NCRE Normes Editoriales

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Normes éditoriales1

Présentation générale
a. Tous les textes sont rédigés en français.

b. Les textes sont présentés en caractères 12 points d’imprimerie, en police Times


New Roman, à interligne et demi. Interligne simple pour les notes de bas de page,
les citations de plus de 40 mots (mises en retrait) et la liste de références.

c. La longueur maximale des textes est de 50 000 caractères (espaces compris), tout
inclus (résumé et références).

d. Trois niveaux de titre sont permis. Tous les niveaux de titres sont en gras et
numérotés.

e. Les textes doivent être acheminés par courrier électronique à


[email protected]. Les tableaux et figures doivent être intégrés au
texte. Pour les figures, les fichiers originaux doivent être joints en format .pdf, .jpg
ou .png.

Page titre, résumé, descripteurs


Inscrire sur la première page, en haut à gauche, son nom et son affiliation
institutionnelle; le titre de l’article suivi du résumé (maximum 120 mots). Identifier
cinq descripteurs (ou mots clés) qui situent le contenu (domaine géographique, sujet,
auteurs, théories, etc.).

Titres et intertitres
Coiffer les principales parties de l’article par des intertitres en caractère gras et
numérotés (introduction, conclusion, références bibliographiques).

Le titre et les intertitres doivent être concis et explicites et ne pas comporter de


guillemets, de parenthèses ou de point final.

1
Les exemples sont présentés dans les encadrés.
Consignes particulières

1. Masculin ou féminin
Dans la mesure du possible, opter pour la rédaction épicène. Lorsque la féminisation
est utilisée, elle l’est dans le respect des règles d’orthographe de la langue française.

2. Mise en relief
a. Mettre en italique uniquement les titres des livres, revues et journaux, les mots
étrangers et les extraits de verbatim; mettre entre chevrons les titres de chapitres
de livres, les expressions qu’on désire mettre en évidence, la signification d’un
mot ou d’une expression.

b. Détacher les exemples importants comme on fait pour les citations; les numéroter
consécutivement du début à la fin de l’article; faire suivre le numéro d’une
parenthèse.

c. Aucun mot n’est indiqué en caractères gras ou en caractères soulignés.

d. On utilise les guillemets français (« … ») pour les citations, sans espace après
l’ouverture des chevrons, ni avant leur fermeture).

e. Les citations de 40 mots ou moins sont insérées dans le texte, sans disposition
particulière. Les citations longues (plus de 40 mots) sont placées en retrait (à droite
et à gauche), saisies à simple interligne et sans guillemets.

g. Tous les paragraphes doivent commencer par un alinéa de 1,25 cm.

h. Aucun espace ne doit se trouver avant les virgules, les deux points, les points
virgules, la fermeture de guillemets, les points d’exclamation, les points
d’interrogation, la fermeture des parenthèses.

3. Les notes
a. Les notes ont pour fonction de fournir des précisions à propos d’un élément du
texte qu’il serait trop lourd d’introduire dans le texte lui-même. Elles ne servent
jamais à présenter la référence d’une citation. Les notes sont facultatives et leur
nombre doit être limité le plus possible.

b. Numéroter en chiffres arabes les notes infrapaginales, du début à la fin de


l’article. La première peut servir à identifier le fonds qui a subventionné la
recherche ou la société devant laquelle on a présenté le texte sous forme de
communication.

c. L’appel de note doit suivre le mot en indice, sans parenthèses, sans espace, avant
toute ponctuation.
d. Les notes sont présentées par ordre numérique et placées en bas de page à simple
interligne en retrait de 0,5 cm.

e. Les notes sont signalées par des chiffres arabes en exposant (sans parenthèses), à
10 points. Le bloc des notes de bas de page est séparé du corps de texte principal
par un trait horizontal d’au moins 2,5 cm (1 po) aligné à la marge gauche.

4. Écrire les chiffres et les nombres


a. Les nombres de 0 à 10 (inclus) sont toujours écrits en lettres, que ces nombres
soient au début ou à l’intérieur d’une phrase.

b. À partir de 11, les nombres sont écrits en chiffres dans les phrases; s’ils sont au
début d’une phrase, ils sont écrits en lettres.

c. S’il y a une énumération de plusieurs catégories évoquant des nombres différents


dans une même phrase, tous les nombres sont écrits en chiffres.

d. Les nombres inférieurs à zéro, les fractions, les rapports et les pourcentages
s’écrivent toujours en chiffres.

e. Les signes %, $, … ainsi que l’abréviation «p.», sont détachés du nombre par un
espace insécable.

f. Un nombre doit automatiquement être suivi d’un espace insécable. Lorsque deux
chiffres sont reliés, ils doivent l’être par un tiret insécable (p. 18-19).

5. Les références dans le texte


Appeler les références en plaçant, entre parenthèses, le nom de l’auteur et l’année de
publication (il faut ajouter le numéro de page pour les citations). La date est séparée du
nom par une virgule. Dans le cas de plusieurs ouvrages, les références sont séparées par un
point-virgule. Pour trois auteurs et plus, mentionner seulement la première autrice ou le
premier auteur et ajouter et al., et ce, dès la première occurrence.

(Miller et Kearney, 2004)


(Goldberg et al., 2004; Ouellet et al., 2010)

Une citation dans le texte est indiquée entre guillemets (sans espaces après l’ouverture des
guillemets ni avant leur fermeture) immédiatement suivie, entre parenthèses, de la
référence à son auteur (nom, année d’édition du texte cité, page de la citation). Cette
référence renvoie à la rubrique «Références» où l’on trouve la notice bibliographique
complète de l’ouvrage cité. Pour les citations en retrait, on ne met pas de guillemets.
Dans la réalisation d’un projet d’enseignement, les contraintes auxquels fait face l’enseignant dépassent
largement la conceptualisation et l’élaboration. «D’autres contraintes que celles relatives au choix de son
scénario pèsent sur lui. Sont en particulier sous sa responsabilité le savoir qui circule dans la classe, la
reconnaissance par les élèves de leurs erreurs et l’avancée du temps didactique» (Salin, 1997, p. 39).

L’élève écrit des textes variés et bien structurés à des fins qui lui sont signifiantes.
Aidé de ses pairs et de l’enseignant, il recourt le plus souvent et avec plus
d’assurance à des stratégies de dépannage et d’apprentissage. Il produit un texte
pertinent au regard des consignes et applique les conventions linguistiques visées
par le texte. À partir d’un modèle ouvert et des ressources disponibles, il livre
un produit final personnalisé qui témoigne de son imagination et de sa créativité
et tient compte du public cible. (MELS, 2006, p. 105)

Dans le cas d’un emprunt, on indique la référence (nom et année), mais sans la page.

L’étude de Smith et Dodsworth (1978) démontre que les enfants d’un milieu favorisé consacrent plus de
temps à jouer à des jeux d’imagination que les enfants provenant d’un milieu défavorisé.

Lorsqu’on utilise une référence deux ou plusieurs fois de suite, celle-ci est répétée.
L’utilisation des locutions latines telles que ibid et idem est proscrite.

6. La liste des références


Toute référence utilisée dans le texte doit être identifiée à la fin du texte selon les modèles
suivants (noter où placer les caractères italiques et la localisation du texte dans une revue
ou un collectif).

Articles de périodique
D’Ascoli, Y. et Berger, J.-L. (2012). Les déterminants du choix de carrière des enseignants de
la formation professionnelle et leur relation aux caractéristiques sociodémographiques.
Nouveaux cahiers de la recherche en éducation, 15(2), 1-3.
Van Hiele, P.M. (1999). Developing geometric thinking through activities that begin with play.
Teaching Children Mathematics, 5(6), 310-316.

Livres
Théberge, M. (dir.) (2000). Former à la profession enseignante. Éditions Logiques.

Bachelard, G. (2004). La formation de l’esprit scientifique (3e éd.). Librairie philosophique J.


Vrin. (Ouvrage original publié en 1938)

Coéditions
Paré, G., Brunet, A. et Tremblay, P. (1933). La renaissance du XIIe siècle. Les écoles et
l’enseignement. Librairie philosophique J. Vrin; Institut d’études médiévales.

Chapitres d’ouvrages collectifs


Lenoir, Y. et Tupin, F. (2012). Introduction: instruction et socialisation, des notions à clarifier.
Dans Y. Lenoir et F. Tupin (dir.), Les pratiques enseignantes: entre instruire et
socialiser. Regards internationaux (p. 1-62). Presses de l’Université Laval.

Congrès ou colloque
Ummel, D. (2019, 24-25 octobre). Les changements psychologiques inférés dans la trajectoire
du mourir pour le premier concerné et dans le deuil des survivants [communication].
Colloque sur l’aide médicale à mourir et ses significations cliniques et culturelles,
Chicoutimi, QC, Canada.

Publications gouvernementales et institutionnelles


Gouvernement du Québec. (2005). Plan d'action 2005-2010 sur les services aux aînés en perte
d'autonomie: Un défi de solidarité. Ministère de la Santé et des Services sociaux.
http://publications.msss.gouv.qc.ca/acrobat/f/documentation/ 2005/05-830-01.pdf

DOI
Hasni, A., Bousadra, F., Belletête, V., Benabdallah, A., Nicole, M.-C. et Dumais, N. (2016).
Trends in research on project-based science and technology teaching and learning at
K–12 levels: A systematic review. Studies in Science Education, 52(2), 199-231.
https://doi.org/10.1080/03057267.2016.1226573

Documents électroniques et pages web


Desautels, L., Gohier, C. et Jutras, F. (2009). Les préoccupations éthiques d’enseignants du
réseau collégial francophone au Québec. Revue canadienne de l’éducation, 32(3), 395-
419. http://www.scee.ca/RCE/Articles/RCE32-3.htm.

Statistique Canada. (2009). Estimation de la population canadienne.


http://www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/090929/dq090929b-fra.htm

Mémoires et thèses
Simard, A-M. (2009). Vivre en région avec le VIH: le paradoxe de l’éloignement [mémoire de
maîtrise inédit]. Université du Québec à Rimouski.

Lacombe, M. (2007). Facteurs associés à la poursuite de l'allaitement maternel jusqu'à six


mois de vie de l'enfant: Rôle des interactions mère-enfant, de la dépression postnatale
et du tempérament de l'enfant [thèse de doctorat inédite]. Université de Montréal.

7. Les tableaux et les figures


a. Les auteurs ont toute liberté dans la conception des schémas, tableaux, figures,
graphiques, etc. Ils doivent toutefois veiller à la lisibilité par le lecteur de ces
schémas, tableaux, figures, graphiques, etc.

b. Les tableaux et figures sont inclus dans le texte. Les schémas, figures et graphiques
sont aussi envoyés séparément au format .pdf, .jpeg ou .png.
c. Les titres des tableaux sont indiqués en haut du tableau, au centre, en italique,
double interligne entre la numérotation et le titre, à caractères 12 points et sans
caractères gras

Tableau 1

Quelques abréviations courantes et leur signification

d. La légende qui décrit et explique la figure, lorsqu’il y en a une, est placée


immédiatement sous la figure en minuscules et à simple interligne en caractères 10
points.

e. Les titres des figures sont placés après la figure (et après la légende, le cas échéant),
au centre, en caractères 12 points, sans caractères gras.

La légende apparaît en caractère 10 sous la figure.

Figure 1. Répartition des effectifs en fonction de la langue

Les articles soumis aux Nouveaux cahiers de la recherche en éducation doivent


obligatoirement se conformer aux normes éditoriales pour faire l’objet d’une première
lecture. En cas de doutes sur les normes éditoriales, vous pouvez adresser vos questions
à : [email protected].

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