Cas Pratique
Cas Pratique
Cas Pratique
Vous avez rempli cette tache en établissant une note descriptive du système et en la complétant avec un
questionnaire de contrôle interne.
La sécurité du directeur général, une fois le courrier ouvert, transmet directement les titres de
paiement (chèque et effets) au responsable des comptes clients, monsieur Samir, qui est chargé
de tenir le journal de banque et d’effet à recevoir.
A la réception des chèques, monsieur Samir établit un bordereau de remise en deux
exemplaires, qui servira de base à l’enregistrement au journal de banque
Les effets, après leur enregistrement, sont conservés dans un échéancier, situé sur le bureau de
monsieur Samir.
Effet (peu avant l’échéance) et chèques sont expédiés à la fin de chaque semaine par monsieur
Samir à la banque.
Le directeur financier reçoit directement le double des bordereaux de remise.
De même que le relevé bancaire. Il effectue régulièrement un rapprochement des différents
comptes de banque.
Chaque mois, monsieur Samir transmet au responsable de la centralisation une pièce comptable
mentionnant le total mensuel du journal de banque-recettes, pour enregistrement au grand
livre.
T.A.F :
Forces du système :
Transparence dans les transactions financières : Le système permet un suivi clair des
encaissements et des paiements via le journal de banque et d'effet à recevoir.
Contrôles internes relativement bien établis : La séparation des tâches entre le directeur général,
monsieur Samir et le directeur financier réduit les risques de fraude ou d'erreurs intentionnelles.
Processus de rapprochement des comptes bancaires : Le directeur financier effectue
régulièrement un rapprochement des différents comptes bancaires, assurant une certaine
vérification des opérations financières.
Risque de manipulation des fonds par monsieur Samir : Étant responsable de la réception, de
l'enregistrement et de l'envoi des paiements à la banque, il existe un risque de mauvaise gestion
des fonds ou de détournement.
Absence de supervision externe : Le directeur financier semble être le seul contrôle externe, ce
qui pourrait potentiellement permettre des irrégularités non détectées si sa surveillance est
inefficace.
Stockage des effets sur le bureau de monsieur Samir : La conservation des effets sur son bureau
peut être un risque de perte, de vol ou de manipulation.
Forces du système :
Transmission directe des titres de paiement au responsable des comptes clients : Ce processus
réduit les risques de manipulation ou de perte des chèques et effets.
Établissement d'un bordereau de remise en deux exemplaires pour l'enregistrement au journal
de banque : Ce contrôle interne assure une traçabilité et une double vérification des
encaissements.
Rapprochement régulier des comptes bancaires par le directeur financier : Cela permet de
détecter rapidement les écarts ou les anomalies entre les enregistrements comptables et les
relevés bancaires.
Conservation des effets sur le bureau de monsieur Samir : Le risque de perte ou de manipulation
des effets est présent en raison de leur stockage potentiellement non sécurisé.
Envoi des effets et chèques à la banque une fois par semaine : Cette période peut être trop
longue, exposant l'entreprise au risque de perte ou de vol des fonds pendant cette période.
Transmission mensuelle des données au responsable de la centralisation : Le délai mensuel peut
entraîner un manque de réactivité dans la prise en compte des données pour des actions
correctives.
Vérification physique des effets conservés par monsieur Samir : S'assurer de la sécurité et de
l'intégrité des effets en stockage.
Examen détaillé des écarts identifiés lors du rapprochement des comptes bancaires : Rechercher
activement les raisons des différences pour éviter les erreurs comptables.
Analyse approfondie des enregistrements comptables par rapport aux pièces justificatives :
S'assurer de la concordance et de l'exactitude des enregistrements dans le journal de banque
avec les documents de transaction.