrice, d’une matrone ou
d’une accoucheuse traditionnelle dans les deux jours qui ont suivi la naissance. Y compris les femmes qui
ont accouché dans un établissement de santé et celles qui n’ont pas accouché dans un établissement de
santé.
3
Limité aux seules femmes actuellement en union. Se référer au Tableau 15.11.1 pour la liste des décisions.
4
Se référer au Tableau 15.12.1 pour la liste des raisons.
Mortalité infantile, juvénile et infanto-juvénile pour la période des 10 années ayant précédé
l’enquête selon certains indicateurs du pouvoir d’action des femmes, EDSG-III 2019–21
Mortalité infanto-
Mortalité Mortalité juvénile
Indicateur du pouvoir d’action infantile (1q0) juvénile (4q1) (5q0)
Nombre de décisions
auxquelles la femme a
participé1
0 24 3 27
1–2 26 16 42
3 29 11 39
Nombre de raisons pour
lesquelles il est justifié qu’un
mari batte sa femme2
0 26 11 36
1–2 33 15 47
3–4 29 9 37
1
Limité aux seules femmes actuellement en union. Se référer au Tableau 15.11.1 pour la
liste des décisions.
2
Se référer au Tableau 15.12.1 pour la liste des raisons.
L
a violence basée sur le genre à l’encontre des femmes est reconnue dans le monde entier comme
une violation des droit humains fondamentaux. Des recherches en nombre de plus en plus
important ont mis en évidence les conséquences sur la santé, les effets intergénérationnels et les
conséquences démographiques et sociales de ce type de violence (United Nations 2006). Ce chapitre porte
sur la violence domestique, une forme de violence basée sur le genre. Elle est définie par les Nations Unies
comme tout acte de violence pouvant causer aux femmes, aux jeunes filles, aux hommes et aux jeunes
garçons un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la menace de
tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de libertés.
Le phénomène de la violence basée sur le genre est un problème qui se pose actuellement avec beaucoup
d’acuité au Gabon et cela en dépit de tous les instruments internationaux relatifs aux Droits de l’Homme
ratifiés en matière de genre. Au titre des instruments ratifiés ou adoptés, on peut citer, la Convention sur
l’Élimination de toutes les formes de Discrimination à l’Égard des Femmes (CEDEF/CEDAW) en 1983 ;
le Protocole de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples relatifs aux droits des femmes en
Afrique ; la Convention relative aux Droits de l’Enfant ; le Programme d’action de Beijing de 1995, la
résolution 65/189 des Nations Unies instituant la Journée Internationale des Veuves en 2011 et la
Déclaration solennelle des Chefs d’états sur l’égalité entre les hommes et les femmes en Afrique.
Par ailleurs, le principe d’égalité entre les sexes a été consacré dans la Constitution en son article 2, alinéa
2, du préambule et plusieurs documents stratégiques et de politiques sectoriels sont réalisés pour éliminer
les disparités et les inégalités entre hommes et femmes. Ainsi, en 2009, une Stratégie nationale d’égalité et
d’équité de genre va permettre de mesurer les disparités entre hommes/femmes et d’identifier les
problèmes, au nombre desquels, la présence de la violence dans les familles.
Pour lutter contre ce phénomène dénoncé par la société civile et les femmes qui osent en parler auprès de
la Cellule d’écoute du ministère en charge de la Promotion de la Femme, un guide de prise en charge des
violences basées sur le genre, de même qu’un guide de prise en charge de la violence sexuelle et un
document relatif aux procédures opérationnelles standards de prise en charge vont être réalisés et validés,
afin d’assurer une prise en charge holistique de la violence.
En 2015, alors que le Chef de l’État, décide de décréter la décennie 2015–2025, décennie de la femme
gabonaise, la femme qui se considérait comme discriminée par certains articles de lois et les pratiques
culturelles qui la relèguent à jouer les seconds rôles, va s’employer, aux côtés du Gouvernement et des
partenaires au développement, notamment le Fonds des Nations Unies pour la Population, à supprimer,
sinon à réduire, les inégalités et les discriminations présentes notamment dans les domaines économique,
social, culturel et politique.
En septembre 2020, suite au rapport sur les inégalités, remis au Chef de l’État par la Fondation Sylvia
Bongo Ondimba pour la famille, le programme dénommé Gabon-Égalité va être déployé avec, entre autres
objectifs, de permettre aux femmes victimes de violence et à leurs enfants, d’accéder gratuitement à
l’accompagnement judiciaire, médical, social, psychologique ainsi qu’à la mise en sécurité d’urgence.
Du point de vue normatif, des révisions législatives sont réalisées afin de mettre certains textes de lois en
conformité avec les instruments internationaux des droits de l’Homme ratifiés et d’éliminer les inégalités
présentes qui peuvent être à la base de certaines discriminations vécues par les femmes.
C’est ainsi qu’un certain nombre de dispositifs légaux ont été révisés et promulgués :
L’EDSG-III 2019–21 a inclus un module sur la violence domestique à l’encontre des femmes, une forme
de violence basée sur le genre. Dans le sous-échantillon de deux tiers des ménages concernés par ce
module et, en accord avec les directives de l’OMS, les questions ont été administrées à une seule femme,
sélectionnée au hasard dans le ménage, indépendamment du nombre de femmes éligibles présentes. La
confidentialité de l’entretien a été assurée et un climat de confiance a été instauré afin d’assurer la
confiance de l’enquêtée et la validité des données collectées.
La violence physique conjugale a été évaluée au moyen des questions suivantes : Est-ce qu’il est déjà
arrivé que votre mari/partenaire vous bouscule, pousse, secoue, ou vous jette quelque chose ; vous
gifle ; vous torde le bras ou vous tire les cheveux ; vous frappe à coups de poing ou avec quelque
chose qui pouvait vous blesser ; vous donne des coups de pied, vous traîne par terre ou vous batte ;
essaye de vous étrangler ou de vous brûler intentionnellement ; menace de vous attaquer avec un
couteau, un fusil ou une autre arme.
La violence sexuelle conjugale a été évaluée à l’aide des questions suivantes : Est-ce qu’il est déjà
arrivé que votre mari/partenaire vous force physiquement à avoir des rapports sexuels avec lui contre
votre gré ; vous force physiquement à pratiquer des actes sexuels que vous ne voulez pas ; vous force
sous la menace ou d’une autre manière à pratiquer des actes sexuels que vous ne voulez pas.
La violence émotionnelle conjugale a été évaluée à l’aide des questions suivantes : Est-ce qu’il est
déjà arrivé que votre mari/partenaire vous dise ou vous fasse quelque chose pour vous humilier devant
d’autres personnes ; vous menace de vous blesser ou de vous faire du mal, à vous ou quelqu’un qui
vous est proche ; vous insulte ou vous rabaisse.
En outre, on a collecté des informations auprès de toutes les femmes (en union et non en union) sur des
actes de violence physique qu’elles ont subis, commis par une personne quelconque (autre que le conjoint
actuel ou le conjoint le plus récent) depuis l’âge de 15 ans ; pour cela, on leur a demandé si cette personne
les avait frappées, giflées, si elle leur avait donné des coups de pied ou fait quelque chose d’autres pour les
blesser physiquement. On a demandé à toutes les femmes si elles avaient subi des actes de violence
sexuelle commis par n’importe quelle personne (autre que le conjoint actuel ou le conjoint le plus récent) :
on leur a demandé si, quand elles étaient enfant ou à l’âge adulte, il leur était arrivé qu’on les force, de
quelque manière que ce soit, à avoir des rapports sexuels ou à pratiquer des actes sexuels qu’elles ne
voulaient pas.
Dans ce chapitre, les femmes en union comprennent les femmes ayant déclaré être mariées et celles ayant
déclaré qu’elles vivaient avec un homme comme si elles étaient mariées. De même, les conjoints incluent
les maris des femmes mariées et les partenaires des femmes avec qui ils ne sont pas mariés mais avec qui
ils vivent ensemble comme s’ils étaient mariés.
Le Tableau 16.1 présente le pourcentage de femmes de 15–49 ans qui ont déclaré avoir subi des actes de
violence physique, commis soit par leur mari, soit par une ou d’autres personnes, depuis l’âge de 15 ans et
le pourcentage de celles qui en ont subi récemment, c’est-à-dire au cours des 12 mois ayant précédé
l’enquête.
Les résultats montrent que 45 % des femmes ont déclaré avoir subi des actes de violence physique depuis
l’âge de 15 ans et 17 % ont déclaré en avoir subi récemment, c’est-à-dire au cours des 12 mois avant
l’enquête.
Tendances : Par rapport à 2012, le pourcentage de femmes ayant subi des actes de violence physique
depuis l’âge de 15 ans a diminué, passant de 54 % à 45 % ; le pourcentage de femmes ayant subi des actes
de violence physique dans les 12 mois avant l’enquête est passé de 23 % à 17 %, soit une baisse de 6
points de pourcentage.
Le pourcentage de femmes ayant subi des actes de violence physique depuis l’âge de 15 ans varie
selon l’âge ; passant de 34 % à 15–19 ans à 52 % à 25–29 ans.
Le pourcentage de femmes ayant subi des actes de violence physique depuis l’âge de 15 ans varie
selon les provinces ; il passe de 61 % dans la province de l’Ogooué-Lolo à 35 % dans la province du
Moyen-Ogooué.
La violence physique subie par les femmes Graphique 16.1 Violence subie par les
depuis l’âge de 15 ans est plus fréquente chez femmes selon leur état matrimonial
les femmes divorcées, séparées ou veuves
Célibataire Mariée ou Divorcée/
(60 %) que chez celles qui sont en union (51 %) en union séparée/
ou les célibataires (36 %) (Graphique 16.1). veuve
On a demandé aux femmes de 15–49 ans qui avaient subi des actes de violence physique depuis l’âge
de 15 ans qui était l’auteur de ces actes. Dans 51 % des cas, les femmes non célibataires ont déclaré
que l’auteur de ces actes est leur mari ou partenaire actuel et dans 23 % des cas, leur ex-mari/
partenaire. Dans 21 % des cas, la mère/femme du père est l’auteur de ces actes (Tableau 16.2).
Violence sexuelle
Pourcentage de femmes ayant subi des actes de violence sexuelle (commis
par un conjoint ou par quelqu’un d’autre) à un certain moment de leur vie ou
dans les 12 derniers mois.
Échantillon : Femmes de 15–49 ans
Au Gabon, 15 % de femmes ont déclaré avoir subi des actes de violence sexuelle à un moment quelconque
de leur vie et 6 % en ont subi récemment, c’est-à-dire au cours des 12 mois ayant précédé l’enquête
(Tableau 16.3). Parmi les femmes ayant subi des violences sexuelles, une sur dix a déclaré avoir subi le
premier acte de violence sexuelle à l’âge exact de 22 ans (10 %). Dans 8 % des cas, il s’est produit avant
l’âge de 18 ans et dans 5 % des cas, avant l’âge de 15 ans (Tableau 16.5).
Tendances : Depuis 2012, le pourcentage de femmes ayant déclaré avoir subi des violences sexuelles à un
moment quelconque de leur vie a diminué, passant de 23 % à 15 %. Le pourcentage concernant la violence
sexuelle subie au cours des 12 mois avant l’enquête a aussi diminué, passant de 9 % à 6 %.
Le pourcentage de femmes ayant subi des actes de violence sexuelle varie fortement selon les
provinces. Son niveau est plus élevé dans le Woleu-Ntem (23 %) et plus bas dans le Moyen-
Ogooué (8 %) (Tableau 16.3).
Le pourcentage de femmes ayant subi des actes de violence sexuelle est particulièrement élevée
parmi les femmes en rupture d’union ou veuve (23 % contre 16 % parmi celles en union et 11 %
parmi les célibataires) (Graphique 16.1).
Les femmes qui travaillaient et n’étaient pas payées en argent (22 %) ou qui travaillaient et
étaient payées en argent (17 %) sont proportionnellement plus nombreuses à avoir subi des actes
de violence sexuelle que celles qui ne travaillaient pas (12 %).
Le pourcentage de femmes ayant subi des actes de violence sexuelle varie selon le niveau
d’instruction. Les femmes de niveau primaire sont celles qui les subissent le plus (17 %), que
celles sans niveau d’instruction (10 %) ou de niveau supérieur (12 %).
Les résultats selon le quintile de bien-être économique montrent que le pourcentage de femmes,
ayant subi des actes de violence sexuelle, est plus élevé dans le second quintile (16 %) et dans le
plus élevé (16 %) que dans les autres.
Parmi les femmes de 15–49 ans non célibataires ayant subi des actes de violence sexuelle, 45 % d’entre
elles ont déclaré que l’auteur de ces actes était le mari/partenaire actuel, 27 % un ex-mari/partenaire et pour
8 % des femmes, l’ex/actuel petit ami (Tableau 16.4).
Parmi les femmes célibataires victimes de violence sexuelle, 25 % ont cité un autre parent comme étant
l’auteur de ces actes, 21 % ont cité un ex/actuel petit ami et 17 % un étranger.
Globalement, près d’une femme sur deux (48 %) a déclaré avoir subi des actes de violence physique ou
sexuelle et plus d’une sur dix (12 %), à la fois physique et sexuelle. Les femmes de 18–19 ans (39 %),
25–29 ans (36 %) et 30–39 ans (36 %) sont proportionnellement plus nombreuses à avoir subi des actes de
violence physique seulement ; la violence sexuelle a touché 5 % des femmes de 18–19 ans, 4 % de celles
de 20–24 ans et 4 % de celles de 30–39 ans. Les femmes de 25–29 ans sont proportionnellement les plus
nombreuses à avoir subi, à la fois, des actes de violence physique et sexuelle (16 %) ; ou des actes de
violence sous les deux formes (54 %).
Les résultats du Tableau 16.7 montrent que 7 % des femmes de 15–49 ans, ayant déjà été enceintes, ont
subi des actes de violence physique au cours de leur grossesse.
En ce qui concerne l’âge, il convient de noter que c’est le groupe d’âges de 25–29 ans qui enregistre le
pourcentage le plus élevé (9 %) de femmes ayant subi des actes de violence physique au cours d’une
grossesse contre 8 % à 15–19 ans et 7 % à 30–39 ans.
Par ailleurs, c’est dans le milieu rural que ce type de violence est le plus fréquemment subi par la
femme enceinte (9 % contre 7 % en milieu urbain).
Les pourcentages de femmes ayant subi des actes de violence physique au cours d’une grossesse sont
plus élevés dans les provinces du Woleu-Ntem (13 %), de la Nyanga (9 %), du Haut-Ogooué et de
l’Ogooué Ivindo (8 % pour chacune d’entre elles) et plus faible dans la province de la Ngounié (4 %).
On note par ailleurs, que la violence physique Graphique 16.2 Violence subie durant
durant la grossesse varie de 9 % parmi les une grossesse selon le nombre
femmes ayant eu au moins 5 enfants à 4 % d’enfants vivants
parmi celles n’ayant aucun enfant vivant Pourcentage de femmes de 15–49 ans qui
(Graphique 16.2). ont déjà été enceintes
9
7 7 7
Parmi les femmes de 15–49 ans non célibataires, 59 % ont déclaré que leur mari était jaloux ou en
colère si elles parlaient à d’autres hommes ; c’est le comportement de contrôle du mari/partenaire le
plus fréquemment déclaré par les femmes. Les femmes ont ensuite rapporté dans 42 % des cas,
l’insistance du mari/partenaire pour savoir où elles se trouvent à tout moment et, plus d’un tiers des
femmes ont déclaré qu’elles étaient fréquemment accusées d’infidélité (34 %). Les autres types de
comportement dominateurs ont été moins fréquemment rapportés. Globalement, 42 % des femmes ont
déclaré avoir subi au moins trois comportements de contrôle de la part de leur mari/partenaire et 29 %
des femmes ont déclaré n’en avoir jamais subi (Tableau 16.8).
Le pourcentage de femmes ayant déclaré avoir subi au moins 3 comportements de contrôle diminue
avec l’âge de la femme, passant de 59 % parmi les jeunes femmes de 15–19 ans à 33 % parmi celles de
40–49 ans.
On note des variations selon que l’enquêtée a peur ou pas de son mari/partenaire, les proportions de
femmes qui ont déclaré que leur mari/partenaire avaient manifesté au moins trois comportements de
contrôle à leur égard passant de 83 % chez celles qui ont peur de lui la plupart du temps à 28 % parmi
celles qui n’en ont jamais peur.
Violence conjugale
Pourcentage de femmes ayant subi un des actes spécifiés de violence
physique, sexuelle ou émotionnelle commis par leur conjoint actuel (si
actuellement en union) ou par le plus récent (si précédemment en union), à
n’importe quel moment de leur vie et dans les 12 derniers mois.
Échantillon : Femmes de 15–49 ans non célibataires
Globalement 37 % des femmes ont subi des actes de violence physique ou sexuelle de la part de leur
mari/partenaire actuel ou le plus récent et 46 % ont subi des actes de violence émotionnelle ou physique.
Tendances : Par rapport à 2012, on constate que les Graphique 16.4 Tendances de la
pourcentages de femmes ayant subi des actes de violence conjugale
violence conjugale ont diminué, passant de 46 % à Pourcentage de femmes non célibataires
34 % pour la violence physique et de 17 % à 11 % qui ont déjà subi des actes de violence
pour la violence sexuelle ; par contre, le pourcentage conjugale (physique, sexuelle ou
émotionnelle)
de femmes ayant subi des actes de violence
émotionnelle a peu varié, passant de 35 % à 34 % EDSG-II 2012 EDSG-III 2019–21
(Graphique 16.4).
46
Variations par caractéristique
35 34 34
Le pourcentage de femmes qui ont déclaré avoir
subi des violences conjugales “physique ou 17
sexuelle ou émotionnelle”, commis par le 11
mari/partenaire actuel ou le plus récent est plus
élevé en milieu rural qu’en milieu urbain (52 %
contre 46 %) (Tableau 16.10). Émotionnelle Physique Sexuelle
On constate un pourcentage élevé de femmes ayant déclaré avoir subi des actes de violence conjugale
parmi les femmes divorcées/séparées/veuves (51 %) que parmi celles en union (45 %)
(Tableau 16.10).
La prévalence de la violence conjugale, quel qu’en soit le type, est plus élevée parmi les femmes ayant
travaillé et qui n’ont pas été rémunérées en argent que parmi celles qui ne travaillent pas (52 % contre
43 %) (Tableau 16.10).
Les résultats du Tableau 16.12 montrent qu’au cours des 12 derniers mois, 5 % de femmes ont déclaré
avoir subi, à la fois, des actes de “violence physique et sexuelle et émotionnelle” et près du tiers (32 %),
des actes de violence sous l’une de ces trois formes.
Le Tableau 16.11 présente le pourcentage de femmes de 15–49 ans non célibataires qui ont subi des actes
de violence émotionnelle, physique ou sexuelle commis par leur mari/partenaire actuel ou par le plus
récent, selon certaines caractéristiques du conjoint et les indicateurs du pouvoir d’action des femmes.
Les femmes dont le mari/partenaire n’a aucun niveau instruction sont celles qui ont le moins
fréquemment déclaré avoir subi des actes de violence conjugale sous l’une des trois formes (31 %). À
l’opposé, plus de la moitié des femmes dont le mari/partenaire actuel ou le plus récent a le niveau
secondaire ont subi des actes de violence physique, sexuelle ou émotionnelle (52 %).
Le Tableau 16.13 présente les pourcentages de femmes actuellement en union et qui n’ont été en union
qu’une seule fois qui ont subi leur premier acte de violence physique ou sexuelle en fonction de la durée de
l’union.
Pour 35 % des femmes de 15–49 ans, le premier épisode de violence conjugale s’est produit 10 ans après
le début de l’union. Dans 32 % des cas, il a eu lieu 5 ans après le début de l’union et dans 22 % des cas, 2
ans après le début de l’union. Six pour cent (6 %) des femmes ont déclaré que le premier épisode de
violence conjugale s’était produit avant le début de l’union.
Par ailleurs, quel que soit le type de violence conjugale subie par la femme, le tableau montre que les
coupures, hématomes ou meurtrissures restent les blessures les plus fréquemment subies par les femmes au
cours des 12 derniers mois ayant précédé l’enquête (45 % dans le cas de la violence physique, 49 % pour la
violence sexuelle et 40 % pour la violence physique ou sexuelle).
Tendances : Depuis l’enquête de 2012, les résultats de l’EDSG-III 2019–21 semblent révéler une
amélioration avec des pourcentages de femmes ayant subi des violences physiques ou sexuelles de la part
d’un mari/partenaire, avec blessures, en diminution. Pour une blessure quelconque, les pourcentages sont
passés de 51 % à 34 %, à n’importe quel moment ; de 57 % à 43 % sur la période des 12 derniers mois. Les
cas de blessures sérieuses ont également diminué avec des pourcentages, au cours des 12 derniers mois,
qui sont passés de 13 % en 2012 à 5 % en 2019–21.
Les résultats de l’enquête révèlent dans le Tableau 16.15 et le Tableau 16.16 que 8 % des femmes ont
commis des actes de violence physique contre leur mari/partenaire à un moment quelconque et 5 % au
cours des 12 derniers mois, alors qu’il ne les avait ni battues, ni agressées physiquement.
Les résultats du Tableau 16.15 montrent que le fait d’avoir déjà subi un acte de violence conjugale à un
moment quelconque de la vie ou au cours des douze derniers mois a un impact sur le comportement violent
de la femme. Parmi ces femmes, 19 % ont commis un acte de violence à l’égard de leur mari/partenaire
alors qu’il ne les avait ni agressées ou battues, à un moment donné et 22 % au cours des 12 derniers mois.
Ce pourcentage est de 2 % chez celles qui n’ont jamais subi de violence conjugale.
Les provinces de la Ngounié (15 %), de l’Ogooué Ivindo (10 %), du Woleu-Ntem (9 %) et la ville de
Libreville (10 %) enregistrent les pourcentages les plus élevés de femmes ayant commis des actes de
violence contre leur conjoint.
C’est parmi les femmes de niveau d’instruction primaire (13 %) que le pourcentage de femmes ayant
eu un comportement violent à l’égard de leur mari/partenaire est le plus élevé. Parmi les femmes sans
instruction, 3 % ont commis des actes de violence physique contre leur conjoint.
De même, on constate que les actes de violence des femmes contre leur conjoint sont nettement plus
fréquents dans les ménages du quintile moyen (9 %) que dans les ménages du quintile plus élevé
(5 %).
Le Tableau 16.16 présente la violence initiée par les femmes en fonction des caractéristiques du conjoint
et selon les indicateurs du pouvoir d’action de la femme.
Le pourcentage de femmes ayant eu des comportements agressifs envers leur mari/partenaire varie
avec le nombre de comportements de contrôle que ce dernier a exercés à leur encontre, passant de 4 %
pour aucun à 14 % quand le nombre est de 5.
La prévalence de la violence conjugale exercée par les femmes varie de manière importante avec la
consommation d’alcool du conjoint : de 3 % quand il ne consomme pas d’alcool à 15 % quand il est
souvent ivre.
Le pourcentage de femmes ayant commis des actes de violence contre leur conjoint est plus élevé
parmi celles dont le père battait la mère que parmi les autres (14 % contre 5 % s’il ne la battait pas).
16.10 RECHERCHE D’AIDE PARMI LES FEMMES QUI ONT SUBI DES ACTES
DE VIOLENCE
Le Tableau 16.17 présente la répartition (en %) des femmes de 15–49 ans qui ont subi des actes de
violence physique ou sexuelle selon qu’elles ont recherché ou non de l’aide et en fonction du type de
violence et de certaines caractéristiques sociodémographiques.
16.10.1 Recherche d’aide parmi les femmes qui ont subi des actes de violence
On peut remarquer que parmi les femmes qui ont Graphique 16.6 Recherche d’aide
subi des violences physiques ou sexuelles, 61 % par type de violence subie
n’ont pas recherché d’aide et n’ont parlé à personne Pourcentage de femmes de 15–49 ans
de ce qui leur est arrivé. Dans 11 % des cas, les ayant subi des actes de violence physique
femmes n’ont pas recherché d’aide mais ont parlé à ou sexuelle qui ont recherché de l’aide
quelqu’un et, 28 % des femmes ont recherché de
l’aide pour mettre fin à la violence. C’est parmi
celles qui ont subi des actes de violence sexuelle,
que le pourcentage ayant recherché de l’aide est le 43 42
plus élevé (43 %) (Graphique 16.6).
23
Tendances : Par rapport à 2012, le pourcentage de
femmes ayant subi des actes de violence physique ou
sexuelle et qui ont recherché de l’aide a diminué, Physique Sexuelle Physique et
passant de 43 % à 28 %, soit une baisse de 15 points seulement seulement sexuelle
de pourcentage.
Le pourcentage de femmes qui ont recherché de l’aide pour arrêter les violences qu’elles ont subies est
légèrement plus élevé en milieu rural qu’en milieu urbain (30 % contre 28 %).
Les femmes qui n’ont aucun niveau d’instruction (14 %) sont proportionnellement moins nombreuses
à rechercher de l’aide que celles qui sont instruites, en particulier par rapport à celles ayant le niveau
secondaire 2e cycle (34 %).
C’est dans le quintile le plus élevé que le pourcentage de femmes ayant recherché de l’aide pour
arrêter la violence conjugale est le plus faible (18 % contre 32 % dans le quintile moyen, 31 % dans le
quatrième et le second quintiles).
Le Tableau 16.18 présente le pourcentage de femmes de 15–49 ans qui ont subi des actes de violence
physique ou sexuelle et qui ont recherché de l’aide par source/personne auprès de qui elles ont recherché
l’aide, selon le type de violence déclarée par les femmes.
Quel que soit le type de violence, les femmes ont recherché, le plus fréquemment (62 %), de l’aide dans
leur propre famille (55 % pour la violence physique seulement et 91 % pour celle sexuelle seulement). La
famille du mari/partenaire (14 %), les amis (14 %), les voisins (10 %) et les forces de l’ordre (9 %) sont les
sources auprès desquelles les femmes se sont le plus tournées pour obtenir de l’aide pour stopper la
violence du mati/partenaire. En ce qui concerne les autres sources d’aide comme le médecin/personnel de
santé (2 %), service/centre social/centre d’écoute (2 %), les hommes de loi (2 %), etc., on constate qu’elles
ont été peu contactées.
Pourcentage de femmes de 15–49 ans ayant subi des actes de violence physique depuis l’âge de 15 ans
et pourcentage ayant subi des actes de violence physique au cours des 12 mois précédant l’enquête,
selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage
ayant subi
des actes de Pourcentage ayant subi des actes
violence de violence physique au cours
physique des 12 derniers mois
Caractéristique depuis l’âge Souvent ou Effectif de
sociodémographique de 15 ans1 Souvent Parfois parfois2 femmes
Âge
15–19 34,3 3,9 10,4 14,3 755
20–24 44,5 5,4 12,0 17,5 864
25–29 52,3 5,5 11,4 17,0 743
30–39 47,8 6,0 12,5 18,6 1 061
40–49 47,0 3,9 11,3 15,2 740
Religion
Catholique 51,3 4,4 12,7 17,1 1 241
Protestante 47,7 8,8 13,6 22,5 400
Église de réveil 45,2 5,2 11,7 17,0 1 785
Autre religion chrétienne 52,5 3,4 14,3 17,7 148
Musulmane 17,8 2,1 1,2 3,3 303
Traditionnelle/animiste (71,3) (30,4) (23,3) (53,6) 18
Autre religion (30,6) (4,2) (2,3) (6,5) 39
Sans religion/aucune 41,6 3,6 14,7 18,3 227
Résidence
Port Gentil/Libreville 48,9 5,3 11,2 16,5 2 301
Autres villes 39,1 4,3 11,3 15,6 1 523
Ensemble urbain 45,0 4,9 11,2 16,1 3 824
Rural 49,0 6,5 16,1 23,0 339
Province
Libreville 50,1 6,2 11,1 17,3 1 830
Port-Gentil 43,9 1,8 11,5 13,3 472
Estuaire (sans Libreville) 35,6 4,4 13,1 17,5 563
Haut-Ogooué 38,7 4,1 7,7 11,8 377
Moyen-Ogooué 35,4 4,6 9,4 14,0 134
Ngounié 37,1 7,7 10,8 18,8 166
Nyanga 45,5 3,9 10,2 14,1 82
Ogooué-Ivindo 57,8 2,7 14,7 17,5 100
Ogooué-Lolo 60,5 2,1 21,6 23,7 100
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 37,9 3,8 14,8 18,6 47
Woleu-Ntem 45,3 6,3 14,2 20,9 292
État matrimonial
Célibataire 35,6 1,7 7,4 9,1 1 779
Marié or vivant ensemble 50,7 8,0 14,0 22,1 1 922
Divorcé/séparé/veuve 60,1 5,8 17,9 23,7 461
Emploi
Travaillait et payée en argent 52,7 6,5 11,9 18,5 1 905
Travaillait mai pas payée en
argent 50,3 4,1 23,9 28,0 184
Ne travaillait pas 38,0 3,8 10,2 14,0 2 074
Nombre d’enfants vivants
0 37,2 2,8 9,5 12,3 1 248
1–2 48,7 6,2 12,1 18,4 1 511
3–4 48,3 6,0 12,7 18,7 943
5+ 50,1 5,2 13,3 18,7 461
Niveau d’instruction
Aucun 22,9 3,6 6,3 9,9 256
Primaire 47,6 7,3 15,2 22,5 569
Secondaire 1er cycle 48,5 6,2 13,4 19,7 1 825
Secondaire 2e cycle 41,9 2,3 10,0 12,3 900
Supérieur 48,0 4,1 7,4 11,4 612
À suivre…
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
1
Y compris les actes de violence dans les 12 derniers mois. Pour les femmes qui étaient mariées avant
l’âge de 15 ans et qui ont déclaré avoir subi des actes de violence physiques seulement commis par un
mari/partenaire, il se peut que ces actes aient été commis avant l’âge de 15 ans.
2
Y compris les femmes ayant déclaré avoir subi des actes de violence physique dans les 12 derniers mois
mais dont on ne connait pas la fréquence
Parmi les femmes de 15–49 ans qui ont subi des actes de violence physique depuis
l’âge de 15 ans, pourcentage ayant déclaré que des personnes spécifiques étaient
les auteurs de ces actes, selon l’état matrimonial actuel de l’enquêtée, EDSG-III
2019–21
État matrimonial
Auteur des violences Non célibataire Célibataire Ensemble
Mari actuel/partenaire 50,8 na 33,7
Ex-mari/partenaire 22,9 na 15,2
Petit ami actuel 2,6 6,3 3,8
Ex petit-ami 14,7 14,2 14,5
Père/mari de la mère 15,0 26,0 18,7
Mère/femme du père 20,6 40,9 27,4
Sœur/frère 16,8 32,2 22,0
Fille/fils 0,3 2,0 0,9
Autres parents 7,9 10,8 8,9
Belle-mère 0,0 na 0,0
Beau-père 0,0 na 0,1
Autre parent par alliance 0,8 na 0,6
Enseignant 2,3 5,6 3,4
Police/militaire 0,0 1,1 0,4
Autre 3,3 5,7 4,1
Effectif de femmes ayant subi
des actes de violence physique
depuis l’âge de 15 ans 1 252 634 1 886
Note : les femmes peuvent déclarer plus d’une personne ayant commis les actes de
violence.
na = non applicable
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
1
Y compris la violence au cours des 12 derniers mois
Parmi les femmes de 15–49 ans ayant subi des actes de violence sexuelle,
pourcentage ayant déclaré que des personnes spécifiques étaient les auteurs de ces
actes, selon l’état matrimonial actuel de l’enquêtée, EDSG-III 2019–21
État matrimonial
Auteur des violences Non célibataire Célibataire Ensemble
Mari/partenaire actuel 45,2 na 30,9
Ex-mari/partenaire 26,6 na 18,2
Ex/actuel petit ami 8,3 21,3 12,4
Père/beau-père 3,3 2,7 3,1
Frère/beau-frère 2,4 5,5 3,4
Autre parent 7,4 25,3 13,1
Parent par alliance 0,8 na 0,6
Propre ami/rencontre 4,5 9,2 6,0
Ami de la famille 1,6 4,5 2,5
Enseignant 0,2 1,1 0,5
Employeur/quelqu’un au travail 0,0 0,7 0,2
Étranger 2,8 17,1 7,3
Autre 11,4 12,4 11,8
Effectif de femmes ayant subi
des actes de violence sexuelle 422 195 617
Note : Les femmes non célibataires peuvent déclarer jusqu’à 3 auteurs d’actes de
violence sexuelle : un mari actuel, un ex-mari ou une autre personne qui n’est pas le
mari actuel ou un mari précédent. Les femmes célibataires ne peuvent déclarer
qu’une seule personne, c’est-à-dire celle qui a commis la première l’acte de violence.
na : non applicable
Pourcentage de femmes de 15–49 ans ayant subi des actes de violence sexuelle par âge exact, selon l’âge actuel et l’état matrimonial actuel,
EDSG-III 2019–21
Pourcentage
n’ayant pas
subi d’acte de
Caractéristique Pourcentage ayant subi le premier acte de violence sexuelle à l’âge exact de : violence Effectif de
sociodémographique 10 12 15 18 22 sexuelle femmes
Âge actuel
15–19 1,0 1,5 5,8 na na 89,4 755
20–24 2,3 2,7 5,9 7,9 na 84,3 864
25–29 3,7 4,4 6,6 8,6 10,4 82,2 743
30–39 2,3 2,8 4,8 6,6 9,0 84,1 1 061
40–49 1,5 2,5 3,7 5,4 6,3 86,4 740
État matrimonial
Célibataire 2,7 3,1 6,6 9,1 10,2 89,1 1 779
Non célibataire 1,8 2,5 4,4 6,5 10,0 82,3 2 384
Ensemble 2,2 2,8 5,3 7,6 10,1 85,2 4 163
na = non applicable
Pourcentage de femmes de 15–49 ans ayant subi des actes de violence sous
différentes formes par âge actuel, EDSG-III 2019–21
Violence Violence Violence Violence
physique sexuelle physique et physique ou Effectif de
Âge seulement seulement sexuelle sexuelle femmes
15–19 27,2 3,6 7,0 37,8 755
15–17 19,9 2,9 6,8 29,6 464
18–19 38,9 4,7 7,4 51,0 291
20–24 32,4 3,6 12,1 48,0 864
25–29 36,2 1,8 16,1 54,0 743
30–39 36,3 4,4 11,5 52,2 1 061
40–49 34,4 1,0 12,6 48,0 740
Ensemble 33,5 3,0 11,8 48,3 4 163
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non
pondérés.
Pourcentage de femmes de 15–49 ans non célibataires dont le mari/ partenaire a déjà manifesté certains comportements de contrôle, selon certaines caractéristiques
sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage de femmes dont le mari/partenaire :
Ne lui N’a
Est jaloux Ne lui Essaie de Insiste pour permet pas A manifesté manifesté
ou en colère L’accuse permet limiter ses savoir où de toucher Ne lui au moins 3 aucun
si elle parle fréquem- pas de contacts elle est à l’argent de permet L’empêche de ces de ces Effectif de
Caractéristique à un autre ment d’être rencontrer avec sa tout la popote pas de de sortir de comporte- comporte- femmes non
sociodémographique homme infidèle ses amies famille moment (ménage) travailler la maison ments ments célibataires
Âge
15–19 80,9 29,2 38,5 20,1 57,0 30,1 30,2 30,7 59,4 11,9 55
20–24 65,9 43,8 32,0 13,0 44,2 12,9 26,2 25,7 47,0 22,5 316
25–29 63,3 37,9 23,9 11,5 44,6 20,1 20,4 19,9 45,8 23,2 513
30–39 57,6 34,2 29,3 14,4 43,2 18,4 20,3 18,1 43,4 29,7 866
40–49 50,1 26,2 17,3 12,2 34,1 12,7 14,3 12,2 33,1 38,7 633
Religion
Catholique 59,7 39,3 24,4 13,9 41,1 15,3 16,6 16,9 45,4 30,1 712
Protestante 58,4 38,8 27,5 8,2 38,9 17,5 28,5 24,9 40,8 33,5 271
Église de réveil 62,8 34,1 27,0 14,7 45,4 18,4 19,9 17,1 42,4 23,5 935
Autre religion
chrétienne 62,3 33,7 24,9 22,6 51,6 17,8 15,0 17,9 49,6 26,5 84
Musulmane 39,8 10,1 21,7 9,3 23,4 14,0 21,9 14,8 27,7 44,1 240
Traditionnelle/
animiste (89,7) (71,4) (63,0) (29,6) (80,7) (9,8) (6,1) (29,7) (71,2) (9,3) 15
Autre religion (17,8) (14,7) (26,6) (0,2) (18,6) (26,3) (24,6) (0,0) (26,8) (56,2) 22
Sans religion/
aucune 55,8 39,2 19,0 9,0 49,7 15,1 16,7 29,9 45,5 31,4 105
Résidence
Port Gentil/
Libreville 59,7 33,7 23,1 11,8 39,9 16,1 20,4 15,2 41,0 26,0 1 344
Autres villes 55,3 32,6 28,4 14,3 42,5 17,3 18,8 21,7 41,9 35,6 820
Ensemble urbain 58,0 33,3 25,1 12,7 40,9 16,6 19,8 17,6 41,3 29,6 2 163
Rural 62,7 41,2 30,0 17,5 47,9 19,2 19,3 23,7 49,1 26,8 220
Province
Libreville 57,3 34,3 23,4 11,8 39,1 17,7 22,6 16,1 41,9 27,2 1 074
Port-Gentil 69,3 31,5 21,6 11,4 43,3 9,9 11,4 11,5 37,0 21,2 269
Estuaire (sans
Libreville) 49,6 26,8 30,0 15,7 39,2 24,6 26,2 18,2 40,9 37,7 294
Haut-Ogooué 52,4 31,8 21,6 5,8 37,3 7,2 11,4 19,1 34,3 40,9 190
Moyen-Ogooué 57,0 32,9 21,1 16,0 35,2 6,9 12,2 18,6 36,4 38,7 77
Ngounié 60,2 39,6 30,5 19,5 51,2 18,0 21,4 29,7 51,9 30,9 104
Nyanga 63,1 35,9 40,4 13,6 50,8 38,2 24,9 20,7 54,1 24,1 45
Ogooué-Ivindo 69,6 58,7 23,5 18,8 50,3 12,0 10,5 19,8 52,0 19,7 52
Ogooué-Lolo 70,2 50,5 31,7 10,4 55,4 7,4 12,4 22,8 50,9 19,1 72
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 59,7 27,2 27,0 12,8 44,9 20,7 21,7 17,3 42,7 25,6 28
Woleu-Ntem 60,5 34,5 34,3 21,9 48,1 22,2 19,4 30,4 47,2 32,6 179
État matrimonial
Mariée or vivant
ensemble 57,6 31,4 25,3 13,6 40,8 16,5 19,6 17,4 40,8 29,3 1 922
Divorcée/séparée/
veuve 62,2 45,0 26,4 11,4 44,8 17,9 20,1 21,7 47,2 29,4 461
Nombre d’enfants
vivants
0 58,0 36,1 25,2 10,8 42,7 16,0 15,8 15,7 38,8 23,9 212
1–2 61,9 36,6 27,6 11,3 42,6 17,6 21,2 19,2 42,8 28,5 949
3–4 57,2 34,0 24,6 15,0 42,4 16,8 19,1 18,4 42,8 29,2 810
5+ 53,4 27,2 22,8 15,0 36,9 15,4 19,5 16,9 40,4 34,4 413
Emploi
Travaillait et payée
en argent 58,6 35,8 26,6 13,0 41,7 18,0 19,7 18,4 43,6 27,5 1 317
Travaillait mais pas
payée en argent 64,1 37,8 30,1 19,3 38,9 13,7 19,0 31,9 45,5 32,7 103
Ne travaillait pas 57,8 31,2 23,7 12,7 41,5 15,5 19,9 16,4 39,5 31,5 963
Niveau d’instruction
Aucun 41,2 20,8 22,3 11,5 26,5 19,0 20,8 14,0 31,1 50,0 177
Primaire 60,8 44,3 26,6 17,4 47,0 14,9 20,4 25,7 48,5 27,5 385
Secondaire 1er
cycle 62,4 37,1 25,4 13,7 43,8 17,4 19,3 20,0 46,1 24,9 1 068
Secondaire 2e cycle 62,7 30,2 28,9 9,3 42,9 18,5 20,5 13,7 42,8 24,5 403
Supérieur 47,8 24,5 22,4 12,0 34,8 14,2 18,8 11,8 27,2 40,0 352
À suivre…
Note : Le mari/partenaire se réfère au mari/partenaire actuel pour les femmes actuellement mariées/en union et au plus récent pour les femmes en rupture d’union. Les
valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
nd = non disponible
1
Se référer au mari/partenaire actuel pour les femmes actuellement mariées/en union et au mari/partenaire le plus récent pour les femmes en
rupture d’union.
Note : Le mari/partenaire se réfère au mari/partenaire actuel pour les femmes actuellement mariées/en union, et au mari/partenaire le plus récent pour les femmes en
rupture d’union. Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
Pourcentage de femmes de 15–49 ans non célibataires qui ont subi des actes de violence émotionnelle, physique ou sexuelle commis par leur mari/partenaire actuel ou
par le plus récent, selon certaines caractéristiques du conjoint et les indicateurs du pouvoir d’action des femmes, EDSG-III 2019–21
Physique et Physique ou Effectif de
Caractéristique Violence Violence Violence Physique et sexuelle et Physique ou sexuelle ou femmes non
sociodémographique émotionnelle physique sexuelle sexuelle émotionnelle sexuelle émotionnelle célibataires
Niveau d’instruction
du mari/partenaire1
Aucun 17,1 19,9 10,4 4,3 3,9 26,0 30,7 180
Primaire 29,2 33,8 7,1 6,1 5,6 34,8 45,7 113
Secondaire 37,8 40,4 12,2 8,7 7,8 43,9 52,3 855
Supérieur 29,9 22,4 5,9 3,9 2,8 24,3 37,4 450
Ne sait pas/
Manquant 32,2 34,8 9,3 8,1 6,8 36,0 44,5 324
Consommation
d’alcool du mari/
partenaire
Ne boit pas d’alcool 18,3 22,6 5,8 3,2 2,1 25,1 30,8 1 136
Boit de l’alcool mais
n’est jamais ivre 27,0 26,0 5,8 5,6 4,7 26,2 41,8 136
Est parfois ivre 46,6 42,0 13,6 10,8 9,9 44,8 60,1 752
Est souvent ivre 59,3 58,0 21,5 19,6 19,4 59,9 68,1 360
Écart de niveau
d’instruction entre
conjoint1
Mari/partenaire plus
instruit 36,8 37,0 10,4 7,6 6,8 39,8 49,8 877
Femme plus instruite 31,7 28,5 10,0 6,4 5,5 32,1 43,3 367
Les deux ont le
même niveau 24,7 29,6 7,1 4,9 3,8 31,8 38,6 260
Ni l’un, ni l’autre
instruit 13,9 15,1 8,7 3,5 3,1 20,2 23,3 77
Ne sait pas/
Manquant 33,1 33,8 10,0 7,9 6,6 36,0 44,7 341
Écart d’âge entre
conjoint1
Femme plus âgée 29,1 29,8 8,2 2,9 2,5 35,1 43,6 115
La femme a le même
âge 31,3 34,0 6,2 4,9 4,9 35,3 40,5 67
Femme plus jeune de
1–4 ans 37,6 37,1 8,7 6,7 6,1 39,1 49,7 501
Femme plus jeune de
5–9 ans 31,0 34,4 11,6 10,1 7,8 35,9 43,3 542
Femme plus jeune
d’au moins 10 ans 30,9 29,2 9,7 5,4 5,1 33,4 43,8 698
Nombre de
comportements de
contrôle exercés
par le mari/
partenaire2
0 12,5 13,7 4,2 3,9 3,4 13,9 19,4 738
1–2 27,6 27,7 4,0 2,2 2,0 29,4 40,6 701
3–4 48,2 47,0 17,5 12,6 10,4 51,9 65,3 613
5 68,5 70,4 26,2 22,3 21,7 74,2 83,2 332
Nombre de décisions
auxquelles la
femme a participé3
0 25,8 23,4 9,3 6,6 6,2 26,1 35,4 224
1–2 39,8 37,3 13,2 9,1 8,6 41,4 53,5 545
3 30,5 32,7 8,2 5,9 4,7 35,0 43,0 1 153
Nombre de raisons
justifiant qu’un
homme batte sa
femme4
0 31,2 30,8 9,3 7,7 7,1 32,4 41,9 1 688
1–2 42,5 44,8 16,4 10,7 8,8 50,5 61,3 507
3–4 36,9 38,7 6,5 5,9 5,0 39,4 47,9 155
5 26,0 28,0 7,4 7,4 7,4 28,0 32,0 34
Le père de l’enquêtée
battait sa mère
Oui 46,3 46,3 15,0 11,0 9,4 50,3 63,0 602
Non 28,7 28,3 8,5 6,6 5,9 30,2 38,3 1 507
Ne sait pas/
manquant 35,0 40,4 12,6 11,0 10,6 42,0 53,4 275
À suivre…
Note : Le mari/partenaire se réfère au mari/partenaire actuel pour les femmes actuellement mariées/en union et au mari/partenaire le plus récent pour les femmes en
rupture d’union.
1
Comprend seulement les femmes actuellement mariées/en union
2
Selon la déclaration de la femme. Se reporter au 16.8 pour la liste des comportements.
3
Selon la déclaration de la femme. Comprend seulement les femmes actuellement mariées/en union. Se reporter au Tableau 15.11.1 pour la liste des décisions.
4
Selon la déclaration de la femme. Se reporter au Tableau 15.12.1 pour la liste des raisons.
Tableau 16.12 Violence commise par un mari/partenaire au cours des 12 derniers mois
Pourcentage de femmes de 15–49 ans non célibataires qui ont subi des actes de violence émotionnelle, physique ou sexuelle commis par un mari/partenaire au cours des
12 derniers mois, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Physique et Physique ou Effectif de
Caractéristique Violence Violence Violence Physique et sexuelle et Physique ou sexuelle ou femmes non
sociodémographique émotionnelle physique sexuelle sexuelle émotionnelle sexuelle émotionnelle célibataires
Âge
15–19 29,1 38,5 15,7 13,1 13,1 41,1 44,9 55
20–24 33,5 34,6 14,1 10,9 10,7 37,8 44,4 316
25–29 25,6 20,9 8,8 5,3 4,0 24,5 32,8 513
30–39 24,2 19,0 7,8 4,2 4,0 22,6 30,9 866
40–49 18,0 13,3 5,2 3,5 1,9 15,0 24,1 633
Résidence
Port Gentil/Libreville 24,8 19,8 8,5 4,5 3,7 23,8 32,4 1 344
Autres villes 21,4 19,6 8,0 6,3 5,4 21,3 28,4 820
Ensemble urbain 23,5 19,7 8,3 5,1 4,3 22,9 30,9 2 163
Rural 30,9 27,3 8,8 7,1 6,2 29,0 39,0 220
Province
Libreville 25,7 20,7 9,1 4,4 3,4 25,4 33,4 1 074
Port-Gentil 21,3 16,3 6,1 4,8 4,8 17,6 28,2 269
Estuaire (sans
Libreville) 15,8 18,2 8,3 5,4 3,5 21,1 27,1 294
Haut-Ogooué 20,9 15,3 7,0 6,1 5,4 16,3 24,8 190
Moyen-Ogooué 16,1 15,5 5,0 5,0 4,8 15,5 19,6 77
Ngounié 29,5 23,7 8,7 6,9 6,7 25,5 34,4 104
Nyanga 24,8 22,9 8,8 6,8 6,8 24,8 29,1 45
Ogooué-Ivindo 21,7 21,2 6,6 2,3 1,9 25,6 32,8 52
Ogooué-Lolo 31,2 26,3 7,4 4,9 3,9 28,8 38,6 72
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 17,8 19,7 5,1 3,7 2,5 21,2 25,7 28
Woleu-Ntem 36,2 31,0 11,2 11,0 10,7 31,2 42,6 179
Niveau d’instruction
Aucun 10,8 12,0 8,5 3,7 3,7 16,8 18,7 177
Primaire 28,3 22,2 5,1 4,1 3,3 23,2 34,4 385
Secondaire 1er cycle 27,0 24,2 9,4 5,5 5,0 28,1 35,6 1 068
Secondaire 2e cycle 22,4 17,2 8,7 5,0 3,0 21,0 31,0 403
Supérieur 19,9 14,8 8,1 7,2 6,6 15,7 23,9 352
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 32,2 26,5 7,9 6,4 6,1 28,1 39,1 410
Second 27,6 19,9 10,6 6,0 4,3 24,5 34,5 471
Moyen 22,3 24,7 7,0 4,3 4,2 27,4 31,2 494
Quatrième 20,3 17,8 10,0 6,6 5,5 21,2 28,7 522
Le plus élevé 20,3 14,2 6,1 3,4 2,7 16,8 26,0 486
Ensemble 24,2 20,4 8,4 5,3 4,5 23,4 31,6 2 384
Note : Un mari/partenaire comprend tous les maris/partenaires actuels ainsi que les maris/partenaires précédents et les plus récents.
Parmi les femmes de 15–49 ans actuellement en union et qui n’ont été en union qu’une seule fois, pourcentage ayant subi leur
premier acte de violence physique ou sexuelle commis par leur mari/partenaire actuel par nombre exact d’années écoulées
depuis le début de l’union et selon la durée de l’union, EDSG-III 2019–21
Effectif de
Pourcentage femmes
n’ayant pas actuellement
Pourcentage ayant subi leur premier acte de violence conjugale,
subi d’actes de en union et qui
physique ou sexuelle, par nombre exact d’années écoulées
violence n’ont été en
depuis le début de l’union
sexuelle ou union qu’une
Années depuis l’union Avant l’union 2 ans 5 ans 10 ans physique seule fois
<2 6,2 na na na 67,4 199
2–4 4,0 22,8 na na 70,7 340
5–9 4,1 20,6 31,6 na 66,3 380
10+ 6,9 21,7 31,0 35,0 63,8 682
Ensemble 5,5 22,3 31,5 34,6 66,3 1 601
na = non applicable
Parmi les femmes de 15–49 ans non célibataires qui ont subi des actes de violence commis par leur mari/partenaire actuel ou
par le plus récent, pourcentage ayant déclaré différents types de blessures résultant d’un/des actes de violence commis par leur
mari/partenaire, par type de blessure, selon la forme de la violence, EDSG-III 2019–21
Effectif de
femmes non
Blessures célibataires qui
profondes, os ont subi des
Hématomes à cassés, dents actes de
Coupures, l’œil, foulures, cassées ou violence
hématomes ou luxations ou autres blessures Une de ces physique ou
Forme de violence meurtrissures brûlures graves blessures sexuelle
Violence physique1
À un moment quelconque2 34,3 22,9 4,3 35,8 816
Au cours des 12 derniers mois 45,4 32,9 5,8 47,7 485
Violence sexuelle1
À un moment quelconque2 50,0 34,8 11,3 51,9 253
Au cours des 12 derniers mois 49,4 37,0 11,5 51,6 199
Violence physique ou sexuelle1
À un moment quelconque2 32,4 21,4 4,1 33,9 874
Au cours des 12 derniers mois 40,4 28,9 5,0 42,5 557
Note : Le mari/partenaire se réfère au mari/partenaire le plus récent pour les femmes actuellement mariées/en union et au plus
récent pour les femmes en rupture d’union.
1
Non compris les femmes qui ont déclaré avoir subi des actes de violence uniquement en réponse à la question directe sur la
violence pendant une grossesse.
2
Y compris au cours des 12 derniers mois.
À suivre…
Note : Le mari/partenaire se réfère au mari/partenaire actuel pour les femmes actuellement mariées/en
union et au mari/partenaire le plus récent pour les femmes en rupture d’union.
1
Y compris au cours des 12 derniers mois
2
Comprend seulement les femmes actuellement en union
3
Selon la déclaration de la femme. Se reporter au Tableau 16.8 pour la liste des comportements.
4
Selon la déclaration de la femme. Comprend seulement les femmes actuellement en union. Se reporter au
Tableau 15.11.1 pour la liste des décisions.
5
Selon la déclaration de la femme. Se reporter au Tableau 15.12.1 pour la liste des raisons.
À suivre…
Note : Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
Tableau 16.18 Sources/personnes auprès desquelles l’aide pour arrêter la violence a été
recherchée
Pourcentage de femmes de 15–49 ans qui ont subi des actes de violence physique ou sexuelle et qui ont
recherché de l’aide par source/personne auprès de qui elles ont recherché l’aide, selon le type de violence
déclarée par les femmes, EDSG-III 2019–21
Type de violence Violence
Physique Sexuelle Physique et physique ou
Source/personne seulement seulement sexuelle sexuelle
Sa propre famille 55,3 90,6 64,5 61,9
Famille du mari/partenaire 13,5 1,8 16,8 13,6
Mari/partenaire 1,8 0,0 1,1 1,4
Petit ami 0,3 0,0 2,4 1,0
Ami 10,9 17,7 17,7 14,0
Voisin 13,2 0,0 8,5 10,3
Responsable religieux 2,0 0,0 10,3 4,8
Enseignant 1,3 0,3 0,1 0,7
Médecin/personnel médical 3,1 1,6 0,5 2,0
Force de l’ordre 12,9 5,6 3,8 9,0
Homme de loi 1,8 0,0 2,1 1,7
Service/centre social/cellule d’écoute 3,3 0,0 1,3 2,3
Autre 2,9 0,4 9,8 5,2
Effectif de femmes ayant recherché de l’aide 313 54 205 572
Note : Les femmes peuvent déclarer plus d’une source/personne auprès de qui elles ont recherché de
l’aide.
L
es indicateurs de mortalité adulte et de mortalité maternelle peuvent être utilisés pour évaluer l’état
de santé d’une population. L’estimation de ces taux de mortalité exige la déclaration complète et
exacte des décès d’adultes et de décès maternels. Ces estimations pourraient être obtenues grâce à
l’état civil. Mais cette source d’information étant incomplète au Gabon, le module de mortalité maternelle
inclus dans l’EDSG-III a permis de collecter les données nécessaires à l’estimation de ces indicateurs.
Ce chapitre présente les résultats basés sur les données recueillies sur l’historique des frères et sœurs des
enquêtées dans le module de mortalité maternelle du questionnaire individuel femme de l’EDSG-III. En
plus des taux de mortalité des femmes et des hommes de 15–49 ans par groupe d’âges quinquennaux, ce
chapitre présente une mesure résumée de la mortalité adulte (35q15) qui correspond à la probabilité de
décéder entre les âges exacts 15 et 50.
Le terme “mortalité maternelle” utilisé dans ce chapitre (et dans l’EDS précédente), correspond à la notion
de “mortalité liée à la grossesse” telle que définie dans la dernière Classification Internationale des
Maladies (CIM-10). Selon la CIM-10, un décès lié à la grossesse est défini comme étant le décès d’une
femme pendant la grossesse, pendant l’accouchement ou dans les 42 jours suivant la fin de la grossesse,
quelle que soit la cause du décès (OMS, 2004). Conformément à cette définition, le module de survie des
frères et sœurs utilisé dans les EDS ne collecte des informations que sur le moment où le décès s’est
produit et non sur la cause du décès.
17.1 DONNÉES
Au cours de l’EDSG-III, pour obtenir l’historique des frères et sœurs, l’enquêtrice a d’abord demandé à
chaque femme interrogée la liste de tous les enfants nés de sa mère biologique. L’enquêtrice demandait
ensuite si chacun de ces frères et sœurs était toujours vivant. Elle demandait ensuite l’âge actuel de chaque
frère et sœur vivant et, pour les frères et sœurs décédés, l’âge au décès et le nombre d’années écoulées
depuis le décès. Quand une enquêtée ne pouvait pas fournir des informations précises sur l’âge au moment
du décès et/ou sur le nombre d’années écoulées depuis le décès, une réponse approximative était acceptée.
▪ “[NOM DE LA SŒUR] était-elle enceinte quand elle est décédée ?” Dans le cas d’une réponse
négative, on demandait alors :
▪ “Est-ce que [NOM DE LA SŒUR] est décédée durant un accouchement ?” Dans le cas d’une réponse
négative à cette deuxième question, on demandait ensuite :
▪ “Est-ce que [NOM DE LA SŒUR] est décédée dans les deux mois qui ont suivi la fin d’une grossesse
ou d’un accouchement ?” Dans le cas d’une réponse affirmative à cette troisième question, on
demandait ensuite :
Ces questions sont structurées pour encourager l’enquêtée à déclarer tout décès lié à une grossesse, quelle
qu’en soit l’issue, tous ces décès étant considérés comme des décès maternels.
La mortalité maternelle n’est qu’une composante de la mortalité des adultes dont les niveaux peuvent être
estimés à partir des données collectées lors de l’EDSG-III et dont la connaissance est importante du point
de vue des programmes de santé. En outre, évaluer la
vraisemblance et la fiabilité des estimations de la Graphique 17.1 Taux de mortalité adulte
mortalité des adultes constitue une première étape par âge
nécessaire avant d’évaluer la qualité. Décès pour 1 000 personnes
12
L’estimation directe de la mortalité adulte utilise les
10
âges déclarés au décès et le nombre d’années
écoulées depuis le décès des frères et sœurs des 8
enquêtées. Étant donné que les risques d’exposition Femme
6
au décès varient selon l’âge et le sexe, les taux de
mortalité adulte sont présentés par groupe d’âges 4 Homme
quinquennaux et par sexe. Le Tableau 17.1 et le 2
Graphique 17.1 présentent les taux de mortalité par
âge pour les femmes et pour les hommes de 15–49 0
15–19 20–24 25–29 30–34 35–39 40–44 45–49
ans pour la période 7 ans avant l’enquête.
Âge (en années)
▪ Dans l’ensemble, le niveau de la mortalité adulte est plus élevé parmi les femmes (3,4 décès pour
1 000 individus) que parmi les hommes (3,1 décès pour 1 000 individus).
▪ Les niveaux de mortalités augmentent rapidement avec l’âge, aussi bien, chez les femmes que
chez les hommes. Ils sont beaucoup plus faibles parmi les jeunes femmes de 15–19 ans et 20–24
ans que chez les hommes (respectivement 1,02 ‰ et 1,12 ‰ contre 1,56 ‰ et 1,41 ‰). Par
contre, la tendance s’inverse dans le groupe d’âges 25–29 ans ou les taux sont de 2,97 ‰ parmi
les femmes contre 1,90 ‰ parmi les hommes et dans les groupes d’âges 40–44 ans et 45–49 ans
où les niveaux de mortalité des femmes sont nettement supérieurs à ceux des hommes
(Graphique 17.1).
Les décès maternels sont un sous-ensemble de tous les décès de femmes ; ils désignent les décès qui se
produisent pendant la grossesse ou l’accouchement ou dans les 42 jours qui suivent l’accouchement ou la
fin de la grossesse ; les décès maternels n’incluent pas les décès dus à un accident ou un acte de violence.
Deux méthodes sont généralement utilisées pour estimer la mortalité maternelle dans les pays en
développement : la méthode indirecte des sœurs (Graham et al. 1989) et une variante directe de la méthode
des sœurs (Rutenberg et Sullivan 1991 ; Stanton et al. 1997).
Le Tableau 17.3 présente les estimations directes des taux de mortalité maternelle basés sur la survie
déclarée des sœurs pour la période de sept ans ayant précédé l’EDSG-III 2019–21. Les taux ont été
Au Gabon, le taux de mortalité maternelle est estimé de 0,51 décès maternels pour 1 000 femmes-années
d’exposition. Les résultats par groupe d’âges quinquennaux montrent que c’est dans les groupes d’âges
40–44 ans et 35–39 ans que le taux de mortalité maternelle est le plus élevé (1,07 ‰ et 0,69 ‰) ; c’est à
15–19 ans qu’il est le plus faible (0,07 ‰). Le pourcentage de décès de femmes qui sont maternels est
estimé à 16 %. Ce pourcentage de décès varie de 5 % parmi les femmes de 45–49 ans à 49 % parmi celles
de 20–24 ans. Cependant, étant donné que le nombre total de décès maternels parmi les femmes en âge de
reproduction est relativement peu important (55), il convient d’interpréter avec prudence les variations
par âge.
Le rapport de mortalité maternelle (RMM) est estimé à 399 décès pour 100 000 naissances vivantes pour la
période des 7 années avant l’enquête (Tableau 17.4). En d’autres termes, au Gabon, pour 1000 naissances
vivantes, près de quatre femmes sont décédées durant la grossesse, pendant l’accouchement ou dans les 42
jours qui ont suivi l’accouchement, pour des causes autres que des accidents ou des actes de violence. En
raison du faible nombre de décès maternels (55), l’intervalle de confiance dans lequel se situe cette valeur,
compris entre 232 et 567, est grand et il convient d’interpréter avec prudence le résultat.
Le risque de décès maternel sur la durée est estimé à 0,016 ; en d’autres termes, au Gabon, environ 1,6 %
des femmes décèderaient de causes maternelles durant leur vie reproductive si les conditions de fécondité
et de mortalité restaient inchangées (c’est-à-dire un risque sur la durée de vie d’environ 1 sur 60).
Pour comparer avec les estimations des enquêtes EDS précédentes, l’EDSG-III 2019–21 définit un décès
lié à la grossesse comme le décès d’une femme pendant la grossesse ou l’accouchement ou qui se produit
dans les deux mois qui suivent l’accouchement ou la fin de la grossesse, quelle que soit la cause du décès.
Les estimations de la mortalité liée à la grossesse sont donc basées seulement sur le moment où s’est
Le Graphique 17.2 présente les Graphique 17.2 Tendances du Rapport de Mortalité lié
estimations du rapport de mortalité à la Grossesse (RMG) avec intervalle de confiance
lié à la grossesse avec les Décès de femmes dont les causes sont liées à la
intervalles de confiance pour les 7 grossesse pour 100 000 naissances vivantes
ans précédant les enquêtes EDSG-I 800
2000, EDSG-II 2012 et EDSG-III 700
710
2019–21 (cf. Tableau C8 en 608
600
Annexe C). Le rapport de mortalité 500 519 454
435
lié à la grossesse est passé de 519 400
300 316
décès pour 100 000 naissances 327
262
200
vivantes au cours des 7 années 178
100
ayant précédé l’EDSG-I 2000 à 316 0
décès pour 100 000 naissances 1993– 2005–12 2012–14 –
vivantes au cours des 7 années 2000 2019–21
précédé l’EDSG-II 2012, puis à 435 (7 ans avant (7 ans avant (7 ans avant
décès pour 100 000 naissances l’EDSG-I 2000) l’EDSG-II 2012) l’EDSG-III 2019–21)
vivantes au cours des sept années
ayant précédé l’EDSG-III 2019–21. Le graphique montre une tendance à la baisse significative du RMG
entre la première et la deuxième enquête. Cependant, il semble que cette tendance à la baisse ne se soit pas
poursuivie, les niveaux des estimations entre l’enquête précédente et l’enquête actuelle étant relativement
proches avec des intervalles de confiance qui se chevauchent presque. Un constat qui semblerait indiquer
qu’il n’y a pas eu d’amélioration notable depuis la dernière enquête.
Estimation directe des taux de mortalité des femmes et des hommes, par
groupe d’âges quinquennaux, pour la période de 7 ans précédant l’enquête,
EDSG-III 2019–21
Année Taux
Âge Décès d’exposition de mortalité1
FEMME
15–19 19 18 224 1,02
20–24 25 22 121 1,12
25–29 64 21 659 2,97
30–34 41 19 379 2,14
35–39 61 14 031 4,37
40–44 69 8 878 7,80
45–49 54 5 280 10,20
Ensemble 15–49 334 109 571 3,40a
HOMME
15–19 27 17 454 1,56
20–24 29 20 587 1,41
25–29 39 20 741 1,90
30–34 55 18 018 3,07
35–39 61 13 910 4,40
40–44 52 9 160 5,70
45–49 46 5 729 7,94
Ensemble 15–49 310 105 599 3,10a
1
Exprimé pour 1 000
a
Taux ajusté par âge
Probabilité de décéder entre les âges 15–50 pour les femmes et pour les hommes
pour la période de 7 ans précédant l’enquête, EDSG-III 2019–21
Femme Homme
1 1
Enquête 35q15 35q15
1
Probabilité de décéder entre les âges exacts 15 et 50, exprimé pour 1 000
personnes à l’âge de 15
Estimations directes des taux de mortalité maternelle par groupe d’âges quinquennaux
pour la période de 7 ans précédant l’enquête, EDSG-III 2019–21
Pourcentage
de décès de Taux de
femmes qui Décès Années mortalité
Âge sont maternels maternels1 d’exposition maternelle2
15–19 6,4 1 18 224 0,07
20–24 48,7 12 22 121 0,55
25–29 15,5 10 21 659 0,46
30–34 23,7 10 19 379 0,51
35–39 15,8 10 14 031 0,69
40–44 13,8 10 8 878 1,07
45–49 4,6 2 5 280 0,46
Ensemble 15–49 16,4 55 109 571 0,51a
1
Est considéré comme un décès maternel, le décès d’une femme qui se produit
pendant la grossesse ou dans les 42 jours qui suivent la fin de grossesse, quelle qu’en
soit la cause, excepté les accidents ou les actes de violence.
2
Exprimé pour 1 000 femmes années d’exposition
a
Taux ajusté par âge
IC : Intervalles de confiance
1
Taux ajusté par âge exprimé pour 1 000 femmes de 15–49 ans.
2
Exprimé pour 100 000 naissances vivantes ; calculé comme suit [Taux de mortalité
maternelle ajusté par âge (présenté au Tableau 17.3) x 100 / TGFG ajusté par âge
3
Calculé à partir de la formule suivante : 1-(1-MMR)ISF où l’ISF est l’indice synthétique de
fécondité pour la période de 7 ans précédant l’enquête
L
a convention internationale des Nations Unies du 20 novembre 1989, relative aux Droits de
l’Enfant (CDE) ratifiée par le Gabon, lui confère au même titre que d’autres parties prenantes, le
devoir de veiller à ce que tout enfant ait le droit d’être enregistré à l’état-civil, d’être nourri, soigné
et éduqué. À cet effet, elle stipule dans l’une de ces dispositions que : “Tous les États parties s’engagent à
assurer à l’enfant la protection et les soins nécessaires à son bien-être, compte tenu des droits et des devoirs
de ses parents, de ses tuteurs ou des autres personnes légalement responsables de lui, et ils prennent à cette
fin toutes les mesures législatives et administratives appropriées”.
Au cours de l’EDSG-III 2019–21, les informations collectées ont permis de calculer différents indicateurs
qui permettent d’évaluer la situation des jeunes enfants au Gabon. Ces indicateurs concernent plus
précisément : l’état de survie des parents biologiques, l’enregistrement à l’état-civil des naissances
d’enfants de moins de 5 ans, la discipline des enfants et le travail des enfants de 5–17 ans.
Le Tableau 18.1 présente ces informations pour les enfants de moins de 18 ans, selon certaines
caractéristiques sociodémographiques. Globalement, 16 % des enfants de moins de 18 ans ne vivent pas
avec leurs parents biologiques que ceux-ci soient en vie ou décédés et 6 % sont orphelins de père et/ou de
mère.
Tendances : La proportion d’enfants de moins de 18 ans ne vivant avec aucun parent biologique a diminué
entre 2012 et 2019–21, passant de 19 % à 16 %.
Le pourcentage d’enfants ne vivant avec aucun parent biologique augmente avec l’âge, passant de
9 % à 0–4 ans à 26 % à 15–17 ans.
Le pourcentage d’enfants orphelins d’au moins un parent biologique augmente avec l’âge, passant
de 3 % à 0–4 ans à 14 % à 15–17 ans.
Le pourcentage d’enfants ne vivant avec aucun parent biologique varie selon le sexe de l’enfant.
Il est légèrement plus élevé chez les filles que chez les garçons (17 % contre 15 %).
Du quintile le plus bas au plus élevé, le Le plus Second Moyen Quatrième Le plus
pourcentage d’enfants qui ne vivent avec bas élevé
aucun parent diminue, passant de 20 % à 13 % Le plus pauvre Le plus riche
(Graphique 18.1).
Les résultats du Tableau 18.2 montrent que plus Graphique 18.2 Enregistrement des
de 9 enfants de moins de 5 ans sur dix (96 %) ont naissances d’enfants de moins de 5 ans
été enregistrés à l’état civil. Parmi ces enfants, auprès des autorités civiles : tendances
seulement 7 % ne possèdent pas un acte de Pourcentage d’enfants de moins de 5 ans
naissance ou un jugement supplétif d’acte de
Naissances Ont un N’ont pas
naissance.
enregistrées acte de d’acte de
naissance naissance
Tendances : Entre 2012 et 2019–21, la proportion
96
d’enfants de moins de 5 ans dont la naissance a été 90 89
enregistrée a augmenté passant de 90 % à 96 % 72
(Graphique 18.2).
Le pourcentage d’enfants de moins de 5 ans enregistrés à l’état civil est très élevé dans toutes les
provinces. En effet, dans chaque province, plus de neuf enfants sur dix ont été enregistrés à l’état
civil (Carte 18.1).
Agression psychologique
Entrent dans cette catégorie, un ou plusieurs comportements suivants :
Crier ou hurler sur l’enfant ;
Traiter l’enfant d’idiot, de paresseux ou d’un terme similaire.
Échantillon : Enfants de 1–14 ans (population de droit)
Châtiments corporels
Entrent dans cette catégorie, un ou plusieurs comportements suivants :
Secouer l’enfant ;
Frapper l’enfant, le taper sur les fesses à mains nues ;
Frapper l’enfant sur les fesses ou sur d’autres endroits du corps avec
quelque chose comme une ceinture, une brosse à cheveux, un bâton ou un
objet similaire dur ;
Frapper ou gifler l’enfant sur le visage, la tête ou les oreilles ;
Frapper ou taper sur les mains, les bras ou les jambes ;
Frapper encore et encore aussi fort que possible.
Échantillon : Enfants de 1–14 ans (population de droit)
Les résultats montrent qu’au Gabon plus de quatre enfants de 1–14 ans sur cinq (81 %) ont subi une
forme de discipline violente. Parmi les enfants de 1–14 ans, plus de sept sur dix (72 %) ont subi une
agression psychologique ; près de sept enfants sur dix (66 %) n’importe quelle forme de châtiment
corporel et plus d’un enfant sur cinq (21 %), un châtiment corporel très violent.
Le pourcentage d’enfants de 1–14 ans ayant, subi n’importe quelle forme de discipline violente,
augmente avec l’âge, passant de 72 % à 1–2 ans à 86 % à 5–9 ans. Dans le groupe d’âges 10–14
ans, 80 % d’enfants sont concernés.
L’utilisation de sanctions non violentes à l’égard des enfants de 1 à 14 ans est plus fréquente dans
la province de l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) (16 %) et dans le Moyen Ogooué (15 %).
Par contre, cette pratique éducative est moins courante dans les provinces du Woleu-Ntem (5 %)
et de l’Ogooué-Lolo (7 %). Dans ces deux provinces, la grande majorité des enfants de 1–14 ans
ont, surtout, subi n’importe quelle forme de discipline violente (88 %).
Les variations selon le quintile de bien-être économique montrent une tendance à la baisse du
pourcentage d’enfants ayant subi n’importe quelle forme de discipline violente au fur et à mesure
que le statut socioéconomique augmente, le pourcentage passant de 84 % dans les deux premiers
quintiles à 75 % dans le plus élevé.
Près d’une personne adulte sur trois (30 %) ayant répondu au module sur la discipline des enfants
pense que l’enfant a besoin de punition physique. On constate que cette opinion est plus fréquemment
répandue dans la Nyanga (39 %) et Port-Gentil (38 %), contrairement au Woleu-Ntem où le
pourcentage d’adultes partageant cette opinion est faible (25 %). En fonction du niveau de bien-être
économique du ménage, on note que la proportion de personnes qui pensent que les châtiments
corporels sont nécessaires pour éduquer les enfants diminue avec l’élévation du statut économique
comme le montre la baisse du pourcentage du quintile le plus bas (35 %) au plus élevé (27 %)
(Tableau 18.4).
Prévoyant des peines ou autres sanctions appropriées pour assurer l’application effective du
présent article.
Néanmoins, les enfants, dans le monde sont régulièrement engagés dans des formes rémunérées et non-
rémunérées de travail. Au cours de l’EDSG-III 2019–21, une série de questions a été posée pour
collecter les informations sur l’implication des enfants dans les activités domestiques et
économiques. Le module développé par l’UNICEF dans les enquêtes MICS a été intégré dans cette
enquête.
Au Gabon, près d’un enfant sur huit de 5 à 17 ans (12 %) ont été impliqués dans le travail des enfants au
cours de la semaine ayant précédé l’interview, c’est-à-dire qu’ils ont participé à des activités
économiques ou à des travaux domestiques à la limite ou au-dessus du nombre d’heures fixé pour leur
groupe d’âges (Tableau 18.7).
Les enfants des provinces Woleu-Ntem et Graphique 18.5 Ensemble du travail des
Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil) (19 %) enfants par quintile de bien-être
sont plus impliqués dans le travail des enfants économique du ménage
que ceux du Haut-Ogooué (6 %). Pourcentage d’enfants de 5–17 ans
Parmi les enfants de 12–14 ans, 2 % ont été impliqués dans une activité économique pendant
quatorze heures ou plus. Cependant, en milieu rural (3 %), dans la province du Woleu-Ntem
(5 %), parmi les enfants qui fréquentent l’école (2 %), ceux dont la mère a le niveau primaire
(3 %) et parmi ceux des ménages appartenant au quatrième quintile de bien-être économique
(5 %), ce pourcentage est plus élevé.
Parmi les enfants de 15–17 ans, 1 % a été impliqué dans une activité économique pendant 43
heures ou plus pendant la semaine avant l’interview avec un pourcentage élevé en milieu rural
(2 %), dans la province de l’Ogooué-Ivindo (3 %), parmi ceux qui ne fréquentent pas l’école
(6 %) et parmi ceux qui vivent dans les ménages du quintile le plus bas (5 %).
Le Tableau 18.6 présente les proportions d’enfants qui ont participé à des tâches domestiques durant la
semaine qui a précédé l’interview. Ces résultats sont aussi présentés différemment pour les enfants de 5–11
ans et 12–14 ans.
Près de sept enfants de 5–11 ans sur dix (66 %) ont effectué des tâches domestiques pendant
moins de 21 heures dans la semaine ayant précédé l’enquête et 7 % en ont effectué pendant 21
heures ou plus.
On constate que la proportion des enfants qui ont effectué des tâches domestiques est plus élevée
en milieu urbain que rural (67 % contre 61 % pendant moins de 21 heures).
La participation, pendant moins de 21 heures, à des tâches domestiques est plus fréquente dans la
province de la Ngounié (75 %), parmi les enfants qui fréquentent l’école que parmi ceux qui ne la
fréquentent pas (67 % contre 56 %), parmi les enfants dont la mère a le niveau d’instruction
primaire (74 %). Le niveau de bien-être économique du ménage influence la participation des
enfants dans le travail domestique, celle-ci ayant tendance à diminuer avec l’amélioration du
niveau de bien-être, passant de 73 % dans le second quintile à 56 % dans le plus élevé.
Parmi les enfants de 12–14 ans, 74 % ont effectué des tâches domestiques pendant moins de 21
heures dans la semaine ayant précédé l’enquête et 16 % en ont effectué pendant 21 heures ou
plus. Les garçons ont été proportionnellement, un peu plus nombreux que les filles à effectuer des
tâches domestiques (75 % contre 73 % pour une durée de moins de 21 heures). Cependant, 17 %
de filles contre 14 % de garçons ont été mises à contribution pour ce type d’activité pendant 21
heures ou plus. Dans la Ngounié et l’Ogooué-Ivindo, plus de quatre enfants sur cinq
(respectivement, 84 % et 85 %) avaient effectué ce type de travail pendant moins de 21 heures.
Le Tableau 18.8 présente les proportions d’enfants de 5–17 ans ayant participé, la semaine avant
l’interview, à une activité économique ou des travaux domestiques au-dessus du seuil fixé pour leur groupe
d’âges, ainsi que le pourcentage d’enfants exposés à du travail dangereux, par type de travail.
Au Gabon, 15 % des enfants ont travaillé au-dessus du seuil fixé pour leur groupe d’âges, soit en
participant à des activités économiques, soit en effectuant des tâches domestiques, ou en faisant un travail
dangereux (Tableau 18.8).
Le pourcentage d’enfants ayant travaillé au-dessus du seuil fixé pour leur groupe d’âges ou dans
des conditions dangereuses est plus élevé en milieu rural qu’en milieu urbain (25 % contre 15 %).
Le pourcentage de garçons ayant travaillé dans des conditions inappropriées pour leur âge est plus
élevé que celui des filles (17 % contre 14 %).
Le pourcentage d’enfants ayant travaillé dans des conditions considérées comme étant
inappropriées pour leur âge ou dangereuses est plus élevé quand l’enfant ne fréquente pas l’école
(17 % contre 15 % quand il fréquente l’école).
Travailler dans des conditions considérées comme étant inappropriées pour leur âge ou
dangereuses est plus fréquent dans les ménages du quintile de bien-être économique le plus bas
que dans le plus élevé (23 % contre 13 %).
Tableau 18.1 Enfants orphelins et résidence des enfants avec les parents
Tableau 18.2 Enregistrement à l’état civil des naissances d’enfants de moins de 5 ans
Tableau 18.3 Discipline de l’enfant
Tableau 18.4 Opinion à propos de la discipline des enfants
Tableau 18.5 Implication des enfants de 5–17 ans dans l’activité économique
Tableau 18.6 Implication des enfants de 5–14 ans dans les travaux domestiques
Tableau 18.7 Travail des enfants
Tableau 18.8 Travail dangereux
Note : Le tableau est basé sur la population de droit des ménages, c’est-à-dire les résidents habituels.
1
Comprend les enfants dont le père est décédé, ceux dont la mère est décédée, ceux dont les deux parents sont décédés et ceux dont un parent est décédé et dont l’information sur l’état de survie de l’autre est manquante
Sexe
Masculin 89,8 5,9 0,1 95,7 3 489
Féminin 88,5 7,0 0,2 95,6 3 233
Résidence
Port Gentil/Libreville 90,8 5,2 0,2 96,2 3 551
Autres villes 88,1 7,3 0,0 95,5 2 492
Ensemble urbain 89,7 6,1 0,1 95,9 6 043
Rural 84,2 9,3 0,2 93,7 679
Province
Libreville 90,2 5,9 0,1 96,3 2 799
Port-Gentil 92,8 2,7 0,2 95,7 752
Estuaire (sans Libreville) 87,3 5,8 0,0 93,1 860
Haut-Ogooué 84,8 12,3 0,0 97,1 635
Moyen-Ogooué 90,9 4,3 0,0 95,2 235
Ngounié 86,2 11,0 0,6 97,7 303
Nyanga 89,7 1,5 0,0 91,2 134
Ogooué-Ivindo 87,8 6,0 0,1 93,9 201
Ogooué-Lolo 93,4 4,8 0,0 98,1 191
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 93,0 2,6 0,2 95,7 91
Woleu-Ntem 85,2 9,3 0,0 94,5 523
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 80,7 10,4 0,1 91,3 1 416
Second 87,9 7,1 0,0 95,0 1 466
Moyen 88,8 7,2 0,1 96,1 1 392
Quatrième 93,5 4,1 0,0 97,6 1 293
Le plus élevé 96,5 2,4 0,3 99,2 1 155
1
Les “sanctions non violentes” comprennent seulement une ou plusieurs des catégories suivantes : a) retirer des privilèges ; b) expliquer à l’enfant
pourquoi son comportement n’était pas correct ; c) donner quelque chose d’autre à faire, mais l’enfant n’a pas subi de châtiments corporels
2
Les “agressions psychologiques” comprennent seulement une ou plusieurs des catégories suivantes : a) On a crié ou hurlé sur l’enfant, b) on l’a
traité d’idiot, de paresseux ou on a utilisé d’autres termes identiques.
3
Les “châtiments corporels” comprennent une ou plusieurs des catégories suivantes : a) On a secoué l’enfant, b) on lui a donné une fessée, on
lui a tapé sur les fesses à mains nues, c) on l’a frappé sur une partie du corps avec un objet comme une ceinture, une brosse, un bâton ou un
autre objet dur, d) on l’a frappé sur le visage, la tête ou les oreilles, e) on l’a frappé sur les mains, les bras ou les jambes, f) on l’a frappé encore
et encore aussi fort que possible.
4
Les formes très violentes de “châtiments corporels” comprennent uniquement l’une ou les deux catégories suivantes : a) on a frappé ou giflé
l’enfant sur le visage, la tête ou les oreilles, b) on l’a battu, frappé encore et encore aussi fort que possible.
5
Toutes les formes d’agression psychologique et/ou de châtiments corporels
Note : Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas non pondérés et qu’elle
a été supprimée.
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25
cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
Pourcentage d’enfants de 5–14 ans impliqués dans les travaux domestiques au cours de la semaine avant l’interview, en fonction du groupe
d’âges, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage d’enfants de 5–11 Pourcentage d’enfants de 12–14
ans impliqués dans : ans impliqués dans :
Des tâches Des tâches Des tâches Des tâches
domestiques domestiques domestiques domestiques
Caractéristique pendant moins pendant 21 Effectif d’enfants pendant moins pendant 21 Effectif d’enfants
sociodémographique de 21 heures heures ou plus de 5–11 ans de 21 heures heures ou plus de 12–14 ans
Sexe de l’enfant
Masculin 67,0 6,3 942 75,1 14,1 301
Féminin 65,1 7,5 1 031 73,3 16,8 361
Résidence
Port Gentil/Libreville 70,2 7,0 1 082 75,1 16,2 345
Autres villes 60,9 6,1 705 72,7 14,8 248
Ensemble urbain 66,5 6,7 1 787 74,1 15,6 594
Rural 61,3 9,2 187 74,4 14,9 68
Province
Libreville 69,6 7,1 896 73,5 17,2 285
Port-Gentil 72,9 6,3 186 (82,3) (11,7) 61
Estuaire (sans Libreville) 61,8 5,3 255 76,3 16,2 84
Haut-Ogooué 65,5 1,6 180 81,4 11,7 49
Moyen-Ogooué 59,6 7,2 72 69,1 19,5 22
Ngounié 74,8 6,0 85 84,1 10,9 32
Nyanga 70,7 7,2 39 (79,9) (12,5) 15
Ogooué-Ivindo 67,0 8,5 44 84,8 8,1 23
Ogooué-Lolo 58,5 5,3 50 69,6 14,0 24
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 53,6 16,7 23 67,1 19,7 11
Woleu-Ntem 43,9 14,5 143 52,4 18,8 57
Fréquentation scolaire
Oui 66,8 7,0 1 834 74,5 15,9 647
Non 55,9 6,2 140 (57,4) (3,2) 15
Niveau d’instruction de la
mère
Aucun 73,0 3,2 133 (80,6) (18,8) 20
Primaire 74,2 5,7 201 80,8 12,1 81
Secondaire 1er cycle 64,2 7,3 1 193 69,9 18,4 294
Mère ne vit pas dans le
ménage 65,1 7,4 432 76,7 12,3 254
NSP/manquant * * 15 * * 14
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 70,7 6,7 343 74,0 18,4 125
Second 72,8 8,7 384 76,0 16,6 97
Moyen 70,6 7,8 413 83,1 11,7 128
Quatrième 61,8 8,6 418 68,3 20,0 154
Le plus élevé 55,6 2,9 415 71,4 11,5 158
Ensemble 66,0 6,9 1 974 74,1 15,6 662
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins
de 25 cas non pondérés et qu’elle a été supprimée.
Pourcentage d’enfants de 5–17 ans (population de droit) impliqués dans l’activité économique ou les travaux domestiques au
cours de la semaine avant l’interview, et pourcentage d’enfants de 5–17 ans (population de droit) impliqués dans le travail des
enfants au cours de la semaine avant l’interview, selon certaines caractéristiques sociodémographiques, EDSG-III 2019–21
Pourcentage d’enfants Enfants ayant participé à des
impliqués dans l’activité tâches domestiques pour un
économique pour un total nombre total d’heures au
nombre d’heures au cours de cours de la semaine avant
la semaine avant l’interview : l’interview :
À la limite ou À la limite ou
En dessous du au-dessus du En dessous du au-dessus du
seuil défini seuil défini seuil défini seuil défini Ensemble du Effectif
Caractéristique pour chaque pour chaque pour chaque pour chaque travail des d’enfants de
sociodémographique groupe d’âges groupe d’âges groupe d’âges groupe d’âges enfants1 5–17 ans
Groupe d’âges
5–11 2,6 7,8 66,0 6,9 13,8 1 974
12–14 16,7 2,1 74,1 15,6 16,1 662
15–17 17,8 1,2 na na 1,2 654
Sexe
Masculin 8,0 7,0 54,3 6,4 12,5 1 578
Féminin 8,9 3,9 54,7 8,1 11,1 1 712
Résidence
Port Gentil/Libreville 8,8 5,6 56,6 7,3 12,0 1 800
Autres villes 6,9 4,0 51,2 6,7 9,9 1 190
Ensemble urbain 8,1 4,9 54,5 7,1 11,2 2 990
Rural 11,9 9,8 55,2 9,1 17,8 299
Province
Libreville 9,6 6,2 56,2 7,6 12,7 1 482
Port-Gentil 5,5 2,6 58,4 5,9 8,5 318
Estuaire (sans Libreville) 6,9 2,5 51,5 6,3 8,6 430
Haut-Ogooué 4,1 3,0 55,7 3,0 6,0 284
Moyen-Ogooué 9,4 6,0 51,5 8,5 12,9 113
Ngounié 10,2 12,4 63,6 6,0 16,4 142
Nyanga 11,2 3,5 59,2 7,0 10,3 68
Ogooué-Ivindo 12,1 6,8 58,0 6,6 13,0 85
Ogooué-Lolo 6,2 2,0 51,1 6,7 8,7 90
Ogooué-Maritime (sans Port-
Gentil) 10,9 6,1 45,8 14,0 19,3 43
Woleu-Ntem 10,1 8,5 39,2 13,3 19,2 236
Fréquentation scolaire
Oui 8,4 5,2 55,8 7,5 11,8 3 058
Non 8,9 7,4 37,4 4,0 11,0 232
Niveau d’instruction de la
mère
Aucun 14,3 8,3 66,2 4,7 12,5 171
Primaire 6,1 7,0 60,0 5,9 11,9 357
Secondaire 1er cycle 7,8 5,0 57,1 8,3 12,8 1 703
Mère ne vit pas dans le
ménage 8,5 5,0 47,1 6,2 9,5 1 009
NSP/manquant (25,6) (4,3) (37,2) (13,0) (17,3) 50
Quintiles de bien-être
économique
Le plus bas 11,3 8,8 56,9 7,8 15,5 589
Second 7,2 4,4 58,4 8,2 12,0 606
Moyen 7,6 3,5 55,9 6,6 10,0 712
Quatrième 4,2 6,4 53,7 9,9 13,7 676
Le plus élevé 12,0 4,2 48,6 4,3 8,3 707
Ensemble 8,4 5,4 54,5 7,3 11,8 3 290
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
na = non applicable
1
Selon la définition de l’Unicef, sont inclus dans la définition, les enfants qui a) participent à des activités économiques à la limite
ou au-dessus du seuil défini pour leur groupe d’âges ou b) ceux qui participent à des tâches domestiques à la limite ou au-
dessus du seuil défini pour leur groupe d’âges.
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés.
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Références • 401
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402 • Références
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Rapport Mondial sur le Paludisme 2021.
Références • 403
PLAN DE SONDAGE EDSG-III 2019–21 Annexe A
A.1 INTRODUCTION
L
a troisième Enquête Démographique et de Santé au Gabon en 2019–21 (EDSG-III 2019–21) fait
suite à celle réalisée en 2000 et 2012. Elle vise un échantillon national d’environ 11 700 ménages,
avec un nombre attendu de 10 160 femmes âgées de 15 à 49 ans enquêtées avec succès. Toutes les
femmes âgées de 15–49 ans vivant de façon permanente dans les ménages sélectionnés, ou présentes la
nuit précédant l’enquête étaient éligibles pour être enquêtées. Comme la deuxième enquête en 2012, elle a
pour objectif principal de recueillir des informations sur la santé des femmes et de leurs jeunes enfants,
mais aussi sur la fécondité, la connaissance et l’utilisation des méthodes contraceptives ainsi que sur la
mortalité maternelle et la mortalité de jeunes enfants, la connaissance et les attitudes vis-à-vis des maladies
sexuellement transmissibles et le sida et la prévalence du VIH. Les résultats de l’enquête seront présentés
pour l’ensemble du Gabon, pour le milieu urbain et le milieu rural séparément, pour les deux grandes villes
séparées (Libreville, Port-Gentil), pour les deux grandes villes réunies (Libreville et Port-Gentil), pour les
autres villes et pour chacune des neuf provinces administratives.
Une enquête auprès des hommes a été également menée au moment que l’enquête auprès des femmes.
Parmi les ménages sélectionnés pour l’enquête auprès des femmes, deux ménages sur trois étaient tirés
pour l’enquête auprès des hommes. Tous les hommes âgés de 15 à 64 ans vivant de façon permanente dans
les ménages sélectionnés ou présents dans les ménages la nuit précédant l’enquête étaient éligibles pour
l’interview. Cette enquête a pour objectif principal de recueillir des informations sur leur connaissance et
utilisation des méthodes contraceptives, sur leur connaissance et les attitudes vis-à-vis des maladies
sexuellement transmissibles et le sida. Dans ce sous-échantillon de ménages, toutes les femmes et tous les
hommes âgés de 15–64 ans étaient éligibles pour le test d’anémie, le test de VIH et le test d’hépatite B. De
même, dans ce sous-échantillon de ménages, une femme 15–49 ans par ménage a été sélectionnée au
hasard parmi les femmes éligibles pour être interviewée avec le module sur les violences domestiques
contre les femmes.
Dans tous les ménages sélectionnés, tous les enfants de moins de 5 ans ont été pesés et mesurés pour
déterminer leur état nutritionnel. De même, tous les enfants de 6–59 mois ont été testés pour l’anémie et le
paludisme.
Annexe A • 405
Le Tableau A.1 suivant Tableau A.1 Nombre de SD et taille moyenne des SD par domaine et par milieu de
présente les résultats extraits résidence, EDSG-III 2019–21
les 2 880 SD, 2 373 SD sont Province Urbain Rural Total Urbain Rural Total
Le Tableau A.2 suivant présente la Tableau A.2 Répartition des ménages par domaine et par milieu de résidence,
répartition des ménages par province et EDSG-III 2019–21
des ménages vivent en milieu urbain ; Province Urbain Rural Total Urbain Province
A.3 ÉCHANTILLONNAGE
L’échantillon de l’EDSG-III Tableau A.3 Répartition de l’échantillon des SD et de l’échantillon ménages par domaine et
2019–21 est un échantillon selon le milieu de résidence, EDSG-III 2019–21
degrés. L’unité primaire de Province Urbain Rural Total Urbain Rural Total
406 • Annexe A
unités administratives à l’intérieur de chaque strate, c’est-à-dire, les départements et les cantons/villes et
les numéros de SD. Cette opération a introduit une stratification implicite au niveau de toutes les unités
administratives en dessous de la province avec une allocation de l’échantillon proportionnelle à leur taille ;
elle apporte ainsi une meilleure représentativité de l’échantillon au niveau de chaque province.
Après la sélection des unités primaires et avant l’enquête principale, un dénombrement des ménages et une
mise à jour de la carte ont été effectués dans chaque SD sélectionné. Cette opération a permis d’obtenir une
liste complète des ménages dans chaque SD tiré et qui a servi pour la sélection des ménages au deuxième
degré. Au second degré, dans chaque SD sélectionné au premier degré, un nombre constant de 32 ménages
(au lieu de tirer 30 ménages par grappe conçu initialement à cause du long délai de la collecte après le
dénombrement) ont été sélectionnés avec un tirage systématique à probabilités égales à partir des listes
nouvelles établies au moment du dénombrement.
Le Tableau A.3 présente la Tableau A.4 Nombre attendu de femmes et d’hommes enquêtés avec succès par domaine
répartition de l’échantillon de et selon le milieu de résidence, EDSG-III 2019–21
grappes par domaine et par Femmes 15–49 enquêtées Hommes 15–59 enquêtés
milieu de résidence. Au total, Province Urbain Rural Total Urbain Rural Total
La répartition de l’échantillon pour l’EDSG-III 2019–21 représente une surreprésentation du milieu rural,
et des domaines d’étude de petite taille comme l’Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil). La meilleure
répartition pourrait être la répartition proportionnelle à la taille du domaine, mais cela pouvait donner trop
peu de cas pour les petits domaines d’étude comme mentionnés ci-dessus. L’expérience acquise dans les
autres EDS montre qu’il faut au moins 800 femmes de 15–49 ans enquêtées avec succès par domaine pour
que les estimations du taux synthétique de fécondité et celles du taux de mortalité des enfants soient
fiables. Ainsi, la répartition retenue a pris en compte le nombre minimal de cas nécessaires par domaine et
le poids du domaine. En séparant Libreville et Port-Gentil de leur province, une allocation spécifique de
l’échantillon a été appliquée pour garantir un échantillon représentatif pour les grandes villes. Libreville,
Port-Gentil, et l’ensemble du milieu urbain étaient trop sous échantillonnés à cause de leurs grandes tailles.
Mais ce sous-échantillonnage n’introduit pas de biais de sondage car il est récompensé par l’utilisation de
poids de sondage dans les analyses de données.
Les calculs ci-dessous était basés sur les résultats de la Deuxième Enquête Démographique et de Santé au
Gabon effectuée en 2012 (EDSG-II) : les taux bruts de réponse de ménages sont de 97 % dans le milieu
urbain et le milieu rural; le nombre moyen de femmes de 15–49 ans par ménage est de 1,091 pour le milieu
urbain et 0,623 pour le milieu rural; les taux de réponse à l’enquête individuelle des femmes est de 98 %
dans le milieu urbain et le milieu rural; pour l’enquête auprès des hommes (dans un sous-échantillon
composé de deux ménages sur trois sélectionnés), le nombre moyen d’hommes de 15–59 ans par ménage
est de 1,057 pour le milieu urbain et de 0,72 pour le milieu rural ; les taux de réponse de l’enquête auprès
Annexe A • 407
des hommes est de 96,2% dans le milieu urbain et le milieu rural. Pour le test de VIH, les individus
enquêtés et testés avec un résultat valide seront comptés, et comme il y a eu une enquête nationale sur la
prévalence de VIH au Gabon en 2012, le taux global de réponse au test de VIH est de 94 % dans
l’ensemble.
Soient ah le nombre de grappes tirées dans la strate h, Mi le nombre d’habitants dans la grappe i, et thij la
taille estimée en proportion du segment j choisi pour la grappe i de la strate h. Notons que thij =1 si la
grappe n’avait pas été segmentée et la somme des thij est égale à 1.
La probabilité de sondage au premier degré de la ième grappe de la strate h est donnée par:
a h Mi
P1hi = thij
Mi
i
Au deuxième degré, un nombre bhi de ménages ont été tirés à partir des Lhi ménages nouvellement
dénombrés par l’équipe EDS dans la ième grappe de la strate h lors de l’opération de dénombrement des
ménages et mise à jour des cartes. Donc :
bhi
P 2hi =
Lhi
La probabilité globale pour tirer un ménage dans la grappe i de la strate h est alors :
Phi = P1hi P2 hi
La composante principale du poids de sondage est l’inverse du produit des probabilités de sondage aux 2
degrés. Il est calculé pour chaque grappe selon la formule suivante :
1
Whi =
Phi
Les poids de sondage ont été ajustés pour la correction des non-réponses pour l’enquête auprès des
ménages et pour celle auprès des individus. Plusieurs ensembles de poids ont été calculés. Pour l’enquête
femme : un ensemble pour les ménages ; un ensemble pour les femmes enquêtées. Pour l’enquête homme :
un ensemble pour les ménages ; un ensemble pour les hommes enquêtés. Pour le test de VIH, un ensemble
pour les femmes interviewées et testées ; un ensemble pour les hommes interviewés et testés ; un ensemble
pour les femmes choisies pour la violence domestique. Les poids de ménages ont été calculés, basés sur les
poids de sondage avec la correction des non-réponses des ménages ; les poids pour les femmes enquêtées
ont été calculés à partir des poids de ménages pour l’enquête femme et avec la correction des non-réponses
à l’enquête individuelle des femmes; les poids pour les hommes enquêtés ont été calculés à partir des poids
408 • Annexe A
de ménages pour l’enquête homme et avec la correction de non-réponses à l’enquête individuelle des
hommes; pour le test du VIH, les poids pour les femmes enquêtées et testées et les poids pour les hommes
enquêtés et testés ont été calculés de la même façon que pour les poids individuels, mais basés sur les
poids des ménages pour l’enquête homme et avec les corrections des non-réponses au test du VIH,
respectivement pour les femmes et les hommes éligibles pour le test. Un individu est dit répondant au test
du VIH s’il a répondu à la fois à l’enquête individuelle et a été testé avec un résultat de test valide. Toutes
les corrections de non-réponses ont été réalisées au niveau des strates d’échantillonnage. Les poids finaux
ont été normalisés au niveau national pour que le nombre de cas pondérés soit égal au nombre de cas non
pondérés pour les ménages enquêtés, pour les femmes enquêtées et pour les hommes enquêtés
respectivement. Les poids finaux pour le test du VIH ont été normalisés différemment : pour que les
prévalences du VIH calculées pour les hommes et les femmes ensemble soient valides, la normalisation de
poids est impérative pour les femmes et les hommes testés ensemble au niveau national. Des feuilles Excel
contenant tous les paramètres de sondage ont été préparées pour faciliter les calculs des poids de sondage.
Les erreurs de sondage ont été calculées pour des indicateurs sélectionnés et pour chacun des domaines
d’étude.
Annexe A • 409
A.5 RÉSULTAT DE L’ENQUÊTE
1
En utilisant les différents codes résultats utilisés pour classer les ménages selon les catégories de réponse, le taux de réponse pour l’Enquête Ménage (TRM) est calculé comme suit :
100 * R
——————————
R + MP + D + R + LNT
2
Le taux de réponse des femmes éligibles (TRFE) est équivalent au pourcentage d’interviews complétées (FER).
3
Le taux de réponse global des femmes est calculé comme suit (TRGF) : TRGF = TRM * TRFE/100
410 • Annexe A
Tableau A.6 Résultats de l’enquête: Homme
Répartition (en %) des ménages et des hommes éligibles par résultat de l’enquête ménage et individuelle, taux de réponse des ménages, des hommes éligibles et taux de réponse global des hommes, selon la région et le milieu de résidence, (non
pondéré), EDSG-III 2019–21
Résidence Province
Ogooué-
Estuaire Maritime
Port-Gentil/ Ensemble (sans Haut- Moyen- Ogooué- Ogooué- (sans Port-
Résultat Libreville Autres villes Urbain Rural Libreville Port-Gentil Libreville) Ogooué Ogooué Ngounié Nyanga Ivindo Lolo Gentil) Woleu-Ntem Ensemble
Sélection des ménages
Rempli 93,0 94,4 94,0 94,5 89,3 98,4 90,5 98,7 93,3 85,7 90,6 93,1 99,2 98,7 98,9 94,2
Pas d’enquêté compétent à
la maison, au moment de la
visite 0,7 0,4 0,5 0,4 1,1 0,2 1,1 0,0 0,3 0,3 0,3 1,7 0,0 0,0 0,0 0,5
Refusé 1,8 0,7 1,0 0,2 2,7 0,5 1,1 0,1 0,5 1,7 0,4 0,3 0,1 0,3 0,0 0,7
Logement non trouvé 0,1 0,1 0,1 0,0 0,1 0,0 0,0 0,0 0,0 0,3 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0
Ménage absent 1,6 1,4 1,5 1,3 2,8 0,0 2,5 0,3 0,8 2,9 1,6 2,6 0,1 0,6 0,6 1,4
Logement vide/pas de
logement à l’adresse 2,0 2,7 2,5 3,1 3,3 0,2 3,9 0,9 4,9 7,7 6,5 1,5 0,5 0,3 0,5 2,7
Logement détruit 0,7 0,3 0,5 0,5 0,7 0,8 0,8 0,0 0,1 1,4 0,4 0,6 0,0 0,1 0,0 0,5
Autre 0,1 0,0 0,0 0,1 0,1 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,3 0,0 0,0 0,0 0,0
Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
Effectif de ménages
sélectionnés 1 533 3 549 5 082 3 108 903 630 714 693 735 714 672 777 777 777 798 8 190
Taux de réponse des
ménages1 97,3 98,8 98,3 99,3 95,8 99,4 97,6 99,9 99,1 97,5 99,2 98,0 99,9 99,7 100,0 98,7
Hommes éligibles
Rempli 89,3 93,4 92,1 95,9 85,5 95,3 91,2 93,1 93,7 94,2 94,0 91,6 95,4 97,9 97,9 93,3
Pas à la maison 4,5 3,1 3,5 1,6 6,4 1,5 3,3 3,8 3,1 0,6 1,3 5,0 3,2 1,1 0,4 2,9
Différé 0,0 0,1 0,1 0,0 0,0 0,0 0,0 0,2 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,3 0,0 0,0
Refusé 5,6 2,3 3,3 0,7 7,4 2,8 3,3 1,5 2,1 2,1 2,4 1,5 0,7 0,7 0,4 2,5
Incapacité 0,6 0,8 0,7 1,2 0,6 0,5 1,4 1,2 1,0 0,6 0,9 1,8 0,6 0,1 1,1 0,9
Autre 0,1 0,4 0,3 0,6 0,1 0,0 0,8 0,2 0,0 2,5 1,3 0,0 0,0 0,0 0,1 0,4
Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
Effectif d’hommes 1 571 3 384 4 955 2 432 957 614 660 651 607 519 532 717 681 750 699 7 387
Taux de réponse des hommes
éligibles2 89,3 93,4 92,1 95,9 85,5 95,3 91,2 93,1 93,7 94,2 94,0 91,6 95,4 97,9 97,9 93,3
Taux de réponse global des
femmes3 86,9 92,2 90,5 95,2 81,9 94,7 89,0 93,0 92,9 91,8 93,2 89,8 95,3 97,6 97,9 92,1
1
En utilisant les différents codes résultats utilisés pour classer les ménages selon les catégories de réponse, le taux de réponse pour l’Enquête Ménage (TRM) est calculé comme suit :
100 * R
——————————
C + HP + P + R + LNT
2
Le taux de réponse des hommes éligibles (TRHE) est équivalent au pourcentage d’interviews complétées (HER).
3
Le taux de réponse global des hommes est calculé comme suit (TRGH) : TRGH = TRM * TRHE/100
Annexe A • 411
ESTIMATION DES ERREURS
D’ÉCHANTILLONNAGE Annexe B
L
es estimations de paramètres à partir d’une enquête par sondage sont sujettes à deux types
d’erreurs : les erreurs de mesure et l’erreur d’échantillonnage. Les erreurs de mesure sont celles
associées à la mise en œuvre de la collecte et de l’exploitation des données, telles que l’omission
des ménages sélectionnés, la mauvaise interprétation des questions de la part soit de l’enquêteur, soit de
l’enquêté et les erreurs de saisie des données. Bien que tout le possible ait été fait durant la réalisation de
l’EDS Gabon 2019–21 (EDSG-III 2019–21) pour minimiser ce type d’erreur, il est difficile d’éviter et
d’évaluer statistiquement les erreurs de mesure.
Cependant, l’erreur d’échantillonnage peut être évaluée statistiquement. L’échantillon sélectionné pour
l’EDSG-III 2019–21 n’est qu’un parmi un grand nombre d’échantillons qui peuvent être sélectionnés, à
partir de la même population, en utilisant le même plan de sondage. Chacun de ces échantillons peut
produire des résultats peu différents de ceux obtenus avec l’échantillon actuellement sélectionné. L’erreur
d’échantillonnage est une mesure de la variabilité parmi tous les échantillons possibles. Bien que le niveau
de variabilité ne puisse pas être connu exactement, il peut être estimé à partir des données collectées.
L’erreur-type (ET) est un indice particulièrement utile pour mesurer l’erreur d’échantillonnage d’un
paramètre estimé (moyenne, proportion, etc.) ; elle est la racine carrée de la variance du paramètre estimé.
L’erreur-type peut être utilisée pour calculer des intervalles de confiance dans lesquels on considère que se
trouve la vraie valeur du paramètre avec un certain niveau de confiance. Par exemple, pour un paramètre
donné calculé à partir d’un échantillon, la vraie valeur du paramètre se trouvera dans les limites de sa
valeur estimée plus ou moins deux fois son erreur-type, avec un niveau de confiance de 95 %.
Si l’échantillon avait été tiré d’après un plan de sondage aléatoire simple, il aurait été possible d’utiliser
des formules simples pour calculer l’erreur d’échantillonnage. Cependant, l’échantillon de l’EDSG-III
2019–21 étant un échantillon stratifié et tiré à deux degrés, il s’est avéré nécessaire d’utiliser des formules
plus complexes. Un programme SAS, développé par ICF International, a été utilisé pour calculer les
erreurs d’échantillonnage. Ce programme utilise la méthode de linéarisation de Taylor pour les estimations
comme des moyennes, médianes, proportions ou ratios. La méthode de réplication de Jackknife est utilisée
pour les estimations des indicateurs plus complexes comme l’indice synthétique de fécondité et les
quotients de mortalité.
La méthode de linéarisation de Taylor traite chaque proportion ou moyenne comme étant une estimation de
ratio, r = y/x, avec y la somme pondérée de la variable d’intérêt et x le nombre total de cas pondérés,
calculés basé sur les mêmes unités enquêtées. La variance de r est calculée en utilisant la formule ci-
dessous, avec l’erreur-type qui est la racine carrée de la variance :
1− f H mh mh 2 zh2
ET ( r ) = var ( r ) = 2
2
x
zhi −
h =1 mh − 1 i =1
mh
Dans laquelle
Annexe B • 413
La méthode de réplication de Jackknife dérive les estimations de taux complexes à partir de chacun des
sous-échantillons de l’échantillon principal et calcule les erreur-type de ces estimations en utilisant des
formules simples. Chaque sous-échantillon exclut une grappe dans le calcul des estimations. Des
estimations pseudo-indépendantes sont donc crées. Dans l’EDSG-III 2019–21, il y a 390 grappes non-
vides et par conséquent, 390 sous-échantillons ont été créés. La variance d’un taux r est calculée comme
suit :
k
1
ET 2 ( r ) = var ( r ) =
k ( k − 1) i =1
(ri − r ) 2
Dans laquelle
ri = kr − (k − 1)r(i )
En plus de l’erreur-type, on calcule pour chaque estimation l’effet du plan de sondage (DEFT). L’effet du
plan de sondage est le rapport de l’erreur-type observée sur l’erreur-type qu’on aurait obtenue si un
sondage aléatoire simple avait été utilisé. Une valeur du DEFT de 1,0 indique que le plan de sondage est
aussi efficace qu’un plan aléatoire simple, alors qu’une valeur supérieure à 1,0 indique un accroissement
de l’erreur d’échantillonnage due à un plan de sondage plus complexe et moins efficace par rapport à un
plan aléatoire simple. Pour chaque estimation, l’erreur relative et les intervalles de confiance sont aussi
calculés.
Les erreurs d’échantillonnage pour l’EDSG-III 2019–21 ont été calculées pour certaines variables
considérées comme essentielles. Les résultats sont présentés dans cette annexe pour le Gabon, pour Port
Gentil et Libreville ensemble, pour les autres villes urbaines, pour l’ensemble de milieu urbain et
l’ensemble de milieu rural séparément, pour Libreville et Port Gentil séparément, et pour chacune des 9
provinces. Pour chaque variable, le type de statistique (moyenne, proportion, ou taux) et la population de
base sont présentés au Tableau B.1. Les Tableaux B.2 à B.18 présentent la valeur de la statistique (M),
l’erreur-type (ET), le nombre de cas non pondérés (N) et pondérés (N’), l’effet de plan de sondage (DEFT),
l’erreur relative (ET/M), et l’intervalle de confiance à 95% (M±2ET), pour chaque variable. Les erreurs
d’échantillonnage pour les taux de mortalité sont présentées pour la période des 5 années ayant précédé
l’enquête pour l’échantillon national et pour la période des 10 années avant l’enquête au niveau des
domaines d’étude. Le DEFT est considéré comme non défini quand l’écart type sous l’échantillon aléatoire
simple est zéro (quand l’estimation est proche de 0 ou 1).
L’intervalle de confiance (calculé par ex. pour toutes les femmes enquêtées Nombre idéal d’enfants) peut
être interprété comme suit : le nombre idéal d’enfants pour l’ensemble de femmes 15–49 ans est de 4,346
auquel correspond une erreur-type de 0,047. Par conséquent, pour obtenir un intervalle de confiance de
95 %, on doit ajouter et soustraire deux fois l’erreur-type de l’estimation, c’est-à-dire, 4,346±2×0,047. Il y
a une probabilité élevée (95 %) que le nombre idéal d’enfants pour les femmes 15–49 ans se trouve entre
4,251 et 4,440.
Pour l’échantillon total, la moyenne du DEFT, calculée pour l’ensemble des variables dans l’enquête
auprès des femmes est de 1,820. Cela veut dire que, par rapport à un échantillon aléatoire simple, l’erreur
d’échantillonnage est multipliée par un facteur de 1,820 parce qu’on utilise un plan de sondage complexe
(par grappe et à plusieurs degrés) et moins efficace.
414 • Annexe B
Tableau B.1 Liste des variables utilisées pour le calcul des erreurs de sondage, EDSG-III 2019–21
Variable Estimation Population de base
MÉNAGES ET POPULATION
Possession d’au moins une MII Proportion Ménages
Accès à une MII Proportion Population de facto des ménages
Utilisation d’une MII Proportion Population de facto des ménages
FEMME
Milieu urbain Proportion Femmes 15–49
Alphabétisée Proportion Femmes 15–49
Aucune instruction Proportion Femmes 15–49
Niveau secondaire ou plus Proportion Femmes 15–49
Jamais mariée/jamais en union Proportion Femmes 15–49
Actuellement mariée/en union Proportion Femmes 15–49
En union avant l’âge de 18 ans Proportion Femmes 20–49
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans Proportion Femmes 20–49
Actuellement enceinte Proportion Femmes 15–49
Connait une méthode contraceptive Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Connait une méthode moderne Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Utilise actuellement une méthode Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Utilise actuellement une méthode moderne Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Utilise actuellement la pilule Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Utilise actuellement le condom masculin Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Utilise actuellement les injectables Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Utilise actuellement les implants Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Utilise actuellement la stérilisation féminine Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Utilise actuellement le retrait Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Utilise actuellement la méthode du rythme Proportion Femmes actuellement en union 15–49
A utilisé une source du secteur public Proportion Utilisatrices actuelles de méthodes modernes
Ne veut plus d’enfant Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus Proportion Femmes actuellement en union 15–49
Nombre idéal d’enfants Moyenne Femmes 15–49
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière naissance Proportion Femmes avec naissance vivante dans les 5 dernières années
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié Proportion Naissance ayant eu lieu 1–59 mois avant l’enquête
A reçu 3+ doses de SP/Fansidar Proportion Dernière naissance des femmes de 15–49 ans avec une naissance vivante
dans les 2 dernières années
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines Proportion Enfants de moins de 5 ans avec diarrhée dans les 2 dernières semaines
Traité avec des SRO Proportion Enfants de moins de 5 ans avec diarrhée dans les 2 dernières semaines
Traitement recherché Proportion Enfants de moins de 5 ans avec diarrhée dans les 2 dernières semaines
Carnet de vaccination montré Proportion Enfants 12–23 mois
A reçu le vaccin du BCG Proportion Enfants 12–23 mois
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) Proportion Enfants 12–23 mois
A reçu une dose de polio 0 à la naissance Proportion Enfants 12–23 mois
A reçu vaccin polio (3 doses) Proportion Enfants 12–23 mois
A reçu vaccin contre la rougeole Proportion Enfants 12–23 mois
A reçu tous les vaccins de base Proportion Enfants 12–23 mois
Taille-pour-âge (-2 ET) Proportion Enfants de moins de 5 ans mesurés
Poids-pour-taille (-2 ET) Proportion Enfants de moins de 5 ans mesurés
Poids-pour-âge (-2 ET) Proportion Enfants de moins de 5 ans mesurés
Indice de masse corporelle (IMC) <18.5 Proportion Enfants de moins de 5 ans mesurés
Indice de masse corporelle (IMC) ≥25 Proportion Femmes de 15–49 ans mesurées
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) Proportion Enfants 6–59 mois testés
Prévalence du paludisme (test rapide) Proportion Enfants 6–59 mois testés (test rapide) pour le paludisme
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49) Proportion Femmes de 15–49 ans testées
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans Proportion Femmes 15–49
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment Proportion Femmes 15–49
A subi des violences physiques ou sexuelles exercées par le Proportion Femmes 15–49 ayant eu un mari ou un partenaire intime
plus récent mari/partenaire
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles par le Proportion Femmes 15–49 ayant eu un mari ou un partenaire intime
mari/partenaire
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles par le Proportion Femmes 15–49 ayant eu un mari ou un partenaire intime
mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) Taux Femme-année d’exposition au risque de grossesse
Quotient de mortalité néonatale¹ Taux Enfants exposés au risque de mortalité
Quotient de mortalité post-néonatale¹ Taux Enfants exposés au risque de mortalité
Quotient de mortalité infantile¹ Taux Enfants exposés au risque de mortalité
Quotient de mortalité juvénile¹ Taux Enfants exposés au risque de mortalité
Quotient de mortalité infanto-juvénile¹ Taux Enfants exposés au risque de mortalité
HOMME
Milieu urbain Proportion Hommes 15–49
Alphabétisation Proportion Hommes 15–49
Aucune instruction Proportion Hommes 15–49
Niveau secondaire ou plus Proportion Hommes 15–49
Jamais marié/Jamais en union Proportion Hommes 15–49
Actuellement marié/en union Proportion Hommes 15–49
En union avant l’âge de 18 ans Proportion Hommes 20–49
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans Proportion Hommes actuellement en union 15–49
Connait une méthode moderne Proportion Hommes actuellement en union 15–49
Ne veut plus d’enfant Proportion Hommes actuellement en union 15–49
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans au moins Proportion Hommes actuellement en union 15–49
Nombre idéal d’enfants Moyenne Hommes 15–49
1
Les quotients de mortalité sont calculés pour les 5 ans précédant l’enquête au niveau national et par milieu de résidence, et pour les 10 ans précédant
l’enquête au niveau régional.
Annexe B • 415
Tableau B.2 Erreurs de sondage : Échantillon Total, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,214 0,008 11 781 11 781 2,024 0,036 0,199 0,230
Ayant accès à une MII 0,156 0,006 45 720 46 250 1,776 0,037 0,144 0,167
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,144 0,006 45 720 46 250 1,789 0,041 0,133 0,156
FEMMES
Milieu urbain 0,925 0,006 9 507 9 910 2,204 0,006 0,914 0,937
Alphabétisée 0,900 0,009 9 507 9 910 2,914 0,010 0,882 0,918
Aucune instruction 0,059 0,007 9 507 9 910 2,765 0,113 0,046 0,073
Niveau secondaire ou plus 0,811 0,011 9 507 9 910 2,709 0,013 0,789 0,833
Jamais mariée/jamais en union 0,413 0,011 9 507 9 910 2,201 0,027 0,390 0,435
Actuellement mariée/en union 0,482 0,011 9 507 9 910 2,088 0,022 0,461 0,503
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,153 0,009 7 618 8 184 2,222 0,060 0,134 0,171
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,633 0,012 7 618 8 184 2,250 0,020 0,608 0,658
Actuellement enceinte 0,070 0,004 9 507 9 910 1,660 0,062 0,061 0,079
Connaît une méthode contraceptive 0,984 0,003 4 745 4 776 1,789 0,003 0,977 0,990
Connaît une méthode moderne 0,983 0,003 4 745 4 776 1,772 0,003 0,977 0,990
Utilise actuellement une méthode 0,248 0,013 4 745 4 776 2,035 0,051 0,222 0,273
Utilise actuellement une méthode moderne 0,173 0,010 4 745 4 776 1,798 0,057 0,153 0,193
Utilise actuellement la pilule 0,037 0,004 4 745 4 776 1,568 0,116 0,029 0,046
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 4 745 4 776 0,833 0,676 0,000 0,001
Utilise actuellement des condoms masculins 0,100 0,009 4 745 4 776 1,987 0,087 0,083 0,117
Utilise actuellement des injectables 0,012 0,002 4 745 4 776 1,355 0,182 0,007 0,016
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,002 0,001 4 745 4 776 1,321 0,466 0,000 0,003
Utilise actuellement le retrait 0,041 0,005 4 745 4 776 1,670 0,117 0,032 0,051
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,032 0,005 4 745 4 776 2,084 0,166 0,021 0,043
A utilisé une source du secteur public 0,135 0,014 1 402 1 691 1,483 0,100 0,108 0,162
Ne veut plus d’enfant 0,257 0,012 4 745 4 776 1,923 0,047 0,233 0,281
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,253 0,010 4 745 4 776 1,535 0,038 0,234 0,272
Nombre idéal d’enfants 4,346 0,047 9 103 9 529 2,175 0,011 4,251 4,440
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,693 0,016 4 457 4 370 2,342 0,024 0,660 0,726
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,952 0,004 6 377 6 075 1,328 0,005 0,943 0,961
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,379 0,016 2 519 2 456 1,651 0,042 0,347 0,411
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,166 0,009 6 111 5 873 1,819 0,056 0,147 0,185
Traités avec des SRO 0,200 0,026 968 974 1,976 0,132 0,147 0,253
Traitement médical recherché 0,572 0,030 968 974 1,825 0,053 0,512 0,633
Carnet de vaccination montré 0,699 0,022 1 270 1 287 1,688 0,032 0,655 0,744
A reçu le vaccin du BCG 0,894 0,013 1 270 1 287 1,464 0,014 0,869 0,920
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,684 0,022 1 270 1 287 1,637 0,032 0,641 0,728
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,808 0,018 1 270 1 287 1,575 0,022 0,772 0,843
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,617 0,028 1 270 1 287 2,023 0,046 0,560 0,673
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,639 0,021 1 270 1 287 1,519 0,033 0,598 0,681
A reçu tous les vaccins de base 0,445 0,026 1 270 1 287 1,806 0,058 0,393 0,496
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,144 0,008 6 644 6 459 1,550 0,053 0,128 0,159
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,034 0,003 6 711 6 522 1,434 0,094 0,028 0,041
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,054 0,004 6 676 6 500 1,334 0,071 0,046 0,062
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,683 0,012 5 958 5 709 1,905 0,018 0,658 0,708
Prévalence du paludisme (RDT) 0,126 0,008 5 953 5 696 1,551 0,066 0,109 0,142
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,079 0,007 5 525 5 558 1,800 0,084 0,066 0,092
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,480 0,011 5 525 5 558 1,611 0,023 0,458 0,503
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,649 0,011 6 005 5 868 1,745 0,017 0,627 0,672
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,453 0,017 4 163 4 163 2,250 0,038 0,418 0,488
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,148 0,012 4 163 4 163 2,205 0,082 0,124 0,172
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,366 0,019 2 821 2 384 2,085 0,052 0,329 0,404
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,478 0,020 2 821 2 384 2,099 0,041 0,439 0,518
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,316 0,018 2 821 2 384 2,073 0,057 0,280 0,352
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 3,929 0,121 26 657 28 113 1,876 0,031 3,688 4,170
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–4 ans) 17,559 2,953 6 391 6 074 1,567 0,168 11,654 23,465
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–4 ans) 10,006 2,139 6 400 6 068 1,568 0,214 5,727 14,284
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–4 ans) 27,565 3,781 6 400 6 081 1,589 0,137 20,004 35,127
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–4 ans) 11,935 1,892 6 219 5 876 1,261 0,159 8,151 15,719
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–4 ans) 39,171 4,314 6 443 6 097 1,526 0,110 30,542 47,800
HOMMES
Milieu urbain 0,921 0,006 5 568 5 854 1,791 0,007 0,908 0,934
Alphabétisé 0,912 0,009 5 568 5 854 2,314 0,010 0,895 0,930
Aucune instruction 0,065 0,008 5 568 5 854 2,374 0,121 0,049 0,081
Niveau secondaire ou plus 0,823 0,013 5 568 5 854 2,473 0,015 0,798 0,848
Jamais marié/Jamais en union 0,496 0,014 5 568 5 854 2,076 0,028 0,468 0,523
Actuellement marié/en union 0,400 0,013 5 568 5 854 2,052 0,034 0,373 0,427
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,044 0,005 4 398 4 745 1,688 0,119 0,033 0,054
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,623 0,017 4 398 4 745 2,271 0,027 0,590 0,656
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,995 0,003 2 249 2 343 1,795 0,003 0,990 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,224 0,021 2 249 2 343 2,396 0,094 0,182 0,266
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,270 0,019 2 249 2 343 2,012 0,070 0,232 0,308
Nombre idéal d’enfants 4,915 0,094 5 237 5 548 2,022 0,019 4,728 5,103
416 • Annexe B
Tableau B.3 Erreurs de sondage : Échantillon Port Gentil/Libreville, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,183 0,012 2 181 6 451 1,451 0,066 0,159 0,207
Ayant accès à une MII 0,131 0,009 8 321 24 832 1,259 0,066 0,114 0,149
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,117 0,009 8 321 24 832 1,294 0,076 0,099 0,135
FEMMES
Milieu urbain 1,000 0,000 2 109 5 718 na 0,000 1,000 1,000
Alphabétisée 0,904 0,015 2 109 5 718 2,293 0,016 0,875 0,934
Aucune instruction 0,062 0,011 2 109 5 718 2,100 0,178 0,040 0,084
Niveau secondaire ou plus 0,847 0,016 2 109 5 718 2,084 0,019 0,814 0,880
Jamais mariée/jamais en union 0,403 0,018 2 109 5 718 1,716 0,046 0,366 0,439
Actuellement mariée/en union 0,492 0,018 2 109 5 718 1,640 0,036 0,457 0,528
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,144 0,014 1 745 4 806 1,698 0,099 0,115 0,172
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,577 0,018 1 745 4 806 1,563 0,032 0,540 0,614
Actuellement enceinte 0,070 0,007 2 109 5 718 1,248 0,099 0,056 0,083
Connaît une méthode contraceptive 0,983 0,005 1 036 2 816 1,293 0,005 0,973 0,994
Connaît une méthode moderne 0,983 0,005 1 036 2 816 1,293 0,005 0,973 0,994
Utilise actuellement une méthode 0,271 0,020 1 036 2 816 1,450 0,074 0,231 0,311
Utilise actuellement une méthode moderne 0,191 0,015 1 036 2 816 1,251 0,080 0,161 0,222
Utilise actuellement la pilule 0,044 0,007 1 036 2 816 1,065 0,155 0,030 0,057
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 1 036 2 816 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement des condoms masculins 0,114 0,014 1 036 2 816 1,390 0,120 0,087 0,142
Utilise actuellement des injectables 0,009 0,003 1 036 2 816 1,028 0,335 0,003 0,015
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,001 0,001 1 036 2 816 0,796 0,994 0,000 0,002
Utilise actuellement le retrait 0,047 0,008 1 036 2 816 1,161 0,163 0,032 0,062
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,032 0,008 1 036 2 816 1,535 0,263 0,015 0,049
A utilisé une source du secteur public 0,114 0,020 367 1 044 1,181 0,172 0,075 0,154
Ne veut plus d’enfant 0,253 0,019 1 036 2 816 1,418 0,076 0,215 0,292
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,287 0,015 1 036 2 816 1,061 0,052 0,257 0,317
Nombre idéal d’enfants 4,253 0,071 2 033 5 538 1,590 0,017 4,110 4,396
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,710 0,028 916 2 433 1,829 0,039 0,654 0,765
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,974 0,006 1 246 3 312 1,202 0,006 0,962 0,987
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,366 0,025 508 1 382 1,187 0,068 0,316 0,416
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,187 0,015 1 214 3 239 1,248 0,080 0,157 0,217
Traités avec des SRO 0,203 0,040 204 605 1,426 0,197 0,123 0,283
Traitement médical recherché 0,616 0,045 204 605 1,304 0,073 0,526 0,706
Carnet de vaccination montré 0,733 0,033 280 752 1,210 0,045 0,667 0,799
A reçu le vaccin du BCG 0,910 0,018 280 752 0,983 0,019 0,875 0,945
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,682 0,034 280 752 1,178 0,050 0,614 0,750
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,815 0,025 280 752 1,046 0,031 0,765 0,865
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,631 0,045 280 752 1,516 0,072 0,540 0,722
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,679 0,031 280 752 1,071 0,045 0,618 0,741
A reçu tous les vaccins de base 0,453 0,041 280 752 1,327 0,090 0,371 0,534
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,098 0,012 1 203 3 373 1,223 0,121 0,075 0,122
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,037 0,005 1 215 3 410 0,976 0,145 0,026 0,048
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,038 0,006 1 209 3 397 1,050 0,153 0,026 0,050
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,701 0,019 1 058 2 985 1,272 0,027 0,664 0,739
Prévalence du paludisme (RDT) 0,036 0,009 1 056 2 977 1,385 0,251 0,018 0,054
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,076 0,011 1 175 3 139 1,387 0,142 0,054 0,097
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,504 0,017 1 175 3 139 1,157 0,034 0,470 0,538
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,673 0,017 1 237 3 269 1,223 0,025 0,640 0,706
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,489 0,028 892 2 301 1,680 0,058 0,432 0,545
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,148 0,020 892 2 301 1,659 0,134 0,108 0,187
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,389 0,031 616 1 344 1,573 0,080 0,327 0,451
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,500 0,032 616 1 344 1,589 0,064 0,435 0,564
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,323 0,029 616 1 344 1,550 0,091 0,265 0,382
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 3,640 0,181 5 997 16 355 1,443 0,050 3,278 4,003
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–4 ans) 13,515 3,920 1 247 3 307 1,172 0,290 5,675 21,354
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–4 ans) 6,349 3,381 1 240 3 295 1,291 0,533 0,000 13,112
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–4 ans) 19,864 5,558 1 248 3 310 1,253 0,280 8,748 30,980
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–4 ans) 4,344 1,923 1 202 3 193 0,995 0,443 0,498 8,189
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–4 ans) 24,121 5,796 1 250 3 312 1,211 0,240 12,530 35,713
HOMMES
Milieu urbain 1,000 0,000 1 221 3 488 na 0,000 1,000 1,000
Alphabétisé 0,905 0,014 1 221 3 488 1,664 0,015 0,877 0,933
Aucune instruction 0,072 0,012 1 221 3 488 1,673 0,172 0,047 0,097
Niveau secondaire ou plus 0,832 0,020 1 221 3 488 1,832 0,024 0,793 0,871
Jamais marié/Jamais en union 0,482 0,022 1 221 3 488 1,518 0,045 0,439 0,526
Actuellement marié/en union 0,407 0,021 1 221 3 488 1,524 0,053 0,364 0,450
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,040 0,008 1 014 2 882 1,268 0,194 0,025 0,056
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,620 0,025 1 014 2 882 1,619 0,040 0,570 0,669
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,995 0,004 519 1 420 1,325 0,004 0,988 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,233 0,033 519 1 420 1,788 0,143 0,167 0,300
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,285 0,029 519 1 420 1,463 0,102 0,227 0,343
Nombre idéal d’enfants 4,806 0,150 1 127 3 294 1,437 0,031 4,506 5,105
Annexe B • 417
Tableau B.4 Erreurs de sondage : Échantillon Autres villes, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,241 0,011 5 120 3 991 1,849 0,046 0,219 0,263
Ayant accès à une MII 0,177 0,009 21 684 16 619 1,713 0,050 0,159 0,194
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,171 0,009 21 684 16 619 1,742 0,054 0,153 0,190
FEMMES
Milieu urbain 1,000 0,000 4 811 3 453 na 0,000 1,000 1,000
Alphabétisée 0,909 0,007 4 811 3 453 1,725 0,008 0,895 0,924
Aucune instruction 0,052 0,006 4 811 3 453 1,747 0,107 0,041 0,063
Niveau secondaire ou plus 0,797 0,011 4 811 3 453 1,975 0,014 0,774 0,820
Jamais mariée/jamais en union 0,444 0,011 4 811 3 453 1,494 0,024 0,423 0,466
Actuellement mariée/en union 0,444 0,009 4 811 3 453 1,299 0,021 0,425 0,462
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,153 0,009 3 754 2 771 1,568 0,060 0,135 0,172
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,694 0,011 3 754 2 771 1,514 0,016 0,672 0,717
Actuellement enceinte 0,067 0,005 4 811 3 453 1,262 0,068 0,058 0,076
Connaît une méthode contraceptive 0,985 0,004 2 189 1 533 1,364 0,004 0,978 0,992
Connaît une méthode moderne 0,985 0,004 2 189 1 533 1,359 0,004 0,978 0,992
Utilise actuellement une méthode 0,229 0,012 2 189 1 533 1,370 0,054 0,205 0,254
Utilise actuellement une méthode moderne 0,156 0,011 2 189 1 533 1,373 0,068 0,135 0,178
Utilise actuellement la pilule 0,031 0,005 2 189 1 533 1,257 0,151 0,021 0,040
Utilise actuellement le DIU 0,001 0,001 2 189 1 533 1,084 0,998 0,000 0,002
Utilise actuellement des condoms masculins 0,084 0,009 2 189 1 533 1,442 0,102 0,067 0,101
Utilise actuellement des injectables 0,016 0,003 2 189 1 533 1,248 0,211 0,009 0,022
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,004 0,002 2 189 1 533 1,585 0,528 0,000 0,008
Utilise actuellement le retrait 0,035 0,005 2 189 1 533 1,350 0,151 0,025 0,046
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,036 0,006 2 189 1 533 1,523 0,169 0,024 0,048
A utilisé une source du secteur public 0,159 0,018 745 570 1,310 0,110 0,124 0,195
Ne veut plus d’enfant 0,253 0,014 2 189 1 533 1,484 0,054 0,226 0,281
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,205 0,011 2 189 1 533 1,325 0,056 0,182 0,228
Nombre idéal d’enfants 4,398 0,060 4 603 3 288 1,927 0,014 4,278 4,518
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,691 0,015 2 199 1 569 1,546 0,022 0,660 0,721
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,959 0,005 3 115 2 207 1,236 0,005 0,948 0,969
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,403 0,020 1 212 855 1,411 0,050 0,363 0,443
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,138 0,011 2 993 2 111 1,668 0,080 0,116 0,160
Traités avec des SRO 0,219 0,029 461 292 1,393 0,135 0,160 0,278
Traitement médical recherché 0,522 0,028 461 292 1,111 0,054 0,465 0,579
Carnet de vaccination montré 0,669 0,030 600 425 1,514 0,044 0,610 0,729
A reçu le vaccin du BCG 0,887 0,022 600 425 1,705 0,025 0,843 0,932
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,719 0,025 600 425 1,361 0,035 0,669 0,770
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,824 0,029 600 425 1,863 0,036 0,766 0,883
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,625 0,027 600 425 1,349 0,043 0,571 0,679
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,614 0,032 600 425 1,601 0,052 0,550 0,679
A reçu tous les vaccins de base 0,456 0,029 600 425 1,386 0,063 0,398 0,513
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,171 0,012 3 207 2 400 1,523 0,068 0,148 0,194
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,029 0,004 3 229 2 415 1,260 0,132 0,022 0,037
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,064 0,006 3 223 2 415 1,323 0,094 0,052 0,076
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,645 0,020 2 836 2 083 1,932 0,030 0,606 0,684
Prévalence du paludisme (RDT) 0,185 0,018 2 834 2 080 1,952 0,095 0,150 0,220
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,086 0,007 2 819 1 982 1,348 0,083 0,072 0,101
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,458 0,015 2 819 1 982 1,623 0,034 0,428 0,489
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,619 0,016 3 057 2 114 1,764 0,025 0,588 0,651
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,391 0,020 2 075 1 523 1,846 0,051 0,352 0,431
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,147 0,014 2 075 1 523 1,805 0,095 0,119 0,176
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,317 0,019 1 324 820 1,507 0,061 0,279 0,356
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,427 0,021 1 324 820 1,538 0,049 0,385 0,469
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,284 0,020 1 324 820 1,635 0,071 0,244 0,325
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 4,129 0,135 13 410 9 688 1,473 0,033 3,858 4,399
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–4 ans) 22,947 5,305 3 117 2 204 1,620 0,231 12,337 33,558
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–4 ans) 12,550 2,686 3 124 2 206 1,307 0,214 7,179 17,921
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–4 ans) 35,498 5,499 3 120 2 207 1,427 0,155 24,500 46,495
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–4 ans) 16,168 3,305 3 042 2 128 1,457 0,204 9,558 22,778
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–4 ans) 51,092 6,093 3 132 2 215 1,368 0,119 38,907 63,277
HOMMES
Milieu urbain 1,000 0,000 2 647 1 905 na 0,000 1,000 1,000
Alphabétisé 0,935 0,008 2 647 1 905 1,648 0,008 0,919 0,951
Aucune instruction 0,056 0,008 2 647 1 905 1,847 0,148 0,039 0,072
Niveau secondaire ou plus 0,836 0,013 2 647 1 905 1,864 0,016 0,809 0,863
Jamais marié/Jamais en union 0,534 0,016 2 647 1 905 1,605 0,029 0,503 0,565
Actuellement marié/en union 0,376 0,013 2 647 1 905 1,332 0,033 0,351 0,401
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,042 0,006 1 982 1 483 1,347 0,145 0,030 0,054
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,612 0,022 1 982 1 483 2,016 0,036 0,568 0,656
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,997 0,003 990 717 1,456 0,003 0,992 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,203 0,019 990 717 1,448 0,091 0,166 0,240
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,230 0,021 990 717 1,570 0,091 0,188 0,272
Nombre idéal d’enfants 4,908 0,080 2 518 1 821 1,410 0,016 4,748 5,067
418 • Annexe B
Tableau B.5 Erreurs de sondage : Échantillon Ensemble Urbain, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,205 0,008 7 301 10 442 1,791 0,041 0,188 0,222
Ayant accès à une MII 0,150 0,006 30 005 41 451 1,548 0,041 0,137 0,162
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,139 0,006 30 005 41 451 1,561 0,046 0,126 0,151
FEMMES
Milieu urbain 1,000 0,000 6 920 9 171 na 0,000 1,000 1,000
Alphabétisée 0,906 0,010 6 920 9 171 2,719 0,011 0,887 0,925
Aucune instruction 0,058 0,007 6 920 9 171 2,544 0,123 0,044 0,073
Niveau secondaire ou plus 0,828 0,011 6 920 9 171 2,488 0,014 0,806 0,851
Jamais mariée/jamais en union 0,418 0,012 6 920 9 171 2,001 0,028 0,395 0,442
Actuellement mariée/en union 0,474 0,011 6 920 9 171 1,894 0,024 0,451 0,497
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,147 0,010 5 499 7 577 2,029 0,066 0,128 0,167
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,620 0,013 5 499 7 577 2,001 0,021 0,594 0,646
Actuellement enceinte 0,069 0,005 6 920 9 171 1,524 0,068 0,059 0,078
Connaît une méthode contraceptive 0,984 0,004 3 225 4 349 1,605 0,004 0,977 0,991
Connaît une méthode moderne 0,984 0,004 3 225 4 349 1,602 0,004 0,977 0,991
Utilise actuellement une méthode 0,256 0,014 3 225 4 349 1,795 0,054 0,229 0,284
Utilise actuellement une méthode moderne 0,179 0,011 3 225 4 349 1,582 0,060 0,158 0,200
Utilise actuellement la pilule 0,039 0,005 3 225 4 349 1,376 0,120 0,030 0,048
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 3 225 4 349 0,782 1,000 0,000 0,001
Utilise actuellement des condoms masculins 0,104 0,009 3 225 4 349 1,758 0,091 0,085 0,122
Utilise actuellement des injectables 0,011 0,002 3 225 4 349 1,222 0,201 0,007 0,016
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,002 0,001 3 225 4 349 1,144 0,469 0,000 0,004
Utilise actuellement le retrait 0,043 0,005 3 225 4 349 1,485 0,124 0,032 0,053
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,033 0,006 3 225 4 349 1,843 0,175 0,022 0,045
A utilisé une source du secteur public 0,130 0,014 1 112 1 614 1,397 0,108 0,102 0,158
Ne veut plus d’enfant 0,253 0,013 3 225 4 349 1,741 0,053 0,227 0,280
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,258 0,011 3 225 4 349 1,369 0,041 0,237 0,279
Nombre idéal d’enfants 4,307 0,051 6 636 8 826 1,999 0,012 4,206 4,408
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,702 0,018 3 115 4 002 2,154 0,025 0,666 0,738
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,968 0,004 4 361 5 519 1,350 0,004 0,960 0,977
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,380 0,017 1 720 2 237 1,497 0,046 0,346 0,415
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,168 0,010 4 207 5 350 1,651 0,061 0,147 0,188
Traités avec des SRO 0,208 0,029 665 897 1,781 0,138 0,151 0,266
Traitement médical recherché 0,585 0,032 665 897 1,646 0,055 0,521 0,650
Carnet de vaccination montré 0,710 0,024 880 1 177 1,540 0,034 0,662 0,758
A reçu le vaccin du BCG 0,902 0,014 880 1 177 1,359 0,015 0,874 0,930
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,695 0,024 880 1 177 1,491 0,034 0,648 0,743
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,818 0,019 880 1 177 1,458 0,023 0,780 0,857
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,629 0,031 880 1 177 1,848 0,049 0,568 0,690
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,656 0,023 880 1 177 1,401 0,035 0,611 0,701
A reçu tous les vaccins de base 0,454 0,028 880 1 177 1,645 0,062 0,398 0,510
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,129 0,008 4 410 5 773 1,403 0,064 0,112 0,145
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,034 0,004 4 444 5 825 1,258 0,105 0,027 0,041
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,049 0,004 4 432 5 811 1,215 0,085 0,041 0,057
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,678 0,014 3 894 5 069 1,674 0,020 0,650 0,706
Prévalence du paludisme (RDT) 0,097 0,009 3 890 5 057 1,444 0,089 0,080 0,115
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,080 0,007 3 994 5 121 1,641 0,090 0,066 0,094
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,486 0,012 3 994 5 121 1,481 0,024 0,463 0,510
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,652 0,012 4 294 5 382 1,603 0,018 0,628 0,676
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,450 0,019 2 967 3 824 2,055 0,042 0,412 0,487
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,148 0,013 2 967 3 824 2,015 0,089 0,121 0,174
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,362 0,021 1 940 2 163 1,894 0,057 0,320 0,403
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,472 0,022 1 940 2 163 1,905 0,046 0,429 0,515
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,308 0,020 1 940 2 163 1,883 0,064 0,269 0,348
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 3,815 0,127 19 407 26 043 1,734 0,033 3,561 4,069
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–4 ans) 17,293 3,222 4 364 5 511 1,425 0,186 10,849 23,736
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–4 ans) 8,847 2,304 4 364 5 502 1,474 0,260 4,239 13,454
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–4 ans) 26,139 4,094 4 368 5 517 1,455 0,157 17,951 34,327
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–4 ans) 9,185 1,872 4 244 5 321 1,210 0,204 5,441 12,928
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–4 ans) 35,084 4,515 4 382 5 527 1,398 0,129 26,053 44,114
HOMMES
Milieu urbain 1,000 0,000 3 868 5 393 na 0,000 1,000 1,000
Alphabétisé 0,915 0,009 3 868 5 393 2,110 0,010 0,897 0,934
Aucune instruction 0,066 0,009 3 868 5 393 2,124 0,128 0,049 0,083
Niveau secondaire ou plus 0,833 0,014 3 868 5 393 2,260 0,016 0,806 0,861
Jamais marié/Jamais en union 0,500 0,015 3 868 5 393 1,857 0,030 0,471 0,530
Actuellement marié/en union 0,396 0,014 3 868 5 393 1,837 0,036 0,367 0,425
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,041 0,006 2 996 4 365 1,542 0,136 0,030 0,052
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,617 0,018 2 996 4 365 2,022 0,029 0,581 0,653
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,996 0,003 1 509 2 137 1,682 0,003 0,990 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,223 0,023 1 509 2 137 2,146 0,103 0,177 0,269
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,267 0,021 1 509 2 137 1,802 0,077 0,226 0,308
Nombre idéal d’enfants 4,842 0,101 3 645 5 115 1,853 0,021 4,641 5,043
Annexe B • 419
Tableau B.6 Erreurs de sondage : Échantillon Rural, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,285 0,014 4 480 1 339 2,026 0,048 0,258 0,313
Ayant accès à une MII 0,208 0,012 15 715 4 799 2,041 0,059 0,184 0,232
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,192 0,013 15 715 4 799 2,178 0,069 0,166 0,219
FEMMES
Milieu urbain 0,000 0,000 2 587 739 na na 0,000 0,000
Alphabétisée 0,821 0,015 2 587 739 1,921 0,018 0,792 0,850
Aucune instruction 0,069 0,010 2 587 739 2,071 0,150 0,048 0,089
Niveau secondaire ou plus 0,597 0,021 2 587 739 2,189 0,035 0,554 0,639
Jamais mariée/jamais en union 0,340 0,014 2 587 739 1,528 0,042 0,312 0,369
Actuellement mariée/en union 0,578 0,014 2 587 739 1,440 0,024 0,550 0,606
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,220 0,016 2 119 607 1,729 0,071 0,189 0,251
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,798 0,014 2 119 607 1,569 0,017 0,771 0,825
Actuellement enceinte 0,086 0,008 2 587 739 1,454 0,093 0,070 0,102
Connaît une méthode contraceptive 0,981 0,007 1 520 427 1,950 0,007 0,967 0,994
Connaît une méthode moderne 0,977 0,007 1 520 427 1,834 0,007 0,963 0,991
Utilise actuellement une méthode 0,163 0,013 1 520 427 1,422 0,083 0,136 0,190
Utilise actuellement une méthode moderne 0,113 0,013 1 520 427 1,602 0,115 0,087 0,139
Utilise actuellement la pilule 0,018 0,004 1 520 427 1,093 0,210 0,010 0,025
Utilise actuellement le DIU 0,002 0,001 1 520 427 1,396 0,882 0,000 0,005
Utilise actuellement des condoms masculins 0,065 0,009 1 520 427 1,445 0,140 0,047 0,084
Utilise actuellement des injectables 0,013 0,004 1 520 427 1,190 0,262 0,006 0,020
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,000 0,000 1 520 427 0,435 1,003 0,000 0,000
Utilise actuellement le retrait 0,029 0,005 1 520 427 1,077 0,160 0,020 0,038
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,019 0,004 1 520 427 1,192 0,217 0,011 0,028
A utilisé une source du secteur public 0,243 0,026 290 76 1,039 0,108 0,190 0,295
Ne veut plus d’enfant 0,294 0,015 1 520 427 1,259 0,050 0,264 0,323
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,202 0,013 1 520 427 1,215 0,062 0,177 0,227
Nombre idéal d’enfants 4,831 0,049 2 467 703 1,128 0,010 4,732 4,930
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,592 0,021 1 342 368 1,573 0,036 0,549 0,635
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,789 0,021 2 016 556 1,794 0,026 0,747 0,830
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,368 0,024 799 219 1,415 0,066 0,320 0,416
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,148 0,008 1 904 523 1,001 0,057 0,131 0,165
Traités avec des SRO 0,103 0,024 303 77 1,288 0,232 0,055 0,150
Traitement médical recherché 0,420 0,038 303 77 1,215 0,090 0,345 0,496
Carnet de vaccination montré 0,583 0,040 390 111 1,557 0,068 0,504 0,662
A reçu le vaccin du BCG 0,816 0,028 390 111 1,423 0,034 0,760 0,872
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,567 0,042 390 111 1,662 0,075 0,482 0,651
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,697 0,035 390 111 1,480 0,050 0,627 0,767
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,484 0,039 390 111 1,524 0,080 0,407 0,562
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,462 0,032 390 111 1,229 0,068 0,399 0,525
A reçu tous les vaccins de base 0,348 0,034 390 111 1,378 0,098 0,280 0,416
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,270 0,014 2 234 686 1,344 0,051 0,242 0,297
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,037 0,005 2 267 697 1,308 0,139 0,027 0,047
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,098 0,008 2 244 688 1,229 0,085 0,081 0,114
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,720 0,015 2 064 640 1,432 0,021 0,690 0,750
Prévalence du paludisme (RDT) 0,350 0,021 2 063 640 1,696 0,059 0,308 0,391
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,070 0,011 1 531 437 1,683 0,157 0,048 0,092
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,410 0,013 1 531 437 1,059 0,032 0,384 0,437
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,624 0,017 1 711 486 1,467 0,028 0,590 0,659
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,490 0,025 1 196 339 1,721 0,051 0,440 0,540
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,155 0,017 1 196 339 1,666 0,113 0,120 0,190
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,414 0,028 881 220 1,681 0,067 0,358 0,470
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,540 0,029 881 220 1,720 0,054 0,482 0,598
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,390 0,031 881 220 1,895 0,080 0,327 0,452
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 5,429 0,204 7 250 2 070 1,337 0,038 5,022 5,836
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–4 ans) 20,164 4,537 2 027 562 1,353 0,225 11,090 29,239
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–4 ans) 21,107 4,138 2 036 566 1,328 0,196 12,832 29,383
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–4 ans) 41,272 6,831 2 032 564 1,472 0,166 27,610 54,933
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–4 ans) 37,242 7,279 1 975 555 1,700 0,195 22,685 51,799
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–4 ans) 76,976 11,468 2 061 570 1,902 0,149 54,039 99,913
HOMMES
Milieu urbain 0,000 0,000 1 700 461 na na 0,000 0,000
Alphabétisé 0,877 0,012 1 700 461 1,531 0,014 0,853 0,902
Aucune instruction 0,050 0,008 1 700 461 1,429 0,151 0,035 0,065
Niveau secondaire ou plus 0,699 0,020 1 700 461 1,814 0,029 0,659 0,740
Jamais marié/Jamais en union 0,440 0,022 1 700 461 1,838 0,050 0,396 0,484
Actuellement marié/en union 0,447 0,021 1 700 461 1,729 0,047 0,405 0,489
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,076 0,010 1 402 380 1,375 0,128 0,056 0,095
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,691 0,022 1 402 380 1,789 0,032 0,647 0,735
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,991 0,005 740 206 1,339 0,005 0,981 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,234 0,021 740 206 1,359 0,091 0,191 0,276
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,303 0,023 740 206 1,359 0,076 0,257 0,349
Nombre idéal d’enfants 5,783 0,143 1 592 432 1,421 0,025 5,496 6,069
420 • Annexe B
Tableau B.7 Erreurs de sondage : Échantillon Libreville, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,187 0,014 1 235 5 260 1,283 0,076 0,158 0,215
Ayant accès à une MII 0,136 0,010 4 672 20 177 1,107 0,076 0,115 0,156
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,118 0,010 4 672 20 177 1,147 0,089 0,097 0,139
FEMMES
Milieu urbain 1,000 0,000 1 128 4 624 na 0,000 1,000 1,000
Alphabétisée 0,900 0,018 1 128 4 624 2,004 0,020 0,864 0,936
Aucune instruction 0,064 0,013 1 128 4 624 1,829 0,209 0,037 0,090
Niveau secondaire ou plus 0,853 0,020 1 128 4 624 1,858 0,023 0,814 0,892
Jamais mariée/jamais en union 0,403 0,022 1 128 4 624 1,522 0,055 0,358 0,447
Actuellement mariée/en union 0,496 0,022 1 128 4 624 1,470 0,044 0,453 0,540
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,140 0,017 951 3 926 1,506 0,121 0,106 0,174
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,558 0,022 951 3 926 1,341 0,039 0,515 0,601
Actuellement enceinte 0,070 0,008 1 128 4 624 1,094 0,119 0,053 0,086
Connaît une méthode contraceptive 0,981 0,006 573 2 295 1,092 0,006 0,968 0,993
Connaît une méthode moderne 0,981 0,006 573 2 295 1,092 0,006 0,968 0,993
Utilise actuellement une méthode 0,280 0,023 573 2 295 1,245 0,083 0,234 0,327
Utilise actuellement une méthode moderne 0,193 0,018 573 2 295 1,080 0,092 0,158 0,229
Utilise actuellement la pilule 0,045 0,008 573 2 295 0,921 0,178 0,029 0,061
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 573 2 295 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement des condoms masculins 0,117 0,016 573 2 295 1,223 0,141 0,084 0,150
Utilise actuellement des injectables 0,008 0,004 573 2 295 0,944 0,440 0,001 0,015
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,000 0,000 573 2 295 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement le retrait 0,054 0,009 573 2 295 0,984 0,173 0,035 0,072
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,032 0,010 573 2 295 1,363 0,312 0,012 0,052
A utilisé une source du secteur public 0,099 0,023 208 859 1,111 0,233 0,053 0,145
Ne veut plus d’enfant 0,259 0,022 573 2 295 1,225 0,087 0,215 0,304
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,281 0,017 573 2 295 0,915 0,061 0,246 0,315
Nombre idéal d’enfants 4,307 0,085 1 094 4 492 1,379 0,020 4,136 4,478
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,689 0,034 475 1 941 1,606 0,050 0,621 0,758
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,977 0,008 639 2 630 1,070 0,008 0,962 0,992
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,374 0,030 271 1 118 1,020 0,080 0,314 0,433
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,197 0,018 624 2 576 1,071 0,091 0,161 0,233
Traités avec des SRO 0,201 0,045 120 508 1,206 0,225 0,111 0,291
Traitement médical recherché 0,614 0,053 120 508 1,146 0,086 0,509 0,720
Carnet de vaccination montré 0,730 0,039 151 607 1,045 0,054 0,652 0,809
A reçu le vaccin du BCG 0,907 0,021 151 607 0,832 0,023 0,865 0,949
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,659 0,041 151 607 1,003 0,062 0,578 0,741
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,809 0,030 151 607 0,903 0,037 0,749 0,869
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,624 0,055 151 607 1,330 0,088 0,514 0,734
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,659 0,036 151 607 0,906 0,055 0,587 0,731
A reçu tous les vaccins de base 0,429 0,049 151 607 1,159 0,113 0,332 0,526
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,094 0,014 612 2 620 1,080 0,152 0,065 0,122
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,038 0,006 620 2 653 0,870 0,170 0,025 0,051
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,036 0,007 617 2 643 0,975 0,198 0,022 0,050
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,695 0,023 542 2 328 1,145 0,033 0,650 0,740
Prévalence du paludisme (RDT) 0,044 0,011 540 2 320 1,146 0,255 0,021 0,066
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,075 0,013 622 2 518 1,234 0,175 0,049 0,101
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,504 0,021 622 2 518 1,031 0,041 0,463 0,546
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,666 0,020 650 2 614 1,076 0,030 0,626 0,707
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,501 0,033 464 1 830 1,432 0,066 0,435 0,568
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,149 0,025 464 1 830 1,480 0,165 0,100 0,198
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,398 0,037 325 1 074 1,365 0,093 0,323 0,472
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,511 0,039 325 1 074 1,402 0,076 0,433 0,589
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,334 0,035 325 1 074 1,344 0,105 0,264 0,405
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 3,574 0,215 3 236 13 277 1,275 0,060 3,143 4,005
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–9 ans) 17,596 4,566 1 156 4 706 1,104 0,259 8,464 26,728
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–9 ans) 8,979 3,378 1 163 4 743 1,136 0,376 2,222 15,736
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–9 ans) 26,575 6,716 1 157 4 711 1,305 0,253 13,142 40,007
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–9 ans) 5,875 2,232 1 130 4 615 1,007 0,380 1,411 10,339
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–9 ans) 32,293 6,974 1 158 4 716 1,230 0,216 18,346 46,241
HOMMES
Milieu urbain 1,000 0,000 709 2 911 na 0,000 1,000 1,000
Alphabétisé 0,905 0,016 709 2 911 1,467 0,018 0,873 0,937
Aucune instruction 0,071 0,014 709 2 911 1,474 0,201 0,042 0,099
Niveau secondaire ou plus 0,833 0,023 709 2 911 1,627 0,027 0,787 0,878
Jamais marié/Jamais en union 0,486 0,026 709 2 911 1,362 0,053 0,435 0,538
Actuellement marié/en union 0,398 0,025 709 2 911 1,364 0,063 0,347 0,448
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,045 0,009 585 2 402 1,087 0,207 0,026 0,064
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,619 0,029 585 2 402 1,433 0,047 0,561 0,677
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,995 0,005 282 1 158 1,149 0,005 0,986 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,242 0,040 282 1 158 1,563 0,166 0,162 0,322
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,304 0,035 282 1 158 1,267 0,115 0,234 0,373
Nombre idéal d’enfants 4,813 0,174 670 2 774 1,242 0,036 4,465 5,162
Annexe B • 421
Tableau B.8 Erreurs de sondage : Échantillon Port-Gentil, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,168 0,017 946 1 192 1,373 0,099 0,134 0,201
Ayant accès à une MII 0,112 0,011 3 649 4 656 1,218 0,101 0,089 0,135
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,113 0,013 3 649 4 656 1,262 0,113 0,088 0,139
FEMMES
Milieu urbain 1,000 0,000 981 1 094 na 0,000 1,000 1,000
Alphabétisée 0,922 0,016 981 1 094 1,809 0,017 0,890 0,953
Aucune instruction 0,055 0,013 981 1 094 1,803 0,240 0,028 0,081
Niveau secondaire ou plus 0,821 0,018 981 1 094 1,467 0,022 0,785 0,857
Jamais mariée/jamais en union 0,402 0,019 981 1 094 1,188 0,046 0,364 0,439
Actuellement mariée/en union 0,476 0,016 981 1 094 1,004 0,034 0,444 0,508
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,162 0,017 794 880 1,285 0,104 0,128 0,195
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,662 0,022 794 880 1,285 0,033 0,619 0,705
Actuellement enceinte 0,069 0,009 981 1 094 1,083 0,127 0,052 0,087
Connaît une méthode contraceptive 0,995 0,004 463 521 1,101 0,004 0,987 1,000
Connaît une méthode moderne 0,995 0,004 463 521 1,101 0,004 0,987 1,000
Utilise actuellement une méthode 0,229 0,031 463 521 1,596 0,136 0,167 0,292
Utilise actuellement une méthode moderne 0,182 0,025 463 521 1,413 0,139 0,132 0,233
Utilise actuellement la pilule 0,039 0,010 463 521 1,126 0,260 0,019 0,060
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 463 521 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement des condoms masculins 0,103 0,017 463 521 1,175 0,162 0,070 0,136
Utilise actuellement des injectables 0,014 0,005 463 521 0,952 0,377 0,003 0,024
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,003 0,003 463 521 1,196 0,961 0,000 0,010
Utilise actuellement le retrait 0,017 0,006 463 521 0,939 0,331 0,006 0,028
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,030 0,009 463 521 1,098 0,292 0,012 0,047
A utilisé une source du secteur public 0,187 0,034 159 184 1,094 0,182 0,119 0,255
Ne veut plus d’enfant 0,227 0,031 463 521 1,569 0,135 0,166 0,288
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,314 0,027 463 521 1,242 0,085 0,260 0,368
Nombre idéal d’enfants 4,020 0,097 939 1 046 1,567 0,024 3,827 4,214
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,789 0,022 441 492 1,157 0,029 0,744 0,834
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,965 0,008 607 682 1,064 0,009 0,948 0,981
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,335 0,037 237 265 1,200 0,110 0,261 0,409
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,146 0,019 590 663 1,228 0,129 0,108 0,184
Traités avec des SRO 0,216 0,078 84 97 1,705 0,363 0,059 0,372
Traitement médical recherché 0,625 0,041 84 97 0,748 0,065 0,543 0,707
Carnet de vaccination montré 0,745 0,048 129 144 1,242 0,064 0,650 0,840
A reçu le vaccin du BCG 0,922 0,027 129 144 1,151 0,029 0,868 0,976
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,778 0,053 129 144 1,449 0,068 0,672 0,884
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,840 0,031 129 144 0,955 0,037 0,778 0,902
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,662 0,050 129 144 1,207 0,076 0,561 0,762
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,766 0,042 129 144 1,139 0,056 0,681 0,851
A reçu tous les vaccins de base 0,552 0,056 129 144 1,268 0,101 0,441 0,664
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,114 0,020 591 754 1,472 0,172 0,075 0,153
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,033 0,008 595 757 1,049 0,246 0,017 0,049
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,046 0,008 592 754 0,992 0,184 0,029 0,063
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,723 0,029 516 657 1,385 0,039 0,666 0,781
Prévalence du paludisme (RDT) 0,008 0,004 516 657 0,926 0,447 0,001 0,015
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,078 0,012 553 621 1,041 0,152 0,054 0,102
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,504 0,017 553 621 0,797 0,034 0,470 0,538
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,698 0,020 587 655 1,043 0,028 0,658 0,737
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,439 0,049 428 472 2,014 0,111 0,342 0,536
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,142 0,015 428 472 0,907 0,108 0,111 0,173
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,353 0,043 291 269 1,541 0,123 0,266 0,440
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,454 0,036 291 269 1,244 0,080 0,381 0,527
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,279 0,039 291 269 1,486 0,140 0,201 0,358
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 3,901 0,224 2 761 3 078 1,168 0,057 3,454 4,348
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–9 ans) 14,736 4,183 1 101 1 237 1,052 0,284 6,370 23,102
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–9 ans) 5,884 3,240 1 092 1 228 1,384 0,551 0,000 12,364
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–9 ans) 20,620 6,041 1 102 1 238 1,316 0,293 8,538 32,701
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–9 ans) 7,366 3,037 1 049 1 182 1,190 0,412 1,292 13,439
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–9 ans) 27,834 6,801 1 102 1 238 1,318 0,244 14,232 41,436
HOMMES
Milieu urbain 1,000 0,000 512 577 na 0,000 1,000 1,000
Alphabétisé 0,904 0,022 512 577 1,701 0,025 0,860 0,948
Aucune instruction 0,079 0,021 512 577 1,791 0,271 0,036 0,122
Niveau secondaire ou plus 0,829 0,028 512 577 1,675 0,034 0,773 0,885
Jamais marié/Jamais en union 0,461 0,022 512 577 0,985 0,047 0,417 0,504
Actuellement marié/en union 0,455 0,023 512 577 1,026 0,050 0,409 0,500
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,018 0,008 429 480 1,311 0,473 0,001 0,034
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,624 0,035 429 480 1,501 0,056 0,553 0,694
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,997 0,003 237 262 0,909 0,003 0,990 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,195 0,035 237 262 1,340 0,177 0,126 0,264
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,203 0,035 237 262 1,328 0,172 0,133 0,273
Nombre idéal d’enfants 4,765 0,191 457 520 1,521 0,040 4,383 5,148
422 • Annexe B
Tableau B.9 Erreurs de sondage : Échantillon Estuaire (sans Libreville), EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,196 0,019 995 1 558 1,486 0,095 0,159 0,234
Ayant accès à une MII 0,141 0,015 3 694 6 072 1,353 0,103 0,112 0,170
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,134 0,014 3 694 6 072 1,262 0,101 0,107 0,161
FEMMES
Milieu urbain 0,946 0,009 846 1 321 1,135 0,009 0,929 0,964
Alphabétisée 0,916 0,014 846 1 321 1,517 0,016 0,887 0,945
Aucune instruction 0,057 0,012 846 1 321 1,491 0,210 0,033 0,080
Niveau secondaire ou plus 0,845 0,020 846 1 321 1,584 0,023 0,806 0,885
Jamais mariée/jamais en union 0,443 0,021 846 1 321 1,213 0,047 0,402 0,485
Actuellement mariée/en union 0,440 0,017 846 1 321 0,984 0,038 0,407 0,474
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,106 0,014 710 1 103 1,178 0,128 0,079 0,134
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,632 0,022 710 1 103 1,205 0,035 0,589 0,676
Actuellement enceinte 0,065 0,008 846 1 321 0,901 0,118 0,050 0,080
Connaît une méthode contraceptive 0,987 0,006 375 581 1,012 0,006 0,975 0,999
Connaît une méthode moderne 0,987 0,006 375 581 1,012 0,006 0,975 0,999
Utilise actuellement une méthode 0,180 0,020 375 581 1,028 0,113 0,139 0,221
Utilise actuellement une méthode moderne 0,136 0,021 375 581 1,206 0,157 0,093 0,178
Utilise actuellement la pilule 0,027 0,008 375 581 0,911 0,282 0,012 0,042
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 375 581 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement des condoms masculins 0,080 0,019 375 581 1,365 0,240 0,042 0,118
Utilise actuellement des injectables 0,008 0,005 375 581 1,107 0,646 0,000 0,018
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,008 0,005 375 581 1,159 0,685 0,000 0,018
Utilise actuellement le retrait 0,033 0,011 375 581 1,150 0,323 0,012 0,054
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,010 0,007 375 581 1,446 0,742 0,000 0,025
A utilisé une source du secteur public 0,114 0,029 126 210 1,026 0,256 0,055 0,172
Ne veut plus d’enfant 0,258 0,030 375 581 1,314 0,115 0,198 0,317
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,172 0,015 375 581 0,785 0,089 0,141 0,203
Nombre idéal d’enfants 4,145 0,137 807 1 276 1,792 0,033 3,870 4,420
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,757 0,026 375 582 1,155 0,034 0,706 0,808
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,958 0,011 521 810 1,033 0,011 0,937 0,979
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,383 0,028 203 316 0,832 0,074 0,326 0,440
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,133 0,024 493 765 1,526 0,180 0,085 0,181
Traités avec des SRO 0,220 0,053 68 102 0,984 0,241 0,114 0,327
Traitement médical recherché 0,454 0,054 68 102 0,880 0,118 0,347 0,562
Carnet de vaccination montré 0,620 0,061 102 163 1,297 0,099 0,498 0,743
A reçu le vaccin du BCG 0,800 0,051 102 163 1,309 0,064 0,698 0,902
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,659 0,058 102 163 1,255 0,088 0,543 0,775
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,756 0,065 102 163 1,561 0,086 0,625 0,886
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,561 0,057 102 163 1,178 0,101 0,447 0,675
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,509 0,067 102 163 1,380 0,132 0,374 0,643
A reçu tous les vaccins de base 0,384 0,058 102 163 1,231 0,152 0,268 0,501
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,111 0,017 493 801 1,139 0,154 0,076 0,145
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,035 0,008 496 805 0,973 0,226 0,019 0,051
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,054 0,011 495 804 1,132 0,212 0,031 0,077
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,690 0,025 413 658 1,043 0,036 0,640 0,741
Prévalence du paludisme (RDT) 0,158 0,035 412 655 1,566 0,223 0,087 0,228
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,092 0,014 463 717 1,066 0,156 0,064 0,121
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,522 0,031 463 717 1,341 0,060 0,460 0,585
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,677 0,036 475 724 1,642 0,053 0,606 0,749
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,356 0,043 366 563 1,699 0,120 0,271 0,442
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,125 0,026 366 563 1,480 0,206 0,073 0,176
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,263 0,035 238 294 1,206 0,131 0,194 0,332
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,365 0,034 238 294 1,087 0,093 0,297 0,433
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,271 0,035 238 294 1,203 0,128 0,201 0,340
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 3,761 0,260 2 402 3 741 1,187 0,069 3,242 4,281
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–9 ans) 26,096 7,845 938 1 447 1,137 0,301 10,406 41,786
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–9 ans) 7,765 3,333 930 1 433 1,040 0,429 1,100 14,431
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–9 ans) 33,861 8,292 938 1 447 1,107 0,245 17,278 50,445
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–9 ans) 9,620 3,567 908 1 403 1,044 0,371 2,487 16,754
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–9 ans) 43,156 8,697 941 1 450 1,076 0,202 25,763 60,550
HOMMES
Milieu urbain 0,947 0,009 507 788 0,925 0,010 0,928 0,965
Alphabétisé 0,939 0,013 507 788 1,236 0,014 0,912 0,965
Aucune instruction 0,058 0,015 507 788 1,454 0,261 0,028 0,088
Niveau secondaire ou plus 0,862 0,025 507 788 1,606 0,029 0,813 0,911
Jamais marié/Jamais en union 0,495 0,023 507 788 1,035 0,046 0,449 0,541
Actuellement marié/en union 0,392 0,020 507 788 0,937 0,052 0,351 0,432
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,039 0,008 427 664 0,890 0,214 0,022 0,056
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,631 0,037 427 664 1,585 0,059 0,557 0,705
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,998 0,002 201 309 0,683 0,002 0,993 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,215 0,037 201 309 1,276 0,173 0,141 0,289
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,208 0,042 201 309 1,453 0,201 0,124 0,292
Nombre idéal d’enfants 4,476 0,109 495 770 1,027 0,024 4,257 4,695
Annexe B • 423
Tableau B.10 Erreurs de sondage : Échantillon Haut-Ogooué, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,210 0,026 1 037 995 2,062 0,124 0,158 0,263
Ayant accès à une MII 0,147 0,020 4 119 4 085 1,937 0,137 0,107 0,187
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,153 0,023 4 119 4 085 2,052 0,152 0,106 0,199
FEMMES
Milieu urbain 0,901 0,021 940 863 2,164 0,023 0,858 0,943
Alphabétisée 0,902 0,015 940 863 1,509 0,016 0,873 0,932
Aucune instruction 0,060 0,012 940 863 1,562 0,202 0,036 0,084
Niveau secondaire ou plus 0,720 0,021 940 863 1,456 0,030 0,678 0,763
Jamais mariée/jamais en union 0,475 0,023 940 863 1,428 0,049 0,429 0,522
Actuellement mariée/en union 0,416 0,021 940 863 1,307 0,051 0,373 0,458
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,175 0,022 753 698 1,580 0,125 0,131 0,218
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,736 0,021 753 698 1,303 0,028 0,694 0,778
Actuellement enceinte 0,064 0,009 940 863 1,069 0,134 0,047 0,081
Connaît une méthode contraceptive 0,981 0,008 389 359 1,213 0,009 0,964 0,998
Connaît une méthode moderne 0,981 0,008 389 359 1,213 0,009 0,964 0,998
Utilise actuellement une méthode 0,254 0,020 389 359 0,911 0,079 0,214 0,295
Utilise actuellement une méthode moderne 0,155 0,017 389 359 0,909 0,108 0,121 0,188
Utilise actuellement la pilule 0,021 0,012 389 359 1,621 0,557 0,000 0,045
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 389 359 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement des condoms masculins 0,087 0,015 389 359 1,031 0,169 0,058 0,117
Utilise actuellement des injectables 0,018 0,008 389 359 1,153 0,435 0,002 0,033
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,003 0,003 389 359 1,101 1,006 0,000 0,009
Utilise actuellement le retrait 0,052 0,013 389 359 1,126 0,244 0,027 0,077
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,048 0,012 389 359 1,099 0,249 0,024 0,072
A utilisé une source du secteur public 0,151 0,028 166 164 0,988 0,182 0,096 0,206
Ne veut plus d’enfant 0,290 0,021 389 359 0,918 0,073 0,248 0,333
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,262 0,031 389 359 1,374 0,117 0,201 0,324
Nombre idéal d’enfants 4,386 0,079 864 782 1,116 0,018 4,229 4,543
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière naissance 0,648 0,033 415 394 1,431 0,051 0,581 0,714
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,988 0,005 586 559 1,084 0,005 0,978 0,999
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,280 0,043 227 214 1,431 0,153 0,194 0,366
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,125 0,020 568 541 1,410 0,160 0,085 0,165
Traités avec des SRO 0,351 0,071 65 68 1,248 0,203 0,208 0,493
Traitement médical recherché 0,678 0,053 65 68 0,931 0,077 0,573 0,783
Carnet de vaccination montré 0,632 0,065 103 95 1,327 0,103 0,503 0,762
A reçu le vaccin du BCG 0,919 0,028 103 95 1,050 0,031 0,862 0,976
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,700 0,047 103 95 1,020 0,067 0,607 0,794
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,840 0,045 103 95 1,247 0,054 0,749 0,931
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,598 0,059 103 95 1,188 0,099 0,480 0,716
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,624 0,052 103 95 1,070 0,084 0,520 0,728
A reçu tous les vaccins de base 0,484 0,062 103 95 1,217 0,128 0,360 0,608
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,235 0,025 606 610 1,343 0,107 0,185 0,286
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,017 0,005 605 607 1,032 0,313 0,006 0,027
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,073 0,013 609 614 1,190 0,179 0,047 0,099
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,647 0,032 541 539 1,510 0,050 0,583 0,712
Prévalence du paludisme (RDT) 0,116 0,027 541 539 1,654 0,236 0,061 0,171
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,089 0,016 563 503 1,335 0,183 0,056 0,121
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,404 0,021 563 503 0,998 0,052 0,362 0,446
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,555 0,026 622 562 1,309 0,047 0,503 0,608
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,387 0,035 422 377 1,453 0,089 0,318 0,456
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,158 0,034 422 377 1,899 0,214 0,090 0,226
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus récent
mari/partenaire 0,320 0,041 258 190 1,420 0,129 0,237 0,403
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles par le
mari/partenaire 0,416 0,045 258 190 1,464 0,108 0,326 0,507
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles par le
mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,248 0,046 258 190 1,697 0,185 0,156 0,340
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 4,079 0,262 2 634 2 432 1,465 0,064 3,555 4,603
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–9 ans) 8,727 3,424 1 119 1 051 1,210 0,392 1,880 15,574
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–9 ans) 13,151 3,424 1 113 1 047 1,016 0,260 6,303 20,000
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–9 ans) 21,878 4,198 1 119 1 051 0,909 0,192 13,482 30,275
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–9 ans) 20,145 5,308 1 073 1 006 1,103 0,263 9,529 30,760
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–9 ans) 41,583 7,500 1 122 1 054 1,095 0,180 26,583 56,582
HOMMES
Milieu urbain 0,875 0,034 501 451 2,309 0,039 0,806 0,943
Alphabétisé 0,955 0,015 501 451 1,627 0,016 0,925 0,986
Aucune instruction 0,064 0,018 501 451 1,597 0,273 0,029 0,100
Niveau secondaire ou plus 0,763 0,030 501 451 1,554 0,039 0,704 0,822
Jamais marié/Jamais en union 0,533 0,041 501 451 1,846 0,077 0,451 0,616
Actuellement marié/en union 0,373 0,028 501 451 1,291 0,075 0,317 0,429
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,046 0,018 392 352 1,681 0,389 0,010 0,082
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,530 0,054 392 352 2,121 0,102 0,422 0,637
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,989 0,011 182 168 1,398 0,011 0,968 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,160 0,033 182 168 1,224 0,209 0,093 0,227
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,150 0,024 182 168 0,915 0,161 0,102 0,199
Nombre idéal d’enfants 5,118 0,150 475 420 1,326 0,029 4,819 5,417
A eu 2+ partenaires sexuels dans les 12 derniers mois 0,266 0,026 501 451 1,293 0,096 0,215 0,318
A payé pour des rapports sexuels dans les 12 derniers mois 0,096 0,015 501 451 1,165 0,160 0,065 0,126
Abstinence parmi les jeunes (jamais eu de rapports sexuels) 0,294 0,042 192 175 1,280 0,144 0,210 0,379
Utilisation du condom au dernier rapport sexuel à haut risque 0,754 0,027 291 259 1,076 0,036 0,700 0,808
A eu un test du VIH et reçu le résultat dans les 12 derniers mois 0,175 0,027 501 451 1,577 0,153 0,121 0,229
Comportements discriminatoires à l’égard de personnes vivant
avec le VIH 0,393 0,055 493 443 2,465 0,139 0,284 0,502
424 • Annexe B
Tableau B.11 Erreurs de sondage : Échantillon Moyen-Ogooué, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,272 0,019 1 055 409 1,391 0,070 0,234 0,310
Ayant accès à une MII 0,186 0,013 3 910 1 589 1,182 0,072 0,159 0,212
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,171 0,012 3 910 1 589 1,129 0,073 0,146 0,196
FEMMES
Milieu urbain 0,716 0,038 794 303 2,342 0,053 0,641 0,791
Alphabétisée 0,905 0,016 794 303 1,495 0,017 0,874 0,936
Aucune instruction 0,054 0,010 794 303 1,207 0,179 0,035 0,073
Niveau secondaire ou plus 0,768 0,020 794 303 1,339 0,026 0,728 0,808
Jamais mariée/jamais en union 0,431 0,023 794 303 1,304 0,053 0,386 0,477
Actuellement mariée/en union 0,497 0,024 794 303 1,333 0,048 0,449 0,544
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,160 0,016 610 228 1,056 0,098 0,129 0,192
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,761 0,018 610 228 1,013 0,023 0,726 0,796
Actuellement enceinte 0,071 0,009 794 303 0,951 0,122 0,053 0,088
Connaît une méthode contraceptive 0,981 0,010 411 151 1,426 0,010 0,962 1,000
Connaît une méthode moderne 0,979 0,010 411 151 1,371 0,010 0,960 0,998
Utilise actuellement une méthode 0,126 0,015 411 151 0,928 0,121 0,095 0,156
Utilise actuellement une méthode moderne 0,091 0,015 411 151 1,065 0,166 0,061 0,121
Utilise actuellement la pilule 0,018 0,007 411 151 1,068 0,387 0,004 0,032
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 411 151 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement des condoms masculins 0,062 0,009 411 151 0,774 0,148 0,044 0,081
Utilise actuellement des injectables 0,005 0,003 411 151 0,998 0,732 0,000 0,011
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,000 0,000 411 151 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement le retrait 0,007 0,004 411 151 0,859 0,509 0,000 0,014
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,028 0,011 411 151 1,349 0,395 0,006 0,050
A utilisé une source du secteur public 0,268 0,051 56 22 0,862 0,191 0,165 0,371
Ne veut plus d’enfant 0,261 0,024 411 151 1,121 0,093 0,212 0,310
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,165 0,021 411 151 1,157 0,129 0,122 0,207
Nombre idéal d’enfants 4,513 0,109 778 296 1,517 0,024 4,294 4,732
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,695 0,028 349 132 1,138 0,040 0,640 0,751
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,892 0,025 489 182 1,592 0,028 0,842 0,942
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,441 0,052 205 75 1,484 0,119 0,336 0,546
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,143 0,020 478 177 1,239 0,141 0,103 0,184
Traités avec des SRO 0,112 0,033 70 25 0,868 0,300 0,045 0,179
Traitement médical recherché 0,437 0,051 70 25 0,810 0,117 0,335 0,539
Carnet de vaccination montré 0,634 0,064 101 35 1,242 0,101 0,506 0,761
A reçu le vaccin du BCG 0,950 0,020 101 35 0,899 0,021 0,909 0,991
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,745 0,050 101 35 1,101 0,068 0,644 0,845
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,852 0,040 101 35 1,023 0,047 0,771 0,932
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,535 0,069 101 35 1,303 0,129 0,397 0,673
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,702 0,037 101 35 0,764 0,052 0,629 0,775
A reçu tous les vaccins de base 0,443 0,055 101 35 1,036 0,123 0,334 0,552
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,168 0,019 561 227 1,174 0,111 0,130 0,205
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,037 0,009 566 229 1,076 0,234 0,020 0,054
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,078 0,012 561 227 1,092 0,155 0,054 0,102
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,664 0,014 509 205 0,673 0,022 0,635 0,692
Prévalence du paludisme (RDT) 0,190 0,035 509 205 1,708 0,184 0,120 0,260
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,090 0,015 466 174 1,128 0,168 0,060 0,120
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,429 0,028 466 174 1,197 0,065 0,374 0,485
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,670 0,025 510 188 1,160 0,037 0,621 0,719
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,354 0,033 355 134 1,293 0,093 0,289 0,420
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,081 0,021 355 134 1,426 0,256 0,039 0,122
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,250 0,034 238 77 1,191 0,134 0,183 0,317
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,304 0,037 238 77 1,225 0,121 0,231 0,377
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,196 0,035 238 77 1,367 0,180 0,125 0,266
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 4,427 0,288 2 202 841 1,150 0,065 3,851 5,003
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–9 ans) 17,369 5,324 929 349 1,137 0,307 6,720 28,018
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–9 ans) 6,623 2,985 930 348 1,121 0,451 0,653 12,593
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–9 ans) 23,992 7,062 929 349 1,222 0,294 9,868 38,116
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–9 ans) 9,155 3,331 892 335 1,024 0,364 2,492 15,817
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–9 ans) 32,927 7,493 930 350 1,133 0,228 17,941 47,913
HOMMES
Milieu urbain 0,697 0,028 448 163 1,271 0,040 0,642 0,753
Alphabétisé 0,923 0,019 448 163 1,508 0,021 0,885 0,961
Aucune instruction 0,055 0,018 448 163 1,673 0,330 0,019 0,091
Niveau secondaire ou plus 0,822 0,026 448 163 1,451 0,032 0,770 0,875
Jamais marié/Jamais en union 0,482 0,033 448 163 1,402 0,069 0,415 0,548
Actuellement marié/en union 0,423 0,023 448 163 0,996 0,055 0,376 0,469
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,060 0,015 338 117 1,193 0,257 0,029 0,091
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,706 0,034 338 117 1,364 0,048 0,639 0,774
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,996 0,004 197 69 0,891 0,004 0,988 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,150 0,023 197 69 0,915 0,156 0,103 0,197
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,333 0,052 197 69 1,542 0,157 0,228 0,437
Nombre idéal d’enfants 5,304 0,243 441 160 1,288 0,046 4,818 5,790
Annexe B • 425
Tableau B.12 Erreurs de sondage : Échantillon Ngounié, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,342 0,017 944 552 1,084 0,049 0,308 0,375
Ayant accès à une MII 0,279 0,021 3 521 2 109 1,434 0,075 0,237 0,321
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,277 0,022 3 521 2 109 1,387 0,079 0,233 0,320
FEMMES
Milieu urbain 0,792 0,025 709 395 1,640 0,032 0,742 0,842
Alphabétisée 0,872 0,015 709 395 1,195 0,017 0,842 0,902
Aucune instruction 0,082 0,013 709 395 1,236 0,155 0,057 0,108
Niveau secondaire ou plus 0,676 0,027 709 395 1,517 0,039 0,623 0,730
Jamais mariée/jamais en union 0,361 0,021 709 395 1,161 0,058 0,319 0,403
Actuellement mariée/en union 0,515 0,020 709 395 1,058 0,039 0,475 0,554
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,189 0,020 571 318 1,225 0,106 0,149 0,229
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,713 0,025 571 318 1,306 0,035 0,664 0,763
Actuellement enceinte 0,086 0,014 709 395 1,289 0,158 0,059 0,114
Connaît une méthode contraceptive 0,977 0,012 377 203 1,577 0,013 0,952 1,000
Connaît une méthode moderne 0,974 0,012 377 203 1,506 0,013 0,949 0,999
Utilise actuellement une méthode 0,191 0,022 377 203 1,060 0,112 0,148 0,234
Utilise actuellement une méthode moderne 0,132 0,018 377 203 1,028 0,136 0,096 0,168
Utilise actuellement la pilule 0,027 0,008 377 203 0,989 0,306 0,010 0,044
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 377 203 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement des condoms masculins 0,075 0,015 377 203 1,075 0,194 0,046 0,105
Utilise actuellement des injectables 0,001 0,001 377 203 0,702 1,009 0,000 0,004
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,003 0,003 377 203 1,014 0,989 0,000 0,008
Utilise actuellement le retrait 0,019 0,007 377 203 0,932 0,341 0,006 0,033
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,030 0,009 377 203 1,021 0,297 0,012 0,049
A utilisé une source du secteur public 0,058 0,028 83 50 1,092 0,485 0,002 0,115
Ne veut plus d’enfant 0,185 0,028 377 203 1,396 0,151 0,129 0,241
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,222 0,019 377 203 0,868 0,084 0,184 0,259
Nombre idéal d’enfants 4,809 0,090 662 370 1,151 0,019 4,629 4,990
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,716 0,037 331 182 1,497 0,052 0,641 0,790
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,898 0,023 483 263 1,317 0,025 0,853 0,944
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,337 0,038 200 110 1,125 0,112 0,262 0,412
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,140 0,018 470 254 1,021 0,126 0,105 0,175
Traités avec des SRO 0,147 0,047 64 36 0,957 0,317 0,054 0,240
Traitement médical recherché 0,444 0,068 64 36 1,092 0,153 0,308 0,580
Carnet de vaccination montré 0,633 0,061 116 64 1,301 0,096 0,511 0,754
A reçu le vaccin du BCG 0,899 0,027 116 64 0,963 0,030 0,845 0,953
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,712 0,046 116 64 1,070 0,065 0,619 0,804
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,787 0,057 116 64 1,466 0,073 0,672 0,902
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,677 0,047 116 64 1,060 0,069 0,584 0,770
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,634 0,054 116 64 1,201 0,086 0,525 0,742
A reçu tous les vaccins de base 0,470 0,049 116 64 1,040 0,104 0,372 0,568
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,247 0,029 494 304 1,361 0,117 0,190 0,305
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,045 0,015 495 305 1,575 0,324 0,016 0,075
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,116 0,018 496 305 1,158 0,153 0,081 0,151
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,710 0,028 433 266 1,264 0,040 0,653 0,766
Prévalence du paludisme (RDT) 0,278 0,041 433 266 1,725 0,146 0,197 0,359
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,071 0,017 405 226 1,290 0,232 0,038 0,104
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,361 0,035 405 226 1,481 0,098 0,290 0,432
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,635 0,032 442 246 1,381 0,050 0,572 0,699
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,371 0,042 281 166 1,461 0,114 0,287 0,456
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,135 0,023 281 166 1,119 0,169 0,090 0,181
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,358 0,041 194 104 1,187 0,115 0,276 0,440
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,490 0,046 194 104 1,267 0,093 0,399 0,582
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,344 0,045 194 104 1,316 0,131 0,254 0,434
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 4,844 0,305 1 993 1 114 1,247 0,063 4,234 5,453
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–9 ans) 13,596 3,729 921 503 0,983 0,274 6,139 21,054
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–9 ans) 13,392 4,072 923 503 0,950 0,304 5,248 21,536
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–9 ans) 26,988 6,498 922 503 1,165 0,241 13,992 39,985
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–9 ans) 21,567 6,964 910 491 1,464 0,323 7,639 35,495
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–9 ans) 47,974 11,514 924 504 1,528 0,240 24,945 71,002
HOMMES
Milieu urbain 0,780 0,034 383 219 1,600 0,044 0,712 0,848
Alphabétisé 0,866 0,034 383 219 1,923 0,039 0,799 0,933
Aucune instruction 0,053 0,023 383 219 2,037 0,442 0,006 0,100
Niveau secondaire ou plus 0,759 0,032 383 219 1,459 0,042 0,695 0,823
Jamais marié/Jamais en union 0,518 0,029 383 219 1,136 0,056 0,460 0,576
Actuellement marié/en union 0,407 0,026 383 219 1,020 0,063 0,356 0,459
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,036 0,011 309 178 1,012 0,298 0,015 0,058
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,617 0,029 309 178 1,064 0,048 0,558 0,676
Connaît une méthode contraceptive moderne 1,000 0,000 156 89 na 0,000 1,000 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,209 0,039 156 89 1,194 0,187 0,131 0,287
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,251 0,051 156 89 1,467 0,204 0,149 0,354
Nombre idéal d’enfants 6,097 0,286 359 206 1,369 0,047 5,524 6,669
426 • Annexe B
Tableau B.13 Erreurs de sondage : Échantillon Nyanga, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,542 0,029 924 252 1,789 0,054 0,483 0,601
Ayant accès à une MII 0,435 0,028 3 494 995 1,802 0,065 0,379 0,491
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,432 0,033 3 494 995 1,942 0,075 0,366 0,497
FEMMES
Milieu urbain 0,849 0,060 677 181 4,326 0,071 0,728 0,970
Alphabétisée 0,835 0,022 677 181 1,564 0,027 0,790 0,880
Aucune instruction 0,052 0,009 677 181 1,007 0,165 0,035 0,069
Niveau secondaire ou plus 0,691 0,036 677 181 1,993 0,051 0,620 0,762
Jamais mariée/jamais en union 0,463 0,026 677 181 1,358 0,056 0,411 0,515
Actuellement mariée/en union 0,433 0,029 677 181 1,534 0,068 0,374 0,491
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,189 0,022 511 136 1,270 0,116 0,145 0,234
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,765 0,020 511 136 1,048 0,026 0,726 0,805
Actuellement enceinte 0,073 0,011 677 181 1,109 0,152 0,051 0,095
Connaît une méthode contraceptive 0,983 0,008 300 79 1,089 0,008 0,967 0,999
Connaît une méthode moderne 0,983 0,008 300 79 1,089 0,008 0,967 0,999
Utilise actuellement une méthode 0,165 0,026 300 79 1,191 0,155 0,114 0,216
Utilise actuellement une méthode moderne 0,126 0,025 300 79 1,302 0,199 0,076 0,176
Utilise actuellement la pilule 0,014 0,007 300 79 1,039 0,510 0,000 0,028
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 300 79 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement des condoms masculins 0,101 0,022 300 79 1,266 0,218 0,057 0,146
Utilise actuellement des injectables 0,009 0,006 300 79 1,004 0,599 0,000 0,020
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,000 0,000 300 79 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement le retrait 0,017 0,008 300 79 1,058 0,468 0,001 0,033
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,022 0,011 300 79 1,281 0,489 0,000 0,044
A utilisé une source du secteur public 0,150 0,048 82 23 1,211 0,321 0,054 0,247
Ne veut plus d’enfant 0,284 0,035 300 79 1,335 0,123 0,215 0,354
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,174 0,023 300 79 1,028 0,130 0,129 0,219
Nombre idéal d’enfants 4,787 0,106 632 173 1,089 0,022 4,576 4,999
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,637 0,026 300 82 0,948 0,041 0,585 0,689
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,937 0,018 433 114 1,287 0,019 0,902 0,972
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,467 0,044 166 43 1,097 0,094 0,379 0,554
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,190 0,026 416 110 1,298 0,137 0,138 0,242
Traités avec des SRO 0,140 0,033 84 21 0,852 0,237 0,074 0,206
Traitement médical recherché 0,381 0,052 84 21 0,894 0,136 0,278 0,485
Carnet de vaccination montré 0,682 0,050 80 20 0,927 0,074 0,582 0,783
A reçu le vaccin du BCG 0,943 0,023 80 20 0,870 0,025 0,897 0,989
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,730 0,056 80 20 1,086 0,077 0,618 0,842
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,883 0,035 80 20 0,940 0,039 0,814 0,953
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,685 0,060 80 20 1,112 0,088 0,564 0,805
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,757 0,048 80 20 0,983 0,064 0,661 0,854
A reçu tous les vaccins de base 0,585 0,067 80 20 1,163 0,114 0,452 0,718
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,227 0,020 449 128 0,964 0,090 0,186 0,268
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,051 0,010 455 130 0,963 0,204 0,030 0,072
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,095 0,015 449 128 1,041 0,154 0,066 0,124
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,725 0,024 396 113 1,038 0,033 0,677 0,772
Prévalence du paludisme (RDT) 0,213 0,033 394 113 1,577 0,155 0,147 0,279
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,135 0,020 385 104 1,128 0,145 0,096 0,174
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,351 0,026 385 104 1,064 0,073 0,300 0,403
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,712 0,023 417 113 1,054 0,033 0,666 0,759
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,455 0,039 281 82 1,304 0,085 0,377 0,533
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,138 0,024 281 82 1,150 0,172 0,091 0,186
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,385 0,051 175 45 1,387 0,133 0,283 0,488
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,473 0,054 175 45 1,426 0,114 0,365 0,582
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,291 0,050 175 45 1,458 0,173 0,190 0,391
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 4,426 0,270 1 866 500 0,782 0,061 3,885 4,966
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–9 ans) 13,947 4,906 861 231 1,232 0,352 4,135 23,760
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–9 ans) 13,934 3,973 862 231 0,904 0,285 5,989 21,880
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–9 ans) 27,882 6,382 862 231 1,072 0,229 15,117 40,646
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–9 ans) 18,760 4,854 830 223 0,891 0,259 9,051 28,468
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–9 ans) 46,118 9,487 866 232 1,179 0,206 27,144 65,093
HOMMES
Milieu urbain 0,815 0,053 403 103 2,709 0,065 0,709 0,920
Alphabétisé 0,926 0,014 403 103 1,051 0,015 0,899 0,954
Aucune instruction 0,033 0,013 403 103 1,500 0,406 0,006 0,060
Niveau secondaire ou plus 0,797 0,029 403 103 1,420 0,036 0,740 0,854
Jamais marié/Jamais en union 0,515 0,035 403 103 1,421 0,069 0,444 0,586
Actuellement marié/en union 0,396 0,033 403 103 1,333 0,082 0,331 0,461
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,063 0,020 317 81 1,484 0,322 0,022 0,104
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,685 0,028 317 81 1,054 0,040 0,630 0,740
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,993 0,005 159 41 0,748 0,005 0,983 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,251 0,037 159 41 1,069 0,147 0,177 0,324
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,170 0,040 159 41 1,342 0,237 0,089 0,250
Nombre idéal d’enfants 5,750 0,211 351 89 0,993 0,037 5,327 6,173
Annexe B • 427
Tableau B.14 Erreurs de sondage : Échantillon Ogooué-Ivindo, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,341 0,021 1 101 288 1,478 0,062 0,299 0,384
Ayant accès à une MII 0,234 0,019 4 801 1 277 1,649 0,081 0,196 0,272
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,233 0,018 4 801 1 277 1,455 0,078 0,197 0,269
FEMMES
Milieu urbain 0,690 0,039 859 213 2,450 0,056 0,613 0,768
Alphabétisée 0,749 0,029 859 213 1,963 0,039 0,691 0,807
Aucune instruction 0,072 0,011 859 213 1,256 0,154 0,050 0,094
Niveau secondaire ou plus 0,589 0,030 859 213 1,803 0,051 0,528 0,650
Jamais mariée/jamais en union 0,438 0,025 859 213 1,471 0,057 0,389 0,488
Actuellement mariée/en union 0,487 0,024 859 213 1,405 0,049 0,439 0,535
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,221 0,022 671 169 1,403 0,102 0,176 0,266
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,839 0,018 671 169 1,285 0,022 0,803 0,876
Actuellement enceinte 0,099 0,012 859 213 1,128 0,116 0,076 0,123
Connaît une méthode contraceptive 0,982 0,007 424 104 1,051 0,007 0,968 0,995
Connaît une méthode moderne 0,980 0,007 424 104 1,086 0,008 0,965 0,995
Utilise actuellement une méthode 0,249 0,029 424 104 1,355 0,115 0,192 0,306
Utilise actuellement une méthode moderne 0,128 0,019 424 104 1,197 0,152 0,089 0,167
Utilise actuellement la pilule 0,036 0,010 424 104 1,084 0,271 0,017 0,056
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 424 104 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement des condoms masculins 0,082 0,017 424 104 1,284 0,210 0,047 0,116
Utilise actuellement des injectables 0,005 0,005 424 104 1,399 0,985 0,000 0,014
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,000 0,000 424 104 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement le retrait 0,086 0,020 424 104 1,486 0,235 0,046 0,127
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,032 0,012 424 104 1,342 0,359 0,009 0,055
A utilisé une source du secteur public 0,192 0,042 108 31 1,113 0,221 0,107 0,277
Ne veut plus d’enfant 0,333 0,031 424 104 1,351 0,093 0,271 0,395
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,161 0,020 424 104 1,114 0,124 0,121 0,201
Nombre idéal d’enfants 5,075 0,083 835 209 1,057 0,016 4,909 5,241
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,533 0,043 469 113 1,822 0,080 0,448 0,618
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,744 0,036 691 170 1,738 0,049 0,671 0,817
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,367 0,036 275 66 1,244 0,099 0,294 0,439
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,171 0,023 641 158 1,515 0,135 0,125 0,218
Traités avec des SRO 0,222 0,044 118 27 1,086 0,197 0,135 0,309
Traitement médical recherché 0,449 0,044 118 27 0,893 0,099 0,360 0,537
Carnet de vaccination montré 0,622 0,051 122 30 1,143 0,081 0,520 0,723
A reçu le vaccin du BCG 0,777 0,037 122 30 0,982 0,048 0,703 0,851
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,534 0,042 122 30 0,923 0,079 0,449 0,618
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,672 0,044 122 30 1,018 0,065 0,585 0,759
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,521 0,039 122 30 0,857 0,075 0,443 0,600
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,432 0,052 122 30 1,156 0,121 0,327 0,536
A reçu tous les vaccins de base 0,294 0,040 122 30 0,966 0,136 0,214 0,375
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,381 0,034 763 207 1,714 0,089 0,314 0,449
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,016 0,005 756 206 1,076 0,296 0,007 0,026
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,100 0,013 763 207 1,117 0,127 0,075 0,126
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,733 0,033 682 184 1,927 0,046 0,666 0,800
Prévalence du paludisme (RDT) 0,432 0,044 682 184 1,999 0,101 0,345 0,520
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,093 0,013 461 118 0,954 0,137 0,067 0,118
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,373 0,041 461 118 1,856 0,110 0,291 0,456
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,556 0,037 540 136 1,728 0,066 0,482 0,629
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,578 0,042 379 100 1,635 0,072 0,495 0,661
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,133 0,016 379 100 0,938 0,123 0,100 0,166
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,416 0,041 238 52 1,265 0,098 0,335 0,497
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,533 0,038 238 52 1,175 0,072 0,456 0,609
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,328 0,031 238 52 1,011 0,094 0,266 0,390
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 5,555 0,432 2 387 596 1,541 0,078 4,692 6,419
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–9 ans) 10,920 3,358 1 308 323 0,995 0,308 4,204 17,637
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–9 ans) 24,059 5,817 1 313 325 1,253 0,242 12,426 35,693
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–9 ans) 34,979 6,985 1 310 324 1,103 0,200 21,010 48,949
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–9 ans) 45,875 9,553 1 276 318 1,444 0,208 26,769 64,980
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–9 ans) 79,250 9,245 1 319 326 1,005 0,117 60,760 97,739
HOMMES
Milieu urbain 0,670 0,045 496 129 2,121 0,067 0,580 0,760
Alphabétisé 0,868 0,019 496 129 1,220 0,021 0,831 0,905
Aucune instruction 0,038 0,010 496 129 1,207 0,274 0,017 0,059
Niveau secondaire ou plus 0,743 0,027 496 129 1,394 0,037 0,688 0,798
Jamais marié/Jamais en union 0,505 0,039 496 129 1,727 0,077 0,428 0,583
Actuellement marié/en union 0,418 0,038 496 129 1,719 0,091 0,341 0,494
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,069 0,020 361 93 1,468 0,284 0,030 0,109
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,575 0,048 361 93 1,831 0,083 0,479 0,670
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,989 0,010 206 54 1,379 0,010 0,969 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,231 0,039 206 54 1,330 0,170 0,153 0,310
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,363 0,045 206 54 1,341 0,124 0,273 0,454
Nombre idéal d’enfants 5,367 0,212 482 125 1,559 0,040 4,942 5,791
428 • Annexe B
Tableau B.15 Erreurs de sondage : Échantillon Ogooué-Lolo, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,249 0,017 1 170 306 1,308 0,066 0,216 0,282
Ayant accès à une MII 0,176 0,015 4 703 1 261 1,432 0,086 0,145 0,206
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,177 0,016 4 703 1 261 1,450 0,093 0,144 0,210
FEMMES
Milieu urbain 0,637 0,042 839 213 2,502 0,065 0,554 0,721
Alphabétisée 0,850 0,020 839 213 1,581 0,023 0,811 0,889
Aucune instruction 0,032 0,008 839 213 1,268 0,241 0,017 0,047
Niveau secondaire ou plus 0,669 0,030 839 213 1,846 0,045 0,609 0,729
Jamais mariée/jamais en union 0,294 0,020 839 213 1,285 0,069 0,253 0,334
Actuellement mariée/en union 0,601 0,023 839 213 1,335 0,038 0,556 0,646
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,312 0,024 652 165 1,296 0,076 0,265 0,359
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,772 0,018 652 165 1,065 0,023 0,737 0,807
Actuellement enceinte 0,092 0,013 839 213 1,333 0,145 0,065 0,119
Connaît une méthode contraceptive 0,998 0,002 512 128 0,871 0,002 0,994 1,000
Connaît une méthode moderne 0,993 0,003 512 128 0,946 0,003 0,987 1,000
Utilise actuellement une méthode 0,359 0,028 512 128 1,332 0,079 0,303 0,416
Utilise actuellement une méthode moderne 0,222 0,029 512 128 1,577 0,131 0,164 0,280
Utilise actuellement la pilule 0,036 0,011 512 128 1,372 0,316 0,013 0,058
Utilise actuellement le DIU 0,000 0,000 512 128 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement des condoms masculins 0,139 0,018 512 128 1,171 0,129 0,103 0,174
Utilise actuellement des injectables 0,036 0,013 512 128 1,589 0,365 0,010 0,062
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,000 0,000 512 128 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement le retrait 0,053 0,012 512 128 1,230 0,231 0,028 0,077
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,084 0,015 512 128 1,233 0,180 0,054 0,115
A utilisé une source du secteur public 0,196 0,037 173 41 1,221 0,189 0,122 0,271
Ne veut plus d’enfant 0,242 0,021 512 128 1,094 0,086 0,201 0,284
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,329 0,030 512 128 1,438 0,091 0,269 0,389
Nombre idéal d’enfants 4,584 0,076 797 203 1,231 0,017 4,432 4,737
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,757 0,021 448 109 1,016 0,028 0,715 0,798
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,905 0,017 670 161 1,270 0,019 0,870 0,939
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,404 0,028 259 62 0,902 0,069 0,348 0,459
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,200 0,018 634 153 1,114 0,091 0,164 0,236
Traités avec des SRO 0,161 0,045 124 31 1,321 0,277 0,072 0,250
Traitement médical recherché 0,670 0,053 124 31 1,165 0,079 0,564 0,776
Carnet de vaccination montré 0,728 0,063 137 34 1,628 0,087 0,601 0,855
A reçu le vaccin du BCG 0,900 0,025 137 34 0,966 0,028 0,850 0,950
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,726 0,029 137 34 0,738 0,040 0,668 0,783
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,765 0,054 137 34 1,471 0,071 0,657 0,874
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,678 0,035 137 34 0,848 0,051 0,609 0,747
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,517 0,036 137 34 0,812 0,070 0,445 0,589
A reçu tous les vaccins de base 0,424 0,035 137 34 0,802 0,084 0,353 0,495
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,272 0,023 726 192 1,245 0,085 0,226 0,318
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,040 0,010 741 196 1,417 0,260 0,019 0,061
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,118 0,015 733 194 1,194 0,128 0,088 0,149
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,678 0,024 678 179 1,279 0,035 0,630 0,726
Prévalence du paludisme (RDT) 0,235 0,031 678 179 1,670 0,131 0,173 0,297
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,075 0,011 513 131 0,971 0,150 0,052 0,097
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,378 0,025 513 131 1,188 0,067 0,327 0,429
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,662 0,018 575 148 0,933 0,028 0,625 0,698
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,605 0,043 380 100 1,690 0,070 0,520 0,690
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,169 0,022 380 100 1,123 0,128 0,126 0,212
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,475 0,030 300 72 1,054 0,064 0,414 0,536
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,635 0,034 300 72 1,232 0,054 0,566 0,703
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,386 0,034 300 72 1,206 0,088 0,318 0,454
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 5,072 0,244 2 326 588 1,083 0,048 4,583 5,560
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–9 ans) 14,434 3,339 1 246 301 0,974 0,231 7,757 21,112
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–9 ans) 13,872 4,207 1 240 299 1,258 0,303 5,457 22,287
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–9 ans) 28,306 4,766 1 246 301 1,020 0,168 18,775 37,838
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–9 ans) 24,995 5,809 1 209 294 1,050 0,232 13,377 36,613
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–9 ans) 52,593 7,183 1 251 302 0,985 0,137 38,227 66,959
HOMMES
Milieu urbain 0,625 0,045 515 125 2,114 0,073 0,534 0,715
Alphabétisé 0,936 0,014 515 125 1,315 0,015 0,908 0,965
Aucune instruction 0,019 0,008 515 125 1,383 0,438 0,002 0,036
Niveau secondaire ou plus 0,778 0,029 515 125 1,578 0,037 0,720 0,836
Jamais marié/Jamais en union 0,573 0,039 515 125 1,770 0,067 0,496 0,651
Actuellement marié/en union 0,359 0,037 515 125 1,753 0,104 0,284 0,433
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,056 0,012 376 89 0,988 0,209 0,033 0,080
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,659 0,042 376 89 1,726 0,064 0,575 0,744
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,994 0,005 190 45 1,008 0,005 0,983 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,356 0,043 190 45 1,231 0,120 0,271 0,442
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,193 0,029 190 45 1,015 0,151 0,134 0,251
Nombre idéal d’enfants 5,585 0,284 440 110 2,005 0,051 5,017 6,153
Annexe B • 429
Tableau B.16 Erreurs de sondage : Échantillon Ogooué-Maritime (sans Port-Gentil), EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,413 0,029 1 169 148 2,041 0,071 0,355 0,472
Ayant accès à une MII 0,314 0,031 4 254 582 2,326 0,098 0,253 0,376
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,307 0,033 4 254 582 2,347 0,108 0,241 0,373
FEMMES
Milieu urbain 0,628 0,052 826 104 3,068 0,083 0,524 0,732
Alphabétisée 0,919 0,014 826 104 1,424 0,015 0,892 0,946
Aucune instruction 0,042 0,012 826 104 1,659 0,276 0,019 0,065
Niveau secondaire ou plus 0,757 0,024 826 104 1,612 0,032 0,709 0,805
Jamais mariée/jamais en union 0,373 0,018 826 104 1,084 0,049 0,336 0,409
Actuellement mariée/en union 0,520 0,019 826 104 1,114 0,037 0,481 0,559
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,228 0,020 658 82 1,233 0,089 0,188 0,268
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,740 0,024 658 82 1,386 0,032 0,692 0,787
Actuellement enceinte 0,053 0,007 826 104 0,908 0,134 0,039 0,067
Connaît une méthode contraceptive 0,994 0,004 435 54 0,928 0,004 0,987 1,000
Connaît une méthode moderne 0,993 0,004 435 54 0,874 0,004 0,985 1,000
Utilise actuellement une méthode 0,185 0,024 435 54 1,276 0,128 0,138 0,233
Utilise actuellement une méthode moderne 0,133 0,021 435 54 1,274 0,156 0,091 0,174
Utilise actuellement la pilule 0,031 0,008 435 54 0,980 0,263 0,015 0,047
Utilise actuellement le DIU 0,002 0,002 435 54 0,840 1,009 0,000 0,005
Utilise actuellement des condoms masculins 0,066 0,017 435 54 1,460 0,264 0,031 0,101
Utilise actuellement des injectables 0,004 0,003 435 54 0,991 0,755 0,000 0,010
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,004 0,004 435 54 1,113 0,805 0,000 0,011
Utilise actuellement le retrait 0,028 0,008 435 54 1,027 0,290 0,012 0,044
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,025 0,007 435 54 0,962 0,291 0,010 0,039
A utilisé une source du secteur public 0,235 0,062 108 15 1,513 0,265 0,110 0,360
Ne veut plus d’enfant 0,355 0,029 435 54 1,275 0,083 0,296 0,414
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,255 0,028 435 54 1,354 0,111 0,199 0,312
Nombre idéal d’enfants 4,362 0,069 814 103 0,926 0,016 4,224 4,499
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,704 0,035 399 50 1,529 0,049 0,634 0,774
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,944 0,020 582 73 1,734 0,021 0,904 0,985
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,375 0,054 217 28 1,667 0,144 0,266 0,483
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,164 0,020 568 71 1,246 0,119 0,124 0,203
Traités avec des SRO 0,019 0,014 90 12 1,008 0,745 0,000 0,048
Traitement médical recherché 0,631 0,073 90 12 1,366 0,116 0,485 0,777
Carnet de vaccination montré 0,726 0,039 101 12 0,853 0,053 0,649 0,804
A reçu le vaccin du BCG 0,899 0,032 101 12 1,051 0,035 0,836 0,963
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,745 0,040 101 12 0,894 0,054 0,664 0,825
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,865 0,031 101 12 0,915 0,036 0,802 0,927
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,704 0,043 101 12 0,935 0,062 0,618 0,791
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,649 0,047 101 12 0,963 0,072 0,556 0,742
A reçu tous les vaccins de base 0,541 0,047 101 12 0,924 0,087 0,447 0,635
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,159 0,015 621 89 0,984 0,093 0,130 0,189
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,039 0,008 630 90 1,136 0,209 0,023 0,056
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,087 0,014 627 90 1,159 0,157 0,059 0,114
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,617 0,031 560 79 1,491 0,051 0,554 0,679
Prévalence du paludisme (RDT) 0,041 0,012 560 79 1,409 0,289 0,017 0,064
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,086 0,011 514 65 0,913 0,131 0,063 0,108
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,446 0,023 514 65 1,053 0,052 0,400 0,492
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,637 0,025 554 70 1,246 0,040 0,586 0,688
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,379 0,046 379 47 1,826 0,121 0,288 0,470
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,107 0,017 379 47 1,044 0,155 0,074 0,140
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,299 0,044 264 28 1,540 0,146 0,212 0,386
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,369 0,047 264 28 1,588 0,128 0,275 0,464
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,257 0,037 264 28 1,359 0,143 0,184 0,330
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 5,110 0,274 2 314 290 1,354 0,054 4,562 5,659
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–9 ans) 12,631 3,886 1 096 136 1,111 0,308 4,860 20,402
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–9 ans) 10,576 4,443 1 094 136 1,335 0,420 1,690 19,463
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–9 ans) 23,207 5,432 1 096 136 1,132 0,234 12,344 34,070
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–9 ans) 3,301 1,755 1 059 131 0,990 0,532 0,000 6,812
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–9 ans) 26,432 5,667 1 097 137 1,112 0,214 15,098 37,765
HOMMES
Milieu urbain 0,586 0,046 560 65 2,182 0,078 0,495 0,678
Alphabétisé 0,904 0,023 560 65 1,815 0,025 0,859 0,950
Aucune instruction 0,047 0,011 560 65 1,229 0,234 0,025 0,069
Niveau secondaire ou plus 0,760 0,032 560 65 1,790 0,043 0,696 0,825
Jamais marié/Jamais en union 0,457 0,024 560 65 1,152 0,053 0,408 0,505
Actuellement marié/en union 0,427 0,029 560 65 1,368 0,067 0,370 0,484
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,070 0,014 450 51 1,176 0,203 0,041 0,098
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,726 0,024 450 51 1,159 0,034 0,677 0,775
Connaît une méthode contraceptive moderne 0,994 0,005 236 28 0,929 0,005 0,984 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,181 0,030 236 28 1,180 0,164 0,122 0,240
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,344 0,040 236 28 1,279 0,115 0,265 0,424
Nombre idéal d’enfants 5,568 0,184 553 64 0,885 0,033 5,201 5,936
430 • Annexe B
Tableau B.17 Erreurs de sondage : Échantillon Woleu-Ntem, EDSG-III 2019–21
Variable M ET N N’ DEFT ET/M M-2 ET M+2 ET
MÉNAGES
Possession d’au moins une MII 0,190 0,018 1 205 821 1,619 0,096 0,153 0,226
Ayant accès à une MII 0,133 0,015 4 903 3 447 1,636 0,114 0,103 0,163
Dormi sous une MII la nuit précédent l’enquête 0,102 0,015 4 903 3 447 1,835 0,149 0,071 0,132
FEMMES
Milieu urbain 0,658 0,060 908 597 3,766 0,091 0,538 0,777
Alphabétisée 0,921 0,011 908 597 1,211 0,012 0,899 0,942
Aucune instruction 0,034 0,009 908 597 1,484 0,264 0,016 0,051
Niveau secondaire ou plus 0,809 0,028 908 597 2,161 0,035 0,753 0,866
Jamais mariée/jamais en union 0,397 0,018 908 597 1,130 0,046 0,360 0,434
Actuellement mariée/en union 0,505 0,023 908 597 1,355 0,045 0,460 0,550
Mariée/en union avant l’âge de 18 ans 0,186 0,024 737 480 1,703 0,131 0,137 0,235
A eu des rapports sexuels avant l’âge de 18 ans 0,757 0,018 737 480 1,128 0,024 0,722 0,793
Actuellement enceinte 0,065 0,014 908 597 1,727 0,218 0,037 0,093
Connaît une méthode contraceptive 0,982 0,010 486 301 1,594 0,010 0,962 1,000
Connaît une méthode moderne 0,982 0,010 486 301 1,594 0,010 0,962 1,000
Utilise actuellement une méthode 0,240 0,041 486 301 2,131 0,173 0,157 0,323
Utilise actuellement une méthode moderne 0,180 0,029 486 301 1,653 0,161 0,122 0,237
Utilise actuellement la pilule 0,039 0,010 486 301 1,172 0,265 0,018 0,059
Utilise actuellement le DIU 0,005 0,003 486 301 1,079 0,706 0,000 0,012
Utilise actuellement des condoms masculins 0,053 0,012 486 301 1,147 0,220 0,030 0,076
Utilise actuellement des injectables 0,040 0,009 486 301 0,990 0,222 0,022 0,057
Utilise actuellement la stérilisation féminine 0,000 0,000 486 301 na na 0,000 0,000
Utilise actuellement le retrait 0,017 0,006 486 301 1,020 0,354 0,005 0,029
Utilise actuellement la méthode du rythme 0,042 0,020 486 301 2,154 0,467 0,003 0,082
A utilisé une source du secteur public 0,338 0,039 133 92 0,949 0,115 0,260 0,416
Ne veut plus d’enfant 0,251 0,025 486 301 1,245 0,098 0,202 0,300
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,168 0,022 486 301 1,320 0,133 0,123 0,213
Nombre idéal d’enfants 4,755 0,081 881 580 1,152 0,017 4,593 4,918
Mères protégées contre le tétanos pour la dernière
naissance 0,524 0,034 455 293 1,440 0,064 0,457 0,591
Assistance à l’accouchement par un prestataire qualifié 0,881 0,020 676 432 1,198 0,022 0,841 0,920
A reçu trois ou plus doses de SP/Fansidar 0,591 0,054 259 159 1,720 0,091 0,483 0,699
A eu la diarrhée dans les deux dernières semaines 0,120 0,017 629 406 1,248 0,141 0,086 0,153
Traités avec des SRO 0,069 0,040 81 48 1,376 0,580 0,000 0,150
Traitement médical recherché 0,367 0,055 81 48 0,951 0,150 0,257 0,477
Carnet de vaccination montré 0,719 0,037 128 82 0,921 0,052 0,644 0,794
A reçu le vaccin du BCG 0,912 0,024 128 82 0,954 0,026 0,864 0,960
A reçu le vaccin du DPT (3 doses) 0,708 0,037 128 82 0,927 0,053 0,633 0,783
A reçu le vaccin contre le polio à la naissance 0,848 0,031 128 82 0,965 0,036 0,787 0,909
A reçu le vaccin contre le polio (3 doses) 0,579 0,044 128 82 0,998 0,075 0,492 0,667
A reçu le vaccin contre la rougeole (MCV 12–23) 0,621 0,064 128 82 1,463 0,103 0,494 0,749
A reçu tous les vaccins de base 0,441 0,045 128 82 1,004 0,101 0,352 0,530
Taille-pour-Âge (-2 ET) 0,144 0,017 728 527 1,287 0,118 0,110 0,178
Poids-pour-Taille (-2 ET) 0,027 0,007 752 544 1,160 0,243 0,014 0,041
Poids-pour-Âge (-2 ET) 0,034 0,010 734 534 1,533 0,299 0,014 0,054
Prévalence de l’anémie (enfants 6–59 mois) 0,579 0,057 688 499 2,634 0,099 0,464 0,693
Prévalence du paludisme (RDT) 0,362 0,051 688 499 2,395 0,141 0,260 0,465
Indice de Masse Corporelle (IMC) <18,5 0,049 0,011 580 381 1,212 0,221 0,027 0,071
Indice de Masse Corporelle (IMC) ≥25 0,511 0,032 580 381 1,559 0,063 0,446 0,576
Prévalence de l’anémie (femmes 15–49 ans) 0,555 0,025 633 412 1,276 0,046 0,504 0,606
A subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans 0,453 0,027 428 292 1,108 0,059 0,400 0,506
A subi des violences sexuelles à n’importe quel moment 0,231 0,024 428 292 1,161 0,103 0,184 0,279
A subi des violences physiques/sexuelles par le plus
récent mari/partenaire 0,421 0,039 300 179 1,372 0,093 0,343 0,500
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire 0,579 0,041 300 179 1,444 0,071 0,497 0,662
A subi des violences physiques/sexuelles/émotionnelles
par le mari/partenaire aux cours des 12 derniers mois 0,426 0,044 300 179 1,523 0,102 0,339 0,514
Indice synthétique de fécondité (derniers 3 ans) 4,945 0,288 2 536 1 655 1,118 0,058 4,369 5,521
Quotient de mortalité néonatale (derniers 0–9 ans) 23,316 6,928 1 247 791 1,492 0,297 9,461 37,171
Quotient de mortalité post-néonatale (derniers 0–9 ans) 22,524 5,520 1 245 789 1,204 0,245 11,483 33,564
Quotient de mortalité infantile (derniers 0–9 ans) 45,840 9,383 1 247 791 1,387 0,205 27,075 64,605
Quotient de mortalité juvénile (derniers 0–9 ans) 19,410 5,236 1 209 766 1,149 0,270 8,939 29,882
Quotient de mortalité infanto-juvénile (derniers 0–9 ans) 64,360 12,875 1 250 793 1,498 0,200 38,610 90,111
HOMMES
Milieu urbain 0,600 0,063 534 323 2,949 0,105 0,473 0,726
Alphabétisé 0,901 0,013 534 323 0,993 0,014 0,876 0,927
Aucune instruction 0,063 0,013 534 323 1,219 0,204 0,037 0,089
Niveau secondaire ou plus 0,826 0,018 534 323 1,104 0,022 0,789 0,862
Jamais marié/Jamais en union 0,550 0,044 534 323 2,018 0,079 0,463 0,637
Actuellement marié/en union 0,373 0,040 534 323 1,902 0,107 0,293 0,453
Marié/en union avant l’âge de 18 ans 0,063 0,012 414 236 0,985 0,186 0,040 0,087
A eu des rapports sexuels avant 18 ans 0,707 0,035 414 236 1,559 0,049 0,637 0,777
Connaît une méthode contraceptive moderne 1,000 0,000 203 120 na 0,000 1,000 1,000
Ne veut plus d’enfants 0,227 0,026 203 120 0,874 0,113 0,176 0,279
Veut espacer la prochaine naissance de 2 ans ou plus 0,397 0,037 203 120 1,074 0,093 0,323 0,471
Nombre idéal d’enfants 5,120 0,227 514 310 1,481 0,044 4,666 5,574
Annexe B • 431
Tableau B.18 Erreurs de sondage pour les taux de mortalité adulte et maternelle pour les dernières 0–6 années, EDSG-III 2019–21
Nombre de cas Intervalle de confiance
Non- Effet de Erreur
Valeur Erreur type pondéré Pondéré sondage relative
Variable (M) (ET) (N) (N’) (DEFT) (ET/M) M-2ET M+2ET
FEMMES
Taux de mortalité adulte
15–19 1,022 0,319 17 635 18 224 1,351 0,313 0,383 1,660
20–24 1,121 0,342 20 636 22 121 1,523 0,305 0,438 1,804
25–29 2,966 0,922 19 946 21 659 2,504 0,311 1,121 4,811
30–34 2,140 0,442 17 756 19 379 1,330 0,207 1,256 3,024
35–39 4,369 0,873 13 448 14 031 1,573 0,200 2,624 6,115
40–44 7,798 1,463 8 762 8 877 1,557 0,188 4,871 10,725
45–49 10,202 2,338 5 334 5 280 1,562 0,229 5,526 14,878
15–49 (standardisés par âge) 3,396 0,340 103 517 109 571 1,677 0,100 2,715 4,077
Quotient de mortalité adulte
35q15 [2019–21] 138 15 103 517 109 571 2,543 0,107 108 167
35q15 [2012] 148 12 104 276 104 841 2,360 0,081 124 171
35q15 [2000] 183 16 72 008 74 261 1,579 0,086 152 215
Taux de mortalité maternelle
15–19 0,065 0,065 17 635 18 224 1,093 1,002 0,000 0,196
20–24 0,545 0,304 20 636 22 121 1,941 0,557 0,000 1,154
25–29 0,461 0,196 19 946 21 659 1,345 0,426 0,069 0,854
30–34 0,507 0,295 17 756 19 379 1,825 0,582 0,000 1,098
35–39 0,691 0,318 13 448 14 031 1,433 0,460 0,055 1,326
40–44 1,074 0,542 8 762 8 877 1,561 0,505 0,000 2,157
45–49 0,465 0,259 5 334 5 280 0,872 0,557 0,000 0,982
15–49 (standardisés par âge) 0,509 0,107 103 517 109 571 1,557 0,210 0,295 0,723
Rapport de Mortalité Maternelle [RMM]
RMM [2018] 399 84 103 517 109 571 1,525 0,210 232 567
Rapport de Mortalité Maternelle à
Cause de Grosses [RMMCG]
RMMCG [2019–21] 435 87 103 517 109 571 1,483 0,199 262 608
RMMCG [2012] 316 69 104 276 104 841 1,435 0,218 178 454
RMMCG [2000] 519 96 72 008 74 261 1,223 0,184 327 710
HOMMES
Taux de mortalité adulte
15–19 1,556 0,445 16 929 17 454 1,378 0,286 0,666 2,446
20–24 1,411 0,493 20 039 20 586 1,884 0,350 0,424 2,397
25–29 1,901 0,446 20 007 20 743 1,476 0,235 1,009 2,793
30–34 3,068 0,575 17 550 18 019 1,400 0,188 1,917 4,218
35–39 4,402 0,833 13 570 13 909 1,476 0,189 2,737 6,068
40–44 5,698 1,189 8 910 9 160 1,506 0,209 3,320 8,076
45–49 7,943 1,712 5 860 5 729 1,461 0,216 4,519 11,367
15–49 (standardisés par âge) 3,101 0,298 102 864 105 599 1,495 0,096 2,505 3,696
Quotient de mortalité adulte
35q15 [2019–21] 122 12 102 864 105 599 2,262 0,095 99 145
35q15 [2012] 171 15 101 665 101 577 2,286 0,090 140 202
35q15 [2000] 214 19 70 485 71 784 1,876 0,087 177 252
432 • Annexe B
TABLEAU POUR L’ÉVALUATION DE LA
QUALITÉ DES DONNÉES Annexe C
Tableau C.1 Répartition par âge de la population des ménages
Répartition de la population (de fait) des ménages par année d’âge selon le sexe (pondéré), EDSG-III 2019–21
Femme Homme Femme Homme
Âge Effectif Pourcentage Effectif Pourcentage Âge Effectif Pourcentage Effectif Pourcentage
0 719 3,0 686 3,0 36 330 1,4 311 1,4
1 707 3,0 738 3,3 37 241 1,0 323 1,4
2 503 2,1 695 3,1 38 272 1,2 296 1,3
3 745 3,2 742 3,3 39 259 1,1 263 1,2
4 623 2,6 701 3,1 40 295 1,3 331 1,5
5 673 2,9 648 2,9 41 239 1,0 208 0,9
6 599 2,5 682 3,0 42 261 1,1 282 1,2
7 544 2,3 561 2,5 43 229 1,0 249 1,1
8 639 2,7 604 2,7 44 192 0,8 272 1,2
9 551 2,3 545 2,4 45 194 0,8 267 1,2
10 524 2,2 539 2,4 46 150 0,6 177 0,8
11 516 2,2 510 2,3 47 149 0,6 245 1,1
12 519 2,2 523 2,3 48 162 0,7 195 0,9
13 540 2,3 434 1,9 49 220 0,9 180 0,8
14 552 2,3 469 2,1 50 246 1,0 219 1,0
15 370 1,6 375 1,7 51 166 0,7 189 0,8
16 444 1,9 411 1,8 52 192 0,8 148 0,7
17 404 1,7 403 1,8 53 164 0,7 144 0,6
18 456 1,9 392 1,7 54 172 0,7 153 0,7
19 320 1,4 345 1,5 55 149 0,6 174 0,8
20 394 1,7 316 1,4 56 111 0,5 113 0,5
21 355 1,5 310 1,4 57 145 0,6 132 0,6
22 432 1,8 338 1,5 58 123 0,5 96 0,4
23 489 2,1 290 1,3 59 122 0,5 117 0,5
24 390 1,7 268 1,2 60 131 0,6 148 0,7
25 473 2,0 374 1,7 61 107 0,5 92 0,4
26 366 1,6 314 1,4 62 102 0,4 81 0,4
27 458 1,9 352 1,6 63 105 0,4 116 0,5
28 431 1,8 343 1,5 64 64 0,3 82 0,4
29 355 1,5 313 1,4 65 127 0,5 102 0,5
30 432 1,8 423 1,9 66 88 0,4 67 0,3
31 307 1,3 250 1,1 67 81 0,3 74 0,3
32 372 1,6 329 1,5 68 83 0,4 78 0,3
33 355 1,5 310 1,4 69 47 0,2 41 0,2
34 271 1,1 306 1,3 70+ 671 2,8 459 2,0
35 369 1,6 401 1,8
Ensemble 23 585 100,0 22 665 100,0
Note : La population de fait comprend tous les résidents et les non-résidents qui ont dormi dans le ménage la nuit ayant précédé l’interview.
Annexe C • 433
Tableau C.2.1 Répartition par âge des femmes éligibles et interviewées
Population (de fait) des femmes de 10–64 ans, effectif et répartition (en %) par groupe
d’âges des femmes interviewées de 15–64 ans et pourcentage des femmes éligibles qui
ont été interviewées (pondéré), EDSG-III 2019–21
Population des
ménages : Pourcentage de
femmes 10–64 Femmes enquêtées 15–64 ans femmes éligibles
Groupe d’âges ans Effectif Pourcentage interviewées
10–14 2 652 na na na
15–19 1 994 1 875 15,7 94,0
20–24 2 060 1 966 16,4 95,4
25–29 2 083 1 940 16,2 93,1
30–34 1 737 1 642 13,7 94,5
35–39 1 470 1 365 11,4 92,8
40–44 1 216 1 129 9,4 92,9
45–49 874 804 6,7 91,9
50–54 572 517 4,3 55,1
55–59 418 397 3,3 na
60–64 328 318 2,7 na
65-69 305 na na na
15–49 11 435 10 719 89,7 93,7
Note : La population de fait comprend tous les résidents et les non-résidents qui ont dormi
dans le ménage la nuit ayant précédé l’enquête. Les pondérations utilisées sont celles de
l’enquête ménage. L’âge est basé sur le Tableau de Ménage.
na = non applicable
Note : La population de fait comprend tous les résidents et les non-résidents qui ont dormi
dans le ménage la nuit ayant précédé l’enquête. Les pondérations utilisées sont celles de
l’enquête ménage. L’âge est basé sur le Tableau de Ménage.
na = non applicable
434 • Annexe C
Tableau C.3 Complétude de l’enregistrement
Pourcentage d’observations manquantes pour certaines questions démographiques et de santé (pondéré), EDSG-III 2019–21
Pourcentage
avec information
Type d’information Population de référence manquante Nombre de cas
Date de naissance Naissances au cours des 15 années précédant l’enquête
Jour seulement 1,53 15 057
Mois seulement 2,52 15 057
Mois et année 0,08 15 057
Âge au décès Enfants décédés nés au cours des 15 années précédant l’enquête 0,00 573
Âge/date au premier mariage1 Femmes mariées 15-49 ans 0,81 6 846
Hommes mariés 15-64 ans 3,22 3 961
Niveau d’instruction de l’enquêté Toutes les femmes 15-64 ans 0,00 11 043
Tous les hommes 15-64 ans 0,00 6 894
Diarrhée dans les 2 dernières semaines Enfants vivants 0–59 mois 4,60 5 873
Anthropométrie des enfants Enfants vivants de 0–59 mois (à partir du Questionnaire Biomarqueur)
Taille 5,67 6 962
Poids 5,55 6 962
Taille ou Poids 5,67 6 962
Anthropométrie des femmes Femmes de 15-64 ans (à partir du Questionnaire Biomarqueur)
Taille 9,88 7 522
Poids 9,79 7 522
Taille ou Poids 9,88 7 522
Anthropométrie des hommes Hommes 15- 64 ans (à partir du Questionnaire Biomarqueur)
Taille 17,35 7 016
Poids 17,35 7 016
Taille ou Poids 17,35 7 016
Anémie
Enfants Enfants vivants de 6-59 mois (à partir du Questionnaire Biomarqueur) 9,74 6 325
Femmes Toutes les femmes (à partir du Questionnaire Biomarqueur) 13,70 8 840
Hommes Tous les hommes (à partir du Questionnaire Biomarqueur) 21,07 8 293
1
L’année et l’âge sont manquants.
Annexe C • 435
Tableau C.4 Naissances par année de naissance
Nombre de naissances, pourcentage de naissances avec une date de naissance complète, rapport de masculinité à la naissance et rapport de naissances annuelles pour les
enfants survivants, les enfants décédés et le total des enfants (pondéré), EDSG-III 2019–21
Pourcentage avec année et mois de Rapport de masculinité à la
Effectif de naissances naissance1 naisance2 Rapport de naissances annuelles3
Années Survivants Décédés Total Survivants Décédés Total Survivants Décédés Total Survivants Décédés Total
2019–21 664 7 672 100,0 100,0 100,0 98,7 38,1 97,8 na na na
2018–20 1 340 30 1 370 99,3 84,9 98,9 95,2 69,7 94,6 na na na
2017–19 1 136 47 1 183 99,8 97,6 99,7 117,3 84,6 115,8 92,8 109,6 93,4
2016–18 1 107 55 1 162 99,5 92,4 99,1 123,3 232,6 126,9 96,4 124,4 97,4
2015–17 1 162 42 1 204 99,3 90,6 99,0 123,0 88,9 121,6 107,2 83,1 106,1
2014–16 1 060 46 1 107 99,3 79,9 98,5 86,5 254,5 90,2 98,6 101,5 98,7
2013–15 990 49 1 039 98,0 81,0 97,2 106,6 170,9 108,9 94,6 111,0 95,3
2012–14 1 032 42 1 074 97,2 62,0 95,8 101,3 212,5 104,1 110,2 101,8 109,8
2011–13 884 34 917 97,0 83,5 96,5 76,2 77,7 76,3 90,1 92,1 90,2
2010–12 928 31 959 97,6 60,9 96,4 117,1 79,7 115,7 102,4 97,2 102,2
2015–16 – 2019–21 5 410 181 5 591 99,5 92,4 99,3 111,3 108,2 111,2 na na na
2010–11 – 2014–15 4 894 203 5 097 97,9 74,1 96,9 96,6 149,9 98,3 na na na
2005–06 – 2009–11 3 888 174 4 063 96,7 73,2 95,7 106,5 112,2 106,7 na na na
2000–01 – 2004–05 2 594 155 2 749 95,0 76,8 94,0 99,2 98,4 99,1 na na na
<2000–01 3 151 294 3 445 92,6 72,4 90,9 106,4 144,2 109,1 na na na
Ensemble 19 937 1 006 20 943 96,9 77,1 95,9 104,2 124,4 105,1 na na na
na = non applicable
1
(Nm/Nf)x100, o— Mm est le nombre de naissances masculines et Mf le nombre de naissances féminines
2
[2Nx/(Nx-1+Nx+1)]x100, o— Nx est le nombre de naissance de l’année x
1
= 6 jours / = 30 jours
436 • Annexe C
Tableau C.6 Enregistrement de l’âge au décès en mois
Répartition des décès survenus, d’après les déclarations, à moins de 2 ans, selon
l’âge au décès en mois, et pourcentage de décès survenus, d’après les
déclarations, à moins de 1 mois, par période de 5 ans précédant l’enquête
(pondéré), EDSG-III 2019–21
a
Y compris les décès survenus à moins d’un mois, déclarés en jours
1
Moins d’un mois / moins d’un an
Annexe C • 437
Tableau C.7 Complétude et données de qualité concernant le poids et la taille des enfants
Parmi les enfants de moins de 5 ans (0–59 mois) éligibles pour l’anthropométrie, pourcentage pour lesquels les mesures de la taille, du poids, ou le mois ou l’année de
naissance sont incomplètes ou manquantes ; parmi les enfants dont les données sur la taille et l’âge sont complètes, pourcentage pour lesquels les données pour la taille-
pour-âge ne sont pas plausibles ; parmi les enfants dont les données sur le poids et la taille sont complètes, pourcentage pour lesquels les données pour le poids-pour-
taille sont non plausibles ; et parmi les enfants dont les données sur le poids et l’âge sont complètes, pourcentage pour lesquels les données pour le poids-pour-âge sont
non plausibles ; et parmi tous les enfants de moins de 5 ans qui étaient éligibles pour les mesures anthropométriques, pourcentage pour lesquels les données sur la taille-
pour-âge, le poids-pour-taille ou le poids-pour âge sont valides, selon certaines caractéristiques sociodémographiques (non pondéré), EDSG-III 2019–21
Pourcentage avec des données Pourcentage avec des données
incomplètes ou manquantes pour : Pourcentage avec des données non plausibles pour : valides pour8 :
Nombre Nombre
Nombre d’enfants d’enfants
d’enfant avec des avec des
avec des données données
données com- com-
sur la plètes plètes
Taille- taille et Poids- sur le Poids- sur le Taille- Poids-
Caractéristique Âge en Effectif pour- l’âge pour- poids et pour- poids et pour- pour- Poids- Effectif
1 2
sociodémographique Taille Poids mois3 d’enfants âge4 complet5 taille6 la taille âge7 l’âge8 âge taille pour-âge d’enfants
Âge en mois
<6 4,5 4,5 0 693 1,8 661 2,6 662 0,6 661 93,7 93,1 94,8 693
6–8 3,3 3,0 1 394 0,5 379 0,3 381 0,0 380 95,7 96,4 96,4 394
9–11 4,8 4,8 1 334 0,0 317 0,9 318 0,0 317 94,9 94,3 94,9 334
12–17 3,0 3,0 1 758 0,7 732 0,5 735 0,5 732 95,9 96,4 96,0 758
18–23 3,4 3,3 2 674 1,1 642 0,2 651 0,2 643 94,2 96,4 95,3 674
24–35 3,3 3,1 1 1 373 0,4 1 313 0,5 1 328 0,2 1 315 95,3 96,2 95,6 1 373
36–47 3,2 3,2 2 1 407 0,5 1 341 0,2 1 362 0,1 1 341 94,8 96,6 95,2 1 407
48–59 3,2 3,2 2 1 364 0,2 1 299 0,8 1 321 0,0 1 299 95,1 96,0 95,2 1 364
Sexe
Masculin 3,6 3,5 1 3 632 0,8 3 461 0,7 3 501 0,2 3 464 94,5 95,7 95,2 3 632
Féminin 3,2 3,2 1 3 365 0,4 3 223 0,7 3 257 0,1 3 224 95,4 96,1 95,7 3 365
Interview de la mère
Interviewée 2,8 2,7 0 5 531 0,6 5 361 0,7 5 376 0,2 5 365 96,3 96,5 96,8 5 531
Mère non interviewée
mais vivant dans le
ménage 21,0 21,0 8 271 1,9 210 0,9 214 0,0 210 76,0 78,2 77,5 271
Mère non interviewée
et ne vivant pas dans
le ménage9 2,3 2,3 5 1 195 0,3 1 113 0,4 1 168 0,2 1 113 92,9 97,3 93,0 1 195
Province
Libreville 3,6 3,6 1 841 0,5 806 1,6 811 0,2 806 95,4 94,9 95,6 841
Port-Gentil 2,1 2,1 1 484 0,6 469 0,6 474 0,0 469 96,3 97,3 96,9 484
Estuaire (sans
Libreville) 2,8 2,8 2 597 0,5 569 0,7 580 0,4 569 94,8 96,5 95,0 597
Haut-Ogooué 4,8 4,7 1 619 0,9 585 0,8 589 0,2 586 93,7 94,3 94,5 619
Moyen-Ogooué 2,7 2,7 1 584 0,7 563 0,5 568 0,2 563 95,7 96,7 96,2 584
Ngounié 2,6 2,6 1 687 0,3 663 0,3 669 0,2 663 96,2 97,1 96,4 687
Nyanga 2,7 2,7 2 583 0,2 558 0,5 567 0,0 558 95,5 96,7 95,7 583
Ogooué-Ivindo 3,6 3,3 1 583 0,7 556 0,5 562 0,4 558 94,7 95,9 95,4 583
Ogooué-Lolo 3,7 3,7 2 624 0,3 592 0,3 601 0,2 592 94,6 96,0 94,7 624
Ogooué-Maritime (sans
Port-Gentil) 3,5 3,3 2 692 0,9 656 0,6 668 0,3 657 93,9 96,0 94,7 692
Woleu-Ntem 4,9 4,9 1 679 0,9 644 0,8 646 0,0 644 94,0 94,4 94,8 679
Niveau d’instruction de
la mère
Aucun 4,0 3,8 2 421 0,3 397 0,5 404 0,0 398 94,1 95,5 94,5 421
Primaire 3,4 3,3 0 1 355 0,8 1 304 0,9 1 309 0,2 1 305 95,5 95,7 96,1 1 355
Secondaire 1er cycle 3,0 3,0 1 2 787 0,7 2 697 0,7 2 703 0,2 2 698 96,1 96,3 96,6 2 787
Secondaire 2e cycle 3,6 3,6 0 845 0,5 814 0,6 815 0,1 814 95,9 95,9 96,2 845
Supérieur 7,8 7,5 0 373 0,6 344 1,2 344 0,3 345 91,7 91,2 92,2 373
Manquant 28,6 28,6 19 21 0,0 15 0,0 15 0,0 15 71,4 71,4 71,4 21
À suivre…
438 • Annexe C
Tableau C.7—Suite
Pourcentage avec des données Pourcentage avec des données
incomplètes ou manquantes pour : Pourcentage avec des données non plausibles pour : valides pour8 :
Nombre Nombre
Nombre d’enfants d’enfants
d’enfant avec des avec des
avec des données données
données com- com-
sur la plètes plètes
Taille- taille et Poids- sur le Poids- sur le Taille- Poids-
Caractéristique Âge en Effectif pour- l’âge pour- poids et pour- poids et pour- pour- Poids- Effectif
sociodémographique Taille 1
Poids 2
mois3 d’enfants âge4 complet5 taille6 la taille âge7 l’âge8 âge taille pour-âge d’enfants
Mesureur
Mesureur équipe 1 1,7 1,7 0 407 0,8 399 0,5 400 0,3 399 97,3 97,8 97,8 407
Mesureur équipe 1 1,0 1,0 0 103 0,0 102 2,9 102 1,0 102 99,0 96,1 98,1 103
Mesureur équipe 2 4,4 4,4 0 427 1,2 407 2,0 408 0,0 407 94,1 93,7 95,3 427
Mesureur équipe 2 6,4 6,4 0 298 0,0 278 1,8 279 0,4 278 93,3 91,9 93,0 298
Mesureur équipe 3 0,0 0,0 0 1 0,0 1 0,0 1 0,0 1 100,0 100,0 100,0 1
Mesureur équipe 3 1,7 1,7 2 527 0,0 510 0,6 518 0,0 510 96,8 97,7 96,8 527
Mesureur équipe 4 1,2 1,2 0 244 0,0 241 0,0 241 0,0 241 98,8 98,8 98,8 244
Mesureur équipe 5 1,1 1,1 0 369 1,9 365 0,8 365 0,3 365 97,0 98,1 98,6 369
Mesureur équipe 6 0,0 0,0 0 1 0,0 1 0,0 1 0,0 1 100,0 100,0 100,0 1
Mesureur équipe 6 5,6 5,2 0 231 0,9 217 0,9 218 0,5 218 93,1 93,5 93,9 231
Mesureur équipe 7 0,9 0,9 1 329 0,0 323 0,3 326 0,0 323 98,2 98,8 98,2 329
Mesureur équipe 7 1,4 0,9 0 216 0,0 213 0,0 213 0,0 214 98,6 98,6 99,1 216
Mesureur équipe 8 0,6 0,6 3 337 0,9 325 0,0 335 0,0 325 95,5 99,4 96,4 337
Mesureur équipe 8 9,1 9,1 0 11 0,0 10 0,0 10 0,0 10 90,9 90,9 90,9 11
Mesureur équipe 9 9,0 9,0 2 201 0,0 181 0,0 183 0,0 181 90,0 91,0 90,0 201
Mesureur équipe 10 10,0 10,0 1 201 0,6 179 0,0 181 0,6 179 88,6 90,0 88,6 201
Mesureur équipe 10 100,0 100,0 0 1 0,0 0 0,0 0,0 0,0 0 0,0 0,0 0,0 1
Mesureur équipe 10 100,0 100,0 0 2 0,0 0 0,0 0,0 0,0 0 0,0 0,0 0,0 2
Mesureur équipe 10 0,9 0,9 0 225 1,8 222 1,3 223 0,0 222 96,9 97,8 98,7 225
Mesureur équipe 10 0,0 0,0 0 5 0,0 5 0,0 5 0,0 5 100,0 100,0 100,0 5
Mesureur équipe 11 8,1 8,1 1 197 1,7 180 2,2 181 0,6 180 89,8 89,8 90,9 197
Mesureur équipe 11 0,0 0,0 0 7 0,0 7 0,0 7 0,0 7 100,0 100,0 100,0 7
Mesureur équipe 11 3,5 3,5 1 460 0,2 438 0,2 444 0,0 438 95,0 96,3 95,2 460
Mesureur équipe 12 2,4 2,4 0 85 1,2 83 2,4 83 0,0 83 96,5 95,3 97,6 85
Mesureur équipe 12 0,9 0,9 2 114 0,9 111 0,9 113 0,0 111 96,5 98,2 97,4 114
Mesureur équipe 12 1,1 1,1 1 624 0,8 610 0,0 617 0,2 610 97,0 98,9 97,6 624
Mesureur équipe 13 8,3 8,3 0 12 0,0 11 0,0 11 0,0 11 91,7 91,7 91,7 12
Mesureur équipe 15 7,9 7,9 4 140 0,8 126 0,8 129 0,0 126 89,3 91,4 90,0 140
Mesureur équipe 15 35,0 35,0 0 20 0,0 13 0,0 13 0,0 13 65,0 65,0 65,0 20
Mesureur équipe 17 7,7 7,7 0 26 0,0 24 0,0 24 0,0 24 92,3 92,3 92,3 26
Mesureur équipe 17 0,0 0,0 0 10 0,0 10 0,0 10 0,0 10 100,0 100,0 100,0 10
Mesureur équipe 18 6,4 6,4 1 171 1,3 159 0,0 160 1,3 159 91,8 93,6 91,8 171
Mesureur équipe 19 3,8 3,3 3 184 0,0 174 0,0 177 0,0 175 94,6 96,2 95,1 184
Mesureur équipe 20 7,3 7,3 1 123 0,0 114 4,4 114 0,9 114 92,7 88,6 91,9 123
Mesureur équipe 23 0,4 0,4 1 258 0,0 254 0,8 257 0,4 254 98,4 98,8 98,1 258
Mesureur équipe 23 0,0 0,0 0 2 0,0 2 0,0 2 0,0 2 100,0 100,0 100,0 2
Mesureur équipe 24 2,4 1,8 4 169 0,0 159 0,0 165 0,0 160 94,1 97,6 94,7 169
Mesureur équipe 25 50,0 50,0 0 2 0,0 1 0,0 1 0,0 1 50,0 50,0 50,0 2
Mesureur équipe 26 1,7 1,7 5 234 0,5 218 0,4 230 0,0 218 92,7 97,9 93,2 234
Mesureur équipe 26 0,0 0,0 0 4 0,0 4 0,0 4 0,0 4 100,0 100,0 100,0 4
Ensemble 3,4 3,4 1 6 997 0,6 6 684 0,7 6 758 0,2 6 688 95,0 95,9 95,4 6 997
1
La taille de l’enfant en centimètres est manquante, l’enfant n’était pas présent, la remesure de l’enfant a été refusée et code résultat “autre”.
2
Le poids de l’enfant en kilogrammes est manquant, l’enfant n’était pas présent, la mesure de l’enfant a été refusée et code résultat “autre”.
3
Date de naissance incomplète ; une date de naissance complète comprend le jour/mois/année ou le mois/année.
4
Les cas non plausibles pour la taille-pour-âge sont définis comme plus de 6 écarts type (ET) au-dessus ou en-dessous de la médiane de la population de référence
(z scores) basé sur les Normes OMS de la croissance de l’enfant parmi les enfants dont les données sur la taille et sur le mois/année de naissance sont complètes.
5
L’âge complet est obtenu à partir du mois et de l’année de naissance.
6
Les cas non plausibles pour le poids-pour-taille sont définis comme plus de 5 écarts type (ET) au-dessus ou en-dessous de la médiane de la population de référence
(z scores) basé sur les Normes OMS de la croissance de l’enfant parmi les enfants dont les données sur le poids et sur le mois/année de naissance sont complètes.
7
Les cas non plausibles pour le poids-pour-âge sont définis comme plus de 6 ET en-dessous ou 5 ET au-dessus de la médiane de la population de référence (z scores)
basé sur les Normes OMS de la croissance de l’enfant parmi les enfants dont les données sur le poids et sur le mois/année de naissance sont complètes.
8
Pas de données manquantes, incomplètes ou hors limite
9
Y compris les enfants dont la mère est décédée.
Annexe C • 439
Tableau C.8 Nombre de grappes de dénombrement complétées par mois, selon la province, EDSG-III 2019–21
Mois
Janvier Février Mars Avril Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre
2019 2019 2019 2019 2018 2018 2018 2018 2018 2018 2018 Ensemble
Province
Libreville 1 0 3 0 5 0 0 0 0 3 31 43
Port-Gentil 6 5 4 0 3 5 3 4 0 0 0 30
Estuaire (sans
Libreville) 5 8 3 0 16 2 0 0 0 0 0 34
Haut-Ogooué 3 4 4 0 0 4 10 8 0 0 0 33
Moyen-Ogooué 5 10 6 0 3 4 5 2 0 0 0 35
Ngounié 3 4 3 0 0 7 10 7 0 0 0 34
Nyanga 6 5 8 0 0 5 5 3 0 0 0 32
Ogooué-Ivindo 7 7 6 0 3 3 6 5 0 0 0 37
Ogooué-Lolo 2 9 6 2 5 5 5 3 0 0 0 37
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) 0 3 8 0 8 6 6 6 0 0 0 37
Woleu-Ntem 3 8 7 0 2 4 4 5 5 0 0 38
Pourcentage 11 16 15 1 12 12 14 11 1 1 8 100
Ensemble 41 63 58 2 45 45 54 43 5 3 31 390
Tableau C.9 Pourcentage d’enfants de 6-59 mois classés comme ayant le paludisme selon le TDR, par mois et par province, EDSG-III
2019–21
Mois
Novembre Décembre Janvier Février Mars Juin Juillet Août Septembre Octobre
2019 2019 2020 2020 2020 2021 2021 2021 2021 2021 Ensemble
Province
Libreville 2,9 2,4 * * (2,5) 6,8 * * * * 3,7
Port-Gentil * * 0,4 1,2 0,0 (0,0) 0,0 * (0,0) * 0,4
Estuaire (sans
Libreville) * * 5,2 1,8 (28,5) 18,9 * * * * 13,1
Haut-Ogooué * * (6,9) 18,5 28,6 * 3,2 10,7 5,2 * 10,0
Moyen-Ogooué * * 11,7 3,6 4,3 (26,4) 28,1 31,1 (18,0) * 15,6
Ngounié * * 23,0 19,6 (17,8) * 45,3 29,1 17,4 * 25,5
Nyanga * * 21,5 21,4 7,3 * 21,4 (20,9) (29,8) * 18,3
Ogooué-Ivindo * * 55,5 38,1 35,0 (39,8) 27,5 36,0 48,1 * 40,3
Ogooué-Lolo * * 27,1 17,3 12,6 15,7 36,0 24,1 13,9 * 19,1
Ogooué-Maritime
(sans Port-Gentil) * * * 0,0 0,0 5,9 6,8 3,3 3,7 * 3,5
Woleu-Ntem * * 39,7 40,6 47,9 * 53,7 42,3 21,0 8,9 31,5
Ensemble 2,9 2,4 11,4 11,3 17,3 12,7 20,2 18,8 13,9 8,9 10,6
Note : Les valeurs entre parenthèses sont basées sur 25–49 cas non pondérés. Un astérisque indique qu’une valeur est basée sur moins de 25 cas
non pondérés et qu’elle a été supprimée.
Effectif des frères et sœurs déclarés par les enquêtées et complétude des données déclarées concernant l’état de
survie, l’âge au décès et le nombre d’années écoulées depuis le décès (sans pondération), EDSG-III 2019–21
Sœurs Frères Ensemble
Effectif % Effectif % Effectif %
Ensemble des frères et sœurs 21 182 100,0 21 221 100,0 42 403 100,0
Survivants 19 890 93,9 19 835 93,5 39 725 93,7
Décédés 1 290 6,1 1 381 6,5 2 671 6,3
État de survie manquant 2 0,0 5 0,0 7 0,0
Ensemble des survivants 19 890 100,0 19 835 100,0 39 725 100,0
Âge déclaré 19 890 100,0 19 835 100,0 39 725 100,0
Ensemble des décédés 1 290 100,0 1 381 100,0 2 671 100,0
Âge et nombre d’années déclarés 1 290 100,0 1 381 100,0 2 671 100,0
440 • Annexe C
Tableau C.11 Taille de la fratrie et rapport de
masculinité des frères et sœurs
Taille moyenne de la fratrie et rapport de
masculinité à la naissance des frères et sœurs,
EDSG-III 2019–21
Rapport de
Âge des Taille moyenne masculinité a la
enquêtées de la fratrie1 naissance2
15–19 5,1 94,5
20–24 5,6 99,4
25–29 5,4 99,0
30–34 5,2 101,4
35–39 5,3 104,6
40–44 5,3 91,6
45–49 5,4 104,2
Total 5,3 98,9
1
Y compris l’enquêtée.
2
Non compris l’enquêtée.
1
Est défini comme étant lié à la grossesse, tout décès de femme qui se produit pendant la grossesse ou dans
les 2 mois qui suivant la fin de la grossesse, quelle qu’en soit la cause y compris les accidents ou les actes de
violence.
2
Exprimé pour 1 000 femmes années d’exposition.
3
Taux ajusté par âge exprimé pour 1 000 femmes de 15–49 ans.
4
Exprimé pour 100 000 naissances vivantes ; calculé comme suit [Taux de mortalité liée à la grossesse
standardisé par âge x 100 / TGFG ajusté par âge.
5
Calculé à partir de la formule suivante : 1-(1-RMG) ISF ou l’ISF est l’indice synthétique de fécondité pour la
période de 7 ans précédant l’enquête.
a
Taux ajustés par âge.
Annexe C • 441
Tableau C.13 Mortalité liée à la grossesse
Estimations directes des taux de mortalité liée à la grossesse pour la période des 7 années
précédant l’enquête, par groupe d’âge quinquennaux, EDSG-III 2019–21
Pourcentage de
décès de Taux de mortalité
femmes lies à la Décès liés à la Années liée à la
Âge grossesse grossesse1 d’exposition grossesse2
15–19 7,8 1 18 224 0,08
20–24 48,7 12 22 121 0,55
25–29 18,6 12 21 659 0,55
30–34 24,1 10 19 379 0,52
35–39 20,4 12 14 031 0,89
40–44 13,8 10 8 878 1,07
45–49 4,6 2 5 280 0,46
Ensemble 15–49 18,0 60 109 571 0,55a
1
Est défini comme étant lié à la grossesse, tout décès de femme qui se produit pendant la
grossesse ou dans les 2 mois qui suivant la fin de la grossesse, quelle qu’en soit la cause y
compris les accidents ou les actes de violence.
2
Exprimé pour 1 000 femmes années d’exposition.
a
Taux ajusté selon l’âge.
442 • Annexe C
PERSONNELS DE L’EDSG-III 2019–21 Annexe D
NOM ET PRÉNOM(S) RÔLE
Coordination nationale
MFOUBA Pierre Claver (MPC) Directeur Général (2023)
EBANG EBANG Prosper (EEP) Directeur Général (2020–23)
TIWINOT Francis Thierry (TFT) Directeur Général (2018–20)
ITSIEMBOU N’DOSY Rêve épouse MANGOUMBA (INR) Directeur Général Adjoint (2021–23)
NTSAME ONDO Nicole épouse NGUEMA MBOGHO (NON) Directeur Général Adjoint (2019–21)
NGUEMA MEBANE Jean Nestor (NMMJN) Directeur Général Adjoint 1 (2018–19)
BOULINGUI Donatien (BD) Directeur Général Adjoint 2 (2018–19)
Coordination technique
ZE NGUEMA Désiré (DZN) Coordonnateur Technique
Dr MINTSA NDONG Armel DA LNSP (BIOM.)
REVAZA ADJENDJA Elvire Gwenaël (RAEG) Gestionnaire, Administ. et Fin.
Annexe D • 443
NOM ET PRÉNOM(S) RÔLE
444 • Annexe D
NOM ET PRÉNOM(S) RÔLE
Personnels de terrain
ALLOGHO EYIME Junior Parfait Biomarqueur
ASSEKO ONDO Jordache Pigerid Etienne Biomarqueur
AVA N’NANG Thierry Biomarqueur
BIENE Joël Biomarqueur
BOUPENGA BOUCKA Chantry Biomarqueur
EDOU OBIANG Biomarqueur
ELLA NDOH Gildas Biomarqueur
ELLA Patrick Gildas Biomarqueur
EMANE NANG epse ONDO Aline Francisca Biomarqueur
ENGONGA BEKA Guy Igor Martial Biomarqueur
ESSONE MBEANG Jean Bernard Biomarqueur
EYAGUI BANGOUYA Stu Resky Joyca Biomarqueur
IWOUNGOU IBALA Aude Staelle Biomarqueur
KEBA MILEKOU Alban Gaël Biomarqueur
KEYI MABIKA NZAHOU Megane Vanessa Biomarqueur
LINGOMBE Roland Biomarqueur
MADAMA Vanissa Biomarqueur
MANFOUMBI Alain Giresse Biomarqueur
MANGALA LEYENGUI Orphélie Jordane Biomarqueur
MASSIMA Jancen Octave Biomarqueur
MAVIKANA NDINGA Diane Urielle Biomarqueur
MBAZOGO ENGONGA Nadège Biomarqueur
MBOUMBA Laurette biomarqueur
MENGUE M’OWONO Nadia Biomarqueur
MESSOLO ENGO Karl Stevy Biomarqueur
MEYE ME MVE Christ Michel Biomarqueur
MILEBOU Linda Marlyse Biomarqueur
MINTOGO OBIANG Gérald D. Biomarqueur
MOMBO MAGANGA Christian Biomarqueur
MOMBO MOMBO Lacysse Lewis H Biomarqueur
MOUELE MAWOKOU Régie Lumière Biomarqueur
MOUETCHANDJA Georgette Sydy Ornella Biomarqueur
MOUKETOU MOUKETOU Ridje Carlainth Biomarqueur
MOUSSADJI Thierry Léonce Dibakhou Biomarqueur
MOUSSONGO NYOMBA Albertine Odette Biomarqueur
MOUZENGUI NZIENGUI Christelle Biomarqueur
NDOMBI MAKOKI Ovely Carole Biomarqueur
NDONG ENDAMANE Douguy Biomarqueur
NGOMO Stania Florence Biomarqueur
NGOULOU Frédéric Biomarqueur
NKOGHO ELLA Alcide Biomarqueur
NSA EYI Cinthya Lauriane Biomarqueur
NTSAME ASSOUMOU Grace Larielle Biomarqueur
NTSAME ELLA Sylvie Alberte Biomarqueur
NVOULA SIDI Mainard Biomarqueur
OKIRI ODJOGUI Nai-Walmerane Biomarqueur
OKOUE ASSOUMOU Morance Biomarqueur
OLLOMO Jean Joël Biomarqueur
ONDO AKOUMASSA-KOUSSE Wensceslas Biomarqueur
OWONO OWONO Forel Fredy Biomarqueur
OYANE Anne Marie Biomarqueur
SANGOMBA Priscilla Henriette Biomarqueur
TATY Fridda Loviane Biomarqueur
EKAYENG Joseph Chef d’équipe
MBEGA NKOUMOU Gatien Chef d’équipe
MBINA MBINA Vanesca Grazelia Chef d’équipe
MIKAMA MOUKEDE Joël Chef d’équipe
Annexe D • 445
NOM ET PRÉNOM(S) RÔLE
446 • Annexe D
NOM ET PRÉNOM(S) RÔLE
Chauffeurs
AKAGHA Guy Cesar WILSON Chauffeur
AKALAGA Jean Pierre Chauffeur
ASSANG OBIANG Audrain Rodrigue Chauffeur
AZIGODOE Messan Chauffeur
BA Amadou Chauffeur
BITEGUE MEVONG Chauffeur
BIYOGUE BIYOGUE Christian Aimer Chauffeur
BOUSSENGUI Celestin Chauffeur
CISSE Madou Chauffeur
DIYAMBI Paul Marie Chauffeur
EDIBADINA MOMBO Jean Felix Chauffeur
EKOMESSE BEKUI Jean Serge Chauffeur
ESSANDZU Nicolas Chauffeur
ESSONE MBEANG Jean Bernard Chauffeur
EYELE ZOLO Mercian Chauffeur
EYI ABESSOLO Kenith Chauffeur
Annexe D • 447
NOM ET PRÉNOM(S) RÔLE
Personnel d’appui
METOGHO ME NGUEMA Simphore Appui, Administ. et Finances
MOUGUENGUI Hurish Appui, Administ. et Finances
NABAN BITEGHE Gilbert Appui, Administ. et Finances
NTSAME DZO Gélisa Stagiaire, Administ. et Finances
NZIENGUI Brice Parfait Appui, Administ. et Finances
OMBOSSO Reine Stagiaire, Administ. et Finances
PADZYS NDAKISSA Nadine Appui, Administ. et Finances
YENO PONOU Mélia Appui, Administ. et Finances
BOUEMBA Christelle épouse MEBALE Appui, Laboratoire National
ABENG DOUMBIA Aïcha Appui, Laboratoire National
M’PIRAH Rigobert Appui, Laboratoire National
448 • Annexe D
Personnel d’ICF
BARRÈRE Bernard
MONTANA Livia
BEKELE Yodit
REN Ruilin
SINARE Tinga
NITIEMA Juste
TOUKAM Michel
OUMAROU Sanou
GAYLORD Shonda
FISHEL Joy
BARRÈRE Monique
BEHAGUE Sabina
GRAMER Chris
SHATTUCK Natalie
WARDELL Joan
REDVERS-LEE Peter
JANOCHA Bradley
DONOHUE Rose
BENEDICT Rukundo
TAYLOR Cameron
GONZALEZ Ivan
ECKERT Emily
ZACHARY Blake
RAGGERS Han
OWUSU ANSAH Victoria
WELLINGTON Bridgette
Annexe D • 449
QUESTIONNAIRES Annexe E
Annexe E • 451
VERSION: QUES. FINAL
IDENTIFICATION
NOM DE LA LOCALITÉ
VISITES D'ENQUÊTRICES/ENQUÊTEURS
1 2 3 VISITE FINALE
DATE JOUR
MOIS
ANNÉE 2 0
NOM DE L'ENQUÊTEUR/ No
ENQUÊTRICE ENQUÊT
RÉSULTAT* RÉSULTAT*
PROCHAINE DATE
VISITE NOMBRE TOTAL
HEURE DE VISITES
LANGUE DU
QUESTIONNAIRE** 0 1 LANGUE DE
L'INTERVIEW**
LANGUE MATERNELLE
DE L'ENQUÊTÉ**
TRADUCTEUR
(OUI = 1, NON = 2)
LANGUE DU
QUESTIONNAIRE** FRANÇAIS **CODES LANGUES :
01 FRANÇAIS 04 SHIRA-PUNU 07 AUTRE GABON
02 FANG 05 MBEDE-TEKE 96 AUTRE
03 NZEBI-DUMA 06 MYENE
................
NOM NUMÉRO
Annexe E • 453
CETTE PAGE EST LAISSÉE BLANCHE INTENTIONNELLEMENT
454 • Annexe E
PRÉSENTATION ET DEMANDE DE CONSENTEMENT
MINUTES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Annexe E • 455
TABLEAU MÉNAGE
SI 15 ANS
OU PLUS
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
S'il vous plait, donnez-moi les Quel est le lien (NOM) (NOM) (NOM) Quel âge a Quel est l'état ENCER- ENCER-
SI
noms des personnes qui de parenté de est-il de vit-il/ a t-il/ (NOM) ? matrimonial actuel CLEZ LE No CLEZ LE No
MÉNAG
vivent habituellement dans (NOM) avec le sexe elle ici elle de (NOM) ? DE LIGNE DE LIGNE
E SÉLEC-
votre ménage et des visiteurs chef de ménage masculi habituell passé la DE TOUTES DE TOUS
TIONNÉ
qui ont passé la nuit dernière ? n ou ement ? nuit LES LES
POUR
ici, en commençant par le féminin dernière FEMMES ENFANTS
ENQUÊ-
chef de ménage. ? ici ? DE 15-49 DE 0-5
TE
ANS ANS
HOMME
M F O N O N EN ANNÉES
01 1 2 1 2 1 2 01 01 01
1 2 1 2 1 2
02 02 02 02
1 2 1 2 1 2
03 03 03 03
1 2 1 2 1 2
04 04 04 04
1 2 1 2 1 2
05 05 05 05
1 2 1 2 1 2
06 06 06 06
1 2 1 2 1 2
07 07 07 07
1 2 1 2 1 2
08 08 08 08
1 2 1 2 1 2
09 09 09 09
1 2 1 2 1 2
10 10 10 10
2A) Juste pour être sûre que j'ai une liste complète : y a-t-il CODES POUR Q. 3: LIEN DE PARENTÉ AVEC CHEF DE
d'autres personnes comme des petits enfants ou des AJOUTEZ MÉNAGE
OUI NON
nourrissons que nous n'avons pas listés ? AU TABLEAU 01 = CHEF DE MÉNAGE 08 = FRÈRE OU SOEUR
2B) Y a-t-il d'autres personnes qui ne sont peut-être pas 02 = FEMME OU MARI / 09= ONCLE/TANTE
membres de votre famille, comme des domestiques, AJOUTEZ (CONJOINT OU CONJOINTE) 10=NIÈCE/NEVEUX
OUI NON
locataires ou amis qui vivent habituellement ici ? AU TABLEAU 03 = FILS OU FILLE 11 = AUTRE PARENT
2C) Avez-vous des invités ou des visiteurs temporaires qui sont 04 GENDRE OU BRU 12 = ADOPTÉ /EN GARDE/
chez vous, ou d'autres personnes qui ont dormi ici la nuit AJOUTEZ 05 = PETIT FILS/FILLE ENFANT DE LA FEMME/MARI
OUI NON
dernière et qui n'ont pas été listés ? AU TABLEAU 06 = PÈRE/MÈRE 13 = SANS PARENTÉ
07 = BEAU-PARENT 98 = NE SAIT PAS
456 • Annexe E
TABLEAU MÉNAGE
12 13 14 15 16 17 17A 18 19 20
La mère La mère Le père Le père (NOM) a-t- Quel est le plus haut (NOM) a (Nom) a-t-il Au cours de cette (NOM) a-t-il/elle
biologique biologique de biologique biologique de il/elle déjà niveau d'études que achevé au /elle année scolaire, à quel un acte de
de (NOM) (NOM) vit-elle de (NOM) (NOM) vit-il fréquenté (NOM) a atteint ? (NIVEAU fréquenté niveau et en quelle naissance ?
est-elle en habituellement est-il en habituellement l'école ? ENREGISTRÉ l'école à classe est/était
vie ? dans ce vie ? dans ce Quelle est la dernière À 17) la classe n'importe (NOM) ? SI NON,
ménage ou ménage ou classe que (NOM) a de (CLASSE quel INSISTEZ :
était-elle en était-il en visite achevée à ce niveau ? ENREGISTRÉ moment La naissance de
visite ici la nuit ici la nuit E À 17). A-t- durant (NOM) a-t-elle
dernière ? dernière ? il/elle terminé l'année été delcaré à
le programme scolaire l'état civil ?
SI OUI : Quel SI OUI : Quel de cette classe 2020-
est son nom ? est son nom ? sans succès 2021 ? 1 = DÉCLARÉE AVEC
ou avec ACTE DE NAIS-
NOTEZ NOTEZ SANCE
LE No DE LE No DE 1 = PROGR. T. 2 = DÉCLARÉE SANS
LIGNE DE LA LIGNE DU AVEC SUCC. ACTE DE NAIS-
MÈRE. PÈRE. 2 = PROGR. T. SANCE
SANS SUCC. 3 = JUGEMENT SUP-
3 = PROGR. PLÉTIF
SI NON, SI NON, PAS TERM. 4 = NI L'UN / NI
NOTEZ NOTEZ VOIR CODES 8 = NSP VOIR CODES L'AUTRE
'00'. '00'. CI-DESSOUS. CI-DESSOUS. 8 = NSP
01 1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
02
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
03
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
04
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
05
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
06
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
07
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
08
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
09
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
10
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
CODES POUR Qs. 17 ET 19: NIVEAU D'INSTRUCTION
2 = SECONDAIRE 1er CYCLE/ 3 = SECONDAIRE 2eme CYCLE/ LYCÉE ENSEIGN.
NIVEAU 0= PRÉ-PRIMAIRE 1= PRIMAIRE 4 = SUPÉRIEUR 8 = NE SAIT PAS
COLLEGE ENSEIGN. TECHNIQUE TECHNIQUE
00=MOINS D'UN
00=MOINS D'UN AN ACHEVÉ 00=MOINS D'UN AN ACHEVÉ
00=MOINS D'UN AN ACHEVÉ AN ACHEVÉ
01= 1ÈRE AN. / CP1 01= 6ÈME / 1ÈRE AN. 01= 1ÈRE AN.
02=2ÈME AN. / CP2 02=5ÈME / 2ÈME AN. 01= SECONDE (2NDE)
01' POUR TOUTES 02=2ÈME AN. LAISSER EN
03=3ÈME AN. / CE1 03=4ÈME / 3ÈME AN. 02=1ÈRE 03=3ÈME AN. OU
CLASSE LES ANNÉES BLANC
04=4ÈME AN. / CE2 04=3ÈME / 4ÈME AN. 03=TLE +
05=5ÈME AN. /CM1
06=6ÈME AN. / CM2
00' N'EST PAS AUTORISÉ Á Q. 19 (CLASSE) -- '98' NE SAIT PAS
Annexe E • 457
TABLEAU MÉNAGE
SI 15 ANS
OU PLUS
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
S'il vous plait, donnez-moi les Quel est le lien (NOM) (NOM) (NOM) Quel âge a Quel est l'état ENCER- ENCER-
SI
noms des personnes qui de parenté de est-il de vit-il/ a t-il/ (NOM) ? matrimonial actuel CLEZ LE No CLEZ LE No
MÉNAG
vivent habituellement dans (NOM) avec le sexe elle ici elle de (NOM) ? DE LIGNE DE LIGNE
E SÉLEC-
votre ménage et des visiteurs chef de ménage masculi habituell passé la DE TOUTES DE TOUS
TIONNÉ
qui ont passé la nuit dernière ? n ou ement ? nuit LES LES
POUR
ici, en commençant par le féminin dernière FEMMES ENFANTS
ENQUÊ-
chef de ménage. ? ici ? DE 15-49 DE 0-5
TE
ANS ANS
HOMME
M F O N O N EN ANNÉES
11 1 2 1 2 1 2 11 11 11
1 2 1 2 1 2
12 12 12 12
1 2 1 2 1 2
13 13 13 13
1 2 1 2 1 2
14 14 14 14
1 2 1 2 1 2
15 15 15 15
1 2 1 2 1 2
16 16 16 16
1 2 1 2 1 2
17 17 17 17
1 2 1 2 1 2
18 18 18 18
1 2 1 2 1 2
19 19 19 19
1 2 1 2 1 2
20 20 20 20
458 • Annexe E
TABLEAU MÉNAGE
12 13 14 15 16 17 17A 18 19 20
La mère La mère Le père Le père (NOM) a-t- Quel est le plus haut (NOM) a (Nom) a-t-il Au cours de cette (NOM) a-t-il/elle
biologique biologique de biologique biologique de il/elle déjà niveau d'études que achevé au /elle année scolaire, à quel un acte de
de (NOM) (NOM) vit-elle de (NOM) (NOM) vit-il fréquenté (NOM) a atteint ? (NIVEAU fréquenté niveau et en quelle naissance ?
est-elle en habituellement est-il en habituellement l'école ? ENREGISTRÉ l'école à classe est/était
vie ? dans ce vie ? dans ce Quelle est la dernière À 17) la classe n'importe (NOM) ? SI NON,
ménage ou ménage ou classe que (NOM) a de (CLASSE quel INSISTEZ :
était-elle en était-il en visite achevée à ce niveau ? ENREGISTRÉ moment La naissance de
visite ici la nuit ici la nuit E À 17). A-t- durant (NOM) a-t-elle
dernière ? dernière ? il/elle terminé l'année été delcaré à
le programme scolaire l'état civil ?
SI OUI : Quel SI OUI : Quel de cette classe 2020-
est son nom ? est son nom ? sans succès 2021 ? 1 = DÉCLARÉE AVEC
ou avec ACTE DE NAIS-
NOTEZ NOTEZ SANCE
LE No DE LE No DE 1 = PROGR. T. 2 = DÉCLARÉE SANS
LIGNE DE LA LIGNE DU AVEC SUCC. ACTE DE NAIS-
MÈRE. PÈRE. 2 = PROGR. T. SANCE
SANS SUCC. 3 = JUGEMENT SUP-
3 = PROGR. PLÉTIF
SI NON, SI NON, PAS TERM. 4 = NI L'UN / NI
NOTEZ NOTEZ VOIR CODES 8 = NSP VOIR CODES L'AUTRE
'00'. '00'. CI-DESSOUS. CI-DESSOUS. 8 = NSP
11 1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
12
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
13
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
14
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
15
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
16
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
17
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
18
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
19
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
1 2 8 1 2 8 1 2 1 2
20
ALLEZ À 14 ALLEZ À 16 ALLEZ À 20 ALLEZ À 20
Annexe E • 459
CARACTÉRISTIQUES DU MÉNAGE
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
101 D'où provient principalement l'eau que boivent les EAU DU ROBINET
membres de votre ménage ? ROBINET DANS LOGEMENT . . . . . . . . . . . . . 11
ROBINET DANS COUR/PARCELLE . . . . . . . 12 106
ROBINET CHEZ UN VOISIN . . . . . . . . . . . . . 13
ROBINET PUBLIC/BORNE FONTAINE . . . . . 14
EAU ACHETÉE AU ROBINET . . . . . . . . . . . . . 15
ROBINET (COMPTEUR) PERSONNEL
HORS COUR/PARCELLE . . . . . . . . . . . . . 16
EAU DE PLUIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
CAMION CITERNE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
EAU DE SURFACE (RIVIÈRE/BARRAGE/LAC/
MARE/FLEUVE/CANAL/ CANAL
D'IRRIGATION) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
EAU EN BOUTEILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81
EAU DE SACHET 82
AUTRE 96 103
(PRÉCISEZ)
102 D'où provient principalement l'eau utilisée par votre EAU DU ROBINET
ménage à d'autres fins comme pour faire la cuisine et ROBINET DANS LOGEMENT . . . . . . . . . . . . . 11
se laver les mains ? ROBINET DANS COUR/PARCELLE . . . . . . . 12 106
ROBINET CHEZ UN VOISIN . . . . . . . . . . . . . 13
ROBINET PUBLIC/BORNE FONTAINE. . . . . . . 14
EAU ACHETÉE AU ROBINET 15
ROBINET (COMPTEUR) PERSONNEL
HORS COUR/PARCELLE . . . . . . . . . . . . . 16
PUITS CREUSÉ
PUITS PROTÉGÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
PUITS NON PROTÉGÉ ................ 32
EAU DE SOURCE
SOURCE PROTÉGÉE . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
SOURCE NON PROTÉGÉE. . . . . . . . . . . . . . . . 42
EAU DE PLUIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
CAMION CITERNE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
EAU DE SURFACE (RIVIÈRE/BARRAGE/LAC/
MARE/FLEUVE/CANAL/ CANAL
D'IRRIGATION) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
103 Où est située cette source d'approvisionnement de DANS VOTRE LOGEMENT ................ 1
105
l'eau ? DANS VOTRE COUR/PARCELLE .......... 2
AILLEURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
460 • Annexe E
CARACTÉRISTIQUES DU MÉNAGE
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
106 Est-ce qu'au cours des deux dernières semaines, il est OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
arrivé qu'à cet endroit, l'eau n'ait pas été disponible NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
pendant au moins toute une journée ? NE SAIT PAS ........................... 8
107 Faites-vous quelque chose pour rendre l'eau plus saine OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
à boire ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
109
NE SAIT PAS ........................... 8
108 Habituellement, que faites-vous pour rendre l'eau que LA FAIRE BOUILLIR ..................... A
vous buvez plus saine ? AJOUTER EAU DE JAVEL/CHLORE . . . . . . . . . . B
LA FILTRER À TRAVERS UN LINGE . . . . . . . . . . C
Quelque chose d'autre ? UTILISER UN FILTRE (CÉRAMIQUE/
SABLE/COMPOSITE/ETC.) . . . . . . . . . . . . . . . . D
ENREGISTREZ TOUT CE QUI EST MENTIONNÉ. DÉSINFECTION SOLAIRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . E
LA LAISSER REPOSER .................. F
AUTRE X
(PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS ........................... Z
109 Quel type de toilettes les membres de votre ménage CHASSE D'EAU/CHASSE MANUELLE
utilisent-ils habituellement ? CHASSE D'EAU CONNECTÉE
À UN SYSTÈME D'ÉGOUT . . . . . . . . . . . . . 11
À UNE FOSSE SEPTIQUE . . . . . . . . . . . . . 12
S'IL N'EST PAS POSSIBLE DE DÉTERMINER LE À UNE FOSSE D'AISANCES . . . . . . . . . . 13
TYPE DE TOILETTES, DEMANDEZ LA PERMISSION À QUELQUE CHOSE D'AUTRE . . . . . . . 14
DE VOIR L'INSTALLATION. À NE SAIT PAS OÙ . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
FOSSE D'AISANCES
FOSSES D'AISANCES AMÉLIORÉE
AUTO-AÉRÉE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
FOSSES D'AISANCES AVEC DALLE . . . . 22
FOSSES D'AISANCES SANS DALLE
TROU OUVERT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
Annexe E • 461
CARACTÉRISTIQUES DU MÉNAGE
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
114 Est-ce que la cuisine est faite habituellement dans la DANS LA MAISON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
maison, dans un bâtiment séparé ou à l'extérieur ? DANS UN BÂTIMENT SÉPARÉ . . . . . . . . . . . . . 2
À L'EXTÉRIEUR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
116
AUTRE 6
(PRÉCISEZ)
115 Avez-vous une pièce séparée que vous utilisez comme OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
cuisine ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
462 • Annexe E
CARACTÉRISTIQUES DU MÉNAGE
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
a) L'électricité ? a) ÉLECTRICITÉ . . . . . . . . . . . . . 1 2
b) Un poste radio ? b) RADIO .................. 1 2
c) Une télévision ? c) TÉLÉVISION . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2
d) Un téléphone fixe ? d) TÉLÉPHONE FIXE . . . . . . . . . . 1 2
e) Un ordinateur ? e) ORDINATEUR . . . . . . . . . . . . . 1 2
f) Un réfrigérateur ? f) RÉFRIGÉRATEUR . . . . . . . . . . 1 2
g) Tronçonneuse g) TRONCONNEUSE . . . . . . . . . . 1 2
h) Fer à repasser h) FER A REPASSER . . . . . . . . . . 1 2
i) Groupe électrogène i) GROUPE ELECTROGENE .. 1 2
j) Chaine HiFi j) CHAINE HIFI . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2
k) Modem/boxe k) MODEM/BOXE . . . . . . . . . . . . . 1 2
l) Magnétoscope l) MAGNETOSCOPE . . . . . . . . . . 1 2
m) Lecteur DVD/VCD m) LECTEUR DVD/VCD ....... 1 2
n) Congélateur n) CONGÉLATEUR .......... 1 2
o) Four Micro-onde o) FOUR MICRO-ONDE . . . . . . . 1 2
p) Fusil de chasse p) FUSIL DE CHASSE . . . . . . . . . . 1 2
q) Filet de pêche q) FILET DE PÊCHE . . . . . . . . . . 1 2
r) Cusinière r) CUSINIÈRE . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2
s) Rechaud à Gaz s) RECHAUD À GAZ . . . . . . . . . . 1 2
t) Ventilateur t) VENTILATEUR . . . . . . . . . . . . . 1 2
u) Chauffe eau u) CHAUFFE EAU . . . . . . . . . . . . . 1 2
v) Débroussailleuse v) DÉBROUSSAILLEUSE ..... 1 2
w) Machine à coudre w) MACHINE À COUDRE . . . . . . . 1 2
x) Climatiseur x) CLIMATISEUR . . . . . . . . . . . . . 1 2
y) Machine à laver y) MACHINE À LAVER . . . . . . . . . . 1 2
z) Antenne/décodeur z) ANTENNE/DÉCODEUR ..... 1 2
aa) Lampe Torche aa) LAMPE TORCHE . . . . . . . . . . 1 2
ab) Lampe à petrole ab) LAMPE À PETROLE ....... 1 2
ac) Lampe à gaz ac) LAMPE À GAZ . . . . . . . . . . . . . 1 2
124 Est-ce qu'il arrive que quelqu'un fume dans votre TOUS LES JOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
maison ? Diriez-vous que cela arrive tous les jours, une UNE FOIS PAR SEMAINE . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
fois par semaine, une fois par mois, moins d'une fois UNE FOIS PAR MOIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
par mois ou jamais ? MOINS D'UNE FOIS PAR MOIS . . . . . . . . . . . . . 4
JAMAIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
Annexe E • 463
CARACTÉRISTIQUES DU MÉNAGE
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
124C Est-ce que ce (tous les) chien(s) a (ont) été vacciné(s) OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
464 • Annexe E
MOUSTIQUAIRES
Annexe E • 465
MOUSTIQUAIRES
No DE No DE No DE
LIGNE . . . . . LIGNE . . . . . LIGNE . . . . .
No DE No DE No DE
LIGNE . . . . . LIGNE . . . . . LIGNE . . . . .
No DE No DE No DE
LIGNE . . . . . LIGNE . . . . . LIGNE . . . . .
138 RETOURNEZ À 129 POUR RETOURNEZ À 129 POUR ALLEZ À 129, PREMIÈRE
LA MOUSTIQUAIRE LA MOUSTIQUAIRE COL. D'UN NOUVEAU
SUIVANTE; S'IL N'Y A PLUS SUIVANTE; S'IL N'Y A PLUS QUESTION-NAIRE ; SI PLUS
DE MOUSTIQUAIRE, ALLEZ DE MOUSTIQUAIRE, ALLEZ DE MOUSTI-QUAIRE, ALLEZ
À Q.139. À Q.139. À Q.139.
466 • Annexe E
AUTRES CARACTÉRISTIQUES DU LOGEMENT
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
139 Nous voudrions connaître l'endroit utilisé par les OBSERVÉ, ENDROIT FIXE ................ 1
membres du ménage pour se laver les mains. Pouvez- OBSERVÉ, NON FIXE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
vous me montrer, s'il vous plait, où les membres du NON OBSERVÉ,
ménage se lavent les mains ? PAS DANS LOGEMENT /COUR/PARCELLE . . 3
NON OBSERVÉ,
142
PERMISSION DE VOIR NON OBTENUE . . . . . 4
NON OBSERVÉ, AUTRE RAISON .......... 5
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
Annexe E • 467
AUTRES CARACTÉRISTIQUES DU LOGEMENT
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
145 Je voudrais vérifier si le sel utilisé dans votre ménage est iodé. Puis-je avoir un peu de sel qui est utilisé pour cuisiner
dans votre ménage ?
468 • Annexe E
SELECTION D’UN ENFANT POUR LE TRAVAIL ET DISCIPLINE DES ENFANTS
NO. QUESTIONS ET FILTRES CODES
151 VÉRIFIER COL. 7 DANS LA LISTE DES MEMBRES DU
MÉNAGE ET ÉCRIRE LE NOMBRE TOTAL D’ENFANTS
DE 1-17 ANS. NOMBRE TOTAL . . . . . . . . . . . . . .
152A LISTER CHAQUE ENFANT ÂGÉ DE 1-17 ANS CI-DESSOUS DANS L’ORDRE DANS LEQUEL ILS APPARAISSENT
DANS LA LISTE DES MEMBRES DU MÉNAGE. N’INCLUEZ PAS D’AUTRES MEMBRES DU MENAGE EN DEHORS
DU GROUPE D’ÂGE 1-17 ANS. ENREGISTRER LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, LE SEXE ET L’ÂGE DE CHAQUE
ENFANT.
1 1 2
2 1 2
3 1 2
4 1 2
5 1 2
6 1 2
7 1 2
8 1 2
9 1 2
Annexe E • 469
SELECTION D’UN ENFANT POUR LE TRAVAIL ET DISCIPLINE DES ENFANTS
158 VÉRIFIEZ LE DERNIER CHIFFRE DU NUMÉRO DU MÉNAGE SUR LA PAGE DE COUVERTURE. C’EST LE
NUMÉRO DE LA LIGNE DU TABLEAU CI-DESSOUS SUR LAQUELLE VOUS DEVEZ ALLER. VÉRIFIEZ LE
NOMBRE TOTAL D’ENFANTS À Q.151 SUR LA PAGE PRECEDENTE. C’EST LE NUMÉRO DE COLONNE
DU TABLEAU CI-DESSOUS SUR LEQUEL VOUS DEVEZ ALLER.
TROUVEZ LA CASE OÙ LA LIGNE ET LA COLONNE SE CROISENT ET ENCERCLEZ LE NUMÉRO QUI
APPARAIT DANS LA CASE. C’EST LE NUMÉRO DU RANG DE L’ENFANT SÉLECTIONNÉ POUR TRAVAIL
DES ENFANTS/DISCIPLINE DES ENFANTS À PARTIR DU TABLEAU DES ENFANTS ÉLIGIBLES DANS
Q.159. ENREGISTREZ LE NUMÉRO DU RANG, LE NUMÉRO DE LA LIGNE, L'ÂGE, ET LE NOM DE
L’ENFANT SÉLECTIONNÉ DANS L'ESPACE CI-DESSOUS.
EXEMPLE : LE NUMÉRO DU MÉNAGE EST ‘16’ ET Q.151 MONTRE QU’IL Y A TROIS ENFANTS ÉLIGIBLES
DE 1-17 ANS DANS LE MÉNAGE. PUISQUE LE DERNIER CHIFFRE DU NUMÉRO DU MÉNAGE EST ‘6’
ALLEZ À LA LIGNE ‘6’ ET PUISQU’IL Y A TROIS ENFANTS ÉLIGIBLES, ALLEZ À LA COLONNE ‘3’.
TROUVEZ LA CASE OU LA LIGNE ET LA COLONNE SE CROISENT (‘2’) ET ENCIRCLEZ LE NUMÉRO.
MAINTENANT, ALLEZ À Q.152A ET TROUVEZ LE DEUXIÈME ENFANT. ÉCRIVEZ LE NOM, L'ÂGE, LE
NUMÉRO DE LA LIGNE, ET LE RANG DE L’ENFANT DANS L’ESPACE CI-DESSOUS (Q.159).
DERNIER NOMBRE TOTAL D’ENFANTS ÉLIGIBLES DE 1-17 ANS DANS LE MÉNAGE DE 151 :
CHIFFRE DU
NUMÉRO DE
MÉNAGE
1 2 3 4 5 6 7 8
0 1 2 2 4 3 6 5 4
1 1 1 3 1 4 1 6 5
2 1 2 1 2 5 2 7 6
3 1 1 2 3 1 3 1 7
4 1 2 3 4 2 4 2 8
5 1 1 1 1 3 5 3 1
6 1 2 2 2 4 6 4 2
7 1 1 3 3 5 1 5 3
8 1 2 1 4 1 2 6 4
9 1 1 2 1 2 3 7 5
470 • Annexe E
TRAVAIL DES ENFANTS
NO. QUESTIONS ET FILTRES CODES PASSER À
161 VÉRIFIEZ LA PAGE DE COUVERTURE : MÉNAGE SÉLECTIONNÉ POUR ENQUÊTE HOMME ?
OUI NON 183
b) Est-ce que (NOM) a aidé dans l’entreprise familiale, b) A AIDÉ DANS ENTREPRISE
celle d’autres parents avec ou sans paiement ou a FAMILIALE/D’UN AUTRE PARENT/
travaillé dans sa propre entreprise ? DANS SA PROPRE AFFAIRE . . . . . 1 2
c) Est-ce que (NOM) a produit, vendu des articles, des c) A PRODUIT/VENDU DES ARTICLES/DE L’ARTISANAT/
produits artisanaux, des vêtements, de la nourriture DES VÊTEMENTS/NOURRITURE OU
ou des produits agricoles ? DES PRODUITS AGRICOLES . . . . . 1 2
Annexe E • 471
NO. QUESTIONS ET FILTRES CODES PASSER À
c) Est-ce que (NOM) est exposé à des bruits intenses OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 167A
ou des vibrations ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
f) Prendre soin des personnes âgées ou malades ? f) PRENDRE SOINS DES ÂGÉS/
DES MALADES . . . . . . . . . . . . . 1 2
472 • Annexe E
NO. QUESTIONS ET FILTRES CODES PASSER À
173 VÉRIFIEZ 172 a) À g):
IL Y A AU MOINS TOUTES LES RÉPONSES
180A
UN 'OUI' SONT 'NON'
Annexe E • 473
DISCIPLINE DES ENFANTS
NO. QUESTIONS ET FILTRES CODES PASSER À
180A VÉRIFIEZ Q.159 : ÂGE
NOM
f) Lui donner une fessée, le frapper ou le taper sur les f) DONNER UNE FESSÉE, FRAPPER OU TAPER SUR
fesses à main nues. LES FESSES AVEC MAINS NUES 1 2
g) Le/la frapper sur les fesses ou sur d’autres parties g) FRAPPER AVEC CEINTURE, BROSSE, BÂTON
du corps avec quelque chose tel ceinture, brosse à OU AUTRES OBJETS DURS . . 1 2
cheveux, bâton ou autre objet dur comme les
chaussures.
h) Le/la traiter d’idiot, de paresseux ou d’un autre nom h) LE/LA TRAITER D’IDIOT, PARESSEUX,
comme ça (maboule). OU D’AUTRES NOMS . . . . . . . . . . 1 2
i) Le/la frapper ou le/la gifler sur le visage, la tête ou i) LE/LA FRAPPER/GIFLER SUR LE VISAGE,
les oreilles. LA TÊTE OU LES OREILLES . . . . . 1 2
j) Le/la frapper ou le/la taper sur les mains, les bras j) LE/LA FRAPPER/TAPER SUR LES MAINS,
ou les jambes. BRAS OU JAMBES . . . . . . . . . . . . . 1 2
k) Le/la battre, c’est-à-dire le/la frapper encore et k) LE/LA BATTRE, FRAPPER ENCORE ET ENCORE
encore aussi fort que possible. AUSSI FORT QUE POSSIBLE . . . . . 1 2
MINUTES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
474 • Annexe E
OBSERVATIONS DE L'ENQUÊTEUR/ENQUÊTRICE
À REMPLIR, UNE FOIS L'INTERVIEW TERMINÉE
AUTRES COMMENTAIRES :
Annexe E • 475
476 • Annexe E
VERSION : QUES. FINAL
IDENTIFICATION
NOM DE LA LOCALITÉ
NUMÉRO DE GRAPPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
VISITES D'ENQUÊTRICES
1 2 3 VISITE FINALE
DATE JOUR
MOIS
ANNÉE 2 0
NOM DE No
L'ENQUÊTRICE ENQUÊT
RÉSULTAT* RÉSULTAT*
PROCHAINE DATE
VISITE NOMBRE TOTAL
HEURE DE VISITES
LANGUE DU
QUESTIONNAIRE** 0 1 LANGUE DE
L'INTERVIEW**
LANGUE MATERNELLE
DE L'ENQUÊTÉE**
TRADUCTEUR
(OUI = 1, NON = 2)
LANGUE DU
QUESTIONNAIRE** FRANÇAIS **CODES LANGUES :
01 FRANÇAIS 04 SHIRA-PUNU 07 AUTRE GABON
02 FANG 05 MBEDE-TEKE 96 AUTRE
03 NZEBI-DUMA 06 MYENE
................
NOM NUMÉRO
Annexe E • 477
PRÉSENTATION ET DEMANDE DE CONSENTEMENT
Si vous souhaitez plus d'informations sur l'enquête, vous pouvez contacter la personne dont le nom figure sur la carte qui a déjà été donnée
à votre ménage.
MINUTES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
DEPUIS TOUJOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95
105
SI MOINS D'UNE ANNÉE, INSCRIVEZ ‘00’ ANNÉE. VISITEUR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96
103 Juste avant d'habiter ici, est-ce que vous viviez dans VILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 01
une ville, une petite ville ou en zone rurale ? PETITE VILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 02
ZONE RURALE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 03
104 Juste avant d'habiter ici, dans quelle province est-ce LIBREVILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 01
que vous viviez ? PORT-GENTIL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 02
ESTUAIRE (SANS LIBREVILLE) . . . . . . . . . . 03
HAUT-OGOOUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 04
MOYEN-OGOOUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . 05
NGOUNIE .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. 06
NYANGA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 07
OGOOUE MARITIME (SANS PORT-GENTIL) .. 08
OGOOUE-IVINDO . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09
OGOOUE-LOLO .. .. .. .. .. .. .. .. .. 10
WOLEU-N'TEM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
EN DEHORS DU GABON . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96
478 • Annexe E
SECTION 1. CARACTÉRISTIQUES SOCIODÉMOGRAPHIQUES DE L'ENQUÊTÉE
ANNÉE .............
Annexe E • 479
SECTION 1. CARACTÉRISTIQUES SOCIODÉMOGRAPHIQUES DE L'ENQUÊTÉE
106B Au cours de l'interview, je voudrais mesurer votre tension artérielle. Je le ferai trois fois au cours de l'interview.
C'est une procédure qui ne comporte aucun danger. On l'effectue pour savoir si une personne a une tension artérielle élevée. Si
elle n'est pas traitée, une tension élevée peut endommager sérieusement le cœur.
Je vous donnerai les résultats de la mesure de la tension artérielle après l'interview en vous expliquant ce que signifient les
chiffres de votre tension artérielle. Si votre tension artérielle est élevée, nous vous conseillerons de consulter dans un
établissement de santé ou de voir un médecin car nous ne pouvons pas effectuer d'autre contrôle ou fournir un traitement au
cours de l'enquête.
Vous pouvez dire oui ou non ou vous pouvez aussi décider à n'importe quel moment de ne pas participer à la prise des mesures
de la tension artérielle .
OUI, L'ENQUÊTEE ACCEPTE ..... 1
NON, L'ENQUÊTÉE
SIGNATURE ENQUÊTRICE DATE N'ACCEPTE PAS ................ 2 107
108 Quel est le plus haut niveau d'études que vous avez PRIMAIRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
atteint : primaire, secondaire 1er cycle/collège SECONDAIRE 1er CYCLE/
enseignement technique, secondaire 2ème cycle/lycée COLLEGE ENSEIGN.TECHNIQUE .. .. .. 2
enseignement technique ou supérieur ? SECONDAIRE 2eme CYCLE/
LYCEE ENSEIGN.TECHNIQUE .. .. .. .. 3
SUPÉRIEUR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
480 • Annexe E
SECTION 1. CARACTÉRISTIQUES SOCIODÉMOGRAPHIQUES DE L'ENQUÊTÉE
111 Je voudrais maintenant que vous me lisiez cette NE PEUT PAS LIRE DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . 1
phrase. PEUT SEULEMENT LIRE UNE PARTIE
DE LA PHRASE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
MONTREZ LA CARTE À L'ENQUÊTÉE. PEUT LIRE TOUTE LA PHRASE .......... 3
PAS DE CARTE DANS LA LANGUE
SI L'ENQUÊTÉE NE PEUT LIRE TOUTE LA PHRASE, DEMANDÉE 4
INSISTEZ : Pouvez-vous lire une partie de la phrase ? (PRÉCISEZ LA LANGUE)
AVEUGLE/PROBLÈMES DE VUE . . . . . . . . . . . . . 5
113 Lisez-vous un journal ou un magazine au moins une AU MOINS UNE FOIS PAR SEMAINE ....... 1
fois par semaine, moins d'une fois par semaine ou pas MOINS D'UNE FOIS PAR SEMAINE . . . . . . . . . . 2
du tout ? PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
114 Écoutez-vous la radio au moins une fois par semaine, AU MOINS UNE FOIS PAR SEMAINE ....... 1
moins d'une fois par semaine ou pas du tout ? MOINS D'UNE FOIS PAR SEMAINE . . . . . . . . . . 2
PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
115 Regardez-vous la télévision au moins une fois par AU MOINS UNE FOIS PAR SEMAINE ....... 1
semaine, moins d'une fois par semaine ou pas du MOINS D'UNE FOIS PAR SEMAINE . . . . . . . . . . 2
tout ? PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
117 Est-ce que vous utilisez votre téléphone portable pour OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
faire des opérations financières ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
Annexe E • 481
SECTION 1. CARACTÉRISTIQUES SOCIODÉMOGRAPHIQUES DE L'ENQUÊTÉE
121 Au cours du dernier mois, combien de fois avez-vous PRESQUE CHAQUE JOUR ................ 1
utilisé internet: presque chaque jour, au moins une fois AU MOINS UNE FOIS PAR SEMAINE ....... 2
par semaine, moins d'une fois par semaine ou pas du MOINS D'UNE FOIS PAR SEMAINE . . . . . . . . . . 3
tout ? PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
482 • Annexe E
SECTION 1. CARACTÉRISTIQUES SOCIODÉMOGRAPHIQUES DE L'ENQUÊTÉE
126B Est-ce que je peux mesurer maintenant votre tension OUI, L'ENQUÊTÉE ACCEPTE . . . . . . . . . . . . 1
artérielle ? NON, L'ENQUÊTÉE
N'ACCEPTE PAS .. .. .. .. .. .. .. .. 2 200
Annexe E • 483
SECTION 2. REPRODUCTION
202 Avez-vous des fils ou des filles à qui vous avez donné OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
naissance et qui vivent actuellement avec vous ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 204
204 Avez-vous des fils ou filles à qui vous avez donné OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
naissance qui sont toujours en vie mais qui ne vivent NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 206
pas avec vous ?
INSISTEZ ET
CORRIGEZ 201-208
COMME IL SE DOIT.
484 • Annexe E
SECTION 2. REPRODUCTION
211 Je voudrais maintenant faire la liste de toutes vos naissances, qu'elles soient encore en vie ou non, en commençant par la première.
INSCRIVEZ LE NOM DE TOUTES LES NAISSANCES À 212. INSCRIVEZ LES JUMEAUX/TRIPLÉS SUR DES LIGNES SÉPARÉES. S'IL Y A
PLUS DE 10 NAISSANCES, UTILISEZ UN QUESTIONNAIRE SUPPLÉMENTAIRE, EN COMMENÇANT À LA SECONDE LIGNE .
212 213 214 215 216 217 218 219 220 221
SI EN VIE: SI EN VIE: SI EN VIE: SI DÉCÉDÉ:
Quel nom (NOM) Parmi Quel jour, quel (NOM) Quel âge (NOM) INSCRIVEZ Quel âge avait (NOM) Y a-t-il eu
a été est-il un ces mois et quelle est- avait vit-il/elle LE No DE quand (il/elle) est d'autres
donné à garçon naissan année (NOM) est- il/elle (NOM) à avec LIGNE DE décédé ? naissances
votre ou une ces, y il/elle né(e) ? encore son vous ? L'ENFANT DU vivantes
(premier fille ? avait- il en vie ? dernier TABLEAU SI '12 MOIS' OU '1 entre (NOM
enfant/ des anniversai MÉNAGE. AN', DEMANDEZ: Est- DE LA
enfant jumeau re ? INSCRIVEZ ce que (NOM) avait NAISSAN-
suivant) ? x? '00' SI eu son premier CE PRÉCÉ-
L'ENFANT anniversaire ? DENTE) et
N'EST PAS (NOM), y
LISTÉ DANS PUIS DEMANDEZ: compris des
LE MÉNAGE. Exactement combien enfants qui
INSCRI- de mois avait (NOM) sont
VEZ LE quand (il/elle) est décédés
NOM. décédé ? après la
INSCRI- INSCRIVEZ EN naissance ?
N0 DE VEZ JOURS SI L'ENFANT
L'HISTOR L'ÂGE EN A MOINS D'1 MOIS;
IQUE ANNÉE EN MOIS, SI
DES RÉVOLUE L'ENFANT A MOINS
NAISSAN . DE 2 ANS; OU EN
CES. ANNÉES.
01 ÂGE EN N0 LIGNE
JOUR JOURS 1
GAR. 1 SIMP. 1 OUI 1 ANNÉES OUI 1 DU MÉNAGE
MOIS MOIS 2 1 5
FILLE 2 MULT 2 NON 2 NON 2
ANNÉES 3
(ALLEZ (NAISSANCE
ANNÉE À 220) SUIVANTE)
Annexe E • 485
212 213 214 215 216 217 218 219 220 221
SI EN VIE: SI EN VIE: SI EN VIE: SI DÉCÉDÉ:
Quel nom (NOM) Parmi Quel jour, quel (NOM) Quel âge (NOM) INSCRIVEZ Quel âge avait (NOM) Y a-t-il eu
a été est-il un ces mois et quelle est- avait vit-il/elle LE No DE quand (il/elle) est d'autres
donné à garçon naissan année (NOM) est- il/elle (NOM) à avec LIGNE DE décédé ? naissances
votre ou une ces, y il/elle né(e) ? encore son vous ? L'ENFANT DU vivantes
(premier fille ? avait- il en vie ? dernier TABLEAU SI '12 MOIS' OU '1 entre (NOM
enfant/ des anniversai MÉNAGE. AN', DEMANDEZ: Est- DE LA
enfant jumeau re ? INSCRIVEZ ce que (NOM) avait NAISSAN-
suivant) ? x? '00' SI eu son premier CE PRÉCÉ-
L'ENFANT anniversaire ? DENTE) et
N'EST PAS (NOM), y
LISTÉ DANS PUIS DEMANDEZ: compris des
LE MÉNAGE. Exactement combien enfants qui
INSCRI- de mois avait (NOM) sont
VEZ LE quand (il/elle) est décédés
NOM. décédé ? après la
INSCRI- INSCRIVEZ EN naissance ?
N0 DE VEZ JOURS SI L'ENFANT
L'HISTOR L'ÂGE EN A MOINS D'1 MOIS;
IQUE ANNÉE EN MOIS, SI
DES RÉVOLUE L'ENFANT A MOINS
NAISSAN . DE 2 ANS; OU EN
CES. ANNÉES.
486 • Annexe E
SECTION 2. REPRODUCTION
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
223 COMPAREZ 208 AVEC LE NOMBRE DE NAISSANCES DANS LE TABLEAU DES NAISSANCES
NOMBRES NOMBRES
SONT ÉGAUX SONT DIFFÉRENTS
(INSISTEZ ET CORRIGEZ)
AUCUNE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 226
225 POUR CHAQUE NAISSANCE DANS 2016-2021, INSCRIVEZ 'N' AU MOIS DE NAISSANCE DANS LE
C
CALENDRIER. INSCRIVEZ LE NOM DE L'ENFANT À GAUCHE DU CODE 'N'. POUR CHAQUE
NAISSANCE, DEMANDEZ LE NOMBRE DE MOIS RÉVOLUS QUE LA GROSSESSE A DURÉ ET
INSCRIVEZ 'G' À CHACUN DES MOIS PRÉCÉDENTS SELON LA DURÉE DE LA GROSSESSE. (NOTE:
LE NOMBRE DE 'G' DOIT ÊTRE INFÉRIEUR DE 1 AU NOMBRE DE MOIS QUE LA GROSSESSE A
DURÉ.)
C
INSCRIVEZ 'G' DANS LE CALENDRIER, EN
COMMENÇANT PAR LE MOIS DE
L'ENQUÊTE ET POUR LE NOMBRE TOTAL
DE MOIS RÉVOLUS.
228 Quand vous êtes tombée enceinte, vouliez-vous être OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 230
enceinte à ce moment-là ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
ANNÉE .............
Annexe E • 487
SECTION 2. REPRODUCTION
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
DERNIÈRE GROSSESSE
234
TERMINÉE EN 2016-2021
DERNIÈRE GROSSESSE
TERMINÉE EN 2015 OU PLUS 238A
TÔT
En quel mois et en quelle année la dernière grossesse De combien de mois Depuis janvier 2016,
de ce genre s'est-elle terminée ? étiez-vous enceinte avez-vous eu d'autres
quand la dernière grossesses qui n'ont
LINE grossesse de ce genre pas abouti à une
NO. s'est terminée ? naissance vivante ?
04 OUI .......... 1
236
MOIS ANNÉE NOMBRE DE MOIS NON . . . . . . . . . . 2
C
236 POUR CHAQUE GROSSESSE QUI NE S'EST PAS TERMINÉE PAR UNE NAISSANCE VIVANTE EN
2016-2021 OU PLUS TARD, INSCRIVEZ 'F' DANS LE CALENDRIER AU MOIS OÙ LA GROSSESSE
S'EST TERMINÉE ET 'G' POUR LE NOMBRE RESTANT DE MOIS RÉVOLUS.S'IL Y A PLUS DE
QUATRE GROSSESSES QUI NE SE SONT PAS TERMINÉES PAR UNE NAISSANCE VIVANTE,
UTILISEZ DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES EN COMMENCANT À LA SECONDE LIGNE.
237 Avez-vous eu une grossesse qui a pris fin avant 2016 OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
et qui s'est terminée par une fausse-couche, un NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 238A
avortement ou un mort-né ?
ANNÉE .............
488 • Annexe E
SECTION 2. REPRODUCTION
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
238A VÉRIFIEZ LA PRÉSENCE D'AUTRES PERSONNES. AVANT DE CONTINUER, FAITES TOUT VOTRE POSSIBLE
POUR VOUS TROUVER EN PRIVÉ.
UN SEUL PLUSIEURS
AVORTEMENT AVORTEMENTS
a) Quel âge aviez-vous b) Quel âge aviez-vous AGE EN ANNÉES RÉVOLUES .....
lorsque vous avez eu lorsque vous avez eu
votre grossesse qui votre première
s'est terminée par un grossesse qui s'est
avortement provoqué ? terminée par un
avortement provoqué ?
UN SEUL PLUSIEURS
AVORTEMENT AVORTEMENTS
MOIS .........................
a) Quand cet avortement b) Quand le dernier
provoqué a-t-il eu lieu ? avortement provoqué a- ANNÉE .............
t-il eu lieu ?
Annexe E • 489
SECTION 2. REPRODUCTION
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
UN SEUL PLUSIEURS
AVORTEMENT AVORTEMENTS
238H Qui vous a poussée ou forcée à faire cet (ce dernier) PROFESSIONNEL DE SANTÉ ............. 1
avortement ? PÈRE DE L'ENQUÉTÉE ................... 2
MÈRE DE L'ENQUÉTÉE ................ .. 3
LE MARI/PARTENAIRE ................... 4
AMI(E)S . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
AUTRE 6
(PRÉCISEZ)
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
490 • Annexe E
SECTION 2. REPRODUCTION
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
Annexe E • 491
SECTION 2. REPRODUCTION
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
238Q Avez-vous été satisfaite des services que vous avez OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 238S
reçus à (NOM DE L'ÉTABLISSEMENT DE Q.238P) au NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
moment de la consultation ?
238R Quelle est la raison principale pour laquelle vous n'avez ÉTABLISS. DIFFICILEMENT
pas été satisfaite ? ACCESSIBLE/TROP LOIN .. .. .. .. .. 1
TROP CHER . . . . . . . . . . . . . . .. .. .. .. 2
TEMPS ATTENTE TROP LONG . . .. .. .. .. 3
MAUVAIS ÉQUIPEMENT . . . . . . .. .. .. .. 4
MÉDICAMENTS ESSENTIELS
NON DISPONIBLES . . . . . . . . .. .. .. .. 5
MANQUE D'HYGIÈNE . . . . . . . . .. .. .. .. 6
MANQUE DE CONFIDENTIALITÉ/
D’INTIMITÉ . . . . . . . . . . . . .. .. .. .. 7
MANQUE DE PERSONNEL .. .. .. .. .. .. 8
PERSONNEL PAS QUALIFIÉ . . . . .. .. .. .. 9
MAUVAIS ACCUEIL .. .. .. .. .. .. .. . . 10
492 • Annexe E
SECTION 2. REPRODUCTION
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
UN SEUL PLUSIEURS
AVORTEMENT AVORTEMENTS
PROVOQUÉ PROVOQUÉS
Annexe E • 493
SECTION 2. REPRODUCTION
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
IL Y A SEMAINES .. .. .. .. 2
IL Y A MOIS ............. 3
EN MÉNOPAUSE/
A EU UNE HYSTÉRECTOMIE . . . . . . . . . . . . . 994
240 Entre la période des règles et les règles suivantes, est- OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
ce qu'il y a une période où les femmes ont plus de NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
242
chances de tomber enceintes ? PAS SÛRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
241 Est-ce que cette période se situe juste avant que les JUSTE AVANT QUE LES RÉGLES
règles ne commencent, pendant la période des règles, COMMENCENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
juste après que les règles soient terminées ou bien au PENDANT LES RÉGLES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
milieu de deux périodes de règles ? JUSTE APRÈS LA FIN DES RÉGLES ........ 3
AU MILIEU, ENTRE
DEUX PÉRIODES DE RÈGLES .......... 4
AUTRE 6
(PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS ........................... 8
494 • Annexe E
SECTION 3. CONTRACEPTION
301 Je voudrais maintenant que nous parlions de planification familiale, c'est-à-dire les différents moyens ou méthodes qu'un
couple peut utiliser pour retarder ou éviter une grossesse. Avez-vous déjà entendu parler de (MÉTHODE) ?
03 DIU.
INSISTEZ : Les femmes peuvent avoir un stérilet qu'un médecin ou OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
une infirmière leur place dans l'utérus pour leur éviter une grossesse NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
pendant un ou plusieurs mois.
04 Injectables.
INSISTEZ : Les femmes peuvent avoir une injection faite par du OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
personnel de santé pour leur éviter une grossesse pendant un mois NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
ou plus.
05 Implants.
INSISTEZ : Les femmes peuvent se faire insérer par un médecin ou OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
une infirmière un bâtonnet ou plus sous la peau du haut du bras pour NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
leur éviter une grossesse, pendant une année ou plus.
06 Pilule. OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
INSISTEZ : Les femmes peuvent prendre une pilule chaque jour pour NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
éviter une grossesse.
07 Préservatif. OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
INSISTEZ : Les hommes peuvent mettre une capote en caoutchouc NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
sur leur pénis avant les rapports sexuels.
Annexe E • 495
SECTION 3. CONTRACEPTION
12 Méthode du rythme.
INSISTEZ : Pour éviter une grossesse, les femmes n'ont pas de OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
rapports sexuels les jours où elles pensent qu'elles peuvent tomber NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
enceintes.
B
(PRÉCISEZ)
NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Y
496 • Annexe E
SECTION 3. CONTRACEPTION
306 Quelle est la marque de préservatif que vous utilisez STANDARD GÉNÉRIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 01
actuellement ? DUREX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 02
INNOTEX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 03
MANNIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 04
PRUDENCE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 05
DOMINO . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 06
CAREX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 07
KAMASUTRA ........................... 08
FÉMINDO .............................. 09
KISS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
SI LA MARQUE N'EST PAS CONNUE, DEMANDEZ À 309
VOIR LA BOITE. AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS ........................... 98
Annexe E • 497
SECTION 3. CONTRACEPTION
16
(PRÉCISEZ)
SECTEUR MÉDICAL PRIVÉ
(NOM DE L'ENDROIT) HÔPITAL/CLINIQUE PRIVÉ . . . . . . . . . . . . . 21
CABINET MÉDICAL PRIVÉ . . . . . . . . . . . . . 22
CLINIQUE MOBILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
AUTRE SECTEUR MÉDICAL PRIVÉ
26
(PRÉCISEZ)
SECTEUR ONG/ASSOCIATION
ASSOCIATION MGBET . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS ........................... 98
310 VÉRIFIEZ 308 ET 309, 215 ET 231: AUCUNE NAISSANCE OU GROSSESSE TERMINÉE APRÈS MOIS ET
ANNÉE DE DÉBUT D'UTILISATION DE LA CONTRACEPTION À 308 OU 309
NON OUI
498 • Annexe E
SECTION 3. CONTRACEPTION (OPTION CAPI)
C C
INSCRIVEZ DANS LE CALENDRIER LE CODE POUR INSCRIVEZ DANS LE CALENDRIER LE CODE
LA MÉTHODE UTILISÉE LE MOIS DE L'INTERVIEW ET POUR LA MÉTHODE UTILISÉE LE MOIS DE
POUR CHAQUE MOIS JUSQUÀ LA DATE DE DÉBUT L'INTERVIEW ET POUR CHAQUE MOIS JUSQU'À
D'UTILISATION . JANVIER 2016 .
ENSUITE CONTINUEZ ENSUITE
(ALLEZ À 324)
312 Je voudrais maintenant vous poser des questions sur les périodes où, durant ces dernières années, vous ou votre partenaire, avez utilisé
une méthode pour éviter une grossesse.
C
UTILISEZ LE CALENDRIER POUR VÉRIFIER LES PÉRIODES ANTÉRIEURES D'UTILISATION ET DE NON UTILISATION, EN
COMMENÇANT PAR L'UTILISATION LA PLUS RÉCENTE, EN PARTANT DE JANVIER 2016. UTILISEZ LES NOMS DES
ENFANTS, DATES DE NAISSANCE ET PÉRIODES DE GROSSESSE COMME DES POINTS DE RÉFÉRENCE.
Annexe E • 499
COLONNE 1 COLONNE 2 COLONNE 3
312H Pourquoi avez-vous arrêté RAISON POUR AVOIR RAISON POUR AVOIR RAISON POUR AVOIR
d'utiliser (MÉTHODE) ? ARRÊTÉ ..... ARRÊTÉ ..... ARRÊTÉ .....
500 • Annexe E
SECTION 3. CONTRACEPTION
313 VÉRIFIEZ LE CALENDRIER POUR L'UTILISATION D'UNE MÉTHODE CONTRACEPTIVE À N'IMPORTE QUEL MOIS
26
(PRÉCISEZ)
SECTEUR ONG/ASSOCIATION
BSS MGBET . . . . . . . . . . . . . 31
AUTRE SOURCE
BOUTIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
INSTITUTION RELIGIEUSE. . . . . . . . . . . . . . . . 42
AMIS/PARENTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
Annexe E • 501
SECTION 3. CONTRACEPTION
319 Quand vous avez été stérilisée, vous a-t-on parlé OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 321
d'effets secondaires ou de problèmes que vous NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
pourriez avoir à cause de la méthode ?
321 Vous a-t-on dit ce qu'il fallait faire si vous aviez ces OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
effets secondaires ou ces problèmes ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
502 • Annexe E
SECTION 3. CONTRACEPTION
26
(PRÉCISEZ)
SECTEUR ONG/ASSOCIATION
BSS MGBET . . . . . . . . . . . . . 31
AUTRE SOURCE
BOUTIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
INSTITUTION RELIGIEUSE. . . . . . . . . . . . . . . . 42
AMIS/PARENTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
327 Au cours des 12 derniers mois, est-ce que vous avez OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
reçu la visite d'un agent de santé ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 329
Annexe E • 503
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
402 VÉRIFIEZ 215: INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE L'HISTORIQUE DES NAISSANCES À 403 ET LE NOM ET L'ÉTAT DE SURVIE À
404 POUR CHAQUE NAISSANCE EN 2016-2021. POSEZ LES QUESTIONS SUR TOUTES CES NAISSANCES.
COMMENCEZ PAR LA DERNIÈRE NAISSANCE.S'IL Y A PLUS DE 2 NAISSANCES, UTILISEZ LA DERNIÈRE COLONNE
D'UN/DES QUESTIONNAIRE SUPPLÉMENTAIRE.
Je voudrais maintenant vous poser des questions sur vos enfants nés dans les cinq dernières années. (Nous parlerons d'un
enfant à la fois).
405 Quand vous êtes tombée enceinte de OUI ..................... 1 OUI ..................... 1
(NOM), vouliez-vous être enceinte à ce (ALLEZ À 408) (ALLEZ À 426)
moment-là ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
ANNÉES . . . . . . . 2 ANNÉES . . . . . . . 2
AUTRE X
(PRÉCISEZ)
504 • Annexe E
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
K
(PRÉCISEZ)
AUTRE X
(PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS . . . . . . . . . . . . . 98
Annexe E • 505
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
(ALLEZ À 420)
SEULEMEN PLUS
T UNE FOIS D’UNE FOIS
a) Il y a combien b) Il y a combien
d’années que d’années que IL Y A
vous avez reçu vous avez reçu ANNÉES .......
cette injection la dernière
contre le tétanos injection contre
? le tétanos avant
cette grossesse
?
506 • Annexe E
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
426 Quand (NOM) est né, était-il/elle très TRÈS GROS ............. 1 TRÈS GROS ............. 1
gros, plus gros que la moyenne, moyen, PLUS GROS QUE PLUS GROS QUE
plus petit que la moyenne ou très petit ? LA MOYENNE . . . . . . . . . . 2 LA MOYENNE . . . . . . . . . . 2
MOYEN ................ 3 MOYEN ................ 3
PLUS PETIT QUE PLUS PETIT QUE
LA MOYENNE . . . . . . . . . . 4 LA MOYENNE . . . . . . . . . . 4
TRÈS PETIT ............. 5 TRÈS PETIT ............. 5
NE SAIT PAS ............. 8 NE SAIT PAS ............. 8
1 . 1 .
INSCRIVEZ LE POIDS EN KG DE MÉMOIRE KG DE MÉMOIRE
KILOGRAMMES À PARTIR DU
CARNET DE SANTÉ, SI DISPONIBLE. 2 . 2 .
NE SAIT PAS . . . . . . . . . . 99998 NE SAIT PAS . . . . . . . . . . 99998
429 Qui vous a assisté durant l'accouchement PROF. DE LA SANTÉ PROF. DE LA SANTÉ
de (NOM) ? GYNÉCOLOGUE .. .. .. A GYNÉCOLOGUE .. .. .. A
AUTRE MÉDECIN . . . . . . B AUTRE MÉDECIN . . .. .. B
Quelqu'un d'autre ? SAGE-FEMME . . . . . . . . C SAGE-FEMME . . . . .. .. C
INFIRMIER(E) INFIRMIER(E)
ACOUCHEUR(SE) . . . . D ACOUCHEUR(SE) .. .. D
INFIRMIERE .......... E INFIRMIERE . . . . . . .. .. E
INSISTEZ POUR LE/LES TYPES DE AUTRE PERSONNEL AUTRE PERSONNEL
PERSONNE ET ENREGISTREZ TOUT MATRONE . . . . . . . . . . F MATRONE . . . . . . .. .. F
CE QUI EST MENTIONNÉ. ACCOUCHEUSE ACCOUCHEUSE
TRADITIONNELLE . . . . . G TRADITIONNELLE ..... G
PARENT/AMI . . . . . . . . . . H PARENT/AMI . . . . . . .. .. H
SI L'ENQUÊTÉE DÉCLARE QUE AUTRE AUTRE
PERSONNE N'A ASSISTÉ X X
L'ACCOUCHEMENT, INSISTEZ POUR (PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
DÉTERMINER SI DES ADULTES PERSONNE . . . . . . . . . . . . . . . . Y PERSONNE . . . . . . . . . . . . . . . . Y
ÉTAIENT PRÉSENTS À
Annexe E • 507
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
AUTRE 96 AUTRE 96
(PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
(PASSEZ À 434) (PASSEZ À 434)
JOURS ....... 2
SI MOINS D'UN JOUR,
INSCRIVEZ EN HEURES; SEMAINES ..... 3
SI MOINS D'UNE SEMAINE,
INSCRIVEZ EN JOURS. NE SAIT PAS . . . . . . . . . . . . . 998
434 Est-ce que (NOM) a été posé sur votre OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
poitrine, immédiatement après sa NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
naissance ? (ALLEZ À 434B) (ALLEZ À 459)
NE SAIT PAS ............. 8 NE SAIT PAS ............. 8
(ALLEZ À 449)
508 • Annexe E
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
JOURS ....... 2
SI MOINS D'UN JOUR,
INSCRIVEZ EN HEURES; SEMAINES ..... 3
SI MOINS D'UNE SEMAINE,
INSCRIVEZ EN JOURS. NE SAIT PAS . . . . . . . . . . . . . 998
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
JOURS ....... 2
SI MOINS D'UN JOUR,
INSCRIVEZ EN HEURES; SEMAINES ..... 3
SI MOINS D'UNE SEMAINE,
INSCRIVEZ EN JOURS. NE SAIT PAS . . . . . . . . . . . . . 998
Annexe E • 509
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
JOURS ....... 2
SI MOINS D'UN JOUR,
INSCRIVEZ EN HEURES; SEMAINES ..... 3
SI MOINS D'UNE SEMAINE,
INSCRIVEZ EN JOURS. NE SAIT PAS . . . . . . . . . . . . . 998
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
510 • Annexe E
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
AUTRE PERSONNEL
MATRONE . . . . . . . . . . 21
ACCOUCHEUSE
TRADITIONNELLE . . . . 22
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
Annexe E • 511
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
46
(PRÉCISEZ)
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
(ALLEZ À 457)
JOURS ....... 2
SI MOINS D'UN JOUR,
INSCRIVEZ EN HEURES; SEMAINES ..... 3
SI MOINS D'UNE SEMAINE,
INSCRIVEZ EN JOURS. NE SAIT PAS . . . . . . . . . . . . . 998
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
512 • Annexe E
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
Annexe E • 513
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
514 • Annexe E
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
AUTRE
96
(PRÉCISEZ)
Annexe E • 515
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
AUTRE
X
(PRÉCISEZ)
AUTRE
6
(PRÉCISEZ)
516 • Annexe E
SECTION 4. SOINS PRÉ ET POSTNATALS
Annexe E • 517
SECTION 5A. VACCINATION DES ENFANTS (DERNIÈRE NAISSANCE)
501A VÉRIFIEZ 215 DANS L'HISTORIQUE DES NAISSANCES : UNE NAISSANCE EN 2018-2021?
UNE NAISSANCE OU PLUS EN AUCUNE NAISSANCE
601
2018-2021 EN 2018-2021
502A INSCRIVEZ LE NOM ET LE NUMÉRO DE L'HISTORIQUE DES NAISSANCES DE 212 DU DERNIER ENFANT NÉ
EN 2018-2021.
NOM DE LA NUMÉRO HISTORIQUE
DERNIÈRE NAISSANCE DES NAISSANCES . . . . . . . . . . . . . . . .
VIVANT DÉCÉDÉ
501B
507A Puis-je voir le carnet de santé de l'enfant, le carnet de OUI, SEULEMENT CARNET VU . . . . . . . . . . . . . 1
santé de la mère et d'enfant ou l'autre document sur OUI, SEULEMENT AUTRE DOCUMENT VU . . . . . 2
lequel les vaccinations de (NOM) sont inscrites ? OUI, CARNET ET AUTRE DOCUMENT VUS . . . . . 3
NI CARNET NI AUTRE DOCUMENT VUS ..... 4 511A
518 • Annexe E
SECTION 5A. VACCINATION DES ENFANTS (DERNIÈRE NAISSANCE)
508A INSCRIVEZ ‘44' DANS LA COLONNE ‘JOUR' SI LE CARNET MONTRE QU'UNE DOSE A ÉTÉ DONNÉE MAIS
QUE LA DATE N'A PAS ÉTÉ ENREGISTRÉE.
JOUR MOIS ANNÉE
BCG
DTCoq-HEP.B-HIB (PENTAVALENT) 1
DTCoq-HEP.B-HIB (PENTAVALENT) 2
DTCoq-HEP.B-HIB (PENTAVALENT) 3
DTCoq-HIB-VPI (PENTACOQU/PENTAXIM) 1
DTCoq-HIB-VPI (PENTACOQU/PENTAXIM) 2
DTCoq-HIB-VPI (PENTACOQU/PENTAXIM) 3
DTCoq-VPI (TETRACOQ) 1
DTCoq-VPI (TETRACOQ) 2
DTCoq-VPI (TETRACOQ) 3
HEP.B (EUVAX) 1
HEP.B (EUVAX) 2
HEP.B (EUVAX) 3
VACCIN ANTIROUGEOLEUX
Annexe E • 519
SECTION 5A. VACCINATION DES ENFANTS (DERNIÈRE NAISSANCE)
514A Est-ce que (NOM) a reçu le vaccin oral contre la polio, OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
c'est-à-dire deux gouttes dans la bouche pour éviter la NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
517A
polio ? NE SAIT PAS ........................... 8
515A Est-ce que (NOM) a reçu la dose de naissance contre DEUX PREMIÈRES SEMAINES. . . . . . . . . . . . . . . . 1
la polio dans les deux premières semaines après sa PLUS TARD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
naissance ou plus tard ?
520 • Annexe E
SECTION 5A. VACCINATION DES ENFANTS (DERNIÈRE NAISSANCE)
525A Est-ce que (NOM) a reçu le vaccin contre La polio, c'est- OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
à-dire une injection dans la cuisse donner en même NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
temps que la troisième dose de pentavalent? NE SAIT PAS ........................... 8
Annexe E • 521
SECTION 5B. VACCINATION DES ENFANTS (AVANT-DERNIÈRE NAISSANCE)
501B VÉRIFIEZ 215 DANS L'HISTORIQUE DES NAISSANCES: D'AUTRES NAISSANCES EN 2018-2021?
D'AUTRES NAISSANCES EN PLUS DE NAISSANCE
601
2018-2021 EN 2018-2021
VIVANT DÉCÉDÉ
528B
507B Puis-je voir le carnet de santé de l'enfant, le carnet de OUI, SEULEMENT CARNET VU . . . . . . . . . . . . . 1
santé de la mère et d'enfant ou l'autre document sur OUI, SEULEMENT AUTRE DOCUMENT VU . . . . . 2
lequel les vaccinations de (NOM) sont inscrites ? OUI, CARNET ET AUTRE DOCUMENT VUS . . . . . 3
NI CARNET NI AUTRE DOCUMENT VUS ..... 4 511B
522 • Annexe E
SECTION 5B. VACCINATION DES ENFANTS (AVANT-DERNIÈRE NAISSANCE)
DTCoq-HEP.B-HIB (PENTAVALENT) 1
DTCoq-HEP.B-HIB (PENTAVALENT) 2
DTCoq-HEP.B-HIB (PENTAVALENT) 3
DTCoq-HIB-VPI (PENTACOQU/PENTAXIM) 1
DTCoq-HIB-VPI (PENTACOQU/PENTAXIM) 2
DTCoq-HIB-VPI (PENTACOQU/PENTAXIM) 3
DTCoq-VPI (TETRACOQ) 1
DTCoq-VPI (TETRACOQ) 2
DTCoq-VPI (TETRACOQ) 3
HEP.B (EUVAX) 1
HEP.B (EUVAX) 2
HEP.B (EUVAX) 3
VACCIN ANTIROUGEOLEUX
Annexe E • 523
SECTION 5B. VACCINATION DES ENFANTS (AVANT-DERNIÈRE NAISSANCE)
514B Est-ce que (NOM) a reçu le vaccin oral contre la polio, OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
c'est-à-dire deux gouttes dans la bouche pour éviter la NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
517B
polio ? NE SAIT PAS ........................... 8
515B Est-ce que (NOM) a reçu la dose de naissance contre DEUX PREMIÈRES SEMAINES. . . . . . . . . . . . . . . . 1
la polio dans les deux premières semaines après sa PLUS TARD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
naissance ou plus tard ?
524 • Annexe E
SECTION 5B. VACCINATION DES ENFANTS (AVANT-DERNIÈRE NAISSANCE)
525B Est-ce que (NOM) a reçu le vaccin contre La polio, c'est- OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
à-dire une injection dans la cuisse donner en même NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
temps que la troisième dose de pentavalent? NE SAIT PAS ........................... 8
528B VÉRIFIEZ 215 DANS L'HISTORIQUE DES NAISSANCES: D'AUTRES NAISSANCES EN 2018-2021?
Annexe E • 525
SECTION 6.SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
602 VÉRIFIEZ 215: INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE L'HISTORIQUE DES NAISSANCES À 603 ET LE NOM ET L'ÉTAT DE SURVIE
À 604 POUR CHAQUE NAISSANCE EN 2016-2021. POSEZ LES QUESTIONS SUR TOUTES CES NAISSANCES.
COMMENCEZ PAR LA DERNIÈRE NAISSANCE. S'IL Y A PLUS DE NAISSANCES, UTILISEZ LA DERNIÈRE COLONNE
D'UN/DES QUESTIONNAIRES ADDITIONNEL(S).
Je voudrais maintenant vous poser des questions sur vos enfants nés dans les cinq dernières années. (Nous parlerons d'un
enfant à la fois).
526 • Annexe E
SECTION 6.SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
610 Quand (NOM) avait la diarrhée, lui a-t-on BEAUCOUP MOINS ....... 1 BEAUCOUP MOINS ....... 1
donné à manger moins que d'habitude, UN PEU MOINS .......... 2 UN PEU MOINS .......... 2
environ la même quantité, plus que ENVIRON LA MÊME QUANTITÉ 3 ENVIRON LA MÊME QUANTITÉ 3
d'habitude ou rien à manger ? PLUS .................. 4 PLUS .................. 4
A STOPPÉ LA NOURRITURE . . 5 A STOPPÉ LA NOURRITURE 5
SI MOINS, INSISTEZ : Lui a-t-on donné N'A JAMAIS DONNÉ N'A JAMAIS DONNÉ
à manger beaucoup moins que À MANGER .......... 6 À MANGER .......... 6
d'habitude ou un peu moins ? NE SAIT PAS . 8 NE SAIT PAS . 8
Annexe E • 527
SECTION 6.SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
612 Où êtes-vous allée pour rechercher des SECTEUR PUBLIC SECTEUR PUBLIC
conseils ou un traitement ? HÔPITAL/ HÔPITAL/
CENTRE DE SANTÉ .. A CENTRE DE SANTÉ .. A
Quelque part ailleurs ? DISPENSAIRE . . . . . . . . B DISPENSAIRE . . . . . . . . B
CENTRE SMI .. .. .. .. C CENTRE SMI .. .. .. .. C
INFIRMERIE MILITAIRE. . . . D INFIRMERIE MILITAIRE. . . . D
INSISTEZ POUR DÉTERMINER LE CASE DE SANTE . . . . . . E CASE DE SANTE . . . . . . E
AUTRE SECTEUR PUBLIC AUTRE SECTEUR PUBLIC
SI VOUS NE POUVEZ DÉTERMINER SI
L'ENDROIT EST DU SECTEUR PUBLIC F F
OU PRIVÉ, INSCRIVEZ LE NOM DE (PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
L'ENDROIT.
SECTEUR PARA-PUBLIC PRIVÉ SECTEUR PARA-PUBLIC PRIVÉ
CENTRE MEDICO SOCIAL G CENTRE MEDICO SOCIAL G
(NOM DE L'ENDROIT)
SECTEUR MÉDICAL PRIVÉ SECTEUR MÉDICAL PRIVÉ
CLINIQUE PRIVÉ . . . . . . . H CLINIQUE PRIVÉ . . . . . . . H
MÉDECIN PRIVÉ ....... I MÉDECIN PRIVÉ ....... I
CABINET INFIRMIER . . . . . J CABINET INFIRMIER . . . . . J
PHARMACIE . . . . . . . . . . K PHARMACIE . . . . . . . . . . K
AUTRE SECTEUR MÉDICAL AUTRE SECTEUR MÉDICAL
PRIVÉ PRIVÉ
L L
(PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
AUTRE X AUTRE X
(PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
528 • Annexe E
SECTION 6.SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
AUTRE X AUTRE X
(PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
Annexe E • 529
SECTION 6.SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
622 Est-ce que ce souffle rapide ou ces BRONCHE SEULEMENT . . . . . 1 BRONCHE SEULEMENT . . . . . 1
difficultés pour respirer étaient dus à un NEZ SEULEMENT . . . . . . . . . . 2 NEZ SEULEMENT . . . . . . . . . . 2
problème de bronche ou à un nez LES DEUX . . . . . . . . . . . . . . . . 3 LES DEUX . . . . . . . . . . . . . . . . 3
bouché ou qui coulait ? AUTRE 6 AUTRE 6
(PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS ............. 8 NE SAIT PAS ............. 8
(ALLEZ À 624) (ALLEZ À 624)
623 VÉRIFIEZ 618: A EU DE LA FIÈVRE ? OUI NON OU NSP OUI NON OU NSP
625 Où êtes-vous allée pour rechercher des SECTEUR PUBLIC SECTEUR PUBLIC
conseils ou un traitement ? HÔPITAL/ HÔPITAL/
CENTRE DE SANTÉ .. A CENTRE DE SANTÉ .. A
Quelque part ailleurs ? DISPENSAIRE . . . . . . . . B DISPENSAIRE . . . . . . . . B
CENTRE SMI .. .. .. .. C CENTRE SMI .. .. .. .. C
INFIRMIER MILITAIRE . . . . D INFIRMIER MILITAIRE . . . . D
INSISTEZ POUR DÉTERMINER LE CASE DE SANTE . . . . . . E CASE DE SANTE . . . . . . E
TYPE D'ENDROIT. AUTRE SECTEUR PUBLIC AUTRE SECTEUR PUBLIC
F F
SI VOUS NE POUVEZ DÉTERMINER SI (PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
L'ENDROIT EST DU SECTEUR PUBLIC
OU PRIVÉ, INSCRIVEZ LE NOM DE SECTEUR PARA-PUBLIC PRIVÉ SECTEUR PARA-PUBLIC PRIVÉ
L'ENDROIT. CENTRE MEDICO SOCIAL G CENTRE MEDICO SOCIAL G
AUTRE X AUTRE X
(PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
530 • Annexe E
SECTION 6.SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
H H
(PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
ANTIBIOTIQUES ANTIBIOTIQUES
COMPRIMÉS/SIROP . . . . . I COMPRIMÉS/SIROP . . . . . I
INJECTION/IV . . . . . . . . . . J INJECTION/IV . . . . . . . . . . J
AUTRE X AUTRE X
(PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS ............. Z NE SAIT PAS ............. Z
Annexe E • 531
SECTION 6.SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
532 • Annexe E
SECTION 6.SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
632 VÉRIFIEZ 630: CODE 'A' CODE 'A' CODE 'A' CODE 'A'
ARSUCAM ('A') DONNÉE ENCERCLÉ NON ENCERCLÉ NON
ENCERCLÉ ENCERCLÉ
634 VÉRIFIEZ 630: CODE 'B' CODE 'B' CODE 'B' CODE 'B'
COARTEM ('B') DONNÉE ENCERCLÉ NON ENCERCLÉ NON
ENCERCLÉ ENCERCLÉ
636 VÉRIFIEZ 630: CODE 'C' CODE 'C' CODE 'C' CODE 'C'
QUININE ('C') DONNÉE ENCERCLÉ NON ENCERCLÉ NON
ENCERCLÉ ENCERCLÉ
638 VÉRIFIEZ 630: CODE 'D' CODE 'D' CODE 'D' CODE 'D'
QUINIMAX ('D') DONNÉE ENCERCLÉ NON ENCERCLÉ NON
ENCERCLÉ ENCERCLÉ
Annexe E • 533
SECTION 6.SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
640 VÉRIFIEZ 630: CODE 'E' CODE 'E' CODE 'E' CODE 'E'
SP/FANSIDAR ('E') DONNÉE ENCERCLÉ NON ENCERCLÉ NON
ENCERCLÉ ENCERCLÉ
642 VÉRIFIEZ 630: CODE 'F' CODE 'F' CODE 'F' CODE 'F'
CHLOROQUINE ('F') DONNÉ ENCERCLÉ NON ENCERCLÉ NON
ENCERCLÉ ENCERCLÉ
643A VÉRIFIEZ 630: CODE 'G' CODE 'G' CODE 'G' CODE 'G'
AMODIAQUINE/ FLAVOQUINE/ ENCERCLÉ NON ENCERCLÉ NON
CAMOQUIN/MALOXINE/NIVAQUINE ENCERCLÉ ENCERCLÉ
('G') DONNÉ
(ALLEZ À 644) (ALLEZ À 644)
644 VÉRIFIEZ 630: CODE 'H' CODE 'H' CODE 'H' CODE 'H'
AUTRE ANTIPALUDIQUE ('H') DONNÉ ENCERCLÉ NON ENCERCLÉ NON
ENCERCLÉ ENCERCLÉ
534 • Annexe E
SECTION 6. SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
649 VÉRIFIEZ 215 ET 218, TOUTES LES LIGNES: NOMBRE D'ENFANTS NÉS EN 2019-2021 VIVANT AVEC
L'ENQUÊTÉE
UN OU PLUS AUCUN
701
Annexe E • 535
SECTION 6. SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
c) Du bouillon ? c) . . . . . . . . . . . . . 1 2 8
f) D'autres liquides ? f) . . . . . . . . . . . . . 1 2 8
g) Du yaourt ? g) . . . . . . . . . . . . . 1 2 8
SI OUI : Combien de fois (NOM) a-t-il/elle mangé du
yaourt ? NOMBRE DE FOIS
SI 7 FOIS OU PLUS, INSCRIVEZ '7'. QU'IL/ELLE A MANGÉ DU
YAOURT
536 • Annexe E
SECTION 6. SANTÉ DE L'ENFANT ET NUTRITION
q) Des œufs ? q) . . . . . . . . . . . . . 1 2 8
652 Est-ce que hier durant le jour ou la nuit (NOM DE 649) OUI .................................... 1
a mangé des aliments solides, semi solides ou mous ? (RETOURNEZ À 650 POUR
INSCRIRE LES ALIMENTS
SI ‘OUI’ INSISTEZ : Quel type d'aliments solide, semi
solide ou mou (NOM) a-t-il/elle mangé ? (PUIS CONTINUEZ AVEC 653)
NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 654
654 La dernière fois que (NOM DE 649) est allé aux ENFANT A UTILISÉ TOILETTES OU LATRINES . . 01
toilettes, qu'avez-vous fait des excréments ? A JETÉ/RINCÉ
DANS TOILETTES OU LATRINES . . . . . . . . . . 02
A JETÉ/RINCÉ
DANS ÉGOUT OU CANIVEAU . . . . . . . . . . . . . 03
A JETÉ AUX ORDURES ................... 04
A ENTERRÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 05
A LAISSÉ À L'AIR LIBRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 06
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
Annexe E • 537
SECTION 7.UNION ET ACTIVITE SEXUELLE
701C Vivez-vous avec un homme comme si vous étiez OUI, ACTUELLEMENT EN UNION . . . . . . . . . . . . . 1
704
mariée ? OUI, VIT AVEC UN HOMME . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NON, PAS EN UNION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
702 Avez-vous déjà été mariée ou avez-vous déjà vécu OUI, A ÉTÉ MARIÉE ...................... 1
avec un homme comme si vous étiez mariée ? OUI, A VÉCU AVEC UN HOMME . . . . . . . . . . . . . 2
NON ................................. 3 712
704 Est-ce que votre (mari/partenaire) vit actuellement avec VIT AVEC ELLE ......................... 1
vous ou vit-il ailleurs ? VIT AILLEURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
709 Avez-vous été mariée ou avez-vous vécu avec un SEULEMENT UNE FOIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
homme une seule fois ou plus d'une fois ? PLUS D'UNE FOIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
538 • Annexe E
SECTION 7.UNION ET ACTIVITE SEXUELLE
711E À qui est passé la plus grande partie des biens que MOI-MÊME (ENQUÊTÉE) ................ 1
possédait votre dernier mari/partenaire ? BIENS PARTAGÉS ENTRE MOI
ET AUTRES FEMMES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
BIENS PARTAGÉS ENTRE MOI 712
ET LES ENFANTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
BIENS PARTAGÉS ENTRE MOI
ET LA FAMILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
AUTRE FEMME . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
MES ENFANTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
AUTRES ENFANTS DU MARI . . . . . . . . . . . . . . . . 7
FAMILLE DU MARI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
AUTRES MEMBRES DE LA FAMILLE ........ 9
AUTRES PERSONNES PAS
MEMBRE DE LA FAMILLE . . . . . . . . . . . . . 10
MARI N'AVAIT RIEN (AUCUN BIEN) . . . . . . . . . . 11 712
AUTRES
96
(PRECISEZ)
Annexe E • 539
SECTION 7.UNION ET ACTIVITE SEXUELLE
540 • Annexe E
SECTION 7. UNION ET ACTIVITÉ SEXUELLE
718 Quelle était votre relation avec MARI ............. 1 MARI ............. 1 MARI ............. 1
cette personne avec qui vous PARTENAIRE VIVANT PARTENAIRE VIVANT PARTENAIRE VIVANT
avez eu des rapports AVEC L'ENQUÊTÉE . . 2 AVEC L'ENQUÊTÉE . . 2 AVEC L'ENQUÊTÉE . . 2
sexuels ? PETIT AMI NE VIVANT PETIT AMI NE VIVANT PETIT AMI NE VIVANT
PAS AVEC PAS AVEC PAS AVEC
SI PETIT AMI : Viviez-vous L'ENQUÊTÉE ..... 3 L'ENQUÊTÉE ..... 3 L'ENQUÊTÉE ..... 3
ensemble comme si vous étiez RENCONTRE RENCONTRE RENCONTRE
mariés ? OCCASIONNELLE . . 4 OCCASIONNELLE . . 4 OCCASIONNELLE . . 4
CLIENT/PROFESSION- CLIENT/PROFESSION- CLIENT/PROFESSION-
SI OUI, ENCERCLEZ '2' NEL DU SEXE . . . . . 5 NEL DU SEXE . . . . . 5 NEL DU SEXE . . . . . 5
SI NON, ENCERCLEZ '3' AUTRE 6 AUTRE 6 AUTRE 6
(PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ) (PRÉCISEZ)
Annexe E • 541
SECTION 7. UNION ET ACTIVITÉ SEXUELLE
542 • Annexe E
SECTION 7. UNION ET ACTIVITÉ SEXUELLE
729 Vous avez dit que la dernière fois que vous avez eu des STANDARD GENERIQUE . . . . . . . . . . . . . . 01
rapports sexuels, un préservatif avait été utilisé. Quelle DUREX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 02
était la marque du préservatif utilisée cette fois là ? INNOTEX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 03
MANNIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 04
PRUDENCE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 05
DOMINO . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 06
CAREX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 07
KAMASUTRA .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. 08
FÉMINDO .............................. 09
KISS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
AUTRE 96
SI LA MARQUE N'EST PAS CONNUE, DEMANDEZ À (PRÉCISEZ)
VOIR L'EMBALLAGE. NE SAIT PAS ........................... 98
Annexe E • 543
SECTION 7. UNION ET ACTIVITÉ SEXUELLE
SECTEUR ONG/ASSOCIATION
MOUVEMENT GABONAIS
DE BIEN ÊTRE FAMILIAL (MGBEF) 41
MARCHÉ/BOUTIQUE/ÉTALAGE . . . . . . . . 42
BAR/BOITE DE NUIT/HOTEL . . . . . . . . . . 43
AMIS/PARENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
INSTITUTION RÉLIGIEUSE ............. 45
AMIS/PARENTS ...................... 46
AUTRE SECTEUR ONG/ASSOCIATION
96
(PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS ........................... 98
544 • Annexe E
SECTION 8. PRÉFÉRENCES EN MATIÈRE DE FÉCONDITÉ
803 Je voudrais maintenant vous poser des questions sur AVOIR UN AUTRE ENFANT. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 805
l'avenir. Après l'enfant que vous attendez maintenant, N'EN VEUT PAS D'AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
812
souhaiteriez-vous un autre enfant ou préféreriez-vous INDÉCISE/NE SAIT PAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
ne plus en avoir ?
804 Je voudrais maintenant vous poser des questions sur AVOIR (UN/UN AUTRE) ENFANT . . . . . . . . . . . . . 1
l'avenir. Voudriez-vous avoir (un/un autre) enfant ou PAS D'AUTRE/AUCUN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 807
préféreriez-vous ne pas (plus) avoir d'enfant ? DIT QU'ELLE NE PEUT PAS TOMBER ENCEINT. . 3 813
INDÉCISE/NE SAIT PAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 811
Annexe E • 545
SECTION 8. PRÉFÉRENCES EN MATIÈRE DE FÉCONDITÉ
MANQUE DE CONNAISSANCE
NE CONNAÎT AUCUNE MÉTHODE. . . . . . . . . . M
ENREGISTREZ TOUTES LES RAISONS NE CONNAÎT AUCUN ENDRO . . . . . . . . . . . . . N
MENTIONNÉES.
RAISONS LIÉES À LA MÉTHODE
EFFETS SECONDAIRES/ PROBLÈMES DE
SANTÉ ......................... O
PAS ACCESSIBLE/TROP ÉLOIGN. . . . . . . . . . P
TROP CHER ......................... Q
MÉTHODE PRÉFERRÉE
NON DISPONIBLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . R
AUCUNE MÉTHODE DISPONIBLE. . . . . . . . . . S
PAS PRATIQUE À UTILISER . . . . . . . . . . . . . T
INTERFÈRE AVEC LES FONCTIONS
NORMALES DU CORPS . . . . . . . . . . . . . U
AUTRE X
(PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS ........................... Z
814 Parmi ces enfants, combien souhaiteriez-vous de GARÇONS FILLES PEU IMPORTE
garçons, combien souhaiteriez-vous de filles et pour
combien d'entre eux, le sexe n'aurait-il pas NOMBRE . .
d'importance ?
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
546 • Annexe E
SECTION 8. PRÉFÉRENCES EN MATIÈRE DE FÉCONDITÉ
821 Est-ce que votre (mari/partenaire) veut le même MÊME NOMBRE ......................... 1
nombre d'enfants que vous ou en veut-il plus ou moins PLUS D'ENFANTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
que vous ? MOINS D'ENFANTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
NE SAIT PAS ........................... 8
Annexe E • 547
SECTION 9. CARACTÉRISTIQUES DU MARI ET TRAVAIL DE LA FEMME
904 Quel est le plus haut niveau d'études que votre PRIMAIRE .............................. 1
(mari/partenaire) a atteint : primaire, secondaire 1er SECONDAIRE 1er CYCLE/
cycle/collège enseignement technique, secondaire 2ème COLLEGE ENSEIGN.TECHNIQUE .. .. .. 2
cycle/lycée enseignement technique ou supérieur ? SECONDAIRE 2eme CYCLE/
LYCÉE ENSEIGN.TECHNIQUE .. .. .. .. 3
SUPÉRIEUR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
NE SAIT PAS .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. 8 906
911 Bien que vous n'ayez pas travaillé au cours des sept
derniers jours, est-ce que vous avez un travail ou une
affaire dont vous avez dû vous absenter pour vacances, OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 913
maladie, maternité ou pour une autre raison ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
548 • Annexe E
SECTION 9. CARACTÉRISTIQUES DU MARI ET TRAVAIL DE LA FEMME
919 Habituellement, qui décide comment l'argent que vous ENQUÊTÉE ........................... 1
gagnez va être utilisé : c'est vous, votre (mari/partenaire), MARI/PARTENAIRE ...................... 2
ou conjointement vous et votre (mari/partenaire) ? CONJOINTEMENT ENQUÊTÉE
ET MARI/PARTENAIRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
AUTRE 6
(PRÉCISEZ)
920 Diriez-vous que vous gagnez plus que votre PLUS QUE LUI ......................... 1
(mari/partenaire), moins ou à peu prés la même chose ? MOINS QUE LUI ......................... 2
À PEU PRÉS LA MÊME CHOSE. . . . . . . . . . . . . . . . 3
MARI/PARTENAIRE N'A PAS
DE REVENUS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 922
NE SAIT PAS ........................... 8
921 Habituellement, qui décide comment l'argent que votre ENQUÊTÉE ........................... 1
(mari/partenaire) gagne va être utilisé: vous, votre MARI/PARTENAIRE ...................... 2
(mari/partenaire), ou conjointement vous et votre CONJOINTEMENT ENQUÊTÉE
(mari/partenaire) ? ET MARI/PARTENAIRE ................ 3
MARI/PARTENAIRE N'A PAS
DE REVENUS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
AUTRE 6
(PRÉCISEZ)
922 Habituellement, qui prend les décisions en ce qui concerne ENQUÊTÉE ........................... 1
vos propres soins de santé: vous, votre (mari/partenaire), MARI/PARTENAIRE ...................... 2
conjointement vous et votre (mari/partenaire) ou quelqu'un CONJOINTEMENT ENQUÊTÉE
d'autre ? ET MARI/PARTENAIRE ................ 3
QUELQU'UN D'AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
923 Qui prend habituellement les décisions concernant les ENQUÊTÉE ........................... 1
achats importants pour le ménage ? MARI/PARTENAIRE ...................... 2
CONJOINTEMENT ENQUÊTÉE
ET MARI/PARTENAIRE ................ 3
QUELQU'UN D'AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
Annexe E • 549
SECTION 9. CARACTÉRISTIQUES DU MARI ET TRAVAIL DE LA FEMME
924 Qui prend habituellement les décisions concernant les ENQUÊTÉE ........................... 1
visites à votre famille ou parents ? MARI/PARTENAIRE ...................... 2
CONJOINTEMENT ENQUÊTÉE
ET MARI/PARTENAIRE ................ 3
QUELQU'UN D'AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
925 Est-ce que vous possédez cette maison ou une autre SEULE SEULEMENT ...................... 1
maison seule ou conjointement avec quelqu'un d'autre ? CONJOINTEMENT SEULEMENT . . . . . . . . . . . . . 2
SEULE ET CONJOINTEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . 3
N'EN POSSÈDE PAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 928
926 Avez-vous un acte de propriété pour une maison que vous OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
possédez ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
928
NE SAIT PAS ........................... 8
927 Est-ce que votre nom figure sur l'acte de propriété ? OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NE SAIT PAS ........................... 8
928 Est-ce que vous possédez de la terre agricole ou non SEULE SEULEMENT ...................... 1
agricole, seule ou conjointement avec quelqu'un d'autre ? CONJOINTEMENT SEULEMENT . . . . . . . . . . . . . 2
SEULE ET CONJOINTEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . 3
N'EN POSSÈDE PAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 931
929 Avez-vous un acte de propriété pour une terre que vous OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
possédez ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
931
NE SAIT PAS ........................... 8
930 Est-ce que votre nom figure sur l'acte de propriété ? OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NE SAIT PAS ........................... 8
550 • Annexe E
SECTION 9. CARACTÉRISTIQUES DU MARI ET TRAVAIL DE LA FEMME
Annexe E • 551
SECTION 10. VIH/SIDA
1002 Le VIH est le virus qui cause le sida. Est-ce qu'on peut OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
réduire le risque de contracter le VIH en ayant juste un NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
seul partenaire sexuel qui n'est pas infecté et qui n'a NE SAIT PAS ........................... 8
aucun autre partenaire sexuel ?
1003 Est-ce qu'on peut contracter le VIH par les piqûres de OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
moustiques ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NE SAIT PAS ........................... 8
552 • Annexe E
SECTION 10. VIH/SIDA
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
1013 VÉRIFIEZ LA PRÉSENCE D'AUTRES PERSONNES. AVANT DE CONTINUER, FAITES TOUS LES EFFORTS
POSSIBLE POUR VOUS TROUVER EN PRIVÉ.
1015 Dans le cadre des visites prénatales, est-ce que l'on OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
vous a proposé d'effectuer un test du VIH ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
SECTEUR PARA-PUBLIC
CENTRE MÉDICO SOCIAL CNSS .. .. 21
PHARMACIE .......... 22
AUTRE SECTEUR PARA PUBLIC
. . . . 26
(PRÉCISEZ)
1019 Toutes les femmes sont censées recevoir des conseils OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
après avoir effectué le test. Après avoir effectué votre NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
test, avez-vous reçu des conseils ? NE SAIT PAS ........................... 8
Annexe E • 553
SECTION 10. VIH/SIDA
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
SECTEUR PARA-PUBLIC
CENTRE MÉDICO SOCIAL CNSS .. .. 21
PHARMACIE .......... 22
AUTRE SECTEUR PARA PUBLIC
. . . . 26
(PRÉCISEZ)
1033
SECTEUR MÉDICAL PRIVÉ
CLINIQUE PRIVÉE . . . . . . .. .. .. .. .. 31
CABINET MÉDICAL PRIVÉ .. .. .. .. .. 32
CABINET SOIN/INFIRMERIE .. .. .. .. .. 33
PHARMACIE PRIVÉE . . . . .. .. .. .. .. 34
554 • Annexe E
SECTION 10. VIH/SIDA
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
AUTRE X
(PRÉCISEZ)
1033 Avez-vous entendu parler de kits de tests que les gens OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
peuvent utiliser pour se tester eux-mêmes pour le VIH NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 1035
?
1038 Est-ce que les gens parlent mal de ceux qui vivent OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
avec le VIH ou dont on pense qu'ils vivent avec le VIH NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
? NE SAIT PAS/PAS SÛRE/ÇA DÉPEND . . . . . . . . 8
1039 Est-ce que les gens qui vivent avec le VIH, ou dont on OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
pense qu'ils vivent avec le VIH, perdent le respect des NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
autres ? NE SAIT PAS/PAS SÛRE/ÇA DÉPEND . . . . . . . . 8
Annexe E • 555
SECTION 10. VIH/SIDA
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
1046 Il arrive parfois que les femmes aient des pertes OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
vaginales, anormales et malodorantes. Au cours des NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
12 derniers mois, avez-vous eu des pertes vaginales NE SAIT PAS ........................... 8
anormales et malodorantes ?
1047 Il arrive parfois que les femmes aient une plaie ou un OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
ulcère génital. Au cours des 12 derniers mois, avez- NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
vous eu une plaie ou un ulcère génital ? NE SAIT PAS ........................... 8
556 • Annexe E
SECTION 10. VIH/SIDA
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
AUTRE X
(PRÉCISEZ)
1051 Si une femme sait que son mari est atteint d'une
maladie qu'elle peut contracter au cours de rapports OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
sexuels, pensez-vous qu'il est justifié qu'elle lui NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
demande qu'ils utilisent un préservatif quand ils ont des NE SAIT PAS ........................... 8
rapports sexuels ?
1051A Si une femme sait que son mari est atteint d'une OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
maladie qu'elle peut contracter au cours de rapports NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
sexuels, pensez-vous qu'il est justifié qu'elle refuse NE SAIT PAS ........................... 8
d'avoir des rapports sexuels avec lui ?
1052 Est-ce que vous pensez qu'il est justifié qu'une femme OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
refuse d'avoir des rapports sexuels avec son mari NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
quand elle sait qu'il a des relations sexuelles avec NE SAIT PAS ........................... 8
d'autres femmes ?
Annexe E • 557
SECTION 11. AUTRES PROBLÈMES DE SANTÉ
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
AUTRE X
(PRÉCISEZ)
1107A Avez-vous déjà consommé une boisson qui contient de PRESQUE CHAQUE JOUR ................ 1
l'alcool comme le vin de palme, vin de canne à sucre, AU MOINS UNE FOIS PAR SEMAINE ........ 2
ou le vin de maïs : presque chaque jour, au moins une MOINS D'UNE FOIS PAR SEMAINE ........ 3
fois par semaine, moins d’une fois par semaine ou pas PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 1108
1107C Au cours des 12 derniers mois, combien de fois avez- PRESQUE CHAQUE JOUR ................ 1
vous consommé une boisson qui contient de l’alcool : AU MOINS UNE FOIS PAR SEMAINE ........ 2
presque chaque jour, au moins une fois par semaine, MOINS D'UNE FOIS PAR SEMAINE ........ 3
moins d’une fois par semaine ou pas du tout ? PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
558 • Annexe E
SECTION 11. AUTRES PROBLÈMES DE SANTÉ
1108 11
PAS UN
PROBLÈME PROBLÈME
IMPORTANT IMPORTANT
AUTRE X
(PRÉCISEZ)
1111 Est-ce que je peux mesurer maintenant votre tension OUI, L'ENQUÊTÉE ACCEPTE . . . . . . . . . . . . . . . . 1
artérielle ? NON, L'ENQUÊTÉE
N'ACCEPTE PAS ...................... 2 1201
Annexe E • 559
SECTION 12. MORTALITÉ ADULTE ET MORTALITÉ MATERNELLE
1201 Je voudrais maintenant vous poser des questions sur vos frères et sœurs, c'est-à-dire sur tous les enfants nés de
votre mère biologique, y compris ceux qui vivent avec vous, ceux qui vivent ailleurs et ceux qui sont décédés. Nous
avons appris au cours des enquêtes précédentes qu'il peut être difficile d'établir une liste complète de tous les
enfants nés de votre mère biologique. Nous travaillerons ensemble pour établir la liste la plus complète et pour vous
aider à vous souvenir de tous vos frères et sœurs. Pouvez-vous maintenant me donner les noms de tous vos frères
et sœurs nés de votre mère biologique ?
NOM NUMÉRO D'ORDRE NOM NUMÉRO D'ORDRE
a k
b l
c m
d n
e o
f p
g q
h r
i s
j t
1203 LISEZ LEURS NOMS À L'ENQUÊTÉE ET APRÈS LE DERNIER, DEMANDEZ : Y a-t-il d'autres frères et sœurs de la
même mère que vous n'avez pas cités ?
NON OUI
INSCRIVEZ D'AUTRES FRÈRES ET SOEURS À 1201.
1204 Il arrive que des personnes oublient de citer des enfants de leur mère biologique parce qu'ils ne vivent pas avec eux
ou parce qu'ils ne se voient pas très souvent. Y a-t-il des frères ou sœurs qui ne vivent pas avec vous que vous
n'avez pas cités ?
NON OUI
INSCRIVEZ D'AUTRES FRÈRES ET SOEURS À 1201.
1205 Il arrive parfois que des personnes oublient de citer des enfants de leur mère biologique parce qu'ils sont décédés.
Avez-vous des frères et sœurs qui sont décédés que vous n'avez pas cités ?
NON OUI
INSCRIVEZ D'AUTRES FRÈRES ET SOEURS À 1201.
1206 Certaines personnes ont des frères ou sœurs de la même mère mais d'un père différent. Y a-t-il des frères ou sœurs
nés de votre mère biologique mais qui ont un père biologique différent que vous n'avez pas cités ?
NON OUI
INSCRIVEZ D'AUTRES FRÈRES ET SOEURS À 1201.
560 • Annexe E
SECTION 12. MORTALITÉ ADULTE ET MORTALITÉ MATERNELLE
1210 Dites-mois, s'il vous plait, quel est le frère ou la sœur qui est né le premier (la première) ? Et qui a été le suivant/la
suivante ?
ENREGISTREZ '01' POUR LE NUMÉRO D'ORDRE À 1201 POUR LE PREMIER FRÈRE OU SOEUR, '02' POUR
LE SECOND ET AINSI DE SUITE JUSQU'À CE QUE VOUS AYEZ ENREGISTRÉ LE NUMÉRO D'ORDRE POUR
TOUS LES FRÈRES ET SOEURS.
1211 Combien de naissances votre mère a-t-elle eues avant NOMBRE DE NAISSANCES
votre propre naissance ? PRÉCÉDENTES . . . . . . . . . . . . . . . .
Annexe E • 561
SECTION 12. MORTALITÉ ADULTE ET MORTALITÉ MATERNELLE
1212 LISTEZ LES FRÈRES ET SOEURS SELON LE NUMÉRO D'ORDRE À 1201. POSEZ 1212 JUSQU'À 1224 POUR UN FRÈRE OU
UNE SOEUR AVANT DE PASSER AU FRÈRE OU SOEUR SUIVANT. S'IL Y A PLUS DE 12 FRÈRES ET SOEURS, UTILISEZ UN
QUESTIONNAIRE SUPPLÉMENTAIRE.
1222 Combien de
jours après la fin
de la grossesse
ou
l'accouchement
(NOM) est-elle
décédée ?
562 • Annexe E
SECTION 12. MORTALITÉ ADULTE ET MORTALITÉ MATERNELLE
1212 LISTEZ LES FRÈRES ET SOEURS SELON LE NUMÉRO D'ORDRE À 1201. POSEZ 1212 JUSQU'À 1224 POUR UN FRÈRE OU UNE
SOEUR AVANT DE PASSER AU FRÈRE OU SOEUR SUIVANT. S'IL Y A PLUS DE 12 FRÈRES ET SOEURS, UTILISEZ UN
QUESTIONNAIRE SUPPLÉMENTAIRE.
Annexe E • 563
SECTION 13. MALADIES NON TRANSMISSIBLES POUR LE QUESTIONNAIRE FEMME
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
1301 Est-ce qu'un médecin ou un autre professionnel de OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
santé a déjà vérifié votre tension artérielle ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NE SAIT PAS ........................... 8
564 • Annexe E
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
1325 Je vais, maintenant, vous poser des questions sur des tests qu'un professionnel de santé peut faire pour détecter un
cancer du col de l'utérus. Le col de l'utérus est la partie qui relie l'utérus au vagin. Pour effectuer un test du cancer
du col de l'utérus, on demande à la femme de s'allonger sur le dos en écartant les jambes. Ensuite, en utilisant une
petite brosse ou un coton-tige, le professionnel de santé prélève à l'intérieur de l'utérus un échantillon. L'échantillon
est envoyé dans un laboratoire pour être testé. Ce test est appelé un frottis Pap ou un test PVH. Il y a une autre
méthode qui est appelée IVA ou Inspection Visuelle après application d'Acide ascétique. Au cours de ce test, le
professionnel de santé applique du vinaigre dilué sur le col utérin pour voir si une réaction se produit.
1328 Quel était le résultat de votre dernier test pour le NORMAL / NÉGATIF ..................... 1 1330
cancer du col de l'utérus ? ANORMAL / POSITIF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
PAS CLAIR / NON CONCLUANT . . . . . . . . . . . . . 3
N'A PAS REÇU DE RÉSULTATS . . . . . . . . . . . . . 4 1330
NE SAIT PAS ........................... 8
Annexe E • 565
SECTION 13. MALADIES NON TRANSMISSIBLES (TENSION ARTÉRIELLE MOYENNE)
1340
566 • Annexe E
1340 UTILISEZ LE TABLEAU CI-DESSOUS POUR DÉTERMINER LE CODE CORRECT POUR ENREGISTRER
DANS LE RAPPORT SUR LA TENSION ARTÉRIELLE ET SUR LE FORMULAIRE DE RÉFÉRENCE .
PRESSION
SYSTOLIQUE PRESSION DIASTOLIQUE MOYENNE
MOYENNE ≤84 85-89 90-99 100-109 110-119 > 120
≤129 1 2 3 4 5 6
130-139 2 2 3 4 5 6
140-159 3 3 3 4 5 6
160-179 4 4 4 4 5 6
180-209 5 5 5 5 5 6
> 210 6 6 6 6 6 6
1341 ENREGISTREZ DANS LE TABLEAU CI-DESSOUS LE NOMBRE QUE VOUS AVEZ ENCERCLÉ À
Q1340. UTILISEZ ENSUITE LES INSTRUCTIONS À DROITE DE CE NOMBRE POUR COMPLÉTER LE
RAPPORT SUR LA TENSION ARTÉRIELLE ET LE FORMULAIRE DE RÉFÉRENCE POUR L'ENQUÊTÉE.
DONNEZ À L'ENQUÊTÉE LE FORMULAIRE ET RÉPONDEZ À TOUTES SES QUESTIONS.
CONSULTEZ UN
CATÉGORIE DE LA
PROFESSIONNEL DE SANTÉ
TENSION ARTÉRIELLE
POUR VÉRIFIER LA TENSION
DE L'ENQUÊTÉE ARTÉRIELLE DANS :
1 NORMALE 24 MOIS
2 À LA LIMITE SUPÉRIEURE
DU SEUIL NORMAL 12 MOIS
3 AU-DESSUS
DU SEUIL NORMAL 2 MOIS
4 MODÉRÉMENT
ÉLEVÉE 1 MOIS
Annexe E • 567
SECTION 14. VIOLENCE DOMESTIQUE
No. QUESTIONS ET FILTRES CODES PASSEZ À
1400A VÉRIFIEZ 106:
15-49 ANS 50-64 ANS
1433
1403 Tout d'abord, je vais vous poser des questions sur des situations
auxquelles certaines femmes sont confrontées. Dites-moi, s'il
vous plait, si les situations suivantes s'appliquent à vos relations
avec votre (dernier) (mari/partenaire) ? OUI NON NSP
a) Il (est/était) jaloux ou en colère si vous (parlez/parliez) à JALOUX . . . . . . . . . . 1 2 8
d'autres hommes ?
b) Il vous (accuse/accusait) souvent d'être infidèle ? ACCUSE .......... 1 2 8
c) Il ne vous (permet/permettait) pas de voir vos amies ? VOIR AMIES ....... 1 2 8
d) Il (essaye/essayait) de limiter vos contacts avec votre famille ? VOIR FAMILLE . . . . . . . 1 2 8
e) Il (insiste /insistait) pour savoir où vous (êtes/êtiez) à tous OÙ VOUS ÊTES ..... 1 2 8
moments ?
f) il ne vous (permet/permettait) pas de toucher l'argent du ARGENT . . . . . . . . . . 1 2 8
ménage (popote) ?
g) Il ne vous (permet/permettait) pas de travailler ? TRAVAIL . . . . . . . . . . 1 2 8
h) Il vous (empêche/empêchait) de sortir de la maison ? PRIVATION DE LIBERTÉ 1 2 8
568 • Annexe E
No. QUESTIONS ET FILTRES CODES PASSEZ À
A. Est-ce qu'il est déjà arrivé que votre (dernier) B. Combien de fois cela est-il arrivé au
(mari/partenaire) : cours des 12 derniers mois : souvent, de
temps en temps ou pas du tout ?
1405 A. Est-ce qu'il est déjà arrivé que votre (dernier) (mari/partenaire) B. Combien de fois cela est-il arrivé au
vous ait fait l'une des choses suivantes : cours des 12 derniers mois : souvent, de
temps en temps ou pas du tout ?
Annexe E • 569
No. QUESTIONS ET FILTRES CODES PASSEZ À
1408 Est-ce qu'à la suite d'actes commis envers vous par votre
(dernier) (mari/partenaire), il vous est arrivé d'avoir :
b) des hématomes aux yeux, des entorses, des luxations ou des OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
brûlures ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
1409 Est-ce qu'il vous est déjà arrivé de battre, de gifler, de donner des OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
coups de pied ou de faire quelque chose d'autre avec l'intention NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 1411
de blesser physiquement votre (dernier) (mari/partenaire) alors
qu'il ne vous battait pas et ne vous faisait pas de mal
physiquement ?
1410 Au cours des 12 derniers mois, combien de fois vous est-il arrivé SOUVENT .................. 1
de faire cela à votre (dernier) (mari/partenaire) : souvent, de DE TEMPS EN TEMPS . . . . . . . . . . . . . 2
temps en temps ou pas du tout ? PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
1412 Combien de fois lui arrive-t-il (lui est-il arrivé) d'être ivre : souvent, SOUVENT .................. 1
de temps en temps ou jamais ? DE TEMPS EN TEMPS .......... 2
JAMAIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
1413 Vous est-il arrivé d'avoir peur (d'avoir eu peur) de votre (dernier) DE NOMBREUSES FOIS ....... 1
(mari/partenaire) : de nombreuses fois, parfois ou jamais ? PARFOIS PEUR ............. 2
JAMAIS PEUR ................ 3
570 • Annexe E
No. QUESTIONS ET FILTRES CODES PASSEZ À
1415 A. Jusqu'ici, nous avons parlé du comportement de votre B. Il y a combien de temps que cela s'est
(actuel/dernier) (mari/partenaire). Maintenant, je voudrais vous produit ?
poser des questions sur le comportement de votre ou d'un de
vos (mari(s)/partenaire(s)) précédent(s) .
IL Y A IL Y A
DÉJÀ 0-11 12 MOIS NE SE
ARRIVÉ MOIS OU PLUS SOUVIENT PAS
a) Est-ce qu'il est arrivé qu'un
(mari/partenaire) précédent vous batte, OUI 1 1 2 3
vous gifle, vous donne des coups de NON 2
pieds ou vous fasse quelque chose pour
vous blesser physiquement ?
AUTRE X
(PRÉCISEZ)
1418 Au cours des 12 derniers mois, combien de fois est-il arrivé que SOUVENT .................. 1
(cette personne/ces personnes) vous agresse (vous agressent) DE TEMPS EN TEMPS .......... 2
physiquement : souvent, de temps en temps ou pas du tout ? PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
Annexe E • 571
No. QUESTIONS ET FILTRES CODES PASSEZ À
1420 Est-ce qu'il est arrivé que quelqu'un vous batte, vous gifle, vous OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
donne des coups de pieds ou vous fasse quelque chose d'autre NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 1422
pour vous faire mal physiquement alors que vous êtiez enceinte ?
1421 Qui a agi ainsi pour vous faire mal physiquement pendant que MARI/PARTENAIRE ACTUEL ..... A
vous êtiez enceinte ? MÈRE/ FEMME DU PÈRE . . . . . . . . . . B
PÈRE/ MARI DE LA MÈRE . . . . . . . . . . C
Quelqu'un d'autre ? SOEUR/FRÈRE ................ D
FILLE/FILS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E
ENREGISTREZ TOUT CE QUI EST MENTIONNÉ. AUTRE PARENT ................ F
ANCIEN MARI/PARTENAIRE . . . . . . . G
PETIT AMI ACTUEL ............. H
ANCIEN PETIT AMI ............. I
BELLE-MÈRE ................ J
BEAU-PÈRE ................ K
AUTRE BEAU-PARENT .......... L
ENSEIGNANT . . . . . . . . . . . . . . . . . . M
EMPLOYEUR/QUELQU'UN
AU TRAVAIL ................ N
POLICE/SOLDAT . . . . . . . . . . . . . . . . O
AUTRE X
(PRECISEZ)
1422A Maintenant, je voudrais vous poser des questions sur des choses
qui ont pu vous être faites par quelqu'un d'autre que (votre/un) OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1423
(mari/partenaire). À n'importe quel moment dans votre vie, quand NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
vous êtiez enfant ou adulte, est-ce que quelqu'un vous a forcé à A REFUSÉ DE RÉPONDRE/ 1424A
avoir des rapports sexuels ou à pratiquer d'autres actes sexuels PAS DE RÉPONSE .......... 3
contre votre volonté ?
1422B À n'importe quel moment dans votre vie, quand vous êtiez enfant OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
ou adulte, est-ce que quelqu'un vous a forcé à avoir des rapports NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
sexuels ou à pratiquer d'autres actes sexuels contre votre A REFUSÉ DE RÉPONDRE/ 1426
volonté ? PAS DE RÉPONSE .......... 3
1423 Quelle est la personne qui vous a forcé la première fois que cela MARI/PARTENAIRE ACTUEL . . . . . . . 01
est arrivé? ANCIEN MARI/PARTENAIRE . . . . . . . 02
PETIT AMI ACTUEL/ANCIEN . . . . . . . 03
PÈRE/BEAU-PÈRE ............. 04
FRÈRE/BEAU-FRÈRE . . . . . . . . . . . . . 05
AUTRE PARENT ................ 06
BEAU-PARENT ................ 07
AMI/RENCONTRE . . . . . . . . . . . . . . . . 08
AMI DE LA FAMILLE ............. 09
ENSEIGNANT . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
EMPLOYEUR/QUELQU'UN
AU TRAVAIL ................ 11
POLICE/SOLDAT . . . . . . . . . . . . . . . . 12
PRÊTRE/RELIGIEUX . . . . . . . . . . . . . 13
INCONNU ..................... 14
AUTRE 96
(PRECISEZ)
572 • Annexe E
No. QUESTIONS ET FILTRES CODES PASSEZ À
1426 VÉRIFIEZ 1405A (a-k), 1415A (a,b), 1416, 1420, 1422A ET 1422B:
AU MOINS UN PAS UN SEUL
1430
'OUI' 'OUI'
1427 Pensez à ce qui vous est arrivé parmi les choses dont nous OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
venons de parler. Vous est-il arrivé de rechercher de l'aide ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 1429
AUTRE X
(PRECISEZ)
1430 Pour autant que vous le sachiez, est-ce que votre père battait OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
votre mère ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NE SAIT PAS .................. 8
Annexe E • 573
No. QUESTIONS ET FILTRES CODES PASSEZ À
1432 COMMENTAIRES DE L'ENQUÊTRICE / SI L'ENQUÊTE SUR LA VIOLENCE DOMESTIQUE N'A PU ÊTRE MENÉE,
DONNEZ LES RAISONS.
MINUTES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
574 • Annexe E
OBSERVATIONS DE L'ENQUÊTRICE
À REMPLIR UNE FOIS L'INTERVIEW TERMINÉE
AUTRES COMMENTAIRES :
Annexe E • 575
INSTRUCTIONS: COL. 1 COL. 2
UN SEUL CODE DOIT FIGURER DANS CHAQUE CASE. 12 DEC 01
UN CODE DOIT ÊTRE INSCRIT À CHAQUE MOIS À LA COLONNE 1. 11 NOV 02
10 OCT 03
CODES À UTILISER POUR CHAQUE COLONNE 09 SEP 04
2 08 AOUT 05
2
COLONNE 1: NAISSANCES, GROSSESSES, UTILIS. CONTRACEP. (2) 0 07 JUL 06 0
2 06 JUIN 07 2
N NAISSANCES 05 MAI 08
G GROSSESSES 1 04 AVRIL 09 1
F FIN DE GROSSESSE (1) 03 MARS 10
02 FEVRIER 11
0 AUCUNE MÉTHODE 01 JAN 12
1 STÉRILISATION FÉMININE 12 DEC 13
2 STÉRILISATION MASCULINE 11 NOV 14
3 DIU 10 OCT 15
4 INJECTABLES 09 SEP 16
5 IMPLANTS
2 08 AOUT 17
2
6 PILULE 0 07 JUL 18 0
7 CONDOM 2 06 JUIN 19 2
8 CONDOM FÉMININ 05 MAI 20
9 PILULE DU LENDEMAIN 0 04 AVRIL 21 0
J MÉTHODE DES JOURS FIXES 03 MARS 22
K MÉTHODE DE L'AMÉNORRHÉE ET DE L'ALLAITEMENT MATERNEL 02 FEVRIER 23
L MÉTHODE DU RYTHME 01 JAN 24
M RETRAIT 12 DEC 25
X AUTRE MÉTHODE MODERNE 11 NOV 26
Y AUTRE MÉTHODE TRADITIONNELLE 10 OCT 27
09 SEP 28
COLONNE 2: DISCONTINUATION DE L'UTILISATION CONTRACEPTIVE
2 08 AOUT 29
2
0 07 JUL 30 0
0 RAPPORTS SEX. PEU FRÉQUENTS/MARI ABSENT 1 06 JUIN 31 1
1 TOMBÉE ENCEINTE ALORS QU'ELLE UTILISAIT 05 MAI 32
2 SOUHAITAIT TOMBER ENCEINTE 9 04 AVRIL 33 9
3 MARI/PARTENAIRE DÉSAPPROUVE 03 MARS 34
4 VOULAIT MÉTHODE PLUS EFFICACE 02 FEVRIER 35
5 PEUR DES EFFETS SECONDAIRES 01 JAN 36
6 MANQUE D'ACCESSIBILITÉ/TROP ÉLOIGNÉ 12 DEC 37
7 COÛTE TROP CHER 11 NOV 38
8 PAS PRATIQUE À UTILISER 10 OCT 39
F FATALISTE 09 SEP 40
A DIFFICULTÉS POUR TOMBER ENCEINTE/MÉNOPAUSE
2 08 AOUT 41
2
D DISSOLUTION DU MARIAGE/SÉPARATION 0 07 JUL 42 0
X AUTRE 1 06 JUIN 43 1
05 MAI 44
(PRÉCISEZ) 8 04 AVRIL 45 8
Z NE SAIT PAS 03 MARS 46
02 FEVRIER 47
01 JAN 48
12 DEC 49
11 NOV 50
10 OCT 51
09 SEP 52
2 08 AOUT 53
2
0 07 JUL 54 0
1 06 JUIN 55 1
05 MAI 56
7 04 AVRIL 57 7
03 MARS 58
02 FEVRIER 59
01 JAN 60
12 DEC 61
11 NOV 62
(1) On suppose que l'année de la collecte est 2021. Pour la collecte 10 OCT 63
commençant en 2022, toutes les références aux années de calendrier 09 SEP 64
2 08 AOUT 65
2
doivent être augmentées d'une année ; par exemple, 2015 doit être
changé en 2016, 2016 doit être changé en 2017, 2017 doit être changé 0 07 JUL 66 0
en 2018, et ainsi de suite pour toutes les années dans tout le 1 06 JUIN 67 1
questionnaire. 05 MAI 68
6 04 AVRIL 69 6
(2) Des codes peuvent être ajoutés pour d'autres méthodes, comme 03 MARS 70
celles basées sur la connaissance de la fécondité. 02 FEVRIER 71
01 JAN 72
576 • Annexe E
VERSION: QUES. FINAL
ENQUÊTE DÉMOGRAPHIQUE ET DE SANTÉ (EDSG-III 2019-21)
QUESTIONNAIRE HOMME
RÉPUBLIQUE GABONAISE
MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES DIRECTION GÉNÉRALE DE LA STATISTIQUE
ET DES SOLIDARITÉS NATIONALES (DGS)
IDENTIFICATION
NOM DE LA LOCALITÉ
NUMÉRO DE GRAPPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
VISITES D'ENQUÊTEURS
1 2 3 VISITE FINALE
DATE JOUR
MOIS
ANNÉE 2 0
NOM DE No
L'ENQUÊTEUR ENQUÊT
RÉSULTAT* RÉSULTAT*
PROCHAINE DATE
VISITE NOMBRE TOTAL
HEURE DE VISITES
LANGUE DU
QUESTIONNAIRE** 0 1 LANGUE DE
L'INTERVIEW**
LANGUE MATERNELLE
DE L'ENQUÊTÉ**
TRADUCTEUR
(OUI = 1, NON = 2)
LANGUE DU
QUESTIONNAIRE** FRANÇAIS **CODES LANGUES :
01 FRANÇAIS 04 SHIRA-PUNU 07 AUTRE GABON
02 FANG 05 MBEDE-TEKE 96 AUTRE
03 NZEBI-DUMA 06 MYENE
................
NOM NUMÉRO
Annexe E • 577
PRÉSENTATION ET DEMANDE DE CONSENTEMENT
Si vous souhaitez plus d'informations sur l'enquête, vous pouvez contacter la personne dont le nom figure sur la carte qui a déjà été donnée à
votre ménage.
MINUTES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
TOUJOURS .............................. 95
105
SI MOINS D'UNE ANNÉE, INSCRIVEZ ‘00’ ANNÉE. VISITEUR .............................. 96
103 Juste avant d'habiter ici, est-ce que vous viviez dans VILLE .................................. 1
une ville, une petite ville ou en zone rurale ? PETITE VILLE ............................ 2
ZONE RURALE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
ANNÉE ..............
578 • Annexe E
SECTION 1. CARACTÉRISTIQUES SOCIODÉMOGRAPHIQUES DE L'ENQUÊTÉ
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
106B Au cours de l'interview, je voudrais mesurer votre tension artérielle. Je le ferai trois fois au cours de l'interview.
C'est une procédure qui ne comporte aucun danger. On l'effectue pour savoir si une personne a une tension artérielle élevée. Si elle
n'est pas traitée, une tension élevée peut endommager sérieusement le coeur.
Je vous donnerai les résultats de la mesure de la tension artérielle après l'interview en vous expliquant ce que signifient les chiffres
de votre tension artérielle. Si votre tension artérielle est élevée, nous vous conseillerons de consulter dans un établissement de
santé ou de voir un médecin car nous ne pouvons pas effectuer d'autre contrôle ou fournir un traitement au cours de l'enquête.
Vous pouvez dire oui ou non ou vous pouvez aussi décider à n'importe quel moment de ne pas participer à la prise des mesures de
la tension artérielle .
Est-ce que vous m'autoriser maintenant à prendre les mesures de votre tension artérielle ?
108 Quel est le plus haut niveau d'études que vous avez PRIMAIRE .............................. 1
atteint : primaire, secondaire 1er cycle/collège SECONDAIRE 1er CYCLE/
enseignement technique, secondaire 2ème cycle/lycée COLLEGE ENSEIGN./TECHNIQUE 2
enseignement technique ou supérieur ? SECONDAIRE 2eme CYCLE/
LYCÉE ENSEIGN./TECHNIQUE 3
SUPÉRIEUR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
Annexe E • 579
SECTION 1. CARACTÉRISTIQUES SOCIODÉMOGRAPHIQUES DE L'ENQUÊTÉ
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
111 Je voudrais maintenant que vous me lisiez cette NE PEUT PAS LIRE DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . 1
phrase. PEUT LIRE SEULEMENT UNE PARTIE
DE LA PHRASE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
MONTREZ LA CARTE À L'ENQUÊTÉ. PEUT LIRE TOUTE LA PHRASE ............. 3
PAS DE CARTE DANS LA LANGUE
SI L'ENQUÊTÉ NE PEUT LIRE TOUTE LA PHRASE, DE L'ENQUÊTÉ 4
INSISTEZ : Pouvez-vous lire une partie de la phrase ? (PRÉCISEZ LA LANGUE)
AVEUGLE/PROBLÈMES DE VUE . . . . . . . . . . . . . 5
113 Lisez-vous un journal ou un magazine au moins une AU MOINS UNE FOIS PAR SEMAINE ........ 1
fois par semaine, moins d'une fois par semaine ou pas MOINS D'UNE FOIS PAR SEMAINE ........... 2
du tout ? PAS DU TOUT ............................ 3
114 Écoutez-vous la radio au moins une fois par semaine, AU MOINS UNE FOIS PAR SEMAINE ........ 1
moins d'une fois par semaine ou pas du tout ? MOINS D'UNE FOIS PAR SEMAINE ........... 2
PAS DU TOUT ............................ 3
115 Regardez-vous la télévision au moins une fois par AU MOINS UNE FOIS PAR SEMAINE ........ 1
semaine, moins d'une fois par semaine ou pas du tout ? MOINS D'UNE FOIS PAR SEMAINE ........... 2
PAS DU TOUT ............................ 3
117 Est-ce que vous utilisez votre téléphone portable pour OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
faire des opérations financières ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
580 • Annexe E
SECTION 1. CARACTÉRISTIQUES SOCIODÉMOGRAPHIQUES DE L'ENQUÊTÉ
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
126A Est-ce que je peux mesurer maintenant votre tension OUI, L'ENQUÊTÉE ACCEPTE . . . . . . . . . . . . 1
artérielle? NON, L'ENQUÊTÉE
N'ACCEPTE PAS .. .. .. .. .. .. .. .. 2 201
Annexe E • 581
SECTION 2. REPRODUCTION
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
202 Avez-vous des fils ou des filles dont vous êtes le père OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
et qui vivent actuellement avec vous ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 204
204 Avez-vous des fils ou filles dont vous êtes le père qui OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
sont toujours en vie mais qui ne vivent pas avec vous ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 206
210 Est-ce que tous les enfants dont vous êtes le père ont OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
tous la même mère biologique ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
582 • Annexe E
SECTION 2. REPRODUCTION
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
217 Est-ce que vous étiez présent pendant l'un de ces PRÉSENT .............................. 1
examens prénatals ? PAS PRÉSENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
Annexe E • 583
SECTION 3. CONTRACEPTION
301 Je voudrais maintenant que nous parlions de planification familiale, c'est-à-dire les différents moyens ou méthodes qu'un couple
peut utiliser pour retarder ou éviter une grossesse. Avez-vous déjà entendu parler de (MÉTHODE) ?
03 DIU.
INSISTEZ : Les femmes peuvent avoir un stérilet qu'un médecin ou OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
une infirmière leur place dans l'utérus pour leur éviter une grossesse NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
pendant un ou plusieurs mois.
04 Injectables.
INSISTEZ : Les femmes peuvent avoir une injection faite par du OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
personnel de santé pour leur éviter une grossesse pendant un mois NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
ou plus.
05 Implants.
INSISTEZ : Les femmes peuvent se faire insérer par un médecin ou OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
une infirmière un bâtonnet ou plus sous la peau du haut du bras pour NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
leur éviter une grossesse, pendant une année ou plus.
06 Pilule. OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
INSISTEZ : Les femmes peuvent prendre une pilule chaque jour pour NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
éviter une grossesse.
07 Préseravatif. OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
INSISTEZ : Les hommes peuvent mettre une capote en caoutchouc NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
sur leur pénis avant les rapports sexuels.
08 Péservatif féminin. OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
INSISTEZ : Les femmes peuvent placer un fourreau dans leur vagin NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
avant les rapports sexuels.
09 Pilule du lendemain.
INSISTEZ : Les femmes peuvent prendre pendant trois jours après OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
des rapports sexuels non protégés des pilules spéciales qui les NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
empêchent de tomber enceintes.
584 • Annexe E
SECTION 3. CONTRACEPTION
12 Méthode du rythme.
INSISTEZ : Pour éviter une grossesse, les femmes n'ont pas de OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
rapports sexuels les jours où elles pensent qu'elles peuvent tomber NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
enceintes.
14 Avez-vous entendu parler d'autres moyens ou méthodes qu'une OUI, MÉTHODE MODERNE
femme ou un homme peut utiliser pour éviter une grossesse ?
A
(PRÉCISEZ)
B
(PRÉCISEZ)
NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Y
Annexe E • 585
SECTION 3. CONTRACEPTION
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
305 Est-ce que cette période se situe juste avant que les JUSTE AVANT QUE LES RÉGLES
règles ne commencent, pendant la période des règles, COMMENCENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
juste après que les règles soient terminées ou bien au PENDANT LES RÉGLES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
milieu de deux périodes de règles ? JUSTE APRÈS LA FIN DES RÉGLES . . . . . . . . . . 3
AU MILIEU, ENTRE DEUX PÉRIODES. . . . . . . . . . 4
AUTRE 6
(PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS ........................... 8
586 • Annexe E
SECTION 4. UNION ET ACTIVITÉ SEXUELLE
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
401 Êtes-vous actuellement marié ou vivez-vous avec une OUI, ACTUELLEMENT MARIÉ . . . . . . . . . . . . . . . . 1
404
femme comme si vous étiez marié ? OUI, VIT AVEC UNE FEMME . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NON, PAS EN UNION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
402 Avez-vous déjà été marié ou avez-vous vécu avec une OUI, A ÉTÉ MARIÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
femme comme si vous étiez marié ? OUI, A VÉCU AVEC UNE FEMME . . . . . . . . . . . . . 2
NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 413
403 Quel est votre état matrimonial actuel : êtes-vous veuf, VEUF ................................. 1
divorcé ou séparé ? DIVORCÉ .............................. 2 410
SÉPARÉ .............................. 3
404 Est-ce que votre (épouse/partenaire) vit actuellement VIT AVEC LUI ........................... 1
avec vous ou vit-elle ailleurs ? VIT AILLEURS ........................... 2
405 Avez-vous d'autres épouses ou vivez-vous avec OUI (PLUS D'UNE ÉPOUSE/FEMME) . . . . . . . . . . 1
d'autres femmes comme si vous êtiez marié ? NON (SEULEMENT UNE ÉPOUSE/FEM.) . . . . . . . . 2 407
406 En tout, combien d'épouses ou de partenaires avec qui NOMBRE TOTAL D'ÉPOUSES
vous vivez comme si vous étiez marié avez-vous ? ET DE FEMMES AVEC QUI IL VIT
COMME MARIÉ
410 Avez-vous été marié ou avez-vous vécu avec une PLUS D'UNE FOIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
femme une seule fois ou plus d'une fois ? UNE SEULE FOIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
Annexe E • 587
SECTION 4. UNION ET ACTIVITÉ SEXUELLE
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
413 VÉRIFIEZ LA PRÉSENCE D'AUTRES PERSONNES. AVANT DE CONTINUER, FAITES TOUT VOTRE POSSIBLE
POUR ÊTRE EN PRIVÉ.
588 • Annexe E
SECTION 4. UNION ET ACTIVITÉ SEXUELLE
Annexe E • 589
SECTION 4. UNION ET ACTIVITÉ SEXUELLE
590 • Annexe E
SECTION 4. UNION ET ACTIVITÉ SEXUELLE
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
428 Est-ce qu'il vous est déjà arrivé de payer quelqu'un en OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
431
échange de rapports sexuels ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
432 Est-ce qu'il vous est déjà arrivé de donner des cadeaux OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
ou des présents pour avoir des rapports sexuels ou NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
pour avoir une relation sexuelle suivie avec quelqu'un ?
435 Vous avez dit que la dernière fois que vous avez eu STANDARD GÉNÉRIQUE . . . . . . . . . . . . . . 01
des rapports sexuels, un condom avait été utilisé. DUREX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 02
Quelle était la marque du condom utilisée cette fois là ? INNOTEX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 03
MANNIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 04
PRUDENCE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 05
DOMINO . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 06
CAREX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 07
KAMASUTRA .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. 08
FÉMINDO .............................. 09
KISS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
AUTRE 96
SI LA MARQUE N'EST PAS CONNUE, DEMANDEZ À (PRÉCISEZ)
VOIR L'EMBALLAGE. NE SAIT PAS ........................... 98
Annexe E • 591
SECTION 4. UNION ET ACTIVITÉ SEXUELLE
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
SECTEUR PARA-PUBLIC
(NOM DE L'ENDROIT) CENTRE MÉDICO SOCIAL CNSS . . . . . . . . . . 21
PHARMACIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
AUTRE SECTEUR PARA PUBLIC
26
(PRÉCISEZ)
SECTEUR ONG/ASSOCIATION
MGBET ............. 41
MARCHE/BOUTIQUE/ETALAGE . . . . . . . . 42
BAR/BOITE DE NUIT/HOTEL . . . . . . . . . . 43
INSTITUTION RELIGIEUSE. . . . . . . . . . . . . . . . 44
AMIS/PARENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
AUTRE SECTEUR ONG/ASSOCIATION
46
(PRÉCISEZ)
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
437 La dernière fois que vous avez eu des rapports OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 439
sexuels, est-ce que vous ou votre partenaire avait NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
440
utilisé une autre méthode que le préservatif pour éviter NE SAIT PAS ........................... 8
ou retarder une grossesse ?
592 • Annexe E
SECTION 5. PRÉFÉRENCES EN MATIÈRE DE FÉCONDITÉ
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
AUTRE 996
(PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 998
Annexe E • 593
SECTION 5. PRÉFÉRENCES EN MATIÈRE DE FÉCONDITÉ
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
AUTRE 996
(PRÉCISEZ)
NE SAIT PAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 998
515 Parmi ces enfants, combien souhaiteriez-vous de GARÇONS FILLES PEU IMPORTE
garçons, combien souhaiteriez-vous de filles et pour
combien d'entre eux, le sexe n'aurait-il pas NOMBRE . .
d'importance ?
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
594 • Annexe E
SECTION 6. EMPLOI ET RÔLE DES SEXES
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
602 Bien que vous n'ayez pas travaillé au cours des sept
derniers jours, est-ce que vous avez un travail ou une OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 604
affaire dont vous avez dû vous absenter pour NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
vacances, maladie, paternité ou pour une autre raison ?
AUTRE 6
(PRÉCISEZ)
Annexe E • 595
SECTION 6. EMPLOI ET RÔLE DES SEXES
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
612 Est-ce que vous possédez cette maison ou une autre SEUL SEULEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
maison seul ou conjointement avec quelqu'un d'autre ? CONJOINTEMENT SEULEMENT . . . . . . . . . . . . . 2
SEUL ET CONJOINTEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . 3
N'EN POSSÈDE PAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 615
614 Est-ce que votre nom figure sur l'acte de propriété ? OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NE SAIT PAS ........................... 8
615 Est-ce que vous possédez de la terre agricole ou non SEUL SEULEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
agricole, seul ou conjointement avec quelqu'un CONJOINTEMENT SEULEMENT . . . . . . . . . . . . . 2
d'autre ? SEUL ET CONJOINTEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . 3
N'EN POSSÈDE PAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 618
616 Avez-vous un acte de propriété pour une terre que vous OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
possédez ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
618
NE SAIT PAS ........................... 8
617 Est-ce que votre nom figure sur l'acte de propriété ? OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NE SAIT PAS ........................... 8
596 • Annexe E
SECTION 7. VIH/SIDA
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
702 Le VIH est le virus qui cause le sida. Est-ce qu'on peut OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
réduire le risque de contracter le VIH en ayant juste un NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
seul partenaire sexuel qui n'est pas infecté et qui n'a NE SAIT PAS ........................... 8
aucun autre partenaire sexuel ?
703 Est-ce qu'on peut contracter le virus du sida par les OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
piqûres de moustiques ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NE SAIT PAS ........................... 8
708 Est-ce que le virus qui cause le sida peut être transmis
de la mère à son enfant : OUI NON NSP
a) Durant la grossesse ? a) DURANT GROSSESSE 1 2 8
b) Durant l'accouchement ? b) DURANT
ACCOUCHEMENT 1 2 8
c) En allaitant ? c) EN ALLAITANT 1 2 8
711 VÉRIFIEZ LA PRÉSENCE D'AUTRES PERSONNES. AVANT DE CONTINUER, FAITES TOUT VOTRE POSSIBLE
POUR VOUS TROUVER EN PRIVÉ.
Annexe E • 597
SECTION 7. VIH/SIDA
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
19
(PRÉCISEZ)
SECTEUR PARA-PUBLIC
CENTRE MÉDICO SOCIAL CNSS .. .. 21
PHARMACIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
AUTRE SECTEUR PARA PUBLIC
718
. . . . 26
(PRÉCISEZ)
36
(PRÉCISEZ)
AUTRES SECTEUR ONG/ASSOCIATION
ONG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
MAISON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
LIEU DE TRAVAIL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
CENTRE DE DETENTION . . . . . . . . . . . . . . . . 44
AUTRE SECTEUR ONG/ASSOCIATION
46
(PRÉCISEZ)
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
598 • Annexe E
SECTION 7. VIH/SIDA
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
SECTEUR PARA-PUBLIC
CENTRE MÉDICO SOCIAL CNSS . . . . . . . . . . J
PHARMACIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . K
AUTRE SECTEUR PARA PUBLIC
..... L
(PRÉCISEZ)
(PRÉCISEZ) U
AUTRE
(PRÉCISEZ) X
718 Avez-vous entendu parler de kits de tests que les gens OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
peuvent utiliser pour se tester eux-mêmes pour le VIH ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 720
723 Est-ce que les gens parlent mal de ceux qui vivent avec OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
le VIH ou dont on pense qu'ils vivent avec le VIH ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NE SAIT PAS/PAS SÛR/CELA DÉPEND . . . . . . . . 8
724 Est-ce que les gens qui vivent avec le VIH, ou dont on OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
pense qu'ils vivent avec le VIH, perdent le respect des NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
autres ? NE SAIT PAS/PAS SÛR/CELA DÉPEND . . . . . . . . 8
Annexe E • 599
SECTION 7. VIH/SIDA
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
600 • Annexe E
SECTION 7. VIH/SIDA
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
732 Il arrive parfois que les hommes aient une plaie ou un OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
ulcère dans la zone génitale. Au cours des 12 derniers NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
mois, avez-vous eu une plaie ou un ulcère dans la zone NE SAIT PAS ........................... 8
génitale ?
SECTEUR PARA-PUBLIC
CENTRE MÉDICO SOCIAL CNSS . . . . . . . . . . J
PHARMACIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . K
AUTRE SECTEUR PARA PUBLIC
L
(PRÉCISEZ)
AUTRE X
(PRÉCISEZ)
736 Si une femme sait que son mari est atteint d'une OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
maladie qu'elle peut contracter au cours de rapports NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
sexuels, pensez-vous qu'il est justifié qu'elle lui NE SAIT PAS ........................... 8
demande qu'ils utilisent un condom quand ils ont des
rapports sexuels ?
737 Est-ce que vous pensez qu'il est justifié qu'une femme OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
refuse d'avoir des rapports sexuels avec son mari NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
quand elle sait qu'il a des relations sexuelles avec NE SAIT PAS ........................... 8
d'autres femmes ?
Annexe E • 601
SECTION 8. AUTRES PROBLÈMES DE SANTÉ
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
808 Fumez-vous actuellement du tabac tous les jours, TOUS LES JOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 811
certains jours ou pas du tout ? CERTAINS JOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 810
809 Dans le passé, est-ce que vous fumiez tous les jours ? OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
812
NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
810 Dans le passé, est-ce que vous fumiez tous les jours, TOUS LES JOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
certains jours ou est-ce que vous ne fumiez pas ? CERTAINS JOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 813
PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
602 • Annexe E
SECTION 8. AUTRES PROBLÈMES DE SANTÉ
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
813
d) Des pipes à tabac? d) PIPES À TABAC ........
e) Des cigares, cheroots ou cigarillos ? e) CIGARES, CHEROOTS
OU CIGARILLOS .....
f) Nombre de séances de pipe à eau/nargulé ? f) NOMBRE DE SÉANCES
DE PIPE À EAU/NARGULÉ
g) Autre chose ?
g) AUTRE CHOSE ........
(PRÉCISEZ)
813 Consommez-vous actuellement du tabac non-fumé TOUS LES JOURS (CHAQUE JOUR) . . . . . . . . . . 1
chaque jour, certains jours ou pas du tout ? CERTAINS JOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 815
PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 815B
Annexe E • 603
SECTION 8. AUTRES PROBLÈMES DE SANTÉ
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
815B
c) Du tabac à mâcher ? c) TABAC À MÂCHER .....
815B Avez-vous déjà consommé une boisson qui contient de PRESQUE CHAQUE JOUR ................ 1
l'alcool comme le vin de palme, vin de canne à sucre, AU MOINS UNE FOIS PAR SEMAINE ........ 2
ou le vin de maïs : presque chaque jour, au moins une MOINS D'UNE FOIS PAR SEMAINE ........ 3
fois par semaine, moins d’une fois par semaine ou pas PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 816
du tout ?
815D Au cours des 12 derniers mois, combien de fois avez- PRESQUE CHAQUE JOUR ................ 1
vous consommé une boisson qui contient de l’alcool : AU MOINS UNE FOIS PAR SEMAINE ........ 2
presque chaque jour, au moins une fois par semaine, MOINS D'UNE FOIS PAR SEMAINE . . . . . . . . . . 3
moins d’une fois par semaine ou pas du tout ? PAS DU TOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
604 • Annexe E
SECTION 8. AUTRES PROBLÈMES DE SANTÉ
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
AUTRE X
(PRÉCISEZ)
818A Est-ce que je peux mesurer maintenant votre tension OUI, L'ENQUÊTÉE ACCEPTE ..... 1
artérielle? NON, L'ENQUÊTÉE
N'ACCEPTE PAS ................ 2 901
Annexe E • 605
SECTION 9. MALADIES NON TRANSMISSIBLES POUR LE QUESTIONNAIRE HOMME
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
901 Est-ce qu'un médecin ou un autre professionnel de OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
santé a déjà vérifié votre tension artérielle ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
NE SAIT PAS ........................... 8
606 • Annexe E
No QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
Annexe E • 607
SECTION 9. MALADIES NON TRANSMISSIBLES (TENSION ARTÉRIELLE MOYENNE)
941
608 • Annexe E
941 UTILISEZ LE TABLEAU CI-DESSOUS POUR DÉTERMINER LE CODE CORRECT POUR ENREGISTRER
DANS LE RAPPORT SUR LA TENSION ARTÉRIELLE ET SUR LE FORMULAIRE DE RÉFÉRENCE .
PRESSION
SYSTOLIQUE PRESSION DIASTOLIQUE MOYENNE
MOYENNE ≤84 85-89 90-99 100-109 110-119 > 120
≤129 1 2 3 4 5 6
130-139 2 2 3 4 5 6
140-159 3 3 3 4 5 6
160-179 4 4 4 4 5 6
180-209 5 5 5 5 5 6
> 210 6 6 6 6 6 6
942 ENREGISTREZ DANS LE TABLEAU CI-DESSOUS LE NOMBRE QUE VOUS AVEZ ENCERCLÉ À Q941.
UTILISEZ ENSUITE LES INSTRUCTIONS À DROITE DE CE NOMBRE POUR COMPLÉTER LE
RAPPORT SUR LA TENSION ARTÉRIELLE ET LE FORMULAIRE DE RÉFÉRENCE POUR L'ENQUÊTÉ.
DONNEZ À L'ENQUÊTÉ LE FORMULAIRE ET RÉPONDEZ À TOUTES SES QUESTIONS.
CATÉGORIE DE LA CONSULTEZ UN
TENSION ARTÉRIELLE PROFESSIONNEL DE SANTÉ
DE L'ENQUÊTÉE POUR VÉRIFIER LA TENSION
ARTÉRIELLE DANS :
1 NORMALE 24 MOIS
2 À LA LIMITE SUPÉRIEURE
DU SEUIL NORMAL 12 MOIS
3 AU-DESSUS
DU SEUIL NORMAL 2 MOIS
4 MODÉRÉMENT
ÉLEVÉE 1 MOIS
## ENREGISTREZ L'HEURE.
HEURES . . . . . . . . . . . . . . .
MINUTES .............
Annexe E • 609
OBSERVATION DE L'ENQUÊTEUR
À REMPLIR UNE FOIS L'INTERVIEW TERMINÉE
AUTRES COMMENTAIRES :
610 • Annexe E
VERSION QUES. FINAL
IDENTIFICATION
NOM DE LA LOCALITÉ
NUMÉRO DE GRAPPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
MÉNAGE NON SÉLECTIONNÉ POUR L'ENQUÊTE HOMME ? (1=OUI, 2=NON) ................ 1 CONTINUEZ
2 UTILISEZ LE
QUESTIONNAIRE
BIOMARQUEUR #2
VISITES L’AGENT DE TERRAIN
1 2 3 VISITE FINALE
DATE JOUR
NOM DE MOIS
L’AGENT DE TERRAIN
ANNÉE 2 0
PROCHAINE DATE NOMBRE TOTAL
VISITE DE VISITES
HEURE
NOTES:
TOTAL D'ENFANTS
ÉLIGIBLES
LANGUE DU
QUESTIONNAIRE** 0 1 LANGUE DE
L'INTERVIEW**
LANGUE MATERNELLE
DE L'ENQUÊTÉ**
TRADUCTEUR
(OUI = 1, NON = 2)
LANGUE DU
QUESTIONNAIRE** FRANÇAIS **CODES LANGUES :
01 FRANÇAIS 04 SHIRA-PUNU 07 AUTRE GABON
02 FANG 05 MBEDE-TEKE 96 AUTRE
03 NZEBI-DUMA 06 MYENE
................
NOM NUMÉRO
Annexe E • 611
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES DE
0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
Quelle est la date de naissance de VERIFIEZ L'ÂGE: VERIFIEZ L'ÂGE: VERIFIEZ L'ÂGE:
(NOM) ? L'ENFANT DOIT ÊTRE L'ENFANT DOIT ÊTRE L'ENFANT DOIT ÊTRE
MESURÉ ALLONGÉ (1) OU MESURÉ ALLONGÉ (1) OU MESURÉ ALLONGÉ (1) OU
DEBOUT (2)? DEBOUT (2)? DEBOUT (2)?
612 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES DE
0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
109 VÉRIFIEZ 103: L'ENFANT A 0-5 MOIS, 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1
C'EST-À-DIRE QU'IL EST NÉ DURANT (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131)
LE MOIS DE L'ENQUÊTE OU DANS
LES 5 MOIS PRÉCÉDENTS ? PLUS ÂGÉ ........ 2 PLUS ÂGÉ ........ 2 PLUS ÂGÉ ........ 2
Le sang sera testé pour l'anémie immédiatement et le résultat vous sera communiqué tout de
suite. Les résultats sont strictement confidentiels et ne seront transmis à personne en dehors de
l'équipe de l'enquête.
112 ENCERCLEZ LE CODE APPROPRIÉ ACCORDÉ ........ 1 ACCORDÉ ........ 1 ACCORDÉ ........ 1
ET SIGNEZ.
(SIGNATURE) (SIGNATURE) (SIGNATURE)
REFUS . . . . . . . . . . . . 2 REFUS . . . . . . . . . . . . 2 REFUS . . . . . . . . . . . . 2
ABSENTE/AUTRE . . . 3 ABSENTE/AUTRE . . . 3 ABSENTE/AUTRE . . . 3
(ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131)
CONSENTEMENT DU PARENT/ADULTE RESPONSABLE POUR LE TEST DE PALUDISME
113 DEMANDEZ LE CONSENTEMENT POUR Dans le cadre de cette enquête, nous demandons que les enfants dans tout le pays participent à un
LE TEST DE PALUDISME AU test pour vérifier s’ils ont ou non le paludisme. Le paludisme est un problème de santé sérieux
PARENT/AUTRE ADULTE. causé par un parasite transmis par la piqûre d’un moustique. Cette enquête aidera le gouvernement
à développer des programmes pour prévenir le paludisme.
Nous demandons que tous les enfants nés en 2016 ou plus tard participent au test de paludisme
inclus dans cette enquête en donnant quelques gouttes de sang d'un doigt ou du talon. Nous
utiliserons le sang de la même piqûre au même doigt que pour le test d’anémie. Une goutte de sang
sera testée pour le paludisme immédiatement et les résultats vous seront communiqués tout de
suite. Un traitement sera proposé aux enfants présentant un paludisme simple s’ils ne sont pas déjà
sous traitement. Les enfants avec paludisme grave seront référés à un établissement de santé.
Les résultats sont strictement confidentiels et ne seront transmis à personne en dehors de l'équipe
de l'enquête.
114 ENCERCLEZ LE CODE APPROPRIÉ ET ACCORDÉ .......... 1 ACCORDÉ .......... 1 ACCORDÉ .......... 1
SIGNEZ.
(SIGNATURE) (SIGNATURE) (SIGNATURE)
REFUS . .. . . . . . . . . . 2 REFUS . .. . . . . . . . . . 2 REFUS . .. . . . . . . . . . 2
ABSENT/AUTRE . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . 3
115 PRÉPAREZ L'EQUIPEMENT ET LES FOURNITURES SEULEMENT POUR LE/LES TESTS POUR LESQUELS VOUS AVEZ OBTENU LE
CONSENTEMENT ET CONTINUEZ AVEC LE/LES TESTS.
Annexe E • 613
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES DE
0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
117 ENREGISTREZ LE CODE DU RÉSULTAT TESTÉ ........................ 1 TESTÉ ........................ 1 TESTÉ ........................ 1
DU TDR DU PALUDISME. ABSENT .................... 2 ABSENT .................... 2 ABSENT .................... 2
REFUS ........................ 4 REFUS ........................ 4 REFUS ........................ 4
AUTRE ........................ 5 AUTRE ........................ 5 AUTRE ........................ 5
(ALLEZ À 119) (ALLEZ À 119) (ALLEZ À 119)
118 ENREGISTREZ LE RESULTAT DU TDR POSITIF FALCIPARUM . 1 POSITIF FALCIPARUM . 1 POSITIF FALCIPARUM . 1
DU PALUDISME ICI ET DANS LA POSITIF PAN .. 2 POSITIF PAN .. 2 POSITIF PAN .. 2
BROCHURE SUR L'ANÉMIE ET LE POSITIF FALCIPARUM POSITIF FALCIPARUM POSITIF FALCIPARUM
PALUDISME. ET PAN 3 ET PAN 3 ET PAN 3
(ALLEZ À 121) (ALLEZ À 121) (ALLEZ À 121)
NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4 NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4 NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 6
119 VÉRIFIEZ 116: NIVEAU EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL
D'HÉMOGLOBINE ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1
8.0 G/DL OU PLUS ...... 2 8.0 G/DL OU PLUS ...... 2 8.0 G/DL OU PLUS ...... 2
ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3
REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4
AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6
(ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131)
120 Le test pour le diagnostic d'anémie montre que (NOM DE L'ENFANT) a une anémie sévère.
DÉCLARATION DE REFERENCE POUR
Votre enfant est sérieusement malade et doit être amené dans un établissement de santé
ANÉMIE SÉVÈRE.
immédiatement.
ALLEZ À 131
614 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES DE
0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
d Respiration rapide ou difficulté de respirer? RESPIRATION RAPIDE .. D RESPIRATION RAPIDE .. D RESPIRATION RAPIDE .. D
h Urine foncée? URINE FONCÉE ............. H URINE FONCÉE ............. H URINE FONCÉE ............. H
SI AUCUN DES SYMPTÔMES CI- AUCUN DES . Y AUCUN DES . Y AUCUN DES . Y
DESSUS, ENCERCLEZ CODE Y. SYMPTÔMES CI- SYMPTÔMES CI- SYMPTÔMES CI-
DESSUS DESSUS DESSUS
122 VÉRIFIEZ 121: Y A-T-IL UN CODE UN CODE A-H UN CODE A-H UN CODE A-H
A-H ENCERCLÉ ? ENCERCLÉ ................. 1 ENCERCLÉ ................. 1 ENCERCLÉ ................. 1
(ALLEZ À 124) (ALLEZ À 124) (ALLEZ À 124)
SEUL CODE Y SEUL CODE Y SEUL CODE Y
ENCERCLÉ ................. 2 ENCERCLÉ ................. 2 ENCERCLÉ ................. 2
123 VÉRIFIEZ 116: NIVEAU EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL
D'HÉMOGLOBINE ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1
8.0 G/DL OU PLUS .......... 2 8.0 G/DL OU PLUS .......... 2 8.0 G/DL OU PLUS .......... 2
ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3
REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4
AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6
(ALLEZ À 125) (ALLEZ À 125) (ALLEZ À 125)
124 DÉCLARATION POUR REFERENCE Le test pour le diagnostic du paludisme montre que (NOM DE L'ENFANT) a du paludisme. Votre
POUR PALUDISME GRAVE. enfant a également des symptômes de paludisme grave. Le médicament que j'ai contre le
paludisme n'aidera pas votre enfant, et je ne peux pas lui donner de traitement. Votre enfant est
sérieusement malade et doit être améné tout de suite dans un établissement de santé.
ALLEZ À 130
125 Au cours des deux dernières semaines, OUI ............................... 1 OUI ............................... 1 OUI ............................... 1
est-ce que (NOM) a pris ou (NOM) prend-il NON ............................... 2 NON ............................... 2 NON ............................... 2
de la CTA donné par un médecin, un (ALLEZ À 127) (ALLEZ À 127) (ALLEZ À 127)
centre de santé ou un agent de santé
communautaire pour traiter le paludisme ?
126 DÉCLARATION DE REFERENCE POUR Vous m'avez dit que (NOM DE L'ENFANT) a déjà reçu de la CTA pour le paludisme. Je ne peux
LES ENFANTS PRENANT DÉJÀ UN pas vous donner une CTA supplémentaire. Cependant, le test montre qu'il/elle a du paludisme. Si
MÉDICAMENT DE LA CTA. votre enfant a de la fièvre pendant 2 jours après la dernière dose de CTA, vous devrez amener
l'enfant au centre de santé le plus proche pour des examens plus approfondis.
ALLEZ À 131
Annexe E • 615
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES DE
0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
127 LIRE LES INFORMATIONS POUR LE Le test du paludisme montre que votre enfant a du paludisme. Nous pouvons vous donner
TRAITEMENT DU PALUDISME ET LA gratuitement des médicaments. Le médicament est appelé CTA. La CTA est très efficace et d'ici
DÉCLARATION DE CONSENTEMENT AU quelques jours, il n'aura plus de fièvre, ni d'autres symptômes. Vous n'êtes pas obligé de donner le
PARENT OU AUTRE ADULTE médicament à l'enfant. C'est vous qui décidez. Dites-moi s'il vous plait, si vous acceptez, ou non, le
RESPONSABLE POUR L'ENFANT. médicament.
130 ENREGISTREZ LE CODE RÉSULTAT DU MÉDICAMENT DONNÉ .. 1 MÉDICAMENT DONNÉ .. 1 MÉDICAMENT DONNÉ .. 1
TRAITEMENT POUR LE PALUDISME OU MÉDICAMENT REFUSÉ .. 2 MÉDICAMENT REFUSÉ .. 2 MÉDICAMENT REFUSÉ .. 2
DE LA FICHE DE REFERENCE. REFERE POUR REFERE POUR REFERE POUR
PALUDISME GRAVE .. 3 PALUDISME GRAVE .. 3 PALUDISME GRAVE .. 3
REFERE POUR REFERE POUR REFERE POUR
ENFANT PRENANT ENFANT PRENANT ENFANT PRENANT
DÉJÀ DE LA CTA . . . . . 4 DÉJÀ DE LA CTA . . . . . 4 DÉJÀ DE LA CTA . . . . . 4
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6
131 RETOURNEZ À Q.103 À LA COLONNE SUIVANTE DE CE QUESTIONNAIRE OU À LA PREMIERE COLONNE DE LA PAGE SUIVANTE;
S'IL N'Y A PLUS D'ENFANTS, FIN.
616 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES
DE 0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
Quelle est la date de naissance de VERIFIEZ L'ÂGE: VERIFIEZ L'ÂGE: VERIFIEZ L'ÂGE:
(NOM) ? L'ENFANT DOIT ÊTRE L'ENFANT DOIT ÊTRE L'ENFANT DOIT ÊTRE
MESURÉ ALLONGÉ (1) OU MESURÉ ALLONGÉ (1) OU MESURÉ ALLONGÉ (1) OU
DEBOUT (2)? DEBOUT (2)? DEBOUT (2)?
Annexe E • 617
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES
DE 0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
109 VÉRIFIEZ 103: L'ENFANT A 0-5 MOIS, 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1
C'EST-À-DIRE QU'IL EST NÉ DURANT (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131)
LE MOIS DE L'ENQUÊTE OU DANS
LES 5 MOIS PRÉCÉDENTS ? PLUS ÂGÉ ........ 2 PLUS ÂGÉ ........ 2 PLUS ÂGÉ ........ 2
Le sang sera testé pour l'anémie immédiatement et le résultat vous sera communiqué tout de
suite. Les résultats sont strictement confidentiels et ne seront transmis à personne en dehors de
l'équipe de l'enquête.
113 DEMANDEZ LE CONSENTEMENT POUR Dans le cadre de cette enquête, nous demandons que les enfants dans tout le pays participent à un
LE TEST DE PALUDISME AU test pour vérifier s’ils ont ou non le paludisme. Le paludisme est un problème de santé sérieux
PARENT/AUTRE ADULTE. causé par un parasite transmis par la piqûre d’un moustique. Cette enquête aidera le gouvernement
à développer des programmes pour prévenir le paludisme.
Nous demandons que tous les enfants nés en 2016 ou plus tard participent au test de paludisme
inclus dans cette enquête en donnant quelques gouttes de sang d'un doigt ou du talon. Nous
utiliserons le sang de la même piqûre au même doigt que pour le test d’anémie. Une goutte de sang
sera testée pour le paludisme immédiatement et les résultats vous seront communiqués tout de
suite. Un traitement sera proposé aux enfants présentant un paludisme simple s’ils ne sont pas déjà
sous traitement. Les enfants avec paludisme grave seront référés à un établissement de santé.
Les résultats sont strictement confidentiels et ne seront transmis à personne en dehors de l'équipe
de l'enquête.
114 ENCERCLEZ LE CODE APPROPRIÉ ET ACCORDÉ .......... 1 ACCORDÉ .......... 1 ACCORDÉ .......... 1
SIGNEZ.
(SIGNATURE) (SIGNATURE) (SIGNATURE)
REFUS . .. . . . . . . . . . 2 REFUS . .. . . . . . . . . . 2 REFUS . .. . . . . . . . . . 2
ABSENT/AUTRE . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . 3
115 PRÉPAREZ L'EQUIPEMENT ET LES FOURNITURES SEULEMENT POUR LE/LES TESTS POUR LESQUELS VOUS AVEZ OBTENU LE
CONSENTEMENT ET CONTINUEZ AVEC LE/LES TESTS.
618 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES
DE 0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
117 ENREGISTREZ LE CODE DU RÉSULTAT TESTÉ ........................ 1 TESTÉ ........................ 1 TESTÉ ........................ 1
DU TDR DU PALUDISME. ABSENT........................ 2 ABSENT........................ 2 ABSENT........................ 2
REFUS ........................ 4 REFUS ........................ 4 REFUS ........................ 4
AUTRE ........................ 5 AUTRE ........................ 5 AUTRE ........................ 5
(ALLEZ À 119) (ALLEZ À 119) (ALLEZ À 119)
118 ENREGISTREZ LE RESULTAT DU TDR POSITIF FALCIPARUM 1 POSITIF FALCIPARUM . 1 POSITIF FALCIPARUM . 1
DU PALUDISME ICI ET DANS LA POSITIF PAN .. 2 POSITIF PAN .. 2 POSITIF PAN .. 2
BROCHURE SUR L'ANÉMIE ET LE POSITIF FALCIPARUM POSITIF FALCIPARUM POSITIF FALCIPARUM
PALUDISME. ET PAN 3 ET PAN 3 ET PAN 3
(ALLEZ À 121) (ALLEZ À 121) (ALLEZ À 121)
NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4 NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4 NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 6
119 VÉRIFIEZ 116: NIVEAU EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL
D'HÉMOGLOBINE ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1
8.0 G/DL OU PLUS .......... 2 8.0 G/DL OU PLUS .......... 2 8.0 G/DL OU PLUS .......... 2
ABSENT............................ 3 ABSENT............................ 3 ABSENT............................ 3
REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4
AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6
(ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131)
120 Le test pour le diagnostic d'anémie montre que (NOM DE L'ENFANT) a une anémie sévère.
DÉCLARATION DE REFERENCE POUR
Votre enfant est sérieusement malade et doit être amené dans un établissement de santé
ANÉMIE SÉVÈRE.
immédiatement.
ALLEZ À 131
Annexe E • 619
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES
DE 0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
d Respiration rapide ou difficulté de respirer? RESPIRATION RAPIDE .. D RESPIRATION RAPIDE .. D RESPIRATION RAPIDE .. D
h Urine foncée? URINE FONCÉE ............. H URINE FONCÉE ............. H URINE FONCÉE ............. H
SI AUCUN DES SYMPTÔMES CI- AUCUN DES . Y AUCUN DES . Y AUCUN DES . Y
DESSUS, ENCERCLEZ CODE Y. SYMPTÔMES CI- SYMPTÔMES CI- SYMPTÔMES CI-
DESSUS DESSUS DESSUS
122 VÉRIFIEZ 121: Y A-T-IL UN CODE UN CODE A-H UN CODE A-H UN CODE A-H
A-H ENCERCLÉ ? ENCERCLÉ ............. 1 ENCERCLÉ ............. 1 ENCERCLÉ ............. 1
(ALLEZ À 124) (ALLEZ À 124) (ALLEZ À 124)
SEUL CODE Y SEUL CODE Y SEUL CODE Y
ENCERCLÉ ................. 2 ENCERCLÉ ................. 2 ENCERCLÉ ................. 2
123 VÉRIFIEZ 116: NIVEAU EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL
D'HÉMOGLOBINE ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1
8.0 G/DL OU PLUS .......... 2 8.0 G/DL OU PLUS .......... 2 8.0 G/DL OU PLUS .......... 2
ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3
REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4
AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6
(ALLEZ À 125) (ALLEZ À 125) (ALLEZ À 125)
124 DÉCLARATION POUR REFERENCE Le test pour le diagnostic du paludisme montre que (NOM DE L'ENFANT) a du paludisme. Votre
POUR PALUDISME GRAVE. enfant a également des symptômes de paludisme grave. Le médicament que j'ai contre le
paludisme n'aidera pas votre enfant, et je ne peux pas lui donner de traitement. Votre enfant est
sérieusement malade et doit être améné tout de suite dans un établissement de santé.
ALLEZ À 130
125 Au cours des deux dernières semaines, OUI ............................... 1 OUI ............................... 1 OUI ............................... 1
est-ce que (NOM) a pris ou (NOM) prend- NON ............................... 2 NON ............................... 2 NON ............................... 2
il de la CTA donné par un médecin, un (ALLEZ À 127) (ALLEZ À 127) (ALLEZ À 127)
centre de santé ou un agent de santé
communautaire pour traiter le paludisme ?
126 DÉCLARATION DE REFERENCE POUR Vous m'avez dit que (NOM DE L'ENFANT) a déjà reçu de la CTA pour le paludisme. Je ne peux
LES ENFANTS PRENANT DÉJÀ UN pas vous donner une CTA supplémentaire. Cependant, le test montre qu'il/elle a du paludisme. Si
MÉDICAMENT DE LA CTA. votre enfant a de la fièvre pendant 2 jours après la dernière dose de CTA, vous devrez amener
l'enfant au centre de santé le plus proche pour des examens plus approfondis.
ALLEZ À 131
620 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES
DE 0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
127 LIRE LES INFORMATIONS POUR LE Le test du paludisme montre que votre enfant a du paludisme. Nous pouvons vous donner
TRAITEMENT DU PALUDISME ET LA gratuitement des médicaments. Le médicament est appelé CTA. La CTA est très efficace et d'ici
DÉCLARATION DE CONSENTEMENT AU quelques jours, il n'aura plus de fièvre, ni d'autres symptômes. Vous n'êtes pas obligé de donner le
PARENT OU AUTRE ADULTE médicament à l'enfant. C'est vous qui décidez. Dites-moi s'il vous plait, si vous acceptez, ou non, le
RESPONSABLE POUR L'ENFANT. médicament.
130 ENREGISTREZ LE CODE RÉSULTAT MÉDICAMENT DONNÉ ...... 1 MÉDICAMENT DONNÉ ...... 1 MÉDICAMENT DONNÉ ...... 1
DU TRAITEMENT POUR LE MÉDICAMENT REFUSÉ ...... 2 MÉDICAMENT REFUSÉ ...... 2 MÉDICAMENT REFUSÉ .. 2
PALUDISME OU DE LA FICHE DE REFERE POUR REFERE POUR REFERE POUR
REFERENCE. PALUDISME GRAVE ...... 3 PALUDISME GRAVE ...... 3 PALUDISME GRAVE ...... 3
REFERE POUR REFERE POUR REFERE POUR
ENFANT PRENANT ENFANT PRENANT ENFANT PRENANT
DÉJÀ DE LA CTA . . . . . 4 DÉJÀ DE LA CTA . . . . . 4 DÉJÀ DE LA CTA . . . . . 4
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6
131 RETOURNEZ À Q.103 À LA COLONNE SUIVANTE DE CE QUESTIONNAIRE OU À LA PREMIERE COLONNE DE LA PAGE SUIVANTE; S'IL N'Y
A PLUS D'ENFANTS, FIN.
Annexe E • 621
OBSERVATIONS DE L’AGENT DE TERRAIN
À REMPLIR, UNE FOIS L'ENQUÊTE SUR LES BIOMARQUEURS TERMINÉE
622 • Annexe E
Version: QUES. FINAL
IDENTIFICATION
NOM DE LA LOCALITÉ
NUMÉRO DE GRAPPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
2 UTILISEZ LE
QUESTIONNAIRE
BIOMARQUEUR #1
1 2 3 VISITE FINALE
DATE JOUR
NOM DE MOIS
L’AGENT DE TERRAIN
ANNÉE 2 0
PROCHAINE DATE NOMBRE TOTAL
VISITE DE VISITES
HEURE
TOTAL D'HOMMES
ÉLIGIBLES
TOTAL D'ENFANTS
ÉLIGIBLES
LANGUE DU
QUESTIONNAIRE** 0 1 LANGUE DE
L'INTERVIEW**
LANGUE MATERNELLE
DE L'ENQUÊTÉ**
TRADUCTEUR
(OUI = 1, NON = 2)
LANGUE DU
QUESTIONNAIRE** FRANÇAIS **CODES LANGUES :
01 FRANÇAIS 04 SHIRA-PUNU 07 AUTRE GABON
02 FANG 05 MBEDE-TEKE 96 AUTRE
03 NZEBI-DUMA 06 MYENE
................
NOM NUMÉRO
Annexe E • 623
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISEME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES DE
0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
Quelle est la date de naissance de VERIFIEZ L'ÂGE: VERIFIEZ L'ÂGE: VERIFIEZ L'ÂGE:
(NOM) ? L'ENFANT DOIT ÊTRE L'ENFANT DOIT ÊTRE L'ENFANT DOIT ÊTRE
MESURÉ ALLONGÉ (1) OU MESURÉ ALLONGÉ (1) OU MESURÉ ALLONGÉ (1) OU
DEBOUT (2)? DEBOUT (2)? DEBOUT (2)?
624 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISEME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES DE
0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
109 VÉRIFIEZ 103: L'ENFANT A 0-5 MOIS, 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1
C'EST-À-DIRE QU'IL EST NÉ DURANT (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131)
LE MOIS DE L'ENQUÊTE OU DANS
LES 5 MOIS PRÉCÉDENTS ?
PLUS ÂGÉ ........ 2 PLUS ÂGÉ ........ 2 PLUS ÂGÉ ........ 2
Le sang sera testé pour l'anémie immédiatement et le résultat vous sera communiqué tout de
suite. Les résultats sont strictement confidentiels et ne seront transmis à personne en dehors de
l'équipe de l'enquête.
112 ENCERCLEZ LE CODE APPROPRIÉ ACCORDÉ ........ 1 ACCORDÉ ........ 1 ACCORDÉ ........ 1
ET SIGNEZ.
(SIGNATURE) (SIGNATURE) (SIGNATURE)
REFUS . . . . . . . . . . . . 2 REFUS . . . . . . . . . . . . 2 REFUS . . . . . . . . . . . . 2
ABSENTE/AUTRE . . . 3 ABSENTE/AUTRE . . . 3 ABSENTE/AUTRE . . . 3
(ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131)
113 DEMANDEZ LE CONSENTEMENT POUR Dans le cadre de cette enquête, nous demandons que les enfants dans tout le pays participent à un
LE TEST DE PALUDISME AU test pour vérifier s’ils ont ou non le paludisme. Le paludisme est un problème de santé sérieux causé
PARENT/AUTRE ADULTE. par un parasite transmis par la piqûre d’un moustique. Cette enquête aidera le gouvernement à
développer des programmes pour prévenir le paludisme.
Nous demandons que tous les enfants nés en 2016 ou plus tard participent au test de paludisme
inclus dans cette enquête en donnant quelques gouttes de sang d'un doigt ou du talon. Nous
utiliserons le sang de la même piqûre au même doigt que pour le test d’anémie. Une goutte de sang
sera testée pour le paludisme immédiatement et les résultats vous seront communiqués tout de
suite. Un traitement sera proposé aux enfants présentant un paludisme simple s’ils ne sont pas déjà
sous traitement. Les enfants avec paludisme grave seront référés à un établissement de santé.
Les résultats sont strictement confidentiels et ne seront transmis à personne en dehors de l'équipe
de l'enquête.
114 ENCERCLEZ LE CODE APPROPRIÉ ET ACCORDÉ .......... 1 ACCORDÉ .......... 1 ACCORDÉ .......... 1
SIGNEZ.
(SIGNATURE) (SIGNATURE) (SIGNATURE)
REFUS . .. . . . . . . . . . 2 REFUS . .. . . . . . . . . . 2 REFUS . .. . . . . . . . . . 2
ABSENT/AUTRE . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . 3
115 PRÉPAREZ L'EQUIPEMENT ET LES FOURNITURES SEULEMENT POUR LE/LES TESTS POUR LESQUELS VOUS AVEZ OBTENU LE
CONSENTEMENT ET CONTINUEZ AVEC LE/LES TESTS.
Annexe E • 625
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISEME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES DE
0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
117 ENREGISTREZ LE CODE DU RÉSULTAT TESTÉ ........................ 1 TESTÉ ........................ 1 TESTÉ ........................ 1
DU TDR DU PALUDISME. ABSENT .................... 2 ABSENT .................... 2 ABSENT .................... 2
REFUS ........................ 4 REFUS ........................ 4 REFUS ........................ 4
AUTRE ........................ 5 AUTRE ........................ 5 AUTRE ........................ 5
(ALLEZ À 119) (ALLEZ À 119) (ALLEZ À 119)
118 ENREGISTREZ LE RESULTAT DU TDR POSITIF FALCIPARUM . 1 POSITIF FALCIPARUM . 1 POSITIF FALCIPARUM . 1
DU PALUDISME ICI ET DANS LA POSITIF PAN .. 2 POSITIF PAN .. 2 POSITIF PAN .. 2
BROCHURE SUR L'ANÉMIE ET LE POSITIF FALCIPARUM POSITIF FALCIPARUM POSITIF FALCIPARUM
PALUDISME. ET PAN 3 ET PAN 3 ET PAN 3
(ALLEZ À 121) (ALLEZ À 121) (ALLEZ À 121)
NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4 NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4 NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4
AUTRE . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . 6
119 VÉRIFIEZ 116: NIVEAU D'HÉMOGLOBINE EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL
ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1
8.0 G/DL OU PLUS ...... 2 8.0 G/DL OU PLUS ...... 2 8.0 G/DL OU PLUS ...... 2
ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3
REFUS ........................... 4 REFUS ........................... 4 REFUS ........................... 4
AUTRE ........................... 6 AUTRE ........................... 6 AUTRE ........................... 6
(ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131)
120 Le test pour le diagnostic d'anémie montre que (NOM DE L'ENFANT) a une anémie sévère.
DÉCLARATION DE REFERENCE POUR
Votre enfant est sérieusement malade et doit être amené dans un établissement de santé
ANÉMIE SÉVÈRE.
immédiatement.
ALLEZ À 131
626 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISEME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES DE
0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
d Respiration rapide ou difficulté de respirer? RESPIRATION RAPIDE .. D RESPIRATION RAPIDE .. D RESPIRATION RAPIDE .. D
h Urine foncée? URINE FONCÉE ............. H URINE FONCÉE ............. H URINE FONCÉE ............. H
SI AUCUN DES SYMPTÔMES CI- AUCUN DES . Y AUCUN DES . Y AUCUN DES . Y
DESSUS, ENCERCLEZ CODE Y. SYMPTÔMES CI- SYMPTÔMES CI- SYMPTÔMES CI-
DESSUS DESSUS DESSUS
122 VÉRIFIEZ 121: Y A-T-IL UN CODE UN CODE A-H UN CODE A-H UN CODE A-H
A-H ENCERCLÉ ? ENCERCLÉ ................. 1 ENCERCLÉ ................. 1 ENCERCLÉ ................. 1
(ALLEZ À 124) (ALLEZ À 124) (ALLEZ À 124)
SEUL CODE Y SEUL CODE Y SEUL CODE Y
ENCERCLÉ ................. 2 ENCERCLÉ ................. 2 ENCERCLÉ ................. 2
123 VÉRIFIEZ 116: NIVEAU D'HÉMOGLOBINE EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL
ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1
8.0 G/DL OU PLUS ...... 2 8.0 G/DL OU PLUS ...... 2 8.0 G/DL OU PLUS ...... 2
ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3
REFUS ........................... 4 REFUS ........................... 4 REFUS ........................... 4
AUTRE ........................... 6 AUTRE ........................... 6 AUTRE ........................... 6
(ALLEZ À 125) (ALLEZ À 125) (ALLEZ À 125)
124 DÉCLARATION POUR REFERENCE Le test pour le diagnostic du paludisme montre que (NOM DE L'ENFANT) a du paludisme. Votre
POUR PALUDISME GRAVE. enfant a également des symptômes de paludisme grave. Le médicament que j'ai contre le paludisme
n'aidera pas votre enfant, et je ne peux pas lui donner de traitement. Votre enfant est sérieusement
malade et doit être améné tout de suite dans un établissement de santé.
ALLEZ À 130
125 Au cours des deux dernières semaines, est- OUI ............................... 1 OUI ............................... 1 OUI ............................... 1
ce que (NOM) a pris ou (NOM) prend-il de NON ............................... 2 NON ............................... 2 NON ............................... 2
la CTA donné par un médecin, un centre (ALLEZ À 127) (ALLEZ À 127) (ALLEZ À 127)
de santé ou un agent de santé
communautaire pour traiter le paludisme ?
126 DÉCLARATION DE REFERENCE POUR Vous m'avez dit que (NOM DE L'ENFANT) a déjà reçu de la CTA pour le paludisme. Je ne peux pas
LES ENFANTS PRENANT DÉJÀ UN vous donner une CTA supplémentaire. Cependant, le test montre qu'il/elle a du paludisme. Si votre
MÉDICAMENT DE LA CTA. enfant a de la fièvre pendant 2 jours après la dernière dose de CTA, vous devrez amener l'enfant au
centre de santé le plus proche pour des examens plus approfondis.
ALLEZ À 131
Annexe E • 627
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISEME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES DE
0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
127 LIRE LES INFORMATIONS POUR LE Le test du paludisme montre que votre enfant a du paludisme. Nous pouvons vous donner
TRAITEMENT DU PALUDISME ET LA gratuitement des médicaments. Le médicament est appelé CTA. La CTA est très efficace et d'ici
DÉCLARATION DE CONSENTEMENT AU quelques jours, il n'aura plus de fièvre, ni d'autres symptômes. Vous n'êtes pas obligé de donner le
PARENT OU AUTRE ADULTE médicament à l'enfant. C'est vous qui décidez. Dites-moi s'il vous plait, si vous acceptez, ou non, le
RESPONSABLE POUR L'ENFANT. médicament.
130 ENREGISTREZ LE CODE RÉSULTAT DU MÉDICAMENT DONNÉ .. 1 MÉDICAMENT DONNÉ .. 1 MÉDICAMENT DONNÉ .. 1
TRAITEMENT POUR LE PALUDISME OU MÉDICAMENT REFUSÉ .. 2 MÉDICAMENT REFUSÉ .. 2 MÉDICAMENT REFUSÉ .. 2
DE LA FICHE DE REFERENCE. REFERE POUR REFERE POUR REFERE POUR
PALUDISME GRAVE .. 3 PALUDISME GRAVE .. 3 PALUDISME GRAVE .. 3
REFERE POUR REFERE POUR REFERE POUR
ENFANT PRENANT ENFANT PRENANT ENFANT PRENANT
DÉJÀ DE LA CTA . . . . 4 DÉJÀ DE LA CTA . . . . 4 DÉJÀ DE LA CTA . . . . 4
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6
131 RETOURNEZ À Q.103 À LA COLONNE SUIVANTE DE CE QUESTIONNAIRE OU À LA PREMIERE COLONNE DE LA PAGE SUIVANTE;
S'IL N'Y A PLUS D'ENFANTS, ALLEZ À 201.
628 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES
DE 0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
Annexe E • 629
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES
DE 0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
109 VÉRIFIEZ 103: L'ENFANT A 0-5 MOIS, 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1 0-5 MOIS . . . . . . . . . . 1
C'EST-À-DIRE QU'IL EST NÉ DURANT (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131)
LE MOIS DE L'ENQUÊTE OU DANS
LES 5 MOIS PRÉCÉDENTS ? PLUS ÂGÉ . . . . . . . . . . 2 PLUS ÂGÉ . . . . . . . . . . 2 PLUS ÂGÉ . . . . . . . . . . 2
111 DEMANDEZ LE CONSENTEMENT Dans cette enquête, nous demandons à des gens dans tout le pays de participer au test
POUR LE TEST D'ANÉMIE AU d'anémie. L'anémie est un problème de santé sérieux qui résulte généralement d'une alimentation
PARENT/AUTRE ADULTE. pauvre, d'infection ou de maladie chronique. Les résultats de cette enquête permettront d'aider le
gouvernement à développer des programmes pour prévenir et traiter l'anémie. Nous demandons
que tous les enfants nés en 2016, ou plus tard, participent au test d'anémie inclus dans cette
enquête en donnant quelques gouttes de sang d'un doigt ou du talon. Pour ce test, on utilise un
équipement propre et sans risque. Il n'a jamais été utilisé auparavant et il sera jeté après chaque
test.
Le sang sera testé pour l'anémie immédiatement et le résultat vous sera communiqué tout de
suite. Les résultats sont strictement confidentiels et ne seront transmis à personne en dehors de
l'équipe de l'enquête.
113 DEMANDEZ LE CONSENTEMENT POUR Dans le cadre de cette enquête, nous demandons que les enfants dans tout le pays participent à un
LE TEST DE PALUDISME AU test pour vérifier s’ils ont ou non le paludisme. Le paludisme est un problème de santé sérieux
PARENT/AUTRE ADULTE. causé par un parasite transmis par la piqûre d’un moustique. Cette enquête aidera le gouvernement
à développer des programmes pour prévenir le paludisme.
Nous demandons que tous les enfants nés en 2016 ou plus tard participent au test de paludisme
inclus dans cette enquête en donnant quelques gouttes de sang d'un doigt ou du talon. Nous
utiliserons le sang de la même piqûre au même doigt que pour le test d’anémie. Une goutte de sang
sera testée pour le paludisme immédiatement et les résultats vous seront communiqués tout de
suite. Un traitement sera proposé aux enfants présentant un paludisme simple s’ils ne sont pas déjà
sous traitement. Les enfants avec paludisme grave seront référés à un établissement de santé.
Les résultats sont strictement confidentiels et ne seront transmis à personne en dehors de l'équipe
de l'enquête.
114 ENCERCLEZ LE CODE APPROPRIÉ ET ACCORDÉ .......... 1 ACCORDÉ .......... 1 ACCORDÉ .......... 1
SIGNEZ.
(SIGNATURE) (SIGNATURE) (SIGNATURE)
REFUS . .. . . . . . . . . . 2 REFUS . .. . . . . . . . . . 2 REFUS . .. . . . . . . . . . 2
ABSENT/AUTRE . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . 3
115 PRÉPAREZ L'EQUIPEMENT ET LES FOURNITURES SEULEMENT POUR LE/LES TESTS POUR LESQUELS VOUS AVEZ OBTENU LE
CONSENTEMENT ET CONTINUEZ AVEC LE/LES TESTS.
630 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES
DE 0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
117 ENREGISTREZ LE CODE DU RÉSULTAT TESTÉ ........................ 1 TESTÉ ........................ 1 TESTÉ ........................ 1
DU TDR DU PALUDISME. ABSENT........................ 2 ABSENT........................ 2 ABSENT........................ 2
REFUS ........................ 4 REFUS ........................ 4 REFUS ........................ 4
AUTRE ........................ 5 AUTRE ........................ 5 AUTRE ........................ 5
(ALLEZ À 119) (ALLEZ À 119) (ALLEZ À 119)
118 ENREGISTREZ LE RESULTAT DU TDR POSITIF FALCIPARUM . 1 POSITIF FALCIPARUM . 1 POSITIF FALCIPARUM . 1
DU PALUDISME ICI ET DANS LA POSITIF PAN .. 2 POSITIF PAN .. 2 POSITIF PAN .. 2
BROCHURE SUR L'ANÉMIE ET LE POSITIF FALCIPARUM POSITIF FALCIPARUM POSITIF FALCIPARUM
PALUDISME. ET PAN 3 ET PAN 3 ET PAN 3
(ALLEZ À 121) (ALLEZ À 121) (ALLEZ À 121)
NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4 NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4 NÉGATIF . . . . . . . . . . . . 4
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 6
119 VÉRIFIEZ 116: NIVEAU EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL
D'HÉMOGLOBINE ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1
8.0 G/DL OU PLUS .......... 2 8.0 G/DL OU PLUS .......... 2 8.0 G/DL OU PLUS .......... 2
ABSENT............................ 3 ABSENT............................ 3 ABSENT............................ 3
REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4
AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6
(ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131) (ALLEZ À 131)
120 DÉCLARATION DE REFERENCE POUR Le test pour le diagnostic d'anémie montre que (NOM DE L'ENFANT) a une anémie sévère.
ANÉMIE SÉVÈRE. Votre enfant est sérieusement malade et doit être amené dans un établissement de santé
immédiatement.
ALLEZ À 131
Annexe E • 631
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES
DE 0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
d Respiration rapide ou difficulté de respirer? RESPIRATION RAPIDE .. D RESPIRATION RAPIDE .. D RESPIRATION RAPIDE .. D
h Urine foncée? URINE FONCÉE ............. H URINE FONCÉE ............. H URINE FONCÉE ............. H
SI AUCUN DES SYMPTÔMES CI- AUCUN DES . Y AUCUN DES . Y AUCUN DES . Y
DESSUS, ENCERCLEZ CODE Y. SYMPTÔMES CI- SYMPTÔMES CI- SYMPTÔMES CI-
DESSUS DESSUS DESSUS
122 VÉRIFIEZ 121: Y A-T-IL UN CODE UN CODE A-H UN CODE A-H UN CODE A-H
A-H ENCERCLÉ ? ENCERCLÉ ................. 1 ENCERCLÉ ................. 1 ENCERCLÉ ................. 1
(ALLEZ À 124) (ALLEZ À 124) (ALLEZ À 124)
SEUL CODE Y SEUL CODE Y SEUL CODE Y
ENCERCLÉ ................. 2 ENCERCLÉ ................. 2 ENCERCLÉ ................. 2
123 VÉRIFIEZ 116: NIVEAU EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL EN-DESSOUS DE 8.0 G/DL
D'HÉMOGLOBINE ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1 ANÉMIE SÉVÈRE ...... 1
8.0 G/DL OU PLUS .......... 2 8.0 G/DL OU PLUS .......... 2 8.0 G/DL OU PLUS .......... 2
ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3 ABSENT ........................ 3
REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4 REFUS ............................ 4
AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6 AUTRE ............................ 6
(ALLEZ À 125) (ALLEZ À 125) (ALLEZ À 125)
124 DÉCLARATION POUR REFERENCE Le test pour le diagnostic du paludisme montre que (NOM DE L'ENFANT) a du paludisme. Votre
POUR PALUDISME GRAVE. enfant a également des symptômes de paludisme grave. Le médicament que j'ai contre le
paludisme n'aidera pas votre enfant, et je ne peux pas lui donner de traitement. Votre enfant est
sérieusement malade et doit être améné tout de suite dans un établissement de santé.
ALLEZ À 130
125 Au cours des deux dernières semaines, OUI ............................... 1 OUI ............................... 1 OUI ............................... 1
est-ce que (NOM) a pris ou (NOM) prend- NON ............................... 2 NON ............................... 2 NON ............................... 2
il de la CTA donné par un médecin, un (ALLEZ À 127) (ALLEZ À 127) (ALLEZ À 127)
centre de santé ou un agent de santé
communautaire pour traiter le paludisme ?
126 DÉCLARATION DE REFERENCE POUR Vous m'avez dit que (NOM DE L'ENFANT) a déjà reçu de la CTA pour le paludisme. Je ne peux
LES ENFANTS PRENANT DÉJÀ UN pas vous donner une CTA supplémentaire. Cependant, le test montre qu'il/elle a du paludisme. Si
MÉDICAMENT DE LA CTA. votre enfant a de la fièvre pendant 2 jours après la dernière dose de CTA, vous devrez amener
l'enfant au centre de santé le plus proche pour des examens plus approfondis.
ALLEZ À 131
632 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE ET LE TEST DU PALUDISME DES ENFANTS DE 0-5 ANS
101 VÉRIFIEZ COLONNE 11 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE ET LE NOM DE TOUS LES ENFANTS ÉLIGIBLES
DE 0-5 ANS À Q.102; S'IL Y A PLUS DE 6 ENFANTS, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
127 LIRE LES INFORMATIONS POUR LE Le test du paludisme montre que votre enfant a du paludisme. Nous pouvons vous donner
TRAITEMENT DU PALUDISME ET LA gratuitement des médicaments. Le médicament est appelé CTA. La CTA est très efficace et d'ici
DÉCLARATION DE CONSENTEMENT AU quelques jours, il n'aura plus de fièvre, ni d'autres symptômes. Vous n'êtes pas obligé de donner le
PARENT OU AUTRE ADULTE médicament à l'enfant. C'est vous qui décidez. Dites-moi s'il vous plait, si vous acceptez, ou non, le
RESPONSABLE POUR L'ENFANT. médicament.
130 ENREGISTREZ LE CODE RÉSULTAT MÉDICAMENT DONNÉ ...... 1 MÉDICAMENT DONNÉ ...... 1 MÉDICAMENT DONNÉ ...... 1
DU TRAITEMENT POUR LE MÉDICAMENT REFUSÉ ...... 2 MÉDICAMENT REFUSÉ ...... 2 MÉDICAMENT REFUSÉ .. 2
PALUDISME OU DE LA FICHE DE REFERE POUR REFERE POUR REFERE POUR
REFERENCE. PALUDISME GRAVE ...... 3 PALUDISME GRAVE ...... 3 PALUDISME GRAVE ...... 3
REFERE POUR REFERE POUR REFERE POUR
ENFANT PRENANT ENFANT PRENANT ENFANT PRENANT
DÉJÀ DE LA CTA . . . . . 4 DÉJÀ DE LA CTA . . . . . 4 DÉJÀ DE LA CTA . . . . . 4
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 6
131 RETOURNEZ À Q.103 À LA COLONNE SUIVANTE DE CE QUESTIONNAIRE OU À LA PREMIERE COLONNE DE LA PAGE SUIVANTE;
S'IL N'Y A PLUS D'ENFANTS, ALLEZ À 201.
Annexe E • 633
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES FEMMES DE 15-64 ANS
201 VÉRIFIER LA COLONNE 9 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUTES LES FEMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 202, 203 ET 204.
S'IL Y A PLUS DE 3 FEMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
202 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE :
NUMÉRO DE LIGNE
DE LA COLONNE 9. NUMÉRO DE NUMÉRO DE NUMÉRO DE
LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . .
NOM DE LA
COLONNE 2.
NOM NOM NOM
203 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE 15-17 ANS ............. 1 15-17 ANS ............. 1 15-17 ANS ............. 1
COLONNE 7 (ÂGE) : 18-64 ANS ............. 2 18-64 ANS ............. 2 18-64 ANS ............. 2
204 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE CODE 4 CODE 4 CODE 4
COLONNE 8 (JAMAIS EN UNION) . . . . 1 (JAMAIS EN UNION) . . . . 1 (JAMAIS EN UNION) . . . . 1
(STATUT AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
MATRIMONIAL) :
205 POIDS EN
KILOGRAMMES. KG. . . . . KG. . . . . KG. . . . .
ABSENTE . . . . . . . . . . . . 99994 ABSENTE . . . . . . . . . . . . 99994 ABSENTE . . . . . . . . . . . . 99994
REFUS . . . . . . . . . . . . . 99995 REFUS . . . . . . . . . . . . . 99995 REFUS . . . . . . . . . . . . . 99995
AUTRE . . . . . . . . . . . . . 99996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . 99996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . 99996
206 TAILLE EN
CENTIMÈTRES. CM. . . . . . . . CM. . . . . . . . CM. . . . . . . .
ABSENTE . . . . . . . . . . . . . 9994 ABSENTE . . . . . . . . . . . . . 9994 ABSENTE . . . . . . . . . . . . . 9994
REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 9995 REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 9995 REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 9995
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 9996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 9996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 9996
207 MESUREUR:
INSCRIVEZ VOTRE
NUMÉRO L’AGENT L’AGENT DE TERRAIN L’AGENT DE TERRAIN L’AGENT DE TERRAIN
DE TERRAIN.
208 VÉRIFIEZ 203 : ÂGE 15-17 ANS ............. 1 15-17 ANS ............. 1 15-17 ANS ............. 1
18-64 ANS ............. 2 18-64 ANS ............. 2 18-64 ANS ............. 2
(ALLEZ À 210) (ALLEZ À 210) (ALLEZ À 210)
209 VÉRIFIEZ 204 : CODE 4 (JAMAIS EN UNION) 1 CODE 4 (JAMAIS EN UNION) 1 CODE 4 (JAMAIS EN UNION) 1
STATUT (ALLEZ À 216) (ALLEZ À 216) (ALLEZ À 216)
MATRIMONIAL AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
634 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES FEMMES DE 15-64 ANS
201 VÉRIFIER LA COLONNE 9 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUTES LES FEMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 202, 203 ET 204.
S'IL Y A PLUS DE 3 FEMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
202 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE :
NUMÉRO DE LIGNE
DE LA COLONNE 9. NUMÉRO DE NUMÉRO DE NUMÉRO DE
LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . .
NOM DE LA
COLONNE 2.
NOM NOM NOM
Annexe E • 635
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES FEMMES DE 15-64 ANS
201 VÉRIFIER LA COLONNE 9 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUTES LES FEMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 202, 203 ET 204.
S'IL Y A PLUS DE 3 FEMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
202 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE :
NUMÉRO DE LIGNE
DE LA COLONNE 9. NUMÉRO DE NUMÉRO DE NUMÉRO DE
LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . .
NOM DE LA
COLONNE 2.
NOM NOM NOM
A
215 COLLECTE DE DBS COLLECTE DE DBS, COLLECTE DE DBS, COLLECTE DE DBS,
D
POUR HEP.B: ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . 1 ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . 1 ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . 1
U ENQUÊTÉE A REFUSÉ . . . 2 ENQUÊTÉE A REFUSÉ . . . 2 ENQUÊTÉE A REFUSÉ . . . 2
L ENCERCLEZ LE
T CODE APPROPRIÉ,
E SIGNEZ ET
(SIGNEZ ET INSCRIVEZ (SIGNEZ ET INSCRIVEZ (SIGNEZ ET INSCRIVEZ
INSCRIVEZ VOTRE
VOTRE No DE TECHNICIEN VOTRE No DE TECHNICIEN VOTRE No DE TECHNICIEN
NUMÉRO DE
TECHNICIEN DE
(ALLEZ À 233) (ALLEZ À 233) (ALLEZ À 233)
ABSENTE/AUTRE . . . . . . . . 3 ABSENTE/AUTRE . . . . . . . . 3 ABSENTE/AUTRE . . . . . . . . 3
(ALLEZ À 233) (ALLEZ À 233) (ALLEZ À 233)
636 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES FEMMES DE 15-64 ANS
201 VÉRIFIER LA COLONNE 9 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUTES LES FEMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 202, 203 ET 204.
S'IL Y A PLUS DE 3 FEMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
202 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE :
NUMÉRO DE LIGNE
DE LA COLONNE 9. NUMÉRO DE NUMÉRO DE NUMÉRO DE
LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . .
NOM DE LA
COLONNE 2.
NOM NOM NOM
Annexe E • 637
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES FEMMES DE 15-64 ANS
201 VÉRIFIER LA COLONNE 9 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUTES LES FEMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 202, 203 ET 204.
S'IL Y A PLUS DE 3 FEMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
202 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE :
NUMÉRO DE LIGNE
DE LA COLONNE 9. NUMÉRO DE NUMÉRO DE NUMÉRO DE
LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . .
NOM DE LA
COLONNE 2.
NOM NOM NOM
CONSENTEMENT DU PARENT/ADULTE RESPONSABLE POUR LE TEST D'HEPATITE B (DBS)
221 COLLECTE DE DBS Dans cette enquête, nous vous demandons d'autoriser le MINISTÈRE DE LA SANTÉ à tester au laboratoire une
POUR HEP.B: partie des échantillons sanguins pour le test d’hépatite B. L'hépatite B est le résultat d'une infection par le virus
DEMANDEZ LE de l'hépatite B. Il peut causer des dommages au foie et d'autres problèmes de santé graves.
CONSENTEMENT Le test d’hépatite B est effectué dans cette enquête pour savoir l'ampleur du problème d’hépatite B au Gabon.
P DU
A PARENT/ADULTE Pour le test d’hépatite B, le sang sera recueilli sur la même carte de papier filtre utiliser pour le test de VIH.
R POUR LA Si vous ne voulez pas que (NOM DE LA PERSONNE MINEURE) fait le test d’hépatite B, vous pouvez quand
E COLLECTE DE DBS même autoriser (NOM DE LA PERSONNE) au test du VIH dans le cadre de cette enquête.
N POUR LE TEST
T Aucun nom ne sera écrit sur le papier filtre, nous ne pourrons donc pas vous donner le résultat du test. Personne
d'autre ne pourra, non plus, connaître le résultat du test de (NOM DE LA PERSONNE MINEURE).
— Si (NOM DE LA PERSONNE MINEURE) veut savoir si elle a, ou non, l'hépatite B, je peux vous fournir la liste des
centres les plus proches qui offrent des services de test et de conseils pour l'hépatite. Je vous donnerai
A également un coupon pour pouvoir bénéficier de services gratuits dans ces centres.
D
U Avez-vous des questions à me poser ?
L Vous pouvez dire oui ou non. C'est votre décision.
T
E
222 COLLECTE DE DBS COLLECTE DBS, ACCORDÉ 1 COLLECTE DBS, ACCORDÉ 1 COLLECTE DBS, ACCORDÉ 1
POUR HEP.B: PARENT/AUTRE PARENT/AUTRE PARENT/AUTRE
ENCERCLEZ LE ADULTE RESPONSABLE ADULTE RESPONSABLE ADULTE RESPONSABLE
R A REFUSÉ . . . . . . . 2 A REFUSÉ . . . . . . . 2 A REFUSÉ . . . . . . . 2
E CODE APPROPRIÉ,
S SIGNEZ ET
P INSCRIVEZ VOTRE (SIGNEZ ET INSCRIVEZ VOTRE (SIGNEZ ET INSCRIVEZ VOTRE (SIGNEZ ET INSCRIVEZ VOTRE
. NUMÉRO DE No DE TECHNICIEN DE SANTÉ) No DE TECHNICIEN DE SANTÉ) No DE TECHNICIEN DE SANTÉ)
TECHNICIEN DE
224 DEMANDEZ LE Dans cette enquête, nous demandons à des gens dans tout le pays de participer au test d'anémie. L'anémie est
C CONSENTEMENT un problème de santé sérieux qui résulte généralement d'une alimentation pauvre, d'infection ou de maladie
O DE L'ENQUÊTÉE chronique. Les résultats de cette enquête permettront d'aider le gouvernement à développer des programmes
N MINEURE POUR LE pour prévenir et traiter l'anémie.
S TEST D'ANÉMIE.
E Pour le test d'anémie, nous avons besoin de gouttes de sang d'un doigt. Pour ce test, on utilise un équipement
N propre et sans risque. Il n'a jamais été utilisé auparavant et sera jeté après chaque test. Le sang sera testé pour
T l'anémie immédiatement et le résultat vous sera communiqué à vous et à (NOM DU PARENT/ADULTE
E RESPONSABLE ) tout de suite. Les résultats sont strictement confidentiels et ne seront transmis à personne en
M dehors de l'équipe de l'enquête.
E
N Avez-vous des questions à me poser ?
T Vous pouvez dire oui ou non. C'est votre décision.
D
Voulez-vous participer au test d'anémie ?
E
638 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES FEMMES DE 15-64 ANS
201 VÉRIFIER LA COLONNE 9 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUTES LES FEMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 202, 203 ET 204.
S'IL Y A PLUS DE 3 FEMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
202 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE :
NUMÉRO DE LIGNE
DE LA COLONNE 9. NUMÉRO DE NUMÉRO DE NUMÉRO DE
LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . .
NOM DE LA
COLONNE 2.
NOM NOM NOM
Annexe E • 639
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES FEMMES DE 15-64 ANS
201 VÉRIFIER LA COLONNE 9 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUTES LES FEMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 202, 203 ET 204.
S'IL Y A PLUS DE 3 FEMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
202 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE :
NUMÉRO DE LIGNE
DE LA COLONNE 9. NUMÉRO DE NUMÉRO DE NUMÉRO DE
LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . . LIGNE . . . . . . . . . . . .
NOM DE LA
COLONNE 2.
NOM NOM NOM
233 PRÉPAREZ L'EQUIPEMENT ET LES FOURNITURES SEULEMENT POUR LE/LES TESTS POUR LESQUELS VOUS AVEZ OBTENU LE
CONSENTEMENT ET CONTINUEZ AVEC LE/LES TESTS.
234 INSCRIVEZ LE
NIVEAU G/DL . . . . . . . . . G/DL . . . . . . . . . G/DL . . . . . . . . .
D'HÉMOGLOBINE
ICI ET DANS LA ABSENTE . . . . . . . . . . . . . 994 ABSENTE . . . . . . . . . . . . . 994 ABSENTE . . . . . . . . . . . . . 994
BROCHURE REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 995 REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 995 REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 995
ANÉMIE . AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 996
236 RETOURNEZ À 202 À LA COLONNE SUIVANTE DE CE QUESTIONNAIRE OU À LA PREMIÈRE COLONNE D'UN QUESTIONNAIRE
SUPPLÉMENTAIRE; SI PLUS DE FEMMES, ALLEZ A 301
640 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES HOMMES DE 15-64 ANS
301 VÉRIFIER LA COLONNE 10 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUS LES HOMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 302, 303 ET 304.
S'IL Y A PLUS DE 3 HOMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
302 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE
:
303 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE 15-17 ANS .............. 1 15-17 ANS .............. 1 15-17 ANS .............. 1
COLONNE 7 (ÂGE) : 18-64 ANS .............. 2 18-64 ANS .............. 2 18-64 ANS .............. 2
304 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE CODE 4 CODE 4 CODE 4
COLONNE 8 (JAMAIS EN UNION) . . . . . 1 (JAMAIS EN UNION) . . . . . 1 (JAMAIS EN UNION) . . . . . 1
(STATUT AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
305 POIDS EN
KILOGRAMMES. KG. . . . . KG. . . . . KG. . . . .
ABSENT . . . . . . . . . . . . 99994 ABSENT . . . . . . . . . . . . 99994 ABSENT . . . . . . . . . . . . 99994
REFUS . . . . . . . . . . . . . . 99995 REFUS . . . . . . . . . . . . . . 99995 REFUS . . . . . . . . . . . . . . 99995
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 99996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 99996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . 99996
306 TAILLE EN
CENTIMÈTRES. CM. . . . . . . . CM. . . . . . . . CM. . . . . . . .
ABSENT . . . . . . . . . . . . . .9994 ABSENT . . . . . . . . . . . . . .9994 ABSENT . . . . . . . . . . . . . .9994
REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 9995 REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 9995 REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 9995
AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 9996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 9996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 9996
307 MESUREUR:
INSCRIVEZ VOTRE
NUMÉRO L’AGENT L’AGENT DE TERRAIN L’AGENT DE TERRAIN L’AGENT DE TERRAIN
DE TERRAIN.
308 VÉRIFIEZ 303 : ÂGE 15-17 ANS .............. 1 15-17 ANS .............. 1 15-17 ANS .............. 1
18-64 ANS .............. 2 18-64 ANS .............. 2 18-64 ANS .............. 2
(ALLEZ À 310) (ALLEZ À 310) (ALLEZ À 310)
309 VÉRIFIEZ 304 : CODE 4 (JAMAIS EN UNION) 1 CODE 4 (JAMAIS EN UNION) 1 CODE 4 (JAMAIS EN UNION) 1
STATUT (ALLEZ À 316) (ALLEZ À 316) (ALLEZ À 316)
MATRIMONIAL AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
Annexe E • 641
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES HOMMES DE 15-64 ANS
301 VÉRIFIER LA COLONNE 10 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUS LES HOMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 302, 303 ET 304.
S'IL Y A PLUS DE 3 HOMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
302 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE
:
A
315 COLLECTE DE DBS COLLECTE DE DBS, COLLECTE DE DBS, COLLECTE DE DBS,
POUR HEP.B: ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . 1 ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . 1 ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . 1
D
ENCERCLEZ LE ENQUÊTÉ A REFUSÉ ... 2 ENQUÊTÉ A REFUSÉ ... 2 ENQUÊTÉ A REFUSÉ ... 2
U
L CODE APPROPRIÉ,
T SIGNEZ ET
(SIGNEZ ET INSCRIVEZ (SIGNEZ ET INSCRIVEZ (SIGNEZ ET INSCRIVEZ
E INSCRIVEZ VOTRE
VOTRE No DE TECHNICIEN VOTRE No DE TECHNICIEN VOTRE No DE TECHNICIEN
NUMÉRO DE
TECHNICIEN DE
(ALLEZ À 332) (ALLEZ À 332) (ALLEZ À 332)
ABSENT/AUTRE . . . . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . . . . 3
(ALLEZ À 332) (ALLEZ À 332) (ALLEZ À 332)
642 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES HOMMES DE 15-64 ANS
301 VÉRIFIER LA COLONNE 10 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUS LES HOMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 302, 303 ET 304.
S'IL Y A PLUS DE 3 HOMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
302 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE
:
Annexe E • 643
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES HOMMES DE 15-64 ANS
301 VÉRIFIER LA COLONNE 10 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUS LES HOMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 302, 303 ET 304.
S'IL Y A PLUS DE 3 HOMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
302 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE
:
644 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES HOMMES DE 15-64 ANS
301 VÉRIFIER LA COLONNE 10 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUS LES HOMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 302, 303 ET 304.
S'IL Y A PLUS DE 3 HOMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
302 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE
:
324 DEMANDEZ LE Dans cette enquête, nous demandons à des gens dans tout le pays de participer au test d'anémie. L'anémie est
C CONSENTEMENT un problème de santé sérieux qui résulte généralement d'une alimentation pauvre, d'infection ou de maladie
O DE L'ENQUÊTÉ chronique. Les résultats de cette enquête permettront d'aider le gouvernement à développer des programmes
N MINEUR POUR LE pour prévenir et traiter l'anémie.
S TEST D'ANÉMIE.
E Pour le test d'anémie, nous avons besoin de gouttes de sang d'un doigt. Pour ce test, on utilise un équipement
N propre et sans risque. Il n'a jamais été utilisé auparavant et sera jeté après chaque test. Le sang sera testé pour
T l'anémie immédiatement et le résultat vous sera communiqué à vous et à (NOM DU PARENT/ADULTE
E RESPONSABLE ) tout de suite. Les résultats sont strictement confidentiels et ne seront transmis à personne en
M dehors de l'équipe de l'enquête.
E
N Avez-vous des questions à me poser ?
T
Vous pouvez dire oui ou non. C'est votre décision.
D
Voulez-vous participer au test d'anémie ?
E
325 ENCERCLEZ LE ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . . . 1 ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . . . 1 ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . . . 1
M
CODE APPROPRIÉ ENQUÊTÉ MINEUR ENQUÊTÉ MINEUR ENQUÊTÉ MINEUR
I
ET SIGNEZ. A REFUSÉ . . . . . . . . . . . . 2 A REFUSÉ . . . . . . . . . . . . 2 A REFUSÉ . . . . . . . . . . . . 2
N
E
U
R
(SIGNATURE) (SIGNATURE) (SIGNATURE)
E (ALLEZ À 326) (ALLEZ À 326) (ALLEZ À 326)
ABSENT/AUTRE . . . . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . . . . 3 ABSENT/AUTRE . . . . . . . . 3
(ALLEZ À 326) (ALLEZ À 326) (ALLEZ À 326)
Annexe E • 645
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES HOMMES DE 15-64 ANS
301 VÉRIFIER LA COLONNE 10 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUS LES HOMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 302, 303 ET 304.
S'IL Y A PLUS DE 3 HOMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
302 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE
:
I
N 328 ENCERCLEZ LE ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . . . 1 ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . . . 1 ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . . . 1
E CODE APPROPRIÉ ENQUÊTÉ MINEUR ENQUÊTÉ MINEUR M ENQUÊTÉ MINEUR
U ET SIGNEZ. A REFUSÉ . . . . . . . . . . . . 2 A REFUSÉ . . . . . . . . . . . . 2 A REFUSÉ . . . . . . . . . . 2
R
E
(SIGNATURE) (SIGNATURE) (SIGNATURE)
(ALLEZ À 329) (ALLEZ À 329) (ALLEZ À 329)
ABSENT/AUTRE ..... 3 ABSENT/AUTRE ..... 3 ABSENT/AUTRE ..... 3
(ALLEZ À 329) (ALLEZ À 329) (ALLEZ À 329)
C
O 330 DEMANDEZ LE Dans cette enquête, nous vous demandons d'autoriser le MINISTÈRE DE LA SANTÉ à tester au laboratoire une
N CONSENTEMENT partie des échantillons sanguins pour le test d’hépatite B. L'hépatite B est le résultat d'une infection par le virus
S DE L'ENQUÊTÉ de l'hépatite B. Il peut causer des dommages au foie et d'autres problèmes de santé graves. Le test d’hépatite B
E MINEUR POUR LE est effectué dans cette enquête pour savoir l'ampleur du problème d’hépatite B au Gabon.
N TEST D'HÉPATITE
T B. Pour le test d’hépatite B, le sang sera recueilli sur la même carte de papier filtre utiliser pour le test de VIH. Si
E vous ne voulez pas faire le test d’hépatite B, vous pouvez quand même participer au test du VIH dans le cadre de
M cette enquête. Aucun nom ne sera écrit sur le papier filtre, nous ne pourrons donc pas vous donner le résultat du
E test.
N Personne d'autre ne pourra, non plus, connaître le résultat. Si vous voulez savoir si vous avez ou non l'hépatite
T B, je peux vous fournir la liste des centres (les plus proches) qui offrent des services de test et de conseils pour
D
l'hépatite B. Je vous donnerai également un coupon pour bénéficier, si vous le souhaitez, de services gratuits
E
dans ces centres.
M
Avez-vous des questions à me poser ?
I
V di i C' t t dé i i
N
E 331 ENCERCLEZ LE ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . . . 1 ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . . . 1 ACCORDÉ . . . . . . . . . . . . . . 1
U CODE APPROPRIÉ ENQUÊTÉ MINEUR ENQUÊTÉ MINEUR ENQUÊTÉ MINEUR
R ET SIGNEZ. A REFUSÉ . . . . . . . . . . . . 2 A REFUSÉ . . . . . . . . . . . . 2 A REFUSÉ . . . . . . . . . . . . 2
E
646 • Annexe E
MESURE DU POIDS, DE LA TAILLE, DU NIVEAU D'HÉMOGLOBINE, TEST DE VIH ET D'HÉPATITE B DES HOMMES DE 15-64 ANS
301 VÉRIFIER LA COLONNE 10 DU TABLEAU MÉNAGE. INSCRIVEZ LE NUMÉRO DE LIGNE, LE NOM, L'ÂGE ET LE STATUT
MATRIMONIAL DE TOUS LES HOMMES ÉLIGIBLES AUX QUESTIONS 302, 303 ET 304.
S'IL Y A PLUS DE 3 HOMMES, UTILISEZ UN/DES QUESTIONNAIRES SUPPLÉMENTAIRES.
302 VÉRIFIEZ LE
TABLEAU MÉNAGE
:
332 PRÉPAREZ L'EQUIPEMENT ET LES FOURNITURES SEULEMENT POUR LE/LES TESTS POUR LESQUELS VOUS AVEZ OBTENU
LE CONSENTEMENT ET CONTINUEZ AVEC LE/LES TESTS.
333 INSCRIVEZ LE
NIVEAU G/DL . . . . . . . . . G/DL . . . . . . . . . G/DL . . . . . . . . .
D'HÉMOGLOBINE
ICI ET DANS LA ABSENT . . . . . . . . . . . . . . 994 ABSENT . . . . . . . . . . . . . . 994 ABSENT . . . . . . . . . . . . . . 994
BROCHURE REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 995 REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 995 REFUS . . . . . . . . . . . . . . . 995
ANÉMIE . AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 996 AUTRE . . . . . . . . . . . . . . . 996
334 PLACEZ
ÉTIQUETTE CODE COLLEZ LA 1re ÉTIQUETTE COLLEZ LA 1re ÉTIQUETTE COLLEZ LA 1re ÉTIQUETTE
BARRE. CODE BARRE. CODE BARRE. CODE BARRE.
Annexe E • 647
OBSERVATIONS DE L’AGENT DE TERRAIN
À REMPLIR, UNE FOIS L'ENQUÊTE SUR LES BIOMARQUEURS TERMINÉE
648 • Annexe E
VERSION: QUES. FINAL
ENQUÊTE DÉMOGRAPHIQUE ET DE SANTÉ (EDSG-III 2019-21)
QUESTIONNAIRE ENQUÊTEUR
RÉPUBLIQUE GABONAISE
MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DE LA PROSPECTIVE
ET DE LA PROGRAMMATION DU DÉVELOPPEMENT DURABLE LANGUE DU
DIRECTION GÉNÉRALE DE LA STATISTIQUE (DGS) QUESTIONNAIRE FRANÇAIS
NO. QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
NOM
INSTRUCTIONS
Dans le cadre de l'enquête démographique et de santé au Gabon (EDSG-III), nous collectons des informations sur tous les agents de
terrain d'EDSG-III. Veuillez répondre aux questions ci-dessous. Les informations que vous fournirez feront partie du fichier de données de
l'enquête ; cependant, votre nom sera supprimé et ne fera pas partie du fichier de données. Merci de fournir les informations nécessaires.
103 Vivez-vous dans une ville, une petite ville ou en zone VILLE ................................ 1
rurale ? PETITE VILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
ZONE RURALE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
Annexe E • 649
NO. QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
109 Quel est le plus haut niveau d'études que vous avez PRIMAIRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
atteint : primaire, secondaire 1er cycle/collège SECONDAIRE 1er CYCLE/
enseignement technique, secondaire 2ème cycle/lycée COLLEGE ENSEIGN.TECHNIQUE .. .. .. 2
enseignement technique ou supérieur ? SECONDAIRE 2eme CYCLE/
LYCEE ENSEIGN.TECHNIQUE . . . . . . . . 3
SUPÉRIEUR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
650 • Annexe E
NO. QUESTIONS ET FILTRES CODES ALLEZ À
AUTRE 96
(PRÉCISEZ)
115 Avez-vous déjà travaillé sur une enquête DHS avant OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
celle-ci ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
116 Avez-vous déjà travaillé sur une autre enquête avant OUI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
celle-ci (pas une DHS) ? NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
117 Est-ce que vous travailliez déjà pour la Direction OUI, DGS 1
Générale de la Statistique (DGS) au moment où vous NON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 119
étiez employé pour travailler sur cette DHS ?
119 Si vous avez des commentaires, s'il vous plait, écrivez-les ici.
Annexe E • 651
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