« Université Paris-Panthéon-Assas » : différence entre les versions
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Quant au salaire des étudiants à la sortie, l'université se classe première<ref>[http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/palmares/detail/article/les-meilleures-universites-francaises-en-terme-d-emploi-et-de-salaires-a-la-sortie-11481/ « Les meilleures universités françaises en terme d’emploi et de salaires à la sortie »], dans ''Le Figaro'', le 2 mars 2016, consulté sur etudiant.lefigaro.fr le 6 juillet 2016</ref>. Quant à l'obtention d'un emploi une fois diplômé, l'université se classe première selon ''Le Monde des grandes écoles des universités''<ref>[http://www.mondedesgrandesecoles.fr/luniversite-pantheon-%E2%80%88assas-un-symbole-de-lexcellence-made-in-france/]</ref>, quatrième des universités de « droit, économie, et gestion » selon ''[[Le Point]]'' avec 97 % de taux d"insertion (100 % pour la première)<ref>[http://www.lepoint.fr/societe/exclusif-nos-meilleures-universites-02-11-2011-1391903_23.php « EXCLUSIF. Nos meilleures universités »], dans ''Le Point'', le 2 novembre 2011, consulté sur www.lepoint.fr le 6 juillet 2016</ref>, 19e de la même catégorie selon ''Capital'' avec 93 % de taux d"insertion (96 % pour la première<ref>[http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/palmares/detail/article/les-meilleures-universites-francaises-en-terme-d-emploi-et-de-salaires-a-la-sortie-11481/ « Les meilleures universités françaises en terme d’emploi et de salaires à la sortie »], dans ''Le Figaro'', le 2 mars 2016, consulté sur etudiant.lefigaro.fr le 6 juillet 2016</ref> (les trois sources prétendent tenir leurs chiffres du ministère de l'enseignement supérieur). Quant à la "valeur ajoutée du taux d'obtention de la licence en trois ans", l'université est classée au 49{{e}} rang national selon ''le Figaro''<ref>Julie-Anne De Queiroz, [http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/palmares-des-universites-ou-les-etudiants-reussissent-le-mieux-8880/ « Palmarès des universités où les étudiants réussissent le mieux »], dans ''Le Figaro'', le 22 septembre 2014, consulté sur etudiant.lefigaro.fr le 6 juillet 2016</ref> et 52{{e}} selon ''[[L'Étudiant (magazine)|L'Étudiant]]''<ref>[http://www.letudiant.fr/educpros/enquetes/reussite-en-licence-a-l-universite-les-chiffres-par-etablissement/reussite-en-licence-le-classement-des-universites-selon-leur-valeur-ajoutee.html « Réussite en licence : le classement des universités selon leur valeur ajoutée »], dans ''Educpro'', le 15 septembre 2014, consulté sur www.letudiant.fr le 6 juillet 2016</ref>. |
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Quant à la qualité des formations, les formations juridiques proposées par l'université Panthéon-Assas occupent les premiers rangs des classements nationaux. |
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Au niveau de la licence, cette université est {{1re}} au classement Eduniversal (en partenariat avec le journal ''Le Petit Juriste'').<ref>[http://www.meilleures-licences.com/classement-licence.html Classement Eduniversal]</ref> |
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Au niveau des masters, cette université est celle avec les meilleurs résultats au classement SMBG.<ref>[http://www.meilleurs-masters.com/classement-master.html Classement SMBG]</ref> Sur les sept spécialités analysées par ce classement, 12 masters de l'université Panthéon-Assas ont été classés, avec les résultats suivants (pour l'année 2015) : |
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* en droit des affaires : {{1er}}, {{2e}}, {{4e}} et {{5e}} |
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* en droit international et européen des affaires : {{1er}} et {{9e}} |
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* en droit des affaires et management : {{1er}} |
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* en fiscalité et droit fiscal : {{1er}} |
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* en droit social : {{1er}} et {{6e}} |
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* en droit du numérique et des communications électroniques : {{3e}} |
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* en informatique décisionnelle: {{1er}} |
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Au niveau des masters du cursus sciences économiques et de gestion, au classement SMBG: |
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* en informatique décisionnelle : 1er (Master Ingénierie Statistique et Financière) |
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* en banque finance: 3e (Magistère banque finance et Master professionnel Techniques Financières et Bancaires) |
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* en commerce international: 1er (Master Commerce et Management International, MBA Stratégie Économique internationale) |
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Au concours d'entrée de l'École nationale de la magistrature, une forte proportion vient de la formation de l'université Panthéon-Assas, jusqu'à plus de 40 % en 2011<ref>[http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http%3A%2F%2Fwww.u-paris2.fr%2F98101%2F0%2Ffiche___formation%2F%26RH%3DPREP_CONCOURS Préparation au concours d'accès à l’École nationale de la magistrature (ENM) à l'université Panthéon-Assas]</ref>. |
Au concours d'entrée de l'École nationale de la magistrature, une forte proportion vient de la formation de l'université Panthéon-Assas, jusqu'à plus de 40 % en 2011<ref>[http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http%3A%2F%2Fwww.u-paris2.fr%2F98101%2F0%2Ffiche___formation%2F%26RH%3DPREP_CONCOURS Préparation au concours d'accès à l’École nationale de la magistrature (ENM) à l'université Panthéon-Assas]</ref>. |
Version du 26 juillet 2016 à 22:15
Fondation |
1970 |
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Type | |
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Forme juridique |
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d) |
Président | |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
19 086[1] |
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Enseignants | |
Budget |
91 millions d'euros (2013)[1] |
Pays | |
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Ville |
L’université Panthéon-Assas (selon ses statuts[3]), appelée aussi « Paris‑II » (selon le code de l’éducation[4]), ou plus fréquemment « Assas », est l'une des treize universités parisiennes, située dans le quartier latin des 5e et 6e arrondissements de Paris. Elle est membre associée de Sorbonne Universités.
Elle est créée en 1970 à partir de la scission de l'université de Paris. Elle est spécialisée dans l'enseignement du droit, de gestion, et de sciences économiques, et propose aussi des cursus d'administration économique et sociale, d'information et communication et de science politique. Elle a aussi des cursus transdisciplinaires comme le Collège de droit et les double-licences avec des sciences "dures" ou humaines.
Historique
La faculté de droit de l'université de Paris
Dès la fin des années 1950, pour faire face à l'afflux des enfants du baby boom et désengorger les bâtiments historiques de l'université de Paris, une entreprise de création de centres nouveaux pour chacune des facultés est lancée. L'annexe de la faculté de droit et des sciences économiques, prévue pour 1961, est finalement terminée en 1964 rue d'Assas.
Création de l'université Paris-II
L'université Paris II est née à la suite du démembrement de l'université de Paris. La plupart des privatistes et des historiens du droit, une partie importante des publicistes et un économiste avaient choisi de perpétuer l’ancienne faculté alors que leurs collègues faisaient le pari d’une université pluridisciplinaire en ralliant l’université Paris-I « Panthéon-Sorbonne ». A ce titre, Paris II se présente aujourd'hui comme l'héritière de l'ancienne faculté de droit et des sciences économiques de Paris de l'université de Paris[5],[6],[7].
L'université a été créée en tant qu'organe séparé en 1970 sous le nom de Paris II[8] mais a elle-même utilisé le nom d'« Université de droit, d'économie et de sciences sociales de Paris » du fait qu'elle continuait la faculté au nom similaire de l'époque de la Sorbonne et qu'elle uniquement était spécialisée uniquement dans ces matières[9]. Elle a ensuite adopté ses statuts en 1988 sous le nom de « Université de droit, d'économie et de sciences sociales de Paris II »[10] puis s'est donnée la dénomination « Panthéon-Assas Paris II » en 1990[11] puis uniquement de « Panthéon-Assas » en 1998 en référence à ses deux principaux centres, ceux de l'ancienne faculté de droit de l'université de Paris[12].
Autonomie et alliances
Le passage à l'autonomie (dotation de responsabilités et des compétences élargies en matière budgétaire et de gestion des ressources humaines) a eu lieu le 1er janvier 2010.
L'université fait partie, avec les universités Paris 4 et Paris 6, des membres fondateurs du PRES Sorbonne Universités, fondation de coopération scientifique, reconnue par décret le [13]. Dans ce cadre, elle partageait des cursus associant droit, histoire et histoire de l'art, et un cursus en sciences et économie. Par décision du conseil d'administration de l'université, il est décidé de quitter ce PRES à la rentrée 2013. Fin 2015, l’université Paris II est « associée » à la communauté d’universités et établissements Sorbonne Universités[14].
Composantes
Conformément au code de l’éducation, les composantes de l’université sont les unités de formation et de recherche et les instituts[15]. Des départements délibèrent notamment sur l’organisation et l’affectation des enseignements ou sur l’orientation de la recherche[3].
Unités de formation et de recherche
- UFR Capacité et 1er cycle de droit et de science politique
- UFR 2e et 3e cycles de droit et de science politique
- UFR Sciences économiques et de gestion
- UFR Sciences du management privé et public
- UFR Institut français de presse qui existe depuis 1937, a été rattaché à Paris II dès 1969[7],
- UFR Institut d'études judiciaires
Institut
Départements
- Département de droit privé et de sciences criminelles
- Département de droit public et de science politique
- Département de droit romain et d'histoire du droit
- Département de sciences économiques et de gestion
- Département de sciences de l'information et de la communication
Écoles doctorales
L'université compte cinq écoles doctorales[16] : L'université Panthéon-Assas rassemble de multiples équipes de recherche en droit, science politique, sciences économiques, sciences de gestion, sciences de l'information et de la communication. Trois sont associées au CNRS ; le centre d'études et de recherches de science administrative, l'institut d'histoire du droit, et l'équipe de recherche sur les marchés, l'emploi et la simulation. La faculté dispose de 24 centres de recherche et laboratoires se répartissant dans 5 écoles doctorales qui accueillent 1 500 doctorants.
- Droit international, droit européen, relations internationales et droit comparé (ED 9)
- Droit privé (ED 6)
- École doctorale Georges Vedel. Droit public interne, science administrative et science politique (ED 7)
- Histoire du droit, philosophie du droit et sociologie du droit (ED 8)
- Sciences économiques et de gestion, sciences de l'information et de la communication (ED 455)
Bibliothèques
Les bibliothèques de l'université, destinées aux enseignants et aux étudiants de l'université Panthéon-Assas, sont pour le principal spécialisées en droit et en économie. Outre les bibliothèques spécialisées[17], l'université en a trois principales :
- Bibliothèque d'Assas. Après plusieurs années de travaux, la nouvelle bibliothèque universitaire a ouvert en mars 2011 : ses collections sont en libre accès et en magasin. Elle dessert tous les cycles.
- Bibliothèque de Melun. Elle a ouvert en 1986. Toutes ses collections sont en accès libre. Elle dessert principalement les étudiants inscrits en licence au centre de Melun.
- Bibliothèque de Vaugirard. Elle a ouvert en 1996. Toutes ses collections sont en accès libre. Elle dessert principalement les étudiants en première année de licence.
D'autre part, la Bibliothèque Cujas est ouverte aux enseignants et aux étudiants à partir de la 2e année de licence.
Lieux d'implantation
Implantations à Paris
L'université Panthéon-Assas dispose de multiples sites répartis dans les 5e, 6e mais aussi 15e arrondissements de Paris.
- Dans le Ve arrondissement de Paris :
- 12, place du Panthéon, face au Panthéon : 2e année de master, Institut d'études judiciaires, Institut de criminologie et droit pénal de Paris, l'Institut des hautes études internationales (IHEI) et institut de droit romain. Le siège principal de l’université est installé place du Panthéon, dans le 5ème arrondissement de Paris. Construit en 1770, le bâtiment destiné à la faculté de droit s’inscrit dans le projet d’urbanisme des abords du Panthéon, alors église Sainte-Geneviève, confié à Soufflot. Devenu mairie sous la Révolution, il retrouve son affectation d’origine dès 1805. Des extensions sont réalisées par la suite, au XIXe siècle et dans les années 1950. Ce bâtiment est partagé avec l’université Panthéon-Sorbonne.
- 158, rue Saint-Jacques : Institut Cujas, centre de finances publiques et de fiscalité, centre de recherche en droit administratif, centre d'études constitutionnelles et politiques, centre de recherche sur les droits de l'homme et le droit humanitaire et laboratoire de sociologie juridique.
- 295, rue Saint-Jacques : Association française de science économique
- 10, rue Thénard : Centre d'études et de recherches de science administrative (CERSA)
- 1, rue d'Ulm : Centre de droit américain, Institut Michel Villey pour la culture juridique et la philosophie du droit, laboratoire de sociologie juridique.
- 1, rue Guy de la Brosse : Formations en gestion : Deust, Licences, Masters 1re et 2de année - CIFFOP (Centre interdisciplinaire de formation à la fonction personnel).
- Dans le VIe arrondissement de Paris :
- 92, rue d'Assas : 2e et 3e années de licence, 1re année de master, voire certaines deuxièmes années de master. Dès la fin des années 1950, pour faire face à l'afflux des enfants du baby boom et désengorger les bâtiments historiques de l'université de Paris, une entreprise de création de centres nouveaux pour chacune des facultés est lancée. L'annexe de la Faculté de droit et des sciences économiques, prévue pour 1961, est finalement terminée en 1964 rue d'Assas.
- 5-7, avenue Vavin : Master de finance et Laboratoire d'économie moderne.
- 118-122, rue de Vaugirard : Magistère juriste d'affaires, Institut de préparation à l'administration générale, Institut de droit des affaires, École de droit et management de Paris, Magistère Banque-Finance et le centre de formation permanente.
- 4, rue Blaise Desgoffe : Laboratoire d’Économie Mathématique et Micro-économie Appliquée (Lemma, EA 442).
- Dans le VIIe arrondissement de Paris :
- 28, rue Saint-Guillaume : Institut de droit comparé
- Dans le XIIIe arrondissement de Paris :
- 36 rue Charcot : Licence 3 et Masters 1 et 2 en économie gestion mention management et nouvelles technologies, Master 1 en économie gestion mention sciences du management.
- Dans le XVe arrondissement de Paris :
- 391, rue de Vaugirard (ancien collège de l'Immaculée-Conception) : 1re année de licence de droit et 1re année de licence de sciences économiques administration économique et sociale et de 1re année de Capacité en droit.
Des travaux de mise en conformité et d'amélioration des conditions d'études et de travail ont été entrepris au centre Assas. Ces travaux ont commencé en mai 2007 et se sont achevés en 2012 et n'ont concerné que le centre Assas et l'annexe de la rue Notre-Dame-Des-Champs. Les quatre bâtiments A (les 8 étages, le restaurant universitaire compris), B, C et D ont été démolis, curés ou réaménagés.
Implantations à Melun
Le centre universitaire délocalisé de Paris II en Seine-et-Marne se nomme « Institut de droit et d'économie de Melun »[18]. Il existe depuis 1987 et accueil accueille 10 000 étudiants . Il propose les cursus droit et AES jusqu'en 3e année de licence et le cursus sciences économiques jusqu'en 2e année.
En juin 2006, deux diplômes d'université et d'un diplôme d'État destinés aux enquêteurs de droit privé (« détectives et enquêteurs privés ») ont été créés, fruits d'un partenariat entre l'université Panthéon-Assas et l'Union fédérale des enquêteurs de droit privé.
Une antenne du Centre de formation permanente y est également installée pour prendre en charge certaines formations : capacité en droit 1er et 2e année, Master 2 professionnel : Droit et stratégie de la sécurité, Licence Sécurité des biens et des personnes, etc.
Formation et recherche
Enseignement
L'université Panthéon-Assas dispense des enseignements en droit, sciences politiques et sociales (média et communication), sciences de gestion et sciences économiques. Elle dispose de cinq écoles doctorales, de 25 centres de recherche et délivre des diplômes à 8 600 étudiants par an (sur les 18 000 que compte l'établissement, dont 3 000 étrangers). La formation se décompose en 17 licences, 6 licences professionnelles, 24 master 1 (M1), 87 master 2 (M2), 9 diplômes universitaires (DU), 6 diplômes supérieurs d'université (DSU), 3 Master of Laws (LLM), 1 Master of Business Administration (MBA), 1 Cursus Master Ingénieur (CMI) et 23 formations en apprentissage[19].
L'université dispose d'accords académiques avec d'autres établissements d’enseignement supérieurs français : l'université Paris Sorbonne-Paris IV pour 2 doubles licences (histoire de l'art et droit, histoire et droit), l'université Pierre-et-Marie-Curie, pour 2 doubles licences (sciences et droit, sciences et économie), l'ESSEC, pour des doubles diplômes en master[20],[21], l'université Paris-Dauphine, pour un master en ingénierie économique[22], l'école nationale supérieure des mines de Paris, pour un master[23], HEC (Paris) pour un master en fiscalité internationale[24], et l'INSEAD pour un LL.M. en droit international des affaires. 3 masters en droit public sont en cohabilitation avec l'Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne[25].
Assas développe aussi plusieurs cursus sélectifs tels que le "Collège de droit", "le Collège d'économie", le programme « Juriste européen » ou les bi-licences avec de prestigieuses universités étrangères telles le King's College de Londres, la McGill University ou encore l'université d'Oxford.
Depuis la rentrée 2013, l'université Panthéon-Assas, à travers le site Agorassas, propose une licence en droit en ligne[26].
Relations internationales
L'université Panthéon-Assas a conclu des accords de coopération avec plus de 160 universités étrangères, toute matière confondue[27]. Elle propose notamment des doubles diplômes, triples diplômes, cursus intégrés et autres programmes en partenariat avec des universités étrangères.
L'université Panthéon-Assas s'est aussi implantée à l'étranger en partenariat avec les universités locales comme à Saïgon ou à Phnom Penh (où les formations sont délivrées en partie par des professeurs de l'université et aboutissent à des diplômes propres à l'université).
Recherche
L'université compte 5 écoles doctorales, et 23 laboratoires de recherche, dont 3 liés au CNRS (UMR). Elle possède près de 270 enseignants-chercheurs, plus d'un millier de doctorants, et près de 120 thèses sont rédigées chaque année. Le budget annuel dédié à la recherche est de l'ordre de 1,3 millions d'euros[28]. Une banque de mémoire est accessible depuis le site de l'université. Celle-ci regroupe des mémoires soutenus en Master 2 recherche, ou professionnel, que l'on peut consulter gratuitement[29].
Classements
Quant au salaire des étudiants à la sortie, l'université se classe première[30]. Quant à l'obtention d'un emploi une fois diplômé, l'université se classe première selon Le Monde des grandes écoles des universités[31], quatrième des universités de « droit, économie, et gestion » selon Le Point avec 97 % de taux d"insertion (100 % pour la première)[32], 19e de la même catégorie selon Capital avec 93 % de taux d"insertion (96 % pour la première[33] (les trois sources prétendent tenir leurs chiffres du ministère de l'enseignement supérieur). Quant à la "valeur ajoutée du taux d'obtention de la licence en trois ans", l'université est classée au 49e rang national selon le Figaro[34] et 52e selon L'Étudiant[35].
Quant à la qualité des formations, les formations juridiques proposées par l'université Panthéon-Assas occupent les premiers rangs des classements nationaux.
Au niveau de la licence, cette université est 1re au classement Eduniversal (en partenariat avec le journal Le Petit Juriste).[36]
Au niveau des masters, cette université est celle avec les meilleurs résultats au classement SMBG.[37] Sur les sept spécialités analysées par ce classement, 12 masters de l'université Panthéon-Assas ont été classés, avec les résultats suivants (pour l'année 2015) :
- en droit des affaires : 1er, 2e, 4e et 5e
- en droit international et européen des affaires : 1er et 9e
- en droit des affaires et management : 1er
- en fiscalité et droit fiscal : 1er
- en droit social : 1er et 6e
- en droit du numérique et des communications électroniques : 3e
- en informatique décisionnelle: 1er
Au niveau des masters du cursus sciences économiques et de gestion, au classement SMBG:
- en informatique décisionnelle : 1er (Master Ingénierie Statistique et Financière)
- en banque finance: 3e (Magistère banque finance et Master professionnel Techniques Financières et Bancaires)
- en commerce international: 1er (Master Commerce et Management International, MBA Stratégie Économique internationale)
Au concours d'entrée de l'École nationale de la magistrature, une forte proportion vient de la formation de l'université Panthéon-Assas, jusqu'à plus de 40 % en 2011[38].
Vie étudiante
Évolution démographique
Évolution démographique de la population universitaire
Associations
L'université a une réputation de faculté de droite voire d'extrême-droite du fait de la création par des étudiants de cette université du Groupe union défense (GUD) dans les années 1960.[réf. nécessaire] Cependant, à partir des années 1970, le Pour un syndicalisme autogestionnaire (PSA) est une force syndicale puissante et, des années 1990 aux années 2000, l'UNEF, assimilée à une « force de gauche », a été majoritaire (avant d'être devancée par les associations apolitiques)[réf. nécessaire].
Des associations associées à l'extrême droite comme le Rassemblement des étudiants de droite, de nouveau le GUD, puis Assas Patriote tentent régulièrement de prendre pied à l'université mais sans succès[53],[54],[55],[56].
L'association Assas.net, apolitique, est majoritaire aux élections centraux depuis le scrutin d'avril 2008. Depuis le scrutin de 2016, elle a le même nombre de sièges que l'Alliance, une fédération associative multiculturelle qui regroupe notamment l'Union des étudiants juifs de France, Meydane et Assas Monde arabe et Le Cru d'Assas (oenologie).
En 2016, au Conseil d'administration, Assas.net et l'Alliance obtiennent 2 élus chacun, l'UNEF et l'UNI obtiennent 1 élu chacun.[57].
L'université compte plus de 200 associations étudiantes[58].
- L'Alliance
L'alliance est une fédération associative de l'université Paris II Panthéon Assas qui regroupe des associations culturelles et professionnalisantes dont l'objectif est de faire vivre l'université Panthéon Assas suivantes : Lysias (plaidoirie, éloquence), Assas Junior Conseil (cabinet de conseil des étudiants), Corpo Paris II (traditions, soirées), UGES (traditions soirées), AESP (sciences politiques), Révolte-toi Assas (débat, éloquence), Al-lies (talents, culture, spectacles), UEJF (culture, voyages), Meydane (culture, voyages), Assas Monde arabe (culture, voyages), ANIP (négociations, diplomatie), Le Cru d'Assas (oenologie), Assas Movie Prod (cinéma, production), Scènes assassines (théâtre), Assas Mode (luxe, fashion), Assas Echecs (échecs), BDE IFP (presse), Erasmus Student Network Assas (erasmus, soirées).[59]
- Assas.net
Assas.net est une association locale, aconfessionnelle, asyndicale et apartisane . Elle fut créée dans l’optique de développer l’entraide étudiante à Assas. Le premier outil qui le lui permet est son forum, qui compte plusieurs milliers de membres, et sur lequel tout le monde peut venir chercher de l’aide et échanger des informations.[60]
- Junior Entreprise
L'université Panthéon-Assas compte en ses murs l'entreprise étudiante Assas Junior Conseil, constituée de 800 adhérents étudiants de l'université
Cette organisation étudiante remplit plusieurs missions :
- La professionnalisation des étudiants par la réalisation de missions, comme des enquêtes d'opinion ou des missions de recherche et d'information juridique,[61]
- L'accompagnement des projets de création d'entreprises des étudiants,
- L'ouverture d'une interface entre l'université et le monde professionnel,
En 2014, l'association reçoit le prix FSDIE de l'initiative étudiante délivrée par l'université Panthéon Assas.
Personnalités liées
Présidents de l'université
Mandat | Nom | Qualité | UFR de rattachement |
---|---|---|---|
1974 - 1979 | Berthold Goldman | Professeur des universités | Droit (privé) |
1979 - 1984 | Jacques Robert | Professeur des universités | Droit (public) |
1984 - 1989 | Jean Boulouis | Professeur des universités | Droit (public) |
1989 - 1993 | Georges Durry | Professeur des universités | Droit (privé) |
1993 - 1997 | Philippe Ardant | Professeur des universités | Droit (public) |
1997 - 2002 | Bernard Teyssié | Professeur des universités | Droit (privé) |
2002 - 2006 | Jacqueline Dutheil de la Rochère | Professeur des universités | Droit (public) |
2006 - 2012 | Louis Vogel | Professeur des universités | Droit (privé) |
depuis 2012 | Guillaume Leyte | Professeur des universités | Droit (histoire) |
Enseignants et anciens enseignants
François Terré[62], Prosper Weil [63], Yves Gaudemet, et Pierre Delvolvé sont membres de l'Académie des sciences morales et politiques; Henri Mazeaud en fut membre de 1969 à 1993, Roland Drago de 1990 à 2009. Albert Rigaudière[64] est membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres. Joe Verhoeven est secrétaire général de l'Institut de droit international.
Certains enseignants sont d'anciens doyens d'autres universités, comme Claude Blumann[65], André Castaldo, doyen honoraire de la faculté de droit et de sciences politiques de l'université Paris XIII, et Serge Guinchard[66], Michel Germain, Doyen honoraire de la faculté de droit de Besancon et actuel directeur de l'Institut du droit des affaires et codirecteur de l'Ecole de de droit des affaires et de management gestion.
- Ronny Abraham professeur associé de droit public depuis 2004, actuellement juge à la Cour internationale de justice
- Edmond Alphandéry, ministre de l'économie de 1993 à 1995
- Antoine Billot, membre sénior de l'Institut universitaire de France et romancier
- Jean-Pierre Boisivon, directeur de 1990 à 1997 du groupe Essec
- Jean Foyer, ministre de la justice de 1962 à 1967
- David Naccache, Expert près la Cour pénale internationale et membre du Laboratoire d'informatique de l'École normale supérieure
- Hugues Portelli, sénateur depuis 2004
- Roger-Gérard Schwartzenberg, secrétaire d'État à l'Éducation nationale puis aux universités de 1983 à 1986, ministre de la recherche de 2000 à 2002
- Nicole Catala, secrétaire d'État chargée de la Formation professionnelle de 1986 à 1988
- Abderrazak Zouaoui, économiste et ministre tunisien
- Gérard Lafay, économiste français
Anciens étudiants
- Hommes et femmes politiques
- Présidents de la République française : François Hollande
- Premiers ministres français : Jean-Pierre Raffarin, Dominique de Villepin
- Ministres français : Martine Aubry (Travail, Emploi et Formation, Solidarité), Michèle Alliot-Marie (Affaires étrangères et européennes, Défense, Intérieur, Justice...), François Baroin (Budget), Christine Boutin (Logement et de la Ville), Rachida Dati (Justice), Patrick Devedjian (Plan de relance), Claude Goasguen (Réforme de l'État, de la Décentralisation et de la Citoyenneté), Victorin Lurel (Outre-Mer), Corinne Lepage (Environnement), Gérard Longuet (Défense), Alain Madelin, Hervé Morin (Défense), Christiane Taubira (Justice), Éric Woerth (Budget), George Pau-Langevin (Outre-Mer), etc.
- Présidents de la République étrangers : Catherine Samba-Panza (République centrafricaine), Prokópis Pavlópoulos (République hellénique)
- Premiers ministres étrangers : Pierre-Damien Habumuremyi (Rwanda), Panagiótis Pikramménos (Grèce), Vassilikí Thánou-Christophílou (Grèce)
- Ministres étrangers : Milica Čubrilo (Diaspora, Serbie), Gahoun Georges Hégbor (communication et éducation civique, Togo), Djibril Ngom (Budget, Senegal), Dali Jazi (Défense, Tunisie), Carlos Eduardo Medellín Becerra (justice, Colombie), Manuela Ramin-Osmundsen (enfance et égalité, Norvège), Nicolas Sehnaoui (télécommunications, Liban), Evangelos Venizelos (Vice-Premier ministre, Grèce), Andréas Mavroyiánnis (Affaires européennes, Chypre), Ramazan Bashardost (Plan, Afghanistan), Mohamed Najib Boulif (Affaires générales et gouvernance, Maroc), Khalid Naciri (Communication, Maroc)
- Chefs de partis politiques : Marine Le Pen (présidente du Front national)
- monde des média
- journalistes : Claire Chazal, présentatrice du 20 heures de TF1, Laurent Delahousse, présentateur du 20 h de France 2, Marc-Olivier Fogiel, animateur et producteur d'émissions de télévision et de radio, Philippe Manière, journaliste, Bernard Rapp, journaliste grand reporter, Antoine Silber, présentateur du 20 heures, Léa Salamé, chroniqueuse dans On n'est pas couché
- Responsables de groupes : Jean-Marie Colombani, directeur du journal Le Monde de 1994 à 2007, Marc Crépin, directeur de la rédaction de France Culture et de France Musique, Axel Duroux, PDG des stations française de RTL Group, Pierre Jeantet, président du directoire du groupe Le Monde en 2007, Jean-Paul Cluzel, ancien président de Radio-France
- Autre : Cécilia Sarkozy, Première dame de France en 2007, Floriane Chinsky, femme rabbin, Corinne Coman, Miss France 2003, Raphaël Haroche (dit Raphael), chanteur
- Personnalités du monde des affaires
- Henri Giscard d'Estaing, administrateur du Groupe Casino
- Denis Hennequin, président directeur général du groupe Accor
- Maxime Lombardini directeur général d'Iliad
- Ludwik Sobolewski, ancien président du Warsaw Stock Exchange
- Juristes
- Joaquim Barbosa Président la Cour suprême du Brésil
- Yves Bot, avocat général français de la Cour de justice des Communautés européennes
- Gilbert Collard, avocat et homme politique français
- Jean-Michel Darrois, avocat d'affaires
- Mireille Delmas-Marty, membre de l'Institut, professeure de droit privé, membre de l'Académie des sciences morales et politiques
- Christian Charrière-Bournazel, bâtonnier de l'Ordre des avocats à la cour d'appel de Paris
- Éric Halphen, juge anti-corruption français
- Arno Klarsfeld, avocat français
- Éric de Montgolfier, magistrat français
- Raymond Ranjeva, magistrat malgache, vice-président de la Cour internationale de justice
- Vassilikí Thánou-Christophílou, présidente de la Cour de cassation grecque.
- Omar Zniber, juriste et diplomate marocain.
- Arnaud Claude, avocat d'affaires impliqué dans l'affaire Balkany de blanchiment de fraude fiscale et dans l'affaire des Panama Papers
- Francis Szpiner, avocat français ayant défendu l'empereur Bokassa Ier, Alain Juppé ou encore Jacques Chirac entre autres
Notes et références
- « Chiffres clés année 2013-2014 »
- Recensement des diplômes délivrés par les universités à l'issue de l'année universitaire 2005-2006
- Statuts de l’université Panthéon-Assas
- Article D711-1 du code de l’éduction
- Site de la Chancellerie des universités de Paris
- « Paris-II Assas, la longue marche vers le centre droit », sur Libération.fr
- Rapport d’évaluation 2006
- Décret institutif n° 70-1174 du 17 décembre 1970, codifié à l'article D711-1 du code de l’éducation.
- Historique de l'Institut de préparation à l'administration générale dans l'université de Paris puis université Panthéon-Assas
- Approuvés par arrêté du 26 octobre 1988, en application de la loi du 26 janvier 1984
- Le 14 mars 1990, Rapport du Comité national d'évaluation de 2006 p.10.
- Maus, Bougrab, François Luchaire, un républicain au service de la République, p. 191).
- Décret du 22 juin 2010 portant approbation des statuts de la fondation de coopération scientifique « Sorbonne Universités »
- Décret no 2015-1594 du 7 décembre 2015 portant association de l’université Paris-II à la communauté d'universités et établissements « Sorbonne Universités »
- Article L713-1 du code de l'éducation
- Écoles doctorales, www.u-paris2.fr, consulté le 27 avril 2010
- http://www.u-paris2.fr/04935358/0/fiche___pagelibre/&RH=Bibliotheque Bibliothèques du réseau de l'université Panthéon-Assas
- L'ouverture de l'université Panthéon-Assas à Melun, reportage Midi 2 du 23 novembre 1987 (durée 3'08"") : source INA
- Consulter la plaquette détaillée de l'ensemble des formations dispensées par l'université Paris II sur son site internet
- Détails disponibles sur le site u-paris2.fr
- Lire le communiqué de presse publié sur le site de l'Essec L'université Panthéon-Assas et l'ESSEC signent un accord de partenariat stratégique
- Consulter le site du Master Ingénierie économique (TSI-AD)
- Voir la fiche du master STV
- Consulter le site de l'association du Master 2 Fiscalité internationale
- http://www.u-paris2.fr/25712751/0/fiche___pagelibre/&RH=MASTER-09&RF=M2-DROIT-09
- Lire les archives du site de l'université
- Voir accords de coopération
- Voir rubrique recherche
- Voir rubrique banque de mémoire sur le site de l'université
- « Les meilleures universités françaises en terme d’emploi et de salaires à la sortie », dans Le Figaro, le 2 mars 2016, consulté sur etudiant.lefigaro.fr le 6 juillet 2016
- [1]
- « EXCLUSIF. Nos meilleures universités », dans Le Point, le 2 novembre 2011, consulté sur www.lepoint.fr le 6 juillet 2016
- « Les meilleures universités françaises en terme d’emploi et de salaires à la sortie », dans Le Figaro, le 2 mars 2016, consulté sur etudiant.lefigaro.fr le 6 juillet 2016
- Julie-Anne De Queiroz, « Palmarès des universités où les étudiants réussissent le mieux », dans Le Figaro, le 22 septembre 2014, consulté sur etudiant.lefigaro.fr le 6 juillet 2016
- « Réussite en licence : le classement des universités selon leur valeur ajoutée », dans Educpro, le 15 septembre 2014, consulté sur www.letudiant.fr le 6 juillet 2016
- Classement Eduniversal
- Classement SMBG
- Préparation au concours d'accès à l’École nationale de la magistrature (ENM) à l'université Panthéon-Assas
- Comité national d'évaluation, L'université de Paris II, rapport d'évaluation, Paris, , 149 p.,p. 12
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
- Chiffres clés 2012-2013
- « Les « rats noirs » du GUD », sur www.leparisien.fr/,
- Olivier Faye, « Forum étudiant, GUD: la petite agitation nationaliste dans les facs », sur droites-extremes.blog.lemonde.fr,
- Olivier Faye, « Avec « Assas Patriote », l’extrême droite tente de reprendre pied à Paris-II Panthéon-Assas », sur droites-extremes.blog.lemonde.fr,
- Véronique Soulé, « Une excroissance du GUD emménage à Assas », sur www.liberation.fr,
- « Résultats des élections des représentants étudiants aux conseils centraux (mars 2016) », sur u-paris2.fr,
- [2]
- [3]
- [4][5]
- « Nous allons appeler 2500 habitants », sur leparisien.fr (consulté le )
- professeur émérite, droit civil des personnes, des obligations et des biens, ex-Responsable du DEA Philosophie du droit
- professeur émérite, droit public, membre de l'institut
- responsable du DEA Histoire du droit
- coresponsable du master droit de l'Union européenne, doyen honoraire de l'université de Tours
- droit processuel, doyen honoraire de l'université Lyon III Jean Moulin, ex-directeur de l'Institut d'études judiciaires Pierre Raynaud de Paris II
Bibliographie
- Comité national d'évaluation des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel, L'Université Panthéon-Assas Paris II Rapport d'évaluation, (lire en ligne)
- Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, Rapport d'évaluation de l’université Panthéon-Assas – Paris 2, (lire en ligne)
- Statuts de l’université Panthéon-Assas, (lire en ligne)