AVOIR SOIF DE LA VIE - 11.06.58

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AVOIR SOIF DE LA VIE DALLAS


TX USA Mer 11.06.58

AVOIR SOIF DE LA VIE DALLAS TX USA Mer 11.06.58


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1. …?... Merci …?... Merci, mes amis. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’est un
privilège de revenir une fois de plus ce soir à la tente pour–pour parler encore ce soir au
Nom de notre Seigneur.
Et maintenant, avant d’ouvrir Sa Parole, adressons-Lui d’abord juste un mot, alors que
nous inclinons la tête.
Seigneur Dieu, c’est vraiment un privilège pour nous de venir auprès de Toi. C’est ce que
nous a recommandé Ton cher Fils, le Seigneur Jésus. Et nous sommes sûrs que Tu nous
exauceras, comme nous venons en Son Nom, car Il a rendu cela évident, en disant que si
nous demandons quelque chose au Père en Son Nom, cela nous sera accordé. Et ô Dieu,
nous sommes ici ce soir dans aucun autre but, si ce n’est pour Ta gloire, Ton honneur,
l’honneur de Ton Royaume, et pour le–l’avancement de Ton Royaume, afin que nous
puissions tous entrevoir d’une nouvelle façon ce soir le Sauveur béni, pour qu’Il vienne
parmi nous, qu’Il ôte toute notre iniquité, et qu’Il ôte les chagrins de nos coeurs. Ôte les
maladies de nos corps et donne-nous la joie, la bonne santé, la force, et fortifie notre être
intérieur, car nous nous attendons à Son apparition visible et imminente pour enlever Son
Eglise, appelée Son Epouse.

2. Accorde, Seigneur, que chaque péché, et chaque péché par action ou par omission,
peu importe ce que c’est, soit ôté de nous ce soir, et que ceci soit le commencement d’un
grand–d’un réveil sans fin jusqu’à ce que Jésus revienne. Accorde-le, Père.
Maintenant, alors que nous tournons les pages, personne ne peut interpréter la Parole si
ce n’est Toi. Et nous demandons à l’Auteur de ce Livre d’interpréter le message pour nous
ce soir. Sème la semence profondément dans les coeurs, reçois-en la Gloire, car nous le
demandons au Nom de Jésus. Amen.

3. Je venais d’entrer avec ma femme et ma famille là, il y a quelques instants. J’ai


reçu ici un petit message écrit, de la part d’Ed Bibbord. Il voulait savoir si j’avais un lien
de parenté avec la famille Branham de Burkesville, dans le Kentucky. Ed, tu es mon cousin.
Frère Bibbord, à Indianapolis, votre frère, et celui qui est à Evansville, dans l’Indiana, dans
la grande église des Assemblées de Dieu là-bas, est… Nous sommes de véritables cousins
consanguins, où que vous soyez. J’aimerais vous rencontrer et vous serrer la main d’ici
peu après le service. Que le Seigneur vous bénisse.

4. Et puis, je voulais aussi annoncer que ce soir, sur la table des livres, je ne sais pas
où ça se trouve, il y a–il y aura des bandes et des disques des réunions.
Monsieur Mercier et monsieur Goad, mes associés, qui prennent les disques, ou plutôt qui
prennent les messages et les enregistrent sur bandes, et à partir des bandes ils les
enregistrent sur disques, et les disques et les bandes sont maintenant disponibles au
kiosque à journaux, et on peut les acheter à… presque au tiers du prix que vous payeriez
pour un disque dans un bazar, si vous avez un … Et si vous n’avez pas de centreur, eux en
ont.
Nous ne sommes pas ici pour vendre. Ce n’est pas cela notre but. Quiconque me connaît
le sait. Je n’ai jamais été coupable de commercialiser Jésus-Christ. Voyez-vous ? Et je–je
n’y crois pas, et je … La seule raison pour laquelle j’aimerais faire ça, c’est parce que je
pense que cela peut aider quelqu’un. Et les jeunes gens, quand ils prenaient les bandes et
les vendaient… J’ai envoyé des gens pour qu’ils m’achètent une bande chez un évangéliste,
et je pense que ça coûtait environ trois fois le prix auquel ces garçons vendent les bandes,
parce qu’ils en achètent des milliers et des milliers en gros, et ils en achètent. C’est
simplement pour l’avancement de l’Evangile. C’est …

5. Et puis, les livres que nous avons, certainement, nous ne les avons pas ici, parce
qu’ils sont imprimés ici. Frère Gordon Lindsay, notre frère qui est notre associé ici présent,
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a écrit le livre : Un homme envoyé de Dieu, et c’est en vente ; et frère Lindsay les imprime
ici, et moi je les achète chez frère Lindsay (Quand je les amène dans des réunions) avec
une réduction, je pense, d’environ quarante pourcent sur ce que Lui… ce que je devrais…
sur leur prix réel. Et alors, je les prends, et j’engage quelqu’un pour les vendre, et ainsi de
suite. Et s’il y a ici quelqu’un qui a jamais vendu les livres, il sait que ce n’est pas facile de
les vendre de toutes façons, et de réaliser des bénéfices, parce que si quelqu’un se
présente, et qu’il n’a pas d’argent, mais qu’il veut avoir le livre, on le lui donne de toute
façon. Que ce soit les photos, ou quoique ce soit, c’est pareil.

6. Et il nous faut imprimer cette photo de l’Ange du Seigneur qui est sous copyright.
Frère Lindsay et tous les autres connaissent tout à propos, il nous faut avoir l’autorisation
pour en avoir beaucoup, et les vendre juste au prix auquel nous les achetons. Ainsi vous
voyez…
Et nous ne sommes pas là à racoler et tout, mais j’en ai juste fait mention pour que si vous
en avez besoin, ce sera une bonne chose de vous en procurer à–à la fin du service à la–à
la concession ou à l’étalage de livres, n’importe où ça se trouve.

7. Et maintenant, nous nous réjouissons certainement de notre séjour ici et nous avons
bénéficié d’une très chaleureuse conception, ou plutôt réception. Aujourd’hui, je me suis
rendu dans un petit magasin, et mon … J’ai dit : « Madame, fait-il plus chaud ici au Texas

Elle a dit : « Vous auriez dû être ici en août. »
J’ai dit : « J’étouffe pratiquement. » Ainsi, vous savez, je… je suis né dans le Kentucky, et
je suis à cheval sur le Nord et le Sud. Mais vous savez, étant donné que vous êtes tous un
groupe de sudistes ce soir, je suis un sudiste, parce que je suis né dans le Kentucky.

8. Nous sommes venus récemment des Etats de la Nouvelle Angleterre, et là-bas, je


leur ai tous dit: « C’est nous qui avons gagné la guerre. » Vous le savez tous, n’est-ce pas
? Certainement, c’est nous qui avons gagné la guerre. Voici comment nous y sommes
parvenus : nous avons survécu à tous les autres. C’était simplement… Il y a un sudiste qui
était resté et aucun nordiste. Et quand le dernier nordiste, joueur de tambour, est mort,
avez-vous remarquez dans le journal, juste avant qu’il ne meurt, le sudiste lui a envoyé
un message, disant : « Que Dieu vous bénisse, yankee. J’espère vous revoir bientôt. »
Pourquoi ne pouvaient-ils pas avoir de telles pensées au début ? C’est… Tout serait alors
terminé. C’est vrai. Eh bien, des guerres, nous en aurons jusqu’au retour de Jésus, et alors
nous n’aurons plus de troubles ni de guerres. Ne sera-ce pas un temps merveilleux ? Nous
L’aimons de tout notre coeur.

9. Et maintenant… Ce matin je parlais dans un petit restaurant. J’y étais en visite, et


j’ai rencontré un homme qui s’est approché, il m’a serré la main, et m’a dit : « Peut-être
que vous ne me connaissez pas, Frère Branham », mais il a dit : « Je… Vous avez prié pour
ma fillette, qui souffrait (je pense que c’est ce qu’il a dit) des crises d’épilepsie. » Il a dit :
« Depuis ce moment-là, elle n’a jamais piqué une autre crise. » Et alors, il a dit : « J’ai
eu… » Quelqu’un dans son voisinage, quand il a entendu cela, il avait deux valves de son
coeur, qui étaient bouchées. Et il a téléphoné, et je lui ai envoyé un petit mouchoir. Il a dit
: « L’homme s’est levé, il a marché, et s’est rétabli. »
Cet homme est ici dans la réunion ce soir. C’est un prédicateur ; je–j’ai sa carte dans ma
poche, mais il ne voudra peut-être même pas que je… Si vous le voulez, frère, vous pouvez
lever la main, celui à qui je parlais dans le... Là derrière tout au fond, le voilà, là derrière
au fond.

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10. Ainsi donc, de venir et d’entendre des témoignages et tout, ça a été bon. Et
aujourd’hui, j’ai payé le tribut, d’aller visiter l’école que fréquentait mon garçon, ici à
Waxahachie. J’ai vu leur bonne école. Ça me fait de la joie, de savoir que les gens du Plein
Evangile ont une école où ils peuvent élever leurs enfants dans la voie du Seigneur. Je suis
très reconnaissant pour, je pense qu’on l’appelle, l’Ecole biblique du Sud-ouest de
Waxahachie.

11. Alors, à mon bon ami Jack Coe, je suis passé par là et j’ai vu son établissement.
Quelque chose juste… Je suis capricieux de toute façon, et quelque chose… Quand j’ai vu
le nom de Jack et… sur l’orphelinat là-bas, et cette bande de petits enfants qui jouaient
tout autour d’une petite tente, je me suis dit : « Ô Dieu, que sa vaillante âme repose en
paix. »
Et j’ai parlé à son beau-frère il y a quelques instants. J’étais dans une petite épicerie pour
acheter quelque chose pour les enfants. Et j’ai rencontré son beau-frère et–et le
prédicateur qui l’aide là-bas, la soeur qui travaille dans l’église. Et il était courtois de
m’inviter à son église pour tenir une réunion pour lui un jour. Et j’ai dit : « Si le Seigneur
le permet, j’aimerais bien le faire, à une condition, que tu me fasses la promesse, avant
de venir, que tout ira dans ce petit orphelinat là-bas. Voir ces petits gosses qui jouent là
sans papa, sans maman, ni… ni … et le conducteur qui a reçu cette grande vision est allé
dans la gloire. Que Dieu fasse reposer en paix l’âme de mon frère Jack, c’est vraiment une
vaillante âme.

12. Je me rappelle quand je l’ai vu pour la première fois, ça, je ne l’ai jamais oublié ;
c’était le petit ami le plus curieux, il était très mince. Et il s’est approché de moi, et m’a dit
: « Dites-moi le problème de cette femme qui est dans la voiture et je vous croirai. »
J’ai dit : « Monsieur, ça, je ne–je ne peux pas le faire. » J’ai dit : « Il faut Dieu pour le
faire. »
Il a dit : « Eh bien, je suis–je suis curieux. J’aimerais savoir. »
Et j’ai dit : « Je vais aller là-bas demander [à Dieu]. » Et quand je suis arrivé là-bas, le
Saint-Esprit a révélé qui elle était et tout au sujet de cette femme.
Il a dit : « Pour moi, c’est réglé. »
Et j’ai dit : « Tu es simplement un petit prédicateur curieux. Et un jour, tu feras cette
même chose, prier pour les malades. »
La fois suivante que je l’ai vu, c’était à Chicago, environ dix ans plus tard. Et il avait
certainement grandi. J’ai dit : « Frère Jack, que s’est-il passé ? »
Il a dit …?... « Deux steaks après chaque réunion et deux ou trois… de lait malté… »
J’ai dit : « On n’a certainement pas extrait les calories », j’ai dit… Juste un homme bien,
et oh ! Ma prière est que Dieu fasse reposer son âme en paix. D’être ici dans les parages
de l’endroit où Jack Coe a autrefois prêché…

13. Eh bien, un jour je serai aussi parti. Un jour, nous serons tous partis. « Qu’en
partant, nous laissions derrière nous les empreintes des pas sur le sable de temps. » Que
Dieu fasse continuer Son oeuvre. Puissions-nous marcher en étant fidèle à la cause pour
laquelle Il est mort, c’est ma prière.
Maintenant j’aimerais juste lire quelque chose dans la Bible. J’aime vraiment la lecture de
la Parole. Vous savez, le Saint-Esprit se nourrit de la Parole. Jésus a dit : « Il est écrit que
l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de
Dieu. » Et si vous La prenez simplement chaque jour, non pas simplement par routine,
mais simplement pour… oh ! je dirais, simplement parce que vous le désirez ardemment
dans votre coeur, de sorte que vous vous asseyez là chaque jour et vous lisez beaucoup la
Bible. Vous serez surpris de voir ce que cela fera dans votre croissance spirituelle. Cela le
fera certainement. « L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui
sort de la bouche de Dieu. »
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14. Ainsi, ce soir, prenons … que j’ai choisi comme sujet, ou comme référence, référence
biblique dans Psaumes, Psaume 63. Et j’aimerais lire juste une portion de cela ici, les
versets 1 et 2, et peut-être le 3.
O Dieu ! tu es mon Dieu, je te cherche,
Mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi,
dans une terre aride, desséché, sans eau.
Ainsi je te contemple dans le sanctuaire,
pour voir ta puissance et ta gloire.
Car ta bonté vaux mieux que la vie,
Mes lèvres célèbrent tes louanges.

15. Avez-vous déjà lu de telles Paroles ? « Combien mon âme soupire après Toi dans
une terre aride, sans eau. » C’est plutôt un texte inhabituel, mais Dieu est inhabituel ;
Dieu fait des choses inhabituelles, et Il travaille par des voies mystérieuses, pour accomplir
Ses merveilles.
Et nous vivons dans un jour inhabituel et dans un temps inhabituel, mais nous servons le
Dieu qui a été dans tout les temps. Et quand j’ai pensé à ce… Vous savez, mon âme a soif
de Toi… Si votre âme, c’est la chose qui vous dirige, c’est que c’est elle qui fait de vous ce
que vous êtes. Une conversion c’est … L’âme, c’est la nature de l’esprit. Et quand un homme
est converti, il ne reçoit pas un autre esprit. Son esprit change, une conversion veut dire
changer sa manière de penser, changer sa manière de vivre et ainsi de suite. Ainsi, mon
âme à soif de Toi.

16. Et je méditais sur ceci : « Car Ta bonté vaut mieux que la vie. » Qu’y a-t-il de plus
grand que la vie ? Dites-moi juste une chose, ce soir. Qu’y a-t-il de plus grand que la vie
? Rien n’est plus grand que la vie. Et il n’y a qu’une seule sorte de Vie Eternelle, et cette
Vie-là vient de Dieu. Tout ce qui a un commencement a une fin. C’est ce qui n’a pas de
commencement, qui n’a pas de fin. Et au commencement, Dieu, la Vie Eternelle… Et puis
la Vie Eternelle qui, en Grec, est appelée « Zoe », ou « La Vie de Dieu… »
L’amour agapao, et l’amour phileo, et ainsi de suite, comme nous descendons comme cela
de l’amour agapao qui est l’amour même de Dieu. L’amour phileo, c’est l’amour que vous
avez pour votre femme ou votre ami.

17. Eh bien, bien des fois, les églises sont tellement embrouillées qu’elles essaient de
prendre l’amour phileo, qui signifie « l’amitié », pour l’amour agapao. Mais voici la
différence : si vous aimez votre femme comme vous le devriez, et qu’un homme l’insultait,
vous tueriez cet homme, parce que vous seriez jaloux de votre femme. C’est ce à quoi
l’amour phileo conduirait. Mais l’amour agapao vous amènerait à prier pour son âme
perdue. Voilà la différence. Voyez-vous ? C’est ça la différence. Dieu…
Tout ce qui existe maintenant, c’est quelque chose qui a été correct. Et toute injustice,
c’est la justice pervertie. Il n’y a rien qui n’ait existé avant. Par exemple, tout péché, c’est
de la justice rendue péché.
Eh bien, vous avez entendu des gens dire que le diable peut guérir. Il n’y a qu’une seule
chose qui cloche dans cette déclaration-là. L’homme qui a fait cette déclaration ne connaît
même pas sa Bible pour commencer, ni le Dieu qui L’a écrite. Le diable n’a aucune
puissance de guérir, et il ne peut pas guérir ; il n’a jamais guéri, et il ne guérira jamais.

18. Je connais un collège luthérien à Minneapolis, dans le Minnesota ; ce soir, des signes
et des prodiges s’accomplissent parmi ces gens. En effet, le prédicateur m’a écrit une lettre
disant : « Un homme comme toi qui prêche à un aussi grand nombre de gens, soutenir
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que le diable ne peut pas guérir… Et il a essayé de baser cela sur une sorcière, ou une
femme, au près de qui les gens vont, et qui les tâte, et leur dit que… Eh bien, elle arrache
une petite poignée de cheveux de leur tête et les imbibe du sang de leurs veines ; elle
descend à la rivière et y jette cela, et se met à rentrer ; si elle est contrainte de regarder
en arrière, la maladie reviendra. Mais si elle avance, alors les gens sont guéris.
Il a dit : « Nous avons observés cela, et vingt ou trente pourcent de ces gens sont guéris,
et vous dites donc que le diable ne peut pas guérir. »
J’ai dit : «Ce qui est étrange, chez vous, docteur Aegery, est que (et je suis surpris), vous
étant un doyen chez les Luthériens, vous pouvez baser votre doctrine sur une expérience
plutôt que sur la Parole de Dieu. » C’est vrai. Jésus a dit : « Satan ne peut pas chasser
Satan. » Cela règle la question.

19. J’ai dit : « Naturellement, beaucoup de gens disent que des guérisseurs divins
parcourent le pays. Ça n’existe pas. Je n’en ai jamais vu un seul de ma vie et jamais je
n’en verrai. C’est Dieu qui est le Guérisseur. Mais parfois les gens s’approchent de ceux
qui font de telles déclarations, et sont guéris. C’est vrai. J’ai vu des sorciers–des sorciers
guérisseurs qui guérissent les gens, mais qu’est-ce ?
J’ai vu des gens aller auprès des idoles. Là-bas, dans l’Alsace-Lorraine, en France, ils vont
au près d’une idole, une femme morte et ils sont guéris, mais ce n’est pas à cause de cette
femme morte. Ce sont les gens qui pensent qu’ils s’approchent de Dieu à travers cette
femme.
De même qu’il en est pour les guérisseurs divins, de même il en est pour les–les sorcières.
Les gens pensaient s’approcher de Dieu à travers la sorcière, et Dieu doit honorer leur foi
peu importe où on la place. C’est vrai. Ainsi, il n’y a pas de guérison…

20. C’est quoi, la guérison ? La guérison, c’est le développement des cellules, une
multiplication des cellules, la formation des cellules qui se remettent. Vous pouvez vous
casser le bras. Le médecin ne peut pas guérir votre bras ; il peut simplement le remettre
en place. Il faut Dieu pour le guérir. Car Il est le seul Créateur qui soit. Satan ne peut pas
créer. Il pervertit ce que Dieu a créé.
J’ai un auditoire mixte, bien entendu, et je suis votre frère. Et vous écoutez votre médecin.
A vous les hommes mariés, vous avez votre femme ; vous vivez avec votre femme. L’acte
entre une femme et son mari est un acte légitime au possible. Mais le même acte avec une
autre femme, vous êtes perdus. Qu’est-ce ? La justice pervertie. C’est vrai. Tout péché,
c’est la justice pervertie. Eh bien, je ne suis pas un enseignant de la Bible, je vais donc
laisser cela pour revenir à mon sujet.

21. La vie, c’est quoi, la vie ? Eh bien, la vie est le… c’est ce qui vous contrôle. La vie,
c’est ce qui fait de vous ce que vous êtes. Et la vie qui est en vous, fait de vous une épître
écrite, lue de tous les hommes. Ainsi, pendant que nous parlons de la vie…
Il y a quelque temps, j’étais en train de réfléchir, là dans les Etats du Sud, au temps où
l’on pratiquait l’esclavage, et où on conduisait les esclaves comme des animaux. Et–et on
les exposait là et on les vendait aux enchères comme vous le feriez dans un parking de
voitures d’occasion, et comme vous le feriez… Et les courtiers venaient et achetaient
certains esclaves. Et ils passaient et achetaient de grands hommes de couleur corpulents
; ils les emportaient et les vendaient à quelqu’un d’autre, et réalisaient des bénéfices sur
eux, juste comme vous le faites aujourd’hui avec vos voitures et tout.
Et un certain courtier est passé dans une–une vieille plantation et a demandé : « Combien
d’esclaves avez-vous dans cette plantation ? »
Et le propriétaire a répondu : « Environ cent cinquante. »
« Y en a-t-il à vendre ? »
Il a répondu : « Oh, je ne sais pas ; nous pouvons peut-être faire le troc ou quelque chose
d’autre. » Et quand il est parti les voir…
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22. Eh bien, les Boers (les Afrikaans) vendaient les esclaves, ici aux Etats-Unis. Ils les
amenaient ici depuis l’Afrique et les vendaient. Et ils étaient loin de leurs pères, de leurs
mères, de leurs enfants, de leurs maris, de leurs femmes et ils ne les reverraient plus
jamais tant que le temps s’écoulerait. Ils étaient tristes, on devait les fouetter à maintes
reprises pour les faire travailler. On amenait des fouets et on les frappait avec pour les
faire travailler ; en effet, ils étaient tristes et opprimés.
Et ce certain acheteur a remarqué qu’il y avait un esclave parmi les autres qu’on n’avait
pas à fouetter, un jeune homme, qui était à la tâche, menton relevé, la poitrine bombée,
disposé à travailler n’importe quand. Et l’acheteur a dit au propriétaire : « J’aimerais
acheter cet esclave-là. »
–Oh, lui dit-il, mais celui-là n’est pas a vendre.
Il a dit : « Qu’est-ce qui fait qu’il est si différent des autres ? Est-ce que vous le fouettez ?
» Le propriétaire a dit : « Jamais. »
Il a dit : « Qu’est-ce qui le rend si différent ? Est-il le chef de tous les autres ? »
Il a dit : « Non, ce n’est qu’un esclave. » Il a demandé : « Peut-être que vous le nourrissez
mieux que les autres ? »Il a répondu : « Non. Il mange dans la cuisine avec tous les autres.
»Il a dit : « Eh bien, qu’est-ce qui le rend si différent des autres ? »Et le propriétaire a dit
: « Monsieur, je me suis moi-même posé cette question pendant longtemps, jusqu’à ce
que j’ai découvert la vérité. Et, la voici. » Il a dit : « J’ai découvert que là-bas dans son
pays, il est le fils du roi de la tribu. Et bien qu’il soit étranger, parmi les étrangers, ce
pendant il se comporte en fils du roi. »

23. Oh ! si cela pouvait faire qu’un nègre, qui savait que son père était un roi et qu’il
était un étranger, garde le moral et se comporte en fils du roi, qu’est-ce que cela devrait
faire aux enfants de Dieu, aux fils et aux filles de Dieu ? Nous devrions nous comporter en
véritables fils du Roi. Nous devrions être sans peur quand il s’agit de prendre une décision
au sujet de la Parole de Dieu.
Si Dieu dit quelque chose, tenez-vous-en à cela. Dieu l’a dit. Cela ne peut faillir. Si Dieu
nous a promis la Vie Eternelle, nous avons la Vie Eternelle. Il ne peut mentir pas plus qu’Il
ne peut cesser d’être Dieu.

24. Et après avoir prêché dans des églises, j’ai trouvé une chose, j’ai trouvé qu’il y a
deux catégories de gens : ce sont les fondamentalistes et les pentecôtistes. Et je trouve
que pour ce qui est de leur position, les fondamentalistes, ils savent où ils se tiennent,
seulement ils n’ont pas de foi. Et les pentecôtistes par contre ont beaucoup de foi, mais ils
ne savent pas où ils se tiennent. C’est juste comme un homme qui a de l’argent en banque
et qui ne sait pas établir un chèque. L’autre peut remplir un chèque, mais il n’a pas d’argent
en banque. Si vous pouviez les mettre ensemble !Si les pentecôtistes pouvaient reconnaître
qui ils sont… ce sont des fils et des filles de Dieu. Tous les préjugés, les systèmes
dénominationnels, et–et les divergences seraient brisés, et ils s’embrasseraient les uns les
autres, ils se serreraient la main, et la gloire de Dieu tomberait universellement, si
seulement ils se reconnaissaient et réalisaient qu’ils sont des fils et des filles de Dieu.

25. Peu importe même si nous sommes dans un monde étranger. Même si nous sommes
parmi les étrangers, nous sommes pèlerins et étrangers, mais nous cherchons une cité à
venir dont Dieu est le Constructeur et l’Architecte. Pourquoi alors nous soucier de ce
monde, et de tout ce qu’il a de fantastique et toute sa gloire ? Il périra complètement un
jour. Cette nation est sur le point d’être réduite en cendres à n’importe quelle minute, en
ce moment même, et cela peut arriver avant le matin.
Je me suis tenu là où se sont tenus des Pharaons et il vous faut creuser jusqu’à vingt pieds
[6,48 mètres–N.D.T.] de profondeur pour retrouver leur trône, et là où les empereurs
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romains se sont tenus, et il vous faut creuser très profondément dans la terre pour
retrouver là où était leurs royaumes. Mais, frère, comme des fils et des filles de Dieu, nous
recevrons en nous un royaume qui subsistera dans tous les âges éternels.

26. Pour nous, il n’y a rien de quoi nous inquiéter. Nous avons tout ce qu’il faut pour
être heureux. Ce n’est pas étonnant que les gens fassent des bruits. C’est assez pour leur
faire faire des bruits. Je prends bien plaisir à un peu de bruit ; c’est un signe de vie. Vous
savez, tout ce qui… Scientifiquement parlant, je peux prouver que tout ce qui ne fait pas
un peu de bruit, c’est mort. Donc, si votre religion ne produit pas un peu de bruit, vous
feriez mieux de l’enterrer, et d’en chercher une autre qui a quelque chose.
Quand Aaron, le souverain sacrificateur, était oint pour entrer dans le saint des saints, il
portait une clochette et une grenade–une clochette et une grenade au bords de ses
vêtements, et c’était dans un but, c’était pour témoigner qu’une fois entré dans ce lieu
saint, s’il n’y avait pas de bruit, il était tué. Mais tant qu’il se faisait du bruit, il y avait
encore la vie.
Ainsi donc, tant que vous pouvez encore voir les gens, qui ont assez de Dieu dans leurs
coeurs, dire « Amen » devant leur patron, leur voisin, ou devant qui que ce soit, cela
montre que Dieu vit encore. La vie, qu’est-ce qui vaut mieux que la vie ?

27. Eh bien, quand j’ai pensé à ces choses comme David, ce très aimable psalmiste, qui
en parlait… J’ai toujours aimé son… le lire, parce que nous avons eu certaines choses en
commun, nos idées, le fait que l’un et l’autre nous aimons le Seigneur et nous aimons aussi
le plein air. David, avec les–les pâturages ombragés, ou des verts pâturages et les eaux
paisibles, rester seul avec Dieu…
Aujourd’hui, je parlais à un homme, un prédicateur, du Colorado. Souvent j’effectue un
petit voyage (J’aurais aimé en effectuer un après ici.), juste là dans les montagnes pour
rester seul, contempler Dieu pendant un moment.

28. Un jour, je me souviens… Je sais que je suis un tout petit peu sorti de mon sujet,
mais nous ne sommes pas formalistes, et… J’étais donc là chasser l’élan. Il faisait tard, la
neige n’avait pas encore commencé à tomber et je devais monter là haut dans ces
montagnes. Et le propriétaire du ranch où j’avais l’habitude de m’occuper du bétail, eh
bien, il a pris une autre route. Je devais le rencontrer deux ou trois jours plus tard.
J’ai attaché mon cheval de somme et je suis parti à la montagne. Et il n’y avait pas encore
de neige pour contraindre les–les élans à descendre, et je marchais dans le… tard en
automne, une–une pluie est tombée, et puis, il y a eu de la neige, et alors le soleil a brillé,
ainsi de suite. Et il y a eu un grand ouragan, comme nous l’appelons là-bas au nord, une
tornade. Et je suis allé derrière un arbre et je me suis tenu là.

29. Et, pendant que la tempête soufflait, je me disais: « Ô, Dieu, un jour Elisée s’est
retiré dans une caverne et la tempête est passée, mais il ne T’a pas entendu dans la
tempête. » Je pensais donc à cela. La tempête s’est arrêtée, et–et le soleil est apparu,
brillant à l’ouest ; Son grand et majestueux oeil regardait à travers les fentes du rocher.
Et j’ai remarqué, après que la pluie était tombée et qu’elle avait gelé les arbres à feuilles
persistantes, un arc-en-ciel est apparu. Et l’arc-en-ciel a formé un cercle. Je me tenais là
a le regarder ; j’ai dit : « Ô Dieu, combien Tu es grand. Te voilà dans cet arc-en-ciel. Tu
as fait à Noé, une promesse à ce sujet, que Tu ne détruirais plus le monde par l’eau. »

30. Et puis, Jean a vu Jésus dans Apocalypse, chapitre 1, avec un arc-en-ciel au-dessus
de Lui, et Il avait l’aspect d’une pierre de jaspe et de sardoine, qui représentaient Benjamin

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et Ruben. Et–et alors que je pensais à ces choses, j’ai senti l’Esprit de Dieu Se mouvoir sur
moi. Et vous savez ce que vous ressentez…
Ma mère est une demi-indienne, et ma–et ma conversion n’avait jamais ôté cela de moi.
Et j’ai entendu le vieux loup gris hurler sur la montagne et la compagne répondre là dans
la vallée.
David a dit : « Quand la profondeur appelle la profondeur… » Alors, il s’est vraiment mis a
appeler. Et puis, j’ai entendu le vieil élan, qui était perdu du troupeau, bramer. J’étais très
heureux ; je me suis sentis si religieux ; pour vous, vous pouvez penser que j’étais fou, et
j’ai déposé mon fusil contre un arbre et je me suis mis à tourner tout au tour de l’arbre,
de toutes mes forces, en criant à tue tête. Oh ! seul avec Dieu.
Je pense que si quelqu’un était venu dans les bois et qu’il m’ait vu, il aurait pensé qu’il y
avait là quelqu’un, sorti d’un asile de fous, mais je ne me souciais de rien. J’étais en train
d’adorer Dieu, et ce que quelqu’un dirait ne changerait rien. Je me réjouissais vraiment.

31. Et j’ai dit : « Ô Dieu, Te voilà dans le coucher du soleil. Te voilà dans l’arc-en-ciel.
Te voila dans le cri du loup. Te voila dans le beuglement de l’élan. Oh ! Tu es partout. »
C’est vrai.
Et juste alors, un vieux petit écureuil de pin (il est en quelque sorte le policier au veston
bleu de la foret, faisant des histoires, c’est tout ce qu’il fait) a sauté sur une petite vieille
souche là près d’un arbre abattu par le vent. Et il jacassait comme s’il allait me mettre en
pièces. Et j’ai dit : « Eh bien, écoute mon petit ami, tu n’as pas besoin d’être excité à ce
point. Tu ne peux inquiéter personne, et personne n’a peur de toi. Alors pourquoi es-tu en
train de faire des histoires ? Pour commencer, je ne peux pas te faire du mal. » Et oh ! il
était simplement en train de me mettre en pièces. Et j’ai pensé : « Eh bien, pourquoi m’as-
tu alors arrêté d’adorer le Seigneur ? Est-ce que je t’ai effarouché ? Je suis en train d’adorer
le même Dieu qui t’a créé. »

32. Et comme j’étais là a penser un petit peu, j’ai remarqué qu’il inclinait sa petite tête
de travers et regardait en bas, là à cet endroit où les arbres étaient abattus par le vent.
Ce n’est pas moi qu’il regardait ; il y avait quelque chose qu’il regardait là en bas. Et le
vent avait poussé un grand aigle… Nous avions des aigles bruns dans le Colorado–le vent
l’avait forcé à descendre jusqu’en dessous de ces arbres qui avaient été abattus par le
vent. Et il était tout excité à cause de cet aigle. Et ce grand aigle a sauté sur une branche,
majestueusement. J’ai pensé : « Seigneur Dieu, Te voilà ; Tu es partout dans la nature,
comme David T’a vu ; Tu restes toujours dans la nature. Tu demeures dans les gens. Tu
es simplement le même Dieu. Pourquoi m’arrêterais-Tu alors que je suis en train de
T’adorer ? »

33. Vous voyez, Dieu fait concourir toutes choses pour le bien. Vous direz : « Qu’en est-
il de cet enfant malade ? » Pour le bien : Dieu donne un témoignage (gloire) afin qu’Il la
guérisse pour le salut d’une âme. Toutes choses concourent pour le bien. Et alors comme
ils ont commencé à L’adorer…
Et je pensais : « Pourquoi ai-je été arrêté ? » J’ai remarqué qu’il y avait quelque chose
dans cet aigle qui faisait qu’il n’avait pas peur. Vous savez, Dieu ne peut pas utiliser des
lâches. Si vous avez peur, restez loin de toute façon. Si vous ne voulez pas accepter Sa
Parole pour le but pour lequel Il L’a prononcée, retirez-vous simplement de l’armée ; c’est
tout. Il ne peut simplement pas vous utiliser.

34. Ainsi, j’ai remarqué qu’il n’avait pas peur, et j’ai dit : « Toi, grand aigle, sais-tu que
je peux t’abattre ? » Et mon fusil était posé contre l’arbre et il … Ces grands yeux gris
regardaient vers moi, il savait qu’il pouvait être au-delà de la limite de cette forêt avant

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10

que ma main n’atteigne ce fusil. Et il–il … Il avait quelque chose qui faisait qu’il savait où
il se tenait.
J’aime voir des chrétiens pareils, résolus : pas quelqu’un qui est méthodiste aujourd’hui,
baptiste demain, et autre chose le lendemain. Sache où tu te tiens. Sache qui est ton
Rédempteur et d’où vient ta vie.

35. Et j’ai remarqué que la–la raison pour laquelle il faisait cela, c’était parce qu’il avait
beaucoup confiance dans ses ailes. Il continuait à tester ces plumes pour voir si elles étaient
toutes en ordre.
Je me suis dit : « C’est ça la chose. C’est ce que Tu veux que je sache, Seigneur, que Tu
as donné deux ailes à cet aigle-là, et qu’il sait ce qu’il peut faire avec ces deux ailes. Et il
connaît la distance qui me sépare de ce fusil, et le saut qu’il doit faire ; il peut presque
disparaître de ma vue avant que je ne prenne le fusil.
Et j’ai pensé : « Si un aigle, avec deux ailes, pouvait connaître où il se tenait, que devrait
faire l’Eglise avec le Saint-Esprit, de savoir…?... Mais la chose est que, tant que vous pouvez
sentir qu’Il est près de vous, c’est la chose essentielle.

36. Il a écouté… Je ne le dérangeais pas ; je l’admirais. Mais ce petit écureuil de pin


agissait comme s’il allait le mettre en pièces. Il en avait marre, ainsi à-t-il simplement fait
un grand saut en donnant environ deux coups d’ailes.
Alors, j’ai vu la chose par laquelle Dieu a changé mon opinion. J’ai vu ce grand aigle. Il
n’avait jamais continué à battre les ailes. Il savait comment disposer ses ailes. Et chaque
fois que le vent soufflait, il montait plus haut et il continuait à monter plus haut, plus haut,
plus haut, jusqu’à ce qu’il est devenu juste un petit point. Et j’ai pleuré comme un bébé.
J’ai dit : « C’est cela, Seigneur. Il ne s’agit plus de se joindre aux méthodistes, aux
baptistes, aux presbytériens ; ce n’est pas le fait d’affluer à un service de guérison et puis
à un autre. Il est simplement question de savoir comment disposer vos ailes dans la
puissance de Dieu, et quand le Saint-Esprit entre, élevez-vous au-dessus de ces choses…
Elevez-vous au dessus de ces choses.

37. Il avait marre d’entendre continuellement ce jacassement. Il en est de même d’un


homme de Dieu, qui connaît comment disposer ses ailes dans la foi de Dieu. Et
immédiatement, quand le Saint-Esprit entre comme une vague… Eloignez-vous de ce
jacassement répété par ici, qui dit : « Le temps de miracles est passé ; la guérison divine,
ça n’existe pas ; une religion qui vient du fond du coeur, ça n’existe pas. » Tenez
simplement vos ailes dans la foi et la puissance de Dieu et montez loin de cela, éloignez-
vous-en. Certainement. Recevez la Vie, la Vie de Dieu.

38. Et David, en voyant ces choses… Il a dit : « Dans une terre aride, desséchée, mon
âme a soif de Toi, ô Dieu. Je désire contempler Ta puissance comme je l’avais vue dans
Ton sanctuaire, car Ta bonté vaut mieux que la vie. »
Alors, je me suis demandé : « Mieux que la vie ? Qu’est-ce qui peut être mieux que la vie
? » La vie a donc deux significations. L’une d’elle, c’est ce que les gens appellent la vie
aujourd’hui ; ce n’est pas ça la vie, mais c’est la mort. Beaucoup de gens pensent que le
péché, la boisson, les jeux d’argent, les divertissements… Ils appellent cela la vie.

39. Si vous allez ici dans l’un de ces bars, ce soir, vous verrez les gens en train de
danser, les jeunes dames et les jeunes gens de cette belle ville, vous les verrez en train
de danser et vous les entendrez pousser des cries en buvant, et s’écriant : « Oh ! nous
vivons ! » Vous faites erreur. Vous êtes en train de mourir.

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Cette sorte de vie ne peut pas être celle dont David parlait, parce que cette vie-là est si
lamentable que les hommes prennent un pistolet, se le braquent sur la tête et se font
sauter la cervelle, avec cette sorte de vie. Les hommes montent à l’étage le plus haut,
dans leurs chambres d’hôtel, et là haut, ils vivent avec les femmes, ils boivent ; ils se
tiennent les mains et sautent pour se donner la mort ; voilà à quoi cette sorte de vie
conduit.
Ainsi, David ne pouvait pas parler de cette sorte de vie. Elle est donc pervertie, vous voyez.
C’est une vie pervertie. Alors, si cette sorte de vie n’est pas la véritable, alors quelle est la
véritable sorte de vie ? Ta bonté vaut mieux pour moi que la vie. Eh bien, et mon âme a
soif de Toi, ô Dieu. Je désire Te voir. Eh bien, qu’est-ce qui donne à l’homme le désir de
faire quelque chose de pareil ?

40. Il y a longtemps, dans une grande ville… et ça fait environ une année ; c’était l’été
passé dans une grande ville au Canada. Et quand j’ai vu les Américains venir, j’avais honte
d’eux : ils étaient ivres et ils faisaient des histoires. Il y avait là une sorte de réunion dans
un local. Et ce soir-là, quand je revenais de l’arène, je suis entré dans le grand hôtel, et
j’ai commencé à monter, et il y avait des bouteilles de whisky, des bouteilles vides partout
dans l’ascenseur. Et j’ai parlé au jeune homme, disant : «Ils doivent être… Quelqu’un doit
avoir été terriblement assoiffée. »
Et il a dit : « Oh ! c’est un gâchis causé par des personnes ivres, pasteur. » Et il m’a fait
descendre à mon étage. Et alors, je suis sorti de l’ascenseur ; j’ai regardé, et voici venir
dans le hall deux Américaines, de belles jeunes femmes d’environ vingt-cinq, trente ans,
toutes deux portant des alliances de mariage, elles portaient des alliances, elles n’avaient
rien sur elles, sauf leurs sous-vêtements, elles tenaient des bouteilles de whisky, elles
marchaient là sur le plancher, et les hommes les traînaient d’une chambre à une autre, et
peut-être que leurs maris gardaient les enfants à la maison. Mais qu’est-ce ? Elles sortent
pour un petit amusement innocent. Le salaire du péché, c’est la mort.

41. Et il y avait des hommes, c’était exactement la même chose… Ces hommes qui
traînaient ces femmes, des hommes dont les femmes gardaient les enfants à la maison,
ne sachant pas où étaient leurs maris. Cela montre que, qu’il s’agisse de l’homme ou de la
femme, Dieu hait le péché. Il aime le pécheur, mais Il hait le péché.
Là, et cette tradition… Ils vont peut-être à l’école du dimanche et ils sont membres d’une
certaine église quelque part. Oh ! je suis entré dans des chambres où j’ai trouvé des
enseignants de l’école du dimanche agir ainsi.
Ce n’est pas étonnant que nous n’ayons pas de réveil. Nous pouvons avoir dix mille Billy
Graham et ne jamais avoir de réveil tant que l’église n’est pas purifiée et que les gens ne
vivent pas comme des chrétiens le devraient. C’est parce qu’ils sont entrés par une lettre,
par une poignée de mains, ou par un petit isme. Vous devez naître, avoir la Vie Eternelle
en vous, avant de devenir un chrétien. Oh ! c’est vraiment horrible d’y penser.

42. Et comme j’observais ces belles jeunes mères (Je pense que c’est ce qu’elles
étaient), un homme a saisi l’une d’elles, et elle est tombée sur le plancher, et le petit
vêtement qu’elle portait s’est relevé par derrière. Et cet homme tentait de le lui ôter, et
j’ai reculé dans un petit endroit sombre. J’ai pensé : « Ô Dieu, comment peux-Tu regarder
une telle chose ? Certainement, ça ne fera pas longtemps. »
Et aussitôt qu’elle s’est relevée, l’homme était trop ivre pour se relever après être tombé.
Ainsi, elle a tenu son amie autour du cou et elles sont entrées dans la chambre. Et elle a
relevé cette petite robe qu’elle portait, elle a jeté sa jambe en l’air, elle s’est écriée, «
Whoopee ! C’est la vie. »

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43. C’était trop pour moi, cette bouteille de whisky dans sa main, et la bave coulant de
sa bouche. Je me suis présenté avec ma Bible à la main. J’ai dit : « Juste un instant.
J’aimerais vous parler. »Et elle a dit : « Bonjour, chéri… »J’ai dit : « Juste un instant. Je
suis un prédicateur de l’Evangile. » Et Je les ai saisies toutes deux par la main. J’ai dit : «
N’avez-vous pas honte de vous-mêmes ? J’aimerais vous corriger sur ce que vous avez dit.
Vous avez jeté votre pied en l’air, tout à l’heure, et vous avez bu ce whisky et vous avez
dit : ‘C’est ça la vie.’ » J’ai dit : « C’est la mort. La Bible dit : ‘Celle qui vit dans le plaisir
est morte bien qu’elle soit vivante.’ » Et elles ont détalé, suivant le hall, et elles sont parties
à toute vitesse. Elles n’avaient pas le temps de résister.

44. Mais frère, cette sorte de vie se termine par un suicide. Elle se termine dans un
tribunal de divorce. Mais qu’est-ce qui fait qu’une personne aime faire cela ? Eh bien, voici
où se trouve mon sujet, et voici là où je veux en arriver avec vous. La raison pour laquelle
vous faites cela, que les gens font cela, et qu’ils ont soif de la vie, c’est parce que Dieu les
a créés pour avoir soif de la vie. Et Il a créé l’homme de sorte que, dans son mécanisme,
celui-ci ait soif de la Vie de Dieu. Mais, le diable pervertit cela et essaie d’étancher cette
soif bénie avec le péché.
C’est ce qui fait que les femmes fument la cigarette. C’est ce qui fait que les hommes
fument la cigarette. C’est ce qui vous pousse à sortir et à vous déshabiller dans la rue et à
porter des shorts. C’est ce qui fait que les gens font ce qu’ils font. C’est ce qui amène les
hommes et les femmes à mener une vie déshonorante l’un vis-à-vis de l’autre. C’est
pourquoi vous restez à la maison le mercredi soir pour regarder Nous aimons Suzie. ou
quelque chose du genre, au lieu de rester dans une réunion de prière, et c’est parce que
le diable vous a donné quelque chose qui ne vaut rien. Il a perverti cette sainte soif qui est
en vous et il essaie de vous satisfaire avec sa soupe à cochons de l’enfer. C’est vrai. Dieu
vous a créé pour avoir soif.

45. Qu’est-ce qui pousse les hommes à jouer à l’argent ? Qu’est-ce qui pousse les
hommes à faire des histoires ? Qu’est-ce qui pousse ces petites filles et ces petits garçons
à aller là dans ces endroits impies où l’on joue du boogie woogie, et du rock’n’roll ? C’est
parce que l’école du dimanche s’est relâchée, et le foyer s’est relâché, les parents se sont
relâchés, et la nation s’est aussi relâchée.
Les hommes chantent les chansons selon leur inspiration. La raison pour laquelle ils
chantent les chansons d’Elvis Presley All shook up, c’est parce qu’on ne leur a pas enseigné
les chants comme Rocher d’âges, fendu pour moi. Voilà la raison.
La raison pour laquelle ces gens ne croient pas dans le fait de pousser des cris ce soir,
alors qu’ils poussent des cris au match de baseball, c’est parce qu’on leur a enseigné de
pareilles choses et qu’on les a gardés loin de la glorieuse Présence du Seigneur Jésus qui
leur donne cette portion satisfaisante.

46. Oh ! comme les gens agissent ! Vous agissez ainsi parce que le diable vous a arraché
cette chose sacrée et bénie que Dieu vous a donnée, et il essaie d’étancher cette sainte
soif qui est en vous, cette soif que Dieu vous a donnée pour avoir soif de Lui, il essaie de
la satisfaire avec les choses du monde. Vous n’y arriverez jamais. C’est impossible. Et si
vous pensez que vous vivez, parce que vous menez une vie un peu meilleure que quelqu’un
d’autre, une vie un peu plus élevée dans ce monde, vous n’avez jamais commencé a vivre,
jusqu’à ce que vous laisseriez cette soif être étanchée par cette « Fontaine remplie de
sang, tiré des veines d’Emmanuel, là où les pécheurs, plongés dans ce flot, perdent toutes
taches de leur culpabilité. »
Il n’y a pas de satisfaction jusqu’à ce que cette soif soit étanchée par la Présence de Dieu.
Mais le diable vous dit : « Vous devez être moderne. »

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« Oh ! si seulement je peux être comme Suzie », ou n’importe quelle femme qui les fait
tous rester à la maison le mercredi soir pour voir Nous aimons Suzie ou quelque chose du
genre. Lucie, c’est vrai. Oui. Vous devenez très relâchés, c’est ça. Je l’avoue.

47. Et quand notre nation en arrive au point où… L’autre jour je me tenais là, et j’était
choqué, quand dans ma chambre d’hôtel, qui est juste en face du YMCA… et on était en
train d’apprendre le rock’n’roll aux jeunes enfants dans le YMCA. Pas seulement là-bas,
mais on l’enseigne même dans les églises. Comment pouvez-vous vous attendre à quelque
chose d’autre, si ce n’est qu’à une bande d’adolescents voyous et tapageurs comme nous
en avons aujourd’hui.
On appelle ça des parents… Qu’est-ce qu’un parent moderne, un membre d’église moderne
? Je n’aimerais pas vous blesser, mais je ferais mieux de vous faire un peu peur un tout
petit peu maintenant au lieu que vous soyez perdu un jour en enfer, et que moi je sois
responsable de cela.
Où trouvez-vous maman ? Dans une partie de cartes. Et papa ? Là dans une piscine. Et
junior ? Là dehors à un–en train de rouler dans sa voiture gonflée, montant et descendant
la route, filant à toute vitesse. C’est le dimanche. Où est la soeur ? A une fête de rock’n’roll.
Et parlez-leur de Dieu, ils diront : « Je suis membre de telle église. Je suis aussi bon que
toi. » Ils n’en savent pas plus au sujet de Dieu qu’un hottentot au sujet d’un chevalier
égyptien. C’est vrai. L’unique chose qu’ils connaissent, c’est le catéchisme ou un credo
d’église, leurs noms sont inscrits dans un registre, et ils ne sont jamais nés de nouveau de
l’Esprit de Dieu. Ce dont nous avons besoin, c’est d’un réveil de la Pentecôte à l’ancienne
mode envoyé de Dieu. Ce n’est pas seulement l’église méthodiste qui en a besoin, où
l’église baptiste, nous en avons besoin parmi les pentecôtistes… ?...

48. Il y a quelque chose qui cloche. Au début, les choses marchaient parce que le
monde–l’église, autrefois, ne se souciait de rien, la vie de gens était consacrée à Dieu, ils
allaient de l’avant. C’est vrai.
Et puis, il y a un autre moyen que le diable utilise pour essayer d’étancher cette soif-là. Il
essaie de vous faire croire que vous êtes en ordre, juste parce que vous êtes un membre
d’église. Frère, ça, c’est l’astuce du diable. Jésus a dit : « Si un homme ne naît de nouveau,
il ne peut en aucun cas entrer dans le Royaume. » Il vous laisse inscrire votre nom dans
un registre. Il va vous laisser être baptisé de cette manière-ci, de cette manière-là, en
étant renversé… Que faites-vous ? C’est exactement comme le dit le vieux dicton : « Vous
descendez un pécheur sec et vous vous relevez un pécheur mouillé. » Cela ne vous fera
aucun bien. Peu importe combien on vous a aspergé, on vous a versé de l’eau dessus, on
vous a baptisé, on vous a immergé, ou que sais-je encore. Cela ne vous fera aucun bien.
Ce n’est pas ce dont l’Eglise a besoin ce soir. Elle n’a pas besoin de discuter pour savoir si
nous devrions être aspergé, ou si on doit nous verser de l’eau dessus, ou si on doit être
baptisé trois fois face en avant, ou trois fois face en arrière, ou comment… ça, ce ne sont
que des querelles. Que se passera-t-il si nous étions des fils et des filles de Dieu, nous
allions nous conduire en conséquence. C’est vrai. Ce dont nous avons besoin, c’est d’un
réveil à l’ancienne mode.

49. Une fois, moi et mon jeune frère, qui est déjà décédé… Nous nous promenions en
forêt, et nous avions trouvé une vieille tortue d’eau douce. Je ne sais pas si vous les gens
du Texas vous savez ce que c’est qu’une tortue d’eau douce ou pas. Elle a plutôt une drôle
de marche. Et nous nous sommes dit que c’est la chose qui a l’apparence la plus drôle que
nous ayons jamais vue. Ainsi je… Quand nous nous sommes approchés d’elle… Elle me
rappelle beaucoup des gens qui vont dans une réunion de l’Evangile, aussitôt que quelque
chose est dit, quelque chose qu’ils n’apprécient pas, ils se lèvent et sortent, juste en pleine
prédication. C’est juste comme cette vieille tortue qui s’était repliée dans sa carapace. Eh
bien, j’ai dit : « Tu sais… Je me demande comment on pouvait la forcer à courir encore. »
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Alors, j’ai dit : « Maman me fait courir par une baguette. » Alors je suis allé prendre une
baguette. Et j’ai fait simplement pleuvoir des coups sur lui. Cela n’a fait aucun bien. Vous
ne pouvez pas y aller de cette manière-là. Certainement pas, vous ne le pouvez pas.
Ainsi, j’ai réfléchi un tout petit peu, et j’ai dit : « Eh bien, il y a un petit ruisseau qui coule
par là. Il faut qu’elle marche sinon je vais la noyer. » Je l’ai amenée là-bas et je l’ai jetée
dans l’eau. Il n’y a que quelques glouglous qui sont montés et c’est tout ce qu’il y a eu.

50. Vous…?... Cela ne change rien. Vous pouvez les baptiser de cette manière-ci ou de
cette manière-là. Cela ne fait aucun bien. Vous ne pouvez pas les amener à courir pour le
Seigneur comme cela. Mais savez-vous ce que j’ai fait ? J’ai fait un petit feu et j’ai posé la
pauvre créature dessus ; alors, elle s’est vraiment mis à courir. Ce dont nous avons besoin
ce soir, ce n’est pas d’une discussion sur un petit credo, mais ce dont nous avons besoin
ce soir, c’est du Saint-Esprit et du feu…?... La puissance de Dieu à l’ancienne mode pour
consumer le péché, l’égoïsme, le manque de respect l’un envers l’autre, consumer cela en
nous par l’amour de Dieu. C’est vrai. Ta…

51. « Mon âme a soif de Toi dans une terre aride et desséchée ; je désire voir Ta
Puissance comme je l’avais vue. » Si cela n’est pas une image de l’Eglise pentecôtiste… «
Je désire voir cela, comme je l’avais vue autrefois dans Ton sanctuaire, il y a longtemps,
quand les vieux saints avaient l’habitude de marcher le long de l’allée et de crier et… Oh !
je me rappelle cela dans mon église baptiste à l’époque.
Eh bien, je proviens d’un groupe de baptistes. Docteur Davis peut être ici même ce soir ;
il vit ici à Fort Wayne ou Fort Woth… C’est lui qui m’a baptisé dans l’Eglise baptiste. Et nous
voyions les gens marcher le long des allées et les femmes pousser des cris… elles avaient
ces très grandes et longues épingles à cheveux qu’on avait à l’époque, et elles volaient
partout dans la salle. Vous ne pouvez plus trouver assez de cheveux sur la moitié de
femmes dans la salle pour y mettre une épingle à cheveux. Il y a quelque chose qui cloche.
Mais elles avaient l’habitude de le faire dans l’Eglise baptiste. Et nous professons être un
peu plus haut que cela. Elles les ont tout coupés.

52. Vous savez, la Bible dit que leurs cheveux, c’est leur gloire. Ce n’est pas étonnant
que toute la gloire soit partie. Ainsi nous… Mais je ne le dis pas pour plaisanter. Ici, c’est
la chaire. Ça, c’est l’endroit où le jugement doit venir. Je prêche la Bible. Je vous dis ce
que Dieu dit dans Sa Parole. Et comme le monde s’est infiltré et a pris l’orgueil et l’a placé
dans les coeurs des gens, dans les hommes et les femmes, c’est la raison pour laquelle
nous désirons encore voir ces jours-là. « Mon âme a soif de Toi. » Oh ! la la !...
David aussi a dit : « Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme
soupire après Toi, ô Dieu. » Je pense à cela, à ce Psaume, comment David chassait dans
les bois. Il faisait la chasse aux lions et aux ours, et ainsi de suite avec sa fronde. Comment
il observait la nature… et il savait comment chasser la biche, peut-être qu’il était élevé
dans cela. Et comment la biche… Quel animal rusé il est. Et comment une biche… On a le
loup ou le chien sauvage. En Afrique, c’est le chien sauvage. Et en Amérique, on l’appelle
le loup.

53. Vous pouvez voir une–une petite biche en train de paître, et le–le loup va
furtivement se glisser là. Et s’il peut attraper cette biche-là qui est distraite, juste comme
le diable attrape l’église qui est distraite… Ce que l’église désire c’est un immense et beau
bâtiment et un pasteur qui sort droit d’un cimetière ou plutôt d’un séminaire, qui peut
dire… (Excusez-moi, je ne voulais pas dire cela), qui peut se tenir, vous savez, et qui peut
dire : « Ahhh-men, » magnifiquement. Frère, et quant à l’habillement…Qu’y a-t-il avec le
monde aujourd’hui ? Nous avons beaucoup d’évangélistes à la Hollywood aux cheveux
frisés, au lieu d’avoir des… à l’ancienne mode envoyés de Dieu …?... C’est vrai. Ils courent
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ça et là sur le plancher, et on a à l’estrade des femmes portant de grosses boucles d’oreille,


qui pendent à leurs oreilles…?... et tout, et ces robes dans lesquelles elles sont moulées,
ce n’est pas étonnant que le pécheur… Ecoutez, nous avons besoin des femmes à l’ancienne
mode. Je sens cette religion à l’ancienne mode, reçue au fond du bois, claire et qui tue le
péché. C’est vrai, frère. Elle ne vous blanchira pas, mais elle vous lavera et vous rendra
blanc. C’est vrai. Elle vous purifiera complètement de l’intérieur à l’extérieur. Et Jésus-
Christ est l’Auteur de ce salut–la Fontaine ouverte pour tous.

54. Et si vous voyez ces petites biches, quand ce chien s’approchent d’elles à la
dérobée… Bien des fois ici au Sud, en Louisiane, on–on fait la chasse à la biche avec des
chiens. J’ai toujours pensé que c’est cruel. Si le chien va chasser, laissez-le aller. Allez
chasser seul, et laissez donc le chien à la maison. Ainsi donc… quand le … J’ai observé les
chiens quand ils poursuivent ces petites biches. Et David a vu cela. Et alors quand le–quand
le chien se glisse furtivement là, et qu’il voie cette petite biche, il a une–une astuce pour
lui couper la gorge. Le loup a deux crocs de sang, qui sont saillantes comme cela. Il observe
la biche, et lorsqu’il est près d’elle, il va courir très vite, il va s’élancer à toute vitesse, si
rapidement que la biche ne le verra même pas, il attrape la biche et lui enfonce ces crocs
dans une veine jugulaire, comme un serpent, juste derrière son oreille, la veine qui est
juste derrière son oreille. Et puis, le loup va balancer sa proie en jouant de son poids et
avec ses crocs saillants comme deux couteaux, il coupe la gorge de cette biche et descend
avec elle jusqu’au sol, parce que la biche était distraite.

55. C’est ce qu’a été le problème de l’église : elle est distraite. Il y a quelque chose qui
ne marche pas. Oh ! frère Caddie avait l’habitude de chanter un chant : « Nous avons
laissé tomber les barrières. Nous faisons des compromis avec le péché. Nous avons laissé
tomber les barrières. Les brebis sont sorties, mais comment les boucs sont-ils entrés ? »
Nous avons laissé tomber les barrières, c’était tout ; nous avons commencé à faire des
compromis. Les trois…
L’assemblée, quand elle procède au vote de leur pasteur, elle choisira un petit homme
subtil, au lieu d’un homme, qui est vraiment un prédicateur qui soit une boule de feu et de
soufre, à l’ancienne mode, qui manie l’Evangile avec ses mains nues au lieu de porter des
gants à la Hollywood.
Le monde est plein de cette évangélisation à la Hollywood. Nous n’en avons pas besoin
parmi les pentecôtistes. Laissez cela aller là où il a sa place. Nous avons besoin de ce genre
de prédicateurs à l’ancienne mode, le genre de prédicateurs qui connaissent la Vérité, qui
mettent la cognée à la racine de l’arbre et qui laissent les copeaux tomber là où ils peuvent.
C’est vrai. Retournez à l’Evangile, frère. Je préférerais être dans un groupe de cinq
personnes qui vont à la rencontre de Jésus plutôt que d’en avoir un de cinq mille et ne pas
aller à Sa rencontre. C’est différent. La sincérité et la pureté de l’âme et du coeur dans la
Présence de Dieu… [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

56. Eh bien, si cette petite biche est vraiment rapide, et qu’elle se tienne là, comme
beaucoup de ces petites filles ce soir, ces petites filles effrontées qui descendent la route…
Et elles vont sortir là, étourdie, et elles se mettent beaucoup d’histoires au visage, elles se
fardent, et arrangent leurs sourcils comme cela. Si Dieu voulait que vous soyez ainsi, Il
vous aurait créée comme cela pour commencer.
Et vous savez, ici parmi les pentecôtistes, on nous enseigne, j’ai entendu cela plusieurs
fois, l’émancipation de la femme. Qu’est-ce que… Qu’est-ce qui vous prend ?
L’émancipation ? Christ libère du monde. C’est l’unique émancipation que nous avons. Je
pense que vous les hommes qui enseignez cela, vous avez besoin d’une libération des liens
de la prison. Il n’y a pas d’émancipation, si… Lorsque vous êtes en Christ… Si vous aimez
le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous. C’est ce que
dit la Bible.
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57. C’est une forte déclaration pour un calviniste, mais je suis un calviniste tant que
Calvin s’en tien à la Bible. Quand il sort de la Bible, je deviens alors un arminien. Je crois
dans la Vérité authentique de la Parole de Dieu. Tous deux avaient quelque chose, mais
chacun a suivi sa branche et ils sont morts là. Mais la Bible est toujours vivante dans le
tronc de l’arbre. C’est tout à fait vrai. C’est dans le Saint-Esprit. Si vous aimez Dieu, vous
n’aurez même pas le désir de faire ces choses-là. C’est vrai. Si vous en avez le désir, alors
l’amour de Dieu n’est plus en vous. C’est ce que déclarent les Ecritures.
Mais maintenant, frère, si vous remarquez comment les églises sont plongées dans ce
fatras de gaieté, qu’est-il arrivé ? Autrefois, vous ne permettiez pas à vos enfants d’aller
au cinéma. Le diable vous a eu là-dessus. Il a placé la télévision dans votre maison. C’est
vrai. C’est ce qu’il a fait. Eh bien, je–je ne dis pas qu’il n’y a pas de bonnes choses qui
passent à la télévision, mais il faut veiller pour savoir quand l’allumer et quand l’éteindre.
Si vous avez Oral Roberts ou quelqu’un d’autre qui passe ou quelque chose de bien comme
cela, suivez cela. Si ce n’est pas le cas, éteignez-la. C’est vrai. Si vos enfants ne veulent
pas y aller comme cela, gardez la chose loin de votre maison. C’est tout à fait vrai. Vous
feriez mieux de vous en débarrasser. C’est vrai.
Dans toutes vos histoires-là, c’est comme si la chose entière est–la chose entière est
malade de la tête aux pieds, ce n’est qu’un amalgame de péchés et de souillures ; c’est ce
à quoi ça ressemble. Ce n’est pas étonnant que la Bible ait dit : « Toutes les tables sont
pleines de vomissements. » C’est vrai.

58. « A qui enseignerai-je la doctrine ? Qui peut… Est-ce à ceux qui viennent d’être
sevrés… ? » Allez simplement et dites-leur…
« Eh bien, gloire à Dieu, je–j’ai le Saint-Esprit. J’ai fait ceci, cela. » Si vous ne vivez pas
cela, frère, il y a quelque chose qui ne va pas. C’est vrai.
Avoir soif de Dieu… Oh ! comme cela peut être… Même un prophète a dit qu’il avait même
rougi quand il était entré dans la Présence de Dieu. Que pense le Saint-Esprit ce soir, Lui
qui est notre Tuteur qui se présente devant le Père pour donner le rapport sur la condition
de l’Eglise, comment nous les ecclésiastiques ce soir, nous permettons que de pareilles
choses continuent à passer à notre chaire, comment nous laissons tomber les barrières,
nous les gens, nous qui prétendons connaître Dieu tout en laissant ces choses passer
comme si de rien n’était. Que Dieu soit miséricordieux envers nous. Il nous fera répondre
au jour du jugement pour ces choses. C’est vrai.

59. Eh bien, considérons la chose juste une minute. Cette petite biche, si elle est très
rapide, et qu’elle voie le–le … Si le–le loup fait un certain mouvement, et qu’elle voie le
loup venir, elle peut se sauver. Et parfois elle peut faire des manoeuvres. Eh bien, l’autre
endroit, l’un des meilleurs endroits pour le loup s’il n’arrive pas à lui couper la gorge… S’il
lui coupe la gorge, la biche ne fera que quelques sauts et elle meurt, c’en est fini d’elle. Et
juste quelques minutes après, tous les chiens s’abattront sur elle, et vous ne ramasserez
que les os décharnés.
Et écoute, chère soeur, cette première petite fête de rock-and-roll où tu t’es rendue
furtivement sans en avertir maman (Voyez-vous ?), et où tu as pris le… Tu–ta maman t’a
enseigné à ne pas porter ces histoires et à–à ne pas faire des choses que tu fais, mais toi,
tu penses que c’est agréable. Ecoute, ma chère soeur, et toi, mon ami… Toi qui fumes cette
petite cigarette, et qui le fais parce que des jeunes gens t’ont traité d’efféminé. Je
préférerais être traité de tous les noms tant que je sers Christ. Qu’est-ce que ça change ?
C’est vrai. Et quoi ?

60. Vous sortez là-bas… Et pourquoi faites-vous ces choses ? Si votre mère vous laisse
porter ces shorts et tout dans la rue, une petite jeune fille comme vous, elle devrait avoir
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honte d’elle-même. C’est tout à fait vrai ; elle doit avoir honte. Mais pourquoi faites-vous
cela, chérie ? J’aimerais vous poser une question. J’ai deux filles qui sont aussi assises ici
même. J’aimerais vous poser une question. Pourquoi le faites-vous ? Vous ne le faites pas
pour apparaître devant Dieu. Vous n’appliquez pas cette manucure au visage… J’ai commis
une erreur là-dessus, ce n’est pas cela, peu importe ce que vous appliquez, c’est du
maquillage… Tout–tout ce que vous… Vous n’appliquez pas cela au visage pour rencontrer
votre mari. Si vous avez un mari qui veut vous voir être parée comme cela, vous êtes
quitte. C’est en ordre. Vous faites cela pour apparaître devant les hommes. Vous ne vous
en rendez pas compte. Vous portez ces pauvres petites robes, comme je vous l’avais dit
l’autre soir, ces petites robes sexy, et ces garçons vous sifflent, on appelle cela le sifflet du
loup. [Frère Branham illustre cela.–N.D.E] C’est l’enfer (C’est très exact, c’est très exact.)
qui vous pourchasse. Et il vous attrapera si vous ne faites pas attention. Eloignez-vous de
lui rapidement. Et si vous pouvez esquiver assez rapidement, vous allez vous échapper.

61. Si le chien ne peut pas attraper la biche par la gorge, il va l’attraper à l’endroit
suivant, juste par le flanc. Il y a un endroit, juste sur le flanc, parce que c’est le milieu de
l’équilibre de la biche. La partie postérieure est plus lourde que le devant. Ça, nous le
savons. Et avec le cou, et tout, cela met la biche en équilibre.
Et alors, si le loup peut l’attraper et manquer le cou, et s’il peut l’attraper encore,
rapidement, et attraper la biche par le flanc, il va se mettre à la balancer de gauche à
droite comme cela, jusqu’à ce qu’il atteigne le milieu de la biche, il va la balancer. La
pauvre petite biche ne saura plus se tenir sur ses pattes. Puis il le jettera par terre. Juste
dans quelques minutes, elle est envahie.
C’est comme cela que le diable s’y prend, soeur. C’est comme cela qu’il s’y prend, mon
ami. C’est vrai. Et la première chose vous savez, vous vous êtes fixés un rendez-vous avec
ce petit garçon, vous avez commencé avec votre première partie de rock-and-roll. Qui a
déjà entendu… ? Et vous essayez tous de dire …

62. Et ces gens qui vous disent qu’Elvis Presley (je n’ai rien contre l’homme ; seulement,
c’est un pécheur, mais j’aimerais dire quelque chose.), qui vous disent qu’il est croyant du
fait qu’il chante les cantiques sur le… » Frère, cela… je… Voici mon opinion. Il n’y a qu’une
différence entre Judas Iscariot et Elvis Presley. Il était un garçon pentecôtiste. Judas
Iscariot lui, avait trente pièces d’argent ; Elvis Presley a un parc de Cadillacs et un million
de dollars. Tous deux ont trahi. C’est tout a fait vrai. Le plus grand séducteur que je
connaisse de… Pat Boon et tous les autres. C’est exact. Arthur Godfrey et Pea Picker Ernie
n’importe qui d’autre, si vous écoutez des histoires pareilles, cela montre que c’est le diable
qui satisfait cela avec cette soupe à cochons de Hollywood. Toute–toute cette loyauté que
vous témoignez à des vauriens de ce genre, vous auriez dû avec ça donner cette gloire au
Dieu Tout-Puissant, car Il est un Dieu jaloux. Ces gars peuvent se tenir là, chanter des
cantiques, et vous faire couler des larmes aux yeux comme des crocodiles.

63. Ecoutez, j’ai élevé des brebis. Il faut un véritable berger pour distinguer le cri du
loup et celui de l’agneau ou de la chèvre. Tous poussent des cris identiques. Cela n’a rien
à voir. Si votre vie ne s’accorde pas avec la Bible de Dieu, vous êtes toujours dans les
ténèbres. C’est vrai.
Et la chose la plus trompeuse qui soit dans ce monde, elle est religieuse, elle se revêt de
la religion.
On avait un gars là-bas à Louisville qui s’est suicidé l’autre jour. Il allait danser le rock-
and-roll toute la nuit, et allait à ces grandes fêtes et revenait le dimanche matin, pour
prêcher l’Evangile à la radio. C’est une disgrâce. Ce n’est pas étonnant que les pécheurs
ne sachent quoi faire. Il n’est pas étonnant qu’ils ne sachent quoi en dire. Oui. Et ils disent
: « Eh bien, ils obtiennent des résultats. » Dieu honorera Sa Parole, même si Elle était
prêchée par une prostituée. Il honorerait Sa Parole ; mais que Dieu vienne en aide à cette
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âme pécheresse qui imite et essaie de faire quelque chose de pareil. Oh ! frère. Vous les
gens, si vous avez échappé au loup, que Dieu bénisse votre âme.

64. Et si le loup n’y arrive pas, il va jeter la biche par terre. Et dans quelques minutes,
la biche est dévorée. Votre moralité va être ruinée, ma soeur, mon frère ; vous ne la
rachèterez plus tant que vous vivrez sur cette terre. Peu importe combien vous pardonnez…
Il n’y a pas longtemps ici, une belle jeune femme ne faisait que pleurer, à l’autel. Et nous
n’arrivions pas à l’amener à accepter Christ. Et je suis allé là derrière dans une petite–dans
une–dans une salle et je lui ai posé la question, disant : « Qu’y a-t-il, soeur ? »
J’ai vu qu’elle attendait famille. Et elle m’a dit ; elle a dit : « Frère Branham, j’ai été élevée
dans une famille chrétienne. Je–je–je–mon père et ma mère sont des nazaréens. Et nous
avons strictement été élevés dans une vie de sainteté. » Et elle a dit : « Une fois, je suis
sortie avec un petit garçon, qui portait un flacon dans sa poche. Il était très populaire. Il
pouvait danser et … Moi, je ne voulais pas faire des choses pareilles. J’ai été élevé
différemment. » Et elle a dit : « Maintenant, Frère Branham, a-t-elle dit, alors la première
chose, vous savez, il … j’ai pris une gorgée de Coca un soir, et cela était corsé avec une
espèce de–de comprimé qui vous fait perdre conscience, et a-t-elle dit, je me suis réveillée
dans une chambre de motel, le lendemain matin. Ma moralité était ruinée. Et voici que
j’attends famille. »
J’ai dit : « Dieu va te pardonner, jeune fille. »
Elle a dit : «Oui, Frère Branham ; c’est vrai. Il va me pardonner, mais cette marque, je la
porterai tout au long de ma vie. » C’est vrai. Cela va vous hanter. Vous ne regarderez
jamais votre mari en face et être encore innocente. Vous ne regarderez jamais votre femme
en face et être encore innocent. Dieu va vous pardonner, mais cette cicatrice est là.

65. Ecoutez, quand cet animal est attrapé, cette petite biche, et que le loup la secoue…
Eh bien, si la biche et vraiment maligne, si jamais vous l’avez observée, la biche peut se
tourner si rapidement et sauter, loin de côté, et si le loup ne l’a pas attrapée avec une forte
prise, il va arracher une grande poignée de chair, ou plutôt une grande bouchée, du flanc
de la petite biche.
Alors, que doit faire la petite biche, pendant que le loup va se jeter à terre et se vautrer là
avec cette bouchée de viande ? Le sang va commencer à gicler. Et à ce moment-là, la
biche doit se mettre à courir pour sauver tout ce qui est restée en elle, et tout.
Et ô Dieu, s’il y a un temps où les femmes et les hommes devraient courir, c’est ce soir,
courir pour se sauver. Courez pour sauvez votre vie, cher ami. Courez pour sauver votre
vie.

66. Remarquez, c’est ici que David a pris la chose. Eh bien, mon frère chasseur qui est
ici, qui que vous soyez, vous savez cela ; cette petite biche saignante comme cela doit
atteindre l’eau. J’en ai blessé moi-même, j’ai tiré sur elles, sur la montagne ou dans la
vallée, un seul coup, et observez-la… Si jamais elle atteint l’eau, vous ne l’attraperez plus.
Elle va simplement continuer à traverser en faisant des va-et-vient. Elle ne quittera plus
cette eau-là. Elle va juste continuer à faire des va-et-vient, et vous ne pourrez pas
l’attraper s’il vous le faut, s’il arrive qu’elle s’arrête pour prendre une bonne gorgée d’eau,
elle va filer sur la colline, puis elle retourne, revenant sur ses pas. Vous pouvez la traquer
tout au long de la journée, mais si elle trouve de l’eau, elle est–elle restera en vie. Mais si
vous la gardez loin de l’eau, elle va mourir.

67. Et oh ! frère, David a dit : « Comme une biche soupire après des courants d’eau,
ainsi mon âme soupire après Toi, ô Dieu ! » Je dois Le trouver sinon je vais périr. J’ai été
blessé, et je dois trouver les Eaux de la Vie, autrement je vais périr. « Ô Dieu, j’ai adhéré
aux églises. J’ai avancé par saccades de ci de là, d’un piège à l’autre. » Mais si vous ne
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trouvez pas les Eaux de la Vie, vous allez périr. Mais une fois que vous entrez dans cette
Eau, c’est là qu’Il est. Il va rester là où se trouve une fontaine de la Vie, qui coule librement
ce soir dans la maison de David, dans la cité de Dieu. Ô peuple, dépêchez-vous, vous qui
avez faim et soif. « Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés
! » Vous voyez, c’est obligatoire. Ce soir, si vous êtes blessé, si le démon a arraché de
vous un gros morceau de chair et que vous avez soif et que vous vous demandez, disant
: « Que puis-je faire, Frère Branham ? » Si Jésus venait ce soir…

68. Ecoutez, il n’y a rien qui nous garantit qu’on ne pourra pas être réduit en cendres
le matin. C’est vrai. Juste une gorgée de plus de Vodka et ça entraîne tout. Et l’une de ces
bombes, où est-ce que cela va exploser ? Elle ira jusqu’à 175 pieds [environ 57 mètres–
N.D.T.] de profondeur, sur une étendue de 150 miles carrés [240 km2–N.D.T.]. Dans quelle
sorte d’abri allez-vous entrer ? « Il n’y en a pas. » Pardonnez-moi. Il y en a un. C’est fait
de plumes, nous demeurons sous Ses ailes. Avant que cela n’arrive, l’Eglise sera partie à
la Maison.

69. Si ce soir, vous avez été blessé, ma soeur ou mon frère, allons maintenant à la
Fontaine, alors que nous inclinons la tête juste un moment. N’essayez pas de substituer
quelque chose à cette soif-là. Ecoutez, mon enfant, mon frère et ma soeur. J’apprécie le
fait que vous soyez baptiste, méthodiste, pentecôtiste ou nazaréen. C’est bien. J’apprécie
cela. Mais oh ! mon enfant, écoutez un prédicateur à l’ancienne mode qui croit que Dieu
vit et règne. Vous ne serez jamais satisfait avant que vous ayez bu l’Eau de la Vie. Alors
vous ne quitterez plus jamais cette Fontaine. Venez, et goûtez.
Pendant que nous attendons, juste un moment. « Il y a une fontaine, remplie de Sang. »
Ne voulez-vous pas vous approcher de cette Fontaine, là même où vous êtes, dans votre
siège, maintenant ? Je veux que vous soyez sincère. Il faut que je vous parle de quelque
chose que je ressens dans mon coeur, tout de suite, Maintenant même, je vais vous poser
une question. Votre besoin a-t-il été vraiment satisfait ? Votre amour est-il toujours porté
vers le monde, vous–êtes-vous vraiment content d’entendre les choses du monde ou de
faire les choses du monde ? Si c’est le cas, voulez-vous simplement lever la main ?
Maintenant, que chaque oeil soit fermé, s’il vous plait.

70. Voulez-vous simplement lever la main vers Christ, et dire : «Ô Christ, j’ai soif de
Toi. Mon coeur Te désire ardemment comme une biche blessée soupire après des courants
d’eau. Je veux avoir un caractère ici en tant qu’étranger ici bas, je veux me conduire
comme un véritable croyant. Ô Dieu, que je sache que Tu es mon Père, et je veux être sûr
que Tu es avec moi ce soir. Je veux me rassurer de Ta Présence, comme l’aigle dont nous
avons parlé l’a fait avec ses ailes. Je veux me comporter comme ce nègre-là qui était
étranger dans un pays étranger, mais qui savait qu’il était le fils d’un roi. J’aimerais fuir
loin de l’ennemi, Seigneur. Je–je m’efforce de m’échapper, ce soir. Je dois Te trouver, ô
Dieu. J’ai soif ; je dois Te recevoir ou mourir. » Ressentez-vous cela ? Si vous ressentez
cela, voulez-vous lever la main vers lui et dire : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi.
» ? Levez simplement la main où que vous soyez, et dites : « Sois miséricordieux envers
moi, ô Dieu. J’ai besoin de Toi. »
Et là dehors ? Que Dieu vous bénisse. Levez la main, et dites : « Ô Dieu Sois miséricordieux
envers moi. J’ai maintenant besoin de Jésus. » Vous voulez dire qu’il n’y a qu’une seule
personne ici ce soir dans cette salle contenant environ mille personnes ? Deux ? Merci, et
que Dieu vous accorde ces bénédictions. Trois, là derrière. Je pense qu’il y a environ six
cent, sept cent personnes ici, c’est possible, et vous voulez dire… Que Dieu vous bénisse,
jeune homme. C’est bien.

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71. Si vous êtes vraiment sérieux du plus profond de votre âme, si votre âme a soif de
Dieu, levez la main, et dites : « Ô Dieu, vraiment… » « Oh ! je suis pentecôtiste, Frère
Branham. J’ai reçu le Saint-Esprit. J’ai parlé en langues. Je–je–j’ai dansé en Esprit. J’ai
chanté en Esprit. » Tout ça, c’est très bien. Frère, je n’ai rien contre cela. C’est tout a fait
vrai. C’est Dieu. Mais attendez une minute. Si vous n’avez pas reçu cette véritable chose
qui vous garde…

72. Il n’y a pas longtemps, un monsieur est venu vers moi, et il a dit qu’il était allé
partout.
Il est allé chez Billy Graham, et celui-ci a dit : « Levez la main, et recevez Christ. » L’homme
a continué : « Billy a dit : ‘Maintenant, c’est terminé.’ » Il a dit : « Je suis allé chez les
méthodistes libres ; ils ont dit : ‘Si vous n’êtes pas assez heureux, au point de crier, vous
ne l’avez pas reçu.’ Alors, j’ai prié jusqu’à ce que j’étais assez heureux pour crier. Il a dit
: « Je ne L’ai pas reçu. » Il a dit : « Je suis allé chez un autre évangéliste (Je n’aimerais
pas citer son nom, vous le connaissez très bien ici) ; il m’a dit que je ne l’avais pas reçu
tant que je n’avais pas parlé en langues. » Le monsieur a continué : « Je suis resté là et
ils sont restés là avec moi, fidèles, jusqu’à ce que j’ai parlé en langues. » Et il a dit : «
Frère Branham, je ne l’ai toujours pas reçu. »

73. « J’aimerais vous dire quelque chose », j’ai dit : « Cher ami (Voyez-vous ?), qu’est-
ce que tu m’as dit il n’y a pas longtemps, qu’il fut un temps où tu étais un grand homme
d’affaires. Tu avais dit à ta femme que tu étais parti à l’Eglise pentecôtiste et que tu étais
sauvé. » Il a dit : « Elle a reçu l’Esprit sur elle. Elle a mené une vie différente. » Il a dit :
« Elle est partie dans le Tennessee. » Il venait de Minneapolis. Il a dit qu’il était parti dans
le Tennessee, c’est ce qu’elle avait fait, elle était partie à une réunion, à une réunion sous
tente. Et il était en train de vendre une voiture, quand il est rentré, il a introduit la main
dans sa poche pour prendre les clés pour les donner à la dame, et il a trouvé un petit billet,
sur lequel il était écrit : « Où passeras-tu l’éternité ? »

74. Il a dit : « Après tout, j’ai plus de quarante ans. Il faut que ce problème soit réglé.
» Il a dit à sa femme qu’il ne s’était jamais soucié de Dieu. Il a dit qu’il n’était allé à l’église
qu’une seule fois de sa vie. Il a jeté ce petit billet dans la poubelle. Il ne pouvait pas s’en
débarrasser. Il l’a ramassé à nouveau. Il l’a jeté une fois de plus et l’a encore ramassé. Il
a vendu ses voitures et a donné l’argent aux prédicateurs, essayant de trouver grâce
auprès de Dieu.
J’ai dit : « Monsieur, vous n’aviez pas à vendre vos voitures pour donner l’argent aux
prédicateurs. Vous n’aviez pas à faire cela. J’ai dit : « Vous avez déjà reçu Christ. »
Il a dit : « Frère Branham, ai-je reçu Christ quand j’ai parlé en langues, quand j’ai crié, ou
quand j’ai élevé les mains ? »
J’ai répondu : « Rien de tout cela. Vous L’avez reçu quand Il a frappé à votre porte. Qu’est-
ce qui vous a changé ? Qu’est-ce qui faisait la différence ? Vous descendiez le chemin, en
allant seulement dans un sens sans vous soucier de Dieu. » J’ai dit : « Crier, c’est très
bien. Elever les mains, c’est très bien. Parler en langues c’est très bien. Toutes ces choses
sont bonnes, c’est très bien, mais ce n’est pas toute la vérité. Recevoir Christ, c’est recevoir
la Personne de Christ, c’est ça recevoir Christ. Alors, les cris, les parlers en langues se
produisent après cela.

75. Recevoir Christ. Vous pouvez crier, parler en langues et ne pas L’avoir. Ainsi donc,
si vous n’avez pas ce sentiment qui fait que vous éprouvez de la compassion pour votre
frère, qui est membre de l’Eglise de Dieu, alors que vous, vous êtes membre de l’Assemblée
de Dieu, ou vice versa, ou membre des unitaires, des binitaires, des trinitaires, peu importe
ce que c’est, et membre de n’importe laquelle de ces églises… Si le–si les barrières
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dénominationnelles ne sont pas brisées dans votre coeur, il y a quelque chose qui cloche.
Si vous ne pouvez pas laisser le champ libre à votre frère, si vous ne pouvez pas l’aimer
malgré tout ce qu’il a fait ou ce que vous pensez de lui, si vous l’aimez, vous irez chez lui
dans un esprit de bonté, d’amour. Aimez-le de toute façon. Restez bienveillant envers lui.
Soyez simplement très salé, et alors il aura soif d’être comme vous.
C’est ce dont je parle, Eglise pentecôtiste. C’est ce dont nous avons besoin. C’est la raison
pour laquelle nous ne pouvons pas avoir des services de guérisons comme nous devrions
en avoir. Nous devons avoir une fondation où reposer cela. Dieu ne peut pas le faire avant
que l’Eglise revienne là où elle devrait être. Nous ne pouvons pas y arriver, cher ami. Nous
devons encore avoir la vie qui agit. Tant que vous n’avez pas la vie, vous ne pouvez rien
faire.

76. Le forgeron ne peut pas battre son fer avant que ça devienne vraiment chaud et
rouge. Alors, il le place sous le marteau à bascule. Ce qu’il faut à l’église ce soir, c’est un
appel à retourner à Dieu. Nous mettons… Un pécheur peut s’avancer à l’autel… j’ai assisté
à beaucoup de nos réunions pentecôtistes ; les saints se teindront là à observer l’homme,
en disant : « Eh bien, c’est très bien. » Pitié, oh ! Bonté Divine.
Eh bien, dans la vieille Eglise baptiste de Kentucky, je me souviens d’un pauvre garçon, un
pécheur, qui est venu du dehors, ou de quelque part, il n’était jamais allé à l’autel ; quinze
ou vingt hommes âgés se sont mis autour de lui, en disant : « Ô Dieu, combien nous Te
sommes reconnaissants ; nous prions pour ce garçon depuis des années. » Certainement.
Ils l’ont pris là à l’autel et ils l’ont tapé dans le dos jusqu’à ce qu’il est arrivé à la chose.
C’est vrai. C’est encore ce qu’il nous faut ce soir.

77. Ce dont nous avons besoin, c’est de l’intérêt. Vous savez, le Saint-Esprit n’a marqué
que ceux qui soupiraient et gémissaient à cause des abominations qui se commettaient
dans la ville. C’est ce que dit la Bible.
Qu’en serait-il s’Il venait à Dallas ce soir ? Pouvez-vous aller et imposer les mains à
n’importe quel pentecôtiste, baptiste, presbytérien, luthérien, qui gémie, prie, et jeûne,
jour et nuit à cause des péchés qui se commettent dans la ville de Dallas ? Réfléchissez-y
maintenant : Est-ce votre foyer où celui du voisin ? Où est cet ami ? Gardez cela à l’esprit.
Réfléchissez-y maintenant.
Voulez-vous lever la main, et dire : « Ô Dieu, place en moi une telle faim pour les âmes
afin que je ne puisse me reposer ; je dois faire quelque chose à ce sujet. Ô Dieu, que j’aie
soif de Toi. »
« Peut-être que le démon m’a mordu et m’a empoisonné, sans que je le sache, mais mon
âme n’est pas à la hauteur de cela. » Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous
bénisse. C’est bien. Que Dieu vous bénisse, là, madame. C’est bien ça. Levez la main.
N’ayez pas honte, certainement pas. Si vous avez honte de Lui… Que Dieu vous bénisse,
jeune homme. Si vous avez honte… Que Dieu vous bénisse là-bas, madame. Que Dieu
vous bénisse là-derrière, monsieur. C’est bien.
« Si vous avez honte de Moi… » Quoi ? Qui est-Il ? Le Saint-Esprit, qui se meut juste ici
dans la salle. C’est Lui. Très bien. C’est terminé ? Je voudrais prier. Que Dieu vous bénisse,
vous jeune homme. Priez pour que Dieu bénisse votre petite âme, chéri, qu’Il fasse de
vous un grand homme. Que Dieu vous bénisse là-bas, chère soeur, vous êtes juste au
tournant de votre vie, que Dieu vous bénisse.

78. Avec vos têtes inclinées, j’aimerais dire ceci. J’ai eu le privilège d’aller en Inde il y
a quelques–il y a environ deux ans. Il y avait un article dans le journal qui disait : « Les
tremblements de terre doivent être terminés. En Inde on n’a pas des clôtures et autres
comme vous en avez ici au Texas et aux environs. Leurs clôtures sont faites en pierres. Et
à la veille du tremblement de terre, tous les petits oiseaux qui vivaient dans ces clôtures
et ces rochers et… se sont envolés et ont fui dans les bois. Toutes les brebis, et tous les
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bétails qui restaient à l’ombre près des murs ont quitté pour se tenir au soleil. Pourquoi ?
Dieu était en train de leur Parler. Ces murs allaient tomber. Et ils sont restés là jusqu’au
deuxième jour, et puis ils sont tous revenus. Les gens ont su que c’était là un signe
montrant que le tremblement de terre s’était arrêté.
Si Dieu peut parler à un animal, à un petit oiseau pour qu’il s’envole et qu’il reste en
sécurité, à un animal pour qu’il s’en fuie et qu’il aille en plein dans le champ, et qu’il
s’éloigne des murs, combien plus le Saint-Esprit peut vous parler ce soir, disant : « Sortez
de cette Babylone moderne. Sortez de toute cette confusion et–et de la soi-disant religion
d’aujourd’hui. Envolez-vous et fuyez jusqu’en plein milieu de–de la grâce de Dieu. Envolez-
vous et fuyez jusqu’à la croix et accrochez-vous-y, et dites : « Ô Jésus, sauve-moi. »

79. Dieu peut avertir les animaux comme Il l’a fait du temps de Noé, et Il le fait encore
aujourd’hui. Il peut certainement avertir les gens qui ont le Saint-Esprit. Et sachant qu’à
une certaine heure, d’ici peu, cet Amérique doit subir les jugements… Si Dieu ne juge pas
l’Amérique, Il sera obligé de ressusciter Sodome et Gomorrhe et leur demander pardon
pour les avoir brûlées. L’Amérique est tombée aussi bas que l’était Sodome en ce temps-
là. Et un Dieu juste ne peut pas supporter cela. C’est ma nation, oui, mais elle est pourrie
jusqu’à la moelle.
Ce n’est pas le communisme qui nous détruit. Non, non, c’est notre corruption qui nous
détruit. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picote la pomme qui la détruit ; mais c’est le ver
qui est dans le noyau. Oui.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’est ce qu’il faut craindre. Levez la main maintenant,
et dites : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je veux maintenant venir. » Que Dieu
vous bénisse, monsieur. Une fois de plus, nous allons de gauche à droite. Levez la main.
Dites : « Souvenez-vous de moi, Frère Branham, pendant que vous priez. » Que Dieu vous
bénisse, petit ami, ici. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse là derrière, vous,
oui, il y a une douzaine ou deux mains là au fond. Que Dieu vous bénisse. Ici du côté
gauche. Eh bien, là tout au fond. Oui, là les–les gens de couleur, qui sont là tout au fond,
là derrière. Que Dieu vous bénisse, là tout au fond. Que Dieu soit avec vous. Mes amis
mexicains, que Dieu vous bénisse. Très bien, prions.

80. Eh bien, juste–juste avec douceur et humilité, j’aimerais que vous gardiez la tête
inclinée.
Dans votre coeur, dites : « Maintenant, Seigneur, me voici. Je suis blessé et je dois venir
vers l’eau. Je dois Te trouver, Seigneur. Mon âme a soif. »
Seigneur, prends les–les fruits ; c’était environ… peut-être une centaine de mains ou peut-
être pas ce nombre-là, mais ces quelques mains qui se sont levées. Ce sont les petits
trophées du message de ce soir. Ils sont venus et ont levés leurs mains, et je crois à la–à
la sincérité de leurs coeurs. Tu sais bien, Seigneur, qu’ils T’aiment. Et ils sont–ils ont honte
de la vie et des choses qu’ils ont abandonnées, et ils veulent venir à Toi. Ô Dieu, puisse le
Saint-Esprit descendre dans leurs âmes maintenant même. Parle-leur doucement et
paisiblement, et dis-leur : « Mon enfant, si tes péchés sont comme le cramoisi, ils
deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront
blancs comme la laine.» Accorde-le, Seigneur.

81. Eh bien, tu as dit : « Celui qui vient à moi, je ne le mettrai pas dehors. Il est encore
écrit : « Nul ne peut venir, si Mon Père ne l’attire. » Qu’est-ce que cela veut dire ? Ça veut
dire que Dieu est ici dans cette salle, en train de parler aux individus, et ceux-ci lèvent
leurs mains pour accepter Christ. Maintenant, ô Dieu, Tu leur donneras à Christ, Ton Fils,
et ils sont les dons d’amour. « Nul ne peut les arracher de Ta main. » Accorde-le, Seigneur.
Si je ne leur serre plus jamais la main dans ce monde, que je sois capable de le faire après
que nous aurons traversé. Un jour quand cette vie-ci sera terminée, que le grand souper
des noces sera préparé, et que les longues tables seront dressées, et que nous nous
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regarderons à travers la table, j’espère que j’entendrai quelqu’un dire : « Frère Branham,
j’étais à Dallas ce soir-là », et les larmes nous couleront sur les joues. Le Roi apparaîtra et
essuiera toutes les larmes de nos yeux, en disant : « Ne pleurez plus, mes enfants. Tout
est terminé maintenant. Entrer dans les joies du Seigneur. » Ô Dieu, nous attendons
impatiemment ce jour-là. Garde-les, Seigneur, dans Ta parfaite grâce jusqu’à ce que nous
Le verrons, au Nom de Christ, amen.

82. Je suis très désolé de vous avoir gardés si longtemps, il est vingt-deux heures. Je
suis désolé d’avoir pris trop de temps. Combien aiment l’Evangile ? Je n’ai jamais prétendu
être un prédicateur. Je suis en quelque sorte un pneu de réserve, et j’ai … vous utilisez un
pneu de réserve lorsque vous connaissez une crevaison. Mais nous n’avons pas connu de
crevaison. Vous voyez cela. Nous avons beaucoup de bons pneus, mais je–je suis
simplement venu pour parler. Et c’est la première fois que je tiens ce genre de réunion
depuis quelques temps.
Mais j’étais frappé aujourd’hui quand mon… un de mes associés, monsieur Mercier, m’a dit
que les gens dormaient dans ces buissons ici, attendant la réunion de prière. Est-ce vrai ?
Combien sont venus pour le service de guérison ? Faites voir la main. Ceux qui sont venus,
et qui voulaient que je prie pour eux ? Levez la main.

83. J’aimerais vous dire quelque chose. La raison pour laquelle j’ai consacré cette série
de réunion, comme vous l’avez lu dans les annonces, uniquement pour la prédication, c’est
parce que je viens de tenir une série de réunion de trente jours. Je suis très fatigué et
épuisé : Ces visions me tuent presque.
Il y a un grand homme qui est sur cette estrade ce soir, qui a connu une dépression.
Regardez Tommy Hicks maintenant. Voyez-vous ? Il va de dépression en dépression.
Regardez ces hommes qui quittent le champ missionnaire. Je n’en connais aucun qui a vu
des visions. C’est ce qui vous tue. Voilà pour quoi je l’ai fait. C’est ce que j’avais prévu,
mon ami. C’était ça mon objectif pour les trois prochaines réunions : uniquement prêcher.
C’est ce que je suis venu faire.

84. Mais lorsque aujourd’hui quand j’ai entendu … j’étais là dans… mes petits amis
indiens vivent ici dans le même motel que moi, quand ils étaient assis ici, malades, j’ai
compris cela. Je ne pouvais pas les laisser retourner comme cela. Ils sont venus de très
loin, de la campagne. Et ils avaient simplement appris que je serais ici. Et ils ont dit : «
Nous pensions que vous alliez prier pour les malades. » Ils n’avaient assez d’argent que
pour y rester pendant deux nuits. Je n’avais pas assez de quoi leur donner en ce moment-
là. Je suis un homme pauvre, et je–je ne…
Vous le savez vous-mêmes, je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. Je n’ai pas
l’intention de… la grâce de Dieu. Voyez-vous ? Les gens me donnent un petit quelque chose
de temps en temps, c’est… jamais je ne… je ne viens pas pour ça. Dieu sait que j’ai les
mains nettes à ce sujet. C’est vrai. Et je suis… Si jamais il me restait quelque chose, je
l’envoie directement aux missions au tant que possible, Dieu sait que c’est la vérité. Voyez-
vous ? Je n’ai pas beaucoup d’argent. Mais quand monsieur Mercier m’a parlé, disant : « Il
y a des gens ici dans ce… qui pendant la nuit dorment dans des voitures, dans ces buissons
par ici. Frère Branham, ils veulent que tu pries pour eux. »

85. Je ne le savais pas. Si cela ne vous dérange pas et que vous voulez que je prie pour
vous, demain soir nous commencerons les services de guérison. Nous allons commencer à
tenir des services de guérison. Je serai content de le faire. C’est tout à fait en ordre. Je
suis bien disposé pour ces services, à faire tout ce que je peux pour vous rendre la vie plus
heureuse et meilleure. Voyez-vous ?

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Et j’apprécie tous les frères prédicateurs ici et tous les autres. Nous allons venir en aide.
Et le Seigneur voulant, demain soir, combien aimeraient que nous ayons un service de
guérison comme ce service de guérison à l’ancienne mode ? Levez la main. Peu m’importe
qui vous êtes, juste… Très bien. C’est pour moi la confirmation que Dieu veut donc que je
le fasse. Ça va.

86. Et demain après-midi, j’enverrai Billy pour distribuer les cartes de prière ; et demain
soir, après que le message sera terminé, nous prierons pour les malades. Et s’il arrivait
que je me fatigue et que je m’effondre, j’ai beaucoup des gens ici qui vont m’aider et me
soutenir.
L’aimez-vous ? Que Dieu vous bénisse. Eh bien, ceci m’exige beaucoup. Les visions…
Combien ont déjà assisté à l’une de mes réunions ? Faites voir la main. Combien n’ont
jamais assisté à l’une d’elles ? Faites voir la main. Ça fait le double de ceux qui y ont déjà
assisté. Très bien. Que le Seigneur accorde…
Eh bien, demain, voici ce que vous allez faire : appelez les gens au téléphone, amenez les
vôtres qui sont malades et affligés. Vous verrez la gloire de Dieu. Voyez s’Il n’est pas
autant Guérisseur que Sauveur. Voyez s’Il est aussi puissant dans la bataille qu’Il L’est
hors de la bataille. Il est Le même Seigneur Dieu. L’aimez-vous? Dites : « Amen. » Je suis
content de vous entendre dire cela. Maintenant, que Dieu vous bénisse.

87. Inclinons la tête juste un moment. Je vais poser une question : « Combien
aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans la prière pour autres choses, peut-être une
marche plus intime et que sais-je encore ? Levez la main, le voulez-vous ? »
A quelle heure se tiendront vos services de demain, l’après-midi ? A treize heures trente.
Bon, je verrai si Billy a des cartes. S’ils n’en ont pas, nous en chercherons ou nous vous
donnerons quelque chose d’autre. Eh bien, en avez-vous déjà eues ? Eh bien, ça va. Très
bien. Ainsi nous pouvons garder les gens en ligne.
Tous ceux qui ont besoin de Dieu maintenant, de n’importe quelle manière, levez la main
vers Lui et dites : « Ô Dieu, Je T’aime. » Comme vous le faites d’habitude. « Ô Dieu, je
T’aime. » Avec nos têtes… je demanderai à frère Vinyard qui est ici maintenant s’il peut…

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